Le multiplicateur de propagande

[Source : Bruno Berthez]

En France de mon temps il existait une autre grande agence de presse, c’était l’ACP dont je fus co-propriétaire quelque temps en association avec le Groupe Maxwell. L’ACP fournissait de nombreux journaux de province, elle a disparu maintenant.

De petites maisons font dans certains domaines office d’Agence de presse, comme le prestigieux BQ, Berard Quelin. L’AGEFI faisait partiellement office d’Agence de presse, elle portait le nom d’Agence.

Lisez ce dossier et faites-le lire.

Bruno Berthez


C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant peu connu du public : la majeure partie de la couverture de l’actualité internationale dans les médias occidentaux est assurée par seulement trois agences de presse mondiales basées à New York, Londres et Paris.

Le rôle clé joué par ces agences signifie que les médias occidentaux traitent souvent des mêmes sujets, même en utilisant la même formulation.

De plus, les gouvernements, les militaires et les services de renseignement utilisent ces agences de presse mondiales comme multiplicateurs pour diffuser leurs messages dans le monde entier.

Une étude de la couverture de la guerre en Syrie par neuf grands journaux européens illustre clairement ces problèmes : 78 % de tous les articles étaient basés en tout ou en partie sur des rapports d’agence, mais 0 % sur des recherches d’investigation propre.

De plus, 82 % de tous les articles d’opinion et interviews étaient en faveur d’une intervention des États-Unis et de l’OTAN, tandis que la propagande était attribuée exclusivement à la partie opposée.


Le multiplicateur de propagande :
Comment les agences de presse mondiales et
les médias occidentaux rendent compte de la géopolitique

Une étude de Swiss Propaganda Research

2016/2019

« Par conséquent, vous devez toujours vous demander : pourquoi est-ce que j’obtiens cette information spécifique, sous cette forme spécifique, à ce moment précis ?
En fin de compte, ce sont toujours des questions sur le pouvoir. »(*)

Dr Konrad Hummler

  1. Partie 1 : Le multiplicateur de propagande

Introduction : « quelque chose d’étrange »

« Comment le journal sait-il ce qu’il sait ? » La réponse à cette question risque de surprendre certains lecteurs de journaux : « La principale source d’information, ce sont les articles des agences de presse. Les agences de presse au fonctionnement presque anonyme sont en quelque sorte la clé des événements mondiaux. »

Comment s’appellent ces agences, comment fonctionnent-elles et qui les finance ?

Pour juger de la qualité de l’information sur les événements en Orient et en Occident, il faut connaître les réponses à ces questions. (Höhne 1977, p. 11)

Un chercheur suisse en médias souligne : « Les agences de presse sont les plus importants fournisseurs de matériel pour les médias de masse. Aucun média quotidien ne peut s’en passer. » Donc les agences de presse influencent notre image du monde ; surtout, nous apprenons à connaître ce qu’elles ont choisi. (Blum 1995, p. 9)

Au vu de leur importance essentielle, il est d’autant plus étonnant que ces agences soient à peine connues du public : « Une grande partie de la société ignore que les agences de presse existent… En fait, elles jouent un rôle extrêmement important sur le marché des médias. Mais malgré cette grande importance, peu d’attention leur a été accordée dans le passé. » (Schulten-Jaspers 2013, p. 13)

Même le directeur d’une agence de presse a noté : « Il y a quelque chose d’étrange dans les agences de presse. Ils sont peu connus du public. Contrairement à un journal, leur activité n’est pas tellement sous les projecteurs, mais ils peuvent toujours être trouvés à la source de l’histoire. (Segbers 2007, p. 9)

« Le centre nerveux invisible du système médiatique »

Alors, comment s’appellent ces agences qui sont « toujours à la source de l’histoire » ? Il ne reste plus que trois agences de presse mondiales :

  1. L’American Associated Press (AP) avec plus de 4000 employés dans le monde. L’AP appartient à des sociétés de médias américaines et a son principal bureau de rédaction à New York. AP news est utilisé par environ 12 000 médias internationaux, touchant chaque jour plus de la moitié de la population mondiale.
  2. L’Agence France-Presse (AFP) française quasi gouvernementale basée à Paris et comptant environ 4000 employés. L’AFP envoie chaque jour plus de 3000 récits et photos aux médias du monde entier.
  3. L’agence britannique Reuters à Londres, qui est une propriété privée et emploie un peu plus de 3000 personnes. Reuters a été acquis en 2008 par l’entrepreneur canadien des médias Thomson — l’une des 25 personnes les plus riches du monde — et a fusionné avec Thomson Reuters, dont le siège est à New York.

En outre, de nombreux pays gèrent leurs propres agences de presse. Il s’agit, par exemple, de la DPA allemande, de l’APA autrichienne et de la SDA suisse. Cependant, lorsqu’il s’agit d’actualités internationales, les agences nationales s’appuient généralement sur les trois agences mondiales et se contentent de copier et de traduire leurs rapports.

Figure 1 : Les trois agences de presse mondiales Reuters, AFP et AP,
et les trois agences nationales des pays germanophones
Autriche (APA), Allemagne (DPA) et Suisse (SDA).

Wolfgang Vyslozil, ancien directeur général de l’APA autrichienne, a décrit le rôle clé des agences de presse en ces termes : « Les agences de presse sont rarement aux yeux du public. Pourtant, ils sont l’un des types de médias les plus influents et en même temps l’un des moins connus. Ce sont des institutions clés d’une importance considérable pour tout système médiatique. Ils sont le centre névralgique invisible qui relie toutes les parties de ce système. » (Segbers 2007, p.10)

Petite abréviation, grand effet

Cependant, il y a une raison simple pour laquelle les agences mondiales, malgré leur importance, sont pratiquement inconnues du grand public. Pour citer un professeur de médias suisse : « La radio et la télévision ne nomment généralement pas leurs sources, et seuls les spécialistes peuvent déchiffrer les références dans les magazines. » (Blum 1995, p. 9)

Le motif de cette discrétion, cependant, devrait être clair : les médias ne tiennent pas particulièrement à faire savoir aux lecteurs qu’ils n’ont pas fait eux-mêmes des recherches sur la plupart de leurs contributions.

La figure suivante montre quelques exemples d’étiquetage à la source dans des journaux européens populaires. À côté des abréviations de l’agence, nous trouvons les initiales des éditeurs qui ont édité le rapport de l’agence respective.

Figure 2 : Les agences de presse comme sources dans les articles de journaux

De temps en temps, les journaux utilisent du matériel d’agence, mais ne l’étiquettent pas du tout. Une étude de 2011 de l’Institut suisse de recherche sur la sphère publique et la société de l’Université de Zurich est parvenue aux conclusions suivantes (OFEG 2011) :

« Les contributions de l’agence sont exploitées intégralement sans les étiqueter, ou elles sont partiellement réécrites pour les faire apparaître comme une contribution éditoriale. De plus, il existe une pratique consistant à “pimenter” les rapports d’agence sans effort : par exemple, les rapports d’agence non publiés sont enrichis d’images et de graphiques et présentés sous forme d’articles complets. »

Les agences jouent un rôle de premier plan non seulement dans la presse, mais aussi dans la radiodiffusion privée et publique. Ceci est confirmé par Volker Braeutigam, qui a travaillé pendant dix ans pour le radiodiffuseur public allemand ARD et voit d’un œil critique la domination de ces agences :

« Un problème fondamental est que la rédaction de l’ARD tire ses informations principalement de trois sources : les agences de presse DPA/AP, Reuters et AFP : une allemande/américaine, une britannique et une française. Le monteur travaillant sur un sujet d’actualité n’a qu’à sélectionner sur l’écran quelques passages de texte qu’il juge indispensables, les réagencer et les recoller en quelques fioritures. »

La Radio Télévision Suisse (SRF) s’appuie elle aussi largement sur les rapports de ces agences. Interrogés par les téléspectateurs sur les raisons pour lesquelles une marche pour la paix en Ukraine n’a pas été signalée, les rédacteurs ont répondu : « À ce jour, nous n’avons reçu aucun rapport sur cette marche des agences indépendantes Reuters, AP et AFP. »

En fait, non seulement le texte, mais aussi les images, les enregistrements sonores et vidéo que nous rencontrons quotidiennement dans nos médias, proviennent pour la plupart des mêmes agences. Ce que le public non initié pourrait considérer comme des contributions de leur journal local ou de leur chaîne de télévision sont en fait des reportages copiés de New York, Londres et Paris.

Certains médias sont même allés plus loin et ont, faute de moyens, sous-traité l’intégralité de leur rédaction à l’étranger à une agence. De plus, il est bien connu que de nombreux portails d’information sur Internet publient principalement des rapports d’agences (voir par exemple, Paterson 2007, Johnston 2011, MacGregor 2013).

En fin de compte, cette dépendance vis-à-vis des agences mondiales crée une similitude frappante dans le reportage international : de Vienne à Washington, nos médias traitent souvent des mêmes sujets, en utilisant plusieurs des mêmes phrases — un phénomène qui serait autrement plutôt associé aux « médias contrôlés » dans les États autoritaires.

Le graphique suivant montre quelques exemples tirés de publications allemandes et internationales. Comme vous pouvez le voir, malgré l’objectivité revendiquée, un léger parti pris (géo-)politique s’insinue parfois.

Figure 3 : « Poutine menace », « L’Iran provoque »,
« L’OTAN inquiète », « Bastion d’Assad » :
Similitudes de contenu et de formulation dues aux reportages
des agences de presse mondiales.

Le rôle des correspondants

Une grande partie de nos médias n’ont pas de correspondants étrangers propres, ils n’ont donc pas d’autre choix que de s’appuyer entièrement sur les agences mondiales pour les informations étrangères.

Mais qu’en est-il des grands quotidiens et des chaînes de télévision qui ont leurs propres correspondants internationaux ? Dans les pays germanophones, par exemple, il s’agit de journaux tels que NZZ, FAZ, Sueddeutsche Zeitung, Welt et des radiodiffuseurs publics.

Tout d’abord, il faut garder à l’esprit les ratios de taille : alors que les agences globales comptent plusieurs milliers d’employés dans le monde, même le journal suisse NZZ, connu pour son reportage international, n’entretient que 35 correspondants étrangers (y compris leurs correspondants commerciaux). Dans des pays immenses comme la Chine ou l’Inde, un seul correspondant est en poste ; toute l’Amérique du Sud n’est couverte que par deux journalistes, alors que dans l’Afrique encore plus grande, personne n’est sur le terrain en permanence.

De plus, dans les zones de guerre, les correspondants s’aventurent rarement. Sur la guerre en Syrie, par exemple, de nombreux journalistes ont « fait des reportages » depuis des villes comme Istanbul, Beyrouth, Le Caire ou encore depuis Chypre. En outre, de nombreux journalistes n’ont pas les compétences linguistiques nécessaires pour comprendre les populations et les médias locaux.

Comment les correspondants, dans de telles circonstances, savent-ils ce qu’il en est des « actualités » dans leur région du monde ? La réponse principale est encore une fois : des agences mondiales. Le correspondant néerlandais au Moyen-Orient Joris Luyendijk a décrit de manière impressionnante le fonctionnement des correspondants et leur dépendance vis-à-vis des agences mondiales dans son livre « People Like Us: Misrepresenting the Middle East » :

« J’avais imaginé que les correspondants seraient des historiens du moment. Quand quelque chose d’important se produisait, ils allaient le chercher, découvraient ce qui se passait et en faisaient rapport. Mais je ne suis pas parti pour savoir ce qui se passait ; cela s’était fait bien avant. Je suis allé présenter un rapport sur place.

Les rédacteurs aux Pays-Bas appelaient quand quelque chose se passait, ils faxaient ou envoyaient les communiqués de presse par e-mail, et je les racontais dans mes propres mots à la radio, ou les retravaillais dans un article pour le journal. C’est la raison pour laquelle mes éditeurs trouvaient plus important que je puisse être joint sur place que de savoir ce qui s’y passait. Les agences de presse ont fourni suffisamment d’informations pour que vous puissiez écrire ou parler de n’importe quelle crise ou réunion au sommet.

C’est pourquoi vous tombez souvent sur les mêmes images et histoires si vous feuilletez quelques journaux différents ou cliquez sur les chaînes d’information.

Nos hommes et nos femmes des bureaux de Londres, Paris, Berlin et Washington pensaient tous que les sujets erronés dominaient l’actualité et que nous suivions trop servilement les normes des agences de presse.

L’idée commune à propos des correspondants est qu’ils “ont l’histoire”, mais la réalité est que les nouvelles sont un tapis roulant dans une fabrique de pain. Les correspondants se tiennent au bout du tapis roulant, prétendant que nous avons cuit nous-mêmes ce pain blanc, alors qu’en fait nous n’avons fait que le mettre dans son emballage.

Après, un ami m’a demandé comment j’avais réussi à répondre à toutes les questions lors de ces échanges, toutes les heures et sans hésitation. Quand je lui ai dit que, comme aux actualités télévisées, vous connaissiez toutes les questions à l’avance, sa réponse par e-mail a été remplie de jurons. Mon ami s’était rendu compte que, depuis des décennies, ce qu’il regardait et écoutait aux informations était du pur théâtre. »)

(Luyendjik 2009, p. 20-22, 76, 189

En d’autres termes, le correspondant type n’est en général pas capable de faire des recherches indépendantes, mais traite et renforce plutôt les sujets qui sont déjà prescrits par les agences de presse — le fameux « effet mainstream ».

De plus, pour des raisons d’économies, de nombreux médias doivent aujourd’hui partager leurs quelques correspondants étrangers, et au sein des groupes de médias individuels, les reportages étrangers sont souvent utilisés par plusieurs publications — dont aucune ne contribue à la diversité des reportages.

« Ce que l’agence ne rapporte pas n’a pas lieu »

Le rôle central des agences de presse explique aussi pourquoi, dans les conflits géopolitiques, la plupart des médias utilisent les mêmes sources originales.

Dans la guerre de Syrie, par exemple, « l’Observatoire syrien des droits de l’homme » — une organisation individuelle douteuse basée à Londres — figurait en bonne place. Les médias s’adressaient rarement directement à cet « Observatoire », son opérateur étant en effet difficile à joindre, même pour les journalistes.

Au lieu de cela, « l’Observatoire » a livré ses histoires aux agences mondiales, qui les ont ensuite transmises à des milliers de médias, qui à leur tour ont « informé » des centaines de millions de lecteurs et de téléspectateurs dans le monde entier. La raison pour laquelle les agences, entre toutes, ont fait référence à cet étrange « Observatoire » dans leurs reportages — et qui l’a réellement financé — est une question rarement posée.

L’ancien rédacteur en chef de l’agence de presse allemande DPA, Manfred Steffens, déclare donc dans son livre « The Business of News » :

« Un reportage ne devient pas plus correct simplement parce qu’on est capable d’en fournir une source.Il est en effet assez discutable de faire davantage confiance à un fait divers simplement parce qu’une source est citée. Derrière le bouclier protecteur qu’une telle “source” signifie pour une histoire, certains sont enclins à répandre des choses plutôt aventureuses, même s’ils ont eux-mêmes des doutes légitimes sur leur exactitude ; la responsabilité, au moins morale, peut toujours être imputée à la source citée. »

(Steffens 1969, p. 106)

La dépendance à l’égard des agences mondiales est également l’une des principales raisons pour lesquelles la couverture médiatique des conflits géopolitiques est souvent superficielle et erratique, tandis que les relations historiques et le contexte sont fragmentés ou totalement absents.

Comme le dit Steffens : « Les agences de presse reçoivent leurs impulsions presque exclusivement de l’actualité et sont donc par nature anhistoriques. Ils hésitent à ajouter plus de contexte que ce qui est strictement nécessaire. » (Steffens 1969, p. 32)

Enfin, la prédominance des agences mondiales explique pourquoi certains problèmes et événements géopolitiques — qui souvent ne cadrent pas très bien avec le récit US/OTAN ou sont trop « sans importance » — ne sont pas du tout mentionnés dans nos médias : si les agences ne rapportent pas quelque chose, alors la plupart des médias occidentaux n’en seront pas conscients. Comme l’a souligné à l’occasion du 50e anniversaire de la DPA allemande : « Ce que l’agence ne rapporte pas n’a pas lieu. » (Wilke 2000, p. 1)

« Ajouter des histoires douteuses »

Si certains sujets n’apparaissent pas du tout dans nos médias, d’autres sont très présents — même s’ils ne devraient pas l’être : « Souvent, les médias de masse ne rapportent pas la réalité, mais une réalité construite ou mise en scène. Plusieurs études ont montré que les médias de masse sont principalement déterminés par les activités de relations publiques et que les attitudes passives et réceptives l’emportent sur celles de recherche active. » (Blum 1995, p. 16)

En fait, en raison des performances journalistiques plutôt faibles de nos médias et de leur forte dépendance à l’égard de quelques agences de presse, il est facile pour les parties intéressées de diffuser de la propagande et de la désinformation dans un format soi-disant respectable auprès d’un public mondial. Le rédacteur en chef de la DPA, Steffens, a mis en garde contre ce danger :

« Le sens critique est d’autant plus apaisé que l’agence de presse ou le journal est respecté. Quelqu’un qui veut introduire une histoire douteuse dans la presse mondiale n’a qu’à essayer de mettre son histoire dans une agence raisonnablement réputée, pour être sûr qu’elle apparaisse ensuite un peu plus tard dans les autres. Il arrive parfois qu’un canular passe d’agence en agence et devienne de plus en plus crédible. »

(Steffens 1969, p. 234)

Parmi les acteurs les plus actifs pour « injecter » des informations géopolitiques douteuses figurent les ministères de l’armée et de la Défense. Par exemple, en 2009, le patron de l’agence de presse américaine AP, Tom Curley, a rendu public que le Pentagone emploie plus de 27 000 spécialistes des relations publiques qui, avec un budget de près de 5 milliards de dollars par an, font travailler les médias et font circuler des manipulations ciblées. De plus, des généraux américains de haut rang avaient menacé de le « ruiner » ainsi que l’AP si les journalistes faisaient des reportages trop critiques sur l’armée américaine.

Malgré — ou à cause de ? — de telles menaces, nos médias publient régulièrement des histoires douteuses provenant de certains « informateurs » anonymes des « cercles de la défense américaine ».

Ulrich Tilgner, correspondant chevronné au Moyen-Orient pour les télévisions allemande et suisse, a mis en garde en 2003, peu après la guerre en Irak, contre les actes de tromperie de l’armée et le rôle joué par les médias :

« Avec l’aide des médias, les militaires déterminent la perception du public et l’utilisent pour leurs plans. Ils parviennent à attiser les attentes et à propager des scénarios trompeurs. Dans ce nouveau type de guerre, les stratèges des relations publiques de l’administration américaine remplissent une fonction similaire à celle des pilotes de bombardiers. Les départements spéciaux des relations publiques du Pentagone et des services secrets sont devenus des combattants dans la guerre de l’information.

Pour leurs manœuvres de tromperie, l’armée américaine utilise spécifiquement le manque de transparence dans la couverture médiatique. La façon dont ils diffusent l’information, qui est ensuite captée et diffusée par les journaux et les radiodiffuseurs, rend impossible pour les lecteurs, les auditeurs ou les téléspectateurs de retracer la source originale. Ainsi, le public ne parviendra pas à reconnaître l’intention réelle de l’armée. »

(Tilgner 2003, p. 132)

Ce qui est connu de l’armée américaine ne serait pas étranger aux services de renseignement américains. Dans un rapport remarquable de British Channel 4, d’anciens responsables de la CIA et un correspondant de Reuters ont parlé franchement de la diffusion systématique de la propagande et de la désinformation dans les reportages sur les conflits géopolitiques :

L’ancien officier de la CIA et dénonciateur John Stockwell a déclaré à propos de son travail dans la guerre angolaise : « Le thème de base était de faire passer cela pour une agression [ennemie]. Donc, tout type d’histoire que vous pouviez écrire et entrer dans les médias partout dans le monde, qui poussait cette ligne, nous l’avons fait. Un tiers de mon personnel dans ce groupe de travail était des propagandistes, dont le travail professionnel consistait à inventer des histoires et à trouver des moyens de les faire passer dans la presse. Les rédacteurs en chef de la plupart des journaux occidentaux ne sont pas trop sceptiques à l’égard des messages conformes aux vues générales et aux préjugés. Nous avons donc proposé une autre histoire, et cela a duré des semaines. Mais tout n’était que fiction. »

Fred Bridgland revient sur son travail de correspondant de guerre pour l’agence Reuters : « Nous basions nos reportages sur des communications officielles. Ce n’est que des années plus tard que j’ai appris qu’un petit expert en désinformation de la CIA avait siégé à l’ambassade des États-Unis et avait composé ces communiqués qui n’avaient absolument aucun rapport avec la vérité. Fondamentalement, et pour le dire très grossièrement, vous pouvez publier n’importe quelle vieille merde et elle sera publiée dans le journal. »

Et l’ancien analyste de la CIA, David MacMichael, a décrit son travail dans la guerre des Contras au Nicaragua en ces termes : « Ils ont dit que nos renseignements sur le Nicaragua étaient si bons que nous pouvions même enregistrer quand quelqu’un tirait la chasse d’eau. Mais j’avais l’impression que les histoires que nous racontions à la presse sortaient tout droit des toilettes. »

(Chaîne 4, 1985)

Bien entendu, les services de renseignement disposent également d’un grand nombre de contacts directs dans nos médias, auxquels des informations peuvent être « divulguées » si nécessaire. Mais sans le rôle central des agences de presse mondiales, la synchronisation mondiale de la propagande et de la désinformation ne serait jamais aussi efficace.

Grâce à ce « multiplicateur de propagande », des histoires douteuses d’experts en relations publiques travaillant pour les gouvernements, l’armée et les services de renseignement atteignent le grand public plus ou moins sans contrôle et sans filtre. Les journalistes se réfèrent aux agences de presse et les agences de presse se réfèrent à leurs sources. Bien qu’ils tentent souvent de souligner les incertitudes (et de se couvrir) avec des termes tels que « apparent », « présumé » et autres — à ce moment-là, la rumeur s’est depuis longtemps propagée dans le monde et son effet a eu lieu.

Figure 4 : Le multiplicateur de propagande : les gouvernements, les militaires
et les services de renseignement utilisent les agences de presse mondiales
pour diffuser leurs messages à un public mondial.

Comme le rapporte le New York Times…

En plus des agences de presse mondiales, il existe une autre source souvent utilisée par les médias du monde entier pour rendre compte des conflits géopolitiques, à savoir les principales publications en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Les organes de presse comme le New York Times ou la BBC peuvent avoir jusqu’à 100 correspondants étrangers et des employés externes supplémentaires. Cependant, comme le souligne le correspondant au Moyen-Orient Luyendijk :

« Nos équipes de presse, moi y compris, se sont nourries de la sélection de nouvelles faites par des médias de qualité comme CNN, la BBC et le New York Times. Nous l’avons fait en supposant que leurs correspondants comprenaient le monde arabe et en avaient une vision — mais beaucoup d’entre eux se sont avérés ne pas parler arabe, ou du moins pas assez pour pouvoir y tenir une conversation ou suivre les médias locaux. Bon nombre des meilleurs chiens de CNN, de la BBC, de l’Independent, du Guardian, du New Yorker et du NYT dépendaient le plus souvent d’assistants et de traducteurs. »

(Luyendijk p. 47)

De plus, les sources de ces médias ne sont souvent pas faciles à vérifier (« cercles militaires », « responsables gouvernementaux anonymes », « responsables du renseignement », etc.) et peuvent donc également être utilisées pour la diffusion de propagande. En tout état de cause, l’orientation généralisée vers les grandes publications anglo-saxonnes conduit à une convergence supplémentaire de la couverture géopolitique de nos médias.

La figure suivante montre quelques exemples de telles citations basées sur la couverture de la Syrie par le plus grand quotidien de Suisse, le Tages-Anzeiger. Les articles datent tous des premiers jours d’octobre 2015, lorsque la Russie est intervenue pour la première fois directement dans la guerre syrienne (les sources américaines/britanniques sont mises en évidence) :

Figure 5 : Citation fréquente des principaux médias britanniques et américains,
illustrée par la couverture de la guerre en Syrie
par le quotidien suisse Tages-Anzeiger en octobre 2015.

Le récit souhaité

Mais pourquoi les journalistes de nos médias n’essaient-ils pas simplement de faire des recherches et de faire des reportages indépendamment des agences mondiales et des médias anglo-saxons ? Le correspondant au Moyen-Orient, Luyendijk, décrit ses expériences :

« Vous pourriez suggérer que j’aurais dû chercher des sources auxquelles je pouvais faire confiance. J’ai essayé, mais chaque fois que j’ai voulu écrire une histoire sans passer par les agences de presse, les principaux médias anglo-saxons ou les têtes parlantes, ça s’est effondré. Évidemment, en tant que correspondant, je pourrais raconter des histoires très différentes sur une seule et même situation. Mais les médias n’ont pu en présenter qu’un seul, et assez souvent, c’était exactement l’histoire qui confirmait l’image dominante. »

(Luyendijk p.54ff)

Le chercheur en médias Noam Chomsky a décrit cet effet dans son essai « What make the mainstream media mainstream » comme suit : « Si vous vous déconnectez, si vous produisez des articles que la grande presse n’aime pas, vous en entendrez parler très bientôt. Il y a donc de nombreuses façons dont les jeux de puissance peuvent vous ramener dans le droit chemin si vous déménagez. Si vous essayez de briser le moule, vous n’allez pas durer longtemps. Ce cadre fonctionne plutôt bien, et il est compréhensible qu’il ne soit que le reflet de structures de pouvoir évidentes. » (Chomsky 1997)

Néanmoins, certains des principaux journalistes continuent de croire que personne ne peut leur dire quoi écrire. Comment cela s’additionne-t-il ? Le chercheur en médias Chomsky clarifie l’apparente contradiction :

« Le point est qu’ils ne seraient pas là s’ils n’avaient pas déjà démontré que personne n’a à leur dire quoi écrire parce qu’ils vont dire la bonne chose. S’ils avaient commencé au bureau du métro, ou quelque chose comme ça, et avaient poursuivi le mauvais type d’histoires, ils n’auraient jamais atteint les positions où ils peuvent maintenant dire tout ce qu’ils veulent. Il en va de même pour les professeurs d’université dans les disciplines plus idéologiques. Ils sont passés par le système de socialisation. »

(Chomsky 1997)

En fin de compte, ce « système de socialisation » conduit à un journalisme qui ne fait plus de recherches indépendantes et de rapports critiques sur les conflits géopolitiques (et certains autres sujets), mais cherche à consolider le récit souhaité par le biais d’éditoriaux, de commentaires et d’interviews appropriés.

Conclusion : la « première loi du journalisme »

L’ancien journaliste de l’AP Herbert Altschull l’a qualifiée de première loi du journalisme : « Dans tous les systèmes de presse, les médias d’information sont les instruments de ceux qui exercent le pouvoir politique et économique. Les journaux, les périodiques, les stations de radio et de télévision n’agissent pas de manière indépendante, bien qu’ils aient la possibilité d’exercer leur pouvoir de manière indépendante. » (Altschull 1984/1995, p. 298)

En ce sens, il est logique que nos médias traditionnels — majoritairement financés par la publicité ou l’État — représentent les intérêts géopolitiques de l’alliance transatlantique, étant donné que tant les régies publicitaires que les États eux-mêmes dépendent de l’architecture économique et sécuritaire transatlantique dirigée par les États-Unis.

De plus, les personnes clés de nos grands médias font souvent elles-mêmes partie, dans l’esprit du « système de socialisation » de Chomsky, des réseaux d’élite transatlantiques. Parmi les institutions les plus importantes à cet égard figurent le Conseil américain des relations étrangères (CFR), le Groupe Bilderberg et la Commission trilatérale, qui comptent tous de nombreux journalistes de premier plan (voir l’étude approfondie de ces groupes).

Par conséquent, la plupart des publications les plus connues peuvent effectivement être considérées comme une sorte de « média de l’establishment ». En effet, dans le passé, la liberté de la presse était plutôt théorique, compte tenu des barrières à l’entrée importantes telles que les licences de diffusion, les créneaux de fréquence, les exigences en matière de financement et d’infrastructure technique, les canaux de vente limités, la dépendance à la publicité et d’autres restrictions.

Ce n’est qu’à cause d’Internet que la première loi d’Altschull a été enfreinte dans une certaine mesure. Ainsi, ces dernières années, un journalisme de haute qualité financé par les lecteurs a émergé, surpassant souvent les médias traditionnels en termes de reportage critique. Certaines de ces publications « alternatives » touchent déjà un très large public, ce qui montre que la « masse » ne doit pas être un problème pour la qualité d’un média.

Néanmoins, jusqu’à présent, les médias traditionnels ont également réussi à attirer une solide majorité de visiteurs en ligne. Ceci, à son tour, est étroitement lié au rôle caché des agences de presse, dont les rapports de dernière minute constituent l’épine dorsale de la plupart des sites d’information en ligne.

Le « pouvoir politique et économique », selon la loi d’Altschull, conservera-t-il le contrôle de l’information, ou « l’information incontrôlée » modifiera-t-elle la structure du pouvoir politique et économique ? Les années à venir le montreront.


Mises à jour


  1. Partie 2 : Étude de cas sur la couverture de la guerre en Syrie

[Non traduite]


  1. Notes et littérature

Altschull, Herbert J. (1984/1995) : Agents de pouvoir. Les médias et la politique publique. Longman, New York.

Becker, Jörg (2015): Medien im Krieg – Krieg in den Medien. Springer Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden.

Blum, Roger et al. (Hrsg.) (1995): Die AktualiTäter. Nachrichtenagenturen in der Schweiz. Verlag Paul Haupt, Berne.

Chomsky, Noam (1997) : Qu’est-ce qui rend les médias grand public grand public. Z Magazine, MA. (PDF)

Forschungsinstitut für Öffentlichkeit und Gesellschaft der Universität Zürich (FOEG) (2011): Jahrbuch Qualität der Medien, Ausgabe 2011. Schwabe, Bâle.

Gritsch, Kurt (2010): Inszenierung eines gerechten Krieges? Intellektuelle, Medien und der « Kosovo-Krieg » 1999. Georg Olms Verlag, Hildesheim.

Hird, Christopher (1985) : Techniques standard. Reportages divers, Channel 4 TV. 30. Octobre 1985. (Lien)

Höhne, Hansjoachim (1977): Report über Nachrichtenagenturen. Bande 1 : Die Situation auf den Nachrichtenmärkten der Welt. Bande 2 : Die Geschichte der Nachricht und ihrer Verbreiter. Nomos Verlagsgesellschaft, Baden-Baden.

Johnston, Jane & Forde, Susan (2011): The Silent Partner: Agences de presse et actualités du 21e siècle. Revue internationale de communication 5 (2011), p. 195–214. ( PDF )

Kruger, Uwe (2013): Meinungsmacht. Der Einfluss von Eliten auf Leitmedien und Alpha-Journalisten – eine kritische Netzwerkanalyse. Herbert von Halem Verlag, Cologne.

Luyendijk, Joris (2015) : Von Bildern und Lügen in Zeiten des Krieges : Aus dem Leben eines Kriegsberichterstatters – Aktualisierte Neuausgabe. Tropen, Stuttgart.

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Queval, Jean (1945) : Première page, Cinquième colonne. Arthème Fayard, Paris.

Schulten-Jaspers, Yasmin (2013): Zukunft der Nachrichtenagenturen. Situation, Entwicklung, Prognosen. Nomos, Bade-Baden.

Segbers, Michael (2007): Die Ware Nachricht. Wie Nachrichtenagenturen ticken. UVK, Constance.

Steffens, Manfred [Ziegler, Stefan] (1969): Das Geschäft mit der Nachricht. Agents, rédactions, journalistes. Hoffmann und Campe, Hambourg.

Tilgner, Ulrich (2003): Der inszenierte Krieg – Täuschung und Wahrheit beim Sturz Saddam Husseins. Rowohlt , Reinbek.

Wilke, Jürgen (Hrsg.) (2000): Von der Agentur zur Redaktion. Böhlau, Cologne.


Journalistes de Reuters au service du MI6 et de la CIA jusqu’au moins 1973

En 1975-1977, le rapport préliminaire — non approuvé, mais fuité par la presse — de la Commission Pike (Chambre des représentants des États-Unis) mentionne que la CIA recrute des journalistes américains et britanniques.

La CIA n’a pas d’agents à Reuters, qu’elle considérerait une cible potentielle du MI6 vu que l’agence est basée au Royaume-Uni, mais au besoin, elle utilise les agents du MI6 postés à Reuters52.

La CIA utilisait principalement les journalistes pour repérer des candidats espions, des détails sur les officiels non américains. Cependant, elle manipulait l’information en demandant aux journalistes d’aller dans certains pays et tentait dans certains cas d’influencer leurs opinions 53,54. Il est compliqué de déterminer l’implication des dirigeants de Reuters, car comme avec le New York Times, les accords étaient soit informels, soit passés par des subordonnés, pour que les responsables ne soient pas mis en cause, selon des responsables de la CIA 55,56.

La CIA affirmait avoir arrêté le programme de manipulation médiatique en 1973, même si elle continuait de dire n’avoir aucun problème à payer des pigistes57. Vu l’opacité de la CIA, les affirmations de l’agence sont difficiles




La secte covidienne et ses gourous

[Extrait de : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

La secte covidienne et ses gourous

Parmi les libertés protégées par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, on trouve la liberté de conscience et de religion.

La Commission des droits de la personne et de la jeunesse écrit ceci :

« Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.

Par exemple, vous avez le droit de pratiquer la religion de votre choix ou de ne pas adhérer à une croyance ou à une religion. La liberté de religion signifie aussi que l’État ne peut imposer une religion à la population ou favoriser une religion plus qu’une autre. » (Soulignements ajoutés)

En mars 2020, de nombreux États, incluant les nôtres, ont imposé bien plus qu’une religion.

Ils ont imposé une secte : le covidisme.

Cette affirmation paraît complètement dénuée de raison, pourtant, si l’on se fie aux critères des experts en phénomènes sectaires, le covidisme obéit à tous les critères d’une secte.

Pas quelques-uns.

TOUS les critères.

Dans la décision de la Cour supérieure dans le dossier Guitouni c. Radio-Canada, on trouve un passage éclairant sur le fonctionnement des sectes grâce au témoignage d’un expert en la matière, le Dr Mike Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte.

Dr Kropveld était l’expert de la société d’État dans ce dossier. Celle-ci défendait le comportement de ses journalistes, lesquels avaient fait allusion à l’aspect sectaire du groupe de croissance de M. Guitouni dans un reportage.

Voici les comportements qui définissent une secte, selon le Dr Kropveld. Les exemples entre crochets sont de l’auteure de ces lignes :

Dr Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte,
en 2020.

« Info-secte définit la secte comme étant :

— un mouvement hautement manipulateur qui exploite ses membres et qui leur cause des dommages qui peuvent être de nature psychologique, monétaire ou physique ; [aggravation excessive de la menace covid et discours anxiogène permanent, confinements, censure, diffamation, exclusion des insoumis, financement et imposition d’interventions médicales et non médicales comme le masque, la distanciation, les tests, l’injection obtenue par coercition]

— il dicte de manière absolue le comportement, les pensées ainsi que les sentiments des adeptes ; [propagande covid omniprésente et incessante, règles de conduite extrêmes et incohérentes : “restez chez vous”, “gardez vos distance”, “portez un masque”, “lavez vos mains”, masque obligatoire debout, mais pas assis, “maximum de 10 personnes de trois domiciles différents” pour les rassemblements à l’extérieur, couvre-feu basé sur aucune science, interdiction d’acheter des livres, des vêtements, des articles de cuisine et des jouets, les dissidents sont des complotistes, sectaires, d’extrême droite, violents, antiscience, incultes]

— les techniques de manipulation sont également employées afin de transformer le nouvel adhérent en un adepte loyal et obéissant ; [monopolisation de la perception, censure d’informations contradictoires qualifiées de désinformation (politiques de YouTube), manipulation statistique (témoignage de Pierre Chaillot à la Commission citoyenne), dissidents diabolisés et sanctionnés (Dr Marc Lacroix,Profs. Patrick Provost et Nicolas Derome), adhérents glorifiés et récompensés (Gagnez à être vacciné !,un vaccin un hot-dog)]

— la secte adopte un comportement trompeur et maquille la réalité afin d’attirer de nouveaux adhérents [ceux qui imposent des mesures ne les suivent pas eux-mêmes (Neil Ferguson, qui a recommandé le confinement, ne l’a pas respecté,les leaders du G7, incluant Justin Trudeau, n’ont pas respecté les règles sanitaires qu’ils ont imposées à leurs populations), ils affirment qu’ils suivent la science en sachant que c’est faux (ils savent que les masques ne protègent pas, mais les imposent quand même, Lockdown Files), ils affirment qu’ils censurent la “dangereuse désinformation” alors qu’ils censurent de “vraies histoires d’effets secondaires des vaccins” et de vraies affirmations “qui pourraient alimenter l’hésitation vaccinale” (Twitter Files), ils prétendent que les mesures servent à nous “protéger” alors qu’elles ont des effets néfastes (confinements, effets secondaires des injections), ils diabolisent ceux qui démontrent ce qui est faux en les accusant de désinformation, de complotisme, d’être les gourous d’une secte]. » (Soulignements ajoutés)

En ce qui a trait au comportement trompeur, celui de Justin Trudeau est exemplaire : il nie avoir fait et dit des choses, malgré les preuves irréfutables du contraire, comme on peut le voir dans cette vidéo :



Cette description des sectes et de la façon dont elles traitent les membres désobéissants décrit parfaitement les faits et gestes de la secte covidienne imposée par les autorités et les médias en 2020.

Les grands médias, grands propagateurs de désinformation, ont accusé les insoumis, autrement connus sous le nom de « complotistes », de faire ce qu’ils faisaient eux-mêmes, c’est-à-dire se comporter comme les membres d’une secte [NDLR Inversion accusatoire typique.] :

La question du comportement sectaire des autorités a déjà fait l’objet d’un article détaillé du 10 novembre 2020, basé sur les critères de deux psychologues américains, critères similaires à ceux du Dr Kropveld :

Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

Dans le document du Dr Kropveld, « Le phénomène des sectes », on décrit la façon dont sont traités les insoumis (les exemples entre crochets sont ceux de l’auteure) :

« Les membres qui désobéissent à la norme du groupe tendent à être moins appréciés par les autres membres. Les personnes déviantes qui introduisent la discorde dans le groupe s’exposent parfois :

•Aux réactions hostiles ; [“Farme ta yeule pis mets ton masque”, Rachid Badouri), “HEILLE, METS TON MASQUE !!! […] Keveune qui a étudié à l’école de la vie”, Arnaud Soly, “Il faut faire la guerre aux antivax”, Denise Bombardier.]

•À être isolées des autres membres ; [Coupez les liens avec la famille (Mario Dumont), “On doit refuser d’inviter les antivax de la famille au souper de Noël”, “que les non-vaccinés se recomposent une famille” (Denise Bombardier), passeport vaccinal.]

•À être identifiées comme bouc émissaire ; [C’est la faute des dangereux complotistes, antivax, pro-Poutine,extrémistes de droite, à la santé mentale fragile (“Les gens qui sont très hésitants à se faire vacciner contre la COVID-19 ont un sentiment plus faible de contrôle, de satisfaction et de compréhension de leur vie”).]

•À être tenues responsables des malheurs du groupe ; [Pandémie des non-vaccinés égoïstes]

•À être rejetées du groupe. [Pas de passeport vaccinal ? Fini les restos, la messe, le sport, le cinéma, les concerts, le Jardin botanique, les voyages, etc. Exclusion sociale inouïe.] » (Soulignements ajoutés)

Alors qu’elle décrit parfaitement le comportement des autorités et des médias, cette description des sectes correspond peu, voire pas du tout au comportement des dissidents, que l’auteure a côtoyés de très près depuis l’été 2020, et qui ont été accusés de faire partie d’une secte.

Outre les exceptions dont les médias sont friands pour gaver leur portrait illusoire des insoumis, voici comment la majorité d’entre eux ont agi :

Au lieu d’exclure, ils ont demandé le dialogue et accueilli les vaccinés.

Au lieu d’imposer une perception de la réalité, ils ont dit aux gens de ne pas les croire sur parole, mais de faire leurs propres recherches.

Au lieu de dicter aux autres quel comportement adopter, sans leur consentement, ils ont prôné la liberté de choix et le consentement libre et éclairé.

Au lieu de tromper, ils ont démontré qui étaient les tricheurs, preuves à l’appui, et alerté les victimes de la véritable désinformation, celle des autorités sectaires.

Au lieu de regarder un seul côté de la médaille, ils ont comparé les deux : médias dominants et médias indépendants, scientifiques avec et sans conflits d’intérêts.

Au lieu de censurer, ils ont libéré la parole.

Ils ont parfois condamné ces obéissants heureux de participer au viol des droits fondamentaux, souvent enivrés par l’euphorie malsaine d’un power trip inespéré, mais ils ont surtout accusé les gourous de la secte covidienne, soit les autorités et les médias, d’avoir violé des libertés fondamentales, d’avoir menti, censuré, diffamé et manipulé à la fois les statistiques et les citoyens.

La très grande majorité d’entre eux n’a commis aucun acte de violence, malgré les attaques qu’ils subissaient quotidiennement. Les réactions agressives ont été celles d’une très petite minorité, en réaction aux dérives sectaires quotidiennes d’une violence psychologique et monétaire impensable dans une démocratie, sans oublier la violence physique découlant de directives inhumaines et de traitements médicaux qui ont rendu des personnes malades ou les ont tuées.

Voir à ce sujet les témoignages de la Commission d’enquête nationale citoyenne à Québec, une commission historique avec des témoignages assermentés que les médias ont complètement passée sous silence.

Et si les morts ne parlent pas, les statistiques, elles, parlent à leur place et ne mentent pas.




Les promoteurs du « grand réveil » : des loups déguisés en brebis ?

[Source : MédiainfocitéTV2]

Par Isabelle

Le « great awakening » (« le grand réveil) se décrit comme un mouvement de rédemption par la politique qui est menée par des groupes concertés qui se disent « mandatés par Dieu » pour combattre l’État profond, pour détruire les pédosatanistes et ainsi faire échec aux ténèbres. Au nom du patriotisme, de la sauvegarde de nos droits et libertés, et au nom de Dieu, ce gigantesque phénomène prend énormément d’ampleur à travers l’Amérique et ailleurs. Mais qu’en est-il vraiment des véritables allégeances de ces « bergers », de ces promoteurs qui se disent investis d’une mission divine ?

[NDLR Certains des intervenants de cette courte vidéo peuvent sans doute assez facilement passer pour des possédés, au moins pour un regard européen.]

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus,
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur]




Le scandale médiatique suisse n’est que la pointe de l’iceberg : dissimulation mondiale d’abus rituels sataniques

[Source : kla.tv]

Apparemment, les révélations sur le thème des « abus rituels sataniques » deviennent trop brûlantes. En effet, la chaîne de télévision suisse a récemment interrompu la diffusion de son propre documentaire sur le sujet. Kla.tv saisit l’occasion pour citer d’autres chaînes qui dissimulent les abus rituels sataniques. En effet, dans le monde entier, de nombreux récits de victimes, de témoins et de survivants sont délibérément étouffés, passés sous silence et cachés au public. Des experts chevronnés sont dénigrés et réduits au silence à l’aide d’une stratégie perfide et sophistiquée. Ce documentaire est une mise à jour historique de nombreux crimes de censure qui doivent être sanctionnés par la justice.

Transcription

Récemment, la radio télévision suisse SRF a menacé la chaîne Kla.tv de graves conséquences juridiques. Que s’est-il passé ?

À partir de décembre 2021, SRF a diffusé successivement 6 épisodes d’une série intitulée « Rec.—Panic Satanic ». Dans cette série, le journaliste de SRF Robin Rehmann s’est efforcé de prouver qu’il n’existe pas d’abus rituel satanique, mais qu’il s’agissait d’un récit de conspiration ; des survivants et des témoins d’abus rituels sataniques, ainsi que des thérapeutes, des militants et même un enquêteur de police ont été ridiculisés et présentés comme peu crédibles.

Explication : le sujet des abus rituels sataniques concerne les crimes les plus cruels commis dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins, de thérapeutes et même de membres du système judiciaire font état d’abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon eux, il s’agit de crimes commis par un cercle élitaire d’auteurs bien organisés et disposant d’un bon réseau, qui sait bien se protéger. Kla.tv a publié sur ce thème en novembre 2022 le documentaire intitulé « La secte du sang — 27 victimes, 27 témoins ». Outre les 27 victimes et 27 témoins d’abus sataniques, mentionnés dans le titre, qui ne sont qu’une petite sélection du nombre immensément élevé de victimes de ces pratiques sataniques, cette émission a également évoqué la série pseudo-investigatrice de SRF et de Robin Rehmann.

Il est particulièrement intéressant de noter que Kla.tv a ensuite reçu des informations montrant comment Rehmann se présente avec des symboles sataniques, comme, par exemple, de Baphomet — et entretient même des liens avec un grand prêtre satanique du nom de Francis Dollarhyde. La diffusion de ces faits explosifs a entraîné plusieurs événements : d’une part, SRF a menacé la chaîne Kla.tv de conséquences juridiques. D’autre part, la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » a visiblement tenté de brouiller les traces : sur leur page Internet, ils ont rapidement transformé leur grand prêtre Dollarhyde en un « PDG » d’apparence plus inoffensive, et peu après ils ont fait disparaître complètement son nom de leur page Internet.

Le scandale médiatique de SRF continue de faire des vagues

Il y a quelques jours, le 10 juillet 2023, le Tagesanzeiger et d’autres médias suisses ont annoncé que SRF avait stoppé la diffusion de son propre documentaire sur les abus rituels sataniques. Exactement selon le même schéma que pour la survivante d’abus Hajar mentionnée dans l’émission de Kla.tv « Scandale : SRF et Robin Rehmann », pour laquelle deux interviews déjà terminées ont été retirées peu avant la diffusion, un documentaire de SRF également prêt à être diffusé a été annulé.

On constate toujours le même schéma : des journalistes du terrain, qui ont à cœur de mettre fin à ces crimes atroces, font des recherches approfondies et solides sur le thème des abus rituels sataniques, puis la diffusion des protagonistes est stoppée au niveau de la direction. Au plus haut niveau, on a fait marche arrière « à la dernière minute », car le documentaire contiendrait des « éléments narratifs conspirationnistes ». La réalisatrice de SRF, Ursula Brunner, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années et a acquis une certaine maturité, rejette catégoriquement ces accusations, car elles seraient « dénuées de tout fondement ». La question se pose de savoir si les médias publics sont autorisés à priver les téléspectateurs de sujets tels que les abus rituels sataniques — un sujet qui présente un intérêt public considérable. Ce qui est absolument scandaleux, c’est que le documentaire a été financé par les pouvoirs publics à hauteur de 125 000 francs suisses, dont 75 000 proviennent de la redevance télévisuelle de SRF qui a maintenant été jetée aux ordures aux frais des citoyens suisses !D’autres exemples montrent que ce n’est vraiment pas un hasard, mais une stratégie constante, que les abus rituels sataniques soient dissimulés par les médias :

1. La direction du journal suisse « 20 min » annule la diffusion de l’interview de Chantal Frei, victime de torture

L’auteure Chantal Frei, qui a grandi en Suisse romande, n’avait que six ans lorsque des satanistes ont décidé de faire d’elle ce qu’ils appellent une « mère des ténèbres ». Elle avait survécu à des tortures massives. C’est pourquoi le culte la considérait comme suffisamment forte, sage et intelligente pour la former dans le cercle des Illuminati. Lors de rituels cruels, elle rencontrait des chefs d’État, des nobles et des célébrités. Pour cela, elle a été conduite dans des lieux connus du public — comme la Maison-Blanche et l’intérieur d’une célèbre basilique espagnole — et a également pénétré dans des installations militaires secrètes et un château isolé en Belgique. Ces lieux et ces personnes, dont certains sont également cités par d’autres survivants, illustrent l’ampleur terrifiante d’un phénomène profondément obscur, connu dans la littérature spécialisée sous le nom de violence rituelle. Chantal Frei a publié un livre sur ses terribles expériences sous le titre : « Je parle ! »Il est également arrivé à Chantal Frei qu’une interview qu’une journaliste du journal suisse « 20 min » avait réalisée avec elle et deux autres survivants ne soit pas diffusée. Citation de Chantal Frei :

« Quelque temps avant la publication de mon livre, une journaliste de 20 min avait réalisé une très longue interview avec moi. Elle m’a fait une impression vraiment bonne et empathique. […] La journaliste avait aussi fait d’autres recherches et voulait écrire un article à ce sujet. Elle a également interviewé deux autres survivants, un homme et une femme. Mais l’article n’a jamais été publié, car il a été stoppé par la direction ».

2. La BBC et le Daily Mail dissimulent des abus rituels sataniques à Hampstead en Angleterre

En septembre 2014, Alisa Dearman et son frère Gabriel ont déclaré, entre autres, dans le cadre d’entretiens avec la police, qu’ils étaient régulièrement victimes d’abus sexuels dans leur école. Ils ont expliqué que des rituels sataniques étaient pratiqués, que des bébés étaient tués et que leur sang était bu. Après avoir tué les bébés, leurs restes ont été mélangés à la nourriture de l’école. Leur propre père, Ricky Dearman, aurait été impliqué dans les sacrifices sataniques et les abus. Ella Draper, l’ex-femme de Ricky Dearman et la mère de leurs deux enfants, Alisa et Gabriel, l’a confirmé et a déclaré que Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Il aurait participé à la production de snuff-vidéos et les aurait vendues sur le darknet. Après qu’Ella Draper a rendu cette information publique, une véritable bataille médiatique s’est engagée : elle a été diffamée de la pire manière. Malgré les rapports médicaux officiels confirmant les graves abus sexuels subis par les enfants, les médias ont affirmé qu’elle avait forcé ses enfants à témoigner de ces faits. De nombreux magazines, comme le Daily Mail, ont qualifié Ella Draper de menteuse. Elle a même été poursuivie par la police. La grande agence de presse anglaise BBC a diffusé une interview de Ricky Dearman, dans laquelle la présentatrice de la BBC s’est efforcée de le faire paraître innocent. On a fait croire qu’il avait été victime d’une campagne malveillante. De nombreux téléspectateurs ont commenté l’interview en disant qu’ils pensaient que Ricky Dearman avait l’air d’un mauvais acteur et qu’ils pouvaient tout à fait imaginer qu’il avait commis ces horribles crimes. « Il a l’air coupable » pouvait-on lire dans la colonne des commentaires. Par la suite, la fonction de commentaires a été rapidement fermée.

3. La chaîne de télévision britannique BBC impliquée dans les crimes pervers de Jimmy Savile

Selon les données officielles de la police, le populaire présentateur anglais de la BBC Jimmy Savile a abusé pendant 50 ans (!) d’au moins 450 victimes âgées de 5 à 47 ans. Avant 1961 déjà, la police a interrogé Savile pour la première fois sur des accusations selon lesquelles il aurait eu des relations sexuelles avec des mineures dans les dancings qu’il gérait à l’époque. Savile a utilisé ses contacts pour approcher des enfants, entre autres dans un hôpital psychiatrique hautement sécurisé. Il a commis les crimes les plus odieux, allant jusqu’à violer un garçon mourant et à abuser de morts. Des victimes ont déclaré avoir été abusées par Savile dans le cadre de messes sataniques. Le 7 décembre 2011, un film sur les crimes de Savile devait être diffusé. C’est le journaliste Meirion Jones, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à la BBC, qui a fait les recherches nécessaires. Il a trouvé des témoins qui ont lourdement chargé Savile. Mais le scandale a éclaté : le film a été annulé — selon la BBC, pour des « raisons journalistiques ». Le directeur responsable du programme « Newsnight », Peter Rippon, a arrêté la diffusion, le journaliste Meirion Jones a été suspendu. Des années plus tard, l’ancien producteur de télévision de la BBC, Wilfred De’Ath, âgé de 75 ans, a parlé. Il a déclaré que tout le monde à la BBC était au courant des crimes pervers de Savile ! Il est significatif que le scandale n’ait été révélé qu’après le décès de Savile. Des survivants d’abus ont même confirmé que ces abus étaient dus à un réseau pédophile organisé au sein de la BBC. La trace des agissements pédophiles de Savile mène directement à la famille royale anglaise, à des juges de haut rang, à des parlementaires éminents et même à un ancien Premier ministre.

4. L’article diffamatoire du Spiegel provoque la fermeture du service de consultation sur la violence organisée et rituelle de l’évêché de Münster

Le 12 mars 2023, le magazine « Der Spiegel » a publié un article sur le thème des abus rituels sataniques et du contrôle mental et a titré :

« Dans le délire des thérapeutes, les adeptes de cultes secrets maltraitent les enfants et contrôlent les gens via la manipulation du cerveau : sous l’égide des églises et des cliniques, les thérapeutes propagent de tels mythes d’horreur, et persuadent les patients de prétendus abus. »

https://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/wie-therapeuten-eine-verschwoerung-ueber-vermeintliche-opfer-ritueller-gewalt-verbreiten-a-fd5ea9b2-9c67-42ef-b451-0f511cb80053

L’article utilise précisément deux stratégies bien connues : d’une part, il place toute la thématique dans le domaine des théories de conspiration, en utilisant la notion bien établie de « panique satanique ». Et d’autre part, les thérapeutes — en particulier le service de consultation de l’évêché de Münster — sont une fois de plus pris pour cible à l’aide de la stratégie bien établie du « syndrome des faux souvenirs » :

Les thérapeutes du service de consultation de l’évêché de Münster ont été accusés d’avoir persuadé les victimes d’avoir subi des abus rituels sataniques. Une fois de plus, on discrédite les thérapeutes et on tente de les intimider. Malheureusement, la stratégie a fonctionné : deux jours seulement après la parution de l’article du Spiegel, l’évêché de Münster a annoncé qu’il avait fermé son service de consultation sur la violence rituelle — et ce après 20 ans d’un excellent travail de consultation et d’information !Une annonce de la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » sur Facebook, qui se réfère précisément au centre de consultation de Münster, est explosive et révélatrice à ce sujet :

NOTE EXPRESS ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association et un article de divulgation a finalement fait pencher la balance. Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd’hui. « Nous gagnons. Vous perdez. Fin de l’histoire. »

Il est remarquable que l’auteur de l’article — le rédacteur de Spiegel Christopher Piltz — ait listé sur sa page Facebook le journaliste de SRF Robin Rehmann et la psychologue criminologue Lydia Benecke comme amis. Lydia Benecke est connue comme une militante allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l’existence d’abus rituels sataniques. Pour ce faire, elle utilise dans ses interventions les stratégies que nous venons d’exposer.

Retour en arrière : Pourquoi et quand a-t-on créé les termes stratégiques de « panique satanique », « faux souvenirs » et « théorie du complot » ?Nous constatons ici que la stratégie bien connue de dissimulation des abus rituels sataniques, qui a déjà « fait ses preuves » dans les années 90 pour les abuseurs, est à nouveau mise en évidence. Déjà à l’époque, lorsque de plus en plus de cas d’abus rituels sataniques et de contrôle mental ont été mis en lumière, les médias ont utilisé avec succès les mots d’ordre « Satanic Panic » et « faux souvenirs ». En 1980, Michelle Smith, la première des survivantes, a publié avec son psychiatre Lawrence Pazder un livre intitulé « Michelle se souvient ». https://en.wikipedia.org/wiki/Satanic_panic

Au cours des deux décennies qui ont suivi, les thérapeutes américains ont enregistré un afflux de victimes de violence rituelle satanique qui avaient eu le courage de leur demander de l’aide. On parle d’environ 12 000 victimes au total. Comme les thérapeutes ne parvenaient pas à cerner cette évolution débordante, ils ont échangé entre eux et organisé des congrès spécialisés sur ce thème. En 1992, le Dr Corydon Hammond, psychiatre américain renommé, a prononcé lors d’un congrès spécialisé le discours dit de Greenbaum, dans lequel il a parlé de programmation, de dédoublement, de CIA, de MK-Ultra, de structures et de programmes occultes. Il a ensuite été réduit au silence.

Vous pouvez voir ici la lettre originale scannée de la CIA dans laquelle il est écrit textuellement que des mesures concrètes doivent être prises contre les lanceurs d’alertes qui s’élèvent. À cette époque, les journalistes d’investigation révélaient de plus en plus d’incohérences au sein du gouvernement et de la CIA. La direction de la CIA a alors qualifié les journalistes d’investigation de conspirationnistes. La CIA a chargé ses agents d’influencer la politique et les médias et a ainsi fait taire les lanceurs d’alertes. Kla.tv dispose de nombreuses preuves à ce sujet. Aujourd’hui, la notion de « conspirationniste » est encore plus exacerbée, allant jusqu’à la rapprocher du radicalisme et de la violence.

En plus de la stratégie consistant à qualifier de panique sataniste les cas d’abus rituels sataniques devenus publics et à les tourner en ridicule, la « Fondation du syndrome des faux souvenirs » a également été créée en 1992.

Cette fondation a diffusé la thèse de la « fausse mémoire », c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle les récits des victimes ne se seraient pas réellement produits. Les abus rituels sataniques n’existeraient pas, mais les thérapeutes auraient simplement persuadé les patients qu’ils avaient vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. On leur aurait donc implanté de « faux souvenirs » au moyen d’astuces psychologiques.

La stratégie des « faux souvenirs » a été utilisée pour discréditer et intimider les thérapeutes. Il est significatif que Ralph Underwager, un pédophile avoué, ait été l’un des fondateurs de la « Fondation du syndrome des faux souvenirs ». Underwager a dû quitter plus tard le conseil consultatif de cette même fondation lorsqu’il est apparu qu’il avait qualifié la pédophilie « d’expression acceptable de l’amour de Dieu » dans une interview accordée à un magazine pédophile néerlandais.

Après ces explications historiques, on peut maintenant mieux situer le scandale suisse de SRF et ses autres conséquences.

Au-delà de la stratégie d’étouffement médiatique mentionnée au début, de nombreux thérapeutes ont été licenciés après le reportage de SRF, ainsi que deux enseignants, un reporter principal, une chef de clinique et un médecin chef de service. Des témoins importants qui avaient témoigné dans le documentaire ont perdu leur emploi :

1. Deux enseignants sont licenciés

L’enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet et l’enseignante de primaire Marianne Lander, qui avaient courageusement pris position dans le documentaire de SRF sur le thème des abus sataniques dans leur environnement proche, ont tous deux été suspendus de leurs fonctions d’enseignants et n’ont plus été autorisés à enseigner. Ils ont même été scandaleusement discrédités par le service de presse Nau.ch en tant que « professeurs sataniques ».

2. Le reporter en chef du Basler Zeitung est licencié

Daniel Wahl, le reporter en chef de la Basler Zeitung, qui travaillait depuis huit ans pour ce journal, a subi le même sort que les enseignants. Trois jours seulement après la diffusion du documentaire de SRF « Satanic Panic », soit le 17 décembre 2021, il n’a plus été autorisé à travailler pour la Basler Zeitung. Il a été suspendu de ses fonctions et n’a plus eu accès à tous les documents sur lesquels il travaillait. Fait particulièrement explosif : Daniel Wahl n’a été que très brièvement mentionné par l’un des enseignants dans le documentaire de SRF. Daniel Wahl s’est concentré sur les domaines de la justice et du KESB [Le KESB en allemand (Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde)], l’autorité suisse de protection de l’enfant et de l’adulte, entre autres. Il lui a reproché à plusieurs reprises de ne pas protéger suffisamment les enfants et les adultes concernés. Cet engagement de Wahl a conduit à plusieurs reprises le Conseil de la presse à réprimander la Basler Zeitung. L’un de ces cas contestés était l’affaire Nathalie : une fillette de huit ans avait fait des déclarations sur les abus rituels sataniques de son propre père. Daniel Wahl avait écrit plusieurs fois sur le cas Nathalie dans le Basler Zeitung en 2020 et 2021. Résultat : le père a été juridiquement acquitté, la Kesb disculpée, le reporter en chef Daniel Wahl réprimandé par le Conseil de la presse — et maintenant au final licencié.

Il est intéressant de noter que Jan Grüebler, le président de la 3e chambre du Conseil suisse de la presse, est également directeur adjoint de la rédaction de SRF. On ne peut donc pas vraiment parler d’impartialité du Conseil de la presse. Regardez la série Kla.tv « Presserat oder Presse VERRAT » (« Conseil de la presse ou trahison de la presse ») du fondateur de Kla.tv, Ivo-Sasek. Des ramifications bouleversantes apparaissent au grand jour.

3. Clinique Littenheid —Le médecin chef de service est licencié

Ses déclarations sur ses années de thérapies avec des survivants de la violence rituelle dans le documentaire de SRF ont eu pour conséquence que le médecin-chef, le Dr Matthias Kollmann, a lui aussi été mis à pied, puis licencié, quelques jours seulement après la diffusion du documentaire. Il s’agissait donc déjà de la quatrième personne dans le documentaire à être licenciée immédiatement après l’émission.

4. Clinique Littenheid — procédure pénale contre la chef de clinique — elle est également immédiatement mise à pied

Mais cela ne suffisait pas. Dès la publication du documentaire, une procédure pénale a été engagée contre le médecin-chef de la clinique Littenheid, suite à quoi elle a été immédiatement mise à pied. En outre, plus aucun patient atteint de TDI ne sera admis jusqu’à la révision des concepts. Il s’agit de patients souffrant de troubles dissociatifs de l’identité, souvent liés à des abus rituels sataniques.

5. Clinique Littenheid — Le personnel muselé

Les employés se plaignent d’avoir été muselés après la diffusion du documentaire. La clinique dément bien entendu cette affirmation. Mais un rapport d’enquête à ce sujet a montré que les employés interrogés avaient désormais évité les termes à connotation négative tels que « contrôle mental » et utilisé à la place des termes neutres et non chargés, ce qui revient à minimiser les thèmes de la violence rituelle et du contrôle mental.

6. Nombreux licenciements parmi le personnel du centre de thérapie de Münsingen

Le centre psychiatrique de Münsingen a également licencié une partie de son personnel après la diffusion du documentaire de SRF. Le reste du personnel a été reconverti. Apparemment, cela s’est fait suite à l’affirmation de SRF selon laquelle le centre de thérapie de Münsingen emploie des personnes qui croient à une théorie du complot appelée « Satanic Panic ».

La question se pose de savoir si ces nombreux licenciements et la vaste couverture médiatique dont ils ont fait l’objet ont servi d’exemple. Et ce dans le but d’intimider d’autres témoins et personnes concernées qui n’ont pas encore osé sortir de leur réserve ? S’agit-il d’attiser la peur de révéler les atrocités que l’on a soi-même vécues ou observées, car cela pourrait avoir de telles conséquences négatives ?

Conclusion :

Comme on peut le voir à travers les tentatives considérables de SRF et d’autres médias, d’énormes efforts sont visibles depuis un certain temps déjà dans le monde entier pour que le sujet des abus rituels sataniques ne soit pas divulgué. Des campagnes médiatiques agressives sont menées, les centres de conseil sont étiquetés « conspirationnistes » et les thérapeutes sont discrédités et intimidés. Les portails d’information alternatifs, comme Kla.tv, qui publient des informations de fond sur le sujet, sont immédiatement menacés de poursuites judiciaires. Les témoins perdent leur emploi et leur bonne réputation — ils sont isolés socialement et leur existence même est finalement mise en danger. Les victimes et les survivants sont privés de toute aide thérapeutique après toutes les horreurs qu’ils ont vécues et sont totalement décrédibilisés.

Pourquoi emploie-t-on depuis des décennies des armes aussi puissantes pour rendre cette thématique ridicule et non crédible ? Un proverbe bien connu dit : Il n’y a pas de fumée sans feu. Chers téléspectateurs, si on considère les actions médiatiques mentionnées, on ne peut s’empêcher d’être méfiant. C’est pourquoi : faites vos propres recherches sur toutes les relations et examinez les déclarations des survivants et faites connaître largement ces scandales médiatiques.

Sources/Liens :




Des températures de 48°C en Europe qui n’ont jamais eu lieu

[Source : Association des climato-réalistes]

Article publié le 19 juillet 2023 par le site NoTricksZones. Traduit par la rédaction.


L’ESA (European Space Agency) et les médias vivement critiqués pour des reportages manipulateurs.

Par Pierre Gosselin

La semaine dernière, il s’est répandu dans les médias la nouvelle que les températures dans le sud de l’Europe montaient en flèche pour atteindre 48°C ! Or, il n’en était rien.

L’hystérie a commencé lorsque des médias à sensation en Allemagne et ailleurs, comme le Spiegel, ont cité sans réserve un rapport du 13 juillet 2023 bâclé et manipulateur de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). [NDT : Les médias Français n’étaient pas en reste, lire ici l’Express du 14 juillet le tweet Sandrine Rousseau, évoquant une température de “60°C en Espagne]

Ce rapport faisait d’abord référence à la température de l’air :

Les températures s’emballent en Europe cette semaine dans le contexte d’une période de chaleur intense et prolongée. Et cela ne fait que commencer. L’Italie, l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Pologne sont toutes confrontées à une vague de chaleur majeure avec des températures de l’air qui devraient grimper jusqu’à 48 °C sur les îles de Sicile et de Sardaigne. Potentiellement les températures les plus chaudes jamais enregistrées en Europe.

Le rapport original de l’ESA a été maintenu, une précision a été apportée ultérieurement que ce rapport faisait en fait référence à la température de surface [NDT : mesure par satellite de la température du sol, bien distincte d’une mesure de l’air ambiant].

L’animation ci-dessous utilise les données du radiomètre de la mission Copernicus Sentinel-3 qui montre la température de la surface terrestre à travers l’Italie entre le 9 et le 10 juillet. Comme le montre clairement l’image, dans certaines villes, la surface du sol dépassait 45°C, notamment à Rome, Naples, Tarente et Foggia. Le long des pentes orientales de l’Etna en Sicile, de nombreuses températures ont été enregistrées à plus de 50°C.

Carte des températures de surface : Agence spatiale européenne (ESA)

Il ne s’agissait pas ici des températures standard enregistrées à 2 mètres au-dessus du niveau du sol toujours utilisées dans les bulletins météorologiques quotidiens mais celles de la surface du sol qui sont beaucoup plus chaudes. Cette différence cruciale est passée totalement inaperçue des médias et des journalistes, qui ont fait état de nouveaux records de températures. Au moment où la manipulation a été éventée par des lecteurs attentifs, la nouvelle avait déjà fait le tour du monde.

Hier, l’ESA a publié une (vague) clarification expliquant la différence entre la température de surface et la température de l’air à 2 mètres au-dessus du sol, mais a persisté à induire ses lecteurs en erreur.

Température de surface et températures à 2 mètres du sol

La température de la surface terrestre  est la chaleur ressentie par la « surface » de la Terre au toucher. La température de l’air, donnée dans les prévisions météorologiques quotidiennes, est une mesure de la chaleur de l’air au-dessus du sol.

L’ESA n’a pas pris la peine de mentionner que la température de surface est beaucoup plus élevée que la température de l’air à 2 mètres.

[NDT Pour une bonne compréhension de ces 2 types de mesure, on pourra consulter cet article publié le CNRS et celui-là par la revue Earth and Space Science ].

Un mensonge climatique éhonté

« Ce que nous avons vécu au cours des derniers jours est le mensonge climatique le plus éhonté depuis le début des enregistrements de la température », a commenté l’Allemand Achtung Reichelt ici sur les implications du communiqué de presse de l’ESA et de la tempête médiatique qui s’en est suivie : « Le problème avec ce rapport est que rien de tout cela n’est vrai ».

En Sicile, la température n’a atteint que 32°C pendant le week-end, bien loin des 48°C, ce qui illustre la grande différence entre la température de surface du sol et les relevés effectués à 2 mètres au-dessus du sol.

Une fois la supercherie révélée, Spiegel a discrètement changé son article du 14 juillet :

Image créées par Achtung Reichelt . 

Spiegel a changé le texte de gauche où il était question de « beaucoup de morts à cause de la chaleur » par celui de droite qui précisait que « la mesure de 48°C n’étaient pas la température habituelle de l’air, qui peut être considérablement plus basse ».

Il est clair que les autorités et les médias se sont essayé à un exercice rapide de propagande à destination du public, mais qu’ils ont été rattrapés par des lecteurs attentifs.




Excellent témoignage d’un cardiologue vaxiné




Les élections frauduleuses de 2020 aux USA et de 2022 en France

De nouvelles révélations au sujet de Dominion, Scytl et Edison

Par John Hunter

Les investigations continuent aux USA après trois ans au sujet des élections volées par Biden. Seulement la Cour suprême refuse de considérer les preuves. La plupart des modélisations et graphiques produisent pour beaucoup d’États une courbe en F [F pour Fraude] :

Pour un candidat, en l’espèce Biden, qui distance son rival de façon spectaculaire. Ici c’est dans le Wisconsin.1

Quand les investigateurs ont établi que Dominion avait interchangé le score, ils ont trouvé que le serveur était en Allemagne et obtenu son accord pour la saisie des données. Deuxième découverte, le ministère américain des armées a clairement corroboré en 2020. Il a alors changé d’opérateur pour ne pas laisser de trace.

La preuve est là : à un moment particulier, les instructions étaient d’arrêter de compter. Qui a donné cet ordre ?
Qui a fabriqué l’algorithme qui a interchangé les votes ?

Les entreprises Scytl et Edison ont infirmé cette nouvelle très vite.

Mais il n’y a pas de fumée sans feu. The Guardian a révélé que Scytl avait le contrôle total des comptages pendant la nuit et que Dominion avait le monopole de la tabulation.

On sait que la technologie Hammer et Scorecard est présente et peut changer les résultats d’une élection. Mike Lindell, de Lindell TV, a tenté un recours basé sur des faits réels, mais a été débouté.

Dominion est très fort : ils ont réussi à extraire de Fox News/Murdoch 787,5 millions de dollars en diffamation en 2022.

En 2015 on possède un témoignage de l’informaticien Dennis Montgomery au département de la Justice US sur le fait que le logiciel Dominion Voting System de Smartmatic est ouvert aux hackers.
Mais l’administration Obama/Biden n’a rien fait, car ils connaissaient les failles du système Solarwinds à l’époque. Ils se sont gardés d’avertir Trump et ont laissé faire le vote truqué de 2020.

Cette technologie est difficilement compréhensible au profane. En fait, un concours de différents systèmes par différents programmateurs et où personne ne contrôle plus rien. Qui connaît le Haptic mapping, une représentation en 3 D ?

L’ingénieur Jovan Pulitzer, son inventeur, ainsi que ceux du « Scan Commerce » et de « MPOC mobile point of care testing » ont livré leurs créations à Dominion, mais sont inapprochables pour commenter. Mais Pulitzer a quand même dit pendant l’élection de 2020 que ces inventions sont piratables.
Pourquoi les avoir créées ainsi ? Pourquoi Dominion a accepté les failles ?

Maria Zack, la fondatrice de Nations in Action a déclaré devant une Commission d’enquête que Arturo d’Elia de la compagnie Leonardo en Italie a pu télécharger un logiciel pendant les élections au cœur des machines à voter Dominion et que cela a changé les résultats.

Un article en italien semble avouer la manipulation :
https://www.lunico.eu/conte-finmecchanica-e-lambasciata-usa-dietro-la-frode-per-far-fuori-trump/

Donc qui possède la technologie va l’utiliser n’importe où dans le monde.

Le documentaire « Wake up call » du colonel Waldron est en effet une bonne alerte. Il dénonce la main chinoise derrière qui détient Dominion.
Le général Flynn l’appuie. Ainsi que l’attorney Sidney Powell.
Il s’agissait de placer une marionnette débile au pouvoir et non pas un Trump qui fait ce qu’il veut.
Quand les militaires parlent enfin, il faut les écouter.

Enfin pour rejoindre Maria Zacks et l’Italie, un affidavit est parti d’un juriste italien expert en satellites militaires et en informatique qui les dirigent, qui confesse qu’il a bien volé des voix à Trump pour les placer chez Biden. Sous les ordres de l’ambassade américaine à Rome.

Sur Bitchute on trouvait encore en 2022 une vidéo expliquant les deux cas classiques de fraude dans les élections de par le monde :
https://www.bitchute.com/video/kGExxG7T9R5N/ [Elle a été censurée.]

Quand il y a une pause d’une heure ou plus à la fin d’une élection, vers minuit, suivie d’une réversion brutale, c’est suspect !
Une affirmation de Kofi Annan.

L’analyste de la NSA, Kirk Wiebe, y va de son explication le 6 février 2021 sur HammerandScorecard.net.

Un autre témoignage jaillit sur Alcatel vendu aux Chinois pour voler des votes de concert avec Dominion. Il suffisait d’ajouter des votes fantômes pour Biden.
Sur Lindell TV, Dr Frank, examinant les courbes de votes note que dans certains États, constate qu’il y a plus de votes que de voteurs inscrits.2

Les managers recevaient des instructions précises pour connecter les tabulateurs dans les lieux de votes en Georgie.
Il s’agit de la technologie KNOWINK avec une connexion spéciale qui enregistre qui a voté et qui n’a pas voté. L’IA est active ici et l’algorithme insère des votants fantômes en plein déploiement.

On va s’occuper ici du filon Alcatel bien documenté.
Le modèle 40440 fonctionne comme un cheval de Troie sur le Wi-Fi et la 4G. Il est dans la poche des managers à l’intérieur des lieux de votes. Ces téléphones sont utilisés depuis le 3 novembre 2020.

Ceci est confirmé dans le documentaire Absolute Interference par des experts en cybersécurité dès le 20 avril 2021. Les Chinois ont interféré dans les élections de 2020.

En résumé, toutes ces cyberattaques sont conduites en même temps que les élections de 2020 pour fausser la donne et laisser très peu de traces que seuls les experts pourront déceler, mais les experts veillent et déclarent les intrusions MIM (Men In the Middle [NDLR littéralement « Hommes Au Milieu », c’est-à-dire intervention humaine dans le processus du logiciel, comme celui d’un comptage automatique de votes]).

Pensez-vous que le logiciel Dominion a été purgé lors des élections françaises de 2022 ?
Hélas, non. Ceci aurait nui à son atout majeur : donner la certitude qu’on peut piloter une élection et aboutir au choix du candidat qu’on veut. Le ministère de l’Interieur savait ce qu’il achetait .

Dernière minute :
Dennis Montgomery accepte de témoigner devant le juge depuis que la CIA est forcée de le relâcher de sa juridiction.3 Ne manquez pas son témoignage . Il y a répercussion pour les élections présidentielles de 2022. Bien évidemment vous n’entendrez jamais parler de cela dans les radios et journaux d’État.





Davantage de chemtrails en perspective ?

[Source : Ciel Voilé]

Les États-Unis et la Commission Européenne appellent à un « cadre international » pour faire progresser la recherche en géo-ingénierie

Par Derrick Broze (le 7 juillet)

Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles.

Tard vendredi, la Maison-Blanche a publié un rapport soulignant l’ouverture de l’administration Biden à l’étude de la géo-ingénierie dans le cadre d’un effort visant à réduire la quantité de lumière solaire atteignant la planète. La géo-ingénierie est une science controversée de la manipulation du climat dans le but déclaré de lutter contre le changement climatique d’origine humaine. Il existe plusieurs types de géo-ingénierie, y compris la gestion du rayonnement solaire (GRS) ou la géo-ingénierie solaire. L’injection d’aérosols stratosphériques (ou IAS) est une pratique spécifique de géo-ingénierie solaire qui consiste à pulvériser des aérosols dans le ciel pour tenter de dévier les rayons du Soleil [ce qui crée des chemtrails]. Le Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison-Blanche élabore actuellement un plan de recherche quinquennal sur la géo-ingénierie solaire.

Le document de la Maison-Blanche se concentre sur les « approches atmosphériques » de GRS, en particulier l’IAS et l’éclaircissement des nuages marins (ENM). Le rapport s’est concentré sur ces approches spécifiques de géo-ingénierie en raison de leur « plus grande faisabilité à court terme » et des « plus grands défis de gouvernance des approches atmosphériques » liés aux « impacts transfrontaliers importants ». En d’autres termes, parce que ces méthodes impliquent la pulvérisation de particules à partir d’avions dans le ciel, elles auront un impact sur les gens, quel que soit l’endroit où les lignes sur la carte sont tracées.

La Maison-Blanche de Biden note que si les agences scientifiques américaines commençaient à soutenir un « programme à grande échelle » de GRS, elles « pourraient envisager de s’engager dans une coopération internationale appropriée ». Cette coopération internationale, selon la Maison-Blanche, pourrait promouvoir les connaissances, les besoins et les résultats de la recherche, les économies de ressources, les meilleures pratiques et réduire le risque d’expérimentation et/ou de déploiement irresponsables.

La Maison-Blanche note également que tout « programme de recherche fédéral multi-agences à grande échelle » sur la GRS serait coordonné par le Programme américain de recherche sur le changement mondial, qui se concentre sur « la compréhension des forces qui façonnent l’environnement mondial, à la fois humaines et naturelles, et leurs impacts sur la société ».

L’administration Biden reconnaît également que les gouvernements ou les acteurs non étatiques pourraient « agir indépendamment pour développer et déployer des technologies de GRS ». Le rapport appelle à « identifier des cadres internationaux optimaux pour la coopération, la surveillance, la dissuasion et la réponse ». Plus que probablement, un tel cadre viendrait des Nations Unies.

Dans l’ensemble, l’administrateur Biden appelle à d’autres recherches sur les implications scientifiques et sociétales de la GRS afin de mieux éclairer les décisions à venir. Cependant, la Maison-Blanche a également déclaré « qu’il n’y a pas de plans en cours pour établir un programme de recherche complet axé sur la modification du rayonnement solaire ».

Le propre rapport de la Maison-Blanche a été inspiré par le rapport 2021 des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine (NASEM), Reflecting Sunlight : Recommendations for Solar Geoengineering Research and Research Governance.

Ce rapport concluait ce qui suit :

« Le Comité est d’avis que, sous réserve d’une gouvernance et d’une surveillance appropriées, l’expérimentation en plein air pourrait être poursuivie de manière équilibrée », ce qui serait illicite « des observations critiques » mais serait « suffisamment petite pour limiter les impacts ».

Les auteurs du rapport NASEM affirment que de telles expériences « à petite échelle » produiraient des impacts réels à une échelle plus petite que d’autres « activités humaines délibérées librement entreprises par la société ». Les auteurs sont également conscients que l’avancement trop rapide des programmes de géo-ingénierie extérieure pourrait « induire des objections du public et des retards ou des restrictions subséquents ».

Pendant ce temps, le rapport de la Maison-Blanche a admis que « des recherches récentes ont soulevé des préoccupations quant aux changements possibles dans la coloration du ciel par l’IAS et aux impacts psychologiques qui en résultent, qui mériteraient d’être étudiés ». Ceci est une référence aux travaux de Ben Kravitz de la Carnegie Institution for Science qui ont montré que la libération d’aérosols sulfatés pourrait réduire de 20 % la quantité de lumière solaire qui frappe le sol et rendre le ciel plus brumeux. En fin de compte, cette brume pourrait entraîner la perte du ciel bleu.

Le rapport de la Maison-Blanche indique également qu’il est possible que la GRS soit « maintenue sur des échelles de temps de plusieurs décennies, voire de centuries ». Cela pourrait être une reconnaissance que, bien que les partisans de la géo-ingénierie la saluent comme la solution au changement climatique et au maintien de la vie, la recherche indique que la géo-ingénierie pourrait en fait avoir l’effet inverse du réchauffement de la Terre.

Selon une étude de 2013 publiée dans le Journal of Geophysical Research : Atmospheres, si des programmes de géo-ingénierie étaient lancés puis soudainement arrêtés, la planète pourrait voir une augmentation immédiate des températures, en particulier au-dessus des terres. L’étude, intitulée « L’impact de la suspension abrupte de la gestion du rayonnement solaire », semble indiquer qu’une fois que vous commencez la géo-ingénierie, vous ne pouvez pas suspendre les programmes sans causer le problème même que vous cherchiez à résoudre.

De plus, en février 2015, un comité international de scientifiques a publié un rapport indiquant que les techniques de géo-ingénierie ne sont pas une alternative viable à la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre les effets du changement climatique. Le rapport du comité a appelé à poursuivre la recherche et la compréhension de diverses techniques de géo-ingénierie, y compris les systèmes d’élimination du dioxyde de carbone et la gestion du rayonnement solaire avant la mise en œuvre.

Les scientifiques ont constaté que les techniques de géo-ingénierie solaire sont susceptibles de présenter,

« des risques environnementaux, sociaux et politiques graves connus et inconnus possibles, y compris la possibilité d’être déployé unilatéralement. »

L’Union européenne appelle à une gouvernance mondiale

Deux jours avant que la Maison-Blanche n’annonce son appel à davantage de recherche en géo-ingénierie, la Commission européenne a annoncé son soutien aux « efforts internationaux » pour évaluer les risques de la géo-ingénierie et son désir de promouvoir des discussions sur un « cadre international potentiel pour leur gouvernance ».

La Commission européenne a également déclaré que les tentatives de modifier le climat posaient des risques « inacceptables » et a appelé à des discussions internationales sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie.

« Personne ne devrait mener des expériences seul avec notre planète commune ». Le chef de la politique climatique de l’Union européenne, Frans Timmermans, a déclaré lors d’une conférence de presse. « Cela devrait être discuté dans le bon forum, au plus haut niveau international. »

La Commission européenne a également publié une déclaration selon laquelle la GRS dans sa forme actuelle « représente un niveau de risque inacceptable pour l’homme et l’environnement ».

Joanna Haigh, professeur émérite à l’Imperial College de Londres, a déclaré à Reuters que les modèles de gouvernance internationale sont nécessaires pour faire face aux expériences de géo-ingénierie. « La gouvernance de la géo-ingénierie sera extrêmement complexe, mais nécessaire pour réglementer toutes les futures technologies de géo-ingénierie qui pourraient faire baisser les températures moyennes mondiales », a-t-il ajouté.», a déclaré Haigh.

D’une manière ou d’une autre, la conversation sur la géo-ingénierie est utilisée pour promouvoir l’idée qu’il devrait y avoir un « cadre international » ou des « modèles de gouvernance mondiale » pour faire face aux réalités de cette technologie non testée. Bien qu’il semble logique de se demander si les gouvernements devraient coopérer s’ils prennent une mesure aussi conséquente, nous devrions également nous demander si nous pouvons même faire confiance à ces gouvernements pour « jouer à Dieu » en jouant avec le climat, ou même si cela devrait se produire.

Depuis 2017, j’ai averti que la promotion de la technologie connue sous le nom de géo-ingénierie serait une passerelle vers des systèmes de gouvernance mondiale qui sont eux-mêmes un tremplin vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles. Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus dans cette direction.

Bien que ces débats se soient principalement concentrés sur les pensées et les opinions des chefs de gouvernement et des experts politiques, la majorité du monde est exclue de ces discussions. Il est absolument vital que les élus discutent de questions d’une telle importance, mais nous ne pouvons pas permettre aux politiciens de dominer seuls la conversation. Qu’en est-il des pays en développement, des communautés autochtones et des populations locales ? Leurs voix doivent être entendues afin d’évaluer pleinement les risques de la géo-ingénierie.

Les gouvernements du monde se soucient-ils de la volonté du peuple, ou vont-ils faire avancer leur programme indépendamment de l’opinion ou de la préoccupation du public ? Ce sont des questions importantes qui doivent être prises en compte dans tout débat sur le potentiel de l’ingénierie du climat de notre planète. D’une manière ou d’une autre, nos vies et notre avenir dépendent de l’issue de ce débat scientifique.

Pour en savoir plus sur le complexe de manipulation renseignement-militaire-météo, veuillez lire ceci.

Pour un regard beaucoup plus approfondi sur l’histoire de l’ingénierie climatique et météorologique, veuillez lire ceci.




France — Température de pharmaciens

[Source : Nicolas Bonnal]

C’est l’été !

Par Amal

J’ai vécu dans une station balnéaire au bord de la méditerranée pendant 30 ans, alors la chaleur étouffante, je connais.

Ici dans ma campagne, il fait bon. Il est arrivé d’avoir 30° ou 32°, mais ce n’est pas quotidien.

D’habitude le matin je mets un pull pour sortir, et l’après-midi il fait chaud.

En général les étés dans la marne sont pourris. Pluie, fraîcheur, humidité…

Cette année, nous n’avons pas eu de printemps. Il a plu tout le temps jusqu’à fin mai.

En juin, il a fait très beau et chaud. C’était un régal.

Le mois de juillet est mitigé. Il y a eu des matinées ou la veste était indispensable.

En ce moment, le matin il fait entre 11° et 16°.

On a eu peu de journées à 30°. S’il fait chaud c’est 27° pas plus. La fraîcheur s’installe rapidement vers 22 h.

Le soir, si je dois laisser les fenêtres ouvertes, je mets la couette pour la nuit (j’utilise rarement un simple drap pour dormir ici).

Dans mon petit bourg, la droguerie (commerçant de longue date et encore à l’ancienne) a un thermomètre extérieur, hier vers 16 h, il affichait 27° : ce qui me semblait très cohérent, mais le nouveau pharmacien à cette immense plaque d’affichage qui signalait 34°.

Ils sont à 50 mètres l’un de l’autre. Je me suis dit : « Tiens, tiens, on n’essayerait pas de nous duper ? ».

Bien sûr que oui ! Ou alors, il est en connexion directe avec la station météo officielle du Macronistan, ce qui pourrait expliquer le pourquoi du comment. Il devrait passer en Fahrenheit, ça impressionnerait davantage, n’est-ce pas ?

Lundi, j’étais dans la grande ville, le matin j’ai dû mettre une veste jusqu’à 10 h 30. Après, il faisait chaud avec un petit vent rafraîchissant. En attendant mon bus pour rentrer chez moi vers 12 h, j’ai regardé le panneau d’affichage de la pharmacie près de l’Église Monseigneur Tissier, son thermomètre affichait 30°. J’étais étonnée. En général à cette température on cherche l’ombre. Moi, j’étais sur un banc en plein soleil à lire mon livre. J’étais ni en nage ni en train de crever de chaud. Je profitais de ce beau soleil et de cette merveilleuse chaleur.

Conclusion : les enseignes de pharmacie sont en train d’afficher de fausses informations pour que les débiles qui nous entourent croient à toute cette propagande climatique.

PS Je viens de remettre ma veste, car les fenêtres sont ouvertes et l’air est frais, il est 11 h 35




Pour en finir avec les éoliennes — Partie 1 : des promesses aux réalités

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Caroline Galactéros : « Poutine n’est pas un autocrate, un dictateur, ni un fou dangereux ! »

[Source : Les Incorrectibles]

Caroline Galactéros, géopolitologue, spécialiste affaires diplomatiques et géostratégiques, Présidente de Géopragma et Docteur en sciences politiques, est l’invitée d’Éric Morillot.

[À partir de ~32:30 pour la Russie]




Comment les « traumatismes » ont été détournés par des activistes pour créer une nouvelle génération de « victimes »

[Source : quebecnouvelles.info]

Traduit de l’anglais (Article d’Alastair Mordey pour Quillette, publié le 16 juillet 2023 sur le site du National Post.)

Dans son article de 2016 intitulé « Concept creep : Psychology’s expanding concepts of harm and pathology », Nick Haslam, professeur de psychologie, aborde la manière dont la psychologie s’est politisée par le biais de manipulations du langage et de la terminologie : « Les concepts qui se réfèrent aux aspects négatifs de l’expérience et du comportement humains ont élargi leur signification de sorte qu’ils englobent désormais un éventail de phénomènes beaucoup plus large qu’auparavant… (produisant) une sensibilité de plus en plus grande aux préjudices ». Selon M. Haslam, une telle dérive conceptuelle « risque de pathologiser l’expérience quotidienne et d’encourager un sentiment de victimisation vertueux mais impuissant ».

L’un des meilleurs exemples de ce type de dérive conceptuelle est la redéfinition du mot « traumatisme ». Les cliniciens utilisent aujourd’hui ce mot pour décrire presque n’importe quelle adversité.

Ce changement d’usage est motivé par un agenda politique spécifique. Le mot « traumatisme » est devenu un terme utile pour les praticiens de la santé mentale qui sont impliqués dans l’activisme pour la justice sociale, car il rend certaines de leurs préoccupations essentielles, telles que l’inégalité sociale, plus menaçantes et alarmantes. Il est à la fois vrai et regrettable que certaines personnes aient une vie plus difficile que d’autres. Mais si nous disons à ces personnes qu’elles sont des victimes de traumatismes, cela améliorera-t-il leur santé mentale ? Et est-ce même vrai ?

La déclaration suivante du Centre pour la non-violence et la justice sociale de l’université de Drexel justifie l’utilisation excessive du terme que l’on retrouve dans le verbiage de tous les campus universitaires, centres de désintoxication et centres de conseil d’aujourd’hui :

Le mot « traumatisme » est utilisé pour décrire des expériences ou des situations qui sont émotionnellement douloureuses et pénibles, et qui dépassent la capacité des gens à y faire face, les laissant impuissants. Le traumatisme a parfois été défini en référence à des circonstances qui sortent du cadre de l’expérience humaine normale. Malheureusement, cette définition n’est pas toujours vraie. Pour certains groupes de personnes, les traumatismes peuvent être fréquents et faire partie de l’expérience humaine commune… Outre les événements terrifiants tels que la violence et les agressions, nous pensons que des formes relativement plus subtiles et insidieuses de traumatisme — telles que la discrimination, le racisme, l’oppression et la pauvreté — sont omniprésentes et, lorsqu’elles sont vécues de manière chronique, ont un impact cumulatif qui peut fondamentalement changer la vie.

Cette redéfinition du mot « traumatisme » est motivée par la politique, déguisée en diagnostic médical.

Jusqu’à récemment, tout le monde savait ce que signifiait le terme « traumatisme ». Dans le dernier Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), le traumatisme est défini comme un trouble psychiatrique présentant des symptômes indubitables et extrêmement débilitants, plus proches de ceux de la psychose que de la dépression. Ces symptômes peuvent survenir après que des personnes ont été soumises ou ont été témoins « d’une mort, d’une blessure grave ou d’une violence sexuelle, réelle ou menacée », c’est-à-dire de choses qui sortent du cadre de « l’expérience humaine normale ». Cela n’inclut pas les préjudices « plus subtils et insidieux », tels que le racisme ou l’oppression (même s’ils sont moralement répréhensibles).

Nous devrions également remettre en question l’idée selon laquelle les situations « douloureuses et pénibles » dépassent nécessairement la capacité des gens à y faire face. Cela suppose que la plupart des gens sont fragiles et impuissants face à l’adversité. Ce n’est tout simplement pas vrai. La plupart des êtres humains (y compris les enfants) sont extrêmement résistants, même lorsqu’ils sont confrontés à des événements véritablement traumatisants. Une étude de 2008, par exemple, a examiné le bien-être subjectif de ressortissants allemands sur une période de vingt ans avant, pendant et après le décès d’un être cher. Environ 60 % des sujets ont relativement bien géré le deuil et se sont rétablis en l’espace d’un an. Vingt autres pour cent ont considérablement souffert pendant la période de crise, mais ont retrouvé leur niveau antérieur de bien-être subjectif au cours des deux ou trois années suivantes. Les 20 % restants étaient encore en deuil de nombreuses années plus tard, mais beaucoup d’entre eux avaient déjà déclaré souffrir de problèmes de santé mentale avant le décès.

es auteurs notent que les êtres humains ont tendance à « revenir à un niveau de bien-être relativement rapidement après les événements de la vie, qu’ils soient les plus pénibles ou les plus favorables ». Les psychologues le savent depuis les années 1970. Alors pourquoi la plupart des professionnels de la santé mentale ne le savent-ils pas ou l’ignorent-ils aujourd’hui ? Peut-être parce que la psychologie universitaire et la psychologie clinique ont été complètement absorbées par la politique de justice sociale qui, comme l’ont expliqué les sociologues Bradley Campbell et Jason Manning, valorise le statut de victime.

En fait, relativement peu de personnes souffrent de traumatismes (au sens traditionnel du terme), même parmi les populations les plus vulnérables. Les taux de SSPT chez les toxicomanes, par exemple, sont inférieurs à ceux d’autres troubles mentaux. Dans une étude citée par la Substance Abuse and Mental Health Service Administration (SAMHSA), la plus grande organisation de services de santé mentale aux États-Unis, des chercheurs ont examiné la prévalence des troubles psychiatriques parmi un échantillon de consommateurs chroniques de crack dans une communauté pauvre. Alors que 24 % des consommateurs avaient reçu un diagnostic de trouble de la personnalité antisociale et que 17,8 % souffraient de dépression, seuls 11,8 % d’entre eux avaient souffert d’un syndrome de stress post-traumatique. Il est intéressant de noter que les chercheurs ont constaté que les toxicomanes blancs étaient plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux que les toxicomanes noirs, ce qui suggère que, contrairement à la déclaration de l’université Drexel citée plus haut, les traumatismes ne sont pas principalement le résultat d’un racisme institutionnalisé.

Une étude portant sur des consommateurs de crack brésiliens, également citée par la SAMHSA, a révélé que l’extrême violence de la rue et la dégradation à laquelle ils étaient soumis et exposés en raison de leur consommation de drogue étaient la principale source de leur traumatisme. En tant que personne ayant passé beaucoup de temps à travailler avec des toxicomanes par voie intraveineuse, je ne trouve pas cela surprenant.

Selon les lignes directrices de la SAMHSA sur les soins tenant compte des traumatismes (dernière mise à jour en 2014), le traumatisme résulte d’un « événement, d’une série d’événements ou d’un ensemble de circonstances vécus par un individu comme physiquement ou émotionnellement nuisibles ou menaçants et qui ont des effets négatifs durables sur le fonctionnement et le bien-être physique, social, émotionnel ou spirituel de l’individu ».

Le problème est que cette définition du traumatisme est une question d’interprétation subjective : elle suggère que n’importe quelle expérience peut être traumatisante si elle fait que la personne qui en souffre se sent mal. Le divorce des parents et d’autres adversités courantes pourraient être définis comme des « traumatismes » s’ils sont « vécus » comme néfastes. Si le guide de la SAMHSA suit le DSM-5 en reconnaissant que le traumatisme n’est susceptible de se produire que lorsque les personnes sont exposées « à la mort, à des blessures graves ou à des violences sexuelles, réelles ou menacées », il dilue la définition en affirmant que le traumatisme psychologique n’est « pas limité à ces critères de diagnostic » et peut être « caractérisé de manière plus large ». Ce n’est pas la nature des événements eux-mêmes qui les définit comme traumatisants, mais la réaction émotionnelle de l’individu à ces événements. Selon cette définition, un enfant en bas âge qui refuse de se coucher à l’heure et dont les ressources émotionnelles sont « submergées » par l’heure du coucher au point de provoquer des crises de colère nocturnes pourrait être considéré comme souffrant d’un « traumatisme ».

Cet élargissement de la définition a naturellement entraîné une augmentation du nombre de personnes déclarant avoir subi un traumatisme. Les professionnels de la santé mentale ont réagi en proposant des soins tenant compte des traumatismes (TIC). Selon la SAMHSA, la plupart des plus de 10 000 programmes de soins de santé comportementale aux États-Unis proposent aujourd’hui une forme ou une autre de TIC.

Selon le Centre de recherche sociale de l’université de Buffalo, les soins tenant compte des traumatismes « partent du principe qu’une personne a plus de chances qu’une autre d’avoir des antécédents de traumatisme… tiennent compte de la nature omniprésente des traumatismes et favorisent des environnements de guérison et de rétablissement plutôt que des pratiques et des services qui peuvent involontairement traumatiser à nouveau ». Les patients peuvent être traumatisés à nouveau, selon eux, en étant « traités comme des numéros », en « ne se sentant pas vus ou entendus », en manquant de « sécurité émotionnelle » et/ou en étant victimes de « microagressions ».

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




PCB : Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction

[Source : vkpatriarhat.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Après la fin de la campagne mondiale de vaccination expérimentale contre le Covid-19, de nombreux scientifiques, plus de 26 équipes, ont été chargés d’évaluer ces vaccins. Ils ont découvert des métaux tels que le gadolinium, l’aluminium, le césium, le strontium et le tungstène dans le sang des personnes vaccinées. Le strontium est particulièrement cancérigène.

Le Dr Mihalcea, des États-Unis, a mis en évidence le lien entre le Covid-19 et la géo-ingénierie. Le chercheur Clifford Carnicom étudie depuis plus de 20 ans le phénomène appelé morgellons et son lien avec les fibres polymères pulvérisées par les avions commerciaux et militaires. Les experts ont récemment trouvé une correspondance chimique entre ces fibres qui ont été pulvérisées dans l’environnement et les nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins Covid. La raison pour laquelle ils pulvérisent ces substances sur nous consiste à créer une fusion entre la biologie synthétique et notre biologie afin de nous transformer en cyborgs transhumains.

[Voir aussi :
Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?
Sur les chemtrails :
« Il s’agit d’une lente opération d’empoisonnement de la population »
L’arme du climat, une guerre invisible
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails]

Le Dr David Nixon a découvert que les vaccinés contre le Covid émettent une adresse MAC, et il a trouvé dans leur sang des fibres que le laboratoire La Quinta Columna avait décrites comme étant de l’oxyde de graphène. L’ingénieur Matt Taylor en a récemment découvert dans l’eau de pluie ou dans la masse.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »]

En 2020, il y a eu une conférence en Europe intitulée « Euro Science — Open Forum ». On y a mentionné que ces technologies transhumanistes peuvent également être appliquées aux insectes dans l’agriculture.

La science maléfique modifie notre ADN, nos protéines grâce à la technologie moderne. On peut dire que ce plan diabolique vise à faire de la terre un véritable enfer. Puis à exterminer l’humanité et à l’envoyer dans l’enfer éternel. Le Dr Mihalcea étudie les effets des vaccins et du coronavirus, dont on sait déjà qu’il a été produit de façon artificielle. Au cours de ses expériences, elle a constaté qu’il réduisait jusqu’à 47 % la connectivité électrique du sang. Elle a clairement indiqué que les gens sont délibérément privés de leur force vitale. Cela s’applique également aux cas après vaccination et à ce que l’on appelle le Covid long.

Le Dr Mihalcea explique que les personnes atteintes de ce « Covid long » présentent les symptômes suivants : fatigue chronique, problèmes de mémoire, alors qu’elles n’ont que 20 ans, symptômes proches de la démence avec difficultés à trouver les mots, brouillard cérébral, anxiété extrême et dépression, ce qui, nous le savons, raccourcit l’espérance de vie. Et puis, avec cette fatigue chronique, les gens ne peuvent même pas monter les escaliers sans se sentir essoufflés ou sans avoir des palpitations cardiaques, parce que le sang s’est agglutiné dans ce que l’on appelle les rouleaux. D’autres symptômes sont les crises cardiaques ou les caillots sanguins.

[NDLR les symptômes du « Covid long » sont les mêmes que certains des effets des ondes pulsées vécus par les personnes électrohypersensibles.
Voir :
Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Témoignage d’une électrohypersensible
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Le Dr Peter Garyaev, de Russie, qui était candidat au prix Nobel en 2021, a déclaré qu’il était possible, grâce à la 5G, de replier et de déployer les gènes pathogènes du coronavirus et de le rendre plus virulent. Il est décédé deux semaines après l’avoir annoncé.

Les élitistes mondiaux qui jouent le rôle de Dieu essaient de changer l’ordre des choses, de nous modifier, principalement de changer notre façon de penser depuis le vrai vers le faux, depuis le moral vers l’immoral. Que recouvre le concept de pensée ou d’esprit ? Ce n’est pas seulement la raison ou la logique ; c’est un concept plus large. Notre esprit est influencé par l’éducation, les informations vraies ou fausses, l’expérience personnelle, la vie morale ou immorale, les diverses dépendances. Les personnes dépendantes ne sont pas libres ; elles n’acceptent pas la vérité objective. C’est pourquoi nous devons faire la distinction entre la vraie et la fausse pensée.

La pensée est inspirée par un esprit, soit l’esprit de vérité, soit l’esprit de mensonge. Les inspirations peuvent être vraies ou fausses. Un homme bon recherche la vérité objective et le bien ; un homme mauvais cherche à détourner une certaine vérité pour tromper les autres et promouvoir le mal. Derrière l’homme mauvais se cache l’esprit du mensonge et de mort : le diable. Il est donc important de savoir dans quoi vous êtes enraciné. Si vous êtes enraciné dans l’aura de votre ego, vous êtes donc enraciné dans l’esprit du mensonge et de l’auto-illusion. Cet esprit pénètre alors l’ensemble de votre pensée et a un effet suggestif sur votre environnement. A l’extérieur, un tel menteur professionnel se présente comme un ange de lumière (cf. 2Cor 11:14f).

Comme le dit le proverbe, « Dis-moi ce que tu lis, ou éventuellement ce que tu écoutes, et je te dirai qui tu es ». Les gens d’aujourd’hui passent le plus clair de leur temps à écouter les menteurs professionnels du courant dominant. Ils sont remplis de mensonges et de vanité et sont donc incapables d’accepter et d’aimer la vérité, et encore moins de se sacrifier pour elle. Ils adoptent ces mensonges comme étant les leurs et sont prêts non seulement à faire des sacrifices, mais même à perdre leur vie pour l’amour d’un mensonge. Le mensonge est devenu l’arme la plus puissante dans le processus d’autodestruction de l’humanité. Derrière le mensonge se cache l’esprit du mensonge : le diable.

Jésus a dit à ceux qui avaient l’esprit du mensonge :

« Vous êtes de votre père, le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut un meurtrier dès le commencement… il est menteur et père du mensonge » (Jn 8:44).

Nous devons savoir que tous les êtres humains sont entachés du péché originel — la source du mal, la semence du diable, qui est programmée afin de provoquer l’autodestruction progressive de l’homme, non seulement temporelle mais aussi éternelle.

Nous assistons à une déchristianisation systématique. Elle est perpétrée de la manière la plus efficace par des théologiens hérétiques et des prélats apostats dirigés par le pseudo-pape François. Ils introduisent l’idolâtrie et la reconnaissance légale des perversions sexuelles par le biais du soi-disant parcours synodal LGBTQ.

L’intronisation du démon Pachamama au Vatican et le rituel sacrificiel au Canada constituent un exemple d’idolâtrie. Ici, le pseudo-pape, ainsi que les prélats présents, se sont fait consacrer à Satan pendant qu’un sorcier soufflait dans un sifflet en forme d’os de dinde sauvage.

Un cas effrayant de mensonge diabolique est le geste du pseudo-pape Bergoglio, qui a fait vacciner tout le Vatican à deux reprises. Ce faisant, il a créé un précédent des plus pernicieux pour toute l’humanité. Bergoglio connaissait la vérité et pourtant, il s’est cyniquement opposé à cette vérité et a menti de manière suggestive à toute l’humanité. S’il avait mis en garde contre la vaccination expérimentale depuis sa position de pape, qu’il occupe illégalement, tout le système de cette vaccination mortellement dangereuse aurait fait faillite.

La vérité, fruit du christianisme, protège l’individu et la société contre l’invasion du mensonge et du mal. Le christianisme formait l’opinion publique sur une base juste et sur des principes moraux naturels. L’opinion publique était ainsi intégrée aux commandements de Dieu. Elle favorisait un profond respect de l’homme. En revanche, le néopaganisme rampant, fondé sur le mensonge, favorise l’injustice, le mal et l’immoralité.

La stratégie du diable consiste à stimuler le mal qui prend sa source dans le cœur de l’homme. C’est pourquoi il tente de supprimer les inhibitions, telles que la conscience, la raison, les lois morales et les vérités, qui nous rappellent la mort, le jugement et l’éternité. La réalité du péché, et donc aussi la mort rédemptrice du Christ sur la croix, est reniée. La repentance salvatrice n’est plus proclamée. En conséquence, le mal, la perversion, le mensonge et le satanisme sont libres de progresser.

Nous assistons à la montée d’une nouvelle opinion publique qui accepte toutes les dépravations et tous les crimes. Ce résultat est obtenu grâce aux médias grand public, ou usines à mensonges, qui conduisent délibérément le monde à une dépopulation suicidaire. Le Dr Fuellmich affirme que le public a été hypnotisé par la manipulation diabolique des médias. Le terrorisme médiatique a été déclenché. Un exemple de cela est l’apparition d’une psychose de masse lors d’une fausse pandémie.

À qui revient-il en premier lieu de lutter pour le rétablissement de la société et le salut de l’humanité ? C’est avant tout la tâche de ceux qui se disent chrétiens. Par la repentance, c’est-à-dire par un véritable changement de mentalité — la metanoia —, les évêques, les prêtres et les croyants tièdes doivent devenir des disciples et des témoins du Christ — des martyres. Cela ouvrira la porte à Dieu et à Sa puissance salvatrice. Cette réforme spirituelle ne peut commencer sans un lien avec la transcendance. Il s’agit essentiellement de la prière intérieure, de la connexion de notre esprit à Dieu, la Vérité. Aucun changement positif n’est possible sans ce fondement spirituel de la prière et du repentir ou, en d’autres termes, sans un changement de pensée depuis le faux vers le vrai. Le bonheur véritable et éternel nous est donné en Jésus seul, crucifié et ressuscité.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 25 juin 2023



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France — ALERTE : la loi visant à protéger les mineurs risque d’être abrogée le 21 juillet 2023

[Source : @WendigoFuriosa]

La loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste du 21 avril 2021 est remise en question par la saisine du Conseil Constitutionnel avec 3 avocats qui remettent en question deux articles en particulier. Ceux-ci remettent sur le devant de la scène le débat sur le consentement ce qui est très dangereux. Et tout cela se passe dans l’indifférence totale puisque personne n’est au courant ! Le Conseil Constitutionnel rendra sa décision le 21 juillet 2023.

Source : https://www.conseil-constitutionnel.fr/decisions/affaires-instances affaire 2023-1058 QPC

Pédoland a déjà un fort pouvoir en France, le simple fait d’avoir la possibilité de plaider le retour du viol légal sur les mineurs dans un silence médiatique assourdissant, c’est une preuve d’influence notoire. L’influence se mesure à la possibilité de crier sur tous les toits de certains, ou d’autres à étouffer. Pédoland écrase par moment les journalistes, et les policiers qui enquêtent sur la pédophilie, en Angleterre, en France et ailleurs. Pour plus d’infos, il y a les vidéos de Sofzilog et du lapin du futur.

Commentaire de @julienmartin4908




Réchauffement : de gré ou de force, les médias veulent du 50 degrés

Changer la couleur des cartes fait monter la température !

Par Gérard Le Maître

La blague du réchauffement prend de l’ampleur en été. C’est normal, chez nous, en France, l’été est chaud. C’est une tradition nationale, surtout dans le sud, là où les gens sont handicapés par un accent, sûrement un effet de la chaleur. D’ailleurs, les sudistes sont souvent exagérateurs, encore un effet de la chaleur.(([1] https://fr.sott.net/article/42381-Rechauffement-de-gre-ou-de-force-les-medias-veulent-du-50-degres))

40° en Andalousie, en Grèce etc. ?? mais c’est tous les étés comme ça !!!

50° dans La Vallée de la mort en Californie ? Ha bon ?!!

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…

La vallée de la Mort (Death Valley) est une vallée du désert des Mojaves située en Californie et incluse dans le parc national de la vallée de la Mort. Il s’agit d’un rift endoréique de forme allongée et orienté nord-sud. Son point le plus bas, Badwater, est, avec −85,5 mètres sous le niveau de la mer, le point le plus bas des États-Unis.

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_la_Mort))

Et si on arrêtait de croire à toutes ces « couineries » ?

Ce sont 3 lauréats du Nobel de physique qui expliquent :

Le climat a toujours changé sans demander la permission à qui ce soit, on ne le contrôle pas. C’est devenu une nouvelle religion. Ce qui devrait nous inquiéter, c’est la propagande unilatérale basée sur une science erronée. Le CO2 est essentiel.

La vérité de ce matraquage médiatique mondial ?

C’est Kamala Harris qui a lâché le morceau : nous sommes trop nombreux sur terre alors

Kamala Harris, vice-présidente US, vient de dire que « réduire la population » est un objectif du mouvement contre le changement climatique.

Ils ne le cachent plus. VOUS êtes le carbone qu’ils veulent éliminer ! Le vrai mal

Elle devrait dire quel est le plan pour réduire la population.

En quelques mots : Rendre les enfants infertiles via la vaccination et libérer des virus afin de tuer un maximum de gens.

C’est ce que ces démocrates et socialistes font partout dans le monde.

Des dizaines d’autres scientifiques dénoncent cette supercherie, dénoncent l’imposture du GIEC qui n’est qu’un ramassis de non-scientifiques, mais politiques payés par les mondialistes pour tromper le monde entier et servent d’alibi aux gouvernements, mais ils ne passent pas sur BFManip’ évidemment…

Informez-vous ! Sortez la tête du sable !

Et surtout ÉTEIGNEZ LA TV!




La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :




Les mondialistes préparent un choc financier, en voici la preuve

[Source : birchgold.com]

[Photo : Talashow]

[NDLR Passages surlignés en jaune par le traducteur.]

Par Brandon Smith

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Cependant, ce que j’observe de plus en plus ces deux dernières années, c’est une convergence de récits…

Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.

L’effondrement économique fait partie du plan.

Le « changement climatique » est un écran de fumée

Les mondialistes utilisent désormais la question du changement climatique comme un cheval de Troie pour leurs plans visant à accroître leur contrôle sur la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la Grande Réinitialisation. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques mondiales encore plus de pouvoir pour contrôler la distribution des richesses et abattre le système existant afin de le remplacer par quelque chose d’autre.

Quelque chose de « meilleur » et de « plus juste ». Quelque chose qu’ils contrôlent encore plus complètement.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc financier public » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant une « équité » pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis mondiaux.

Les intervenants de l’événement ont suggéré que le cadre économique international avait été mis à mal par de multiples crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine. Cependant, ils se sont concentrés sur « la spirale du coût des catastrophes climatiques intensifiée par le réchauffement climatique » pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

Il s’agit évidemment d’un non-sens, mais cela correspond au récit que les mondialistes tentent de mettre au point.

Cela donne à peu près ceci :

  • – L’objectif du système financier mondial est de redistribuer les richesses.
  • – L’un des aspects de chaque crise est la perte financière (à la fois directe, sur les victimes, et indirecte, y compris, par exemple, la baisse de la productivité ou l’augmentation des taux d’assurance).
  • – Les banques centrales, qui ne peuvent pas empêcher les tremblements de terre, peuvent remédier aux pertes financières, généralement par la planche à billets.
  • – Les banques centrales utilisent donc la réponse à la crise comme excuse pour s’engager dans l’inflation monétaire
  • – … ce qui rend les victimes de la crise plus dépendantes du gouvernement centralisé
  • – et donne aux banques centrales un argument convaincant pour accroître leur propre pouvoir.

Comme nous ne le savons que trop bien, en l’absence d’une crise médiatiquement acceptable, les mondialistes sont parfaitement heureux d’en inventer une.

Je pense qu’il n’y a pas de crise climatique d’origine humaine, pas de « réchauffement climatique anthropique », comme je l’ai décrit précédemment.

Mais combien de personnes peuvent être amenées à croire qu’il y a une crise climatique et qu’elle constitue une menace existentielle pour notre civilisation ? Comment exploiter cette peur hystérique ?

Ne jamais gaspiller une crise

Mia Mottley, Première ministre de la Barbade, a plaidé en faveur d’une réorganisation des rôles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international pour faire face à la crise climatique. Elle affirme :

« Ce qui nous est demandé aujourd’hui, c’est une transformation absolue et non une réforme de nos institutions… »

Il s’agit d’un thème commun aux mondialistes. « Nos institutions dépassées n’ont pas le pouvoir de prévenir les catastrophes. »

En d’autres termes, [selon les mondialistes] les institutions financières mondialistes devraient se voir accorder un pouvoir absolu et être chargées de l’utiliser de manière responsable.

Antonio Guterres, chef de l’ONU, a déclaré que le système financier mondial actuel, conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre des accords de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il « perpétuait, voire aggravait, les inégalités ».

En d’autres termes, il plaide pour un nouvel ordre mondial.

« Nous pouvons prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale », a-t-il déclaré. Il a proposé une relance de 500 milliards de dollars par an pour des investissements dans le « développement durable » et « l’action climatique ». Il a également présenté un plan visant à utiliser les droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI comme outil pour « stimuler la liquidité mondiale ».

Posez-vous la question : que s’est-il passé la dernière fois que les banques centrales ont décidé de stimuler la liquidité mondiale ?

C’est exact : la pire crise économique des cinquante dernières années.

Les banquiers centraux vous diront que ce n’est pas eux, mais la Covid, l’invasion de l’Ukraine et le changement climatique.

C’est absurde. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché la plus forte inflation depuis une génération. Ce qui a conduit les banques centrales à augmenter les taux d’intérêt en période de faiblesse économique, ce qui a toujours provoqué l’explosion de la dette et des désastres économiques dans le passé.

Les banquiers et les mondialistes ont causé le problème ! Ils ne devraient pas être chargés de le résoudre.

Pourtant, ils sont là, cherchant à prendre le contrôle et à instituer un plan d’égalité mondiale de type Grande Réinitialisation pour résoudre la calamité qu’ils ont créée.

On pourrait considérer tout cela comme de simples intrigues de palais, des bureaucrates qui se battent pour obtenir des budgets plus importants et des mandats plus ambitieux. Je pense que cela mène à un endroit beaucoup plus sombre…

L’impôt mondial sur la fortune

L’année dernière, les Nations Unies ont proposé que les économies développées et émergentes, y compris les États-Unis et la Chine, paient une sorte de « taxe sur le succès » d’au moins 2,4 milliards de dollars par an, en raison de leurs émissions de carbone. Cette taxe permettrait de créer un fonds de lutte contre le changement climatique, dont l’argent serait redistribué aux pays les plus pauvres.

D’autres idées sur la table incluent la taxation des bénéfices tirés des combustibles fossiles et des transactions financières, dont les recettes iraient au fonds de lutte contre le changement climatique. (En d’autres termes, ils espèrent taxer les compagnies pétrolières et gazières jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le citoyen moyen ne peut plus se permettre de conduire.)

Le président français adore l’idée d’une taxe internationale sur les émissions de carbone provenant du transport maritime, censée rendre le fret outre-mer plus coûteux afin de réduire la demande en matière de fabrication et d’exportation.

Quel est le point commun de ces projets ?

Ils visent tous à gonfler les prix, ce qui a pour effet de réduire la consommation.
C’est l’objectif déclaré. Mais il s’agit d’un projet beaucoup plus vaste.

Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien d’autre qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle des institutions mondialistes existantes telles que le FMI, la BRI, la Banque mondiale et l’ONU.

Le versement annuel des nations les plus riches dans les coffres des institutions mondiales est un acte d’hommage, une preuve de fidélité. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance.

Si d’importantes sommes d’argent transitent par les institutions mondialistes, celles-ci deviennent les arbitres de la redistribution de ces richesses. Elles peuvent facilement mettre en place un système de récompenses et de punitions.

Elles peuvent punir les pays qui ne suivent pas servilement leur diktat et s’occuper des pays qui se plient à leurs exigences.

Je soupçonne que tout cela aboutisse à une crise monétaire artificielle que les mondialistes utiliseront comme une occasion d’introduire enfin leur modèle de CBDC (Central Bank Digital Currency). Une fois les CBDC mises en place, le pouvoir des banquiers centraux de dominer le public sera complet. Un système sans argent liquide, sans confidentialité des transactions et avec la possibilité de fermer les comptes bancaires des individus et des groupes à volonté ?

C’est le scénario rêvé des totalitaires.

Ce n’est pas une erreur si le public est constamment bombardé de propagande sur le réchauffement climatique ces jours-ci — les pouvoirs en place ont besoin d’une crise existentielle comme générateur de peur. Lorsque les gens ont peur, ils ne réfléchissent pas rationnellement et se tournent souvent vers les pires dirigeants possibles pour les soulager. Et une menace mondiale exige une réponse mondiale, n’est-ce pas ?

La propagande catastrophiste sur le changement climatique, si elle est acceptée par le public, permettra un large éventail de changements systémiques qui n’ont rien à voir avec l’environnement et tout à voir avec la domination financière.

La taxation et la redistribution des richesses nationales. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale en tant que médiateurs pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme monnaie globale de facto. L’introduction des CBDC et d’une société sans numéraire. Aucune de ces mesures n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime, à moins bien sûr que l’intention ultime ne soit de détruire l’économie au point que l’industrie meure, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

Elles peuvent tourner cela comme ils veulent, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système économique mondial, de sorte qu’il ne puisse plus répondre aux besoins du monde.

Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle mondiale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’elles réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’elles veulent en réalité, c’est une gouvernance mondiale.

Une solution pour préserver votre liberté financière personnelle est de diversifier votre épargne avec des métaux précieux physiques. L’or et l’argent existent en dehors du système financier mondial. C’est l’une des rares formes d’argent à valeur universelle, respectueuse de la vie privée, qui ne peut être annulée en appuyant sur un bouton.

Si vous croyez, comme moi, à la liberté et à la responsabilité personnelle, vous savez probablement déjà que posséder de l’or et de l’argent est un moyen éprouvé de protéger vos économies durement gagnées contre les crises imaginaires et les mondialistes cupides.

[Note de Joseph : l’or et l’argent ne se mangent pas, mais se volent facilement. La Terre peut servir à cultiver, mais les élites travaillent à supprimer toute propriété privée pour ceux qui n’appartiennent pas à leur clan, ceci notamment en augmentant les taxes sur les propriétés foncières et en mettant en place des normes de plus en plus contraignantes et dispendieuses. La seule richesse qu’ils ne peuvent dérober est d’ordre intérieur. Nous nous trouvons probablement à l’apogée d’une guerre spirituelle multimillénaire et la pression exercée sur le plan matériel ne peut alors trouver d’exutoire véritable et viable sans une connexion suffisante aux plans psychique et spirituel pour y puiser les meilleures solutions concrètes ainsi que la force, le courage et la volonté de manifester adéquatement ces dernières, c’est-à-dire avec abnégation, intelligence, amour et sagesse.]




Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?

[Source : Conscience du peuple]

Comme je le martèle depuis la sortie du film « Sound of freedom », celui-ci sert à associer le trafic d’enfants (qui est bien réel) aux délires conspirationnistes Qanon et aux promoteurs du « great awakening ». C’est ça le but de l’opération psychologique !

On peut donc s’attendre que les mots-clés « trafic d’enfants », « traite humaine » seront ajoutés à la liste des motifs de censure et que les dénonciations de ces réseaux pédophiles seront perçues comme un DÉLIRE RELIGIEUX, une THÉORIE COMPLOTISTE et une MALADIE MENTALE !

Isabelle



Voilà le but… entre autres :






Vers la chute de l’Empire

[Source : @Cercles-Nationalistes-Français-Philippe-Ploncard-d’Assac]

[À partir de 10:45]



Site internet: http://nationalisme-francais.com/




Surtout, ne dites pas que les Palestiniens sont des non-juifs

[Source : investigaction.net]

Avant la création d’Israël, il y avait des Palestiniens musulmans et chrétiens, ainsi qu’une minorité de Palestiniens juifs (d’ailleurs tout aussi méfiants à l’égard du projet sioniste que leurs autres compatriotes). Mais depuis 1948, les colons sionistes sont parvenus à créer un amalgame entre les termes « juif » et « sioniste ». Depuis, ils poursuivent inlassablement leur projet de nettoyage ethnique à l’encontre des Palestiniens non juifs. Car c’est de cela qu’il s’agit. Et si le monde réalisait qu’Israël tue et déplace des gens uniquement parce qu’ils ne sont pas juifs, toute la propagande israélienne s’effondrerait. (IGA)

[Note de Joseph : que penser d’une Humanité qui se bat pour des considérations raciales ou pour des croyances ? Pourquoi certains êtres devraient-ils bénéficier davantage que d’autres de la Terre ? Parce qu’ils le mériteraient plus ? Selon quels critères ? Du fait de leur naissance ? De leur supposée supériorité raciale ? Intellectuelle ? Technologique ? Ou encore religieuse ? On a vu ce à quoi conduisent de telles suppositions : à l’extermination brutale ou progressive des autochtones par les nouveaux arrivants, toujours et partout, comme en Amérique lors de l’arrivée des populations européennes, finissant par parquer les survivants dans des réserves ou dans des bidons-villes lorsqu’il en survit encore.]

Par Thomas Suarez

Si Israël se voyait dépouillé de son récit particulièrement élaboré, il ne resterait plus que le remplacement violent d’une population indigène par une « tribu » juive importée.

C’est ce à quoi les partisans d’Israël doivent se confronter. Certes, des millions d’évangélistes de la fin des temps peuvent dire « Amen ! » à ça, mais un jour les apparences s’évaporeront, révélant ce que signifie réellement le « droit à l’existence » revendiqué par Israël.

Ce qui fait obstacle à cette prise de conscience, c’est le vocabulaire — le contrôle des mots utilisés pour expliquer le soi-disant conflit israélo-palestinien, en particulier le mot « conflit » lui-même. La manipulation du vocabulaire est la clé de l’impunité d’Israël et de l’assurance de la complicité du public occidental pour ses crimes. La critique de ce langage est donc une évidence pour ceux qui luttent pour la justice.

Pourtant, la construction linguistique la plus élémentaire qui empêche le public de saisir pleinement la nature des crimes d’Israël a échappé à un examen approprié : le terme même de « Palestiniens » en tant que cible des crimes d’Israël. Oui, ils sont tous Palestiniens, bien sûr, mais bien que le fait d’être Palestinien soit depuis longtemps synonyme de ce qui les place dans la ligne de mire d’Israël, cette équation masque une vérité profonde : leur « crime » n’est pas d’être Palestiniens, mais de ne pas être juifs. Cacher ce fait est essentiel pour la propagande israélienne.

L’objectif du sionisme, à savoir la création d’un État « juif » dans l’ensemble de la Palestine historique, a toujours nécessité l’expulsion des populations autochtones, à l’exception des Juifs originaires de Palestine. Lorsque les premiers colonisateurs sionistes sont arrivés en Palestine, ils ont trouvé une population palestinienne composée d’une petite minorité de Juifs, le reste étant musulman, ou chrétien. Aux yeux de ces colons, le fait que ces derniers ne soient pas juifs constituait un obstacle à l’objectif de « pureté » ethnique du sionisme.

De plus, les Juifs palestiniens n’étaient pas des convertis volontaires, comme l’a montré l’éminent historien Ilan Pappé. Ils étaient aussi méfiants à l’égard du sionisme que leurs compatriotes musulmans et chrétiens. Au fil du temps, cependant, les sionistes ont réussi à les intégrer dans leur projet messianique. Pourtant, en novembre 1945, les Britanniques signalaient encore que les Juifs originaires des États du Levant appréhendaient le sionisme et se montraient solidaires de la population arabe locale.

Le rêve sioniste : une terre ethniquement « pure »

Le terme « palestinien » suggère une association géographique — des personnes dont l’héritage et l’identité culturelle proviennent de la Palestine historique, qu’elles soient nées dans le pays ou qu’elles appartiennent à la diaspora. Lorsqu’un public déjà endoctriné par le discours israélien entend qu’il y a des problèmes entre Israël et « les Palestiniens », cela crée un sentiment erroné de marchandage territorial conventionnel, renforcé par le fantôme d’une Autorité « nationale » palestinienne.

Cette analyse trompeuse disparaît toutefois lorsque l’on remplace l’appellation « Palestiniens » par celle de « non-Juifs » ou « Palestiniens non-juifs ». Les Juifs palestiniens ne sont pas les seuls Juifs arabes que les sionistes ont intégrés dans leur projet colonial. Les sionistes ont travaillé dur, voire violemment, pour transplanter en Palestine des Juifs arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, ce qui a profité au sionisme au-delà de ce qu’ils pouvaient apporter à Israël en tant que colons. Pendant la période du mandat britannique, les Juifs sionisés du Moyen-Orient (par exemple, les juifs yéménites) ont été particulièrement efficaces dans les campagnes de terreur des sionistes, du fait même qu’ils se fondaient dans les populations indigènes et pouvaient donc opérer partout, sans éveiller les soupçons.

Une fois que le mouvement sioniste a réussi à créer son soi-disant « État juif » en 1948, l’identité palestinienne elle-même est devenue un handicap, une preuve accablante à effacer. Aujourd’hui, la déshumanisation dont l’Occident fait preuve envers les Palestiniens au profit d’Israël est telle que la réponse du Congrès américain aux massacres d’Israël (comme lors de l’opération « Bordure protectrice » de 2014) consiste à augmenter le financement d’Israël.

Si on veut éveiller le public occidental au lent génocide des Palestiniens, il faut lui exposer les rouages du mécanisme qui a permis de l’en rendre complice par son soutien docile.

Israël se présente comme « l’État juif » afin d’appuyer ses prétentions messianiques et sa mainmise sur l’identité juive — en fait, pour parvenir à faire passer les propos contre l’État pour des propos contre les Juifs. Comme l’a dit Ben-Gourion lui-même lors d’une réunion organisée en 1941 pour planifier la prise de contrôle de la Palestine par les sionistes, il s’agit d’ » être un juif ».

C’est pour faire de la Palestine historique le foyer de cette « race » juive — une « nationalité » mondiale définie par la filiation par le sang, dont Israël est seul à dicter les paramètres, et pour laquelle les mariages mixtes entre Juifs et non-juifs sont interdits — qu’Israël a condamné des millions d’êtres humains à divers niveaux d’apartheid, confinés dans des bantoustans et des camps de réfugiés.

C’est pour cela que cet État tue si facilement, que les milices sionistes ont dépeuplé quelque 500 villages en 1948 et que des millions de personnes se désespèrent aujourd’hui dans des camps. S’ils avaient été juifs — qu’ils soient Palestiniens, Arabes ou autres —, ils auraient reçu une maison dont le propriétaire aurait fait l’objet d’un nettoyage ethnique parce qu’il n’était pas juif.

« Tués parce que non-juifs », les mots qui changent tout

Ainsi, l’identification précise des victimes du sionisme met en évidence non seulement le fascisme racial d’Israël à l’égard des Palestiniens, mais aussi son fascisme racial en tant que crime profond contre les Juifs, détournant l’identité juive pour servir son culte de la suprématie ethnique.

À mon avis, rien de ce qui se passe entre le Jourdain et la mer Méditerranée, ou dans les camps d’internement (« camps de réfugiés ») qui parsèment la région, ne peut être compris si l’on ne met pas cette question à l’avant-plan. L’État israélien exploitera le terme « juif » — par exemple, en contraignant les médias à qualifier les colonies d’apartheid de Cisjordanie de « districts juifs » afin d’instiller l’idée que si l’on s’oppose à ces derniers, c’est parce qu’ils sont juifs. Mais le public est délibérément laissé dans l’ignorance quant au fait que les véritables habitants dudit « district » sont ces enfants qui jettent des pierres et qui sont expulsés de force parce qu’ils ne sont pas juifs.

Si le public n’était pas maintenu dans l’ignorance, l’effet serait rapide et profond. Imaginez un reportage sur la Grande marche du retour d’il y a quelques années, lorsque les habitants de Gaza ont produit une démonstration purement symbolique du retour dans leurs propres maisons légales dont ils avaient été ethniquement nettoyés. On pourrait lire quelque chose comme : « Les personnes qui tentent de rentrer chez elles continuent d’être abattues par des snipers israéliens parce qu’elles ne sont pas juives. »

Ou encore, lorsque l’armée israélienne fait irruption dans un camp de réfugiés à 3 heures du matin et abat un jeune de 15 ans, nous pourrions avoir une description précise comme celle-ci : « Des soldats israéliens sont entrés dans le camp d’al-Arroub, l’un des camps d’internement dans lesquels Israël enferme les non-juifs, et ont exécuté un adolescent qui les avait défiés. »

Ou sur les bantoustans et le contrôle des déplacements : « Ce matin, une mère de trois enfants a perdu sa bataille contre le cancer, après qu’Israël l’eut empêchée à plusieurs reprises d’accéder à des soins médicaux, parce qu’elle n’était pas juive. »

Ou encore sur le nettoyage ethnique habituel : « Les forces israéliennes ont poursuivi leur chasse aux derniers non-juifs dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem-Est occupée, forçant aujourd’hui deux de ces familles à quitter leurs maisons pour les remplacer par des Juifs. »

Il n’y a là aucune tendance à l’interprétation dans la façon de rapporter ces faits. Il s’agit juste de résumés directs et factuels de ce qui se passe et des raisons qui sous-tendent ces faits.

Si les médias rendaient compte de la situation en Palestine avec une telle précision, l’ensemble du projet sioniste échouerait rapidement. Ils ne le feront pas – pas en premier lieu, pas tant que nous ne serons pas assez nombreux à le faire.

Thomas Suarez est un chercheur en Histoire basé à Londres. Il a notamment publié « Comment le terrorisme a créé Israël » aux éditions Investig’Action.

Source : The Electronic Intifada
Traduit de l’anglais par CV pour Investig’Action




Emeutes et affaire Nahel. Qui met le feu à la France ?

[Source : Youssef HINDI ou strategika.fr]




Censure aux USA : selon le gouvernement Biden, la liberté d’expression est « une idéologie conservatrice »

Bataille judiciaire sur fond de campagne électorale

[Source : sentadepuydt]

Par Senta Depuydt

À l’heure où Donald Trump et Robert F. Kennedy Jr, 2 candidats à la présidence sont encore censurés sur la plupart des chaînes mainstream et des réseaux sociaux, la censure et le contrôle de l’information revêtent plus que jamais une importance capitale. Nul besoin d’accuser les Russes dans la manipulation des élections, puisqu’il apparaît clairement que les démocrates installés à la Maison-Blanche sont à la manœuvre avec la complicité du FBI et qu’ils considèrent aujourd’hui la liberté d’expression comme « une idéologie conservatrice ».

D’après un article publié sur Children’s Health Defense le 6 juillet 2023

Un juge républicain interdit « la campagne de censure à grande échelle » du gouvernement Biden

Moins de 24 heures après qu’un juge fédéral ait prononcé une interdiction temporaire à plusieurs fonctionnaires clés de l’administration Biden et à des agences fédérales de communiquer avec des plateformes de médias sociaux, l’administration Biden a déclaré qu’elle ferait appel de la décision.

La décision rendue le 4 juillet par le juge Terry Doughty du tribunal fédéral de district pour le district occidental de Louisiane, division Monroe, indique qu’il existe des « preuves substantielles » que le gouvernement a violé le premier amendement en s’engageant dans une campagne de censure à grande échelle qui cible les contenus critiquant les récits de la doxa sur le COVID-19.

Cette interdiction temporaire s’inscrit dans le cadre d’une action en justice intentée en mai 2022 par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane, ainsi que par plusieurs experts médicaux et journalistes, qui affirment que les plateformes de médias sociaux ont censuré leurs points de vue, qui allaient à l’encontre du discours officiel du gouvernement.

En réponse, le ministère américain de la Justice (DOJ) a déposé mercredi une motion d’appel.

Selon The Hill, « l’appel du ministère de la Justice sera porté devant la Cour d’appel du 5e circuit, basée à la Nouvelle-Orléans. Elle est principalement composée de juges nommés par le parti républicain ».

The Hill cite un fonctionnaire anonyme du ministère de la Justice qui a déclaré que l’agence « s’attend à demander un sursis à la décision du tribunal de district ».

La Maison-Blanche s’accroche aux justifications sanitaires

Répondant à une question d’un journaliste lors de la conférence de presse de mercredi à la Maison-Blanche, la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré : « Écoutez, nous ne sommes pas d’accord avec la décision, mais je m’en tiendrai là. »

Selon le Washington Post, Mme Jean-Pierre a déclaré que l’administration Biden avait été « cohérente » dans ses interactions avec les plateformes Big Tech, ajoutant qu’elle « continuerait à promouvoir des actions responsables pour favoriser la santé, la sûreté et la sécurité publiques face à des défis tels qu’une pandémie mortelle et des attaques étrangères contre nos élections ».

« Notre point de vue reste que les plateformes de médias sociaux ont la responsabilité essentielle de prendre des mesures ou de tenir compte des effets de leurs plateformes sur le peuple américain, mais de faire des choix indépendants quant aux informations qu’elles présentent », a ajouté Madame Jean-Pierre.

Le Washington Post a critiqué la décision de mardi, affirmant que « l’ordonnance est sur le point d’avoir un effet dissuasif sur les efforts des entreprises pour se prémunir contre la désinformation, alors qu’elles s’efforcent de déterminer quels types de partenariats sont autorisés ».

Yoel Roth, ancien responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, a également critiqué la décision de mardi, déclarant au Post : « Il y a tellement de choses qui ne vont pas avec cette décision — notamment le fait qu’elle nous rendra moins sûrs à l’approche des élections de 2024. »

Roth a fait l’objet de plusieurs révélations sur les « dossiers Twitter », notamment des documents montrant qu’il a échangé plus de 150 courriels avec le FBI, et en particulier avec l’agent du bureau à San Francisco, Elvis Chan, entre janvier 2020 et novembre 2022, en référence aux demandes du FBI de « prendre des mesures » sur les messages hébergés sur cette plateforme.

Chan, l’un des accusés cités dans l’affaire Missouri v. Biden, a fait une déposition sous serment dans le cadre de cette affaire, déclarant que le FBI avait mis en place un poste de commandement avant les élections de 2020 et 2022, envoyant des messages liés aux élections sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux.

Le Washington Post, ainsi que des médias tels que l’Associated Press, Reuters et la BBC, constituent la partie adverse du procès antitrust intenté par Children’s Health Defense, pour leur rôle présumé dans la censure de récits non officiels sur le COVID-19 et d’autres sujets, à travers leur participation à la Trusted News Initiative, un « partenariat industriel » comme ils se décrivent eux-mêmes.

La liberté d’expression une « idéologie politique conservatrice »

Le procès, intenté devant le même tribunal que celui qui a rendu la décision de mardi dans l’affaire Missouri v. Biden, a également été confié à M. Doughty.

L’analyste juridique de CNN, Elie Honig, a également critiqué l’injonction de mardi, affirmant que la liberté d’expression est « une idéologie politique conservatrice » et que les références de la décision « remettant en question les vaccins, remettant en question les masques » sont des « points de discussion conservateurs ».

M. Honig a qualifié la décision de M. Doughty de « contraire au conservatisme judiciaire », qui cherche au contraire à « microgérer l’ensemble du pouvoir exécutif […] et les principales entreprises de médias sociaux ».

« Il s’agit d’une opinion judiciaire très activiste », a ajouté M. Honig.

Les agences fédérales restent dans l’attente

Néanmoins, selon le Washington Post, certaines agences fédérales ont annulé des réunions prévues avec des entreprises de médias sociaux à la suite de l’injonction de mardi.

Le W. Post rapporte que des fonctionnaires du département d’État américain ont informé Facebook que les réunions mensuelles entre les deux sociétés ont été « annulées dans l’attente de nouvelles orientations », ajoutant que l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures pourrait prendre la même mesure.

Toujours selon ce journal, « l’annulation des réunions régulières entre Meta, la société mère de Facebook — la plus grande entreprise de médias sociaux au monde — et les agences gouvernementales américaines montre l’impact immédiat de l’injonction de mardi ».




L’effondrement de l’Occident, printemps/été 2023

[Source : unz.com]

Par Hans Vogel

La question de savoir si l’Occident est en chute libre ne relève plus de la spéculation. C’est clairement le cas, et c’est clairement intentionnel. Le « Great Covid Show » [Grand spectacle de la Covid], organisé par les suspects habituels, semble avoir créé les conditions propices à la « Grande Réinitialisation ». Il y a eu quelques accrocs, car une opération aussi vaste et globale que le « Great Covid Show » dépassait les capacités techniques et intellectuelles des néoconservateurs Américains et de leurs acolytes étrangers, y compris le FÉM [Forum Économique Mondial], l’OMS et l’UE.

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a compliqué les choses. Comme dans une partie d’échecs, la Russie oblige les États-Unis et leurs vassaux à faire des mouvements qu’ils n’avaient pas prévus ou qu’ils ne comptaient faire que plus tard dans la partie. Ces mouvements ne sont certainement pas à leur avantage. C’est pourquoi les gouvernements prennent des décisions aussi radicales dans tant de domaines différents, et ce simultanément.

Ils avaient prévu de réorganiser radicalement l’agriculture, en suivant l’exemple donné par les bolcheviks après 1929, lorsqu’ils ont commencé à expulser et à exterminer les koulaks. Au lieu de la collectivisation, les bolcheviks d’aujourd’hui veulent que des entreprises géantes dominent l’agriculture. Mais l’essence de ces projets est la même : les petits agriculteurs et les agriculteurs intermédiaires doivent être délogés, soit volontairement, soit par la force brute. Apparemment un peu plus tôt que ne le prévoyait le scénario original, le gouvernement néerlandais a entamé une guerre contre les agriculteurs qui, comme dans l’ex-URSS, risque d’entraîner une pénurie alimentaire généralisée, voire une famine.

De la même manière, avec une Allemagne obéissante en tête de peloton, les États clients des États-Unis en Europe commettent actuellement un suicide économique en coupant leur industrie de sources fiables d’énergie abordable, obligeant les producteurs et le public à compter sur l’énergie éolienne et solaire. Tout cela se fait au nom de ce que l’on appelle l’agenda vert, afin de réduire les émissions de carbone et d’azote. Dans le même temps, les partisans du changement climatique anthropique encouragent la destruction de l’environnement à une échelle véritablement gigantesque partout où l’on trouve du lithium et d’autres minerais nécessaires à la fabrication de batteries électriques. Comme tous les éléments du programme de la mafia de la Grande Réinitialisation, le discours officiel sur le changement climatique repose sur les contradictions les plus flagrantes.

Les contradictions les plus flagrantes se retrouvent dans le fonctionnement quotidien des gouvernements, en particulier dans l’UE. Comme le gouvernement des Pays-Bas, la plupart d’entre eux prennent régulièrement des décisions qui sont en violation claire ou implicite de la constitution et d’autres législations.

Malgré les innombrables contradictions au niveau de la politique elle-même, du discours politique officiel et des contradictions intrinsèques qui sous-tendent la plupart des décisions politiques, c’est un miracle que l’empire américain parvienne encore à rester en vie. Cela explique peut-être aussi pourquoi l’IA est actuellement déployée : dans l’espoir qu’elle contribuera à maintenir la puissance américaine. Cependant, on peut douter que l’IA se révèle capable de fonctionner dans un environnement où la confusion et la contradiction juridiques, linguistiques et lexicographiques sont devenues la norme.

Les hommes politiques, les médias publics et privés de l’Occident se réfèrent consciencieusement à « notre démocratie », aux « valeurs occidentales » (censées défendre les droits de l’homme), à la « transparence » et à « l’État de droit », tout en faisant et en préconisant tout ce qui est diamétralement opposé à ces valeurs. Après tout, l’IA, comme le système électronique qu’elle est, fonctionne sur le principe que « 0 » est « 0 » et que « 1 » est « 1 ». Lorsque « 0 » peut également signifier « 1 » et que « 1 » est parfois « 0 », l’effondrement est inévitable. Comment savoir si la « démocratie » signifie « le règne de la majorité populaire » ou son contraire, le règne d’une clique de criminels corrompus, comme c’est le cas dans les « démocraties » modernes ? En outre, étant donné la détermination fanatique avec laquelle les sources d’énergie fiables sont abandonnées partout en Occident, précisément au moment où tout ce qui permet la vie dépend de l’électronique, l’ensemble du système ressemble de plus en plus à une maison construite sur des sables mouvants.

[Note de Joseph : comme le rappelle le documentaire Le Grand Réveil, la démocratie est une forme de gouvernement qui s’impose toujours au détriment d’une partie de la population (au moins les 49 % minoritaires) dont la liberté n’est alors pas le moins du monde respectée. Et dans la pratique des États, seule une partie de la population a le droit de vote, ce qui fait qu’en réalité la proportion de liberté non respectée dépasse les deux tiers de la population. Si l’on ajoute que le vote est souvent conditionné aux campagnes de « communication » (lire : « propagande ») et aux sondages relativement manipulés et orientés, ceci sous la houlette des financeurs, alors les démocraties se révèlent le pouvoir facile d’une petite minorité financièrement riche et influante au détriment de la large majorité bien plus pauvre. En résumé, la démocratie est la forme de gouvernement favorite des usuriers et des banquiers.]

Où que l’on regarde en Europe, l’effondrement est à portée de main. Aujourd’hui, rouler sur les célèbres autoroutes allemandes est un véritable calvaire. Il fut un temps où l’on pouvait admirer des paysages splendides et parfois spectaculaires tout en roulant tranquillement sur la surface lisse d’autoroutes impeccablement entretenues. Avec une longueur totale de plus de 13 000 kilomètres, l’Allemagne possède le quatrième réseau au monde, précédé seulement par l’Espagne, les États-Unis et la Chine. Il y a 50 millions de voitures en Allemagne, mais le réseau est aussi intensivement utilisé par les camionneurs étrangers qui livrent et ramassent des marchandises et, en été et en hiver, par des millions d’étrangers qui se rendent à leurs destinations de vacances. Le réseau Autobahn est utilisé de manière très intensive, mais son entretien a longtemps été négligé et, par conséquent, de vastes tronçons d’autoroute doivent être rétrécis pour permettre la réparation des routes et des ponts. Cela provoque des embouteillages longs et fastidieux dans tout le pays, de tôt le matin à tard le soir. Si l’on ajoute à cela le fait que de nombreux conducteurs sont originaires de pays non occidentaux, où la proverbiale discipline allemande et le respect des règles et règlements ne sont pas enseignés dès le plus jeune âge, il est clair que conduire sur l’Autobahn consomme une quantité démesurée de temps et d’énergie. En fait, le système autoroutier allemand semble très proche du point de rupture.

En tirant cette conclusion, il m’est venu à l’esprit que les autoroutes fédérales allemandes sont un symbole de ce qui se passe dans toute l’Europe : les piliers mêmes qui soutiennent l’État et la société sont en train de s’effondrer. Bien sûr, pour ceux qui ont des yeux pour voir, l’effondrement a déjà eu lieu il y a un certain temps, peut-être deux décennies, si ce n’est plus tôt. À l’instar des trois tours du WTC qui se sont effondrées le 11 septembre, l’effondrement commence de manière hésitante, puis s’accélère. Comme dans le cas des tours du WTC, la destruction généralisée qui a lieu aujourd’hui en Occident est planifiée. Cependant, dans un certain nombre de domaines, l’effondrement avait déjà commencé bien avant sous la forme de la corruption. Les personnes corrompues se déplaçant d’un domaine à l’autre, la corruption se propage encore plus rapidement et finit par devenir systémique.

Par exemple, la corruption académique peut conduire au plagiat et à la manipulation des données de recherche. Mme Ursula von der Leyen, docteur en médecine, présidente non élue de l’Union européenne des sciences sociales, n’a jamais pu se débarrasser de l’odeur de fraude académique (commise lors de la rédaction de sa thèse) qui l’entoure. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’elle a conclu des accords secrets avec la société Pfizer pour la fourniture de vaccins non testés et qu’elle les a imposés à un public sans méfiance lors du grand spectacle de la Covid. Corrompue un jour, corrompue toujours, pourrait-on dire.

Alors que la fraude détruit de plus en plus la valeur de la recherche universitaire, l’enseignement universitaire lui-même est également attaqué. Le ministre néerlandais de l’Éducation a l’intention de réduire de moitié le nombre de crédits requis pour les étudiants de première année. Cela signifie que davantage d’étudiants seront autorisés à rester pour devenir des étudiants de deuxième année, avec le résultat final prévisible que les diplômes universitaires se dévalueront encore plus.

La corruption dans le domaine de la médecine est devenue évidente au cours du « Great Covid Show », à tel point qu’aujourd’hui, aucun médecin n’est digne de confiance. Pour dire les choses simplement, les médecins de famille et les spécialistes sont essentiellement des dealers de drogue [NDT En anglais, le mot « drug » signifie à la fois drogue (ou stupéfiant) et médicament] au service de Big Pharma. Il existe encore quelques médecins honnêtes et décents, mais ils sont difficiles à trouver.

À l’instar de la recherche universitaire, de l’éducation, de la politique et de la médecine, le système judiciaire est gangrené par la corruption et en chute libre. Prenons par exemple le cas récent du professeur Sucharit Bhakdi1, accusé d’antisémitisme sur la base des preuves les plus minces que l’on puisse imaginer. Bien que ce critique éloquent et influent des politiques covid décrétées par le gouvernement allemand ait été acquitté, le procureur général a néanmoins décidé de faire appel et de continuer à essayer de mettre le docteur Bhakdi derrière les barreaux à n’importe quel prix. Qu’un procureur procède de la sorte, en niant totalement le fait qu’il n’existe aucune preuve à l’appui de l’affaire, est plus qu’une parodie de justice : c’est transformer la justice en une plaisanterie stupide. Il est d’ailleurs inquiétant de constater que personne ne sourcille, ce qui montre bien à quel point le système judiciaire en Allemagne (et d’ailleurs dans le reste de l’Europe) a été corrompu.

Pourtant, aux yeux de l’État, exprimer des doutes ou des inquiétudes sur de telles questions est un péché. Tout récemment, le service d’espionnage néerlandais AIVD a publié un rapport indiquant qu’environ 100 000 citoyens néerlandais se méfient de l’État et du gouvernement, ce qui ferait d’eux des « théoriciens de la conspiration ». De plus en plus, et presque ouvertement, il est suggéré que ces personnes doivent être soumises à un traitement psychiatrique. Toute personne saine d’esprit ne ferait pas plus confiance au gouvernement que le gouvernement ne lui fait confiance, et il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes sont fidèles à ce principe, mais apparemment le gouvernement des Pays-Bas, qui est, bien entendu, un pays « démocratique », n’est pas de cet avis.

Il y a plus de raisons qu’il n’en faut de se méfier du gouvernement, non seulement des Pays-Bas, mais de toutes les nations de l’UE. Le gouvernement allemand, dominé par les Verts, est devenu le chien de poche belliqueux et autodestructeur [aux ordres] des États-Unis, déterminé à chasser l’industrie et à humilier, appauvrir et décimer les Allemands de souche. Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, élue en raison de ses promesses solennelles de mettre fin à l’immigration illégale d’Africains noirs et de musulmans grossièrement non qualifiés, non éduqués et hostiles, encourage désormais activement ces personnes à venir en Italie. Le président français Macron, qui ressemble et agit comme un adolescent homosexuel qui a épousé sa mère, n’a cessé de mener des politiques visant à détruire la classe moyenne française. Le gouvernement néerlandais a présidé à l’appauvrissement de la classe moyenne, au point qu’aujourd’hui, 400 000 écoliers vivent sous le seuil de pauvreté, et dont les parents sont incapables de payer le petit-déjeuner et de nouveaux vêtements.

Le gouvernement allemand envisage sérieusement d’interdire le parti conservateur AfD. Cela n’a rien de surprenant dans un pays qui a une vénérable tradition d’interdiction des partis jugés indésirables dans son système démocratique. Pendant de nombreuses années, le parti communiste a été interdit en Allemagne de l’Ouest. Aux Pays-Bas, le parti conservateur FvD s’attend à une décision d’interdiction dans un avenir proche. Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’Ukraine, qui défend les « valeurs occidentales » contre les méchants Russes : Zelensky a tout simplement interdit onze partis. Vive la démocratie !

Il n’est pas surprenant que la colère de la population s’accumule depuis un certain temps, et qu’elle augmente à chaque fois que les gouvernements publient un nouveau décret limitant davantage les libertés ou augmentant les prix.

La France ayant toujours été une nation où la classe moyenne est forte et la classe ouvrière militante, et où les gens sont prêts à descendre dans la rue pour exprimer leur indignation et leur colère, il n’est guère surprenant qu’au cours des dernières années, elle ait été le théâtre de manifestations massives du mouvement des Gilets Jaunes et de personnes protestant contre des réductions drastiques des retraites. Après avoir vu comment ces manifestations pacifiques ont été brutalement et impitoyablement réprimées par la police et les escadrons de tueurs à gages, les Nord-Africains et les Africains noirs des banlieues ont adopté une approche différente. Étant donné qu’au moins 15 % des 65 millions d’habitants de la France métropolitaine sont maghrébins (marocains, algériens, tunisiens) ou noirs, et que la plupart d’entre eux vivent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, l’heure est grave : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, maintenant qu’ils entrent en scène, les choses semblent bien sérieuses.

La vague de guerre urbaine en France signifie que l’effondrement est entré dans une nouvelle phase, celle d’une violence anti-étatique organisée et coordonnée avec des connotations raciales.

Les musulmans d’Afrique du Nord et les Noirs d’Afrique participent à ce qui ressemble à une guerre civile contre des cibles étatiques, culturelles et commerciales et contre des Français blancs. Par conséquent, l’éruption actuelle de violence n’a pas seulement l’étoffe d’une guerre civile, mais plutôt d’une guerre raciale.

Quel que soit l’élément déclencheur de la vague de violence actuelle, celle-ci doit également être considérée comme une conséquence logique de décennies de politiques françaises décrétées sur ordre de la Commission européenne non élue.

Ce qui s’est passé en France pourrait facilement se produire demain dans d’autres pays de l’UE, pour la simple raison que les conditions dans de nombreux endroits sont similaires à celles de la France. De nombreux États membres de l’UE, notamment l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique, comptent également des minorités musulmanes de 10 à 15 % [de la population générale]. Comme de nombreux quartiers et banlieues populaires en France, certaines parties des villes suédoises de Stockholm, Göteborg et Malmö sont depuis longtemps inaccessibles à la police. Il en va de même pour un certain nombre de villes allemandes, notamment Berlin et la région de la Ruhr. À Bruxelles, même sous le nez des commissaires du Quatrième Reich, des quartiers entiers de cette ville sont des zones interdites.

D’aucuns ont suggéré que les événements survenus en France s’inscrivaient dans le cadre de la « grande remise à zéro » prônée par le Forum Économique Mondial (FÉM).

En fait, cette « grande remise à zéro » n’est qu’un autre terme pour beaucoup de destruction, de maladie, de mort, de guerre, de misère et de peur. Il semblerait que les quatre cavaliers de l’Apocalypse aient envoyé leur avant-garde préparer le terrain et qu’ils ne tarderont pas à se manifester. À cet égard, il convient de noter que le slogan « reconstruire en mieux » [NDT « Bild Back Better » — en abrégé BBB, en anglais], si important et si omniprésent il y a encore quelques années, a complètement disparu de la propagande d’État partout.

Pour « reconstruire en mieux », il faut d’abord tout casser. De toute évidence, ce n’est pas ce que les dirigeants de tous les États « démocratiques » de l’Occident ont raconté à leurs « électeurs ».

Mais ne vous inquiétez pas, l’« Occident » est composé de sociétés « fondées sur des valeurs » et soumises à l’« État de droit », où l’« équité », la « diversité » et les « droits de l’homme » sont défendus, où les « émissions de carbone et d’azote » sont limitées et où les « fake news » et la « désinformation » sont interdites.





Le Grand Réveil

[Source : @quantumleaptraduction]

Le Grand Réveil (par Mikki Willis), est le troisième volet de la série Plandemic.
Cette expérience documentaire assemble les pièces du puzzle pour révéler une vue d’ensemble de ce qui se passe réellement en Amérique et au-delà.
Le Grand Réveil se veut un phare pour nous guider hors de la tempête et vers un avenir plus radieux.

Participants à ce projet de traduction :

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Karoline participation au doublage

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4




[Source : @Gl33tchmob]

Voici le premier épisode de la série PLANDEMIC, un documentaire de 26 minutes, qui a été vu par plus d’un milliard de personnes dans le monde, établissant un record historique. Ce documentaire expose des agendas cachés.

En 2021, j’ai pu récupérer la vidéo traduite et doublée avant sa suppression par Youtube. Je l’ai recompilé afin d’avoir la meilleure définition possible.

La vidéo d’origine a été traduite et doublée par la chaîne Youtube = TRADUCTION DOCUMENTAIRES — qui a cessé son activité sur Youtube —




[Source : @PiloteGG]



[Voir aussi :
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin,
Les mécanismes des régimes totalitaires,
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective,
La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies,
L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !,
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade,
Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique,
« Vous n’êtes pas woke ? Nous vous supprimons »,
Changer le Système ?]




Le gouvernement américain responsable des émeutes anti-blancs en France ?

[Source : nationaljusticeparty.com]

Par Joseph Jordan

[NDLR Le texte suivant est diffusé à titre informatif d’un point de vue américain particulier sur la situation française.]

Au cours de la semaine écoulée, les banlieues entourant les grandes villes françaises ont été le théâtre d’incendies et d’actes d’anarchie, faisant au moins un mort confirmé, des centaines de blessés et près d’un milliard d’euros de dégâts. De violentes batailles de rue continuent de faire rage dans tout le pays, opposant les descendants d’immigrés noirs et algériens à la police et aux citoyens gallo-romains. La plupart des violences ont eu lieu autour des magasins de produits de consommation de luxe que les minorités supposées politiquement lésées ont pillés à un rythme alarmant. Les forces de l’ordre sont sur la défensive, leur syndicat national dénonçant publiquement leur incapacité à maîtriser la « sauvagerie ».

Le catalyseur présumé de cet épisode européen de chaos racial anti-blanc à l’américaine a été la mort d’un criminel maghrébin de 17 ans, Nahel Merzouk, abattu par la police après avoir tenté de s’enfuir dans sa voiture lors d’une arrestation. Bien que n’ayant pas l’âge légal pour conduire une automobile, Merzouk roulait dans une voiture de sport Mercedes Benz et a été abattu alors qu’il tentait de s’enfuir pendant que les policiers luttaient pour l’arrêter. En vertu d’une loi de 2017, la police française a pour instruction de tirer sur les conducteurs imprudents qui tentent d’échapper à l’arrestation, mais le policier blanc en question, Floriant M., est néanmoins accusé d’homicide involontaire afin d’apaiser la mafia, les élites économiques et les militants raciaux professionnels.

Si la situation rappelle les émeutes raciales de 2020 qui ont secoué les États-Unis après la mort de George Floyd, ce n’est pas une coïncidence.

Les médias français se sont d’abord rangés du côté de la police dans cette affaire. Ils ont changé d’avis après qu’un court extrait hors contexte de l’incident a été repris par des agents locaux de Washington, formés par le département d’État américain, comme Rokhaya Diallo, qui se sont adressés à des médias britanniques et américains amis pour bafouer les lois françaises strictes en matière d’incitation et approuver ouvertement la violence criminelle tout en diffamant les Français de race blanche sans aucun contre-argument.

Ces émeutes sont le produit d’une malveillance délibérée, fruit de plus d’une décennie d’opérations d’influence secrètes et manifestes visant à transformer la population criminelle noire et brune de France en un point d’appui impérial juif américain permanent.

L’une des premières traces de cette opération de renseignement est une série de câbles classifiés de l’ambassade américaine datant de 2010 et rendus publics par Wikileaks. Dans ces mémos, le magnat juif d’Hollywood Charles Rivkin, alors nommé ambassadeur en France par l’administration Obama, expose un plan en sept points pour mobiliser les Noirs et les Maghrébins en France comme une arme politique contre leurs hôtes.

[Les sept points étaient les suivants :
1- TENIR UN DISCOURS POSITIF (envers la démocratie, les minorités, etc.) ;
2- DONNER UN EXEMPLE FORT (en étant inclusifs, pour faire tomber les barrières, faciliter la communication et étendre les réseaux) ;
3- LANCER UNE ACTION AGRESSIVE DE SENSIBILISATION DES JEUNES ;
4- ENCOURAGER LES VOIX MODÉRÉES (en travaillant notamment avec les sites musulmans français oumma.fr et saphirnews.com) ;
5- DIFFUSER LES MEILLEURES PRATIQUES ;
6- APPROFONDIR NOTRE COMPRÉHENSION DU PROBLÈME ;
7- INTÉGRER, CIBLER ET ÉVALUER NOS EFFORTS.

]

Dans ce mémo infâme, Rivkin déplore que les institutions françaises soient « très majoritairement blanches » et élabore un plan visant à créer des médias parallèles, des ONG et des entités éducatives soutenus par le Département d’État, afin de saper et de remplacer l’ordre établi. Dans le but de déseuropéaniser la France, l’ambassadeur juif appelle à mobiliser l’influence américaine pour « intensifier notre travail avec les musées et les éducateurs français afin de réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises », en utilisant les « nouveaux médias » pour endoctriner les jeunes non blancs en France, et « soutenir, former et engager les médias et les activistes politiques qui partagent nos valeurs ». Le câble résume l’ordre du jour en demandant aux agents de Washington de « s’appuyer sur les vastes programmes de diplomatie publique déjà en place dans les postes et de développer des moyens créatifs et supplémentaires pour influencer la jeunesse française, en utilisant les nouveaux médias, les partenariats avec les entreprises, les concours nationaux, les événements de sensibilisation ciblés, en particulier les invités américains » pour « identifier » et « influencer les futurs dirigeants français ».

Rivkin a fini par utiliser ses contacts à Hollywood pour recruter des célébrités américaines comme Samuel L. Jackson pour l’accompagner dans les ghettos français afin de l’aider à recruter des agents potentiels.

Plusieurs activistes anti-blancs et des institutions dédiées à l’incitation des non-blancs contre la police et la société française dans laquelle ils ont choisi de vivre ont depuis émergé de cette conspiration. Des personnalités telles que la susmentionnée Diallo — qui est aujourd’hui sans doute l’activiste française la plus en vue de la planète grâce à la tribune qui lui a été accordée par les médias américains — et la juive Tara Dickman du « Collectif contre le profilage racial » (un groupe anti-police) ont été amenées aux États-Unis par l’ambassade américaine et les ONG atlantistes affiliées pour être formées aux techniques d’agitation bolchévique dans des villes telles que Chicago.

À la suite de cette action, Mme Dickman a indiqué qu’elle avait appliqué les stratégies américaines en France pour mener une avalanche de procès pour « profilage racial » contre la police dans l’espoir d’entraver sa capacité à appliquer la loi contre les criminels africains et algériens — en fait, elle a voulu faire naître un problème qui n’existait pas auparavant. En conséquence, les policiers français ont été neutralisés en ce qui concerne la criminalité non blanche, sous l’effet d’une immense pression juridique, médiatique et politique mondiale coordonnée. Cette nation européenne, autrefois relativement sûre, est aujourd’hui rongée par la violence ethnique et interraciale, comme en témoignent les vidéos choquantes montrant des enfants en bas âge et leurs grands-mères brutalisés dans la rue par des noirs et les récits de jeunes filles blanches de 12 ans enlevées et torturées à mort par des Algériens. À l’heure où nous écrivons ces lignes, la France est plus dangereuse que le Mexique.

Certains hommes politiques français, comme le député Nicolas Dupont-Aignan, ont ouvertement condamné la main visible et secrète de l’Amérique derrière la montée des récits de « culpabilité blanche », de la violence anti-blanche et de l’agitation corrosive bien financée dans le pays. Même Emmanuel Macron, la forme platonique d’un néolibéral, a condamné le rôle du « wokeisme » judéoaméricain dans la déstabilisation de la nation et l’exacerbation des conflits raciaux.

Bien que les Français soient très conscients de ce qui se passe, peu de choses sont faites pour contrer l’influence de leur « allié » de l’OTAN, qui espionne agressivement ses dirigeants politiques sans aucune conséquence diplomatique. Plusieurs personnalités et dirigeants français influents, tels que les anciens présidents François Hollande et Nicolas Sarkozy (qui est juif) sont d’anciens élèves des opérations d’influence et de recrutement d’actifs de Washington, y compris le programme de leadership des visiteurs internationaux du département d’État. Les élites françaises sont fortement compromises par les États-Unis, ce qui a empêché la formation d’une solidarité significative contre l’ingérence de Washington.

Alors que Macron tente apparemment de convaincre l’Europe de suivre une voie plus indépendante en matière de politique étrangère, loin des États-Unis, Washington pourrait considérer que le fait de forcer davantage de non-Blancs « américanisés » sans racines à occuper des postes de pouvoir en France, par le biais de la menace d’émeutes raciales soutenues par le département d’État et de programmes accélérés de discrimination positive, constitue la solution permanente à une tendance gaulliste autochtone. L’idée parfois antiaméricaine d’une France souveraine anime à la fois la gauche et la droite autochtones, mais les Juifs perçoivent ce consensus comme une menace pour l’effort mondialiste-atlantiste qui cherche à empêcher l’Europe d’émerger en tant que puissance indépendante dans un monde multipolaire.

Le cauchemar sans fin auquel les dirigeants juifs de l’Amérique nous soumettent chez nous est destiné à l’exportation, comme l’a écrit l’actuel secrétaire d’État Antony Blinken avec son complice juif Robert Kagan en 2019. Blinken explique clairement que toute nation se trouvant dans la sphère d’influence économique et militaire de Washington verra sa culture et son peuple d’origine attaqués, et que ceux qui résistent doivent être écrasés. Si ces personnes sont blanches, la politique prendra une forme particulièrement cruelle et féroce.




France — SOS Éducation alerte le Conseil Supérieur des Programmes sur le programme « Éducation à la sexualité »

[Source : cielvoile.fr]

Par Sophie Audugé

Conseil Supérieur des Programmes
Monsieur le Président
Mark Sherringham
110 rue de Grenelle
75357 PARIS 07 SP

Paris, le 30 juin 2023

Objet : URGENT — programme « Éducation à la sexualité »

Cher Monsieur le Président, Cher Mark Sherringham,

Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé à la presse, le 28 juin, avoir saisi le Conseil Supérieur des Programmes que vous présidez, pour l’élaboration d’un programme d’« enseignement à la sexualité » par niveau.

Cette annonce rappelle que les séances, au nombre de trois par an, imposées dès la primaire à tous les élèves, sont réalisées sans aucun cadre académique depuis des années, avec une accélération sans précédent des interventions depuis 2 ans.

Les circulaires publiées pour limiter les risques ne sont pas respectées, s’agissant :

  • des précautions à prendre sur les contenus,
  • de la présence d’au moins 2 intervenants, dont un personnel éducatif de l’établissement,
  • de la formation des intervenants sur le développement et la protection de l’enfant,
  • de la co-construction et de l’obligation d’information des parents au préalable,
  • des associations extérieures qui dispensent un contenu idéologique, etc.

Il est important de porter à votre connaissance les éléments factuels qui suivent et de vous informer que de nombreuses dérives ont été observées sur tout le territoire.

Au motif de cette soi-disant « éducation à la sexualité », des élèves ont été soumis à des contenus à caractère sexuel par une autorité, sans pouvoir s’y soustraire, c’est-à-dire sans pouvoir consentir.

Au niveau symbolique, la mise en œuvre actuelle de ces séances est une démonstration de ce qu’il ne faut surtout pas faire. Le mode opératoire est contraire aux principes de prévention qu’il convient justement de faire intégrer aux enfants. J’y reviendrai.

Mais surtout, certaines de ces séances constituent une effraction. OUI, une effraction !

Un cambriolage du « moi » intérieur. Une violation intimement ressentie. Un viol psychique.

Le traumatisme qui s’installe chez l’enfant prend la forme de la sidération, du sentiment d’être sali, d’une perte de confiance, de repères battus en brèche, de peur panique, etc.

Les conséquences se manifestent rapidement : mutisme, ou au contraire, logorrhée, dégoût de son corps, pleurs incontrôlés, énurésie, phobie scolaire, tristesse…

Les victimes sont des enfants à l’âge de l’innocence, scolarisés pour apprendre des savoirs académiques et non pour subir un viol psychique.

Concrètement, les enfants sont placés sous emprise de l’institution scolaire et se voient déverser des contenus inadaptés, établis par des associations idéologiques et diffusés par l’OMS dans ce document : Standards européens pour l’éducation à la sexualité.

Il est troublant que Pap Ndiaye sollicite le Conseil Supérieur des Programmes pour mettre en place ce que l’OMS appelle de ses vœux depuis 2013…

Faire de la sexualité un enseignement à part entière et prévoir des examens d’évaluation des élèves !

« L’éducation sexuelle n’est pratiquement jamais une branche d’examen, même si certains de ces éléments devraient ou pourraient l’être dès lors qu’ils sont traités dans le cadre de branches obligatoires comme la biologie. Pour être suffisamment valorisée, l’éducation sexuelle devrait devenir une branche d’examen. » page 16

« L’éducation sexuelle doit être participative. Les jeunes ne doivent pas être des récepteurs passifs, mais doivent au contraire jouer un rôle actif dans l’organisation, le déroulement et l’évaluation de l’éducation sexuelle. C’est le seul moyen de garantir que l’éducation sexuelle soit axée sur les besoins et les intérêts, et ne suive pas simplement un programme préétabli ou un agenda défini par l’enseignant/éducateur. » page 29 – 6.1 Dispenser l’éducation sexuelle cadre général et exigences de base

Il convient de porter à votre connaissance que ces standards ont été établis au départ par un groupe de travail dont 15 des 16 membres ont des liens avérés avec des associations militantes et lobbyistes actives des droits LGBTQI+. À l’évidence, la vigilance qui doit s’opérer pour constituer un groupe de travail d’experts sans conflit d’intérêts n’a pas été suivie.

Voyez-vous, Monsieur le Président, je crains que l’on vous fasse endosser le mauvais rôle, celui du petit soldat de l’OMS affecté à la déconstruction organisée de l’innocence et à l’effraction du développement de l’enfant.

Les risques sont réels. Une multitude de signalements nous sont parvenus.

Plusieurs courriers ont été adressés au ministre de l’Éducation nationale, avec l’exposé de faits graves qui se sont déroulés dans des écoles. Pap Ndiaye est resté sourd à nos alertes sur ces faits pourtant irréfutables. Il n’y a eu aucune réponse officielle, mais des intimidations ont été faites auprès des parents ayant alerté.

SOS Éducation prépare une note de synthèse sur les dangers de l’éducation à la sexualité pour les enfants. Nous avons rassemblé un comité d’experts émérites, composé de médecins, pédopsychiatres et psychologues, tous spécialistes de la protection de l’enfance.

Il est probable que la saisine du ministre soit un moyen de vous repasser la « patate chaude » et, par la même occasion, de transférer la responsabilité des dérives à venir sur votre institution.

Il faudra bien trouver quelqu’un pour assumer les enfances sacrifiées…

Vous pouvez mettre fin à cette mascarade éducative. Pour cela, il est primordial de vous informer auprès d’associations indépendantes, neutres et sans conflit d’intérêts.

SOS Éducation est une de ces associations. Je vous propose de nous rencontrer afin de vous transmettre toutes les données que nous avons pu rassembler sur ce sujet.

Le comité d’experts constitué par SOS Éducation sur le développement psychoaffectif de l’enfant sera également mis à votre disposition pour vous fournir toutes les bases scientifiques permettant de distinguer les bonnes pratiques en la matière et de connaître les risques de la transmission de contenu à caractère sexuel, en fonction de l’âge.

Si l’objectif est la prévention, alors 6 principes simples sont à enseigner aux enfants et à faire respecter scrupuleusement dans l’institution scolaire :

  • La sexualité est interdite entre un adulte et un enfant,
  • La sexualité est interdite entre des personnes de la même famille,
  • La sexualité sans consentement est un délit puni par la loi,
  • La sexualité relève de l’intime, chacun a son rythme,
  • La sexualité, c’est en privé ; en public, c’est un délit,
  • La majorité sexuelle (aptitude à consentir) est fixée en France à 15 ans.

Ce cadre législatif, rappelé en des termes et moyens éducatifs appropriés à l’âge, vise en premier lieu à protéger les enfants des risques d’abus sur eux-mêmes, par des mineurs et par des adultes. 10 % des enfants sont abusés sexuellement, soit 2 à 3 élèves par classe.

Si par contre, l’enjeu est de suivre les préconisations de l’OMS, alors l’éducation à la sexualité est une succession d’injonctions contradictoires à ces principes.

Selon les standards éducatifs de l’OMS, l’enfant est :

  • un sujet sexualisé à éduquer,
  • destinataire de contenus éducatifs à caractère sexuel,
  • par un adulte ayant autorité sur lui,
  • sans avoir consenti,
  • obligé d’y assister et de prendre part,
  • en public et ne pouvant s’y soustraire,

Il s’agit d’immerger l’enfant dans la sexualité adulte par effraction de son intimité psychique.

Les standards de l’OMS, adoptés par la France, ont dévoyé l’intention préventive des séances mises en place dans notre pays dans les années 2000.

L’opinion publique, les parents, les professeurs et le personnel de santé étaient favorables à cette sensibilisation puisqu’il s’agissait de protéger les enfants des abus sexuels et d’informer les adolescents des risques de MST, du sida, de grossesse, etc.

L’OMS a réfuté les programmes de prévention considérant qu’ils donnaient une vision négative de la sexualité. Depuis, l’OMS fait l’apologie du plaisir sexuel et met au second plan la prévention.

  • Et le plaisir sexuel, c’est dès la naissance. L’éducation à la sexualité commence au berceau.
  • Le crédo de l’OMS est simple : le sexe, c’est du plaisir et le plaisir, c’est bon pour la santé.
  • Pour l’OMS, le citoyen du futur est un humain augmenté qui jouit !

Le lien entre dogme du plaisir et consommation addictive n’est pas fortuit.

Monsieur le Président, cette éducation sexuelle fondée sur le plaisir, sur laquelle le ministre de l’Éducation nationale vous somme d’apposer le sceau du Conseil Supérieur des Programmes, est contraire :

  • à l’intérêt de l’enfant,
  • à la prévention contre les abus sexuels,
  • au respect des principes les plus élémentaires du consentement.

Trois préoccupations pourtant primordiales. Elles devraient diriger votre action d’élaboration du corpus pédagogique à déployer de l’école primaire au lycée.

C’est bien la prévention qu’il vous appartient de réhabiliter d’urgence.

L’apologie du plaisir sexuel n’a pas à être institutionnalisée dans l’École.

Les standards de l’OMS ont déjà suffisamment infiltré les administrations. Ils sont notamment la référence du site officiel « onsexprime.fr » de Santé Publique France, accrédité du logo de la République française et recommandé par Éduscol. L’Éducation nationale a participé à la rédaction des textes de ce site.

La saisine de Pap Ndiaye vous invite à vous y référer. Permettez-nous de vous dire que le site « onsexprime.fr » n’est pas un modèle à suivre si votre objectif est de préserver le développement psychoaffectif de l’enfant. En accès libre, les supports, textes et visuels se caractérisent par un langage direct et cru.

Le principe idéologique sous-jacent est celui prôné par l’OMS, d’une sexualité infantile source de plaisir à valoriser et à stimuler. L’enfant est sexualisé dès le plus jeune âge, et ces gestes sont interprétés comme des pulsions sexuelles.

L’enfant est présenté comme sujet et objet de désir sexuel.

Selon ces préceptes idéologiques, qu’aucune donnée scientifique ne confirme, l’enfant serait capable de consentir dès 4 ans.

Vous trouverez ci-dessous un extrait de la matrice pour le groupe d’âge 0-4 ans des standards de l’OMS pour l’éducation à la sexualité en Europe.

L’explicitation du plaisir au nouveau-né, l’éducation à la reconnaissance et à la recherche du plaisir par le toucher sur soi et sur les autres émanent des travaux d’Alfred Kinsey. Lequel, avec d’autres pseudoscientifiques, a cherché à déculpabiliser les adultes de pratiques clairement pédophiles. Il est essentiel de le rappeler !

Ces travaux sur la sexualisation des enfants vont de pair avec la déresponsabilisation des adultes pédophiles. Pour Kinsey et ses acolytes, le petit enfant a des désirs qu’il assume et assouvit en se masturbant. Selon ce principe, il est capable de consentir quel que soit l’âge.

Maurice Berger, médecin, pédopsychiatre et sommité française de la protection de l’enfance, explique parfaitement cette manipulation intellectuelle autant que sémantique :

« Un autre enjeu est plus sournois dans cet éveil précoce à la sexualité. Dans les textes définissant les droits sexuels et les Standards, qui sont cités sur les sites conseillés par les ministères, il est introduit de manière insidieuse l’idée que la sexualité des enfants peut être volontaire, de leur fait, et qu’il n’y a rien à reprocher à une activité sexuelle impliquant un enfant s’il est “consentant”. Un flou volontaire est entretenu en permanence dans ces textes grâce aux termes : “en tenant compte des capacités évolutives de l’enfant”, apparemment issus d’un rapport de l’UNICEF qui n’évoque pourtant le domaine de la sexualité qu’en termes de protection. » Maurice Berger

C’est donc bien un dogme pédophile que l’éducation à la sexualité-plaisir transmet aux enfants. C’est d’ailleurs l’argument que les agresseurs sexuels revendiquent pour leur défense : « Il ou elle m’a dit que cela lui faisait plaisir, qu’il ou elle voulait que je lui apprenne… ».

Les standards de l’OMS intègrent cette capacité à consentir de l’enfant dès 6 ans.

« Les bonnes et mauvaises expériences de son corps/qu’est ce qui provoque un bon ressenti/sensation ? (écouter son corps) le droit de refuser si l’expérience ou le ressenti n’est pas plaisant. » Page 41 — tableau du groupe 4-6 ans — domaine informer, informer l’enfant sur sexualité, santé et bien-être.

Mais ce n’est pas tout. Ce programme de sexualisation infantile perturbe le développement psychoaffectif de l’enfant en empêchant les mécanismes d’inhibition de se mettre en place.

Entre 5 et 10 ans, l’enfant est dans une phase fondamentale, dite de latence, pendant laquelle il élabore son aptitude à se réfréner, à inhiber ses pulsions, et se consacre aux apprentissages. « Un homme ça s’empêche », disait Camus. Et s’empêcher, ça s’apprend.

Pendant cette phase, le programme auquel le ministre de l’Éducation nationale invite le Conseil Supérieur des Programmes à se référer conduit l’enfant à une dissonance cognitive traumatique : l’excitation percute l’élaboration d’inhibition.

Cette plongée dans la sexualité adulte est violente et inadaptée. Permettez-moi un parallèle.

Il fut un temps où pour apprendre à nager, certains professeurs, mal inspirés, jetaient les enfants à l’eau. L’argument était que le bébé naît nageur. Et donc, poussé à l’eau, naturellement, il saurait nager !

C’est exactement ce qu’il se passe avec cette pseudo-éducation à la sexualité fondée sur le principe que le bébé naît sexualisé et apte à se donner et à recevoir du plaisir.

À la nuance près que la natation est une discipline officielle.

Vous mesurez, j’imagine, les risques de faire, avec l’aval de votre institution, de l’éducation à la sexualité une discipline officielle à enseigner à la manière de la natation.

Les enfants reçoivent « en pleine figure » le détail de pratiques sexuelles, abstraites pour eux. Ils sont immergés de force dans une sexualité adulte, qui ne les concerne pas et qui n’a rien à voir avec leurs propres pulsions.

Les enfants, aussi durement confrontés, n’ont pas d’autre choix que l’enfouissement traumatique ou l’expérimentation. Ce mécanisme est bien connu chez les consommateurs de pornographie. Les contenus à caractère sexuel/pornographique présentés dans le cadre scolaire produisent le même effet.

À la différence que le rôle de l’École est non pas de traumatiser ou d’exciter, mais bien d’instruire !

C’est le contrat moral passé avec les parents. Ils sont les premiers concernés et ils ne sont pas d’accord avec ce changement de cap : passer de la prévention à la sexualisation.

Ils confient leurs enfants à l’École pour qu’ils apprennent des savoirs académiques… Et ils les récupèrent profondément choqués, dans un état de profond mal-être.

Cette interférence dans la sphère éducative parentale, qui impacte la santé de l’enfant, crée une rupture de confiance entre l’école et la famille.

D’ailleurs, le personnel éducatif a beaucoup de mal à trouver les arguments pour justifier auprès des parents qu’un intervenant a :

  • expliqué à une classe de primaire (8 – 10 ans) le plaisir de la masturbation, la fellation, la sodomie, le cunnilingus…
  • supprimé la récréation, car le groupe des filles n’osait pas poser de questions, alors que la participation est obligatoire,
  • imposé au collège la pose d’un préservatif sur un sexe factice devant toute la classe,
  • empêché une élève, abusée enfant, de sortir avant qu’elle ait réalisé l’« exercice ».

Généralement, l’établissement scolaire adopte deux attitudes simultanément :

  1. la stratégie du « pas de vague » qui consiste à minimiser les conséquences traumatiques sur les enfants et à ne surtout pas ébruiter ce qui a été dit,
  2. il se cache derrière les programmes imposés par le ministre de l’Éducation nationale avec la formule célèbre « C’est pas nous, c’est dans le programme ! »

Mais voilà, Monsieur le Président du Conseil Supérieur des Programmes, demain, « la faute au programme », ce sera vous. C’est pourquoi votre mission est si importante.

Il faut réparer l’erreur originelle de ce marasme.

L’enfant n’a pas à être sexualisé. Ni à l’École ni ailleurs. ÉVIDEMMENT !

Il vous appartient, Monsieur le Président :

● de rappeler ce qui relève de l’instruction et ce qui est du registre de l’éducation,

● de distinguer un enseignement académique d’un discours idéologique.

Le Conseil Supérieur des Programmes statue sur l’élaboration pédagogique des enseignements académiques dont la valeur professorale est certifiée par un concours : CAPES ou agrégation.

L’éducation sexuelle sera-t-elle bientôt une matière académique au même titre que les mathématiques et le français ? Ce point mérite d’être précisé.

Les parents, le personnel de l’Éducation nationale et les équipes de santé scolaire attendent une réponse claire concernant le périmètre dévolu à l’École.

De nombreux professionnels de l’enfance, spécialistes du développement, référents des affaires d’abus sexuels, professeurs émérites de la protection des enfants et des adolescents, alertent depuis 2017. Ils n’ont pas été entendus. Ne faisons pas deux fois la même erreur.

Je réitère ma proposition. Notre comité d’experts se tient à votre disposition pour vous exposer les données scientifiques du développement psychoaffectif afin de mener votre mission à bien, en pleine conscience des besoins et des risques pour les enfants.

Il vous appartient de veiller à protéger dans l’école, les élèves, de l’hypersexualisation actuelle de la société, et ce, bien que des institutions internationales s’en fassent le funeste relais.

Il est essentiel de permettre aux enfants de grandir et de se développer de manière harmonieuse, à leur propre rythme. L’école doit rester un sanctuaire qui préserve cela.

Espérant que vous saisirez cette invitation à coopérer dans l’intérêt supérieur des enfants, nous vous prions de croire, cher Monsieur le Président, cher Monsieur Mark Sherringham, en l’assurance de notre considération la plus distinguée.

Sophie Audugé

Déléguée générale de SOS Éducation

https://soseducation.org/docs/mobilisations/education-sexualite/courrier-csp-06-2023.pdf




Selon le Dr P. Marik, l’objectif de Big Pharma est de nous rendre aussi dépendants que possible des médicaments

[Source : Etresouverain via PG]

Le Dr Paul Marik affirme que la médecine est contrôlée par l’industrie pharmaceutique et les grandes entreprises dont le but n’est pas de promouvoir la santé, mais de vendre des médicaments coûteux et de nous rendre dépendants d’eux jusqu’à notre mort. Presque tous les membres du Congrès ont été soudoyés par Big Pharma. Des maladies comme le diabète et le cancer peuvent être guéries.

[À partir de 0:46]






S.O.S. Chaînes Infos

[Source : AVATAR Media et Nicolas Bonnal]

[Voir aussi :
L’effet CNN
et
L’implosion du Titan et le complot de la catastrophe du Titanic]




L’implosion du Titan et le complot de la catastrophe du Titanic

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Le submersible Cyclops 1 d’Ocean Gate exposé au Musée de l’histoire et de l’industrie de Seattle (MOHAI) (CC BY-SA 4.0)]

Par Aurelien Girard

Le Titanic n’a jamais coulé. Le secret en était bien gardé, car il s’agissait d’une juteuse arnaque aux assurances, durant laquelle un autre navire, l’Olympic, a remplacé le géant des mers au fond de l’Atlantique Nord. À l’époque, les propriétaires des deux navires, soutenus par le banquier JP Morgan qui voulait éliminer quelques rivaux, ont substitué le Titanic flambant neuf par l’Olympic, navire plus vieux et endommagé et ont délibérément provoqué la collision avec un iceberg. Les passagers du sous-marin Titan, disparu lors d’une plongée autour de l’épave, pourraient avoir fait les frais de s’être approchés un peu trop près de la vérité.

Vous venez de lire le résumé d’une des plus grandes « trends », les tendances du réseau social TikTok, avec près de 5 millions de vues et un positionnement tout en haut de la liste des recommandations du réseau chinois. Pourquoi pas, direz-vous, puisque les complots et les arnaques à l’assurance existent depuis fort longtemps. Pourquoi pas, en effet, jusqu’à ce que cinq toutes petites minutes permettent de trouver les analyses d’historiens — non financés par JP Morgan — qui ouvrent une grosse voie d’eau dans cette accusation. Cinq minutes que les utilisateurs de TikTok auront mobilisées uniquement pour relayer l’information et lui permettre de s’amplifier, plutôt que pour la vérifier.

Cette même semaine dernière, le Pr Didier Raoult est reparti à l’offensive contre tous ceux qui l’accusent d’avoir mené des essais cliniques sauvages ; il affirme que le pouvoir tente d’étouffer sa découverte, car elle gêne le Big Pharma. Oui, persiste-t-il, il a sauvé de la mort des milliers de personnes grâce à l’hydroxychloroquine. Mais, indique-t-il aux centaines de milliers de personnes qui le suivent sur Twitter, gouvernement comme industriels se sont ligués pour le détruire, défendre leurs intérêts et vendre des vaccins peu efficaces et parfois dangereux. Pourquoi pas, là encore… les données scientifiques sur les vaccins anti-Covid — de même que l’expérience de terrain des vaccinés, ne parlent pas en leur faveur. On peut aujourd’hui encore débattre, pourquoi pas. Jusqu’à ce qu’une recherche un peu plus approfondie montre que Didier Raoult a falsifié une partie de ses résultats pour les faire aller dans le sens de son intérêt. Les journalistes ou scientifiques qui le disent sont systématiquement accusés d’être vendus au système : « Un coup de canif dans le serment d’Hypocrate. » (sic) dit doctement @libertés_ ; « Les procès arrivent », entonnent d’autres en se ralliant derrière le hashtag #Nuremberg2 à destination des « crasseux propagandistes au service de la doxa » (@StephanCaraibes)

Dernière actualité, le brutal revirement du groupe Wagner en Russie, samedi 24 juin, anime les débats des nouveaux spécialistes en géopolitique : la tentative supposée de coup d’État était une habile diversion de Vladimir Poutine qui, en conduisant à un déplacement des troupes de Wagner vers la Biélorussie, leur aurait permis de se rapprocher de Kiev. Ou bien, à Moscou, un génie du mal dans l’ombre pourrait avoir placé ses pions pour discréditer à la fois le chef de Wagner et le président Poutine afin de préparer une transition politique ; à moins, comme l’indique un autre membre populaire de Twitter, que ce ne soit un nouvel exemple du « complot sioniste » qui depuis si longtemps sait qu’il faut diviser pour mieux régner, complot déjoué par Poutine. Dans une guerre comme en politique, les tactiques diverses existent, pourquoi pas, donc. Le banquier juif a, par contre, bon dos dès que quelque chose va mal quelque part, traînant derrière lui un cortège bariolé composé de la CIA, des Fortune 500, de Rockefeller et du fonds d’investissement BlackRock, pour n’en citer que quelques-uns.

Partout, la vitesse de l’information fait exploser les cerveaux contraints à des paris non mesurés sur le vrai et le faux, paris généralement posés sans la moindre compréhension réelle des sujets. Quel meilleur chemin vers le totalitarisme qu’une période où il suffit d’exploiter les leviers de la bêtise humaine et de la plausibilité partielle pour créer des réactions en chaîne ? Si les théories du complot sont une réaction biologique au sentiment d’une omniprésente manipulation par les puissants, elles font de leurs consommateurs des sortes de zombies prêts à tout croire, plus manipulables encore. La solution pour tous serait peut-être une assez longue détox digitale, le temps par exemple de lire Montaigne et de développer comme lui un scepticisme bienveillant. Les grands esprits du passé nous ont laissé assez de leçons à cueillir pour ne plus être emportés au moindre coup de vent.




CLIMAT : aux fous ! L’humanité aurait changé l’inclinaison de la terre à force de pomper l’eau souterraine !!

Par Gérard Le Maître

Ce n’est pas un poisson d’avril !! C’est même sur BFwc qu’ils l’ont dit !

Toutes les manipulations et tous les mensonges sont bons pour nous faire avaler le changement climatique !



L’humanité a déplacé l’axe de rotation de la Terre de près d’un mètre en deux décennies. En cause : le prélèvement des eaux souterraines et l’élévation du niveau de la mer.

Comment l’humanité a-t-elle réussi à décaler l’angle de rotation de la Terre ?

En pompant une grande quantité d’eau dans le sol, répondent les scientifiques.

Ils estiment que l’Homme a pompé 2 150 gigatonnes d’eau souterraine entre 1993 et 2010.
Alors que la masse de La Terre est en milliards de milliards de gigatonnes !!1

Ha bon ??? Mais voilà !! Ces pseudos « savants » ignorent sans doute que quoiqu’on fasse il y a toujours la même quantité d’eau sur terre globalement depuis sa création !!

La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre.

C’est l’organisation de la distribution et de la consommation d’eau douce qui pose problème, en période d’abondance ça passe mais en cas d’années plus sèches au cours des cycles plus ou moins chauds, plus ou moins secs qui évoluent depuis des millénaires c’est là que les difficultés apparaissent,
La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre. Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : l’eau circule en circuit fermé :

Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide. Cette eau liquide est concentrée dans les nuages puis dans les précipitations.

Une fois que l’eau a atteint le sol, son cycle va se dérouler de façon essentiellement liquide. Seule une toute petite partie de cette eau douce est en mouvement, la grande majorité étant stockée dans les nappes souterraines.

Une partie de l’eau douce est utilisée par les plantes, le reste est drainé vers les rivières ou dans les nappes. Les racines des plantes vont capter l’eau, qui s’évaporera ensuite par le système de transpiration des feuilles. Cette « transpiration » constitue de la vapeur d’eau.

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Répartition de l’eau sur Terre :

Sécheresses en France depuis 150 ans ce n’est pas nouveau, il y a eu pire….

Événements historiques remarquables :

On se souvient évidemment de 1976 qui nous a valu la création d’un » impôt sécheresse » Merci Giscard !

Et il y a eu entre autres plus importantes une sécheresse continue de 1942-1949

La France a connu de 1942 à 1949 une période sèche d’une gravité toute particulière, la plus importante de l’origine des observations pluviométrique à 1950. L’année septembre-août ou octobre-septembre 1948-1949 a été en particulier une des plus sèches que la France a connues, après celle de 1921 qui conserve le record connu de pénurie pour 12 mois consécutifs dans la majeure partie du pays (à la date d’établissement du rapport en 1950). Les cours d’eau ont connu de très nombreux assecs, notamment dans le Centre, le Sud-Ouest et l’Ouest où les débits moyens annuels sont tombés à des valeurs très faibles, entre 10 et 30 % pour de nombreuses rivières pluviales ou pluvio-nivales aux bassins semi-montagneux et de 3 à 5 % pour de nombreux cours d’eau de plaine.

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La Russie remporte l’oscar du meilleur coup d’État. Prigojine remporte le prix du meilleur acteur

[Source : reseauinternational.net]

Par Larry Johnson

Et si le « coup d’État » de Prigojine était Maskirovka ? Je veux explorer cette possibilité. Plus tôt dans la journée (samedi sur la côte est des États-Unis), j’esquissais un article au titre accrocheur : « Prigojine — putsch ou stratagème ? » Eh bien, cette belle idée s’est envolée comme le barrage de Kakhovka lorsque le récit du projet de Prigojine de marcher sur Moscou et d’étrangler personnellement le ministre russe de la Défense Choïgou a fait un magnifique salto arrière, à la Nadia Comăneci. Prigojine a ordonné à « ses » troupes de retourner à leurs bases, après avoir conclu un accord avec le président de la Biélorussie, Alexander Loukachenko, pour s’exiler et n’encourir aucune sanction judiciaire. QUOI ????? Pas d’effusion de sang ? Pas de kilomètres de chars en flammes ? Et pas de cravate Mussolini pour Vladimir Poutine ? Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?

On pouvait sentir la déception et la frustration émanant de l’establishment de Washington. L’équivalent politique d’une éjaculation précoce. Hier soir (vendredi), on pouvait entendre les bouchons de champagne et le pop-corn sauter alors que les médias et les responsables des services de renseignement se regroupaient autour des écrans d’ordinateur pour attendre les images d’un Poutine désemparé courant à poil loin du Kremlin. Biden et son équipe me font penser à Vil Coyote par le désespoir qu’ils éprouvent en regardant leurs plans farfelus pour attraper Poutine s’effondrer et s’envoler.

Bien que je ne puisse pas écarter fermement la possibilité que Prigojine ait tenté ce coup d’État de son propre chef (ou avec l’encouragement d’un soutien extérieur), je tiens à présenter le scénario de Maskirovka.

Commençons par les faits :

1— Le groupe Wagner a été créé par des services de renseignement russes et financé par le gouvernement russe. De nombreux Occidentaux croient à tort que Prigojine a les poches pleines, qu’il paie les factures de Wagner et que, bien qu’il n’ait AUCUNE expérience militaire, il est le commandant de l’organisation. Comme disent les Russes, NIET !

2— Les États-Unis et le reste de l’OTAN considèrent la Russie comme une dictature. Depuis des mois, Prigojine profère des menaces contre l’armée russe et, indirectement, contre Poutine, mais il n’a fait l’objet d’aucune arrestation ou sanction. Cela signifie-t-il que, finalement, la Russie n’est pas une dictature ?

3— Prigojine a ostensiblement lancé le coup d’État, selon ses propres dires vendredi, parce que le ministère de la défense russe a frappé avec des missiles, des obus et des roquettes un campement de troupes wagnériennes qui s’entraînaient à la guerre. Mais la prétendue vidéo de l’incident ne montre aucune victime. Aujourd’hui, Prigojine est revenu sur ses propos et insiste sur le fait qu’il ne faisait que protester contre la décision du ministère de la Défense d’intégrer le groupe Wagner dans l’armée russe.

4— Le gouvernement russe a attendu environ 12 heures avant d’envoyer des forces de police/militaires au siège du groupe Wagner à Saint-Pétersbourg. Peu de sens de l’urgence.

5— Prigojine aurait ordonné à une colonne de troupes Wagner d’aller de Rostov-sur-le-Don à Moscou pour détrôner Choïgou et peut-être le général Gerasimov. Regardez la carte. Cela représente une distance de près de 1200 kilomètres. Comment cette colonne de camions et de chars était-elle censée se ravitailler et couvrir cette distance en moins de 20 heures ?

Que pensez-vous de l’explication suivante ? Toute l’histoire du coup d’État a été conçue pour permettre le déplacement des forces militaires russes vers les régions situées au nord et à l’ouest de Voronej sans alerter les planificateurs de l’OTAN. La Russie ne faisait que déplacer des forces pour arrêter les auteurs du coup d’État et non pour constituer des forces en vue d’un nouvel axe offensif.

Il semble que les racines de l’histoire selon laquelle Prigojine allait trahir la Russie remontent à 2022. Quelqu’un ayant des liens avec les services de renseignement occidentaux était en relation avec Prigojine et a commencé à le sonder sur la possibilité de collaborer avec l’Occident. Prigojine a informé ses chefs des services de renseignements russes de ce projet et les Russes ont décidé de monter une opération qui présenterait Prigojine comme un patriote mécontent, en colère contre l’incompétence des dirigeants russes. Les Russes ont alimenté cette idée en laissant Prigojine lancer des attaques verbales vicieuses contre Choïgou et Gerasimov et, si l’on en croit les fuites de la discorde de Jack Teixeira, il a même transmis des informations sur l’emplacement des troupes russes à son contact.

Voici la partie intéressante de cette hypothèse : qui a pris la décision de lancer Prigojine ? On peut avancer de manière crédible que les responsables occidentaux de Prigojine ont décidé que ce jour était le vendredi et lui ont donné l’ordre de passer à l’action. Mais je pense qu’il s’agit d’une mise en scène du Kremlin. Poutine et ses chefs des renseignements savaient ce que l’Occident essayait de fomenter en Russie et se rendaient compte que l’Ukraine et l’OTAN étaient sous le choc de leur contre-offensive maladroite et des pertes massives en hommes et en matériel qu’elle a entraînées. Pourquoi ne pas utiliser la tentative de coup d’État comme une bonne couverture pour le déplacement massif de troupes tout au long de la ligne entre Moscou et Rostov-sur-le-Don ?

Il s’agit d’un moyen de déplacer les troupes russes vers des zones situées au nord de Belgorod sans attirer l’attention des plates-formes ISR de l’OTAN. Il s’agit de rapprocher les troupes de la frontière, puis de les disperser. Cela signifie que la Russie a trouvé un moyen de renforcer ses troupes sur un nouvel axe d’attaque potentiel qui constituera un cauchemar pour les planificateurs de l’OTAN.

Vous pouvez aussi imaginer le coup d’État comme un lapin courant à travers un champ ouvert. Les prédateurs affamés qui se cachent dans la forêt pourraient être tentés de s’exposer pour attraper le lapin. Certaines des réactions en Russie à la nouvelle du coup d’État présumé ont-elles aidé les services de contre-espionnage russes à identifier des personnes occupant des postes d’autorité en Russie qui, jusqu’à présent, soutenaient discrètement l’Ukraine ? Peut-être.

Je voudrais également évoquer une possibilité hilarante. Prigojine a-t-il escroqué des millions de dollars à ses intermédiaires occidentaux ? Evgueni a un passé criminel et est connu pour avoir les doigts collants. S’est-il inspiré de son passé criminel pour escroquer les Britanniques ou les Américains ? Cela pourrait être une histoire extraordinaire.

Quoi qu’il en soit, après moins de 24 heures de drame, nous nous retrouvons avec la voix triste, mais magnifique de Peggy Lee chantant « Is That All There Is » ?

Source : A son of the New American Revolution
Traduction AvicRéseau International




Vers une tyrannie virtuelle gérée par l’intelligence artificielle ?

[Voir aussi sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

À l’heure où les débats sur les dangers de l’intelligence artificielle battent leur plein et que des désaveux de la part de leurs pionniers (ex. ceux de Geoffrey Hinton) se dévoilent, il est crucial de prendre conscience de leur utilisation en cours et en voie de perfectionnement à des fins de persécution électromagnétique et de contrôle mental.

Nous voyons se multiplier des articles vantant les capacités de ces IA à « lire dans les pensées », faire de la télépathie, taper sur un clavier virtuel et mouvoir des objets voire des drones. À ce stade, les articles scientifiques parlent d’interface cerveau-machine, mais la réalité est que cela peut déjà se faire à distance sans électrodes grâce à des procédés qui utilisent des champs magnétiques et qui sont synchronisés à notre empreinte et signal électrique cérébraux.

Interface cerveau-ordinateur

Lecture de la pensée

Dans cet article de Venture Beat (portail d’innovations technologiques) de 2021, il est révélé qu’il est possible de mesurer l’état émotionnel d’un individu en l’irradiant et en mesurant le signal retour, la réalité est que l’entièreté du contenu de l’esprit et donc les pensées peuvent être interprétées. J’avais fait état précédemment du brevet déclassifié US3951134A qui permet surveiller et d’affecter à distance (sans électrodes) l’activité cérébrale à l’aide de rayonnement électromagnétique, le brevet datant de 1974, qui sait où en sont actuellement les technologies de contrôle mental ?

Le scientifique américain ayant travaillé avec la NASA Richard LIGHTHOUSE affirme que les métaux lourds (mercure, aluminium…) qui nous ont été inoculés depuis l’enfance dopent le signal électrique émis par le cerveau et fait de nous des « antennes ». La DARPA (Agence Américaine de Projets de Recherche Avancée) envisage d’utiliser des nanoparticules pour lire cette activité cérébrale, sachant que les injections covid contiennent des nanoparticules de graphène et d’autres dispositifs ayant une adresse MAC, il est tout à fait plausible que la visée de cette campagne massive soit la fusion des individus avec les dernières technologies de surveillance et de contrôle mental.

D’autres articles scientifiques évoquent cette fusion des cerveaux humains dans un « cloud » à l’avenir où les pensées et connaissances de chacun seront connectées et centralisées à l’aide de nanotechnologies, ce qui mènerait à une méga-intelligence artificielle ou « borg ». Ceci et tout ce qui est cité précédemment sont en fait une programmation prédictive (démonstration anticipée pour préparer à la mise en place en gagnant le consentement inconsciemment) pour un monde dystopique où l’humanité sera assimilée et gérée par la technologie.

Et si ce cloud était déjà en place ?

Les réponses à ces questions viennent de la communauté des individus ciblés (en anglais « Targeted individuals » — T.I.) qui ont été choisis au hasard dans la population souvent pour leur profil intellectuel et leurs dénonciations sur internet. Ils témoignent être harcelés par une technologie invisible qui scrute leurs pensées et les persécute instantanément par agressions électromagnétiques. Leurs rêves sont également piratés par cette technologie, à ce sujet le physicien japonais Michio Kaku avait révélé en 2014 que l’on pouvait les enregistrer. Les individus ciblés se plaignent d’intrusion dans leur esprit, de manipulation de leur comportement (anxiété, voix implantées dans la tête, cauchemars, psychoses…) et de torture (douleurs, brûlures, problèmes cardiaques, privation de sommeil, fatigue, acouphènes, migraines…). Dans une certaine mesure il est également d’infliger un « cybermeurtre » par irradiation lente « Slow Kill » ou en provoquant un AVC, crise cardiaque ou cancer. Leur nombre étant estimé à 6 millions dans le monde, il est évident que les services de renseignement et les agents des complexes militaro-industriels ont accès à des systèmes autonomes et des IA pour la surveillance et la persécution h24 7 j/7 des cibles (guerre de 5e génération).

Dans cette vidéo, le journaliste américain Stew Peters interviewe la vétérane de l’armée US Amy Holem qui révèle l’utilisation à armes à énergie dirigée (à micro-ondes) placées dans les antennes relais, satellites et drones pour attaquer des lanceurs d’alerte.

Le Sentient World Simulation, un cloud militaire ?

Depuis 2007, les agences de la défense US ont mis en place un univers virtuel parallèle appelé simulation du monde conscient (anglais : Sentient World Simulation — SWS) où chaque être humain d’à l’époque 62 états ont été modélisés en un avatar et surveillés par une IA qui détecte l’activité cérébrale des cibles en temps réel pour des motifs de prédictibilité d’un futur proche en cas de catastrophes. La vidéo ci-bas explique son fonctionnement et son objectif.

L’ingénieur en informatique et individu ciblé français Frédéric LAROCHE affirme que les épandages de chemtrails servent à modéliser l’environnement en 3D à l’aide de nanoparticules. Le but de cette simulation est de détecter les comportements « déviants » par rapport à sa propre déviance et de les « corriger » avec l’arsenal de neuro-armes et du renseignement renégat (voir article sur le harcèlement criminel en réseau — gang stalking) pour assurer le contrôle mental total de la population qui pensera et agira comme un individu unique sous un esprit de ruche (anglais : Hive Mind). Nous arrivons ainsi à uncerveau global (anglais : Global Brain)où chaque individu aurait le même rôle qu’un neurone.

Conclusion

À la lueur de ces informations, il devient clair que George Orwell avait vu juste dans son roman 1984 sur l’instauration d’une « police de la pensée » envahissant à un niveau jamais atteint et que dorénavant les citoyens ayant des pensées, croyances et convictions « non-orthodoxes » seront susceptibles d’être inculpés de « crime de pensée ». La psychiatrie sera un fer de lance de la ré-éducation des individus non conformes qui les décrédibilisera et maquillera les pathologies infligées par les neuro-armes psychotroniques et à énergie dirigée en maladies mentales comme de la fibromyalgie, de l’électrohypersensibilité ou des cénesthésies.

Le but de cet article n’est pas susciter la peur, mais d’informer afin d’exiger la fin de la militarisation interminable et illégale des neurotechnologies. La triste expérience des individus ciblés aura été une phase de test pour les élites sans scrupules dans leur plan de domination sans limites, ils sont maintenant dénonciateurs et précurseurs de la lutte contre la tyrannie technotronique rêvée par Klaus Schwab et consorts. Les avancées classifiées et déclassifiées en la matière ont provoqué la crainte de nombreux observateurs avertis y voyant les potentielles violations de l’espace mental des citoyens du monde et appelant à l’implémentation d’une « neuro-éthique ». Le Chili est devenu un pionnier fin 2021 en matière de « neuro-droits » pour protéger l’intégrité mentale, le libre arbitre et la non-discrimination dans l’accès des citoyens aux neurotechnologies pour prévenir leur « piratage » comme s’en vante Yuval Noah Harari, conseiller du WEF.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Libérez-Vous !

[Source : liberez-vous.weebly.com]

Nul esclave ne l’est davantage que celui
qui se croit libre sans l’être.

Goethe

1. CONNAÎTRE SON ENNEMI

Vous êtes inquiet de tout ce qui menace votre existence et votre avenir. Mais quel est le pilier principal sur lequel s’appuie la tyrannie actuellement, sans lequel celle-ci n’aurait jamais pu voir le jour en ce XXIe siècle ? Quel est le pire danger ? L’avez-vous identifié ? Vous pouvez bien continuer à montrer du doigt les crapules, les gangsters, votre voisin ou vos élus, la liste de coupables et criminels s’allongeant de jour en jour… Mais rien de tout ce que nous subissons depuis plusieurs années n’aurait pu avoir lieu sans le pilier central qu’est la TECHNOLOGIE, notamment la technologie SANS FIL. Cessez de prétendre que vous n’avez vous-même rien à voir avec le mal qui s’est répandu autour de vous, car en vérité, vous jouez dans ce drame un rôle déterminant. Nous sommes tous des acteurs majeurs dans ce désordre local, national et mondial, c’est pourquoi je vous invite à vous livrer à une petite introspection et à la lecture approfondie des lignes qui vont suivre !

Il n’est plus d’usage de faire porter aux esclaves des fers et des colliers. Ces objets ont beaucoup évolué dans le temps et sont devenus très sophistiqués. Aucun n’est serré autour de votre cou, vous pensez donc être libre, mais sans le savoir, vous êtes un jouet et un prisonnier. Vous êtes un esclave qui s’ignore. Et même si vous êtes éveillé, vous ne savez plus ni comment, ni pourquoi il importe de vous libérer, étant donné que les derniers modèles de « colliers » modernes sont terriblement séduisants, et l’on peut même dire invisibles, puisque tous les derniers gadgets sans fil fonctionnent grâce aux champs et fréquences électromagnétiques.

Ancien collier d’esclave

Francis Lalanne, le « William Wallace » français, avait tout compris. Il a mis le « doigt dessus » en posant, avant toutes les autres, la question extrêmement judicieuse et intelligente aux parlementaires français, de savoir si les mesures de confinement, et par extension, toutes les autres restrictions, auraient pu être mises en place avant l’ère du SMARTPHONE. Vous êtes-vous posé la même question ? LA RÉPONSE, AUSSI PÉNIBLE ET DÉSAGRÉABLE À ENTENDRE SOIT-ELLE, EST POURTANT LA CLEF DE NOTRE LIBERTÉ.

2. DANS LES FERS ET DANS L’ENFER

Qui croit encore à « la Révolution » ? Mouvement de foule immense, l’Élysée pris d’assaut, et dedans… des pièces vides, les dirigeants ont fui ? La révolution extérieure est un leurre, et c’est à l’intérieur, en chacun d’entre nous qu’elle aura lieu ! Gandhi (1869-1948) nous a montré qu’il n’y a pas besoin de révolutions violentes, de bains de sang, ni de couper les têtes… Les révolutions peuvent échouer, mais l’évolution est une force incoercible, que rien ne peut arrêter. Il avait compris que le chemin vers la libération passe par le perfectionnement individuel et moral de chacun. C’est la Re – évolution, qui veut que lorsque l’on est engagé sur une mauvaise voie, on ne s’obstine pas à rouler pour aller se jeter dans le précipice, alors on fait demi-tour.

Nous sommes dans les fers, en quête de solutions, mais depuis plusieurs années, nous continuons de tourner en rond, nous ne faisons que tailler quelques branches de l’arbre, alors que nous devrions viser les racines. Tout effort demeurera vain et inutile tant que nous ne nous attaquerons pas au fond du problème. Pour cela, il faut commencer par ôter le bandeau de vos yeux… Car, oui, le vrai coupable est ce petit bout de plastique et de métal, ce gadget sans fil qui est devenu votre « ennemi intime » : il s’agit bien de votre smartphone, téléphone portable ou téléphone mobile !

L’évolution de la technologie s’est faite ainsi :
— En 1996 est apparue la technologie que l’on tient dans sa main,
À L’EXTÉRIEUR DU CORPS (le téléphone portable),
— qui a conduit à la technologie que l’on porte sur soi,
SUR LE CORPS (les smartwatches, fitbits, etc.),
— et nous en sommes à la technologie que l’on porte à l’intérieur de soi,
DANS LE CORPS (la nanotechnologie).

3. UN PLAN DIABOLIQUE

À propos de cette évolution, on peut dire « Moi, j’ai un portable, mais je ne veux pas d’autres objets connectés », ou bien « Moi, j’ai des gadgets, mais je ne veux pas de nanorobots dans mon corps », mais cela va beaucoup plus loin que ça… Cela revient à pactiser avec « le diable », du moins avec une force destructrice (nommez-la comme vous voulez), ou encore à prendre un peu d’arsenic ou de cyanure, en se disant « Tout va bien, je n’en suis pas mort, alors je continue ! »

En 1996, l’industrie des télécoms a entrepris la mise en œuvre de son plan visant à doter chaque homme, femme et enfant sur Terre d’un téléphone portable. Quelques années plus tard, et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, chaque personne sur Terre tient entre ses mains une source ouverte de rayonnements micro-ondes. Et chacun continue à faire comme si tout allait bien. La menace la plus immédiate pour la santé, la vie et la liberté provient de cet objet maléfique et mortifère auquel vous vous accrochez — malgré tant d’informations, à hauteur d’environ 28 000 études scientifiques (voir par exemple ici, ici ou ) ! Le fait de passer un appel ou d’envoyer un SMS vous expose à une radiation bien plus importante que celle émise par les antennes de téléphonie mobile ; les radiations des portables interfèrent avec votre métabolisme et sont actuellement la cause prédominante de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer ; la radiation aux micro-ondes constitue un assaut plus grand et plus urgent contre la terre que la pollution chimique ou toute autre menace environnementale.

Il a souvent été dit que le contrôle des autres est « la forme la plus vile du comportement humain ». Le contrôle de l’esprit a longtemps été un objectif du monde académique, de la science et de ceux intéressés par le pouvoir sur les autres. Ces derniers ont attendu très patiemment, des années, des décennies, pour mettre en œuvre leur plan diabolique, car il importait avant tout de nous voir asservis et dépendants de cette drogue. Nous perdons notre société et nous nous perdons nous-mêmes, tout ça pour une boîte en métal et en plastique, une commodité privée devenue une nuisance publique. On nous a trompés.

Le but avoué et amplement discuté par exemple au WEF de Davos en 2020 est de nous transformer en cyborgs ou transhumains. Nous laissera-t-on le choix de refuser ? Croire que cette décision nous appartiendra serait faire preuve d’une grande naïveté, car comme pour tant d’autres choses, cette cyborgisation va nous être imposée. Le transhumanisme n’est rien d’autre que de l’anti-humanisme. Le projet transhumaniste est un projet de manipulation et de contrôle de l’homo sapiens, discuté et disséqué calmement par des hommes d’influence et des scientifiques, comme s’il s’agissait d’une simple avancée technologique ! Effacement des frontières entre les systèmes biologiques et numériques, entre les organismes vivants et non vivants, nouveaux « corps humains », nouveaux « sens de l’identité humaine », etc.

Il existe plusieurs définitions du mot « humanité ». Ici, je fais référence à la « nature humaine », avec tout ce qu’elle comporte de compréhension, de bienveillance, etc. Non pas à « tous les peuples du monde dans leur ensemble ». Quand je pense aux enfants, et aux adultes, que je les vois incapables de parler, de jouer sans pouvoir lâcher leurs appareils ou détourner les yeux de leurs écrans, ils ont déjà perdu une partie de leur « nature humaine », et dans un sens plus large, ils se sont éloignés de la Nature elle-même. L’ingénierie ou manipulation sociale est là pour assurer une transition en douceur entre les différentes étapes de la cyborgisation. Cette dernière a commencé au moment même où la technologie a été introduite hors du corps ; un « humain » collé à un appareil et dépendant constamment de celui-ci, correspond déjà à la définition de « transhumain » ou « post-humain ». Le téléphone portable a toujours été la première étape de cette cyborgisation planifiée. C’est déjà un organe auxiliaire, un appendice supplémentaire, une prothèse ! Avant, nous n’avions que quatre membres, maintenant, nous en avons cinq !
Mais que voulons-nous au juste ? Ne voulons-nous pas être des hommes et des femmes avec des droits ? Et non pas des produits du transhumanisme, cyborgs ou androïdes sans aucun droits, si ce n’est le droit de se taire et de mettre nos muselières !

4. DANS LE DICTIONNAIRE

Depuis le 14e siècle, le sens premier du mot « smart » en anglais était douloureux, intense, piquant, causant une douleur aiguë. En ce qui concerne les appareils, le mot « smart » fit pour la première fois son apparition en 1972, pendant la guerre du Vietnam, au sens de « se comporter comme s’il était guidé par l’intelligence » (pour la « smart bomb »). Dans ce contexte en effet, le mot « smart » fut utilisé en des termes militaires pour désigner des bombes et des missiles !

Un autre mot digne d’intérêt dans le dictionnaire est le mot « meurtre ». La définition de « meurtre » pose un véritable problème, car la plupart d’entre nous et notre société en général associent le meurtre à une mort rapide ou instantanée. Mais les cancers des téléphones portables, des appareils « intelligents » et sans fil ne se forment pas du jour au lendemain, et lorsqu’une personne est empoisonnée lentement au fil du temps, c’est beaucoup plus difficile à prouver devant un tribunal, les juges ayant du mal à trouver des experts pouvant apporter les preuves d’un empoisonnement à long terme…

À présent, nous nous tenons tous devant ce tribunal. Mais nous ne sommes ni des victimes ni des criminels ;
en réalité, nous sommes les deux, car nous nous suicidons à petit feu. Il s’agit d’un suicide collectif.

5. UN SIM DANS UNE PRISON

Nous sommes tous dans un camp de concentration numérique géant. Vous ne voulez plus vivre en prison ? Alors notre seule chance de liberté et de survie, la véritable solution réside dans la création d’une vague de libération des téléphones portables, mais également de tous les objets connectés sans fil. Car il en va de même pour les tablettes, les écoute-bébés, les téléphones de maison sans fil, les souris et les claviers sans fil, tout ce qui est « intelligent » ou « smart », c’est-à-dire les montres « intelligentes », les couches et les biberons « intelligents », les compteurs « intelligents », les thermostats « intelligents », les télés « intelligentes », Alexa, sans oublier les ampoules dites économiques qui émettent des ondes nocives, etc. Bref, tout émetteur/récepteur de données et d’information sans fil, le Wi-Fi, le Bluetooth, tout ce qui est sans fil doit disparaître !

Ce n’est pas pour vous et moi. Tout cela est piratable. Tout cela, c’est pour la collecte de données, la surveillance et le contrôle. Les données sont le pétrole brut d’aujourd’hui pour des milliardaires qui peuvent vous suivre sur tous vos appareils « intelligents ». Dans l’« Internet des Objets », vous n’êtes vous-même qu’un vulgaire « Objet », comme un « Sim » dans un jeu vidéo. Le consommateur est devenu celui qui est consommé, surveillé et contrôlé par l’« Intelligence Artificielle », qui n’a rien de vraiment « artificielle » ; ceci est encore une autre imposture, car au final il y a bien quelqu’un d’assis tout là-haut sur son trône, qui la maîtrise parfaitement, qui s’en sert et s’en servira contre nous.

Un homme ou une femme a droit à la vie privée, un esclave non. Mais bon sang, vous êtes soit un homme, soit une femme, vous n’êtes pas une marchandise ou un esclave ! Vous n’avez peut-être rien à cacher, mais vous êtes né avec une « bulle » de vie privée, qui ne doit jamais être échangée contre une soi-disant « sécurité » ou « sûreté ». Vos données valent une fortune ! Il faut arrêter de « donner vos données » et de les laisser être récoltées pour remplir les poches et satisfaire la soif de pouvoir de ces milliardaires !

Il est grand temps d’évoluer, et d’admettre enfin que toutes ces énergies invisibles, les ondes, les micro-ondes, les champs électromagnétiques régissent l’univers, et que dans la plus grande mesure possible, ils ont été piratés pour nous soumettre à l’esclavage.

« Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergies, fréquences et vibrations. »

Nikola Tesla (1856-1943)

Les images suivantes illustrent le jeu vidéo, puis de vraies images de sources industrielles, scientifiques et militaires. La technologie de radar a bien évolué. Tous les objets connectés sont comme des « ampoules » :

Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (1)
À quoi ressemble le monde à travers les yeux du Wifi.
Les petits rectangles en bleu sont de simples routeurs et appareils.
Radar micro-ondes
Cartographie 3D
« On peut utiliser un drone pour cartographier l’intérieur
d’un bâtiment entier en 20 à 30 secondes. »
Capture d’écran du jeu vidéo « LES SIMS » (2)
Les murs sont transparents, presque comme du verre.
Les appareils connectés agissent comme des ampoules.
« On peut facilement scanner une pièce chez quelqu’un grâce à la transmission Wi-Fi. » (Adieu la vie privée !)

6. DES MARIONNETTES ET DES MENTEURS

Mais il n’y a même pas besoin d’avoir recours à des drones, comme illustré plus haut, chaque objet connecté possédant sa propre « signature ». Chaque signature ou empreinte numérique, reliée à toutes les autres données, permet de vous analyser et de vous connaître mieux que vous ne vous connaissez vous-même. Et c’est ainsi que l’on devient… une marionnette !

À propos de marionnettes, savez-vous ce que Yuval Harari, l’éminence grise du WEF pense et dit de ceux qui ont un smartphone ? Voir dans l’onglet Vidéos, une interview de 2022 et la transcription, que je remets ici :

« (…) et suffisamment de puissance de calcul, nous sommes très proches du point où les ordinateurs peuvent pirater les êtres humains, peuvent comprendre mes émotions, mes goûts, mes aversions mieux que moi-même, pas parfaitement, on ne peut jamais pirater quelque chose à 100 %, on n’a pas besoin de 100 %, il faut juste connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Et c’est assez facile, parce que la plupart des gens ne se connaissent pas très bien eux-mêmes. [Donc dès que l’algorithme sait ce que je veux, mieux que je ne le sais…], vous êtes une marionnette, il peut vous manipuler, il peut presser vos boutons émotionnels. Et c’est ce qui se passe maintenant avec nos smartphones et tous ces algorithmes sur les médias sociaux…
— C’est pour cela que vous n’avez pas de smartphone ?
— C’est une des raisons, en fait c’est pour gérer mon temps, et vous savez, au cours des 20 dernières années, les personnes les plus intelligentes du monde et la meilleure technologie du monde ont travaillé sur le moyen de pirater les êtres humains et de les contrôler à travers les écrans et les smartphones. Je ne suis pas de taille face à eux. Si je leur donne accès [montrant son cerveau], ils gagnent. J’essaie donc de limiter leur accès de cette manière. »

Donc, si vous avez un smartphone, la marionnette, c’est vous ! Voir également des images avec citations de Yuval Harari, dont je publie la légende ici :
— « Harari voyage énormément, est sollicité par les médias du monde entier, a un agenda de Premier ministre, mais ne possède pas de smartphone : “Les gens vraiment importants n’en ont pas”, assure-t-il au Monde. » (www.levif.be)
À propos de Yuval Harari : « Il se refuse toujours à utiliser un smartphone. “Ainsi, je me sens mieux protégé”, concède-t-il. » (www.lefigaro.fr)
— Yuval Harari :
« Je n’ai pas de smartphone. Mon attention est l’une des ressources les plus importantes que j’ai, et le smartphone essaie constamment d’attirer mon attention. Il y a toujours quelque chose qui arrive. »

Les « ultra riches » et nombre de ceux travaillant dans la Silicon Valley refusent d’utiliser des portables et vivent même dans des zones sans réseau (il en existe encore). Pourquoi, à votre avis, ces appareils ne sont-ils pas assez bons pour eux ? Que savent-ils que le grand public ignore ? Si vous voulez savoir ce qui est vraiment dangereux, pour eux comme pour nous, jetez un œil à la « liste noire » des compagnies d’assurance : certaines races de chiens dangereux, des ouragans ou inondations là où de telles catastrophes sont fréquentes, etc. La Lloyd’s de Londres et d’autres compagnies d’assurance n’assurent pas les dommages causés par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs « intelligents » de type « Linky ». Les champs électromagnétiques ou CEM sont classés comme un polluant, au même titre que le DDT, le plomb ou le benzène :

« L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée de manière standard sur l’ensemble du marché. L’objectif de l’exclusion est d’exclure la prise en charge des maladies causées par une exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation de téléphones portables ».

Passons maintenant de la « tête de bois » de la marionnette, à celle en plastique, qui est celle des menteurs !
Les téléphones portables sont soumis à des tests de sécurité sur des têtes en plastique. Nous n’avons pas de tête en plastique. Je vous présente SAM pour les intimes, officiellement connu sous le nom de Specific Anthropomorphic Mannequin. SAM est un mannequin en plastique utilisé par l’industrie des télécommunications à travers le monde pour tester les effets thermiques de vos téléphones et gadgets, et non leurs effets biologiques.

Pourquoi SAM est-il un « pinocchio » ? Les directives actuelles sont basées sur l’hypothèse que si le niveau de rayonnement ne brûle pas ou ne cuit pas les tissus en 6 ou 30 minutes, alors ce niveau est considéré comme étant « sûr. » Jusqu’ici, les tests n’ont montré aucun changement thermique significatif. Par conséquent, les téléphones portables sont déclarés sans danger !

La tête (la seule partie du corps testée) de SAM est basée sur une recrue militaire masculine adulte en bonne santé de 100 kg et mesurant 1,88 m. Seulement 3 % de la population correspond à ce profil.

Comment fonctionne le test : La tête en plastique SAM est remplie d’un liquide ou d’un gel pour voir si celui-ci chauffe de un degré sur un appel de 6 minutes (parfois 30 minutes). Si la température ne s’élève pas de 1 degré, c’est considéré sans danger et l’on peut apposer une marque d’approbation. C’est un peu comme de tester la sécurité des aliments en les donnant à manger à une poupée.

SAM a des mains… beaucoup d’entre elles, avec un tas de configurations différentes pour chaque style de téléphone. Mais seul le test de la « tête » est requis, pas celui des mains, ni d’aucune autre partie ou organe du corps humain.

Ces tests sont entièrement frauduleux, et pourtant ceci est le seul moyen par lequel vos téléphones et gadgets sont testés pour la sécurité humaine ! Comment cela est-il possible ? Il faudrait de nombreuses pages pour exposer les mensonges, la corruption et conflits d’intérêts au plus haut niveau, tant au sein de l’OMS, que de l’ICNIRP, de l’IEEE, du complexe militaro-industriel et des fabricants. Pour aller plus loin : https://wearenotsam.com/studies/

« Si vous ne pouvez pas exposer les humains aux micro-ondes dans un laboratoire, dans un environnement contrôlé — si vous ne pouvez même pas le faire de manière éthique, car nous avons tellement de preuves des dommages — alors aucune de ces technologies ne devrait être déployée. Cela est illégal. »

Sharon Goldberg, M.D.

7. UN COMPORTEMENT DE BAS ÉTAGE

Aux premiers temps du smartphone, être collé à son appareil était un signe de statut social. En 2008, regarder l’écran de votre BlackBerry avait encore une signification. Cela signifiait que vous étiez important, que vous aviez des choses à faire et que vous faisiez partie de la classe avant-gardiste des utilisateurs de technologie. Aujourd’hui, être perdu dans votre écran signifie que vous ne faites pas attention et que vous n’avez rien de mieux à faire. C’est une lampe et vous êtes un papillon de nuit. Les portables ne sont plus un signe de pouvoir, mais un signe d’asservissement. Comme les machines à sous chaque fois qu’on abaisse le levier, les smartphones sont conçus pour être une source constante de nouveauté et de « récompenses variables ». Être enchaîné à votre portable est désormais un comportement de bas étage, semblable au tabagisme.

Il faut arrêter de faire pipi dans l’eau de la piscine, songeant que les autres n’en feront pas autant, car petit à petit l’eau prend une drôle de couleur… Pensez-vous que si vous ne gardez votre téléphone que pour les urgences, les antennes n’ont pas à être là ? Mais que vous l’utilisiez souvent ou non, l’infrastructure doit être là, ce qui est un parfait alibi pour les opérateurs de télécoms. Et si vous arrêtiez de leur fournir cet alibi ? Chaque centime que vous dépensez est un bulletin de vote. Chaque fois que vous payez votre facture, vous continuez à les enrichir et à les rendre plus puissants. Et il n’y a pas qu’une seule personne qui a envie, non pas de faire pipi, mais d’utiliser un téléphone portable en cas d’urgence, il y en a sept milliards !

Quelle est votre excuse ? Vous en avez besoin quand vous voyagez, ou pour vos affaires, ou pour votre mari, ou pour votre femme, vos enfants et vos amis ? Ou bien n’avez-vous qu’un ancien modèle ? Ou encore ne gardez-vous votre téléphone que pour les urgences ? Ou peut-être pensez-vous que vous êtes en sécurité tant que vous gardez le téléphone éloigné de votre tête ? Ou bien encore que votre téléphone n’irradie pas les oiseaux, ni les insectes, animaux, plantes et arbres ou vos voisins comme le font les antennes relais ? Chaque fois que vous passez un appel, l’antenne la plus proche active un signal à cause de vous et irradie tout votre voisinage rien que pour vous. Pensez au nombre d’oiseaux, d’abeilles et de papillons que vous avez tués au fil du temps. Combien d’autres encore ? Et combien de personnes et de voisins autour de vous ? Combien d’oiseaux ? Combien d’enfants ?

Dessin réalisé par un jeune de 17 ans.

8. des stupéfiants

Il y a quelques siècles, Francis Bacon, dans son « Essai sur la Mort » (1648), s’interrogeait :
— « Pourquoi un homme aimerait-il ses chaînes, fussent-elles en or ? »
Plus tard, François-Marie Arouet, alias Voltaire (1694-1778), « répondait » :
— « Il est difficile de libérer les imbéciles des chaînes qu’ils révèrent. »

Mais c’est chose d’autant plus difficile lorsque ces chaînes sont des stupéfiants et qu’ils modifient votre cerveau ! L’une des réalités les plus tragiques est que le rayonnement des micro-ondes, comme la nicotine, stimule les centres de plaisir du cerveau.

Quelques exemples d’études, mais il y en a eu d’autres :
• Dans les années 1980, des chercheurs de l’Université de Washington ont découvert que les radiofréquences activent les opioïdes endogènes, des composés générés par le cerveau se comportant comme la morphine (1).
• En 1996, les chercheurs ont découvert que les micro-ondes pulsées des téléphones ont un effet hypnotique sur le cerveau (2).
• En 1999, le journal The Guardian de Londres a cité une étude qui révélait que le rayonnement des téléphones portables stimule la production de substances chimiques semblables à la morphine dans le cerveau et que le « high » est déclenché par la libération d’endorphine lorsque le rayonnement du téléphone pénètre par l’oreille (3).
• Il faut aussi noter qu’une augmentation de l’activité endogène des opioïdes dans le cerveau, causée par les radiations des micro-ondes, est connue pour augmenter le comportement de consommation d’alcool (1).

1. « Neurological Effects of Radio Frequency Electromagnetic Radiation, » Dr. Henry Lai, op. cit.
2. « Effects of Pulsed High-frequency electromagnetic fields on Human sleep, » Mann, K, Roschke, J. Neuropsychobiology 33 (1) : 41-47, 1996.
3. « 
Mobile Phone Users ’Addicted to Radiation » 03-14-99.

Par ailleurs, chez les animaux de laboratoire, une exposition de 2 minutes à un portable endommage la barrière hématoencéphalique, et une exposition de 2 heures provoque des lésions cérébrales permanentes, même lorsque la puissance est réduite de 100 fois. Les radiations des portables interfèrent avec la conduction nerveuse et les fonctions cérébrales et sont une cause prédominante de la sclérose en plaques, du TDAH, de l’autisme, de la démence, des troubles anxieux, de la dépression et d’autres troubles neurologiques aujourd’hui.

9. POURQUOI ILS N’ONT PAS PEUR DE NOUS

Le monde est en ébullition. Des manifestations et mouvements en tout genre, dénonçant la tyrannie, s’indignant des injustices, ont eu lieu partout. Des années plus tard, après que des millions de personnes soient descendues dans les rues, masses agitées par d’inspirants orateurs, je reste consternée, songeant à la vision de tous ces gens baignant dans une mer sans fin, un océan, que dis-je, un raz-de-marée de téléphones portables ! Et je m’interroge sur ce qu’ils ont accompli.

Il y a plusieurs années, j’écrivais :

« Combien de temps allez-vous tenir debout si vous vous empoisonnez avec ces micro-ondes, étant totalement à découvert, traqués, visés et ciblés ? Combien de temps avant que vos capacités mentales ne soient réduites ? Dans quelques années, vous serez tous un peu moins intelligents et un peu moins résistants, si ce n’est pas déjà le cas… Méfiez-vous, vous devriez être mieux avisés. Vous devez savoir que les smartphones et le cancer sont les deux faces d’une même médaille, qu’il n’existe pas de niveau de radiation sans risque, que vous pouvez être manipulé, assassiné rapidement ou à petit feu à chaque instant, que la technologie 5G a été officiellement et secrètement déployée lors des confinements et qu’il est maintenant plus que jamais extrêmement dangereux d’avoir la tête ou le corps à proximité d’un téléphone portable ; il y a déjà suffisamment de CEM avec toutes les “antennes de la mort” et toutes les nouvelles petites antennes 5 G.

Vous êtes accro à votre technologie parce que c’est une drogue dure. Les tortionnaires et les dictateurs le savent, c’est pourquoi ils n’ont plus vraiment peur de nous. Et bien que vous sachiez que c’est mauvais pour vous-même, vos enfants, vos animaux domestiques et tout le monde autour de vous, vous continuez à nourrir les grandes compagnies de Télécoms ! Un jour, ils n’auront qu’à appuyer sur un bouton, et il n’y aura plus de militants ni de manifestants… Vous ne sauverez pas ce monde et vos enfants en vous comportant comme des de drogués imbéciles et des amateurs, en vivant dans un monde d’illusions et en vous tuant. »

Des années plus tard, et c’est toujours d’actualité.

Nombreux sont les militants pour la liberté ou contre la 5G, et les scientifiques qui possèdent toujours un portable ! À quoi bon protester contre un système et un produit que vous continuez à financer chaque mois afin de les utiliser ? Imaginez-vous un membre du conseil d’administration des Alcooliques Anonymes qui distribuerait du whisky avant la réunion, des gens fumant en public tout en protestant contre le cancer et le tabac, un membre de la SPA militer avec un manteau de fourrure sur le dos, ou des activistes anti-OGM achetant ces produits ?
Cela n’a aucun sens, et bien que cela ait été dit et redit, répétons-le encore une fois : Il faut être le changement que l’on souhaite voir autour de soi et dans le monde ! Et tout commence par soi-même !

10. SOUS LA PEAU

S’il ne fallait évoquer qu’un seul argument pour décider qui que ce soit à lâcher son portable ! Les informations ci-dessous sont d’une gravité extrême et sans précédent.

Voici ce que Yuval Harari a également déclaré :

« Les gens pourraient regarder en arrière dans 100 ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui, je pense, est peut-être le développement le plus important du 21e siècle, c’est cette capacité à pirater les êtres humains. » (1)

et :

« Le Covid-19 pourrait être un moment décisif dans l’histoire de la surveillance… transformée en une surveillance sous la peau(…) Pour un gouvernement ou une entreprise, c’est comme la chose la plus importante au monde de savoir ce que les gens ressentent réellement. Les tyrans ont fantasmé à ce sujet tout au long de l’histoire, mais ils n’ont jamais pu le faire réellement. Staline avait cette énorme police secrète et plus tard le KGB, qui suivait les gens tout le temps. Mais le KGB ne pouvait pas suivre chaque citoyen soviétique 24 heures sur 24, et même si un agent du KGB vous suivait, il ne pouvait pas savoir ce que vous ressentiez réellement. Si vous entendiez un discours de Staline à la radio, que vous souriiez et tapiez des mains, ce que vous ressentiez réellement, le KGB ne le savait pas. Mais le futur KGB pourrait savoir ce que vous ressentez réellement lorsque vous entendez un discours du “Grand Leader”. Vous pouvez sourire et taper des mains, mais si votre température corporelle, votre pression sanguine et votre rythme cardiaque indiquent que vous êtes en réalité en colère, vous ne pourrez pas le cacher à cette nouvelle police secrète biométrique. » (2)

[sources vidéo : 1, 2]

La seule façon de savoir ce qui se passe réellement « sous votre peau » est d’examiner au microscope ce qui a été injecté. Tout le reste peut relever de mensonges ou de spéculations. Voici les preuves que des formes géométriques (nanocircuits) se forment et se dissipent en présence des fréquences micro-ondes provenant d’un routeur Internet 4G, des téléphones et autres appareils sans fil :

1 — Août 2022 : Recherches et analyses de Mat Taylor, ingénieur interviewé par le journaliste Stew Peters. Sur les photos au microscope et films en accéléré, on peut voir très clairement dans une goutte de vaccin des structures rectangulaires s’assembler et grandir exponentiellement sous l’effet des micro-ondes d’un routeur Internet. À noter que les nanocircuits se résorbent et finissent par se désassembler lorsqu’il n’y a plus de fréquences micro-ondes et que le modem est éteint (lien vidéo) :

a) Une structure ressemblant à une croix gammée (nommée « Schwab ») s’est formée en moins de 3 heures. Lorsque le modem est retiré ou éteint, elle se dégrade lentement. Chaque instantané est pris à 4 minutes d’intervalle.
b) Une autre structure, à 2 minutes d’intervalle. Le modem est éteint et rallumé. Il constate que la structure grandit à nouveau, mais pas exactement sous la même forme.
c) Une structure qui s’était précédemment rétractée. Puis, il rallume le modem.
d) « Celle-ci rétrécit, grandit, rétrécit, grandit, et rétrécit encore. Je rallume le modem à 2 minutes de la vidéo, et vous pouvez la voir se réassembler. »

2 — Octobre 2022 : Recherches et analyses de Ricardo Delgado, de la Quinta Columna. Analyse d’une gouttelette de 1/2 cm2 de Pfizer sous microscope optique, nanotubes de graphène, grossissement : 300 fois. « C’est le câblage neuronal dont parlait Elon Musk. » (lien vidéo ou post de Profession Gendarme) :

a) AVANT EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Ces nanoparticules flottent initialement, et lorsqu’elles sont exposées à des champs électromagnétiques [artificiels], elles se développent de manière plus complexe. »
b) APRÈS EXPOSITION AUX MICRO-ONDES — « Au départ, il n’y avait rien, ou il y en avait très peu. Mais au fur et à mesure que s’écoulait le temps d’exposition au rayonnement micro-ondes, tout ce maillage s’est formé. » ; « il va éliminer le système neuronal naturel et va le remplacer par cette ramification neuronale artificielle. »

3 — Novembre 2022 : Recherches et analyses du Dr David Nixon, médecin de famille depuis 30 ans en Australie, interviewé par le journaliste Stew Peters, dans les pas de Mat Taylor. Dr Nixon assure que les « cristaux » dans le sang de personnes injectées avec Pfizer ne se transforment seulement et uniquement qu’en présence d’une source de micro-ondes. Ces circuits et puces autoassemblés, émettent des adresses Mac lorsqu’ils sont scannés par Bluetooth. À ce stade, ce ne sont plus des nanorobots, ce sont des microbots, dit-il. Grossissement : 200 fois, Accélération vidéo : 400 fois. (lien vidéo) :

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Avec un appareil sans fil éteint.

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Après qu’un appareil sans fil ait été allumé.

PAR CONSÉQUENT, IL EST URGENT QUE LES PERSONNES INJECTÉES CESSENT IMMÉDIATEMENT L’UTILISATION DU TÉLÉPHONE PORTABLE et de tout dispositif employant une technologie sans fil ou à micro-ondes, les nanotubes de carbone et autres nanoéléments se multipliant et grandissant à leur contact. Ces personnes devraient également limiter autant que possible l’utilisation des routeurs Wi-Fi, de tout ce qui est « smart » ou « intelligent » (voir la liste dans la Section « 5. Un Sim Dans Une Prison »), qu’elles se tiennent le plus possible éloignées des antennes, des foules, des endroits et des gens connectés. La solution est . C’est soit ça, soit choisir de laisser évoluer ces « aliens » (structures étrangères) dans son corps.

11. L’ÈRE DE LA DÉCONNEXION

De nos jours, personne n’oserait entrer chez quelqu’un d’autre avec une cigarette allumée. On s’étonne de voir des gens fumer dans les vieux films et on sait que les producteurs étaient payés par les compagnies de tabac pour montrer de séduisants acteurs fumant des cigarettes. À l’avenir, nous serons choqués de voir les gens dans les films porter leur téléphone portable à leur tête. Comment les cinéastes pouvaient-ils encourager une pratique aussi dangereuse ? Tout comme les mises en garde sur les paquets de cigarettes, il y aura des messages d’avertissement sur les paquets de téléphones portables ; la vente aux jeunes sera interdite. Et personne ne songera à entrer chez quelqu’un avec un portable allumé. La pression de l’opinion publique engendrera une demande pour le développement de systèmes de télécommunication sans danger et l’on verra des cabines téléphoniques reparaître aux coins des rues. Nous veillerons à ce que personne n’emporte de portable lors de grands rassemblements tels que les évènements sportifs, concerts, foires, conventions, chorales, fêtes, etc., car un simple détecteur de CEM (champs électromagnétiques) pourra indiquer la présence de fréquences artificielles.

Nous n’avons pas de Wi-Fi… Parlez entre vous.
Faites comme si c’était 1995.

Les hôpitaux, les crèches, les écoles et les bureaux n’autoriseront plus les téléphones portables, toutes les communications informatiques seront câblées, et les employés utiliseront tous des téléphones filaires !

La connexion (sans fil) n’est plus la clé de notre survie. Elle est au contraire la clé de notre asservissement. Dans ce monde en évolution rapide de connexion artificielle, nous avons perdu le contact avec l’environnement naturel qui a défini les origines de notre espèce. Cette perte, ce vide est un immense espace que nous cherchons à combler par des distractions sans aucun sens et des addictions désastreuses. On s’est joué de nous et ce conditionnement est très profond…

Par exemple, il est intéressant de voir que la distanciation sociale était déjà là avec votre portable, et qu’une chose en a entraîné une autre. C’est de l’ingénierie sociale au plus haut niveau ! L’acceptation de mesures coercitives a été soigneusement et longtemps planifiée. Prenez la machine à remonter le temps et voyez ces quelques photos d’artistes, qui sont nécessaires pour comprendre comment vous avez été conditionné et programmé il y a bien longtemps déjà :

1 – 1962 : Une photo de Walter Molino, intitulée La vie en 2022, en première page d’une édition de 1962 de La Domenica del Corriere.
2 – 2001 : Œuvre de l’artiste Nick Rodrigues montrant que la « distanciation sociale » existait déjà auparavant : « La cabine téléphonique portable offre une image visuelle des sacrifices sociaux et des possibilités d’interaction perdues en raison de l’intérêt rapporté à nous-mêmes. Grâce à cette cabine portable de téléphone, un membre de la société peut en devenir un membre isolé. » « La pièce est une cabine téléphonique rétractable que l’on porte sur le dos et que l’on peut faire glisser sur sa tête pour s’isoler complètement de la société. Cet isolement illustre la séparation qui existe déjà dès que l’on commence à parler sur son téléphone portable. » (nickrodrigues.com)
3 — Œuvre de l’artiste Latif Fityani, des années avant l’ère des confinements et restrictions.
4 – 2020 : Pods pour Covid — des gens dans des ShieldPods et WalkingPods (utwpods.com)

12. CONCLUSION

Le plan diabolique pour nous asservir peut s’écrouler comme un château de cartes.

Le téléphone « cellul-aire » ou « insup’portable » est en train de détruire la liberté de l’humanité peu à peu.

Aucune société dystopique, tyrannique, sans argent liquide ou physique, avec porte-monnaie électroniques biométriques, passeports sanitaires, traçage, chasse à l’homme, conformité à toutes les mesures les plus insensées et inhumaines n’existera plus et elle sera impossible à mettre en place le jour où vous ne serez plus le « malheureux détenteur » d’un portable.

Car il y a encore une chose qu’ils ne savent pas faire ; personne ne peut vous contraindre, ni vous-même, ni qui que ce soit, à posséder un portable, une voiture, une télévision, une radio ou un lave-vaisselle si vous n’en voulez pas ! Et plus nous serons nombreux et nombreuses à refuser le portable et les appareils « connectés, sans fil », moins ils auront d’emprise sur nos vies, nos esprits, notre santé, nos libertés, etc.

Nous avons évolué, et très bien vécu sans cela jusqu’en 1995. Un téléphone filaire, un ordinateur et un câble Ethernet relié au modem. La solution pour se libérer soi-même est tellement simple qu’il est vraiment inutile de continuer à chercher plus loin. Mais il faut également libérer les autres, car de leur liberté dépend aussi la nôtre.

Allez-y, faites demi-tour et montrez le bon exemple autour de vous ! Vous ne pourrez jamais savoir ce que c’est tant que vous ne l’aurez pas fait. Dites-vous « je peux » et non pas « je pourrais ». Vous pouvez le faire ! Faites-le en ayant le cœur heureux, sans vous sentir coupable et sans regret. Vous devez simplement le faire — non seulement pour vous ou pour ceux qui vous entourent — mais également pour vaincre le Nouvel Ordre du « Meilleur des Mondes ». Le portable est le cheval de Troie du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial). Dans cette situation extrême, nous devons faire un retour sur nous-mêmes, sur nos droits et sur notre autonomie. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses. En choisissant une autre voie, via nos choix de consommation, ce qui a toujours été le moyen le plus efficace de nous faire entendre. Actuellement, c’est vraiment la seule option qui nous reste, compte tenu de la tournure que prennent les évènements. Votre vie est en jeu et il ne s’agit plus de posséder un téléphone portable, mais d’y renoncer. Il ne s’agit pas de se raser la tête ni de vivre de pain et d’eau ! Il suffit d’un peu de volonté et peut-être de quelques semaines ou quelques mois pour surmonter bravement une éventuelle période de sevrage — si vous suivez les bons conseils et astuces que j’aborde ici. Vous finirez par vous rendre compte à quel point cela était simple. Vous allez retrouver la liberté et la paix en vous et tout autour de vous. Je le sais parce que j’ai vécu cela moi aussi, en 2012.

Si nous gardons nos téléphones, nous ne récolterons que la tyrannie, la souffrance et la maladie. Que voulez-vous avant tout, votre téléphone ou votre liberté, votre téléphone ou votre santé, votre téléphone ou votre planète ? Il y a tant à dire ! C’est pourquoi je vous invite à visiter la Galerie à la page suivante, car les images parlent souvent mieux que les mots…

Allez-y, vous verrez, ça vaut le détour !

[Voir aussi et notamment sur le même site :
https://liberez-vous.weebly.com/liberez-vous.html]