Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera des décès à une échelle qui éclipsera les allégations de “décès par Covid-19” »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer


Question : Pourquoi la mortalité en Écosse est-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens meurent. Et la raison pour laquelle plus de gens meurent est que plus de gens ont été vaccinés. En d’autres termes, il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin contre le Covid-19.

Q : Vous ne pouvez pas le prouver.

R : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais elles sont tout de même convaincantes. Par exemple, l’augmentation de la mortalité ne se produit pas seulement en Écosse. Elle se produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse plus tôt dans l’année. Ils constatent tous une hausse significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi cela ? Que font-ils différemment en 2021 de ce qu’ils faisaient les années précédentes ?

Q : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour étayer vos arguments.

R : Ok, alors dites-moi : Pourquoi y a-t-il plus de gens qui meurent en 2021 qu’en 2020 ? Et n’oubliez pas que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en légère hausse, mais qu’elle dépasse largement la moyenne des cinq dernières années. Regardez ce récent article d’Alex Berenson sur Substack :

« L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; le nombre de décès hebdomadaires est désormais supérieur de 30% à la normale.

14 octobre : Ceci est extrait du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

“Les 315 décès excédentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne pré-pandémique sur cinq ans pour cette période de l’année. C’est la 20ème semaine consécutive où le nombre de décès excédentaires est supérieur à la moyenne quinquennale et la plus élevée depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021”.

Même en excluant les décès dus au Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse »1.

Q : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

R : Mais il ne s’agit pas seulement de l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination plus tôt dans l’année. Voici plus d’informations de Berenson :

« Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité anormalement élevée, toutes causes confondues, qui n’est PAS liée au Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand en début de semaine.

Presse : “Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10% au-dessus de la moyenne des années précédentes” »2.

Et puis il y a ceci, tiré du compte Twitter de Data Analyst (regardez les graphiques) :

Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre – Mystère COVID, Le Danemark, la Finlande et la Norvège enregistrent une surmortalité plus importante que lors de leur pic épidémique du Covid. Ces mystérieux excès de décès se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

Danemark – « 5 mois d’affilée, 2021 a battu le record de 10 ans de décès de personnes, toutes causes confondues… décès covid proches de zéro au cours de la même période ».

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un coup d’œil à l’Angleterre (de 10 à 59 ans).

« Ce qui est si inquiétant dans ce graphique, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. “Alors que le bilan des décès dus au COVID a été largement confiné aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui supportent le poids des blessures dues aux vaccins. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la Santé, 41% des plus de 2,4 millions de lésions vaccinales signalées à ce jour concernent les moins de 44 ans, et seulement 6% les plus de 75 ans” »3.

C’est quelque chose que vous ne lirez pas dans les médias, et pour une bonne raison. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à vanter les mérites du vaccin.

Joel Smalley, analyste quantitatif, nous en dit plus :

« Mise à jour hebdomadaire des décès par les CDC. “Malgré” une vaccination complète à plus de 80%, depuis le 24 juillet, les décès de personnes âgées de plus de 65 ans en Floride ont augmenté de 14% par rapport à la même période l’année dernière. “Malgré” une vaccination complète à au moins 50% chez les moins de 65 ans, les décès sont en hausse de 46% et continueront d’augmenter au fur et à mesure du rattrapage des déclarations ».

Les exemples sont partout sur Internet. Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la mortalité a augmenté. Et, une fois de plus, il ne s’agit pas de décès dus au Covid. Il s’agit principalement de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de maladies circulatoires et de problèmes neurologiques ; les mêmes affections induites par les vaccins contre lesquelles les médecins et les scientifiques qui nous disent la vérité depuis le début nous ont mis en garde. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En clair, les vaccins augmentent le nombre de décès, au lieu de le réduire. Ils aggravent les choses au lieu de les améliorer. Ils perpétuent la crise au lieu d’y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique est orientée vers le haut. Elle indique que le nombre de décès continuera à augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons actuellement, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche la formation de caillots sanguins, l’inflammation et l’auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un bref commentaire du Daily Skeptic :

« … la présence d’une épidémie de Covid n’a pas été constatée à l’été 2020, mais l’est à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre ces deux années ? La réponse la plus évidente est le déploiement de la vaccination contre le COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement des vaccinations contre le Covid de manière séquentielle à des groupes d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un modèle que nous voyons dans la manifestation de la surmortalité. … Le système de notification des événements indésirables Yellow Card, […] a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins anti-covid. Il y a donc de bonnes raisons de penser que la vaccination contre le COVID-19 est un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire de la surmortalité estivale en Écosse en 2021 »4.

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès supplémentaires qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une exception inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires »5.

Donc, selon l’article, il y a eu :

  • 24% de décès par insuffisance cardiaque de plus que la base de référence
  • 19% de cardiopathies ischémiques
  • 16% de maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces affections cérébro-vasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas tombées du ciel en 2021. Ce sont des lésions générées par les vaccins. Vous ne voyez pas ?

Et elles sont toutes liées à la protéine spike qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes, et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? ». (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année du Covid que durant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, le Covid a tué 353 000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390 000 personnes sont mortes. Comment cela est-il possible ? Après tout :

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà mortes.
  2. Selon les experts, la variant Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan.
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et possèdent désormais une immunité naturelle.
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaccinées.

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi ?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays ayant les taux de mortalité les plus élevés pour le Covid-19 sont aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il y a une corrélation positive importante entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Tout récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le risque-bénéfice global des vaccins contre le Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non-vaccinés dans chaque catégorie d’âge ».

Sa pensée sur la question était simple :

« Si le Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions à ce jour avoir constaté beaucoup plus de décès liés au Covid chez les non-vaccinés que chez les vaccinés…(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il devrait y avoir un peu plus de décès de causes non liées au Covid chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (dans chaque groupe d’âge). Ainsi, le nombre de décès, toutes causes confondues, devrait être plus élevé chez les non-vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), ce qui confirmerait que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques »6.

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si génial, les données devraient le montrer clairement. Mais ce n’est pas ce que Fenton a trouvé. Ce qu’il a trouvé est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. (Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat concernant le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été vicieusement dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui est ce qui arrive à tous ceux qui osent remettre en question le récit officiel. Voici plus d’informations de NPR :

« Dans le service des urgences de l’hôpital Sparrow de Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel s’efforcent de soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais été. Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers du service des urgences, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de brancards poussés contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. “C’est dur à regarder”, dit-elle dans sa voix chaude de Texane.

Mais il n’y a rien qu’elle puisse faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

“Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme”.

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’avant la pandémie, leurs maladies étant plus avancées et nécessitant des soins plus complexes.

Les mois de retard dans les traitements ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Selon les médecins et les infirmières, la gravité des maladies est très variable et comprend, entre autres, des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide »7.

Je répète : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, l’engorgement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié à des blessures induites par le vaccin qu’à des « traitements retardés ». Et remarquez que l’auteur semble sincèrement préoccupé par la multiplication des salles d’urgence, mais ne mentionne jamais l’éléphant dans la pièce : le vaccin. S’agit-il d’une simple erreur de sa part ou avait-il vraiment l’intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a cette perle du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut de troubles « thromboemboliques » auquel nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est judicieusement intitulé « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Quand on pense à une crise cardiaque, on imagine immédiatement quelqu’un de plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes de 22 ans seulement pouvaient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Elle peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque, des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la Mayo Clinic.

En général, il s’agit d’une affection peu fréquente, mais les médecins exhortent les femmes à demander un diagnostic et des soins lorsqu’elles présentent des symptômes. Cette affection est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans, mais les experts ont signalé qu’elle touche des femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans »8.

C’est compris ? Donc, selon le Post, il est parfaitement normal qu’une jeune femme de 22 ans en bonne santé soit frappée par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes à l’égard des blessures causées par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, c’est le cas, tout comme l’article du Times of India sur la superstar des célébrités et fou de fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

« La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les dangers auxquels sont confrontés de nombreux trentenaires et quadragénaires aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques. […] (Rajkumar) a été victime d’un malaise cardiaque massif alors qu’il faisait de l’exercice dans un gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

On observe une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques chez les jeunes, voire les jeunes de 20 ans. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme des « problèmes de personnes âgées », ce n’est plus le cas et c’est désormais un signe d’alerte auquel les médecins invitent les gens à faire attention. […]

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que la préoccupation pour les questions liées à la santé cardiaque a été repoussée, et il est maintenant plus probable qu’avant que les gens souffrent de crises cardiaques et d’arrêts cardiaques silencieux »9.

A-t-on l’impression que les médias ont accepté leur rôle de complice d’une extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, nous pouvons nous attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir partout dans un avenir proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles conclusions ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice, soulignent les chercheurs », The Irish Times.

Ou ceci :

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en augmentation », The Hindu

Ou encore ceci :

« Le nombre de crises cardiaques a augmenté en 2021, l’âge n’étant pas une barrière ; voici ce qui en est à l’origine », cnbctv18.

Vous voyez ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but : faire croire au public que la vague extraordinaire de décès chez les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Circulez ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout est effroyablement bizarre et choquant, et c’est pourquoi nous nous concentrons tant sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Car nous pensons qu’ils fourniront les preuves dont nous avons besoin pour démontrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement. Les grands argentiers ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous, les cafards, pour avoir plus de place pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont opté pour le vaccin comme alternative « moins salissante » que de nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils perdent le sommeil à cause de ça.

Alors, comment se passe le plan, vous demandez ? Regardez ça :

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019 ».

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données d’une recherche plus diversifiée. Jetez-y un coup d’œil :

« La piqûre COVID est-elle responsable de la surmortalité ?…

Matthew Crawford, de la lettre d’information Rounding the Earth, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des piqûres de COVID… Crawford poursuit en examinant les données de pays où l’adoption du vaccin est importante tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19. De cette manière, il est possible de se faire une meilleure idée de la question de savoir si les injections anti-covid pourraient être responsables de la surmortalité, par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ce critère, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale […] Crawford procède à un certain nombre d’ajustements afin d’éliminer les valeurs aberrantes susceptibles de fausser les ensembles de données, (mais) après avoir éliminé les nations dont le nombre de décès dus au COVID était supérieur à 100 par million avant leur programme de vaccination, il est parvenu à 13 pays représentant une population combinée de 354 millions d’habitants […]

Il est remarquable de constater que le nombre de décès dus au COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination qu’avant le déploiement des vaccins. Dans cinq de ces 13 pays, 90% des décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début des campagnes de vaccination.

“À première vue, ces résultats renforcent l’idée que les vaccins expérimentaux tuent des gens”, écrit Crawford. “À tout le moins, il s’agit d’un signal de sécurité dramatique de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à se réunir pour discuter de la manière d’affiner les données qu’elles n’analysent pas, à la connaissance de tous…” »10.

Intéressant, non ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus, et que vous inoculez quand même une tonne de personnes, alors vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où la propagation virale est importante, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais quelle que soit la manière dont on la décrit, la protéine spike érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les répercussions de cette attaque féroce peuvent prendre la forme d’une myriade d’affections qui se développent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par un agent pathogène : arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire, auto-immunité, etc. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent être en tête de liste. Consultez ce bref article du Dr Peter McCullough :

« Le monde est maintenant témoin d’une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins.

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde entier. En Écosse, les professionnels de la santé ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette affection résulte de l’obstruction partielle d’une artère qui coupe l’approvisionnement en sang du cœur. Elle présente moins de lésions tissulaires qu’une crise STEMI classique, mais peut être tout aussi fatale […] Les cas de crise STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ils ont récemment augmenté… Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44%, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes de crises cardiaques ».

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce là un résumé exact du vaccin contre le Covid-19 ?

Oui. Voici plus d’informations de The Expose :

« Les données disponibles auprès du Centre de Contrôle des Maladies aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des “résultats cliniques anormaux non classés ailleurs” ont augmenté de manière exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination antérieurs au Covid-19 […]

Les décès de cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus spécifique n’a pu être posé… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.

[…] le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux […] a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant que la prétendue pandémie ne frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin du mois de mars et le début du mois d’avril 2021, le nombre de décès anormaux enregistrés par semaine a soudainement augmenté… pour atteindre plus de 7000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600% par rapport à la moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr : pourquoi ?

[…] La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme permettant de savoir quelles en seront les conséquences.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental massif de la vaccination sont une augmentation choquante et brutale du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées »11

Cet article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues de la part d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine spike dont l’attaque furtive du système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques comme on n’en a jamais vu auparavant. Tous ces décès peuvent être attribués à un « poison mortel » qui augmente sans cesse la mortalité toutes causes confondues tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, jetez un coup d’œil au nombre d’athlètes qui meurent peu après avoir reçu une injection. C’est une histoire qui ne peut que déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « Une vague de sportifs dans le monde souffrant de problèmes de santé inhabituelles », Not The Beeb.com.

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes qui traite de l’arrêt cardiaque et de notre système bidon de notification des blessures dues aux vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les récents développements dans un commentaire qu’il a posté sur le Morningstar Channel la semaine dernière. Il a déclaré :

« Il n’y a pas de fin logique … si ce n’est la tyrannie totalitaire … et la dépopulation massive … Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent sur la partie dépopulation. (Mais) Les preuves l’indiquent fermement ».

En effet.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International


[Références]

  1. « L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale », Alex Berenson Substack
  2. « Il n’y a pas que le Royaume-Uni ; les décès, toutes causes confondues, sont également bien supérieurs à la normale en Allemagne (80% des adultes sont entièrement vaccinés », Alex Berenson Substack
  3. « La véritable pandémie vient de commencer, et il s’agit des crises cardiaques provoquées par les vaccins anti-covid chez les jeunes », Lifesite News
  4. « Les vaccins sont-ils à l’origine des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie », The Daily Skeptic
  5. « Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph
  6. « Des divergences et des incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre les vaccinés et les non-vaccinés »
  7. « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas le COVID », NPR
  8. « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans », New York Post
  9. « L’acteur kannada Puneeth Rajkumar meurt à 46 ans, il a souffert d’un grave arrêt cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice », Times of India
  10. « Les vaccins COVID sont-ils responsables de la hausse de la mortalité ? », Mercola.com
  11. « Investigation : Les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées depuis le début des vaccinations Covid-19 », The Expose



L’empire de la haute finance avale les institutions supranationales et s’installe, au nom du climat

[Source : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Direction GFANZ ; Source : GFANZ

Quand les PDG de BlackRock, de la City, de la Bank of America, de Banco Santander, de HSBC, du London Stock Exchange Group, Singapore Exchange, et du Fonds David Rockefeller se réunissent en 2021, ils s’entendent sur la nouvelle structure de Planète Finance post-Covid. Et idéalement, ils fusionnent avec les institutions supragouvernementales qu’ils ont manipulées à l’envi depuis les Accords de Bretton Woods.

Les banquiers centraux se sont joints à la fête de la City-Wall Street!

Et les banquiers centraux profitant de la méconnaissance du grand public de leurs tours de passe-passe, ont servi de courroie de transmission des liquidités locales vers ces ultra-puissants qui sont finalement leurs futurs patrons. Je vous remets des graphiques incroyablement scandaleux qui n’émeuvent pas grand monde qui montrent comment elles ont récupéré les réserves des banques sous prétexte de sécurité. En clair, on a forcé les banques à se doter de montagnes de liquidités et de titres de très haute qualité, puis à les déposer auprès de la banque centrale.

Regardez comment les banques centrales influencent les capitalisations boursières et l’enrichissement démesuré d’une poignée d’élus

Forte d’immenses volumes à la fois de liquidités et d’actifs financiers, Planète Finance se dote d’une gouvernance financière mondiale ultra-puissante.

Une idéologie fasciste décrite par Mussolini.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/04/leurope-entre-dans-une-ere-fasciste-et-dit-adieu-aux-libertes-individuelles-france/

La gouvernance mondiale du Nouveau Modèle est centrée sur la finance.

Ces individus cités ci-dessus, leurs associés et alliés forment LA gouvernance mondiale. Le pouvoir politique de gouvernants est « has been » dans la mesure où les Etats, les territoires, les compagnies, les individus ont perdu le contrôle de leurs outils de production, de leurs richesses, de leurs ressources naturelles, etc. Regardez ce qu’écrivait en 1970 Zbigniew Brzezinski:

BETWEEN TWO AGES, America’s Role in the Technetronic Era, Zbigniew Brzezinski, 1970

La 1WorldCompany, l’aboutissement d’une guerre livrée aux Etats publics et aux citoyens.

Cette idéologie qui met la finance au centre de la vie publique est en train de finir de faire la guerre aux Etats, aux marchés ouverts, aux citoyens. Et cette idéologie d’essence nazie a mis à terre la démocratie et avec elle le principe de la dignité humaine.

Vous n’avez plus rien et ils ont tout.

La Dépossession est à un tel stade qu’il est à craindre même pour la suffisance alimentaire décente, autre que des asticots et autres ignominies vantées par les suppôts du système baalien.

Bref, l’élite financière anglo-saxonne n’a plus besoin de se cacher derrière le tigre américain pour conquérir le monde. Elle est en train de le laisser tomber pour assumer enfin aux yeux de tous son immense puissance qui a été installée grâce à la techno-usure portée à son paroxysme.

Un grand merci aux banques centrales sans lesquelles ceci n’aurait jamais pu avoir lieu.

LHK

L’Alliance des banquiers soutenue par l’ONU annonce un plan « vert » pour transformer le système financier mondial. Whitney Webb

Les intérêts financiers privés les plus puissants du monde, sous le couvert de la COP26, ont élaboré un plan pour transformer le système financier mondial en fusionnant avec des institutions comme la Banque mondiale et en les utilisant pour éroder davantage la souveraineté nationale dans le monde en développement.

Mercredi, une alliance « dirigée par l’industrie et convoquée par l’ONU » d’institutions bancaires et financières privées a  annoncé des plans à la conférence COP26 pour remanier le rôle des institutions financières mondiales et régionales, y compris la Banque mondiale et le FMI, dans le cadre d’un plan plus large visant à « transformer » le système financier mondial.

L’objectif officiellement déclaré de cette refonte proposée, par les membres de l’alliance, est de promouvoir la transition vers une économie « net-zéro ». Cependant, la « réimagination » proposée par le groupe des institutions financières internationales (IFI), selon leur « rapport d’étape » récemment publié, permettrait également de fusionner ces institutions avec les intérêts bancaires privés qui composent l’alliance ;

créer un nouveau système de « gouvernance financière mondiale »;

et éroder la souveraineté nationale parmi les pays en développement en les forçant à établir des environnements commerciaux jugés « favorables » aux intérêts des membres de l’alliance. En d’autres termes,les puissants intérêts bancaires qui composent ce groupe poussent à recréer l’ensemble du système financier mondial à leur profit sous prétexte de promouvoir la durabilité.

Cette alliance, appelée Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ), a été lancée en avril par John Kerry, envoyé spécial du président américain pour le changement climatique ; Janet Yellen, secrétaire américaine au Trésor et ancienne présidente de la Réserve fédérale ; et Mark Carney, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques et ancien président de la Banque d’Angleterre et de la Banque du Canada. Carney, qui est également le conseiller financier du Premier ministre britannique pour la conférence COP26, copréside actuellement l’alliance avec le milliardaire américain et ancien maire de New York, Michael Bloomberg. 

Lors de sa création, GFANZ a déclaré qu’il « fournirait un forum de coordination stratégique entre les dirigeants des institutions financières de l’ensemble du secteur financier pour accélérer la transition vers une économie nette zéro » et

« mobiliser les trillions de dollars nécessaires » pour accomplir les objectifs du groupe. objectifs zéro émission.

Au moment du lancement de l’alliance, le Premier ministre britannique Boris Johnson a décrit GFANZ comme « unissant les banques et les institutions financières du monde derrière la transition mondiale vers le zéro net », tandis que John Kerry a noté que « les plus grands acteurs financiers du monde reconnaissent que la transition énergétique représente un vaste opportunité commerciale.

En analysant ces deux déclarations ensemble, il semble clair que GFANZ a uni les banques privées et les institutions financières les plus puissantes du monde derrière ce qu’elles considèrent, avant tout, comme« une vaste opportunité commerciale », dont ils commercialisent leur exploitation comme un « impératif planétaire ».

John Kerry en conversation avec Christine Amanpour de CNN à la COP 26 ; Source : CNN

GFANZ est composé de plusieurs « alliances sous-sectorielles », dont la Net Zero Asset Managers Initiative ( NZAM ), la Net Zero Asset Owner Alliance ( NZAOA ) et la Net Zero Banking Alliance ( NZBA ). Ensemble, ils contrôlent une part formidable des intérêts bancaires et financiers privés mondiaux, la NZBA à elle seule représentant actuellement  43%  de tous les actifs bancaires mondiaux. Cependant, les « plus grands acteurs financiers » qui  dominent GFANZ  comprennent les PDG de BlackRock, Citi, Bank of America, Banco Santander et HSBC, ainsi que David Schwimmer, PDG du London Stock Exchange Group et Nili Gilbert, président du comité d’investissement. du Fonds David Rockefeller. 

Notamment, une autre entité liée à Rockefeller, la Fondation Rockefeller, a  récemment joué un rôle central  dans la création de Natural Asset Corporations (NAC) en septembre. Ces NAC cherchent à créer une nouvelle classe d’actifs qui mettrait en vente le monde naturel, ainsi que les processus écologiques qui sous-tendent toute vie, sous prétexte de les « protéger ». Les directeurs de GFANZ, dont Larry Fink de BlackRock, sont depuis longtemps enthousiasmés par les perspectives des NAC et d’autres efforts connexes pour financiariser le monde naturel et il a également joué un rôle clé dans la promotion de cette financiarisation comme nécessaire pour lutter contre le changement climatique.

Dans le cadre de la COP26, GFANZ – un groupe clé à cette conférence – publie un plan visant à augmenter « les flux de capitaux privés vers les économies émergentes et en développement ». Selon le communiqué de presse de l’alliance , ce plan se concentre sur « le développement de plates-formes nationales pour connecter le capital privé désormais énorme engagé à zéro net avec des projets nationaux, en augmentant le financement mixte par le biais des BMD [banques de développement multilatérales] et en développant des marchés mondiaux du carbone crédibles et à haute intégrité ». Le communiqué de presse note que cet « énorme capital privé » est de l’argent que les membres de l’alliance cherchent à investir dans les pays émergents et en développement, estimé à plus de 130 000 milliards de dollars, et que – afin de déployer ces milliers de milliards en investissement – ​​« le système financier mondial est en train d’être transformés » par cette alliance même en coordination avec le groupe qui les a convoqués, les Nations Unies.

Proposer une reprise

Les détails du plan de GFANZ visant à déployer des milliers de milliards d’investissements de membres dans les marchés émergents et les pays en développement ont été publiés dans le premier « rapport d’étape » de l’alliance , dont la publication a été programmée pour coïncider avec la conférence COP26. Le rapport détaille le « plan de travail et les ambitions à court terme » de l’alliance, que l’alliance résume succinctement comme un « programme de travail pour transformer le système financier ».

Le rapport note que l’alliance est passée du stade « d’engagement » au stade « d’engagement », avec l’objectif principal de l’étape d’engagement étant la « mobilisation de capitaux privés dans les marchés émergents et les pays en développement par le biais du leadership du secteur privé et du secteur public. collaboration privée. Ce faisant, selon le rapport, GFANZ cherche à créer « une architecture financière internationale » qui augmentera les niveaux d’investissement privé des membres de l’alliance dans ces économies. Leurs principaux objectifs à cet égard tournent autour de la création de « plates-formes nationales ambitieuses » et d’une collaboration accrue entre les BMD et le secteur financier privé.

Rapport d’avancement GFANZ

Selon GFANZ, une « plate-forme nationale » est  définie comme  un mécanisme qui réunit et aligne les « parties prenantes », c’est-à-dire un mécanisme de partenariat public-privé/capitalisme des parties prenantes, « autour d’un problème ou d’une géographie spécifique ». Parmi les exemples proposés, citons la Climate Finance Leadership Initiative  (CFLI) de Mike Bloomberg  , en partenariat avec Goldman Sachs et HSBC, entre autres institutions du secteur privé. Bien qu’ils soient présentés comme étant dirigés par des « parties prenantes », les exemples existants de « plates-formes nationales » offerts par le GFANZ sont soit des initiatives dirigées par le secteur privé, comme le FCIL, soit des partenariats public-privé dominés par de puissantes sociétés multinationales et des milliardaires.

Comme  expliqué récemment par le journaliste et chercheur Iain Davis, ces modèles de mécanismes de « capitalisme des parties prenantes » – bien que présentés comme offrant une forme de capitalisme « plus responsable » – permettent plutôt aux entreprises et aux entités privées de participer à la formation des régulations qui régissent leurs propres marchés et de leur donner un rôle considérablement accru dans la prise de décision politique en les plaçant sur un pied d’égalité avec les gouvernements nationaux. C’est essentiellement une manière créative de commercialiser le « corporatisme », la définition du fascisme tristement célèbre par le dictateur italien Benito Mussolini.

En plus de la création de « plates-formes nationales » « corporatistes » qui se concentrent sur des domaines et/ou des problèmes spécifiques dans le monde en développement, GFANZ vise également à « corporatiser » davantage les banques multilatérales de développement (BMD) et les institutions de financement du développement (IFD) afin pour mieux atteindre les objectifs d’investissement des membres de l’alliance. Selon l’alliance, cela est décrit comme une augmentation de la « collaboration MBD-secteur privé ».  Le rapport GFANZ  note que « les BMD jouent un rôle essentiel en aidant à accroître les flux d’investissement » dans le monde en développement. Les BMD, comme la Banque mondiale,  ont longtemps été critiquées pour avoir accompli cette tâche en piégeant les pays en développement dans la dette, puis en utilisant cette dette pour forcer ces pays à déréglementer les marchés (en particulier les marchés financiers), à privatiser les actifs de l’État et à mettre en œuvre des politiques d’austérité impopulaires.  Le rapport GFANZ  indique clairement que l’alliance cherche maintenant à utiliser ces mêmes tactiques controversées des BMD en forçant une déréglementation encore plus grande sur les pays en développement pour faciliter les investissements « verts » des membres de l’alliance.

Le rapport  indique explicitement  que les BMD devraient être utilisées pour inciter les pays en développement « à créer les bons environnements propices de haut niveau et transversaux » pour les investissements des membres de l’alliance dans ces pays. Les niveaux nettement plus élevés d’investissement en capital privé, qui sont nécessaires pour atteindre Net-Zero par GFANZ, exigent que les BMD soient utilisées pour inciter les pays en développement à « établir des environnements commerciaux propices aux investissements ; un cadre reproductible pour le déploiement des investissements de capitaux privés ; et des pipelines d’opportunités d’investissement bancables. GFANZ note ensuite que « les capitaux et les investissements privés iront à ces projets si les gouvernements et les décideurs créent les conditions appropriées », c’est-à-dire des environnements propices aux investissements du secteur privé. 

En d’autres termes, à travers l’augmentation proposée de l’implication du secteur privé dans les BMD, comme la Banque mondiale et les banques régionales de développement, les membres de l’alliance cherchent à utiliser les BMD pour imposer à l’échelle mondiale une déréglementation massive et étendue aux pays en développement en utilisant la poussée de décarbonation comme justification. Les BMD ne doivent plus piéger les pays en développement dans la dette pour forcer des politiques qui profitent aux entités étrangères et multinationales du secteur privé, car les justifications liées au changement climatique peuvent désormais être utilisées aux mêmes fins. 

Le PDG de BlackRock et directeur de GFANZ, Larry Fink, s’entretient avec CNBC pendant la COP26 ; Source : CNBC

Cette nouvelle modalité pour les BMD, ainsi que leur fusion avec le secteur privé, est finalement ce que GFANZ propose en termes de « ré-imaginer » ces institutions. GFANZ principal et chef de la direction de BlackRock Larry Fink, au cours  d’ un panel de COP26  qui a eu lieu le 2 Novembre e , explicitement fait référence au plan de refonte de ces institutions quand il a dit que: « Si nous voulons être sérieux au sujet du changement climatique dans les pays émergents , nous allons devoir vraiment nous concentrer sur la réimagination de la Banque mondiale et du FMI.

Fink  continua :

« Ils sont le prêteur principal, et il n’y a pas assez de capitaux privés qui entrent dans le monde émergent aujourd’hui en raison des risques associés au risque politique, en investissant dans des investissements dans les friches industrielles – si nous voulons vraiment augmenter le capital d’investissement dans le monde émergent… J’exhorte les propriétaires de ces institutions, les actionnaires, de se concentrer sur la façon dont nous réimaginons ces institutions et repenser leur charte. »

Les plans proposés par GFANZ pour réinventer les BMD sont particulièrement alarmants étant donné que les documents militaires américains divulgués admettent ouvertement que ces banques sont essentiellement des « armes financières » qui ont été utilisées comme « instruments financiers et instruments diplomatiques de la puissance nationale des États-Unis » ainsi que des instruments de ce que ces mêmes les documents se réfèrent au « système de gouvernance mondiale actuel » qui sont utilisés pour forcer les pays en développement à adopter des politiques qu’ils n’auraient pas autrement. 

En outre, compte tenu des déclarations de Fink, il ne devrait pas être surprenant que le rapport GFANZ note que leurs efforts pour établir des « plates-formes nationales » et modifier le fonctionnement et les chartes des BMD sont un élément clé de la mise en œuvre des recommandations pré-planifiées visant à « saisir la nouvelle moment de Bretton Woods » et refaçonner le système de « gouvernance financière mondiale » afin de « promouvoir la stabilité économique et la croissance durable ». 

Comme indiqué dans d’autres documents de GFANZ et sur leur site Web, l’objectif de l’alliance est la transformation du système financier mondial et il ressort clairement des déclarations des membres et des documents de l’alliance que l’objectif de cette transformation est de faciliter les objectifs d’investissement des membres de l’alliance. au-delà de ce qui est actuellement possible en utilisant les diktats liés au changement climatique, par opposition à la dette, comme moyen à cette fin.

L’ONU et la « Révolution tranquille »

À la lumière de l’adhésion de GFANZ et de leurs ambitions, certains peuvent se demander pourquoi les Nations Unies soutiendraient une telle initiative prédatrice. Les Nations Unies, après tout, ne travaillent-elles pas principalement avec les gouvernements nationaux par opposition aux intérêts du secteur privé ?

Bien que ce soit certainement la perception publique dominante de l’ONU, l’organisation a – pendant des décennies – suivi un modèle de « capitalisation des parties prenantes » qui privilégie le secteur privé et les « philanthropes » milliardaires par rapport aux gouvernements nationaux, ces derniers étant simplement chargés de créer « » environnements favorables » pour les politiques créées par et au profit des premiers. 

S’adressant au Forum économique mondial en 1998, le secrétaire général de l’ONU de l’époque, Kofi Annan,  a clairement exprimé ce changement :

« L’ONU s’est transformée depuis notre dernière rencontre ici à Davos. L’Organisation a subi une refonte complète que j’ai qualifiée de « révolution tranquille »… Un changement fondamental s’est produit. Les Nations Unies ne traitaient autrefois qu’avec les gouvernements. À présent, nous savons que la paix et la prospérité ne peuvent être atteintes sans des partenariats impliquant les gouvernements, les organisations internationales, le monde des affaires et la société civile… Les affaires des Nations Unies impliquent les entreprises du monde.

L’ONU étant désormais essentiellement un véhicule pour la promotion du capitalisme des parties prenantes, il est tout à fait normal qu’elle « convoque » et soutienne les efforts d’un groupe comme GFANZ pour étendre ce modèle de capitalisme des parties prenantes à d’autres institutions impliquées dans la gouvernance mondiale, en particulier la finance mondiale. gouvernance. Permettre aux membres de GFANZ, c’est-à-dire bon nombre des plus grandes banques privées et institutions financières du monde, de fusionner avec les BMD, de refaire le « système de gouvernance financière mondiale » et d’acquérir un contrôle accru sur les décisions politiques dans le monde émergent est le rêve d’un banquier devenu réalité. Pour en arriver là, tout ce dont ils ont eu besoin est de convaincre suffisamment de la population mondiale que de tels changements sont nécessaires en raison de l’urgence perçue du changement climatique et de la nécessité de décarboniser rapidement l’économie. Pourtant, s’il est mis en pratique,ce qui en résultera n’est guère un monde « plus vert », mais un monde dominé par une petite élite financière et technocratique qui est libre de profiter et de piller à la fois le « capital naturel » et le « capital humain » comme bon lui semble. 

Aujourd’hui, les BMD sont utilisées comme des « instruments de pouvoir » qui utilisent la dette pour forcer les pays en développement à mettre en œuvre des politiques qui profitent aux intérêts étrangers, et non à leurs intérêts nationaux. Si GFANZ réussit, les BMD de demain seront essentiellement utilisées pour éliminer la souveraineté nationale,  privatiser les « actifs naturels »  (par exemple, les écosystèmes, les processus écologiques) du monde en développement et imposer des politiques de plus en plus technocratiques conçues par les institutions de gouvernance mondiale et les groupes de réflexion sur populations de plus en plus défavorisées. 

Bien que GFANZ se soit enveloppé d’une rhétorique noble de « sauver la planète », leurs plans se résument finalement à un coup d’État dirigé par les entreprises qui rendra le système financier mondial encore plus corrompu et prédateur et réduira davantage la souveraineté des gouvernements nationaux dans le monde en développement.

Auteur Whitney Webb

UN-Backed Banker Alliance Announces “Green” Plan to Transform the Global Financial System




Lettre ouverte à Mr le Président de la République, Emmanuel Macron cc à Mr le Premier Ministre, Jean Castex

Par Nicole et Gérard Delépine

lettre ouverte au president de la république 7 NOV 21 def

Le 7 novembre 2021

Nous supposons que vos équipes vous informent quotidiennement de l’évolution de l’épidémie covid. Néanmoins, au vu des chiffres officiels de santé publique France et du réseau sentinelles, nous nous permettons de vous adresser le point que nous avons établi, en tant que cliniciens, tant sur l’épidémie en Europe que dans notre pays.

Au vu de ces résultats, nous sommes convaincus que vous pourrez rassurer les Français afin qu’ils reprennent une vie de plus en plus normale, favorable à l’économie mais aussi à l’état psychologique de tous.  Nous vous remercions de votre attention.

L’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels.  Voici les éléments factuels (derniers chiffres de l’OMS et courbes de OurWorldinData).(([1]  Tous les chiffres et courbes publiés sont authentiques. Les données sont les données officielles publiées par l’OMS que chacun peut vérifier en tapant OMS Covid Dashboard suivi du nom du pays. Les courbes ne font que traduire graphiquement les données OMS ; elles ont été pour la plupart publiées par OurWorldinData et peuvent également être retrouvées en tapant OurWorldinData covid suivi du nom du pays en anglais))

Mr Castex a donné les chiffres globaux d’IRA (insuffisance respiratoire aigüe) mais peu sont liés à covid (4 pour 100000). Les média citent les « décès du jour » mais omettent de relativiser par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts covid versus mortalité journalière en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux…

En France, le nombre de cas lié au covid est globalement bas et stable.

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20000 cas) anglais (40000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles(([2] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) )) d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, réponse que donne le réseau sentinelle.

Les chiffres du réseau sentinelle montrent que l’épidémie covid est terminée

D’après le réseau Sentinelles(([3] Le réseau sentinelle officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.

La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.)), l’incidence est inférieure  à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100.000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas  aux infections liées au covid mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aigues (taux  fixé plus  bas qu’avant 2020).

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :

Publié le 03/11/2021

le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de ´ COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 ´ [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les ´ enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV) 
la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en ´ Ile-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en ´ Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau sentinelles. »

Les chiffres de mortalité de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’institut Pasteur, jusqu’ici toujours démenties par les faits.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère que la précédente. C’est le cas du variant delta dont la forte circulation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens démontrent que l’épidémie est terminée en Europe de l’Ouest et en Scandinavie.

Merci Mr le Président d’avoir parcouru ce document qui démontre que la crise covid est passée dans notre pays. Nous restons à votre entière disposition pour tout complément d’information.

Avec notre respect.

N. Delépine pédiatre cancérologue et G. Delépine chirurgien oncologue et statisticien





Ubérisation de la politique et grand effondrement

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Infographie : l’ubérisation en 15 secteurs | Observatoire Uberisation et Economie Collaborative]

Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI… Nous nous approchons de ces élections dérisoires et nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. Elle gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans le modèle Blade runner décrit par Ridley Scott il y a quarante ans (voyez mon livre), soit la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent notre mental (voyez le livre de ma femme sur Dick). Tesla devient la première marque vendue en Europe.

Rappelons ce que notre encyclopédie polyvalente et elle-même ubérisée (Wikipédia donc) nous dit de l’ubérisation :

L’ubérisation (du nom de l’entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.

Toute cette technologie américaine réorganise le monde et nos sociétés, se vante Wikipédia :

La mutualisation de la gestion administrative et des infrastructures lourdes permet notamment de réduire le coût de revient de ce type de service ainsi que les poids des formalités pour les usagers. Les moyens technologiques permettant l’ubérisation sont la généralisation du haut débit, de l’internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.

C’est la fin du modèle des Trente Glorieuses, se vante  notre encyclopédie :

Ce modèle d’organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s’oppose de fait à celui reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat. L’ubérisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre d’une branche intégrée au marché de l’économie à la tâche.

Le mot « ubérisation » vient du grand patron de Publicis qui soumit la presse dans les années 80 :

Le terme « ubérisation » est un néologisme, popularisé en francophonie par Maurice Lévy après un entretien accordé au Financial Times en décembre 2014. Le terme provient de l’entreprise Uber qui a généralisé à l’échelle planétaire un service de voiture de tourisme avec chauffeur entrant directement en concurrence avec les taxis.

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

Les caractéristiques de ce service sont en premier lieu les gains financiers importants liés à l’évitement des contraintes réglementaires et législatives de la concurrence classique (l’acquisition d’une licence de taxi dans le cadre d’Uber), mais aussi la quasi-instantanéité, la mutualisation de ressources et la faible part d’infrastructure lourde (bureaux, services supports, etc.) dans le coût du service, ainsi que la maîtrise des outils numériques.

On voit aussi ce que donne la fin des infrastructures lourdes chères à ces imbéciles : l’effondrement de l’infrastructure dans tous les pays occidentaux (USA, France, Allemagne).

[Note de Joseph Stroberg : si certaines élites semblent apprécier de passer par le chaos pour achever la construction de leur Nouvel Ordre Mondial, le résultat pourrait être bien différent de celui de leurs attentes, surtout si cet ordre lui-même subit un violent choc en retour. Au lieu d’asservir l’Homme et d’enchaîner l’Humanité à la machine, cela pourrait en fait aboutir à la libération de la Créativité et à la floraison de la Conscience : un nouveau ciel et une nouvelle terre pour une Humanité rénovée, souveraine depuis l’individu jusqu’à sa totalité, en conformité cette fois avec le dessein cosmique.]

Le Petit Larousse est lui-même euphorique sur le sujet :

Le terme « ubérisation » fait son apparition dans le dictionnaire Le Petit Larousse 2017, qui le définit comme : la « remise en cause du modèle économique d’une entreprise ou d’un secteur d’activité par l’arrivée d’un nouvel acteur proposant les mêmes services à des prix moindres, effectués par des indépendants plutôt que des salariés, le plus souvent via des plates-formes de réservation sur Internet.

Encore plus euphorique le Figaro (la presse aussi a été ubérisée, et depuis longtemps encore). Au sujet de l’ubérisation, Guillaume Sarlat explique dans Le Figaro :

L’ubérisation, tout le monde en parle aujourd’hui : tous les business models des grands groupes seraient sur le point d’être disruptés, ubérisés, désintermédiés, commoditisés, en un mot pulvérisés par une multitude de startups beaucoup plus agiles et innovantes.

Retenons le mot de pulvériser. Pour le reste le petit mange-merde du Figaro pulvérise la langue de Malherbe et de Chateaubriand. L’ubérisation amorce le bref règne des pignoufs qui veulent nous amener à un âge technocratique de ténèbres sauce Davos.

On a parlé d’économie à la tâche, alors expliquons :

L’économie à la tâche (de l’anglais gig economy, gig signifiant le concert, on a souvent payé les musiciens d’une soirée une fois le bal terminé) On la désigne aussi sous le nom d’économie à la demande ou économie des petits boulots. C’est un système basé sur des emplois flexibles, temporaires ou indépendants.

La politique est devenue un petit boulot. Chacun opinera et/ou appréciera.
L’optimisme médiatique ajoute :

En 2021, livraison de repas à domicile, voitures avec chauffeur, participation rémunérée à des sondages, micro-tâches d’assistance aux algorithmes, aux réseaux sociaux, aux corrections de données, « l’économie des petits boulots » génère un chiffre d’affaires mondial de 5 000 milliards de dollars.

Un petit bémol :

En 2025, 500 millions de personnes pourraient dépendre pour vivre des petits boulots associés à l’économie à la tâche. La liberté et la simplicité d’accès qui font le succès des plates-formes reposent aujourd’hui sur l’exploitation de ces travailleurs.

Les travailleurs ne sont pas les seuls exploités : les clients et les consommateurs aussi. L’ubérisation de la culture et de l’enseignement ont préparé les jeunes générations à accepter leur condition d’ilote. Le bobo d’aujourd’hui (et sa descendance ruineuse et efflanquée) a la sous-culture média de sa femme de ménage ubérisée.

Cette dégradation du matériel humain préparée depuis quarante ans (voyez ma Lettre ouverte à la vieille race blanche) était la condition sine qua non et le préalable du démantèlement terminal de notre société et de notre patrie. Le mécontentement étant lui-même ubérisé politiquement, la caste de Blade runner a peu de soucis à se faire.

Nicolas Bonnal 




Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir

Par Nicole Delépine

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer(([1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/))

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.(([2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) ))

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

 Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois(([3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news))

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.(([4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.))

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines(([5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants)) et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.(([6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) ))

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement(([7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr)) la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).(([8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.)) Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection. Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.(([9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting))

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.(([10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »))

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.(([11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf))(([12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid))

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente(([13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included)) chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax(([14] George A. Diaz, MD1; Guilford T. Parsons, MD, MS2; Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4; Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5; Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) )) Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés). 

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?(([15] Yoann 3 oct sur tweeter))

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.(([16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ). 

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))(([18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))(([19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…(([20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.





Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org via profession-gendarme.com]

[Voir Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français ! pour le rapport complet]

Extrait du rapport du Pr Zelenko déjà publié en entier sur PG [Profession Gendarme] ; cette partie concerne les maîtres du monde et les différentes organisations qui leur permettent de tout contrôler dans leurs seuls intérêts.
Pour ceux (trolls ou autres) qui sur le site accablent les juifs ils devraient comprendre en raison de la personnalité d’un des auteurs, le médecin, que les juifs comme les autres populations sont victimes de criminels qu’on croit juifs comme les Rothschild mais qui sont membres d’une mafia khazars qui ont pris le nom du blason corporatiste de leur boutique en Allemagne, le bouclier rouge.

Profession Gendarme

[Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Qui sont ces criminels ?

Découvrez les familles obscures qui gouvernent le monde

Qui sont exactement ces criminels ? Avons-nous certains de leurs noms et où ils se trouvent ? Comment opèrent-ils et comment peut-on faire pour les arrêter ? Une partie importante de la réponse est donnée par le magnifique documentaire Monopoly, qui peut être visionné sur StopWorldControl.com.

MONOPOLY révèle en détail, avec toutes les preuves à l’écran, comment pratiquement tout dans notre monde appartient aux mêmes personnes. Cela montre qui ils sont et ce qu’ils prévoient pour l’humanité. À voir pour tout le monde !

[Voir aussi Les projets des Maîtres du Monde]

Parce que ces entités super riches possèdent tout, c’est un jeu d’enfant pour elles de contrôler le monde. Ils possèdent Apple, Facebook, Twitter, Google, Facebook et le reste de Big Tech, tous les principaux médias d’information, toute l’industrie du voyage, toute l’industrie alimentaire, les banques, l’industrie du vêtement, etc.

En achetant stratégiquement tout, ils ont acquis un monopole sans égal dans le monde entier. Quelque chose dont Jules César ne pouvait que rêver…

Ils possèdent également l’ensemble du secteur de la santé, ce qui leur permet de dire aux hôpitaux du monde entier ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Ils ont positionné leurs marionnettes politiques dans les gouvernements du monde entier par la fraude électorale, la corruption et le chantage. Une fois que nous comprenons cela, nous pouvons voir comment ils sont capables d’imposer la tyrannie partout dans le monde.

Cela me mènerait trop loin de nommer toutes les entités individuelles impliquées, mais je vais en révéler quelques-unes, qui sont au cœur de ce réseau. En Italie, il existe par exemple 13 familles ou lignées italiennes, appelées la «noblesse noire». Je les appelle « la mafia sous stéroïdes ». Ces familles, ainsi que d’autres dynasties similaires d’autres régions de la terre, se considèrent supérieures au reste de l’humanité. Ils considèrent les gens ordinaires comme des « insectes », des « bovins » et des « chiens ». C’est littéralement comment ils écrivent sur vous et moi dans leur littérature.

Ils croient que c’est leur destin de régner sur l’humanité, qui doit devenir leurs esclaves.

Jeff Bezos, Bill Gates, Georges Soros

Ces familles sont organisées selon une hiérarchie pyramidale, où finalement tout le monde répond aux mêmes marionnettistes au sommet.

La clé de leur pouvoir est le secret, donc personne ne peut les toucher.

C’est pourquoi les vrais leaders restent toujours dans l’ombre.

La population mondiale ne voit que des marionnettes qui opèrent sur le devant de la scène mondiale, comme des politiciens contrôlés, des célébrités hollywoodiennes, des dirigeants industriels, des personnalités des médias, etc.

Certaines marionnettes plus connues sont Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros, les Clinton, la famille Bush, etc.

Bien qu’ils soient tous individuellement très riches et puissants, ils sont soumis à des entités plus haut placées dans la hiérarchie, mais qui s’assurent de rester hors de vueLe secret est leur force.

L’une de leurs stratégies consiste à mettre en place des organisations publiques « mondiales », qui sont leurs plates-formes visibles pour élaborer leur agenda. L’un d’eux est devenu très important pendant cette pandémie organisée et s’appelle l’Organisation mondiale de la santé, qui est principalement financée par Bill Gates, une marionnette clé de ce réseau criminel. L’OMS dicte à toute l’humanité – pensez-y ! – ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire en matière de santé. Personne n’a élu l’Organisation mondiale de la santé et personne ne veut qu’ils soient là pour intimider chaque médecin, infirmière et praticien de la santé dans une obéissance aveugle.

L’OMS force le monde entier à se soumettre inconditionnellement à ses « directives » tyranniques, qui sont plus souvent anti-scientifiques que fondées sur une science appropriée.

L’OMS a par exemple dit au monde entier d’utiliser le test PCR pour découvrir les cas de covid, alors que ce test ne peut pas discerner les différents types d’agents pathogènes, et produit jusqu’à 93% de faux positifs. Ce test défectueux est le principal outil pour dire au monde qu’il y a une pandémie, alors qu’aucun dispositif médical dans l’histoire n’a jamais été aussi peu fiable. Pourtant, ce protocole anti-scientifique est imposé au monde entier, pour favoriser l’illusion d’une pandémie mondiale, qui repose principalement sur des faux positifs. Les centaines de millions de soi-disant « cas de covid » ne sont que des faux positifs, résultant d’un test fatalement défectueux. Le virus Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé et purifié, il est donc impossible de le tester. C’est une arnaque aux proportions astronomiques.

C’est un exemple de la façon dont une « organisation mondiale » est utilisée pour déployer le programme de soumission de l’humanité à la tyrannie, au nom de la « protection de votre santé ».

Une organisation similaire est l’Organisation des Nations Unies, qui se présente comme le soi-disant « gardien de la paix » de ce monde. Leur agenda est cependant de soumettre toute l’humanité à un gouvernement mondial. L’ONU travaille en étroite collaboration avec l’Union européenne et l’OTAN, qui sont des outils similaires pour les familles criminelles pour anéantir l’indépendance des nations et mettre en place un gouvernement mondial.

Un autre acteur public est le Forum économique mondial, fondé par Klaus Schwab.

[Voir aussi :
Les valeurs familiales de Schwab
et
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Forum économique mondial se présente comme un groupe de réflexion pour les riches et les puissants du monde, où ils « cherchent des solutions aux problèmes du monde ».

Leur mot magique est « développement durable » qui prétend assurer un avenir meilleur à notre monde. En collaboration avec l’ONU, ils ont développé le soi-disant Agenda21, qui prétend offrir la solution ultime pour un monde plus durable.

En réalité, cela signifie rien de moins que de s’emparer de tous les droits, libertés et propriétés de l’ensemble de la population mondiale et de tout mettre entre les mains des super-riches.

Ensuite, il y a l’empire bancaire, qui contrôle tout l’argent du monde. Leur travail consiste à créer une société sans argent liquide où seuls ceux qui sont connectés numériquement au système de surveillance et d’esclavage, auront toujours accès aux finances. Le gouvernement nigérian a été généreusement payé par eux, pour réserver les services bancaires strictement aux vaccinés, un exemple qui sera bientôt suivi par d’autres pays.

Une entité de premier plan dans l’empire bancaire est la célèbre famille Rothschild. Ils possèdent les banques centrales de 165 pays, contrôlant ainsi les flux monétaires dans la plupart des pays. Depuis les temps anciens, cette famille s’est consacrée au culte de la plus sombre de toutes les forces. Une autre famille bien connue est celle des Rockefeller. Ils ont publié le « Scénario du futur » en 2010.

[Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation
et
La synagogue de Satan]

Des entités comme le Rockefeller Institute se présentent comme des protecteurs de l’humanité, mais derrière ce masque humanitaire se cache un visage macabre de soif de pouvoir.

J’ai déjà mentionné la noblesse noire d’Italie. Leur stratégie la plus efficace a été de se cacher derrière le beau visage du christianisme, lorsqu’ils ont établi le Vatican à Rome, en tant que « centre du catholicisme romain ».

Derrière l’architecture monumentale des cathédrales majestueuses, se cache pourtant un monde si sombre et pervers, qu’aucun être humain normal ne pourrait jamais le comprendre. L’exposition récente d’abus organisés et systématiques d’enfants dans ce bastion religieux n’est que la plus petite pointe d’un iceberg si profond qu’il traumatiserait la plupart d’entre nous, si nous savions ce qui s’y passe.

Ne vous y trompez pas : il y a aussi de bonnes personnes religieuses au Vatican, qui n’ont tout simplement aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses.

[Voir aussi :
La Bête de la Mer: l’Église Catholique Romaine dans la Prophétie
Ndlr : le mot « Église » signifie originellement « Assemblée de fidèles » et l’Église guidée par Simon était une assemblée de chrétiens, d’essence spirituelle. Le Catholicisme Romain s’est lui construit sur des pierres.]

C’est tout un immense théâtre de marionnettes, où la majorité des gens – même la plupart de ceux qui sont complices – n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont tout le monde est trompé.

Le Vatican est situé à l’intérieur de la Cité du Vatican, qui est un État souverain indépendant de l’Italie, où aucune loi italienne n’a d’autorité. Parce qu’ils ne sont soumis aux lois d’aucun pays, pas même de l’Italie qui les entoure, ils peuvent commettre tous les crimes qu’ils veulent.

Des États souverains similaires à l’intérieur des nations sont « La Cité de Londres » (un État indépendant au sein de Londres qui échappe à toutes les lois britanniques mais contrôle le gouvernement britannique), « Washington DC » (ou le District de Columbia, qui est un État souverain à l’intérieur des États-Unis États, qui règne sur le peuple américain). Les familles criminelles ont mis en place ces « États au sein des nations » intouchables à partir desquels elles opèrent.

La Cité du Vatican est la plus importante de toutes, et c’est ici que les plus hauts marionnettistes ont leur siège.

Nous connaissons tous le Pape Blanc, un rôle qui est actuellement joué par le Pape François. Son travail consiste à contrôler la communauté de foi catholique romaine dans le monde entier et à l’orienter vers le Nouvel Ordre Mondial. Dans plusieurs messages publics, il appelle tous les croyants à se faire vacciner112, et continue à proclamer le Nouvel Ordre Mondial comme la seule solution aux problèmes du monde. Voici quelques-unes de ses déclarations :113

« Nous pouvons guérir l’injustice en construisant un nouvel ordre mondial … Le chemin du salut de l’humanité passe par la création de un nouveau modèle de développement … prendre soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, … sans pour autant une vision globale il n’y aura pas d’avenir … nous devons mettre un terme au nationalisme qui n’a pas de vision d’avenir … »

Outre le pape blanc, il existe également un pape noir moins connu qui a beaucoup plus de pouvoir, mais qui travaille davantage dans les coulisses.

Le Pape Noir est cependant toujours soumis à celui qui siège sur un trône plus élevé : le Pape Gris. Ce marionnettiste suprême opère entièrement dans l’ombre, d’où il détient un énorme pouvoir sur le monde.

Si vous voulez comprendre comment tout cela est né historiquement, vous devez rechercher les sombres origines spirituelles des jésuites. Je vais le laisser ici, pour l’instant, car ce sujet peut facilement nous conduire trop loin.

Nous devons comprendre que ce réseau criminel est de nature hautement spirituelle et que tous ceux qui sont au sommet sont impliqués dans de sombres pratiques spirituelles anciennes.

Pour parler franchement, ce sont des satanistes, aussi appelés lucifériens. Leur stratégie est cependant de toujours se cacher derrière de magnifiques masques, qui montrent le contraire de qui ils sont.

[Voir aussi : Quelle est la différence entre le diable, Lucifer et Satan? Religion la maison de l’esprit – Jecoco.com]

Nous le voyons avec Klaus Schwab, qui utilise une rhétorique éloquente pour ensorceler l’esprit de son public mondial et le convaincre que la plus noble de toutes les causes est de s’assurer que chaque humain sur terre pensera et ressentira exactement la même chose. « Elevez l’humanité dans une conscience collective ».

La façon dont il présente ce plan fou et délirant est cependant si rusée que la plupart des gens lui feraient une ovation debout, après avoir entendu son discours. La même chose que nous voyons avec le Pape Blanc, qui parle magnifiquement de prendre soin des pauvres, de mettre fin à l’injustice, de sauver la Terre et d’autres nobles causes, alors qu’en fait il dit simplement : « Le monde entier doit être asservi à un gouvernement mondial unique. , où personne n’aura de voix, de droits, de libertés, de biens, d’identité ou de vie privée. » C‘est le même genre d’hypnose qu’ils utilisent pour imposer les vaccins : « Le monde est attaqué par une maladie mortelle, mais nous avons une solution merveilleuse : des vaccins qui sauvent des vies. Hourra! » Que ces merveilleux vaccins contiennent des créatures vivantes avec des tentacules, des nanoparticules qui s’auto-assemblent, des substances hautement toxiques, et qu’elles en tuent des millions, n’est évidemment pas mentionné.

Il s’agit d’hypnotiser l’humanité en utilisant des formes raffinées d’hypocrisie et de tromperie.

Une autre façon pour ces criminels d’opérer est de s’organiser en soi-disant sociétés secrètes, pour établir leur influence cachée dans chaque nation.

En dehors des sociétés complètement cachées, il existe aussi des cultes plus publics, comme la franc-maçonnerie.

C’est l’une des organisations spirituelles les plus connues, utilisée pour influencer les autorités locales dans pratiquement chaque ville de chaque nation.

Ils attirent des personnes en position d’autorité, prétendant être une organisation innocente qui veut aider l’humanité.

Ce n’est que lorsque les membres grimpent aux niveaux supérieurs de la franc-maçonnerie, qu’ils découvrent que c’est du satanisme.

La franc-maçonnerie vise à faire des personnes influentes de chaque communauté leurs membres, afin qu’elles puissent les utiliser pour la réalisation de leurs plans.

Le lanceur d’alerte de Google Zach Vorhies109 m’a dit dans une conversation personnelle qu’en 2016, Google a présenté ses plans pour programmer l’humanité dans un endroit révélateur : le siège de la franc-maçonnerie de San Francisco. Là, Google a informé son personnel de la stratégie de l’entreprise : façonner l’esprit de l’humanité. Cela illustre comment la franc-maçonnerie joue un rôle central dans cet agenda mondial.

Les nombreuses sociétés secrètes travaillent en étroite collaboration avec les services secrets des nations, comme par exemple la CIA et le FBI en Amérique. Des entités qui, en apparence, combattent le crime, mais sont en réalité parmi les pires de toutes les organisations criminelles.

Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte, qui a été assassiné pour ses aveux, a admis il y a quelques années que les journalistes du monde entier sont payés par les services secrets, les sociétés secrètes, les agences gouvernementales, les milliardaires, etc. pour toujours mentir et ne jamais dire la vérité à le public.

[Voir Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Son témoignage important peut être vu dans le documentaire BUSTED sur StopWorldControl.com. C’est à cause des aveux de ce brave journaliste – qui fut rédacteur en chef d’un des plus grands journaux d’Europe – qu’un grand réveil est en train de se produire en Allemagne. Son livre a ouvert les yeux de la population allemande, qui est désormais une force majeure contre le Nouvel Ordre Mondial.

Bien que la Cité du Vatican, Washington DC et la ville de Londres soient le siège des familles criminelles, bon nombre de leurs opérations logistiques ont été transférées vers des pays asiatiques, car ils prévoient d’utiliser la Chine pour renverser le reste du monde. Le régime communiste oppressif d’esclavage total et de contrôle qu’ils ont installé en Chine, doit maintenant être étendu au reste du monde.

Notre ennemi n’est cependant pas le Parti communiste chinois, puisqu’ils sont aussi de simples marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont toujours assis dans la Cité du Vatican.

La bonne nouvelle est qu’il y a eu beaucoup de luttes intestines dans ce réseau criminel, ce qui l’a fait s’effondrer dans plusieurs camps, qui se disputent tous la domination mondiale. Puisse cette confusion parmi eux augmenter, alors qu’ils tombent dans leurs propres fosses et que leurs plans échouent lamentablement.

On peut en dire beaucoup plus sur tout cela, car de nombreux livres ont été écrits sur ce réseau criminel, par des chercheurs qui ont souvent consacré leur vie entière à les exposer. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver une mine d’informations de qualité compilées par d’excellents chercheurs sur le site Web néerlandais Ellaster.nl. Utilisez Google Translate pour lire les articles :
https://www.ellaster.nl/category/val-vancabal/cabal

Vous pouvez également regarder la série documentaire « La chute de la Cabale » sur StopWorldControl.com, un chef-d’œuvre du journalisme qui explique beaucoup de choses sur cette « cabale » mondiale. (Traduction en français de cette série de vidéos « La chute de la cabale », ici :
https://infovf.com/video/les-origines-cabale-part-the-sequel-the-fall-the-cabal-janet-ossebaard–1746.html )

Source : The vaccine death report par Valdimir Zelenko et David John Sörensen pages 37 à 42.

Traduction : par https://la-verite-vous-rendra-libres.org/




Radio Courtoisie — Ligne droite du 4 novembre

[Source : Radio Courtoisie]

  • Bulletin d’actualités

Avec Eléonore de Vulpillières

  • La libre information : #Pfizergate !

Avec Surya Arby, informaticien, mathématicien, membre de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Internationale et Bienveillante (AIMSIB)

  • Chronique des réseaux sociaux

Avec Alister Rivière, directeur de GETTR en France (le réseau social alternatif qui défend la liberté d’opinion)

  • L’éclairage du jour : La guerre UE-Pologne – une guerre idéologique

Avec Patrick Edery, dirigeant d’entreprise, éditorialiste à l’hebdomadaire du syndicat Solidarnosc et rédacteur en chef de sa version française en ligne

  • Table ronde : COP26 – climat et enjeux

Avec Philippe Charlez, expert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens, auteur du livre L’Utopie de la croissance verte aux éditions Jacques-Marie Laffont

Avec Rémy Prud’homme, professeur émérite d’économie à l’Université de Paris XII, auteur notamment des livres L’idéologie du réchauffement. Science molle et doctrine dure et Le mythe des énergies renouvelables. Quand on aime on ne compte pas aux éditions de l’Artilleur

  • Bulletin des réseaux sociaux 

Avec Eléonore de Vulpillières

  • Grand angle

Avec Nicolas Vidal, fondateur et rédacteur en chef de Putsch

  • Vu de haut : Un député soutient la candidature d’Eric Zemmour aux élections présidentielles

Avec Joachim Son Forget, député (non inscrit) des Français établis hors de France

  • Focus matin : Zapping sur les autres matinales

Avec Vincent Lenoble





La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle

Par Gérard Delépine

N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins

Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens(([1] Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur (Septembre 2021)
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2))(([2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
mar. 2 novembre 2021))(([3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
« la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »)) de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…

Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.

Voici les éléments factuels à leur communiquer.

Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts

Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.

Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.

De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.

En France, le nombre de cas est globalement bas et stable

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles(([4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) )) d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.

Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée

D’après le réseau Sentinelles,(([5] Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.)) l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :

Publié le 03/11/2021

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV)
la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.

Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Prévoir l’avenir est difficile

Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.

Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.

N’ayez plus peur.

N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.

Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.

Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.

Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.

N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.





La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Quelques députés européens s’élèvent contre les mesures discriminatoires covidiennes

[Source : Quadrillage Traduction]

Les députés européens se positionnent contre le pass vert sanitaire — Conférence de presse du 28 octobre 2021 à Bruxelles



Transcription et traduction par Quadrillage Traduction

Cristian TERHES — Roumanie

Déjà en ligne. Tout va bien. Cool. Eh bien, merci beaucoup d’être à nouveau ici avec nous. Une semaine s’est écoulée depuis la dernière conférence que nous avons tenue à Strasbourg, où nous avons fait part de nos profondes inquiétudes quant à ce qui était prévu au Parlement, en particulier la décision du Bureau des dirigeants du Parlement de priver pratiquement tout le personnel, nos assistants et nous-mêmes en tant qu’élus directs par les citoyens européens, toutes ces personnes vont être privées de leurs droits fondamentaux, le droit de travailler, le droit de décider ce qu’elles veulent faire de leur propre corps. Et néanmoins, dans notre cas, le droit que nous avons et les immunités parlementaires que nous avons en tant qu’élus par le peuple de ne pas être influencés de quelque manière que ce soit lorsque nous accomplissons notre mandat. Donc chacun d’entre nous qui sommes présents ici et beaucoup d’entre nous sont à la maison pour nous soutenir, nous avons cette situation de pandémie, beaucoup d’entre nous à cause de toutes ces mesures sont à la maison, mais ils sont tous derrière nous. Nous sommes donc à nouveau ici aujourd’hui pour exprimer exactement ce qui s’est passé. Chacun d’entre nous va présenter de son point de vue ce qui s’est passé au cours de cette semaine au Parlement, et quel est le plan en cours. J’ai à ma gauche, ma collègue d’Italie, Francesca Donato, ma collègue d’Allemagne, Christine Anderson, une autre collègue du groupe similaire. Et à ma droite, j’ai mon collègue de Croatie, Ivan SINCIC. Et une autre collègue de Croatie, KOULOKTSIC;. Est-ce correct ? Oui, en fait c’est Mislav KOLAKUSIC;. Je sais que c’est difficile avec tous ces noms, mais ce qui est amusant c’est que nous sommes du même côté, venant de pays différents, et nous soutenons exactement la même chose, le respect des droits fondamentaux de chaque personne travaillant pour le Parlement et de chaque citoyen européen. Donc, sans plus attendre, j’aimerais que ma collègue Christine Anderson prenne la parole.

Christine Anderson — Allemagne

Oui, bonjour. Tout d’abord, merci beaucoup à tous ceux d’entre vous qui se sont donné beaucoup de mal pour nous exprimer leur soutien dans une quantité écrasante de courriels. Merci beaucoup. Nous faisons cela pour vous. Dans toute l’Europe, les gouvernements ont fait des efforts considérables pour que les gens soient vaccinés. On nous a promis que les vaccinations allaient changer la donne et restaurer notre liberté. Il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Le vaccin ne vous rend pas immunisé. Vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux. La seule chose que ce vaccin a faite à coup sûr, c’est de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques. J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril dernier. Malheureusement, il a été adopté malgré tout, ce qui montre bien qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent manifestement l’oppression du peuple tout en prétendant sans vergogne le faire pour le bien du peuple. Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois. Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent aujourd’hui ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est certainement ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce qu’un gouvernement vous dit. Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait, ou ne fait pas. Cherchez toujours les arrière-pensées et demandez toujours Cui Bono à qui cela profite. Lorsqu’une élite politique fait pression à ce point et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour arriver à ses fins, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas celui qu’elle avait à cœur. En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même ni sur les effets secondaires à long terme dont nous ne savons rien à ce jour. Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental. Et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, il me donnera la liberté. Soyons clairs sur un point : PERSONNE NE M’ACCORDE LA LIBERTÉ puisque JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. J’ose donc prendre le risque que la Commission européenne et le gouvernement allemand me jettent en prison, m’enferment et jettent la clé si ça leur chante. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si le citoyen libre que je suis choisit de ne pas se faire vacciner. Enfin, je voudrais que vous réfléchissiez à cette question. L’utilisation obligatoire du certificat vert numérique porte atteinte à tout ce que les Européens défendent. Elle viole les droits fondamentaux garantis par la Constitution et constitue le premier pas vers l’insupportable système de crédit social chinois. Je ne tolérerai jamais cela. Je ne supporterai jamais cela. Merci.

Francesca DONATO — Italie

Merci.

Merci, Christine. Je suis d’accord avec presque tout ce que vous avez dit, mais ce que je veux ajouter ici, c’est que ce dont nous discutons aujourd’hui et ce qui devrait nous inquiéter n’est pas une question d’être pour ou contre les vaccins Covid. La question aujourd’hui est de savoir si nous sommes censés laisser les citoyens européens sans la sauvegarde de leurs droits fondamentaux et précisément le droit d’avoir un emploi, d’être traité de manière égale par les institutions sans aucune discrimination et le droit de protéger l’intégrité de leur corps en choisissant une liberté complète, celle d’accepter ou non un traitement sanitaire. Tous les citoyens doivent être libres de choisir les risques qu’ils veulent courir pour leur propre santé et ceux qu’ils ne sont pas prêts à affronter. L’obligation de faire fonctionner les certificats Covid n’est qu’une extorsion du consentement à un choix personnel sur son propre corps et viole les droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la charte européenne et dans de nombreuses lois de l’UE. Nous sommes ici pour appeler au respect des valeurs fondamentales européennes et de la liberté, à la non-discrimination, et à la dignité humaine. Si nous acceptons le mandat d’un certificat numérique pour l’exercice de nos droits fondamentaux, nous ne bénéficierons plus de ces droits en tant qu’êtres humains, mais nous serons soumis à l’autorisation de certaines autorités pour vivre notre vie en liberté. Est-ce là le modèle de société dans lequel nous voulons vivre ? Est-ce là l’Europe que nous avons été élus pour représenter ? Les droits de l’homme sont-ils facultatifs selon nos valeurs fondamentales ? Ma réponse est NON, NON, NON ! !! Nous avons reçu notre mandat directement des citoyens européens et nous leur devons un respect total avant tout autre sujet privé ou public. Personne, aucune instance n’est légitimée à nous empêcher d’exercer notre mandat sauf si nous commettons un crime et que le Parlement tout entier décide de révoquer l’immunité diplomatique que les traités nous accordent. Le Bureau du Parlement ne peut pas violer les garanties de nos députés pour quelque raison que ce soit, et il ne peut pas non plus restreindre les droits des travailleurs européens. Nous défendrons nos droits et vos droits par tous les moyens, qu’ils soient juridiques, politiques ou physiques. L’heure n’est plus à la peur et à l’hésitation. Aujourd’hui, il est grand temps d’être courageux et unis. C’est ce que nous sommes. Merci,

Ivan SINCIC — Croatie

Merci beaucoup, mes chers collègues. Cette semaine encore, nous sommes ici pour dire non à la discrimination et non à la ségrégation. Nous sommes ici pour défendre les droits fondamentaux et les droits de l’homme. Je vais le répéter. Le certificat vert numérique est illogique, il n’est pas scientifique et il est inutile pour résoudre cette crise. Au contraire, il donne aux personnes qui le portent un faux sentiment de sécurité, qu’elles ne peuvent pas être infectées elles-mêmes ou infecter les autres. De plus en plus de données scientifiques et d’expériences quotidiennes le confirment. La DGC ne concerne pas ici notre santé. Il s’agit de politique. Il s’agit de droits. Partout en Europe, des politiques ont été mises en place qui ont volé la vie normale des gens. Les gouvernements font de plus en plus de chantage aux citoyens. Le gouvernement croate admet ouvertement que les DGC ne sont qu’une pression supplémentaire sur ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour une raison quelconque. Vous ne pouvez pas avoir une vie normale si vous n’avez pas de DGC. Vous ne pouvez pas avoir vos libertés si vous n’avez pas de DGC. D’un autre côté, les personnes en bonne santé sont privées de leurs libertés et de leurs droits constitutionnels. Ils ne vont pas arrêter, mes amis. Il faut les arrêter. Cela ne va pas s’arrêter tout seul. Cela va s’étendre. Cela viendra à votre porte. Il fera chanter votre vie, chaque partie de votre vie. C’est pourquoi nous disons continuellement non. Nous avons nos droits inaliénables. Cela signifie que personne ne peut nous les enlever. Nous avons des documents internationaux tels que la Convention d’Oviedo, le Code de Nuremberg, les résolutions des Conseils de l’Europe, ou divers types, les conventions de bioéthique, etc. Ces documents ne signifient-ils plus rien ? N’ont-ils pas été, au moins pour certains d’entre eux, ratifiés par notre Parlement ? N’ont-ils pas été un standard immuable ? Depuis des décennies ? Bien sûr que si. Et les constitutions nationales ? N’ont-elles pas plus de valeurs ? Si, elles en ont. Et nous avons même des décisions de cours constitutionnelles en Europe qui montrent que tout cela est mauvais et que les libertés ne peuvent pas être supprimées et que les amendes qui ont été imposées aux citoyens qui voulaient simplement être libérés de la nature obligatoire de tout cela, que ces amendes doivent être supprimées et que l’argent doit être rendu à ces citoyens.

Ces documents et normes que j’ai mentionnés sont toujours en vigueur. Ils n’ont pas été retirés du pouvoir simplement parce qu’un gouvernement a fait pression avec une politique différente. Ils sont toujours en vigueur et ils le seront toujours. Et nous nous battrons pour ces normes et documents, et nous les invoquons. Une autre norme que nous avons est que les citoyens européens ont le droit de choisir leur propre thérapie pour n’importe quelle maladie, y compris le Covid 19. Ils ont le droit, en consultation avec leur médecin, avec leur médecin de famille, de faire les meilleurs choix pour leur santé. Qu’il s’agisse d’un vaccin ou d’un traitement, ou de tout ce qui sera inventé. C’est votre propre choix en tant que patient. Aucun gouvernement ne peut vous contraindre à choisir un certain type de produit médical. Le certificat vert numérique est un problème européen. Ce n’est pas seulement un problème de l’Italie ou de la Lituanie ou du Parlement européen maintenant, le bâtiment du Parlement européen. C’est un problème européen. C’est un problème commun. Ce n’est pas le problème d’un seul pays européen. C’est un problème qui nous concerne tous. Cela ne sera pas limité, comme je l’ai dit, à un seul pays, cela viendra à votre porte. Et plus tôt nous dirons non, plus fort sera le message que nous enverrons. J’appelle tous les peuples libres d’Europe à résister à la DGC partout où ils le peuvent. Luttez pour vos droits.

Merci ;

Cristian TERHES

Nous avons été élus par le peuple. C’est ce que dit le Traité. Mais nous ne devons pas oublier que nous sommes élus ici POUR les gens. Nous devons avoir à l’esprit le meilleur intérêt des gens, parce que c’est la raison pour laquelle ils nous ont élus ici au Parlement européen. Tous ces dirigeants du Parlement européen aiment se féliciter eux-mêmes, chaque fois qu’ils vont en conférence de presse pour dire que c’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne. La question qu’il faut leur poser est la suivante : est-ce vraiment le cas ? Avez-vous dit à ces personnes au Parlement européen quand vous avez décidé de supprimer leurs droits fondamentaux, pourquoi vous l’avez fait ? Vous voyez, nous avons tous ces traités, comme l’a dit mon collègue, selon lesquels aucun traitement médical ne doit vous être imposé à moins que vous n’en décidiez librement et en connaissance de cause. Maintenant, il est clair que ce qu’ils font maintenant pour conditionner les acteurs du Parlement, pour avoir ce certificat vert, viole la liberté des gens de choisir avec quoi ils veulent être vaccinés ou testés ? Mais il y a l’autre aspect, et la question que j’ai adressée non seulement à vous, au Parlement, mais à chaque citoyen européen, de demander à votre propre gouvernement. Avez-vous été correctement informés de ce qui se passe ? Parce que nous avons eu beaucoup de débats au début de cette année au Parlement où nous avons demandé un accès complet au contrat signé entre ces sociétés qui produisent les vaccins et l’Union européenne. Et je cite un article d’EUROACTIV qui dit ce qui suit, article du 22 janvier 2021 qui dit ce qui suit :  « le contrat signé entre l’entreprise pharmaceutique et la Commission européenne en novembre 2020 a été mis à disposition mardi dans un format rédigé après que l’entreprise ait accepté d’ouvrir le contrat à l’examen ». Quoi ? Quoi ? Vous imposez donc un produit médical aux citoyens européens. Nous avons découvert qu’ils savaient ce qu’il y a dans ce contrat, pas seulement eux, mais nous, nous ne le savons pas. Donc après beaucoup de pression au Parlement, comme le dit l’article, ces contrats ont été divulgués à nous et au public. Et je veux vous montrer certaines de ces pages. Et vous me direz s’il est acceptable que les citoyens européens soient exposés à cette situation où ils ne peuvent pas venir travailler, où ils ne peuvent pas entrer dans un magasin, où ils ne peuvent pas aller à l’école avec leurs enfants, où ils ne peuvent pas se déplacer librement d’un pays à l’autre à moins d’être vaccinés avec l’un de ces produits. Voilà donc les contrats qui ont été divulgués par la Commission avec l’approbation de l’entreprise. C’est du jamais vu. Et je vais juste vous montrer les pages. Ce sont les pages, vous voyez. (Les articles des pages sont entièrement noircies, NDLR).

Rires du public.

Ils appellent ça la transparence de nos jours…

C’est donc le principe fondamental de la démocratie. Je vous demande, les gars, est-ce de la transparence ? Est-ce que vous voyez quelque chose ? Parce que nous ne voyons rien ! L’argent des citoyens européens a été donné par Ursula von Der Leyen à ces entreprises. Que s’est-il passé avec cet argent ? Où est-il ? Pourquoi ne sont-ils pas disponibles pour le peuple et totalement transparents ? Pour que nous sachions tous ce qui se passe. La différence entre la tyrannie et la démocratie est très simple : lorsque le gouvernement sait tout sur vous, c’est la tyrannie. Je sais ce que c’est que de vivre dans la tyrannie. Quand vous savez tout sur votre gouvernement, c’est la démocratie. C’est pourquoi nous sommes en train de faire l’éloge de cette institution. C’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne et même nous, les députés, élus directement par le peuple, pour le peuple, nous n’avons pas été en mesure de voir dans ce contrat. Donc comme nous l’avons dit la semaine dernière, nous sommes là pour vous et nous nous battrons pour vous. Je sais que beaucoup d’entre vous luttent dans toute l’Europe et que beaucoup d’entre vous travaillant pour les institutions européennes luttent en ce moment. Mais un ancien président américain a dit que la liberté était à une génération de l’extinction. Nous vivons ce genre de moment maintenant, et c’est notre devoir et notre appel à combattre la liberté. Merci.

Eamonn KELLY — République d’Irlande

Mon nom est Eamonn Kelly. Je suis l’attaché de presse pour aujourd’hui. Je demande à tous les journalistes ici présents, et seulement aux journalistes, s’il vous plaît, car c’est une conférence de presse, de lever la main. Dites-moi votre nom, votre organisation médiatique, et je prendrai une question. Donc tous les journalistes présents ici, pouvez-vous s’il vous plaît lever la main ? De la bonne volonté, s’il vous plaît.

Journaliste 1

(Présentation inaudible). Il est clair qu’autour du passeport vert dans toute l’Europe, d’accord, il est clair que vous n’en voulez pas. Avez-vous une idée d’une alternative que vous voulez proposer, ou pensez-vous que nous devrions juste faire comme si rien ne se passait et vivre notre vie normalement et en ce qui concerne l’obligation de vaccination, le pass vert est aussi un test pour être testé. Vous n’êtes pas obligé de vous faire vacciner. Vous pouvez vous faire tester, notamment au Parlement européen où vous avez le privilège d’avoir des tests gratuits, ce que d’autres personnes n’ont pas, ne pensez-vous pas que ce serait une alternative pour vous de passer un test ? Merci.

Francesca DONATO

Merci. Eh bien, le fait est qu’il n’est pas vrai que dans toute l’Europe nous avons des certificats Covid exigés pour exercer notre liberté. Le certificat Covid a été introduit par ce Parlement juste pour favoriser la libre circulation entre les Etats membres au moment où les frontières étaient fermées à cause de la propagation de la pandémie. Et c’est la raison pour laquelle le Parlement a voté cette mesure avec la garantie de ne permettre aucune discrimination entre les citoyens et surtout pour les citoyens non vaccinés. Ce que nous voyons aujourd’hui est un abus de ce certificat, une distorsion de son objectif initial. Et l’alternative est de laisser les gens libres d’exercer leurs droits, leurs droits à la libre circulation, le droit au travail, le droit de vivre une vie pleine et entière dans la dignité, parce que les tests sont un traitement médical et nous ne pouvons pas être forcés même à faire des tests toutes les 48 heures, parce qu’imposer des tests seulement aux personnes non vaccinées est juste une discrimination parce que cela introduit une sorte de présomption, une présomption absolue d’être infectieux pour les personnes qui ne sont pas vaccinées, ce qui est totalement infondé du point de vue scientifique, parce que les personnes non vaccinées sont très souvent immunisées contre le Covid pour la guérison ou en tout cas, sont des personnes saines, parfaitement saines. Et le risque d’être infecté n’est pas lié au fait d’être vacciné ou non. Donc il n’y a aucune base légale ou scientifique pour cette mesure.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Puis-je avoir d’autres journalistes ici avec des questions, s’il vous plaît ? Eh bien, puis-je demander au journaliste en ligne là-bas de l’ANSA de lever la main et de poser une question.

Cristian TERHES

Oui, je vois qu’il y a une question de Laura ZORMOZA. Je vais lire la question à haute voix. « Je me demandais si les intervenants prévoient une action contre le Parlement européen ou quelles sont les prochaines étapes pour ce groupe ? »

Nous avons déjà eu deux conférences de presse et je dirais que ce n’est que le début de ce qui va arriver. Et comme nous l’avons dit aujourd’hui, nous utiliserons tous les outils démocratiques disponibles pour lutter pour les droits de chacun. Néanmoins, nous ne devons jamais oublier que nous sommes censés vivre dans une Union européenne où la liberté doit être considérée comme un droit fondamental et inaliénable. Personne ne devrait négocier sur nos libertés. Et nous en sommes à un point où même dans cette maison, au Parlement européen, un petit groupe de personnes a décidé unilatéralement que les députés, nos assistants et les employés du Parlement, beaucoup d’entre eux travaillent pour ces institutions, pour ces institutions depuis des décennies. Mais malheureusement, beaucoup d’entre eux ont des problèmes de santé. Et je veux lire ce qu’une personne travaillant pour le Parlement m’a envoyé, et je pense que beaucoup d’Européens peuvent ressentir la douleur de cette personne. Cette personne nous a écrit et nous a dit : « Je vous écris parce qu’on m’a reconnu une grave maladie neurodégénérative. Pour cela, j’ai évité de me faire vacciner. Je ne souhaite pas que ma maladie s’aggrave et que je perde mon fragile équilibre de santé que j’ai à peine atteint jusqu’à présent. Selon la communication du Secrétaire Général du Parlement européen envoyée hier, je devrais être testé une à deux fois par semaine avec toutes les conséquences liées à la détresse. Ont-ils pensé au fait que des personnes comme moi, désireuses de travailler, d’être actives, se découragent et s’épuisent devant les complications d’un laissez-passer vert ? “Nous passons toutes ces résolutions en plénière où nous reconnaissons tous les droits des personnes qui sont malades, qui ont différents handicaps. Beaucoup d’entre eux travaillent pour cette maison. Ils veulent servir les citoyens. Donc ce qui a été imposé hier ici, cela affecte leur droit fondamental. Donc, pour répéter ce que j’ai dit, nous ferons TOUT ce qu’il faut pour nous battre pour la liberté de chaque citoyen européen.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Je voudrais demander à Pietro de l’ANSA, l’agence italienne. Vous avez la main levée. Si vous pouvez essayer de faire fonctionner votre micro, nous serons heureux d’entendre votre accent transalpin. Essayez juste ce micro…

Pouvez-vous appuyer sur le bouton ‘parler’ et ne soyez pas timide.

Pietro (Journaliste 2)

Vous m’entendez maintenant ? OK. Bonjour à tous. Une question très rapide. Vous avez parlé du personnel du Parlement européen, et je me demandais si vous avez un contact direct avec l’une des organisations ou l’Union et si vous avez une idée des personnes qui pourraient être affectées par cette décision ?

Cristian TERHES

Je peux répondre rapidement à cette question. Oui. Nous avons été contactés par de nombreux syndicats du personnel, et il y a de nombreuses discussions entre les membres du personnel, et nous verrons comment cela va évoluer. Mais je dois vous dire que les gens sont très inquiets, les personnes en bonne santé ou celles qui ont certains problèmes de santé sont toutes inquiètes parce que ce mandat conditionne leur droit fondamental au travail. Ils réalisent, OK, nous acceptons cela maintenant. Mais où cela va-t-il s’arrêter ? Que vont-ils nous imposer ensuite ? Nous venons de recevoir un message de quelqu’un qui a dit que même les grands-parents et les parents ne pourront pas amener leurs enfants dans un jardin d’enfants que nous avons ici près de chez nous, à moins qu’ils n’aient un certificat vert. Ainsi, même dans le cadre de la loi belge, ces règles ne sont pas appliquées pour une raison ou une autre. Le Parlement européen veut donner l’exemple d’une institution totalitaire à ses employés.

(inaudible)

Exactement.

Eamonn Kelly

Bien. Y a-t-il d’autres journalistes présents ici ? D’autres questions en ligne, s’il vous plaît ?

OK. Merci beaucoup à tous d’être venus. Juste un dernier commentaire de la part de Madame…

Christine ANDERSON

J’aimerais également faire un commentaire sur la question du collègue italien. Vous vous posiez la question à savoir si les tests n’étaient pas un problème, si nous pouvions le faire. Je m’oppose fermement à cette idée, car vous devez certainement reconnaître que le fait de tester les personnes non vaccinées n’est qu’un moyen de faire pression sur ces personnes pour qu’elles se fassent finalement vacciner. Cela n’a aucun sens, puisque, comme je l’ai souligné, même les personnes vaccinées seront infectieuses. Donc, si vous êtes vraiment soucieux d’arrêter la propagation de ce virus, alors vous devez tester toutes les personnes, point final. C’est pourquoi les tests sont inacceptables. Merci.

Eamonn KELLY

Désolé. D’autres questions ? Eh bien, c’est seulement pour les journalistes, s’il vous plaît. Donc je suis désolé pour ça. Il n’y a personne d’autre en ligne. Et je voudrais remercier tout le monde d’être venu, tous les journalistes qui sont venus et nos courageux députés européens qui ont pris position, qui veulent être des gens libres dans un pays libre. Merci beaucoup à tous. Et bonne continuation.




ILS AURONT TOUT OSÉ : POURSUIVRE D. RAOULT, HONNEUR DE LA MÉDECINE FRANÇAISE

Par Gérard Delépine

Docteur Gérard Delépine chirurgien et statisticien

(je déclare l’absence de tout lien d’intérêt avec des firmes du médicament) 

Alors que se poursuit sur les ondes médiatiques(([1] propriétés de huit milliardaires)) le défilé scandaleux de médecins incompétents et corrompus, ne déclarant jamais leurs conflits d’intérêts, donc en violant la loi « transparence en santé », la honteuse convocation devant le conseil de l’ordre des médecins de notre virologue mondialement reconnu et respecté fait la une des médias, qui osent lui coller le terme de charlatan…

Depuis deux ans, ils n’auront pas cessé d’user quotidiennement de l’inversion des valeurs. « La paix, c’est la guerre », remettant Orwell au goût du jour.

« Ainsi durant près de trois heures, la chambre disciplinaire, présidée par un magistrat administratif assisté de huit médecins, a examiné deux plaintes déposées fin 2020 par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le Conseil national de l’Ordre des médecins ? Sur la base de plusieurs signalements initialement effectués par la société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), par des praticiens hospitaliers et des particuliers contre Didier Raoult ».

Qui sont-ils pour le « juger » ? Il n’a fait que guérir les patients qui venaient jusqu’à Marseille pour échapper au tragique « maison, Doliprane, détresse respiratoire et Rivotril (d’où euthanasie d’environ 10 000 personnes âgées »)…

Pendant que le ministre se permettait d’interdire aux médecins de soigner, en mars 2020, probablement pour la première fois au monde depuis Hippocrate et 2500 ans, et que la plupart des docteurs malgré leurs quinze ans de médecine se courbaient devant les menaces du conseil de l’ordre, reniant leur serment d’Hippocrate et leur métier, les rapides interventions du Pr Raoult nous ont vite revigorés, confirmant l’impression que la pandémie du coronavirus n’était qu’une grippe comme les autres, à condition toutefois de ne pas euthanasier les vieux susceptibles d’en être atteints, et de soigner les pneumopathies virales par les antibiotiques habituels associées au traitement déjà connu depuis 2003 pour le SRAS et republié par les Chinois quelques semaines plus tôt.

« Il est reproché au praticien marseillais d’avoir fait la promotion de l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, sans données scientifiques établies, ce qui s’apparente à du « charlatanisme » d’avoir pris des « risques inconsidérés » en soignant des patients avec ce traitement « non éprouvé par la science » et d’avoir « manqué à son devoir de confraternité » envers d’autres médecins, a détaillé la rapporteure de la chambre disciplinaire. »(([2] Didier Raoult : « On fait le procès de la réussite » se défend l’infectiologue marseillais, taxé de « charlatanisme » par ses pairs — ladepeche.fr))

Comment peut-on écrire une telle accusation alors que la nivaquine a été utilisée depuis 70 ans en usage libre sans ordonnance et après les nombreuses publications confirmant les premières de Raoult ?

« Pour Me P. Carlini, avocat de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, ces poursuites ont été entreprises pour soutenir les ‘médecins libéraux héroïques’ bousculés par « des patients angoissés » réclamant, « sans rien y connaitre », un traitement à l’hydroxychloroquine, en se basant uniquement « sur la parole d’un éminent scientifique marseillais émise sans aucune prudence » sur les plateaux télé et les réseaux sociaux. »

Comment peuvent-ils ignorer les nombreux(([3] Plus de 195 études ont été publiées dont 131 dans des revues à comité de lecture référencées sur PubMed et 70 % affirment l’efficacité de l’HCQ)) articles publiés dans des revues à comité de lecture et référencés sur les banques de données internationales telles que PubMed avant de faire de telles déclarations infondées ? Comment peuvent-ils ignorer que les autorités sanitaires de nombreux pays regroupant plus de la moitié de la population mondiale (Chine, Corée, Inde, Taiwan, Malaisie, Bahreïn, Turquie, Qatar, Maroc, Algérie, Nigéria, Sénégal, Cuba) ont recommandé ce traitement et qu’ils s’en sortent tous avec des mortalités Covid bien inférieures aux nôtres ?

Comment peuvent-ils ignorer que le Conseil d’État italien a fait droit au recours des médecins contre la note de l’Aifa(([4] Agence italienne du médicament)) qui suspendait l’utilisation de ce produit en soulignant que la « base de données cliniques non ambiguës affirme son efficacité au seul stade précoce de la maladie ».

Quant aux plateaux télé, ce ne sont pas particulièrement Didier Raoult ou ses collaborateurs qui les ont envahis, mais bien ceux qui ont tenté de le disqualifier en les calomniant. Et en faisant parfois la promotion de médicaments inefficaces, toxiques et très chers comme le Remdesivir déconseillé depuis par l’OMS.(([5] L’OMS ne recommande pas l’administration de Remdesivir aux patients COVID-19 20 novembre 2020 https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients))

Quant à « l’héroïsme » des médecins libéraux qui n’ont su qu’obéir à la bureaucratie et se plier aux menaces du conseil de l’ordre et du ministre, il relève de la Novlangue, tant leur lâcheté vis-à-vis des patients a déshonoré notre profession et a été responsable de nombreuses morts évitables et de tragédies familiales (interdiction des visites, refus de voir et d’embrasser une dernière fois le défunt, pratiques dépourvues d’humanité, etc.).

À l’heure où ces mêmes médecins prétendument héroïques qui n’ont pas hésité à injecter un produit expérimental en phase trois, agissant sur l’ARN, et qu’explose le Pfizergate, comment peut-on entendre ces récriminations sur le Pr Raoult et ses collaborateurs, jusqu’à les accuser d’avoir traité des patients tuberculeux, les accusant d’essais cliniques illégaux. On a l’impression que trop de « médecins » ont oublié ce qu’est la médecine clinique, le traitement des malades… Quant aux bureaucrates, ils ne l’ont jamais su.

« Comme un criminel »

« Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients », a rétorqué Didier Raoult, assurant avoir reçu « plus de 600.000 patients » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire, « sans aucune plainte ».

On peut être étonné et scandalisé que le Conseil de l’ordre fonde son accusation sur des études biaisées, incomplètes et mal conçues comme
« la britannique Recovery(([6] Étude qui utilisait des doses toxiques folles (4 fois la dose maximale prévue par le VIDAL) dans le seul but de disqualifier HCQ)), la française Hycovid(([7] Étude qui a été incapable de conclure faute de patients après un arrêt secondaire à la publication totalement fallacieuse du LancetGate)), ou Solidarity menée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) — qui ont toutes conclu que l’hydroxychloroquine n’était pas efficace contre le Covid-19, a pourtant rappelé la chambre disciplinaire ».

Pourtant la très mauvaise qualité de ces études parcellaires a largement été démontrée, tandis que les résultats mondiaux des antipaludéens ont démontré la véracité des thèses du Professeur Raoult, ne serait-ce que par le taux exceptionnellement bas de la mortalité par SARS-CoV-2 dans les pays d’Afrique dont la population est régulièrement sous hydroxychloroquine.(([8] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
https://reseauinternational.net/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/))

Pour Me Fabrice Di Vizio, avocat de D. Raoult, le sujet de l’hydroxychloroquine est un « faux débat ». Son client, dit-il, est jugé « comme un criminel », essentiellement pour ses prises de position critiques sur la gestion de la crise sanitaire par les autorités ».

Que le procès fait à Raoult devienne le procès d’un ordre à supprimer

Rappelons que l’ordre des médecins a été créé par Vichy et que sa première décision a été de radier les médecins juifs avant de les dénoncer aux Allemands ; qu’une de ses autres recommandations aux médecins a été de « dénoncer les blessures par balle aux autorités » (de Vichy) pour qu’elles puissent arrêter les résistants qu’ils auraient soignés.

Rappelons que la loi transparence santé l’a chargé de veiller au respect de la déclaration des liens d’intérêt avant toute annonce d’un médecin au public. Qu’il a pourtant systématiquement oublié de poursuivre les médecins de plateau télé pour ces absences répétées de déclaration d’intérêts même lorsqu’ils faisaient de la publicité pour des traitements inefficaces.

On peut tout autant s’étonner qu’il n’ait pas appelé le gouvernement au respect de la déontologie médicale et en particulier à l’indépendance des médecins dans le choix de leurs ordonnances et à respecter leur refus de délivrer des médicaments mortels (Rivotril).

Historiquement, les connotations négatives des Ordres professionnels et Corporations sont nombreuses… Renvoyant à un passé archaïque et condamnable fait de groupes professionnels fermés, protectionnistes, mercantiles, s’octroyant des privilèges et des monopoles, défendant leurs intérêts en dehors du bien collectif commun, ils peuvent aller jusqu’à freiner l’innovation. Reconnus « dangereux », ils ont été abolis par le Décret Allarde et la Loi Le Chapelier en 1791 lors de la Révolution Française.

Leur rétablissement a été soutenu par les pays dictatoriaux et le fascisme (Mussolini, Franco, Salazar, Pétain…). De Gaulle avait supprimé cet ordre des médecins en 1945. Mitterrand s’était engagé à supprimer cet ordre enfant de la philosophie fasciste. Battons-nous pour le supprimer au plus tôt !

Heureusement de courageux politiques appellent à sa dissolution comme Florian Philippot

et des citoyens le soutiennent à son arrivée à Bordeaux :

https://twitter.com/LE_GENERAL_OFFL/status/1456544547677347844




Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le G20 et ses conclusions sont passés à peu près inaperçus. Il faut dire que le grand public n’a pas encore compris en quoi le Great Reset avait donné une importance particulière, et nouvelle, à cette instance qui se contentait d’ordinaire de grandes incantations. Progressivement, une gouvernance mondiale se met en place, qui s’arroge un droit de regard sur l’ensemble des politiques publiques. Pour illustrer cette ambition « holistique » du multilatéralisme et de la caste mondialisée qui le nourrit, nous reprenons ici tous les points abordés par le G20 de Rome la semaine dernière : tout simplement vertigineux !

Le G20 qui s’est tenu à Rome (et qui regroupe, comme son nom l’indique, le 20 économies du monde les plus puissantes) a été particulièrement actif. Il débouche sur une série de décisions qui méritent d’être relevées et bien méditées pour comprendre la suite des décisions politiques dans le monde. Ce G20 a en effet intégré toutes les prescriptions du Great Reset de Klaus Schwab. Nous en donnons ici une énumération précise. 

On notera d’ailleurs que la déclaration commence par une citation des “efforts communs pour mieux nous relever de la crise du COVID 19”, litanie désormais rituelle de tout sommet multilatéral. On se souvient ici que la base du Great Reset est l’instrumentalisation de l’épidémie pour favoriser les progrès du multilatéralisme contre les Etats nations, et tout particulièrement son utilisation pour accélérer des mesures supposées lutter contre le réchauffement climatique. 

Au paragraphe 2, la déclaration enfonce le clou avec cette phrase emblématique : “Soulignant le rôle crucial du multilatéralisme dans la recherche de solutions efficaces et partagées, nous sommes d’accord pour renforcer notre réponse commune à la pandémie, et pour paver la route vers une relance globale, avec une attention particulière aux besoins des plus vulnérables (…). Nous sommes d’accord sur une vision partagée du combat contre le réchauffement climatique (…).” L’essentiel du Great Reset est résumé. 

Le G20 et la mondialisation de l’économie

Forcément, la déclaration du G20 commence par la phrase rituelle : “En 2021, l’activité économique mondiale a repris à un rythme soutenu, grâce à la production de vaccins et au soutien politique suivi.” Mais ce mantra religieux ne cache pas plusieurs inquiétudes sur la reprise économique “solide”.

  • le G20 s’inquiète des retards dans la croissance, notamment dans certains pays
  • il s’inquiète aussi de l’inflation et rappelle que les banques centrales devront agir pour en limiter les effets
  • il s’inquiète aussi des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement

Questions de santé et de gouvernance sanitaire mondiale

Le chapitre sur la santé réaffirme l’ambition d’arriver à vacciner 70% de la population mondiale à la mi-2022. Dans cet objectif, la déclaration finale enchaîne les propositions, qui constituent un véritable bingo pour Pfizer, Moderna et Astra Zeneca.

Le G20 annonce son intention :

  • de multiplier (aux frais des Etats) les sites de production de vaccins
  • de supprimer tous les freins aux importations de vaccins
  • de mobiliser les bailleurs de fonds internationaux pour aider à l’achat de vaccins.

Les actionnaires seront contents. 

Mais d’autres pistes sont creusées :

  • le renforcement d’une gouvernance sanitaire mondiale, que nous avons déjà évoquée dans nos colonnes,
  • l’amélioration du financement de l’OMS et le développement de ses actions sanitaires directes dans le monde
  • la mise en place d’un programme One Health qui consisterait à confier à un organisme mondial le combat contre les microbes, notamment en raccourcissant le cycle de production des vaccins (de 1 an à 3 mois),

Nous retrouvons ici l’influence des théories d’un Bill Gates. 

Développement durable

Ce chapitre, qui inclut l’industrialisation de l’Afrique, semble assez peu préoccuper le G20, qui y consacre quelques lignes, dont l’essentiel consiste à rappeler les engagements pris par l’Agenda d’Addis-Abeba. 

Soutien aux pays vulnérables

Le G20 approuve la création d’un droit de tirage spécial du FMI, décidé le 23 août 2021, à hauteur de 650 milliards $. Il se déclare favorable à un abondement de cette enveloppe pour faciliter le développement des “pays vulnérables”. 

Le G20 soutient par ailleurs une politique de développement de ces pays. 

Architecture financière internationale

Sur ce point, le G20 se montre plutôt frileux, en se contentant d’annoncer son intérêt pour la réallocation des quota du FMI. Mais… la question de la finance est en réalité disséminée tout au long de la déclaration, et l’on reviendra plus loin sur le sujet des crypto-monnaies. 

Sécurité alimentaire

Le sommet du G20 rappelle les engagements pris à Matera et tous les objectifs énumérés dans ce domaine, notamment la lutte contre le gaspillage. 

Environnement

Le G20 réaffirme son ambition d’atteindre les objectifs déjà fixés en matière d’environnement : décennie de la restauration de l’écosystème lancée par l’ONU, réduction volontaire de 50% de la dégradation des sols d’ici à 2040, protection de 30% des océans et des sols d’ici à 2030.

Le G20 insiste par ailleurs sur les réalisations du sommet présidé par l’Arabie Saoudite dans le domaine de la protection maritime. 

Villes et économie circulaire

Le G20 rappelle son engagement en faveur de l’Agenda Habitat III New Urban et sa volonté de rendre les villes plus écologiques. 

Energie et climat

Bien entendu, le G20 annonce son intention de favoriser le succès de la COP 26 de Glasgow. “Nous maintenons l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation mondiale mondiale de températion bien au-dessous de 2°C et de poursuivre les efforts pour la limiter à 1,5°C sous les niveaux pré-industriels”. 

Pour atteindre cet objectif, le G20 n’hésite pas à marcher sur les plate-bandes de la COP 26 en énonçant par exemple :

Nous produirons des plans nationaux de relance et de sortie de crise qui prévoient, selon les contextes nationaux, un partage ambitieux des ressources financières pour limiter et adapter le changement climatique.

Le G20 décline sur ce point l’ensemble de ces engagements, sans oublier un financement de 100 milliards $ par an pour les pays vulnérables. Il rappelle également la question des émissions de gaz à effets de serre, notamment du fait des méthane et rappelle le lien étroit avec la question énergétique. 

Politiques de transition et finance durable

Le G20 salue l’introduction d’un Pilier dédié à la protection de la planète dans le plan d’action du G20.

Finance durable

Le G20 valide les propositions du Sustainable Finance Working Group (SFWG) et sa batterie d’actions disséminées dans une comitologie complexe. 

Taxation internationale

Le G20 valide le principe d’une Solution à deux piliers pour relever le défi fiscal face à la digitalisation de l’économie. Ce point est au demeurant relativement mineur dans l’ensemble de l’accord, mais il occupe beaucoup la presse subventionnée. 

Égalité des sexes et capacitation des femmes

Le G20 répète son engagement dans ce domaine et salue le lancement de la première conférence du G20 sur la capacitation (empowerment) des femmes. 

Emploi et protection sociale

Le G20 remarque que la pandémie à exacerber les inégalités sur le marché du travail, et affirme : “nous adopterons des approches politiques centrées sur l’humain pour promouvoir le dialogue social et assurer une plus grande justice sociale”. Les soignants suspendus sans traitement faute d’être vaccinés apprécieront la plaisanterie…

Éducation

Dans le domaine éducatif, le G20 réaffirme les efforts nécessaires pour “rendre les systèmes éducatifs inclusifs, agiles et résilients”, pour améliorer la coordination entre les politiques éducatives, sociales et du travail. Mais il ajoute ce point : “Nous reconnaissons le rôle critique de l’éducation dans le développement durable, gérance environnementale incluse”. 

Éducation et développement durable…

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés. 

Transport et voyage

Le G20, discrètement, rappelle l’utilité de la vaccination obligatoire pour les personnels des compagnies aériennes, et appelle de ses voeux à une harmonisation des conditions d’entrée dans les différents pays. 

Régulation financière

Le G20 réitère sa confiance dans la régulation financière internationale, non seulement dans le secteur bancaire, mais aussi la finance non intermédiée par les banques. On notera en particulier cette phrase : “Nous encourageons le Comité des Paiements et des Infrastructures de Marché, l’Innovation Hub de la Banque des Règlements Internationaux, le FMI et la Banque Mondiale à continuer à approfondir l’analyse du rôle potentiel des monnaies digitales de banque centrale dans le développement des transactions transfrontalières et leurs implications plus larges pour le système monétaire international”. 

Commerce et investissement

Le G20 empile ici les déclarations d’intention sur un système de commerce international “ouvert, juste, équitable, soutenable, non-discriminatoire et inclusif, fondé sur des règles multilatérales”. Il ajoute : “Nous soulignons l’importance d’une concurrence loyale”. 

Investissement dans les infrastructures

Le G20 rappelle l’importance de l’amélioration des infrastructures, sujet traité par le Great Reset de Klaus Schwab. 

Productivité

Ce chapitre fourre-tout, très court, rappelle l’importance de “booster” la productivité et reconnaît l’utilité d’une bonne gouvernance d’entreprise. 

Économie digitale, enseignement et recherche

Le G20 s’intéresse ici surtout au développement de l’intelligence artificielle, en rappelant l’importance des échanges de données entre les nations. “Nous réaffirmons le rôle des data pour le développement”. 

Inclusion financière

Le G20 s’engage à développer des moyens pour améliorer l’accès à la compréhension sur Internet. 

Gap des données

Le G20 promeut la publication de données publiques, et le passage à l’administration digitale. 

Tourisme

Le G20 préconise un redémarrage rapide du tourisme. 

Culture

Le G20 rappelle ses différents objectifs en matière de protection et de développement de la culture. 

Anti-corruption

Le G20 rappelle sa tolérance zéro en matière de corruption publique ou privée, et adopte le plan d’action anti-corruption pour 2022-2024. 

Les prémisses d’un gouvernement mondial

On le voit à cette énumération : le G20 sert d’abord à “coordonner” les politiques nationales dans tous les domaines. Si le G20 ne nie pas l’existence de particularités nationales, il rappelle dans chaque domaine de l’action publique les grands objectifs à atteindre ou les orientations à suivre pour rester dans le concert des nations. 

C’est donc l’embryon d’une gouvernance mondiale qui prend forme ici, avec des plans d’action en cascades, plus ou moins contraignants, qui substituent à la volonté des peuples une sorte de mainstream sans alternative possible. 




Monde. Une occasion cruciale d’interdire les robots tueurs – tant que cela est encore possible

[Source : Amnesty International]

Amnesty International et la campagne Stop Killer Robots dévoilent mardi 2 novembre un filtre pour réseaux sociaux donnant un aperçu terrifiant du futur de la guerre, du maintien de l’ordre et du contrôle aux frontières. Escape the Scan, un filtre destiné à Instagram et Facebook, fait partie d’une grande campagne en faveur d’une nouvelle législation internationale visant à interdire les systèmes d’armement autonomes. Il utilise la technologie de la réalité augmentée afin de montrer certains aspects de systèmes d’armement déjà en développement, tels que la reconnaissance faciale, les capteurs de déplacement, et d’autres dispositifs ayant la capacité de lancer des attaques contre des « cibles » sans véritable contrôle humain.

Plusieurs pays sont très investis dans le développement des armes autonomes, malgré les implications dévastatrices pour les droits humains que comporte le transfert à des machines de la responsabilité du recours à la force. En décembre, un groupe d’experts des Nations unies doit se réunir afin de déterminer s’il est opportun de négocier une nouvelle législation internationale relative à l’autonomie des systèmes d’armement. Amnesty International et Stop Killer Robots ont lancé une pétition demandant à tous les gouvernements d’exprimer leur soutien en faveur de négociations.

Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain

Verity Coyle, Amnesty International

« Nous basculons dans un scénario de cauchemar, un monde où des drones et d’autres armes avancées peuvent sélectionner et attaquer des cibles sans aucun contrôle humain. Ce filtre est conçu pour donner aux utilisateurs une idée de ce que les robots tueurs seraient bientôt capables de faire, et montrer pourquoi nous devons agir de toute urgence afin que les humains gardent le contrôle du recours à la force », a déclaré Verity Coyle, conseillère principale sur les équipements militaires, de sécurité et de police pour Amnesty International.

« Permettre à des machines de trancher des questions de vie ou de mort constitue une atteinte à la dignité humaine, et risque en outre de causer des violations dévastatrices des lois de la guerre et des droits humains. Cela exacerbera par ailleurs la déshumanisation de la société sur l’espace numérique, qui réduit les personnes à des points de données à traiter. Il nous faut un traité international robuste et juridiquement contraignant afin de faire cesser la prolifération des robots tueurs – avant qu’il ne soit trop tard. »

Escape the Scan sera disponible à compter du 2 novembre sur les comptes Instagram et Facebook de Stop Killer Robots. 

Une version grand format du filtre sera visible dans le cadre d’une expérience interactive à Westfield Stratford City – un des plus grands centres commerciaux d’Europe -, à Londres, pendant deux semaines à compter du 2 novembre.

We have had a decade of talks on autonomous weapons at the United Nations, but these are being blocked by the same states that are developing the weapons

Ousman Noor, Stop Killer Robots

Il est temps de fixer des limites

« Cela fait une décennie que l’on parle des armes autonomes aux Nations unies, mais ces discussions sont bloquées par les pays qui développent actuellement ces armes », a déclaré Ousman Noor, de la campagne Stop Killer Robots.

« Le secrétaire général des Nations unies, le Comité international de la Croix-Rouge, des prix Nobel, des milliers de scientifiques, de spécialistes de la robotique et de professionnel·le·s des technologies demandent un traité ayant force de loi afin d’empêcher que ces armes ne deviennent réalité. Les gouvernements doivent fixer des limites face à des machines capables de choisir de tuer. »

Le 2 décembre 2021, le Groupe d’experts gouvernementaux des parties à la Convention sur certaines armes classiques entamera des discussions cruciales, afin de déterminer s’il convient d’ouvrir des négociations sur un nouveau traité pour lutter contre la menace posée par des robots tueurs. Pour l’instant, 66 États ont appelé de leurs vœux un nouveau cadre juridiquement contraignant sur l’autonomie des systèmes d’armements. Les avancées sur ce terrain ont cependant été bloquées par un petit nombre d’États puissants, notamment la Russie, Israël et les États-Unis, qui considèrent que la création d’une nouvelle législation internationale est prématurée.

Quel est le problème ?

Le remplacement de soldat·e·s par des machines rendra la décision de partir en guerre plus facile. Par ailleurs, les machines ne peuvent pas effectuer de choix complexes sur le plan éthique dans des contextes imprévisibles comme les champs de bataille ou des scénarios du monde réel ; rien ne saurait remplacer une prise de décision humaine. Nous avons déjà vu que les technologies telles que la reconnaissance faciale, vocale, des émotions et de la démarche ont des difficultés à identifier les femmes, les personnes de couleur et les personnes présentant des handicaps ; et aussi qu’elles causent d’immenses torts aux droits humains lorsqu’elles « fonctionnent ». Employer ces technologies sur les champs de bataille, dans le domaine de l’application des lois ou de contrôle aux frontières, serait désastreux.

Malgré ces inquiétudes, des pays comme les États-Unis, la Chine, Israël, la Corée du Sud, la Russie, l’Australie, l’Inde, la Turquie et le Royaume-Uni effectuent de lourds investissements dans le développement de systèmes autonomes. Le Royaume-Uni développe par exemple actuellement un drone capable de voler en mode autonome et d’identifier une cible dans une zone programmée. La Chine est en train de créer de petits « essaims » de drones qui pourraient être programmés pour attaquer la moindre créature ayant une température corporelle, tandis que la Russie construit un tank robot sur lequel peuvent être fixés une mitrailleuse ou un lance-grenade.


Stop Killer Robots est une coalition mondiale de plus de 180 ONG internationales, régionales et nationales, et partenaires universitaires travaillant à travers 66 pays afin de garantir que les humains maintiennent un véritable contrôle du recours à la force, par le biais d’une nouvelle législation internationale. Amnesty International est une des neuf organisations faisant partie du comité directeur de cette coalition.




J’aimerais tellement comprendre !

Par Alain Tortosa

J’aimerais tellement comprendre !

J’ai passé des milliers d’heures à étudier cette crise
et pourtant je saisis moins bien qu’un téléspectateur
qui regarde les infos pendant 10 minutes.

J’ai l’impression d’avoir écrit ce texte des dizaines de fois et j’ai toujours l’espoir que cela va enfin m’aider à comprendre.
Revoici donc une liste de faits « indiscutables », étant donné qu’ils sont rapportés par tous les médias classiques et médecins médiatiques.

« Nous sommes presque les premiers de la classe ! »

Alors que les débuts de la vaccination ont été difficiles, la France est désormais le 2e pays d’Europe le plus vacciné avec 74,6 % de sa population. Ce qui représente 87 % de la part des personnes éligibles.
C’est donc officiellement une excellente nouvelle.

« La reprise épidémique se confirme. »

Il y a un rebond dans les services hospitaliers, une augmentation de 30 % des entrées en soin critique.
Il y a aussi une augmentation en Europe et donc aucune raison que l’on échappe à la 5e vague.

Pourquoi cette reprise alors que le taux de vaccination est au-delà des espérances ?

Ne croyez pas que les médias soient idiots, ils se posent évidemment les « bonnes » questions !
Sachez que cette situation s’explique en toute « logique » :

« Le relâchement des gestes barrières ! »

« Le variant Delta est extrêmement contagieux. »

« Les Français vaccinés font moins attention. »

(NB : Ils pensent naïvement être vaccinés alors ils font moins attention se croyant à l’abri du virus…)

« Ce virus fait ce qu’il veut et il nous prend de court. »

« Le vaccin est extrêmement efficace et empêche les hospitalisations et les formes graves. »

« Il serait utopique de penser éliminer le virus avec le variant delta. »

Le Dr Jean-Paul Hamon nous a aussi « éclairé » sur le relâchement des gestes barrières :

« Comme on est moins en contact avec ces virus (grâce au masque) notre immunité naturelle baisse, on est moins stimulés par la présence des virus et donc dès qu’on enlève le masque à ce moment oui, on est beaucoup sensible ce qui explique aussi qu’on voit davantage de pathologies saisonnières. »

Ces spécialistes nous expliquent que :

« Le danger est bien entendu l’engorgement des hôpitaux et des soins critiques. »

Soyons rassurés des solutions « efficaces » existent !

Le virus est malin, mais nous le sommes plus que lui-même si « c’est lui qui décide du calendrier » !

  • « Porter le masque. » « Des vaccinés ont oublié l’importance et l’efficacité du masque. »
  • « Respecter la distanciation. »

« Selon une étude 65 % de Français se font à nouveau la bise et 59 % se serrent la main. »

Nous voyons bien où l’irresponsabilité nous conduit !

  • « Convoquer les non-vaccinés dans un centre de vaccination. »
    « Il ne s’agit pas de les forcer, mais de fermement les “convaincre”. »
  • « La 3e dose de rappel. »
    « Les personnes éligibles vont y aller spontanément. »
    « Ce rappel devrait être étendu à l’ensemble de la population dès l’année prochaine. »
    « On devrait arriver à freiner les hospitalisations avec la 3e dose. »
  • « La vaccination des 5-11ans n’est pas encore la priorité, mais il faut penser à eux pour les Covid longs. »
    « Leur vaccination est une étape vers un retour à la normale. »
    À ce sujet Catherine Hill a déclaré :
    « Si on vaccinait les 5,8 millions d’enfants de 5 à 11 ans, on éviterait très peu d’hospitalisations et encore moins de décès, et on causerait quelques myocardites ou péricardites. Mais on réduirait beaucoup la circulation du virus, à condition que la population comprenne l’enjeu et accepte cette vaccination. »
  • « Le pass sanitaire ne sert strictement à rien en termes de contrôle de l’épidémie.

Mais il permet de rappeler aux Français que le virus est toujours présent. Il serait irresponsable de le supprimer, les Français (stupides ?) pourraient croire que l’épidémie est terminée. »

(Entendu le 30 octobre sur LCI.)

Notez que je n’intègre pas les données vaccinales des autres pays qui prouvent la totale inefficacité de l’injection et même qu’elle aurait tendance a aggraver la situation.
Je me borne uniquement aux informations issues de la Pravda.

Si j’avais l’intelligence de l’auditeur moyen, je serais évidemment convaincu par des explications aussi « limpides » que « logiques »…
Ces affirmations, en supposant qu’elles ne sont pas en partie mensongères, génèrent en moi des interrogations…

Question :

Si l’augmentation de l’épidémie est due en partie au laisser-aller dans le port du masque et à la diminution de nos défenses immunitaires induite par son port prolongé, pourquoi alors recommander le port du masque si celui-ci les détruit ?
Plus on va le porter et plus nos défenses immunitaires vont s’effondrer ?
… À moins de le garder à vie pour éviter d’être en danger dès qu’on l’enlève !

Question :

Pourquoi l’accroissement de la vaccination n’est pas de nature à réduire les contaminations et les entrées à l’hôpital et empêcher une nouvelle vague ?

  • D’autant plus que 87 % des personnes éligibles sont vaccinées.
  • D’autant plus que les personnes dites à risque sont vaccinées à plus de 90 %.
  • D’autant plus que les non-vaccinés ne peuvent pas accéder à l’hôpital sans pass sanitaire.

Question :

Comment les populations non vaccinées qui ne sont pas à risque de faire des formes graves pourraient saturer les hôpitaux ?

Question :

Comment 10 % de personnes à risque non vaccinées, qui plus est, « protégées » par la vaccination des autres pourraient entraîner la saturation des hôpitaux si elles n’étaient pas à leur tour injectées ?

Question :

(La même que précédemment, mais posée autrement.)

Comment une diminution de 90 % de la population à risque grâce à la vaccination (efficace) pourrait entraîner une saturation des hôpitaux ?

Question :

Comment les non-vaccinés pourraient représenter un danger et contaminer les vaccinés qui à leur tour pourraient saturer des hôpitaux si le vaccin les empêche de faire des formes graves ?

Question :

Si le vaccin est toujours efficace contre le variant delta, pourquoi le coupable désigné pour expliquer la 4e et maintenant la 5e vague est le variant delta ?

Question :

Si le vaccin a perdu en efficacité du fait du delta, pourquoi une mise à jour du vaccin n’est pas disponible et ce alors qu’il ne faut pas plus de 5 semaines pour une mise à jour selon les fabricants ?

Question :

Si les personnes en bonne santé et surtout les enfants ne sont pas à risque et qu’ils ne risquent pas de saturer les hôpitaux, pourquoi les vacciner si leur injection n’empêche pas la contamination et si la mesure n’est pas de nature à éviter des décès ?

Question :

Si le vaccin a perdu de son efficacité du fait du delta pourquoi injecter une troisième dose avec un vaccin sur la souche d’origine ?

Question :

Si un rappel est indispensable tous les 6 mois pour empêcher des formes graves, mais pas les contaminations, pourquoi appeler ce produit « vaccin » et non traitement ?

Question :

Pourquoi le réseau sentinelle n’est pas informé de la 5e vague ?
Les malades symptomatiques n’ont pas le réflexe de se rendre chez leur médecin ?

En résumé :

  • Le confinement n’est pas de nature à arrêter l’épidémie.
  • Le masque n’est pas de nature à arrêter l’épidémie.
  • Le passe sanitaire n’est pas de nature à arrêter l’épidémie.
  • Le vaccin n’est pas de nature à arrêter l’épidémie.
  • Les doses suivantes ne sont pas de nature à arrêter l’épidémie.
  • La vaccination de la population n’est pas de nature à créer une immunité vaccinale de masse.

Ça s’arrête quand ? Jamais ?

Jamais !

Alain Tortosa.

2 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211102-toujours-pas-compris.pdf

PS : Que celles et ceux qui ont des réponses compatibles avec la doxa n’hésitent pas à me les fournir.




Plus de maison personnelle, plus de CDI, retraite à 70 ans : le Premier ministre espagnol dévoile son plan pour 2050

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AP Photo / Paul White]

Par Victor Koulokov

Le Premier ministre espagnol a présenté jeudi 20 mai un volumineux plan mis au point par une centaine d’experts pendant un an et visant à faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne. Des pans de ce plan peuvent choquer.

Jeudi 20 mai, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a présenté un plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays «nous voulons être dans 30 ans».

«La vision de l’avenir doit être celle de l’État et non du gouvernement. Le présent nous occupe, mais nous devons également nous soucier de l’avenir», a lancé le Premier ministre.

Des réformes incendiaires

Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu’à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d’impôts pour boire ou fumer.

Le document, développé avec la contribution de plus de 100 experts de divers domaines et origines idéologiques, est désormais ouvert aux amendements des partis politiques, des autorités locales et régionales, des syndicats et des groupes d’employeurs, des organisations à but non lucratif et des universités.

Visant à hisser l’Espagne au rang des pays les plus prospères d’Europe, rien n’indique que ces propositions trouvent de l’écho au sein de la population espagnole, lassée par une longue instabilité gouvernementale.




Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne

[Source : passe-murailles-correze.org]

Par Mehdi Belhaj Kacem

Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

Un ami m’a envoyé hier soir votre lettre intitulée “le mot du maire”. Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l’apprendre : vous êtes d’ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

Je me présente d’abord à vous. Je réside à Turenne depuis près de vingt-cinq ans maintenant, dans une maison qui est un héritage familial. Je suis écrivain et philosophe de mon état, j’ai publié plus d’une trentaine d’ouvrages, dont une bonne partie chez de grands éditeurs (Gallimard, Grasset, Fayard, Stock…). Mon troisième roman, Vies et morts d’Irène Lepic, écrit à vingt-et-un ans, est considéré aujourd’hui par des milliers de personnes comme l’un des meilleurs romans des années quatre-vingt dix. Michel Houellebecq, devant un parterre de VIP de l’art contemporain, a dit que j’étais le seul écrivain de sa génération aussi bon que lui. J’ai été le premier philosophe à avoir droit à un colloque à 39 ans à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, qui a produit 90% des grands philosophes en France depuis deux siècles, alors que je suis un parfait autodidacte (bac+0). Alain Badiou m’a publiquement présenté il y a quinze ans comme l’un des deux philosophes les plus doués de ma génération, et l’anthropologue de renommée internationale David Graeber, mort prématurément l’année dernière à Venise, disait partout autour de lui que j’étais le plus grand philosophe vivant, et beaucoup de monde pense comme lui. Un grand poète américain, Steve Light, a écrit qu’on n’avait jamais vu, de toute l’histoire de la philosophie, un tel ratio entre invention conceptuelle systématique, et autodidactisme. Je pourrais continuer comme ça pendant des pages et des pages. Comme le dit un très grand médecin lanceur d’alerte sur la situation, le Dr Roger Hodkinson, dont vous devriez prendre de la graine : “I am proud of my fuckin C.V.”.

Je m’excuse donc de me faire mousser de la sorte; ce n’est pas très élégant. Mais, quand je m’adresse à des personnes comme vous, je me sens obligé de le faire, pour que l’interlocuteur comprenne qu’il n’a pas exactement affaire à celui que le bon peuple appelle “Joe le clodo”. Vous parlez de votre lettre de “compétence”, sans nous en dire davantage (doux euphémisme); je suis donc obligé, en préambule aux discussions avec les personnes comme vous, d’avancer mes titres de noblesse sous ce rapport, c’est-à-dire des capacités d’analyse et de réflexion que toutes les personnes, à point nommé, compétentes, reconnaissent à mon sujet.

On se demande d’abord, à la lecture de votre lettre, quel est le vôtre, de titre de “compétence”. Si celui-ci repose sur le fait d’ouvrir les grands quotidiens, d’écouter France-ceci ou France- cela, ou de regarder BFMTV ou France 2, vous êtes effectivement mal parti. En 2021, ce n’est pas comme cela que l’on s’informe, mais en allant à la source; croire qu’on apprend quoi que ce soit en consommant les médias de masse, c’est comme être, en termes d’information, un néandertalien quand apparaissent les Cro-magnons, ou se battre avec un gourdin quand on vient d’inventer les armes à feu.

C’est l’explication la plus plausible : cela fait plus d’un an et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias de masse, subventionnés par l’État et détenus par les huit familles les plus riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n’ont plus pour fonction d’informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous supposez, en somme, qu’il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c’est le contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n’est plus qu’à son tour qu’un outil au service d’institutions supranationales comme l’OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque Rothschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et… Pfizer (vous avez dit “compte offshore”?)? Saviez-vous que son épouse détenait quantité d’actions dans la même entreprise? Saviez-vous que c’était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la vaccination obligatoire? Saviez- vous que Pfizer est l’entreprise pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de dommages et intérêts versés en tout)?

[Voir :
France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne
Mensonges des responsables américains du groupe de travail COVID
Révélations sur les mensonges et manipulations de l’OMS – ÉNORME !
Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir]

Vous commencez votre lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me passez l’expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las! Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper : il n’y a pas eu de quatrième vague, parce qu’il n’y en a pas eu de troisième, qu’il n’y en a pas eu de deuxième, qu’il n’y en a pas eu de première; et que, en réalité, il n’y a jamais eu de “pandémie” du tout, sauf dans quelques cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l’OMS, probablement l’organisation politique la plus criminelle de tous les temps.

Il n’y a pas eu de “pandémie”, et ce sont les chiffres officiels qui le disent. Tapez “morts covid” sur Google, vous tomberez sur le chiffre, au jour où je vous écrit, de 4.800.000 de la population mondiale, c’est-à-dire environ 0,04% de celle-ci, ce qui est dérisoire. C’est d’autant plus dérisoire quand on connaît la moyenne d’âge des victimes : 84 ans. C’est-à-dire des gens qui ont largement dépassé leur espérance de vie. Je dis “largement”, car chez nous, pays occidentaux (France, Italie…), l’espérance de vie est de 82 ans, et c’est pourquoi nous avons pris plus “cher” (0,14/0,15%) que beaucoup de pays plus pauvres, où l’espérance de vie est, bien sûr, beaucoup plus courte.

[Voir :
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
« Surmortalité Covid » en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en France en 2020 à cause du COVID-19!
La déclaration gonflée des décès dus au COVID est une véritable conspiration
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers]

Ceci pour simplement vous faire réaliser que, depuis un an et demi, beaucoup de monde, à commencer par les médias de masse centralisés, et vous à leur suite, “raisonnent” sur une chimère sémantique pure et simple : “il existe un virus dévastateur qui atteint la planète entière, tuant 0,04% de sa population, essentiellement des personnes ayant dépassé de très loin leur espérance de vie.” C’est une phrase littéralement vide de sens, et pourtant c’est sur elle que se fondent tous les “discours” du type de celui que vous tenez dans votre lettre, et dont on nous harcèle depuis plus d’un an et demi. Tout étudiant en philosophie de première année sait que, si la prémisse est fausse, le reste du discours est faux aussi.

La chose, en réalité, va beaucoup plus loin, dans ce qui est la plus grande et la plus grave manipulation politique de masse qui ait jamais été perpétrée dans notre histoire. Là encore, ce sont les documents officiels qui le disent. Je me permets de vous renvoyer à ce lien : https://bit.ly/3GETZ5t

[Voir :
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes]

Il s’agit du compte-rendu détaillé de Santé Publique France sur la crise-du-covid entre mars 2020 et mars 2021. Je vous conseille de lire les 68 pages en entier, mais si le temps vous manque, vous pouvez vous contenter de “sauter” à la page 43. Vous y découvrirez ce chiffre ahurissant : sur la centaine de milliers de supposés morts-du-covid, seuls 14471 sont véritablement morts du seul covid. Les autres, en réalité, sont morts d’autre chose : cancer, leucémie, diabète, insuffisance cardiaque, etc. Donc : les 0,04% de morts du terrible virus sont, en réalité, plus proche de 0,004% : autant dire rien. Car les chiffres officiels des autres pays disent strictement la même chose : par exemple du CDC aux Etats-Unis, qui ont pareillement établi que, sur tous les morts officiellement déclarés du covid, seuls 6% d’entre eux étaient “sans comorbidités”, c’est-à-dire que 94% d’entre eux sont morts de tout à fait autre chose.

Aussi, au niveau de la “compétence” et de la rigueur argumentative, est-il très malvenu de votre part de comparer la situation présente avec la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou la poliomyélite : ces maladies étaient, de fait, massivement létales; le covid 19, en réalité, ne tue quasiment personne, mais porte l’estocade à des personnes qui avaient déjà dépassé leur espérance de vie.

Vous dites ensuite, sur cette fausse base, que seule la vaccination de masse permettra d’acquérir “l’immunité collective” (notion dénuée de toute pertinence scientifique, comme le savent les gens réellement compétents). Hélas pour vous, tous les pays qui ont massivement vacciné, comme Israël ou Gibraltar, ont vu leurs taux de mortalité décoller verticalement, ainsi que leurs taux d’infection au covid (la seule solution? Une troisième dose, après que les deux premières aient si bien marché! Et une quatrième, une cinquième, une sixième…). Aussi vous trompez-vous quand vous dites que seule la vaccination de masse permettra de sortir de la pandémie : d’abord, il n’y a jamais eu de pandémie, sinon une pandémie de mensonge, de terreur, d’abrutissement et de manipulation; ensuite, les “vaccins”, qui ne méritent même pas ce nom, sont non seulement inefficaces, mais dangereux. Je vous le démontre plus loin, chiffres officiels à l’appui, contre votre négationnisme bravache à ce sujet.

[Voir :
Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?]

Vous demandez, ce qui prouve en tout cas que vos yeux, eux, n’ont pas attrapé le covid : “comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecté à près de la moitié de la population mondiale sans ou presque d’effets secondaires?” Comment, en effet? Eh bien, très simple : en lisant ce qu’écrivent les gens d’Astrazeneca, Pfizer, Moderna et Johnson sur leurs sites respectifs : que les vaccins sont en phase 3 (rats de laboratoire habituellement), et que ces expérimentations prendront fin en 2022 ou en 2023, c’est selon. Les gens de Moderna vont jusqu’à écrire : “notre vaccin est un système d’exploitation somatique, dont le but est de pirater vos fonctions biologiques”, sic. Que la moitié de la population mondiale se soit faite injecter, le plus souvent sous le chantage et la contrainte à peine détournée, vous empêche de vous rendre à la terrible évidence : nous assistons en effet à la plus gigantesque expérimentation médicale jamais tentée sur l’humanité. Tôt ou tard, la finalité réelle de cette expérimentation ne pourra que sauter à vos yeux si éclairés. Comme le disait Coluche : “Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison”.

Mais la phrase, de toute votre lettre, qui m’a le plus fait pouffer, c’est celle qui dit : “sans ou presque d’effets secondaires”. Ah booooon? Là encore, il suffit de se fier aux chiffres officiels, et à rien d’autre. Eudravigilance, le site européen de pharmacovigilance, avançait, début octobre, les chiffres suivants : 27.222 morts, près de 2.300.000 d’effets secondaires, dont la moitié graves (et, soyons clairs : “graves”, en pharmacovigilance, signifie : “handicap à vie”). On peut dire que l’adverbe de votre phrase prend tout son sel à la lumière de ces chiffres dûment sourcés… vous avez dit “compétence”?

[Voir :
TÉMOIGNAGES | Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »
Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe
Vaccins COVID – des millions d’effets secondaires
Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ?
Vaccins Covid-19, effets secondaires
Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.
Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid
Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?]

Mais ce n’est pas tout. Car tous les spécialistes d’enquêtes de pharmacovigilance vous diront que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont réellement rapportés; en sorte qu’il faut au moins multiplier les chiffres obtenus officiellement par dix pour s’approcher, et seulement s’approcher, de la vérité. Nous avons donc les plus solides raisons rationnelles de penser que, dans les pays de l’U.E. (Angleterre non comprise donc, où les chiffres officiels sont terrifiants aussi), il y a eu au minimum 270.000 morts, et 21.000.000 millions de handicapés à vie. C’est-à-dire, d’ores et déjà, dans la seule Europe, beaucoup plus de victimes des vaccins que du malheureux covid 19 dans le monde entier. Je me permets à ce sujet de vous renvoyer à ce lien, une petite vidéo que j’ai faite avec une amie, devant cette organisation criminelle qu’est l’Ordre des médecins, qui persécute les médecins qui osent soigner leurs patients et dire la vérité sur ce qui nous arrive depuis un an et demi :

https://odysee.com/@belhajkacem.mehdi:8/t_file6034928538396658340:1

[Voir :
Appel à la dissolution de l’ordre des médecins
Les médecins sont tombés dans un trou noir]

Mais, au fait, ces effets secondaires, quels sont-ils? Comme le dit le très courageux Dr Ochs, le risque du vaccin est 40 fois plus élevé pour les moins de cinquante ans que le covid lui-même. Que dire de nos adolescents, qu’on vaccine en masse depuis la rentrée, contre une maladie pour laquelle ils ne risquent rien? Que dire de nos enfants, à qui on s’apprête de faire la même chose (le même dr Ochs en tire la conclusion qui s’impose : “infanticide”)? Vous êtes bien sûr de votre adverbe? N’y a-t-il pas une petite puce qui commence à vous démanger l’oreille?

Car voici en quoi consistent ces effets secondaires : des AVC; des myocardites (en particulier chez les jeunes et les adolescents, ce qui est aberrant); des péricardites; des thromboses; des troubles neurologiques graves; des troubles gastro- entériques graves; des troubles neurologiques graves; la paralysie de Bell; le syndrome de Guillain-Barré; des convulsion violentes; des fausses couches (une fois sur huit…); des épilepsies; des nécroses; des zonas; des cécités; des surdités; et la liste est loin d’être exhaustive… Je peux vous envoyer des listes kilométriques de sportifs de haut niveau décédés suite à des complications cardiaques, ou dont la carrière est finie suite aux injections. Je ne sais pas comment vous faites pour ne pas entendre parler de ce phénomène “étrange” que rapportent toutes les presses régionales : le nombre inusité d’adolescents qui font des malaises cardiaques pendant qu’ils font du sport au collège ou au lycée.

[Voir :
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Mais même si je m’écarte des données officielles édifiantes, et que je regarde simplement autour de moi, où l’enthousiasme pour le “vaccin” n’est pas de mise, j’ai constaté : un homme de 42 ans, père de trois enfants, mort d’un arrêt cardiaque après l’injection; un militaire de 25 ans, un athlète qui ni ne fumait ni ne buvait, qui a subi un AVC après l’injection, et dont la carrière est finie; une femme de la soixante, qui développe depuis l’injection un asthme très brutal et persistant; un ami qui a subi une diarrhée virale très pénible après l’injection. Mais l’effet secondaire le plus systématique et répandu, qui donne d’innombrables témoignages sur les réseaux, c’est la grave perturbation des cycles menstruels chez les jeunes femmes et les adolescentes. J’ai discuté avec une jeune femme de 25 ans (non vaccinée), qui m’a confirmé que toutes ses amies vaccinées avaient de gros problèmes de règles. Et j’ai aussi échangé avec une adolescente (non vaccinée), qui m’a dit elle aussi que toutes ses amies vaccinées avaient de gros soucis de “ragnagnas”, comme elle dit dans son langage fleuri. Dans les pays où on a commencé à vacciner les enfants, comme les Etats-Unis, on rapporte des cas de saignements vaginaux chez des fillettes, ou même des nourrissons de sexe féminin. (A raison inverse, on mentionne de nombreux cas de femmes ménopausées depuis des années… et qui ont recommencé à avoir leurs règles.) Il n’y a pas besoin d’être madame Irma pour savoir ce que les conséquences, en termes de fertilité, représenteront pour toute une génération. Je suis sûr que vous avez des fils et/ou des filles, voire des petits enfants. J’espère que votre enthousiasme vaccinal s’arrêtera à temps pour que vous sauviez votre lignée. De même, et puisque vous avez une confiance si aveugle dans les “vaccins”, et que vous êtes donc plus que probablement injecté, pourquoi ne pas faire les tests suivants : le test de d-dimère (qui mesurera les taux de micro- caillots sanguins que vous avez dans le sang); le test de sérologie (pour regarder voir où en est votre système immunitaire); et un test d’électro- magnétisme (si, si, ce n’est pas une thèse “complotiste”, de nombreuses études scientifiques ont démontré que les vaccinés étaient “magnétisés”). Je le répète : puisque vous êtes si confiant dans ces “vaccins”, pourquoi ne pas faire ces trois tests? Mais je préfère être honnête avec vous : il est presque impossible que vous n’ayiez pas une très mauvaise surprise au moins en les faisant tous les trois…

[Voir :
Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans]

Aussi, à vous qui n’avez pas froid aux yeux pour colporter les énormités des médias et d’un gouvernement criminel, mensonger et corrompu, je tiens à vous prévenir que je n’ai pas ma langue dans ma poche. Le Dr Michael Yeadon, rien moins que l’ancien vice-directeur de Pfizer, et scientifique de haut niveau (biologie), parle depuis un an et demi déjà de “troisième guerre mondiale”; j’ai lancé, dans un entretien donné il y a huit mois au journal Times of Israël, l’expression “première guerre civile mondiale”, qui a été depuis reprise par des centaines de milliers de personnes; et, depuis quelques mois, je ne recule plus devant l’expression suivante : “génocide non conventionnel”, comme on parle de “guerre non conventionnelle”. C’est-à-dire qu’il n’y a plus besoin d’utiliser des mitrailleuses, des chambres à gaz ou des machettes; il suffit d’imposer des confinements, des masques et des “vaccins”. Les confinements ont d’ores et déjà détruit les vies de milliards de personnes dans le monde (dont une qui m’était extrêmement proche, qui s’est suicidée à cause du premier), alors qu’ils n’ont aucune utilité sanitaire avérée; les masques, inefficaces et toxiques lorsque portés trop longtemps, ont d’ores et déjà traumatisé une génération entière d’enfants et d’adolescents; enfin, les vaccins ont d’ores et déjà fait, dans le monde entier, incommensurablement plus de victimes que le misérable, et à la vérité presque inoffensif, virus qu’ils sont censés combattre.

[Voir :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus
Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
Le paradigme du confinement s’effondre
Effets nocifs des masques
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”]

Génocide, oui, et le plus grand, peut-être, de tous les temps, dans la mesure où, s’il s’avérait que le “vaccin” avait pour fonction de modifier le génome humain, non seulement il serait le plus grand en quantité, mais il le serait aussi en qualité : il serait le génocide le plus littéral qui fut jamais. Exagération? Pourquoi est-ce que de nombreux survivants de la Shoah (Véra Sharav, Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn, Shimon Yanowitz, Hila Moscovich, Tamir Turgal, Amira Segal, Jacqueline Ingehoes, Andrea Dresher, Edgar Siemund, etc.) disent-ils la même chose que moi, que des millions de français, et des centaines de millions de personnes dans le monde?

[Voir :
« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]

Votre lettre se termine, sans doute pour caresser votre belle âme, par les compliments de rigueur aux soignantes et aux soignants. Pourquoi n’avez-vous pas un seul mot pour les 350.000 mille d’entre elles et eux qui ont perdu leur emploi depuis le 15 septembre, sans indemnités ni chômage, bref qui sont littéralement jeté(e)s à la rue, au seul prétexte d’avoir refusé de se faire vacciner? Comment pouvez-vous, sans mourir de honte, vous féliciter de ce que fait l’hôpital public français, alors qu’on est, très sciemment, en train de le démembrer et de le détruire à petit feu (ça a commencé il y a des décennies en réalité)?

[Voir :
Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?
Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…
La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie
Covid et saturation des hôpitaux : les plans de restructurations de l’hôpital public sur le banc des accusés]

Aussi, me permettrai-je d’arroser l’arroseur que vous êtes : ce qui est “délétère et irresponsable”, ce ne sont certainement pas les lanceurs d’alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le “plus grand crime contre l’humanité jamais commis”, mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d’humilité, admettre qu’on s’est trompé (parce qu’on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l’histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l’occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s’est passé à cette époque là, sauf qu’aujourd’hui c’est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c’est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu’un petit bout de l’iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m’informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre “sommeil dogmatique”, comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j’habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.

[Voir :
Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!
L’heure de la justice
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »
Whitney Webb descend Google, Epstein, Gates et toute la Silicon Valley lors d’une interview avec l’avocat Reiner Fuellmich]

Mehdi Belhaj Kacem

P.S. : je suis désargenté en ce moment, mais, dans dix jours, je n’hésiterai pas à faire des centaines d’impressions de la présente lettre pour la distribuer dans tout le village. Certaines de mes vidéos ont fait plus de 500.000 vues chacune sur les réseaux, donc réveillez-vous avant que je ne vous fasse une trop grande publicité, déjà que votre lettre a involontairement fait de vous une star sur les réseaux, sans doute dans votre ignorance la plus complète. Je ne désespère pas de vous réveiller complètement, et de faire que Turenne se transforme en village d’Astérix, qui résiste à l’Empire… vous verrez que la comparaison est tout sauf exagérée…




Ils sont désespérés devant la flambée épidémique dans les pays les plus vaccinés (Singapour, Allemagne, Autriche…)

[Source : pgibertie.com]

par Patrice Gibertie.

Heureusement Le Monde se veut rassurant devant le désastre de Singapour : 100% de vaccinés et 100% des décédés sont… non vaccinés. Véran fait des émules avec ses stats pipotées.

Les autorités américaines de la FDA reconnaissent que la vaccination des 5 à 11 ans entrainera autant d’hospitalisations pour myocardie que cela en évitera pour Covid…

• fda.gov/153447/download

• Flahau, Caumes, ils sont désespérés devant la flambée épidémique dans les pays les plus vaccinés : Singapour, Allemagne, Autriche…
• Le terrible aveu d’échec du Professeur Flahau

« Il est trompeur de laisser croire que la seule mise en place de la vaccination aurait dû réduire immédiatement la mortalité partout dans le monde ».

La consternation – Tous ces pays très vaccinés avec pass et tout et tout

Une vague de contaminations de COVID-19 est largement amorcée en Europe de l’Ouest (par ex. Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Belgique) : déjà quasi aussi forte que les précédentes. Combien de temps les digues vaccinales les protègeront-elles des hospitalisations et des décès.

Le désespoir : 80, 90% de vaccinés… ça ne protègera pas…

Combien de temps, les pays du sud de l’Europe de l’Ouest conserveront-ils leur faible circulation de SARS-CoV-2 ? Le pass sanitaire suffira-t-il à protéger la France et l’Italie d’une nouvelle vague ? L’Espagne et le Portugal seront-ils protégés par leur couv vacc (>80%) ?

• Antoine FLAHAULT admet que des pays très vaccinés comme le Chili soient très touchés – @FLAHAULT

9/9 – Amérique latine Chili = 1.13 (86.9% 1 dose) ; Uruguay = 1.19 (79.7%) ; Colombie = 1.11 ; Dom Rep = 1.02 ont quitté leurs zones de sécurité COVID-19. Belize = 0,93 : atterrissage lent, mortalité très élevée ; Brésil = 0,97 : plateau, mortalité moyenne. Mexique ; Argentine ; Pérou : sûr

Il reconnait sans la citer que les pays soignés à l’ivermectine maitrisent la pandémie : Pérou depuis peu, Mexique.

La carte du Professeur :

Il reconnait le succès de l’Indonésie, l’échec du Vietnam et de la Malaisie :

L’échec de Singapour :

Caumes est sorti de l’hôpital psychiatrique et il est plus méchant que jamais :

https://twitter.com/alainparib/status/1455092242172022784?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1455092242172022784%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fpgibertie.com%2F2021%2F11%2F01%2Fils-sont-desesperes-devant-la-flambee-epidemique-dans-les-pays-les-plus-vaccines-singapour-allemagne-autriche%2F

Ces pays sont extraordinaires : Ils ont vacciné massivement pour faire exploser l’épidémie. Singapour, le modèle absolu des politiciens français, le Bouthan, le Chili et les autres.

Singapour c’est le modèle absolu pour notre classe politique ; tous vaccinés tous fliqués

Singapour, la dictature sanitaire s’est plantée

La dictature sanitaire de Singapour aurait 99% des plus de 70 ans vaccinés, depuis la troisième dose les décès flambent, l’équivalent de 200 par jour en France. Rassurez-vous, 100% de vaccinés et 100% des décès sont non vaccinés (Le Monde). Ils font comment ? Ils doivent importer leurs morts …

Le Monde explique que c’est parce qu’ils ont laissé circuler le virus… Mais ils sont tous vaccinés, il devrait pas circuler…

Lisez ce rapport admiratif de notre Sénat ;

« Singapour est, surtout, le premier pays au monde à avoir déployé, mi-mars 2020, une application de contact tracing, appelée Trace Together, fonctionnant grâce à la technologie Bluetooth. Les enjeux du contact tracing seront abordés plus en détails dans la suite du présent rapport. À ce stade, on peut toutefois signaler deux grandes spécificités.

D’une part, l’usage de TraceTogether est obligatoire pour certaines catégories de population, comme les travailleurs migrants, et dans certains lieux, notamment les écoles, bureaux, restaurants, cinémas ou centres commerciaux. Si le nombre de téléchargements a été dans un premier temps moindre qu’attendu (un million au bout d’un mois, pour une population de 6 millions d’habitants), elle est aujourd’hui utilisée par près de 80% de la population – même si son efficacité, comme ailleurs dans le monde, est très incertaine.

D’autre part, dans le cas particulier de Singapour, l’usage d’une telle application n’est pas sans risques pour la vie privée et les droits et libertés des citoyens. TraceTogether est en effet construite sur une architecture dite « centralisée » (cf. infra), également retenue par TousAntiCovid en France, mais très minoritaire dans le monde. Dans ce modèle, les données relatives aux interactions sociales des individus sont traitées par un serveur central, géré par l’administration. En principe, celles-ci ne doivent en aucun cas être utilisées pour d’autres finalités que celles qui ont justifié leur collecte, c’est-à-dire la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le gouvernement de Singapour avait, naturellement, pris des engagements formels en ce sens, assurant que seules les autorités sanitaires auraient accès aux données.

Toutefois, en janvier 2021, le gouvernement a reconnu devant le parlement que la police avait eu accès aux données de contact tracing du serveur central ».

Le Chili relance la Covid en fin de printemps en lançant la 3ème dose…

Les dernières études sur l’efficacité des vaccins :

• pgibertie.com/2021/10/31/la-protection-contre-les-formes-graves-n-a-jamais-ete-de-95-mais-au-mieux-de-60-et-6-mois-apres-de-20-hors-effets-secondaires




Revue de presse de Fadi Kassem

[Source : initiative-communiste.fr]

[Ndlr : il ne semble pas avoir compris le coup du « vaccin » et sa perspective reste au niveau de la lutte des classes alors que la nature du conflit va bien au-delà.]




Lettre ouverte à Mmes Mrs les Députés et Sénateurs (1er novembre)

Par Nicole et Gérard Delépine

Nous vous remercions de l’accueil réservé à nos lettres à l’occasion du vote précédent du projet de loi vigilance santé. La très grande majorité d’entre vous ont accepté de lire nos analyses et plusieurs ont entamé un dialogue direct par mail. Nous nous en réjouissons et vous en remercions.

Nombre d’entre vous sont évidemment contre la privation de liberté prolongée, et donc le pass en particulier, et l’argument du gouvernement qui conduit encore certains à voter la loi serait l’efficacité du vaccin et l’absence de mortalité..

Or le vaccin n’est pas efficace, comme le démontrent les malheureuses expériences des pays les plus vaccinés qui recourent à la multiplication des doses, comme Israël, et l’Angleterre, et dont les malades hospitalisés sont essentiellement des vaccinés, et surtout des doubles vaccinés.

Aucun vaccin n’avait jusqu’à présent nécessité autant de rappels et si rapprochés ! Ni été incapable de prévenir les reprises de l’épidémie.

Le parlement européen veut indemniser les accidents des vaccins anticovid

Les effets secondaires sont nombreux et parfois catastrophiques comme le Parlement européen le reconnaît en proposant un projet d’indemnisation et en listant effets secondaires et décès.

Il relate 5000 décès imputés aux vaccins reconnus

5000 décès sont énormes dans le cadre de l’essai thérapeutique en cours des quatre vaccins utilisés en UE. Le vaccin H1N1 a été retiré après 53 décès.

La vaccination anticovid nécessite au minimum un moratoire mondial pour estimer le bénéfice risque, chez les populations à risque, âgées. Les jeunes qui ne risquent rien du covid paient déjà un lourd tribut à l’expérimentation en cours avec multiplication de myocardites et d’accidents vasculaires cérébraux qui compromettent leur qualité de vie ultérieure.

La gravité de la situation créée en France (entre autres) par les mesures arbitraires, comme le port prolongé du masque dans les écoles et la souffrance majeure des enfants, cachée le plus souvent, aux séquelles prévisibles majeures, la privation de liberté pour pratiquer leur sport favori, et les suspensions des soignants et pompiers qui manquent lourdement dans nos hôpitaux et notre vie quotidienne, nous interpellent tous.
 
Que voulons-nous faire de notre société, un espace à la chinoise, ou bien retrouver ensemble la douceur de vivre à la française ? Sortons de cette saga du covid, d’autant que l’épidémie est terminée comme le démontrent les statistiques du réseau sentinelle. La semaine dernière les infections respiratoires à coronavirus restent inférieures à 5/100000 et les infections respiratoires aiguës (IRA) actuelles sont liées à VRS et à des métapneumovirus.(([1] La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s42), le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale a été estimé à 144 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [128 ; 160]). Ce taux est en augmentation par rapport à la semaine 2021s41 (données consolidées : 114 [102 ; 126]).

Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s42), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3 606 [2 018 ; 5 194] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s41 : 5 [4 ; 7], soit 3 437 [2 474 ; 4 400] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

Surveillance de la grippe : trois prélèvements ont été testés positifs pour un virus grippal depuis la reprise de la surveillance. Il s’agissait de trois cas de virus grippaux de type A. Deux ont été isolés en semaine 38 (mi-septembre) et un la semaine dernière en semaine 42 (mi-octobre).

Surveillance des autres virus respiratoires :circulation de rhinovirus (principalement), de VRS et métapneumovirus observée en semaine 2021s42.
Réseau Sentinelles > France > Surveillance continue (sentiweb.fr) ))

En vous remerciant de prendre en considération ces éléments.

Merci de votre écoute. À votre disposition pour développer, si vous le souhaitez.

Avec nos respects.

DR Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Dr Nicole Delépine pédiatre cancérologue





Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment

[Source : Kla.TV]

Des composants suspects dans les vaccins Covid, affaiblissement du système immunitaire, augmentation de la croissance des cancers ou formations de caillots sanguins en tant que réaction de l’organisme e à la vaccination Covid : voilà ce que révèlent les résultats des enquêtes menées par des pathologistes et des médecins du monde entier. Lors d’une conférence de presse tenue le 20 septembre 2021 à Reutlingen, des images et des faits impressionnants ont été présentés au public. Ces vaccinations par ARNm sont un crime contre l’humanité. Les avocats demandent donc un arrêt immédiat de la vaccination et ils réclament que la Cour pénale internationale de La Haye agisse.

« Mortalité due à la vaccination, aux composants non déclarés des vaccins Covid-19 », tel était le titre de la conférence de presse donnée par des pathologistes, médecins, scientifiques et avocats renommés, le 20 septembre 2021 à Reutlingen. Dans une présentation en direct de plus de trois heures, ils ont mis en évidence les dommages causés par la vaccination.

Leur conclusion est la suivante :

Il faut immédiatement arrêter les vaccinations Covid19 au lieu de les administrer maintenant aux enfants. Selon les avocats présents, le soupçon qu’il s’agit d’un crime a été confirmé.

Un spécialiste de la gestion de la qualité et des risques, le Prof. Werner Bergholz, a analysé les statistiques de la crise du COVID et a déjà présenté ses conclusions à deux reprises à la commission de la santé du Bundestag. Il a dit à la conférence de presse:

« On a un problème. »

« Entre 2000 à 2020, il y a eu à peu près 40 millions de vaccinations par an et environ 20 personnes sont décédées dans un laps de temps très court suite à la vaccination. Cette année, jusqu’au 31 juillet inclus,1 230 personnes sont décédées. »… « Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation. C’est une augmentation dramatique. »

[Ndlr : 20 morts en 20 ans pour 40 millions de vaccinations représentait un mort par an pour 2 millions de vaccinations classiques.
En comparaison, pour les pseudo vaccins anti-Covid, sur environ 18 mois et 240 millions de vaccinés, il y a eu plus de 15 000 décès signalés, ce qui correspond cette fois à 10 000 décès par an pour 160 millions de pseudo vaccinations, soit 125 morts pour 2 millions de personnes et donc environ 125 fois plus de morts avec ces pseudo vaccins anti-Covid qu’avec les vaccins classiques.]

Ce sont les chiffres pour l’Allemagne. En Europe, selon la base de données de l’EMA, on dénombre déjà plus de 14 000 morts en rapport avec la vaccination contre le Covid.

Le médecin légiste Prof. Schirmacher a publié dans le journal médical (Ärzteblatt), qu’il avait autopsié 40 cadavres dans les 14 jours suivant la vaccination contre le Covid.
Dans 30 à 40 % des cas, il a confirmé un lien avec cette vaccination.

Selon le rapport de sécurité de l’Institut Paul Ehrlich, on dénombre en Allemagne 200 effets secondaires graves chez les enfants après la vaccination ainsi qu’un décès.

« L’Agence européenne des médicaments déclare 2 000 enfants gravement blessés et 39 décès en Europe. Toutes ces raisons justifient une évaluation des risques pour les vaccinations contre le Covid », affirme le Prof. Bergholz.
À cet égard, les autopsies ont un rôle important pour déterminer s’il existe un lien entre les décès et la vaccination.

En 1997, l’Institut Robert Koch a également perçu cet impératif et a exigé :

« Les morts subites, vraisemblablement causées par une infection, devraient en tout cas être clarifiées au moyen d’une autopsie. En 2020, la situation s’est inversée: Les autopsies des décédés dus au covid ont été évitées. »

Les pathologistes Prof. Burkhardt et Prof. Lang ont évalué 10 cas d’autopsies après la vaccination contre le Covid et ont conclu qu’il y a un « déchaînement lymphocytaire » en réaction de l’organisme à cette vaccination. Il s’agit d’une attaque massive de lymphocytes, en particulier sur les poumons et le cœur, mais aussi sur tous les autres organes, ce qui entraîne des inflammations et des défaillances d‘organes.
Ces résultats et ces faits inquiétants sont sans équivoque.

Ils indiquent que la vaccination contre le Covid peut avoir des effets secondaires entraînant la mort tels que :

  • Les maladies auto-immunes
  • L’affaiblissement de la réponse immunitaire
  • L’augmentation du cancer
  • Des dommages vasculaires
  • L’agglutinement des globules rouges

Les images provenant de médecins d’un réseau international sont inquiétantes. Ils ont examiné les résidus de vaccins au microscope et des dizaines d’images montrent des particules inorganiques de formes et de tailles diverses que les fabricants n’ont pas encore déclarées.
Certaines de ces particules ont des bords tranchants, souvent triangulaires, d’autres sont longues en forme de chaîne, parfois elles ont une structure interne uniforme ou sont transparentes.

Beaucoup d’entre elles se déplacent toutes seules. Une fois la préparation séchée, certaines ressemblent à une puce informatique.

En outre, des adjuvants et des substances complémentaires ont été trouvés dans les inoculations, tels que l’oxyde de graphène, l’aluminium, le chrome, le nickel et le formaldéhyde, dont certains sont connus pour être cancérigènes. Et là aussi, des questions se posent sur le sens et la finalité de ces substances dans un prétendu vaccin.

Pour des raisons éthiques, scientifiques et constitutionnelles, l’avocat Elmar Becker estime qu’il est indispensable que le lien entre la vaccination et les personnes décédées fasse l’objet de recherches.

« Je n’accepte pas que l’État reste inactif. »

Le professeur Bergholz estime que l’État, l’Institut Paul Ehrlich, l’institut national de contrôle des matériaux et les fabricants de vaccins doivent répondre à ces questions.

Holger Fischer lance un avertissement pressant à tous les responsables :

« Toute personne qui continue à agir ainsi alors qu’elle sait ce dont nous avons discuté ici aujourd’hui est passible de poursuites. Elle ne pourra pas dire qu’elle n’a pas agi intentionnellement ou du moins dans une mesure limitée délibérée, et ce que nous vivons ici s’appelle un crime contre l’humanité : “Extermination” ; « Les gens sont exterminés ». »

Il exige que La Haye fasse une enquête. Les médecins traitants sont appelés à témoigner à la Haye sur les souffrances de leurs patients après les vaccinations.

« Notre gouvernement et les membres de ce gouvernement, ceux de l‘Institut Paul Ehrlich et de l’EMA, s’exposent à des poursuites auxquelles ils n’échapperont pas ».

Les témoignages des médecins doivent être envoyés à :
kontakt@corona-ausschuss.de

Pour regarder l’intégralité de la conférence de presse en allemand, veuillez cliquer ici :
https://odysee.com/@truth-search:42/undeclared-ingredients-of-COVID19-vaccines-pathology-conference:2

Les médias du système refusent catégoriquement de faire leur devoir de contre-voix !
Mais le temps de l’impuissance est révolu: Vetopedia – l’encyclopédie libre des voix dissidentes! Les calomnies médiatiques sont révélées. Sur Vétopédia, la personne incriminée peut rétablir la vérité. Les contre-déclarations non censurées y sont diffusées. Maintenant sur www.vetopedia.org.




Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental… »

[Source : nicolasbonnal.com (wordpress.com]

Par Nicolas Bonnal

Lucifer peut-il encore perdre la partie ? Des députés européens protestent contre les passeports vaccinaux. Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre. Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté, car je suis une personne libre. Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être. » Cerise sur le bateau : « Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. »

Donc des députés se réveillent. Rassurez-vous, ils ne sont que cinq, dont Christine.

WATCH: MEPs Protest Vaccine Passports – OffGuardian (off-guardian.org)

Dans les dernières éditions de Cette semaine dans la nouvelle normalité , nous mentionnions un groupe de députés européens qui ont tenu une conférence de presse où ils s’opposaient à la vaccination obligatoire et au « Pass vert ».

Le 28, cinq de ces mêmes députés ont tenu une autre conférence de presse, et bien que tout cela mérite d’être regardé (intégré ci-dessus), le point culminant est sans aucun doute la députée allemande Christine Anderson qui parle pendant deux des minutes les plus vraies de l’histoire de l’UE :

Partout en Europe, les gouvernements se sont donné beaucoup de mal pour faire vacciner les gens. On nous avait promis que les vaccinations changeraient la donne et qu’elles restaureraient notre liberté… il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Cela ne vous rend pas immunisé, vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux.

La seule chose que ce vaccin a fait à coup sûr était de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des sociétés pharmaceutiques.

J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril, malheureusement il a néanmoins été adopté, et cela montre simplement qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent évidemment l’oppression du peuple tout en prétendant – sans vergogne – le faire pour le bien du peuple.

Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois.

Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent maintenant ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est bien ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce que vous dit un gouvernement.

Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait ou ne fait pas. Cherchez toujours des arrière-pensées. Et demandez toujours « cui bono ? », à qui cela profite-t-il ?

Chaque fois qu’une élite politique pousse un programme aussi fortement et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour obtenir ce qu’elle veut, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas ce qu’elle avait à cœur.

En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même en termes d’effets secondaires possibles à long terme, dont nous ne savons rien à ce jour.

Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre.

Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté car je suis une personne libre.

Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être.




Lettre ouverte du Docteur Hervé STAUB au gouvernement

Par Docteur Hervé STAUB

Le 27 octobre 2021
Docteur Hervé STAUB
68140 MUNSTER

Lettre ouverte à

Monsieur Jean CASTEX Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN Ministre de la Santé
Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs
Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs,

Dans le cadre de la crise actuelle et en tant que médecin, après m’être largement documenté à partir de nombreuses sources toutes vérifiables, je tenais à vous faire part de mes réflexions. Je souhaite que vous les considériez en toute objectivité, en faisant abstraction de toute tendance partisane quelle qu’elle soit, de sorte que vous ne puissiez plus dire ignorer les éléments ci-après exposés.

Depuis maintenant plusieurs mois, en raison de l’épidémie de SARS-COV-2, il a été préconisé comme seul traitement l’injection d’une substance qualifiée à tort de vaccin. Cette substance, selon les règles pasteuriennes, n’est en effet pas un vaccin mais une thérapie génique en phase 3 d’expérimentation, ayant reçu une autorisation de mise sur le marché provisoire. Cette AMM provisoire a été attribuée à la condition de l’absence de tout autre traitement efficace. Or, contrairement à toutes les déclarations officielles, reprises et diffusées par la plupart des médias, des traitements et des moyens de prévention efficaces existent. J’y reviendrai ultérieurement.

Vous n’ignorez pas que les substances injectées, dénommées vaccins, sont expérimentales (cf. le produit de Pfizer qui est en essai de phase 3 jusqu’en janvier 2023). Par conséquent, leur injection est contraire à la loi, si l’on se réfère à la Convention d’Oviedo, à la déclaration d’Helsinki et au Code de Nuremberg. Ce sont des traitements expérimentaux administrés en l’absence de consentement libre et éclairé de la part des personnes injectées. En effet, la majorité des sujets injectés ignore la composition de la soupe « vaccinale ». Plusieurs scientifiques dont le Docteur R. Young, ont mis en évidence dans le « vaccin » de Pfizer, de l’oxyde de graphène, des particules de Trypanosoma cruzi responsable du SIDA et de nombreuses nano particules de divers métaux. Dans le produit d’Astra Zeneca, outre l’oxyde de graphène, les scientifiques ont décelé des particules d’acier inoxydable, du poly-éthylène-glycol (PEG) et de l’alcool éthylénique, substances cancérigènes.

Les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre, contrairement à ce qui est affirmé en boucle par les médias officiels. Vous avez comme exemples flagrants les pays champions de la vaccination » : Israël, la Grande Bretagne, l’Islande, Singapour ou encore Hong Kong.

Par ailleurs, plusieurs agences sanitaires dénoncent l’immunité collective obtenue par la « vaccination » et qui n’est qu’un mythe. Selon ces agences et plusieurs épidémiologistes, « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte ». D’ailleurs, il est à présent bien prouvé que l’immunité obtenue naturellement est nettement supérieure à celle donnée par la « vaccination ».

Ces traitements expérimentaux, qualifiés à tort de vaccin, représentent un danger réel en raison de leur composition, non seulement pour les adultes, mais aussi pour les enfants et les adolescents. Vous trouverez tous les chiffres des décès et des effets secondaires graves liés aux pseudo-vaccins sur les sites officiels du VAERS aux Etats-Unis et d’Eudravigilance pour l’Europe. À titre d’illustration, à la date du 10 septembre 2021, le VAERS a enregistré 14 925 décès sur plus de 3,1 millions d’accidents graves secondaires à l’injection. Il y a également eu 1 614 décès fœtaux chez les femmes ayant reçu un « vaccin » anti-covid, alors qu’aucun décès fœtal n’a été déploré en 2021 chez les femmes enceintes ayant reçu un vaccin anti-grippal.

Pourquoi alors continue t’on de recommander aux femmes enceintes de se faire injecter avec cette thérapie génique ? Pourquoi le déni des traitements peu coûteux dont l’Ivermectine, ayant prouvé leur efficacité sur de larges tranches de la population dans différents pays ? Ainsi, à titre d’exemple pour l’Ivermectine, voici quelques chiffres :

  • ce jour, il y a eu 31 essais contrôlés randomisés. Tous ont établi que l’ivermectine réduisait considérablement les taux de mortalité et d’hospitalisation, ainsi que le risque de contracter le covid. En Inde, dans l’Uttar Pradesh, avec une population de 241 millions d’habitants, au 10 septembre 2021, seulement 11 cas ont été enregistrés et pas un décès. Une réussite similaire fut notée en Indonésie après que le gouvernement ait autorisé en juillet 2021 l’usage du médicament, alors que le variant delta faisait des ravages. Mêmes réussites au Mexique et au Pérou.

Avec de telles preuves qui sont, je le répète, vérifiables, pourquoi ce type de traitement (et il en existe d’autres) n’est-il pas conseillé en France alors qu’il est inoffensif, pourquoi ne parle t’on en boucle que du pseudo-vaccin ? La réponse à cette question est simple : si l’on admettait l’existence de remèdes efficaces, l’AMM temporaire serait annulée et les injections géniques perdraient toute leur raison d’être. Je vous laisse tirer vos propres conclusions.

Pourquoi envisage-t-on d’injecter les enfants et les adolescents alors qu’ils ne constituent pas un facteur réel de transmission du virus (cf. des études de l’INSERM, notamment à propos de l’enfant des Contamines). Par conséquent, les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections, alors qu’en revanche ils ne sont pas à l’abri d’effets secondaires graves. Pourtant certains « experts », niant les faits établis, prétendent que la « vaccination » des enfants serait utile pour contrôler le covid et protéger leurs ainés. Alors qu’il n’en est rien.

Au total, et il est fondamental de le souligner, les pseudo vaccins de Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen sont des agrégats complexes de nano particules d’oxyde de graphène, composés de divers nano éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm, provenant de cellules animales et de cellules fœtales avortées. Ces ingrédients sont hautement magnéto-toxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique. Ceci a déjà entrainé de graves accidents (estimés à plus de 500 millions de par le monde) et / ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

En conclusion, il faut rejeter toute obligation « vaccinale » pour quelque raison que ce soit, en particulier chez les enfants, dont on ignore toutes les répercussions à moyen terme et a fortiori à long terme.

En revanche, il faut préconiser la stimulation des défenses immunitaires naturelles et des actions préventives, en plus des gestes barrières.

Pourquoi n’en parle-t-on jamais sur les médias officiels, pourquoi ne voit-on pas sur les plateaux télé officiels les scientifiques de haut niveau (et ils sont nombreux) pouvant prendre le contre-pied de ceux qui s’y retrouvent invariablement et qui n’ont d’autre discours que celui de la « vaccination » ?

[Note de Joseph Stroberg : parce que le but réel de cette campagne prétendument « vaccinale » n’est pas la protection contre une maladie dénommée bizarrement « Covid-19 » et dont les symptômes ont été définis de manière suffisamment large pour englober différentes causes autres qu’un virus SRAS-CoV-2 qui n’a par ailleurs jamais été physiquement et réellement isolé (voir ici, ici, ici et ici).
Le but réel est plutôt exposé dans les articles suivants :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
et
Obsession vaccinale et transhumanisme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm.]

Probablement, pour un certain nombre d’entre vous, Mesdames et Messieurs, je vais être qualifié de « complotiste ». Que cela ne tienne, j’en serai honoré.

Mais pour les autres qui ne se voilent plus la face, je les laisse libres de leurs réflexions et des conclusions qu’ils en tireront en toute honnêteté.

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.

Docteur Hervé STAUB




Le futur confinement du changement climatique

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : John Kerry, l’envoyé spécial du président des États-Unis pour le climat, prend la parole lors d’une conférence de presse à Séoul, en Corée du Sud, le 18 avril 2021. (Ambassade des États-Unis à Séoul via Getty Images)]

Par BILL TUFTS

On nous annonce déjà que le changement climatique risque d’amener une nouvelle crise sanitaire majeure. Comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été si impitoyable sur la question du Covid-19, on pourrait envisager que, peut-être, on lui confiera la gestion de la question du climat.

La brigade d’élites mondialistes, soutenue pas le Forum économique mondial de Davos, les Nations unies et autres organisations du « wokisme » voient une belle occasion de créer la même hystérie et la même panique autour du changement climatique qu’autour du Covid-19.

L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. Les alarmistes du changement climatique considèrent les émissions de CO2 comme un événement apocalyptique qui est en passe de détruire le monde au cours de la prochaine décennie. Ainsi, ils se sentent justifiés de prendre toutes les mesures possibles pour contrôler ce changement.

Cependant, la raison de la baisse des émissions à la suite du confinement du Covid-19 provient de l’énorme dévastation causée par l’arrêt de l’économie. Au Canada, la chute du PIB a été de 18 % seulement au cours des deux premiers mois du confinement au début de 2020.

Le Forum économique mondial a indiqué que le confinement avait entraîné une baisse des émissions mondiales estimée à 8 % en concluant que c’était un bon pas vers la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat : « Nous devons réaliser une telle baisse chaque année au cours des 15 prochaines années pour atteindre l’objectif de 1,5 °C fixé par l’accord de Paris. »

Une partie de la dévastation économique créée par le confinement se manifestait en une importante réduction du déplacement par automobile et les transports publics. Comme les gens travaillaient à la maison et ne se rendaient pas au lieu habituel de leur travail, ils utilisaient beaucoup moins ces moyens de transport, ce qui a permis de réduire considérablement les émissions. Dans de grandes villes comme, par exemple, Calgary, les taux d’inoccupation des immeubles de bureaux dans les centres-villes étaient à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression des années 1930.

Aujourd’hui, les alarmistes du changement climatique se dirigent vers une nouvelle conférence dans le cadre de l’accord de Paris – la COP26 qui se tiendra à Glasgow, en Écosse, à partir du 31 octobre. Elle réunira 30 000 personnes venues du monde entier – elles consommeront une quantité monstrueuse de carbone et émettront d’énormes quantités de CO2 pour s’y rendre. Les élites des gouvernements, de la finance et des sociétés mondialistes seront présentes pour expliquer que les personnes ne participant à leur conférence devront réduire considérablement leur utilisation de combustibles fossiles et leur consommation d’énergie. Ils diront au monde qu’il a besoin de réductions annuelles d’émissions, l’équivalent de ce que nous avons vu pendant le confinement du Covid-19.

Toutefois, il est intéressant de noter que les mesures prévues par l’accord de Paris ciblent surtout les pays occidentaux, tandis que la Chine – le principal pollueur mondial – pourra continuer d’accroître ses émissions et stimuler son développement en augmentant la production d’énergies fossiles bon marché jusqu’au moins 2030. Il est aussi intéressant de constater que les 30 000 personnes présentes à Glasgow seront exemptées des exigences prévues par le passeport vaccinal.

Certaines organisations climatiques nous proposent des stratégies et des tactiques qu’elles comparent à celles des temps de guerre. Comme dans une guerre, toutes les actions drastiques nécessaires pour gagner seront envisagées. Un bon nombre de ces recommandations ont déjà été formulées par le Forum économique mondial au cours des dernières années. Elles incluent, par exemple, l’arrêt de la consommation de viande, en affirmant que les flatulences des vaches détruisent le monde. Et les mesures qu’ils ont prises ont déjà fait grimper les prix des produits carnés dans certains pays.

Pour combattre le Covid-19, des lois accordant aux autorités des pouvoirs spéciaux similaires à ceux octroyés sous menace de guerre ont été mises en place dans de nombreux pays. Les croisés du changement climatique nous disent que nous avons besoin de mesures fortes et similaires à celles du Covid-19 pour mener une nouvelle guerre. Au Canada, l’ancienne Loi sur les mesures de guerre a déjà changé de nom pour devenir la Loi sur les mesures d’urgence et elle pourrait maintenant être renommée en la Loi sur les mesures relatives au changement climatique. Une telle loi permettra aux bureaucrates et aux grandes sociétés de mettre en place des mesures et des contrôles similaires à ceux que nous avons vus par rapport au Covid-19.

Michelle Stirling, directrice de la Friends of Science Society, a fait des recherches sur certains projets de guerre contre le changement climatique qui comprennent des mesures telles que la limitation des rassemblements et des voyages. Nous avons déjà vu des cas de prêtres envoyés en prison pour avoir tenu des services religieux et la fermeture de nombreux lieux de travail, ce qui obligeait les employés à travailler à domicile. Le télétravail fait partie des projets : les employés restent chez eux et n’ont pas besoin d’utiliser les moyens de transport pour se rendre au bureau. Bien sûr, il y aura des couvre-feux pour les voitures limitant les heures d’utilisation ou le nombre de kilomètres que vous pourrez parcourir chaque mois. Pour ceux qui ne font pas partie de la classe privilégiée, les voyages aériens internationaux seront également limités. À cause de la pandémie du Covid, les voyages aériens internationaux ont chuté de 60 % en 2020. C’est une tendance que les guerriers du changement climatique voudraient bien maintenir.

Une version du passeport vaccinal pourrait être un nouvel outil dans la lutte contre le changement climatique. Utilisé dans ce but, il permettrait de suivre constamment la consommation d’énergie des citoyens du monde. Autre nouveauté : les pays développés envisagent de créer des monnaies numériques mondiales qui permettront de suivre les transactions des gens et de les mesurer en fonction de leur empreinte carbone. MasterCard a déjà contribué au développement d’une carte de crédit spéciale, appelée DO Black. Elle permet de gérer vos dépenses en tenant compte de leur impact sur les émissions de carbone. Lorsque votre limite personnelle est atteinte, le crédit se ferme pour toute autre transaction.

Lorsque la COP26 arrivera à sa fin, il sera intéressant de voir combien d’actions seront prises et recommandées par les élites lors de cette conférence. Bien entendu, en tant que généraux dans la guerre contre le changement climatique, elles seront exemptées de toute mesure imposée à la population. En tenant compte de ce qui se passe actuellement en Chine avec le crédit social – un système de surveillance totale des citoyens qui leur attribue des notes continuellement mises à jour selon leur « conduite » – les nouvelles règles proposées à la COP26 pourraient ressembler à un système de crédit social lié au changement climatique. Un rapport de la Deutsche Bank a déjà suggéré qu’une « éco-dictature » devrait être nécessaire pour mettre en application les mesures à prendre – probablement sous le contrôle strict des élites, des Nations unies et des politiciens « woke ».

Entretemps, les élites ont créé l’hystérie de masse et on nous dit que tout cela va se terminer dans une boule de feu apocalyptique de changement climatique…

[À propos de l’auteur]

Bill Tufts est un commentateur politique canadien. Il est le fondateur de Fair Pensions For All, un groupe de plaidoyer qui se concentre sur les questions de retraite et de rémunération dans le secteur public, et il est l’auteur du livre Pension Ponzi.




Alain de Benoist : « Aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin »

[Source : breizh-info.com]

Nous n’avions pas eu l’occasion de recueillir les analyses d’Alain de Benoist au sujet de la percée d’Éric Zemmour dans la bataille présidentielle, mais aussi de son affrontement probable avec Marine Le Pen et Emmanuel Macron notamment. C’est chose faite, ci-dessous.

Nous en avons également profité pour l’interroger sur la continuité de la politique de tyrannie sanitaire mise en place par les autorités, mais également sur le rôle de l’Europe centrale dans le sauvetage de la civilisation européenne.

Alain de Benoist, tout d’abord, quel regard portez-vous sur l’ascension médiatico-politique d’Eric Zemmour à quelques mois de l’élection présidentielle ? Cette ascension n’est-elle pas le signe de l’échec définitif du Rassemblement national en politique ?

Toute campagne présidentielle en France a ses coups de théâtre et ses événements imprévus. Cette année, c’est le phénomène Zemmour. Je le regarde avec curiosité – mais aussi avec détachement, tant je reste convaincu qu’aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin.

Éric Zemmour est un ami, dont je connais la vaste culture politico-historique et dont j’admire la posture réfractaire et la pugnacité, ce qui ne m’empêche d’être en désaccord avec lui sur des points nombreux (son jacobinisme, sa critique de l’idée d’Empire, son parti-pris sans nuances pour l’assimilation, son hostilité aux prénoms régionaux, pour ne rien dire de la question des « racines chrétiennes »). Son ascension de « presque candidat » a été remarquable, puisqu’il semble être aujourd’hui en mesure d’empêcher Marine Le Pen d’arriver en tête au premier tour, voire de l’empêcher d’être présente au second. Cela dit, à six mois du scrutin, rien n’autorise à faire un pronostic. Zemmour peut très bien continuer à progresser, comme Macron en 2017, ou s’effondrer brusquement, comme Chevènement en 2002.

Au départ, la candidature Zemmour a été soutenue, d’un côté par des républicains d’accord avec Marine Le Pen sur l’immigration, mais qui trouvent trop extrémistes ses positions en matière sociale, et par une farandole de déçus du Rassemblement national qui lui reprochent au contraire d’avoir excessivement voulu se dédiaboliser au risque de « banaliser » son discours, leur grand objectif étant, non pas d’empêcher la réélection de Macron, mais de « dégager définitivement Marine ». Le problème est évidemment qu’il est difficile de séduire durablement des gens qui trouvent cette dernière trop radicale et d’autres qui trouvent qu’elle ne l’est pas assez…

Je pense par ailleurs que l’on aurait tort d’enterrer trop vite Marine Le Pen. En dépit de l’état lamentable du RN (mais à une présidentielle, on vote pour une personne, pas pour un parti), elle reste la candidate préférée des classes populaires. Zemmour, tout à son désir de « réinventer le RPR », dit vouloir réconcilier les classes populaires et la « bourgeoisie patriote » (ou fusionner la sociologie de la Manif pour tous et celle des Gilets jaunes), mais pour l’instant il ne touche pratiquement pas les premières, qui le connaissent en outre assez peu. Il l’a indirectement reconnu lorsqu’il a déclaré, le 22 octobre, que « Marine Le Pen n’a pour elle que des classes populaires, elle est enfermée dans une sorte de ghetto ouvrier et chômeur, qui sont des gens tout à fait respectables et importants, mais elle ne touche pas les CSP+ et la bourgeoisie ». Zemmour, lui, connaît surtout du succès auprès des anciens électeurs de Fillon et de Bellamy, des CSP+ et des cathos versaillais, c’est-à-dire auprès de cette petite et moyenne bourgeoisie qui craint pour son avenir et son identité parce qu’elle s’inquiète de son insécurité culturelle, mais très peu d’une insécurité économique qui est au contraire l’une des préoccupations majeures d’une « France périphérique » qui, comme l’a dit Marine Le Pen, « n’acceptera pas d’être sacrifiée à une vision ultralibérale de l’économie ».

Il y a en fait deux façons bien différentes de concevoir la formation d’un nouveau bloc historique à vocation hégémonique : l’« union des droites » et ce que Christophe Guilluy ou Jérôme Sainte-Marie (Bloc contre bloc, 2019, Bloc populaire, 2021) appellent le « bloc populaire ». La première s’appuie sur un clivage droite-gauche qui n’a plus grand sens aujourd’hui, l’autre sur un rapport de classe qui s’affirme au contraire de plus en plus, au fur et à mesure que diminue le pouvoir d’achat et que se généralise la précarité. Ces deux manières de voir ne sont guère conciliables. A un moment où toutes les institutions qui fabriquaient hier du consentement sont entrées en état de crise systémique, il est difficile de prendre en compte les revendications des classes populaires, confrontées à la fois à la misère sociale et une immigration devenue immaîtrisable, et qui savent très bien que la question de l’identité nationale est indissociable de la question sociale, tout en s’employant à donner des gages aux patrons du CAC 40.

Attendons donc encore six mois. On saura alors si Zemmour est parvenu à autre chose qu’à faire réélire Macron.

Alain de Benoist

La politique tyrannique (officiellement sanitaire) mise en place par les autorités françaises se poursuit. La population française, dans sa majorité, semble avoir capitulé, tout du moins accepté, d’être réduite à présenter un code barre et une preuve de vaccination pour dîner en ville, aller au cinéma, etc. La soumission généralisée d’une population est-elle de tendance à vous inquiéter ?

Vous oubliez quand même qu’au cœur même de l’été dernier, à une période de l’année où aucun syndicat n’a jamais osé organiser une manifestation, on a vu des centaines de milliers de Français défiler semaine après semaine pour protester contre le passe sanitaire. Du jamais vu.

D’un autre côté – je crois que nous en avons déjà parlé – il est clair qu’un grand nombre de gens sont prêts à abandonner leurs libertés quand ils croient leur sécurité ou leur santé menacée. La peur est le moteur premier de la servitude volontaire. Mais ce que vous interprétez en termes de soumission peut aussi s’interpréter en termes de résilience ou de pouvoir d’adaptation, sans que cela empêche la colère de gronder. La soumission généralisée, personnellement, je la verrais plutôt dans l’acceptation par les masses d’un système capitaliste qui est en passe de les déposséder de leur humanité.

Alain de Benoist

Vous avez publié récemment « Survivre à la désinformation », livre qui compile et reprend vos entretiens donnés à Nicolas Gauthier sur le site « Boulevard Voltaire ». Comment s’informer correctement dans une société ouverte qui produit de l’information à chaque seconde ?

Il y a évidemment des sources d’information qui sont meilleures que d’autres. Inutile d’en faire l’énumération (Breizh-Info y aurait bien sûr sa place). Mais l’important n’est pas tant de savoir quelle quantité d’informations on absorbe que de savoir en évaluer l’importance. Le drame est que les médias actuels, du fait même de leur structure, interdisent de plus en plus de hiérarchiser les informations, et surtout d’en comprendre le sens et la portée. Montrer que les événements susceptibles d’avoir une véritable portée historique ne sont pas nécessairement (et sont même rarement) ceux dont on parle le plus est précisément l’un des objectifs de ce recueil.

Alain de Benoist

Finalement, quelle différence peut-on faire entre la personne sous-informée – c’est-à-dire celle qui ne regarde que le JT de 20 h ou ne lit que quelques extraits d’un quotidien régional – et la personne qui a la tête dans l’information toute la journée, à ne plus pouvoir prendre du recul dessus ?

En fin de compte aucune. La première ne sait pas grand-chose, la seconde a entendu parler de tout mais n’y comprend rien. L’excès d’informations est parfaitement équivalent à l’absence d’informations, du fait d’un phénomène de contre-productivité dont Ivan Illich a donné bien d’autres exemples.

Alain de Benoist

Pour s’élever un peu et évoquer l’Europe et son avenir, comment analysez-vous les offensives de plus en plus violentes des commissaires de Bruxelles vis-à-vis des pays d’Europe centrale, Pologne et Hongrie en tête ? Pensez-vous que l’Union européenne puisse possiblement exploser, ou se scinder en deux ?

La Commission de Bruxelles ne supporte pas ce qu’elle présente invariablement comme des « atteintes à l’Etat de droit ». Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’elle est l’un des vecteurs d’une idéologie dominante qui voit dans l’Etat de droit un moyen de soumettre le politique à l’autorité des juges et la souveraineté populaire à la morale des « droits de l’homme ». Les pays de l’Est, de leur côté, ont découvert que le « monde libre » qui les avait fait rêver à l’époque communiste est d’autant moins un exemple à suivre qu’il peut aussi constituer une menace. Dans la polémique que vous évoquez, la Pologne et la Hongrie ne sont pas isolées puisque le 7 octobre, pas moins de douze pays-membres (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) ont tenté de faire adopter un texte visant à ce que la Commission finance la construction de murs ou de clôtures de barbelés aux frontières extérieures de l’Union. Cette demande a bien entendu été rejetée, mais elle n’en reste pas moins significative.

On pourrait certes voir dans le groupe de Visegrád l’amorce d’une « autre Europe ». C’est un espoir raisonnable, mais il ne faut pas se dissimuler que les pays qui en font partie sont loin d’être d’accord sur tout. En matière de politique étrangère, par exemple, la Pologne continue de s’aligner aveuglément sur les Etats-Unis et professe une russophobie que la Hongrie ne partage pas. Il ne faut pas oublier non plus que la Pologne a beaucoup à perdre dans une épreuve de force avec l’Union européenne, car elle est actuellement la principale bénéficiaire des fonds européens. Plus qu’à une explosion, j’ai tendance à croire à une implosion de l’UE qui aboutirait à une dislocation de fait.

Alain de Benoist

En France, dans cette hypothèse, nous nous retrouverions alors sans doute dans le camp occidental… c’est-à-dire pas franchement le camp des défenseurs de l’Europe civilisation… Que faire alors demain pour maintenir les ponts fondamentaux ?

Le risque de se retrouver dans le « camp occidental » me semble surtout considérable dans le bras de fer qui oppose actuellement Washington et Pékin, et qui pourrait très bien aboutir un jour ou l’autre à un conflit armé entre une hyperpuissance américaine déclinante et une puissance montante chinoise qui ne cesse de s’affirmer. Les Etats-Unis manœuvrent déjà pour reconstituer contre la Chine une « coalition occidentale » semblable à celle qui visait à contenir l’Union soviétique à l’époque de la guerre froide. En cas de guerre, la plus grande erreur pour les Européens consisterait à s’aligner sur Washington, au lieu d’adopter pour le moins une attitude de neutralité. L’Europe n’a pas vocation à faire la guerre aux Chinois !

Alain de Benoist

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)

[Source : @DocteurGonzo4]

Par Dr Gonzo

La Santé des français mérite mieux que cette association de malfaiteurs.

Initialement, l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) appartenaient à chaque État membre. Un règlement de 1993, remplacé par un règlement de 2004 régulièrement modifié a institué une agence d’évaluation, l’Agence européenne des médicaments (@EMA_News). L’EMA se compose d’un conseil d’administration de 36 membres dont la plupart représentent les États membres (le plus souvent le directeur ou président de leur agence nationale). Le conseil d’administration nomme un directeur exécutif entouré de 7 comités d’experts. L’Agence fait partie de la vaste catégorie des organismes plus ou moins décentralisés, aux dénominations elles-mêmes variables (agence, office, observatoire, etc.) créées pour conseiller la Commission européenne sur des sujets techniques. La Commission, en sa qualité d’institution politique, reste libre de suivre ou non ces conseils, et octroie l’AMM. Mais l’Agence, disposant de la compétence d’expert, surtout dans le domaine médical, joue un rôle préparatoire crucial. Ça semble invraisemblable mais le budget de fonctionnement de l’EMA (346 millions €) provient à 85,70% de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et a seulement 14,29% de financements publics de l’UE.

PR_Dec_Agencies (europa.eu)

En tant qu’agence de la Commission Européenne, les obligations de l’EMA en matière de transparence et d’accès aux documents découlent de directives stipulant que tout document détenu par l’EMA dans le cadre de ses activités est de fait un document public. Dans les faits, la revue Prescrire a montré que l’EMA refuse de communiquer de nombreux documents et que ceux sur qui sont transmis, le caviardage intensif y est la règle.

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ? – Formindep

Son manque de transparence a été dénoncé lors de son refus d’indiquer aux députés sur quelles bases les laboratoires à l’origine des vaccins #Covid diffusés dans l’UE ont été choisis, et le montant des prix payés pour ces vaccins.

Achats européens des vaccins : un secret très bien gardé (franceinter.fr)

La “prévisibilité” de l’EMA est si grande que l’industrie étatsunienne nous l’envie, notamment le think tank néoconservateur Pacific Research Institute, financé par l’industrie des biotech, et qui milite pour toujours moins d’intervention des pouvoirs publics. Et pour cause. 

Dès le lendemain de son départ de l’EMA en 2011, le Directeur exécutif, Thomas Lönngren, rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’”influenceur de premier plan“.

Scandale à l’Agence Européenne du Médicament – Formindep

Le pantouflage ou « revolving doors » est un fléau. Dans un secteur de la santé à la fois très lucratif et très réglementé, les firmes ont un grand intérêt à placer leurs hommes dans les agences publiques et à mettre en place cette stratégie d’entrisme.

L’EMA ou le Royaume des Bisounours – Formindep

L’italien Guido Rasi a ensuite été nommé directeur de l’EMA en 2011, puis forcé a démissionné par la Justice européenne pour conflit d’intérêt non déclaré, avant d’être renommé à nouveau directeur de l’EMA en 2015.

Head of European Medicines Agency suspended – POLITICO

L’actuel directrice, Emer Cooke, a passé 7 ans au sein de l’EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharma en UE qui organise des rencontres au Parlement européen avec des représentants de GSK, Roche, Novartis, Pfizer…

Lobbying : comment l’industrie pharmaceutique prend d’« assaut » les institutions européennes – Basta!

Un audit européen de la Cour des comptes de 2012 confirme de graves problèmes de conflits d’intérêt au sein de l’EMA (et de 3 autres agences : l’EASA (sécurité aérienne) l’EFSA (sécurité alimentaire) et l’ECHA (sécurité vis à vis des produits chimiques)).

Management of conflict of interest in selected EU Agencies. Special Report No 15, 2012 – Publications Office of the EU (europa.eu)

Le rapport pointe de graves irrégularités, la direction de l’EMA favorisant la présence, dans les comités scientifiques, d’experts en conflit d’intérêts avec les compagnies pharmaceutiques dont ils évaluent les produits.

Dans un rapport, la Cour des Comptes de l’UE estime que les agences de l’UE qu’elle a auditées « ne géraient pas les situations de conflit d’intérêts de manière appropriée » – Europaforum Luxembourg – Octobre 2012 (public.lu)

Le @canardenchaine a révélé que certains experts de l’EMA sont salariés ou possèdent des actions dans les entreprises pharmaceutiques dont ils sont censés évaluer les produits lucratifs.Des lanceurs d’alerte ont dénoncé ce problème :

« Depuis des mois, notre entreprise rémunère discrètement un expert pour qu’il fasse le lobbying de notre produit. La rémunération est exorbitante, mais le plus grave est qu’il officie comme expert à l’EMA. »

Un médecin, ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, dénonce les pratiques de ses employeurs | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

Dans l’affaire du Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales a mis en cause plusieurs experts français, qui siégeaient à l’Agence européenne du médicament, dans l’interdiction tardive du Mediator et le drame sanitaire consécutif.

Mediator : une enquête sur d’éventuels conflits d’intérêt à l’Agence européenne du médicament (lemonde.fr)

L’EMA propose elle même en toute opacité aux firmes pharmaceutiques des «conseils scientifiques» facturés pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’AMM, notamment conditionnelles (AMMc).

Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes

Or, les médicaments mis sur le marché de manière accélérée le sont souvent au détriment de la qualité de l’évaluation clinique. Pire, cette évaluation n’est pas suffisamment complétée non plus après commercialisation.

Des médicaments mis sur le marché avec très peu d’évaluation

Un rapport de 2017 note «une acceptation générale de la corruption» au sein de l’EMA et :

-une acceptation générale de la corruption
-des structures de gestion inefficaces
-des mécanismes de financement inappropriés
-une répartition inégale des ressources

EU Study on Corruption in the Healthcare Sector 2017 (globalcompliancenews.com)

« L’industrie pharmaceutique tient fermement les rênes d’une vaste machine de lobbying, richement dotée, qui dispose d’un accès presque systématique aux décideurs de la Commission […] et des institutions bruxelloises, y compris l’EMA »

Un rapport pointe l’influence excessive du secteur pharmaceutique à Bruxelles (lemonde.fr)

En juin 2020, l’EMA prend la décision d’autoriser le remdesivir de Gilead.

La revue Prescrire commente : “Une fois de plus, l’EMA a manqué de rigueur dans sa relation avec les firmes, aux dépens des patients et soignants, laissés dans l’incertitude.”Au mois d’octobre, suite à cette décision a priori insensée, la Commission signe un contrat mirobolant avec Gilead, alors que l’industriel vient de prendre connaissance de la dernière étude de l’OMS qui invalide l’efficacité de son traitement.

Le scandale Remdesivir, ou comment l’Europe s’est fait délester de plusieurs dizaines de millions d’euros | L’Humanité (humanite.fr)

La Santé des français mérite mieux qu’une dictature sanitaire, elle mérite un pôle public des médicaments, une expertise publique transparente et indépendante, un processus décisionnel démocratique, et des politiques de santé intelligentes, bienveillantes et non-coercitives. 




Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning

[Source : Kla.TV]

Le médecin et officier de réserve Heiko Schöning prouve dans son nouveau livre « GAME OVER » les machinations criminelles autour du COVID-19. Comme dans un copier-coller, dix-huit ans plus tôt, les auteurs d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax. Les détails criminels et le pouvoir de déduction de Heiko Schöning l’ont conduit à la conclusion suivante : les mêmes entreprises et clans sont encore et toujours impliqués dans ce jeu diabolique. Même l’ex-Président Trump y joue un rôle… Dans son interview exclusive avec Kla.TV, Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives.



Transcription :

Heiko Schöning :

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où il y avait déjà des mensonges de guerre qui ont mené des millions de personnes à la mort, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia ! Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »

Présentatrice :

Heiko Schöning, fondateur de la Commission d’enquête de l’affaire Covid et vice-président de la « World Freedom Alliance », vient de publier un nouveau livre. Le titre est « Game Over ». Fidèle aux détails tout en étant compréhensible, il prouve sur environ 500 pages que le COVID-19 est un crime planifié. Dix-huit ans plus tôt, les auteurs du crime d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax (ANTRAX-01), comme s’il s’agissait d’un copié-collé.

Kla.TV a fait une émission au sujet de l’attaque à l’anthrax (en français :/www.kla.tv/16694). En 2001 également, la panique a été attisée, des lois d’urgence ont été promulguées et des vaccinations de masse ont été effectuées. Le suicide étrange de l’unique coupable désigné, le Dr Bruce Ivins, et son lien avec le fabricant du vaccin contre l’anthrax, Emergent BioSolutions, ont attiré l’attention du médecin Schöning. Cela l’a incité à mener des années de recherches discrètes. Les connaissances qu’il en a tirées lui ont permis de prédire publiquement en septembre 2019 qu’une autre panique liée aux agents pathogènes était à prévoir pour 2020 – quelques mois avant le COVID-19.

Les détails criminels et son pouvoir de déduction l’ont conduit à la conclusion suivante : Emergent BioSolutions et ses décideurs préparent des choses bien plus grandes. Mais le crime organisé joue le tout pour le tout et perdra la partie lorsque les criminels seront dévoilés, ce sera « Game Over » pour eux !
Dans son interview exclusif avec Kla.TV, M. Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives. Aidez-nous à faire connaître les criminels qui se cachent dans l’ombre, en diffusant cette interview brûlante d’actualité !

Intervieweur :

M. Schöning, bonjour !
Je suis heureux que nous puissions faire aujourd’hui cette interview ensemble. Il sera question aujourd’hui de votre nouveau livre, qui s’appelle « Game Over ». Un livre qui cite les auteurs et les actes, c’est ainsi que vous l’avez décrit et vous avez dit au préalable que vous donneriez des indications pour que les gens puissent savoir de quoi il s’agit.
Mais tout d’abord, faisons un peu connaissance avec M. Heiko Schöning. Vous n’êtes pas seulement un auteur mais aussi un médecin et donc du côté gagnant du système actuel. En termes de réputation et d’avantages financiers, vous avez donc les bonnes cartes en main.
Qu’est-ce qui pousse une personne comme vous à se dire maintenant c’est « Game Over » et il y a peut-être eu un événement clé qui vous a conduit à suivre ce chemin, qui n’est pas facile ?

Heiko Schöning :

Oui, merci beaucoup ! Eh bien, nous sommes en septembre 2021 et ma motivation de base n’est pas seulement la profession de médecin, mais c’est aussi le fait que je suis un père, donc que j’ai la responsabilité de mes enfants, et en plus de cela, je suis aussi un officier de réserve dans les forces armées allemandes et j’ai aussi prêté serment à un moment donné pour protéger les gens. Nous devons simplement savoir que ce que ce qui se passe est un crime organisé mondial.

Intervieweur :

Et pour en revenir à cet événement clé, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous a préoccupé, où vous avez déduit que quelque chose ne colle pas ?

Heiko Schöning :

Oui exactement, Je vais vous dire simplement, comment j’en suis arrivé à cette constatation. J’ai moi-même travaillé sur trois continents au cours de ma formation. J’ai étudié à la Charité de Berlin, ainsi qu’en Australie et en Angleterre. J’ai traité des suicides au paracétamol sur trois continents, c’est-à-dire des personnes qui ont délibérément pris une surdose de l’analgésique paracétamol. Et en 2008, il y a eu un suicide présumé d’un assassin qui se serait tué avec du paracétamol et c’était le criminel de l’arme biologique anthrax, de septembre 2001. Et pour faire court, j’ai suivi cette affaire parce que je me suis dit : « Attends une minute, un tel microbiologiste se tuerait avec du paracétamol ? » C’est comme si un pilote de Formule 1 tel que Sebastian Vettel, prenait un vélo pour foncer contre un arbre avec l’intention de se tuer. J’ai alors fait des recherches plus approfondie et j’ai vu que ce suicide n’en était en fait pas un, et ainsi j’ai découvert une chose après l’autre.

Intervieweur :

Donc c’est quelque chose où vous avez dit que d’une certaine façon ça ne peut pas être, ce n’est pas plausible, le paracétamol n’est pas une drogue particulièrement puissante pour se tuer. Avec l’exemple du vélo, c’est facile à comprendre, et au cours de votre carrière de conférencier, il est également arrivé qu’on vous a empêché de parler.
J’ai appris qu’en septembre 2020, vous avez été interrompu et arrêté à Hyde Park à Londres, au célèbre Speakers Corner, alors que vous vouliez faire un discours. Il s’agit d’un endroit, comme nous l’avons appris en cours d’anglais, où depuis 900 ans, même les plus grands dissidents et critiques du gouvernement ont pu dire ce qu’ils voulaient sans en être empêchés. Est-ce un signe d’une société et d’un gouvernement hyper nerveux ?

Heiko Schöning :

C’est malheureusement le signe d’un crime mondial et vous avez raison, cette bonne tradition de 900 ans de liberté d’expression au Royaume-Uni, à Londres, à Speakers Corner, a pris fin le 26 septembre 2020 lorsque j’ai été arrêté, emmené avec des menottes parce que j’ai parlé, sur un banc, tout à fait pacifiquement, devant des gens, au sujet du Covid-19, donc sur le Coronavirus. Et ces images ont fait le tour du monde. Et ce que j’ai dit là c’étaient des informations importantes, c’étaient des preuves qu’il n’y a pas de virus mortel. Il s’agit plutôt d’une grippe saisonnière normale et toutes les mesures qui existent, là-derrière se cache un crime organisé mondial.

J’ai dit cela aussi là-bas et j’ai été arrêté, en toute illégalité. Cela a fait le tour du monde, mais bien sûr, le contenu est beaucoup plus important, et comme je viens de le dire, une fois j’ai résolu un suicide, l’affaire du meurtrier de l’anthrax de 2001 qui se serait soi-disant tué avec du paracétamol et qui a ensuite été stigmatisé comme seul coupable, alors j’ai rassemblé les preuves pour dire : Premièrement, cet homme ne s’est pas suicidé, et deuxième, il n’est pas le seul responsable.

Il était employé d’Emergent BioSolutions, une entreprise américaine de vaccins qui avait le monopole du vaccin contre l’anthrax, 20 ans auparavant.
Ces attaques qui ont tué des gens ont déclenché une telle panique ! Comme aujourd’hui c’est le Covid, Covid, Covid, à l’époque c’était l’anthrax, l’anthrax, l’anthrax.

Et quel est le lien maintenant ? Le lien est qu’aujourd’hui, la plupart des vaccins sont également produits à nouveau – comme je peux le prouver – par cette société criminelle Emergent BioSolutions. Nous connaissons donc les marques AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Novavax et autres. Et pour toutes ces marques, c’est la société Emergent BioSolutions des États-Unis qui produit le vaccin pour eux.

Et le Dr. Bruce Ivins était un employé direct d’Emergent BioSolutions de 2000 à 2002, au moment du crime. Cette société a gagné des milliards de dollars avec ça et aujourd’hui à nouveau avec le Covid-19. C’est juste un bref résumé. C’est ce que j’avais essayé de dire à Londres. J’ai été invité à prendre la parole devant des dizaines de milliers de personnes à Trafalgar Square, à Londres. Au milieu de cette manifestation pacifique, la police l’a interrompue alors que j’avais le micro et quelques heures plus tard – comme vous l’avez déjà dit – j’étais encore une fois arrêté à Speakers Corner.

Intervieweur :

Et c’est peut-être cet événement qui vous a motivé à continuer à travailler sur votre livre. C’est de cela que nous voulons parler. Nous en arrivons au livre « Game Over ». Dans votre interview avec la chaine « Auf1 », vous avez dit que vous avez été empêché de parler à plusieurs reprises lors de manifestations dans toutes sortes d’endroits, et pas seulement à Speakers Corner. Finalement, votre livre comprend 500 pages – presque 500 pages. Et puis je lis ici que c’est le premier volume. Donc, de votre point de vue, il y a encore beaucoup de choses qui doivent être dites, même si on ne veut pas les entendre. Parlez-nous en.

Heiko Schöning :

Je ne peux que dire très sérieusement une chose : c’est que ce nous vivons actuellement – le Covid – est une supercherie, une illusion. Et cela dans le monde entier. C’est très sérieux. Et de nombreuses personnes sont déjà mortes à cause de ces mesures. Avec les mesures de confinement, des gens meurent en Inde et aussi en Afrique parce qu’ils sont affamés. Nous voyons ici aussi, bien sûr, les mesures répressives, notamment en matière d’économie. Et c’est, pour ainsi dire, l’objectif principal, c’est-à-dire l’économie de taille moyenne, qui est détruite, par un crack économique délibérément provoqué. Et quel est le prétexte, le stratagème ? C’est un virus, qui a été épandu – j’avais déjà averti en septembre 2019 lors d’une longue interview – virus déversé en septembre 2019. Et à ce moment-là j’ai pu prédire que des criminels planifiaient pour 2020 une grande panique avec des agents pathogènes. C’était 4 mois avant le début de la crise du Covid.

Intervieweur :

C’est intéressant, donc ça veut dire que vous étiez capable de prédire quelque chose qui s’est réellement produit ? Quel genre de preuve circonstancielle aviez-vous pour pouvoir dire ça ?

Heiko Schöning :

Oui, cette interview de septembre 2019, qui avait alors été diffusée, est également incluse dans le livre. Le livre comporte aussi deux DVD, ce qui signifie que la vidéo originale s’y trouve également. À l’époque, j’enquêtais sur les attaques à l’anthrax de septembre 2001 et je pouvais déjà affirmer que certains des mêmes auteurs planifiaient une panique pathogène majeure pour 2020 et qu’elle est à nouveau liée à la société Ermergent BioSolutions. Parce qu’ils ont aussi dit, par exemple, qu’ils allaient doubler leur chiffre d’affaires en deux ans. Et oui, ils ont plus que réalisé cela.

Intervieweur :

Maintenant peut-être que beaucoup de gens se demandent : « Comment pouvez-vous appeler cela un crime organisé international ? » De nombreuses personnes s’intéressent maintenant aux virus, aux protéines spike, à toutes sortes de choses et c’est comme ça que, comme il y a une grande confusion, les gens pensent : « Pour l’amour de Dieu, nous allons tous mourir ». Et d’autres pensent : « Ça ne peut pas être vrai, ils sont fous ».
Et on prétend dans de nombreux endroits – comme vous pouvez le lire dans les médias – que c’est ainsi, que tout est déjà correct. Cela signifie que vous devez expliquer de manière concluante pourquoi vous pensez qu’il s’agit d’un crime et non d’une pandémie mondiale, comme on dit.

HeikoSchöning :

Oui, exactement. Et c’est exactement ce qui a été fait. Nous avons créé une commission d’enquête extraparlementaire sur l’affaire du coronavirus lorsque celle-ci a éclaté, et ce livre « Game Over » présente le rapport final, pour ainsi dire, avec deux DVD, qui contiennent également les faits médicaux, où vous pouvez écouter les auditions d’experts avec des professeurs et des médecins de renommée internationale, c’est-à-dire que toute l’histoire de ce qui s’est passé y est inclus.

Vous pouvez entendre cela de la bouche des experts. Mais il est bien plus important de comprendre que nous avons affaire à des criminels. Des criminels dont on peut clairement prouver qu’ils ont commis des crimes il y a 20 ans. C’est ce que démontre le livre et le lien à faire c’est de dire : « Si nous savons déjà que c’est un quasi Al Capone de Chicago ou le Dr Josef Mengele qui a commis des crimes terribles pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne fera plus confiance à ces personnes. » Et ce sont exactement les mêmes auteurs qui sont à nouveau actifs aujourd’hui autour du Covid-19.

Et tous les liens entre les personnes de cette organisation criminelle sont décrits dans le livre. Et ce qui est bien, c’est que ce n’est pas seulement du texte, mais aussi plus d’une centaine d’infographies, de sorte que vous pouvez aussi comprendre visuellement comment l’ensemble est relié.

Intervieweur :

Et maintenant voici encore ce jeu de cartes sur la table. C’est une autre approche que j’ai trouvée spéciale. Vous pourriez peut-être en dire plus à ce sujet.

Heiko Schöning :

C’est rendu très confus, bien sûr. Quand il y a un crime, les gens essaient toujours de le camoufler et de tromper. C’est similaire dans l’armée, camoufler et tromper. C’est pourquoi c’est relativement compliqué. Pour représenter quelque chose, il faut ensuite le placer dans un ordre déjà connu. Et un jeu de cartes, ici avec 52 cartes, c’est connu. Vous pouvez y jouer au skat, au poker et à bien d’autres jeux. Et là, les 52 personnages principaux, notamment les auteurs, sont représentés, et vous comprenez l’ordre. Vous avez le cœur, le pique, le trèfle, le carreau, vous comprenez l’ordre, tout comme si vous avez l’as ou le sept ou la reine et le roi. Et j’ai également placé ces mafiosi individuels dans cet ordre afin que vous puissiez comprendre quels sont les différents clans à l’œuvre ici.

En plus du livre nous avons également inclus ce jeu de cartes en allemand et en anglais, afin que vous puissiez vous faire une image de ces personnes. Car lorsque vous entendez un nom, il est bien plus facile de s’en souvenir, si vous avez un visage correspondant. Et c’est ce que tout ce jeu de carte peut faire.
Dans le livre également, ces criminels sont toujours représentés, dessinés. C’est ce qui est important et ce qui est nouveau. Ce livre ose non seulement appeler les auteurs par leur nom, mais aussi montrer les visages et les liens criminels.

Intervieweur :

Si nous avons maintenant affaire à une mafia, comme vous le dites, ne prenez-vous pas un grand risque ?

Heiko Schöning :

On me l’a déjà demandé en septembre 2019, car le projet de livre « Game Over » était déjà sur la table il y a deux ans, et j’ai pu brandir quelques preuves devant la caméra et j’ai également mentionné les connexions. Beaucoup de gens qui l’ont vu ont été choqués. Cette vidéo a ensuite été également censurée, elle a été supprimée de YouTube et bien d’autres choses encore. Et comme vous l’avez dit au début, j’ai souvent été empêché de parler, pas seulement à Londres, mais aussi à Berlin, le 1er août 2020, il y avait plus d’un million de personnes dans les rues, six heures de manifestation pacifique, et ensuite, nous, les médecins, étions censés parler sur scène. Et puis la police a pris la scène d’assaut. Le 1er août 2020 à Berlin.
Et oui, malheureusement, encore plein d’autres choses que nous voyons : la censure règne ici.

Intervieweur :

Bien, ce livre est disponible dès maintenant, si j’ai bien compris, ou est-il encore en phase de planification ?

Heiko Schöning :

Non, le livre est terminé maintenant. Beaucoup d’autres choses ont encore été intégrées en plus. Au lieu de le publier immédiatement, auquel cas il aurait principalement fait référence à l’anthrax de 2001, j’ai décidé de dire que les nouveaux crimes, qui sont beaucoup plus importants maintenant, qui sont beaucoup plus grands comme le Covid-19, doivent être inclus afin de montrer que ce sont les mêmes criminels qui l’ont planifié. Et la préconnaissance criminelle est la clé pour prouver que le Covid-19 est une fraude.

Et ce livre prouve simplement que certains des principaux responsables avaient une préconnaissance criminelle du Covid-19. Ce n’était pas une surprise, tout était prévu. Et nous voyons aussi que tout est orchestré, au niveau mondial !

Intervieweur :

Nous parlons du monde entier. Ainsi, en tant qu’observateur, on se demande, par exemple, l’Australie a mis en place l’une des stratégies anti-covid les plus rigides : « Zéro Covid » – extrêmement rapide, extrêmement dur dans les confinements et on se demande : Pourquoi l’Australie ?

Heiko Schöning :

Oui, il faut comprendre, enfin, j’ai dit, dans le jeu de cartes, les différents clans mafieux sont rassemblés, pour ainsi dire. Et il y a un clan mafieux qui est maintenant nouveau, que j’ai appelé la mafia techno. Et il faut bien voir que les entreprises qui se cachent derrière ont une grande connaissance du comportement des gens grâce aux stratégies publicitaires et autres. Et vous devez penser au Covid-19 comme à un produit. Ce sera comme un lancement d’un nouveau produit.

Et cela ne se fait pas partout et soudainement de façon égale à 100%, mais des zones tests sont d’abord créées. Et malheureusement, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés tests occidentaux pour ces criminels, pour tester jusqu’où ils peuvent aller avec ces mesures, avec ce confinement, avec ces mesures répressives. Et maintenant, l’armée est également utilisée contre le peuple pour faire appliquer les mesures coercitives. Et c’est exactement ce qui nous attend en Europe et aux États-Unis.

Intervieweur :

C’était ma prochaine question : Vous dites que si les choses continuent comme ça, il y aura des scènes comme celle que nous voyons actuellement en Australie.

Heiko Schöning :

Absolument. Nous l’avons vu au préalable, et c’est évident. Et c’est ce que j’ai également dit au début de l’année 2020. Et cette fois-ci aussi à Berlin le 29 août 2020, lors de cette grande manifestation de millions de personnes, où j’ai pu parler devant plus d’un million de personnes. Dans ce discours à Berlin, j’ai dit :
En Australie la phase de confinement est comme une démonstration de ce déroulement. Et exactement ces mesures seront appliquées en Europe. Et ces mesures sont effectivement arrivées. Comme je l’ai déjà clairement dit dans des interviews, nous sommes confrontés à une loi martiale médicale .Et c’est ce que nous vivons ici.

Intervieweur :

Eh bien, la question est : Que peut-on faire maintenant ? C’est une question qui préoccupe de nombreuses personnes. Il y avait et il y a des gens qui, sur la base de discussions sur Internet, avaient de très grands espoirs dans les États-Unis, dans le président Trump, et finalement rien n’en est sorti.
On peut donc dire que finalement l’attentisme n’est plus de mise. Alors, que conseillez-vous aux gens et comment peuvent-ils vous soutenir, par exemple ?

Heiko Schöning :

D’une part, je dois dire que tous ceux qui ont réellement mis leur espoir dans le président Trump ont été trompés. Parce que c’est un coup monté. M. Trump est également l’un des criminels, l’un des membres d’un petit clan mafieux. La vieille mafia de Reagan est derrière tout ça, les « Reaganites ». Et ils sont en concurrence avec un grand clan mafieux, appelé « l’establishment », que vous pouvez consulter en détail. Mais aussi dans ce livre il est clairement déclaré que Donald Trump est en contact avec l’un des principaux criminels, et son nom est Edwin Meese, qui a reçu une médaille en octobre 2019 dans le Bureau ovale de Donald Trump. Et c’est l’un des principaux criminels. En bref, Donald Trump est aussi l’un d’entre eux.

Et nous devons également nous rendre compte que nous, les humains, nous sommes en train d’être divisés en deux camps : les vaccinés et les non-vaccinés. Et les États-Unis risquent aussi maintenant de ne plus être les États-Unis, mais de devenir les États-non-unis. Il est donc très, très important que nous restions pacifiques, que nous restions dans un dialogue, que nous vainquons la censure et que nous ne nous laissions pas divisés. Parce que c’est précisément ça leur calcul. Parce que : « Quand deux se disputent, le troisième est content ».

Edwin Meese, en tant que bras droit de Ronald Reagan, a également fourni des armes aux deux camps : L’Iran contre des affaires, par exemple, est l’un de ses principaux crimes. Et l’Iran et l’Irak, les deux côtés, ont été livrés en armes pendant huit ans, massacrés et, à la fin, les sociétés américaines ont pris le contrôle d’un Irak affaibli. Et l’Iran sera confronté à une situation similaire.

Je ne peux que dire que c’est un coup monté. Et ce livre montre également les grandes structures, les structures historiques, comment on en est arrivé là. C’est pourquoi il est si important de comprendre ce qui se passe au début. C’est la raison pour laquelle le livre est structuré de cette manière ; pour passer de l’actualité et de la simplification à l’intemporel et à l’approfondissement. Cela vaut donc vraiment la peine d’avoir le courage de lire ce livre. Il contient de nombreuses illustrations originales, de nombreuses sources et vous pouvez également le vérifier par vous-même.

Intervieweur :

Oui, c’est également très important. Il y aura certainement une personne ou une autre qui fera des recherches. Mais vous avez dit que c’est un jeu orchestré, c’est international. C’est pourquoi nous allons peut-être retourner au niveau international. Il est certainement avantageux de ne pas continuer à réinventer la roue, mais de regrouper les initiatives et associations existantes, d’apprendre et de profiter les unes des autres. Vous êtes membre et vice-président de la « World Doctors Alliance » (« Alliance mondiale des médecins »), puis de l’« ACU 2020 » et de la « World Freedom Alliance » (« Alliance mondiale pour la paix »). Ce sont toutes des organisations que vous soutenez ou que vous avez fondées. Parlez-nous de l’importance de ces réseaux internationaux.

Heiko Schöning :

Une chose est la connaissance. En fait, je dis que nous devons faire cinq actions.
La première : nous devons montrer qu’ils sont des criminels – et c’est ce que ce livre montre, que ce sont des criminels et que c’est aussi le crime organisé et maintenant la question est aussi : Que faisons-nous – comment entrons-nous en action ? Et là il est important que nous nous réunissions ; nous, ensemble et que nous prenions des mesures contre tout ça. Et à cet égard, j’avais déjà créé la « Commission extraparlementaire d’enquête Covid19 » en mai 2020 et en juin nous avons déjà eu la première réunion de lancement avec les premières auditions. C’est aussi sur les DVD ici, donc là les preuves sont aussi intégrées pour qu’on puisse les consulter. Et en peu de temps, nous avons également rassemblé plus de 1 000 médecins en Allemagne, qui ont également affiché ouvertement leur nom sur le site web, afin de dire :

« Les mesures qui sont prises ici, sont absolument exagérées ! ». Et en fait, encore plus – nous le disons aussi avec la « World Freedom Alliance », c’est-à-dire l’organisation faîtière des mouvements de liberté mondiaux qu’il s’agit d’un crime orchestré, mondial, et nous allons même au-delà pour offrir une meilleure alternative. Car il ne s’agit pas seulement de présenter les problèmes, mais aussi la solution en même temps. Et là, j’ai eu l’honneur, comme vous l’avez dit très justement, de devenir également le vice-président de cette association médicale mondiale et aussi… de cette fédération du mouvement pour la liberté « The World Freedom Alliance.org ».

Intervieweur :

M. Schöning – merci beaucoup d’avoir pu discuter de votre livre aujourd’hui !
Je vous souhaite beaucoup de succès, que le plus grand nombre de personnes possible le lise, que ce soit quelque chose qui fasse avancer les gens, qui les rassemble. Je ne peux que souscrire à ces propos. Nous ne résoudrons le problème qu’ensemble, ou pas du tout.
C’est la chance du siècle. Vous l’avez également dit dans le discours préliminaire, c’est quelque chose qui donne de l’espoir, que nous voulons aussi transmettre aux gens.
Y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez dire au téléspectateurs, en conclusion ?

Heiko Schöning :

Oui, absolument ! Parce que vous avez tout à fait raison. Il est vrai que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système. Ce système criminel dans lequel nous vivons et de ne pas simplement accepter cette « nouvelle normalité » criminelle et oligarchique, mais de créer une « meilleure normalité ». C’est ce que défend l’Alliance mondiale pour la liberté et c’est aussi ce que défend le programme économique « Wirkraft » – « wirkraft.org ».

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où les mensonges de guerre qui existaient déjà, ont entrainé la mort de millions de personnes, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia !

Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »
Par conséquent, unissons-nous maintenant ! Transmettez les preuves, elles sont résumées, dans le rapport final de la commission d’enquête Covid-19. Transmettez-le ! Merci beaucoup.

Intervieweur :

Oui, merci beaucoup. Kla.tv vous remercie pour cette journée ! Au revoir.

de s.l.

Sources / Liens

Livre de Heiko Schöning:
„GAME OVER. COVID-19 I ANTHRAX-01“, Septembre 2021.




Vers l’abolition de vos droits fondamentaux

Par Thibaux de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse1, les membres du Parlement européen ont tiré la sonnette d’alarme.

Selon eux, “les droits civiques sont de plus en plus restreints2” suite à la mise en place du pass sanitaire. Le Pass sanitaire : un puissant outil de discrimination. Confrontés, comme vous et moi, au besoin de montrer patte blanche pour accéder à leur lieu de travail, les membres du Parlement européen dressent un constat inquiétant :

“Les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle, à l’emploi, l’égalité, l‘éducation, la santé, la libre expression de la pensée sont gravement violés. Et dans toute l’Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées3.” 

Destiné à l’origine à faciliter la circulation au sein de l’Europe, le pass sanitaire s’est transformé en un puissant outil de discrimination.

Nos droits les plus élémentaires sont aujourd’hui devenus des privilèges accordés par l’État sous la forme d’un… QR code !

Jamais il n’avait été question de restreindre l’accès à un lieu ou à une activité aux personnes non vaccinées… et pourtant !

Ce que les pires complotistes imaginaient… nos Gouvernements élus démocratiquement sont en train de le faire ! Des confinements pour les non vaccinés. Il faut croire que les pays de l’Union Européenne n’ont pas compris le problème. 

Puisque quelques jours après cette conférence, voilà que le chancelier autrichien, Alexander Schallenberg, annonce la potentielle mise en place d’un confinement pour les non vaccinés en cas de dégradation de la situation sanitaire actuelle4.

“Je ne permettrai pas que le système de santé soit surchargé parce qu’il y a encore trop d’hésitants et de procrastinateurs qui ne peuvent se résoudre au vaccin5.” assène-t-il. 

Donc faire un choix libre et éclairé concernant sa santé personnelle, ce qui, rappelons-le, est le droit le plus strict des citoyens, c’est faire preuve de procrastination ?

En Russie, de nouvelles mesures drastiques ont d’ores et déjà été prises dans ce sens. 

Les autorités ont ordonné un confinement pour “tous les plus de 60 ans non vaccinés” et ce pendant 4 mois6 ! 

Idem en Colombie, où une municipalité a imposé un confinement obligatoire sous peine d’amende à ses habitants “récalcitrants”7. Vite, ma 3ème dose… En France, la situation n’est pas plus rose pour les anti-pass (abusivement traités “d’anti-vax” par les médias).

Si un confinement n’est pas à l’ordre du jour, les employés non vaccinés sont la première cible de la dictature sanitaire, mettant à mal le droit à l’emploi. Pour rappel :

“Si un professionnel soumis au pass sanitaire ou à la vaccination obligatoire ne respecte pas cette règle, il ne sera pas forcément licencié, mais ne pourra toucher ni son salaire, ni d’indemnité chômage8.”

Tels étaient les mots de la ministre française du Travail et de l’Emploi, Elisabeth Borne, en août dernier.

En résumé, l’employé ne perd pas son emploi, mais ne touche pas un centime et se retrouve à la rue s’il ne suit pas la norme sanitaire. 

Je ne sais pas vous, mais moi j’appelle cela de l’asservissement par la contrainte.

En octobre, cette même ministre annonçait ne pas “exclure la perte du pass sanitaire pour ceux qui refuseraient la 3e dose9.”Fini la marelle à l’école sans QR code. Pire encore, les discriminations se propagent également dans les collèges et les lycées ! 

Les jeunes non vaccinés décelés cas contact sont “évincés” (dixit le Ministre de l’Éducation) pendant 7 jours, contrairement à leurs camarades vaccinés ou immunisés10.

Comble de l’absurde, cette mesure est également en vigueur pour les sixièmes, qui n’ont pourtant pas tous 12 ans et ne sont donc pas éligibles pour le vaccin11.

Et le tout sans assurance que l’enfant contraint de rester à domicile puisse continuer à suivre les cours.

C’est une véritable atteinte au droit à l’éducation !

Et dire que tout ceci part du postulat erroné que les non vaccinés sont les uniques porteurs du virus. NON !

Les personnes vaccinées peuvent toujours être porteuses du virus, elles peuvent toujours être malades ! Le vaccin n’assure qu’une potentielle protection, mais celle-ci n’est pas infaillible… sans parler des effets secondaires.

Pourtant… “Les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés12”. Encore tout récemment, un rapport de surveillance de l’Agence de santé publique britannique a illustré que désormais, “les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés, et ceci pour toutes les tranches d’âge à partir de 30-39 ans13.”

Ce qui est parfaitement normal dans une population majoritairement vaccinée et prouve bien que le vaccin n’empêche pas une contamination.

Alors pourquoi, partout dans le monde, observe-t-on de telles discriminations ?

Quels autres droits fondamentaux allons-nous voir disparaître au nom de la “santé publique” ?

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

P.S. : Je viens d’apprendre dans le journal Libération que l’hôpital est à nouveau en “surchauffe”. Apparemment 20 % des lits d’hôpitaux seraient fermés faute de soignants14. Un chiffre nié par le Ministre Olivier Véran15, bien qu’il convienne d’un absentéisme inhabituel lié à une augmentation des démissions et de l’épuisement du personnel (rien à voir bien sûr avec les soignants suspendus parce qu’ils ne veulent pas du vaccin…). Comme en 2020, l’histoire se répète : face à la surcharge d’hospitalisation, les hôpitaux craquent de toutes parts et la seule solution viable que nous présente le gouvernement est de vacciner à tour de bras, sinon gare au reconfinement !! Je prépare activement un projet de résistance à ce choix infâme. Je vous en parle très vite.

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Sources

https://www.youtube.com/watch?v=MuVguEJA-tU
idem
idem
https://www.lematin.ch/story/lautriche-envisage-de-confiner-les-non-vaccines-746575434886
idem
https://www.capital.fr/economie-politique/face-au-boom-du-covid-19-en-russie-4-mois-de-confinement-a-moscou-pour-les-seniors-non-vaccines-1417681
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_confinement-pour-les-non-vaccines-dans-une-ville-de-colombie-objectif-atteint-aux-etats-unis-le-point-sur-la-pandemie-de-coronavirus-dans-le-monde?id=10816979
https://www.capital.fr/votre-carriere/pass-sanitaire-un-salarie-suspendu-ne-touchera-pas-dallocation-chomage-1411587
https://www.europe1.fr/politique/borne-nexclut-pas-la-perte-du-pass-sanitaire-pour-ceux-qui-refuseraient-la-3e-dose-4071491
10 https://www.liberation.fr/societe/education/aux-colleges-et-lycees-on-aboutit-a-une-discrimination-des-eleves-par-rapport-a-leur-statut-vaccinal-20210902_PNP2OFXGKJECDDL7ODO4VBFC3U/
11 https://www.midilibre.fr/2021/07/29/nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-colleges-quelles-regles-pour-les-moins-de-12-ans-non-soumis-a-la-vaccination-9701179.php
12 https://www.lefigaro.fr/sciences/les-personnes-vaccinees-ont-elles-plus-de-risque-d-etre-contaminees-que-les-autres-20211020
13 idem
14 https://www.leparisien.fr/societe/sante/hopital-public-un-lit-sur-cinq-ferme-dans-le-public-faute-de-soignants-selon-une-etude-menee-par-jean-francois-delfraissy-27-10-2021-HPUOXBFRZRDH5OLIAVN36KBMXM.php
15 https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/olivier-v%C3%A9ran-met-en-doute-le-chiffre-de-20-de-lits-ferm%C3%A9s-dans-les-h%C3%B4pitaux/ar-AAQ1GU5




Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




Le Molnupiravir est une molécule vieille de plus de 40 ans, mutagène, cancérigène qui ne sert à rien, mais qui rapportera 700 $ par malade

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

VÉRAN VIENT DE COMMANDER 50 000 DOSES DE POISON pour 30 millions d’euros

Poison ? C’est bien ainsi que de nombreux scientifiques considèrent cette molécule et que la France vient d’acheter sans la moindre autorisation d’autorités scientifiques.

Merck aura sa part du gâteau avec la patate chaude de Big Pharma, le Monulpiravir présenté comme la pilule anticovid par la presse qui ne sait pas lire.

Elle existait, mais sa réputation exécrable fit que même Giléad refusa de l’utiliser. En 2003, la tentation de le refiler contre l’hépatite fut abandonnée par peur de créer des mutants

Le biologiste Jean François Lesgard fut un des premiers à alerter sur l’impasse du Molnulpiravir après le Remdesivir

https://t.co/eeBNEqoOAk?amp=1

« Oui c’est comme le remdésivir : ça vient bloquer (in vitro).. la réplication de l’ARN du virus

Donc c’est mutagène, car ça peut le faire avec nos cellules aussi ! En plus, se limiter à cela n’est pas efficace, ce virus se développer trop facilement, il faut bloquer en même temps l’inflammation qui arrive très vite. L’Ivermectine fait les 2 sans s’insérer dans l’ARN

…des inquiétudes quant au risque potentiel de tumorigenèse induite par le Monulpiravir et émergence de mutations néfastes dans les cellules génératrices précurseurs de spermatozoïdes et le développement de l’embryon. »

Le virologue Bruno Canard abonde dans le même sens

BrunoCanard Virology

@canardbruno

RNA Viruses. Dengue, Zika, SARS/MERS-Cov, Ebola, Arenas y otros bitchos. Drug-design, viral enzymes — wild river lover — & Pics of the Calanques of Cassis!

Marseille-Cassis, France afmb.univ-mrs.fr/viral-replicas…

Un mutagène viral, est 1 usine a création de variant si le virus n’est pas éliminé, mais juste « aidé à muter ». Personne n’a répondu à cette question cruciale : personne ne veut voir des nouveaux variants arriver à cause…d’un traitement.

TOUS les antiviraux (lorsqu’ils sont sub-optimaux, ex : le Favipiravir, le Remdesivir) ayant un mécanisme antiviral par mutagenèse (possible ou démontré) devraient être évalués en labo de recherche sur leur capacité à créer des nouveaux variants

*Monulpiravir Médicament de MERCK, demande de mise sur marché en Europe. Mécanisme : c’est un analogue de la base C de l’ARN du virus. Il ressemble à la cytosine C, mais sa capacité de codage est ambiguë.

@SFV_France
@franceinfo
@lemonde_science
@FRM_officiel
@MarcGozlan

Lorsque la polymérase virale recopie son ARN, elle est leurrée par le Monulpiravir M et ne le distingue pas du C. Le M est incorporé à la place d’un C, mais au lieu de coder pour un G, il code quelquefois pour un A aussi, c’est ce codage ambigu qui crée la mutation.

https://academic.oup.com/jid/article/224/3/415/6272009

Le Monulpiravir est arrivé à Merck grâce à un partenariat avec une entreprise privée appelée Ridgeback Biotherapeutics, qui a autorisé le médicament à une entreprise de biotechnologie à but non lucratif appartenant à l’Université Emory. Le Monulpiravir est ce qu’on appelle un promédicament, qui se métabolise dans le corps pour créer le NHC, qui a été étudié pendant des décennies.

Schinazi, qui est professeur à Emory, mais n’a pas travaillé sur le Monulpiravir, a une longue histoire avec le NHC et a écrit un certain nombre d’articles sur le composé. Il a été l’un des fondateurs de la biotech Pharmasset, qui, selon lui, a envisagé de développer le NHC comme traitement de l’hépatite C en 2003, mais a choisi de ne pas le faire en raison du risque qu’il puisse provoquer des mutations. Pharmasset a créé le médicament contre l’hépatite C Sovaldi et Gilead Sciences (GILD) a finalement acheté la société pour 11 milliards de dollars.

Schinazi a déclaré à Barron’s qu’il ne pensait pas que le Monulpiravir devrait être administré aux femmes enceintes ou aux jeunes en âge de procréer, jusqu’à ce que davantage de données soient disponibles. Les essais de Merck sur le Monulpiravir ont exclu les femmes enceintes ; les scientifiques qui dirigent l’essai ont demandé aux participants masculins de « s’abstenir de rapports hétérosexuels » pendant qu’ils prenaient le médicament, selon le site Web du gouvernement fédéral qui suit les essais cliniques.

Un article publié dans le Journal of Infectious Diseases en mai par Schinazi et des scientifiques de l’Université de Caroline du Nord a rapporté que le NHC a provoqué des mutations dans les cultures de cellules animales dans un test de laboratoire conçu pour détecter de telles mutations. 

« Les risques pour l’hôte peuvent ne pas être nuls », ont conclu les auteurs. « L’évaluation de l’utilité de ce médicament doit être effectuée chez ceux qui sont susceptibles de bénéficier le plus d’avantages, avec une surveillance permettant d’évaluer les effets secondaires génotoxiques potentiels à long terme. »

L’un des auteurs de l’article, le Dr Shuntai Zhou, scientifique au Swanstrom Lab de l’UNC, a déclaré que lui et ses collègues avaient signalé leurs premières conclusions à Merck en juillet 2020, environ un an avant la publication de son article.

« On craint que cela provoque des effets de mutation à long terme, même le cancer », a déclaré Zhou.

Zhou dit qu’il est certain que le médicament s’intégrera dans l’ADN des hôtes mammifères. « La biochimie ne mentira pas », dit-il. « Ce médicament sera incorporé dans l’ADN. »

L’impact que cela aura lorsqu’il sera là est inconnu, étant donné les différents systèmes utilisés par les cellules humaines pour limiter l’impact des mutations.

Les scientifiques de Merck ont répondu à l article de l UNC dans un numéro ultérieur du Journal of Infectious Disease, affirmant que leurs tests de Monulpiravir chez les animaux n avaient pas trouvé de taux de mutation plus élevés. Les scientifiques de Merck ont ​​également contesté les détails des méthodes des auteurs de l’UNC. Dans une réponse, les scientifiques de l’UNC ont maintenu leurs méthodes et ont écrit qu’ils pensaient que le Monulpiravir ne devrait être utilisé que chez les personnes à haut risque de maladie grave de Covid-19 jusqu’à ce que ses risques à long terme soient mieux compris.

Certains experts ont conseillé la prudence de la part de Merck et des régulateurs.

« Étant donné la possibilité que le médicament puisse être incorporé dans l’ADN cellulaire, il sera très important de démontrer l’absence de cancer chez les modèles animaux et chez l’homme », explique Nathaniel Landau, professeur au département de microbiologie de la NYU Grossman School of Médecin qui n’est impliqué dans aucune recherche sur le NHC ou le Monulpiravir. « Même si cela semble bon dans les modèles animaux préliminaires, il sera important de ne pas précipiter cette utilisation en clinique avant d’être très sûr qu’elle ne provoque pas de cancer, même à de très basses fréquences. »

Le premier contact du Monulpiravir avec l’attention du public, bien avant que Merck ne commence sa collaboration avec Ridgeback, est survenu en mai 2020, lorsque l’ancien chef de la Biomedical Advanced Research and Development Authority du gouvernement américain a déclaré dans une plainte de dénonciation qu’il avait été contraint de fournir un financement pour le Monulpiravir., alors connu sous le nom d’EIDD-2801, mais s’était opposé, en partie pour des raisons de sécurité.

https://www.barrons.com/articles/merck-covid-pill-risks-51633398722?redirect=amp

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6538115/lema-annonce-le-lancement-de-lexamen-accelere-de-la-pilule-anti-covid-de-merck.html

Merck vend des millions de doses au moment où nous parlons. Mais avec chaque ordonnance, ils perdent 697 $ de Monulpiravir pour chaque 3 $ d’ivermectine vendu.

L’éventuelle autorisation du médicament Monulpiravir de Merck, représenterait une réévaluation très importante de la société. En cas de non-approbation, l’entreprise diminuera sa valeur à court terme (événement binaire). #Monulpiravir#RidgebackBiotherapeutics#medicamento#sapiens




Le gouvernement mondial de l’ombre

[Source : Le R D H]

Philippe Argillier explique le gouvernement de l’ombre et le pouvoir dynamique des banques de données.

« N’étant pas un homme politique, mais bien un homme dénué de tout intérêt personnel, je suis prêt à répondre à l’appel des françaises et des français en prenant les commandes de la France en 2022 sous une condition, celle de me positionner avec un mandat révocatoire de 36 mois avec un référendum à l’appui à date échéance afin que les françaises et les français décident s’ils veulent continuer ou pas avec mon gouvernement jusqu’à la fin des cinq années du mandat présidentiel. »

Philippe Argillier
Président du Rassemblement des Droits de l’Homme

https://youtu.be/IyJ2lxhgEL4
https://youtu.be/mSgTVdyfAYI
https://youtu.be/BOiXZ8fkBAw



Évaluer l’immunité naturelle anti-Covid : sérologie, immunité cellulaire

[Source : AIMSIB]

Par Hélène Banoun, alias Emma Kahn

Résumé
– Il est important d’évaluer l’immunité naturelle contre la Covid-19 : elle est plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale
Seule l’immunité adaptative humorale (anticorps) ou cellulaire peut être évaluée ; l’immunité innée n’est pas mesurable. La sérologie est seule pratiquée en routine, c’est la mesure du taux d’anticorps. La mesure du taux d’anticorps conduit à une sous estimation de la séroprévalence qui est pourtant déjà élevée et supérieure à 50% de la population dans la plupart des pays. Les tests sont conçus par rapport à la souche isolée en 2019 en Chine et l’étalonnage se fait par rapport à du sang de convalescents prélevé avant juin 2020.
Il existe une grande hétérogénéité des tests commerciaux disponibles. Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection. La recherche de l’immunité cellulaire pourrait éliminer ces faux négatifs mais elle n’est pas applicable en routine et coûte cher.

Introduction

J’ai récemment montré que l’immunité naturelle à la Covid-19 (suite à une infection) était plus solide, plus durable et de meilleure qualité que l’immunité vaccinale (1) Les raisons en ont été exposées récemment par Sonigo et al (2). Avant l’introduction de la 3è dose, les autorités françaises conseillaient une seule dose de vaccin pour les personnes déjà immunisées naturellement (3). Pour l’instant la HAS ne prend pas position sur la nécessité d’une seconde dose chez les personnes ayant déjà été infectées par la Covid  (4) Il est donc important d’évaluer les méthodes de mesure de l’immunité naturelle acquise après infection. Mais les personnes en bonne santé peuvent aussi éliminer un virus grâce à leur immunité innée non spécifique : on ne sait pas évaluer cette immunité et il se peut que chez ces personnes aucune trace de leur rencontre avec le virus ne soit facilement détectable. Dans la Covid, l’infection naturelle commence par les muqueuses du naso-pharynx qui sont un sanctuaire immunitaire (2). L’immunité innée à ce niveau peut suffire à éliminer les virus sans intervention importante de l’immunité adaptative et donc sans production importante d’anticorps spécifiques. De plus l’infection peut être combattue grâce à l’immunité croisée déjà acquise contre les coronavirus de rhume banal (5). L’immunité spécifique (adaptative) peut être évaluée par la mesure des anticorps circulants anti-SARS-CoV-2 et par la mesure de la mémoire cellulaire immune.

Rappel sur Immunité innée et immunité acquise

1- Immunité innée

 Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 , Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

Ricci D et al., 2021, https://www.mdpi.com/1422-0067/22/13/7017 ,
Innate Immune Response to SARS-CoV-2 Infection: From Cells to Soluble Mediators

2- Immunité adaptative

Extraits d’une revue (7) : Le système immunitaire adaptatif prend le relais si le système immunitaire inné ne parvient pas à détruire les germes. Il cible spécifiquement le type de germe à l’origine de l’infection. Mais pour ce faire, il doit d’abord identifier le germe. Cela signifie qu’il est plus lent à réagir que le système immunitaire inné, mais lorsqu’il le fait, il est plus précis. Il a également l’avantage de pouvoir se « souvenir » des germes, de sorte que la prochaine fois qu’un germe connu est rencontré, le système immunitaire adaptatif peut réagir plus rapidement.

Grâce à cette mémoire, certaines maladies ne peuvent être contractées qu’une seule fois dans la vie : Le système immunitaire adaptatif met quelques jours (maximum 14 jours concernant la Covid) à réagir la première fois qu’il entre en contact avec le germe, mais la fois suivante, le corps peut réagir immédiatement. La deuxième infection n’est alors généralement même pas remarquée, ou du moins elle est moins grave.

Le système immunitaire adaptatif repose sur les lymphocytes T, les lymphocytes B et les anticorps présents dans le sang et les autres fluides corporels.

Les cellules de l’immunité innée et de l’immunité adaptative

-Les lymphocytes T ( appelés T car ils ont été découverts dans le thymus) sont produits dans la moelle osseuse, puis se déplacent vers le thymus par la circulation sanguine, où ils arrivent à maturité.

Les cellules T ont trois fonctions principales :
Elles utilisent des molécules pour activer d’autres cellules du système immunitaire qui vont lancer le système immunitaire adaptatif (cellules T auxiliaires).
Elles détectent les cellules infectées par des virus ou les cellules tumorales et les détruisent (cellules T cytotoxiques).
Certaines cellules T auxiliaires deviennent des cellules T à mémoire après que l’infection a été vaincue. Elles peuvent « se souvenir » des germes qui ont été vaincus et sont alors prêtes à activer rapidement le système immunitaire adapté en cas de nouvelle infection.

Les cellules T possèdent des caractéristiques de détection sur leurs surfaces qui peuvent s’attacher aux germes. Le système immunitaire peut produire en quelques jours un type de cellule T correspondant à chaque germe présent dans une infection.
Ensuite, si un germe se fixe sur un lymphocyte T correspondant, ce dernier commence à se multiplier, créant ainsi d’autres lymphocytes T spécialisés dans ce germe. Comme seules les cellules qui correspondent au germe se multiplient, la réponse immunitaire est spécifique.

-Les lymphocytes B (cellules B) sont fabriqués dans la moelle osseuse et y mûrissent pour devenir des cellules spécialisées du système immunitaire. Ils tirent leur nom du « B » de « bourse de Fabricius », un organe que seuls possèdent les oiseaux et chez qui ils ont été découverts.

Les cellules B sont activées par les cellules T auxiliaires. Elles se multiplient alors et se transforment en plasmocytes. Ces plasmocytes produisent rapidement de très grandes quantités d’anticorps et les libèrent dans le sang. Certaines des cellules B activées se transforment en cellules mémoire et font partie de la « mémoire » du système immunitaire adaptatif.

Les différentes cellules du système immunitaire adaptatif communiquent soit directement, soit par l’intermédiaire de molécules solubles tels que les cytokines (petites protéines).

-Les anticorps sont des glycoprotéines (composés formés de protéines et de sucres ou glucides) qui circulent dans le sang. Ils sont produits par les plasmocytes (cellules B) et sont spécifiques des antigènes des pathogènes auxquels ils se lient.

Sérologie ou mesure des anticorps circulants dans le sang

C’est la mesure des anticorps spécifiques produits contre le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid-19

Rappel, séroprévalence :
J’ai donné récemment (1) quelques mesures de séroprévalence (proportion de la population ayant des anticorps : 1/3 de la population au Kenya en novembre 2020, 25% en Inde en janvier 2021, 23% en France, 50% aux USA, 40% à Madagascar). Depuis de nouvelles données sont sorties :Tchéquie : 51% de séropositifs en février/mrs 2021, Estonie : 77% de positifs au 27 septembre 2021 (8). En Estonie, seuls les anticorps anti-N ont été mesurés et donc cette étude ne prend bien en compte que l’immunité naturelle (N n’est pas incluse dans le vaccin) et ne peut comptabiliser les anticorps induits par le vaccin.

Les tests disponibles

Il existe différentes techniques de détection des anticorps et tous les tests ne détectent pas des anticorps dirigés contre les mêmes antigènes du SARS-CoV-2 : en général il s’agit des anticorps dirigés contre la protéine S (spike), soit entière, soit seulement le RBD (domaine de liaison du récepteur), ou contre la nucléocapside N (protéine liée à l’ARN du virus).

Les réponses immunes des personnes ayant rencontré le virus sont très hétérogènes et certaines peuvent ne pas produire d’anticorps contre l’un ou l’autre des antigènes du virus. De plus les mutations des variants sont nombreuses sur le RBD de la spike, sur la spike entière et en moindre mesure sur la protéine N. Selon le variant auquel a été confronté le patient, les anticorps produits pourraient donc ne pas être détectés par certains tests sérologiques.

  • La HAS autorise 17 tests sérologiques (9).
  • La Commission Européenne recense 588 tests de recherche d’anticorps anti-Covid avec la marque CE et 158 sans marque CE (10).
  • Au 12 octobre 2021, la FDA autorise 89 tests (11)

L’OMS a rendu disponible un étalon international de référence pour le dosage des anticorps anti-SARS-CoV-2. (12). Mais il est obtenu à partir de sang de convalescents prélevés avant juin 2020, donc avant l’émergence des variants. Les sérums sont prélevés plus de 28 jours après le début des symptômes mais il n’est pas précisé la durée maximum après symptômes : il ne donnera pas d’indication sur les prélèvements effectués trop longtemps après l’infection.

La mesure des anticorps neutralisants est pratiquée sur des souches de 2020 et pourrait ne pas être reproductible avec les variants récents.
De très fortes variations apparaissent entre les laboratoires qui testent ces pools de sérums.
Aucun laboratoire français n’a participé à cette évaluation.
Pour le pool à taux faible, très peu de laboratoires utilisant des kits commerciaux ont donné un résultat quantitatif : la moyenne et la variabilité n’ont pu être calculées.
Pour toutes ces raisons, il est donc difficile de se fier aux résultats quantitatifs calculés à partir de cet étalon et rendus fin 2021, et surtout pour les taux faibles d’anticorps.

Évaluation des tests sérologiques

Les performances de ces tests sérologiques varient considérablement, certains tests étant loin de répondre aux critères de sensibilité et d’efficacité proposés par la FDA. En particulier, certains tests sérologiques ont montré que la sensibilité à un stade précoce de l’infection est beaucoup plus faible que celle à un stade avancé de l’infection. (13)
On trouvera dans un article de revue (14), la description complète de tous les tests sérologiques utilisés ainsi que toutes les causes nombreuses de faux positifs (en particulier chez des malades atteints de maladies auto-immunes) et faux négatifs.

Selon de récentes publications, le taux d’anticorps dépend de la sévérité de la maladie: Les convalescents ayant présenté une forme bénigne de Covid sont plus susceptibles d’avoir un taux d’IgG indétectable après plusieurs mois. (15) (16)

Ceci confirme ce qui avait déjà été publié en 2020 (5). Quelques études montrant la corrélation entre sévérité de la maladie et taux d’anticorps :

  • 40% des asymptomatiques sont séronégatifs,
  • 12,9% des symptomatiques aussi dans le début de la convalescence. (17)
  • Selon Wu F. et al., 2020, 30% des rétablis ont un taux faible d’anticorps. (18)
  • Selon Toh ZQ et al., 2021, une proportion plus faible d’enfants séroconvertit par rapport aux adultes [20/54 (37,0 %) contre 32/42 (76,2 %)]. (19). Ce phénomène n’est pas lié à la charge virale, qui est similaire chez les enfants et les adultes [Ct moyen 28,58 vs 24,14 ]. L’âge et le sexe n’ont pas non plus influencé la séroconversion ou l’ampleur de la réponse des anticorps chez les enfants ou les adultes. Chez les adultes (mais pas chez les enfants), les adultes symptomatiques présentaient des taux d’anticorps trois fois plus élevés que les adultes asymptomatiques. Des preuves d’immunité cellulaire ont été observées chez les adultes qui ont séroconverti mais pas chez les enfants qui ont séroconverti (mais on peut difficilement conclure étant donné le faible effectif observé).

Selon Lui W et al (20) la maladie clinique ne garantit pas la séroconversion et les laboratoires disposant de tests RT-PCR très sensibles sont plus susceptibles de détecter les non-répondants sérologiques. Ces résultats fournissent une explication à la variabilité déconcertante de la séroconversion dans les différentes cohortes. 36% de leur cohorte représentaient des non-répondants sérologiques.

Selon Masia M et al,  (21) 25 % des patients ont présenté des titres d’anticorps indétectables. (20) Les patients qui n’ont pas séroconverti présentaient des valeurs de seuil de cycle plus élevées pour la RT-PCR (38,0 contre 28,0 ), un délai plus court pour la clairance virale (3,0 contre 41,0) et étaient plus susceptibles d’avoir le SRAS-CoV-2 détecté uniquement sur des échantillons de selles. Les non-séroconvertis présentaient également des niveaux plus faibles de biomarqueurs inflammatoires sanguins à l’admission et une gravité moindre de la maladie. La sérologie a été effectuée pour les anticorps anti-S1 et anti-N.

Le résultat dépend du temps écoulé entre l’infection et le test sérologique :

Un pourcentage important de la population infectée peut présenter une sérologie négative dans les mois suivant l’infection et la réponse sérologique des IgG aux cibles du SARS-CoV-2 est hétérogène ; ces cibles sont : la protéine spike et la protéine N (nucléocapside). Il y a hétérogénéité de réponse selon les patients et pas seulement selon la gravité de l’infection. (15)

Selon une étude internationale de mars 2021 (22), un an après les symptômes, 36% des IgG anti-S seulement persistent, 31% des IgG anti RBD,et 7% des IgG anti-N persistent; les IgM et IgA disparaissent rapidement. Une modélisation permet d’étendre la durée d’observation de 1 an maximum jusqu’à 2 ans :

Au bout de 6 mois, à peine la moitié (55% ) des IgG anti spike persistent, 36% persistent 12 mois et 16% 24 mois. Moins de la moitié des autres anticorps détectés 15 jours après l’infection persistent (que ce soient les IgG anti RBD, antiN, IgM antiS, RBD ou antiN, IgA anti S, RBD et N)

Un des meilleurs tests selon une équipe française (23) serait le test chinois Wantai dosant les anticorps totaux (IgG, IgM anti RBD de spike) : (24)
C’est un des tests les plus sensibles et spécifiques d’après le fabricant Bioscience. (25)

Les tests les plus utilisés détectent des antigènes différents avec des sensibilités et des spécificités différentes : Selon une étude européenne, on note des différences substantielles de sensibilité et de spécificité selon les laboratoires et selon que les réactifs sont certifiés ou non, le manque d’harmonisation est très net. (26)

Selon une étude canadienne, seul un test commercial s’approche des standards exigés par Health Canada (16)

Les tests ont été conçus à partir des antigènes de la souche de référence isolée à Wuhan en 2019
Depuis, le virus a énormément muté et certains antigènes des variants circulants actuellement pourraient induire la synthèse d’anticorps non reconnus par les tests sérologiques, problème évoqué par Banoun (27). Certains tests pourraient donner des faux négatifs chez les personnes infectées par des variants éloignés : cette éventualité est soulignée par la FDA mais ne semble pas encore évaluée à ce jour (28).

Selon un récent rapport britannique (29), la séroprevalence mesurée par le test Roche anti-N donne un maximum de 25 à 30% de séropositivité selon les régions et les âges. Ce rapport note l’affaiblissement de la réponse des anticorps N au fil du temps. Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les individus qui contractent l’infection après deux doses de vaccination, comme expliqué précédemment (1) la vaccination peut endommager la capacité du système immunitaire à répondre à l’infection.

De juin à septembre 2021, le profil des niveaux d’anticorps dans ces cohortes diminue progressivement, ce qui correspond à un déclin. Au début de la campagne de vaccination en décembre, les taux d’anticorps se situaient généralement dans une fourchette de 0,8 à 1 000 UA/ml, alors qu’après la vaccination, les taux d’anticorps dépassent généralement 1 000 UA/ml. Les taux d’anticorps sont globalement plus élevés chez les personnes qui ont déjà été infectées ; on s’attend à ce que la vaccination après l’infection et la réinfection après la vaccination augmentent les taux d’anticorps existants.

L’idée actuelle est qu’il n’existe pas de niveau d’anticorps seuil offrant une protection totale contre l’infection, mais qu’au contraire, des niveaux d’anticorps plus élevés sont susceptibles d’être associés à une moindre probabilité d’infection.

Immunité cellulaire

C’est la recherche des cellules mémoires capables de reconnaître immédiatement le virus et de déclencher une réponse rapide Selon une étude française du CHU de Strasbourg (30), la sérologie (détection des anticorps spécifiques) pour détecter l’infection par le SARS-CoV-2 n’est absolument pas fiable : on observe une absence d’anticorps mais une solide immunité cellulaire chez des personnes pauci ou asymptomatiques.

Cette immunité cellulaire peut être évaluée par le test ELISpot ( interferon-gamma (IFN-γ) enzyme linked immunospot ) : dans cette étude, les cellules mononucléées du sang périphérique sont prélevées et stimulées avec un pool de peptides couvrant la protéine spike mais aussi les autres protéines structurales et non structurales du SARS-CoV-2. Ensuite la synthèse d’interféron γ par les cellules T stimulées a été mesurée. Des patients contacts de personnes modérément atteintes de Covid ont développé des symptômes du Covid. Ils sont séronégatifs mais présentent une immunité cellulaire contre le SARS-CoV-2.

Les sérologies ont été effectuées avec 3 tests différents (dont l’une utilisant la technique « lateral flow ») et les épitopes testés sont la nucléoproteine et la proteine spike du SARS-CoV-2

Donc la réponse cellulaire est plus sensible que la sérologie. Un contact asymptomatique développe aussi une réponse cellulaire. L’explication pourrait être que l’exposition à de faibles doses de virus pourrait induire une brève réplication du virus chez ces contacts : l’immunité innée pourrait faire avorter une réplication correcte du virus.Concernant la détection des personnes ayant été infectées par la Covid-19, la recherche d’anticorps conduit donc à une sous-estimation de l’exposition.

Un réactif britannique existe et a été évalué également : T-Spot.Covid de Oxford Immunotec Ltd  est disponible au Royaume Uni (32) il a été évalué par Public Health (Wyllie D et al., 2021) et par Kruse et al., 2021.

Conclusion

Avant l’institution de la troisième dose, les autorités de santé recommandaient de n’injecter qu’une seule dose de vaccin aux personnes déjà infectées; elles demandaient donc de faire une sérologie avant injection mais ceci n’était pas obligatoire. À ce jour aucune recommandation claire n’est émise concernant une éventuelle seconde dose pour les personnes déjà infectées.
La sérologie (mesure du taux d’anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2) donne des résultats hétérogènes selon les individus, le temps écoulé depuis l’infection, la sévérité des symptômes observés lors de l’infection, le réactif utilisé, le laboratoire effectuant l’analyse. Les taux faibles d’anticorps sont difficilement interprétables, elle n’est donc pas suffisante en cas de résultat négatif. Il est possible de mesurer l’immunité cellulaire spécifique anti-Covid mais ce test est cher et non remboursé.

Hélène Banoun
Octobre 2021

Notes et sources:

(1) Banoun, 2021a, Covid-19 : Immunité naturelle versus immunité vaccinale, Octobre 2021 https://www.researchgate.net/publication/354985184_Covid-19_Immunite_naturelle_versus_immunite_vaccinale
(2) Sonigo et al., 2021.17 SEPTEMBRE 2021 – FAUT-IL VACCINER CONTRE LA DÉTECTION PAR PCR OU CONTRE LA MALADIE COVID-19 ?, https://www.jle.com/fr/covid19-vacciner-contre-detection-par-PCR-ou-contre-maladie-covid19)
(3) HAS, 12 février 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3237456/fr/une-seule-dose-de-vaccin-pour-les-personnes-ayant-deja-ete-infectees-par-le-sars-cov-2
(4) HAS, 16 juillet 2021, https://www.has-sante.fr/jcms/p_3278140/fr/vaccination-contre-la-covid-19-pas-de-dose-de-rappel-pour-le-moment-en-dehors-des-plus-vulnerables-et-des-plus-ages?portal=p_3058934
(5) Banoun, 2020, Covid19 : immunité croisée avec les autres coronavirus, phénomènes immunopathologiques-update-aout2020 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02914300
(6) Majdoul et Compton, 2021, Lessons in self-defence: inhibition of virus entry by intrinsic immunity, https://doi.org/10.1038/s41577-021-00626-8
(7) Cologne, Germany: Institute for Quality and Efficiency in Health Care (IQWiG),The innate and adaptive immune systems, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK279396/
(8) Tchéquie, Estonie, 2021 (Tchéquie, Piler P et al., 2021, Dynamics of seroconversion of anti-SARS-CoV-2 IgG antibodies in the Czech unvaccinated population: nationwide prospective seroconversion (PROSECO) study https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.15.21262007v1 ,
Estonie https://www.ut.ee/en/research/study-prevalence-coronavirus-estonia
https://www.ut.ee/sites/default/files/styles/ut_content_width/public/eng-antikehade-analsitulemused_2.png?itok=umXfBmP9
Jogi P et al.,Seroprevalence of SARS-CoV-2 IgG antibodies in two regions of Estonia (KoroSero-EST- 1) https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.21.20216820v1.full.pdf
(9) Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, Covid-19 Santé Gouv.fr, 2021, https://covid-19.sante.gouv.fr/tests
(10) CE, 2021 , COVID-19 In Vitro Diagnostic Medical Devices https://covid-19-diagnostics.jrc.ec.europa.eu/devices?device_id=&manufacturer=&text_name=&marking=Yes&method=&rapid_diag=&target_type=1&field-1=HSC+common+list+%28RAT%29&value-1=0&search_method=AND#form_content
(11) FDA, 2021, In Vitro Diagnostics EUAs – Serology and Other Adaptive Immune Response Tests for SARS-CoV-2 https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-disease-2019-covid-19-emergency-use-authorizations-medical-devices/in-vitro-diagnostics-euas-serology-and-other-adaptive-immune-response-tests-sars-cov-2
(12) OMS, 2020, Establishment of the WHO International Standard and Reference Panel for anti-SARS-CoV-2 antibody https://www.who.int/publications/m/item/WHO-BS-2020.2403
(13) Gong F. et al., 2021, Evaluation and Comparison of Serological Methods for COVID-19 Diagnosis https://www.frontiersin.org/article/10.3389/fmolb.2021.682405
(14) Liu G et al., 2021, COVID-19 Antibody Tests and Their Limitations https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC7885805/
(15) Perez-Olmeda M. et al., 2021, Evolution of antibodies against SARS-CoV-2 over seven months: experience of the Nationwide Seroprevalence ENE-COVID Study in Spain
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.11.21253142v1
(16) Therrien C. et al., 2021, Multicenter Evaluation of the Clinical Performance and the Neutralizing Antibody Activity Prediction Properties of 10 High-Throughput Serological Assays Used in Clinical Laboratories, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33303562/
(17) Long Q-X et al., 2021, Clinical and immunological assessment of asymptomatic SARS-CoV-2 infections https://www.nature.com/articles/s41591-020-0965-6
(18) Wu F, Wang A, Liu M, et al., 2020, Neutralizing antibody responses to SARS-CoV-2 in a COVID-19 recovered patient cohort and their implications. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047365v2
(19) Toh ZQ et al., 2021,Reduced seroconversion in children compared to adults with mild COVID-19 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.17.21265121v1
(20) Lui W et al., 2021, Predictors of Nonseroconversion after SARS-CoV-2 Infection https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8386781/ 
(21) Masia M et al, 2021 , SARS-CoV-2 Seroconversion and Viral Clearance in Patients Hospitalized With COVID-19: Viral Load Predicts Antibody Response, https://doi.org/10.1093/ofid/ofab005
(22) Pelleau S. et al., 2021, Serological reconstruction of COVID-19 epidemics through analysis of antibody kinetics to SARS-CoV-2 proteins https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.21252532v1
(23) Velay A. et al., 2021, Evaluation of the performance of SARS-CoV-2 serological tools and their positioning in COVID-19 diagnostic strategies https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32957073/
(24) Wantai , FDA https://www.fda.gov/media/140929/download
(25) Bioscience, https://www.bioscience.co.uk/cpl/sars-cov-2-ab-elisa
(26) Ast V. et al., 2021, Assessing the quality of serological testing in the CoViD-19 pandemic: results of a European external quality assessment (EQA) scheme for anti-SARS-CoV-2 antibody detection https://journals.asm.org/doi/10.1128/JCM.00559-21
(27) Banoun,  Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system Banoun H, Nephron (2021 Apr 28:1-12) , https://www.karger.com/Article/Abstract/515417
(28) FDA, 23 /09/2021, https://www.fda.gov/medical-devices/coronavirus-covid-19-and-medical-devices/sars-cov-2-viral-mutations-impact-covid-19-tests
(29) COVID-19 vaccine surveillance report Week 42 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf
(30) Gallais et al., 2020, Intrafamilial exposure to Sars-cov-2 induces cellular immune response without seroconversion
https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/27/1/20-3611_article
(31) Cerba https://www.lab-cerba.com/home/vous-informer/news/sars-cov-2–un-nouveau-test-dans.html
(32) https://www.tspotcovid.com




Le Royaume-Uni installe la reconnaissance faciale dans les cantines

[Source : francesoir.fr]

Au Royaume-Uni, neuf écoles ont mis en place le paiement biométrique pour accéder aux services de la cantine. Un dispositif associé à un logiciel scanne le visage des enfants pour vérifier que le paiement de la cantine est en règle. L’enfant est ensuite admis ou rejeté de la salle de la cantine ! Cette procédure, de plus en plus répandue dans le monde pour payer des services publics, a attiré l’attention de plusieurs associations défenseurs des droits et libertés qui jugent ce système superflu, et dangereux pour la protection des données personnelles.

Une volonté des cantines de rendre l’entrée plus hygiénique et plus rapide

Selon les écoles concernées, situées dans la région du North Ayrshire en Écosse, l’utilisation de cette technologie est plus rapide et plus hygiénique que d’accepter des paiements à l’aide de cartes ou de scanners d’empreintes digitales. Cela “permet un service de déjeuner plus rapide tout en supprimant tout contact au point de vente », explique un dépliant distribué aux parents par les écoles. Selon David Swanston, directeur général de la société responsable de l’installation de la technologie, la reconnaissance faciale réduirait le temps de paiement par élève à cinq secondes en moyenne. Les parents doivent autoriser les enfants à utiliser la technologie de reconnaissance faciale et peuvent s’y opposer s’ils ne sont pas intéressés. Selon le conseil du North Ayrshire, cité par le média britannique Financial Times, 97 % des enfants ou des parents ont consenti à être inscrits. Mais, certains parents pensent que la décision de leurs enfants a été influencée par la pression de leurs camarades.closevolume_off

Une technologie superflue dans les écoles

Pour Ella Jakubowska, conseillère politique à European Digital Rights, l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles est « manifestement inutile ». Sa position est partagée par Silkie Carlo du groupe de campagne britannique Big Brother Watch. Selon elle, « cela normalise les contrôles d’identité biométriques pour quelque chose de banal ». Pour les militants, cette décision montre comment le Brexit est une occasion pour le Royaume de s’écarter des normes strictes de la protection des données de l’UE. « Les autorités françaises et suédoises ont interdit l’utilisation de la reconnaissance faciale dans les écoles pour protéger les enfants de technologies plus invasives que nécessaires. Notre régulateur, l’ICO, doit faire de même », a déclaré Jen Persson, directrice de Defend Digital Me, une organisation à but non lucratif.

Devons-nous laisser les machines prendre la responsabilité de décider de l’entrée à la cantine d’un enfant ?

Les enfants ne sont pas responsables de la gestion économique de leurs parents, et les priver des repas est une question trop sensible pour laisser les machines décider. Cependant, les décisions humaines ne sont pas toujours plus judicieuses que celles des machines. Le 9 septembre dernier, un enfant de sept ans était raccompagné chez lui par la police en Gironde, car sa famille était débitrice de 800 euros. La faute à l’implémentation de systèmes numériques de gestion de la cantine, qui a obligé à des parents à faire face à des retards de trois mois après la prise des repas, faisant monter les factures à des sommes plus difficiles à régler.

Auteur(s): FranceSoir




Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues

Par Nicole et Gérard Delépine

Objet : loi Vigilance santé Le 23 octobre 2021

Mmes, Mrs les Députés et Sénateurs,

Vous allez être amenés une nouvelle fois à voter pour ou contre l’élargissement de nos libertés et nous mesurons l’importance de vos responsabilités. Néanmoins beaucoup d’éléments se sont accumulés dans les derniers mois que nous nous permettons de vous rappeler ici, conscients de votre charge de travail sur tant de sujets différents.

Contrairement aux espoirs, la « vaccination » injection génique nouvelle technique utilisée pour la première fois chez l’Homme en infectiologie n’a pas permis d’éradiquer le coronavirus Sars Cov 2, puisque dans tous les pays très vaccinés, les contaminations ont repris, suivies par la hausse de la mortalité. L’exemple d’ISRAËL, qui devait convaincre le monde, est tristement instructif, puisque des responsables ont reconnu qu’ils ne pourront atteindre par ce biais l’immunité collective et devront injecter les citoyens au moins tous les six mois.

L’accumulation des effets indésirables quantifiée par les agences officielles, VAERS pour les USA, Eudravigilance pour l’UE, MHRA pour le Royaume-Uni entre autres, atteint des chiffres jusqu’ici inédits avec plus de 50 000 décès imputables cumulés, et des millions d’accidents dont près de la moitié la moitié sont notés graves par les mêmes agences.

Pouvons-nous douter de ces rapports de nos agences officielles et ne pas au minimum exiger un moratoire ? L’arrêt de toute injection au moins chez les jeunes parait une urgence tant les complications en particulier cardiaques sont tragiques pour un bénéfice nul.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes.

Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’État, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Les jeunes ne risquent rien du covid, ne transmettent pas le virus et le « vaccin » ne protège pas des contaminations, et peu des formes graves. La vaccination des plus jeunes n’a aucun intérêt sanitaire.

Parallèlement à l’échec du tout vaccin, bientôt reconnu par les instances, comme le prouve la mise sur le marché de cinq médicaments anticovid par l’agence européenne EMA courant octobre 2021, les pays qui se sont libérés de toute mesure sanitaire vont très bien, sans contamination ni mortalité élevée, en l’absence d’isolement, masque, etc. du fait de la très faible létalité du virus qui diminue à chaque nouveau variant, comme habituellement.

Ce sont les conséquences des vaccins et des mesures anticovid qui laissent évoluer le marasme sanitaire et économique. La comparaison entre les pays peu vaccinateurs qui facilitent un libre accès aux traitements précoces, et les pays hautement vaccinés qui les interdisent est éloquente et devrait convaincre le monde entier de cesser les restrictions des libertés. Les pays européens qui ont choisi cette option avec succès comme l’Angleterre et tous les pays nordiques s’en trouvent rassérénés.

En l’absence d’efficacité réelle de la vaccination contre les transmissions, le pass sanitaire n’a plus de justification médicale. Les conséquences juridiques de ces privations de liberté ne sont par ailleurs plus à souligner et inacceptables en l’absence de danger sévère comme une peste par exemple, mais pas pour un virus très peu létal et encore seulement chez les sujets à forte morbidité et âgés.

La décision de ne plus rembourser les tests apparaît comme une extorsion de consentement aux plus démunis et le porte-parole du gouvernement a avoué que c’était une ruse pour obliger à la vaccination non obligatoire. Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse.

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. Les directeurs concernés rejettent d’ailleurs officiellement cette décision.

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.(([1] « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6).
))

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Les plaintes pour discrimination s’accumulent, en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Le droit international érige un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose à ce droit reconnu par la France.(([2] L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».
))

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

La Défenseure des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21(([3] Fondamentalement, elle remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent. Et l’avis du 20 octobre 2021 explicite ses inquiétudes.)) ainsi qu’en octobre 2021.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ». Cette question de respect des droits de l’homme devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

En ce 22 octobre, des députés du Parlement Européen ont tenu une conférence de presse sur les abus de l’usage du Green Pass qui explicite une nouvelle fois les violations des droits de l’homme, les fondements démocratiques de L’Europe et des engagements du Parlement européen.

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

Pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles.

Les avancées de l’Assemblée nationale avec de nombreuses interventions de députés de tous bords lors de la première lecture de cette loi, nous font espérer que le Parlement aura la possibilité de s’opposer à la prorogation injustifiée de l’état d’urgence, et retrouver ainsi ses prérogatives législatives, sachant qu’en cas d’une reprise épidémique, l’utilisation des traitements précoces permettrait de régler rapidement la situation sanitaire comme dans tous les pays qui l’ont décidé, telle l’Inde.

En restant à votre disposition pour tout complément d’information, croyez en nos sentiments respectueux.





Lettre de Marc Wathelet, PhD, au Ministre belge de la santé

[Source : covexit.com]

Cette lettre de Marc Wathelet, PhD, Expert en Biologie Moléculaire et Immunologie, adressée au ministre belge de la santé, analyse non seulement les mandats imposés au personnel soignant, mais aussi la vaccination des enfants et le pass sanitaire “Safe Ticket” destiné à la population générale. Le contenu de la lettre est pertinent non seulement à la situation belge mais aussi à celle des autres pays adoptant ce genre de mesures coercitives et particulièrement discutables sur le plan de la santé publique.


Cher Monsieur Vandenbroucke, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique

Merci pour votre réponse à notre courrier concernant la vaccination obligatoire des soignants, que vous justifiez en vous basant sur un certain nombre d’affirmations qui ne sont pas étayées par une documentation de faits avérés scientifiquement. 

Au contraire, les données scientifiques disponibles à ce jour contredisent l’ensemble de votre argumentation et, comme détaillé ci-après, nous ne pouvons que conclure que la vaccination obligatoire des soignants est non seulement inutile, mais aussi contre-productive d’un point de vue de santé publique, au-delà du fait qu’elle viole les principes de bioéthique et de déontologie médicale, ainsi que les droits de l’homme. 

1) La vaccination obligatoire des soignants est inutile

La vaccination obligatoire des soignants est inutile car les études démontrent au-delà d’un doute raisonnable qu’elle ne permet ni de prévenir la contamination d’un individu, ni de réduire la charge virale des personnes infectées, et donc leur capacité à transmettre le virus à autrui.

Vous trouverez dans l’annexe A la longue liste de faits, de publications scientifiques et de déclarations officielles d’agences et d’individus qualifiés, comme par exemple le Dr. Fauci, qui confirme notre assertion que la vaccination ne permet pas de prévenir la contamination d’un individu et sa capacité à transmettre à autrui le variant delta circulant aujourd’hui.

Nous ne reprendrons ici que le dernier exemple en date : le 23 septembre, l’Irish Examiner annonçait que dans la ville de Waterford, 99,7 % des plus de 18 ans étaient complètement vaccinés, le plus haut total dans toute l’Union Européenne(([1] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)). Le 11 octobre, Waterford News & Star annonce que la ville a le plus haut taux d’incidence d’Irlande(([2] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)). 

Une seule conclusion s’impose, qui ne peut pas être contestée de bonne foi : au-delà des études, dans le monde réel, en pratique, la vaccination ne permet pas d’empêcher la transmission de SARS-CoV-2 au sein d’une communauté.

2) La vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique

Le message que les vaccins contre la COVID seraient « sûrs et efficaces », une affirmation non étayée si ce n’est que par l’absence du recul nécessaire, a été martelé constamment pendant de longs mois dans tous les médias. Un des effets néfastes de cette campagne est l’acceptation de cette affirmation comme un fait établi, non seulement par la population mais aussi par ses dirigeants.

En conséquence, les personnes vaccinées respectent moins les gestes barrières tels la distanciation ou le port du masque et, comme elles ont plus de chances d’être asymptomatiques lorsqu’elles sont infectées, ce qui les rend moins conscientes du risque qu’elles font courir à autrui, elles sont en fait plus susceptibles de propager le virus que les personnes non vaccinées.

En pratique, cela veut dire que le COVID Safe Ticket est non seulement inutile mais contre-productif : une licence pour les personnes vaccinées de contaminer autrui, qu’ils soient vaccinés ou non.

Le même raisonnement s’applique aux soignants, même s’ils observaient plus scrupuleusement les gestes barrières, car l’efficacité de ceux-ci n’est que partielle : vacciner tous les soignants n’empêchera pas la contamination « des personnes malades ou vulnérables en raison de leur grand âge » dont vous vous inquiétez à juste titre.

Nous sommes d’accord avec vous que « les personnes soignées ont droit à une sécurité maximale ». Nous vous proposons deux alternatives non exclusives à la vaccination obligatoire des soignants qui seront beaucoup plus efficaces pour prévenir les infections nosocomiales :

1. Faire tester tout le personnel soignant, vacciné ou non, à une fréquence élevée. À cet égard, notons que les tests naso-pharyngés ne sont pas sans risque, comme le rapporte l’Académie de médecine en France(([3] https://tinyurl.com/7fnj6nu8)). Deux autres méthodes plus sûres peuvent être considérées : un test antigénique oro-pharyngé ou un test PCR buccal.

2. Instaurer un programme de prophylaxie volontaire à base d’ivermectine : il y a 14 études qui soutiennent l’efficacité de cette approche(([4] https://ivmmeta.com.))

Enfin, la vaccination obligatoire des soignants est contre-productive d’un point de vue de santé publique car ceux qui refusent encore de se faire vacciner ne pourront plus travailler, et dès lors le nombre de soignants, déjà limitant, sera encore plus réduit, avec un impact néfaste sur la santé publique. En France, il y a ~300.000 soignants non vaccinés (~10 %)(([5] https://tinyurl.com/47j2pd5v)), et 15.000 d’entre eux sont déjà suspendus(([6] https://tinyurl.com/5ejfxewf)). Dans les hôpitaux belges, 9,4 % des soignants ne sont pas vaccinés et dans les MR/MRS, 13,1 % ne le sont pas(([7] https://tinyurl.com/4fzvma6m)).

3) L’illusion de l’immunité collective

Vous affirmez : « Selon les scientifiques, il faudrait que 70 % de la population totale (enfants compris) soit entièrement vaccinée pour que tout le monde soit protégé. Avec le variant Delta, qui est plus contagieux que les premiers variants, nous continuons à viser ces 70 %, mais nous nous efforçons d’atteindre le plus haut pourcentage possible. »

Cette opinion semble partagée surtout par les experts mandatés par le gouvernement. Au contraire, de nombreux scientifiques avaient anticipé le fait que vacciner pendant une pandémie ne soit pas une approche suffisante pour contrôler le virus, et les événements leur ont donné raison (voir annexe A pour une liste de citations).

Vous dites que « La vaccination réduit la circulation du virus ». Ceci est contredit par les articles cités plus haut à propos du variant delta (annexe A), l’exemple de la ville de Waterford, et maintenant une étude de grande envergure démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (une étude portant sur 68 pays, ainsi que 2947 comtés aux États-Unis)(([8] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

4) Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination

Vous dites « Si nous avons peur des variants, nous devons certainement vacciner davantage aujourd’hui. » Puisque les données objectives indiquent que la vaccination ne fonctionne pas en pratique, même quand tout le monde est vacciné, la solution ne peut pas être de vacciner plus !(([9] >>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD))

Il n’y a pas de raison d’avoir peur des variants : d’une part la létalité du variant delta est un dixième de l’alpha d’après Public Health England, et d’autre part la létalité de la COVID est intrinsèquement faible. Elle est surtout liée à la présence de comorbidités (99% des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96% chez des personnes avec de multiples comorbidités, Annexe B).

Surtout, cette létalité est comparable à celle causée par d’autres infections respiratoires. Dès lors, ni le COVID Safe Ticket ni la vaccination obligatoire ne sont justifiables d’un point de vue santé publique !

Les personnes à risque ont eu le loisir de se faire vacciner ou peuvent prendre un traitement prophylactique si elles choisissent de ne pas se faire vacciner. La situation de ces individus ne peut donc justifier de faire courir un risque inutile à d’autres individus en bonne santé.

Le risque inhérent à la vaccination contre la COVID à moyen et long terme reste tout simplement inconnu, faute du recul nécessaire (on note cependant le syndrome post-vaccinal prolongé, semblable au COVID long). Le risque à court terme est manifeste malgré les efforts intenses des autorités sanitaires, des médias traditionnels et des GAFAM pour supprimer toute information à ce sujet.

Par exemple, le Ministère israélien de la Santé a publié sur sa page Facebook un article sur les effets indésirables sévères qu’il qualifiait de très rares seulement pour se retrouver inondé par un déluge d’avis contraires de ses citoyens (14.000 en quelques heures), avis qui ont tout simplement été supprimés. Simplement nier cette réalité n’est pas une solution au problème qu’elle pose.

Facebook supprime systématiquement tout groupe qui recensent les effets indésirables des vaccins, groupes comptant des dizaines de milliers d’utilisateurs aux États-Unis et ailleurs. De quel droit ? Rien qu’en francophonie, la collection (non exhaustive) de captures d’écran de ces rapports individuels témoigne de l’ampleur catastrophique du phénomène(([10] https://tinyurl.com/337947zx)).

Les banques de données de pharmacovigilance à travers le monde rapportent toutes un surcroit d’effets indésirables sévères et de décès pour les vaccins contre la COVID :
(http://www.vigiaccess.org/ [OMS] ; 
https://vaers.hhs.gov/ [États-Unis] ;
https://yellowcard.mhra.gov.uk/the-yellow-card-scheme/ [Royaume-Uni] ;
https://www.adrreports.eu/en/search.html [Eudravigilance, Union Européenne]).

L’analyse des données de VAERS, par exemple, montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus, voir Annexe B). À quoi servent ces sites de pharmacovigilance si de tels chiffres sont balayés du revers de la main comme inconséquents, quand au contraire ils appellent à la suspension de la campagne de vaccination jusqu’à ce que leur signification soit établie ?

Les sites de « fact-checking », financés par l’industrie pharmaceutique, viennent à la rescousse de la doxa en affirmant qu’il n’y a pas de preuve que ces décès soient imputables aux vaccins. C’est inverser la charge de la preuve !

Selon un rapport de l’ANSM en France (28.01.2021), la règle officielle en pharmacovigilance, est celle-là : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence. »

De fait, un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; et ce n’est pas n’importe qui faisant ces déclarations, 67 % des rapports ayant été introduits par un médecin. De même dans Eudravigilance, 79 % des rapports concernant un décès ont été introduits par un professionnel de la santé.

Tous les critères de Bradford Hill sont observés, impliquant ces vaccins comme la cause de la plupart des effets indésirables reportés. Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination (voir annexe B).

Ces banques de données sont mal conçues, conduisant à des rapports erronés de part et d’autre du débat. On voit par exemple circuler pour Eudravigilance un chiffre supérieur à 25.000 décès suite à la vaccination contre la COVID. Une analyse plus rigoureuse indique 7.174 décès au 9 octobre 2021. L’analyse de VAERS donne un nombre de décès du même ordre de grandeur (7.680, au 8 octobre 2021).

Ces systèmes de pharmacovigilance sont passifs, conduisant à une sous-déclaration très importante du nombre réel de cas. Un facteur de 5 semble conservateur, mais peu importe le nombre exact, ce qui est incontestable c’est que des gens en bonne santé, sans comorbidité, jeunes, décèdent suite à la vaccination ou sont gravement blessés.

Le vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception. La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès. Nous en sommes à environ 3.000 fois plus au minimum (annexe B). Combien de morts de plus faudra-t-il avant que l’on ne se rende à l’évidence ?

Les données montrent que ceux qui font preuve de prudence vis-à-vis des vaccins sont plus éduqués en moyenne que ceux qui favorisent la vaccination, contrairement à la manière dont ils sont dépeints dans les médias.

Et la réalité des effets indésirables graves dus à la vaccination est confirmée par le fait que ce sont justement des soignants qui ne veulent pas être vaccinés, malgré leur éducation et le fait qu’ils sont généralement favorables à la vaccination (il ne s’agit pas d’antivax !), car ils sont en première ligne et peuvent constater les dégâts que ces vaccins-ci causent.

Il est dès lors profondément immoral de rendre la vaccination obligatoire, qu’il s’agisse de soignants ou de n’importe quelle catégorie de citoyens. De même, il est contraire à la bioéthique d’encourager à se vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, notamment les femmes enceintes et les moins de 18 ans.

Les décès d’enfants dû à la COVID sont extrêmement rares et observés exclusivement chez des individus souffrant de sévères comorbidités, et donc les décès d’enfants sains déjà enregistrés suite à la vaccination doivent conduire à un moratoire immédiat sur la vaccination des enfants et des femmes enceintes, outre l’absence de recul des effets à long terme de cette procédure sur ces populations.

La vaccination obligatoire viole non seulement l’éthique, mais également des concepts fondamentaux de droits, comme démontré par Alessandro Negroni, professeur de philosophie du droit à l’Université de Gênes :

« Au regard du droit européen et du droit international, les vaccins génétiques anti-covid constituent une expérimentation médicale sur les êtres humains. Or, d’un point de vue tant éthique que juridique, nul ne peut être obligé de se soumettre à une forme d’expérimentation médicale en l’absence d’un consentement libre et éclairé. » 

http://www.mediaplus.site/2021/10/09/les-vaccins-genetiques-anti-covid-sont-une-forme-dexperimentation-medicale/>>  Comment atteindre l’immunité collective – L’expert en virologie et vaccins Geert Vanden Bossche explique

Nous espérons que vous tiendrez compte de cette analyse sourcée, et que vous vous rendrez à l’évidence qu’il faut abandonner l’idée de la vaccination obligatoire avec des produits expérimentaux pour qui que ce soit, ainsi que l’implémentation d’un COVID Safe Ticket basé sur autre chose qu’un test récent.

Abandonnons aussi le nihilisme thérapeutique, et traitons les individus contaminés précocement, comme la médecine l’avait toujours fait avant le début de cette crise.

Avec notre profond respect, 

Par Reinfocovid Belgique et l’ASBL « Notre Bon Droit »

Analyse par Marc G. Wathelet, Ph.D. (Biologie Moléculaire)

ANNEXE A Les données concernant l’effet de la vaccination sur la contamination et la transmission de SARS-CoV-2

L’effet de la vaccination sur le risque de contamination par SARS-CoV-2 et sa transmission à autrui était modeste dans les études initiales, mais le déclin rapide de l’immunité chez l’individu vacciné et l’apparition de variants plus contagieux rend cet effet négligeable aujourd’hui, comme discuté en détails dans ce document(([11] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)), rédigé dans le cadre d’une action en justice de l’ASBL « Notre Bon Droit » en opposition au « COVID Safe Ticket » proposé par le Gouvernement belge.

Ce document date du 28 juillet 2021, contient 50 références et les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Données de Public Health England jusqu’à la 40ème semaine de 2021

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Les données les plus récentes de Public Health England indiquent que dans toutes les cohortes le taux d’infection est plus élevé chez les vaccinés que chez les non-vaccinés à partir de 30 ans. Dans ces conditions, l’obligation de la vaccination est simplement absurde. 

Les CDC et le Dr. Fauci reconnaissent l’impact de la plus grande contagiosité du variant delta et réinstaure le port du masque pour les vaccinés(([12] https://www.cnbc.com/2021/07/28/dr-fauci-on-why-cdc-changed-guidelines-delta-is-a-different-virus.html)).

Par ailleurs, le document cité ci-dessus(([13] https://www.linkedin.com/pulse/questions-sur-limmunisation-et-la-transmission-de-marc-wathelet/?published=t)) compare aussi l’immunité contre SARS-CoV-2 acquise à la suite de la vaccination et celle consécutive à une infection naturelle et montre que cette dernière est plus robuste, plus large, plus équilibrée entre la production d’anticorps et de cellules T, et dure plus longtemps que l’immunité vaccinale, ce qui se traduit par une meilleure et plus durable protection contre l’infection pour les individus convalescents comparativement aux vaccinés.

Les soignants font partie de ceux qui ont été les plus exposés au virus jusqu’à présent, et il serait donc absurde de leur imposer une vaccination quand leur immunité naturelle est plus efficace. Ici aussi, les études apparues depuis cette date ne font que confirmer cette analyse :

Le collectif #Covidrationnel en Belgique, qui comprend une trentaine de professeurs d’universités, chercheurs et médecins a réalisé une analyse semblable et arrive aux mêmes conclusions :
https://covidrationnel.be/2021/10/06/de-source-sure/

Ces études sont confirmées par les observations dans le monde réel, dans les territoires avec le plus haut taux de vaccination comme par exemple les Seychelles, Gibraltar, l’Islande, ce haut taux n’empêche pas d’importantes vagues de contamination qui suivent de près la campagne de vaccination.

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Plus récemment, dans la ville de Waterford en Irlande où 99,7 % des plus de 18 ans sont complètement vaccinés(([14] https://www.irishexaminer.com/news/arid-40704104.html)), cette ville connait malgré ça le plus haut taux d’incidence d’Irlande (618,9 contaminés par 100.000 sur les 2 dernières semaines)(([15] https://waterford-news.ie/2021/10/11/waterford-now-has-highest-incidence-of-covid-in-ireland/)).

Une étude globale récente démontre que les augmentations de COVID-19 ne sont effectivement pas liées aux niveaux de vaccination à travers le monde (68 pays et 2947 comtés aux États-Unis)(([16] https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7)).

ANNEXE B  Les dangers de la COVID vs. les dangers de la vaccination contre la COVID 

Il n’est pas utile d’un point de vue de santé publique de considérer le taux de létalité général, il s’agit d’identifier les populations à risque. 

Les dangers de la COVID

Les dangers de la COVID sont liés à l’âge et à la présence de comorbidités, 99 % des décès surviennent chez des personnes avec une comorbidité, 96 % chez des personnes avec de multiples comorbidités d’après les CDC américains :

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Les taux de survie au COVID par tranche d’âge selon l’équipe du Dr. Ioannidis:

Âge Taux de survie
0-19 99.9973%
20-29 99.986%
30-39 99.969%
40-49 99.918%
50-59 99.73%
60-69 99.41%
70+ 94.5%

Ces chiffres ne distinguent pas la COVID d’autres infections respiratoires en termes de létalité, et donc ne justifient pas une approche différente pour gérer cette maladie d’un point de vue de santé publique. Dès lors ni le COVID Safe Ticket, ni la vaccination obligatoire ne sont justifiés d’un point de vue de santé publique !

Les dangers de la vaccination contre la COVID

Il y a d’excellents vaccins, avec un rapport risque bénéfice très favorable, contre des maladies sévères, comme par exemple le tétanos ou la fièvre jaune. Cependant, le rapport bénéfice risque s’avère parfois défavorable, et le vaccin en question est alors retiré du marché.

Par exemple, un vaccin contre le rotavirus a été retiré du marché en 1999 à cause de seulement 15 cas d’intussusception(([17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2094741/)).

La campagne de vaccination contre la grippe porcine en 1976 a été interrompue après 25 décès(([18] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/09/15/le-precedent-vaccinal-de-1976_1240713_3244.html)). Elle a causé également 532 cas de syndrome de Guillain-Barré.

Qu’en est-il pour les vaccins contre la COVID ?

Une simple corrélation n’est pas synonyme de causalité. On utilise les critères de Bradford Hill, qui s’avèrent largement vérifiés pour ces vaccins comme montré ci-après, la liste est :

  • 1.    Force de l’association (plus l’ampleur des effets liés à l’association sont larges, plus un lien causal est probable, même si un faible effet n’implique pas une absence de lien de causalité) ;
  • 2.    Stabilité de l’association (sa répétition dans le temps et l’espace)
  • 3.    Cohérence (les mêmes observations sont réalisées dans différentes populations) ;
  • 4.    Spécificité (une cause produit un effet particulier dans une population particulière en l’absence d’autres explications);
  • 5.    Relation temporelle (temporalité). Les causes doivent précéder les conséquences ;
  • 6.    Relation dose-effet (une plus large dose mène à un plus large effet);
  • 7.    Plausibilité (plausibilité biologique, possibilité d’expliquer les mécanismes impliqués) ;
  • 8.    Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme) ;
  • 9.    Analogie (possibilité d’explications alternatives). 

Par exemple, la temporalité (#5) montre une incidence très élevée de décès dans les jours qui suivent la vaccination, avant de redescendre au niveau normal.

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Le même profil des effets indésirables est observé en Europe et aux États-Unis (#3), dont voici la liste, en ordre décroissant de fréquence par rapport à leur norme respective :
>>  Effets adverses : que nous disent les données du système américain VAERS – un entretien avec Jessica Rose, PhD

embolie pulmonaire, accident vasculaire cérébral, thrombose veineuse profonde, thrombose, augmentation des dimères de fibrine D, appendicite, acouphènes, arrêt cardiaque, décès, maladie de Parkinson, parole lente, aphasie (incapacité de parler), fatigue, épanchement péricardique, maux de tête, frissons, péricardite, surdité , myocardite, hémorragie intracrânienne, avortement spontané, toux, paralysie de Bell , paresthésie, cécité, dyspnée (difficulté à respirer), myalgie, dysstasie (difficulté à se tenir debout), convulsions, réaction anaphylactique, suicide, trouble de la parole, purpura thrombotique thrombopénique, paralysie, gonflement, diarrhée, neuropathie, syndrome de dysfonction multiviscérale, dépression.

Leur nombre augmentent avec le niveau de vaccination, et il y a spécificité (#4), le profil d’effets indésirables repris ci-dessus est différent de celui observé pour les vaccins contre la grippe mais est semblable aux effets de la COVID ; aussi, certaines populations sont affectées différemment, par exemple les myocardites et péricardites touchent plus les jeunes hommes.

Plausibilité biologique (#7) : les vaccins contre la COVID produisent dans nos cellules la protéine Spike de SARS-CoV-2 comme le fait l’infection avec le virus, et les effets indésirables ressemblent à ceux observés dans la maladie ; la protéine Spike fait preuve in vitro d’une toxicité intrinsèque vis-à-vis des cellules endothéliales et des péricytes cardiaques :

Preuve expérimentale (chez l’animal ou chez l’homme, #8), expériences sur les souris reproduisent la myopéricardite(([19] https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab707/6353927)).

Force de l’association (#1) et stabilité (#2) :

Rapport des effets indésirables graves et des décès pour tous les vaccins contre la COVID par million de doses comparé aux vaccins annuels contre la grippe de 2016 à 2021, au vaccin contre la souche H1N1 de la grippe en 2009-2010, et à tous les vaccins excepté ceux contre la COVID de 2006 à 2021 dans le système VAERS américain.

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L’analyse des données de VAERS montre une incidence beaucoup plus élevée pour les vaccins contre la COVID que contre la grippe d’effets indésirables sévères (28X plus) et de décès (57X plus).

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans VAERS pour les 3 vaccins aux États-Unis contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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Un audit des données de VAERS montre que seulement 14 % des décès consécutifs à la vaccination peuvent être attribués à une autre cause ; au moins 67 % des rapports ont été introduits par un médecin.(([20] https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_Adverse_Events_Reporting_System_VAERS_Database_Interim_Results_and_Analysis?channel=doi&linkId=60dc44c9a6fdccb745f48fc7&showFulltext=true))

Le système VAERS étant passif, seule une faible proportion des cas réels y sont recensés. On peut estimer cette proportion sur base d’une étude portant sur 64.900 employés d’un hôpital du Massachusetts mesurant les réactions graves compatibles avec l’anaphylaxie qui peuvent survenir immédiatement après la vaccination : elles se sont produites à un taux de 2,47 pour 10.000 vaccinations. Le taux d’incidence de l’anaphylaxie confirmée dans cette étude est plus élevé que celui rapporté par les CDC sur la base des méthodes passives (VAERS) de notification spontanée (0,025-0,11 pour 10.000 vaccinations).(([21] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2777417))

Ces données suggèrent que le sous-reportage dans VAERS est d’un facteur compris entre 22.5 et 98.8 !

Ce qui indique que le nombre de décès dépasse 150.000 et le nombre d’effets indésirables sévères dépasse le million aux États-Unis. 

Chiffres absolus des effets indésirables graves et décès dans l’Espace Économique Européen pour les 4 vaccins contre la COVID, et leur rapport par nombre d’injections.

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79% des rapports de décès ont été introduits par un personnel soignant.

La règle officielle en pharmacovigilance : « L’analyse des cas déclarés prend en compte les données cliniques, chronologiques, sémiologiques, et pharmacologiques. Elle peut conduire à écarter la responsabilité du vaccin dans la survenue d’un évènement indésirable observé dès lors qu’une autre cause, certaine, est mise en évidence.(([22] https://www.lelibrepenseur.org/temoignage-explosif-demission-dun-membre-du-comite-scientifique-permanent-pharmacovigilance-de-lansm/embed/#?secret=ddpd8Qzwpd))

Quand les autopsies, qui ne sont que trop rarement faites, sont réalisées, entre 30 et 100 % des décès sont imputables à la vaccination. Peter Schirmacher, pathologiste en chef à l’Université de Heidelberg, a déterminé que les rapports d’autopsies indiquent qu’au minimum 30 à 40 % d’un échantillon de 40 personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination sont effectivement décédées du vaccin, en étant conservatif(([23] https://www.aerzteblatt.de/nachrichten/126061/Heidelberger-Pathologe-pocht-auf-mehr-Obduktionen-von-Geimpften)). 

Les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies. Sur les dix décès, sept sont “probablement” liés aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible mais pas certain ».(([24] https://tinyurl.com/3b779fer)).

En Norvège, quand 23 décès consécutifs à la vaccination sont survenu dans un EHPAD, les autorités ont procédé à 13 autopsies et ces 13 décès se sont avérés liés à la vaccination(([25] https://norwaytoday.info/news/norwegian-medicines-agency-links-13-deaths-to-vaccine-side-effects-those-who-died-were-frail-and-old/)).  

Un centre français d’évaluation des médicaments conclu que vaccination contre la COVID doit être interrompue(([26] https://tinyurl.com/2s64aenn)), pour les 4 produits. Et le vaccin Moderna est abandonné par certains pays pour les plus jeunes (Norvège, Suède, Danemark ; la France pour la seconde dose).

Voir aussi :
https://www.researchgate.net/publication/354601308_Paradoxes_in_the_reporting_of_Covid19_vaccine_effectiveness_Why_current_studies_for_or_against_vaccination_cannot_be_trusted_and_what_we_can_do_about_it

Enfin, dans un article intitulé « Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre la COVID ? », les auteurs concluent que non seulement leur vaccination est contrindiquée, mais que même pour les sujets les plus vulnérables de plus de 65 ans, l’analyse du rapport risque bénéfice montre qu’il y a 5 fois plus de décès attribuables à la vaccination qu’à la maladie(([27] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S221475002100161X)).

Il est contraire à la bioéthique et la loi de vacciner des classes d’individus qui étaient exclues de la phase 3 des essais cliniques, en particulier les moins de 18 ans.(([28] https://medcritic.fr/la-vaccination-des-enfants-contre-le-covid19-1/)): la société en vaccinant les enfants les soumet à un risque dans le but de protéger les adultes sans considérer leur bien-être, alors que c’est aux adultes qu’il incombe de se protéger.

Il est par ailleurs non seulement inexact que le variant delta serait plus dangereux pour les enfants(([29]
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.10.06.21264467v1)), mais les données de l’office national des statistique (ONS) britannique indique une augmentation de 46 % des décès dans la tranche d’âge 15-19 ans depuis que leur vaccination a été autorisée (+63 % chez les jeunes hommes, +16 % chez les jeunes femmes #4 ), comparé à la même période en 2020.(([30] https://theexpose.uk/2021/09/30/deaths-among-teenagers-have-increased-by-47-percent-since-covid-vaccination-began/)).

La présente lettre, datée du 17 Octobre, est reproduite avec permission d’un post sur LinkedIn. Une version anglaise sera disponible sous peu.