Globalisme et dépopulation

[Source : Nicolas Bonnal]

(Préface pour le livre qui paraîtra dans la version roumaine le mois prochain)

Par Iurie Rosca

Le livre de notre ami français Pierre-Antoine Plaquevent « https://www.thebookedition.com/fr/globalisme-et-depopulation-p-391362.html » s’inscrit brillamment dans la démarche intellectuelle de la Résistance antimondialiste qui s’est donné la lourde, risquée et honorable mission d’exposer les plans des élites diaboliques pour massacrer le plus grand nombre à l’échelle planétaire. Face au discours dominant qui tente d’imposer sa propre narration rusée et séduisante, l’auteur effectue un travail d’investigation colossal, mettant au jour, systématisant et expliquant une quantité impressionnante de documents, de témoignages, de livres et de déclarations des théoriciens malthusiens d’hier et d’aujourd’hui. En effet, la véritable identité et la nature des objectifs de la caste d’assassins qui s’auto-divinisent et se considèrent comme les maîtres du monde peuvent également être comprises grâce à la méthode d’analyse suivante. Ils camouflent toujours leurs plans génocidaires sous de nobles intentions, sous le souci de l’humanité, sous la vocation de sauver la planète.

C’est précisément le mérite fondamental de cette recherche effectuée avec une précision professionnelle et une rigueur académique exemplaire. Tout lecteur, qu’il soit sceptique ou simplement ignorant, trouvera à chaque page des arguments inattaquables qui mettent en lumière les sinistres plans des mondialistes visant à tuer le plus grand nombre de personnes possible par un nombre étonnant de méthodes sophistiquées minutieusement conçues dans les laboratoires scientifiques de la gouvernance mondiale. La description des origines spirituelles et scientifiques de ces théories génocidaires, la citation massive de sources indiscutables, permettent à l’auteur de travailler avec des faits, des preuves indiscutables, et non des opinions ou des impressions subjectives.

Comme dans son précédent ouvrage, Soros et la société ouverte, métapolitique du mondialisme, que nous avons publié en roumain sous l’égide de l’Université Populaire en 2020, Pierre-Antoine Plaquevent fait preuve d’un talent particulier dans la présentation de la matière, préférant construire l’ensemble de son argumentation sur des bases factuelles solides, les commentaires et jugements de l’auteur ne résultant que de l’enchaînement d’éléments objectifs. Bien entendu, la démarche de notre auteur est directement motivée par l’opération spéciale des élites mondialistes, déclenchée en 2020 sous le nom de code Covid-19, qui vise la même stratégie, la dépopulation par injection massive de sérums tueurs qui ont été imposés à des milliards d’individus dans le monde. Cette année fatidique semble marquer l’offensive générale des comploteurs de l’hyperclasse mondiale, obsédés par l’instauration d’une tyrannie techno-scientifique à l’échelle mondiale.

De l’urgence sanitaire à l’urgence climatique, des faux virus au faux réchauffement climatique, les grands serpents du monde avancent à une vitesse vertigineuse, usant d’une multitude de stratégies qui échappent au commun des mortels. La fausse pandémie lancée en 2020 via l’Organisation mondiale de la santé et l’obéissance totale de tous les gouvernements des pays du monde (les exceptions ne font que confirmer la règle !) a mis en lumière ce qui, jusqu’à récemment, semblait incroyable ou le fruit de « conspirationnistes » : le Gouvernement mondial n’est pas une fiction, mais une réalité frappante. Il impose sa politique par l’intermédiaire de l’ONU et de ses agences, qui conservent leur prestige de forum international réunissant les États formellement indépendants du monde.

 Le livre de notre auteur démontre amplement une vérité difficile à accepter, mais parfaitement valable. Le processus d’érosion de la souveraineté nationale des États du monde par des moyens économiques d’abord, mais aussi par une guerre non militaire multidimensionnelle — culturelle, informationnelle, idéologique et surtout cognitive — est un fait accompli. Et ce, au-delà des grandes rivalités entre États et groupes d’États. Puisque tous les pays du monde acceptent docilement des politiques telles que celles de l’Agenda 2030, la religion du covidisme et du climatisme, des concepts tels que « l’économie verte » et le Développement Durable, la numérisation totale, la suppression de l’argent liquide, les passeports électroniques, les QR codes, les « smart things » — « smart cities » — « smart bodies », etc., etc., tous les conflits entre eux deviennent absolument secondaires face à l’instauration imminente d’une tyrannie globale portant le nom des deux jumeaux fatidiques Technocratie et Transhumanisme. 

Et pour faciliter l’instauration et la gestion de ce nouveau type de totalitarisme mondial, les serviteurs des ténèbres réduisent méthodiquement la population mondiale dans des proportions terrifiantes. Leur enjeu est que l’anesthésie des masses ait réussi, et que leur euthanasie se fasse sans risque pour eux-mêmes. C’est pourquoi le travail des alarmistes comme notre auteur vise à réinformer les gens, à les réveiller et à les mobiliser pour défendre le droit à la vie et à la liberté. Après un exposé d’une rare force de conviction, notre auteur, qui est un bon chrétien — malheureusement un rare avis dans un Occident déchristianisé ! — conclut son livre en espérant que l’aide de Dieu permettra cette fois encore de déjouer les plans dystopiques des élites lucifériennes.

Iurie Rosca




Surveillance totale et risque de coup d’état en France ?

[Source : Idriss J. Aberkane]

Grève discrète des policiers en France, progression écrasante d’un modèle de société orwellienne et fascisante où « si vous n’avez rien à cacher vous n’avez rien à craindre », et dans laquelle n’importe qui pourra voir les caméras de ses téléphones et ordinateurs ouvertes à son insu, jamais la société française n’a été aussi proche à la fois de l’implosion et du totalitarisme. Devoir d’information oblige, nous faisons le point avec Rémy de la chaîne Juste Milieu, un des plus éminents journalistes citoyens du Paysage Internet Francophone.

[Voir aussi :
L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité]




Le traité pandémies de l’OMS n’est pas fait pour améliorer la santé des populations, mais celle de Big Pharma

[Source : @Cielvoile]

Maria Zeee interviewe l’avocat Roguski sur le traité pandémies de l’OMS






« Vaccins » covid : entre cons et complotistes, qui a raison ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

« En matière de grande catastrophe publique (covid ?), il faut toujours privilégier la connerie au complot. La connerie est à la portée de tous, c’est donc assez largement répandu. Le complot nécessite beaucoup d’intelligence et d’organisation, c’est très rare ».

J’aime bien ce propos de Michel Rocard, datant d’avril 2016. Alors une fois n’est pas coutume ici, soyons complotistes pour ne pas être cons. Le complotiste, depuis 3 ans, se définit comme celui qui évoque des faits avérés conduisant à un discours que l’on ne doit pas entendre.

L’ICAN, Informed Consent Action Network, est une association créée aux États-Unis par des juristes en 2016 afin de faire respecter le droit au consentement éclairé, notion primordiale en matière de soins et de respect de la personne humaine. Elle a remporté avec succès nombre de poursuites dans le domaine de la santé contre les CDC (Centers for Disease Control), les NIH (National Institutes of Health) et la FDA (Food and Drug Administration). Après une victoire historique, la FDA a été contrainte de produire en juillet 2022 des dizaines de milliers de documents chaque mois concernant les vaccins covid-19 Pfizer. L’ICAN publie sur https://icandecide.org/about-us/.

LES DOSSIERS FOURNIS PAR PFIZER

L’ICAN vient de sortir son rapport sur la dernière fourniture de documents de la FDA de juillet 2023, composée des dossiers de 212 personnes qui ont participé à l’essai clinique de Pfizer. Voici quelques extraits, dont les conclusions peuvent être édifiantes.

Tous les événements indésirables (EI) reportés dans les dossiers Pfizer, tous consultables par les sceptiques, se sont produits après vaccination, soit dans le groupe de vaccinés d’origine, mais aussi de patients du groupe placebo d’origine qui ont finalement été vaccinés après la levée de l’aveugle. Le groupe placebo ayant été supprimé, il ne permet plus les comparaisons à moyen et long terme entre vaccinés et non vaccinés, ce qui est un premier scandale.

Dossier 11111016 : homme de 70 ans, hospitalisé pour thrombose au mollet droit, embolies pulmonaires et fibrillation auriculaire, 2 jours après sa première injection. Absence totale d’antécédents cardiovasculaires et médicaux comme confirmé dans le dossier de Pfizer. Conclusion Pfizer sur l’EI dans ce dossier de 224 pages : le vaccin n’est pas en cause, les problèmes sont dus à « un voyage prolongé en voiture ».

Dossier 11241106 : homme de 49 ans, avec comme seul antécédent un cholestérol élevé, hospitalisé pendant 16 jours pour un infarctus du myocarde causant un accident de vélo, 11 jours après sa deuxième dose. Dans le dossier Pfizer, l’infarctus est signalé comme « non lié » au vaccin, mais « lié à un risque cardiovasculaire » présent chez le patient ! Dans ce dossier l’ICAN déplore l’absence de report de ces EI dans le fichier de « réactogénicité » (EI des vaccins dans les essais cliniques), fichier prévu dans le protocole Pfizer et colligeant les EI.

Dossier 10281033 : homme de 48 ans, qui a déclaré que sa partenaire était enceinte deux mois et demi après sa deuxième dose, avec fausse couche trois semaines plus tard. Comme on peut le voir dans le dossier, la principale préoccupation de Pfizer semblait être de déterminer si la partenaire participait également à l’étude, et, dans l’affirmative, de s’assurer que cet événement indésirable n’était pas signalé deux fois. Non reporté dans le fichier de réactogénicité.

Dossier N° 10281283 : homme de 70 ans, avec antécédents cardiaques et rénaux, hospitalisé pour fibrillation auriculaire et insuffisance rénale aiguë 12 jours après sa deuxième dose. Édifiant : la personne qui saisit les informations sur l’EI admet que la cause de l’EI a été « inventée » lorsqu’on lui demande pourquoi la « déshydratation » était répertoriée comme la cause de l’insuffisance rénale aiguë. On apprend que cette déshydratation n’était qu’une hypothèse avancée par le médecin pour chercher à expliquer le problème rénal, hypothèse devenue un fait et la cause de l’EI, alors que cette déshydratationn’a jamais été démontrée, ne figurant pas dans le dossier médical et non signalée par le patient ! Aucune information dans le recueil de réactogénicité n’a été recueillie pour ce patient.

Dossier N° 10921015 : homme de 68 ans, hospitalisé pour fibrillation auriculaire une semaine après sa première dose. Il souffrait d’hypertension et de dyslipidémie (cholestérol élevé), mais aucun autre problème de santé connexe. Non rapporté.

Dossier N° 11351033 : homme de 68 ans, qui s’est suicidé 4 jours après avoir reçu sa première dose de vaccin, et après avoir reçu deux doses de placebo cinq mois plus tôt. Pfizer a vérifié ses antécédents pour « tentatives de suicide ou hospitalisation récente pour cause de dépression » et n’en a trouvé aucun.

Dossier N° 10391010 : homme de 85 ans ayant des antécédents cardiaques, son cœur a lâché deux mois après sa deuxième injection. Cafouillage entre employés dans le dossier, pour le classement entre degrés de toxicité, 4 ou 5, et aucun report de réactogénicité n’a été fait pour ce sujet.

Dossier N° 11311204 : homme de 85 ans avec entre autres antécédents cardiaques, hospitalisé pour une aggravation de la sténose aortique 15 jours après sa première injection et décédé d’un arrêt cardiaque 10 jours plus tard. Encore une fois, aucune information sur la réactogénicité n’a été recueillie pour ce sujet.

Dossier N° 10711023 : femme de 56 ans avec antécédents cardiaques, diabète et accident vasculaire cérébral en 2019, hospitalisée pour une aggravation de sa maladie coronarienne 11 jours après sa première dose. Sortie de l’étude le 28 août 2020, en raison d’un SAE (Serious Adverse Event) ne répondant plus aux critères d’éligibilité de l’inclusion, qui nécessitaient des « participants en bonne santé ». De toute évidence, l’accident vasculaire cérébral, le diabète et les antécédents d’insuffisance cardiaque de cette personne en 2019 n’ont pas été considérés comme suffisants pour la disqualifier comme en mauvaise santé, mais cela devient a posteriori un critère d’exclusion si cela ne va pas bien ! Comme on pouvait s’y attendre, son événement indésirable a été marqué « non lié » au vaccin, l’aggravation de sa maladie cardiaque étant causée par sa maladie cardiaque. Exclue de l’étude et de ses EI !

Dossier N° 10211127 : homme de 54 ans, hospitalisé pour insuffisance cardiaque 26 jours après sa deuxième dose. Il a récupéré, mais s’est retrouvé à l’hôpital six semaines plus tard, où il est finalement décédé d’une insuffisance cardiaque. Malgré les critères d’inclusion de l’essai qui exigeaient que les participants soient jugés « en bonne santé », la cause du décès n’a pas été mise sur le compte du vaccin, mais de son insuffisance cardiaque, comme pour le dossier précédent. Pages 144 et 145 on tergiverse : « L’aggravation de l’insuffisance cardiaque chronique (ICC) a entraîné la mort. Veuillez préciser pourquoi cela ne serait pas considéré comme un SAE (Événement indésirable grave = EIG) s’il entraînait la mort »… « à des fins administratives, veuillez soumettre un suivi SAE indiquant que l’événement aggravation de l’ICC n’est plus un SAE », et page 150 : « L’événement a entraîné la mort, mais il n’est pas nécessaire d’être retenu comme un SAE ».

On constate à la lecture de ces dossiers que tout a été fait pour ne pas retenir la responsabilité du vaccin dans nombre d’événements indésirables, même graves et pouvant conduire au décès. Certains patients ont même été sortis de l’étude pour en améliorer le bilan (Dossier N° 10711023).

On peut constater également que, bien que Pfizer ait sélectionné des bien portants, ceux avec comorbidités ne semblent pas avoir été protégés, mais parfois plutôt aggravés, alors que cela devait être la première cible pour l’indication vaccinale.

L’essai de Pfizer a inclus plus de 43 000 personnes, mais, à ce jour, la FDA n’a produit que 785 formulaires de rapports de cas, soit pour moins de 2 % des participants à l’essai. Le plus gros des dossiers ci-dessus fait 369 pages. Malheureusement, quantité ne rime pas avec qualité, et la quantité permet de noyer et de cacher le principal. Cela fait croire à un gros travail sérieux, c’est le contraire. J’ai épluché les 180 pages du dernier cas cité, le nombre de corrections et d’anomalies est impressionnant. J’ai déjà rempli des dossiers pour des études de phase 3, ici, cela a été fait par des amateurs, incapables de mettre une date, de répondre oui ou non à des questions simples.

CONCLUSIONS

Comme on le voit sur ces dossiers, Pfizer était parfaitement au courant de tous ces effets indésirables, notamment cardiovasculaires, et pouvant être mortels. Certains ont été supprimés, d’autres cachés, minimisés, tout comme a été caché le fait que le vaccin ne protégeait pas de la contamination ou de la transmission, afin de présenter un vaccin « efficace et sûr », ce qui est loin d’être le cas. Si je sais compter, 4 décès et 9 événements indésirables graves (EIG) sur ces 212 dossiers fournis par Pfizer, cela fait 4 % de EIG avec mortalité de 2 %, pour un vaccin censé lutter contre une maladie mortelle pour 0,2 % des malades ! Combien va-t-on en trouver sur les autres dossiers ? Plus ? Moins ? On comprend mieux que Pfizer et la FDA aient tout fait pour ne pas fournir ces documents. Si le vaccin est sans danger, pourquoi ne pas avoir donné les dossiers immédiatement ? Les auteurs de toutes les études observationnelles sur les traitements précoces ont toujours laissé un libre accès à leurs dossiers, Raoult le premier, n’ayant rien à cacher ni à se reprocher. Ici c’est le contraire.

N’oublions pas que la FDA avait accès à tous ces dossiers avant d’accorder l’autorisation d’utilisation, ainsi que toutes les agences de sécurité du médicament qui ont délivré leurs autorisations. Ces agences n’ont pas lu ces dossiers, et ont fait prendre des risques énormes aux patients en ne remplissant pas leur rôle. Elles ont fait confiance à un laboratoire pourtant multicondamné pour fraudes et dissimulations dans ses études. Si c’est le cas, leur responsabilité est énorme.

Les politiques ont couvert tout cela et continuent de le couvrir. Ce n’est pas sans raison que les laboratoires pharmaceutiques ont demandé à être déchargés des conséquences de ces effets secondaires. Ils savaient où ils allaient, ils savaient le risque énorme pour les patients, et ils ont refusé de l’assumer. Les politiques ont accepté ce risque en toute connaissance de cause. Pourquoi les politiques font-ils tout pour cacher les contrats, s’ils sont clairs et n’ont rien à cacher ? Pourquoi font-ils tout pour éviter que le PDG de Pfizer ne vienne s’expliquer devant des représentants du peuple ? Une question s’impose : est-ce que l’argent serait plus important que la santé des concitoyens ?

Si on regarde Wikipédia et non les sites « complotistes », on apprend que Pfizer a à son actif plus de 40 plaintes entre 1995 et 2009, avec 6,17 milliards de dollars acquittés d’amendes. Pour une affaire sanctionnée par 2,3 milliards de dollars d’amende, on peut lire sur le site du Département de la Justice américain qu’« il s’agit du plus grand règlement de fraude de l’histoire contre une société pharmaceutique ». Pfizer aurait « trompé les programmes d’assurance-maladie gouvernementaux et versé des commissions occultes à de nombreux professionnels de santé pour pouvoir étendre la commercialisation de ses médicaments ».

Pfizer est l’entreprise la plus condamnée au monde dans le domaine de la santé, nos dirigeants font affaire avec ces escrocs, qui récupèrent dans de nouvelles actions, aidées par les autorités, de quoi payer 10 fois les amendes de la précédente. On peut lire sur le site du Parlement Européen dans la rubrique des questions au parlement, celle de Mathilde Androuët, qui demande en janvier 2021 si la Commission a pris en compte le passif de Pfizer. La réponse de Mme Stella Kyriakides (commissaire européen à la santé) ne répond pas à la question, les antécédents de Pfizer ne sont pas un problème.

L’histoire se répète avec la complicité des autorités (et de la presse qui muselle ses journalistes d’investigation). Alors comme le dirait Michel Rocard, face à ce scandale (inter) national, ceux qui pensent que les dossiers fournis par Pfizer, les propos recueillis sur le site du département de la justice américaine, les questions au Parlement Européen, etc., sont authentiques, sont des complotistes, et ceux qui pensent que ce sont des faux, sont des cons. Je suis triste de cette évolution de la société qui a perdu toutes ses valeurs, et qui me conduit à être fier d’être complotiste, pour ne pas être un vrai con.

Pour les sceptiques, s’ils veulent bien enlever leurs œillères et consulter les dossiers de Pfizer, les originaux sont tous ici : https://icandecide.org/pfizer-documents/, et il y en a encore à venir. Je dois reconnaître à leur lecture, que c’est plus facile d’écouter Véran, Delfraissy, Fischer, Salomon ou Macron, et c’est plus facile d’être con qu’intelligent selon Rocard.




La secte covidienne et ses gourous

[Extrait de : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

La secte covidienne et ses gourous

Parmi les libertés protégées par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, on trouve la liberté de conscience et de religion.

La Commission des droits de la personne et de la jeunesse écrit ceci :

« Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.

Par exemple, vous avez le droit de pratiquer la religion de votre choix ou de ne pas adhérer à une croyance ou à une religion. La liberté de religion signifie aussi que l’État ne peut imposer une religion à la population ou favoriser une religion plus qu’une autre. » (Soulignements ajoutés)

En mars 2020, de nombreux États, incluant les nôtres, ont imposé bien plus qu’une religion.

Ils ont imposé une secte : le covidisme.

Cette affirmation paraît complètement dénuée de raison, pourtant, si l’on se fie aux critères des experts en phénomènes sectaires, le covidisme obéit à tous les critères d’une secte.

Pas quelques-uns.

TOUS les critères.

Dans la décision de la Cour supérieure dans le dossier Guitouni c. Radio-Canada, on trouve un passage éclairant sur le fonctionnement des sectes grâce au témoignage d’un expert en la matière, le Dr Mike Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte.

Dr Kropveld était l’expert de la société d’État dans ce dossier. Celle-ci défendait le comportement de ses journalistes, lesquels avaient fait allusion à l’aspect sectaire du groupe de croissance de M. Guitouni dans un reportage.

Voici les comportements qui définissent une secte, selon le Dr Kropveld. Les exemples entre crochets sont de l’auteure de ces lignes :

Dr Kropveld, directeur et fondateur d’Info-Secte,
en 2020.

« Info-secte définit la secte comme étant :

— un mouvement hautement manipulateur qui exploite ses membres et qui leur cause des dommages qui peuvent être de nature psychologique, monétaire ou physique ; [aggravation excessive de la menace covid et discours anxiogène permanent, confinements, censure, diffamation, exclusion des insoumis, financement et imposition d’interventions médicales et non médicales comme le masque, la distanciation, les tests, l’injection obtenue par coercition]

— il dicte de manière absolue le comportement, les pensées ainsi que les sentiments des adeptes ; [propagande covid omniprésente et incessante, règles de conduite extrêmes et incohérentes : “restez chez vous”, “gardez vos distance”, “portez un masque”, “lavez vos mains”, masque obligatoire debout, mais pas assis, “maximum de 10 personnes de trois domiciles différents” pour les rassemblements à l’extérieur, couvre-feu basé sur aucune science, interdiction d’acheter des livres, des vêtements, des articles de cuisine et des jouets, les dissidents sont des complotistes, sectaires, d’extrême droite, violents, antiscience, incultes]

— les techniques de manipulation sont également employées afin de transformer le nouvel adhérent en un adepte loyal et obéissant ; [monopolisation de la perception, censure d’informations contradictoires qualifiées de désinformation (politiques de YouTube), manipulation statistique (témoignage de Pierre Chaillot à la Commission citoyenne), dissidents diabolisés et sanctionnés (Dr Marc Lacroix,Profs. Patrick Provost et Nicolas Derome), adhérents glorifiés et récompensés (Gagnez à être vacciné !,un vaccin un hot-dog)]

— la secte adopte un comportement trompeur et maquille la réalité afin d’attirer de nouveaux adhérents [ceux qui imposent des mesures ne les suivent pas eux-mêmes (Neil Ferguson, qui a recommandé le confinement, ne l’a pas respecté,les leaders du G7, incluant Justin Trudeau, n’ont pas respecté les règles sanitaires qu’ils ont imposées à leurs populations), ils affirment qu’ils suivent la science en sachant que c’est faux (ils savent que les masques ne protègent pas, mais les imposent quand même, Lockdown Files), ils affirment qu’ils censurent la “dangereuse désinformation” alors qu’ils censurent de “vraies histoires d’effets secondaires des vaccins” et de vraies affirmations “qui pourraient alimenter l’hésitation vaccinale” (Twitter Files), ils prétendent que les mesures servent à nous “protéger” alors qu’elles ont des effets néfastes (confinements, effets secondaires des injections), ils diabolisent ceux qui démontrent ce qui est faux en les accusant de désinformation, de complotisme, d’être les gourous d’une secte]. » (Soulignements ajoutés)

En ce qui a trait au comportement trompeur, celui de Justin Trudeau est exemplaire : il nie avoir fait et dit des choses, malgré les preuves irréfutables du contraire, comme on peut le voir dans cette vidéo :



Cette description des sectes et de la façon dont elles traitent les membres désobéissants décrit parfaitement les faits et gestes de la secte covidienne imposée par les autorités et les médias en 2020.

Les grands médias, grands propagateurs de désinformation, ont accusé les insoumis, autrement connus sous le nom de « complotistes », de faire ce qu’ils faisaient eux-mêmes, c’est-à-dire se comporter comme les membres d’une secte [NDLR Inversion accusatoire typique.] :

La question du comportement sectaire des autorités a déjà fait l’objet d’un article détaillé du 10 novembre 2020, basé sur les critères de deux psychologues américains, critères similaires à ceux du Dr Kropveld :

Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

Dans le document du Dr Kropveld, « Le phénomène des sectes », on décrit la façon dont sont traités les insoumis (les exemples entre crochets sont ceux de l’auteure) :

« Les membres qui désobéissent à la norme du groupe tendent à être moins appréciés par les autres membres. Les personnes déviantes qui introduisent la discorde dans le groupe s’exposent parfois :

•Aux réactions hostiles ; [“Farme ta yeule pis mets ton masque”, Rachid Badouri), “HEILLE, METS TON MASQUE !!! […] Keveune qui a étudié à l’école de la vie”, Arnaud Soly, “Il faut faire la guerre aux antivax”, Denise Bombardier.]

•À être isolées des autres membres ; [Coupez les liens avec la famille (Mario Dumont), “On doit refuser d’inviter les antivax de la famille au souper de Noël”, “que les non-vaccinés se recomposent une famille” (Denise Bombardier), passeport vaccinal.]

•À être identifiées comme bouc émissaire ; [C’est la faute des dangereux complotistes, antivax, pro-Poutine,extrémistes de droite, à la santé mentale fragile (“Les gens qui sont très hésitants à se faire vacciner contre la COVID-19 ont un sentiment plus faible de contrôle, de satisfaction et de compréhension de leur vie”).]

•À être tenues responsables des malheurs du groupe ; [Pandémie des non-vaccinés égoïstes]

•À être rejetées du groupe. [Pas de passeport vaccinal ? Fini les restos, la messe, le sport, le cinéma, les concerts, le Jardin botanique, les voyages, etc. Exclusion sociale inouïe.] » (Soulignements ajoutés)

Alors qu’elle décrit parfaitement le comportement des autorités et des médias, cette description des sectes correspond peu, voire pas du tout au comportement des dissidents, que l’auteure a côtoyés de très près depuis l’été 2020, et qui ont été accusés de faire partie d’une secte.

Outre les exceptions dont les médias sont friands pour gaver leur portrait illusoire des insoumis, voici comment la majorité d’entre eux ont agi :

Au lieu d’exclure, ils ont demandé le dialogue et accueilli les vaccinés.

Au lieu d’imposer une perception de la réalité, ils ont dit aux gens de ne pas les croire sur parole, mais de faire leurs propres recherches.

Au lieu de dicter aux autres quel comportement adopter, sans leur consentement, ils ont prôné la liberté de choix et le consentement libre et éclairé.

Au lieu de tromper, ils ont démontré qui étaient les tricheurs, preuves à l’appui, et alerté les victimes de la véritable désinformation, celle des autorités sectaires.

Au lieu de regarder un seul côté de la médaille, ils ont comparé les deux : médias dominants et médias indépendants, scientifiques avec et sans conflits d’intérêts.

Au lieu de censurer, ils ont libéré la parole.

Ils ont parfois condamné ces obéissants heureux de participer au viol des droits fondamentaux, souvent enivrés par l’euphorie malsaine d’un power trip inespéré, mais ils ont surtout accusé les gourous de la secte covidienne, soit les autorités et les médias, d’avoir violé des libertés fondamentales, d’avoir menti, censuré, diffamé et manipulé à la fois les statistiques et les citoyens.

La très grande majorité d’entre eux n’a commis aucun acte de violence, malgré les attaques qu’ils subissaient quotidiennement. Les réactions agressives ont été celles d’une très petite minorité, en réaction aux dérives sectaires quotidiennes d’une violence psychologique et monétaire impensable dans une démocratie, sans oublier la violence physique découlant de directives inhumaines et de traitements médicaux qui ont rendu des personnes malades ou les ont tuées.

Voir à ce sujet les témoignages de la Commission d’enquête nationale citoyenne à Québec, une commission historique avec des témoignages assermentés que les médias ont complètement passée sous silence.

Et si les morts ne parlent pas, les statistiques, elles, parlent à leur place et ne mentent pas.




Le scandale médiatique suisse n’est que la pointe de l’iceberg : dissimulation mondiale d’abus rituels sataniques

[Source : kla.tv]

Apparemment, les révélations sur le thème des « abus rituels sataniques » deviennent trop brûlantes. En effet, la chaîne de télévision suisse a récemment interrompu la diffusion de son propre documentaire sur le sujet. Kla.tv saisit l’occasion pour citer d’autres chaînes qui dissimulent les abus rituels sataniques. En effet, dans le monde entier, de nombreux récits de victimes, de témoins et de survivants sont délibérément étouffés, passés sous silence et cachés au public. Des experts chevronnés sont dénigrés et réduits au silence à l’aide d’une stratégie perfide et sophistiquée. Ce documentaire est une mise à jour historique de nombreux crimes de censure qui doivent être sanctionnés par la justice.

Transcription

Récemment, la radio télévision suisse SRF a menacé la chaîne Kla.tv de graves conséquences juridiques. Que s’est-il passé ?

À partir de décembre 2021, SRF a diffusé successivement 6 épisodes d’une série intitulée « Rec.—Panic Satanic ». Dans cette série, le journaliste de SRF Robin Rehmann s’est efforcé de prouver qu’il n’existe pas d’abus rituel satanique, mais qu’il s’agissait d’un récit de conspiration ; des survivants et des témoins d’abus rituels sataniques, ainsi que des thérapeutes, des militants et même un enquêteur de police ont été ridiculisés et présentés comme peu crédibles.

Explication : le sujet des abus rituels sataniques concerne les crimes les plus cruels commis dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins, de thérapeutes et même de membres du système judiciaire font état d’abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon eux, il s’agit de crimes commis par un cercle élitaire d’auteurs bien organisés et disposant d’un bon réseau, qui sait bien se protéger. Kla.tv a publié sur ce thème en novembre 2022 le documentaire intitulé « La secte du sang — 27 victimes, 27 témoins ». Outre les 27 victimes et 27 témoins d’abus sataniques, mentionnés dans le titre, qui ne sont qu’une petite sélection du nombre immensément élevé de victimes de ces pratiques sataniques, cette émission a également évoqué la série pseudo-investigatrice de SRF et de Robin Rehmann.

Il est particulièrement intéressant de noter que Kla.tv a ensuite reçu des informations montrant comment Rehmann se présente avec des symboles sataniques, comme, par exemple, de Baphomet — et entretient même des liens avec un grand prêtre satanique du nom de Francis Dollarhyde. La diffusion de ces faits explosifs a entraîné plusieurs événements : d’une part, SRF a menacé la chaîne Kla.tv de conséquences juridiques. D’autre part, la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » a visiblement tenté de brouiller les traces : sur leur page Internet, ils ont rapidement transformé leur grand prêtre Dollarhyde en un « PDG » d’apparence plus inoffensive, et peu après ils ont fait disparaître complètement son nom de leur page Internet.

Le scandale médiatique de SRF continue de faire des vagues

Il y a quelques jours, le 10 juillet 2023, le Tagesanzeiger et d’autres médias suisses ont annoncé que SRF avait stoppé la diffusion de son propre documentaire sur les abus rituels sataniques. Exactement selon le même schéma que pour la survivante d’abus Hajar mentionnée dans l’émission de Kla.tv « Scandale : SRF et Robin Rehmann », pour laquelle deux interviews déjà terminées ont été retirées peu avant la diffusion, un documentaire de SRF également prêt à être diffusé a été annulé.

On constate toujours le même schéma : des journalistes du terrain, qui ont à cœur de mettre fin à ces crimes atroces, font des recherches approfondies et solides sur le thème des abus rituels sataniques, puis la diffusion des protagonistes est stoppée au niveau de la direction. Au plus haut niveau, on a fait marche arrière « à la dernière minute », car le documentaire contiendrait des « éléments narratifs conspirationnistes ». La réalisatrice de SRF, Ursula Brunner, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années et a acquis une certaine maturité, rejette catégoriquement ces accusations, car elles seraient « dénuées de tout fondement ». La question se pose de savoir si les médias publics sont autorisés à priver les téléspectateurs de sujets tels que les abus rituels sataniques — un sujet qui présente un intérêt public considérable. Ce qui est absolument scandaleux, c’est que le documentaire a été financé par les pouvoirs publics à hauteur de 125 000 francs suisses, dont 75 000 proviennent de la redevance télévisuelle de SRF qui a maintenant été jetée aux ordures aux frais des citoyens suisses !D’autres exemples montrent que ce n’est vraiment pas un hasard, mais une stratégie constante, que les abus rituels sataniques soient dissimulés par les médias :

1. La direction du journal suisse « 20 min » annule la diffusion de l’interview de Chantal Frei, victime de torture

L’auteure Chantal Frei, qui a grandi en Suisse romande, n’avait que six ans lorsque des satanistes ont décidé de faire d’elle ce qu’ils appellent une « mère des ténèbres ». Elle avait survécu à des tortures massives. C’est pourquoi le culte la considérait comme suffisamment forte, sage et intelligente pour la former dans le cercle des Illuminati. Lors de rituels cruels, elle rencontrait des chefs d’État, des nobles et des célébrités. Pour cela, elle a été conduite dans des lieux connus du public — comme la Maison-Blanche et l’intérieur d’une célèbre basilique espagnole — et a également pénétré dans des installations militaires secrètes et un château isolé en Belgique. Ces lieux et ces personnes, dont certains sont également cités par d’autres survivants, illustrent l’ampleur terrifiante d’un phénomène profondément obscur, connu dans la littérature spécialisée sous le nom de violence rituelle. Chantal Frei a publié un livre sur ses terribles expériences sous le titre : « Je parle ! »Il est également arrivé à Chantal Frei qu’une interview qu’une journaliste du journal suisse « 20 min » avait réalisée avec elle et deux autres survivants ne soit pas diffusée. Citation de Chantal Frei :

« Quelque temps avant la publication de mon livre, une journaliste de 20 min avait réalisé une très longue interview avec moi. Elle m’a fait une impression vraiment bonne et empathique. […] La journaliste avait aussi fait d’autres recherches et voulait écrire un article à ce sujet. Elle a également interviewé deux autres survivants, un homme et une femme. Mais l’article n’a jamais été publié, car il a été stoppé par la direction ».

2. La BBC et le Daily Mail dissimulent des abus rituels sataniques à Hampstead en Angleterre

En septembre 2014, Alisa Dearman et son frère Gabriel ont déclaré, entre autres, dans le cadre d’entretiens avec la police, qu’ils étaient régulièrement victimes d’abus sexuels dans leur école. Ils ont expliqué que des rituels sataniques étaient pratiqués, que des bébés étaient tués et que leur sang était bu. Après avoir tué les bébés, leurs restes ont été mélangés à la nourriture de l’école. Leur propre père, Ricky Dearman, aurait été impliqué dans les sacrifices sataniques et les abus. Ella Draper, l’ex-femme de Ricky Dearman et la mère de leurs deux enfants, Alisa et Gabriel, l’a confirmé et a déclaré que Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Il aurait participé à la production de snuff-vidéos et les aurait vendues sur le darknet. Après qu’Ella Draper a rendu cette information publique, une véritable bataille médiatique s’est engagée : elle a été diffamée de la pire manière. Malgré les rapports médicaux officiels confirmant les graves abus sexuels subis par les enfants, les médias ont affirmé qu’elle avait forcé ses enfants à témoigner de ces faits. De nombreux magazines, comme le Daily Mail, ont qualifié Ella Draper de menteuse. Elle a même été poursuivie par la police. La grande agence de presse anglaise BBC a diffusé une interview de Ricky Dearman, dans laquelle la présentatrice de la BBC s’est efforcée de le faire paraître innocent. On a fait croire qu’il avait été victime d’une campagne malveillante. De nombreux téléspectateurs ont commenté l’interview en disant qu’ils pensaient que Ricky Dearman avait l’air d’un mauvais acteur et qu’ils pouvaient tout à fait imaginer qu’il avait commis ces horribles crimes. « Il a l’air coupable » pouvait-on lire dans la colonne des commentaires. Par la suite, la fonction de commentaires a été rapidement fermée.

3. La chaîne de télévision britannique BBC impliquée dans les crimes pervers de Jimmy Savile

Selon les données officielles de la police, le populaire présentateur anglais de la BBC Jimmy Savile a abusé pendant 50 ans (!) d’au moins 450 victimes âgées de 5 à 47 ans. Avant 1961 déjà, la police a interrogé Savile pour la première fois sur des accusations selon lesquelles il aurait eu des relations sexuelles avec des mineures dans les dancings qu’il gérait à l’époque. Savile a utilisé ses contacts pour approcher des enfants, entre autres dans un hôpital psychiatrique hautement sécurisé. Il a commis les crimes les plus odieux, allant jusqu’à violer un garçon mourant et à abuser de morts. Des victimes ont déclaré avoir été abusées par Savile dans le cadre de messes sataniques. Le 7 décembre 2011, un film sur les crimes de Savile devait être diffusé. C’est le journaliste Meirion Jones, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à la BBC, qui a fait les recherches nécessaires. Il a trouvé des témoins qui ont lourdement chargé Savile. Mais le scandale a éclaté : le film a été annulé — selon la BBC, pour des « raisons journalistiques ». Le directeur responsable du programme « Newsnight », Peter Rippon, a arrêté la diffusion, le journaliste Meirion Jones a été suspendu. Des années plus tard, l’ancien producteur de télévision de la BBC, Wilfred De’Ath, âgé de 75 ans, a parlé. Il a déclaré que tout le monde à la BBC était au courant des crimes pervers de Savile ! Il est significatif que le scandale n’ait été révélé qu’après le décès de Savile. Des survivants d’abus ont même confirmé que ces abus étaient dus à un réseau pédophile organisé au sein de la BBC. La trace des agissements pédophiles de Savile mène directement à la famille royale anglaise, à des juges de haut rang, à des parlementaires éminents et même à un ancien Premier ministre.

4. L’article diffamatoire du Spiegel provoque la fermeture du service de consultation sur la violence organisée et rituelle de l’évêché de Münster

Le 12 mars 2023, le magazine « Der Spiegel » a publié un article sur le thème des abus rituels sataniques et du contrôle mental et a titré :

« Dans le délire des thérapeutes, les adeptes de cultes secrets maltraitent les enfants et contrôlent les gens via la manipulation du cerveau : sous l’égide des églises et des cliniques, les thérapeutes propagent de tels mythes d’horreur, et persuadent les patients de prétendus abus. »

https://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/wie-therapeuten-eine-verschwoerung-ueber-vermeintliche-opfer-ritueller-gewalt-verbreiten-a-fd5ea9b2-9c67-42ef-b451-0f511cb80053

L’article utilise précisément deux stratégies bien connues : d’une part, il place toute la thématique dans le domaine des théories de conspiration, en utilisant la notion bien établie de « panique satanique ». Et d’autre part, les thérapeutes — en particulier le service de consultation de l’évêché de Münster — sont une fois de plus pris pour cible à l’aide de la stratégie bien établie du « syndrome des faux souvenirs » :

Les thérapeutes du service de consultation de l’évêché de Münster ont été accusés d’avoir persuadé les victimes d’avoir subi des abus rituels sataniques. Une fois de plus, on discrédite les thérapeutes et on tente de les intimider. Malheureusement, la stratégie a fonctionné : deux jours seulement après la parution de l’article du Spiegel, l’évêché de Münster a annoncé qu’il avait fermé son service de consultation sur la violence rituelle — et ce après 20 ans d’un excellent travail de consultation et d’information !Une annonce de la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » sur Facebook, qui se réfère précisément au centre de consultation de Münster, est explosive et révélatrice à ce sujet :

NOTE EXPRESS ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association et un article de divulgation a finalement fait pencher la balance. Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd’hui. « Nous gagnons. Vous perdez. Fin de l’histoire. »

Il est remarquable que l’auteur de l’article — le rédacteur de Spiegel Christopher Piltz — ait listé sur sa page Facebook le journaliste de SRF Robin Rehmann et la psychologue criminologue Lydia Benecke comme amis. Lydia Benecke est connue comme une militante allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l’existence d’abus rituels sataniques. Pour ce faire, elle utilise dans ses interventions les stratégies que nous venons d’exposer.

Retour en arrière : Pourquoi et quand a-t-on créé les termes stratégiques de « panique satanique », « faux souvenirs » et « théorie du complot » ?Nous constatons ici que la stratégie bien connue de dissimulation des abus rituels sataniques, qui a déjà « fait ses preuves » dans les années 90 pour les abuseurs, est à nouveau mise en évidence. Déjà à l’époque, lorsque de plus en plus de cas d’abus rituels sataniques et de contrôle mental ont été mis en lumière, les médias ont utilisé avec succès les mots d’ordre « Satanic Panic » et « faux souvenirs ». En 1980, Michelle Smith, la première des survivantes, a publié avec son psychiatre Lawrence Pazder un livre intitulé « Michelle se souvient ». https://en.wikipedia.org/wiki/Satanic_panic

Au cours des deux décennies qui ont suivi, les thérapeutes américains ont enregistré un afflux de victimes de violence rituelle satanique qui avaient eu le courage de leur demander de l’aide. On parle d’environ 12 000 victimes au total. Comme les thérapeutes ne parvenaient pas à cerner cette évolution débordante, ils ont échangé entre eux et organisé des congrès spécialisés sur ce thème. En 1992, le Dr Corydon Hammond, psychiatre américain renommé, a prononcé lors d’un congrès spécialisé le discours dit de Greenbaum, dans lequel il a parlé de programmation, de dédoublement, de CIA, de MK-Ultra, de structures et de programmes occultes. Il a ensuite été réduit au silence.

Vous pouvez voir ici la lettre originale scannée de la CIA dans laquelle il est écrit textuellement que des mesures concrètes doivent être prises contre les lanceurs d’alertes qui s’élèvent. À cette époque, les journalistes d’investigation révélaient de plus en plus d’incohérences au sein du gouvernement et de la CIA. La direction de la CIA a alors qualifié les journalistes d’investigation de conspirationnistes. La CIA a chargé ses agents d’influencer la politique et les médias et a ainsi fait taire les lanceurs d’alertes. Kla.tv dispose de nombreuses preuves à ce sujet. Aujourd’hui, la notion de « conspirationniste » est encore plus exacerbée, allant jusqu’à la rapprocher du radicalisme et de la violence.

En plus de la stratégie consistant à qualifier de panique sataniste les cas d’abus rituels sataniques devenus publics et à les tourner en ridicule, la « Fondation du syndrome des faux souvenirs » a également été créée en 1992.

Cette fondation a diffusé la thèse de la « fausse mémoire », c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle les récits des victimes ne se seraient pas réellement produits. Les abus rituels sataniques n’existeraient pas, mais les thérapeutes auraient simplement persuadé les patients qu’ils avaient vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. On leur aurait donc implanté de « faux souvenirs » au moyen d’astuces psychologiques.

La stratégie des « faux souvenirs » a été utilisée pour discréditer et intimider les thérapeutes. Il est significatif que Ralph Underwager, un pédophile avoué, ait été l’un des fondateurs de la « Fondation du syndrome des faux souvenirs ». Underwager a dû quitter plus tard le conseil consultatif de cette même fondation lorsqu’il est apparu qu’il avait qualifié la pédophilie « d’expression acceptable de l’amour de Dieu » dans une interview accordée à un magazine pédophile néerlandais.

Après ces explications historiques, on peut maintenant mieux situer le scandale suisse de SRF et ses autres conséquences.

Au-delà de la stratégie d’étouffement médiatique mentionnée au début, de nombreux thérapeutes ont été licenciés après le reportage de SRF, ainsi que deux enseignants, un reporter principal, une chef de clinique et un médecin chef de service. Des témoins importants qui avaient témoigné dans le documentaire ont perdu leur emploi :

1. Deux enseignants sont licenciés

L’enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet et l’enseignante de primaire Marianne Lander, qui avaient courageusement pris position dans le documentaire de SRF sur le thème des abus sataniques dans leur environnement proche, ont tous deux été suspendus de leurs fonctions d’enseignants et n’ont plus été autorisés à enseigner. Ils ont même été scandaleusement discrédités par le service de presse Nau.ch en tant que « professeurs sataniques ».

2. Le reporter en chef du Basler Zeitung est licencié

Daniel Wahl, le reporter en chef de la Basler Zeitung, qui travaillait depuis huit ans pour ce journal, a subi le même sort que les enseignants. Trois jours seulement après la diffusion du documentaire de SRF « Satanic Panic », soit le 17 décembre 2021, il n’a plus été autorisé à travailler pour la Basler Zeitung. Il a été suspendu de ses fonctions et n’a plus eu accès à tous les documents sur lesquels il travaillait. Fait particulièrement explosif : Daniel Wahl n’a été que très brièvement mentionné par l’un des enseignants dans le documentaire de SRF. Daniel Wahl s’est concentré sur les domaines de la justice et du KESB [Le KESB en allemand (Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde)], l’autorité suisse de protection de l’enfant et de l’adulte, entre autres. Il lui a reproché à plusieurs reprises de ne pas protéger suffisamment les enfants et les adultes concernés. Cet engagement de Wahl a conduit à plusieurs reprises le Conseil de la presse à réprimander la Basler Zeitung. L’un de ces cas contestés était l’affaire Nathalie : une fillette de huit ans avait fait des déclarations sur les abus rituels sataniques de son propre père. Daniel Wahl avait écrit plusieurs fois sur le cas Nathalie dans le Basler Zeitung en 2020 et 2021. Résultat : le père a été juridiquement acquitté, la Kesb disculpée, le reporter en chef Daniel Wahl réprimandé par le Conseil de la presse — et maintenant au final licencié.

Il est intéressant de noter que Jan Grüebler, le président de la 3e chambre du Conseil suisse de la presse, est également directeur adjoint de la rédaction de SRF. On ne peut donc pas vraiment parler d’impartialité du Conseil de la presse. Regardez la série Kla.tv « Presserat oder Presse VERRAT » (« Conseil de la presse ou trahison de la presse ») du fondateur de Kla.tv, Ivo-Sasek. Des ramifications bouleversantes apparaissent au grand jour.

3. Clinique Littenheid —Le médecin chef de service est licencié

Ses déclarations sur ses années de thérapies avec des survivants de la violence rituelle dans le documentaire de SRF ont eu pour conséquence que le médecin-chef, le Dr Matthias Kollmann, a lui aussi été mis à pied, puis licencié, quelques jours seulement après la diffusion du documentaire. Il s’agissait donc déjà de la quatrième personne dans le documentaire à être licenciée immédiatement après l’émission.

4. Clinique Littenheid — procédure pénale contre la chef de clinique — elle est également immédiatement mise à pied

Mais cela ne suffisait pas. Dès la publication du documentaire, une procédure pénale a été engagée contre le médecin-chef de la clinique Littenheid, suite à quoi elle a été immédiatement mise à pied. En outre, plus aucun patient atteint de TDI ne sera admis jusqu’à la révision des concepts. Il s’agit de patients souffrant de troubles dissociatifs de l’identité, souvent liés à des abus rituels sataniques.

5. Clinique Littenheid — Le personnel muselé

Les employés se plaignent d’avoir été muselés après la diffusion du documentaire. La clinique dément bien entendu cette affirmation. Mais un rapport d’enquête à ce sujet a montré que les employés interrogés avaient désormais évité les termes à connotation négative tels que « contrôle mental » et utilisé à la place des termes neutres et non chargés, ce qui revient à minimiser les thèmes de la violence rituelle et du contrôle mental.

6. Nombreux licenciements parmi le personnel du centre de thérapie de Münsingen

Le centre psychiatrique de Münsingen a également licencié une partie de son personnel après la diffusion du documentaire de SRF. Le reste du personnel a été reconverti. Apparemment, cela s’est fait suite à l’affirmation de SRF selon laquelle le centre de thérapie de Münsingen emploie des personnes qui croient à une théorie du complot appelée « Satanic Panic ».

La question se pose de savoir si ces nombreux licenciements et la vaste couverture médiatique dont ils ont fait l’objet ont servi d’exemple. Et ce dans le but d’intimider d’autres témoins et personnes concernées qui n’ont pas encore osé sortir de leur réserve ? S’agit-il d’attiser la peur de révéler les atrocités que l’on a soi-même vécues ou observées, car cela pourrait avoir de telles conséquences négatives ?

Conclusion :

Comme on peut le voir à travers les tentatives considérables de SRF et d’autres médias, d’énormes efforts sont visibles depuis un certain temps déjà dans le monde entier pour que le sujet des abus rituels sataniques ne soit pas divulgué. Des campagnes médiatiques agressives sont menées, les centres de conseil sont étiquetés « conspirationnistes » et les thérapeutes sont discrédités et intimidés. Les portails d’information alternatifs, comme Kla.tv, qui publient des informations de fond sur le sujet, sont immédiatement menacés de poursuites judiciaires. Les témoins perdent leur emploi et leur bonne réputation — ils sont isolés socialement et leur existence même est finalement mise en danger. Les victimes et les survivants sont privés de toute aide thérapeutique après toutes les horreurs qu’ils ont vécues et sont totalement décrédibilisés.

Pourquoi emploie-t-on depuis des décennies des armes aussi puissantes pour rendre cette thématique ridicule et non crédible ? Un proverbe bien connu dit : Il n’y a pas de fumée sans feu. Chers téléspectateurs, si on considère les actions médiatiques mentionnées, on ne peut s’empêcher d’être méfiant. C’est pourquoi : faites vos propres recherches sur toutes les relations et examinez les déclarations des survivants et faites connaître largement ces scandales médiatiques.

Sources/Liens :




Un Tweet adressé par un Suisse à Nathalie Loiseau

Par Pascal Najadi

@Najadi4Justice

Chère Nathalie,

Je crois vraiment que vous êtes soit payée pour écrire de telles accusations insensées ici sur Twitter, soit carrément pas intelligente ou, ce que j’espère sincèrement, mal informée, victime d’un lavage de cerveau.

Laisse-moi te le dire ici sans détour et sans prendre de courbes inutiles pour m’expliquer au bénéfice de ton intellect.

Je suis triplement Pfizer ARNm injecté, 2021, dernier booster décembre 2021.

Quand j’ai appris par Pfizer en octobre 2022 que leur soi-disant « vaccin » n’avait pas été testé avant d’être commercialisé, j’ai décidé de porter plainte contre le président suisse et le ministre de la Santé Alain Berset.

L’affaire a été rejetée fin avril 2023 par le procureur fédéral Nils Eckmann, à Berne.

J’ai ensuite, par l’intermédiaire de mon avocat expert en droit pénal, le Dr Walter Haefelin, poursuivi le procureur fédéral devant la Cour pénale fédérale de Suisse le 6 mai 2023 pour ne pas avoir ouvert une enquête criminelle contre Alain Berset pour abus de pouvoir et pour sa politique catastrophique et mortelle de mandat Covid Vacc et de coercition qu’il a exécutée en Suisse. 

Berset a soudainement et totalement démissionné de son poste de président suisse et de ministre de la Santé le 21 juin 2023.

Voilà où nous en sommes dans mon pays.

Je suis suisse avec aussi une citoyenneté britannique, mais je suis né et j’ai grandi en Suisse, un ancien officier de l’armée de l’air suisse et mon grand-oncle maternel Rudolf Minger était le président jusqu’à et pendant la Seconde Guerre mondiale et le fondateur de l’armée suisse moderne ainsi que le fondateur du plus grand parti politique, l’UDC.

Jusqu’aux opérations psychologiques de Covid, je n’ai jamais été antivaxx.

Mais depuis, mon opinion a changé de 180 degrés, en raison de ma triple maladie auto-immune diagnostiquée en phase terminale de l’ARNm de Pfizer et d’autres blessures graves de l’ARNm de Pfizer.

J’ai plus de 180 pg/ml de pics toxiques dans mon sang, mesurés en février 2023 par le professeur Dr König en Allemagne.

Je suis ton spécimen vivant de mort lente, exemple d’une des millions blessures ARNm ou pire, de morts subites.

Aujourd’hui, nous savons que des éléments malhonnêtes de la DARPA, l’armée américaine, ont conçu ces substances ARNm comme une arme biologique et ont pris le contrôle de leur développement et de leur déploiement dans le monde entier.

La guerre des labels Pfizer et Moderna n’a servi que d’agents de démonstration et d’exercice d’image de marque pour les labels.

Tu dois comprendre que ces soi-disant vaccins Covid n’ont jamais été conçus pour protéger de la Corona, mais pour nuire et tuer, c’est une arme biologique et la recherche sur la fonction spike protein a été menée par le Dr Fauci et le Dr Baric à Wuhan en Chine de 2012 à 2014 pendant les sanctions sur la recherche d’armes biologiques imposées aux États-Unis et au Canada, ce qui constitue déjà une violation flagrante de ces sanctions.

Nathalie, je suis en train de mourir au ralenti.

Je suis un banquier d’affaires international qui a conseillé des chefs d’États et des ministres dans des crises incluant le Continent africain, tout le Moyen-Orient, ex Iran, La Fédération de Russie, l’Asie centrale et l’Europe centrale de 1990 à 2008.

Je ne suis pas un manifestant alternatif, un anti-vaxx, un casseur ou quoi que ce soit de ce genre.

Je représente l’establishment, mais j’ai rompu avec eux, car ils ont manifestement et ouvertement attaqué l’humanité avec une exécution de dépopulation planifiée de la sorte la plus perverse et la plus odieuse depuis que l’humanité enregistre des temps.

Vous ne pouvez pas et ne devriez jamais nous accuser, nous les victimes et les scientifiques, d’être des complotistes ou quoi que ce soit d’approchant.

Nous sommes ici pour alerter l’humanité et, nous l’espérons, la sauver de la mort.

L’OMS, tous les éléments des gouvernements voyous et les millions de médecins criminels qui ont injecté 5,7 milliards d’humains avec intention seront traduits en justice.

Je vous le promets jusqu’à mon dernier souffle et aussi longtemps qu’il me sera permis d’exister dans cette dimension.

En fait, en tant que Russe orthodoxe et croyant, j’ai demandé à Dieu de prendre les choses en main et de ne pas attendre ma dernière heure d’inactivité après ce que j’ai dû apprendre à mes dépens.

L’humanité d’abord, Nathalie, c’est aussi ce que tu devrais promettre de ton vivant et si ce n’est pas le cas, que Dieu te vienne en aide.

Ton insulte à nous les victimes et aux scientifiques qui révèlent le plus grand génocide de tous les temps m’a blessé personnellement, mais je te pardonne et j’espère que tu te réveilleras.

Je termine cette lettre avec Platon : « Et la qualité d’un bon jugement est clairement une forme de connaissance et de compétence, car c’est grâce à la connaissance et non à l’ignorance que nous jugeons bien. »

Avec tous mes bons vœux,

Sincèrement, Pascal Najadi, Suisse




« Suicidés »

Documentaire sur l’important nombre de « Suicidés » qui enquêtaient sur ou luttaient contre les réseaux pédophiles.

[Source : @Vivresainement]

VO :

https://dauntlessdialogue.com/suicided/

[Voir aussi, en anglais :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains, l’article qui fait suite à
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et qui dénonce notamment les Clinton.]



Transcription de l’original anglais

Sources :




Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]




La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :




Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






C news, Europe 1, (donc Laurence Ferrari, Sonia Mabrouk, Christine Kelly…), d’« extrême-droite » selon le ministre français de l’Éducation nationale…

Par Lucien SA Oulahbib

La seule issue pour ce gouvernement fantasque (faire prendre des vessies pour des lanternes question maintien de l’ordre) gouvernement fantoche (« croissance, santé, énergie » laissées à vau-l’eau) — monceau de bras cassés en fait qu’il serait peut-être possible d’envoyer « en même temps » que les missiles Scalp sur le front anti-russe, consiste pour y pallier à se donner encore une image vendable (« éthique ») envers une opinion désillusionnée au vu de ses non-résultats malgré leur dilatation médiatique pour le masquer.

Comment y pallier, comment se mettre, soi-même, en soins palliatifs ? En jouant l’éternel « moi ou le chaos », sans se douter que ce « ou » n’est pas alternatif, mais introduit un synonyme entre les deux mots ; donc le chaos empire ; mais comme il faut un bouc émissaire pour le faire oublier, ce seront alors tous ceux qui s’y opposent en réalité et c’est facile, il suffit de les traiter d’extrême droite ; le journaliste Berkoff en a subi l’effet : son opposant avait littéralement ce seul mot comme… explication, même pas une désignation que l’on tente ensuite de justifier, non, pas besoin désormais, la démonstration c’est bon pour les démocrates, en régime totalitaire on affirme et cela doit suffire : CQFD : des citoyens arrêtent des voyous pilleurs ? Ils alimenteraient le racisme, des citoyens se défendent lors d’attaque ? Ils alimenteraient la « haine » ; des citoyens refusent l’amalgame entre rôle social sexualité et sexe ? Ils alimentent « l’homophobie » ; des citoyens estiment que les étrangers doivent sinon s’assimiler du moins respecter les lois et les mœurs françaises, et que la France ne peut se substituer à l’ONU ? Ils alimentent le « chauvinisme » (terme léniniste) ; alors que tous ces dénis peuvent se résumer en un seul mot : nihilisme, avec un sortilège sémantique : extrême-droite.

Quel est en effet l’argument majeur du ministre de l’Éducation nationale ? En substance ceci : « J’ai le droit de dire que C news, Europe 1 (donc Laurence Ferrari, Sonia Mabrouk, Christine Kelly) sont d’extrême droite ». Le mot EST la chose, ou comment le relativisme et la fabulation sont devenus les deux mamelles d’un ministre qui sait qu’en portant un tel discrédit, aucun prof ne se risquera de citer le passage d’un livre de ces trois femmes journalistes réputées (au-delà de ce que l’on peut en penser) ou l’autodafé de facto, mais désormais en distanciel, feutré, lâche soulagement du « je m’achète une virginité à bon compte » auprès des gardiennes de la Galerie des Glaces des médias subventionnés…

Un ministre qui par ailleurs promeut des théories farfelues sur le racisme « systémique » tout en y participant puisque ce dernier est produit par un « système » en l’occurrence également étatique qu’il est censé… représenter ; mais il n’est pas à une contradiction près, lui qui a mis ses enfants à une École Alsacienne rouage majeur de ce « racisme systémique »… Sans oublier « la » sexualité « dégenrée » à enseigner dès le plus jeune âge sous peine d’être taxé d’extrême-droite, mot-valise au fond qui a remplacé les termes de réactionnaire, conservateur, bourgeois… Ces trois termes étant devenus plutôt désuets, voire quelque part « bon chic bon genre », dans certains salons discrets qui servent aussi de filtres paradoxaux pour la Secte afin de tout de même choisir des personnes non encore démantelées psychiquement en vue de faire tourner sa boutique hors consultants McKinsey réservés au Sommet de la Pyramide…

Ce sont donc certes des bras cassés, de la piétaille, mais ceux qui les manipulent sont par contre très malins ; et là, à ce stade vous encourrez tout de suite d’être étiqueté avec l’autre terme infamant, mais un peu moins en vogue ces temps-ci celui de « complotiste » ; même si ce dernier terme (englobé dans « extrême-droite » à vrai dire cela fait presque pléonasme) souligne seulement que les mots de « stratégie », « tactique », « plan », « planification », « ruse », etc., sont des termes désignant une élaboration, une intention, un calcul qui nécessitent certes d’être démontrés ; du moins si l’on reste rationnels et démocrates, ce que nos dirigeants ne sont plus ou ne l’ont jamais été… Ce qui reste à démontrer ?… Non, la démonstration est faite, encore faut-il l’accepter… Mais les fanatiques au pouvoir ne peuvent pas l’admettre… Il n’y aurait donc pas d’autres issues que de les écarter en réclamant la dissolution de l’Assemblée Nationale ; encore faudrait-il en avoir la volonté « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? »… Non, rien, hormis les barbes devenues bleues au lieu de quelque chose…




Vers la chute de l’Empire

[Source : @Cercles-Nationalistes-Français-Philippe-Ploncard-d’Assac]

[À partir de 10:45]



Site internet: http://nationalisme-francais.com/




« Sound of freedom » détrône « Indiana Jones » aux USA et cela fait très peur à la Secte SHAA

Par Lucien SA Oulahbib

Pour noyer son chien dites qu’il a la rage, pour empêcher que des vérités remontent à la surface dites qu’elles sont « complotistes » ou « d’extrême-droite » bien sûr, mais comme pour le film « Sound of freedom » relatif au trafic d’enfants ce sortilège ne marche pas vu le nombre d’entrées aux USA et les demandes nombreuses de sortie en France, ce qui affole, il faut alors user de l’artillerie de plus en plus lourde. Ainsi Nice Matin tentera à tout prix d’empêcher le flot en rappelant diverses qualifications étiquetées sur le dos des promoteurs de ce film au lieu de se concentrer plutôt sur le pourquoi de ce trafic ; procédé de l’accusation inversée dans laquelle excellent nos Dupont et Dupond de l’anti « fake news » sévissant en France et qui en dehors de tripatouiller dans le fonds Marianne ou les subsides anti-antivaxx, sortent, en plus de l’artillerie et les chars, les armes à sous-munitions pour associer « en même temps » la dénonciation du trafic d’enfants en vue d’actes et de meurtres pédocriminels avec, mais oui, « l’éternel retour » du refoulé antisémite, celui du fameux meurtre rituel sans oublier l’amalgame entre les buveurs de sang d’enfant avec ceux qui ne voudraient pas de transfusion de sang injecté…

À cela font écho, comme le relate très justement Radio Québec, les propos de pédopsychiatres, psychologues qui dénoncent ce vaste amalgame, orchestré par l’OMS et relayé par le ministère de l’Éducation nationale français, entre une information nécessaire sur le harcèlement et la discrimination avec une inculcation de type idéologique puisqu’elle « confond » d’un côté, psychisme de l’enfant et fantasme adulte sur ce que « pense » l’enfant de son corps (voir page 23 ici : progression du développement sexuel), et, de l’autre côté, attribution de rôles sociaux qui évoluent historiquement et distribution naturelle des sexes dont la consistance intrinsèque n’est pas seulement physico-chimique, mais psycho-différentielle (Nuttin 1980, Reuchlin 1995) ce qui implique que l’ajout/retrait ou le blocage d’hormones et d’organes ne suffit pas à en réorganiser le « câblage » neuropsychologique distinguant mâle et femelle, surtout chez les mammifères, et en particulier humains…

Preuve si l’en est de cette « confusion » entre rôle et sexe cette défense-panique d’un tableau clairement nihiliste prétendant dénoncer le viol comme arme de guerre alors que jamais (jamais) les tortionnaires ne se mettent nu devant leurs victimes. C’est une affabulation, un mensonge, mais que d’aucuns s’empresseront de masquer (paradoxe du menteur systématisé par Foucault, voir page 5) avec la complicité d’un jugement (et observez comme l’article masque le tableau en question).

Chassez la pédophilie par la porte, taxez là même de « pédocriminalité », elle revient par la fenêtre sous le couvert de « droits sexuels », voire de « citoyenneté sexuelle », masqués certes par l’idée de « consentement », mais qui, comme dans la « santé » se trouve aisément contournée par des passe-droits tels que « l’urgence-à » (« instruire, protéger ») comme dans la fable du petit chaperon rouge :

« Ma mère-grand, que vous avez de grands bras !
— C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes !
— C’est pour mieux courir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles !
— C’est pour mieux écouter, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux !
— C’est pour mieux voir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents !
— C’est pour mieux te manger. »
Et en disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.




Alexis Poulin : « Nous sommes déjà dans une société du crédit social qui ne dit pas son nom. »

[Source : businessbourse.com]

L’émission complète : https://www.youtube.com/watch?v=eGPOkJeqfyM




Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Un pacte Russie-Chine d’envergure mondiale correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique. Otto Kahn, l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis, l’a révélé ouvertement en 1919 :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution. »

Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais tout à fait comme il l’entend – et non comme le scénario le prévoit…

Transcription

Aucun gouvernement sous ce ciel n’est vraiment indépendant. Depuis des siècles, tout est infiltré de manière ciblée et stratégique par une haute finance parasitaire. Telle une tique, cette sangsue de la haute finance se niche secrètement dans les États-nations pour en faire des centres de direction stratégiques. L’objectif est toujours le nouvel ordre mondial de cette société secrète, parfois aussi appelée État profond. Si un « hôte » infiltré par cette tique tente de la secouer de sa fourrure, on lui coupe les vivres sur-le-champ. Si cette mesure ne suffit pas, il est soumis à la terreur, voire à la guerre ouverte, et ruiné — le printemps arabe nous en a donné une idée. Ces sangsues pensent et dirigent tout à l’échelle mondiale. Depuis longtemps déjà, les grands financiers qui gouvernent secrètement depuis la clandestinité s’efforcent de faire de la Chine leur prochain centre de domination mondiale. À cette fin, ils ont depuis longtemps érigé en Chine leurs bâtiments administratifs mondiaux sous forme de gigantesques gratte-ciel. Enfin, ceux-ci ne doivent plus rester vides. Le simple fait que la « Chine » ait été encensée pendant longtemps par nos médias financés par des redevances obligatoires montre que nous en sommes arrivés là. Mais de sérieux problèmes apparaissent à l’horizon. Nous verrons bientôt si ces problèmes se concrétisent ou pas. Pour nous, les peuples trompés, cela ne fera finalement aucune différence, comme je l’expliquerai plus tard. Pour l’instant, on constate en tout cas une fraternisation entre la détestée Russie de Poutine et la Chine. D’autre part, dès le début de l’année 2022, la Chine a déjà amassé des ressources essentielles partout dans le monde, comme jamais auparavant dans l’histoire. Comme, par exemple, 69 % de toutes les réserves mondiales de céréales, des matières premières allant du bois aux terres rares, des denrées alimentaires sans mesure.

La Russie aurait en effet dû devenir depuis longtemps le centre de direction de la haute finance qui gouverne secrètement l’Europe, ce qui a entraîné des problèmes de plus en plus importants. Mais la haute finance mondiale ne tolère plus des conditions moyenâgeuses. Elle veut tout le pouvoir et toutes les richesses pour elle seule et élimine tous les marginaux et les rivaux autocrates.

Rappelons qu’au haut Moyen-Âge, une période où l’argent circulait sans intérêts a conduit à une répartition si égale des richesses qu’il n’y avait presque plus de différences de fortune entre les classes laborieuses et la noblesse. Vers le milieu du 15e siècle, cette période s’est définitivement effondrée, si bien que le système monétaire à intérêts, inactif au Moyen-Âge, a été réactivé à la manière de la Rome antique. Une redistribution continue des richesses des travailleurs vers les prêteurs d’argent a repris pendant des siècles. La redistribution automatique par le biais d’un système monétaire basé sur des intérêts a ensuite conduit à la création de la Banque d’Angleterre en 1694 et en conséquence à la formation visible d’une nouvelle haute finance mondiale selon le modèle de la Rome antique.

Les fondateurs de la Bank of England privée ont pris le pouvoir sur l’Angleterre et le Commonwealth, c’est-à-dire sur cette communauté des Nations qui leur est soumise. Depuis cette date et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’Angleterre a été le centre de direction de la haute finance mondiale. Le déclin économique de l’Angleterre après la Seconde Guerre mondiale montre à quel point un pays est rapidement mis hors-jeu lorsque la haute finance ne peut ou ne veut plus l’utiliser comme centre de direction mondial. C’est exactement le sort qui attend maintenant les États-Unis, car le centre de contrôle mondial a été déplacé en Chine. Dans les années 1780, la haute finance a réussi à développer son sinistre réseau de sociétés secrètes, de services secrets, d’adorateurs du diable et de criminalité organisée pour en faire un État profond mondial, par lequel elle contrôle et dirige l’Humanité depuis lors. Au cours du 18e siècle, elle a pris le contrôle de presque tous les États européens, ce qui, à l’époque du colonialisme, était synonyme de contrôle du monde. Il ne lui manquait alors que le contrôle de la Russie.

Comme nous l’avons déjà mentionné, la Russie, que la haute finance avait déjà infiltrée lors de la révolution russe, devait se transformer en un empire soviétique eurasien. Mais, comme nous pouvons le constater chaque jour, les choses ont mal tourné — car leur marionnette maçonnique Vladimir Poutine ne s’est pas montrée aussi loyale que prévu. Depuis longtemps, il s’est détaché de la laisse et veut décider lui-même où il veut aller. Peut-être que l’administration américaine elle aussi maçonnique et son Pentagone ont vraiment aiguisé l’appétit de Poutine avec ce qui s’est passé le 11 septembre. Avec la Chine en revanche, le plan de la haute finance souterraine semblait jusqu’à récemment se dérouler sans accroc. Ce n’est pas pour rien que les médias de masse, qui se trouvent tous sous la dictature de cette haute finance, ont de plus en plus vanté la Chine comme un grand modèle social. Mais pourquoi une élite de la haute finance devrait-elle faire l’éloge d’une dictature communiste ?

Il est urgent que nous apprenions à comprendre que la haute finance construit sa dictature mondiale sur la voie de la dialectique entre le capitalisme de haut niveau et le communisme. La dialectique signifie la tactique qui consiste à faire toujours deux pas en avant, puis un pas en arrière « dans un esprit de compromis, en quelque sorte ». La différence entre le capitalisme de haut niveau et le communisme est… qu’il n’y a pas de différence ! Car le capitalisme n’est que le début et le communisme la cible d’un seul et même agresseur. Le capitalisme est utilisé pour faire avancer le communisme. Et le communisme est utilisé pour faire avancer le capitalisme — mais l’objectif de cette approche dialectique est une dictature communiste mondiale. Mais pourquoi une telle dictature ? C’est la question que se posent tous ceux qui ont conservé l’innocence de leurs interrogations : Comment la haute finance peut-elle trouver faveur dans le communisme — ces contraires ne s’excluent-ils pas complètement ? Eh bien non, justement, parce que le capitalisme comporte une redistribution automatique des richesses des travailleurs vers les plus riches. Le communisme, tel que nous le connaissons dans les pays dévastés du bloc de l’Est, est toutefois une abomination pour une société prospère ; c’est pourquoi toutes les nations prospères doivent être au préalable subtilement plongées dans la misère et le chaos.

[Voir aussi :
Le Grand Réveil]

D’une part cela se fait systématiquement en transférant imperceptiblement de plus en plus de richesses nationales dans les mains de quelques rares super-riches, comme on l’a vu au cours des siècles passés. D’autre part, la misère peut également être provoquée par un terrorisme ciblé et des crises délibérément attisées. Nous y reviendrons plus tard.

C’est en tout cas ainsi que ces familles de l’élite ont successivement pris le pouvoir sur l’Humanité, car nous dépendons tous de leur argent. Et grâce à cette dépendance, un nombre incalculable de personnes sont devenues corruptibles et sujettes au chantage. En d’autres termes, en détruisant le capitalisme des classes moyennes, le capitalisme de la haute finance transfère systématiquement toute la richesse nationale entre les mains de quelques super-riches et, avec cette richesse nationale, tout le pouvoir. Le communisme est son meilleur allié. Dans un zèle aveugle, il conduit fidèlement à l’état final du capitalisme d’État par la voie la plus directe, en donnant à une petite élite tout le contrôle de la richesse nationale et donc le pouvoir sur l’Humanité entière.

Vous tous, les communistes, reconnaissez s’il vous plaît ce que je dis ici et voyez clair dans ce jeu malsain. Vous finirez par devenir des esclaves sans droits de cette haute finance, tout comme le reste du monde, si nous n’ouvrons pas maintenant de nouvelles voies. Vous en saurez plus à la fin de cet exposé. Croyez-le bien, personne d’autre que ces capitalistes de la haute finance ne sera finalement votre propriétaire et votre État communiste tant désiré. En tout cas, ils vous ont depuis longtemps instrumentalisés, vous les communistes, à leurs propres fins, tout comme le christianisme par exemple. Car tous les faux dévots, avec leurs églises et leurs communautés, et bien sûr tous les faux religieux, conduisent eux aussi à l’état final du communisme de la haute finance par la voie la plus directe, et ce par leur attitude fondamentalement mal comprise, soit passive, soit extrémiste. En fin de compte, le capitalisme et le communisme mènent tous deux à ce port d’arrivée où l’individu est non seulement totalement dépourvu de biens, mais aussi définitivement privé de droits et de pouvoir. Mais comme la haute finance est surtout intéressée par le pouvoir sur l’Humanité et pas seulement par sa fortune, le capitalisme ne sert que d’outil, le communisme, ou plutôt la dictature communiste mondiale étant le véritable objectif.

Pour ceux qui doutent encore, voici une citation du pape maçonnique de la haute finance Otto Kahn. Déjà en 1919, il disait textuellement dans une conférence à Budapest :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle de la richesse, et par le bas, via la révolution. »

En 1929, le franc-maçon de haut grade Blumenthal l’a exprimé de manière encore plus claire dans le journal suédois « Judisk Tidskrift » Écriture n° 57 :

« Ce n’est que récemment que notre race a donné au monde un nouveau prophète. Mais celui-ci a deux visages et porte deux noms : d’un côté, son nom est Rothschild, de l’autre Karl Marx. »

Aussi longtemps que cette haute finance mondiale fonctionnera, peu importe comment l’Humanité évoluera — quoi qu’il arrive — les élites tenteront toujours d’instaurer une dictature communiste mondiale, et ce, même si le fameux État profond n’existe plus. Le marxisme, le communisme et leur descendant, le socialisme, n’incarnent rien d’autre que le capitalisme d’État et la domination par une minorité privilégiée qui aspire à un contrôle despotique et total de l’Humanité et veut lui retirer non seulement tout droit, mais aussi toute propriété. On voit tout simplement partout comment le capitalisme et le communisme se servent l’un l’autre à merveille. Et nous retrouvons le même phénomène de la Chine à la Russie et à l’Europe : partout, les multimilliardaires rôdent et partout règne un État quasi omnipotent. Nous, dans l’espace germanophone, nous sommes, tout comme la Russie et la Chine, sur la bonne voie pour n’avoir plus que des groupes puissants et un pouvoir centralisé à Bruxelles sur nous, de sorte que l’individu se retrouve finalement sans aucun droit d’intervention, sans aucun pouvoir et sans aucun droit. En bref, le capitalisme et le communisme forment une équipe de haut niveau, qui est également puissamment favorisée chez nous en Europe. Il en va de même aux États-Unis, où le pouvoir est également entre les mains des multimilliardaires et au centre de Washington. Le capitalisme et le communisme vont toujours de pair et l’individu devient de plus en plus impuissant. De nos jours, nous pouvons le constater de nos propres yeux, nous nous dirigeons déjà tout droit vers une dictature communiste mondiale.

Ce n’est donc pas seulement depuis la Première Guerre mondiale que la haute finance maçonnique contrôle tous les gouvernements nationaux sans exception, mais aussi tous les principaux médias de masse de ce monde. Dans tous les domaines essentiels, il existe malheureusement une obligation d’exécuter leur volonté, de sorte que les évolutions positives en faveur de l’Humanité ne sont plus guère possibles. L’Humanité libre est fortement harcelée et opprimée à tous égards par cette haute finance mondiale secrète. Et ce, bien que cette dernière ne soit composée que d’un nombre raisonnable de familles de milliardaires. Pourtant, ces derniers contrôlent l’ensemble du système monétaire de la planète depuis 1913, c’est-à-dire depuis la création de leur système privé de réserves fédérales, appelé FED. Ils sont parvenus à nous rendre tous totalement dépendants de leur argent avec un système hallucinant d’intérêts et d’intérêts composés. C’est pour cette raison que cette élite secrète est appelée l’État profond mondial. Il s’agit donc, comme nous l’avons mentionné, d’un réseau de sociétés secrètes dont les chefs suprêmes sont tous, sans exception, des adorateurs du diable. Ceux-ci sont liés depuis bien plus de 200 ans aux services secrets et au crime organisé, etc. Il suffit de penser à leur guerre de l’opium, qui n’était que le premier maillon d’une gestion du chaos délibérément orchestrée pour prendre le contrôle de la Chine. Ils contrôlent de plus en plus tous les gouvernements, les médias d’information, les systèmes juridiques, les institutions d’enseignement, les sciences et autres choses similaires. En résumé, ils contrôlent l’ensemble de l’Humanité depuis l’ombre. Ils y parviennent parce qu’ils ont réussi à infiltrer habilement nos systèmes étatiques à tous les postes clés. Et au-dessus de chaque zone capturée où ils ont réussi à prendre le contrôle total de la planète, ils font comme les anciens pirates. Lorsque ces derniers s’étaient emparés d’un navire, ils hissaient leur drapeau avec une tête de mort et des os croisés. Les drapeaux des élites dirigeantes mondiales sont en revanche beaucoup plus discrets et accueillants. Regardons donc quelques-uns de ces drapeaux. Ils signalent tous la souveraineté absolue. Comme nous allons le voir, ils existent sous forme d’emblèmes de souveraineté sur la terre, l’air, l’eau et d’autres encore. Et nous n’avons même pas remarqué qu’il s’agit en fait toujours d’un seul et même signe de souveraineté.

Au centre se trouve la couronne de laurier. Depuis l’Antiquité, elle est considérée comme l’attribut du vainqueur, un porte-bonheur et un symbole de pouvoir. La couronne de feuilles de laurier pouvait être le trophée dans le sport, mais les empereurs romains la portaient également. Dans la mythologie antique, le dieu Apollon porte une couronne de laurier.

Là, il symbolise la suprématie sur les cieux

Apollo 11

Là, Apollo symbolise la souveraineté sur l’espace

Et de même que dans la Rome antique, un laurier était considéré comme sacré et ne pouvait donc être ni profané ni brûlé, de même toute organisation de souveraineté globale des élites est considérée par eux comme quasi sacrée et intouchable !

Organisation Mondiale de la Santé

Vous voyez cette couronne ? Une organisation maçonnique ! Souveraineté sur toute la santé des hommes.

Oui, et nous nous sommes heurtés à ce principe d’intangibilité, notamment lors de la campagne du Covid19. Et de nouveau ces jours-ci, parce que l’OMS vient d’élaborer, dans le cadre d’accords secrets, de nouvelles lois contraignantes à l’échelle mondiale, qui doivent lui conférer la suprématie sur l’ensemble du système de santé, c’est-à-dire en quelque sorte la domination mondiale cachée.

Au lieu de mettre sous les verrous ces personnes qui ont récemment causé des dommages au monde entier, elles planifient déjà en secret une prochaine campagne de domination mondiale.

Pour en venir tout de suite au fait : C’est précisément l’objectif déclaré de la franc-maçonnerie de haut grade depuis des siècles, c’est pourquoi derrière presque tous les logos de lauriers se trouvent des fondations, des organisations et des associations maçonniques. Pour n’en citer que quelques-unes :

Les Nations unies et toutes leurs organisations subsidiaires :

Remarquez toujours la couronne ! Nous n’aborderons pas aujourd’hui le fait que cette couronne tourne autour d’une « carte de terre plate ».

[Note de Joseph : il semble bien qu’Ivo Sasek se soit laissé avoir avec l’affaire de la prétendue « Terre plate ». À l’heure d’Internet, il existe pourtant une expérience simple et imparable pour démontrer que la Terre ne peut pas du tout avoir une géométrie plane. Deux personnes en contact par visioconférence (utilisant Skype, Zoom ou n’importe quel logiciel équivalent) peuvent facilement le vérifier si elles habitent en deux endroits éloignés de plusieurs milliers de kilomètres. Si la Terre était géométriquement plate, alors en tout lieu de la planète, le Soleil devrait descendre simultanément sous l’horizon, si on le voit le faire en un lieu donné. Par exemple, si le Soleil se couche à Paris, dans le même temps, il est six heures de moins à Montréal et on constate qu’il est encore bien haut dans le ciel au lieu d’être proche de tomber sous l’horizon.]

Organisation météorologique mondiale

(Organisation spéciale des Nations Unies)

Programme alimentaire mondial des Nations unies

Fonds des Nations unies pour l’enfance

Conseil des droits de l’homme des Nations unies

Organisation internationale du travail

(Organisation spéciale des Nations unies)

Organisation des Nations unies pour le développement industriel

(Organisation spéciale des Nations unies)

Programme des Nations unies sur le VIH/sida

Nous avons suffisamment dénoncé toute l’arnaque du VIH/sida avec l’AZK.

Organisation maritime internationale

Si tu veux savoir un peu plus précisément ce qui se passe en permanence au pôle Nord, par exemple, et que tu affrètes un bateau pour t’y rendre, tu seras intercepté très tôt par des navires de la souveraineté maritime et contraint de faire demi-tour. Si tu n’obéis pas, tu seras fortement menacé.

Et si tu affrètes un avion, par exemple un petit Cessna, et que tu te diriges vers le pôle Nord, les chasseurs à réaction de la souveraineté aérienne internationale t’intercepteront. À ta droite et à ta gauche, ils t’encadreront et te demanderont par radio de faire immédiatement demi-tour. Si tu n’obéis pas, ils t’abattront. Comprenez-vous ce que signifie cette couronne de lauriers omniprésente ?

Organisation de l’aviation civile internationale

Troupe de combat nord-polonaise

La même chose t’attend si tu ne te comportes pas correctement sur le territoire de la Pologne du Nord.

Agence internationale de l’énergie atomique

Vous voyez, et ainsi on pourrait encore énumérer beaucoup d’autres organisations et sous-organisations maçonniques. Vous n’arriveriez même pas à faire le tour de la NASA et de tous ses astronautes maçonniques. (www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ?)

Sans parler de la nouvelle religion maçonnique du climat, avec ses faux prophètes et ses grands prêtres qui effraient sans cesse les peuples avec leurs mensonges climatiques.

L’ange bleu — Jury du label écologique

Cour pénale internationale

Et celui qui pense qu’au moins la Cour pénale internationale a le même logo par simple hasard peut volontiers croire à nouveau au Père Noël. Même chose si, en tant que chrétien, on croit qu’Israël, fondé en 1948, a été reconstruit par Dieu et non par la franc-maçonnerie de haut niveau.

Modèle de logo universitaire

Regarde le logo de l’université comme modèle. Partout, tu trouveras cette couronne ! « Université » dit déjà tout. C’est le club qui a tout infiltré. Donc si tu as des doutes sur le fait que tout a été habilement infiltré, tu as ici des preuves.

Prochaine vague — Tatouages

Jusqu’aux universités constamment encensées et à l’addiction générale au tatouage, tout prend racine dans un seul et même marécage maçonnique. C’est pourquoi tu vois ici un spécimen comme celui-ci : « Prochaine vague — tatouages ».

Certaines choses ont été délibérément cachées de cette manière, comme c’est la coutume cynique des francs-maçons de haut grade depuis des siècles.

L’état actuel de notre monde montre que la haute finance mondiale est quasiment à un pas de l’objectif de l’instauration de sa dictature communiste mondiale. Mais elle doit encore lutter contre deux problèmes particulièrement tenaces. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’élite maçonnique américaine veut maintenir son statut de parasite mondial et empêcher le transfert du centre de direction mondial de la cabale vers la Chine, ce qui retarde considérablement le plan de reformatage de la haute finance mondiale. Et deuxièmement, la population occidentale comprend de plus en plus les objectifs de la mise en place de cette dictature mondiale communiste et financière, c’est-à-dire de l’État profond, et elle devient de plus en plus consciente de sa propre perte de pouvoir en raison de la mise à nu et de la perte de pouvoir de l’élite américaine, qui deviennent visibles. De plus en plus de personnes cherchent donc le salut dans des mouvements patriotiques conservateurs.

Mais tout patriotisme assumé arrive trop tard. Car c’est précisément à cause de lui que les peuples et les États occidentaux sont affaiblis et détruits depuis des décennies par des migrations de masse systématiques. Chaque fois que la haute finance et ses principaux médias exaltent le patriotisme, c’est pour pouvoir ensuite mettre sur le dos du patriotisme ou du nationalisme les révoltes, les crises et les guerres sanglantes fomentées par la franc-maçonnerie, comme ce fut le cas autrefois avec Adolf Hitler ou actuellement avec Zelensky et Poutine. Comprenez-vous l’astuce ? C’est ainsi qu’on démantèle les nationalités. Tout patriotisme authentique est une épine dans le pied du communisme de la haute finance, car il possède la force potentielle de vaincre ce communisme de la haute finance — mais seulement si on se serre les coudes. C’est pourquoi le plan subtil de surpopulation étrangère d’Earnest Hooten détruit sous nos yeux toute velléité de patriotisme authentique. Depuis les années 60, le plan Hooten empêche systématiquement tout retour au patriotisme. Il brise dès le départ tout patriotisme authentique.

Sous le slogan « ça profite à notre économie », des travailleurs immigrés ont donc été introduits de manière ciblée et systématique dans nos pays. Au début, il ne s’agissait que d’amis « voisins », par exemple des travailleurs immigrés d’Italie, puis de Turquie, puis de plus en plus de travailleurs immigrés de tous les pays et enfin le chaos total planifié par des ruées vers l’asile à travers la Méditerranée. La migration de masse s’est ainsi révélée être de plus en plus une ruse de guerre marxiste contre nous, afin d’imposer la dictature communiste mondiale. L’ordre issu du chaos a toujours été le mot d’ordre des élites secrètes qui dirigent le monde. Le chaos total dans tous les sens du terme est leur principe de construction. Pour notre génération, cela commence par les hippies du mouvement de 68, avec l’introduction ciblée de drogues, de sexe, d’alcool — en passant par le nihilisme total — jusqu’à l’effondrement économique total de la classe moyenne, annoncé par les confinements de la plandémie. Oui, le déclin total de tous les peuples non encore communistes est la condition nécessaire à la haute finance secrète pour imposer sa domination mondiale.

Il n’y a aucune autre raison qui explique que nous nous trouvions maintenant dans un monde où les problèmes sont de plus en plus nombreux et où de moins en moins de personnes trouvent encore de l’aide après avoir été délibérément plongées dans des problèmes sans issue.

Je résume tout ce qui a été dit et j’en arrive à ce qui me semble être une solution viable pour sortir de cette crise mondiale :

• Aucun gouvernement au monde n’est vraiment autosuffisant, indépendant de la haute finance. Même les gouvernements qui souhaitent conserver ou rétablir leur indépendance ne le peuvent pas : ils sont écrasés par l’armée.

• La Chine et la Russie ont également été construites stratégiquement par la haute finance mondiale et attirées dans le piège de la dette, comme tous les autres pays du monde.

• Le communisme tout entier est un dispositif global et stratégique de la même haute finance, destiné à éliminer toute classe moyenne qui lui est rivale.

• Le principal point faible du complexe financier mondial, désormais numérique, réside dans la nécessaire administration étrangère. Tout comme les Américains dépendent de gouvernements fantoches appartenant aux États-Unis dans tous les territoires qu’ils occupent, la haute finance fait de même. C’est dans cette administration étrangère que se trouve le talon d’Achille, le point vulnérable de toutes les puissances d’infiltration.

• Après que la haute finance mondiale a construit, entre autres, des prisons de masse rentables, c’est-à-dire des camps de travail pour les travailleurs gratuits, en Russie et en Chine, et qu’elle a finalement pu révolutionner techniquement le marché mondial tout entier, il n’y a plus de retour en arrière possible.

• Mais certaines des principales marionnettes des États vassaux, qui ont été stratégiquement construites par la haute finance mondiale, ont entre-temps elles-mêmes « pris goût à la vie ».

• De même que les bandes de brigands ont toujours eu l’habitude de s’entre-tuer lorsqu’il s’agissait de se partager le gros du butin, il en va de même aujourd’hui. Mais pour nous, les peuples trompés, ce n’est pas une bonne nouvelle. Car que ce soit la haute finance mondiale avec ses militaires ou que ce soit ses vassaux déserteurs qui gagnent la bataille finale pour les peuples travailleurs bon marché, tous les peuples de cette terre finiront de toute façon sous surveillance totale dans les camps de rééducation et de travail prévus. Parce que ce concept est le plus lucratif pour tous les partis de pillards. Priez, si vous pouvez prier, pour que tous ces mafieux des sociétés secrètes s’éliminent mutuellement de leurs propres mains et qu’ils ne parviennent plus à abuser et à sacrifier des peuples innocents pour leurs révoltes et leurs guerres. Je vous invite à écouter à plusieurs reprises la deuxième et surtout la troisième partie de mon message de la Journée des Amis 2023 (https://www.kla.tv/Journéedesamis2023/26201). Vous ne trouverez nulle part ailleurs des solutions et des propositions plus puissantes.

Il n’y a qu’une seule issue pour les peuples : ils doivent devenir ce qu’on leur a fait croire pendant des siècles — ils doivent se défendre ensemble contre la haute finance mondiale rusée et contre son communisme dévoyé.

Mais ce n’est pas la forme puérile ou au mieux adolescente de la démocratie suisse qui nous sortira de l’ornière, car elle est basée sur l’égoïsme humain et donc sur la lutte éternelle des ego.

Ce dont ce monde a besoin, c’est de l’union de tous les peuples condamnés à l’esclavage sous cette loi agissante de l’esprit de vie, de paix et de force de navigation céleste qui sait guider même le « monde animal inculte ».

À ceux qui objectent ici qu’une telle navigation est impossible chez les humains, je renvoie sereinement à l’histoire de l’OCG, dont les organes issus de milliers d’horizons différents agissent harmonieusement comme un seul homme depuis des décennies — et construisent le nouveau monde sur cette voie synergique — et ce, bénévolement et avec une grande motivation. Les résultats ne sont pas seulement visibles dans les dizaines de milliers d’émissions gratuites de Kla.TV ou dans les centaines de milliers d’articles du journal gratuit V&CV. Vous trouverez ces mêmes résultats dans tous les produits de notre maison d’édition Elaion, sous la forme de dizaines de livres gratuits, de littérature spécifique sur le thème susmentionné. Sur le même thème spécifique de la force de navigation ontique mondiale, dans environ 2 000 conférences gratuites sur CD, ou dans de grands films, des oratorios, etc. Nous avons créé tous ces produits bénévolement, malgré les fronts furieux de la haute finance mondiale et du communisme agressif, entre lesquels nous sommes coincés depuis des décennies. Mais aussi en dépit de décennies de résistance de la part de tous les cartels exploiteurs avec leurs médias de masse à redevance obligatoire, etc. En tant qu’OCG, nous sommes devenus un organisme international vivant, en dépit des dizaines de milliers de divisions religieuses, politiques, économiques et autres. Vous voyez donc qu’il est possible de surmonter cela, avec un champ de force qui agit réellement depuis le ciel et qui est là pour tous. Rien de religieux — de la force ! Que pourrais-je encore énumérer ? Il y aurait encore beaucoup plus.

Mais non, l’OCG ne veut pas être lui-même le nouveau dirigeant mondial ou le dirigeant alternatif. Aucun Ivo Sasek ni aucun de ses milliers de collaborateurs bénévoles ne dirigera ce monde. Mais bien le principe de navigation qui agit partout dans l’air autour de nous, auquel nous nous sommes à nouveau fiés et qui nous a permis d’acquérir une qualité de vie totale et indescriptible.

L’OCG ne fait qu’offrir gratuitement ses services à tous les peuples menacés de cette Terre afin de construire parmi eux cette véritable démocratie dans laquelle il n’y a plus de lutte de pouvoir pour les 51 %, mais dans laquelle l’état normal est un accord à 100 % de l’intérieur sur toutes les questions essentielles de la cohabitation entre les peuples, qui s’écoule librement de chaque être humain. C’est le produit de cette navigation par le haut.

J’appelle ici tous les hommes de toutes les nations à l’engagement actif nécessaire ! Devenez avec nous cet organisme vivant ! Celui qui peut entendre mon discours et qui sent dans son cœur qu’une solution adaptée à notre époque s’offre ici — même si c’est à la dernière minute — pour tous les peuples du monde, qu’il s’inscrive à « Kla.TV — Devenir actif » et devienne engagé ! (https://www.kla.tv/aktiv-werden)

Nous sommes là pour toi et nous t’introduisons de manière pratique dans ce champ de force qui navigue de façon ontique.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Le Grand Réveil

[Source : @quantumleaptraduction]

Le Grand Réveil (par Mikki Willis), est le troisième volet de la série Plandemic.
Cette expérience documentaire assemble les pièces du puzzle pour révéler une vue d’ensemble de ce qui se passe réellement en Amérique et au-delà.
Le Grand Réveil se veut un phare pour nous guider hors de la tempête et vers un avenir plus radieux.

Participants à ce projet de traduction :

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Karoline participation au doublage

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4




[Source : @Gl33tchmob]

Voici le premier épisode de la série PLANDEMIC, un documentaire de 26 minutes, qui a été vu par plus d’un milliard de personnes dans le monde, établissant un record historique. Ce documentaire expose des agendas cachés.

En 2021, j’ai pu récupérer la vidéo traduite et doublée avant sa suppression par Youtube. Je l’ai recompilé afin d’avoir la meilleure définition possible.

La vidéo d’origine a été traduite et doublée par la chaîne Youtube = TRADUCTION DOCUMENTAIRES — qui a cessé son activité sur Youtube —




[Source : @PiloteGG]



[Voir aussi :
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin,
Les mécanismes des régimes totalitaires,
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective,
La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies,
L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !,
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade,
Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique,
« Vous n’êtes pas woke ? Nous vous supprimons »,
Changer le Système ?]




Mairies, maires, bus, bibliothèques… brûlés

Par Lucien SA Oulahbib

Tiens ! Lacoste et Hugo Boss pillés Place des Jacobins à Lyon, mais pas Hermès : et pourtant cette boutique vend des foulards, mais trop fashion pour les « sœurs » qui en seront punies… Auraient-ils pillé à Alger, Ryad, Dubaï ?… Leur police aurait-elle tiré sur un refus d’obtempérer obstiné ? La réponse coule de source…

Et brûler une bibliothèque ? Pourquoi faire ? Les uns avaient Mein Kampf, les autres le Coran, pas d’amalgame, non, mais à chaque fois un livre unique déifié comme s’il s’agissait d’un second dieu et avec Mahomet cela fait trois, une Trinité là aussi donc, mais bien bancale, car il y a autant d’interprètes que de croyants, comme les trotskards qui se rallient à eux maintenant tant Ronchon veut être Calife à la place du Calife français qui danse tel Néron avec Elton pendant que la maison France brûle (« et nous regardons ailleurs », disait le pôvre Jacquot…).

Trêve de plaisanteries un instant. J’ai croisé quelques couples âgés à Champ Vert, des yeux emplis de tristesse et de colère rentrée toisant ma peau bronzée. Micron a intérêt à démissionner dans deux ans et établir le vote électronique tout en évinçant Tik Tock et Twitter (à la rentrée ?) s’il veut éviter l’arrivée de la Douairière bretonne que beaucoup de gens à gaute attendent cependant pour se refaire une santé (« la bête immonde », etc.)…

Pendant ce temps les commentateurs (com)mentent, communiquent leurs mensonges dénonçant des complots qui seront validés dans deux ans ou « cinq », pronostique Raoult. Mais y aura-t-il assez de places à l’étage VIP de la Santé ? Une vraie question…

Est-ce si sûr, tant elle se remplit de policiers et d’entraîneurs de foot militant pour plus de « mixité ethnique » (ce qui est interdit puisque les ethnies n’existent pas officiellement, alors qu’elles reviennent par la fenêtre avec la « théorie critique de la race » enseignée de plus en plus et qui estampille le fait d’avoir un poste ou pas à l’inéducation, la désinstruction « nationale » — un gros mot – universitaire…) ?

Le Titanic France coule donc devant nos yeux incrédules, mais personne ne s’en aperçoit, sauf quelques petits sous-marins douteux qui viennent y faire du tourisme, à leurs risques et périls, comme l’annonce l’ambassade US ; bientôt l’UK ?… Eh tiens, à propos de celle-ci, ne voilà-t’y pas, entre deux soutiens à la mafia ukronazie, que le valeureux Farage voit ses comptes bancaires gelés comme un vulgaire camionneur canadien ou un boxeur parisien parce qu’il aurait dit des gentillesses sur les méchants pourfendeurs du clavier azerty nommés autrefois « Russes » ?…

La Secte SHAA fait ainsi feu de tout bois, remplace l’éducation civique par l’éducation sexuelle parce que cette interdiction de consommer du gosse, cela commence à bien faire là, dis donc. La chair fraîche pour rajeunir, il n’y a que ça de vrai. Certains parlent même de sang frais aussi, mais eux on les retrouve morts avec une crise cardiaque, ou suicidés une balle dans le dos, ou noyés dans deux centimètres d’eau…

Et pendant ce temps, d’aucuns en appellent à « l’état d’urgence », beau moyen d’instaurer le couvre-feu permanent, puis le couvre-feu climatique avant la prochaine pandémie ACTURUS en train d’être concoctée dans un « lab » secret pour imposer le multi-passe (climato-sanitaire -anti-Poutino-complotiste)…

— Bonjour chez vous ! Mais qui est le N° 1 ? Vous êtes le N° 6 ! Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre ! Impossible ! le terme « homme » a été effacé, preuve que vous êtes bien d’extrême droite… Allez tous vous faire médailler ! Dirait Greg Toussaint !…




L’erreur fatale des moutons

[Source : off-guardian.org]

Par Todd Hayen

Je commencerai cet article en m’excusant auprès des lecteurs qui n’ont pas le même sens de l’humour que moi, ainsi qu’auprès de ces charmantes personnes au grand cœur qui n’aiment pas les étiquettes, quelles qu’elles soient (mouton et/ou musaraignes [NDT « sheep » et « shrew » en anglais, deux mots d’une seule syllabe et ayant trois lettres communes sur cinq]).

En ce qui concerne le terme « mouton », j’ai essayé (et je suis certain que j’ai parfois échoué) de m’abstenir de qualifier une personne de « mouton ». Il s’agit plutôt d’un terme que j’ai appliqué à un groupe de personnes ayant un « état d’esprit » similaire. Si vous pensez correspondre à cet état d’esprit, vous pouvez, si vous le souhaitez, vous qualifier de « mouton ». Si vous trouvez ce terme offensant et que vous ne pensez pas y correspondre, je n’y vois pas d’inconvénient. Ne vous incluez pas dans le groupe des moutons.

Quant aux musaraignes. C’est là que le sens de l’humour entre en jeu. J’avais besoin d’un terme autre que « ceux d’entre nous qui, de l’autre côté de la ligne de partage, croient en la liberté et ne croient pas au programme des mondialistes avides de pouvoir qui essaient de prendre le contrôle du monde »… ouf… « musaraigne » est un moyen plus facile de faire passer le même message une fois que le terme a été défini.

Pourquoi musaraigne ? C’est une longue histoire. Mais c’est un terme aussi bon que n’importe quel autre, et il est complémentaire du mot « mouton » puisqu’il commence par les deux mêmes lettres et qu’il s’agit également d’un animal. Il s’avère que les musaraignes peuvent être féroces, même si elles sont très petites. Cela convient donc aussi.

Voilà, c’est fait. Lisez cet article en gardant ces éléments à l’esprit, car il contient de nombreuses références aux moutons et aux musaraignes.

L’erreur fatale des moutons est de ne pas se rendre compte que ceux qu’ils appellent les « théoriciens du complot » et les « négateurs de la science » ne sont pas un petit groupe marginal de bizarres et de péquenauds comme ils pourraient l’imaginer. Le fait est que nous sommes nombreux et que nous comprenons beaucoup d’esprits brillants et de membres formidables dans nos domaines d’expertise individuels. Il ne s’agit pas d’une bande de marginaux.

Bien que je ne doute pas que nous soyons du BON côté des choses, je dirai que pour les personnes qui doivent traiter avec nous, ce fait n’a pas vraiment d’importance (le fait d’avoir raison semble avoir un effet sur eux). Il semble que les moutons aiment nous ignorer et faire comme si nous n’existions pas, même si nous avons raison. Ils ne s’embarrassent pas de nous, nous ne sommes qu’une nuisance pour eux. Cette attitude va un jour les mordre très fort dans le vous savez où.

De nombreux moutons m’ont demandé : « Comment pouvez-vous être sûrs que vous avez raison et que nous avons tort ? ». Je me suis souvent posé la même question. Il y a de nombreuses réponses, ma préférée étant simplement de dire « nous avons raison parce que nous avons raison » — ce qui, bien sûr, est plutôt désinvolte. Cette réponse semble toutefois plus prudente : les musaraignes sont curieuses et cherchent des réponses.

Même si le consensus qui prévaut semble correct, il semble que nous en voulions toujours plus. Nous voulons comprendre pourquoi les choses sont comme elles sont. Nous ne le faisons peut-être pas avec tout ce que nous rencontrons ; nous le faisons certainement lorsque nous sommes confrontés à de grandes déclarations et lorsque les pouvoirs en place nous disent que nous devons tous « faire » ceci ou cela, comme prendre un vaccin que personne n’a vraiment étudié contre un virus dont personne ne sait grand-chose. En général, nous nous disons « hein ? ».

Nous nous plongeons alors dans le sujet. Nous nous enfonçons dans tous les trous de lapin que nous pouvons trouver. Beaucoup de ces trous mènent à des impasses, mais nous découvrons ces impasses par nous-mêmes. Nous ne laissons personne nous interdire l’accès en nous disant : « Vous ne voulez pas aller là-dedans ». Nous disons : « Pourquoi pas ? ». Lorsque nous commençons à penser que nos sources d’information habituelles, généralement ce que l’on appelle les « médias dominants », ne nous donnent pas toute l’histoire, nous nous dirigeons rapidement vers un territoire inexploré et commençons à y creuser. Oui, encore des impasses, mais nous nous habituons à ce que les « impasses » fassent partie du cours d’une découverte vraiment désinhibée.

Nous tirons des conclusions, des hypothèses, des spéculations à partir de toutes les informations que nous avons recueillies et nous commençons à obtenir quelque chose sur lequel nous pouvons faire une déclaration de vérité défendable. Mais cela demande beaucoup de travail. Et ce n’est généralement jamais définitif, jamais infaillible. Nous ne semblons pas aimer les choses qui « semblent » définitives.

Ce n’est pas le cas des moutons.

Je n’en ai encore rencontré aucun qui le sache. Ils pensent souvent que c’est le cas et me renvoient des lignes qu’ils ont entendues sur NPR [National Public Radio], ou dans le WP [Washington Post] ou le NYT [New York Times], ou bien sûr les grandes « autorités » telles que le tsar de la science à la retraite Fauci, le POTUS [Président des États-Unis], les directeurs des principaux hôpitaux ou sociétés pharmaceutiques, etc. Ils ne semblent pas réaliser que leur insistance sur l’exactitude de ces sources est comparable au fait de se tourner vers Goebbels pour vérifier l’exactitude d’un discours d’Hitler, ou de se référer à Der Stürmer pour connaître la vérité sur les Juifs. Aujourd’hui, il faut consulter plusieurs sources avant d’obtenir une représentation exacte de la réalité sociale ou scientifique.

Les moutons refusent d’accepter cela.

Ce qui est étrange, c’est que nous n’avons jamais vécu dans une culture où les informations principales étaient fiables à 100 %. Les sources ont toujours été partiales et, pour se faire une idée précise de quelque chose, il a toujours fallu consulter plusieurs sources.

Le problème, c’est qu’en tant qu’Américains (ou Canadiens d’ailleurs), on nous a inculqué que la liberté, la vérité, la mère et la tarte aux pommes sont les caractéristiques de notre culture américaine. Bien que la plupart d’entre nous aient été élevés dans cette optique, cela n’a jamais été la vérité. Peut-être l’a-t-elle été pendant une milliseconde en 1776, mais j’en doute. (Les principes énoncés ici sont vrais, mais ce n’est pas la vérité de dire qu’ils sont la marque et les intentions du gouvernement américain ou canadien).

Cela ne signifie pas nécessairement que cette culture a été privée à 100 % de toute intégrité pendant 200 ans (enfin, à l’heure actuelle, on pourrait dire cela), cela signifie que nous avons toujours été indépendamment responsables de voir à travers ce mur de subterfuges. Malheureusement, je pense qu’ils ont finalement réussi à couper la tête du poulet. La plupart des gens semblent avoir perdu la capacité d’utiliser leur cerveau.

Autrefois, il ne fallait pas grand-chose pour révéler les charançons qui se cachaient dans le coton. Nous avions des journaux concurrents qui se faisaient un plaisir de révéler les contre-vérités dans les pages de leurs concurrents. Cela fonctionnait bien avec tous les acteurs, sauf les plus gros (Rockefeller, Carnegie, Morgan, etc.), mais maintenant cela ne fonctionne plus du tout parce que toutes les grandes sources d’information ont été achetées. C’est assez évident, mais la plupart des moutons semblent penser que le propriétaire d’une source d’information n’a aucun pouvoir sur ce qu’il imprime.

C’est une erreur.

Nombreux sont ceux qui imaginent un rédacteur en chef fumeur de cigares, accroché à son ancre de vérité et déclarant avec dégoût : « Ils ne m’empêcheront pas d’imprimer CELA ». Je ne pense pas que cela ait jamais existé. Je pense que si les anciennes sources d’information sont restées plus honnêtes qu’aujourd’hui, c’est parce que la « vérité » est devenue un produit commercialisable. Cela ne semble plus être le cas aujourd’hui.

Quel est donc le rapport avec l’erreur fatale d’un mouton ? Eh bien, simplement que la vérité n’est plus un produit commercialisable dans les grandes sources d’information, et que nous devons donc tous nous tourner vers des sources où elle l’est encore. Les moutons ne se rendent pas compte que les musaraignes ont la vérité de leur côté. Et elles s’alignent sur la vérité. Ils ne croient pas non plus que nous sommes intègres, que nous sommes nombreux et que nous sommes très intelligents, ingénieux et persévérants. Cela finira par les atteindre, et d’une manière très dure.

La vérité est comme l’eau de pluie sur un toit. Elle trouvera son chemin s’il y en a un. L’analogie échoue lorsqu’un toit devient étanche. La culture et la société humaine ne peuvent jamais devenir « étanches à la vérité ». Ne me demandez pas pourquoi, c’est une évidence. La vérité finit par s’imposer, quoi qu’il arrive. Cela peut prendre un certain temps, mais la vérité finira par s’imposer. Elle s’imposera.

Les musaraignes ne connaissent peut-être pas toutes la vérité à un moment donné, mais elles la cherchent, où qu’elle se cache, et elles la trouvent. Lorsqu’elles la trouvent et qu’elles montrent à d’autres personnes où elle se trouve, elles élargissent la brèche pour permettre à d’autres de passer, tout comme la fuite dans le toit ou le trou dans le barrage. Le barrage finit par céder et le toit par s’effondrer.




40 ans de gabegie politico-judiciaire en « France »

Par Lucien SA Oulahbib

Les séditieux à la manœuvre brûlant maternelles et bus depuis 2005 sont les petites mains serviles des membres de la Secte (SHAA) qui sévissent depuis des lustres pour détruire la Nation France, ce bien populaire qui permet(tait) à chacun de se transcender, pas seulement tous les quatre ans à la coupe du monde ou d’Europe, mais dans chaque belle réalisation. Ainsi Le Concorde, Ariane, que sont-ils devenus ? Perdus, écrabouillés par la machinerie du démantèlement faisant de la nation une contrée parmi d’autres, même pas régie par elle-même, ne serait-ce que la composition de ses fromages, le nombre des loups, son énergie, incapable d’enseigner une Histoire permettant à tout un chacun d’apprendre que l’Algérie n’existait pas en 1830, qu’elle était chrétienne avant l’invasion arabo-musulmane et que tous les malheurs suintant de ce pays et de bien d’autres ne proviennent pas de « la » colonisation française, mais de la gabegie installée depuis plus de soixante ans en son sein, et que la France n’a pas, devant ce problème en réalité mondial, à y répondre seule…

Ajoutez à cela le nihilisme bouée de secours d’une pseudo-élite verbeuse et illettrée en réalité ânonnant le racisme du multiculturalisme qui confond de plus en plus pluralité et multiplicité, la première admettant des différences dans certaines limites, la seconde les mettant de telle sorte toutes en équivalence que cela revient à inférioriser la culture autochtone dont les acquis en France permettent paradoxalement aux autres de prospérer, mais à ses dépens (la tolérance par exemple) ce qui n’est pas/plus possible. Même dans un État fédéral, ce n’est pas tenable, ce que nous ne sommes pas malgré les efforts bruxellois. Et puis au fond, le français, déjà comme langue, n’a que cinq cents ans (depuis François 1er et La Pléiade en gros). Ses penseurs principaux surgissent il y à peine quatre cents ans. La démocratie méritocratique à peine deux siècles et demi. Et même si les fils judéo-chrétiens et gréco-romains sont depuis bien plus longtemps (que la France depuis au moins Charlemagne est Fille aînée de l’Église) il n’empêche que la France en tant que Nation moderne transcendant les origines de classe et d’ethnies reste bien jeune en réalité…

D’où l’idée de ne pas flancher devant les péripéties de l’heure, car des siècles, voire des millénaires, sont encore devant nous. N’oublions pas le temps long. N’écoutons plus ceux qui n’ont plus rien à dire — n’ayant que deux locutions à la bouche comme au temps des absolutismes triomphants : « hérétique/complotiste », « extrême droite/social-traître ». Écartons ces ignares qui nous ont menés là où nous sommes : dans l’effondrement lui-même. Le « grand bond en avant » a donc été effectué et pour l’instant, comme l’énoncent les humoristes, la falaise de départ étant haute, et l’abîme profond, « pour l’instant tout va bien », cela « va bien se passer madame (la Marquise) ne vous inquiétez pas ». La Secte peut continuer ainsi à se dilater, hilare, tandis que les faux coqs la ramènent dans le côté « multi », oubliant qu’ils finiront en coq non plus au vin, mais à l’eau, mais pas trop, car elle est désormais vendue par le-tenant-du-troisième-mandat, qui devra donc démissionner un an avant, en 26, mais comment tenir encore trois ans (sans être Chirac) au vu de la décrépitude actuelle ?…

« Heureusement », la « pandémie » de la guerre globale contre la Russie, déclarée sans doute mi-juillet comme d’habitude (ou après un autre 5 août en perspective) viendra le positionner en chef de guerre qu’il est depuis 2020 : guerre contre le peuple, guerre contre la science raisonnée, contre la médecine d’Hippocrate, contre la démocratie d’opinion, contre la culture française (qui « n’existe pas »), guerre contre l’égalité homme/femme en implosant leur différence sur le livret familial (pour commencer). Et vous comprenez pourquoi Poutine ou Orban (même Erdogan) ne peuvent pas perdre, pourquoi les théocrates iraniens se rapprochent de leurs homologues wahhabites, parce que les ennemis des ennemis deviennent « amis », ce qui fait que devant ces bouleversements multiformes et complexes la France ne peut se permettre pour les « soixante siècles » à venir, et non plus passés, de se contenter d’avoir à sa tête des commis d’affaires douteuses (ventes fumeuses de biens publics, destruction d’EDF comme gage afin de pouvoir emprunter encore sous l’égide d’un euro allemand) ou des rentiers qui n’ont toujours pas compris 1789 ou 1940…

Tout cela se paiera, se paye déjà… Mais sachons admettre qu’il faut aussi observer la poutre nichée dans l’œil de ceux qui aujourd’hui prétendent être les mieux placés pour redresser le pays, et qui ne s’en aperçoivent toujours pas. Leur stratégie ne marche pas, pas plus que leurs analyses. Cela se saurait sinon…




La fuite en avant : le nouveau logiciel politique de la France ?

Par Jacques MYARD (https://www.nationetrepublique.org/)

Le dictionnaire nous donne du concept de la fuite en avant une définition limpide et précise : fait de fuir ses problèmes sans les résoudre ou poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences !

Il faut se poser la seule question qui vaille : la fuite en avant est-elle devenue le nouveau logiciel de la société, tout comme celui du gouvernement, la raison non rationnelle de ses décisions qui le pousse à aller de l’avant au mépris des réalités de tous ordres ? En avant, on verra bien !

Relevons au passage que les médias utilisent très souvent ce terme accusant les politiques, mais aussi les clubs ou associations de succomber à cette fuite.

Certes, nos concitoyens n’aiment pas l’immobilisme et le sur-place, ils se disent parfois : allons de l’avant, quoi qu’il arrive. Cette politique suiviste des événements n’est pas sans danger, car le propre d’une politique est de comprendre les tenants et aboutissants des événements sans succomber aux émotions du tout-venant.

Prenons quelques exemples pour illustrer cette dangereuse dérive :

— L’écologie, travestie en idéologie apocalyptique, fait feu de tout bois et s’acharne contre toute autorité, vociférant la menace de la fin du monde, à chaque occasion les Khmers écolos choisissent la fuite en avant dans la violence…

— Dans le même ordre d’idées, les délinquants règlent leurs différends avec des Kalachnikovs, fuite en avant des faibles qui seront rattrapés et exécutés par d’autres délinquants, scellant ainsi le cercle de la violence au quotidien ; police et justice sont devenues les simples comptables des assassinats en série…

— La France compte toujours 3 millions de chômeurs, nombre d’entreprises ne parviennent pas à recruter des saisonniers ou des employés pérennes, les marchands d’esclaves poussent le gouvernement à ouvrir les frontières, déjà fort perméables, afin de faire venir de nouveaux migrants, sous-payés et incapables à se loger ; voilà une superbe politique de gribouille, l’exemple parfait de la fuite en avant du gouvernement…

— Délivrance du permis à 17 ans : pourquoi pas ? disent les communicants de Macron-Jupiter, en quête d’une sympathie perdue par la saga des retraites, mais le gouvernement a-t-il mesuré les conséquences de cette proposition ? Non il a pris la décision et pour le reste, on verra après : jolie fuite, en avant surprise…

— Procédures judiciaires tatillonnes et dirimantes : il ne se passe de jours sans que des tribunaux annulent des procédures policières et obligent à remettre en liberté des malfrats, voire des assassins pour le plus grand plaisir des avocats qui ont manipulé le Parlement et complexifié les procédures afin de réussir les requêtes en annulation… cela pourrait presque apparaître comme une fuite en avant… juridico-complotiste…

— Le Président de la République a pris de multiples décisions en faveur de l’Ukraine, livraison d’armements, aides alimentaires, mais la France s’est toujours montrée très réservée, voire hostile à son entrée dans l’OTAN — refus français au Sommet OTAN de Bucarest en 2008 — ; quant à son adhésion à l’UE, nombre de pays s’inquiètent de la compatibilité de Kiev avec les principes de l’UE

Ô surprise, E. Macron laisse entendre que la France serait favorable à l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, sans doute pour plaire aux ultras européens anti-russes, ou pour garantir la pérennité de cette guerre en Europe ; voilà une superbe fuite en avant qui cadre parfaitement avec la définition du dictionnaire « poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences » !

— Le français est la langue de la République, article 2 de la Constitution, visiblement Emmanuel Macron l’a oublié et sous l’effet d’un suivisme béat de l’empire américain, n’a de cesse de glorifier le « globish » anglo-saxon, pratiquant la plus belle fuite en avant suicidaire : c’est ainsi qu’à l’occasion du « Sommet de Paris pour un nouveau Pacte Financier Mondial », la Présidence de la République invite les chefs d’État à un dîner utilisant le Sabir globish et reléguant le français au second rang ; plus qu’une faute c’est une trahison culturelle !

Il est urgent que la France retrouve la cohérence de ses fondamentaux, son indépendance et la défense de ses intérêts.

Tout n’est pas perdu cependant !

— C’est avec délice que nous avons entendu le PDG de Dassault, Éric Trappier, fustiger la naïveté du gouvernement en matière d’armements européens, notamment sur le projet de l’avion SCAF, en dénonçant la subordination totale de nos partenaires européens aux Américains, il faut se féliciter qu’à nouveau Dassault aviation et Dassault Systèmes s’associent pour créer un système informatique indépendant de Washington, un Internet souverain dans les secteurs géostratégiques, BRAVO !

J’avais proposé de le faire il y a quelques années à l’Assemblée nationale, les bons esprits avaient ricané. Merci Dassault !

« Tout a sombré, rien n’est perdu,
Tout s’est englouti, rien n’a péri,
Tout s’est abimé, rien n’est mort,
Tout a disparu, tout reparaît »

Victor Hugo

Mais surtout, gardons en mémoire l’Appel du 18 juin de Charles de Gaulle

« Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. »

Tout est affaire de volonté, la volonté d’être nous-mêmes, d’être libre !




L’implosion du Titan et le complot de la catastrophe du Titanic

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Le submersible Cyclops 1 d’Ocean Gate exposé au Musée de l’histoire et de l’industrie de Seattle (MOHAI) (CC BY-SA 4.0)]

Par Aurelien Girard

Le Titanic n’a jamais coulé. Le secret en était bien gardé, car il s’agissait d’une juteuse arnaque aux assurances, durant laquelle un autre navire, l’Olympic, a remplacé le géant des mers au fond de l’Atlantique Nord. À l’époque, les propriétaires des deux navires, soutenus par le banquier JP Morgan qui voulait éliminer quelques rivaux, ont substitué le Titanic flambant neuf par l’Olympic, navire plus vieux et endommagé et ont délibérément provoqué la collision avec un iceberg. Les passagers du sous-marin Titan, disparu lors d’une plongée autour de l’épave, pourraient avoir fait les frais de s’être approchés un peu trop près de la vérité.

Vous venez de lire le résumé d’une des plus grandes « trends », les tendances du réseau social TikTok, avec près de 5 millions de vues et un positionnement tout en haut de la liste des recommandations du réseau chinois. Pourquoi pas, direz-vous, puisque les complots et les arnaques à l’assurance existent depuis fort longtemps. Pourquoi pas, en effet, jusqu’à ce que cinq toutes petites minutes permettent de trouver les analyses d’historiens — non financés par JP Morgan — qui ouvrent une grosse voie d’eau dans cette accusation. Cinq minutes que les utilisateurs de TikTok auront mobilisées uniquement pour relayer l’information et lui permettre de s’amplifier, plutôt que pour la vérifier.

Cette même semaine dernière, le Pr Didier Raoult est reparti à l’offensive contre tous ceux qui l’accusent d’avoir mené des essais cliniques sauvages ; il affirme que le pouvoir tente d’étouffer sa découverte, car elle gêne le Big Pharma. Oui, persiste-t-il, il a sauvé de la mort des milliers de personnes grâce à l’hydroxychloroquine. Mais, indique-t-il aux centaines de milliers de personnes qui le suivent sur Twitter, gouvernement comme industriels se sont ligués pour le détruire, défendre leurs intérêts et vendre des vaccins peu efficaces et parfois dangereux. Pourquoi pas, là encore… les données scientifiques sur les vaccins anti-Covid — de même que l’expérience de terrain des vaccinés, ne parlent pas en leur faveur. On peut aujourd’hui encore débattre, pourquoi pas. Jusqu’à ce qu’une recherche un peu plus approfondie montre que Didier Raoult a falsifié une partie de ses résultats pour les faire aller dans le sens de son intérêt. Les journalistes ou scientifiques qui le disent sont systématiquement accusés d’être vendus au système : « Un coup de canif dans le serment d’Hypocrate. » (sic) dit doctement @libertés_ ; « Les procès arrivent », entonnent d’autres en se ralliant derrière le hashtag #Nuremberg2 à destination des « crasseux propagandistes au service de la doxa » (@StephanCaraibes)

Dernière actualité, le brutal revirement du groupe Wagner en Russie, samedi 24 juin, anime les débats des nouveaux spécialistes en géopolitique : la tentative supposée de coup d’État était une habile diversion de Vladimir Poutine qui, en conduisant à un déplacement des troupes de Wagner vers la Biélorussie, leur aurait permis de se rapprocher de Kiev. Ou bien, à Moscou, un génie du mal dans l’ombre pourrait avoir placé ses pions pour discréditer à la fois le chef de Wagner et le président Poutine afin de préparer une transition politique ; à moins, comme l’indique un autre membre populaire de Twitter, que ce ne soit un nouvel exemple du « complot sioniste » qui depuis si longtemps sait qu’il faut diviser pour mieux régner, complot déjoué par Poutine. Dans une guerre comme en politique, les tactiques diverses existent, pourquoi pas, donc. Le banquier juif a, par contre, bon dos dès que quelque chose va mal quelque part, traînant derrière lui un cortège bariolé composé de la CIA, des Fortune 500, de Rockefeller et du fonds d’investissement BlackRock, pour n’en citer que quelques-uns.

Partout, la vitesse de l’information fait exploser les cerveaux contraints à des paris non mesurés sur le vrai et le faux, paris généralement posés sans la moindre compréhension réelle des sujets. Quel meilleur chemin vers le totalitarisme qu’une période où il suffit d’exploiter les leviers de la bêtise humaine et de la plausibilité partielle pour créer des réactions en chaîne ? Si les théories du complot sont une réaction biologique au sentiment d’une omniprésente manipulation par les puissants, elles font de leurs consommateurs des sortes de zombies prêts à tout croire, plus manipulables encore. La solution pour tous serait peut-être une assez longue détox digitale, le temps par exemple de lire Montaigne et de développer comme lui un scepticisme bienveillant. Les grands esprits du passé nous ont laissé assez de leçons à cueillir pour ne plus être emportés au moindre coup de vent.




Le coup d’État aux USA

[Source : Ciel Voilé]




[Voir aussi :]




La Russie au bord de la guerre civile ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore

Par Kit Knightly

À la fin du mois dernier, le bureau du secrétaire général des Nations unies a publié un document d’orientation sur les objectifs pour l’avenir de l’Internet.

Faisant suite au rapport de 2021 intitulé « Notre programme commun », le nouveau rapport s’intitule « Un pacte numérique mondial ». L’objectif est de mettre en place une législation internationale visant à contrôler et à imposer l’utilisation de la technologie numérique.

Les clauses proposées promeuvent tout ce que l’on peut attendre d’elles.

Des identités numériques liées à l’accès financier :

« Les identités numériques liées à des comptes bancaires ou à des comptes d’argent mobile peuvent améliorer la couverture de la protection sociale et permettre de mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent contribuer à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale. »

Systèmes de crédit social liés à l’environnement ou au changement climatique :

« Les capteurs et les moniteurs connectés à l’Internet des objets, les plateformes de données basées sur le cloud [nuage de données], les systèmes de suivi basés sur la blockchain et les passeports numériques des produits débloquent de nouvelles capacités pour la mesure et le suivi des impacts environnementaux et sociaux tout au long des chaînes de valeur. »

Partenariat public-privé :

« Les partenariats entre les États, le secteur privé et la société civile tirent parti de la capacité des outils numériques pour fournir des solutions de développement dans le cadre des Objectifs de développement durable. Parmi les exemples, on peut citer la Digital Public Infrastructure Alliance, la Coalition for Digital Environmental Sustainability et les partenariats public-privé pour les interventions en cas de catastrophe. »

Lutter contre les « préjudices » en ligne :

« La désinformation, les discours haineux et les activités malveillantes et criminelles dans le cyberespace augmentent les risques et les coûts pour tout le monde en ligne […] nous devons renforcer la responsabilité pour les actes nuisibles et malveillants en ligne. »

Ce sont les plus évidents, mais il y a aussi un langage plus sournois et insidieux concernant « l’équité » et « l’accès ». Le rapport s’inquiète du fait que de nombreuses personnes dans le monde (principalement dans les pays en développement) n’ont pas d’accès régulier à l’Internet.

Cette préoccupation serait plus honnêtement exprimée dans le langage du contrôle — les personnes qui ne consomment pas de médias numériques ne peuvent pas être hypnotisées, les personnes qui ne communiquent pas en ligne ne peuvent pas être censurées, et les personnes qui ne dépendent pas des services bancaires numériques ne peuvent pas être contrôlées.

En résumé, le Pacte mondial numérique est un texte législatif mondialiste qui sert l’objectif final de la politique mondialiste : le contrôle de tous les aspects de la vie, obtenu en insérant un filtre numérique entre les gens et la réalité.

Banque, communication, consommation de médias, achats. Chaque interaction que vous aurez se fera à travers une membrane numérique qui pourra à la fois surveiller vos échanges avec le monde et — si cela s’avère nécessaire — vous refuser l’accès à ce monde.

Enfin, il est intéressant de noter que le rapport n’utilise pas les mots « mondialiste » et « globalisme ». Ceux-ci n’apparaissent pas une seule fois. Les mots « passeport vaccinal » ou « certificat vaccinal » ne sont pas non plus mentionnés. Les mots « crédit social » ou « monnaie numérique de banque centrale » ne sont pas non plus mentionnés. Ils sont abordés, mais ne sont pas mentionnés.

Ils semblent éviter les mots à la mode dont ils savent qu’ils susciteront des résistances ou déclencheront des sonnettes d’alarme. Auraient-ils agi de la sorte avant que les sceptiques ne commencent à s’imposer dans la conversation sur la Covid ? Je ne le pense pas.

Vous n’êtes pas obligé de me croire sur parole, bien sûr, vous pouvez lire le rapport dans son intégralité.

Il n’y a rien de surprenant là-dedans, évidemment. Mais il s’agit sans aucun doute d’un « moment de silence » et d’un lien à envoyer aux personnes qui vous considèrent toujours comme un théoricien de la conspiration.




Documentaire Final Days (Derniers jours)

S’il y a un documentaire à voir et à partager massivement, c’est celui-là. Toutes les preuves de la conspiration sont là. Personne ne pourra dire « je ne savais pas ».

Final days est doublé en français et dure un peu plus d’une heure. Mais en 1 heure de temps tout est expliqué et documenté lourdement. Consacrer 1 heure de nos vies à découvrir l’essentiel de l’opération Covid et sa finalité, ce n’est pas cher payé.

En effet, même si nous connaissons déjà beaucoup de choses sur cette conspiration criminelle, il est très important d’en comprendre les détails car le pire est à venir et c’est effrayant.

Nous allons vivre une période de terreur que l’humanité n’a jamais vécu dans toute son histoire. Et même si la peur n’évite pas le danger, nous devons absolument nous préparer mentalement à affronter ce que ces démons veulent nous imposer.

Comment imaginer que nous pourrons sauver les autres si nous sommes incapables de nous protéger et nous sauver nous-mêmes ?

Ceux qui veulent dépeupler la terre emploieront tous les moyens à commencer par les pires et les plus pervers. Un homme averti en vaut deux mais un homme informé en vaut 1000, surtout en période de grand danger.

Et si nous ne pourrons pas sauver tout le monde, essayons au moins de sauver nos proches et nous-mêmes. Et puis s’il faut mourir, mieux vaut combattre et défendre sa vie plutôt que d’aller au sacrifice comme un mouton soumis et résigné.

Frères et sœurs humains, je suis affligé de devoir écrire ces mots car même si nous devons prier pour le meilleur, nous devons être prêts à affronter le pire.

Nous ne mourrons pas tous, mais il faut pour cela comprendre la valeur sacrée de la vie et ne pas baisser les bras.

Eric Montana (https://t.me/s/ericmontanaofficiel/4917)

[Vidéo sur YouTube : NeoGabriel]

[Vidéo sur Odysee : @Lavéritépartagée]



[Voir aussi les dossier :
Vaccins et virus,
Implants numériques
et 5G et ondes pulsées, dont en particulier les articles suivants :
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie
Nanotechnologie et « vaccins »
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Le but démontré des injections antiCovid
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
et les liens inclus.]




Changer le (ou de) Système ?

Dogma Édition 23 — Printemps 2023

Révolution circulaire ou spiraloïde ?

Par Dr Lucien Samir Oulahbib, Dr Isabelle Saillot

L’air du temps serait à nouveau empli de ces dilemmes dits « binaires », pour ou contre, qui ont cependant leur moment (pour ou contre le totalitarisme), d’où la difficulté : ami ou ennemi, à cet instant T, « sur ce chemin, oui, mais pas celui-ci » notait Borges dans « le jardin aux sentiers qui bifurquent » ; tels seraient les mamelles du « Pouvoir » pour certains, du moins lorsqu’il est basé sur la seule puissance : la loi du plus fort, etc.

Mais « le » pouvoir peut persister comme « système » ou « organisation » s’il est aussi agi nous disent les Anciens par de « l’autorité » et non pas par la seule « puissance » ; ou cette délicate indexation entre des signes qui (dé)limitent notre rapport aux choses et aux êtres en s’appuyant sur des référents ou mesures afin de faire au mieux ; ce qui implique que le « Pouvoir », ou l’ordre politique, est aussi agi par la nécessité d’une direction dans l’action incluant le fait que si dans la puissance la logique prime (si a alors b) par contre dans l’autorité prédomine le sens de ce lien ses limites : si alors b si et seulement si a « doit » aller vers b ; ce qui implique également que la direction dans l’action se « doit » de demander, d’abord, non seulement quoi « changer », mais que l’on sache, déjà, ce que cela signifie, et ce dans chaque ordre, car changer de chemise et changer de corps politique et changer de corps biologique ce n’est pas la même chose, contrairement à ce qui est raconté aujourd’hui… […]

CONTEN:

CHANGER LE (OU DE) SYSTÈME ?

Dr Lucien Samir Oulahbib, Dr Isabelle Saillot

CHANGER LE SYSTÈME ?

Par Joseph Stroberg

« VIGILANCE » COMPLOTISTE, NÉO-ANTIFASCISME ET PROJET DE PURIFICATION ÉTHIQUE

Par Pierre-André Taguieff

CAN « THE WHOLE WORLD » BE WRONG?

Par Lucien Oulahbib

THE SCREEN: PRODUCT OF THE HYPERREALITY MACHINE

by Dr. Oleg Maltsev

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, PACTE MÉPHISTOPHÉLIQUE DE NOTRE ESPÈCE

Par Teresita Dussart

CRÉATEUR DE PAIX

Par Jean-Pierre Lledo

PROCRASTINATION ÉNERGÉTIQUE

Par Michel Gay

THE HONEST MAN’S HEROIC MANDATE

By Marco Andreacchio

UN ASPECT DE LA PHILOSOPHIE DES RELATIONS INTERNATIONALES : LA PHILOSOPHIE DE L’HISTOIRE.

Par David Cumin

? A?KARA, SPINOZA, AND ACOSMISM

by James H. Cumming

STRATÉGIE ET IMPRÉVU (L’EXEMPLE DE LA GUERRE EN COURS ENTRE LA RUSSIE ET L’UKRAINE)

Par Abdelkader Bachta

CONSERVATION AVEC THÉRÈSE DE LISIEUX

Par Lucien Oulahbib




Les imposteurs

[Source : docteur alwest]




Zygmunt Bauman et le bon usage du terrorisme

[Publié initialement sur dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Il est important de contrôler les masses rétives et de les faire plier. L’attentat de Strasbourg [et plus récemment celui d’Annecy] n’a pas failli à cet égard. Las, chat échaudé craint l’eau froide. Et le pouvoir aux abois, avec cette arme ridicule de 1892, n’a pas su exploiter le massacre pour interdire à la France de se réveiller. Le Bataclan, lui aussi coordonné dans des circonstances invraisemblables, fut mieux exploité et maintint l’État-PS et le lobby euro-atlantiste au pouvoir, mal dans les baskets des déplorables depuis l’élection du Donald. 

On va relire le sociologue israélo-britannique Zygmunt Bauman, auteur de remarquables essais sur notre postmoderne et zombi mondialisation. Il a bien compris que la clé c’est la peur et son exploitation (on est en 2002) :

« Mais l’envoi de troupes en Irak n’a fait qu’aggraver la crainte de l’insécurité, aux États-Unis et ailleurs… Comme on aurait pu s’y attendre, le sentiment de sécurité ne fut pas la seule victime collatérale de cette guerre. Les libertés personnelles et la démocratie ont vite connu le même sort. Pour citer l’avertissement prophétique d’Alexander Hamilton :

« La destruction violente des vies et des biens que cause la guerre et l’inquiétude permanente qu’entraîne un état de danger permanent obligeront les nations les plus attachées à la liberté à chercher le calme et la sécurité auprès d’institutions qui tendent à détruire leurs droits civils et politiques. Pour être plus protégées, elles finissent par accepter le risque d’être moins libres. » »

On croirait lire Thucydide. Mais ne biaisons pas. Bauman ajoute :

« La vie sociale change quand les hommes commencent à vivre derrière des murs, à engager des gardes, à conduire des véhicules blindés, à porter des matraques et des revolvers et à suivre des cours d’arts martiaux. La difficulté est la suivante : ces activités renforcent et contribuent à produire la sensation de désordre que nos actions visaient à empêcher. »

L’important dans ce ministère de la peur, comme dirait Fritz Lang, qui connut et le nazisme et le maccarthysme, est de créer une peur qui se nourrit d’elle-même. C’est le sujet du passionnant et percutant Captain America (le soldat d’hiver) produit par les Israéliens de Marvel Comics. Le pouvoir se nourrit d’attentats, car ils servent à soumettre. Debord a aussi écrit sur le sujet. Mais restons-en à Bauman :

« Il semble que nos peurs soient devenues capables de s’auto-perpétuer et de s’auto-renforcer, comme si elles avaient acquis un dynamisme propre et pouvaient continuer à croître en puisant exclusivement dans leurs propres ressources. »

La peur gagne sans rire tous les domaines, la météo, le sexe, le vêtement, la bouffe :

« Nous cherchons à dépister “les sept signes du cancer” ou “les cinq symptômes de la dépression”, nous tentons d’exorciser le spectre de la tension trop forte, du taux de cholestérol trop important, du stress ou de l’obésité. Autrement dit, nous sommes en quête de cibles de substitution sur lesquelles décharger le surplus de crainte existentielle qui n’a pas pu trouver ses débouchés naturels, et nous découvrons ces cibles de fortune en prenant de grandes précautions pour ne pas inhaler la fumée de cigarette des autres, pour ne pas ingérer d’aliments gras ou de “mauvaises” bactéries — tout en avalant goulûment les liquides qui se vantent de contenir “les bonnes” —, pour éviter l’exposition au soleil ou les relations sexuelles non protégées… »

Bauman ici explique pourquoi on croule sous d’horribles et coûteuses voitures informelles. Cela correspond à la paranoïa du « capitalisme de catastrophe » (Ramonet) :

« L’exploitation commerciale de l’insécurité et de la peur a des retombées commerciales considérables. Selon Stephen Graham, “les publicitaires exploitent délibérément la crainte très répandue du terrorisme catastrophique pour dynamiser les ventes très lucratives de 4 x 4”. Ces monstres militaires très gourmands en carburant, que les Américains appellent SUV (sport utility vehicles), représentent déjà 45 % de l’ensemble des ventes de voitures aux États-Unis et s’intégrent dans la vie urbaine de tous les jours sous le nom de “capsules défensives”. Le 4 x 4 est un signifiant de sécurité que les publicités dépeignent, à l’instar des communautés fermées au sein desquelles on les voit souvent rouler, comme permettant d’affronter la vie urbaine, pleine de risques et d’imprévus […]. Ces véhicules semblent apaiser les craintes que ressentent les membres de la bourgeoisie lorsqu’ils se déplacent en ville (ou sont bloqués dans les embouteillages). »

Puis il revient au sujet, le terrorisme et son utilité comme ingénierie sociale :

« En octobre 2004, la BBC a diffusé une série documentaire sous le titre The Power of Nightmares : the Rise of the Politics of Fear (“Le pouvoir des cauchemars : la montée de la politique de la peur”). Adam Curtis, auteur et réalisateur de cette série, l’un des documentaristes les plus acclamés en Grande-Bretagne, y montre que, si le terrorisme international est assurément un danger réel qui se reproduit continuellement dans le no mans land mondial, une bonne partie — sinon l’essentiel — de sa menace officielle “est un fantasme qui a été exagéré et déformé par les politiciens. Cette sombre illusion s’est propagée sans jamais être contestée à travers les gouvernements du monde entier, les services de sécurité et les médias internationaux”. Il ne serait pas difficile d’identifier les raisons du succès rapide et spectaculaire de cette illusion : “À une époque où toutes les grandes idées ont perdu leur crédibilité, la peur d’un ennemi fantôme est tout ce qu’il reste aux politiciens pour conserver leur pouvoir.” »

Et comme s’il avait lu Guy Debord, Bauman rappelle les années de plomb allemandes (l’actuel fascisme humanitaire-antiraciste-féministe en Allemagne a de beaux précédents) :

« Capitaliser sur la peur est une stratégie bien établie, une tradition qui remonte aux premières années de l’assaut néolibéral contre l’État social. 

Bien avant les événements du 11 septembre, beaucoup avaient déjà succombé à cette tentation, séduits par ses redoutables avantages. Dans une étude judicieusement intitulée “Le terrorisme, ami du pouvoir de l’État”, Victor Grotowicz analyse l’utilisation des attentats de la Fraction armée rouge par la République fédérale allemande à la fin des années 1970. En 1976, seuls 7 % des citoyens allemands considéraient leur sécurité personnelle comme une question politique importante, tandis que, deux ans après, une majorité considérable d’Allemands en faisait une priorité, avant la lutte contre le chômage ou contre l’inflation. Durant ces deux années, la nation put voir à la télévision des reportages sur les exploits des forces de police et des services secrets, alors en pleine expansion, et put entendre les hommes politiques promettre des mesures toujours plus dures dans la guerre totale contre les terroristes. »

Il est important de rappeler cela, qu’il s’agisse de Sarkozy-Macron-Hollande, de Bush, May, Clinton-Obama, Merkel et du reste ; l’État fasciste-sécuritaire accompagne la dégradation-extinction de l’État de droit et de l’État social. L’État renonce à la carotte et a recours à la trique du CRS et au contrôle par des services plus ou moins secrets :

« On en venait à se demander si la fonction manifeste de ces nouvelles mesures, sévères et ostensiblement impitoyables, censées éradiquer la menace terroriste, ne dissimulait pas une fonction latente : déplacer le fondement de l’autorité de l’État d’un domaine qu’elle ne voulait ni ne pouvait maîtriser efficacement vers un autre domaine où son pouvoir et sa détermination pouvaient se manifester de façon spectaculaire, en remportant presque tous les suffrages. Le résultat le plus évident de la campagne antiterroriste fut une rapide hausse de la peur dans tous les rangs de la société. »

D’où évidemment un incessant recours à ces insaisissables émanations terroristes (dans Captain America, cela s’appelle justement Hydra). Bauman rappelle qu’on baptisa l’hydre du terrorisme mondial pour effrayer les chaumières et servir l’avènement de l’État policier universel :

« Adam Curtis, déjà cité, va encore plus loin et suggère qu’Al-Qaida existait à peine, sinon comme vague programme visant à “purifier par la violence religieuse un monde corrompu”, et ne fut créé que par l’ingéniosité des juristes ; Al-Qaida ne fut ainsi baptisée que début 2001, quand le gouvernement américain décida de poursuivre Ben Laden en son absence et dut utiliser les lois antimafia qui exigeaient l’existence d’une organisation criminelle portant un nom ».

Le terrorisme compte donc sur l’État postmoderne, dont il est le meilleur et le plus régulier allié :

« Contrairement à leurs ennemis déclarés, les terroristes ne sont pas limités par l’étendue modeste de leurs ressources. Lorsqu’ils conçoivent leur stratégie et leur tactique, ils peuvent compter au nombre de leurs atouts la réaction attendue et quasi certaine de “l’ennemi”, qui viendra considérablement amplifier l’impact des atrocités commises. Si le but des terroristes est de répandre la terreur au sein de la population ennemie, l’armée et la police ennemies veilleront à ce qu’ils y parviennent bien au-delà de ce qu’ils auraient pu accomplir par leurs propres moyens. »

Dure et rigoureuse conclusion de Bauman :

« De fait, on ne peut que reprendre l’analyse de Michael Meacher : le plus souvent, et surtout depuis le 11 septembre, nous avons l’air de “jouer le jeu de Ben Laden”. Cette attitude peut avoir des conséquences tragiques. »

On a tous vu la nullité brouillonne des forces du désordre à Strasbourg. Mais ce chaos fait partie de la mise en scène, et Bauman vous l’explique :

« Les forces terroristes ne souffrent guère de ce genre d’attaques ; au contraire, c’est dans la maladresse et dans la prodigalité extravagante de leur adversaire qu’elles puissent une énergie renouvelée. L’excès n’est pas seulement la marque des opérations explicitement antiterroristes ; il caractérise aussi les alertes et avertissements adressés à leurs propres populations par la coalition antiterroriste. »

Le grand vainqueur est l’État postmoderne (avec le bonapartisme la France a toujours eu de l’avance). On rappelle du reste la citation de Maurice Joly :

« Il y aura peut-être des complots vrais, je n’en réponds pas ; mais à coup sûr il y aura des complots simulés. À de certains moments, ce peut être un excellent moyen pour exciter la sympathie du peuple en faveur du prince, lorsque sa popularité décroît. »

Je reprends mon étude sur Joly :

Le pouvoir subventionne la presse et devient journaliste :

« Dans les pays parlementaires, c’est presque toujours par la presse que périssent les gouvernements, eh bien, j’entrevois la possibilité de neutraliser la presse par la presse elle-même. Puisque c’est une si grande force que le journalisme, savez-vous ce que ferait mon gouvernement ? Il se ferait journaliste, ce serait le journalisme incarné. »

Le pouvoir contrôle et soudoie tout, opposition populiste comprise :

« Comme le dieu Vishnou, ma presse aura cent bras, et ces bras donneront la main à toutes les nuances d’opinion quelconque sur la surface entière du pays. On sera de mon parti sans le savoir. Ceux qui croiront parler leur langue parleront la mienne, ceux qui croiront agiter leur parti agiteront le mien, ceux qui croiront marcher sous leur drapeau marcheront sous le mien. »

Joly avait même inventé l’expression « pensée unique ».

Gouverner par le chaos alors ? En effet et dix ans avant notre Lucien Cerise, Bauman écrit :

« La société n’est plus protégée par l’État, ou, du moins, elle ne peut plus se fier à la protection offerte ; elle est désormais exposée à la rapacité de forces qu’elle ne contrôle pas et qu’elle ne compte ni n’espère reconquérir et dompter. C’est pour cette raison, en premier lieu, que les gouvernements qui se débattent pour affronter les orages actuels passent d’une série de mesures d’urgence à une autre, d’une campagne ad hoc de gestion de la crise à une autre, en rêvant uniquement de rester au pouvoir après les prochaines élections, mais sont par ailleurs dépourvus de toute ambition à long terme, sans parler d’envisager une solution radicale aux problèmes récurrents de la nation. »

Sources principales :

Zygmunt Bauman, la Société liquide, Seuil, 2002

Maurice Joly, Entretiens, Wikisource.org

Guy Debord — Commentaires




L’effondrement n’est pas la véritable dystopie

[Source : unz.com]

Par Robert Stark

Jusqu’à présent, les années 2020 semblent plus chaotiques que les décennies précédentes. Sur la base de l’actualité, des données économiques et sociologiques et des cycles historiques tels que la théorie du quatrième tournant et les recherches de Peter Turchin, il semble qu’une crise historique majeure se produira au cours de cette décennie. En revanche, les années 2010 ont été très stagnantes, malgré la récession au début de la décennie et des mouvements politiques tels que Occupy Wall Street, le nationalisme et le populisme en Europe, les mouvements de Donald Trump et de Bernie Sanders, et le début du Grand Réveil. Si l’on considère spécifiquement les années, 2016 a été un tournant avec l’élection de Trump, 2017 a été quelque peu chaotique avec des conflits politiques entre antifa et l’alt-right, puis 2018 et 2019 ont semblé très stagnantes. Évidemment, 2020 a été une année chaotique avec la pandémie, ainsi que les émeutes de BLM et l’accélération de la politique woke et de la culture d’effacement, avec certains moments se sentant apocalyptiques. Toutefois, à l’exception du 6 janvier, 2021 a été une autre année de stagnation, avec l’assouplissement de la politique monétaire, le pic de la bulle de relance et l’euphorie des marchés. En 2021 également, la droite était totalement démoralisée et la culture d’effacement était devenue la nouvelle norme. Le chaos est revenu en 2022, avec le début de l’inflation et la guerre en Ukraine. Bien que cette année ait été marquée par une crise bancaire, la crainte d’un défaut de paiement des dettes, une crise de l’immigration, de nouvelles turbulences politiques telles que l’investiture de Trump et une instabilité politique accrue à l’étranger, les choses semblent à nouveau stagner dans l’ensemble, ou peut-être un peu plus calmes avant la tempête.

Les haussiers n’abandonnent tout simplement pas.
Source: Maverick of Wall Street

Il semblait initialement que le krach de la Silicon Valley Bank mettrait fin aux espoirs de reprise économique. Malgré les craintes récentes d’un défaut de paiement de la dette, les vulnérabilités majeures du système financier, la hausse des taux d’intérêt, les niveaux d’endettement sans précédent, l’inflation galopante et la pire inversion de la courbe des taux d’intérêt depuis plus de 30 ans, la propagande haussière reste très présente. On parle par exemple d’une légère récession, d’un atterrissage en douceur, d’un nouveau marché haussier, voire d’une récession évitée. L’optimisme des haussiers repose sur la combinaison de l’accord sur le plafond de la dette, des statistiques officielles du chômage qui restent basses, d’une légère baisse de l’inflation et de l’espoir d’une pause dans les hausses de taux de la Fed. Sans parler de la nouvelle menace d’un boom de l’intelligence artificielle qui sauverait l’économie et ouvrirait la voie à un nouveau marché haussier, ce qui ne fait que créer une nouvelle bulle sur les actions, en plus de la super-bulle existante. Cette propagande s’inscrit dans le droit fil de la fameuse déclaration de Janet Yellen selon laquelle nous ne connaîtrons plus jamais de crise financière de notre vivant, l’arrogance voulant que le système soit parfait pour résister à l’effondrement. Le point de vue le plus ridicule à ce jour est que l’économie se porte bien en raison des prix exorbitants des billets de concert de Taylor Swift, car il est évident que de nombreuses jeunes filles aisées utilisent la carte de crédit de leur père pour acheter des billets. Au contraire, cela ne fait que démontrer l’ampleur de la bulle de la dette et les niveaux élevés d’inégalité des revenus. L’ambiance actuelle me rappelle beaucoup l’optimisme du mois de janvier avant le krach bancaire, même si nous assisterons probablement à une répétition des cycles de proximité du krach imminent, suivis de plusieurs tentatives de reprise, avant l’inévitable grand krach.

Si les baissiers ont été justifiés par la trajectoire globale de l’économie, il est arrivé, ces dernières années, que les baissiers se trompent ou dépassent leurs prévisions quant à la gravité d’une crise imminente. Pour commencer, ils s’attendaient à ce que la crise provoque une dépression, alors qu’ils n’avaient pas prévu que les mesures de relance soutiendraient l’économie, du moins pour l’instant. On craignait également, y compris dans les grands médias, que la guerre en Ukraine ne provoque une famine mondiale, la pire de l’histoire moderne, à l’automne dernier. Toutefois, un accord a été négocié par la Turquie entre la Russie et l’Ukraine pour permettre l’acheminement en toute sécurité des céréales ukrainiennes par la mer Noire. La question est de savoir si un conflit prolongé, retardant la saison des semailles en Ukraine, entraînera une famine mondiale dans les prochaines années. On s’attendait également à ce que l’Europe connaisse une crise énergétique catastrophique l’hiver dernier, ce qui n’a pas été le cas non plus. Même la limitation de la production de pétrole par la Russie n’a pas fait grimper les prix du pétrole aussi haut que prévu. L’Europe a eu la chance d’avoir un hiver doux, d’avoir suffisamment d’essence et de gaz naturel dans ses réserves et d’avoir reçu une aide supplémentaire de l’Amérique, puisque Biden a épuisé les réserves stratégiques d’essence de l’Amérique. Dans l’ensemble, il s’agit d’une combinaison de certains problèmes de chaîne d’approvisionnement résolus à la suite de la pandémie et de la guerre, mais aussi d’une baisse de la demande mondiale et d’un simple coup de pied dans la fourmilière.

Pour que l’économie soit plus saine, il faut que les super bulles éclatent, et il en va de même pour les maux sociaux et politiques. Étant donné que la pandémie a surtout exacerbé les pires tendances des années 2010, telles que l’atomisation sociale, la crise de la santé mentale, la récession sexuelle, l’inégalité des revenus, la consolidation du pouvoir par l’establishment, la culture d’effacement, la décadence culturelle et le ras-le-bol général, la question est de savoir si un grave effondrement économique ferait disparaître les conneries de la société ou s’il ne ferait qu’aggraver ces problèmes. Un scénario d’atterrissage en douceur ou de stagnation économique exacerberait probablement les pires tendances existantes, c’est pourquoi je comprends tout à fait les catastrophistes et les accélérationnistes qui se réjouissent de l’effondrement. Cependant, les dissidents, qui sont souvent désespérés ou qui ont le sentiment que le système actuel leur est défavorable, s’imaginent que lorsque l’effondrement se produira, eux ou leur groupe d’appartenance s’en sortiront mieux ou seront libérés des systèmes d’oppression, ce qui est incroyablement naïf. Les dissidents n’ont aucun pouvoir institutionnel et cette mentalité de doomer [prophètes de malheur (ou d’apocalypse)] est très passive, répondant principalement à un besoin psychologique. Si la vie et la psyché intérieures d’une personne sont en proie au chaos, elle a tendance à vouloir voir la société froide et indifférente qui l’entoure s’effondrer également.

Les prophètes de malheur s’appuient sur le fantasme selon lequel un choc externe au système, ou un événement de type « cygne noir », entraînera l’effondrement de l’ensemble du système comme un château de cartes, mais le système s’est avéré beaucoup plus résistant que cela. La Californie montre qu’un système hégémonique libéral à parti unique peut durer beaucoup plus longtemps qu’on ne le pense, même s’il a été soutenu par les revenus de la Silicon Valley et par l’exode de la classe moyenne, qui a servi de soupape de sécurité en cas de mécontentement. Les propagandistes financiers qui parlent d’un atterrissage en douceur ont partiellement raison, dans la mesure où il s’agit d’un atterrissage en douceur ou d’une absence de récession pour ceux qui sont au sommet. En fait, l’Amérique fonctionne très bien pour ceux qui la dirigent, mais pas pour ceux qui n’ont ni pouvoir ni influence. La récession sévère qui s’annonce pourrait simplement se traduire par une augmentation de la dégradation des villes, des campements de sans-abri, de la mortalité due au désespoir et de l’inégalité des revenus, mais pas nécessairement par un effondrement du pouvoir institutionnel.

Message anonyme de 4chan datant de 2013

[Traduction automatique de l’image par Yandex :

]

Le prophète du désespoir, Michel Houellebecq, a été totalement justifié dans sa prédiction du début de la pandémie selon laquelle la vie après la pandémie serait « la même mais pire ». L’effondrement est souvent progressif et ne se produit pas du jour au lendemain. Il ne s’agit pas nécessairement d’un scénario à la Mad Max, mais plutôt d’une baisse de la qualité de vie pour la plupart des gens. Cela vaut même pour les pays du tiers monde qui se sont effondrés, comme le Sri Lanka, ou pour les niveaux d’inflation élevés que connaissent actuellement la Turquie et l’Argentine. « Le cauchemar n’est pas l’effondrement. Le cauchemar, c’est qu’ils réussissent la fin de l’histoire et que les choses empirent progressivement : plus de criminalité, plus de pauvreté, plus de dégénérescence, moins de services et une population incapable de faire autre chose que d’exiger de plus grandes doses de poison », tweete James Kirkpatrick, de l’association VDARE. En gros, un déclin progressif de la qualité de vie des gens ou un scénario de grenouille dans la casserole bouillante, où les gens s’habituent à la dégradation et n’atteignent peut-être jamais le point de rupture, mais se contentent d’ajuster leurs attentes et leurs normes. Les dissidents s’appuient sur ce fantasme du réveil et de la rébellion des masses, mais avec la baisse des salaires et l’augmentation du chômage, l’effet de levier est plus important pour les détenteurs du pouvoir et plus faible pour le peuple. L’élite politique doit tenir compte du fait qu’un certain type de krach économique signifie que les gens seront suffisamment désespérés pour travailler pour rien ou presque et renoncer à leurs libertés et à leur autonomie. La question est de savoir si les Américains, en particulier les Blancs de la classe moyenne, peuvent psychologiquement supporter le déclin et la transition vers un ordre post-américain.

Graphique de la Réserve fédérale sur l’évolution des réserves de change

Un scénario probable est celui d’un atterrissage presque en douceur de l’économie américaine, mais aux dépens du reste du monde, en abusant de la monnaie de réserve pour exporter l’inflation. Par exemple, les pays sont obligés de rattraper les hausses de taux de la Fed afin de sauver leur monnaie. Cela accélérera la crise des migrants et renforcera le ressentiment à l’égard de l’Amérique, avec le risque de représailles contre le dollar. L’Amérique entrerait en dépression si elle perdait son statut de monnaie de réserve, mais le dollar domine toujours les réserves de change, sans concurrent évident. Dans le même ordre d’idées, un boom de l’IA pourrait redresser l’économie après la récession, peut-être même une période d’expansion économique rapide, mais il exacerberait aussi l’inégalité des revenus et éroderait progressivement la valeur du travail.

Même s’il n’y aura probablement pas de défaut de paiement de la dette dans un avenir proche, le principal danger est que le Trésor soit contraint de vendre des bons et des obligations du Trésor, ce qui épuiserait les liquidités sur les marchés financiers, exacerbant ainsi la crise bancaire, pousserait l’immobilier commercial à la dérive et provoquerait une crise de solvabilité des régimes de retraite. Sans parler de l’exacerbation du piège financier dans lequel se trouve la Fed : si elle pivote ou renfloue les banques, l’inflation réapparaît, mais si les taux restent élevés, il y aura une crise de liquidité et de défaillance de la dette. Il est difficile de dire si ce sera l’événement financier qui provoquera le grand krach. Dans l’ensemble, la principale vulnérabilité de l’économie réside dans l’ampleur de l’endettement, tant public que privé, et la réponse sera probablement de gonfler le dollar pour rembourser les dettes massives.

Le krach a pris beaucoup plus de temps que prévu, c’est comme regarder de la peinture sécher, et j’en ai fini d’essayer de deviner quand ce méga krach se produira. En général, j’estime que la bulle économique est simplement davantage étayée et que l’inévitable est retardé, ce qui conduira à une crise économique bien plus grave. Cependant, que se passe-t-il si tout cela fait partie d’un déclin géré avec succès, ou d’une stabilité fabriquée, ce qui est vraiment déprimant et démoralisant ? L’Amérique est en déclin, mais il serait exagéré de parler d’effondrement. Il s’agit plutôt d’un processus pluridécennal à long terme, d’une décadence au ralenti, analogue au déclin de Rome en tant qu’empire tardif, dont la chute s’est étalée sur une très longue période. L’Amérique présente à la fois des avantages par rapport à d’autres nations et des vulnérabilités majeures.

[NDLR Ce qui a été prévu ou pressenti il y a plusieurs décennies par certains des premiers « complotistes » de l’histoire moderne est un scénario d’effondrement contrôlé.]




Incendies de forêt au Canada : données contre hystérie climatique

[Source : https://electroverse.info/canada-wildfires-data-vs-hysteria/]

[Traduction : changera4]

Les feux de forêt au Canada ont-ils été allumés volontairement pour imposer une Taxe Carbone avec un réchauffement virtuellement construit ?

« Il y a déjà eu 2 355 incendies couvrant une étendue incroyable de 10 millions d’acres au Canada cette année », crient les premières lignes d’un article récent de Merdias — pas de contexte, juste ce qui semble être des chiffres élevés et une pincée d’hyperbole. 
Les dernières données du Centre interservices des feux de forêt du Canada (CIFFC) montrent qu’au 6 juin, il y avait 437 incendies actifs, portant le total de l’année à 2 355, soit environ 400 incendies au-dessus de la moyenne décennale.

« Les incendies de forêt sont un phénomène naturel », poursuit l’article des Merdias ; cependant, « le changement climatique les fait durer plus longtemps et les rend plus intenses ».

[Voir aussi :
Tout le sud du Québec a simultanément pris feu]

Examinons cette affirmation. 

Vous trouverez ci-dessous un tableau gracieuseté de la Base de données nationale sur les forêts

Il montre le nombre annuel de feux de forêt au Canada et leur étendue depuis 1990. 
Étudions le graphique. 

Le prétendu « signal climatique » n’est tout simplement pas là. 

La tendance est assez clairement à la baisse. 

Examinons ensuite la cause des incendies. 

Prenant l’Alberta comme exemple — simplement parce qu’elle était la première sur la liste — « l’activité humaine » a été le principal responsable des incendies de forêt dans la province chaque année depuis 2003 — et par une certaine marge, avec la foudre en deuxième et les brûlages dirigés en troisième. 
En une année récente, 681 incendies ont été causés par des humains, 89 par la foudre et 2 par des brûlages dirigés (dont 28 non spécifiés). 

« Le changement climatique fait que [les incendies de forêt] durent plus longtemps et sont plus intenses », affirme-t-on. 

Cependant, les données suggèrent que l’imprudence humaine est la principale cause des incendies — et même dans ce cas, la tendance est toujours à la baisse. 
Pour ajouter du poids à cela, revenons au graphique et notons l’année 2020 — en particulier sa chute spectaculaire. 

C’était l’année de la pandémie — vous savez, lorsque les Canadiens ont été enfermés de force dans leurs maisons à cause d’une vilaine vague de grippe. 
Curieusement, le « réchauffement climatique » semble s’être effondré cette année-là également, le nombre de feux de forêt et la superficie brûlée atteignant des niveaux historiquement bas. 
J’essaie de rester à l’écart des théories du complot spécieuses sur ce site, mais aidez-moi un peu ici les alarmistes climatiques. (Ndlr : il existe des satellites à armes à énergie dirigée qui peuvent créer des incendies comme en Californie il y a quelques années où le feu brûlait les maisons sans toucher les arbres à proximité ! Ici la localisation que sur le Canada, sans toucher les forêts à proximité aux États-Unis, rend suspect un déclenchement naturel !)

Expliquez l’imagerie satellitaire montrant les incendies qui se déclarent simultanément à travers le Canada. 

Les images sont fausses ? Peut-être. 

C’est soit cela, soit la majorité de ces incendies, comme ils le sont chaque année, ont été déclenchés par des incendiaires — mais cette fois-ci, peut-être dans le cadre d’une attaque chronométrée. 
Au vu de ce que j’ai vu ces dernières années, je considère qu’il est tout à fait possible pour un gouvernement déterminé à augmenter sa taxe carbone et ses « pouvoirs de lutte contre le climat » de mettre en scène un spectacle narratif comme celui-ci. 
Et, à leur tour, leurs serviteurs des Merdias dévoués sont en surmultipliée en ce moment :  

Autre curiosité, les feux du Canada semblent très patriotiques, adhérant, pour la plupart, du côté nord de la frontière américaine : 

Le patriotisme des incendies est bien sûr un grand soulagement pour les Américains, qui peuvent remercier leur bonne étoile de ne pas endurer une année de plus comme 1937 où un feu de forêt se déclarait toutes les trois minutes : 

Les informations télévisées liées à la météo nous feraient tous penser que les catastrophes s’aggravent. 
Ils ne le sont pas — les données sont claires à ce sujet également. 
En 1900, environ 4,5 % de la superficie terrestre du monde brûlerait chaque année. 

Au cours du siècle dernier, ce pourcentage est tombé à environ 3,2 %. 

Et au cours des deux dernières décennies, les satellites ont connu un déclin encore plus important. 

En 2021, seulement 2,5 % ont brûlé. 
Vous trouverez ci-dessous le tableau « officiel » des incendies de forêt aux États-Unis : 

https://ourworldindata.org/grapher/wildfire-numbers-usa

Elle, comme on le constate également au Canada, montre une tendance à la baisse. 
Mais il y a plus dans l’histoire. 
L’administration Biden a récemment effacé toutes les données sur les incendies de forêt avant 1983. 

Cela a été fait parce que la superficie brûlée par le feu s’est avérée beaucoup plus élevée entre 1910 et 1960 qu’elle ne l’est aujourd’hui et a donc contredit la corrélation AGW/incendie de forêt souhaitée. 
De manière typiquement orwellienne, l’administration a effacé ces décennies de données gênantes des livres d’histoire en citant le raisonnement terne : « ce n’était pas officiel » (voir ici). 
De plus, l’année 1983 — le nouveau point de départ — se trouve justement avoir la plus faible superficie brûlée de l’histoire enregistrée :

Le Centre national interservices des pompiers [NIFC].

Le tableau est clair, il n’y a pas de corrélation — c’est zéro, zip — entre l’intensité et/ou la fréquence des incendies et le « changement climatique ». 
Quiconque prétend le contraire répand une propagande non scientifique. 
La superficie brûlée aux États-Unis a en fait diminué de 90 % depuis que le CO2 était à des niveaux préindustriels. 
Fait révélateur, l’administration Biden a également récemment supprimé ce document : 




Tout le sud du Québec a simultanément pris feu

[Source : @Myltraduction]

[Note de Joseph : vivant au Québec, je peux dire que si même nous avons eu quelques jours au-dessus des normales saisonnières il y a environ une semaine et quelques timides orages en ce printemps, le climat, au moins depuis une vingtaine d’années, est généralement plus chaud et les orages sont plus violents en été. Et lors des épisodes caniculaires il n’y a jamais eu autant d’incendies, surtout quasi simultanés, répétition d’ailleurs de ce qu’il s’était passé en Alberta quelques jours plus tôt. L’explication la plus logique est qu’une bonne partie de ces incendies au Canada depuis deux ou trois semaines est d’origine criminelle et même probablement de haut niveau.

(Maxime Bernier, chef du Parti Populaire de Canada : )

« Vous mentez. Ces feux de forêt ne sont pas de plus en plus fréquents. Les données montrent qu’il y en a moins depuis 40 ans, sauf cette année. Ce qu’il y a de plus cette année, ce sont des incendies délibérément allumés. Mais vous vous servez bien sûr de ça pour alimenter l’hystérie climatique [NDLR fidèlement entretenue par les médias] et justifier vos impôts et subventions. »

]






Le Club de Rome : Comment l’hystérie climatique est utilisée pour créer une gouvernance mondiale

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith – Le 19 mai 2023 – Source Alt-Market

Au début des années 1970, les États-Unis et une grande partie du monde occidental étaient plongés dans une crise économique stagflationniste. Nixon a complètement retiré le dollar de l’étalon-or en 1971 avec l’aide de la Réserve fédérale (ou peut-être sous la direction de la Fed), ce qui a finalement intensifié les pressions inflationnistes. Le boom de l’après-guerre en Europe s’est brutalement arrêté, tandis que les prix des biens (et du pétrole/essence) aux États-Unis ont grimpé en flèche jusqu’en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt jusqu’à environ 20% et a délibérément provoqué une récession.

Il est intéressant de noter que le FMI a créé le système des DTS en 1969, juste avant la suppression de l’étalon-or (ces mêmes DTS que le FMI s’apprête à utiliser comme fondement d’un mécanisme mondial de monnaie numérique). Quant au Forum économique mondial, il a été fondé en 1971.

Cette période est souvent dépeinte dans les films comme une ère heureuse de disco, de drogues, de hippies et de rock n’ roll, mais la réalité est que le début des années 1970 a marqué le début de la fin pour l’Occident – c’est le moment où nos fondations économiques ont été sabotées et où l’aisance de la classe moyenne a été lentement, mais sûrement, volée par l’inflation.

Au milieu de ce “malaise” économique, que Jimmy Carter qualifiera plus tard de “crise de confiance”, les Nations unies et les tables rondes globalistes associées travaillaient d’arrache-pied à l’élaboration d’un plan visant à convaincre la population d’adhérer à la centralisation du pouvoir à l’échelle mondiale. Leurs objectifs étaient plutôt directs. Ils voulaient

  • Une justification pour le contrôle gouvernemental de la population humaine.
  • Le pouvoir de limiter l’industrie.
  • Le pouvoir de contrôler la production d’énergie et de dicter les sources d’énergie.
  • Le pouvoir de contrôler ou de limiter la production alimentaire et l’agriculture.
  • La capacité de microgérer la vie des individus au nom d’un “bien commun” défini ultérieurement.
  • Une société socialisée dans laquelle le droit individuel à la propriété est abandonné.
  • Un système économique mondial unique qu’ils géreraient.
  • Un système monétaire unique.
  • Un gouvernement mondial unique gérant une poignée de régions distinctes.

L’une des citations les plus révélatrices de l’ordre du jour est celle de Strobe Talbot, secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, qui a déclaré dans Time Magazine que :

Au cours du prochain siècle, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité mondiale unique… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

Pour comprendre le fonctionnement de cet agenda, je vous propose une citation de Richard Gardner, membre du Council on Foreign Relations, dans un article paru dans le Foreign Affairs Magazine en 1974 et intitulé The Hard Road To World Order (La voie difficile vers l’ordre global) :

En bref, la “maison de l’ordre global” devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande “confusion bourdonnante”, pour reprendre la célèbre description de la réalité par William James, mais un contournement de la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, permettra d’accomplir bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

En d’autres termes, les globalistes savaient que la progressivité serait le seul moyen de parvenir à une structure de pouvoir global unique qui gouverne OUVERTEMENT, plutôt que de dissimuler le pouvoir des élitistes derrière des organisations clandestines et des politiciens fantoches. Ils veulent un empire mondial dans lequel ils deviendront les “rois philosophes” oints décrits dans la République de Platon. Leur ego narcissique ne peut s’empêcher d’aspirer à l’adoration des masses qu’ils détestent secrètement.

Mais même en procédant par étapes, ils savent que le public finira par comprendre le plan et cherchera à résister à l’érosion de nos libertés. Établir un empire est une chose, le conserver en est une autre. Comment les globalistes pourraient-ils sortir de leur placard autoritaire, éliminer les libertés individuelles et gouverner le monde sans une rébellion qui finirait par les détruire ?

Le seul moyen pour qu’un tel plan fonctionne est que les gens, les paysans de cet empire, embrasse leur propre esclavage. Le public devrait être amené à considérer l’esclavage comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour eux-mêmes, mais pour l’espèce tout entière. Ainsi, si quelqu’un se rebelle, il sera considéré comme un monstre par la ruche. Il mettrait en danger l’ensemble de la collectivité en défiant la structure du pouvoir.

Ainsi, les globalistes gagnent. Pas seulement pour aujourd’hui, mais pour toujours, car il n’y aurait plus personne pour s’opposer à eux.

Nous avons eu un avant-goût de cette forme de guerre psychologique lors de la peur de la pandémie, au cours de laquelle on nous a dit qu’un virus avec un taux de létalité de 0,23 % suffisait à effacer la majorité de nos droits humains. Heureusement, un groupe suffisamment important de personnes s’est levé et a lutté contre les obligations et les passeports sanitaires. Cela dit, les globalistes ont l’intention d’exploiter un programme beaucoup plus vaste, axé sur le “bien commun”, à savoir la soi-disant “crise climatique”.

Pour être clair, il n’y a AUCUNE preuve d’une crise climatique causée par les émissions de carbone ou de gaz à effet de serre produites par l’homme. Aucun événement météorologique ne sort de l’ordinaire par rapport à la chronologie historique du climat de la Terre. Aucune preuve ne vient étayer les théories relatives au “point de basculement” des températures. En outre, la température de la Terre a augmenté de moins de 1°C en 100 ans. Les relevés de température officiels ne remontent qu’aux années 1880, et c’est cette période étroite que les climatologues financés par les Nations unies et les gouvernements utilisent comme point de référence pour leurs affirmations.

J’explique pourquoi il s’agit d’une science frauduleuse dans mon article intitulé La peur des cuisinières à gaz est une fraude créée par les partisans autoritaires du changement climatique. Le fait est que l’ONU a encouragé l’hystérie autour d’un faux scénario climatique apocalyptique, tout comme le WEF et l’OMS ont encouragé l’hystérie et la peur autour d’une non-menace comme la crise Covid. Tout a commencé au début des années 1970 avec un groupe lié à l’ONU, le Club de Rome.

Les globalistes ont comploté pour utiliser l’environnement comme prétexte à la centralisation depuis au moins 1972, date à laquelle le Club de Rome a publié un traité intitulé “The Limits Of Growth” (“Les limites de la croissance”). En finançant une étude limitée de l’industrie et des ressources dans le cadre d’un projet conjoint avec le MIT, les conclusions semblaient avoir été écrites bien à l’avance : la fin de la planète était proche à moins que les nations et les individus ne sacrifient leur souveraineté. Cela arrangeait bien les globalistes qui finançaient l’étude…

Vingt ans plus tard, ils publieront un livre intitulé La première révolution mondiale. Dans ce document, ils discutent spécifiquement de l’utilisation du réchauffement climatique comme moyen de mettre en place une gouvernance supranationale :

En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes similaires feraient l’affaire. Dans leur globalité et leurs interactions, ces phénomènes constituent en effet une menace commune à laquelle il faut faire face tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège contre lequel nous avons déjà mis en garde nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même.

En faisant de l’existence même de l’humanité la grande menace, les globalistes entendent fédérer le public autour de l’idée qu’il faut se maîtriser. En d’autres termes, le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle, convaincu que l’espèce humaine est trop dangereuse pour qu’on lui accorde la liberté.

L’émission d’information suivante, diffusée par l’Australian Public Broadcasting Service, a été diffusée en 1973, peu de temps après la création du Club de Rome. Elle est étonnamment directe quant aux objectifs de l’organisation :

Que pouvons-nous déduire de cette émission et de son message ? Les globalistes veulent avant tout obtenir deux résultats spécifiques : la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée par le biais d’un minimalisme encouragé par la société. Ce sont exactement les mêmes objectifs que ceux définis par le Club de Rome dans les années 1970 qui guident aujourd’hui les politiques de l’ONU et du Forum économique mondial. Le concept d’“économie de partage” que Klaus Schwab et le WEF promeuvent souvent avec fierté n’a pas été imaginé par eux, mais par le Club de Rome il y a 50 ans.

C’est une prophétie qui s’accomplit d’elle-même : Ils passent un demi-siècle à inventer une crise, à susciter la terreur du public, puis à proposer les solutions qu’ils voulaient imposer il y a des décennies.

En fin de compte, l’agenda climatique n’a rien à voir avec l’environnementalisme et tout à voir avec l’économie. Le plan a été lancé au milieu d’une crise stagflationniste bien réelle, à un moment où la classe moyenne avait le plus peur de l’avenir et où les prix augmentaient rapidement. Cette crise n’était pas due à la rareté des ressources, mais à la mauvaise gestion du système financier. Ce n’est pas une coïncidence si le point culminant du programme de lutte contre le réchauffement climatique a lieu aujourd’hui, au moment même où une nouvelle stagflation s’annonce.

Le Club de Rome n’est plus qu’une coquille vide remplie de hippies stupides, probablement parce que l’ONU et d’autres groupes de réflexion globalistes ont repris le rôle que le groupe jouait auparavant. Cependant, l’ombre du Club originel est toujours présente et sa stratégie d’alarmisme climatique est actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l’énergie et de l’agriculture par les gouvernements.

Si le public ne les arrête pas, les contraintes totalitaires en matière de carbone deviendront la norme. La prochaine génération, qui vivra dans une pauvreté artificielle, apprendra dès sa plus tendre enfance que les globalistes ont “sauvé le monde” d’une calamité qui n’a jamais existé. On leur dira que l’asservissement de l’humanité est une chose dont il faut être fier, un cadeau qui maintient l’espèce en vie, et que quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert

[Source : stopworldcontrol.com/fr/ via RI]

Par David Sorensen

[Voir aussi :
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »]

Une Ville Intelligente (Smart City) est un environnement urbain où les technologies de surveillance et de collecte de données sont omniprésentes et où les détails les plus intimes et personnels de chacun sont surveillés et enregistrés.

L’objectif est de tout savoir sur tout le monde : ce que vous mangez et buvez, où vous allez, ce que vous achetez, qui vous rencontrez, ce que vous pensez, ce que vous ressentez, vos opinions, vos habitudes, votre état de santé et de vaccination, etc. Chaque. Petit. Détail. Cette surveillance tous azimuts est justifiée par le fait qu’elle est censée être essentielle pour « sauver la planète » du changement climatique. Ils garantissent également que cela rendra votre vie plus connectée, plus sûre et plus saine.

Chaque aspect de la vie dans une Ville Intelligente sera surveillé par un large éventail de technologies de collecte de données :  lumières intelligentes, poteaux intelligents, voitures intelligentes, voisinages intelligents, maison intelligentes, électroménager intelligent, énergie intelligente, transport intelligent et bien d’autres technologies « intelligentes » (SMART). Ensemble, elles formeront une grille de surveillance omniprésente, collectant en permanence toutes les informations sur les moindres détails de la vie des citoyens.

Les Villes Intelligentes créent
l’Internet des Corps

internet of bodies

Ces dispositifs SMART externes sont synchronisés avec des dispositifs directement connectés au corps humain, comme les montres intelligentes à notre poignet ou les téléphones intelligents (smartphones) dans nos mains. Ces appareils sont capables de recueillir des informations sur ce qui se passe à l’intérieur de notre corps et ont même la capacité de modifier les fonctions du corps humain. Dans un avenir proche, ils seront implantés à l’intérieur du corps humain afin de collecter encore plus de données et d’avoir une plus grande influence sur ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les informations personnelles recueillies par ces milliards d’appareils dans le monde entier forment un réseau appelé l’internet des corps (Internet of Bodies), ou en abrégé, l’IoB. Actuellement, nous connaissons tous l’internet des objets (Internet of Things, ou IoT), qui nous permet d’accéder à des informations illimitées sur tout. L’Internet des corps sera essentiellement le même, sauf qu’il rassemblera toutes les informations personnelles et les plus intimes sur tout le monde. Ces données seront entre les mains des entreprises mondiales, des gouvernements, des impériums bancaires, etc.

Une Ville Intelligente
limite vos déplacements

smart city surveillance

Afin de s’assurer que chacun reste dans le périmètre de collecte des données, les déplacements dans les villes intelligentes seront limités à 15-20 minutes du domicile. Ce concept a donné naissance à l’expression « Villes de 15 Minutes » (“15 Minute Cities”) et est présenté comme la meilleure idée qui soit pour sauver la planète du changement climatique. Tout ce dont vous avez besoin sera disponible à une courte distance, de sorte que personne n’aura jamais besoin d’aller au-delà de ce périmètre. Pour les distances plus longues, un permis sera nécessaire.

En outre, 30 % des zones sauvages seront fermées pour encourager les gens à chercher leur bonheur dans les Villes Intelligentes au lieu de s’aventurer dans la nature majestueuse. Des réalités virtuelles sont créées pour remplacer le temps passé dans la nature. Le MetaVerse et toutes ses alternatives en sont des exemples. Encore une « merveilleuse idée pour sauver la planète » : enfermer la population mondiale dans des Villes Intelligentes, où elle « profite de la vie » dans un royaume virtuel.

Il n’y a aucune vie privée
dans une Ville Intelligente

smart city privacy

Le Forum Économique Mondial a écrit un article sur Forbes.com qui décrit l’expérience d’un citoyen à l’intérieur d’une Ville Intelligente, qui la qualifie de paradis sur terre : « Comment se fait-il que nous n’y ayons jamais pensé auparavant ? » L’une des caractéristiques sera que personne ne possédera rien. Tout sera partagé : les maisons, les voitures, les outils, les voitures et même les vêtements. À la fin de son message, le citoyen exprime une inquiétude concernant la vie dans une Ville Intelligente :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une bonne vie ».

Le système nerveux central des Villes Intelligentes sera la 5G. Selon l’ancien président chilien Sebastián Piñera, la 5G est non seulement capable de lire nos pensées, mais aussi d’insérer des pensées et des émotions dans tout le monde. Il a déclaré qu’elle deviendrait le système nerveux central de la société et a garanti qu’elle atteindrait tous les foyers du pays. Il est intéressant de noter que tous les lampadaires des Villes Intelligentes sont aussi des antennes 5G dissimulées.

Les Villes Intelligentes collectent
les données de chacun

smart city surveillance data harvesting

Pourquoi veulent-ils que tout le monde vive dans des Villes Intelligentes et quelle est leur motivation pour enregistrer chaque petit détail sur chacun d’entre nous ? La réponse est donnée par le professeur israélien Yuval Noah Harari, conseiller du Forum Économique Mondial. Il explique :

« Les nouveaux maîtres du monde seront ceux qui possèdent les données.”

La richesse d’aujourd’hui n’est plus l’or ou le pétrole. Ce sont les données. Plus une entreprise, un gouvernement ou un empire bancaire dispose de données sur la population, plus il a de pouvoir. Les Villes Intelligentes seront un moyen sans précédent d’utiliser l’humanité comme un immense troupeau de vaches à données.

Les données personnelles nous seront soutirées tout au long de la journée, et même pendant notre sommeil.

Outre la collecte d’énormes quantités de données, ces technologies permettent également des niveaux de contrôle inédits dans les civilisations précédentes. Un ancien ingénieur de la Silicon Valley, Aman Jabbi, tire la sonnette d’alarme en indiquant que les Villes Intelligentes seront en fait des camps de concentration à ciel ouvert :

« En leur fournissant vos données, vous leur donnez la possibilité de surveiller et d’évaluer votre comportement, qui peut maintenant être converti en un score de crédit social. Ce score est ensuite utilisé pour déterminer les privilèges auxquels vous avez droit et ceux auxquels vous n’avez pas droit dans la nouvelle société esclavagiste ».

Ce système de crédit social est déjà en cours de déploiement en Chine et, lors de la pandémie de 2020, de nombreux pays ont mis en œuvre les premières étapes de ce système de contrôle. Les identifiants et les monnaies numériques seront au centre de cette grille. Lorsque les gens désobéiront ou critiqueront le système, leurs dépenses seront réduites et l’accès aux aspects fondamentaux de la société sera bloqué. Encore une fois, c’est ce qui se passe déjà en Chine, qui est le terrain d’essai pour le reste du monde.

Les Villes Intelligentes vont-elles modifier le génome humain ?

Un fait inquiétant concernant les Villes Intelligentes est que tous les lampadaires sont des lampes LED (diodes électroluminescentes), qui ont la capacité de manipuler le génome humain. L’expression des gènes peut être activée ou désactivée à l’aide de lampes LED, qui peuvent également activer l’ARNm à l’intérieur du corps humain. Les études scientifiques documentant ces faits abondent en ligne.  On peut donc se demander si c’est pour cette raison que les autorités insistent pour injecter à l’ensemble de l’humanité des technologies d’ARNm pouvant être activées à l’aide de lampes LED.

[Note de Joseph :
D’après plusieurs chercheurs et laboratoires indépendants, il n’y aurait pas (ou pas que) d’ARNm dans les vaxins, mais (aussi et surtout) une nanotechnologie à base de graphène.
Voir :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
La nanotechnologie dans les vaccins
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Nanotechnologie et « vaccins »
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain]

✔︎ L’humanité entière se voit injecter de l’ARNm

✔︎ L’ARNm peut être activé par des lampes LED

✔︎ Tout le monde est entouré de lampes LED


QUE SE PASSE-T-IL DONC ?

Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial, promeut l’édition de gènes humains. Il affirme ouvertement que cela changera ce que signifie être humain. Yuval Harari, conseiller du FÉM, va même jusqu’à affirmer que les élites financières se sépareront de l’humanité, car elles seront génétiquement modifiées pour devenir bien supérieures aux personnes normales. L’inégalité économique deviendra une inégalité biologique. Harari affirme que les élites deviendront des « Homo Deus » : des êtres divins, ou des dieux.

Si toutes ces idées n’étaient pas promues dans le monde entier par des personnes et des groupes tels que Bill Gates, Barak Obama, CNN, Facebook, les Nations Unies, le Forum Économique Mondial et d’innombrables autres organes des élites, nous pourrions certainement penser qu’il s’agit du scénario d’un film de science-fiction !  Mais il s’agit d’une réalité horrible qui est poussée à une échelle énorme. Lors d’un récent sommet des gouvernements mondiaux à Dubaï, Klaus Schwab a déclaré que ces développements n’étaient plus à venir, mais qu’ils étaient en cours d’élaboration dès maintenant. Ses mots exacts étaient les suivants :

« Ils arriveront comme un tsunami ».

Et en effet, c’est en train d’être déployé à toute vitesse. À Rio de Janeiro, par exemple, 450 000 lampadaires sont en train d’être remplacés par des lampes LED équipées de la 5G. Le graphique ci-dessous montre comment les grandes villes d’Amérique latine se transforment en Villes Intelligentes.

smart cities latin america

Il en va de même à Londres, à Paris et dans toutes les autres grandes villes du monde. Des millions et des millions de lampadaires LED 5G sont placés tous les quelques mètres dans chaque rue de chaque ville. Bill Gates a même investi dans la construction d’une nouvelle Ville Intelligente en Arizona qui peut accueillir 80 000 personnes, le tout centré autour de centres de données massifs.

Destruction de 3 000 fermes
pour une méga Ville Intelligente

Aux Pays-Bas, le gouvernement a récemment annoncé la destruction de 3 000 fermes afin de faire de la place pour une monstrueuse Ville Intelligente appelée TriState City Network (réseau de villes sur trois états), qui accueillera 40 millions de personnes de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas. Leur « logique » pour s’emparer des terres et détruire les animaux de 3 000 fermes est qu’elles « émettent trop de CO2 », ce qui « détruit la planète ». Et pourtant, remplacer les verts pâturages par une monstrueuse ville intelligente est bon pour l’environnement ! Actuellement, la majeure partie des Pays-Bas est constituée d’une belle campagne avec de verts pâturages, des moulins à vent, des ruisseaux et des fermes historiques. C’est une région unique au monde, vraiment belle et chargée d’histoire.

Le gouvernement veut transformer toute cette belle campagne en une immense ville intelligente appelée Holland City.

En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui permet aux habitants des zones rurales d’être déplacés de force vers des Villes Intelligentes lorsque leur région a été contaminée par des toxines dangereuses. Le déraillement d’un train dans l’Ohio nous a montré à quel point il est facile de contaminer une vaste zone. S’agit-il d’un précédent ? Avec l’organisation de quelques accidents de train, des millions de personnes pourraient être déplacées des zones rurales vers des villes intelligentes.

L’humanité doit se réveiller

L‘aspect malveillant de cet agenda est indescriptible. Mais ce qui est encore pire, c’est le refus persistant du public de reconnaître quelque chose qui menace son existence même. Ils s’obstinent à garder les yeux fermés, ne s’intéressant qu’aux divertissements superficiels. Ils restent muets et aveugles à tout prix, car « l’ignorance est un bonheur ».

Si nous restons dans cet état flagrant de bêtise, nous sombrerons dans le cauchemar le plus horrible que ce monde ait jamais connu.

S’il est un moment dans l’histoire du monde où il faut ouvrir les yeux, c’est bien aujourd’hui. Nous n’avons plus le luxe de nous cacher la tête dans le sable. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot, car cette technologie est déployée dans le monde entier à une vitesse insondable. Sous le couvert de la pandémie, des millions de tours 5G ont été érigées dans tous les pays du monde. Des lampes LED sont installées partout. Tous les vaccins sont désormais prêts à être de type ARNm, même si Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, a été enregistré lors d’une réunion de zoom avec son personnel, disant que les vaccins ARNm modifient effectivement l’ADN et l’ARN humains, et que les partisans n’ont aucune idée des autres mutations ou risques qui peuvent exister à long terme.

Le programme des élites est de garantir des injections régulières avec la technologie de l’ARNm pour l’ensemble de la population mondiale jusqu’à la fin de notre vie. C’est pourquoi le statut vaccinal sera lié à nos monnaies numériques et à notre identité numérique. Manquer une injection pourrait bloquer l’accès à la société et aux services bancaires.

Que pouvons-nous faire
pour arrêter cette folie ?

Existe-t-il un moyen de mettre fin à cette folie ?  Oui. D’abord et avant tout, nous devons informer les membres de nos communautés. La seule raison pour laquelle les tyrans sont capables de faire cela, c’est l’ignorance des masses. Les gens n’ont pas la moindre idée de ce qui les attend. Ils acceptent sans broncher tout ce qui les oriente vers ce cauchemar dystopique. Il est de notre devoir de les informer par tous les moyens possibles.

Nous vous invitons à diffuser largement cet article. Envoyez-le à vos contacts par email, publiez-le sur les réseaux sociaux et envoyez-le aux autorités locales de votre communauté. Diffusez-le largement.

Nous sommes les 99 %, les tyrans ne sont que les 1 %. Mais le problème est que la plupart d’entre nous ne font rien. La majorité refuse même de voir ce qu’elle a sous le nez. Ils ont les aiguilles dans les bras, les téléphones intelligents dans les mains, les lumières LED dans les rues, les compteurs intelligents dans les maisons, la technologie intelligente dans les voitures… et ils continuent à dire que « tout cela n’est qu’une théorie du complot ». La folie de ce refus de voir la réalité n’est rien de moins qu’une véritable psychose.

Nous devons ouvrir les yeux.  Pas demain, mais AUJOURD’HUI.

Consultez notre guide « 10 Façons d’Arrêter le Nouvel Ordre Mondial » où vous trouverez un aperçu des mesures pratiques que nous pouvons tous prendre pour protéger nos vies et notre avenir.

Ce n’est pas le moment de rester les bras croisés. Nous devons nous lever et agir. Merci d’utiliser les boutons ci-dessous pour partager cet article et aider à réveiller les gens autant que possible.