La liberté d’information à l’épreuve d’une commission ? Arnaud Dimeglio au Défi de la vérité

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Arnaud Dimeglio a relevé le défi ! Avocat au barreau de Montpellier, spécialisé dans les nouvelles technologies, le droit de la communication et le droit de la propriété intellectuelle, ce docteur en droit, avocat de FranceSoir par ailleurs, revient sur l’actualité crispée autour des questions de vérité et de désinformations médiatiques et institutionnelles, plus particulièrement sur la mise en place de la commission Bronner du nom du sociologue Gérald Bronner.

Cette commission intitulée : « Les Lumières à l’ère du numérique » qui prétend lutter contre la désinformation et le complotisme, a inspiré un article dans lequel Arnaud Dimeglio a exposé ses réserves : les risques de la commission Bronner. Il y fustige une commission obscure (malgré son intitulé), censée lutter contre les diffuseurs de haine et de la désinformation, des notions vagues et floues juridiquement, et en liste les contradictions et zones d’ombre.



Pour contrer l’imprécision, il revient sur la définition que le droit français propose de la désinformation dans la loi de 1881 : délit de fausses nouvelles, de mauvaise foi, qui trouble la paix publique… Il évoque aussi la loi de 2018 : si elle complète et prévoit que les « fausses informations » doivent être sanctionnées, elle ne permet pas d’établir qu’une information contraire à la vérité « officielle » du pouvoir en place constituerait pour autant une « fausse information ».

C’est pourtant une définition qu’a donnée Gérald Bronner : serait théorie du complot toute théorie remettant en question la vérité officielle… Une déclaration choquante et dangereuse qui a soulevé l’indignation générale.

Pour lutter contre ces dérives, Arnaud Dimeglio propose de revenir aux définitions, et à la liberté d’expression, qui permet de diffuser des idées minoritaires qui ne font pas (…ou pas encore) consensus. Prenant l’exemple des effets secondaires du vaccin, et de ce qu’il est possible d’en écrire pour ne pas enfreindre la loi, il revient sur les fondements possibles.

Une réflexion sur les Gafam (Google, Apple, Facebook…) qui suppriment tous les contenus qui seraient contraires aux « consensus » de l’OMS et des autorités locales, tandis que la Cour européenne des droits de l’homme affirme qu’il faut admettre les idées minoritaires et non pas les informations largement admises, en matière de santé. La suppression de ces contenus est d’autant plus choquante que le consensus est mouvant et qu’une information considérée comme fausse un jour peut se révéler juste ou plausible quelques mois plus tard. Des géants du numérique, réseaux sociaux et autres plateformes, qui jouent un double jeu, entre leur rôle d’hébergeur et celui d’éditeur, souligne Arnaud Dimeglio – voire de juge ? 

L’avocat montpelliérain regrette enfin la proximité des médias et du pouvoir et invite, dès lors que la presse est le « quatrième pouvoir », à s’inspirer de la séparation des pouvoirs telle que Montesquieu l’avait pensée, et revient enfin sur les polémiques autour du rôle médiatique de médecins dans cette crise sanitaire.

Auteur(s): FranceSoir




Le rapport qui ne change rien et dont les médias ne parlent pas. Le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations en 2020

Par Alain Tortosa

Un rapport totalement officiel de l’ATIH(([1] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf
[voir aussi : Martin Blachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner… Nous aurait-on menti à l’insu de notre plein gré ?])) fait couler de l’encre dans la sphère dite « complotiste », mais il est passé sous silence dans les médias mainstream. Il énonce que le Covid a représenté 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques en 2020.

À ma connaissance, seul Pascal Praud sur Cnews et, étrangement, Martin Blachier sur LCP, en ont parlé.

Mais le sujet est suffisamment dangereux et épineux pour que les « vérificateurs » de l’information de checknews(([2] https://www.liberation.fr/checknews/est-il-vrai-que-les-patients-covid-nont-represente-que-2-du-total-des-hospitalisations-en-france-en-2020-20211111_BEEG2I2RTRAX7O3Q5LD2D33J4I/)) s’en emparent.

Il est intéressant de constater que le mode opératoire des « vérificateurs » est toujours le même, aussi bien chez les décodeurs de France-info que chez le checknews de Libération.

Le titre sera quasi toujours le même « C’est vrai, mais c’est faux ! »
Les premières phrases seront généralement de nature à dédouaner le peuple de s’intéresser au sujet.

« Dormez sur vos deux oreilles, on s’occupe de tout ».

Ils savent très bien que la majorité des gens se contente de titres et ne vont pas au bout, raisons pour lesquelles ils insistent sur les premières phrases choc.

Résumons-le déroulé de l’argumentaire de Libération sur ce fameux rapport « vrai, mais faux ».

Le 2 % initial devient 4 % de la durée, pour ne retenir au final que les pics et arriver à la conclusion que les Covid ont occupé plus de 100 % des réanimations.
Le « journaliste » concluant quand même que 110 % c’était un peu exagéré.

La conclusion est donc que 2 % ne reflètent pas la réalité d’une saturation des réanimations à 100 %.
Nous sommes donc bien dans le « c’est vrai, mais c’est faux ».
Et il n’est donc pas utile de perturber le public avec cela, mieux vaut se focaliser sur la 5e vague…

Je voudrais néanmoins souligner quelques faits :

  • Si seuls certaines périodes et certains lieux ont connu une saturation des hôpitaux et des réanimations et si la moyenne des patients Covid n’est que de 2 % des hospitalisations et 5 % des soins critiques… C’est bien la preuve que la quasi-totalité des régions françaises et/ou la quasi-totalité de l’année… les hôpitaux étaient vides de patients Covid ! Dans ces conditions : Pourquoi paniquer les Français 24 heures sur 24 depuis mars 2020 ? Pourquoi leur faire croire que TOUS les hôpitaux étaient au bord de la saturation dans TOUTES les régions ? Et donc pourquoi confiner nationalement, pourquoi faire des restrictions nationales ?
  • Notons aussi que certaines régions comme l’Île-de-France ou le Nord semblent avoir eu plus de cas, plus de morts que d’autres régions. Il est possible de se poser des questions sur des conflits d’intérêts de tel ou tel. Pourquoi une inégalité aussi flagrante dans des régions alors même que l’on ne cesse de nous dire que le virus circule partout et tout le temps ?
  • Libération oublie aussi de dire que le nombre de patients hospitalisés pour Covid est un faux. Je ne perdrai pas mon temps à retrouver les sources… Le fait est que l’État a officiellement reconnu qu’il n’était pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid dans une unité Covid d’un patient positif à un test et présent dans l’hôpital. Si on ajoute le fait que 90 % des personnes positives à un test PCR étaient asymptomatiques, qu’il y avait souvent un facteur 10 entre le taux d’incidence gouvernemental et le taux d’incidence relevé par le réseau Sentinelles, et si nous tenons compte du fait qu’une majorité écrasante de patients Covid avaient de lourdes comorbidités, nous pouvons aisément dire que seules 10 % des hospitalisations pour Covid l’étaient réellement. Nous pouvons donc affirmer que les patients Covid n’ont pas représenté 2 % des hospitalisations de 2020, mais 0,2 % !
  • Concernant les soins critiques. J’invite mes lecteurs à se pencher sur mes précédents textes à ce sujet. Je dénonçais ce scandale dès novembre 2020. Je vous rappelle que le gouvernement n’a cessé de nous fournir ce qu’il appelait le pourcentage de personnes en réanimation. Or le chiffre du nombre de personnes en réanimation n’a JAMAIS été fourni, seul le nombre de personnes en soins critiques. Pour calculer le pourcentage d’occupation, le gouvernement a toujours divisé le nombre de personnes en soins critiques par le nombre de lits de réanimation disponibles. Le hic est qu’il y a en France environ 5000 lits de réanimation pour 15 000 de soins critiques. Il est dès lors très facile de dépasser les 100 % d’occupation en divisant par 5000 au lieu de 15 000. Si l’on tient compte du nombre de personnes en soins critiques au pic de l’épidémie et qu’on le divise par le nombre total de lits de soins critiques, alors on constate que le taux d’occupation en soins critiques n’a JAMAIS dépassé les 37 % ! Si nous ajoutons à cela que des personnes en fin de vie étiquetées Covid étaient en soins critiques et que l’on affirme raisonnablement que pour la moitié d’entre elles le Covid n’était pas la cause principale de lit de soins critiques, alors on peut affirmer avec une énorme marge de sécurité que le Covid n’a utilisé que 18 % des lits de soins critiques au PIC de l’épidémie, soit environ 2,5 % de moyenne nationale annuelle.

Et des journalistes débiles ou corrompus continuent à dire que le Covid a fait 118 000 décès en France en oubliant de mentionner que c’est sur 2 saisons et que la plupart étaient des personnes en fin de vie !

Les droits de l’homme ont été détruits, nous avons été privés de libertés et nous le sommes encore. Nous avons été confinés ou placés sous couvre-feu. Des masques aussi inutiles que dangereux ont été imposés y compris à nos enfants. Nous subissons un passeport vaccinal pour nos besoins de la vie courante. Nous sommes obligés à une injection génique expérimentale.

Et ce pour quoi ?

  • Pour une maladie qui a représenté 0,2 % des personnes hospitalisées !
  • Pour une maladie qui a au maximum représenté 2,5 % des soins critiques avec un pic au pire de l’épidémie de 18 % des lits de soins critiques !
  • Pour une maladie dont l’âge médian des décès était de 84 ans et dont les traitements efficaces ont été et sont encore interdits.

C’est sans doute cela que les médias considèrent comme n’étant « rien » et qu’il est donc inutile d’en faire les grands titres ! C’est donc sur une base de propagande mensongère que nous demeurons en dictature.

Alain Tortosa.

12 novembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa2021112-la-fausse-pandemie-chiffres-officiels.pdf





Allocution du président de la République : « Mes chers compatriotes ou plutôt, mes amis, mes enfants, mes petits enfants… »

Par Alain Tortosa

« C’est toujours un immense plaisir de m’adresser à vous en cette fin d’année 2047.

Les plus perspicaces d’entre vous auront peut-être perçu une légère diminution de la bonhomie et de la jovialité qui me caractérisent habituellement. Vous n’êtes pas sans savoir que ma fidèle épouse, ma muse, vient de s’éteindre dans la force de l’âge. Elle aussi, terrassée par cet odieux et perfide virus.

Je vous fais confiance comme vous me faites confiance depuis le début la crise. Nous nous disons tout et vous savez que jamais je ne vous ai menti ou dissimulé la moindre information.

Nous savons tous que ma femme se dévouait corps et âme pour la nation et c’est probablement lors d’une de ces multiples missions humanitaires ou pour venir en aide aux plus démunis qu’elle a contracté le virus.

Mes amis, face à la souffrance et la maladie, il n’y a plus ni riche ni pauvre, mais notre condition humaine.

Les premiers éléments de l’enquête laissent penser qu’elle aurait été contaminée lors d’une visite dans une ferme éducative pour primo-délinquants non vaccinés.

N’écoutant que son cœur et au mépris du danger, elle aurait caressé une poule dont nous savons désormais que sa dernière injection remontait à plus de 8 mois. Une enquête est en cours et je ne manquerai pas de vous tenir informé. Sachez que justice passera et que les coupables seront châtiés comme il se doit.

Vous me connaissez, je parle de moi, de ma vie, je me laisse aller à mes émotions et j’en suis à oublier l’objet de mon intervention…

Je voudrais d’abord vous remercier encore de votre soutien actif. Sans vous, mes amis, nous n’aurions pas pu parcourir un tel chemin. Vingt-huit années de crise !

En premier lieu, permettez-moi de saluer le parlement qui, spontanément, après 18 votes, a finalement autorisé le Président de la République à garder son mandat tant que la crise sanitaire n’était pas terminée et lui donner les pleins pouvoirs. Et surtout vous, vous les 99,2 % de Français qui ont voté par Internet pour ma réélection et renouvelé votre pleine confiance pour des décennies.

Permettez-moi d’avoir une pensée émue pour les millions de nos compatriotes de moins de 30 ans qui, du fait du Covid, sont décédés du jour au lendemain d’AVC, de thromboses, de crises cardiaques ou de cancers aussi soudains que fulgurants. Réjouissons-nous que nous fussions tous vaccinés, cela a prévenu 10 fois plus de morts.

Cela fait désormais plusieurs années que 100 % des Français sont vaccinés avec un rappel tous les 3 mois.

Ceci grâce à une loi spontanément proposée puis votée par le parlement autorisant les autorités administratives à déchoir automatiquement de la nationalité française tous les ennemis du peuple refusant l’injection salvatrice.

Et il est bien loin le temps où l’on communiquait sur les risques ou les avantages de la vaccination à tel ou tel âge.

D’aucuns, des idéalistes, disent que nous aurions dû rendre la vaccination obligatoire à la naissance dès l’année 2020 et que nous aurions gagné ainsi quelques années de souffrance.

C’est peut-être vrai, je ne le nie pas, mais nous sommes un pays de liberté qui a toujours fait passer l’intérêt individuel, les droits de chacun et le principe de précaution avant toute autre préoccupation. Notre méthode nous a permis de rassurer les Français et nous assurer de l’innocuité de tous les vaccins.

Avec ces années de recul, nous avons désormais la preuve que le vaccin n’a tué PERSONNE sur la planète.

On ne peut pas en dire autant du changement climatique qui a entraîné le décès de millions de nos compatriotes, changement que nous sommes sur le point de maîtriser. Certains experts pensent que d’ici 70 ans nous aurons sauvé la planète !

J’en profite au passage pour remercier la grande Greta Thunberg, triple prix Nobel de la paix et de l’économie, avec qui je partage beaucoup, y compris son rapport à l’émotion. Elle est une icône à suivre… nous lui devons toutes les grandes lois climatiques comme l’interdiction d’un moyen de transport individuel au-delà d’un rayon d’action supérieur à 5 km. Mais aussi l’interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés ou l’usage des avions réservés aux personnes utiles, pour ne citer que ces quelques exemples.

Nous pouvons affirmer que la mise en œuvre du crédit écologique associé au pass vaccinal nous a permis de conserver nos valeurs et notre modèle basé prioritairement sur les libertés individuelles.

Je vous rappelle le slogan « la liberté individuelle prime, mais s’arrête au meurtre d’un ours blanc. »

Ma prise de parole est aussi l’occasion de saluer la mémoire de notre grand et glorieux Ministre de la Santé retrouvé mort chez lui il y a maintenant 5 ans. Ses proches ne comprennent toujours pas son suicide, lui qui avait tant donné pour la France… Avant son décès, il avait tenu quelques propos incohérents sur la crise, propos qui ont été depuis supprimés d’Internet et de tous les ordinateurs, en respect à sa mémoire et de son œuvre. Les résultats de l’enquête sont sans appel. Il a été établi qu’il s’est donné la mort en se tirant deux balles, dont une, dans le dos et que la première était déjà mortelle.

Nous ne doutons pas que son remplaçant, à l’éthique sans failles et au parcours professionnel exceptionnel l’ayant conduit au poste de président de Pfizer France, sera un atout majeur pour l’avenir et la santé de tous. Rappelons que la loi autorise désormais un ministre à conserver son emploi, et ce afin qu’il garde le contact avec le monde réel. Son expertise ne pouvant qu’être un plus dans la noble mission qu’il se doit d’accomplir.

Je salue au passage la probité de notre nouveau Ministre de la Santé et son esprit républicain, celui-ci ayant spontanément renoncé à son salaire de ministre pour ne garder que ses modestes émoluments au sein de l’entreprise Pfizer. Dans un esprit de transparence, son salaire de 1975,50 euros brut par mois a été rendu public. Moi-même, l’ensemble des députés et des membres du gouvernement le remercions aussi pour le WE inoubliable organisé à Little St James.

Cette vaccination volontaire et spontanée de tous les Français nous a permis de retrouver notre entière liberté.

Le pass sanitaire a été abandonné parce qu’il était source d’inégalités Rappelez-vous, seuls les nantis pouvaient se permettre de s’acheter un test quatre fois par jour pour vaquer à leurs occupations et pouvoir acheter leur nourriture. C’est grâce à un amendement conjoint du groupe socialiste et du groupe communiste, salué par l’ensemble des députés, que les tests ont été rendus interdits au nom du principe d’égalité.

La solidarité et la fraternité chères à notre grande nation nous ont conduits vers cette avancée majeure pour remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal et écologique pour tous.

Mesure de bon sens, vous en conviendrez…

Concernant les mauvais Français déchus de leur nationalité, les débats furent rudes à l’Assemblée. Les députés les plus idéalistes souhaitaient que nous les placions dans des bateaux que nous aurions coulés au large. Tollé immédiat, comme vous vous en doutez, du Ministre de l’Économie targuant que nous avions besoin de ces bateaux pour le commerce depuis la Chine démocratique et pour notre croissance infinie. Mais aussi du groupe écologique affirmant justement une fois de plus que « la mer n’est pas une poubelle dans laquelle on peut se débarrasser impunément de ses déchets ».

Il fut donc décidé de construire des camps de rééducation ou d’assigner à domicile ces ex-Français que nous ne pouvions expulser du fait que nulle nation n’en voulait.

Un programme de réinsertion fut mis en œuvre. Chaque paria pouvait décider de postuler à la nationalité française. Pour cela il s’engageait à :

  • Se vacciner tous les 15 jours pendant deux ans pour rattraper le retard.
  • Suivre des cours de citoyenneté et de déprogrammation des thèses complotistes.
  • Se couper définitivement de sa famille et de ses ex-amis restés complotistes.

À l’issue de deux années, il pouvait commencer à réintégrer la société avec un bracelet électronique, l’obligation d’un traitement psychiatrique à vie, et, bien entendu, interdiction de procréer et de s’approcher à moins de 500 m d’enfants innocents.

La transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, écologique et social a été une avancée majeure dans nos libertés, mais aussi un formidable outil de croissance. Des centaines de millions de portiques de détection ont été installés dans toute la France. Aussi bien à l’entrée des administrations, entreprises, commerces, hôpitaux, mais aussi des lieux de loisirs. Plus aucun appareil, téléphone, four micro-ondes, ordinateur, voiture, carte bancaire ne pouvant fonctionner si vous n’étiez pas à jour de toutes vos obligations vaccinales et citoyennes.

Hélas ! le virus est encore là, mais heureusement, nos scientifiques ont trouvé la solution qui fait que nous serons bientôt sortis du tunnel et cette crise ne sera qu’un lointain souvenir. Preuve en est que la patience paye !

Je tenais aussi à souligner l’innovation et l’imagination de nos chercheurs. Une entreprise 100 % française aux capitaux chinois vient de mettre au point un micro-masque qu’il est possible d’insérer dans la paroi nasale des nouveau-nés. Ce masque écologique traité avec des nanoparticules qui détruisent le virus est sans danger pour les nourrissons et n’est à renouveler que tous les 6 mois chez son médecin traitant dans la caserne de son choix. J’en profite pour vous mettre en garde contre une vidéo virale qui montre un nouveau-né hurler 2 h 30 pendant et après lui avoir inséré le micro-masque. Nos services ont pu démontrer que ses parents, des anarchistes notoires, avaient torturé leur enfant avant de le lui mettre. Nous rappelons qu’à cet âge, l’enfant n’arrive pas à faire la différence entre le plaisir et la douleur. Nos spécialistes ont ainsi pu prouver que le plaisir pour le nourrisson était tel qu’il se mettait à pleurer de joie pendant quelques heures.

Après toutes ces années, nous voyons bien que le port du masque n’a eu aucune conséquence pour notre santé. Bien au contraire même, il permet de coller aux rythmes naturels de l’enfant. Désormais les bébés commencent à parler vers l’âge de 3 ans ce qui est beaucoup moins violent. Nous déplorons encore quelques rares déclenchements de crises de schizophrénie chez certains bébés, mais le masque n’est pas en cause. Ces bébés ont été traumatisés par des mères aussi stupides qu’irresponsables qui enlèvent leur masque devant un enfant découvrant un visage humain pour la première fois de sa vie.

Je profite de mon intervention pour rappeler l’importance vitale des gestes barrières et de ne jamais enlever son masque devant, ou à, son enfant, quand bien même il serait en train de s’étouffer.

Ici encore je salue une fois de plus l’innovation française avec la commercialisation de cabines individuelles de restauration avec verre fumé permettant à toute personne de pouvoir manger et d’enlever son masque en dehors de tout regard, mais surtout en toute sécurité sans risque d’assassiner un membre de sa famille, et ce, grâce au système de ventilation de la machine. Ces cabines individuelles peuvent être placées tout autour d’une table, elles sont munies d’écran de télé permettant de partager un moment convivial et de liberté avec les membres de sa famille ou des amis venus dîner. Fini le temps des contraintes dans les années 20 où il fallait faire manger papi et mamie dans la cuisine le jour de Noël pour ne pas les assassiner.

Le masque n’est de fait plus un sujet depuis quelques années. Nous le portons tous, tout le temps, partout, y compris pour dormir.

Côté économie, cette crise sanitaire est devenue un eldorado grâce aux efforts de chacun. Malgré les 20 000 milliards d’euros (planche à billets) injectés dans l’économie française, tous les indicateurs sont au vert :

  • La croissance est de 10 % par an.
  • Le déficit est en dessous des 3 %.
  • Le cac40 n’a jamais été aussi haut.
  • Le chômage n’est plus, nous sommes au plein emploi.
  • Les ménages n’ont jamais eu autant d’argent épargné.
  • L’industrie française a fait un bon au point que nous allons devoir faire venir 5 millions d’immigrés pour répondre à la demande croissante.

Nous voyons bien que les efforts ont payé et les résultats sont au-delà des espérances du haut-commissaire au plan.

Hélas ! les nouveaux variants ne cessent de voir le jour malgré les vaccins toujours plus efficaces. Cela prouve bien notre humilité face à ce virus… Bien heureusement, le Ministère de la Vérité a enfin réussi à faire taire les complotistes avec leurs théories de la terre plate, complotistes qui affirmaient que les vaccins bloquaient la souche d’origine et qu’ils étaient de nature à favoriser les variants. Hypothèse farfelue, réfutée par tous les grands chercheurs accrédités par le Ministre de la Santé.

Nous voyons le bout du tunnel, mais nous devons maintenir nos efforts. Il serait stupide de tout gâcher alors que nous approchons de l’immunité vaccinale de masse, qui, si tout va bien, devrait se produire l’année prochaine.

En effet, si tous les Français sont vaccinés, il demeure des animaux non vaccinés.

Nous savons depuis quelques mois que les poules et les cochons sont de forts vecteurs de propagation. Notre Ministre de la Santé, en collaboration étroite avec les plus grands chercheurs de son entreprise, nous a confirmé que le vaccin était parfaitement efficace et inoffensif chez ces animaux.

Le fait qu’un pourcentage non négligeable décèdent en pleine course n’a strictement rien d’inhabituel. Les études, réécrites cette année, prouvent qu’il en a toujours été ainsi. Des sujets jeunes et en bonne santé décèdent, c’est triste, mais c’est la nature.

Pour autant et malgré les campagnes de promotion de la vaccination, seuls 70 % des poules et des cochons de notre pays sont à ce jour vaccinés. C’est totalement irresponsable de la part de celles et ceux qui disent que nous n’avons pas assez de recul et que cela pourrait compromettre la santé des poussins, mais aussi leur capacité reproductive.

Balivernes !
Nos voisins israéliens l’ont fait depuis plusieurs mois et la situation chez eux aurait empiré de 70 % s’ils n’avaient pas pris ces mesures grâce auxquelles il n’y a que 30 % d’augmentation du taux de décès des poules (ils n’ont pas pu faire les tests sur les cochons). Preuve en est de l’efficacité sans commune mesure de cette vaccination qui évite de nombreux décès.

C’est pourquoi, sous conseil du Ministre de la Santé, j’ai décidé de rendre obligatoire dès ce jour la vaccination des poules et des cochons avec un rappel tous les 3 mois.

Dans un premier temps, nous avions pensé à brûler les animaux non vaccinés, mais sur proposition du Ministre de l’Écologie il a été décidé d’envoyer les poules et cochons non vaccinés dans les camps des parias.

Nul doute que cette mesure forte en faveur de la vaccination massive des poules et des cochons nous permettra de sortir de la crise et retrouver une vie encore plus normale alors qu’elle est déjà normale.

N’écoutez pas ces oiseaux de mauvais augure qui vous disent que demain il faudra rendre obligatoire la vaccination des chats et des chiens. Nous savons bien qu’ils ne sont ni porteurs ni vecteurs et que leur vaccination n’est donc pas à l’ordre du jour. Vaccination qui est même déconseillée à ce jour. Celle-ci ne sera jamais préconisée et encore moins rendue obligatoire, vous pouvez me croire les yeux fermés.

Le bout du tunnel est là mes amis. Ne perdez pas espoir !

N’oubliez pas que toutes ces mesures contraintes nous ont permis de retrouver nos libertés. Je n’hésiterai pas à citer une fois de plus notre grand maître G Orwell « l’interdit c’est la liberté ».

Vive la république, vive la France ! »

Propos(([1] Pure fiction évidemment. « toute ressemblance…, blablabli, blablabla »)) recueillis par Alain Tortosa.

Le 11 novembre 2047
https://7milliards.fr/tortosa20211111-allocution-president-2047.pdf




Macron ou le faux-nez néo-nazi de la nouvelle race des seigneurs

Par Lucien SA Oulahbib


Un nazisme même inversé reste un nazisme en ce sens où l’idée de supériorité de fait d’une couleur de peau, d’une origine, d’un genre, d’une religion, s’établit de manière violente (mais progressive… nouvelle définition du « progrès »…), tel l’étranger sur le Français qui s’est érigé en pratique depuis par exemple 2019 puisque l’étranger (victime magnifiée idolâtrée comme force salvatrice face à un monde occidental méprisable) peut avoir désormais dans les faits des droits sociaux supérieurs (comme l’accès à la CSS — ex-CMU — qu’un smicard ou, bien sûr, un salarié médian français ne peut guère espérer). De même, et ce toujours dans les faits (car dans le « Discours » le contraire est bien entendu professé façon village Potemkine), le genre « neutre » (ou « queer ») devient dominant. Il est symbolisé par l’effacement des notions de « père » et de « mère » (et peu à peu d’homme et de femme). Enfin, une religion remplace peu à peu les autres dans les faits (non dans les discours et les apparences), puisque par exemple l’islam est de plus en plus privilégié en ce sens où il peut construire autant d’établissements religieux qu’il le désire (Eurabia), alors que la réciprocité reste interdite dans les faits par les pays dominés par lui (plusieurs établissements protestants ont été d’ailleurs récemment fermés en « Algérie »).

Cette supériorité, revendiquée également par un Mélenchon avec son concept de « créolisation » (qu’un « Tonneau » taureau aux cornes acérées aimerait même imposer rapidement) ne signifie cependant pas que l’on accepte le métissage comme nouvelle réalité à prendre en compte, mais seulement comme étant la seule possible. Ceci, du moins dans la version exotérique (pour l’instant), parce qu’en réalité il s’agit d’une « transition » vers la domination totale : celle d’une nouvelle race des seigneurs au sens métaphysique, c’est-à-dire ayant certes comme indice privilégié de cooptation la couleur de peau (non blanche), mais pas seulement. Et, en ce sens, c’est un néo-nazisme, puisqu’il faut posséder, d’abord, et ce même surtout, du moins si l’on veut arriver au sommet de cette « race », il faut savoir donc psalmodier à souhait sa couleur intérieure ou idéologique queer, Antifa, scientiste, hygiéniste, affairiste, y compris dans ses diverses nuances nécessaires et suffisantes.

Cette supériorité racialiste inconditionnée (sacralisée) peut être nommée « transitude » afin de caractériser précisément la spéciation (voir La condition néomoderne sur ce point) de ce néonazisme : ou le fait (primat deleuzien de l’empirique) d’être à l’intersection de la métamorphose permanente (au sens caméléon du terme), celui du désir néo-thélémiste (le » Fays ce que vouldras » mais dévoyé de Rabelais comme « Seigneur » façon Salô décrit si bien par Pasolini) selon l’instant le moment la personne ou l’opportunisme et donc le cynisme du Paradoxe du Menteur élevé par Foucault au rang de mode de vie, de « souci de soi » (au sens sadien) animant cette « race » des seigneurs assise tout en haut de la Pyramide globale mondialisée ; tandis qu’à la base est de plus en plus greffée la masse indifférenciée (neutralisée au sens de Schmitt : émasculée) de post-citoyens futurs cyborgs c’est-à-dire de populations broyées soumises écervelées de plus en plus injectées Q-R codées et enfin branchées aux séries diverses laveuses de cervelles au sens de fabriquer (industriellement) les nouveaux comportements neutres (queer) en attendant que l’industrie des organes artificiels prenne pleinement son envol : assemblage bionumérique de néo-organes.

Ce qui implique économiquement par exemple qu’en haut de la Pyramide mondiale cette nouvelle race néonazie des Seigneurs (théorisée via une lecture de Nietzsche sur la notion de « race forte » par Blanchot maître de Derrida, Foucault, Deleuze, voir ici Éthique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens) imprime (indirectement) de la monnaie sans compter (le « quoiqu’il en coûte » des banques centrales) ce qui crée une inflation financière lui permettant d’acheter des actions et obligations à foison et par là de posséder non seulement un pouvoir d’achat inouï, mais aussi une puissance politique globale et mondiale à même d’entretenir de multiples « danseuses » comme toutes ces ONG (façon Soros, Gates, etc.) qui favorisent ainsi l’établissement sociologique et psychologique progressive d’une base de masse : celle de toute cette transitude néonazie qui chasse de plus en plus en meute tous les récalcitrants (tels en France ces 200 « journalistes » anti-Zemmour) les faisant fuir de certains quartiers devenus des concessions accordées à Eurabia les attaquant dans les médias, les universités, partout en agitant les faux-nez de noms valise (extrême droite, complotisme…).

Ainsi, et schématiquement dit, cette nouvelle race des seigneurs qu’incarne le néonazisme d’aujourd’hui est issue d’une recomposition et de la fusion sous nos yeux du néo-léninisme (via Althusser, BHL comme exemple type en France) du djihadisme altermondialiste (Mélenchon, Autain… comme exemples phare également en France) enfin du scientisme hygiéniste affairiste d’un Macron l’un des faux-nez de cette nouvelle race des seigneurs néo-nazis.

En apparence, il s’agit d’agir pour un « Bien » abstrait parsemé de boules de Noël, mais en pratique, dans les faits durs et têtus du réel au quotidien, il est de plus en plus question d’avancer dans le programme de la destruction industrielle des Nations en général des individus en particulier (il est regrettable que la soumission structurelle du judaïsme de cour comme le CRIF en France ne le voie pas ou refuse de le faire) afin de transformer tout un chacun en terminaux bio-numériques distribuant cette transitude néonazie : une race des Seigneurs globalisée dépense ainsi sans compter et coopte (par « l’amitié » des alcôves et salons affrétés) qui elle veut à partir du moment où le catéchisme de cette Secte Scientiste (hygiéniste affairiste) est frénétiquement adoptée.

Toute cette qualification peut être surprenante, mais à force de recherches et de réflexions je suis obligé d’en arriver à cette conclusion, inédite me concernant ; la goutte d’eau aura été sans doute la façon dont lesdits Antifa (en particulier ex-Allemands, Américains, Français, « ex » parce qu’ils rejettent cette « identité ») s’en prennent violemment à tout ce qui n’est pas eux, tout en imposant une conception globale allant jusqu’à transformer le vivant humain ; ce qui est là non seulement un geste totalitaire, mais néonazi au sens non seulement d’imposer, mais de fabriquer le Bios pour le substituer à l’ancien jugé impur, dangereux, inférieur, contaminant (tel aujourd’hui le blanc hétérosexuel non injecté).

Ainsi ce qui était, dans le principe industriel, le rêve d’un Mengele, mais aussi d’un Lyssenko, devient la continuation du Pacte germano-soviétique par d’autres moyens ; intégrant en plus aujourd’hui une force de frappe financière anglo-saxonne et aussi post-maoïste, devenues démesurées, avec comme allié inédit le scientisme hygiéniste de plus en plus exacerbé de certains israéliens qui, au pouvoir, se sont jetés tête baissée dans une expérimentation de masse de plus en plus instable et aux effets à long terme inconnus ; le tout comme si toute la pensée complexe d’un Moïse Maïmonide, d’un Léo Strauss, d’un Einstein, d’un Schrödinger (son « Qu’est-ce que la vie ? » par exemple) comptaient désormais pour rien ou le technocratisme tacticien poussé jusqu’à l’absurde ; ce qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler le départ tactique précipité de la bande de Gaza par Sharon et le fait aussi d’avoir voulu jouer également tactiquement le Hamas contre l’OLP avec les résultats que l’on sait (et dont les répercussions se font sentir également dans les banlieues françaises) tout en laissant les djihadistes pavaner en haut du Mont du temple alors qu’ils n’en ont pas du tout le droit historique (idem en « Algérie » d’ailleurs).

En tout cas, l’actuel président de la République française, ainsi que toute la classe politico-médiatico-intellectuelle française et occidentale, sont non seulement de moins en moins à la hauteur des enjeux (hormis quelques exceptions), mais s’avèrent être devenus les faux-nez de cette nouvelle Race des Seigneurs forgeant aujourd’hui la transitude cybernétique sectaire scientiste hygiéniste affairiste ou ce néonazisme renouant avec la version originelle réinitialisée : fabriquer industriellement du surhumain purifié.




Je ne sais plus où et quand je me suis perdu… Avant j’étais médecin, avant j’avais une éthique, avant je ne tuais pas…

Par Alain Tortosa

« Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé est purement fortuite. »

NDLR

Je sors d’un direct de plus sur une chaîne « d’informations » et je ne compte plus mes interventions. J’ai l’impression de passer plus de temps dans les taxis et sur les plateaux télé que dans mon service. En même temps, comme dirait notre Président, pour ce que j’y fais, cela ne changerait pas grand-chose.

Toute l’équipe m’a congratulé une fois de plus… les journalistes, les techniciens, le rédacteur en chef… Ils semblent heureux, ils semblent apprécier le « grand » médecin et professeur que je suis.

Me voici dans la salle de démaquillage, je me vois dans le miroir… en fait non, je ne me vois plus, je vois une image, mais ce n’est plus moi… juste un pantin éteint sans âme qui vient de jouer la même scène macabre une fois de plus.

Pendant « l’interview », les « journalistes » buvaient mes mots comme des paroles d’évangile. Comme d’habitude aucun d’entre eux n’a émis le moindre questionnement ni la moindre réflexion pouvant mettre en doute mes propos. Ils se contentaient d’en rajouter une couche… Si moi je me suis perdu, que dire de ces robots décérébrés imbus d’eux-mêmes ?

Rendez-vous compte que je leur ai affirmé que ces injections étaient parfaitement tolérées, pas le moindre effet secondaire grave ! Je leur dirais que les injectés ont vu leur cancer disparaître qu’ils approuveraient sans sourciller.

Tout passe !
Hier Véran a dit qu’il n’y avait aucun mort d’une injection et ça passe comme une lettre à la poste. Les « vérificateurs de l’information », comme ils se nomment, ont fait une démonstration magistrale !

« Il n’y a aucun mort parce qu’il ne peut pas être prouvé que le vaccin soit la cause du décès. »

L’autre jour, j’ai vu arriver aux urgences un homme de 30 ans sportif, sans antécédent, qui est décédé sous mes yeux 30 minutes après sa « dose »… un de plus. Ah, ils ont raison, il n’y a pas de preuves, car il faudrait remonter le temps et voir si il serait décédé sans l’injection, la belle affaire.

Quant aux effets secondaires, c’est extraordinaire… nous n’avons même plus besoin de faire pression pour empêcher les médecins du service de les déclarer. Ils savent qu’ils ont intérêt à se taire pour ne pas compromettre leur carrière. Et à ce stade, ils ne font même plus le lien entre les injections et les effets qui se produisent dans les heures ou jours qui suivent. Leur cerveau est en dissociation.

Je suis bien tranquille pour ma fin de carrière et je sais que je vais pouvoir encore monter en grade. Le directeur de l’hôpital m’a dit que nous avions reçu une subvention de 30 millions d’euros d’un laboratoire pharmaceutique et que d’autres suivront ! Une « chance » inespérée… mais pour qui, pour quoi ? Pour s’en mettre plein les poches ?

Et voilà j’en suis à dire sur les plateaux qu’il n’y a aucun effet secondaire des vaccins ! Mon service croule de patients hospitalisés et je fais semblant d’ignorer que la majorité de ces personnes sont vaccinées et qu’avant, soit elles allaient bien, soit leur maladie chronique était stabilisée avant leur injection… J’en suis même à dire, sans être perturbé, que leurs défenses immunitaires sont affaiblies par le masque.

Et je rajoute quoi devant les médias ? Qu’il ne faut surtout pas se relâcher, qu’il faut porter le masque et que le remettre aux enfants est totalement indispensable ! Je me dégoûte, nous masquons des enfants quand nous n’en portons que devant le public ou les médias. Je peux aussi dire avec un aplomb terrible qu’il y a des enfants hospitalisés pour Covid dans l’hôpital. C’est sûr, ils ont le Covid, ou disons plutôt que quelqu’un a inscrit Covid dans leur dossier, et puis c’est toujours ça de gagné pour les entrées d’argent de l’hôpital. Une « omission » de plus devant les médias quand « j’oublierai » de parler de leur maladie de cœur, de leur leucémie ou de leur obésité morbide. Ah il a bon dos le Covid !

Et c’est ainsi que je n’hésite pas à affirmer que le Covid touche aussi les enfants, que le vaccin ne présente aucun danger pour eux et qu’il faut absolument les vacciner pour… protéger les vaccinés !

Existe-t-il ce journaliste qui va me faire taire ? Existe-t-il ce journaliste qui va vouloir se rendre dans mon service et regarder les dossiers médicaux quand j’ose affirmer que 90 % des patients Covid ne sont pas vaccinés ?! Tu m’étonnes qu’il n’y a que des non-vaccinés, on se garde bien de faire des tests sur les vaccinés…

Demain on va passer le message de nos services « saturés » par des vaccinés deux doses et qu’il faut donc faire la troisième qui « protège » et ce, sans contradicteurs. Quand ce sera l’heure de la quatrième dose, on parlera alors des services saturés par les vaccinés trois doses et ce dans l’indifférence générale des médias.

Attention, j’insiste bien dans ces médias pour que l’on ne parle pas de 3e dose, mais de « rappel » et même de « booster ». J’en suis même à dire que c’est aussi la procédure standard pour de nombreux vaccins comme celui de la tuberculose. Qu’il est tout à fait « classique » et même « habituel » pour un vaccin de ne pas bloquer les contaminations et ne pas prévenir de tomber malade… Nous sommes abreuvés depuis des dizaines d’années sur le « vaccin solidaire », celui qui sauve des vies et j’ose dire (une vérité ?) que l’absence de protection contre les contaminations est un classique chez les vaccins. Tout passe, je vous le dis, je peux tout dire et ils gobent tout avec bonheur.

Ils croient même que je m’informe, que je lis les études, que je passe des heures alors que j’ai acquis mon « savoir » en écoutant la radio dans le taxi qui menait au studio d’enregistrement. Je n’en sais pas plus ou pas moins, question de point de vue, que l’AFP ! C’est d’autant plus « drôle » que je n’hésite pas à cracher sur mes confrères complotistes dont je sais pertinemment qu’ils investissent leur temps et leur intelligence dans une démarche scientifique.

Et oui, mais eux n’ont pas droit de cité… Une affirmation scientifique, fruit d’un travail de longue haleine, étayée par des preuves, que je balaye d’un simple mot : « Mensonge ! » et le tour est joué pour les discréditer.

Je ne sais plus quand je me suis perdu… quand j’ai renoncé à voir mes patients comme des êtres humains, mais comme une rente viagère.

Est-ce quand je me suis mis à prescrire des « nouvelles » molécules trois fois plus chères dans lesquelles les laboratoires avaient ajouté un peu de vitamines à la formulation précédente qui allait tomber dans le domaine public et devenir un générique ? En même temps, comme dirait l’autre, si ce n’était pas moi qui faisais la promotion de ces « médicaments », un autre confrère aux dents longues s’en chargerait… Alors, autant profiter de quinze jours de vacances, pardon de « séminaire », aux Caraïbes. Ou est-ce quand j’ai renoncé à guérir pour faire de chaque humain un « malade » à vie avec un traitement ?
Je ne suis plus médecin, je suis un VRP, un commercial au service de la mauvaise santé chronique cité en exemple par ses pairs.

Les années précédentes, je passais dans les médias en disant que mon service était saturé par la grippe, service qu’il fallait bien que je remplisse avec n’importe qui pour ne pas risquer la fermeture de lits l’année suivante. Que voulez-vous, il faut bien faire tourner l’usine… Le service qui a le plus de personnels sera bientôt celui de la branche « croissance et optimisation »… Les administratifs étant depuis belle lurette plus nombreux que les soignants. Et quand je dis « soignants », je rigole. Ils passent la moitié de leur temps sur leur ordinateur à saisir des données pour prouver la « qualité » des soins. Parfois j’ai l’impression de vivre en URSS à l’époque ou elle produisait sur le papier de quoi nourrir trois fois la planète entière alors que le peuple crevait de faim. Ah! il peut être fier le directeur, ah il peut être fier le ministre de la Santé ! Nous sommes les meilleurs !

Que reste-t-il de mes illusions, de mes valeurs ? J’en suis là aujourd’hui, devant des plateaux télé, à me réjouir de l’interdiction faite à des médecins de prescrire des molécules de plusieurs dizaines d’années. J’ose même dire qu’elles sont (devenues) dangereuses (tout en étant prescrites tous les jours à des dizaines de milliers de patients, mais pour d’autres pathologies).

Qui aurait pu croire que j’eusse pu tomber si bas !

J’ose me réjouir devant les médias de l’interdiction de travailler pour des confrères qui n’ont pas un vrai faux passe-sanitaire… comme moi. Rendez-vous compte, ces « mauvaises » personnes « égoïstes et complotistes » menacent la santé des patients vaccinés… ben voyons ! Les héros d’hier sont devenus les salauds d’aujourd’hui. Tous ces bons Français qui les applaudissaient seraient prêts à les tondre sur la place publique pour garantir leur « sécurité ».

Il n’y a pas UN journaliste mainstream pour noter que le manque dramatique de postes et la fermeture de services sont aussi liés à cette obligation vaccinale !

Je ne cherche plus à soulager la souffrance, je ne cherche plus à soigner, je ne cherche plus à guérir…

J’explique à mes employés qu’il faut passer un minimum de temps avec les patients, que l’on est pas là pour papoter avec eux, que nous devons être « efficaces ».

30 ans d’études et d’exercice de la médecine pour donner du paracétamol qui, au mieux, ne fera pas empirer les symptômes d’un malade Covid et dont la toxicité est largement documentée. Puis de l’oxygène à forte dose histoire de bien faire exploser les alvéoles pulmonaires et si ce n’est pas suffisant, un petit coup de Rivotril pour terminer le patient grabataire !

Je suis un « bon » praticien qui s’empêche de vomir dès qu’il se regarde.

Officiellement, grâce à cela, je ne suis pas une « pourriture » comme certains de mes confrères, ceux qui « osent » donner de l’hydroxychloroquine, des antibiotiques ou de l’Ivermectine à leurs patients qui en auraient besoin plutôt que rester spectateur (ou même acteur) de leur mort.

Nous pouvons être vraiment « fiers » de disposer d’un Conseil de l’Ordre qui les poursuit aujourd’hui pour « exercice de la médecine ».

Des siècles de recherche, des siècles de lumière, des siècles de déontologie pour en arriver à punir celles et ceux qui n’ont pas trahi leur serment ! Sartre disait que l’enfer c’est les autres alors que l’enfer c’est moi-même.

Je me suis à ce point perdu que j’en suis à recommander l’injection d’ARNm totalement expérimental chez des enfants et des bébés en bonne santé dont je sais bien qu’ils ne font JAMAIS de formes graves de Covid ! Ne vous méprenez pas, je me garde bien de dire aux journalistes que cette technique est expérimentale. Bien au contraire, je rassure en disant qu’elle est utilisée sans risque depuis des dizaines d’années. De toutes les façons, si c’est pour mentir tout passe. Seule la vérité est devenue totalement prohibée.

Ah ! j’en ai vu des jeunes enfants en bonne santé mourir de la grippe, mais pas un seul du Covid ! J’ai beau me mentir pour m’éviter de vomir tous les matins, je sais bien, comme TOUS les professionnels de santé, que ce gentil Covid n’est pas une maladie pédiatrique. Mais cela ne m’empêche pas ni mes illustres confrères « respectables », de dire le contraire et de parler de ce fameux Covid long.

Je suis abject au point de dire que personne ne connaît le devenir sur 10 ou 20 ans d’enfants qui ont attrapé le Covid comme si nous pouvions connaître les conséquences à long terme des injections expérimentales ! Et quand on voit les dégâts actuels, difficile d’être optimiste sur ce long terme.

J’envoie donc des enfants vers l’injection dont je sais pertinemment que certains vont faire des réactions graves et même mourir pour une minorité d’entre eux. Et ce alors que je sais et que j’ose même dire à la télé que le vaccin n’empêche pas la contamination. Êtes-vous conscients de l’absurdité criminelle de ma démarche ?

Injecter des enfants en bas âge en bonne santé d’un produit expérimental dangereux qui au mieux les protégerait d’une forme grave qu’ils ne font jamais, et ce dans le but officiel de protéger des personnes en fin de vie, tout en sachant que cette injection ne les empêchera pas de les contaminer !

Non seulement ce délire n’est pas contredit par le moindre journaliste, journaliste qui censure la parole des professionnels qui eux n’ont pas perdu leur dignité. Pire encore, cette folie est amplifiée à l’infinie comme une « démarche à la fois éthique et efficace » pour lutter contre le Covid. Covid que le réseau Sentinelles ne voit même plus dans les consultations des généralistes !

Primum non nocere [D’abord ne pas nuire] qu’ils disaient ? Trop drôle !

Après des adultes en bonne santé, j’envoie désormais à la mort des enfants avec strictement aucun bénéfice personnel ni même d’un point de vue de la santé publique.

Et tout ce que je risque, c’est une Légion d’honneur remise des mains par ce « Président » à la solde des entreprises pharmaceutiques et autres maîtres du monde !

Heureusement, j’arrive suffisamment à me mentir à moi-même certains jours pour croire en mes mensonges avec l’aide de l’OMS, des politiques, des médecins médiatiques et des journalistes qui répètent tous la même chose, « preuve » en est que les « autres » ne sont que des complotistes !

Je ne sais pas si je serai rattrapé un jour par la justice des hommes, mais s’il y a un enfer, je me suis acheté un billet de première classe ! Et ce n’est pas des avions privés qu’il faudra affréter vers l’enfer, mais des charters entiers, tant nous sommes nombreux à avoir du sang sur les mains.

Alain Tortosa.(([1] Fiction ?))

9 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211109-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.pdf




Le nazisme d’aujourd’hui et ses trois nouvelles branches (néo-léninisme, djihadisme, scientisme hygiéniste)

Par Lucien Samir Oulahbib

Contrairement aux idées reçues, le nazisme originel reprochait moins au marxisme et au bolchevisme leur critique acerbe du capitalisme et du libéralisme, mais le fait qu’ils oubliaient d’en dénoncer le caractère essentiellement « juif » (abordé tout de même par Marx dans sa « Question juive ») ; d’où la dénonciation du « judéo-bolchevisme » qui aurait détourné, trahi en quelque sorte les idéaux communs antilibéraux au sens d’assujettir l’individu à l’État « national » prolétarien que devient aussi d’un certain côté l’URSS de Staline (« socialisme dans un seul pays »), d’où les accointances entre ce dernier et Hitler. Staline avait d’ailleurs permis à ce que secrètement les forces spéciales allemandes s’entraînent sur le sol russe, tout en faisant de plus en plus la chasse aux juifs (quitte à leur reconnaître le droit d’avoir un « État » en 1947, tout en aboutissant, en 53, au dit « complot des blouses blanches »).

Aujourd’hui, le fait que de plus en plus les individus soient classés et attaqués, y compris violemment, en fonction de leur couleur de peau, de leur position critique vis-à-vis de l’islam (islamophobie), du climat (« négationnisme »), de la santé (complotisme et conspirationnisme) relève finalement d’une idéologie globale. On peut caractériser dorénavant et également celle-ci de (néo)nazie au sens non pas dudit « point Godwin », mais du fait qu’elle ne regroupe pas seulement des suprématistes « blancs ». Cependant, elle représente aussi tout courant qui met en avant une couleur de peau et une « conception du monde » aux préceptes sacralisés et dont la critique nécessite une répression sévère, voire annihilante, comme le réclame de plus en plus ce qu’il est possible de nommer désormais (puisqu’elle abat ses cartes) la néonazie-sphère française dont par exemple un Patrick Cohen, un Christian Barbier, un certain « Tonneau » (percé), une Annie Hidalgo et tant d’autres (tels ces remugles staliniens sortis d’un Jurassic Park « déconstruit ») en sont de plus en plus les chantres aux propos violents et de plus en plus exterminateurs.

Cette néonazie-sphère encourage par exemple le fait d’attaquer violemment des réunions qu’elles soient liés à une rencontre autour du climat comme récemment en Allemagne, autour de la liberté de critiquer l’islam (comme l’indique Didier Lemaire), sans oublier bien sûr les attaques incessantes à l’encontre des réunions de Zemmour (encouragées par Hidalgo), de Marine Le Pen (mais aussi naguère à l’encontre des déplacements de Sarkozy lorsqu’il tenait des propos fermes sur ces sujets). Elle encourage aussi la diabolisation accentuée envers tous ceux qui critiquent la montée en puissance du scientisme hygiéniste symbolisée par la mise à l’Index des professeurs de médecine Perronne et Raoult et la manipulation statistique à marche forcée à l’encontre des traitements précoces et des chiffres réels sur LA maladie, et les effets secondaires liés aux injections expérimentales actuelles (Médiapart en tchékiste patenté par exemple).

Ces exemples montrent de plus en plus plusieurs choses : d’une part une méconnaissance globale (vu le niveau intellectuel de plus en plus faible des « élites » animant cette néonazie-sphère) des idéologies de leurs racines et leur manifestation, d’autre part le fait que ces dernières évoluent, se transforment et passent dans leur contraire supposé.

Ainsi droite, extrême droite, fascisme, nazisme ne sont pas divers points s’accentuant d’un même continuum contrairement à ce que la vulgate stalinienne et sartrienne a pu ébaucher dans les années 30-60. Schématiquement énoncé, la droite en ses diverses composantes s’appuie également et en premier lieu sur la notion de liberté plus ou moins « ouverte » ou « mixte » (au sens aristotélicien) selon les tendances. Alors que ladite extrême droite rompt totalement avec cette idée d’ouverture, préfère plutôt la fermeture en la justifiant par les notions de tradition non plus évolutive, mais rigide, débouchant sur la préservation impérieuse du socle ethnique « originel », le tout en tentant de dépasser les césures élite/peuple, gauche/droite dans une conception du « social » bien plus étatiste que nationaliste en réalité. En effet, ce qui a pu donner le fascisme, le nazisme et le pétainisme (ces trois branches ayant chacune leur spécificité) se rassemble autour de deux idées fortes : extirper l’idée de liberté au sein du « social » afin de mieux protéger l’ethnie, collectiviser peu à peu toute la société civile en plaçant à sa tête des éléments sûrs afin de renforcer l’ethnie, et, pour ce faire, éliminer tout élément étranger au socle ethnique fondamental en particulier les juifs pour le nazisme et dans une certaine mesure pour le fascisme et le pétainisme, car si ces derniers avaient pour objet d’écarter les juifs y compris « nationaux » des affaires de l’État, ils ne voulaient pas les liquider comme le firent les nazis (et les staliniens d’un certain côté), même si à la toute fin du régime de Vichy le poids grandissant de la Milice fait que Laval se fait directement complice de l’extermination, rompant dans ce cas avec les courants maurrassiens anti-germains qui préférèrent peu à peu s’agréger à la mouvance gaullienne.

Le néo-léninisme, le djihadisme et le scientisme hygiéniste ressuscitent en quelque sorte, avec des nuances bien sûr, le socle fondamental du nazisme basé sur le remplacement (des juifs par les Aryens), l’épuration (mise à l’écart des écrits jugés contraires à l’enseignement officiel), l’assainissement (mise à l’écart de populations susceptibles de contaminer celles qui sont déclarées « saines » et qu’il faut protéger).

Ces trois branches agrégées désormais au néonazisme vont en effet appuyer le remplacement des autochtones par des « indigénistes » qui ainsi se vengent du supposé mal « absolu » des premiers. Elles vont également réclamer, exiger et finalement obtenir peu à peu l’effacement de tout ce qui peut rappeler un passé glorieux puisqu’il est censé avoir été établi uniquement par la domination et la servitude. Et d’autre part, ces trois branches vont, dans la foulée, réclamer, exiger et finalement obtenir de plus en plus l’épuration des administrations et des institutions de la « société civile », en particulier de tout élément hostile à leur idéologie globale basée de plus en plus sur la couleur de peau, le catastrophisme multiforme, et l’hygiénisme scientiste, ce triptyque fondamental du nazisme canal historique :

« (…)il existe entre nous et les bolchevistes plus de points communs que de divergences, et tout d’abord le véritable esprit révolutionnaire que l’on trouve en Russie comme chez nous, partout du moins où les marxistes juifs ne mènent pas le jeu. J’ai toujours tenu compte de cette vérité et c’est pourquoi j’ai donné l’ordre d’accepter immédiatement dans le parti tous les ex-communistes. Les petits-bourgeois sociaux-démocrates et les bonzes des syndicats ne pourront jamais devenir de véritables nationaux-socialistes ; les communistes toujours. » (Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, éditions Pluriel, 1979, pp. 190-191).

Traduit aujourd’hui, cela implique la convergence effective de ces trois branches (néo-léninisme, djihadisme hygiénisme, scientiste affairiste), ne serait-ce le fait qu’aucune exaction djihadiste n’est formellement non pas « condamnée », mais expliquée dans ses profondeurs (sinon par le « déséquilibre » et la « mauvaise » lecture de l’islam dans le texte), y compris lorsque des délits et crimes mériteraient bien plus que des propositions de circonstance (« agrandir les trottoirs », « leur laisser le temps d’apprendre nos codes »). Idem pour le catastrophisme dit « écologiste » censé être l’apanage du seul « Occident », alors que le président du régime maoïste, premier pollueur de la planète, n’était même pas présent à leur cérémonie annuelle et que les chiffres sont tout autant truqués qu’exagérés. Et même chose pour l’hygiénisme scientiste qui aujourd’hui cherche également à masquer son affairisme exacerbé par des menaces supplémentaires de ségrégation et d’internement, bref, de purification biologique, et ce malgré les scandales à répétition (caviardage, truquage, expérimentations sauvages ou à la va-vite à l’instar du Pfizergate). Le tout permet d’écarter tout élément qui refuse d’appartenir à cette nouvelle race métaphysique néonazie dont le néo-léninisme et le catastrophisme sont les branches actives et qui peuvent même afficher des visages d’ange alors que par exemple les « violences faites aux femmes » dénoncées par ces derniers ne désignent jamais leurs alliés objectifs du djihadisme qui, comme le dit Didier Lemaire, pousse pourtant ses victimes à s’exclure, à fuir dans une sorte d’émigration intérieure si elles ne veulent pas être violentées ou poussées au suicide (comme pour Mila encore actuellement).

Aussi faut-il être de plus en plus sans concession : si l’on vous traite de « facho » rétorquez « néonazi » — tendance djihadiste, hygiéniste, néo-léniniste — c’est selon, tout dépend de la prothèse milicienne qui viendra perturber votre geste de citoyen français, celui de débattre, de critiquer, d’applaudir qui bon vous semble. Ne vous laissez surtout pas intimider par des créatures qui certes vont vous rétorquer qu’il n’y a ni Goulag ni Shoah, sauf que d’une part ces horreurs n’apparaissent ni en 17 ni en 33, et que les assassinats djihadistes atteignent désormais plus de cent mille tués au niveau mondial, et d’autre part la forme d’extermination que peut prendre ce néonazisme peut être plus subtile basée par exemple sur l’implosion, la soumission, le démembrement, l’autodestruction, l’expérimentation queer et autres injections le tout sur plusieurs années voire décennies…




Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir

Par Nicole Delépine

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer(([1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/))

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.(([2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) ))

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

 Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois(([3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news))

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.(([4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.))

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines(([5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants)) et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.(([6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) ))

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement(([7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr)) la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).(([8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.)) Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection. Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.(([9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting))

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.(([10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »))

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.(([11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf))(([12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid))

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente(([13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included)) chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax(([14] George A. Diaz, MD1; Guilford T. Parsons, MD, MS2; Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4; Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5; Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) )) Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés). 

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?(([15] Yoann 3 oct sur tweeter))

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.(([16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ). 

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))(([18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))(([19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…(([20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.





Quand le système monétaire MONDIAL tombera…

[Source : rusty james news]

… ce sera le 666 SystemE

[Ndlr : s’il a existé ou existe encore une conspiration de cet ordre, elle a visiblement pris du retard puisque la date de finalisation mentionnée en fin d’article — 1995 — est largement dépassée.]

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System… Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »…

À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution…

Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé – comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné et s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.
De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant les nations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unis.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également un ancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte que « les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. » Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait :

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant :

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue :

« L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale ».

En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière, rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales – actions, valeurs, fonds mutuels, rentes – sur lesquels des fortunes encore plus grandes – celles des masses – vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation, se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU – les plus grands banquiers de la planète, – l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations, se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts à rembourser [cf. Charles Gave, « Des lions menés par des ânes », chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront – avant l’implosion – qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système, seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures aux niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

article_Manif-Londres



Le Japon abandonne le déploiement du vax, passe à l’ivermectine et met fin à la Covid presque du jour au lendemain

[Source : ZEjournal.mobi]

L’absurdité actuelle du COVID-19 ici aux États-Unis existe uniquement et exclusivement parce que nos gouvernements n’ont pas utilisé le bon traitement. Ils ont utilisé des soi-disant « vaccins » alors que le Japon vient de prouver, en moins d’UN MOIS, que l’ivermectine peut anéantir la maladie.

Note de l’éditeur :

Il a été porté à mon attention qu’un petit site Web qui s’appelle « LeadStories.com » prétend que cet article n’est pas correct car ILS n’ont pu trouver aucune information sur aucun site Web du gouvernement japonais sur la santé à ce sujet. De toute évidence, LEUR incapacité à trouver quelque chose ne rend pas cet article « non correct ». La simple vérité est qu’en septembre, le chef de l’Association médicale de Tokyo est allé à la télévision nationale et a dit aux médecins de commencer à utiliser l’ivermectine. Ils l’ont fait. Nous y sommes, un peu plus d’un mois plus tard, et le COVID est quasi inexistant au Japon ! Nous restons fidèles à notre histoire.

Pour ce que ça vaut, le site Web « LeadStories.com » se classe 92 476 dans le monde. Le site Hal Turner Show est beaucoup plus grand, se classant à 85 341 dans le monde. Des sites plus petits comme LeadStories.com essaient de devenir plus gros en attaquant des sites Web plus grands comme celui-ci. Mais leur journalisme de mauvaise qualité est évident sur son visage. 

Au cas où vous seriez intéressé, LeadStories.com n’a jamais contacté l’émission de radio Hal Turner pour se renseigner sur notre histoire avant de nous écrire pour nous salir. Quel genre de « journaliste » écrit une histoire sans contacter le sujet réel de l’histoire ? Un idiot utile, peut-être ? Quelqu’un qui ne s’intéresse qu’à vanter la ligne du parti, peut-être ? Quelqu’un qui a un agenda à faire avancer, peut-être ? Soyez le juge.

— Hal Turner

L’Agence suédoise de santé publique a recommandé mercredi un arrêt temporaire de l’utilisation du vaccin Moderna COVID-19 chez les jeunes adultes, citant des inquiétudes concernant les effets secondaires rares sur le cœur. Il a déclaré que la pause devrait initialement être en vigueur jusqu’au 1er décembre, expliquant qu’il avait reçu des preuves d’un risque accru d’effets secondaires tels que l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) et l’inflammation du péricarde (péricardite). { lien vers CBS News (sécurisé) ]

La Finlande, le Danemark et la Norvège se sont également éloignés des vaccins COVID. 

Finlande jeudi dernier a rejoint la Suède, le Danemark et la Norvège en recommandant contre l’ utilisation de  Moderna  Inc.  vaccin Covid-19 dans les groupes d’âge plus jeunes, invoquant des risques d’effets secondaires cardiovasculaires rares ont – ils dit les mesures de précaution se justifie.

L’Institut finlandais de la santé et du bien-être a déclaré jeudi dernier qu’il suspendrait l’utilisation du vaccin Moderna chez les hommes de moins de 30 ans, à la suite d’une mesure similaire prise mercredi dernier par les régulateurs suédois. Le Danemark a déclaré mercredi dernier qu’il n’offrirait pas le vaccin Moderna aux moins de 18 ans par mesure de précaution.

La Norvège a conseillé mercredi que tous les moins de 18 ans ne devraient pas recevoir le vaccin Moderna , même s’ils avaient déjà reçu une dose, et a recommandé aux hommes de moins de 30 ans d’envisager de se faire plutôt vacciner par  Pfizer  Inc.  et  BioNTech . Des responsables norvégiens ont cité des données américaines, canadiennes et nordiques, affirmant que les risques absolus restaient faibles et qualifiant l’avis de « mesure de précaution ».

L’Agence européenne des médicaments a déclaré jeudi que de nouvelles données préliminaires des pays nordiques étayaient un avertissement que l’agence a adopté en juillet selon lequel des maladies cardiaques inflammatoires appelées myocardite et péricardite peuvent survenir dans de très rares cas après la vaccination avec des injections Covid-19 faites par Moderna et Pfizer-BioNTech .

De loin, cependant, la superstar absolue parmi les pays étrangers confrontés au COVID est le Japon. Le Japon a RETIRÉ les vaccins et remplacé l’ivermectine – et en un mois, a éliminé le COVID dans ce pays !

Des questions ?

Juste pour que vous compreniez la chronologie.

En septembre, les décès dus aux vaccins COVID-19 faisaient l’objet d’une enquête.

À peu près à ce moment-là, les flacons étaient sous surveillance et du matériel « magnétique » métallique y a été trouvé.

Très peu de temps après, le ministre japonais de la Santé a annoncé que les médecins pourraient prescrire de l’ivermectine.

Un mois plus tard, la presse occidentale est choquée que COVID ait pratiquement disparu de l’île.

Trouver?

Comprendre?

Voilà à quoi cela ressemble dans un pays qui a encore un État de droit. Le gouvernement réagit aux rapports de décès et de vax contaminés, passe à un véritable traitement, les gens vont mieux et le virus disparaît.

Comparez maintenant cela à ce qui se passe aux États-Unis, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les trois pays connaissent un échec lamentable dans leur gestion du COVID-19, et cet échec a entraîné une perte stupéfiante de liberté et une destruction du commerce.

C’est la plus grosse actualité du moment.

Le Japon a mis fin au COVID. Il l’a fait après avoir arrêté le déploiement de vax et est passé à l’ivermectine.

Période. Arrêt dur.

Opinion éditoriale de Hal Turner

Si votre gouvernement voulait vraiment mettre fin au COVID, si tel était son véritable objectif, il ferait ce que le Japon a fait.

Vous pouvez utiliser le Japon comme étude de cas chaque fois que quelqu’un commence à marmonner des conneries sur la façon dont le vax vous aide à vous empêcher de rendre les autres malades avec ce contre quoi ils ont été vaxés.

Vous l’utilisez comme étude de cas lorsqu’ils essaient de faire des arguments boiteux sur la façon dont le gouvernement fait vraiment de son mieux pour mettre fin à COVID et c’est la foule MAGA qui provoque les variantes et maintient le virus.

Le Japon a arrêté de vaxer. Le Japon est allé à l’IVM. Le Japon est exempt de COVID. Il l’a fait en moins d’un mois !

Donc, si votre gouvernement ne fait pas ce que le Japon a fait, maintenant que le JAPON A BATTU COVID, que dit-il de votre gouvernement ?

Il dit que les théoriciens du complot avaient raison ! Ils avaient raison. C’est une conviction accablante du récit selon lequel le gouvernement est en quelque sorte une force bienveillante contre le fait que vous attrapiez des virus.

Non, car nous avons maintenant un précédent historique d’un gouvernement faisant la bonne chose et obtenant le WIN.

Si votre gouvernement ne le fait pas, c’est parce que le vax concerne autre chose que le bien public.

Hummm. De quoi peut-il s’agir ? Que diriez-vous du contrôle totalitaire !

Le Japon a commencé à vaxer plus tard et a arrêté plus tôt que le Massachusetts. Le Massachusetts lutte toujours contre COVID avec quelques milliers de cas révolutionnaires par semaine. Le Japon est fini.




Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi…

Par Alain Tortosa

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.(([1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e))»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie(([2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19))» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa(([3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »))

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf




Zemmour et la “révolution de couleur” ?

[Source : Dedefensa.org]

Par Philippe Grasset

Z et la “révolution de couleur” ?

27 octobre 2021 – L’événement-Zemmour étant ce qu’il est, on est autorisé, sans craindre le ridicule, à faire quelques hypothèses, jusques et y compris l’extrême de la chose, en cas de deuxième tour victorieux. Puisque nous sommes à la fois dans la réalité et dans la perspective plausible, je vais m’employer à faire une hypothèse de projection sur une possibilité fort peu abordée. Il est de fait qu’avec Zemmour, on ne parle guère de politique extérieure et que j’entends ici combler ce vide.

… Il est également vrai qu’il ne nous a pas communiqué son programme en détails, mais lors de son déplacement à Rouen le 23 octobre (voyez autour des 18’00”-20’00” de la vidéo), il a consacré son intervention à ce domaine qui est, dans son cas, absolument fondamental. Sans surprise, on a trouvé confirmés les principaux thèmes des conceptions d’un Z animé d’un gaullisme extrême, conceptions constituant une sorte de copié-collé de la politique du président de Gaulle en 1964-1966.

Je fais vite, car tout cela est connu, mais en mettant l’accent sur ce qui est essentiel de mon point de vue, et qui fait un considérable changement par rapport à l’étrange comportement de la bizarre “politique étrangère” macronienne, entre le “en même temps” qui implique finalement de n’être nulle part sinon dans le sillage des simulacres euroatlantiques, et la leçon de moraline globalement dispensée qui fait prendre pour du comptant les illusions de la communication affectiviste… Il est donc question, de la part de Z, de ceci qui suffit amplement à notre bouleversement :

  • une politique de sécurité selon le principe affirmé et affiché de l’indépendance nationale, assortie d’une immense méfiance pour les divers projets européens de coopération, notamment avec l’Allemagne de laquelle il importe de prendre ses distances ;
  • la sortie du commandement intégré de l’OTAN qui nous ferait revenir à la situation de 1966-1996 ;
  • l’établissement de solides relations avec la Russie s’accompagnant d’une certaine défiance de ce qu’il y a de trop serré et de trop dépendant dans les relations avec les USA jusqu’aux pires aventures (référence à la décision française de 2003 de refuser de suivre les USA en Irak).

Je ne vois rien là-dedans, on s’en doute, qui soit objectivement déraisonnable ni stupidement risqué. Pourtant, dans ce monde qui semble tenir la déraison pour la vertu centrale, l’esquive du risque stupide se mesure à l’aune de la soumission aux commandements des forces qui instituent la contrainte du Système, soit les USA devenus fous avec l’OTAN devenue gâteuse en bandouillère.

Mais j’arrête là mon constat de logique et de bonne mesure et je me retrempe dans les temps étranges que nous vivons pour annoncer une perspective : c’est ici le docteur qui parle et se risque à vous livrer son diagnostic prévisionnel, dans l’hypothèse où il apparaîtrait très sérieusement, et chronologiquement possible, que Zemmour puisse l’emporter, – et plus encore bien entendu s’il l’emporte mais cela ne serait qu’une suite d’une réaction déjà affirmée et dont les effets seraient déjà imprévisibles…

(De façon très intuitive et assez arbitraire je le confesse, je sépare dans le chef des réactions supposées du Système, essentiellement des USA, le cas Zemmour de celui “des” Le Pen. Je crois les jugements américanistes habitués aux tours de piste des Le Pen père et fille, – qu’ils auraient pu soupçonner des mêmes intentions horribles de Zemmour. Ils ont pris l’habitude de les mettre dans un système français dont ils n’ont aujourd’hui rien à craindre, et ce n’est qu’en 2017 [2002 étant hors-jeu] qu’il y eut un deuxième tour sérieux, alors que le RN était perçu comme complètement institutionnalisé. Zemmour, c’est une autre affaire, on le sait dans le brouhaha terrible de la communication qui le perçoit hors de ce même “système français”. C’est un facteur complètement inconnu, quelque chose qu’on suppose de tous les possibles jusqu’à l’impossible. Il correspond à cette époque terrible que nous connaissons depuis le début 2020.) 

Dans cette hypothèse d’une possibilité d’une cavalcade-Zemmour, donc, j’avance en assumant le risque de de la spéculation qu’une folie extraordinaire, un délire paranoïaque s’installera dans toutes les officines d’influence et de décision du monde anglo-saxon avec tous ses relais euroatlantiques. Cela est d’autant plus probable, sinon inévitable, que ces pays, et notamment les USA depuis 2015-2016, se trouvent dans des humeurs de folie extraordinairement exacerbées, avec l’illusion évidente que perdure dans sa chute sa surpuissance qui ordonne la soumission du monde à ses simulacre fantasmés, avec une autorité centrale en constante dégradation, avec le wokenisme qui instruit les esprits d’une position de grande supériorité morale… Voilà donc le champ ouvert pour des organismes bien connus, – la CIA, le MI6, la constellation d’auxiliaires privés, notamment dans les ONG type-Soros, – pour des actions destinées à bloquer la sorte d’évolution qu’un Zemmour voudrait imprimer à la politique extérieure de la France.

Vous comprenez alors aisément que j’en vienne à envisager l’hypothèse d’une version française de la fameuse recette de la “révolution de couleur”. Si les organisateurs de cette sorte de festivités ont de l’humour cultivé, ils pourraient nommer cela “la révolution du lys” ; cela serait-il en souvenir homophonique du héros de Homère, ou bien plutôt sinon certainement en souvenir du lys royal qui ne déplaît pas à Zemmour, mais aussi pour faire un rapprochement d’armurerie avec le glaive de ‘Gladio’, puisque de Gaulle disait fameusement :

« La France fut faite à coups d’épée. La fleur de lys, symbole d’unité nationale n’est que l’image d’un javelot à trois lances. » (Et l’on voit qu’ainsi le travail de déconstruction est en cours, et l’humour persifleur de l’inversion idem, le lys devenant dans ce cas d’une “révolution de couleur” le projet d’un “symbole de désunion nationale”.)

C’est dire si je crois qu’on peut envisager l’hypothèse d’événements dramatiques dans la période des élections présidentielles, et que ce qu’on désigne comme une “guerre civile” en France pourrait survenir d’une manière bien inattendue. Je ne peux imaginer ni concevoir que le Système, notamment dans sa représentation US, dans l’état d’exacerbation où il se trouve, dans la démence sénile que lui propose son grand chef, puisse accepter qu’une politique comme celle qu’envisage Zemmour se trouve dans une posture qui l’autoriserait à croire à la possibilité ne serait-ce que d’approcher les marches du pouvoir. Il y aurait évidemment bien des scénarios possibles, avec des masses de manœuvres évidentes. Ce n’est pas pour rien que les divers “services” US ont beaucoup “travaillé” les banlieues, – ce n’est jamais pour rien que la CIA et le département d’État font leur travail…

Il faut dire que les choses se présentent bien. Quoi qu’on en dise, – et même si on en dit tellement qu’il faut s’en méfier, – je croirais volontiers que Zemmour n’est pas le genre de type à avoir fait des ‘trips’ du genre ‘Young Leaders’ où ils croient pouvoir piéger les futurs cadres des pays soumis mais en conquête permanente ; ce n’est pas le genre de type qui leur plaît, un peu trop “en-dehors” dans sa carrière ; c’est donc le genre de type dont il se méfient et se défient affreusement.

(D’ailleurs, on notera qu’ils se trompent aussi souvent, et même très souvent… Moi-même, j’ai fait partie d’un de ces groupes, ce devait être une sorte de ‘Future NATO Leaders’, il y avait même Pierre Lellouche et Giesbert dans le groupe, pour quelques jours passés à la RAND Corp., à Santa Monica ; cela devait être autour de 1983-1984 : et voyez ce que je suis devenu, comment j’ai si mal tourné malgré bien des embuches à venir suivant la tournée des embauches ; mais bon, toute cette expérience signalée dans les références [URL] qui précèdent, me permettant d’avoir une certaine capacité intuitive de jugement dans cette sorte d’affaire.)

Comment verrais-je la chose, d’ici avril 2022, au cas d’un Zemmour bien en course ? D’abord, eux, ils n’y verront même pas “que du feu”, ils ne verront rien parce qu’ils ne regardent pas, complètement indifférents aux bruits à venir. Il y aura bien quinze-vingt mémos et rapports de leur chef de station à Paris. A Washington, à Langley, ils s’en foutent. (Un de mes amis dans le SR belge avait recueilli dans les années1980, pourtant brûlantes, les doléances du chef de station de la CIA de Bruxelles, sur le désintérêt total de Langley pour ses analyses et ses commentaires. Isolement intellectuel complet : tout ce qui n’est pas à D.C. même, Washington ou Langley, est soit suspect mais menu fretin, soit sans intérêt par rapport à ce qu’on sait sur place, sur l’Olympe, à D.C.

Puis un jour, quelque part fin mars ou en avril 2022, si Zemmour se confirme bien en course pour le second tour, tout d’un coup, yeux brusquement écarquillés, exclamations stupéfaites : qui c’est, ce type, avec sa sortie de l’OTAN et ses “bonnes relations avec la Russie” ? Si Zemmour passe au second tour, panique complète ! Alerte générale, mobilisation, “mais qu’est-ce qu’ils foutent à Paris, c’est bien la peine d’avoir une station” ! Zemmour, aussitôt catalogué agent du FSB, marionnette de Poutine, les preuves s’accumulent, les témoignages, les “fuites” dans tous les coins, même réseau que Trump, – d’ailleurs, Macron confirme…

Je crois alors que ce serait dans cette sorte d’atmosphère irréelle, de pertes de contrôle et de leurs nerfs au cours de réunions secrètes d’urgence, que le principe d’une “colour revolution” serait adopté à l’unanimité et de toute urgence, comme seule porte de sortie concevable d’une situation qu’ils percevraient comme insaisissable. Peut-être bien que Soros serait déjà là avec son petit plan-B aux petits oignons tandis que les premières manifs éclateraient dans les banlieues… Bien entendu, les “chances” sont immenses, avec eux c’est la coutume, d’un fiasco partiel jusqu’à être complet, d’un désordre en boule de neige, roulant de barnum en médrano, de pandémonium en chambardement, sous les auspices attentifs du chaos.

Je dois dire qu’à y penser et repenser je crois beaucoup plus à cette sorte de “sortie de crise” se transformant en pseudo-“guerre civile” qu’à une “guerre civile” classique, comme celle qu’on envisage en général. C’est-à-dire que, d’une façon générale, et d’ailleurs quoi qu’il en soit de l’éventuel vainqueur, j’ai beaucoup de peine à croire que cette élection de 2022 se passera sans péripéties très graves, avec d’intenses pressions extérieures qui sortiraient le psychodrame franco-français de ses plateaux de talk-show que les Français consacrent à eux-mêmes, où “les Français parlent aux Français” en quelque sorte..

Alors, la France, stupéfaite et secrètement ravie, pourra mesurer combien, finalement, elle tient une place importante dans l’équilibre de ce que Paul McCulley nomme “stabilité du déséquilibre”. Peut-être tiendra-t-elle même une place d’honneur dans le déferlement de la dernière phase de la Grande Crise, en en devenant pour la cause l’une des principales déclencheuses.

(Bien entendu, on peut toujours opposer à ce diagnostic prospectif les arguments des sachants-comploteurs : Zemmour comme pion du (S)ystème, comme agent d’Israël et ainsi de suite. Je veux bien : alors, c’est peut-être lui qui lancerait sa “révolution de couleur” contre lui-même.)




Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne

[Source : passe-murailles-correze.org]

Par Mehdi Belhaj Kacem

Cher Monsieur le maire de Turenne, Yves Gary du nom,

Un ami m’a envoyé hier soir votre lettre intitulée “le mot du maire”. Je me suis esclaffé en la lisant. Je ne suis manifestement pas le seul, car, dès le lendemain matin, je me suis aperçu que votre lettre circulait énormément sur les réseaux. Il est donc de mon devoir de vous l’apprendre : vous êtes d’ores et déjà la risée de centaines de milliers de français.

Je me présente d’abord à vous. Je réside à Turenne depuis près de vingt-cinq ans maintenant, dans une maison qui est un héritage familial. Je suis écrivain et philosophe de mon état, j’ai publié plus d’une trentaine d’ouvrages, dont une bonne partie chez de grands éditeurs (Gallimard, Grasset, Fayard, Stock…). Mon troisième roman, Vies et morts d’Irène Lepic, écrit à vingt-et-un ans, est considéré aujourd’hui par des milliers de personnes comme l’un des meilleurs romans des années quatre-vingt dix. Michel Houellebecq, devant un parterre de VIP de l’art contemporain, a dit que j’étais le seul écrivain de sa génération aussi bon que lui. J’ai été le premier philosophe à avoir droit à un colloque à 39 ans à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, qui a produit 90% des grands philosophes en France depuis deux siècles, alors que je suis un parfait autodidacte (bac+0). Alain Badiou m’a publiquement présenté il y a quinze ans comme l’un des deux philosophes les plus doués de ma génération, et l’anthropologue de renommée internationale David Graeber, mort prématurément l’année dernière à Venise, disait partout autour de lui que j’étais le plus grand philosophe vivant, et beaucoup de monde pense comme lui. Un grand poète américain, Steve Light, a écrit qu’on n’avait jamais vu, de toute l’histoire de la philosophie, un tel ratio entre invention conceptuelle systématique, et autodidactisme. Je pourrais continuer comme ça pendant des pages et des pages. Comme le dit un très grand médecin lanceur d’alerte sur la situation, le Dr Roger Hodkinson, dont vous devriez prendre de la graine : “I am proud of my fuckin C.V.”.

Je m’excuse donc de me faire mousser de la sorte; ce n’est pas très élégant. Mais, quand je m’adresse à des personnes comme vous, je me sens obligé de le faire, pour que l’interlocuteur comprenne qu’il n’a pas exactement affaire à celui que le bon peuple appelle “Joe le clodo”. Vous parlez de votre lettre de “compétence”, sans nous en dire davantage (doux euphémisme); je suis donc obligé, en préambule aux discussions avec les personnes comme vous, d’avancer mes titres de noblesse sous ce rapport, c’est-à-dire des capacités d’analyse et de réflexion que toutes les personnes, à point nommé, compétentes, reconnaissent à mon sujet.

On se demande d’abord, à la lecture de votre lettre, quel est le vôtre, de titre de “compétence”. Si celui-ci repose sur le fait d’ouvrir les grands quotidiens, d’écouter France-ceci ou France- cela, ou de regarder BFMTV ou France 2, vous êtes effectivement mal parti. En 2021, ce n’est pas comme cela que l’on s’informe, mais en allant à la source; croire qu’on apprend quoi que ce soit en consommant les médias de masse, c’est comme être, en termes d’information, un néandertalien quand apparaissent les Cro-magnons, ou se battre avec un gourdin quand on vient d’inventer les armes à feu.

C’est l’explication la plus plausible : cela fait plus d’un an et demi que la majorité de nos concitoyens sont coupés de toutes leurs capacités cognitives par la propagande incessante dont les inondent les médias de masse, subventionnés par l’État et détenus par les huit familles les plus riches de France. Ces médias, et depuis longtemps, n’ont plus pour fonction d’informer les gens, mais simplement de se faire les porte-voix du gouvernement. Toutes les considérations dont vous gratifiez votre public reposent donc sur le crédit que vous accordez à ce que raconte celui-ci. Vous supposez, en somme, qu’il dit, depuis un an et demi, la vérité. Or, c’est le contraire. Ce gouvernement a menti sur absolument tout. Ce gouvernement n’est plus qu’à son tour qu’un outil au service d’institutions supranationales comme l’OMS, ou de multinationales, comme Pfizer. Saviez-vous que notre président de la République avait négocié, du temps où il travaillait pour la banque Rothschild, un contrat à hauteur de 10.000.000.000 de dollars entre Nestlé et… Pfizer (vous avez dit “compte offshore”?)? Saviez-vous que son épouse détenait quantité d’actions dans la même entreprise? Saviez-vous que c’était Pfizer qui alimentait le compte Suisse de Cahuzac, et probablement de nombre de membres du Parti Socialiste, celui qui veut nous pousser à la vaccination obligatoire? Saviez- vous que Pfizer est l’entreprise pharmaceutique la plus corrompue et la plus condamnée en justice de tous les temps (plus de quarante verdicts négatifs, plus de 5.000.000.000 de dollars de dommages et intérêts versés en tout)?

[Voir :
France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne
Mensonges des responsables américains du groupe de travail COVID
Révélations sur les mensonges et manipulations de l’OMS – ÉNORME !
Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir]

Vous commencez votre lettre en disant que nous espérions, au printemps, que le covid 19, si vous me passez l’expression, nous lâcherait un peu la grappe. Las! Dites-vous : il y a eu la quatrième vague. Désolé de vous détromper : il n’y a pas eu de quatrième vague, parce qu’il n’y en a pas eu de troisième, qu’il n’y en a pas eu de deuxième, qu’il n’y en a pas eu de première; et que, en réalité, il n’y a jamais eu de “pandémie” du tout, sauf dans quelques cerveaux malades, notamment ceux qui dirigent l’OMS, probablement l’organisation politique la plus criminelle de tous les temps.

Il n’y a pas eu de “pandémie”, et ce sont les chiffres officiels qui le disent. Tapez “morts covid” sur Google, vous tomberez sur le chiffre, au jour où je vous écrit, de 4.800.000 de la population mondiale, c’est-à-dire environ 0,04% de celle-ci, ce qui est dérisoire. C’est d’autant plus dérisoire quand on connaît la moyenne d’âge des victimes : 84 ans. C’est-à-dire des gens qui ont largement dépassé leur espérance de vie. Je dis “largement”, car chez nous, pays occidentaux (France, Italie…), l’espérance de vie est de 82 ans, et c’est pourquoi nous avons pris plus “cher” (0,14/0,15%) que beaucoup de pays plus pauvres, où l’espérance de vie est, bien sûr, beaucoup plus courte.

[Voir :
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
« Surmortalité Covid » en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en France en 2020 à cause du COVID-19!
La déclaration gonflée des décès dus au COVID est une véritable conspiration
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers]

Ceci pour simplement vous faire réaliser que, depuis un an et demi, beaucoup de monde, à commencer par les médias de masse centralisés, et vous à leur suite, “raisonnent” sur une chimère sémantique pure et simple : “il existe un virus dévastateur qui atteint la planète entière, tuant 0,04% de sa population, essentiellement des personnes ayant dépassé de très loin leur espérance de vie.” C’est une phrase littéralement vide de sens, et pourtant c’est sur elle que se fondent tous les “discours” du type de celui que vous tenez dans votre lettre, et dont on nous harcèle depuis plus d’un an et demi. Tout étudiant en philosophie de première année sait que, si la prémisse est fausse, le reste du discours est faux aussi.

La chose, en réalité, va beaucoup plus loin, dans ce qui est la plus grande et la plus grave manipulation politique de masse qui ait jamais été perpétrée dans notre histoire. Là encore, ce sont les documents officiels qui le disent. Je me permets de vous renvoyer à ce lien : https://bit.ly/3GETZ5t

[Voir :
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes]

Il s’agit du compte-rendu détaillé de Santé Publique France sur la crise-du-covid entre mars 2020 et mars 2021. Je vous conseille de lire les 68 pages en entier, mais si le temps vous manque, vous pouvez vous contenter de “sauter” à la page 43. Vous y découvrirez ce chiffre ahurissant : sur la centaine de milliers de supposés morts-du-covid, seuls 14471 sont véritablement morts du seul covid. Les autres, en réalité, sont morts d’autre chose : cancer, leucémie, diabète, insuffisance cardiaque, etc. Donc : les 0,04% de morts du terrible virus sont, en réalité, plus proche de 0,004% : autant dire rien. Car les chiffres officiels des autres pays disent strictement la même chose : par exemple du CDC aux Etats-Unis, qui ont pareillement établi que, sur tous les morts officiellement déclarés du covid, seuls 6% d’entre eux étaient “sans comorbidités”, c’est-à-dire que 94% d’entre eux sont morts de tout à fait autre chose.

Aussi, au niveau de la “compétence” et de la rigueur argumentative, est-il très malvenu de votre part de comparer la situation présente avec la diphtérie, la tuberculose, la rougeole ou la poliomyélite : ces maladies étaient, de fait, massivement létales; le covid 19, en réalité, ne tue quasiment personne, mais porte l’estocade à des personnes qui avaient déjà dépassé leur espérance de vie.

Vous dites ensuite, sur cette fausse base, que seule la vaccination de masse permettra d’acquérir “l’immunité collective” (notion dénuée de toute pertinence scientifique, comme le savent les gens réellement compétents). Hélas pour vous, tous les pays qui ont massivement vacciné, comme Israël ou Gibraltar, ont vu leurs taux de mortalité décoller verticalement, ainsi que leurs taux d’infection au covid (la seule solution? Une troisième dose, après que les deux premières aient si bien marché! Et une quatrième, une cinquième, une sixième…). Aussi vous trompez-vous quand vous dites que seule la vaccination de masse permettra de sortir de la pandémie : d’abord, il n’y a jamais eu de pandémie, sinon une pandémie de mensonge, de terreur, d’abrutissement et de manipulation; ensuite, les “vaccins”, qui ne méritent même pas ce nom, sont non seulement inefficaces, mais dangereux. Je vous le démontre plus loin, chiffres officiels à l’appui, contre votre négationnisme bravache à ce sujet.

[Voir :
Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?]

Vous demandez, ce qui prouve en tout cas que vos yeux, eux, n’ont pas attrapé le covid : “comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecté à près de la moitié de la population mondiale sans ou presque d’effets secondaires?” Comment, en effet? Eh bien, très simple : en lisant ce qu’écrivent les gens d’Astrazeneca, Pfizer, Moderna et Johnson sur leurs sites respectifs : que les vaccins sont en phase 3 (rats de laboratoire habituellement), et que ces expérimentations prendront fin en 2022 ou en 2023, c’est selon. Les gens de Moderna vont jusqu’à écrire : “notre vaccin est un système d’exploitation somatique, dont le but est de pirater vos fonctions biologiques”, sic. Que la moitié de la population mondiale se soit faite injecter, le plus souvent sous le chantage et la contrainte à peine détournée, vous empêche de vous rendre à la terrible évidence : nous assistons en effet à la plus gigantesque expérimentation médicale jamais tentée sur l’humanité. Tôt ou tard, la finalité réelle de cette expérimentation ne pourra que sauter à vos yeux si éclairés. Comme le disait Coluche : “Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison”.

Mais la phrase, de toute votre lettre, qui m’a le plus fait pouffer, c’est celle qui dit : “sans ou presque d’effets secondaires”. Ah booooon? Là encore, il suffit de se fier aux chiffres officiels, et à rien d’autre. Eudravigilance, le site européen de pharmacovigilance, avançait, début octobre, les chiffres suivants : 27.222 morts, près de 2.300.000 d’effets secondaires, dont la moitié graves (et, soyons clairs : “graves”, en pharmacovigilance, signifie : “handicap à vie”). On peut dire que l’adverbe de votre phrase prend tout son sel à la lumière de ces chiffres dûment sourcés… vous avez dit “compétence”?

[Voir :
TÉMOIGNAGES | Les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »
Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe
Vaccins COVID – des millions d’effets secondaires
Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ?
Vaccins Covid-19, effets secondaires
Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.
Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid
Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?]

Mais ce n’est pas tout. Car tous les spécialistes d’enquêtes de pharmacovigilance vous diront que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont réellement rapportés; en sorte qu’il faut au moins multiplier les chiffres obtenus officiellement par dix pour s’approcher, et seulement s’approcher, de la vérité. Nous avons donc les plus solides raisons rationnelles de penser que, dans les pays de l’U.E. (Angleterre non comprise donc, où les chiffres officiels sont terrifiants aussi), il y a eu au minimum 270.000 morts, et 21.000.000 millions de handicapés à vie. C’est-à-dire, d’ores et déjà, dans la seule Europe, beaucoup plus de victimes des vaccins que du malheureux covid 19 dans le monde entier. Je me permets à ce sujet de vous renvoyer à ce lien, une petite vidéo que j’ai faite avec une amie, devant cette organisation criminelle qu’est l’Ordre des médecins, qui persécute les médecins qui osent soigner leurs patients et dire la vérité sur ce qui nous arrive depuis un an et demi :

https://odysee.com/@belhajkacem.mehdi:8/t_file6034928538396658340:1

[Voir :
Appel à la dissolution de l’ordre des médecins
Les médecins sont tombés dans un trou noir]

Mais, au fait, ces effets secondaires, quels sont-ils? Comme le dit le très courageux Dr Ochs, le risque du vaccin est 40 fois plus élevé pour les moins de cinquante ans que le covid lui-même. Que dire de nos adolescents, qu’on vaccine en masse depuis la rentrée, contre une maladie pour laquelle ils ne risquent rien? Que dire de nos enfants, à qui on s’apprête de faire la même chose (le même dr Ochs en tire la conclusion qui s’impose : “infanticide”)? Vous êtes bien sûr de votre adverbe? N’y a-t-il pas une petite puce qui commence à vous démanger l’oreille?

Car voici en quoi consistent ces effets secondaires : des AVC; des myocardites (en particulier chez les jeunes et les adolescents, ce qui est aberrant); des péricardites; des thromboses; des troubles neurologiques graves; des troubles gastro- entériques graves; des troubles neurologiques graves; la paralysie de Bell; le syndrome de Guillain-Barré; des convulsion violentes; des fausses couches (une fois sur huit…); des épilepsies; des nécroses; des zonas; des cécités; des surdités; et la liste est loin d’être exhaustive… Je peux vous envoyer des listes kilométriques de sportifs de haut niveau décédés suite à des complications cardiaques, ou dont la carrière est finie suite aux injections. Je ne sais pas comment vous faites pour ne pas entendre parler de ce phénomène “étrange” que rapportent toutes les presses régionales : le nombre inusité d’adolescents qui font des malaises cardiaques pendant qu’ils font du sport au collège ou au lycée.

[Voir :
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Mais même si je m’écarte des données officielles édifiantes, et que je regarde simplement autour de moi, où l’enthousiasme pour le “vaccin” n’est pas de mise, j’ai constaté : un homme de 42 ans, père de trois enfants, mort d’un arrêt cardiaque après l’injection; un militaire de 25 ans, un athlète qui ni ne fumait ni ne buvait, qui a subi un AVC après l’injection, et dont la carrière est finie; une femme de la soixante, qui développe depuis l’injection un asthme très brutal et persistant; un ami qui a subi une diarrhée virale très pénible après l’injection. Mais l’effet secondaire le plus systématique et répandu, qui donne d’innombrables témoignages sur les réseaux, c’est la grave perturbation des cycles menstruels chez les jeunes femmes et les adolescentes. J’ai discuté avec une jeune femme de 25 ans (non vaccinée), qui m’a confirmé que toutes ses amies vaccinées avaient de gros problèmes de règles. Et j’ai aussi échangé avec une adolescente (non vaccinée), qui m’a dit elle aussi que toutes ses amies vaccinées avaient de gros soucis de “ragnagnas”, comme elle dit dans son langage fleuri. Dans les pays où on a commencé à vacciner les enfants, comme les Etats-Unis, on rapporte des cas de saignements vaginaux chez des fillettes, ou même des nourrissons de sexe féminin. (A raison inverse, on mentionne de nombreux cas de femmes ménopausées depuis des années… et qui ont recommencé à avoir leurs règles.) Il n’y a pas besoin d’être madame Irma pour savoir ce que les conséquences, en termes de fertilité, représenteront pour toute une génération. Je suis sûr que vous avez des fils et/ou des filles, voire des petits enfants. J’espère que votre enthousiasme vaccinal s’arrêtera à temps pour que vous sauviez votre lignée. De même, et puisque vous avez une confiance si aveugle dans les “vaccins”, et que vous êtes donc plus que probablement injecté, pourquoi ne pas faire les tests suivants : le test de d-dimère (qui mesurera les taux de micro- caillots sanguins que vous avez dans le sang); le test de sérologie (pour regarder voir où en est votre système immunitaire); et un test d’électro- magnétisme (si, si, ce n’est pas une thèse “complotiste”, de nombreuses études scientifiques ont démontré que les vaccinés étaient “magnétisés”). Je le répète : puisque vous êtes si confiant dans ces “vaccins”, pourquoi ne pas faire ces trois tests? Mais je préfère être honnête avec vous : il est presque impossible que vous n’ayiez pas une très mauvaise surprise au moins en les faisant tous les trois…

[Voir :
Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans]

Aussi, à vous qui n’avez pas froid aux yeux pour colporter les énormités des médias et d’un gouvernement criminel, mensonger et corrompu, je tiens à vous prévenir que je n’ai pas ma langue dans ma poche. Le Dr Michael Yeadon, rien moins que l’ancien vice-directeur de Pfizer, et scientifique de haut niveau (biologie), parle depuis un an et demi déjà de “troisième guerre mondiale”; j’ai lancé, dans un entretien donné il y a huit mois au journal Times of Israël, l’expression “première guerre civile mondiale”, qui a été depuis reprise par des centaines de milliers de personnes; et, depuis quelques mois, je ne recule plus devant l’expression suivante : “génocide non conventionnel”, comme on parle de “guerre non conventionnelle”. C’est-à-dire qu’il n’y a plus besoin d’utiliser des mitrailleuses, des chambres à gaz ou des machettes; il suffit d’imposer des confinements, des masques et des “vaccins”. Les confinements ont d’ores et déjà détruit les vies de milliards de personnes dans le monde (dont une qui m’était extrêmement proche, qui s’est suicidée à cause du premier), alors qu’ils n’ont aucune utilité sanitaire avérée; les masques, inefficaces et toxiques lorsque portés trop longtemps, ont d’ores et déjà traumatisé une génération entière d’enfants et d’adolescents; enfin, les vaccins ont d’ores et déjà fait, dans le monde entier, incommensurablement plus de victimes que le misérable, et à la vérité presque inoffensif, virus qu’ils sont censés combattre.

[Voir :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus
Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
Le paradigme du confinement s’effondre
Effets nocifs des masques
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”]

Génocide, oui, et le plus grand, peut-être, de tous les temps, dans la mesure où, s’il s’avérait que le “vaccin” avait pour fonction de modifier le génome humain, non seulement il serait le plus grand en quantité, mais il le serait aussi en qualité : il serait le génocide le plus littéral qui fut jamais. Exagération? Pourquoi est-ce que de nombreux survivants de la Shoah (Véra Sharav, Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn, Shimon Yanowitz, Hila Moscovich, Tamir Turgal, Amira Segal, Jacqueline Ingehoes, Andrea Dresher, Edgar Siemund, etc.) disent-ils la même chose que moi, que des millions de français, et des centaines de millions de personnes dans le monde?

[Voir :
« Halte à l’holocauste du Covid ! » lettre ouverte de survivants de la Shoah
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]

Votre lettre se termine, sans doute pour caresser votre belle âme, par les compliments de rigueur aux soignantes et aux soignants. Pourquoi n’avez-vous pas un seul mot pour les 350.000 mille d’entre elles et eux qui ont perdu leur emploi depuis le 15 septembre, sans indemnités ni chômage, bref qui sont littéralement jeté(e)s à la rue, au seul prétexte d’avoir refusé de se faire vacciner? Comment pouvez-vous, sans mourir de honte, vous féliciter de ce que fait l’hôpital public français, alors qu’on est, très sciemment, en train de le démembrer et de le détruire à petit feu (ça a commencé il y a des décennies en réalité)?

[Voir :
Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?
Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…
La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie
Covid et saturation des hôpitaux : les plans de restructurations de l’hôpital public sur le banc des accusés]

Aussi, me permettrai-je d’arroser l’arroseur que vous êtes : ce qui est “délétère et irresponsable”, ce ne sont certainement pas les lanceurs d’alerte dans mon genre, qui dénoncent, avec le grand avocat allemand Reiner Fuellmich, le “plus grand crime contre l’humanité jamais commis”, mais des gens irréfléchis et mal informés dans votre genre. Faire preuve d’humilité, admettre qu’on s’est trompé (parce qu’on a été trompé), présenter des excuses, ouvrir les yeux : voilà une petite quantité de choses que vous pourriez faire pour ne pas rester, aux yeux de l’histoire, comme le sont restés les responsables politiques de 1939-45 en France sous l’occupation allemande et le gouvernement de Vichy : ce qui se passe en ce moment est en tous points homothétique à ce qui s’est passé à cette époque là, sauf qu’aujourd’hui c’est à bien plus grande échelle (ce que disent tous les survivants de la Shoah que je vous ai mentionnés plus haut). De nous deux, c’est moi qui suis pleinement responsable, en risquant ma réputation et peut-être ma vie pour réveiller le maximum de gens sur la réalité de ce qui est en train de se passer à échelle mondiale, et dont la présente lettre ne vous délivre qu’un petit bout de l’iceberg. Il faut que vous sachiez que je suis si horrifié par la situation que nous vivons dans le monde entier depuis deux ans, que je passe littéralement douze heures par jour à m’informer et me documenter sur la situation. Si, donc, vous voulez vous éveiller de votre “sommeil dogmatique”, comme disait Kant, je me tiens à votre entière disposition : j’habite à seulement une centaine de mètres de la mairie.

[Voir :
Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!
L’heure de la justice
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »
Whitney Webb descend Google, Epstein, Gates et toute la Silicon Valley lors d’une interview avec l’avocat Reiner Fuellmich]

Mehdi Belhaj Kacem

P.S. : je suis désargenté en ce moment, mais, dans dix jours, je n’hésiterai pas à faire des centaines d’impressions de la présente lettre pour la distribuer dans tout le village. Certaines de mes vidéos ont fait plus de 500.000 vues chacune sur les réseaux, donc réveillez-vous avant que je ne vous fasse une trop grande publicité, déjà que votre lettre a involontairement fait de vous une star sur les réseaux, sans doute dans votre ignorance la plus complète. Je ne désespère pas de vous réveiller complètement, et de faire que Turenne se transforme en village d’Astérix, qui résiste à l’Empire… vous verrez que la comparaison est tout sauf exagérée…




Information et désinformation, une histoire de contrôle !

[Source : REINFOCOVID]

Par : Collectif Reinfocovid

Point sur la Trusted News Initiative (TNI), « Initiative pour une information fiable » :  action collective visant à éliminer la désinformation avant qu’elle ne s’installe.

À Retenir

  • La Trusted News Initiative (TNI), « Initiative pour une information fiable » a été lancée en 2019 dans le but de protéger le public de la désinformation
  • La BBC a organisé un sommet sur la fiabilité de l’information (Trusted News Summit), réunissant des personnalités de haut niveau représentant des entreprises technologiques mondiales et de grands médias d’information.
  • Une action rapide et collective est demandée pour éliminer la désinformation avant qu’elle ne s’installe
  • La TNI inclut à ce jour : Agence France Presse, BBC, CBC/Radio-Canada, Union Européenne de Radio-Télévision (UER), Facebook, Financial Times, First Draft, Google/YouTube, The Hindu, Microsoft, Reuters, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme, Twitter, le Wall Street Journal.

À propos du contrôle de l’information

La Trusted News Initiative a été créée suite aux craintes de nombreux médias de risques d’influence de pays étrangers sur les élections présidentielles américaines. La finalité était de lutter contre les « cas de désinformation présentant une menace vitale imminente »

https://www.ebu.ch/fr/news/2020/12/trusted-news-initiative-to-combat-spread-of-harmful-vaccine-disinformation

C’est pourquoi, en décembre 2020, Tim Davie, directeur général de la BBC, déclare : «2020 a été une année comme aucune autre. Nous avons assisté à la propagation rapide d’une désinformation néfaste et d’un nombre croissant de théories du complot en ligne. Qu’elle représente une menace pour notre santé ou pour notre démocratie, la désinformation a un coût humain. Les partenaires de la TNI continueront à travailler ensemble pour élargir notre cadre et faire en sorte que les préoccupations légitimes concernant les futures vaccinations soient entendues, tout en mettant un terme aux mythes nuisibles sur la désinformation.»

https://www.bbc.com/mediacentre/2020/trusted-news-initiative-vaccine-disinformation

On constate donc qu’il existe officiellement une organisation d’ampleur internationale comprenant les principales entreprises technologiques mondiales (Google/YouTube, Facebook, Microsoft, Twitter) ainsi que les plus grands médias d’information (Agence France Presse,  BBC, CBC/Radio-Canada, Union Européenne de Radio-Télévision (UER), Financial Times, The Hindu, Reuters, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme, le Wall Street Journal). Le but de cette organisation est officiellement de porter « LA » vérité, « SA » vérité.

          Le collectif de scientifiques et de soignants Réinfocovid tient à rappeler à cette initiative que la science et la médecine opèrent fondamentalement par le contradictoire entre les savoirs validés et les hypothèses non encore validées qui ne sauraient améliorer le savoir validé que si elles ont la liberté d’être exprimées puis analysées.

Dans cette crise sanitaire, on comprend mieux pourquoi les informations « contradictoires » ont tant de mal à trouver un écho médiatique. Par exemple, on trouve dans les conditions d’utilisation de Google/YouTube :

https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr

Ne publiez pas de contenu sur YouTube s’il correspond à l’une des descriptions ci-dessous.

  • Informations incorrectes concernant la prévention : contenus faisant la promotion de méthodes de prévention qui contredisent les autorités sanitaires locales ou l’OMS
  • Contenus qui recommandent l’utilisation d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine pour la prévention de la COVID-19
  • Contenus qui affirment que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine peuvent être utilisées sans risque pour soigner la COVID-19
  • Contenus qui affirment que le port du masque est dangereux ou entraîne des effets néfastes sur la santé physique
  • Contenus qui affirment que les masques ne permettent pas d’éviter de contracter ou de transmettre la COVID-19
  • Contenus qui contredisent le consensus des experts d’autorités sanitaires locales ou de l’OMS au sujet du vaccin contre la COVID-19
  • Contenus qui affirment qu’un vaccin approuvé contre la COVID-19 causera la mort, l’infertilité ou l’autisme des personnes qui le reçoivent, entraînera des fausses couches ou communiquera d’autres maladies contagieuses

Si l’un de vos contenus enfreint ces règles, nous le supprimerons

Si l’information contradictoire n’est pas relayée, alors l’initiative n’est qu’une censure autoritaire. La Trusted News Initiative, va à l’encontre du principe même de la science que défendait le journal Le Monde en 2011« le doute scientifique, une attitude exemplaire » : https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/24/le-doute-scientifique-une-attitude-exemplaire_1577191_3244.html

Deux poids et deux mesures

Curieusement, La FDA (Food and Drug Administration) américaine a par contre publié sans la moindre difficulté sur Twitter une affiche ouvertement fallacieuse sur l’utilisation de l’Ivermectine ( https://twitter.com/us_fda/status/1429050070243192839 ):

Traduction :

« Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous, arrêtez! »     

« Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l’ivermectine pour traiter et prévenir la Covid-19. Utiliser l’ivermectine pour traiter la Covid-19 peut être dangereux et même létal, la FDA n’a pas approuvé ce médicament dans ce cas »

Dans cette image, la FDA discrédite ceux qui se soignent en prenant de l’Ivermectine, les assimilant à des vaches ou des chevaux. La FDA oublie de préciser que l’ivermectine fait partie de la liste des médicaments essentiels pour l’humanité publiée par l’OMS : p63, liste disponible sur :

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-MHP-HPS-EML-2021.02.

L’ivermectine reste l’un des médicaments les plus sûrs selon vigiaccess.org, base de données sur laquelle tous les pays membres de l’OMS rapportent les effets indésirables observés suite à des prises de médicaments. A ce jour (21 octobre 2021) seulement 5701 cas d’effets indésirables (dont 16 décès) ont été rapportés depuis 30 ans pour plus de 4 milliards de prises d’Ivermectine. Par comparaison, le Remdesivir de Gilead, initialement approuvé pour traiter la COVID-19, a fait l’objet depuis 2020 (donc en moins de 2 ans) de 8630 cas d’effets indésirables.

De nombreuses publications scientifiques montrent pourtant une efficacité de l’ivermectine, et d’autres médicaments, en tant que traitements précoces de la Covid-19.

Y aurait-il donc deux poids et deux mesures ?

https://reinfocovid.fr/science/prise-en-charge-ambulatoire-du-covid-19/ et https://c19early.com/




Lettre ouverte du Docteur Hervé STAUB au gouvernement

Par Docteur Hervé STAUB

Le 27 octobre 2021
Docteur Hervé STAUB
68140 MUNSTER

Lettre ouverte à

Monsieur Jean CASTEX Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN Ministre de la Santé
Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs
Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs,

Dans le cadre de la crise actuelle et en tant que médecin, après m’être largement documenté à partir de nombreuses sources toutes vérifiables, je tenais à vous faire part de mes réflexions. Je souhaite que vous les considériez en toute objectivité, en faisant abstraction de toute tendance partisane quelle qu’elle soit, de sorte que vous ne puissiez plus dire ignorer les éléments ci-après exposés.

Depuis maintenant plusieurs mois, en raison de l’épidémie de SARS-COV-2, il a été préconisé comme seul traitement l’injection d’une substance qualifiée à tort de vaccin. Cette substance, selon les règles pasteuriennes, n’est en effet pas un vaccin mais une thérapie génique en phase 3 d’expérimentation, ayant reçu une autorisation de mise sur le marché provisoire. Cette AMM provisoire a été attribuée à la condition de l’absence de tout autre traitement efficace. Or, contrairement à toutes les déclarations officielles, reprises et diffusées par la plupart des médias, des traitements et des moyens de prévention efficaces existent. J’y reviendrai ultérieurement.

Vous n’ignorez pas que les substances injectées, dénommées vaccins, sont expérimentales (cf. le produit de Pfizer qui est en essai de phase 3 jusqu’en janvier 2023). Par conséquent, leur injection est contraire à la loi, si l’on se réfère à la Convention d’Oviedo, à la déclaration d’Helsinki et au Code de Nuremberg. Ce sont des traitements expérimentaux administrés en l’absence de consentement libre et éclairé de la part des personnes injectées. En effet, la majorité des sujets injectés ignore la composition de la soupe « vaccinale ». Plusieurs scientifiques dont le Docteur R. Young, ont mis en évidence dans le « vaccin » de Pfizer, de l’oxyde de graphène, des particules de Trypanosoma cruzi responsable du SIDA et de nombreuses nano particules de divers métaux. Dans le produit d’Astra Zeneca, outre l’oxyde de graphène, les scientifiques ont décelé des particules d’acier inoxydable, du poly-éthylène-glycol (PEG) et de l’alcool éthylénique, substances cancérigènes.

Les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre, contrairement à ce qui est affirmé en boucle par les médias officiels. Vous avez comme exemples flagrants les pays champions de la vaccination » : Israël, la Grande Bretagne, l’Islande, Singapour ou encore Hong Kong.

Par ailleurs, plusieurs agences sanitaires dénoncent l’immunité collective obtenue par la « vaccination » et qui n’est qu’un mythe. Selon ces agences et plusieurs épidémiologistes, « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte ». D’ailleurs, il est à présent bien prouvé que l’immunité obtenue naturellement est nettement supérieure à celle donnée par la « vaccination ».

Ces traitements expérimentaux, qualifiés à tort de vaccin, représentent un danger réel en raison de leur composition, non seulement pour les adultes, mais aussi pour les enfants et les adolescents. Vous trouverez tous les chiffres des décès et des effets secondaires graves liés aux pseudo-vaccins sur les sites officiels du VAERS aux Etats-Unis et d’Eudravigilance pour l’Europe. À titre d’illustration, à la date du 10 septembre 2021, le VAERS a enregistré 14 925 décès sur plus de 3,1 millions d’accidents graves secondaires à l’injection. Il y a également eu 1 614 décès fœtaux chez les femmes ayant reçu un « vaccin » anti-covid, alors qu’aucun décès fœtal n’a été déploré en 2021 chez les femmes enceintes ayant reçu un vaccin anti-grippal.

Pourquoi alors continue t’on de recommander aux femmes enceintes de se faire injecter avec cette thérapie génique ? Pourquoi le déni des traitements peu coûteux dont l’Ivermectine, ayant prouvé leur efficacité sur de larges tranches de la population dans différents pays ? Ainsi, à titre d’exemple pour l’Ivermectine, voici quelques chiffres :

  • ce jour, il y a eu 31 essais contrôlés randomisés. Tous ont établi que l’ivermectine réduisait considérablement les taux de mortalité et d’hospitalisation, ainsi que le risque de contracter le covid. En Inde, dans l’Uttar Pradesh, avec une population de 241 millions d’habitants, au 10 septembre 2021, seulement 11 cas ont été enregistrés et pas un décès. Une réussite similaire fut notée en Indonésie après que le gouvernement ait autorisé en juillet 2021 l’usage du médicament, alors que le variant delta faisait des ravages. Mêmes réussites au Mexique et au Pérou.

Avec de telles preuves qui sont, je le répète, vérifiables, pourquoi ce type de traitement (et il en existe d’autres) n’est-il pas conseillé en France alors qu’il est inoffensif, pourquoi ne parle t’on en boucle que du pseudo-vaccin ? La réponse à cette question est simple : si l’on admettait l’existence de remèdes efficaces, l’AMM temporaire serait annulée et les injections géniques perdraient toute leur raison d’être. Je vous laisse tirer vos propres conclusions.

Pourquoi envisage-t-on d’injecter les enfants et les adolescents alors qu’ils ne constituent pas un facteur réel de transmission du virus (cf. des études de l’INSERM, notamment à propos de l’enfant des Contamines). Par conséquent, les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections, alors qu’en revanche ils ne sont pas à l’abri d’effets secondaires graves. Pourtant certains « experts », niant les faits établis, prétendent que la « vaccination » des enfants serait utile pour contrôler le covid et protéger leurs ainés. Alors qu’il n’en est rien.

Au total, et il est fondamental de le souligner, les pseudo vaccins de Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen sont des agrégats complexes de nano particules d’oxyde de graphène, composés de divers nano éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm, provenant de cellules animales et de cellules fœtales avortées. Ces ingrédients sont hautement magnéto-toxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique. Ceci a déjà entrainé de graves accidents (estimés à plus de 500 millions de par le monde) et / ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

En conclusion, il faut rejeter toute obligation « vaccinale » pour quelque raison que ce soit, en particulier chez les enfants, dont on ignore toutes les répercussions à moyen terme et a fortiori à long terme.

En revanche, il faut préconiser la stimulation des défenses immunitaires naturelles et des actions préventives, en plus des gestes barrières.

Pourquoi n’en parle-t-on jamais sur les médias officiels, pourquoi ne voit-on pas sur les plateaux télé officiels les scientifiques de haut niveau (et ils sont nombreux) pouvant prendre le contre-pied de ceux qui s’y retrouvent invariablement et qui n’ont d’autre discours que celui de la « vaccination » ?

[Note de Joseph Stroberg : parce que le but réel de cette campagne prétendument « vaccinale » n’est pas la protection contre une maladie dénommée bizarrement « Covid-19 » et dont les symptômes ont été définis de manière suffisamment large pour englober différentes causes autres qu’un virus SRAS-CoV-2 qui n’a par ailleurs jamais été physiquement et réellement isolé (voir ici, ici, ici et ici).
Le but réel est plutôt exposé dans les articles suivants :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
et
Obsession vaccinale et transhumanisme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm.]

Probablement, pour un certain nombre d’entre vous, Mesdames et Messieurs, je vais être qualifié de « complotiste ». Que cela ne tienne, j’en serai honoré.

Mais pour les autres qui ne se voilent plus la face, je les laisse libres de leurs réflexions et des conclusions qu’ils en tireront en toute honnêteté.

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.

Docteur Hervé STAUB




Une vache folle dans chaque vaccin ?

[Source : ripostelaique.com]

Un train peut en cacher un autre, disait-on. Mais une mixture vaccinale peut aussi cacher une vache folle. Ou du moins des prions. En plus de tous les éléments nocifs qu’elle contient. Des prix Nobel le pensent et dénoncent les apprentis sorciers.

Tout est parti d’un délire de science fiction : le transhumanisme ou recherche de « l’homme augmenté ». Demain des supermen et des wonder women comme au cinéma. Avec le NZT-48, la pilule qui rend intelligent. Mais vu les effets secondaires désastreux, les cerveaux lents ne changez rien à vos habitudes !

Pour le moment on a le Modafinil qui booste les capacités intellectuelles avec le risque de vous transformer ultérieurement en légume. Néanmoins, les armées française et américaine l’utilisent pour maintenir la vigilance des soldats sans dormir pendant 3 jours. Mais les militaires veulent mieux que cette amphétamine…

Depuis 20 ans, on traficote dans les laboratoires secrets des grandes puissances toutes sortes de mixtures bizarroïdes à base d’ARN messager dont on attend des miracles. Les rats et les cochons qui y ont été soumis n’ont pas survécu.  Alors on a décidé de passer aux humains. Avec l’alibi du covid.

Les prions kézako ?

Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, avait entrepris une grande étude des prions.

Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.

Comme la nature a horreur du vide, le prion (acronyme de PROteinaceous INfectious particle ou particule protéique infectieuse) va se servir dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des  dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.

On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom de spongiforme, une mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.

Pour le grand public, c’est « la maladie de la vache folle ».

Une hypothèse inquiétante

Pour le moment, les spéculations intellectuelles s’appuient sur de troublantes observations. Des sommités scientifiques s’interrogent sur le rôle probable des brins d’ARN messager trafiqué dans la création de prions ou de néo-prions.

Étant donné l’évolution lente de ces dégradations, on ne dispose pas encore de suffisamment de cas d’étude dans la durée. Et quand on en aura, il sera trop tard.

On considère néanmoins que les grandes fatigues et les comportements débiles-agressifs des piqués et multipiqués ne seraient pas provoqués uniquement par une réponse aberrante et aléatoire de l’ADN à l’ARN messager, au niveau des neurotransmetteurs.

À ces dysfonctionnements peut s’additionner la dégénérescence provoquée par les prions. Mais alors, le fardeau est tellement lourd pour l’organisme que la paraplégie survient quand ce n’est pas la mort immédiate.

Et si on veut le bouquet complet, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition de prions, elle y ajoute le taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC.

En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après. Si toutefois vous survivez.

Prions et prétendus vaccins covidiens

Même s’ils disent à la télé que les risques présentés par les prions sont  exagérés par les complotistes, le 27 juillet 2021, sur ordre du  dictateur Macronescu, les laboratoires français ont interrompu leurs travaux sur les prions au nom du principe de précaution, car il y a eu des contaminations mortelles.

Approcher les prions est très dangereux si un contact cutané s’établit, ou s’ils prolifèrent en aérosol dans l’air que vous respirez.

Mais si on vous les inocule dans les veines, il n’y aurait aucun danger !

De la même manière cynique et assassine, après plus de 30 ans d’interdictions,  l’Eurocrature vient d’autoriser à nouveau les farines animales pour nourrir le bétail et les poissons. Et donc contaminer les humains qui mangeront de la vache carnivore sans se douter de rien.

Alors qu’on sait que les prions franchissent aisément la barrière des espèces, donc sont transmissibles à l’homme et font preuve d’une résistance  exceptionnelle à la chaleur, aux rayonnements ionisants ou aux traitements chimiques, ce qui rend très compliquée toute thérapie.

Selon Montagnier, la protéine spike des vaccins a ARNm été modifiée de telle manière qu’elle risque de se comporter comme un prion dit aussi néo-prion.

 En Angleterre le « journal of Medical & Clinical Research », dans un article du 25 juin 2021 annonce que les patients vaccinés avec Astra Zeneca sont 2,6 fois plus touchés par le Parkinson, qui est une maladie à prions.

On finira bien par s’interroger aussi sur les raisons de la recrudescence d’Alzheimer précoces et fulgurants chez des vaccinés de quelques mois, jeunes ou d’âge moyen pour la plupart, alors que dans « le monde d’avant » c’était une maladie de vieillesse.

Il y a pire : toute votre descendance peut être contaminée !

Le passage de fragments du code génétique du virus du covid dans le génome humain est relativement rare mais pas impossible, et s’accroît à chaque nouvelle injection par effet cumulatif. C’est carrément l’ADN qui est modifié, pouvant créer à terme une nouvelle espèce. Plus docile et plus stupide pour faire des moutons. Ou plus agressive et plus bornée pour produire des miliciens.

Les virus mélangent depuis toujours des fragments de leur code génétique au génome humain, avec transmission à la descendance. Ainsi une part du génome humain est constitué de résidus de virus.

Ces fragments sont appelés rétrovirus endogènes, et en règle générale, leurs effets ne sont pas forcément négatifs. Les uns sont inactifs. Les autres peuvent renforcer les protections naturelles ou faciliter les échanges biochimiques. Mais nos lointains ancêtres ont mis des centaines de milliers d’années pour s’y adapter. Et si quelques groupes y ont gagné, beaucoup n’y ont pas résisté.

On peut supposer que l’extinction de Neandertal, de Denisova ou de Florensiensis, qui furent contemporains des premiers Sapiens, et fusionnèrent en partie avec eux, fut une résultante de l’action des virus préhistoriques.

En toute hypothèse, ce genre de mutation génétique ne peut s’envisager sur quelques années, sauf chez les mabouls du transhumanisme.

L’avis d’une généticienne de classe internationale

Conspuée dans les médias du NWO, Alexandra Henrion Caude, neurobiologiste à la Harvard Medical School puis ex-directrice de recherche à l’INSERM, est une scientifique de haut niveau, spécialiste de l’ARN dont les travaux faisaient autorité jusqu’à sa mise à la retraite à 50 ans.

Sa formation, son expérience et la qualité reconnue de ses publications lui donnent une réelle crédibilité lorsqu’elle se prononce sur des sujets scientifiques très pointus et prend un recul suffisant pour évaluer de façon exhaustive une situation sanitaire.

Elle n’a aucun lien avec Big Pharma et ne brigue aucun mandat ou sinécure. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre.

Ses pairs soumis et/ou vendus lui reprochent de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARNm. Or n’est-ce pas le rôle de tout scientifique digne de ce nom d’alerter s’il lui apparaît, sans son domaine d’expertise, que des pratiques mal maîtrisées peuvent s’avérer dommageables pour des patients qui ne se doutent de rien ?

« Administrer des vaccins ARN à des individus sains est une pure folie », a-t-elle déclaré. Risquant de faire perdre de gros profits à Big Pharma. La réponse fut immédiate : bannissement des médias, censure sur FB et YT, traitée d’« égérie des complotistes » avec toute la délectation perfide des journaleux vendus.

On lui reproche d’avoir évoqué une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On lui oppose que l’enzyme utilisée pour cette transcription n’existerait pas pour le coronavirus, en théorie. Mais elle n’est pas la seule scientifique à avoir observé que des mutations induites peuvent créer cette enzyme. En ajoutant que, si l’on a des raisons objectives, du fait des observations in vivo de ne pas douter du phénomène, on ignore pour le moment sa fréquence, sa répétition, l’étendue de son action et l’importance du rôle qu’il joue dans l’apparition de néo-prions dans un contexte multifactoriel. Mais les prions sont bien là. Avec les prétendus vaccins. Ce n’est pas le fait du hasard.

Conclusion empruntées à ces 2 savants :

1/ Les effets secondaires des mixtures ne sont pas uniquement les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quel vaccin, mais des réactions imprévisibles mettant en jeu la vie du destinataire comme le montre le test D-Dimère pour les caillots, ou les chocs anaphylactiques observés, ou une réaction auto-immune allant jusqu’à l’aplasie cellulaire (destruction des cellules cérébrales)

2/ Le manque de protection vaccinale est désormais patent puisqu’il est reconnu, même par une gaufre comme Blachier, que les vaccinés et polyvaccinés ne sont pas à l’abri d’une contamination et peuvent contaminer leur entourage. Pire, les anticorps produits par les pseudo-vaccins, fragiles et éphémères, peuvent annihiler les anticorps naturels, plus efficaces et durables, privant le sujet de toute défense.

3/ La production d’anticorps induits par la « vaccination » dans une population exposée au virus conduit à la sélection de variants résistants à ces anticorps, plus virulents et plus transmissibles que l’original. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin à vaccin-virus qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

4/ Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain.

En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes ayant la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. On ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et leur transmission aux générations futures.

Il ne vous reste plus qu’à prendre un billet à la loterie de la vache folle !

Vous pourrez y gagner des prions qui vous ramollissent le cerveau de suite, ou d’autres  en « stand by » qui ne se réveilleront que dans plusieurs années. Ou même jamais chez vous. Mais causeront des dégâts irréparables chez vos enfants à venir.

Tout est mis en œuvre pour étouffer ces questionnements légitimes.

La propaganda staffel (pardon les journalistes) applique l’omerta imposée par la mafia macronesque et interdit d’antenne quiconque aborde le sujet des neurotransmetteurs et des prions.

Les commissaires politiques (pardon les fact checkers) ratissent le web pour discréditer Alexandra Henrion Caudé et ridiculiser le professeur Luc Montagnier.

Les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Évoquer ces risques est contraire à leur « charte de bonne conduire ». Les hérétiques sont bannis car il ne peut y avoir qu’une seule vérité : celle des médicastres stipendiés par Big Pharma.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Dhimmitude*, Covid-19, climat : la même engeance ignare

Par Lucien Oulahbib

Le niveau bac aujourd’hui en France est grosso modo l’équivalent du certificat d’études avant-guerre avec en plus une moins bonne syntaxe et orthographe à en lire les lettres de nos Poilus. Ce qui fait qu’un doctorat aujourd’hui en particulier dans les Humanités et Lettres atteint à peine un niveau bac avant-guerre. Sauf exception bien sûr où là peut-être le niveau d’une licence est sans doute approché (toujours avant-guerre).

À cela s’ajoute la malignité perverse de gens certes ignares donc, mais dont l’intelligence naturelle mise au service de certains réseaux (et faisceaux sectaires) permet de se hisser tout de même à des postes de pouvoir (instruction et intelligence différant) et, selon les circonstances, vont en abuser lorsque c’est possible à l’encontre de personnes ayant, elles, le bagage requis, mais dont les premiers sentent bien que dans ce cas elles les dépassent de cent coudées surtout si elles ont en plus une certaine classe et intelligence du monde elles aussi. Aussi s’agira-t-il, surtout si elles font preuve d’indépendance d’esprit conforme somme toute à une certaine tradition qui remonte à… Adam et Eve…, de les briser, de les accuser de « charlatanisme », également aujourd’hui de complotisme, de conspirationnisme, même si le fait qu’il y ait des complots est pourtant vrai par ailleurs, mais il sera interdit ne serait-ce que d’y songer, ce qui est le comble évidemment…

D’où l’impossibilité qu’un ex/futur commissaire politique comme un certain Joseph Plenelski puisse comprendre un Raoult à mille coudées au-dessus évidemment (ce qui est dur à avaler évidemment pour quelqu’un qui se croit, toujours, au niveau d’un Marx), d’où le désir de lui chercher les poux en optant pour des accusations puériles dévoilant en réalité cela même que l’on cherche à couvrir. Ainsi alors que nous sommes toujours en phase expérimentale massive totalement illégitime tout en étant couverte par des lois scélérates et dont l’efficacité est d’autant plus quasi nulle que le risque reste infime lorsque la maladie est soignée de façon précoce, l’ami commissaire politique va accuser l’Institut du second d’avoir fait des expériences « sauvages » sur des malades atteints de la tuberculose, ce qui est évidemment faux. Mais plus c’est gros… (idem pour les commissaires politiques confondant météo et climat).

C’est ce que de toute façon ne peuvent pas comprendre ces ignorants qui tout n’ayant jamais été du camp démocratique (marqué par l’esprit fraternel de liberté, soc de l’égalité) n’ont en plus sans doute jamais vu une expérience chimique ou physique de leur vie : lorsque la dose, la vitesse ou la résistance ne sont pas bonnes cela ne MARCHE PAS.

Il en est de même pour les affaires humaines : si les fondamentaux ne sont pas respectés — comme la liberté de penser et d’entreprendre — dans le cadre d’un système politico-juridique à la fois protecteur et flexible, les chances de réussir à « persister dans son être » sont très faibles.

C’est ce que ne comprennent également pas les représentants dits de ladite « communauté juive » en France, qui préfèrent somme toute la dhimmitude(*) au fait de persister à préserver la Nation française dont ils n’ont visiblement cure tant leurs attaques contre Zemmour (contre Trump aussi pour leurs équivalents états-uniens alors que Jérusalem a pu être reconnue par ce dernier…) relatent bien de cette tendance cherchant plutôt la soumission pour éviter « le déshonneur et la guerre » alors qu’au bout du compte…

Et sans aller jusqu’à indiquer que « les Juifs pessimistes ont fini à Hollywood et les optimistes à Auschwitz », les défaitistes ont toujours vanté les mérites de la soumission au Sultan ottoman ou marocain, tandis que les autres acceptant d’être enfants de leur nation d’accueil ont donné des Spinoza, Bergson, Einstein, Simone Weil, Edith Stein… Même Barrès a été obligé de s’en rendre compte durant la guerre de 14…

Cette ignorance (de plus en plus) crasse est telle qu’à l’instar des périodes totalitaires dans lesquels des bandes d’adolescents enfiévrés allaient casser du renégat « en chantant », aujourd’hui des « adulescent(e)s » viennent éructer dans les radios et TV pour clouer au pilori des sommités parce que la Propagande 1984 leur aura par exemple intimé l’ordre de confondre « cas » et « malades » et de ne faire aucun lien (aucun) entre absence de soins précoces, injonctions expérimentales hasardeuses exacerbées et aléas des résurgences épidémiques, ou encore d’insinuer que le 0,90 % d’impact français en matière de gaz à effet de serre serait la goutte d’H20 insupportable, tout en oubliant que sans C02 il n’y aurait plus de végétation sur Terre… et donc d’Humanité (ce qu’ils cherchent sans doute… par cette fuite en avant folle, non plus à l’instar de ces sectes allant se jeter, elles, dans les précipices en conformité à leur doctrine, mais en nous forçant à le faire alors qu’elles restent bien au chaud à nous regarder sombrer chacun petit Titanic individualisé).

Nous nageons donc en plein délire totalitaire de type paranoïaque, prélude aux répressions physiques à venir, déjà en interdisant à la partie adverse de parler, donc en la considérant comme « ennemie » avec laquelle en effet l’on se bat seulement physiquement, la joute « méta » (physique) ne suffisant pas (d’autant qu’ils ne sont pas au niveau, voire supra).

Nous en sommes donc . Le reste n’étant que billevesée.


(*) : Le terme est un néologisme français créé en ajoutant le suffixe -tude à dhimmi, un mot arabe qui signifie littéralement « protégé ». Historiquement, il a été utilisé pour désigner une personne vivant dans une région envahie par les musulmans, à qui l’on accordait un statut de protégé et qui était autorisée à conserver sa foi d’origine en échange du paiement de taxes.
Par généralisation ici, cela peut signifier le fait de se soumettre (notamment aux mesures sanitaires ou à la piqûre) en échange du maintien d’une partie de son confort cette fois physique (et non plus moral, psychique ou spirituel).




Robert F. Kennedy : Appel à une grève mondiale le 3 novembre !

[Source : zonefr.com]

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Robert F. Kennedy Jr. appelle à une grève mondiale pour le 3 novembre.

Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’Etat, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccinsLes effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité«  !

Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. 

Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par AttaliRockefeller, le Duc d’EdimbourgBill GatesKlaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduireAttali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux.« 

Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit  trop tard !

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine«  dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

MOBILISATION !

Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

En 7 mn, vous allez tout comprendre…




Ultradroite : Rémy Daillet mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste et écroué

[Source : profession-gendarme.com]

[Photo : Le gourou ultra-complotiste est soupçonné d’être impliqué dans un projet d’attentat contre une loge maçonnique et diverses autres cibles. DR]

Déjà incarcéré dans l’affaire de l’enlèvement de la petite Mia, le complotiste a été présenté ce vendredi à un juge d’instruction pour des soupçons cette fois-ci de projets d’attentat.

Déjà incarcéré dans l’affaire Mia, Rémy Daillet, figure des milieux complotistes, a été extrait de sa cellule mardi pour être placé en garde à vue dans un autre dossier, suivi par le pôle antiterroriste du tribunal judiciaire de Paris. Ce vendredi, il a été mis en examen et écroué pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placé en détention provisoire, selon une source judiciaire.

Cette fois, il est soupçonné d’avoir envisagé des « projets de coups d’État et d’autres actions violentes », dont un attentat contre une loge maçonnique de l’est de la France. Ce qu’il conteste. Sa secrétaire, Ginette M., âgée de 67 ans, a elle aussi été mise en examen vendredi, mais elle a été placée sous contrôle judiciaire.

Au cours de leur garde à vue, tous deux ont été interrogés dans les locaux de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure). Selon des sources proches du dossier, Rémy Daillet, 54 ans, est soupçonné d’être « le cerveau » d’un groupe projetant des actions violentes.

Cela porte à quatorze le nombre de personnes appartenant à l’ultradroite mises en examen dans cette affaire. Les précédentes mises en examen datent du 8 octobre. Il s’agit de quatre hommes, dont deux militaires. Convaincus qu’ « Emmanuel Macron est au service de l’argent et qu’il faut en finir avec le grand capital », ces hommes avaient « l’idée d’un coup d’État, d’un renversement du gouvernement français », avait alors relaté une source proche du dossier.

Selon une source proche du dossier, l’information judiciaire, ouverte en mai après les premières interpellations liées au groupuscule « Honneur et nation », s’est élargie, et les projets visés par la justice dépassent désormais ce cercle, mais tous les mis en cause semblent avoir le même inspirateur, Rémy Daillet. L’enquête devra déterminer ses responsabilités. Parmi les cibles des mis en cause dans ce dossier figuraient entre autres des antennes 5G, des centres de vaccination, des journalistes et des personnalités, avaient détaillé deux sources proche de l’enquête.

Mis en cause dans l’enlèvement de la petite Mia

Parmi les quatre suspects arrêtés début octobre, deux sont également poursuivis dans l’affaire de l’enlèvement de la petite Mia. Dans cette enquête, Rémy Daillet a été mis en examen mi-juin pour « complicité d’enlèvement d’un mineur de 15 ans commis en bande organisée » et « association de malfaiteurs ».

Ancien cadre du MoDem dont il a été exclu en 2010, installé en Malaisie depuis plusieurs années, Rémy Daillet ignorait « l’existence de ce mouvement et de ses activités, sans lien avec son organisation politique », assure son avocat. Il avait été arrêté fin mai avec sa compagne et leurs trois enfants puis avaient été expulsés par les autorités malaisiennes en raison de leurs visas expirés.

Source : Le Parisien




Le Pr Didier Raoult répond aux mensonges de Mediapart

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline pour Le Média en 4-4-2

Les chiens sont lâchés contre le Pr Raoult. Avant-garde de Big Pharma, Médiapart montre les crocs. Mais pourquoi la loi Avia ne s’applique-t-elle pas à tant de haine ? Et d’ailleurs pourquoi tant de haine ? Ah ! elle est belle l’attaque sans argument, le scud sans munition ! On vous a déjà montré l’embrouille dans cet article .

Sans l’OMS pas de salut, et pourtant…

Quels sont les « arguments » de Médiapart ? La première banderille : sulfadiazine et minocycline, deux composants du cocktail utilisé à l’IHU de Marseille pour soigner la tuberculose, ne sont pas approuvés par l’OMS.
Sur le site de l’OMS, p 108, les médicaments préconisés pour la tuberculose sont l’isoniazide, la rifampicine, la pyrazinamide, l’éthambutol et la streptomycine. Ce sont les premiers à avoir été découverts en 1946-1948. Ils se sont révélés soit inefficaces contre la tuberculose pulmonaire (streptomycine), soit trop longs à administrer pour être efficaces (18 mois dans les années 60), car les patients des pays pauvres ne suivent pas le protocole jusqu’au bout (voir la conférence du Pr Jacques Grosset). Et quand on dit pas efficaces, cela veut dire 1,2 à 1,6 million de morts par an.

Sulfadiazine et minocycline, utilisés à l’IHU de Marseille, ont pourtant été approuvés par l’ANSM : la sulfadiazine dans le traitement de la toxoplasmose et la minocycline contre l’acnée.
Outre la liberté de prescription du médecin (fort mise à mal actuellement), l’ordre des Médecins prévoit qu’il est licite d’utiliser des médicaments hors AMM. Rien n’interdit de les utiliser pour une autre maladie que celle qu’ils ont traitée à l’origine.
Le Pr Chabrière signale une étude de 2013 du Pr Drancourt (IHU de Marseille) sur la sulfadiazine concluant à l’efficacité de cette sulfamide comme alternative aux antibiotiques antituberculeux.

Des médicaments connus de tous, sauf de Médiapart

Deuxième banderille : les deux autres médicaments faisant partie de cette « expérimentation », affirme Médiapart, sans se soucier ni de prouver qu’il y a eu expérimentation ni de préciser les noms des médicaments, ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose. Le Pr Raoult est certainement moins compétent que la journaliste de Médiapart, mais lui, il connaît le nom de ces médicaments. Il s’agit de deux traitements de la lèpre, la moxifloxacine et la clofazimine. Quant à une pseudo expérimentation, il s’en explique. La journaliste de Médiapart n’est pas outillée intellectuellement pour faire la différence entre expérimentation et traitement. Les explications psychologiques de Didier Raoult des méfaits de lobbies qui brassent des milliards et interdisent la recherche en France sont moins convaincantes que ses arguments scientifiques. Disons qu’il se refuse à hausser le ton.

Le Pr Jacques Grosset était le numéro 1 mondial du traitement de la tuberculose. Ses recherches à La Pitié-Salpêtrière, puis à l’université John Hopkins, avaient deux objectifs :

  • réduire la durée du traitement de la tuberculose
  • traiter les bactéries résistant aux antibiotiques actuels à cause de traitements interrompus. Les deux problèmes sont liés : des traitements sont interrompus parce que leur durée est très longue et créent des bactéries qui leur résistent.

Premier objectif des médecins et chercheurs : réduire la durée du traitement

Dans une étude en 2015, il a réanalysé la clofazimine, un antibiotique très bon antituberculeux, découvert dans les années 50 et utilisé des centaines de millions de fois. Titre de l’étude : « La clofazimine raccourcit la durée du régime de traitement de première intention pour la chimiothérapie expérimentale de la tuberculose ». La clofazimine (ou Lamprène®) est le traitement le plus efficace de la tuberculose et réduit la durée de l’infection. Ce médicament anodin, connu dans le monde entier, associé à un antituberculeux traditionnel, la pyrazinamide, est le meilleur de tous les traitements de la tuberculose.

La clofazimine reste efficace quand les autres antibiotiques sont devenus inefficaces. Il y a très peu de résistance à la clofazimine (0,22 %). Nouvelle référence du corps médical, Médiapart, la classait sans rire dans les médicaments qui « ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose ».

À l’IHU, en revanche, on sait de quoi on parle quand on parle de tuberculose. Le premier des « publiants », en dehors de Harries, est Michel Drancourt, un collègue de Raoult. Pour nous, ajoute ce dernier, la bactérie la plus proche de celle de la tuberculose, c’est celle de la lèpre. Les médicaments utilisés depuis des décennies contre la lèpre (moxifloxacine et clofazimine) marchent pour la tuberculose. Inutile donc de mettre au point des nouvelles molécules qui vont coûter cher.

Deuxième objectif : traiter les bactéries résistant aux antibiotiques

Le Pr Raoult ajoute : 

« Est-ce qu’on peut traiter une tuberculose multi résistante avec la moxifloxacine et la clofazimine ? La réponse est oui. C’est pas de la recherche, c’est de la médecine. et c’est sur le site de l’OMS. La tuberculose fait partie des maladies en deuxième intention qu’on peut soigner avec les médicaments contre la lèpre. »

Attention ! soigner, c’est de l’expérimentation illégale

A l’accusation de Médiapart d’avoir pratiqué de l’expérimentation illégale, le Pr Raoult explique : 

« Est-ce que en associant la clofazimine à la pyriméthamine, on peut raccourcir le traitement chez les populations dont on sait qu’elles vont avoir de grandes difficultés à prendre le traitement ? Pour cela, on a demandé à faire un essai thérapeutique. Deux fois un comité des personnes nous a donné un avis favorable, puis on a eu une interdiction de l’ANSM fondée sur on ne sait quoi, qui nous a dit il n’y a pas assez de bibliographie là-dessus. Pourtant il est sorti 411 publications dans les 25 dernières années. Est-il normal que pour des recherches menées par des chercheurs reconnus sur des médicaments qui sont utilisés depuis des années avec succès, soient interdites par des gens n’ayant aucune compétence ? Il y a dix pays qui font des essais pour savoir si on peut raccourcir le traitement en ajoutant de la clofazimine. Résultats : on peut réduire le traitement des tuberculoses résistantes à neuf mois en ajoutant clofazimine et pyriméthamine ! »

Recherche ? interdit ! danger !

« Donc on n’a pas fait de recherches, car on a bien assez d’ennuis comme ça. Sur près de 300 tuberculose qui ont été diagnostiquées, 85 ont été traitées ici, dont 17 ont reçu de la clofazimine et pyriméthamine, 13 avaient des bacilles résistants qui correspondaient à une des recommandations de l’OMS, 3 SDF (on sait qu’ils n’arriveront pas à appliquer pendant 6 mois le traitement). Ce sont des décisions qui sont prises, comme le dit la loi sur la prescription et délivrance des médicaments hors AMM. »

Un médecin de plateau complotiste se lâche contre Raoult

Si le Pr Gilbert Deray n’a pas déclaré ses conflits d’intérêts (160 649 € versés par les labos), en revanche il a déclaré sur France 5 : « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Didier Raoult finalement, dans l’HCL, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Bolsonaro, Trump et Narendra Modi (NDLR : Premier ministre de l’Inde) qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal à leurs populations. Vous avez vu ce qui se passe au Brésil avec l’affaire de cette chaîne de pitou (sic) qui ont donné des kits de chloroquine à des vieilles personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que l’épidémie était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

Un vrai cas d’école de « projection mentale » ! Définition : opération par laquelle une personne place sur quelqu’un d’autre ses propres sentiments, afin de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable. Ou plus simplement : « c’est celui qui l’dit qui l’est ». Muni de cet éclairage hautement psychanalytique, on comprend mieux le vrai message délivré par Gilbert Deray :

« Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Olivier Véran finalement, dans la vaccination covid, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Vanguard, Pfizer et Bill Gates qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal aux populations. Vous avez vu ce qui se passe en Israël avec l’affaire de cette troisième dose à des personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que la vaccination était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

La Timone : un état des lieux désolant

Didier Raoult, de son côté, ne peut que constater les dégâts de la gestion politico-bureaucratique : 

« Des dossiers personnels de patients diffusés dans la presse, des taupes partout, de l’hostilité, du mensonge, des réactions immédiates sur des rumeurs fausses. Notre directeur général devrait nous protéger au lieu de nous harceler. Quelqu’un veut détruire l’IHU. Me foutre dehors et Chabrière aussi. La Timone est moins bien gérée que l’hôpital général à Dakar. C’est un hôpital du tiers-monde. Il y a un peu de jalousie parce que, ici, on a refait les peintures et qu’on marche bien. A La Timone les prof s’en vont. Que le directeur général s’en occupe ! Que les administratifs retournent à leur métier. Quant aux journalistes, ils perdent toute crédibilité. » 

S’ils l’ont jamais eue, peut-on ajouter. Il faut dire que Pascale Pascariello, c’est pas Albert Londres et qu’il faut bien qu’elle gagne sa croûte. Pourquoi ne pas essayer de trouver un métier honnête, hein Pascale ?




Vers l’abolition de vos droits fondamentaux

Par Thibaux de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse1, les membres du Parlement européen ont tiré la sonnette d’alarme.

Selon eux, “les droits civiques sont de plus en plus restreints2” suite à la mise en place du pass sanitaire. Le Pass sanitaire : un puissant outil de discrimination. Confrontés, comme vous et moi, au besoin de montrer patte blanche pour accéder à leur lieu de travail, les membres du Parlement européen dressent un constat inquiétant :

“Les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle, à l’emploi, l’égalité, l‘éducation, la santé, la libre expression de la pensée sont gravement violés. Et dans toute l’Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées3.” 

Destiné à l’origine à faciliter la circulation au sein de l’Europe, le pass sanitaire s’est transformé en un puissant outil de discrimination.

Nos droits les plus élémentaires sont aujourd’hui devenus des privilèges accordés par l’État sous la forme d’un… QR code !

Jamais il n’avait été question de restreindre l’accès à un lieu ou à une activité aux personnes non vaccinées… et pourtant !

Ce que les pires complotistes imaginaient… nos Gouvernements élus démocratiquement sont en train de le faire ! Des confinements pour les non vaccinés. Il faut croire que les pays de l’Union Européenne n’ont pas compris le problème. 

Puisque quelques jours après cette conférence, voilà que le chancelier autrichien, Alexander Schallenberg, annonce la potentielle mise en place d’un confinement pour les non vaccinés en cas de dégradation de la situation sanitaire actuelle4.

“Je ne permettrai pas que le système de santé soit surchargé parce qu’il y a encore trop d’hésitants et de procrastinateurs qui ne peuvent se résoudre au vaccin5.” assène-t-il. 

Donc faire un choix libre et éclairé concernant sa santé personnelle, ce qui, rappelons-le, est le droit le plus strict des citoyens, c’est faire preuve de procrastination ?

En Russie, de nouvelles mesures drastiques ont d’ores et déjà été prises dans ce sens. 

Les autorités ont ordonné un confinement pour “tous les plus de 60 ans non vaccinés” et ce pendant 4 mois6 ! 

Idem en Colombie, où une municipalité a imposé un confinement obligatoire sous peine d’amende à ses habitants “récalcitrants”7. Vite, ma 3ème dose… En France, la situation n’est pas plus rose pour les anti-pass (abusivement traités “d’anti-vax” par les médias).

Si un confinement n’est pas à l’ordre du jour, les employés non vaccinés sont la première cible de la dictature sanitaire, mettant à mal le droit à l’emploi. Pour rappel :

“Si un professionnel soumis au pass sanitaire ou à la vaccination obligatoire ne respecte pas cette règle, il ne sera pas forcément licencié, mais ne pourra toucher ni son salaire, ni d’indemnité chômage8.”

Tels étaient les mots de la ministre française du Travail et de l’Emploi, Elisabeth Borne, en août dernier.

En résumé, l’employé ne perd pas son emploi, mais ne touche pas un centime et se retrouve à la rue s’il ne suit pas la norme sanitaire. 

Je ne sais pas vous, mais moi j’appelle cela de l’asservissement par la contrainte.

En octobre, cette même ministre annonçait ne pas “exclure la perte du pass sanitaire pour ceux qui refuseraient la 3e dose9.”Fini la marelle à l’école sans QR code. Pire encore, les discriminations se propagent également dans les collèges et les lycées ! 

Les jeunes non vaccinés décelés cas contact sont “évincés” (dixit le Ministre de l’Éducation) pendant 7 jours, contrairement à leurs camarades vaccinés ou immunisés10.

Comble de l’absurde, cette mesure est également en vigueur pour les sixièmes, qui n’ont pourtant pas tous 12 ans et ne sont donc pas éligibles pour le vaccin11.

Et le tout sans assurance que l’enfant contraint de rester à domicile puisse continuer à suivre les cours.

C’est une véritable atteinte au droit à l’éducation !

Et dire que tout ceci part du postulat erroné que les non vaccinés sont les uniques porteurs du virus. NON !

Les personnes vaccinées peuvent toujours être porteuses du virus, elles peuvent toujours être malades ! Le vaccin n’assure qu’une potentielle protection, mais celle-ci n’est pas infaillible… sans parler des effets secondaires.

Pourtant… “Les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés12”. Encore tout récemment, un rapport de surveillance de l’Agence de santé publique britannique a illustré que désormais, “les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés, et ceci pour toutes les tranches d’âge à partir de 30-39 ans13.”

Ce qui est parfaitement normal dans une population majoritairement vaccinée et prouve bien que le vaccin n’empêche pas une contamination.

Alors pourquoi, partout dans le monde, observe-t-on de telles discriminations ?

Quels autres droits fondamentaux allons-nous voir disparaître au nom de la “santé publique” ?

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

P.S. : Je viens d’apprendre dans le journal Libération que l’hôpital est à nouveau en “surchauffe”. Apparemment 20 % des lits d’hôpitaux seraient fermés faute de soignants14. Un chiffre nié par le Ministre Olivier Véran15, bien qu’il convienne d’un absentéisme inhabituel lié à une augmentation des démissions et de l’épuisement du personnel (rien à voir bien sûr avec les soignants suspendus parce qu’ils ne veulent pas du vaccin…). Comme en 2020, l’histoire se répète : face à la surcharge d’hospitalisation, les hôpitaux craquent de toutes parts et la seule solution viable que nous présente le gouvernement est de vacciner à tour de bras, sinon gare au reconfinement !! Je prépare activement un projet de résistance à ce choix infâme. Je vous en parle très vite.

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Sources

https://www.youtube.com/watch?v=MuVguEJA-tU
idem
idem
https://www.lematin.ch/story/lautriche-envisage-de-confiner-les-non-vaccines-746575434886
idem
https://www.capital.fr/economie-politique/face-au-boom-du-covid-19-en-russie-4-mois-de-confinement-a-moscou-pour-les-seniors-non-vaccines-1417681
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_confinement-pour-les-non-vaccines-dans-une-ville-de-colombie-objectif-atteint-aux-etats-unis-le-point-sur-la-pandemie-de-coronavirus-dans-le-monde?id=10816979
https://www.capital.fr/votre-carriere/pass-sanitaire-un-salarie-suspendu-ne-touchera-pas-dallocation-chomage-1411587
https://www.europe1.fr/politique/borne-nexclut-pas-la-perte-du-pass-sanitaire-pour-ceux-qui-refuseraient-la-3e-dose-4071491
10 https://www.liberation.fr/societe/education/aux-colleges-et-lycees-on-aboutit-a-une-discrimination-des-eleves-par-rapport-a-leur-statut-vaccinal-20210902_PNP2OFXGKJECDDL7ODO4VBFC3U/
11 https://www.midilibre.fr/2021/07/29/nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-colleges-quelles-regles-pour-les-moins-de-12-ans-non-soumis-a-la-vaccination-9701179.php
12 https://www.lefigaro.fr/sciences/les-personnes-vaccinees-ont-elles-plus-de-risque-d-etre-contaminees-que-les-autres-20211020
13 idem
14 https://www.leparisien.fr/societe/sante/hopital-public-un-lit-sur-cinq-ferme-dans-le-public-faute-de-soignants-selon-une-etude-menee-par-jean-francois-delfraissy-27-10-2021-HPUOXBFRZRDH5OLIAVN36KBMXM.php
15 https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/olivier-v%C3%A9ran-met-en-doute-le-chiffre-de-20-de-lits-ferm%C3%A9s-dans-les-h%C3%B4pitaux/ar-AAQ1GU5




Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




Pour profiter de la LIBERTÉ, il faut être vivant et en bonne santé ! Refusons l’injection !

Par Nicole Delépine

Bravo aux combattants de la Liberté, qui chaque semaine, battent le pavé et tentent de remonter le moral aux déprimés… Non, les dictatures ne perdurent jamais, et le nombre et la force des résistants déterminent évidemment la durée du totalitarisme. Mais les résistants, comme les autres doivent être en forme. Et certains d’entre eux « vaccinés malgré eux »(([1] Les « malgré nous » de 2021 (reseauinternational.net) )) ont dû recevoir la piquouse et comme beaucoup (dont les sportifs) sont fatigués longtemps et ne peuvent pas trop compter sur l’hôpital pour les soigner.

C’est pourquoi les épuisés doivent se reposer et ne pas démoraliser les autres, ni les éloigner de la résistance, et se taire le temps de la récupération bien normale. « Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre à ta place ». Ne craquez pas, chacun fait ce qu’il peut, mais ne détournez pas les autres de la lutte, pour l’information en particulier.

Trop de silence sur le danger des injections géniques

On ne peut que regretter le silence sur les dangers immédiats maintenant connus et plus tardifs des injections géniques, en expérimentation, leurs compositions inconnues et inquiétantes, l’absence d’autorisation de mise sur le marché et…. l’absence d’injections chez les salariés de Pfizer, et jusqu’à présent chez les membres du parlement européen, américain et français entre autres, l’absence de pass à l’Assemblée nationale et au Sénat, ce qui laisse toute possibilité de choix ou non de la piquouse.

Enfin les députés du Parlement européen se réveillent et réalisent le détournement du pass vert qu’ils avaient voté pour améliorer la liberté de mouvement des citoyens européens d’un pays à l’autre. Et ils se réveillent alors que le totalitarisme se met en place et veut passer les élus au rouleau compresseur. L’élite exemptée se réduira aux grands chefs.

Pourquoi ces différences de traitement entre les « gueux » et la « supposée » élite ? Jadis les chefs entraînaient leurs troupes par l’exemple.

Écoutez cette vidéo de parlementaires européens et diffusez-là largement aux élus, mais aussi à tous les citoyens. Difficile de les traiter de complotistes ! N’hésitez pas à l’adresser à nos journalistes obéissants, qui devraient être déchirés entre l’obéissance au gouvernement et à l’UE auquel ce dernier se réfère en permanence. Cruel dilemme pour les JT.



Appartenir au groupe, même si c’est celui des moutons, c’est plus confortable

On est étonné du nombre de personnes intelligentes et calmes ayant cédé à la pression des médias et s’étant fait injectés malgré tout… Facilité du quotidien, doublée d’une cécité volontaire qui entraîne la certitude du gouvernement de pouvoir passer à la phase de l’injection des petits… De plus en plus petits, et bientôt le douzième vax (qui n’en est pas un au sens pasteurien) en plus des onze obligatoires chez les nourrissons. Obligation déjà scandaleuse qui devait être rediscutée et supprimée d’autant qu’injecter par exemple le vaccin anti-hépatite B à un bébé n’a pas de sens, les risques ne venant pas avant l’âge de 15 ans alors que l’efficacité est déjà estompée. Mais Big Pharma veille pour toujours plus de vaccins obligatoires.

Lire l’article de Ariane BILHERAN(([2] Ariane BILHERAN : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire » — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) :

« Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France. »

Comprendre ce qu’est le totalitarisme auquel nous devons résister :

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où “rien d’humain ne m’est étranger”. Le totalitarisme est la proposition inverse. »

L’exemple caricatural du comportement mouton : la RCP en cancérologie

On se souvient des opinions personnelles sur un traitement adéquat fondé sur l’expérience pour un patient, qui brutalement s’inversent pour s’adapter à l’avis du « groupe », imposé par le pouvoir par l’obligation de la RCP : ainsi combien de patients n’ont pu bénéficier de l’intervention pour leur cancer, car la sacro-sainte réunion pluridisciplinaire imposée par le merveilleux et si toxique plan cancer a imposé la chimiothérapie par nouvelles drogues de Big Pharma.

Et la tumeur devint inopérable, mais le centre garde son « accréditation de traiter les cancers » délivrée par les ARS, agences régionales de santé créées par la loi Bachelot(([3] Notre actuelle ministre de la Culture…)) en 2008. Vous avez découvert au cours de la plandémie covid le rôle autoritaire de la bureaucratie médicale. Les médecins le subissaient en silence depuis le début du siècle, ce qui explique — sans les excuser — sans doute leur soumission au refus de traitement des patients livrés au doliprane, l’euthanasie des vieux en EHPAD (pendant qu’on fait croire aux jeunes qu’ils se sacrifient pour sauver les plus âgés) et maintenant l’injection expérimentale sans sourciller jusqu’au jeunes qui ne peuvent en aucun cas en espérer un bénéfice personnel. Les mesures totalitaires sont toujours imposées très progressivement comme les nazis l’ont très bien formulé. Pour que la grenouille ne saute pas hors de la casserole, il faut la cuire à feu doux.

Il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires graves

Devant les mensonges du ministre, y compris devant l’Assemblée nationale, niant les décès recensés par l’agence nationale du médicament ANSM, mensonges adoubés par les silences des médias, tous ceux qui se battent pour la liberté devraient se battre pour une liberté en bonne santé ! Donc informer encore et encore sur les dangers des pseudovaccins relatés par les agences officielles américaines, anglaises et européennes entre autres plus libres (ou moins corrompues ?) que les nôtres 

EFFETS INDÉSIRABLES DES INJECTIONS GÉNIQUES (sources officielles au 10 octobre 2021) — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)

Entre les dangers de myocardites trop fréquentes chez les jeunes, associées à des morts quasi subites, et les troubles cognitifs chez les personnes âgées, qui se perdent dehors sur leurs chemins habituels, perdent la mémoire par intervalles, l’apparition de diabète et l’explosion des cancers, les troubles menstruels des femmes, etc. le panel des effets secondaires est vaste, sans citer les plus tragiques comme la maladie à prion exposée sur Cnews à Pascal Praud qui ne croyait pas aux effets secondaires….

Comment Francois Ruffin pourrait-il nous annoncer qu’il va se faire injecter s’il connaissait vraiment les dangers de ce geste définitif, car aucun antidote connu n’est actuellement démontré efficace pour inverser les effets néfastes et durables de la protéine spike … Certes on peut avoir de la « chance » comme peut-être des connaissances qui ont reçu le placebo ou pas… Et chacun est différent, mais comment prendre ces risques si on en a vraiment la connaissance…

Revivez en vidéo la matinale spéciale consacrée aux effets secondaires indésirables des #vaccins contre le #Covid19 par Clémence Houdiakova sur RadioCourtoisie très explicite. Écoutez, diffusez !

le VAERS est-il complotiste, lui qui dépend des centres officiels gouvernementaux des USA ?(([4] VAERS Summary for COVID-19 Vaccines through 10/1/2021 – VAERS Analysis ))

Le plus parlant est le diagramme relatant les effets secondaires cumulés des vaccins tous types de puis 1990 qui montent cruellement depuis l’adjonction des pseudovaccins covid… Prenez le temps de visiter EudraVigilance site équivalent pour l’UE et vous aurez le même type de graphique… Telle est la réalité niée par notre ministre, car comment expliquer cette flambée de décès et d’accidents graves (le détail dans le PDF ci-après VAERS-Summary-10012021) temporellement significative ?

La liberté en bonne santé !


Les patriotes ne dénoncent pas assez les produits qu’ils veulent nous injecter — Riposte Laïque (ripostelaique.com)

Je partage l’opinion de Victor Hallidée qui fait remarquer fort justement :

« Je déplore juste une faiblesse que je remarque et qui me gêne, chez la plupart des patriotes anti-dictature sanitaire : c’est surtout la privation de liberté qui est pointée, mais les produits suspects que l’on veut absolument nous injecter ne sont que rarement évoqués, mis en cause.

L’AMM provisoire, accordée au prétexte qu’aucun médicament ne soignerait le covid, est fallacieuse vu qu’elle a été obtenue illégalement, en supprimant les médicaments qui soignent, en interdisant aux médecins de les prescrire.

Des injections expérimentales administrées sous contrainte, qui doivent être assumées par ceux-là seuls qui les subissent pour ne pas être privés de travailler, privés de revenus, privés d’étudier…

Alors même que ces produits sont expérimentaux, douteux, mais aussi totalement inefficaces. »

Oui ces « vaccins » non pasteuriens, et expérimentaux ne sont pas efficaces comme les analyses répétées du DR G Delépine sur l’échec majeur des pays les plus vaccinés auraient pu convaincre ceux qui veulent bien regarder la réalité.

Relisez le Bilan sanitaire au 25/9/2021 dans les pays champions de la vaccination anticovid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le silence complice sur la composition des injections

Oui, la composition de ces injections géniques est difficile à obtenir et l’avocat Brusa Carlo s’en est inquiété dans le silence médiatique, mais aussi finalement le silence des réseaux alternatifs. Les résultats obtenus n’ont pas eu la couverture médiatique indispensable.

Comme pour le totalitarisme rampant qu’on ne veut pas affronter de face, veut-on vraiment savoir ce que Maître Brusa nous a fait découvrir et que tant de nos proches, amis, collègues, ont accepté de subir ? Faire l’autruche a-t-il jamais sauvé personne ?(([5] MAITRE BRUSA NOUS ÉNUMÈRE LA REDOUTABLE COMPOSITION DES INJECTIONS NAZITAIRES !!! — Profession Gendarme (profession-gendarme.com) ))(([6] 140921 — Composition des pseudo-vaccins – Dr Robert YOUNG — Réaction19 (reaction19.fr) ))

OUVRIR LES YEUX MÊME SI DOULOUREUX ET ÉVITER L’INJECTION N° 3 à ceux que vous aimez

Alors nous avons le choix, soit nous taire au moins relativement pour ne pas raviver la peur, soit informer largement pour qu’il n’y ait pas de nouvelles victimes et que les vax 1/2 évitent la troisième et surveillent leurs éventuels symptômes pour les faire prendre en charge au plus vite (caillots sanguins, dimères, IRM si troubles du comportement, agressivité, etc..).

Les vax comme les autres devront avoir droit aux traitements symptomatiques au minimum et ne devraient pas être renvoyés chez eux avec des réponses vagues et sans traitement comme c’est trop souvent le cas actuellement. Il en va de l’honneur de la médecine. Les docteurs doivent cesser d’obéir, en cachant les complications, même s’ils encourent des sanctions comme le Dr Philippe de Chazournes qui explique le silence imposé sur les effets secondaires. Merci à ce courageux médecin de la Réunion. Visitez son site.

Mais pour l’instant quel traitement post vax efficace… Les tisanes d’aiguilles de pin, la vitamine D suffiront-elles au désastre ?

Fischer, le M. Vaccin de Macron, veut nous vacciner tous pour notre bien — Riposte Laïque (ripostelaique.com) et les liens d’intérêt de Mr Vax avec le lobby vaccinal ne sont évidemment pas mentionnés par les TV qui diffusent largement ces conseils toxiques…

Réveillons-nous, évitons de nouvelles injections, soignons les patients et demandons aux députés et sénateurs de refuser une prorogation de l’état d’urgence qui n’a aucune raison sanitaire et du passe pseudo sanitaire.(([7] Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) L’éclairante vidéo des députés européens devrait les y encourager.

Et pour ceux qui ne seraient pas convaincu du drame actuel et à venir, pour éviter son amplification, informons, malgré la douleur et l’inquiétude.

Mr Zemmour et ses nombreux partisans, F. Philippot et quelques autres travaillent pour libérer notre France et les Français.

Mais cette France ne doit pas être celles de malades, de veuves ou de veufs, d’endeuillés par le départ d’un jeune cédant à l’injection expérimentale pour un stage, pour un voyage, pour être « comme tout le monde » ou d’un être aimé, ni celle de cancéreux en rémission dont le cancer flambe brutalement après l’injection ?

Oui Messieurs, Mesdames les politiques et singulièrement les candidats, vous ne pouvez faire l’économie d’une guerre contre l’attaque médicale des Français et plus seulement de leur système de santé moribond.(([8] Le collectif d’élus de Haute-Savoie : https://www.lefigaro.fr/vox/societe/nous-elus-locaux-demandons-l-abandon-du-passe-sanitaire-20211019))

Votre silence vous coupera d’une partie de la population.

La France doit survivre et ses habitants, résistants ou non, rester en bonne santé.

On ne compte plus les dégâts du confinement (suicides, dépressions, pauvreté, maladies chroniques non traitées, etc.), des restrictions sanitaires (plan blanc) et maintenant des suspensions des soignants non vaccinés pour des établissements déjà en manque de personnel. Les conséquences directes et indirectes de l’obligation vaccinale imposée sous contrainte avec extorsion de consentement sont une urgence que vous devez traiter vite, très vite autant que le permis à points (bravo au passage).

Nous ne sommes pas alarmistes, mais conscients de l’état de santé réel du pays qui s’aggrave, et menace de se détériorer encore plus avec la vaccination absurde et scandaleuse des enfants.

Est-il besoin de rappeler qu’ils ne font pas de covid grave, ne contaminent jamais les autres ni les adultes ni les autres enfants. Cette vaccination des enfants sans aucune justification médicale est insupportable et aurait dû ouvrir les yeux.  D’autant que les risques de fertilité sont de plus en plus craints par les généticiens du monde entier. Que cherche-t-on ? Les candidats à la présidence ne peuvent se taire sur cette monstrueuse attaque de l’avenir des Français que sont leurs enfants.

Et si vous n’êtes pas convaincu de la gravité de la situation, faites comme ce présentateur télé

« Ce présentateur TV ne croyait pas aux risques des vaccins. Quand soudain…

« Il y a trois milliards d’individus vaccinés, (…) croyez-moi, s’il y avait des effets secondaires gravissimes, ça se saurait ! »

Pascal Praud, présentateur de CNews, était sceptique quand l’un de ses chroniqueurs a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins. Sûr de lui, il a alors appelé tous les vaccinés victimes d’effets secondaires à contacter l’émission pour venir témoigner.

Il s’attendait à recevoir tout au plus une poignée de messages. Mais…

CNews a été submergé d’appels… à tel point que Pascal Praud a revu sa position.

Il a même invité un homme à partager son témoignage à la TV.

La femme de cet homme est dans un état critique après s’être fait vacciner. Elle a développé une maladie à prions, une pathologie incurable extrêmement rare en temps normal, qui provoque une dégénérescence rapide du système nerveux.

Pascal Praud a d’ailleurs estimé que ce témoignage tragique était « représentatif » des nombreux messages qu’il a reçus.

Qu’une chaîne TV de l’importance CNews évoque ouvertement les risques liés à la vaccination est une première en France à ma connaissance.

Les médias vont-ils enfin commencer à se réveiller ? »(([9] nicolas-wirth@mail1.puresante.info))

Chaîne TV américaine prise à son propre « piège » : la chaîne WXYZ-TV Channel 7, filiale d’ABC a lancé un appel sur Facebook pour trouver des histoires de personnes non vaccinées décédées du covid : la chaîne a reçu plus de 255 000 commentaires, dont la plupart concernaient des victimes… de la vaccination !

Parmi les témoignages, Becky : sa tante est décédée une semaine après la vaccination. Ils ont fait le lien entre le décès et le vaccin quand ils ont rendu visite à un autre cousin, dont un proche est aussi décédé dans des circonstances similaires après avoir reçu le vaccin. Krista : elle a déclaré qu’elle connaissait au moins trois personnes décédées peu de temps après avoir été vaccinées.

Maximilien : il connaît un homme de 37 ans qui a été vacciné et est décédé d’un anévrisme cérébral huit jours après avoir reçu le vaccin.

Richard : la fille de 12 ans de son collègue a eu besoin de services médicaux d’urgence lorsqu’elle s’est effondrée une heure après avoir reçu sa deuxième injection.

Jessica : sa mère a subi une crise cardiaque quatre jours après avoir été vaccinée et elle a maintenant un caillot de sang dans les poumons. Quand les médias donnent la parole à la population, on se rend alors compte que la situation est beaucoup moins rassurante que ce qu’on nous dit.

En conclusion, chacun doit informer !

Même si vos proches vont bien, tant mieux, mais les victimes sont nombreuses dès ces effets à court terme et il ne faut pas les oublier, comme on passe à côté de SDF sans les voir… une personne sans cancer n’a jamais prouvé que d’autres n’en aient pas… pour les témoins de l’innocuité du vax, moi je vais bien !

Ce massacre doit cesser maintenant. Les politiques doivent y contribuer, comme les députés européens. Sinon, nous ne pourrons jamais leur faire confiance. Est-ce si difficile à comprendre ?

Et comme les médecins et scientifiques chercheurs qui ont osé parler, ils auront peut-être dans l’immédiat des ennuis, le refus des chaînes de les recevoir, des calomnies, des campagnes de diffamation, et seront traités de complotistes, d’antisémites ou d’extrême droite, etc.

Mais le peuple leur sera vite reconnaissant, car malheureusement à neuf mois du début de l’injection génique, les conséquences s’accumulent et deviennent de plus en plus visibles. ALERTEZ !

Quant à nos députés et sénateurs amenés à voter pour ou contre la prolongation de l’état d’urgence, et maintenant contre l’avis de nombreux députés européens, il faut les joindre, leur donner tous ces éléments qui leur ont été cachés par le pouvoir et singulièrement Olivier Véran qui ose nier les morts de l’injection.(([10] Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par N et G Delépine médecins cancérologues — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Comment imaginer de tels mensonges en séance parlementaire et pourtant nous avions été prévenus par les affirmations « les yeux dans les yeux » de Jérôme Cahuzac et bien pire encore de Collins Powell et les armes de destruction massive en Irak qui vient de décéder de Covid malgré ses deux injections, etc.

Alors oui ils mentent. Nous savons. Ils savent !

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, et ils continuent à nous mentir. »

Alexandre Soljénitsyne (L’Archipel du Goulag)





Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/WpTlUCcFop0

[Voir aussi : Le gouvernement mondial de l’ombre]




Mathématiques et Enseignement : entre état des lieux et état d’urgence

Par Karen Brandin

Quel que soit le chemin qui nous aura finalement conduit un jour à nous présenter devant un parterre d’élèves avec l’envie, l’espoir, le devoir, la responsabilité toujours de transmettre de manière motivée et loyale un peu de mathématiques, nous avons tous à un moment emprunté de manière joyeuse souvent, douloureuse parfois, celui escarpé de l’algèbre. On a alors forcément croisé la route de la notion de groupe tout d’abord ; un enfant terrible, un peu insaisissable, à l’origine d’une théorie aussi difficile que riche, et qu’étudiante je trouvais redoutable parce « qu’instable ».

Dans un groupe, on se rassemble bien sûr par « caractères », par « classes d’équivalence », mais tout en gardant son identité et une certaine indépendance aussi. Il peut donc y avoir des tensions, car après tout, il n’y a qu’une loi interne pour régir l’ensemble.

Quand nous avons ensuite abordé la notion d’anneaux, je me souviens avoir été soulagée. On avait rigidifié le cadre ; c’était un peu comme si l’on avait ajouté un angle à une figure et avec lui, la possibilité nouvelle de se réfugier en cas de menace. Avec l’anneau, qu’il soit factoriel, principal ou noethérien, on devinait les prémisses d’une structure « idéale. »

Sont ensuite venus, dans cette maladroite esquisse d’une hiérarchie algébrique aussi partielle qu’imparfaite, les corps. De nombres ou de fonctions, on pouvait les étendre, les décomposer, mais dans tous les cas, on avait à faire à une structure stable, fiable, sur laquelle on pouvait s’appuyer ; une structure garante d’une certaine homogénéité.

Si j’évoque en préambule ces notions si peu présentes au lycée ou alors seulement en filigrane, c’est parce que l’on parle bel et bien du « Corps enseignant », du « Corps professoral » et que cela suggère peut-être qu’il est plus que temps de renouer avec la volonté, le courage, mais aussi une forme de solidarité intra et interdisciplinaire. Car en plus de masquer durablement les visages, les sourires et les expressions, la crise dite sanitaire, désormais suivie d’une vigilance du même nom, camoufle une entreprise de destruction massive contre laquelle il est urgent de se dresser : celle de l’éducation.

En conséquence, si l’on comprend difficilement ce qui pourrait justifier la prolongation d’un état d’urgence sanitaire, on souscrit en revanche sans réserve à un état d’urgence de l’école comme de l’hôpital, deux zones désormais sinistrées.

On nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre, en guerre contre un ennemi invisible. » Cette guerre des mots, des idées, de la parole libre et éclairée brutalise les Corps forcément, menace de les disloquer.

Voici donc un nouvel appel à une résistance active, un appel à « faire corps » pour « faire sens » puisqu’il est urgent de protéger une discipline qu’à force de regarder agoniser, on va finir pour mettre en bière, mais cette fois sans l’humour et le talent tant regretté du groupe Bourbaki au moment de la publication de leur inoubliable faire-part de décès. Un canular à lire, à relire absolument alors que quelques mois à peine nous séparent de l’édition de « Récoltes et Semailles » d’A. Grothendieck annoncée chez Gallimard pour janvier 2022.

Cette tribune militante, engagée sans doute, n’a pas la prétention d’être exhaustive ; d’autres avant et avec moi se sont inquiétés de la tentation d’une forme de désinstruction, voire de déconstruction des savoirs et des êtres. Il s’agit avant tout d’une invitation aux enseignants, notamment issus de l’éducation nationale, à se mobiliser tout d’abord contre l’aberration d’une épreuve de spécialité prévue au mois de mars qui empêche d’aborder sereinement et de manière équilibrée, motivée aussi, les différentes parties d’un programme aussi hétérogène qu’ambitieux. Cette échéance doit être repoussée au mois de mai au plus tôt. Enseigner n’est pas associable à un processus de gavage, car d’un gavage, on ressort écoeuré, mais certainement pas instruit.

Parce que le temps presse, les profs doivent absolument sortir de leur mutisme et s’emparer à voix haute du débat, l’alimenter de sorte de construire une réflexion étoffée en plus d’un plaidoyer argumenté pour un enseignement de qualité, à la mesure tout simplement de celui que l’on a parfois eu la chance de recevoir et que l’on souhaite légitimement, à notre tour, dispenser. Je compte donc sur l’APMEP (([1] APMEP : Association des Profs de Maths de l’Enseignement Public)) et sur la SMF (([2] SMF : Société Mathématique de France)) dont on connaît l’engagement, pour soutenir cette requête.

Il conviendra aussi dans un second temps de se pencher sur la pertinence desdits programmes, notamment dans le cadre du lycée. Comme d’autres j’imagine, je serais curieuse de comprendre ce qui a pu motiver en terminale, la réintégration d’un chapitre sur les méthodes de dénombrement quand cet outil n’est finalement pas appliqué aux calculs des probabilités (ou si peu, avec la loi binomiale enseignée en classe de première il y a de cela deux ans). Pourquoi et comment a-t-on pu estimer que le chapitre pourtant fondamental des nombres complexes n’avait plus sa place dans le socle de spécialité, mais seulement dans le cadre de l’option facultative des maths dites « expertes ? » Pourquoi avoir réintroduit la notion d’équations différentielles du premier ordre, ce qui laisserait penser à une orientation vers des outils de maths appliquées, pour se séparer dans le même temps des lois continues dont l’étude de la loi normale si présente en médecine et en économie (cette loi associée à la fameuse courbe en cloche, la gaussienne, désormais si familière aux Français, covid oblige) ? Pourquoi lui avoir préféré l’inégalité de Bienaymé-Tchebychev, un outil difficile à appréhender si bien que l’on se retrouve réduit à des applications naïves qui produisent des résultats qui le sont tout autant avec des majorations souvent grossières ? S’il y a dans ces choix une motivation pédagogique, je ne la comprends pas. Que les enseignants des classes préparatoires notamment, ces observateurs en première ligne, n’hésitent pas à nous communiquer leur ressenti ainsi que les universitaires dont les retours sont encore trop timides.

André Revuz, dans les années 80, se posait déjà une question qui allait devenir le titre d’un magnifique ouvrage d’une intelligence et d’une pertinence intemporelle et qui forcent l’admiration, question plus que jamais d’actualité : « Est-il impossible d’enseigner les maths ? »

Avait-il seulement imaginé que cette discipline serait un jour considérée comme secondaire et reléguée sans émotion au rang d’option, les si mal nommées : « spécialités » ? Nous y reviendrons.

On est à un moment charnière, précipité par une réforme tellement aberrante qu’elle en serait presque risible si les conséquences n’étaient pas dramatiques ; un moment où l’on se demande si les maths ont encore un avenir en France ou si l’on finira par simplement les tolérer en les associant aux caprices de quelques originaux parqués au fond d’un couloir. À moins qu’on ne les réduise à des compétences strictement numériques, les maths « utiles » du digital. Depuis quelques mois d’ailleurs, elles sont trop souvent réduites voire assimilées aux entreprises, à bien des titres contestables, de modélisation. Un point de vue pour le moins réducteur.

Bien entendu, chaque début d’année est l’occasion de dresser un cahier de doléances pour ne pas dire de lamentations face aux dommages causés par un été mathématiquement meurtrier. Mais pour travailler avec des élèves de première et de terminale essentiellement depuis plus de quinze ans dans des contextes variés, force est de constater que je n’ai jamais observé avec cette intensité, une telle détresse en matière de compréhension, et ce, que les élèves soient issus de lycées privés réputés prestigieux ou de structures publiques ; c’est à dire qu’ils aient été soumis ou pas l’an dernier à ce régime absurde en plus d’être inégalitaire, de demi-jauge.

On a désormais le sentiment douloureux d’être réduits à dispenser un enseignement d’urgence, quelque chose comme les premiers secours pour parer au plus pressé en évitant l’hémorragie fatale à quelques heures du devoir surveillé, mais rien de réellement abouti qui garantirait la satisfaction d’un travail bien fait, c’est-à-dire, durable. À cette urgence, est associée une forme de maltraitance, au sens littéral de : « traiter mal, » qu’il s’agisse des élèves ou de la discipline avec un corollaire immédiat : le mal-être, la culpabilité de l’enseignant. Donc non, la fuite des profs ne saurait être réduite à des arguments strictement comptables que l’on pourrait imaginer juguler par une simple augmentation de salaire. Le malaise, puisqu’il existe, est bien plus profond et plus dense. Il faudra un jour comprendre que l’on ne peut pas tout chiffrer. Alors bien sûr, on dit : « le temps, c’est de l’argent » ; si la réciproque est vraie, alors les profs ont besoin d’argent parce qu’ils ont besoin de temps et les élèves aussi.

Il faut bien avouer que prof de maths est désormais sur un siège éjectable, car sa discipline a été reconnue, décrétée, « non essentielle » si l’on se réfère à un vocabulaire qui nous est désormais familier. Il n’a plus d’autres choix pour attirer les élèves dans son cours et surtout les convaincre de rester, que de se transformer en une sorte de VRP et de consentir par la même occasion à un certain nombre de concessions quitte à s’arranger un peu avec la réalité pour la rendre plus attractive, plus « vendeuse » (on pense aux notes largement ajustées, au programme libre d’interprétation).

Dans le lycée start-up de Blanquer, le client-élève est roi et il le sait. Concrètement, « maths expertes » ou « matelas-confort », même combat. Vous essayez le produit durant 30 jours et s’il ne vous convient pas, vous avez jusqu’au 30 novembre pour vous désister après acceptation de votre requête auprès du proviseur. Une formalité si j’en crois mon expérience. « Satisfait ou remboursé » en quelque sorte. Certains en rêvaient, Blanquer l’a fait. L’élève est désormais un consommateur en fin de chaîne, encouragé à choisir ses options par opportunisme, c’est-à-dire en en évaluant la rentabilité notamment au regard du redoutable et insondable Parcoursup, le côté décidément obscur de la force. À la manière du gouvernement, le jeune gère un risque, un risque seulement d’une autre nature que pénal. Pour le moment…

Il serait trop long de revenir sur l’imposture du Grand Oral qui a été dénoncée à de nombreuses reprises par des collègues de philosophie notamment ; en réalité, le simple nom un peu trop « ronflant » de ce simulacre d’épreuve suscite naturellement inquiétude et méfiance. Il s’agit du bac option « force de vente » à tous les étages ; on teste durant quelques minutes l’éloquence de l’élève, paraît-il, ou plutôt sa capacité à faire un peu de tout avec beaucoup de rien.

Pendant que ce temps commercial s’écoule lentement, on est face à un illettrisme mathématique grandissant. Les lacunes ont atteint un tel seuil dans une discipline qui se construit par strates, une discipline faite de correspondances que l’on sort de cours presque hagard tant il faut déployer d’énergie pour tenter de donner ne serait-ce qu’un peu de recul aux élèves, espérant ainsi les soulager. On a toujours dans un coin de la tête cette phrase de Nicolas Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ». Reste que l’on ne parvient notamment plus en terminale à convaincre nos jeunes que les questions d’un exercice sont autant de bribes, autant de personnages d’une histoire dont il s’agit simplement de respecter le déroulement, le fil conducteur. Que les questions ne sont ni gratuites ni indépendantes en général. Qu’il faut se saisir du : « en déduire » qui débute une phrase parce qu’il est en soi une partie de la réponse à venir et qu’il est primordial de se saisir de ce tremplin…

Parce qu’ils ne savent plus vraiment lire, plus vraiment écrire non plus et qu’ils n’ont plus de connecteurs logiques à leur disposition, les élèves sont trop souvent incapables de construire un raisonnement indépendant et argumenté. On parvient tout au plus à déclencher chez eux des réflexes, des automatismes régis par les circuits courts de la récompense, à grand renfort d’exercices types qu’ils reproduisent inlassablement sans passion et sans haine, mais surtout, sans jamais aiguiser leur esprit critique. C’est pour nous, enseignants, les prémisses de l’échec.

Mais qu’importe finalement puisqu’à chaque élève, on est juste tenus d’associer un camembert (un diagramme circulaire, retour dans le monde merveilleux de marketing) qui rend compte d’un coup d’œil (code couleur oblige) des acquis et des faiblesses suivant les séquences.

C’est bien là ce que l’on nous présente, avec l’introduction des neurosciences à l’école couplées à la troublante « pédagogie inversée, » comme la Rolls-Royce de l’enseignement : le fameux enseignement personnalisé, celui des capsules et des bilans de compétences. Celui des profils et des pronostics aussi.

Il faut bien comprendre qu’en maths, on est dépendants de la maîtrise de la langue ; c’est une discipline d’expression avec sa ponctuation et sa grammaire. Une langue pour nous tous (ou presque) étrangère bien sûr, mais qu’à force de pratiquer, on a des chances de parler assez correctement. Suffisamment en tout cas, pour se faire comprendre et être compris en retour. Toujours est-il que l’on a besoin du : « mais, ou, et, donc, or, ni, car » si cher au primaire et aux exercices de Bled de mon enfance. Ce sont ces mots « minuscules » qui permettent d’articuler le raisonnement, en lui donnant sa cohérence et sa consistance.

Dans une phrase mathématique, il y a une action, une sorte de verbe (=, ≤, ≥, 6= ) que la plupart des élèves ne repèrent plus si bien que l’on est sans cesse contraints, tentés, de reformuler les questions pour qu’ils parviennent enfin à se les approprier. Si seulement ils cherchaient à comprendre plutôt qu’à reconnaître, plutôt qu’à se souvenir… Si seulement, ils osaient de nouveau prendre leur raisonnement en main.

Les mots qui devraient tant les aider à se repérer, à se raccrocher, les déroutent au contraire. Je prends souvent l’exemple des suites auxiliaires, ces suites au service d’une suite-mère dont l’étude pose quelques problèmes puisqu’elle ne tombe pas sous la coupe des suites simples à savoir, les suites arithmétiques ou géométriques. Comment est-il possible que le parallèle pourtant naturel avec une auxiliaire de vie qui vient vous seconder dans les tâches quotidiennes ne les aide pas à comprendre la philosophie de ce type d’énoncés ?

Autre exemple, la relation de Chasles rapidement évoquée dans les prémisses du chapitre de géométrie dans l’espace avec la notion de vecteurs coplanaires. Là encore, quand on évoque, pour les aider à s’approprier la notion, les mots de : « copropriété, codirection, colocation », ils vous rétorquent qu’ils ne voient pas le rapport ! J’ai des terminales, assez brillants au demeurant, qui m’écrivent tranquillement, pas une fois, mais bien à dix reprises :

Je rappelle que cet outil très intuitif était au programme du brevet des collèges il y a encore une dizaine d’années. Quand vous leur dites : « Donc si tu fais le trajet Antibes-Bordeaux, tu penses que tu pars de Marseille ou bien que tu peux faire, si tu le souhaites, une escale à Marseille ? » Et le gamin de répondre : « vu comme çà c’est évident, mais d’habitude, les maths ne veulent rien dire donc… »

Ce matin encore, pour prouver que trois points de l’espace formaient un plan, j’ai un élève qui envisageait de prouver que ces derniers étaient coplanaires. Pour plaisanter un peu, je lui demande alors : « je voudrais bien que tu me prouves s’il te plaît que les points A et B sont alignés… !

Les maths pour cette génération, ça ne se comprend pas ; ça se retient et encore, pas longtemps. C’est un peu magique finalement ; il faut avoir un don, être fait pour ça comme ils disent. Quand on ne comprend pas, c’est la fatalité en quelque sorte et on n’y peut rien !

Les outils fondamentaux normalement vus au collège ne sont plus jamais acquis ; qu’il s’agisse des fractions, des propriétés des puissances, de celles des racines carrées ou encore de la factorisation, sans parler des identités remarquables devenues une exigence digne de Normale Sup à écouter les élèves. On paie au prix fort l’application aux maths d’une sorte de méthode globale au lieu d’avoir conservé la bonne vieille méthode syllabique basée sur la compréhension.

Ils retiennent que diviser par 0, 1 revient à multiplier par 10, mais ils ne savent pas pourquoi. Ce qui est grave, c’est que de ne pas comprendre ne leur manque pas ou plus. Ils délèguent aussi facilement qu’ils abdiquent et s’en remettent malheureusement complètement à nous. Il faudrait “les repousser” d’une certaine manière pour leur rendre leur autonomie. On rencontre des erreurs réellement grossières qu’ils devraient être en mesure de corriger d’eux-mêmes, simplement via des arguments de bon sens dont ils sont largement capables. Mais pour cela, il faudrait encore qu’ils acceptent de s’immerger dans les énoncés.

Ci-dessous, une galerie d’art non soumise au pass sanitaire ; une sorte de chambre des curiosités extraite de mon, de notre quotidien. “Parce qu’il faut rire de tout avant que d’en pleurer”, que mes élèves soient chaleureusement remerciés pour leur extraordinaire… créativité :

Or la concentration est désormais vécue comme une sorte de vertige, de saut dans l’inconnu ; elle revêt un caractère inquiétant même, car elle semble avoir pour but de les isoler, de les éloigner de leur tribu. Combien de notifications loupées pendant que je planchais sur cet exercice ? On retrouve ici la fameuse balance : “bénéfices/risques.”

C’est ainsi que ce temps consacré à la réflexion, ce temps “calme” bien plus que “mort”, est associé à du temps perdu. En première, puisque j’évoque les fractions, j’ai vu en septembre le “calcul” suivant :

Pour cet élève de seize ans, tout à fait standard au demeurant, quand vous avez deux moitiés de pomme, vous avez… une demi-pomme. Et oui. Pas besoin des neurosciences pour comprendre que chez certains élèves, le 2 de x = 2 n’est pas le 2 de “deux pommes”.

Pour ne rien arranger, il y a chez cette génération une addiction aux raccourcis, une dépendance à l’immédiateté que l’on a, sinon crée, du moins entretenue à grand renfort de QCM. Cette manière synthétique et très artificielle d’évaluer les élèves contre laquelle je ne cesse de m’insurger, a pour conséquence qu’il est désormais nécessaire de déployer les grands moyens pour restaurer l’envie d’une rédaction soigneuse, rigoureuse et précise. Le déconditionnement est assez douloureux en plus d’être incertain.

Les explications, estimées fleuves, les étouffent. “TROP DE MOTS”, disent-ils. Ou encore : “Il faut vraiment écrire tout çà ?” en espérant négocier une remise de peine d’une ligne ou deux. Il faut d’ailleurs reconnaître que lorsqu’ils communiquent entre eux ou avec nous par messages, ils en décuplent le nombre comme s’il était désormais nécessaire pour assimiler une information ou bien la transmettre, de la démembrer, de la disséquer.

Ce qui est incohérent, voire paradoxal, c’est que ces mêmes élèves rétifs aux phrases sont souvent terriblement réfractaires au langage algorithmique qui aurait a priori tout pour les séduire. Était-il donc si urgent d’investir (je n’ose pas dire : “contaminer”) le cours de maths par des séances de Python quand la plupart des élèves ne connaissent ni le sens du mot “hypothèse” ni celui du mot “conjecture” à presque 18 ans ? Rien n’est moins sûr.

On constate enfin une résistance à l’effort très dégradée et en même temps une forme de crédulité, de passivité surtout, teintée d’indifférence qui doit nous alerter, car notre but est bien de participer à l’émancipation intellectuelle de ces jeunes. On ne souhaite en faire des matheux à tout prix, mais seulement des citoyens libres, capables si besoin de démonter, de repérer un argumentaire fallacieux. Ils assistent trop souvent au cours en zombie, réduits à l’état de scribes. J’ai en tête un exemple récent d’un élève de terminale dont je consultais le cahier de cours et notamment le chapitre concernant les limites de suites. Au moment de produire les énoncés relatifs aux théorèmes des “Gendarmes” et de comparaison, je me rends compte que le lycéen, parce qu’il y voyait mal au tableau, avait remplacé tous les termes vn par √n !!!! Comment peut-on en arriver à un tel degré d’incompréhension alors qu’il s’agit là encore d’énoncés très intuitifs (jusqu’au nom qui est très imagé et ne fait d’ailleurs pas l’unanimité). Il s’agit aussi de les déconditionner de l’ambiance délétère des derniers mois qui, sans état d’âme, a associé le doute nécessaire, le doute légitime, à une forme de complotisme.

Pour clore ce long, trop long billet, je vais suivre la voie de l’humour, celle de la dérision en même temps que les conseils d’une amie cancérologue qui m’encourage toujours à témoigner, à revenir à des cas concrets. “C’est ce qui intéresse les gens”, me dit-elle.

Faute de témoignages pertinents, je vais entreprendre en revanche de rassurer les jeunes collègues qui n’auraient pas été aussi attentifs que nécessaire lors des précieux cours dispensés à l’INSPE (autrefois, l’IUFM) pour gérer au mieux une classe. Ne vous inquiétez pas ; rien n’est perdu, bien au contraire, car nous disposons grâce à ce gouvernement, cet État-care bien décidé à combler nos moindres désirs et à anticiper chacune de nos inquiétudes, de séances de travaux pratiques hebdomadaires.

J’ai nommé : les séances à l’Assemblée Nationale avec un maître de stage incontesté, que le monde entier nous envie : Olivier Véran. On pourra se reporter aux séances hautement instructives des 19 et 20 octobre 2021. Première règle : jauger (voire juger ; l’œil acéré d’un neurologue aide bien sûr) l’auditoire. Autrement dit, intégrer le douloureux principe de réalité selon lequel cette année encore, vous n’êtes pas face à des lumières. Oh que non… ! Mais que voulez-vous ? Chacun sa croix.

Ne pas hésiter à parcourir l’amphi, fût-il clairsemé, d’un regard oscillant entre résignation, suffisance et accablement avant de se lancer dans l’arène,

fougueusement en entreprenant un monologue aussi inintelligible que possible, ce qui nécessite une élocution assez rapide en plus d’une aptitude à l’apnée que vous seriez bien inspirés de développer. Le but est d’éviter au maximum les questions. Que l’adhésion à vos propos soit par la suite extorquée ou consentie, peu importe. On ne va pas jouer sur les mots/maux.

Malheureusement, il y a dans toutes les classes des élèves terriblement lents comme ce député, peu coutumier d’internet, qui ne parvenait pas à trouver sur le site de l’agence européenne du médicament, la description et le report des effets secondaires incombables au vaccin (vaccin dans un sens à préciser, puisque “non pasteurien”). Mais il faut aussi et surtout compter avec les fortes têtes du type F. Ruffin, la réincarnation du redouté élève Ducobu bien connu des bédéphiles. Toujours au fond de la classe, tripotant son masque et adepte d’un humour douteux, avec des questions plein le cartable et qui n’en finit pas de discuter avec son voisin alors même que le prof s’exprime. Bref, cet élève, c’est votre défi. Vous noterez en conséquence, avant de vous en inspirer bien sûr, l’agilité et l’extrême patience dont on a fait preuve O. Véran face à cet élément perturbateur. On peut même parler de bienveillance, ce mot devenu un concept, si cher à J. M. Blanquer. Toujours très pédagogue, serein même, le ministre de la Santé et des Solidarités (et oui, on ne s’y fait pas…) l’a gentiment rappelé à l’ordre en prenant soin de préciser qu’il ne répéterait pas l’explication en cas de récidive.

Il n’y a pas à dire : “une main de fer dans un gant de velours”… Une main de fer surtout. Car c’est çà la réalité et “si vous ne voulez pas l’entendre, sortez d’ici.”

En attendant, restons groupés. “L’orage aussi peut conduire au port” disait Jean-François Senault alors gardons espoir.

Karen Brandin




Le gouvernement mondial de l’ombre

[Source : Le R D H]

Philippe Argillier explique le gouvernement de l’ombre et le pouvoir dynamique des banques de données.

« N’étant pas un homme politique, mais bien un homme dénué de tout intérêt personnel, je suis prêt à répondre à l’appel des françaises et des français en prenant les commandes de la France en 2022 sous une condition, celle de me positionner avec un mandat révocatoire de 36 mois avec un référendum à l’appui à date échéance afin que les françaises et les français décident s’ils veulent continuer ou pas avec mon gouvernement jusqu’à la fin des cinq années du mandat présidentiel. »

Philippe Argillier
Président du Rassemblement des Droits de l’Homme

https://youtu.be/IyJ2lxhgEL4
https://youtu.be/mSgTVdyfAYI
https://youtu.be/BOiXZ8fkBAw



Choc : un médecin critique de Corona de la première heure, se suicide tragiquement

Par Christine Côte

[Illustration : Bild: Dr. Jens Bengen; Hintergrund: freepic @Dragana_Gordic]

J’ai traduit cet article en français, surtout pour un parent allopathe (et vaXXinator) qui s’est méchamment réjoui l’année dernière du suicide d’un homéopathe de sa région, qui avait été harcelé et traîné dans la boue par les merdias après avoir perdu UN patient échoué chez lui en phase terminale. (En France, que je sache, tous les médecins homéopathes sont obligés de faire les études allopathiques et font donc les études d’homéopathie, EN PLUS.

L’on sait qu’à peine 10% des victimes de la chimio”thérapie” survivent. Selon le Dr. Coldwell, ce ne seraient que 2%. 

Je pense donc que cette nouvelle lui fera grand plaisir également.

Après une répression brutale, un médecin critique s’est donné la mort.

Les enfants se suicident, les médecins honnêtes se suicident, les artistes, les pères de famille, les mères, les petits entrepreneurs, les policiers, les infirmières se suicident, les personnes âgées se laissent mourir… et ils prétendent « se préoccuper pour notre santé » ? 

Merci Dr Bengen pour votre engagement et votre courage, et nous espérons que vous n’êtes pas mort en vain…


https://report24.news/schock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord/

Le Dr Jens Bengen a été l’un des premiers médecins à critiquer le battage médiatique autour de Corona. Il est allé au fond des choses et les a expliquées à un large public via sa chaîne « Sword of Truth ». Le 26 mai, Bengen ne voit plus d’issue pour lui-même, ou peut-être pour l’ensemble de la société. Il choisit le suicide, laissant derrière lui un grand trou sombre. Les Résistants sont choqués, horrifiés et exhortent les responsables à réaliser enfin ce qu’ils font par leurs actions.

Le Dr Bengen est arrivé très tôt à la conclusion qu’il s’agissait d’une fausse pandémie. Les histoires officielles ne collaient pas, les hôpitaux étaient vides. Il a adopté le point de vue bien documenté selon lequel les masques faciaux n’offraient aucune protection contre un virus qui n’était de toute façon pas plus dangereux que la grippe annuelle. Bengen a tenté sans relâche d’éduquer le public et a produit de nombreuses vidéos, notamment sur la chaîne YouTube « Sword of Truth » (L’épé de la vérité). 

Les médias du système avec leur harcèlement incessant, sont indiscutablement complices. De nombreux médias grand public se sont acharnés sur le médecin résistant et ont contribué à son désespoir ultime par leur constante incitation à la haine. On ne peut même pas s’attendre  à ce qu’un seul des journalistes fidèles au système ait honte de ce qu’il ait fait. 

HNA.de : Le médecin de Trendelburg est une star pour les sceptiques de la couronne et les “complotistes”.




Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

[Source : limpertinentmedia.com]

[Photo : © DR]

Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Obsession vaccinale et transhumanisme

[Source : AgoraVox]

Par Opposition Contrôlée

Le 12 août 2021, un article nommé « Opération Dent Bleue » a été publié sur Agoravox. L’auteur y décrit un dispositif expérimental et sa mise en œuvre, visant à valider une hypothèse : les personnes vaccinées émettent-elles un signal Bluetooth ? Ce n’est pas l’expérience ni ses résultats qui m’intéressent ici, mais les commentaires que l’article a suscités.

transhumain

Il va sans dire qu’une telle hypothèse a un degré suffisant d’hétérodoxie pour que « l’honnête homme » la juge absurde et se retranche dans l’indignation, la dérision, et la condescendance, devant ce véritable cas d’école de complotisme. Les commentaires de l’article, nombreux, ont majoritairement été d’aimables conversations ironiques. À vrai dire, on ne compte que trois tentatives de réfutation. Je laisserai de côté la dernière, évoquant une probable confusion des signaux captés avec des anti-vols électroniques, suggestion tout à fait pertinente au demeurant.

Voici les réfutations que je vais commenter, qui ont inspiré le présent article :

commentaire 1

Réfutations immédiatement saluées (sanctifiées ?) par un représentant du bon sens et de la raison :

commentaire 2

Pas sérieux tout ça, hein ? Puisque chacun devrait savoir qu’etc.. Mais le problème ici, ce n’est pas ce que certains croient savoir, mais bien plutôt ce qu’ils ignorent.

Car malheureusement pour nos braves défenseurs de la science et du sérieux, voilà plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil ».(([1] https://www.sciencedaily.com/releases/2011/06/110615103042.htm))

Zhong Lin Wang et ses collègues expliquent que les progrès de l’électronique ont ouvert la voie à la mise au point de minuscules dispositifs fonctionnant sans batterie grâce à d’infimes quantités d’électricité pouvant être récoltées à partir du pouls d’un vaisseau sanguin, d’une brise légère ou des mouvements d’une personne qui marche. « Il est tout à fait possible de faire fonctionner ces dispositifs en récupérant l’énergie de sources présentes dans l’environnement, telles qu’un léger courant d’air, des vibrations, des ondes sonores, l’énergie solaire, chimique et/ou thermique », expliquent les scientifiques.

Le dispositif se compose d’un nanogénérateur qui produit de l’électricité à partir d’une vibration ou d’un déclenchement mécanique, d’un condensateur pour stocké l’énergie et d’un système électronique comprenant un capteur et un émetteur radio similaire à ceux des casques de téléphone mobile Bluetooth. Leur dispositif a transmis des signaux sans fil qui pouvaient être détectés par une radio commerciale ordinaire à des distances de plus de 30 pieds. [10 m]

Les auteurs remercient la DARPA et le ministère américain de l’énergie pour le financement de leurs travaux.

D’ailleurs, ces nanogénérateurs sont déjà anciens, on trouve des publications remontant à 2008(([2] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/nl8027813)) détaillant leur fonctionnement et leur fabrication. Et leur dimension ne dépassait pas quelques µm. Le trou d’une petite aiguille pour injection sous-cutanée(([3] https://en.wikipedia.org/wiki/Birmingham_gauge)) (G 26) est de 0.26 mm, soit 260µm. Il y a très largement la place… Et tout ça, c’était plus d’une décennie en arrière…

Depuis, les publications se sont multipliées, annonçant de nouveaux champs d’application, de meilleurs performances, de nouveaux procédés de fabrication, etc. Une recherche au mot clef « nanogenerator » retourne 400 000 résultats, en grande partie issus de revues scientifiques. Même chose pour les dispositifs de transmission sans-fil.

On peut se poser la question : certes, ces dispositifs sont nanoscopiques, mais peut-on pour autant les injecter directement dans l’organisme, par seringue épidermique ? Là encore, un petit effort de recherche permet de se faire une idée. Parmi les publications les plus récentes, on peut consulter l’étude d’une équipe de l’« University of California, Santa Cruz » (UCSC),(([4] https://ieeexplore.ieee.org/document/9466139)) publiée par le très prestigieux « Institute of Electrical and Electronics Engineers » (IEEE), bien connu des électroniciens. Les chercheurs y décrivent un nouveau procédé d’implémentation d’une interface cerveau-machine (Brain to computer interface, BCI), qui ne nécessite pas de chirurgie.

Ces interfaces sont destinées à lire l’activité neuronale complète du cerveau, c’est-à-dire de déterminer avec une très grande résolution l’emplacement des circulations électriques qui s’y produisent. Vous pourrez consulter, sur le site de la DARPA(([5] https://www.darpa.mil/program/our-research/darpa-and-the-brain-initiative)) (Defense Advanced Research Projects Agency soit « Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), l’étendue des applications de tels systèmes. Il s’agit littéralement de lire les pensées directement dans le cerveau, mais aussi d’y écrire des informationsÉgalement, d’être capable de lire et écrire dans la mémoire de l’individu. Outre des applications « médicales », largement mises en avant par l’agence, tel que simuler la sensibilité d’un membre pour un amputé, ou redonner la mémoire à un amnésique, les applications militaires ou policières sont bien sûr légion : contrôle de drone par la pensée, avec transmission des images directement dans le cerveau de l’opérateur,(([6] https://www.technologyreview.com/2019/10/16/132269/us-military-super-soldiers-control-drones-brain-computer-interfaces/)) suppression des sentiments de peur, suppression de la douleur ressentie, etc, etc.

Nos chercheurs de l’UCSC ont mis au point un procédé à base de nano-dispositifs, de moins de 200 nm (pour comparaison, un virus de la grippe fait entre 80 et 120 nm), capable de circuler dans les vaisseaux sanguins pour aller se fixer dans le cerveau (tout comme les nano-particules de graphène, au passage), par simple injection.

Une limitation fondamentale des interfaces cerveau-machine (ICM) implantables est le câblage nécessaire au transfert d’énergie et à la transmission des signaux. Les technologies de microélectrodes existantes ne peuvent enregistrer que des sections localisées du cerveau et nécessitent l’implantation d’électrodes invasives par le biais de chirurgies crâniennes. Nous présentons ici un système sur une sonde nanoparticulaire, le Neuro-SWARM 3 (Neurophotonic Solution-dispersible Wireless Activity Reporter for Massively Multiplexed Measurements), permettant la détection à distance de signaux bioélectriques in vivo.

Les dispositifs fixés émettront alors un signal lisible de l’extérieur, permettant de reconstituer par calcul l’activité neuronale du sujet. L’originalité de cette méthode est d’employer les propriétés photoélectriques d’une substance, qui lorsqu’elle est excitée électriquement, émet une lumière en proche-infrarouge ( λ 1000-1700 nm) qui est « biologiquement transparente », c’est-à-dire qu’elle traverse les matières biologiques, y compris la boite crânienne. C’est ce signal qui est récupéré depuis une ou plusieurs caméras, littéralement comme une simple photo de l’activité cérébrale. L’interprétation est alors réalisée par un ordinateur, qui explorera les gigantesques progrès de l’analyse d’image pour reconstituer l’activité en trois dimensions. Celle-ci peut être alors comparée à une base de données, et dévoiler ce qui se passe dans la tête du sujet.

activité cérébrale

De nombreuses autres techniques, à base d’excitation électromagnétique, permettent d’atteindre un même résultat. Le lecteur sceptique pourra se demander « où on en est-on vraiment de ces technologies ? ». S’agit-il d’effet d’annonce, de science « anticipatoire » ? La réponse est non. La lecture des pensées et des sentiments est un domaine déjà largement exploré : dans un article de CBSnews(([7] https://www.cbsnews.com/news/functional-magnetic-resonance-imaging-computer-analysis-read-thoughts-60-minutes-2019-11-24/)) de 2019, on peut lire :

Les scientifiques utilisent l’IRM pour révéler la composition physique de nos pensées et de nos sentiments.

Il y a dix ans, 60 Minutes a rencontré une équipe de scientifiques de l’université Carnegie Mellon qui avait commencé à décoder les pensées simples à l’intérieur du cerveau. Aujourd’hui, ils sont passés à l’identification de pensées complexes, de la spiritualité au suicide.

Concernant la capacité à lire ce que voit un sujet directement dans son cerveau, la seule limitation majeure est de constituer une base de données des réponses neuronales aux images, comme nous l’apprend un article de l’université de Berkeley(([8] https://news.berkeley.edu/2011/09/22/brain-movies/)):

Grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et à des modèles de calcul, des chercheurs de l’université de Berkeley ont réussi à décoder et à reconstituer les expériences visuelles dynamiques des gens, en l’occurrence les bandes-annonces de films hollywoodiens.

Pour l’instant, la technologie permet de ne reconstituer que les séquences de films que les gens ont déjà regardées. Toutefois, selon les chercheurs, cette avancée ouvre la voie à la reproduction des films que nous avons dans la tête et que personne d’autre ne voit, comme les rêves et les souvenirs.

A gauche, l’image vue par le spectateur, à droite, l’image reconstituée par lecture de son cerveau.

J’ai entendu un certain nombre de commentateurs, dans des médias « respectables », évoquer un lien entre la « crise covid » et sa « gestion » pour le moins déconcertante, et le but à terme du transhumanisme. Mais ceux-ci n’ont jamais développé le lien de cause à effet. N’étant pas moi-même intime des cercles dirigeants, et n’ayant pas de boule de cristal, je ne permettrais pas de tirer des conclusions définitives sur ce qui nous attend. Cet article n’a pour vocation que de donner une « piqûre de rappel » sur les avancées des neurosciences, des nano-technologies et des capacités de traitement du signal à destination des profanes.


[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]


Notes :




La presse est morte, vive la presse

[Source : legrandsoir.info]

Par Jacques-Marie BOURGET

En un demi-siècle, le journalisme est passé d’une réalité de liberté, voire « libertaire », à celle de l’obéissance où sa fonction essentielle est de propager la parole des maîtres. Un récent communiqué de la première organisation professionnelle, le Syndicat National des Journalistes, confirme cette réalité française devenue universelle. Le SNJ évoque la « confiscation de la ligne éditoriale par les éditeurs, porte-voix de leurs actionnaires ». Les donneurs d’ordre, comme on le dit en bourse, sont des financiers propriétaires de médias ou des dirigeants d’États, leurs fondés de pouvoir.

Ainsi, pendant vingt ans Rupert Murdoch, milliardaire australien ultra réactionnaire, s’est comporté en propriétaire du « 10 Downing street », le siège du Premier ministre britannique et organisé la rupture du Brexit. Blair, Brown et Cameron ont été les obligés d’un implacable ami : « Rupert ». Aux États-Unis le même monstre de presse a facilité l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche. L’impressionnant documentaire du réalisateur anglais Jamie Roberts, The Rise of the Murdoch Dynasty, suffit à dépeindre le Tchernobyl de presse qu’a provoqué ce tueur de journaux venu des antipodes.

Au XXIe siècle, la fiction Citizen Kane se joue en vrai sur une scène vaste comme la planète. La preuve par l’histoire nous démontre – trop tard – que le propriétaire d’un trust de presse peut diriger le monde. C’est même l’unique raison qu’il a pour posséder, en masse, journaux et télévisions. La masse qui assomme les masses.

Prononcer sur la presse les paroles d’un requiem, vous attire en général une réponse haineuse. Le mépris ou l’injure est comme un antidote pour un monde peu porté à l’autocritique. Sur notre Titanic mourrons donc en musique. Pourtant des milliers de jours étant passés, tout journaliste éveillé finit dans le métier comme un homme souffrant. Veuf d’un monde perdu. Faut-il rendre les journalistes coupables d’avoir enfilé les œillères et les chaînes tendues par le système ? Évidemment non.

Il existe encore des îlots où quelques Shadocks continuent de faire tourner le phare, des poches de résistance. La presse « mainstream » ne mérite plus son nom (les chiffres de lecteurs sont affligeants), mais, portée sur les ondes d’Internet, une nouvelle presse arrive pour chasser celle d’aujourd’hui. Ce mouvement de bascule a été bien compris par les milliardaires de presse. Voyant fondre leur public, ils tentent de le récupérer en amplifiant leurs éditions sur Internet.

« Toile » pourtant honnie dès sa création par les actionnaires et leurs profits : un possible espace de liberté s’ouvrait et il leur échappait. Leur première stratégie fut d’utiliser en masse l’arme de la diffamation. Tous les sites d’information, ou de réflexion, tous les journalistes publiant hors troupeau, sont épinglés, black-listés, marqués du sceau de « pas crédible ». Ces damnés étaient soit des « complotistes » producteurs de « fake news », soit « fascistes, rouges-bruns, gauchistes, islamo-gauchistes » ou pire.

Des brigades, formées de gardiens de la pensée juste, furent sponsorisées. Eux seuls avaient sur Internet le monopole du vrai. Ces manœuvres ont échoué ou sont en train de mourir : si les Gafa ne parviennent à maîtriser tous les contenus circulants sur la Toile, les Murdoch mondialisés, en France les Arnaud, Pinault, Bolloré et Bouygues, peuvent être battus. Pire, des Google et Facebook, sans censeurs, peuvent naître. Bientôt l’Internet en direct par satellite rendra difficile le jeu des ciseaux d’Anastasie.

Le spectacle de l’information télévisée est tout aussi désolant. Pas inquiétant : en France la moyenne d’âge des téléspectateurs assidus est, au premier mars 2021, de 56,1. Cela signifie que l’avenir a déserté le vieux tube pour regarder ailleurs, sur le Net. Ici les puissants ont donc perdu des plumes. Contrairement à un axiome astiqué dans les réservoirs à penser de Washington, la seule fonction d’Internet n’est pas de faciliter le mensonge. Le Net peut être son pire ennemi, l’outil démocratique qui permet de dénoncer.

Dans vingt ans restera-t-il des journalistes de presse écrite ? Par la fausse magie de « l’intelligence artificielle », alimentée par des milliers d’esclaves chargés de gaver la machine, les articles seront alors écrits par des robots. En cinq ans le Washington Post a publié plusieurs milliers de ces papiers désincarnés. En salle de rédaction, le journaliste qui surveille la machine emprunte le rôle du vigile de supermarché.

Les éditoriaux, chacun l’a constaté, exigeant une énorme mémoire vive, échappent encore à cette écriture automatique dont les surréalistes n’ont osé rêver. Un avantage, au regard du style : les robots ne peuvent écrire d’une façon plus médiocre que ce que la production actuelle nous propose. Au musée de la presse, les journalistes « écrits » vont rejoindre les linotypistes des anciennes imprimeries.

Votons donc pour une renaissance sur Internet. Cette presse numérique finira par sortir de son modèle où le travail est peu ou pas rémunéré. Qui exige de ses journalistes et contributeurs la passion de l’amateur. Pourtant, en s’installant sur la Toile, le journalisme ne peut s’exonérer de ses principes fondateurs : enquêter, donc voyager, tenir le terrain ; des impératifs coûteux.

Paradoxe : en exigeant la gratuité des sites auxquels ils sont désormais fidèles, les lecteurs sur Internet, surtout en France, ont tué un peu de leur liberté de savoir en refusant leur écot aux éditeurs pionniers. L’information gratuite ne peut exister.

Jacques Renard qui était plus grand encore que « grand reporter », un immense journaliste français, m’a dit une nuit, assis près du bar au « Village », club de Saint-Germain-des-Prés : « Tu sais, si je ne vais jamais au cinéma c’est que j’ai trop peur qu’il se passe quelque chose pendant ce temps-là ». Voilà. Pompiers d’un monde plus ou moins vaste – toute la planète ou l’accident du coin de rue – nous attendions « qu’il se passe quelque chose ».

L’information se périmait plus vite qu’une tranche de saumon, il fallait du nouveau, des nouvelles. Et les diffuser en premier. Chaque jour les quotidiens publiaient trois ou quatre éditions différentes, et une « spéciale » en cas d’évènement majeur. Les journalistes étaient peu souvent à la rédaction, plutôt sur le terrain, même si celui-ci était un bistro. Chacun savait que l’information venait du dehors, où il fallait être.

Les journalistes étaient alors des « confrères » – ils sont devenus des « collègues » –, comme dans les compagnies d’assurances. Entre nous le « tu » était obligatoire. Un exercice difficile pour qui avait vingt ans et devait tutoyer un rédacteur en chef âgé de soixante-cinq, chenu et sortant de Normale Sup. À l’intérieur d’une rédaction, même salarié, le journaliste conservait un statut d’indépendant, et il n’était pas concevable de le faire plier, les rédacteurs et reporters n’étant pas encore considérés comme des techniciens de presse.

Le métier ne s’enseignait pas dans des écoles, le recrutement se faisait à l’usage, avec jugement sur le tas. On entrait dans une rédaction, on écoutait, pour être vite expédié dans un commissariat comme pêcheur d’informations. Dix-huit mois plus tard, les tenaces devenaient journaliste, les autres filaient à la fac ou dans le commerce. Nous nous retrouvions entre gens étranges, plutôt hors société, pour certains hors de temps. Je me souviens d’un confrère auquel on avait confié un reportage à huit heures du matin, amateur de grasses matinées l’insomniaque ne s’était jamais levé si tôt.

« Le terrain, le terrain » … Celui-ci avait toujours raison et organisait les existences. Partis au Vietnam, au Liban, au Cambodge, en Afrique ou à Bruay-en-Artois, les journalistes pouvaient disparaître plusieurs mois. Partout où il se trouvait, « l’envoyé spécial », celui qui voyait les faits de ses yeux, avait toujours raison. Raison à l’heure du « bouclage » contre les avis des confrères ou rédacteurs en chef restés au bureau. La copie d’un envoyé spécial était intouchable.

Le monde de presse formait une tribu nationale ou internationale, parfois une fraternité acquise lors des coups durs partagés, moments où la vie ne valait pas cher. Ces acteurs de l’information avaient le goût de la littérature. Il fut un temps où quelques membres de cette communauté se nommaient Hemingway, Dos Passos, Steinbeck, Nizan, Camus, Malraux, Kessel, Bernanos, Gatti… Puis la littérature a divorcé d’un journalisme de moins en moins soucieux de la valeur des mots. Les nouveaux maîtres, ceux qui ont concentré la presse, ne lisaient plus des romans, mais des bilans. Le temps de cerveau disponible est devenu une unité de mesure.

Issus d’écoles spécialisées, les CV des jeunes journalistes d’aujourd’hui interpellent. Le métier n’est plus ouvert, mais fermé sur une caste totalement « bourgeoise », comme pourrait l’observer Pierre Bourdieu. Les professions des parents de ces nouveaux confrères oscillent entre industriels, avocats, médecins, architectes. Allez chercher ici un fils d’ouvrier… Mieux, puisque nous sommes entre gens de bonne naissance, le népotisme permet de caser aisément un rejeton dans la presse.

Jetez un œil sur l’audiovisuel français, et vous trouverez des homonymies qui vous démontrent que bien des étudiants en journalisme ont eu, eux aussi, « de la chance » pour reprendre Jacques Brel. Si j’insiste sur cet aspect sociologique, ce n’est pas pour rejoindre un bataillon de la lutte des classes, mais pour observer que ces « écoles de journalisme », désormais inévitables et coûteuses, ne sont pas des instituts où l’on forme des rebelles. Par deux fois, à Paris au Centre de Formation des Journalistes, j’ai été invité à évoquer le « doute ». M’inquiétant du peu d’appétit des étudiants pour Descartes, le responsable des études m’a répondu : « Tu sais, ici nous n’enseignons que des certitudes ».

En 1999 au Kosovo, placé du mauvais côté des bombes de l’OTAN, c’est-à-dire en dessous, j’ai eu à Pristina la surprise de tomber un soir, sous la lueur d’une lampe tempête, sur Régis Debray. Il avait eu le courage de venir ici. Afin de vérifier si les affirmations de presse étaient des vérités : un stade transformé en « camp de prisonniers », les Serbes « jouant au foot avec des têtes humaines », « 700 000 morts » annoncés. Tout était faux. Pour avoir écrit cela à son retour dans le Monde Diplomatique, Debray fut proscrit par l’escadron du bien. Edwy Plenel, gardien du sanctuaire, a même titré : « Adieu Régis ».

Pour avoir vérifié une information qui venait contredire la doxa, le médiologue était mis au cachot. Quittait le monde de la connaissance pour celui du complotisme moisi. Interrogé par Debray, dans sa Revue de Médiologie, je me souviens du titre donné à notre entretien : « La mort du regard ». Lui et moi en avions la preuve : envoyer un journaliste couvrir un évènement était prendre le risque de faire écrouler ce mensonge.

En 2021, quand il monte dans un avion, un envoyé spécial sait que, le temps d’un aller et retour, il ne voyage qu’afin de confirmer le contenu des éditoriaux de son patron. À quoi bon savoir ? Un ami cher vient de me souffler l’analyse ultime, celle qui résume notre moment de presse : « la vérité n’est plus qu’une opinion parmi d’autres ».

La nostalgie qui gagne, en décrivant cette vieille presse, ne doit pas masquer ses monstruosités. Le mensonge n’est pas un outil récent et les rédactions de jadis n’étaient pas le congrès des anges. Châteaubriant nous a prévenus très tôt : « Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire ». En 1914 L’Intransigeant nous rapportait que les balles « boches » ne tuaient pas. En 1927 La Presse affirme que Nungesser et Coli avaient « traversé l’Atlantique », alors qu’ils gisaient au fond de l’océan (rendus furieux les lecteurs auront très rapidement la peau du quotidien trompeur).

Propagande et bidonnages ne sont pas nés avec les start-ups. Mais scientifiquement mise au point dans des fabriques du mensonge, matière incubée dans des « think tanks », ou agences de « com », Pinocchio a pris de jolies formes et du poids. Avec le sérieux qui convient, la presse d’aujourd’hui ne propage plus, pour l’essentiel, que des vérités inventées. Colin Powell secouant son tube d’anthrax au Conseil de l’ONU afin de persuader l’univers que l’Irak possédait des Armes de Destruction Massive, était un créateur. Sa construction fut reprise et fortifiée par tous les médias des pays de l’OTAN, en tête les plus grands journaux des EU.

Idéale la vieille presse ? Non bien sûr. Il suffit, pour décrire le pire, de reprendre, sous forme d’ordures, les publications qui, dès 1933, ont rêvé de l’arrivée de Hitler à la Tour Eiffel. Brasillach a été le plus connu des confrères fusillés à la Libération, mais la purge a épargné (je ne réclame pas la potence, juste l’indignité à vie) trop de patrons et presse et de collaborateurs.

Citons le criminel de guerre Bousquet que l’on retrouvera dans les années cinquante dans l’équipe de direction de La Dépêche du Midi . Pour la mise à mort de la vieille presse vinrent des satrapes comme Robert Hersant, un antisémite ancien responsable d’un groupuscule pronazi. Sous Giscard, soutenu par les banques, il va racheter de grands journaux comme Le Figaro et L’Aurore. Le rideau se tire sur la liberté.

De ces lignes vous pouvez déduire que l’ancien modèle a échoué. Celui des journalistes indépendants vivant sur le terrain ? Mais non, il a été étranglé par la société du spectacle, pour citer Guy Debord. Monde où le préjugé, l’inventé, le faux doit circuler comme un virus. La communication a pris le pouvoir. Des journaux rentables, vendant à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires (ce qui fait rêver aujourd’hui), ont été achetés pour être transformés en tracts, ancêtres du « storytelling ».

Au bout du fusil, la prise du pouvoir. En France l’objectif est double, la démolition du programme du Conseil National de la Résistance – celui qui, outre la création d’une presse qui devait être éthique, a promulgué un nouveau contrat social –, il s’agit aussi, sous la dictée de Washington et autres relais, de promouvoir une Europe épousant la forme d’une colonie des EU. Les « pères » de ce continent, supposé unifié, n’étaient-ils pas un ami de la CIA pour Jean Monnet et un ancien ministre de Pétain, pour Robert Schuman ?

Dans le passé, la devise des journalistes étasuniens était la suivante, « Affliger les puissants et réconforter les faibles ». C’est fini, au broyeur la maxime. Après avoir gobé tous les mensonges des locataires successifs de la Maison-Blanche, et à la fin cette sornette sur la Russie qui aurait truqué l’élection favorable à Trump, la presse des EU ne vit plus ses beaux jours. La pensée occidentale est au garde à vous et Savonarole peut jeter au feu celui qui dérive. Le journalisme n’est plus là pour réconforter, ou affliger, mais pour valider le choix des maîtres ; il a perdu son statut de « quatrième pouvoir ».

En 1968, après que les États-Unis ont subi la désastreuse « Offensive du Têt » au Vietnam, Walter Cronkite, présentateur du grand journal de CBS, se rend sur place. De retour au pays, il lance un édito : « quittons ce bourbier, la guerre n’est pas gagnable ». En regardant l’écran de son téléviseur le président Johnson aurait déclaré « Si j’ai perdu Cronkite, j’ai perdu l’Amérique ».

Un an plus tard, l’immense Seymour Hersh, l’icône de notre métier, révèle qu’à My Lai, au Vietnam, l’armée des EU a commis un crime de guerre en tuant plus de 400 civils. Hersh devient un héros récompensé du Prix Pulitzer. En ce printemps 2021, Hersh toujours actif après avoir multiplié les révélations depuis cinquante ans, ne trouve plus un seul journal acceptant de publier ses enquêtes.

Impossible d’écrire une ligne à propos de l’Ukraine, de la Syrie, de la Palestine par exemple, qui vienne écornifler le joli chromo accroché dans les rédactions : celui de la vérité révélée. Au travail d’un Hersh, les journaux du monde préfèrent le mensonge. Comme celui de Timisoara, une ville de Roumanie où en 1989, pour mieux abattre le tyran Ceausescu, la presse mondiale a soutenu la réalité d’un faux charnier. C’est de ce poison que la presse du monde nouveau peut mourir.

Jacques-Marie Bourget

Depuis le site ELUCID»»https://elucid.media/democratie/bourget-presse-journalisme-histoire-catastrophe/
URL de cet article 37472
https://www.legrandsoir.info/la-presse-est-morte-vive-la-presse.html




Le système économique occidental touche à sa fin

[Source : voltairenet.org]

[Illustration : © Chappatte dans Le Temps (Suisse)]

Produire ne permet plus de vivre en Occident, tandis que la Chine est devenue « l’atelier du monde ». Seuls les détenteurs de capitaux font de l’argent, et beaucoup d’argent. Le système est sur le point de s’effondrer. Les grands capitalistes peuvent-ils encore sauver ensemble leur fortune ?

Par Thierry Meyssan

La famine se répandit en Occident
à la suite de la crise de 1929.
Toutes les institutions furent menacées.
Elles ne survécurent qu’à la faveur
de la Seconde Guerre mondiale.

Déjà, au XVIIIème siècle, les économistes britanniques du capitalisme naissant s’interrogeaient autour de David Ricardo sur la pérennité de ce système. Ce qui rapportait énormément au début, finirait par devenir commun et par ne plus enrichir son homme. La consommation ne pourrait pas éternellement justifier la production de masse. Plus tard les socialistes, autour de Karl Marx,(([1] Critique de l’économie politique, Karl Marx (1867).)) prédisaient l’inéluctable fin du système capitaliste.

Ce système aurait du mourir en 1929, mais à la surprise générale, il a survécu. Nous nous approchons d’un moment analogue : la production ne rapporte plus, seule la finance fait maintenant de l’argent. Partout en Occident, nous voyons le niveau de vie de la masse des gens baisser, tandis que le patrimoine de quelques rares individus atteint des sommets. Le système menace à nouveau de s’effondrer pour ne plus se relever. Les super-capitalistes peuvent-ils encore sauver leurs avoirs ou assistera-t-on à une redistribution aléatoire des richesses à la suite d’un affrontement généralisé ?

Ce n’est qu’après avoir expulsé Léon Trotsky
et son rêve de révolution mondiale
que Joseph Staline put construire l’URSS
sans avoir à affronter les armées blanches.

LA CRISE DE 1929 ET LA SURVIE DU CAPITALISME

Lorsque survint la crise de 1929 aux États-Unis, la totalité des élites occidentales fut persuadée que la poule aux œufs d’or était morte ; qu’il fallait immédiatement trouver un nouveau système, faute de quoi, l’humanité périrait par la faim. Il est particulièrement instructif de lire la presse US et européenne de l’époque pour saisir l’angoisse qui étreignait l’Occident. D’immenses fortunes avaient disparues en un jour. Des millions d’ouvriers se retrouvaient au chômage et connaissaient non seulement la misère, mais souvent la famine. Les peuples se révoltaient. Les polices tiraient à balles réelles sur les foules en colère. Personne n’envisageait que le capitalisme puisse s’amender et renaitre. Deux nouveaux modèles furent proposés : le stalinisme et le fascisme.

Contrairement à l’image que nous en avons un siècle plus tard, à ce moment là tout le monde avait conscience des tares de ces idéologies, mais le problème le plus important, vital, était de savoir qui parviendrait au mieux à nourrir sa population. Il n’y avait plus ni droite, ni gauche, juste un sauve-qui-peut général. Benito Mussolini, qui avait été le directeur du principal journal socialiste italien avant la Première guerre mondiale, puis un agent du MI5 britannique pendant la guerre, devint le leader du fascisme, alors vécu comme l’idéologie qui allait donner du pain aux ouvriers. Joseph Staline, qui avait été bolchevik durant la révolution russe, liquida presque tous les délégués de son parti et les renouvela pour construire l’URSS, alors vécue comme une concrétisation de la modernité.

Aucun des deux leaders ne put faire aboutir son modèle : en définitive, les économistes doivent toujours céder leur place aux militaires. Les armes ont toujours le dernier mot. Ce fut donc la Seconde Guerre mondiale, la victoire de l’URSS et des Anglo-Saxons d’un côté, la chute du fascisme de l’autre. Il se trouve que seuls les États-Unis ne furent pas dévastés par la guerre et que le président Franklin Roosevelt, en organisant le secteur bancaire, donna une seconde chance au capitalisme. Les États-Unis reconstruisirent l’Europe sans écraser la classe ouvrière de peur de la voir se tourner vers l’URSS.

Klaus Kleinfeld est le directeur du projet Neom.
Il siège aux conseils d’administration
du Groupe de Bilderberg (Otan)
et du Forum de Davos (NED/CIA).

LA CRISE APRÈS LA DISPARITION DE L’URSS

Cependant lorsque l’URSS disparut, fin 1991, le capitalisme, privé de rival, retrouva ses vieux démons. En quelques années, les mêmes causes provoquant les mêmes effets, la production commença à décroitre aux États-Unis et les emplois furent délocalisés en Chine. La classe moyenne commença sa lente déchéance. Les détenteurs US de capitaux se sentirent menacés. Ils tentèrent successivement plusieurs approches pour sauver leur pays et maintenir le système.

 La première fut de transformer l’économie des États-Unis en exportatrice d’armes et d’utiliser les Forces armées US pour contrôler les matières premières et les sources d’énergie de la partie non-globalisée de la planète utilisées par le reste du monde. C’est ce projet, l’adaptation au « capitalisme financier » (si cet oxymore a un sens), la doctrine Rumsfeld/Cebrowski,(([2] « La doctrine Rumsfeld/Cebrowski », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2021.)) qui conduisit l’État profond US à organiser les attentats du 11-Septembre et la guerre sans fin au Moyen-Orient élargi. Cet épisode donna vingt ans de répit au capitalisme, mais les conséquences intérieures furent désastreuses pour les classes moyennes.

 La seconde tentative fut le frein aux échanges internationaux et le retour à la production US de Donald Trump. Mais il avait déclaré la guerre aux hommes du 11-Septembre et personne ne le laissa tenter de sauver les États-Unis.

 Une troisième évolution a été envisagée. Il se serait agi de laisser tomber les populations occidentales et de déplacer les quelques multi-milliardaire dans un État robotisé d’où ils auraient pu sans crainte diriger leurs investissements. C’est le projet Neom que le prince Mohamed ben Salmane a commencé à construire dans le désert saoudien avec la bénédiction de l’Otan. Après une période d’intense activité, les travaux sont aujourd’hui au point mort.

 L’ancienne équipe de Donald Rumsfeld (dont les docteurs Richard Hatchett(([3] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) et Anthony Fauci(([4] « Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci », Réseau Voltaire, 7 octobre 2021.))) a décidé de lancer une quatrième option à l’occasion de la pandémie de Covid-19. Il s’agit de poursuivre et de généraliser dans les États développés ce qui a été initié en 2001. Le confinement massif des populations saines à poussé les États à s’endetter. Le recours au télétravail a préparé la délocalisation de dizaines de millions d’emplois. Le passe sanitaire a légalisé une société de surveillance de masse.

Klaus Schwab organise le Forum de Davos
comme Louis XIV sa cour de Versailles :
il y surveille tous les multi-milliardaires
pour le compte de la NED/CIA.

KLAUS SCHWAB ET LA GRANDE RÉINITIALISATION (GREAT RESET)

C’est dans ce contexte que le président du Forum de Davos, Klaus Schwab, a publié Covid-19 : The Great Reset. Il ne s’agit aucunement d’un programme, mais d’une analyse de la situation et d’une anticipation sur les évolutions possibles. Ce livre a été écrit pour les membres du Forum et donne une idée de leur niveau intellectuel lamentable. L’auteur enfile des poncifs en citant pêle-mêle de grands auteurs et les chiffres abracadabrantesques de Neil Ferguson (Imperial College).(([5] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.))

Dans les années 70-80, Klaus Schwab fut l’un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l’Afrique du Sud de l’apartheid ; contribution qui eut lieu en violation de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies. Il n’a donc aucune morale et peur de rien. Par la suite, il créa un cercle de chefs d’entreprise qui devint le Forum économique mondial. Ce changement de nom fut opéré avec l’aide du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA). C’est pourquoi il était enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe d’influence de l’Otan) comme fonctionnaire international, ce qu’il n’a jamais été officiellement.

Dans son livre, Klaus Schwab prépare son auditoire à une société orwellienne. Il envisage tout et n’importe quoi jusqu’au décès par la Covid-19 de 40 % de la population mondiale. Il ne propose rien de concret et ne semble préférer aucune option. On comprend juste que lui et son public ne décideront rien, mais ils sont prêts à tout accepter pour conserver leurs privilèges.

CONCLUSION

Nous sommes à l’évidence au seuil d’un énorme chambardement qui balayera toutes les institutions occidentales. Ce cataclysme pourrait être évité d’une manière simple, en changeant l’équilibre des rémunérations entre le travail et le capital. Cette solution est pourtant improbable car elle impliquerait la fin des super-fortunes.

Si l’on garde ces données à l’esprit, la rivalité Ouest-Est n’est que superficielle. Pas seulement parce que les Asiatiques ne pensent pas en termes de compétition, mais surtout parce qu’ils voient agoniser l’Occident.

C’est pourquoi la Russie et la Chine édifient lentement leur monde, sans espoir d’y intégrer l’Occident qu’elles considèrent comme un prédateur blessé. Elles ne veulent pas l’affronter, mais le rassurer, lui prodiguer des soins palliatifs et l’accompagner sans le forcer lors de son suicide.





Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

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Notes – Références :