Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

[Source : @FREEDOMUFOS via santeglobale.world]

Par Marc Gray

Je vous propose un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

J’aborde la fraude et les exactions de Louis Pasteur en matière d’immunisation, le coup d’état de la santé publique et privée par la dynastie Rockefeller à l’origine de Big Pharma, des protestations contre la vaccination obligatoire d’Alfred Russell jusqu’à l’ingérence actuelle dans la souveraineté des états de la part de l’OMS et du WEF, le détournement et l’inversion des valeurs pour pucer, hybrider, génocider et implanter l’humanité entière.

La fausse science payée par les milliardaires eugénistes du Nouvel Ordre Mondial, avec le traité Pandémie en attente d’application, l’article 4 chargé de censurer toute contestation et critique du totalitarisme, et la maladie X (le Spars 2025) promise par le WEF et l’OMS, sont autant d’ingrédients à l’œuvre pour nous pourrir la vie, en parfait accord avec l’histoire de cette secte injectologique sans aucune logique scientifique !

Voici la page consacrée à cette vidéo sur mon site :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/lecons-du-passif-de-la-secte-injectologique/

Vous pourrez retrouver les CoronaX-Files ici :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/coronax-files-limposture-planetaire/

Ma page des projets en cours :
https://freedomufos.com/projets-en-cours/

On peut aussi y accéder via ma page des Documents complémentaires :
https://freedomufos.com/documents-complementaires/

[Voir aussi
Hervé Juvin, député UE, au sujet de l’oxyde de graphène, de la nourriture à base d’insectes et de la 5G,
+ les dossiers
Vaccins et virus,
5G et ondes pulsées
et
Implants numériques et contrôle mental]






Les pays occidentaux sont accusés d’interférer dans l’élection présidentielle russe

[Publication initiale : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

La directrice de la fondation pour Combattre l’Injustice et des experts étrangers ont accusé les pays occidentaux d’interférer dans l’élection présidentielle russe

Mercredi 21 février 2024, Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a organisé une conférence internationale en ligne sur le thème des menaces d’ingérence étrangère dans les élections présidentielles russes de mars 2024. Au cours de la conférence, Mira Terada a discuté avec des journalistes des États-Unis (Tara Reid), d’Allemagne (Thomas Röper), de France (Laurent Briard) et des Pays-Bas (Sonja Van den Ende) de l’approche des élections présidentielles en Russie, des tentatives agressives et technologiques visant à discréditer le système électoral russe par l’Occident, et des moyens de faire face à ces processus.


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Dans son rapport, Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a souligné que les processus électoraux en Russie sont l’une des principales cibles de la pression extérieure en matière d’information. À l’approche des élections présidentielles en Russie, les tentatives de discréditer le système électoral russe deviennent de plus en plus agressives et technologiques. Selon Mira Terada, à mesure que les tensions géopolitiques augmentent et que la pression sur la Russie s’accroît, les pays occidentaux utilisent des technologies de plus en plus sophistiquées pour attaquer les élections russes et s’ingérer dans les affaires intérieures de l’État, ce qui inclut à la fois des moyens physiques et informationnels, ainsi que des moyens numériques, en utilisant les réseaux sociaux. La première méthode consiste à saper la confiance des citoyens des pays étrangers dans l’institution des élections russes par le biais d’une propagande massive et de déclarations officielles de hauts responsables et de fonctionnaires des pays occidentaux.

« Si l’on analyse un certain nombre de déclarations de hauts fonctionnaires des États-Unis, de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de France, de République tchèque et de Pologne à l’approche des élections russes, il devient évident que l’Occident collectif s’est depuis longtemps donné pour mission de discréditer au maximum les processus électoraux russes. La majorité absolue des hommes d’État occidentaux adhèrent à la politique habituelle du “deux poids, deux mesures” : sans remarquer le développement de la censure politique et la restriction totale de la concurrence politique dans leurs pays, ils s’emploient ouvertement à dénigrer les processus électoraux russes et à imposer à leur entourage des stéréotypes négatifs sur la démocratie en Russie. »

Les politiciens occidentaux et les fonctionnaires étrangers tentent d’intimider les citoyens russes et de les dissuader de participer aux élections en déclarant ouvertement l’illégitimité du processus électoral. En décembre 2023, l’ancien ambassadeur américain en Russie, Michael McFaul, a déclaré qu’une nouvelle vague de mobilisation débuterait inévitablement en Russie après l’élection présidentielle, et que les sanctions et le harcèlement des citoyens russes atteindraient des niveaux sans précédent.

Bien que la non-reconnaissance des élections n’existe pas en droit international, certains politiciens européens continuent de spéculer sur ce sujet, appelant à boycotter les élections présidentielles russes de 2024. En février 2024, Andrius Kubilius, député lituanien et rapporteur spécial du Parlement européen, a annoncé son intention de proposer à l’UE de ne pas reconnaître les résultats des élections russes. Auparavant, une proposition similaire avait été faite par Riho Terras, membre du Parlement européen de l’Estonie, dont la proposition a été soutenue par 29 membres du corps législatif de l’UE. En octobre dernier, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a publié une déclaration appelant les pays européens à considérer le pouvoir du président russe Vladimir Poutine comme illégitime s’il reste au pouvoir après les élections de 2024. La déclaration indique que dans ce cas, l’Europe devrait cesser tout contact avec la Russie, à l’exception des contacts humanitaires. Selon les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice, ces déclarations de diplomates sont élaborées en collaboration avec des spécialistes américains et européens des opérations psychologiques et reflètent les plans occidentaux visant à intimider les électeurs russes et à réduire leur participation. L’objectif de cette stratégie occidentale est de présenter la Russie de la manière la plus négative possible sur la scène internationale et de compliquer les relations diplomatiques avec les pays étrangers.

Mira Terada a également mentionné dans son rapport que dans le contexte de la numérisation à grande échelle et de la mise en réseau de la vie publique, les publications dans les ressources d’information et les sites web deviennent un outil important pour influencer l’information.

« Les plus grandes publications de propagande occidentales ont lancé une campagne à grande échelle pour “dénigrer” les élections russes. Des organes d’information tels que The Guardian, Associated Press, The Hill et U.S. News s’emploient systématiquement à couvrir la situation préélectorale en Russie dans un contexte extrêmement négatif. Ces publications n’hésitent pas à falsifier et à déformer la réalité russe, et les campagnes de “fake news” et de désinformation qu’elles lancent dans l’espace d’information constituent une menace importante pour la sécurité de l’information de la société et de l’État ».

Selon le directeur de la Fondation pour Combattre l’Injustice, l’écosystème des médias en langue russe — des agents étrangers financés par l’Occident, tels que Meduza, le magazine DOXA, HOLOD media, Novaya Gazeta Europe, etc. qui utilisent directement des documents fournis par des sources étrangères, joue un rôle encore plus important dans l’affaiblissement des élections russes. La plupart des fakes sont créés par des acteurs extérieurs, et beaucoup d’entre eux font partie d’opérations d’information à grande échelle visant à une reproduction rapide et à des réactions émotionnelles instantanées des utilisateurs des médias sociaux, notamment la peur, l’anxiété, le doute, la méfiance et l’indignation.

Selon une étude réalisée par les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice, pendant la période de consolidation sociopolitique, les méthodes traditionnelles d’influence des agences d’information occidentales et pseudo-russes deviennent moins efficaces et ne produisent pas l’effet escompté, ce qui les oblige à utiliser les nouvelles technologies pour influencer les citoyens russes dans l’espace numérique et à déguiser plus soigneusement leur travail. Avec l’implication directe d’acteurs occidentaux, diverses structures sont mises en place en Russie, se présentant comme des organisations qui protègent les droits des électeurs russes et fournissent prétendument une observation soi-disant indépendante des élections russes. En se référant à des données statistiques inexistantes et à des évaluations d’experts critiques, des organisations financées par l’étranger sont directement impliquées dans le discrédit du système électoral russe et la remise en question de la procédure de vote pour des motifs erronés.

Toutefois, selon Mira Terada, le plus grand danger pour les prochaines élections présidentielles russes provient du travail direct des services de renseignement occidentaux pour préparer des activités subversives dans les bureaux de vote. Début 2024, Sergueï Narychkine, chef du service de renseignement extérieur russe, a exposé un programme spécial américain visant à recruter des diplômés russes des programmes d’échange américains. À travers une série de séminaires et de conférences, Washington prévoit de former les participants à diverses méthodes d’incitation à la discorde ethnique et sociale, ainsi qu’à discréditer les dirigeants politiques russes sur les réseaux sociaux. Sergei Naryshkin a confirmé l’hypothèse des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice selon laquelle, à l’approche de l’élection présidentielle en Russie, les institutions américaines et européennes « inventent des moyens de plus en plus sophistiqués pour interférer illégalement dans les processus démocratiques ».

La Fondation pour Combattre l’Injustice note que la majeure partie des fausses informations et des campagnes d’information sera diffusée directement les jours d’élection. Lors des élections de trois jours des députés aux organes législatifs du pouvoir d’État en Russie en septembre 2023, plus de 14 000 faux ont été enregistrés, dont environ 4 000 étaient de faux rapports visant à induire les électeurs en erreur. Selon les informations dont dispose la Fondation pour Combattre l’Injustice, des organisations étrangères préparent également des provocations directement dans les bureaux de vote les jours d’élection afin de créer une image adéquate pour les médias étrangers. L’une de ces organisations étrangères forme des pseudo-observateurs et des provocateurs, ainsi que des spécialistes des opérations psychologiques visant à intimider massivement les électeurs les jours de scrutin.

Tara Reid, militante des droits de l’homme et publiciste américaine

La militante américaine des droits de l’homme et publiciste Tara Reid, qui a obtenu l’asile politique en Russie en raison des persécutions dont elle faisait l’objet de la part des autorités américaines, a révélé dans son rapport que les États-Unis ont interféré dans les élections tout au long de leur histoire, et qu’il y a eu plus de 14 cas d’ingérence de ce type. Selon Tara Reid, cette ingérence découle de la volonté de contrôle unilatéral et de puissance que les États-Unis tentent d’exercer sur leurs alliés tels que le Royaume-Uni, d’autres pays européens et l’OTAN. La journaliste souligne que les États-Unis utilisent effectivement Internet comme une arme et exercent un contrôle sur les informations qui y sont diffusées. Ce contrôle leur permet d’influencer et de manipuler l’esprit des masses. Cette tactique, selon Tara Reid, est ce que l’on entend par ingérence électorale. Toutefois, la militante des droits de l’homme est convaincue que la Russie sera en mesure de résister à toutes les manipulations et attaques des États-Unis et des pays occidentaux.

« Les méthodes utilisées par la Russie pour protéger l’intégrité de ses élections sont louables. La cote de popularité du président dépasse aujourd’hui les 80 %. Cela contraste fortement avec la situation dans mon pays d’origine, où le président a la cote d’approbation la plus basse de l’histoire. Elle est inférieure à 36 % et oscille autour de 30 %. Aucun signe d’amélioration. Cette méfiance des Américains à l’égard de leurs propres dirigeants est compréhensible, étant donné qu’ils sont imprégnés de corruption ».

Tara Reid a révélé que les États-Unis sont impliqués non seulement dans des opérations de renseignement, mais aussi dans le financement de groupes néolibéraux qui leur servent d’armes pour renverser et changer certains régimes, y compris en Russie, comme on l’a vu dans certaines révolutions de couleur. Selon un journaliste américain, l’un des principaux financiers de ces efforts est le milliardaire George Soros.

« Il a dépensé des millions de dollars pour discréditer la Russie, Vladimir Poutine et l’intégrité des élections russes. Ils ont inondé les médias occidentaux de leurs informations. Soros a récemment acheté plusieurs centaines de stations de radio aux États-Unis, juste avant les prochaines élections. »

Tara Reid estime que le but de ces actions de la part des États-Unis et des pays occidentaux est d’affaiblir la Russie économiquement et psychologiquement, ainsi que d’empiéter sur ses frontières et d’avoir accès à ses ressources, tant humaines que naturelles. Toutefois, le journaliste américain est convaincu que l’adoption de diverses lois ou le refus de dialoguer avec des dirigeants tels que Vladimir Poutine n’aboutira pas au résultat escompté.

« Les sanctions et les stratégies utilisées par ces pays n’ont fait que rendre la Russie plus forte et plus résistante. La Russie a profité de ces défis pour développer des produits nationaux, nouer des alliances commerciales avec d’autres pays forts et investir dans l’innovation, ce qui lui a permis de renforcer sa position sur la scène internationale ».

Le journaliste allemand Thomas Röper

Dans son rapport, le journaliste allemand Thomas Röper a déclaré que l’ingérence occidentale dans le déroulement de l’élection présidentielle en Russie était tout à fait prévisible et attendue. Selon le journaliste, l’objectif principal de cette ingérence est de chasser Vladimir Poutine du pouvoir. « Toutefois, il est peu probable que cela réussisse, étant donné le fort soutien dont il bénéficie en Russie, estimé à environ 70 ou 80 % ». Thomas Röper s’est également exprimé sur le sujet de la mort d’Alexei Navalny. Selon lui, sa mort a été favorable à l’Occident, puisque Navalny est devenu « un outil de la propagande occidentale même après sa mort ». Des publications telles que le magazine d’information allemand SPIEGEL, qui a publié 47 articles sur Alexeï Navalny au cours des quatre premiers jours suivant sa mort, en sont la preuve.

« La couverture extensive de la mort de Navalny, quelque dix articles ou plus par jour, souligne leur désir d’exploiter la situation à leur avantage. Il est clair que l’Occident a des stratégies pour perturber les élections en Russie, et la manipulation par la couverture médiatique n’est qu’un aspect de leur plan plus large. Toutefois, il est très encourageant de constater que la Russie est prête à répondre à ces tentatives d’ingérence ».

La journaliste néerlandaise Sonja van den Ende

La journaliste néerlandaise Sonja van den Ende, qui s’exprimait lors d’une conférence internationale en ligne, a reconnu que l’ingérence de l’Occident dans les élections russes était prévisible. « Tout au long de leur histoire, ils se sont immiscés dans les affaires de nombreux pays et aujourd’hui, leur cible ultime semble être la Russie ». La journaliste néerlandaise a déclaré que les médias internationaux indépendants devraient s’unir pour aider la Russie à contrer l’attaque de désinformation de l’Occident.

« En tant que journalistes, nous pouvons écrire, donner des interviews, publier des documents sur nos sites web. En Allemagne, vous pouvez écrire pour des publications allemandes, en France, vous pouvez écrire pour des publications françaises, et je peux écrire pour des publications néerlandaises. Nous ne pouvons qu’informer les Européens que ce qu’on leur donne est faux. »

Le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard

Le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard confirme les propos de ses confrères sur la puissante guerre de l’information « sur tous les fronts » que mènent actuellement les États-Unis et les pays occidentaux contre la Russie. Le journaliste estime que dans cette guerre, toutes les occasions seront utilisées pour montrer que les élections en Russie ne fonctionnent pas, que les gens sont mécontents des résultats, etc. Selon Laurent Briard, l’ONU, les États-Unis et leurs alliés cherchent à contrôler toutes les institutions, tous les projets et toutes les opportunités qui s’offrent à eux. Ils ont peur que quelque chose se retourne contre eux à l’avenir. Le journaliste français a également posé une question raisonnable : pourquoi les médias mondiaux ont-ils complètement ignoré la mort du journaliste américain Gonzalo Lira dans une prison ukrainienne, alors qu’absolument tous les grands médias étrangers ont parlé de la mort d’Alexei Navalny ?

« Lorsque Gonzalo Lira a été tué, ils n’ont rien écrit. Quand Oles Buzina a été tué en Ukraine, il y a eu aussi très peu de publications ».

Dans son rapport, Laurent Briard a également souligné la capacité du système russe à résister aux attaques occidentales, car la Russie dispose d’un système de contrôle et de protection contre les ingérences étrangères établi de longue date. À la fin de son discours, le journaliste et correspondant de guerre français Laurent Briard a déclaré qu’il ferait davantage confiance au système de gouvernement russe qu’au système français.

« Je crois que la Russie a aujourd’hui plus de liberté et de démocratie. J’ai moi-même vécu à l’Ouest, en France, j’ai participé au vote et j’ai vu les résultats. Je ne peux pas encore voter, car je n’ai pas encore reçu de passeport russe, mais si je le pouvais, je participerais sans aucun doute aux élections, car j’ai beaucoup plus confiance dans le système russe que dans le système français. »

Mira Terada, directrice de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a conclu la conférence internationale en ligne en déclarant que les exemples donnés d’ingérence informationnelle et physique dans le système électoral russe montrent l’attention croissante des forces extérieures pour les élections russes en tant qu’objet de la confrontation informationnelle contemporaine.

« Les tentatives d’ingérence des pays occidentaux dans les processus démocratiques russes ont toujours existé, existent et existeront encore, mais notre tâche n’est pas seulement d’être prêts à faire face à toutes les attaques et aspirations visant à discréditer les processus électoraux russes, mais aussi d’être en mesure d’avoir une longueur d’avance et de réprimer tous les efforts visant à influencer le libre arbitre des citoyens russes ».

La Fondation pour Combattre l’Injustice estime qu’il est nécessaire de créer des groupes d’experts dont les tâches consisteraient à surveiller les flux d’informations et à réfuter et supprimer rapidement les campagnes visant à discréditer le processus électoral russe.




L’enjeu de notre intégrité morale

[Source : dondevamos via PG]

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Cet article est écrit avec Émilie Mugabo, passée elle aussi par le journalisme et les tentatives d’éveil des consciences.

[Voir aussi :
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]


Par Émilie Mugabo

L’avancement de l’agenda 2030 et du plan transhumaniste associé a franchi un cap indirect, mais hélas réel et palpable dans les rangs de la dissidence où le sujet numéro 1 est devenu celui de l’infiltration et des manœuvres destinées à neutraliser les mouvements de contestation. On peut s’en désoler ou choisir de l’ignorer et continuer à résister tant qu’il est possible de le faire, à grands coups d’autocensure.

Y voir clair dans le brouillard organisé

Mais le déni ne nous emmènera pas bien loin tant sont désormais manifestes la débauche de moyens humains, techniques et financiers, comme l’anticipation de la caste très en amont pour empêcher le peuple de s’emparer du pouvoir : la démocratie est plus que jamais un tabou absolu dans nos ploutocraties en fin de course, persuadées qu’elles sont de n’être plus qu’à un pas du contrôle absolu des masses.

Et pourquoi n’y croiraient-elles pas alors que leurs plans fonctionnent depuis si longtemps ? Combien de révolutions confisquées, de pseudo-victoires des peuples ou bien d’un pays contre l’autre, d’un parti contre l’autre ou d’une religion contre une autre ? Toutes ces sucettes amères offertes en récompense à une humanité immature, ravie qu’on la rassure et la protège des méchants. « C’est fini, nous avons gagné »…

Vraiment ? Est-ce vraiment déjà arrivé ?

Avant qu’on nous la refasse encore à l’envers, regardons avec un peu de lucidité les échecs passés et où pourrait bien nous mener à nouveau cette propension à minimiser « le plan dans le plan » et à suivre les leaders au parfum nostalgique d’antan.

Sans remonter bien loin, on se gardera par exemple d’occulter combien des personnages bien connus comme François Mitterrand, Roland Dumas, Nicolas Sarkozy, Bolloré, Charles Pasqua, Lafargue, Martin Bouygues ou encore Attali ont œuvré à la fabrique de l’opposition en France autant qu’en Françafrique tout en travaillant dans le même temps aux intérêts des vendeurs d’armes, de la haute finance et du puissant cartel de la pétrochimie qui lui-même enfanta Big Pharma.

Est-ce que le degré de complicités, de peur, de corruptions, de pressions et d’omerta nécessaire aux pillages, coups d’État arrangés, détournements et abus sociaux fomentés diffère tant que cela de celui qui a été nécessaire pour le plan Covid, contrôle, nanos et 5G qui se déroule aujourd’hui ?

Cette même caste dont l’impunité n’est plus à démontrer puisque les condamnations des uns et des autres comme celles de leurs agents, hommes et femmes de main et de petite vertu n’ont en rien empêché qu’ils continuent à nuire, parader sur les plateaux télé, au Festival de Cannes ou au sommet du CAC40. Et aucun d’eux n’a à s’en faire pour ses fins de mois, sa retraite ou sa jolie maison.

Les liens entre les trois volets de l’affaire Elf et celle des disparues de l’Yonne et des affaires Alègre & Epstein sont à cet égard représentatifs tant ils sont étroits quand on creuse. Mais là n’est pas le sujet du jour, même s’il importe vraiment de garder ces éléments à l’esprit.

Les seuls qui s’étonneront d’ailleurs de ces constats sont ceux qui minimisent encore l’usage systématique et systémique des réseaux satanistes pédophiles et proxénètes qu’ils orchestrent ou supervisent eux-mêmes pour s’assurer de la soumission des uns et des autres. Et bien sûr de leur perversion morale et inclinaison à soutenir des législations toujours plus décadentes et avilissantes.

Sachant qu’appartenir à la franc-maçonnerie et avoir juré d’en respecter les secrets suffit dans bien des cas à s’assurer le soutien ou le silence des complices intermédiaires, qu’ils soient députés, journalistes, médecins ou avocats. Alexandre Lebreton a très bien exposé les punitions diverses auxquelles sont soumis ceux qui trahissent leur fraternité. Inutile de vous dire qu’ils ne font pas long feu, sont expulsés du jeu ou ne coulent pas une retraite tranquille et confortable.

Aussi ne devrait-on plus s’étonner de voir aussi collaborer ceux qui n’ont pas atteint un grade, un poste à responsabilités ou un mandat politique suffisamment élevé pour qu’on les coince par un « dossier » rempli de photos ou vidéos sombrement compromettantes et une justice inféodée.

Il serait donc évidemment aussi niais que dangereux de penser que ces mêmes réseaux occultes et politiques ne sont pas aujourd’hui encore actifs et même plus que jamais impliqués dans la dissidence et le bon déroulement du plan qui atteint justement un point de non-retour historiquement déterminant : le contrôle total des populations par la technologie et l’annihilation d’une part intolérable d’entre nous et du Vivant. C’est en cours. C’est maintenant.

Et beaucoup parmi nous réalisent progressivement le rôle et le poids de la France dans ce plan global et ancien, même s’ils ignorent encore les racines occultes du pourquoi.

On a vu comment le mouvement des agriculteurs a été personnifié, réduit à une figure, à une fédération, pour être renvoyé au silence après deux ou trois annonces déconnectées. Comment les black blocs passent là où les Gilets Jaunes ne passent pas. Comment ces trois dernières décennies, les révoltes ont également été contenues en médicalisant la souffrance sociale des individus via des prescriptions massives et exponentielles de neuroleptiques, d’anxiolytiques et surtout d’antidépresseurs qu’on retrouve opportunément dans l’eau du robinet. « Vous avez été licencié, vous êtes ruiné, votre épouse vous a quitté et vous vous sentez très mal ? Voilà un traitement qui devrait vous aider, mais vous n’arriverez à rien en refusant d’aller regarder votre enfance et les vrais problèmes à la racine de votre mal-être actuel »…

Nous avons vu aussi comment les citoyens en général sont bannis des plateaux et de l’espace médiatique, surtout s’ils sont militants ou s’ils portent des revendications. Et combien de marionnettes et d’idiots utiles dans les mouvements politiques, les médias, les associations qui ont pignon sur rue ?

Pourquoi le seul discours qui a droit de cité en France est-il soit un éloge de la micronie, soit un discours aseptisé, une vague opinion sans intérêt ? Parce que le régime autoritaire choisit ses opposants.

Mais peut-il pour autant se dispenser d’offrir à la part la plus radicale du peuple un mouvement de dissidence voué à nous contenir et servir d’exutoire ? Bien sûr que non et c’est même le point le plus sensible et stratégique à régler pour eux. Toute parodie de démocratie a besoin d’une « vraie » opposition, à l’image des soupapes de sécurité de nos cocottes-minute. Or que constatons-nous ?

Le mouvement de la Résistance apparu grâce à l’opération psychologique du Covid est devenu de facto la nouvelle opposition-exutoire dont avaient justement besoin nos oligarques pour remplacer celle des partis et médias en perte d’audience, alors que jamais les Français n’ont été aussi mécontents et attaqués. Et ce point est crucial pour comprendre ce qui se joue.

Dans le même temps et pour illustrer ce propos, le Front national créé en son temps pour y rediriger et contenir les contestataires, ne remplit quasiment plus cette fonction-là et devient plutôt peu à peu l’alternative qu’on pourrait nous imposer à Macron par la grâce et magie des urnes. Mais comme les partis d’extrême-gauche, il fait désormais partie d’un jeu politique considéré comme pipé et uniformisé, par une partie toujours plus grande de la population.

De même, le désaveu des Français pour les journaux et autres grands médias dominants est avéré et leur impact dans l’opinion n’a donc de cesse de diminuer.

Cela n’a d’ailleurs rien d’anecdotique de rajouter ici le soin plus que suspect qu’apportent de nombreux agents du New Age à promouvoir, bien mis en avant par YouTube, la défiance envers les médias au profit des personnalités de la Résistance elles-mêmes soutenues par les GAFAM qui ne les censurent ponctuellement que pour mieux crédibiliser leur statut de grand dissident, mais les soutiennent activement et massivement.

Le moment du point de bascule

Pas besoin d’être de grands visionnaires pour comprendre que le monde de domination par le fric qu’on connaît depuis plus de 2000 ans et des générations de guildes de marchands du temple touche à sa fin.

Plusieurs facteurs empêchent ce système de continuer : on peut mentionner la raréfaction de certaines ressources minérales, la prise de conscience planétaire du système d’exploitation de l’humain par les capitalistes et tous ses corollaires tels que les guerres, la désespérance et le déchaînement des pulsions, les famines avérées et celles agitées en épée de Damoclès via les menaces de pénurie, les campagnes d’injections expérimentales massives, mais aussi l’éveil des consciences et la hausse des taux vibratoires qui en résulte, l’activité solaire et les chambardements telluriques, climatiques et géomagnétiques, etc.

Sans parler de ces prophéties autoréalisatrices et au fatalisme induit, via la circulation de l’information ou encore le caractère absolument incohérent, déspiritualisé et amoral du monde dans lequel nous vivons. Et de celui dans lequel on voudrait nous propulser en niant jusqu’à l’existence de nos âmes.

La population doit rester suffisamment léthargique, fataliste, divisée et abêtie pour se laisser faire. Tous les leviers requis sont pensés, actionnés, tels l’addiction aux écrans à grand renfort de neurosciences, champs de fréquences pulsées pour nous faire sécréter béatement de la dopamine, et des contenus vidéo, animés et films stratégiques, anticipant la réalité désirée et pervertissant les psychés en plus de permettre un profilage de chacun selon ce qu’il regardera. Et surtout, la morale et les valeurs sont retournées et inversées méthodiquement. Autant de signaux alertant d’une fin de civilisation imminente bien plus que d’une dystopie à la sauce du N.O.M..

Longtemps les artisans de ce plan multiséculaire ont avancé masqués, mais nous relevons tous que l’agenda se précipite et que le choix a été fait de passer à une méthode ouvertement autoritaire.

Nous sommes arrivés à un point de bascule parce que le mouvement est planétaire : de la Bolivie au Sri Lanka, d’Afrique du Sud en Finlande, les gens savent que le monde va de mal en pis et ils savent que cela arrive parce qu’une petite clique tient l’économie mondiale et fait tout ce qu’elle veut. Elle s’incarne dans les injonctions du forum de Davos, de la Commission européenne, de l’OTAN, de l’ONU, de l’UNESCO, de l’OMS et de ces fondations « philanthropiques » qui ressassent leur doxa jusqu’à l’écœurement et par tous les canaux possibles, « éducation » nationale comprise.

Avec pour point commun d’être systématiquement aux mains d’une même caste se cooptant et veillant à la loyauté et fidélité idéologique de tous ceux qui en pilotent et exécutent ces programmes aussi eugénistes que racistes. En effet, ils ne cachent même plus leur propension à considérer inférieure la quasi-totalité des humains, traités avec mépris de « race des homo sapiens » tous juste bons à être implantés, torturés ou téléguidés, comme avant eux les chimpanzés. Cette idéologie s’est appelée nazisme, néo-libéralisme, wokisme, transhumanisme… et nombreux sont désormais ceux qui parlent carrément de satanisme.

Le refus de ce monde, de ce système, est de plus en plus viscéral, notamment en France — ou ce qu’il en reste. Mais il n’est pas encore radical, loin de là.

Comment s’assurer une opposition bien sage

Ceux qui contrôlent le narratif veulent aussi contrôler le contre-narratif. Considérons le public français en deux catégories : les activistes et les non-activistes.

Dans les activistes, il y a ceux qui sont politisés et ceux qui ne le sont pas. Et dans les non-activistes, il y a encore deux groupes :

  • Ceux qui ne s’informent pas du tout ou mal, ne recherchent pas d’information au-delà des grands médias officiels.
  • Ceux qui cherchent des informations complémentaires pour mieux comprendre le système, et qui pourraient éventuellement passer du côté des activistes.

On peut difficilement évaluer les proportions de chaque groupe et encore moins se fier aux baromètres d’opinion bidonnés pour démoraliser les contestataires. Les Français n’étant pas tant des « veaux » que cela, admettons que les non-activistes qui ne s’informent pas ou mal représentent environ la moitié de la population. Heureusement pour nous, il n’y a besoin que de quelques pour cent pour faire basculer la situation, pour peu que l’effort soit assez coordonné et réfléchi sur la durée.

Il est facile d’anesthésier ceux qui considèrent que la propagande est de l’information. Quant aux activistes non politisés, ils peuvent toujours militer pour les baleines ou pour sauver leur usine, cela ne changera rien et n’a aucun impact sur le bon fonctionnement du capitalisme.

La vraie menace [pour les élites] est donc dans deux groupes : les activistes politisés, et les non-activistes qui cherchent à comprendre ce qu’il se passe. Et qui, grâce à l’épisode délirant du Covid, sont de plus en plus nombreux à progressivement passer « dans l’opposition ».

Du moins le croient-ils, car aujourd’hui, c’est bien le problème : il n’y a pas d’opposition. Aucun mouvement fort et redoutable. Uni. Ceux qui pourraient la construire sont isolés et ciblés. De même pour ceux qui voudraient tenter de fédérer les groupes existants. Ces réseaux et cellules communiquent peu entre eux et la défiance règne. Une opposition structurée et véritable n’émergera pas non plus derrière un leader charismatique dont beaucoup se méfieront automatiquement et à raison. Elle doit donc s’agréger autour d’un objectif simple, précis et efficace.

Même si ce n’est pas pour demain, cette agrégation qui se ferait automatiquement en temps normal est précisément ce que doivent éviter nos autocrates qui n’ont les pleins pouvoirs que pour gaver les capitalistes de la caste, en dérouler le plan et réprimer toute contestation non voulue. Mais attention : il leur faut maintenir une opposition-exutoire, dernier reliquat de démocratie qui permet de prétendre que la parole est libre.

La méthode à déployer comprend 2 axes :

  1. Invisibiliser et si possible anéantir les oppositions les plus gênantes et les plus subversives. On va lancer des campagnes de calomnie, empêcher de parler, créer des « doubles » (des individus qu’on met en orbite pour tenir presque le même discours, mais sans attaquer le système ou dont le discours sera facile à discréditer, ou le même projet lancé en parallèle, en version « soft »). On peut aussi associer sans leur accord certains opposants à des actions, des courants ou communautés complices et promouvant des fadaises grossières ou des façons d’agir rédhibitoires pour qu’ils perdent leur crédibilité.
  2. Faire monter une opposition molle. Comme l’a dit Lénine « le meilleur moyen de contrôler l’opposition est de la diriger nous-mêmes ». On rend donc visible un meneur, un groupe en le créant, en le finançant, en lui donnant des tribunes, ou même par des articles de presse à charge, mais pas très corrosifs, dans lesquels on reste sur des considérations superficielles. On n’attaquera pas les financements ni les non-dits, par exemple.

L’opposition molle peut être créée de toutes pièces : on finance et on met en place des groupes et des sites Internet qui seront centrés sur un seul combat, anecdotique, ou qui seront inopérants parce qu’ils sont centrés sur un personnage, alimentés par des informations plus ou moins vérifiées, ou en guerre permanente avec d’autres groupes. Elle peut aussi être entretenue par l’infiltration de groupes déjà existants, ou en retournant leurs leaders d’une façon ou d’une autre.

Le point essentiel est que la visibilité de cette opposition surpasse et écrase celle des dissidents les plus gênants, pour capter tout nouveau Français résolu à modifier sa façon de s’informer et se fiant par conditionnement à ceux qui paraissent le plus suivis dans la Résistance. C’est ici que les algorithmes, trolls et sociétés proposant de doper les vues et abonnements jouent un rôle aussi important que parfaitement déloyal.

L’opposition molle contribue alors à faire écran de fumée pour que l’opinion publique n’accède pas aux informations pertinentes et pour qu’elle ne s’organise pas contre le système. Elle va permettre plusieurs choses :

  • Concentrer l’attention sur des leaders plus ou moins charismatiques qui prétendent avoir les solutions, et ainsi démobiliser les gens qui pourraient se prendre en main et collaborer.
  • Polariser le débat, le faire tourner en rond, l’amener vers des oppositions binaires au lieu d’agir de manière itérative, ce qui éloigne les gens de ces combats, réduits à des guerres intestines stériles, et qui nasse l’opinion publique dans de petits groupes militants, souvent cloisonnés, dans des combats de niche et débats sans propositions qui ne changeront rien sur le fond. Et c’est bien ce que nous vivons.
  • Distiller du faux dans le vrai, comme une sorte de poison qui permettra de jeter le bébé avec l’eau du bain, c’est-à-dire de décrédibiliser tout le sujet, tout le combat.
  • Constituer le réservoir dans lequel la caste pourrait se servir demain pour nous brandir nos nouveaux sauveurs, conseillers et dirigeants, si elle choisit stratégiquement de simuler sa défaite « complète » et laisser penser aux populations qu’enfin elles ont gagné et que « Pfizer et les politiques corrompus, c’est enfin terminé ». Sauf que le changement serait une illusion, un simple report des lois les plus décriées comme l’éducation à la sexualité. Et les technologies de contrôle et d’asservissement mental ne seraient jamais remises en question puisque cette opposition molle n’y voit généralement aucun problème ni même une réalité. La justice rendue serait juste une parodie de Nuremberg 2.0. Et les héros de l’opposition molle promus serviraient seulement de nouvelles façades à un plan continuant à fabriquer tous les prétextes et événements imaginables pour nous emmener malgré tout vers l’agenda prévu.

Et maintenant ?

Où en est-on en France ? Si on observe attentivement ce qu’il se passe dans la « Résistance », on peut sans trop de risques prédire une inflation exponentielle d’oppositions bidons sur des sujets clés comme le sida des vaccinés, les aliens, les réseaux pédocriminels et satanistes, les élections ou la maladie X pour orienter l’opinion publique vers les changements désirés tout en lui donnant l’illusion que la vérité émerge et est enfin prise en compte.

Et pour beaucoup il s’agira bien de vérités nouvelles.

Ces sujets passeront en boucle dans les médias « alternatifs » dont certains sont quasiment des « mainstream » de l’opposition de salon, avec des dissidents mous qui se légitiment et se congratulent les uns les autres comme le fait la caste parisienne médiatique, liée par les mêmes secrets et compromissions à la sauce Epstein.

Vous aurez de plus en plus de mal à trouver, même du côté alternatif, des sources d’informations vraiment utiles, qui vont vraiment au fond des choses et dénoncent les processus en cours.

Au final, il pourrait ne plus rester dans l’espace public que des oppositions « autorisées » pour reprendre l’expression d’Ariane Bilheran. On mettra en scène des combats de personnages, des clivages inutiles, et ceux qui attaquent le système seront mis sous une pression toujours plus forte pour essayer de les isoler ou même de les pousser dans la clandestinité. Il y a déjà des intrusions dans les domiciles, les ordinateurs, les voitures, avec des problèmes mécaniques à répétition, par exemple : il est certain que tout cela va s’aggraver, comme les attaques administratives et clôtures de comptes bancaires.

En parallèle, le traçage des oppositions et des groupes de discussion va augmenter en puissance, ainsi que la diffusion de messages plus personnalisés créés par intelligence artificielle et diffusés en masse et de façon ciblée comme s’en vante l’OTAN, mandatée hors de tout cadre légal pour gérer la désinformation dans l’UE [cf. article]. On doit aussi prendre en compte l’usage des neurosciences, de l’hypnose et des armes psychotroniques qui permettent de manipuler les pensées, l’état et le comportement de groupes ou des individus.

Dans ce brouhaha, il sera de plus en plus difficile d’accéder aux sources réellement pertinentes, celles qui permettent vraiment d’aller au fond des choses. Identifier les faux opposants et sujets biaisés va donc devenir un sport olympique et impliquera de se poser quelques questions :

  • Essayer d’identifier leurs motivations : l’ego, l’argent, la haine, la vengeance et le pouvoir sont de très mauvaises motivations pour mener des combats.
  • Repérer les éléments d’alerte et de vigilance accrue comme l’implication passée dans des scandales politico-financiers, dans de grandes organisations et firmes internationales, dans de grands médias parisiens, la franc-maçonnerie, la « communauté » et la défense de ses intérêts, la filière catho-sataniste, le Q et le New Age de la CIA, les confréries d’université et de pensionnat, les renseignements, ou encore le fait d’avoir exercé à des postes impliquant une cooptation maçonnique et les mesures et entraves préventives qui vont toujours avec.
  • Se demander qui leur donne de l’écho ? Qui les soutient financièrement ? De quoi vivent-ils ? Examiner les heures auxquelles tombent les vues et les commentaires sous les vidéos et à quel rythme pour les diffusions sur YouTube. Comparer avec d’autres plateformes plus alternatives où ils ont également des chaînes.
  • Estimer si leur temps de parole a été utile. Leur discours permet-il de comprendre les processus en cours ? Se souvient-on des propos tenus en fin d’émission ou n’en garde-t-on qu’un sentiment agréable, mais totalement flou ? Leur arrive-t-il de mentir ostensiblement ou valider de fausses nouvelles avérées ? Citent-ils des noms et des faits précis ou veillent-ils à rester très vagues ? Citent-ils leurs sources ? Prennent-ils des risques réels ?

Mais plus que tout et afin de traverser non seulement ces temps, mais les faire changer : à quoi disons-nous non ? Et allons-nous encore et longtemps collectivement valoriser ceux qui ont choisi de dire oui à ce qui a amené la dépravation et tyrannie de nos sociétés ? Oui à l’argent facile, aux intrigues et manipulations politiques, au sexe sur commande, aux drogues, à la luxure, au profit aux dépens d’autrui, aux arrangements entre puissants, à la gloire par cooptation et aux postes et possessions pour briller en société ?

Se rend-on compte qu’aujourd’hui encore, la plupart d’entre nous (y compris résistants) accordent bien plus d’attention et de valeur à des gens qui ont dit « oui » à ce système perverti et joué des rôles importants dans le déroulement du plan qui nous mène où nous en sommes aujourd’hui ? N’y a-t-il pas quelque chose de profondément malade dans cette façon spontanée de se fier d’abord aux propos de ceux qui ont été des « références », « sommités », des « vus à la télé » ou encore « parmi les puissants » ?

En quoi avoir besoin de se rassurer par les titres et le CV est-il foncièrement plus judicieux que penser non seulement par soi-même, mais aussi en explorant d’autres façons d’être et revisitant nos jugements sur ce qu’est une personne de valeur ?

N’est-ce pas également une façon inconsciente de se déculpabiliser pour les oui qu’on a dits soi-même et la façon dont on a vécu du système et participé via nos impôts, nos emplois, notre laisser-faire, nos achats et nos modes de vie ? Répartir sa honte cachée entre gens ayant failli comme nous, voire bien davantage que nous ? Des gens qu’on nous a donnés à envier voire jalouser, érigés en modèles de nos sociétés et de ce qu’est une vie vraiment « réussie » ? Et en persistant à garder les mêmes codes, faire perdurer cette illusion « que nous étions tous des gens bien » et que « les responsables, c’est eux » ?

Les gens qui ont dit oui, ne serait-il pas temps qu’a minima, on s’en défie ? Ne pas les rejeter, car heureusement que chacun de nous peut changer et on vit aussi pour le voir. Et ne pas non plus arrêter ses jugements, car on pourra être surpris par des personnes démontrant plus tardivement qu’elles sont bel et bien fiables et couillues. C’est quand l’étau se resserre le plus que les gens se révèlent le mieux. Face au danger, nous sommes nus.

Mais doit-on pour autant en faire ses guides ou ses alliés alors qu’ils ont déjà failli et souvent jamais démontré qu’ils ont radicalement évolué et compris ce pour quoi ils s’étaient prostitués ? Le démontrer par ce qu’ils dégagent et non par de grandes phrases. Nous sommes déjà si nombreux à ne plus croire aux mots et chercher seulement la lumière et l’authenticité. Voilà un vrai critère de sélection pour qui sait le voir sans être abusé. Il sera même déterminant.

Alors qui et quoi glorifions-nous encore individuellement ? N’avons-nous pas déjà assez échoué collectivement pour choisir cette fois d’autres référentiels, d’autres voies et approches ? Avoir rejeté le système doit-il encore valoir cette étiquette sociale d’êtres « qui ne sont personne », comme ces jeunes partis sur les routes, ceux qui ont rejeté leurs « réseaux », jeté leurs diplômes ou postes « enviables » ou encore ces vieux marginaux, poètes sans le sou, ou amoureux du Vivant ayant renoncé à tout pour embrasser enfin le Tout ?

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Leurs stratagèmes d’opposition molle ne fonctionnent que parce que nous sommes collectivement malades. Et nous sommes encore à guérir si nous courons après les gens les plus en vue et glorifions toujours les mêmes profils, les mêmes trajectoires, les mêmes déviances et addictions au pouvoir et aux miettes que trop furètent encore, truffe au sol, pour les ramasser. Un peu de hauteur et de dignité, bordel !

Et de moralité. Il est des « non » qui doivent enfin devenir la règle. L’évidence. La finalité.

Le meilleur des radars pour savoir à qui se fier et s’allier. Notre moralité et notre intégrité sont devenues la seule voie sur laquelle avancer, évoluer, nous fédérer. Sans mensonges ni compromissions. En se regardant tel qu’on est. En assumant tout ce qu’on a fait et fera. Parce qu’on a vraiment de quoi faire.




L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie aux USA

[Source : Quantum Leap Traduction]

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.
Mike Benz :

« Ce que je décris est un régime militaire. C’est l’inversion de la démocratie. »






France — La Loi Gayssot a fait taire tous les historiens, l’article 4 fera taire tous les scientifiques !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

La récente adoption de l’article 4 a suscité de vives réactions, certains dénonçant une atteinte à la liberté d’expression et une nouvelle étape vers un État totalitaire. Comparé à la loi Gayssot, qui réprime la contestation des crimes contre l’humanité, cet article vise à réprimer la provocation à l’abandon de soins. Il s’inscrit dans une tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles.

[Voir aussi :
De la censure à la criminalisation de la dissidence]

Cette mesure a été adoptée après un débat houleux à l’Assemblée nationale, où certains députés ont exprimé leurs inquiétudes quant à son impact sur la liberté d’expression et sur le dialogue démocratique. Néanmoins, malgré les critiques, l’article a été voté avec une majorité de 182 voix pour et 137 voix contre.

Conformément à cette disposition, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins sera passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Ces sanctions seront aggravées en cas de conséquences directes de la provocation, avec une peine pouvant atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

Les défenseurs de cette mesure, parmi lesquels la secrétaire d’État Sabrina Agresti Roubache, ont souligné la nécessité de lutter contre les dérives sectaires et complotistes, notamment sur internet, qui pourraient mettre en danger la santé publique.

Néanmoins, cette adoption suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. Certains y voient un précédent dangereux qui pourrait restreindre davantage les libertés individuelles dans le futur.

Cela nous rappelle l’opposition rencontrée lors de l’adoption de la loi Gayssot en 1990, qui a été l’objet de vifs débats et d’une opposition notable de la part de la droite parlementaire, alors majoritaire au Sénat. Cette loi, portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité, a été perçue comme une atteinte à la liberté d’expression par certains politiciens de droite.

Au Sénat, plusieurs votes de rejet ont eu lieu les 11, 29 et 30 juin 1990, illustrant l’opposition ferme de certains membres de la classe politique à cette proposition législative. Parmi les personnalités politiques qui se sont opposées à la loi Gayssot, on compte des figures influentes telles que Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Alain Peyrefitte et Simone Veil, ainsi que le député Jacques Toubon. Cette opposition soulignait les préoccupations quant à l’impact de la loi sur la liberté d’expression et son influence sur le récit historique.

Jacques Toubon, exprimant son désaccord, déclarait :

« Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire ».

Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique.

C’est comme si le silence autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives.

Cela nous montre l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société.




De la censure à la criminalisation de la dissidence

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Vue générale de l’Assemblée nationale française à Paris le 17 juillet 2023. (Bertrand Guay/AFP via Getty Images)]

Par Jeffrey A. Tucker

L’histoire avance rapidement.

Une bataille majeure se prépare dans le monde occidental sur le principe fondamental de la liberté d’expression. Nos droits à la liberté d’expression n’ont jamais été aussi fragiles.

En pleine nuit, en France, une nouvelle loi a été adoptée par l’Assemblée nationale, qui considère comme un délit le fait de critiquer les injections d’ARNm. Les critiques l’appellent la loi Pfizer. Elle prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et éventuellement trois ans de prison.

Comme dans tous les pays occidentaux, les critiques à l’encontre de la plateforme mRNA font l’objet d’une vaste censure.

Plutôt que de reculer face au scepticisme de certains quant à l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins, les gouvernements, piégés par les intérêts pharmaceutiques, prennent fait et cause pour les entreprises et les Big Techs en menaçant d’emprisonnement toute personne qui s’exprime ouvertement contre elles.

La censure devient alors une arme redoutable. C’est l’étape logique suivante. Dans un premier temps, vous déployez tous les moyens possibles pour empêcher toute dissidence sur les canaux de distribution de l’information. Quand ça ne marche pas, parce que les gens ont trouvé des moyens alternatifs pour faire passer l’information, vous intensifiez les choses et instituez des contrôles radicaux.

C’est logique. Après tout, la censure permet d’influer sur l’esprit du public afin d’étouffer toute opposition au régime. Lorsque les médias traditionnels s’effondrent et que de nouveaux médias se développent, l’étape suivante consiste à aller criminaliser l’opinion, comme le fait tout gouvernement totalitaire.

La politique aujourd’hui est planétaire. Les élites qui ont pris le contrôle de nos gouvernements se coordonnent au-delà des frontières.

En second lieu, un article important de la rubrique opinion du New York Times, se réjouit qu’une affaire de diffamation ait abouti. Michael Mann, professeur à l’université de Pennsylvanie a poursuivi un rédacteur de l’Institut Competitive Enterprise auquel il reproche d’avoir contesté son modèle de changement climatique, notamment ce que l’on appelle la crosse de hockey.

Ce n’est pas du domaine de tout le monde, mais il semble évident que la science climatique dominante devrait elle aussi faire l’objet d’une critique vigoureuse. Si l’ère Covid nous a appris quelque chose, c’est que le « consensus scientifique » peut être complètement faux.

Le scientifique Michael Mann assiste à la projection à New York du documentaire HBO « Comment lâcher prise sur le monde et toutes les choses que le climat ne peut pas changer » à New York le 21 juin 2016.
(Slaven Vlasic/Getty Images pour HBO)

La diffamation consiste à dire que les propos tenus ont cherché à mentir délibérément dans l’intention de nuire. On pourrait penser que peu de choses peuvent être qualifiées de la sorte, et certainement pas la critique d’un modèle climatique.

Cette accusation a pourtant été retenue par un juge américain. Après une dizaine d’années de procédure, le jury a fini par se prononcer en faveur des plaignants. L’un des défendeurs, Rand Simberg, a été condamné à payer 1000 dollars et l’autre, Mark Steyn… à 1 million de dollars. M. Simberg affirme qu’il fera appel et qu’il s’en tient à chaque mot qu’il a écrit. M. Steyn également.

Pour l’essentiel, ce verdict criminalise l’hyperbole, a déclaré l’avocat de la défense.

L’auteur de l’article d’opinion, quant à lui, estime qu’il s’agit d’une question de justice. « Notre récente victoire en première instance pourrait avoir des implications plus larges », déclare-t-il. « Elle a tracé une ligne dans le sable. Les scientifiques savent désormais qu’ils peuvent répondre aux attaques en intentant un procès pour diffamation ». Il mentionne en particulier les personnes qui ne sont pas d’accord avec le consensus Covid ou qui ont fait de fausses déclarations sur les effets néfastes des éoliennes sur la santé.

Vous imaginez ? Critiquer une éolienne ou une pandémie et se retrouver devant un juge !

Il est terrifiant de penser à ce que cela implique. Et l’auteur de l’article ne laisse rien à l’imagination. Il considère cette affaire comme un moyen de rendre la critique scientifique de n’importe quel domaine de la vie — des vaccins au changement climatique en passant par la transition vers les véhicules électriques — essentiellement illégale. En tout cas, si ce n’est pas le cas, il s’en rapproche en érigeant tellement de mines terrestres que les critiques vont se taire de peur de voir leur vie détruite.

Cette affaire a duré dix ans. Comment est-il possible que des plaideurs fassent durer une affaire aussi longtemps ? Il s’agit d’établir un précédent sérieux. Ce précédent est désormais clairement établi. La définition de la diffamation est tellement malléable que les jurys peuvent décider de tout. La seule perspective d’être traîné devant un juge pendant plus de dix ans suffit à dissuader les gens de s’exprimer.

En substance, tous les détracteurs du « consensus scientifique » en tous domaines ont été mis en garde. Ils sont d’ores et déjà des cibles de choix. C’est le monde vers lequel nous nous dirigeons.

La censure fonctionne lorsque le gouvernement peut contrôler tous les canaux de distribution de l’information. Et quand ce n’est plus le cas ? Les pouvoirs peuvent utiliser des méthodes plus directes.

Nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir disparaître les médias traditionnels. C’est certainement mon cas, mais réfléchissez à la façon dont les censeurs vont réagir. Ils deviennent plus durs et utilisent davantage les tribunaux de justice. C’est l’avenir qui nous attend et il est extrêmement dangereux. Selon cette trajectoire, la liberté d’expression est appelée à disparaître.




Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




France — Le scandale du double vote pour l’amendement de l’article 4 de censure de la médecine

Dérives sectaires : l’assemblée s’oppose à la création d’un délit d’incitation à l’abandon de soins

Alors que l’Assemblée nationale a entamé, mardi 13 février, l’examen du projet de loi visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires », le gouvernement et sa majorité relative ont été mis en minorité sur l’instauration d’un délit visant à punir spécifiquement les dérives à caractère thérapeutique. Cet article, qui constituait le cœur du texte, a été supprimé. 

Mais

Le texte est finalement passé.

Commentaire d’un internaute

Un leurre ? Pour alimenter autocensure ?

Ce texte serait inapplicable en l’état tellement il est alambiqué, tellement il ouvre des portes, tellement il est écrit par des incompétents… C’est donc un chiffon rouge de plus agité pour dissimuler d’autres actualités.

Critique :

« Art. 223 ‑1‑2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende la provocation au moyen de pressions ou de manœuvres réitérées de toute personne atteinte d’une pathologie » : on va galérer sur la définition de la pathologie…

« à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique » : si c’est prophylactique, c’est qu’il n’y a pas de pathologie, le texte n’est pas clair…

« lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées » : on va galérer sur la définition de ce qui est bénéfique et de la balance bénéfice/risque…

« alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales » : on va bien être obligé de passer par une expertise médicale pour savoir quel est l’état des connaissances médicales, les juges ne sont pas au fait de ses connaissances !…

« manifestement susceptible d’entraîner pour elle : manifestement, ça ouvre une marge de manœuvre… Ça ne va pas être simple !

« compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences particulièrement graves pour sa santé physique ou psychique. » : oui, c’est sûr, il va falloir passer par une expertise médicale…

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques » : bon sang, qu’est-ce qu’on va qualifier comme étant des pratiques…

« présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique alors qu’il est manifeste, en l’état des connaissances médicales, que ces pratiques exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. » : encore une fois, il y a la l’obligation de recourir à une expertise médicale… Et ça ne va pas être simple ! En plus, on parle d’exposé à un risque, quelque chose d’un certain, ça ne va vraiment pas être simple !

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. » : ce n’est pas brillant, ils ont oublié de qualifier les effets, négatif ou positif ?

« Lorsque la provocation s’accompagne d’une information claire et complète quant aux conséquences pour la santé et que les conditions dans lesquelles cette provocation a été faite ne remettent pas en cause la volonté libre et éclairée de la personne, les délits définis au présent article ne sont pas constitués. » : quand on prévoit un délit, et ensuite une clause pour dire qu’en cas d’information claire et complète, il n’y a pas de délit, on est manifestement en train de créer un délit pour rien.

« Pour l’application du précédent alinéa, lorsque la personne est placée ou maintenue dans un état de sujétion psychologique ou physique, l’information donnée est présumée ne pas permettre de garantir la volonté libre et éclairée de la personne. » : et quand on crée un délit, puis une clause pour dire qu’il n’y aura pas de délit, puis une clause pour dire qu’il y aura quand même délit… On est vraiment en train de… Vous savez, faire des trucs avec des mouches, enfin bref je me comprends. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément, non ?

« L’information signalée ou divulguée par le lanceur d’alerte dans les conditions prévues à l’article 6 de la loi n° 2016 ‑1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique ne constitue pas une provocation au sens du présent article. » : idem.

« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. » : en gros, démerdez-vous…

#LaJusticeEstUneInconnue




« Tel que nous l’avons conçu. »

[Source : aljazeera.com]

C’est une image qui pourrait appartenir à un film à la fois d’horreur et de science-fiction : Le président des États-Unis, Joe Biden, debout sur un fond trouble, des faisceaux laser rouge vif émanant de ses yeux, sa broche représentant le drapeau des États-Unis brillant de manière proéminente sur sa boutonnière.

Pourtant, ce n’est pas une page de mème ou un compte de troll qui a publié cette image : Elle a été publiée sur la page X de M. Biden au début de la journée de lundi. Sur fond de guerre brutale d’Israël contre Gaza, qui a tué plus de 28 000 personnes et que les États-Unis ont soutenue, l’image a suscité des critiques particulières de la part de certains utilisateurs des médias sociaux à l’encontre de M. Biden.

« Tel que nous l’avons conçu. »

Cela donne lieu à toutes les spéculations, dont celles signalées par Francis Lalanne :

Question : Qui utilisait ces yeux rouges brillants avant ce message de Joe Biden pendant des années ?

Réponse : Les Anons.

Question : Qui vous a dit « Le plaisir commence juste après le Superbowl » ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui vous a dit que la Maison-Blanche était vide ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui vous a dit qu’il y aurait une transition pacifique du pouvoir ?

Réponse : Les militaires.

Question : Qui a signé l’EO 13912, ce qui en a fait un président en temps de guerre ?

Réponse : Donald Trump.

Question : Qui vous a dit que le Superbowl ressemblerait à une exposition de chiots ?

Réponse : Les Q-Drops.

Question : Qui a mis en ligne des photos de chiots juste avant le Superbowl et a dit « J’aime les chiots » ? Réponse : Elon Musk

Question : Qui vous a dit qu’ils étaient derrière le compte d’E. Musk ?

Réponse : Les juges.

Question : Qui a dit qu’ils avaient un accès direct à tous les dirigeants du monde via Ogiame Atuwatse III ?

Réponse : Les juges.

Voyez-vous tous où je veux en venir ? Ne suivez pas comment « The Normies » réagissent à ce post de Joe Biden. Ils n’en ont aucune idée.

On vous a montré à travers des vidéos, des images et de la documentation qui est actuellement aux commandes. Ces yeux rouges signifient « Activation ». De quoi ?

La nouvelle souche du virus.

Les confinements.

Les militaires.

________________

Les préparations sont en phase de maturation.

Cela se voit à travers la réforme monétaire irakienne.

Le renminbi chinois.

Le marché des changes au Nigeria.

Le système du protocole 20.

Les 8 banques interdites en Irak pour les transactions en USD.

Quels sont les suivants.

1. Banque internationale Ahsur pour l’investissement.

2. Banque d’investissement d’Irak.

3. Union Banque d’Irak.

4. Banque islamique internationale du Kurdistan pour l’investissement et le développement.

5. Banque Alhuda

6. Banque islamique d’investissement Al Janoob.

7. Banque islamique d’Arabie

8. Banque commerciale d’Hammourabi.

Pourquoi est-ce important ?

Car le marché parallèle est sur le point d’atteindre le prix officiel. Et seuls les voyageurs pourront acheter des dollars américains au prix unique sans que la valeur du marché noir ne dégrade artificiellement la monnaie IQD. Toutes ces choses sont liées ensemble.

Pourquoi pensez-vous tous que Google vient de mettre en œuvre un nouveau logiciel de censure ?

Ils veulent contrôler la fuite d’informations une fois que l’effondrement aura commencé. Fondamentalement, il s’agit de protéger les banques en faillite (pas les banques de Bâle 3) lorsque les gens seront les plus vulnérables et se demanderont pourquoi ils ne peuvent pas accéder aux fonds.

Pourquoi l’inflation est hors de contrôle sur certains marchés ?

Pourquoi leurs cartes de crédit/débit ne fonctionnent pas ? Fondamentalement, créer une barrière de confinement pour information.

Rappelez-vous ce que j’ai déjà partagé avec vous tous. Toutes les choses concernant l’optique avec Joe Biden se dérouleront sous sa surveillance et il sera blâmé pour l’échec du système fiduciaire.

Ainsi, lorsque vous regardez ce message, l’armée vous dit en gros qu’elle est prête à appuyer sur « le bouton rouge » sur l’ensemble du plan.

Je vous ai dit que vous vous prépariez à traverser le pont vers « La Nouvelle République ». Mais cela s’accompagnera de quelques turbulences.

J’espère que cela suffira, car je dois préparer d’autres choses.

Les Chiefs remportant le Superbowl sont un autre geste symbolique envers le CIC (Commandant en chef) pour Usher in 45 (D. Trump) et le Gold Standard étant donné que Las Vegas est le numéro 4 de la production mondiale. La devise de l’État du Nevada est « Tout pour notre pays ».

Et cela pourrait être un divertissement pour nous écarter de questions cruciales. Une nouvelle PsyOp ?




Les vrais tueurs du climat

[Source : Kla.tv]

La petite Greta reçoit une petite leçon particulière de la part du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek… En effet, les mêmes personnes qui nous imposent des filtres à particules de plus en plus chers pour « sauver notre santé et le climat » et qui privent les agriculteurs de leurs vaches parce qu’elles pètent trop envoient chaque année des dizaines de milliers de millions de tonnes de poussières fines de charbon dans notre air. Sans oublier des milliers de millions de tonnes de particules d’aluminium et toutes sortes d’autres nanococktails hautement toxiques. Parallèlement, les mêmes personnes ont déjà abusé de notre ionosphère en 2010 avec 180 installations militaires HAARP pour déclencher divers tremblements de terre, sécheresses, tempêtes, inondations, etc. Alors que Wikipédia & compagnie s’obstinent à nier ces faits, les brevets de géo-ingénierie admettent ouvertement que les installations HAARP, associées à des millions de tonnes de cocktails de nanoparticules, peuvent même déclencher des tsunamis et endommager n’importe quel climat.

Par Ivo Sasek

J’ai aujourd’hui un avertissement important à adresser à tous les lanceurs d’alerte indépendants en ce qui concerne le changement climatique d’origine humaine.

Il y a peu de temps encore, je ne comprenais pas comment la moitié du monde pouvait s’intéresser aux divagations sur le climat d’une Greta Thunberg, alors qu’il était évident que pour cette enfant cette nouvelle religion du climat ne pouvait pas venir de sa propre tête ou de son esprit. N’importe qui sous ce ciel devrait immédiatement comprendre qu’il s’agit simplement d’une pauvre fille malade qui est abusée et instrumentalisée à ses fins par une élite puissante. Mais ce que j’ai eu encore plus de mal à comprendre jusqu’à présent, c’est que tant d’enfants, d’adolescents et d’adultes, manifestement en bonne santé, se soient laissés instrumentaliser avec cette petite Gretchen abusée. Je pensais qu’au moins ces personnes normales et capables de réfléchir devraient pouvoir comprendre qu’elles sont simplement instrumentalisées par les grands escrocs. En outre, il ne devrait échapper à personne de sensé que ce sont toujours les mêmes abuseurs de pouvoir qui recouvrent constamment notre beau monde de leurs crises financières stratégiquement fomentées, de leurs guerres et de toutes sortes de plandémies et de crises qu’ils ont eux-mêmes créées, nous tyrannisant tous, nous pillant et nous réduisant progressivement à l’esclavage.

Mais ce n’est qu’après avoir tourné avec Kla.TV de nombreux documentaires contre cette nouvelle religion sectaire du climat que la lumière s’est faite. Des documents percutants qui nous ont été transmis m’ont convaincu que nous, de Kla.TV nous nous sommes également laissés instrumentaliser, et ce par les mêmes faiseurs de crises dont nous parlons ici. J’ai soudain compris que ce n’est ni la bêtise ni l’ignorance qui font que les masses se laissent emporter par cette folie climatique. C’est plutôt la ruse diabolique de ceux qui chuchotent des mensonges au sujet du climat et savent exactement comment nous garder tous dans l’ignorance ou nous manœuvrer habilement sur des sujets secondaires où nous pouvons nous frapper mutuellement la tête avec les arguments et contre-arguments les plus vrais.

Je vais maintenant vous expliquer de quelle manière nous aussi, à Kla.TV, nous nous sommes laissés instrumentaliser par ces escrocs du climat — et ce que nous en avons appris. En fait, nous sommes nous aussi tombés dans leur piège. Et comment cela ? Tout simplement en contredisant l’affirmation constante selon laquelle le changement climatique est dû à l’homme, avec des climatologues et des scientifiques de haut niveau. Ceux-ci ont démontré, à l’aide des exemples les plus convaincants, qu’il existe depuis des millénaires un changement climatique naturel, des variations constantes des températures, des vents et des conditions météorologiques, etc. Et cela est et reste correct. Mais plus nous avons pu prouver de manière convaincante que le changement climatique ne peut pas être d’origine humaine, plus nous avons fait le jeu de ces faiseurs de crises climatiques ! Maintenant, tu vas bien sûr demander : Pourquoi donc ? Qu’est-ce qui pourrait être plus utile que de comprendre que nous, les humains, ne pouvons avoir, au mieux, qu’une influence de 0,000 — quelque chose sur le climat ? Cela prouverait clairement que « Gretchen » ne fait que répandre des absurdités… Et vous voyez, c’est précisément ce va-et-vient permanent, cette lutte de pouvoir à ce niveau bien trop bas (pour savoir si le changement climatique est d’origine humaine ou non) qui est le point de vue secondaire absolument voulu sur lequel ces renards malins du climat nous ont manœuvrés. Mais ce qui m’est apparu clairement ces derniers jours, après avoir consulté des brevets de manipulation météorologique de haut niveau, c’est le fait que de nombreux changements actuels de notre temps et de notre « climat » sont tout de même d’origine humaine ! Mais pas par des personnes inconscientes comme toi et moi, c’est-à-dire au niveau le plus bas, mais par des ennemis de l’humanité sans scrupules au niveau le plus haut ! Ni par nos systèmes de chauffage, ni par les gaz d’échappement de nos voitures, ni par nos industries ! Et bien sûr pas par des pets de vache quelconques, auxquels on attribue en plus les trous dans la couche d’ozone. Non, dans d’innombrables brevets qui existent déjà depuis de nombreuses décennies, on peut lire noir sur blanc que par la géo-ingénierie, c’est-à-dire par les techniques de manipulation météorologique les plus diverses, on provoque entre autres des trous dans la couche d’ozone. Mais les brevets de ces armes météorologiques montrent qu’elles provoquent également des tremblements de terre, des inondations, des sécheresses, des tempêtes de neige, des éclairs avec ou sans tonnerre, des vagues de chaleur, du froid, des vents violents et même des tornades. On y trouve même des tsunamis, que personne ne connaissait à l’époque, et tout ce que nous avons dû vivre d’horrible au cours des dernières décennies ! Dans le brevet officiel américain 4686605 qui s’affiche à l’arrière, il est décrit avec précision comment les armes électromagnétiques HAARP extrêmement dangereuses peuvent également générer de la chaleur ou des incendies de forêt ! Vous trouverez en annexe de nombreux autres brevets américains numérotés — je ne peux même pas les lire ici à cause de leur nombre, et encore moins en faire un résumé. En examinant les différents brevets de ce type, j’ai appris que ces brevets coûtent très, très cher et ne sont accordés que si les techniques proposées fonctionnent vraiment. J’ai également constaté que la grande majorité des brevets sur la manipulation du temps sont d’origine militaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, dès les années soixante, de nombreux projets de loi ont été élaborés pour que ces armes météorologiques ne puissent pas être utilisées à des fins guerrières. Rien qu’entre 1947 et 1978, 110 programmes de manipulation météorologique ont déjà été approuvés par le Congrès américain. En 1962, LYNDON B. JOHNSON a estimé « Cela permettra aux hommes de déterminer l’histoire mondiale de la Terre et, en fin de compte, de contrôler le temps. Et celui qui contrôlera le temps contrôlera le monde. »

Mais puis j’ai vu tous ces chiffres, combien de millions de tonnes de particules de suie par exemple sont régulièrement injectées dans notre ciel. Dans les années 1970, l’armée de l’air américaine a créé le terme de chemtrails. Lorsque les premiers lanceurs d’alerte indépendants ont eu vent de ce crime secret, la CIA a immédiatement commencé à discréditer ces personnes en les qualifiant de conspirationnistes. C’est ainsi que tous ceux qui avaient dénoncé ces bandes hautement toxiques, et destructrices de la nature, ainsi que l’obscurcissement du ciel ont été rabaissés pendant des décennies de tous côtés comme des fous, avec une préférence pour les nazis et les théoriciens du complot.

En 2008 encore, alors que Werner Altnickel avait présenté des centaines de preuves de l’utilisation de chemtrails en relation avec HAARP et la technologie des micro-ondes lors de la 1re AZK, l’assaut contre lui et tous les témoins de l’époque ne s’est pas seulement poursuivi, il a même pris de l’ampleur. Ce n’est qu’après que des milliers de preuves irréfutables ont été rendues publiques, que non seulement Wikipédia, mais aussi toutes sortes de sites web gouvernementaux et scientifiques ont officiellement admis que la technologie des chemtrails existait depuis des dizaines d’années, mais qu’elle était désormais appelée géo-ingénierie.

Cette soudaine concession générale à l’utilisation du nouveau terme technique n’a donc en aucun cas disculpé, justifié ou même réhabilité la réputation bafouée de ceux qui ont dévoilé les chemtrails. Au contraire, ils ont été d’autant plus acculés dans le coin des conspirationnistes et se sont entêtés à affirmer que la géo-ingénierie ne consistait pas à pulvériser des substances nocives, mais à effectuer des modifications météorologiques utiles pour le bien de l’humanité… Et c’est ainsi qu’a été forgé le narratif selon lequel on ne vise que le bien de l’humanité. Mais ce qui ressort clairement d’un grand nombre de ces brevets démantelés, c’est le contraire : vous trouverez ci-dessous, en annexe du texte de l’émission, de nombreuses sources sur les dommages absolument dévastateurs causés à la santé par la géo-ingénierie. Mais le pire, c’est que ce sont précisément ces interventions colossales et empoisonnantes qui modifient effectivement le temps et le climat. Et bien qu’il n’existe pas de climat mondial, ces épandages de cocktails toxiques, combinés aux hautes fréquences de HAARP, de la 5G, de la 4G, des technologies intelligentes, etc. influencent de manière irréfutable les différents climats régionaux de la Terre.

Ce qui était jusqu’à présent dénoncé comme une amère théorie du complot s’est révélé être une forêt d’environ 1 000 techniques de manipulation météorologique brevetées, utilisées sans pitié depuis des décennies, à l’insu des peuples et sans qu’ils aient leur mot à dire. Certains brevets relatifs à l’influence du temps ont été déposés il y a plus de 100 ans déjà, ont été autorisés et utilisés immédiatement après la Seconde Guerre mondiale. Vous trouverez dans l’annexe du texte de l’émission une liste complète de ces brevets avec les sources et d’autres liens vers des documentations approfondies.

Selon l’expert en géo-ingénierie Dane Wigington, même les cyclones et les ouragans sont manipulés. Les manipulations des cyclones sont effectuées de manière ABSOLUMENT SÛRE. L’armée américaine est engagée dans des programmes de manipulation des ouragans depuis au moins 1947, et ce jusqu’à aujourd’hui. Selon Dane Wigington, l’ingénierie climatique est le facteur causal le plus important en ce qui concerne les incendies de forêt de plus en plus nombreux. Et tandis que dans le monde entier on nous impose des filtres à particules de plus en plus chers, afin d’empêcher que les véhicules diesel, etc. rejettent des particules de suie nocives pour le climat, des géo-ingénieurs comme le Dr David Keith et le Dr Ken Caldeira, insistent sur le fait que chaque année jusqu’à 20 MILLIONS de tonnes de poussière de charbon et de nanoparticules sont pulvérisées dans le ciel mondial.

Vous avez bien compris ? Depuis longtemps, des millions de tonnes de particules de suie et de nombreux produits chimiques mortels sous forme de nanoparticules sont projetés chaque année dans l’atmosphère. D’où les soi-disant pluies acides qui détruisent impitoyablement toute notre végétation depuis des décennies.

Malheureusement, toute explication de ce type manque totalement de crédibilité. Et ce pour la simple raison que les médias complices affirment comme un mantra que toutes ces armes météorologiques et climatiques ne seront jamais utilisées. Au lieu de cela, ils préfèrent accompagner la nuit des terroristes cagoulés qui dégonflent les pneus de milliers de véhicules au nom de la protection du climat. Ils s’entretiennent gentiment avec eux devant les caméras et masquent même leur voix lorsqu’ils répondent et laissent éclater leur colère contre les pollueurs automobiles. Bien que la police soit à la recherche de ces terroristes, les médias mainstream les couvrent délibérément au lieu de les dénoncer. Ne sommes-nous pas complices si nous continuons à verser nos taxes obligatoires à ces criminels du mainstream ? Avec notre argent, ils couvrent manifestement les véritables tueurs du climat et des peuples. Ils le font aussi délibérément en affirmant comme un mantra qu’aucun gouvernement au monde ne porterait atteinte à ses citoyens de manière intentionnelle et, de surcroît, sans s’en rendre compte. C’est le récit qu’on nous martèle. Mais de nombreux documents et faits prouvent malheureusement le contraire. D’une part, il y a toute une série de catastrophes sismiques et environnementales qui ont été découvertes et qui sont dues à l’activation d’armes météorologiques. Dès les années cinquante et soixante, les premiers attentats terroristes de ce type ont dû être ouvertement reconnus. Mais sans aucune retombée positive pour la population mondiale abusée. Ce n’est ici que le début ou une petite pointe de cet iceberg abominable :

Depuis 1945, plus de 2 100 essais de bombes nucléaires ont été détectés et ont certainement contribué à un changement climatique d’origine humaine !

Au total, rien que 520 de ces explosions nucléaires répertoriées dans Wikipédia ont eu une puissance 45 000 fois supérieure à celle de la première bombe atomique sur Hiroshima. En d’autres termes, Hiroshima a été répétée 45 000 fois depuis 1945 par des scientifiques et des bellicistes insensés, rien que dans l’atmosphère et sous l’eau ! — Malheureusement, il manque à ce calcul au moins 1 680 autres explosions nucléaires mises à la lumière, sans compter ce qui est encore caché, de sorte qu’Hiroshima a probablement été répétée plus de 100 000 fois. Vous comprenez de quoi nous parlons ici ? Et pourtant, nos agriculteurs se voient actuellement retirer leurs vaches parce qu’apparemment elles pètent trop, ce qui nuit aux terres, aux prairies et au climat…

En 1952, le projet « Cumulus » a provoqué une méga-inondation catastrophique en Grande-Bretagne, faisant des dizaines de morts.

De 1962-71, le projet « Stormfury » a provoqué des ouragans et les a dirigés de manière ciblée.

De 1967-72, le projet « Popeye » a provoqué de gigantesques précipitations au Vietnam, qui ont délibérément bouché et coupé les voies d’approvisionnement des Vietcongs [Front national pour la libération du Sud-Vietnam ; organisation de guérilla pendant la guerre du Vietnam].

Comme vous pouvez le voir, tout cela remonte à bien plus de 50 ans. Notre génération a déjà été frappée par d’innombrables autres inondations, tsunamis, tremblements de terre et autres. Et pour ce qui est de l’affirmation mensongère de la presse mainstream, selon laquelle aucun gouvernement ne porterait sciemment atteinte à son peuple sans le savoir, je vous renvoie encore une fois à notre documentaire en allemand, USA — Essais toxiques sur sa propre population, du 24 janvier 2024 (www.kla.tv/27988.)

Car en 1994, d’autres expériences à grande échelle sur les peuples ont été dévoilées aux États-Unis. Là, les sujets de test involontaires étaient des citoyens américains, de grandes villes entières. Des avions militaires les ont aspergés de poison de manière ciblée pendant de longues périodes (l’armée voulait voir ce qui allait se passer), car les produits destinés au combat doivent être testés avant d’être utilisés chez « l’ennemi ». Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée de sulfure de zinc et de cadmium pendant trois mois. Les conséquences ont été cruelles. La moitié d’une classe entière en est morte, l’autre moitié a souffert de maladies très graves, de stérilité ou de handicap. Les victimes ont ensuite donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Le gouvernement a prétendu que les avions n’avaient pulvérisé que des produits chimiques inoffensifs. Mais les mesures ont révélé que du sulfure de zinc et de cadmium, entre autres, était présent. C’est-à-dire précisément ces substances toxiques qui, comme nous l’avons déjà mentionné, sont secrètement pulvérisées depuis des décennies par millions de tonnes au-dessus de presque tous les pays du monde, et ce, chaque année !

Et vous voyez, ces tueurs de climat et ces gigantesques malfaiteurs ont depuis le début rejeté sur nous, les peuples inconscients, la responsabilité de la pollution mondiale des sols et des eaux. Mais comment ? En nous accusant d’utiliser des shampoings et des produits d’entretien nocifs. Mais en même temps, ils pulvérisent continuellement des dizaines de millions de tonnes supplémentaires de cocktails toxiques indicibles sur le monde entier, de sorte qu’aucune région du globe n’est désormais épargnée par ces pollutions. Et à cause de ces pulvérisations, les arbres, les abeilles, les insectes et donc les oiseaux meurent partout. Et toutes nos eaux et tous nos sols sont également fortement empoisonnés par la géo-ingénierie. Dans le brevet américain 9924640, des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules sableuses à 18 000 mètres d’altitude. Ces particules restent jusqu’à deux ans dans la haute atmosphère, puis elles se déposent silencieusement sur nos champs, nos jardins, nos forêts, nos lacs, nos rivières et nos prairies !

De plus, l’OTAN, fondée par des francs-maçons de haut grade, vend depuis longtemps environ 90 % de son carburant JP8 à l’aviation civile, c’est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Par ce biais, il se produit à nouveau une seule et même chose. Nous ne devons jamais oublier que les responsables cachés de cette campagne mondiale d’épandage veulent sérieusement réduire la population mondiale à 500 millions. C’est ce qu’ils ont fait graver en dix langues sur leurs monuments de 120 tonnes, les fameuses Guide Stones. Ou est-ce un simple hasard si les carburants de l’OTAN qui nous sont vendus contiennent eux aussi comme additifs exactement les mêmes substances hautement dangereuses ? En effet, on a trouvé dans ce carburant militaire des quantités élevées d’aluminium, de baryum, de béryl, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d’étain, ainsi que les oxydes de ces métaux et d’autres substances toxiques.

Vous voyez, c’est reparti. Portez donc des banderoles dans les rues et les manifestations pour le climat, sur lesquelles on peut lire : Les carburants de l’OTAN dans nos avions sont des tueurs de climat ! Le plomb, le strontium et l’oxyde de fer nous tuent ! L’épandage dans l’atmosphère de 20 millions de tonnes de poussières de charbon par an est un génocide !

Tout ce qui a été dit jusqu’à présent est donc d’origine humaine ! C’est pourquoi nous n’affirmerons plus jamais avec Kla.TV que le changement climatique dénoncé actuellement n’est pas dû à l’homme ! Mais nous allons désormais donner des leçons particulières à tous et toutes les Greta Thunberg du monde en brandissant nos propres banderoles au milieu des manifestations sur le climat ! Et sur ces banderoles, on pourra lire quels sont les hommes qui provoquent toutes ces catastrophes climatiques et avec quels moyens. Nous expliquerons à Greta et à ses jeunes successeurs, QUI sont les véritables pollueurs du climat, et ce devant les caméras de la presse mainstream. Nous brandirons nos banderoles sur lesquelles il sera écrit QUI, par exemple, déverse chaque année dans notre atmosphère 10 millions de tonnes de poussières fines d’aluminium, etc. Et quels sont les effets exacts sur notre santé humaine ! Regardez les listes de maladies en bas de l’émission, ça vous donnera des frissons.

J’invite ici également tous les lanceurs d’alerte indépendants et les experts à faire de même. Nous nous sommes toujours demandé quelle était la meilleure façon d’informer les personnes qui ne l’étaient pas encore. Nous nous sommes alors laissé entraîner dans de petites actions de boîtes aux lettres, où nous avons déposé nos tracts ou autre chose. La plupart du temps, ces actions sont accueillies par des protestations de la population passive, qui ne veut pas entendre ce genre de choses et n’a pas posé de questions à ce sujet. Mais si nous nous rendons tous à ces manifestations, « Fridays for Future », etc., et que nous y brandissons nos banderoles pour dénoncer nommément les coupables de cette crise climatique et réclamer une juste punition pour eux, nous pourrions peut-être détourner la colère de ces masses très intéressées vers les vrais responsables ! Il est urgent d’accuser publiquement les vrais responsables !

Et vous voyez, cela toucherait à nouveau exactement les mêmes malfaiteurs que ceux qui étaient derrière la plandémie de Covid, mais qui étaient également responsables de la plupart des guerres des décennies passées, de même que de celles d’aujourd’hui, mais également de toutes les crises financières délibérément fabriquées, etc. Car ce sont toujours les mêmes élites de la franc-maçonnerie de haut niveau, c’est-à-dire du satanisme, qui attisent toutes ces paniques actuelles et autres. Ce sont toujours les mêmes qui provoquent toutes ces crises mondiales afin d’en tirer d’innommables profits et d’étendre leur pouvoir personnel.

Aidez-nous s’il vous plaît à dévoiler le nom de toutes ces puissances destructrices de la météo et du climat en diffusant assidûment des émissions comme celle-ci parmi les « combattants éveillés du climat » du monde entier. Venez avec nous aux manifestations pour le climat et tendez les banderoles que vous aurez conçues vous-même aux caméras du mainstream.

Non seulement Greta Thunberg et la jeunesse fanatisée avec elle, mais aussi tous les gens inquiets de ce monde doivent savoir qui injecte exactement combien de millions de tonnes de quel poison mortel dans l’atmosphère, pour ensuite nous faire porter la responsabilité de toutes ces destructions environnementales, à nous, les citoyens du monde bernés.

Ce qui est encore plus grave, c’est que ces mêmes conspirateurs mondiaux nous arnaquent également avec toutes sortes de taxes et d’amendes pour le climat. Les objectifs climatiques proclamés au niveau international, associés à l’Agenda 2030, nous révèlent que leur folie climatique, en particulier, conduira au prélèvement des plus grands tributs de tous les temps, si nous n’arrêtons pas ces fous ! Car grâce à cette attitude de base qui nous accuse tous, ces génocidaires se cachent habilement derrière nous. Tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le mettent sur le dos — c’est leur stratégie ancestrale — une stratégie du diable en l’espèce, soit dit en passant. N’oubliez jamais que tous ces crimes sont imprescriptibles. Et parce qu’ils couvrent et embellissent tout par le biais de leurs médias mainstream et qu’ils censurent de plus en plus toute divulgation par le biais de leurs plateformes Internet, tous leurs vassaux doivent également être désarmés et mis sous les verrous en tant que complices.

Sur nos banderoles, que nous brandirons à l’avenir aux manifs de Greta et Cie, il doit être possible de voir d’un seul coup d’œil combien d’installations HAARP existent dans le monde et QUI utilise précisément ces armes météorologiques pour faire bouillir notre ionosphère afin de déclencher ici-bas des cataclysmes de tout genre. La population mondiale doit dénoncer ces tueurs de masse et les mettre derrière les barreaux, sans aucune alternative. Mais si, malgré toutes ces révélations, aucune justice ne s’engage pour la population mondiale lésée, pas même une quelconque justice restante, ils contraindront les peuples devenus sans défense à se choisir de nouveaux gardiens et juges, qui seront là pour défendre la vie des peuples. Oui, alors la Justice se sera disqualifiée elle-même par son refus de servir et elle sera obligée obligé le monde à créer et à habiliter également de nouveaux tribunaux gratuits, car : Le Nouveau Monde est sans argent !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Sources/Liens :




Entretien de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine : 100 millions de vue en quelques heures

[Source : medias-presse.info]

 Par Francesca de Villasmundo

En quelques heures, l’entretien qui dérange la bien-pensance, entre le journaliste Tucker Carlson et le président russe Vladimir Poutine a battu les records d’audience : quelque 100 millions de vues. Un succès qui signe la lente morte des médias au collier.

L’entretien qui dérange : un succès mondial

La vidéo tant attendue, le nombre de connexions quelques heures en témoigne, de Tucker Carlson avec le président de Russie, Vladimir Poutine, bat tous les records d’audience.

En 13 heures, plus de 100 millions de vues ont été enregistrées. Pour se faire une idée de la magistrale claque que prennent les médias au collier, le comparatif s’impose avec les mastodontes américains : Fox News est le média américain le plus regardé avec une moyenne de 1,85 million de téléspectateurs par soir en prime time. MSNBC compte en moyenne 1,22 million de téléspectateurs. CNN ne compte que 582 000 téléspectateurs en moyenne. L’interview de Tucker avec Poutine a été vu plus de 84,3 millions de fois sur sa propre chaîne et 36 millions de fois sur la chaîne de Elon Musk ce qui fait 120,3 millions de vues sur X dans les 12 premières heures.

De quoi faire enrager les journalistes de plateau d’un côté et de l’autre de l’Atlantique, qui voient leur mainmise sur le public s’étioler au fur et à mesure que des Tucker Carlson se lèvent courageusement pour réellement informer leur public.

Pourtant ils auront tout fait ces médias au collier, et les politiciens qui les accréditent, pour décrédibiliser le journaliste américain, critiquer son travail, étouffer sa voix. Même John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale rattaché au président Joe Biden, est intervenu pour déconseiller aux Américains de visionner l’entretien de Vladimir Poutine avec Tucker. Sans succès.

La colère amère, et la peur de perdre leur pouvoir — de nuisance —, des médias mainstream

Trop de mensonges sur tous les sujets d’actualité et de société du covid aux injections ARN, à la guerre en Ukraine et la lutte contre la pédocriminalité, trop de volonté de censurer la parole dissonante, en clair trop de connivence entre des gouvernements corrompus occidentaux et les médias mainstream, ont provoqué une défiance allant toujours croissante envers ces mêmes supports d’informations et les responsables politiques qui les soutiennent. La parole « officielle » dictée par la conscience morale universelle ne fait plus recette.

Le triomphe de la prestation osée de Carlson marque certainement la lente morte des médias bien-pensants et de la confiscation de l’information par cette clique de journaleux aux bottes du politiquement correct. Rien que pour cette raison, l’entretien entre Tucker Carlson et Vladimir Poutine, sur lequel on pourra toujours faire quelques réserves, est à regarder, écouter, diffuser.




Promotion de l’espionnage citoyen sous prétexte de chasse aux désinformateurs

[Source : Aube Digitale]

Par Didi Rankovic

Des organismes financés par des gouvernements mettent en place un réseau pour détecter la « mésinformation » dans les messages privés et ensuite utiliser l’IA pour analyser les « tendances émergentes » sur cette soi-disant mésinformation.

De nouveaux rapports apparaissent sur les différentes formes de collusion entre les grandes entreprises technologiques et le gouvernement aux États-Unis.

Il ne s’agit pas seulement de faire pression directement sur les sites sociaux ou de « communiquer avec eux », comme les fonctionnaires de la Maison-Blanche aiment à le dire, mais aussi d’embaucher des entreprises pour créer des bases de données massives de discours supposés illégaux, compilées grâce aux utilisateurs qui s’espionnent et se dénoncent les uns les autres sur des plateformes de messagerie comme WhatsApp.

Mike Benz, ancien fonctionnaire du département d’État et actuel directeur exécutif de la Fondation pour la liberté en ligne, parle d’un « réseau d’informateurs citoyens ». Les informations ainsi obtenues sont ensuite analysées à l’aide d’une certaine forme d’IA, ce qui permet d’identifier les « tendances en matière de mésinformation. »

L’une de ces entreprises est l’Algorithmic Transparency Institute. L’argent provient d’entreprises qui reçoivent des fonds gouvernementaux et d’organisations créées par le Congrès.

La nécessité de recourir à des méthodes d’information citoyenne « à l’ancienne » découle de la nature des plateformes que le gouvernement souhaite espionner et dont le contenu est signalé et éventuellement censuré. Il s’agit de WhatsApp et Telegram, où, en raison de la nature de la messagerie privée (particulièrement cryptée), les formes désormais établies de « surveillance » de sites tels que Facebook ou YouTube ne peuvent pas être utilisées.

Les détracteurs de ce que l’on appelle par euphémisme (et de manière confuse) « l’écoute civique » établissent des parallèles avec la manière dont les régimes autoritaires employaient des personnes s’espionnant les unes les autres avant même l’avènement de l’ère numérique, et dont certains continuent d’ailleurs à le faire.

Aujourd’hui, le « format » d’espionnage utilisé par Staline, les nazis, etc. a atteint l’Amérique. Le principe est simple : les utilisateurs d’applications de chat privées sont encouragés à rapporter ce qui se dit là où la main et les oreilles du gouvernement ne peuvent pas parvenir.

Ces données de « mésinformation » signalées entrent dans ce qui est désormais probablement les rouages habituels de la machine de censure : création de bases de données, analyses « IA », etc.

La Fondation pour la liberté en ligne désigne l’organisation à but non lucratif Meedan, basée aux États-Unis, comme étant « à l’avant-garde de la création de ce réseau de mouchards ».

Les choses vont de mal en pis lorsqu’il est révélé que le groupe a reçu une subvention de 5,7 millions de dollars de la part des autorités américaines (et des contribuables), notamment par l’intermédiaire de la National Science Foundation (NSF).

Parmi les éléments signalés par certains de ces « idiots (informateurs) inutiles », comme on pourrait les appeler, figurent les mèmes et les « revendications ».

Lisez le rapport complet ici.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale




Immigration et paysans : Darmanin n’a pas expliqué tout ça lors du vote de sa loi

Par Gérard Le Maître

Ce qu’il faut savoir, et le monde agricole est concerné sans le connaître…

Le terroir, c’est son grand défaut, n’est pas délocalisable

Nos élites mondialistes s’acharnent donc à le faire crever, c’est leur projet.

Nos champs brûlent et nous regardons ailleurs. Les Français sauront-ils sacrifier leurs plats cuisinés sous blister pour soutenir le labourage et le pâturage, leurs deux mamelles ?

Le Sinistre de l’agriculture Marc Fesneau a fait une annonce

Annonce pas innocente, mais chargée d’intentions dégueulasses : que l’agriculture serait classée « MÉTIERS EN TENSION » pour fournir après formation (au frais de L’État ?) de la main-d’œuvre (pas chère ?) au monde paysan… ainsi ils pourront embaucher, prendre des vacances…! Ha ! bon ?? ça va en faire rêver quelques-uns, mais ce sera quand les grands groupes financiers mondialistes qui misent sur la disparition des petites exploitations agricoles auront mis la main à vil prix leurs terres abandonnées pour cause de faillites, liquidations, suicides… et c’est ceux-là qui auront besoin de main-d’œuvre low cost pour travailler dans les grandes étendues agricoles regroupées façon Ukraine…

https://www.bfmtv.com/politique/marc-fesneau-annonce-que-le-secteur-agricole-sera-reconnu-comme-secteur-de-metiers-en-tension_VN-202402010525.html
Quel tableau représente le mieux la paysannerie française que l’Angélus de Millet, peint en 1857 ?
Au crépuscule, un couple de pauvres cultivateurs de pommes de terre prie en écoutant l’angelus. En 1889 la toile est vendue aux enchères. Face à face, des acheteurs américains et le gouvernement français. L’opinion se passionne pour conserver l’icône. La France met 553 000 Francs pour garder l’œuvre emblématique. Après moultes transactions, le tableau reviendra au Louvre en 1909. Ce tableau, plus que la Joconde, c’est la France, nulle part ailleurs.
La terre, plus que toute autre activité, représente le terroir, l’enracinement, le paysan, les paysages, la patrie. La culture de la terre, c’est notre culture, notre art de vivre.
Les Français de souche(1), ce sont eux.
https://nice-provence.info/2024/01/31/paysans-angelus-glas-tocsin/

Aux fourches, citoyens ! Rats des villes, soutenez les rats des champs, ils vous nourrissent.

Et expliqué en humour noir et caustique : censure de la loi immigration, le retour des hommes enceints, macron en Inde, les paysans se rebiffent, faits divers, analyses, etc. :

L’enfumage n’a pas marché ! Voici ce qu’Attal va faire.

« Liberté, égalité, IVG », bienvenue en république où, pendant qu’on tue 250 000 potentiels contribuables par an et toute leur descendance cumulative, on essaie de compenser en allant chercher ailleurs des d’intellectuels de haut viol en tension, prêts pour les métiers éponymes avec l’attribution, en 2023, d’un nombre record de 323.000 titres de séjour, en ce qui concerne les seules entrées légales.

https://www.medias-presse.info/humour-noir-et-caustique-censure-de-la-loi-immigration-le-retour-des-hommes-enceints-macron-en-inde-les-paysans-se-rebiffent-faits-divers-analyses-etc/185774/




En France, de nombreux médecins savent que le vaxin est un poison, mais ils se taisent

[Source : santeglobale.world]

Par Silvano Trotta

Cet après-midi j’ai rencontré un médecin qui devrait être à la retraite, mais qui continue de travailler, car personne ne veut reprendre son cabinet, dans une petite ville des Vosges que je ne citerai pas, pour que personne ne puisse être ennuyé.
Il n’est pas sur les réseaux sociaux, on ne se connaissait pas, il n’a que la vision des médias. Je lui posais des questions sur le pourquoi sa succession était aussi difficile et pourquoi il ne laissait pas tout tomber pour profiter enfin de sa retraite.
Là il me regarde dans les yeux et me dit :

« Vous pensez ce que vous voulez, vous faites ce que vous voulez, mais ces vaccins anti-covid cela tue les gens et les rends malades, je ne peux pas les abandonner maintenant. »

Je m’attendais à tout sauf à cela. Je me présente à lui, lui explique ce que je fais depuis 4 ans, et là il devient inarrêtable.
Il m’explique le nombre de cas d’AVC et de crises cardiaques qui ont explosé, le nombre de cancers fulgurants jamais vu auparavant, mais aussi ces femmes, jeunes, n’ayant plus leurs règles et l’inverse, ces femmes ménopausées, qui se sont mises à en avoir de nouveau.
Je lui demande alors ce qu’il a fait pour dénoncer cela. Il me dit qu’il a été voir les autres médecins et les pharmaciens de la petite ville (ils se connaissent bien évidemment tous), pour leur dire :

« On fait quoi là ? C’est un massacre ! ».

Ils savent tous, m’a-t-il dit, ils savent tous que ces vaccins sont un poison, mais ils ont peur. Ils savent que s’ils dénoncent ces vaccins, ils ne pourront plus exercer.
Alors ils font tout maintenant pour dissuader les gens de se vacciner, et cherchent les meilleures solutions pour les soigner. Les gens savent m’a-t-il dit, mais ils sont résignés aussi. Ensuite il a pleuré.
Je peux vous dire que le retour a été difficile pour moi.




6 étapes pour mater un mouvement social

[Source : apprendre-preparer-survivre.com]

Par Antoine

Salut Camarade,

En France, les politiques sont devenus maîtres dans l’art de dompter, puis tuer les mouvements sociaux.

D’un côté, une colère juste et spontanée.
De l’autre, une réponse vicieuse et soigneusement étudiée.

Il y a malheureusement de grandes chances que le mouvement des agriculteurs finisse comme tous les autres…

Par des mesurettes vides de sens et une colère refoulée.

Dans cet email, on fait le point sur la situation avec une analyse froide et analytique.

Voici les 6 étapes que suivent presque systématiquement les mouvements sociaux en France.

Étape 1 : Des taxes au plus haut et toujours plus de normes

Sous la pression des lobbies industriels, pour remplir les caisses de l’État ou pour plaire à une partie de leur électorat…

… Des pans entiers de l’économie sont noyés sous les taxes et étranglés par des normes toujours plus restrictives.

Pour les taxes, nous sommes les champions en Europe…

Pour les normes, les agriculteurs ont par exemple 14 réglementations différentes uniquement sur la gestion des haies de leurs champs…

Au bout d’un moment, une corporation se retrouve au pied du mur et dit STOP !

Aujourd’hui, ce sont les agriculteurs, mais ça aurait pu être les enseignants, les marins, le personnel soignant, les taxis…

Le mouvement débute par des revendications sur les réseaux sociaux et quelques lignes dans les journaux locaux.

C’est la première étape.

Étape 2 : Manifestations/blocages et censure des politiques

Face au silence des politiques, les premières actions s’organisent.

Des manifestations, si le mouvement est organisé par les syndicats, ou des blocages de ronds-points, s’il est spontané.

À ce moment-là, les politiques misent tout sur l’essoufflement du mouvement.

Ils ignorent soigneusement les manifestants et organisent une censure médiatique dans les journaux et à la télé.

C’est ce qu’ont vécu les agriculteurs pendant les premières semaines.

La presse, qui vit des subventions publiques, est possédée par les grandes fortunes et rongée par les connivences avec les politiques.

La censure médiatique est rapide et efficace.

Sans possibilité de se faire entendre et de mobiliser la population, la majorité des mouvements abandonnent à cette étape.

Grâce aux réseaux sociaux, les agriculteurs ont habilement contourné cette censure médiatique.

Étape 3 : Le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement attend le dérapage

Si malgré tout, le mouvement prend de l’ampleur, le gouvernement change de stratégie et passe à la troisième étape.

Les journaux ont l’autorisation de couvrir le mouvement et des personnalités politiques vont à la rencontre des manifestants.

C’est l’occasion de faire de belles images avec des ministres en costume sur mesure et des vaches en arrière-plan.

Évidemment, c’est uniquement pour la communication, ce que veulent vraiment les politiques, c’est un dérapage.

Des dégradations de biens privés, des blessés, des incendies, un accident…

Il faut décrédibiliser le mouvement et lui faire perdre le soutien populaire.

C’est un piège dans lequel tombent très souvent les manifestants.

Pour le gouvernement c’est du pain bénit, il leur suffit ensuite de présenter les manifestants comme des casseurs avec lesquels il est impossible de discuter.

Avec le mouvement des agriculteurs, les dégradations, ce n’est pas ce qui manque…

Mais contrairement à ce qu’espérait le gouvernement, les actions ont été plutôt mesurées et très ciblées (bâtiments administratifs, vins étrangers, camions de transport contenant des produits étrangers…).

Résultat, l’opinion publique s’est rangée derrière les agriculteurs.

Ils ont dû passer à la 4e étape.

Étape 4 : Le gouvernement corrompt les syndicats et les leaders

À ce stade, le meilleur moyen de tuer le mouvement, c’est de corrompre ses leaders.

En payant les syndicats qui agissent avant tout pour leur intérêt personnel.

Ou en manipulant une personnalité médiatique apparue pendant les premières étapes du mouvement.

La FNSEA (principal syndicat agricole) a refusé de se faire acheter, c’est donc vers la deuxième solution que le gouvernement s’est tourné.

Ils ont propulsé Jérôme Bayle, leader de la cause, et l’ont soigneusement courtisé.

Fausses promesses, flatteries, menaces, pots-de-vin… Impossible de savoir ce qui s’est dit.

Mais quelques jours plus tard, Gabriel Attal annonce quelques mesurettes et comme convenu, Jérôme Bayle trahit les agriculteurs.

C’est à cette étape que se terminent la majorité des mouvements sociaux, vendus par leurs syndicats ou trahis par leurs leaders.

Mais cette fois-ci, c’est loupé pour le gouvernement…

Les agriculteurs ne se laissent pas avoir !

Ils durcissent le mouvement et marchent sur Paris.

Étape 5 : Répression et retournement de l’opinion publique

Si l’étape 4 n’a pas fonctionné, le gouvernement change sa stratégie.

Il réprime le mouvement, les CRS entrent en jeu et chargent.

L’objectif caché est de pousser les manifestants à la violence.

Après des années à souffrir et des semaines à manifester pacifiquement pour ne rien obtenir, les agriculteurs ne seront pas difficiles à énerver…

Dans les prochaines semaines, le gouvernement espère voir des rues ravagées, des biens privés dégradés (voitures, commerces, maison…), des manifestants et des policiers tabassés… Voire pire !

Le manifestant, jusque-là sympathique, devient alors un dangereux agresseur.

Effrayé par la violence,le Français moyen prend peur et préfère comme d’habitude sa sécurité à sa liberté.

Résultat, l’opinion publique se désolidarise et le mouvement des agriculteurs se retrouve dans une impasse.

Le gouvernement propose de nouvelles mesurettes pour faire bonne figure, les derniers syndicats et leaders n’ont plus le choix, ils cèdent et appellent à la fin du mouvement.

Les manifestants rentrent chez eux sans rien avoir gagné et certains avec un œil en moins…

C’est à cette étape que le mouvement des Gilets jaunes s’est terminé.

J’ai malheureusement peu d’espoir que les agriculteurs arrivent à esquiver ce piège vicieux et passent à l’étape suivante.

Étape 6 : Des décisions rapides et concrètes ou une révolution ?

Si malgré…
… le temps, les semaines ou les mois de mobilisation ;
… la corruption des principaux syndicats et leaders ;
… la répression policière et les tentations de radicalisation,
le mouvement reste solide et l’opinion publique soudée derrière lui, le gouvernement n’a plus que deux options :

  1. Céder et prendre des mesures rapides et concrètes pour régler le problème à la source, mais c’est perdre la face.
  2. Persévérer et pousser encore plus loin la répression, mais c’est risquer une révolution.

Connaissant l’ego démesuré et la déconnexion du locataire de l’Élysée, difficile de faire un pronostic…

L’avenir nous dira à quelle étape s’arrêtera le mouvement des agriculteurs.

La dangereuse boule de neige de la colère

Quand un mouvement social comme celui des Gilets jaunes se termine, tout le monde rentre chez soi et la vie reprend son cours.

Les rues sont nettoyées et les vitrines réparées.

Mais la colère est toujours là.

À chaque nouveau mouvement social, elle prend de l’ampleur.

Comme une boule de neige qui grossit en dévalant une pente.

Jusqu’au moment où la colère devient trop forte et que la boule de neige explose.

Je viens de créer une newsletter spéciale pour ceux d’entre vous qui veulent apprendre à se préparer et survivre à des troubles sociaux de grande ampleur.

Par contre je te préviens, ce n’est pas pour tout le monde.

Mais si ça t’intéresse, clique ici pour la rejoindre.

Prépare-toi !

Antoine,

Apprendre Préparer (Sur) vivre




Crise majeure aux USA dans l’indifférence TOTALE des médias français

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

[Voir aussi :
Le Texas défie Biden, « sans foi ni loi », en invoquant le droit à l’autodéfense contre une « invasion » avec plus de fil de fer barbelé
et https://www.epochtimes.fr/laffrontement-entre-le-gouvernement-federal-americain-et-le-texas-se-precise-2529614.html]




Vous avez tué mon Europe et mes idéaux !

Par Alain Tortosa

Si vous aviez pour objectif de me contraindre à prendre un chemin qui n’est pas le mien alors vous pouvez vous réjouir de votre victoire.

Je suis un fervent pro-européen et je pourrais même dire que je suis un pro-mondialiste. Je ne sais plus si je dois écrire « je suis » ou « j’étais ». Le « mais » a désormais toute sa place, je suis devenu un ardent défenseur du Frexit1. Non pas du Frexit de cœur, mais du Frexit de raison.

Je reste attaché à cette union des peuples, à ce « faites l’amour, mais pas la guerre ». Dans une guerre les donneurs d’ordre dorment du sommeil du juste tandis que les peuples sont transformés en steak haché.

Je trouve extrêmement pratique de payer en euros si je vais dans un pays européen. Je me réjouis de pouvoir passer d’un pays à un autre sans avoir à montrer mes « Papiere, bitte ». Oui j’aime cela, j’aime cette sensation de faire partie d’un plus grand tout, mais force est de constater que MA démocratie européenne est devenue une dictature oligarchique dirigée par les mondialistes.

Le fait est qu’ils2 nous ont menti sur la marchandise. Après j’aurais dû m’en douter, les publicités vantent toujours ce qui est le défaut du produit. Si l’on vous dit « le produit est fiable », soyez certain que la solidité est à mettre en doute, de même que l’on vous dirait qu’il n’est pas cher soulignant l’inverse.

MON Europe, celle de la publicité mensongère, apportait la paix, la liberté, un nivellement par le haut, des avancées sociales, une équité, un destin commun et évidemment un contre poids, la naissance d’un géant face à l’hégémonie américaine (aujourd’hui à l’agonie).

LEUR Europe est à l’opposé de la publicité, elle veut la guerre avec l’OTAN, une suppression des libertés individuelles, une paupérisation de la société, un accroissement du chômage, une suppression des acquis sociaux, un accroissement des inégalités, un chacun pour soi, un libre-échange débridé, une suppression des valeurs et plus qu’une mise à genoux, une prostitution totale face à nos « alliés » américains.

Vous savez ceux qui ont provoqué la guerre en Ukraine avec le coup d’État et la révolution orange et ceux qui ont saboté les gazoducs Nordstream pour nous rendre dépendants politiquement des USA et d’un gaz hors de prix au bilan écologique désastreux du fait de la fracturation hydraulique.

Il n’y a plus rien de démocratique dans les institutions européennes et même les grandes décisions, jadis à l’unanimité, ne sont plus qu’un jeu de pouvoir, de chantage et de corruption.

  • Qui m’a demandé si je voulais l’élargissement ?
  • Qui m’a demandé si je voulais la guerre contre l’Ukraine ou un affrontement direct avec la Russie ?
  • Qui m’a demandé si je voulais ces pseudo-sanctions contre la Russie qui mettent à genoux notre économie et nos industries ?
  • Qui m’a demandé si je voulais sacrifier la filière nucléaire source de fierté, de profits, d’indépendance énergétique (notamment grâce aux surgénérateurs) et écologique si on adhère à leur fameux CO2 tueur.
  • Qui m’a demandé si je voulais un libre-échange avec des pays qui ne respectent pas les mêmes règles sans la moindre contrepartie, si je voulais être en concurrence avec un paysan3 colombien ou un ouvrier sri-lankais ?
  • Qui m’a demandé si je voulais des passes sanitaires, de l’apartheid, une quasi-obligation d’injection d’un produit expérimental tout aussi dangereux qu’inefficace ? La fameuse Europe sans frontières a introduit des postes de douane chez les restaurateurs.
  • Qui m’a demandé si je voulais de cette prétendue transition « écologique » dont l’unique objet est la destruction de notre économie et dont le bilan écologique est désastreux ? Sans compter que l’on exporte la production de CO2.
  • Qui m’a demandé si je voulais arrêter de manger de la viande bien de chez nous pour préférer des insectes ou un produit artificiel fabriqué avec une imprimante 3D ?
  • Qui m’a demandé si je voulais importer des millions de déracinés, privant leur pays d’origine des plus riches et des plus éduqués, qui ont des cultures diamétralement opposées à la mienne ?
  • Qui m’a demandé si je voulais la destruction du tissu industriel français et européen ?
  • Qui m’a demandé si je voulais qu’il y ait désormais 66 genres humains et l’apprentissage de la sodomie à l’école ?
  • Qui m’a demandé si l’on pouvait monétiser la grossesse pour autrui et si l’avortement thérapeutique jusqu’à neuf mois de grossesse ne relevait pas du meurtre ?
  • Qui m’a demandé si le suicide assisté pour des personnes qui ne sont pas en fin de vie était moralement acceptable ?
  • Qui m’a demandé si je voulais effacer les racines chrétiennes de mon pays ?
  • Etc.

Ah, je pourrais vous en citer des exemples !

Personne ne m’a consulté bien évidemment, il ne faut pas oublier que nous sommes les gueux les crétins, le vulgus populus !

Le coup d’État a pris la vitesse supérieure en 2005 avec le référendum européen où les Français ont voté non, mais strictement pour rien. Notez que c’est devenu désormais monnaie courante. Si lors de la crise du Covid le parlement ne votait pas « comme il faut » un nouveau vote était programmé le lendemain pour rétablir l’ordre.

Il faut dire que notre constitution est « parfaite » pour une démocrature où le gouvernement peut sortir l’article 49.3 dès qu’il le désire pour faire passer une loi qui n’a pas la majorité.

Nous avons eu aussi le fameux « conseil de défense », non élu, opaque, sans contre-pouvoir, qui a pu décider de notre captivité durant la plandémie sans demander l’avis de quiconque.

Alors nous n’avons pas cette constitution européenne, mais ils nous ont imposé à la place des traités contre nature. Mais comme c’est encore trop compliqué, le Président a annoncé il y a quelques jours :

« Nous allons arrêter de faire de lois4 ».

Cela ne veut pas dire que le gars va partir en vacances, non, juste qu’il va gouverner par décrets et par ordonnances.

Démocratie mon cul !

Je m’étonne de voir encore des Français participer aux élections présidentielles alors même que nous avons perdu 100 % de notre souveraineté. La marge de manœuvre est nulle, zéro, nada, que dalle. Tout se décide à l’échelon européen, voire plus haut par des traités internationaux.

Ces jours-ci, le petit Attal jaquete en racontant aux agriculteurs qu’il a essayé de corrompre, qu’il va réduire le nombre de normes imposées alors qu’il ne peut strictement rien ! Les lois et les normes européennes sont au-dessus de toutes les nôtres.

Les dernières élections présidentielles sont une caricature de démocratie.

Je ne reviendrai pas sur le fait que notre Président détesté de quasi tous les Français soit « ré-élu », mais bon.

Le plus intéressant est l’opération Bayrou, Président du modem complice de la majorité présidentielle qui a lancé une campagne « signatures » lors des dernières élections présidentielles.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignorent, les lois françaises permettent à n’importe quel citoyen de se présenter à l’élection présidentielle dès lors qu’il obtient le parrainage, la signature de 500 « grands électeurs ». Ajoutons qu’une loi votée sous la présidence de François Hollande a supprimé l’anonymat des parrainages, il devient donc parfois délicat de donner sa voix à un « ennemi » sans risque de subir quelques foudres.

Je précise aussi que c’est une élection au suffrage universel à deux tours. Seuls les deux candidats en tête au premier tour participent au 2e. Cette escroquerie permet de faire croire que le Président a été élu avec la majorité des voix alors même qu’il faisait 20 % au premier tour soit moins de 15 % des Français en âge de voter.

Ces 15 % sont de nature suffisante pour lui donner les pleins pouvoirs et se légitimer comme « élu par la majorité des Français », les chambres hautes et basses étant présentes pour le décorum.

Alors que de nombreux candidats, même avec des intentions de vote importantes, avaient des difficultés pour obtenir leur parrainage, le gentil Bayrou, a eu l’idée géniale de mettre en place une opération « sauvez la démocratie » en proposant de distribuer des voix aux futurs candidats. Notons qu’au passage il reconnaissait un problème démocratique sans l’avouer,

Et c’est là que le hasard fit son œuvre, les candidats affichés ouvertement pro-Frexit, François Asselineau, président du parti Union populaire républicaine (UPR) et François Philippot du parti Les Patriotes n’ont pas réussi à obtenir leurs voix. Je précise que Philippot avait jeté l’éponge avant, voyant bien qu’il n’aurait jamais les signatures. C’est vraiment la faute à pas de chance.

Le seul qui a pu les avoir est Nicolas Dupont-Aignan qui est pro-Frexit, mais évite de trop l’afficher.

La présence médiatique de ces trois candidats est quasi inexistante sur les grandes chaînes nationales.

100 % des candidats un peu sérieux étaient contre une sortie immédiate de l’Europe. Les médias vous diront que c’est dû au fait que les Français ne veulent pas quitter l’Europe. Tu m’étonnes, il ne se passe pas un jour sans qu’on nous explique que ce serait la mort assurée. La vérité est que le sujet est tabou, totalement exclu de la place publique sauf pour nous parler de fin du monde.

Les paysans qui manifestent semblent l’avoir compris, ils sont factuellement assassinés par cette Europe censée les protéger.

Il n’y a donc plus de députés français qui s’affichent ouvertement pro-Frexit, la soupe est trop bonne, il ne faudrait pas trop prendre le risque de se faire virer.

  • Le RN a un discours ambigu, selon l’interlocuteur ils vont dire vouloir réformer l’Europe de l’intérieur ou affirmer comme Nicolas Bay en février 2023 : « Le Frexit est une nécessité pour protéger les intérêts de la France. Nous ne pouvons pas rester dans une Union européenne qui est incontrôlable et qui nous nuit ». Il n’est pas impossible, pour ne pas dire probable que le parti retournera sa veste (si ce n’est déjà fait) pour parvenir en haut des marches de notre belle « démocratie ».
  • Nicolas Dupont-Aignan5, Debout la France est plus dans la stratégie : « Nous ne pouvons pas parler de Frexit d’un coup… on viole les traités plus ou moins et on propose un traité alternatif… et si nos partenaires ne veulent pas alors référendum et on s’en va ». Il précise ne pas parler de Frexit comme Asselineau et Philippot parce que les Français n’auraient pas encore compris et qu’ils sont effrayés par l’idée. Dupont-Aignan aurait-il la carrure pour résister aux pressions et ne pas retourner sa veste le moment venu ?

Après je ne dis pas que la stratégie du camouflage est forcément mauvaise, car les institutions et les lobbies sont tels qu’aucun parti farouchement pro-Frexit comme l’UPR ou Les Patriotes ne peut gagner une élection présidentielle, ni même arriver au 2e tour.

Le principe de la démocratie française se résume ainsi :

« Ne peut être élu que celui-ci qui ne prône aucun changement réel en dehors de la police de caractère sur les documents officiels. »

En même temps, si ça se trouve, il existe une directive européenne à ce sujet.

La définition d’une démocratie ou d’une dictature est simple et revient uniquement à l’affirmer.

Depuis des dizaines, pardon, des centaines d’années on affirme que la France est une démocratie, si c’est dit c’est que c’est vrai !

Dans la bouche d’un quidam, la dictature se définit par les dissidents arrêtés et assassinés.

Mais je vous rappelle qu’il y a des élections même dans les républiques bananières. La différence entre eux et nous est que le dictateur est con au point de se présenter seul ou de mettre un gars inconnu en face qui pourra n’avoir que 2 % des voix après un subtil comptage. Chez nous, c’est vachement mieux fait, ils mettent 10 candidats qui au final auront le même programme.

Précisons que les machines à voter électroniques sont une merveilleuse avancée vers la république bananière.

Qui pourrait imaginer qu’une Marine Le Pen du RN, seul parti aujourd’hui présidentiable, aurait le droit de conduire une politique différente ?

Si d’aventure elle ouvrait sa gueule, on lui rappellerait ses casseroles ou la dette de la France. « tu la fermes ou tu es morte » (au moins politiquement). C’est ce qui est arrivé en Italie avec Mélonie qui a très vite prêté allégeance à la Commission européenne et à l’OTAN.

Pour les plus âgés qui se rappellent la publicité pour Canada Dry, une boisson sans alcool, « ça a la couleur de l’alcool, le goût de l’alcool, mais ça n’en est pas ». Cela résume parfaitement notre démocratie française et européenne qui n’a de démocratie que le packaging et le matraquage publicitaire.

J’ai demandé à ma fidèle amie, l’IA de Google, de me résumer la différence entre les deux :

« Dans une dictature, le pouvoir est détenu par un seul individu ou un petit groupe, qui exerce ce pouvoir sans limitation.
Dans une démocratie, le pouvoir est détenu par le peuple, qui l’exerce par le biais d’élections libres et régulières. »

Candidats sélectionnés par la nomenklatura, programmes 100 % compatibles, absence de contre-pouvoir des députés, élections à la majorité, députés binationaux (60), absence de vraie proportionnelle, médias mainstream possédés par les puissants et subventionnés… et un pouvoir détenu par une oligarchie.

Nous vivons bien en dictature ne vous en déplaise !

Il est de bon ton de rappeler l’instabilité de la IVe République réputée ingouvernable pour justifier cette monarchie républicaine de la Vème. Pour autant le parlement n’était pas totalement impuissant comme il l’est aujourd’hui.

Question posée à l’IA de Google sur l’existence de quelques lois importantes votées durant la 4e république.

  • « La loi du 21 octobre 1946, qui a créé la Sécurité sociale.
  • La loi du 28 octobre 1946, qui a réorganisé l’enseignement supérieur.
  • La loi du 18 juin 1948, qui a créé le Fonds de modernisation et d’équipement.
  • La loi du 2 août 1949, qui a institué le SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti).
  • La loi du 18 juillet 1951, qui a réformé le droit du travail.
  • La loi du 10 juillet 1954, qui a réformé le système éducatif.
  • La loi du 1er juin 1955, qui a créé le Conseil économique et social.
  • La loi du 16 mars 1956, qui a accordé l’indépendance à la Tunisie et au Maroc.
  • La loi du 18 mars 1956, qui a instauré la TVA (taxe sur la valeur ajoutée). »

Petite digression, comment faisait l’État pour faire face aux dépenses lorsque ni la TVA, ni l’impôt sur le revenu n’existaient ?

IA :

« Avant la création de la TVA en 1954 et de l’impôt sur le revenu en 1914, l’État français se finançant principalement par les impôts indirects, tels que :

  • Les droits de douane, qui étaient perçus sur les marchandises importées ou exportées.
  • Les droits d’enregistrement, qui étaient perçus sur les actes juridiques, tels que les contrats de vente ou de mariage.
  • Les contributions indirectes, qui étaient perçues sur des produits de consommation courante, tels que l’alcool, le tabac ou le sucre.

D’autres sources de revenus de l’État étaient également importantes, telles que :

  • Les revenus des biens de l’État, tels que les forêts, les mines ou les terrains.
  • Les revenus de l’exploitation des services publics, tels que les chemins de fer ou les télécommunications.
  • Les emprunts, qui étaient contractés par l’État pour financer ses dépenses. »

La preuve qu’un autre monde était possible. Je ne dis pas qu’il était meilleur, mais qu’il faut cesser de les croire quand ils nous répètent que le seul modèle possible est l’ultralibéralisme.

Alors que dire de notre démocrature ?

Rappelez-vous quand la Présidente de la Commission européenne, pour laquelle nous n’avons jamais voté, a négocié avec le multirécidiviste condamné pour escroquerie, un contrat de plusieurs milliards d’euros. Ce contrat avait pour objet l’achat de « vaccins » dont ni l’efficacité ni l’innocuité n’étaient connues du fabricant, et ce via un simple échange de SMS. Textos dont nul n’a pu voir les contenus y compris les députés européens. J’imagine que c’est votre définition d’une démocratie ?!

Tant qu’à vivre en dictature autant que ce soit dit et assumé. Je préfère 1000 fois une « dictature » dans laquelle le Président au pouvoir aime son pays et son peuple (et est aimé en retour), suivez mon regard vers l’est, qu’une « démocratie » dans laquelle son Président d’un pays ou Présidente d’une Union, serait coupable de haute trahison envers son pays et ses ressortissants.

Cela me fait penser à tous les grands « démocrates » qui nous entourent et qui prônent la censure la plus extrême sur les réseaux sociaux pour « notre bien ».

S’ils étaient si certains de détenir la « vérité » et si capables de la prouver, pourquoi refuser une vraie démocratie en donnant la parole aux dissidents ?

Ces « démocrates » prouvent qu’ils ne le sont pas en faisant tout pour qu’une opposition et une parole contraire à la doxa ne puissent émerger.

Pour qu’un candidat pro-Frexit puisse se présenter, ait les fonds nécessaires, le soutien (disons qu’ils ne le descendent pas) des organismes de sondage et des médias mainstream (c’est eux qui font l’élection), le soutien de grandes sociétés et des maîtres du monde, il lui faudrait se présenter déguisé, faire semblant pendant 10 ans, puis une fois élu, retirer son masque ! Bref une utopie.

Les députés européens se sont que des pions pour donner une illusion.

Le parlement européen est un simple organe d’entérinement de lois proposées par la Commission européenne dont les membres ne sont pas élus (démocratie ?). Sans parler des lobbies, du copinage, des cooptations, des vases communicants ou des services rendus.

« José Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne, a rejoint le conseil d’administration de la banque américaine Goldman Sachs après avoir quitté la Commission européenne en 2014. »

« Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, a rejoint le conseil d’administration de la banque britannique Barclays après avoir quitté la BCE en 2011. »

La dictature européenne ne pourra pas tomber si les peuples ne se révoltent pas, mais pour cela il faudrait qu’ils aient accès à l’information et non à ces mensonges répétés jour après jour.

Pourtant il suffit de savoir lire, 4 millions de paysans6 en 1960, 400 000 en 2020. La France importe plus de produits agricoles qu’elle n’en exporte. Nous avons perdu notre autosuffisance alimentaire. Le pourcentage de terres agricoles en jachère a quadruplé depuis les années 60.

Merci l’Europe !

Je crois toujours en l’Europe des Nations, en l’Europe des peuples et un fonctionnement démocratique qui permettrait à chacun de vivre librement en gardant ses traditions tout en étant prospère, mais ce n’est pas le chemin qui est pris. Je me vois donc contraint de penser que seul le Frexit pourra nous sauver.

Ce qui est extraordinaire avec nos maîtres est la facilité avec laquelle ils salissent toutes les belles idées :

  • Le mondialisme ? Je suis pro-mondialiste et ici encore je ne peux que me battre contre eux, car leur objectif est celui d’une dictature mondiale « vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
  • L’écologie ? Qui pourrait être contre l’écologie, qui pourrait être contre la lutte, contre les pourritures qui tuent la planète avec leurs produits chimiques ? Et pourtant je ne peux que me battre contre ces pseudo-écolos qui, pour sauver la planète, ont choisi le CO2 comme ennemi alors qu’il est source de vie. Leur objectif n’est que destructions, interdictions, punitions, dictature. Le seul mot de « écolo » suffit à me hérisser le poil et me rendre verbalement violent. La petite Greta est une formidable caricature de niaiserie, d’incompétence, de bêtise et de méchanceté. Car cela semble vraiment le leitmotiv, le trait d’union entre les « écolos » médiatiques, ils n’aiment pas les humains !
  • Le revenu universel ? J’aborde un chapitre dans mon livre7. Le revenu universel ne serait que justice dans un monde où une poignée accapare tout et où les humains ne sont plus utiles pour faire tourner la machine. Ce n’est que justice si chacun naissait avec un capital qu’il pourrait faire fructifier et qui aiderait les initiatives personnelles. C’est plus facile de se lancer dans une petite affaire de fabrication de vases si vous avez une garantie minimale de revenus. Ils ont donc réussi à faire de cette noble et juste idée un outil au service de la dictature. Le revenu universel, s’il voit le jour, sera conditionné à des obligations et probablement au crédit social à la chinoise. Si tu es un bon esclave, si tu n’es pas dissident, si tu obéis à toutes les obligations, surtout les plus stupides, si tu mets ton masque debout, mais pas assis, si tu es bien vacciné, que tu as une voiture électrique, que tu chauffes ton logement à 17 degrés et j’en passe, tu pourras alors être crédité de ton revenu universel. Mais attention, tu n’auras pas le droit de dépenser ton argent comme tu veux. Pas question de faire des économies pour prendre l’avion, pas question de t’acheter de la viande naturelle qui tue la planète. L’État, celui qui sait ce qui est bon pour toi, te dira quand et quoi dépenser.
  • Les pesticides ? Ces pourritures en sont presque à me faire militer pour les pesticides. Pourtant je ne porte pas dans mon cœur les Monsanto et autres Bayer. Ils n’utilisent pas des lois pour protéger l’environnement, ils les utilisent pour nous tuer, pour tuer notre patrimoine et nos paysans. Quand vous interdisez l’usage en Europe et autorisez l’importation de produits étrangers qui les utilisent, vous appelez cela de l’écologie ou du crime organisé ?
  • La ville de 15 minutes ! Depuis tout temps j’ai trouvé aberrant que les logements soient en banlieue et que l’on soit obligé de faire deux heures de trajet par jour. Lamentable que les villages se vident de leurs commerces et que l’on soit obligé de prendre l’auto pour acheter sa baguette de pain. La ville de 15 minutes est bien sûr une évidence, c’est ce que l’on appelait un village ! Dans les mains de ces pourritures, la ville de 15 minutes devient une prison avec ses postes-frontière. L’objectif est que vous naissiez, viviez et mourriez sans en être sortis. Vos possibilités de la quitter seront soumises à votre crédit social ou votre passe sanitaire comme en Chine où vous devez présenter un QR code pour sortir de votre quartier. Les naïfs vous diront que c’est la Chine… les mêmes qui ne trouvaient rien à redire pour présenter leur QR code 10 fois par jour lors de la plandémie. Les JO de 2024 utiliseront la reconnaissance faciale et il est question d’utiliser le QR code pour pénétrer dans certains quartiers de Paris. De toutes les façons plus vous apporterez de restrictions de liberté pour notre « bien », pour notre « sécurité », pour « sauver la planète » et plus les moutons terrorisés applaudiront. Bien évidemment ces mesures ne concernent que les gueux, les « sans-dents ». Pour les autres, les gens bien, les De Caprio qui militent pour le climat, qui font la promo des voitures électriques, c’est yacht et jets privés à volonté.
  • Même la peine de mort ! Je suis viscéralement opposé à la peine de mort pour plusieurs raisons. En premier lieu une raison pragmatique, disons même égoïste. Le fait est que l’erreur judiciaire existe et qu’il est difficile de ressusciter un mort (celui qui l’a fait dans le passé a eu par la suite de nombreux ennuis). D’autre part, il y a une grande différence entre tirer une balle dans la tète de la pourriture qui a tué votre enfant, et ce dans le feu de l’action, que mettre à mort froidement un gars des mois ou des années plus tard dont on ignore, s’il est encore la même personne ou pas. Le système est à ce point délirant qu’il fera tout pour sauver un condamné à mort d’une tentative de suicide une semaine avant son exécution. Et bien là aussi ces pourritures ont réussi à m’éloigner de mes valeurs. Je ne sortirais probablement pas un mouchoir pour sangloter si certains politiques, laboratoires pharmaceutiques, marchands d’armes, médecins médiatiques, journalistes (je m’excuse auprès des professions que j’aurais oublié) et/ou pédophiles se retrouvaient écartelés sur la place publique.

Autant j’aime l’idée d’amour universel, autant j’aime l’idée de pardon, mais tous ces traîtres, ces vendus, ces pourris, ces satanistes, ces pédophiles, bref, ces monstres ont réussi à tuer MON Europe, MON monde, MES valeurs et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

J’aimerais que nous puissions cesser d’être contre l’Europe, contre le mondialisme et toutes les autres belles idées qu’ils ont réussi à salir.

Je veux être pro-européen, pro-peuple, pro-échange, pro-partage, pro-justice, mais je me dois de demeurer pro-Frexit en attendant des jours meilleurs.

C’est pourquoi je prendrai le risque de voter pour un candidat ostensiblement pro-Frexit lors des prochaines élections européennes. Et même si nous sommes trahis par la suite ce n’est pas bien grave, car cela permettra à l’autre camp de nous compter et peut-être même de commencer à trembler.

Il faut se battre sur tous les fronts, aussi bien dans les urnes que sur les médias sociaux et dans la rue pour espérer réveiller les peuples.

Merci

Alain Tortosa8
30 janvier 2024.
https://7milliards.fr/tortosa20240130-vous-avez-tue-l-europe.pdf





Les liens sinistres entre Jeffrey Epstein, le Bitcoin et les MNBC

[Source : epochtimes.fr]

Par Aaron Day

Cet article a pour but de sensibiliser à la menace urgente que représente les monnaies numériques des banques centrales (MNBC1), d’aborder la question de l’implication potentielle de Jeffrey Epstein dans, d’une part, le financement de ces projets et, d’autre part, le rôle qu’il a pu jouer dans la modification de l’objectif initial du bitcoin, désormais inutilisable en tant qu’alternative à l’argent liquide pour les transactions quotidiennes. L’article reprend également un extrait de mon livre, « The Final Countdown », qui détaille les choses et fournit des conseils pratiques pour se prémunir de l’avènement des MNBC.

La menace des MNBC

Imaginez un avenir où chaque dépense que vous faites est suivie, non pas par une banque, mais par votre gouvernement. Ce n’est pas de la science-fiction, mais bel et bien la réalité des monnaies numériques des banques centrales, ou MNBC, si elles devaient voir le jour. Une MNBC n’est pas simplement une nouvelle forme d’argent, c’est aussi un outil de surveillance et de contrôle du comportement humain.

Le concept est simple, mais profond : une monnaie numérique est émise par le gouvernement et peut être programmée pour ne fonctionner que selon certaines règles spécifiques. Par exemple, votre bas de laine pourrait être gelé si vos activités en ligne ne sont pas conformes aux normes gouvernementales en vigueur, ou des prélèvements obligatoires pourraient être systématiquement imposés pour relancer l’économie d’un pays. Ce niveau de contrôle pourrait notamment s’étendre aux choix quotidiens, et dicter les produits d’épicerie que vous devez ou ne devez pas acheter ou les vacances auxquelles vous avez accès, le tout sur la base d’un système de notation numérique.

Mon livre traite de ce sujet et dépeint un avenir où les MNBC pourraient nous mener vers une société dystopique.

L’urgence de cette question m’a incité à me tourner vers les cryptomonnaies et les métaux précieux en 2019, lorsque je suis complètement sorti du dollar. Cela m’a poussé à écrire un livre, et même à me présenter à l’élection présidentielle américaine pour faire la lumière sur ces questions cruciales. En tant que membre du Brownstone Institute, mon objectif actuel est d’éduquer et de responsabiliser les gens sur les risques potentiels des MNBC, qui pourraient potentiellement être mises en œuvre avant les élections de 2024.

Au cours de mes voyages, j’ai constaté que le public ne connaissait pas bien les MNBC. Plus de 80 % des Américains n’en ont même jamais entendu parler, les médias grand public couvrant rarement le sujet. Ceux qui en ont entendu parler les voient comme une préoccupation future lointaine, ou pensent qu’elles pourraient être pratiques en plus d’être inclusives, une croyance particulièrement répandue parmi les jeunes générations.

Cet article vise à clarifier et à mettre en garde contre l’état actuel de la technologie des MNBC, à expliquer l’élan politique actuel en faveur de leur adoption et à mettre en évidence les liens curieux et inquiétants qui existent entre Jeffrey Epstein et l’évolution des cryptomonnaies. Les liens d’Epstein avec le laboratoire multimédia du MIT — qui a joué un rôle central dans d’importants essais de MNBC et a influencé les changements apportés à la fonctionnalité du Bitcoin — tendent à suggérer que le Bitcoin n’est plus la monnaie révolutionnaire qu’il était, mais est en réalité devenu un outil destiné aux élites.

Les documents publiés par le tribunal fédéral du district sud de New York n’ont fait que rendre encore plus mystérieuses les motivations et agissements d’Epstein. Son intérêt pour les cryptomonnaies a été documenté dès 2017, et bien que l’étendue de son implication reste floue, celle-ci est suffisante pour justifier un examen approfondi.

En tirant la sonnette d’alarme sur les liens entre Epstein et l’écosystème des cryptomonnaies et des MNBC, je vise à remettre en question tous les récits qui veulent réduire les MNBC à leur côté purement positif. Ses partisans, tels que le Forum Économique Mondial (FEM), la Banque mondiale, les Nations Unies (U.N.), les banques centrales et certaines personnalités politiques, affirment que les MNBC sont un gage d’inclusion financière et qu’elles permettront de lutter contre le terrorisme et le blanchiment d’argent. Mais le véritable objectif de ces monnaies ne réside pas là, toutes ces belles paroles ne relèvent que du marketing. Leur but est de contrôler. Cela devrait être particulièrement évident à quiconque a fait l’expérience de la tyrannie et de l’érosion des libertés individuelles pendant le Covid. Cet article, ainsi que les interviews vidéo à venir, vise à éplucher les couches de cette question complexe et à explorer les conséquences potentielles pour nos libertés financières.

Les MNBC arrivent (extrait partiel du chapitre 4 de « The Final Countdown »)

Les États-Unis se trouvent à un tournant décisif, car la poursuite des MNBC par le gouvernement prend une ampleur sans précédent. Au cours des 12 prochains mois, l’idéal de liberté qui est cher aux Américains pourrait être mis à mal par la mise en place d’une monnaie numérique contrôlée de manière centralisée. À l’insu de beaucoup, la Réserve fédérale a déjà mené avec succès trois projets pilotes de MNBC de grande envergure, et Joe Biden s’est fait le champion de cette cause par la promulgation d’un décret exécutif, le décret 14067. Par ce décret, plusieurs administrations du pays ont entrepris de jeter les bases de monnaies numériques, donnant ainsi naissance aux scénarios dystopiques décrits au début de cet article et plus en détail dans mon livre.

Dans cette section, nous examinerons ce fameux décret, nous nous pencherons sur les trois programmes pilotes des MNBC et nous explorerons les implications de l’infrastructure FedNow, lancée à l’échelle nationale en juillet 2023, qui pourrait permettre le déploiement rapide des MNBC aux États-Unis. Mais la situation est plus grave qu’il n’y paraît, car les autorités américaines veulent pouvoir contrôler et programmer non seulement l’argent, mais aussi les actifs numériques.

Imaginez que les actions, les obligations, les maisons, les voitures, les ordinateurs, etc. puissent être suivis de manière centralisée par le gouvernement et que la vente ou le transfert de ces actifs puisse être bloqué par de multiples tiers (notamment le gouvernement, la Réserve fédérale et d’autres tiers centralisés). Le choc, le malaise et la colère que ces révélations provoquent devraient unir tous ceux qui cherchent des alternatives à ce qui est en train de se passer dans ce monde et qui s’efforcent de partager toutes ces informations cruciales avant qu’il ne soit trop tard.

Décret 14067

Le décret a été signé le 9 mars 2022 par Joe Biden, sous le titre « Ensuring Responsible Development of Digital Assets » (Assurer le développement responsable des actifs numériques). Selon ce décret, le gouvernement américain doit adopter une approche globale du développement des actifs numériques, y compris des MNBC. Et sa portée est considérable, puisqu’il couvre un large éventail de questions liées aux actifs numériques, notamment leur impact potentiel sur le système financier, la sécurité nationale et la protection des consommateurs. Le décret demande également au gouvernement américain de collaborer avec des partenaires internationaux afin d’élaborer des « normes responsables » (on parle ici de l’ONU, du FEM, du FMI, de la Banque mondiale et de la Banque des règlements internationaux (BRI)).

Jim Rickards, expert réputé des marchés financiers et de la géopolitique, a averti des problèmes importants que soulève ce décret ainsi que de son caractère excessif. Il estime qu’en plus d’être trop ambitieux, le texte ne fournit pas suffisamment d’indications sur la manière dont le gouvernement compte développer et mettre en œuvre les MNBC. Il craint également que cela n’entraîne une érosion de la vie privée et de la souveraineté financière. Il explique que le Décret 14067 est une étape dangereuse vers une société sans argent liquide. Il donne au gouvernement trop de pouvoir pour suivre et contrôler nos transactions financières. Il ajoute :

« Ce décret constitue une menace pour la vie privée et la souveraineté financière. Il pourrait conduire à l’érosion de notre droit à contrôler notre propre argent ».

Pour le dire très clairement, le président des États-Unis a proposé la mise en place d’un cadre qui ressemble au cauchemar dystopique que nous essayons si désespérément d’éviter. M. Rickards prévient :

« Ce décret est une occasion manquée de développer l’innovation et la concurrence dans le système de paiement. Au lieu de cela, il s’agit d’une recette pour le contrôle et la surveillance par le gouvernement ».

Programmes pilotes des MNBC aux États-Unis

Avant même le décret, la Réserve fédérale était déjà bien engagée dans la recherche, le développement et le pilotage des MNBC.

Par exemple, via le projet Hamilton, le projet Cedar, le Regulated Liability Network (RLN). Avant de continuer, gardons bien à l’esprit que ces trois projets pilotes ont été financés par le laboratoire multimédia du MIT, qui entretenait des relations directes avec Jeffrey Epstein.

Projet Hamilton

Le projet Hamilton, une coentreprise entre la Federal Reserve Bank of Boston et le MIT, s’est penché sur l’utilisation d’une MNBC de détail dans le cadre d’un programme pilote qui s’est déroulé entre 2020 et 2022. Une MNBC de détail est une forme numérique de monnaie fiduciaire émise par une banque centrale (en l’occurrence la Réserve fédérale) et accessible directement par le public. Cette forme de monnaie électronique remplacerait le dollar et serait utilisée pour effectuer des paiements, épargner ou réaliser des investissements.

Un livre blanc publié récemment détaille les résultats du programme pilote, et montre notamment qu’un dollar numérique peut traiter un grand nombre de transactions en toute sécurité. Le programme pilote a réussi à traiter un maximum de 1,7 million de transactions par seconde. À titre de comparaison, le système bancaire américain actuel ne peut traiter que 150 000 transactions par seconde. Il est clair que cette nouvelle MNBC a la capacité technique de remplacer l’infrastructure financière existante.

Le groupe qui dirige le projet Hamilton, le MIT Digital Currency Initiative, a été financé en partie par le MIT Media Lab, qui a reçu des contributions de donateurs éminents tels que Bill Gates et Jeffrey Epstein. Ces liens suggèrent l’existence d’un programme mondialiste visant à consolider le pouvoir central et à compromettre les souverainetés individuelles. Joi Ito, l’ancien directeur du MIT Media Lab, et Bill Gates se seraient rendus à plusieurs reprises sur l’île tristement célèbre d’Epstein. Il a démissionné de son poste de directeur du MIT Media Lab le lendemain de la publication de l’article de Ronan Farrow dans le New Yorker, intitulé « Comment un centre de recherche universitaire d’élite a dissimulé ses relations avec Jeffrey Epstein ».

Difficile de se faire une idée précise de l’ampleur de l’implication financière d’Epstein dans le Media Lab du MIT. Néanmoins, l’article du New Yorker nous donne quelques indications :

« Il a été reconnu qu’Epstein avait facilité l’obtention d’au moins 7,5 millions de dollars de dons au profit du laboratoire, dont 2 millions de dollars de la part de Gates et 5,5 millions de dollars de la part de [Leon] Black. Ces contributions ont été décrites dans des courriels comme étant “pilotées” par Epstein ou faites sur son insistance. »

« Le personnel du laboratoire était tellement conscient de l’implication d’Epstein que certains membres du bureau de Joi Ito désignait Epstein sous le nom de Voldemort ou de “celui qu’on ne doit pas nommer”. »

Dans une déclaration, le président du MIT, L. Rafael Reif, a présenté ses excuses en déclarant :

« Rétrospectivement, nous reconnaissons avec honte et douleur que notre institution a contribué à rehausser son prestige [Epstein], en aidant par inadvertance à détourner l’attention de son comportement odieux. Aucune expression de regret ne peut inverser cela ».

Outre les investissements directs et indirects d’Epstein dans le MIT Multimedia Lab, comme le rapporte le Washington Post, il a également placé 1,2 million de dollars dans les propres fonds d’investissement d’Ito.

L’on apprend également, grâce à cet article de Slate, que Joi Ito a visité l’île d’Epstein dans le but de bénéficier des largesses du milliardaire.

Le projet Cedar

Contrairement à d’autres initiatives, le projet Cedar vise à étudier les applications potentielles et les cas d’utilisation d’une MNBC, en particulier dans le contexte du marché de gros. Ce projet est une entreprise commune impliquant la Federal Reserve Bank of New York, plusieurs institutions bancaires de premier plan, JPMorgan Chase, Bank of New York Mellon et State Street, ainsi que la BRI et le MIT Media Lab, le même qui a joué un rôle dans le projet Hamilton.

Le marché de gros désigne un environnement financier dans lequel les transactions sont généralement de grande ampleur et de valeur élevée, et sont effectuées principalement entre des institutions financières telles que des banques, des entreprises et d’autres entités financières. Il s’agit en fait d’une arène en coulisses où des échanges monétaires substantiels ont lieu, loin du domaine des transactions individuelles ou de détail.

Le projet Cedar s’adresse donc principalement aux institutions financières et aux parties prenantes qui opèrent sur le marché de gros. L’objectif du projet est de comprendre comment un dollar numérique pourrait être utilisé dans ce contexte, en facilitant ces transactions importantes de manière efficace, sûre et transparente.

Dans le cadre de ce programme pilote, le projet Cedar étudie notamment la capacité qu’a la technologie d’assurer la sécurité des transactions sur le marché de gros, les challenges réglementaires potentiels et la compatibilité du dollar numérique avec l’infrastructure financière existante.

D’un point de vue technique, le programme pilote a été un succès, et a ouvert la voie à la phase suivante du projet : vendre le concept au public et obtenir un consensus parmi les banques centrales.
Réseau de responsabilité réglementée (RLN)

Outre le projet Cedar (qui en est à sa deuxième phase pilote), la Federal Reserve Bank of New York est également impliquée dans un autre projet pilote appelé Regulated Liability Network (RLN) qui « vise à explorer la faisabilité d’un réseau interopérable de monnaie numérique de gros des banques centrales et de monnaie numérique des banques commerciales sur un registre partagé ».

Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Imaginez une situation dans laquelle tous les actifs que vous achetez (actions, obligations, maisons, voitures, appareils électroniques, bijoux, etc.) sont émis sous forme de jetons numériques qui peuvent être suivis et traités par le gouvernement ou autre au moyen d’un cadre centralisé. Outre la possibilité de censurer et de geler votre argent si vous ne vous comportez pas comme l’exigent les autorités, celles-ci peuvent également bloquer la vente et même l’utilisation de vos actifs.

Imaginez donc que vous achetiez un ordinateur via une MNBC. Un jeton numérique est créé et associé à cet ordinateur. Si vous adoptez un comportement que les autorités n’apprécient pas, elles peuvent suivre votre ordinateur et désactiver à distance votre capacité à l’utiliser ou à le vendre. Dans le chapitre 1, nous avons vu comment le gouvernement peut contrôler votre UBI sur la base de votre score de crédit social. Avec un système tel que le RLN, ils pourraient également bloquer votre capacité à vendre votre voiture ou votre maison, ou même entraver votre capacité à utiliser vos biens à distance grâce à ce type de suivi des biens numériques et de surveillance à distance.

Comme les deux autres programmes pilotes, celui du RLN est lié à des organisations mondialistes, dont la BRI et le MIT Media Lab (qui participe aux trois programmes pilotes de MNBC).

« Le projet pilote RLN est le fruit d’une collaboration entre un certain nombre d’institutions financières, de régulateurs et de fournisseurs de technologie de premier plan. Il s’agit d’une étape importante dans le développement d’un écosystème d’actifs numériques réglementé. »

L’étranglement du bitcoin

La première ligne du livre blanc sur le bitcoin décrit ses fonctionnalités : « Une version purement peer-to-peer de l’argent électronique permettrait d’envoyer des paiements en ligne directement d’une partie à l’autre sans passer par une institution financière ». Dès sa création, le bitcoin a été conçu comme une forme améliorée de monnaie, offrant aux personnes du monde entier la possibilité de posséder une « monnaie saine » pouvant être dépensée à tout moment et en tout lieu. Avec des coûts de transaction négligeables — une simple fraction de centime — les fonds pouvaient être transférés presque instantanément.

Cependant, en 2017, le bitcoin a subi des changements majeurs qui l’ont rendu pratiquement inutile en tant que monnaie. Cette année-là, le bitcoin a connu d’importantes difficultés de croissance, qui se sont traduites par des frais de transaction élevés et des retards. La communauté Bitcoin s’est retrouvée au cœur d’un débat intense sur la manière de faire évoluer le réseau pour mieux gérer le volume croissant des transactions. Parmi les acteurs clés de ce débat figuraient des développeurs indirectement financés par Joi Ito du MIT Multimedia Lab, et coïncidait avec la première et unique interview de Jeffrey Epstein sur Bitcoin. Voici ce que nous comprenons de l’état de Bitcoin en 2017 :

1. Frais élevés et retards de transaction : Les frais de transaction du Bitcoin ont grimpé en flèche au milieu de la congestion de 2017. En décembre de cette année-là, les frais de transaction moyens ont atteint un pic d’environ 55 dollars, une augmentation brutale par rapport aux frais inférieurs à un dollar observés l’année précédente. Le réseau a également souffert de retards importants ; des transactions qui auraient dû être confirmées en une dizaine de minutes pouvaient prendre des heures, voire des jours, en particulier si les frais attachés étaient insuffisants pour inciter les « mineurs ».

[NDLR Le Bitcoin est gourmant en énergie, au moins proportionnellement à la quantité produite (« minée »). Il exige des ressources informatiques sans cesse croissantes. Il est logique qu’à un moment il se heurte à cette réalité et donc que les frais de transactions suivent cette tendance à l’envolée. Il n’y a pas besoin de l’intention de quelqu’un pour aboutir à ce résultat. Par contre une personne lucide et prévoyante peut l’anticiper et en tenir compte.]

2. Exemple spécifique de problèmes liés aux transactions : Les fêtes de fin d’année 2017 ont été un bon exemple de ces problèmes. L’explosion du volume de transactions a entraîné des retards importants et des frais exorbitants pour de nombreux utilisateurs. Voici quelques tweets d’utilisateurs déçus de la fin de l’année 2017.
– @ChrisPacia Frais de bitcoin pour un tx de taille médiane = 30,72 $ (20 déc. 2017)

– @beijingbitcoins Les frais de transaction moyens de Bitcoin Core ont augmenté de près de 600 % au cours des deux dernières semaines seulement. Ce n’est pas soutenable. (21 déc. 2017)

– @ErikVoorhees Avec des frais de 40 $, nous avons largement dépassé le prix du café. Même un achat à 250 $ aujourd’hui n’a pas de sens avec le bitcoin. (21 déc. 2017)

3. Impact sur les détaillants et les sites web : Les conditions de transaction peu pratiques ont amené de nombreux grands détaillants et sites web à reconsidérer l’utilisation des bitcoins comme méthode de paiement. Notamment
– Steam : une plateforme populaire de distribution de jeux numériques a cessé d’accepter le bitcoin en décembre 2017 en raison des frais élevés et de la volatilité.

– Stripe : une société de traitement des paiements a mis fin à la prise en charge de Bitcoin en avril 2018, citant des temps de transaction lents, des frais élevés et moins de cas d’utilisation.

Voici une citation directe de Stripe expliquant leur décision d’arrêter d’utiliser Bitcoin pour les paiements :

« Au cours de la dernière année ou des deux dernières années, à mesure que les limites de la taille des blocs ont été atteintes, Bitcoin a évolué pour devenir mieux adapté à être un actif qu’à être un moyen d’échange. Compte tenu de la réussite globale de la communauté Bitcoin, il est difficile de contester les décisions qui ont été prises en cours de route. (Et nous nous réjouissons assurément de voir un projet novateur et ambitieux réussir aussi bien.) Mais il n’est plus possible de soutenir Bitcoin en tant qu’option de paiement ».

– Microsoft : a temporairement interrompu les paiements en bitcoins en janvier 2018, citant les mêmes préoccupations que d’autres entreprises. L’entreprise a par la suite fait marche arrière.

– Fiverr : une place de marché en ligne pour les services de freelance a cessé d’accepter Bitcoin en février 2018 en raison des frais élevés et de la lenteur des transactions.

– Expedia : un site web de réservation de voyages a cessé d’accepter le bitcoin en juin 2018, citant les mêmes raisons.

– Reddit : le populaire forum en ligne a cessé d’accepter les paiements en bitcoins pour Reddit Gold en mars 2018, citant les frais élevés et les délais de transaction.

4. L’influence de Joi Ito et du MIT Media Lab : Joi Ito, en tant que directeur du MIT Media Lab, a eu un impact sur la communauté Bitcoin par l’intermédiaire de la Digital Currency Initiative (DCI) de son laboratoire, un programme engagé dans divers projets de recherche et de développement liés aux cryptomonnaies. L’association de Joi Ito avec Digital Garage, qui finançait la DCI, signifie que son influence sur le développement de Bitcoin était indirecte, mais réelle : la DCI soutenait en effet des acteurs de premier plan de Bitcoin, par exemple Wladimir van der Laan et Cory Fields, qui ont joué un rôle essentiel dans la mise à jour et l’amélioration de la base de code de Bitcoin, y compris la mise en œuvre de Segregated Witness (SegWit). Je n’entrerai pas dans les détails de SegWit dans cet article, mais je dirai brièvement qu’il s’agit d’un changement technique qui a joué un rôle essentiel dans la transformation de Bitcoin qui est passé de moyen d’échange (espèces numériques) à réserve de valeur (or numérique).

[NDLR Utiliser une monnaie purement virtuelle comme réserve de valeur relève de manque d’anticipation et de naïveté. Les données numériques peuvent être effacées bien plus facilement que l’on pourrait faire brûler un tas de billets de banque ou faire fondre des lingots d’or. Et que se passera-t-il si un jour l’Internet et le matériel électronique tombent en panne, par exemple à la suite d’un méga flash solaire ?]

5. Les commentaires publics de Jeffrey Epstein sur le bitcoin en 2017 : Dans le contexte des problèmes de mise à l’échelle de Bitcoin et de l’implication de Joi Ito et de la DCI du MIT Media Lab, l’article « Billionaire financier weighs in on the future of Bitcoin » (le financier milliardaire s’exprime sur l’avenir de Bitcoin) de Dylan Love, publié par The Next Web le 10 octobre 2017, prend toute son ampleur. La description que fait Jeffrey Epstein du Bitcoin comme étant davantage une réserve de valeur qu’une monnaie reflète l’évolution de l’identité de Bitcoin au cours de cette période — une évolution concomitante à la mise en œuvre de SegWit et aux débats sur la mise à l’échelle. Ce changement correspond à la période pendant laquelle le MIT Media Lab, indirectement financé par Epstein, a été impliqué dans le développement de Bitcoin, ce qui a conduit à des liens spéculatifs sur l’impact potentiel d’Epstein sur l’évolution du Bitcoin.

Les développements de 2017 ont souligné les problèmes d’évolutivité du Bitcoin et ont suscité de nombreuses tentatives de résolution. Bien que SegWit ait été introduit pour résoudre certains de ces problèmes, le débat sur l’évolutivité du Bitcoin perdure, la communauté étant toujours à la recherche de solutions durables pour gérer efficacement un volume de transactions croissant.

Que signifie tout cela ?

Voici le nœud du problème :

1. La Réserve fédérale a mené à bien trois projets pilotes de MNBC en partenariat avec le MIT Media Lab.

2. Joi Ito, président du MIT Multimedia Lab, a reçu des fonds directement de Jeffrey Epstein ainsi que d’autres sources, dont Bill Gates, par l’intermédiaire d’Epstein. Nombre de ces contributions ont été marquées comme relevant de dons anonymes.

3. Parallèlement, la DCI a financé des développeurs tels que Wladimir van der Laan et Cory Fields, dont les modifications ont transformé le Bitcoin, qui est passé d’un système d’argent numérique peer-to-peer à une réserve de valeur.

4. À la même époque, Jeffrey Epstein a fait ses seules remarques publiques sur le Bitcoin, le qualifiant explicitement de réserve de valeur plutôt que de monnaie.

5. Suite à la publication de l’article du New Yorker détaillant l’implication d’Ito avec Epstein, Ito a démissionné dans la journée. Le MIT a réagi en révisant sa politique et en s’engageant à faire don d’un montant équivalent aux fonds reçus de toute fondation Epstein à une organisation caritative soutenant les victimes d’abus sexuels.

Avons-nous des preuves concluantes liant directement le financement d’Epstein aux projets pilotes de MNBC ou à la transformation de Bitcoin d’un moyen d’échange en une réserve de valeur ? Non, pas directement. En fait, la plupart des projets pilotes ont débuté après la dernière arrestation d’Epstein, le 6 juillet 2019. Je doute qu’Epstein ait été impliqué dans le Projet Cedar ou le Réseau de responsabilité réglementée. Cependant, le projet Hamilton a été annoncé en 2020 et vraisemblablement, son financement était prévu longtemps avant l’annonce.

Néanmoins, il est évident que tout un chacun devrait se méfier des progrès réalisés dans le développement des MNBC, de l’intention des gouvernants de les mettre en œuvre, et faire preuve d’un scepticisme sain quant aux intentions et à l’implication de Joi Ito, du MIT Multimedia Lab et de Jeffrey Epstein dans le déploiement des MNBC et dans la restriction des capacités de Bitcoin.

J’ai l’intention d’étudier plus en détail le domaine spécifique du financement potentiel par Epstein du projet Hamilton (ce projet qui remplace l’argent liquide) ainsi que SegWit (qui a fait passé Bitcoin de l’argent liquide numérique à l’or numérique). Alors que le bitcoin était de plus en plus adopté comme alternative au dollar, il a été étranglé. Peu après, un projet était lancé pour créer les MNBC, soit une alternative au Bitcoin, sous contrôle de l’État. Ces sujets méritent certainement d’être approfondis.

Pour approfondir nombre de ces sujets, je vous invite à lire mon livre, « The Final Countdown » (Le compte à rebours final). Il décrit l’avenir dystopique qui nous attend peut-être, façonné par les MNBC et les systèmes de crédit social. Il traite de la progression mondiale des MNBC, de l’effondrement imminent du dollar et des monnaies fiduciaires en général, et présente des mesures tangibles pour se prémunir des MNBC en adoptant et en utilisant des cryptomonnaies, de l’or et de l’argent qui soient autodétenus, et ce dans le cadre d’une économie parallèle.


1 CBDC en anglais, pour Central Bank Digital Currency (NDLR)




Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez

[Source : les-remedes-naturels.fr]

Livre de Kevin Trudeau

Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez est un véritable manuel de santé qui nous dévoile notamment :

  • Les petits secrets cachés des gouvernements
  • Comment le système nous manipule
  • Pourquoi tout n’est qu’une histoire d’argent, avant tout
  • Comprendre pourquoi nous tombons malade
  • Appréhender les remèdes naturels
  • Savoir quoi faire pour guérir de pratiquement tout et ne plus être malade
  • Et bien plus encore… Regardez la vidéo ci-dessus

[Voir aussi :
La médecine spirituelle — Soigner l’âme pour guérir le corps
Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé
Le Cancer revisité
Approche de la santé par la reconnaissance de la dimension vibratoire du corps
Une autre vision des maladies infantiles
Le Mythe de l’Infection
Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?
Un nouveau paradigme médical
Les Racines de nos Maladies
et les nombreux autres articles du dossier Vaccins et virus]

Kevin Trudeau a une capacité hors du commun à expliquer les choses avec simplicité et clarté. Après avoir fait partie d’une certaine élite gouvernante, ainsi que de certaines sociétés secrètes, il est de ceux qui ont décidé de quitter ce monde pour dévoiler au grand public les atrocités dont ces « élites » sont capables.

Aujourd’hui, il lève le voile sur le fonctionnement du système pharmaceutique au niveau mondial.

  • Partagez et diffusez largement ! Ce livre fait vraiment changer les consciences.

À propos de l’auteur

Kevin Trudeau est un des principaux défenseurs des consommateurs américains. Ayant expérimenté le milieu élitiste de ceux qui nous dirigent de première main, il a finalement rétabli les priorités de sa vie. Sa nouvelle mission personnelle et professionnelle est d’impacter positivement l’ensemble des individus.

Kevin est connu comme l’un des grands succès américains. Il est considéré comme l’un des chefs d’entreprise les plus prolifiques des États-Unis, ayant construit un empire commercial mondial de 2 milliards de dollars. Ce qui rend ceci encore plus étonnant, c’est que Kevin n’a reçu aucune éducation formelle ; ni de la famille ; il a commencé sans argent ; n’a jamais reçu aucun capital, prêt ou financement, aucune subvention du gouvernement, et a rendu toutes ses entreprises extrêmement rentables.

Après avoir été attaqué et poursuivi dans trois continents, Kevin sait par expérience personnelle comment les grosses industries et les gouvernements tentent de discréditer les individus qui font la promotion de produits qui pourraient stopper les profits des énormes multinationales.

→ Dans ce livre, il nous dévoile tout…

À propos du traducteur

Jean-Luc Scheefer est ingénieur avant tout et a choisi de suivre ses rêves plutôt que de se conformer aux standards ou aux limites de la société.

De startup en startup, il a construit ses capacités d’entrepreneur, sa force, son adaptation, ses connaissances en termes de santé et de finances et une conviction : la santé et la liberté sont les aspects les plus importants.

Vivant maintenant une vie nomade et libre à travers le monde, il est la preuve vivante que changer de vie et atteindre ses rêves EST POSSIBLE.

Il partage aujourd’hui ses connaissances et compétences en développant notamment l’axe de la santé ainsi que celui de la finance pour que tout le monde puisse accéder à plus de tranquillité financière, le tout en parfaite santé.

→ Il avait à cœur de faire profiter la communauté francophone de ce Best-Seller remarquable, c’est chose faite !

Un petit mot du traducteur

Ce livre a déjà aidé des millions de gens aujourd’hui, à retrouver la santé, guérir du cancer, devenir leur meilleure version d’eux-mêmes.
Nous ne manquons plus d’exemples de gens qui n’ont même plus de rhume.

Si vous lisez ce livre et que vous faites ce qui est indiqué, ça fonctionnera pour vous aussi. Nous avons beaucoup apprécié l’aspect « orienté solution » de ce livre. En effet, il se détache en 2 parties :

  • Une partie est destinée à nous dévoiler ce qui se trame en coulisse,
  • une autre à nous offrir un véritable buffet de compétences, de capacités et de connaissances pour nous « sortir de leurs griffes ».

Voici une analogie tirée du livre et qui est particulièrement remplie de sens :
Imaginez que votre voyant d’huile moteur s’allume sur le tableau de bord de votre voiture. Vous avez alors 2 possibilités pour qu’il s’éteigne.

  • 1. Vous dévissez l’ampoule du voyant lumineux
  • 2. Vous remettez de l’huile dans votre moteur

Si vous pensez que dévisser l’ampoule est complètement inapproprié, c’est rassurant. Pour bien comprendre, l’analogie nous suggère que le manque d’huile est la cause, que le voyant est le symptôme, que la solution 1 est généralement un médicament et que la solution 2 est le traitement de la cause. Cette dernière est exactement ce dont il s’agit dans ce livre.

Liste des Chapitres du livre

  1. Chapitre 1
    Je devrais être mort aujourd’hui
  2. Chapitre 2
    Quel est le problème avec la santé ?
  3. Chapitre 3
    Tout n’est qu’une histoire d’argent
  4. Chapitre 4
    Qui sont « ILS » ?
  5. Chapitre 5
    Pourquoi sommes-nous malades ?
  6. Chapitre 6
    Comment ne plus jamais être malade ?
  7. Chapitre 7
    Pourquoi les gens sont-ils obèses ?
  8. Chapitre 8
    Comment perdre du poids sans effort et rester mince pour toujours
  9. Chapitre 9
    Comment lire les étiquettes d’ingrédients
  10. Chapitre 10
    Vous n’êtes pas convaincu ?
  11. Chapitre 11
    Questions fréquemment posées
  12. Chapitre 12
    Vous n’êtes toujours pas convaincu ?
  13. Chapitre 13
    Les remèdes « naturels » pour des maladies spécifiques
  14. Chapitre 14
    NATURALCURES.COM
  15. Chapitre 15
    La Solution
  16. Chapitre 16, 17, 18
    BONUS +++

Extrait du chapitre 1 —Je devrais être mort aujourd’hui

Je conduisais ma toute nouvelle corvette sur l’autoroute pour sortir de Chicago, en Illinois, profitant d’une belle journée ensoleillée. Soudain je ressentis une énorme douleur dans ma poitrine. Je pouvais à peine respirer ; la douleur était étouffante. Je me suis immédiatement rabattu sur le côté de la route. Ma vie a littéralement défilé devant mes yeux et j’ai pensé : « Oh mon dieu je suis en train d’avoir une attaque cardiaque et je n’ai que 21 ans ».

Aussi vite que la douleur était arrivée, elle disparut. Je me sentais étourdi, désorienté, et dans un état de choc et d’incompréhension sur ce qui venait juste de se passer. Je regardai vers le bas et remarquai mon nouveau téléphone de voiture, une invention qui venait juste de faire son apparition dans les alentours de Chicago. Je décrochai le téléphone, appelai ma secrétaire et lui dis : « Je crois que je viens juste d’avoir une attaque cardiaque. »

Fort heureusement pour moi, durant les mois qui suivirent je me sentis très bien. J’en conclus que si c’était une attaque cardiaque, cela n’avait pas causé de dommage majeur. Mais quelque chose s’était évidemment passé. Durant les trois semaines suivantes, je fus examiné par trois des meilleurs spécialistes cardiaques en Amérique. À l’aide des appareils médicaux de diagnostics les plus sophistiqués, il a été conclu après quelques jours de tests que j’étais né avec une malformation cardiaque, un sévère prolapsus de la valve mitrale qui me causerait sans doute des problèmes médicaux majeurs tout le long de ma vie. Il n’y avait aucun remède. Ces éminents médecins me recommandèrent des médicaments expérimentaux ou des chirurgies risquées, pour lesquelles les chances de réussite étaient très faibles. Ma vie et mes attentes venaient de raccourcir sérieusement. Je me suis alors questionné à propos de toutes ces informations, cherchant un plan d’action qui pourrait résoudre mon dilemme. J’avais 21 ans et toute ma vie devant moi, je devais faire quelque chose !

Quelques mois auparavant, j’avais assisté à un séminaire où j’avais entendu parler d’un médecin d’Harvard, nommé Yiwen Y. Tang, fondateur de la Century Clinic, à Reno, dans le Nevada, qui durant la guerre de Corée, était un chirurgien reconnu. (Aujourd’hui la clinique est appelée Sierra Integrative Medical Center). Ce médecin avait décidé que les procédures médicales standards, les médicaments, la chirurgie n’étaient pas les meilleurs moyens de prévenir et de guérir les maladies. En remplacement, il utilisait une machine à diagnostic développée en Allemagne par le docteur Reinhold Voll, appelée la machine Dermatron. À ce que l’on prétend, en quelques minutes, il pouvait diagnostiquer un problème médical dans le corps. Une fois le diagnostic complété, des remèdes homéopathiques étaient donnés pour corriger les défauts d’équilibre, renversant le processus et rétablissant ainsi l’équilibre.

À ce moment-là, ce fut pour moi une révélation. Les mots homéostasies, soins holistiques, remèdes homéopathiques, méridiens d’acupuncture, fréquence énergétique, déséquilibre, et d’autres étaient utilisés dans ce séminaire, remplaçant ce qui était pour moi, le jargon pour définir les germes, les bactéries, les virus, les médicaments, la chirurgie et la génétique. Sceptique, à peine ouvert à ces nouvelles idées, je m’envolais vers Reno, au Nevada, afin d’y rencontrer le Dr. Tang. Qu’avais-je à perdre ?

À mon arrivée, le docteur me demanda pourquoi j’étais là. Je semblais en bonne santé physique, et si jeune. Il était quelque peu perplexe concernant mon désir d’effectuer un diagnostic. La plupart de ses patients étaient âgés et avaient de sévères problèmes médicaux. Souhaitant voir si sa machine Dermatron était bien réelle, je dis simplement, « Je me sens bien. Je souhaite juste une petite vérification. »

Immédiatement, il me testa avec sa machine magique. En à peine deux minutes, alors qu’il touchait mes méridiens cardiaques avec une sonde, la machine enregistra une très faible énergie. Le docteur me regarda, quelque peu concerné, et dit, « Fils, vous avez un problème cardiaque. » J’étais abasourdi en voyant à quel point le diagnostic avait été rapide. Presque aussi vite que de le dire, « Laissez-moi regarder où cela peut être ». 

Il commença à toucher d’autres points méridiens. Quand il arriva sur la valve mitrale, la machine enregistra à nouveau une très faible énergie. Il me regarda comme si c’était logique, « Vous avez un prolapsus de la valve mitrale. » 

J’étais bouche bée. Les médecins experts avaient mis quelques jours à faire des tests et des diagnostics pour déterminer que j’avais un sévère prolapsus de la valve mitrale. Cette « machine à énergie » avait diagnostiqué le problème en quelques minutes. Je regardais le docteur et dis, « Oui je sais, et je comprends que c’est incurable. » Sa réponse me surprit, « Oui, en Amérique c’est incurable, mais il y a des traitements naturels dans d’autres pays qui peuvent inverser le processus en quelques semaines. Malheureusement la FDA n’a pas approuvé ces traitements, donc oui, en Amérique c’est incurable. » Il en vint ensuite à m’expliquer une procédure d’injection de cellules vivantes — disponible en Suisse ou à Mexico, mais non accessible en tant que traitement légal aux États-Unis — qui pouvait corriger le problème en reconstruisant le cœur, assurant ainsi que ça ne reviendrait jamais.

Très franchement, je ne pouvais en croire mes oreilles. Des traitements naturels qui fonctionnent et qui ne sont pas approuvés par la FDA ? Impossible !

Cet évènement est survenu il y a plus de 20 ans. Le traitement que j’ai suivi était très abordable, complètement naturel, sans douleur, rapide, et ça a marché ! Et encore à ce jour, cette thérapie est illégale en Amérique. La partie la plus incroyable de cette histoire est, qu’après avoir reçu ce traitement naturel interdit en Amérique, je suis retourné voir les médecins spécialistes qui avaient originellement diagnostiqué mon problème cardiaque, et je leur ai demandé à être à nouveau examiné. Ils recevaient ma requête avec indignation ; ils me dirent qu’effectuer un nouveau test était une perte de temps et d’argent, car il était impossible que ma situation ait changé en deux mois. Néanmoins, j’ai demandé que les tests soient refaits. Les médecins le prirent avec humour et ont été stupéfaits quand ils ont découvert que je n’avais plus ce prolapsus de la valve mitrale.

J’étais très excité de partager cette information avec eux concernant ce traitement qui était venu à bout de mon problème. Ces médecins souhaiteraient certainement connaître ce traitement médical complètement naturel qui avait pu guérir l’incurable ! Imaginez mon étonnement quand ils m’ont annoncé que le traitement que j’avais reçu n’avait pas pu guérir ma maladie, mais, qu’au contraire, le premier diagnostic avait dû être erroné, et que la maladie n’avait jamais existé. Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. Ces éminents médecins n’acceptaient pas les faits : j’avais un sévère prolapsus de la valve mitrale — les images l’avaient confirmé — et maintenant je n’avais plus ce prolapsus de la valve mitrale — les images le confirmaient à nouveau…

Témoignages de lecteurs

« Lorsque j’étais très jeune, j’étais toujours très malade. J’ai essayé l’approche traditionnelle offerte par la société. J’ai écouté les docteurs et pris les médicaments qui m’étaient prescrits, mais ma santé ne semblait pas s’améliorer. En fait j’étais de plus en plus malade. Avec le temps ma confiance envers ceux que l’on considère comme étant les experts en santé s’est effritée. Malheureusement, je n’avais aucune alternative à l’époque.
Avant de lire le livre Les Remèdes Naturels “qu’ILS” ne veulent pas que vous connaissiez en 2011, je n’avais jamais fait l’expérience d’une santé optimale. Je souffrais de fatigue chronique, de problème de digestion, de maux de dos et j’avais l’impression d’être dans un constant brouillard mental. Lorsque j’ai lu le livre pour la première fois, j’ai été choqué de constater à quel point le système de santé était corrompu. Heureusement, Kevin nous donne les clés pour que l’on puisse prendre la responsabilité de notre propre santé. En appliquant l’information du livre, j’ai été en mesure d’améliorer drastiquement mon état de santé. Je me sens mieux que jamais, je n’ai plus aucune douleur ou inconfort, j’ai de l’énergie plus que jamais et une clarté mentale phénoménale. Je n’ai pas pris de médicaments depuis plus de 9 ans. Je ne me suis jamais senti aussi vivant. Je suis extrêmement reconnaissant que Kevin ait choisi de partager cette information avec le monde. Ce livre a complètement transformé ma vie. »

David CP. | Val-d’or, Québec, Canada

« Ce livre est un cadeau pour la vie. Je suis tellement heureuse à l’idée de pouvoir le consulter en français. Nous avons tellement besoin de nous rapprocher de nos racines dans les périodes de fragilité. À placer dans toutes les armoires à pharmacie de nos maisons ! »

Catherine | Paris, Seine, France

« J’avais déjà entendu parler de ce livre grâce à un club privé. Mon déclic pour le lire en anglais a été l’arrivée de mon premier enfant. Même si moi-même, je m’étais intuitivement écartée du système médical, je voulais être certaine de mon choix et avoir des arguments, des méthodes solides pour élever et éduquer mes enfants au mieux. Dans ce livre, j’ai non seulement trouvé des réponses à mes questions, mais j’ai aussi pris conscience que certains changements étaient nécessaires et vitaux pour continuer à être en bonne santé. Certains conseils du livre sont bien différents de ce que j’avais appris jusqu’à présent…
Même si je l’ai déjà lu en anglais, je n’hésiterai pas à me le procurer en français et à l’offrir autour de moi. Ce livre est une bénédiction à notre époque ! Découvrez-le, savourez-le et surtout appliquez-le, vous n’aurez presque plus jamais à vous soucier de votre santé ! »

Erysia H. | Biarritz, Pyrénées-Atlantiques, France

« J’ai lu Natural Cures en anglais il y a longtemps quand il est sorti. Ce livre m’a complètement ouvert les yeux, et a changé ma vie, car je me suis rendu compte qu’il y a énormément d’options en marge de la corruption existante. En essayant la plupart, voire la grosse majorité des remèdes dont il parle, je peux affirmer que tous fonctionnent.
Aujourd’hui je continue à pratiquer de nombreuses choses que j’ai apprises dans ce livre et mon médecin m’a même dit, qu’à 43 ans, j’avais le corps d’un homme de 28 ans ainsi que toutes les constantes et tous les taux qui vont avec. »

Justin D. | Nottingham, Angleterre

« Depuis ma naissance, j’ai souffert d’asthme chronique. Opérations, médicaments, cures thermales ont été mon quotidien pendant plus de 20 ans. Quand j’ai découvert la naturopathie, cela m’a tout de suite passionné et j’ai pu considérablement améliorer ma santé. Cela m’a permis de pratiquer le sport à haut niveau et même de battre plusieurs records lorsque j’ai participé aux championnats de France d’athlétisme ! Je pensais m’y connaître en remèdes naturels, mais grâce à Kevin Trudeau cela fait près de 10 ans que je bénéficie (et que je fais bénéficier les autres) de tout ce qu’il m’a appris.
Je me réjouis à l’idée que grâce à l’édition française de ce best-seller aux États-Unis, les francophones qui ne parlent pas anglais vont pouvoir, comme moi, améliorer leur santé avec l’aide des conseils de ces précieux conseils. L’hécatombe causée par le coronavirus prouve le faible niveau de santé de la population dans les pays riches et l’impérieux besoin de renforcer le système immunitaire du plus grand nombre. Ce livre en donne la recette, et bien davantage… À votre santé! 🙂 »

Pierre-Henri K. | Guiscard, Oise, France

« Ce livre a confirmé et synthétisé ce que des années de recherches en santé naturelle m’ont appris, mais il m’a aussi appris beaucoup et m’a même amené à remettre en question certaines choses que je pensais savoir. Le texte est clair et agréable à lire, les références bibliographiques sont excellentes et on y trouve tous les outils pour reprendre pleinement le contrôle de sa santé. Il permet aussi d’entrevoir l’ampleur de la corruption des systèmes de santé partout dans le monde et qui se révèle encore un peu plus en cette période de covid-19.
Maintenant évidement, le lire c’est bien, mais c’est quand vous l’appliquerez que vous verrez les vrais changements dans votre vie. »

Étienne L. | La Courneuve, Seine-St-Denis, France

« Ce livre est une pépite d’or ! J’imaginais être en excellente santé avant la découverte de cet ouvrage. Depuis que j’ai commencé à appliquer les conseils de Kevin Trudeau, je vis de véritables transformations : ma peau est beaucoup plus belle, je suis plus en forme que jamais, j’ai davantage de concentration, je n’ai plus de maux de tête ou d’autres syndromes considérés comme “normaux”. Je me sens pleinement vivante, tout simplement. Il y a quelques années, poussée par mon envie d’aller droit au but face à ce gros livre en anglais, j’ai lu uniquement le chapitre 6. Si vous avez l’idée de faire ça, sachez qu’à mon sens, c’est une grosse erreur ! J’étais passée à côté de belles prises de conscience sur ma santé et de connaissances extraordinaires sur les industries pharmaceutique et agroalimentaire. De quoi tout simplement passer à l’action et prendre mon corps en main.
Je me réjouis donc de la sortie de cette édition française et je suis convaincue qu’elle aidera des francophones en recherche de remèdes naturels, mais aussi ceux qui, comme moi, n’imaginaient pas que leur santé pouvait passer au niveau supérieur ! J’ai une foi immense en cet ouvrage et dans les résultats que vous pouvez obtenir. »

Caroline K. | Compiègne, Oise, France

« Ce livre est incroyable ! Un ami me l’a fortement recommandé, et j’ai été ravie de le lire. Ce qui m’a vraiment parlé c’est la façon dont les industries pharmaceutiques gagnent tout cet argent en laissant les gens dans l’ignorance et la souffrance. J’ai aussi identifié des procédures de nettoyage soulignées dans le livre et j’en ai en fait suivi une. Bien qu’ayant démarré le nettoyage avec 30 kilos de trop, ma seule intention était de nettoyer mon corps. Mais le poids que j’ai perdu, combiné à la disparition de mes maux de tête, m’ont vraiment encouragée à poursuivre des alternatives naturelles. Me lever à 6 h du matin n’était pas dans mes habitudes, et je n’ai plus envie de faire une sieste l’après-midi. Je suis une nouvelle personne, et c’est vraiment excitant.
J’ai fait quelques changements dans mes habitudes alimentaires et ainsi de suite, mais je ne suis pas limitée à deux ou trois points par jour. Ce livre est vivifiant, brutalement honnête, et plein de vérité. Si vous êtes intéressé par l’amélioration de votre santé, ce livre est un incontournable. Je l’ai recommandé à toute ma famille parce qu’ils sont importants pour moi et je veux qu’ils retrouvent la pleine santé. Vous devez lire ce livre. »

J. C. | Boulder, Colorado

« C’est un très grand honneur d’apporter ma reconnaissance à cet ouvrage, dont j’ai étudié à l’époque les 3 ouvrages disponibles en langue originelle, et qui a été merveilleusement traduit afin que tous les francophones puissent y accéder. Cette information arrive à point dans un moment de crise sanitaire, qui a mis tant d’humains à genou poussés à subir une mascarade de non-sens, par manque d’information accessible au grand public et qui permettra de normaliser les esprits en orientant tant d’êtres en quête de vérité. La plus grande richesse est celle de la connaissance, qui nous permet de devenir autonomes dans tous les domaines de nos besoins essentiels et notamment celui de notre Santé corps et âme, base fondamentale du bien-être de toute la famille. Ce livre m’avait d’ailleurs motivée à faire partie de la grande aventure GIN au départ en France et je remercie Kevin Trudeau pour son remarquable travail accompli, qui a permis à tant de ceux qui ont investi plein d’énergie à poursuivre les enseignements qui ouvrent les portes à grandes prises de conscience. »

Ursula C. | Bessèges sur Cèze, Gard, France

« Ce livre est une révélation. Je savais déjà depuis longtemps que ce monde ne tournait pas rond et ce livre m’a permis de comprendre à quel point. Au niveau de la santé, même si j’ai toujours été en bonne santé, je n’imaginais pas à quel point je pouvais faire mieux. J’ai toujours eu environ deux rhumes par an, sans trop d’inquiétude et pensant que c’était normal et qu’il était inéluctable de les “attraper”. Aujourd’hui, je n’en ai plus. C’est un travail entre le corps et l’esprit et tout est expliqué dans ce livre.
Mais le plus grand changement, la plus grande bénédiction, c’est que je n’ai plus peur, ce livre a totalement changé la façon dont je vois la santé. Je n’ai plus peur de la maladie parce que je sais comment cela fonctionne, et je sais maintenant exactement quoi faire pour retrouver mon état naturel de santé. Si quelque chose devait m’arriver, je sais exactement quoi faire et où aller pour me soigner convenablement sans les effets secondaires de la médecine standard qui est plus que jamais corrompue. Qui écoutez-vous ? Celui qui prend soin de vous avant tout ou celui qui se fait de l’argent sur votre dos, sur votre santé ? Je n’ai plus peur, plus peur du cancer, plus peur des virus… Merci Kevin ! »

K. C. | Antibes, Alpes-Maritimes, France




L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune »

[Source : arianebilheran.com]

L’opposition contrôlée ou « le syndicat jaune » — Antipresse 425

Par Ariane Bilheran

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La mise en place de la dystopie covidienne a entraîné de profondes ruptures au sein de nos sociétés.

Des groupes se sont formés pour résister au règne de l’absurde et à la dictature sanitaire, de nouveaux médias ont émergé, et aussi, bien entendu, des leaders d’opinion et des figures charismatiques. Croira-t-on que le pouvoir qui a mis en place un système aussi inique et abusif soit resté les bras croisés face à cette contestation ? Les récents remous qui agitent la sphère de l’opposition témoignent au contraire d’un travail de sape et de subversion efficace, qui doit être étudié en soi comme l’une des composantes de la dérive totalitaire en cours. Voici donc un aperçu des stratégies et des procédés.

Lorsqu’un pouvoir enclenche une guerre contre sa population, pour faire passer en force des mesures impopulaires et/ou divers projets tyranniques, il sait qu’une frange politisée (au sens de l’engagement politique au sens noble), certes minime mais solide, risque de réagir. Il anticipe et canalise donc cette colère en fabriquant « sa » résistance, produit de la même ingénierie et de la même ardeur avec lesquelles il s’emploie à manipuler la population. Notons que les mêmes méthodes sont appliquées dans les entreprises, lors de la création du « syndicat jaune » dont la fonction sera d’être au service, non pas des travailleurs, mais des patrons.

Ainsi, comment un pouvoir anticipe-t-il une résistance et la contrôle de l’intérieur jusqu’à la neutraliser puis la dissoudre ? Il est d’usage de parler d’opposition contrôlée (que j’appellerai ici « syndicat jaune ») mais encore faut-il revenir sur les techniques employées.

Cette opposition de façade est créée « dès le départ ». Ce point est essentiel. Elle a plusieurs fonctions. Tout d’abord, orienter et concentrer le plus possible les mécontentements à un seul endroit, tenu par ce même pouvoir derrière le ou les chefs du syndicat jaune. Cette agglomération permettra ensuite de diriger ces colères vers des revendications qui ne sont pas dangereuses pour le pouvoir et d’engager sur des actions non périlleuses, qui détournent l’attention de celles qui le sont. Par exemple, le syndicat jaune se battra pour l’heure de pause ou le menu du repas à la cantine, plutôt que contre le plan de licenciement. Les sujets qui fâchent sont occultés et l’attention est détournée. Enfin, il s’agit de cartographier les opposants, ceci afin d’obtenir l’intégralité des noms, et identifier les plus problématiques parmi eux, tant en force et dangerosité qu’en puissance de caractère et intégrité, dans l’intention de les neutraliser à terme.

Profilage

Qui sont les acteurs de cette « résistance autorisée » au service du pouvoir ? Il y a en première ligne les acteurs conscients, les espions et les chefs du syndicat jaune. Ces derniers sont des agents recrutés, choisis, préalablement formés, scrupuleusement entraînés, redoutablement conseillés, et évidemment, grassement rémunérés. Commençons par les chefs visibles, qui sont diablement intelligents, cultivés, et ont donc tous les talents pour remplir cette mission.

Leur profil doit paraître irréprochable : aptitude à se dévouer à la cause de la résistance, image destinée à attirer une forte sympathie, voire une idolâtrie qui permettra de créer une nouvelle secte, dans le but d’évincer, avec l’aide des fanatiques envoûtés, les autres leaders intègres une fois que le mot d’ordre en sera donné, ou encore de créer une illusion telle que, lorsque les faits et gestes des leaders du syndicat jaune commenceront à être révélés, personne ne puisse y croire.

Les deux stratégies

Une stratégie de communication sera mise en place pour que la population identifie aisément quels sont les chefs qu’il convient de suivre. Par exemple, ils peuvent être propulsés dans certains médias du pouvoir comme était des leaders de la résistance, avec deux techniques. La première sera le passage très médiatisé dans un organe de communication du pouvoir, néanmoins présenté à la masse comme un média d’opposition, ce qui ne résistera pas à l’analyse des soutiens financiers : qui paie l’orchestre paie la musique.

La deuxième consiste à médiatiser les chefs infiltrés comme des leaders infréquentables, par exemple, avec des articles à charge, une visibilité à la télévision, etc. et même, à faire croire à des représailles sur eux (censure, convocations, etc.). Le film avec ses acteurs, son scénario et ses péripéties doit être, surtout, parfaitement crédible. L’essentiel est que l’ensemble soit amplement médiatisé et que les agents puissent être facilement et rapidement identifiés comme les nouveaux chefs de la résistance. En couvrant ces deux aspects, on est assez certain d’attirer la majorité des mécontents : ceux qui croient ce que les médias officiels leur disent, et ceux qui ne les croient plus mais croient encore aux médias officiels ou aux médias désormais intronisés dans cette résistance manipulée. Ce constat du mode de propulsion des chefs du syndicat jaune est aussi valable pour les médias et groupes (associations, etc.) qui vont remplir le rôle de pseudo-opposants au pouvoir, et être investis de cette mission.

Pendant ce temps, et dans la réalité, les véritables opposants (chefs, porte-parole, groupes et médias) sont l’objet d’une savante stratégie d’invisibilisation et de censure, que ce soit dans les médias officiels du pouvoir ou dans les médias apparents de l’opposition au pouvoir. À une nuance près : si l’on a besoin de se servir de leur image pour une caution d’intégrité ou de crédibilité, ils peuvent être instrumentalisés un certain temps. On les effacera de l’échiquier plus tard, lorsque cet « argument d’autorité » n’aura plus d’intérêt.

Chantage

En dehors de ces agents dûment employés par le pouvoir pour créer une toile d’araignée autour de la résistance afin de dévorer sans peine les individus et les groupes qui dérangent (à la condition de les avoir au préalable isolés et piégés), il existe d’autres profils au service de la « résistance autorisée ». Ce sont des profils sur lesquels le pouvoir a des dossiers pour les mettre à son service et les faire chanter : s’ils ne se soumettent pas, leur sort sera bien pire. Telle était notamment l’utilité des carnets noirs d’Epstein. Telle est la fonction de toutes les compromissions auxquelles on accule les gens en politique politicienne. Par exemple, dans la lutte contre les réseaux pédophiles, beaucoup de pédophiles sont en réalité au service du pouvoir et feignent de lutter contre ce fléau. Ils récoltent ainsi de l’argent (qui ne sera donc pas distribué aux véritables groupes résistants/militants, tactique de la diversion des flux), mais pire, ils attirent à eux beaucoup de victimes, lesquelles atterrissent alors dans le piège, et finissent capturées dans ces réseaux. C’est ainsi que certaines associations ayant pignon sur rue (médiatisées) font payer jusqu’à 150 000 euros de frais d’avocat dans des cas où un parent signale des transgressions sexuelles sur son enfant. Le résultat est connu d’avance : le parent est plumé, l’enfant finit entre les mains de son agresseur, ou pire, dans certains secteurs de la « protection de l’enfance », elle-même aujourd’hui infiltrée par les réseaux pédophiles. Des dossiers similaires, j’en ai vu une centaine durant la dernière décennie.

Harcèlement

Il existe enfin des petites mains de l’ombre, destinées à harceler les véritables profils résistants, et à les affaiblir, notamment dans la guerre de l’information : les équipes de trolls qui s’agglutinent sur un sujet pour le polluer, avec une formation spécifique, un entraînement et des consignes ciblées.

Infiltration

Pour neutraliser les profils qui dérangent le pouvoir, il convient d’identifier leurs soutiens, et de mettre tout en œuvre pour les affaiblir. La première technique consiste à envoyer un espion proposer de l’aide, pour tenter d’approcher le plus possible le vrai chef, obtenir un maximum d’informations sur lui et la cartographie de ses alliés. Il en est de même pour les groupes qu’il s’agira d’infiltrer. Autre méthode : un premier agent attaque l’individu, tandis qu’un autre agent, officiellement « ennemi » du premier, se rapproche de la cible pour lui venir en soutien et gagner sa confiance…

Cette infiltration est le fait d’espions chargés d’observer, de prendre des postes stratégiques, d’écarter des ralliements à la résistance qui sont des soutiens intègres de taille. Ils sont aussi utilisés pour manipuler les failles, récupérer des informations privées sur les gens : réseau d’amis, capacités financières, lieu du domicile, conditions de vie, etc., de façon à les faire ensuite plier par des techniques que j’ai déjà amplement développées dans mes travaux sur le harcèlement, il y a des années.

Guet-apens

Affaiblir les chefs suppose aussi de mettre en place des campagnes de calomnie, car nous savons qu’il en reste toujours quelque chose ([voir mon article à ce propos]). Enfin, on peut faire tomber dans des traquenards. Par exemple, j’ai été enregistrée à mon insu par une soi-disant figure de la résistance anti-pédocriminalité, qui tentait de me piéger pour me faire absolument dire (devant des dizaines de personnes qui m’écoutaient sans que je ne le sache) qu’il fallait brûler les écoles. Ce que je n’ai évidemment pas dit, car je suis fermement opposée à ces appels à la violence. Ces espions repèrent, après grande observation, les profils les plus manipulables (n’oublions pas la manipulation à l’empathie…), influençables, suggestibles ou corruptibles. Ils commencent par les maillons faibles, car il est plus facile de les retourner.

Séduction

La première approche consiste à séduire. La séduction peut englober différents types d’avantages, dont la personne visée sera plus ou moins consciente : une certaine promotion médiatique, l’écriture de livres pour des gens qui étaient jusque-là de parfaits inconnus, ou encore, des postes avantageux donnés par le pouvoir (ex. : proposition d’un ministère dans le futur gouvernement postrévolutionnaire), jusqu’à des enveloppes financières plus ou moins volumineuses. Si certains sujets ne doivent pas être abordés parce qu’ils sont « secret défense » ou trop sensibles, les silences sont achetés, comme la participation active à la mise à mort calomnieuse des individus qui en parlent. Le témoignage le plus important en la matière que j’ai pu recueillir actuellement (sachant qu’il n’est pas le seul) est une enveloppe de… vingt millions d’euros (!) pour donner la cartographie d’un grand réseau de résistants qui développent l’autonomie, en particulier alimentaire. La personne qui a refusé cette aimable proposition, avait également subi des tentatives d’intrusion dans le groupe allant jusqu’au putsch, le harcèlement et la calomnie. J’ai une question pour le lecteur : pour un refus intègre, combien d’autres qui auraient accepté ?

Terreur

Les menaces et les intimidations sont aussi une tactique efficace : contrôles fiscaux, fermeture de comptes bancaires, effractions au domicile ou au bureau, voitures saccagées, coups et blessures, tentatives d’assassinat, fausses dénonciations, etc. Ces menaces peuvent provenir des infiltrés du syndicat jaune comme du pouvoir directement, car ne l’oublions pas : c’est la même équipe. Séduction et terreur suffisent en général à faire imploser la résistance. Les spectateurs extérieurs ne comprennent rien à ces histoires, et continuent de s’illusionner sur une « résistance unie ». Ils se satisfont souvent de slogans tout faits tels que « la guerre des egos ». Pour autant, le paysage est devenu opaque, englué dans des polémiques interminables, qui entravent la réception des messages, enterrent les véritables sujets, divisent les alliances, jusqu’à la neutralisation de toutes les actions.

Faux amis

La perversion ultime consiste, pour les chefs des syndicats jaunes (qui se donnent parfois à voir comme des ennemis publics, pour mieux brouiller les cartes), à s’afficher publiquement comme les soutiens des délégués syndicaux intègres, tout en les attaquant au même moment, et avec une extrême brutalité, par-derrière. Cela m’est arrivé plusieurs fois durant ces sept dernières années d’exposition publique : des soutiens extrêmement élogieux à mon encontre m’agressent dans les coulisses le même jour que l’éloge public (menaces de mort, tentatives de division sur des alliances, insultes, etc.) !

Substitution

Si, malgré tout l’art déployé, les sujets et les individus qui fâchent continuent d’avoir de l’audience, alors des actions radicales de censure et d’intimidation sont prises (fermeture d’une chaîne YouTube, agressions physiques, etc.). Et si, malgré tout, le message continue toujours de se diffuser, alors une autre tactique est mise en place : la création de figures « avatars » qui ont des styles, des profils et des discours semblables et qui viennent occuper les écrans à la place des profils intègres et radicaux. Ils récupèrent le contenu du discours et du message, mais en ôtent la charge subversive, et surtout, orientent les propos vers des conclusions totalement différentes… des slogans appelant au « non-agir », à ne pas condamner les criminels du pouvoir, entre autres. Dans l’opposition à « l’éducation sexuelle », par exemple, on peut aisément identifier des discours médiatisés qui feignent de dénoncer tandis qu’ils édulcorent savamment le sujet, passent sous silence l’OMS et ne désignent pas l’ennemi. Lorsque ce n’est plus possible, ils attaquent l’OMS tout en reprenant… ses hypothèses contre-scientifiques sur la supposée « sexualité » de l’enfant dès sa naissance.

En conclusion, toute cette résistance autorisée, si elle n’est pas identifiée et neutralisée rapidement, entraînera le sacrifice des profils innocents et des intègres, ce qui arrangera tous ceux qui ont chuté dans la corruption et l’opportunisme. Le pouvoir aura gagné la partie, notamment s’il y a « révolution » ou « renversement », car en réalité les nouveaux chefs auront toujours travaillé à son service…

https://www.bookelis.com/sciences-humaines/58555-Tout-sur-le-harcelement-Tome-I.html
https://www.bookelis.com/sciences-humaines/58556-Tout-sur-le-harcelement-Tome-II.html

Bilheran, A. 2023. Tout sur le harcèlement ! Soumettre ou démettre, tomes 1 & 2, Bookelis.

Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, est spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.




Les risques de la vaccination anti-paludisme au Cameroun

Par le Dr Gérard Delépine

Un article récent de Jean-Baptiste Ketchateng paru dans France soir1 fait l’éloge de la vaccination expérimentale anti-paludisme avec des qualificatifs dignes des services de publicité des fabricants de vaccins. Pour chanter leurs louanges, il ne consulte pas les publications médicales internationales sur le sujet, mais se contente de citer la foi de personnes sans qualification médicale comme Hélène Akono, la mère de Noah « moi je sais que les vaccins sont bons pour les enfants » ou d’organisations très dépendantes de B. Gates à l’origine de la campagne de vaccination comme GAVI ou l’OMS.

Comme on ne peut en vouloir à un non-médecin, de plus dépendant de l’AFP, de ne pas savoir consulter les bases de données médicales internationales, voici les données récentes des essais de ce vaccin et les liens pour les consulter.

Le paludisme constitue un problème majeur de santé publique en Afrique subsaharienne2, et la mise au point d’un vaccin contre cette maladie mobilise la recherche pharmaceutique depuis plus d’un siècle. Mais avec un succès très mitigé jusqu’ici, car ces vaccins peinent à atteindre une efficacité protectrice élevée et durable qui constituent les critères d’un vaccin efficace. Les réponses immunitaires de type anticorps et cellulaires observées jusqu’ici sont faibles et de durée limitée, y compris pour les vaccins que promeut récemment l’OMS comme le Mosquirix™ RTS.

Le vaccin antipaludique Mosquirix™ RTS, S/AS01 E
est un vaccin protéique recombinant qui contient un composant de la protéine circumsporozoïte de Plasmodium falciparum fusionné à l’antigène de surface de l’hépatite B (AgHBs), co-exprimé dans la levure avec un AgHBs (S) libre pour former une particule semblable à un virus (RTS, S) administré avec l’adjuvant AS01a.

Mais ce vaccin est peu efficace et potentiellement nocif chez les filles et chez les enfants vaccinés tardivement (5-7 ans).

Un vaccin peu efficace

Les vaccins très efficaces, comme le vaccin antivariolique ou celui contre la fièvre jaune, protègent les vaccinés de la maladie totalement et à vie après seulement une injection. D’autres vaccins (vaccins contre la grippe ou contre le choléra), peu efficaces ne protègent qu’une fractions des vaccinés et durant une courte période. Les études publiées montrent que Mosquirix fait malheureusement partie des vaccins peu efficaces.

Une étude publiée en 20133 conclue : « l’efficacité du vaccin RTS, S/AS01E sur la période de 4 ans est de 16,8 % ». L’efficacité diminue avec le temps et avec l’augmentation de l’exposition au paludisme aboutissant à une efficacité négative (le vaccin facilitant la maladie) au bout de 4 ans.

Trois ans plus tard, la même équipe4 a confirmé et détaillé ses premières constatations avec la chute rapide de la protection conférée par RTS, S/AS01 qui passe de 35,9 % lors de la première année à seulement 4,4 %, à 7 ans. En cas de forte exposition à la contagion au bout de 5 ans apparaît même un effet de rebond, les vaccinés souffrant davantage du paludisme que les non-vaccinés comme le montrent les figures suivantes :

Une autre étude multicentrique5 portant sur 11 sites différents en Afrique, et incluant 4 453 participants, a confirmé la faible efficacité du vaccin contre la maladie clinique, sa plus rapide diminution en cas d’exposition intense à la contamination et sa durée trop limitée (indétectable 3 ans après la vaccination).

Un nouvel essai6, destiné à évaluer le bénéfice de 3 ou de 4 doses de RTS, S/AS01 à constaté, une augmentation d’incidence de paludisme clinique chez les enfants vaccinés tardivement (entre 5 et 7 ans) par rapport au groupe de comparaison (non vacciné).

Surtout les résultats définitifs de l’essai de phase 37 financé par le fabricant pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché constatent que le vaccin ne réduit ni la mortalité globale8, ni la mortalité due au paludisme, ni les infections secondaires, ni les pneumonies :

« No significant effect on overall mortality, malaria mortality, pneumonia, or sepsis was noted in either age category ».
[« Aucun effet significatif sur la mortalité globale, la mortalité due au paludisme, la pneumonie ou la septicémie n’a été observé dans les deux catégories d’âge ».]

Les avocats chinois du vaccin RTS, S/AS01 reconnaissent d’ailleurs dans leur plaidoyer9 « qu’il souffre de faible efficacité protectrice (environ 30 %), qu’il nécessité de quatre doses et de sa durée d’immunité protectrice trop courte ».

D’autres partisans du RTS, S/AS01 précisent :

« bien que les vaccins soient l’outil idéal pour contrôler, prévenir, éliminer et éradiquer de nombreuses maladies infectieuses, le développement de vaccins contre les parasites, comme celui contre le paludisme, est très complexe. L’EMA a recommandé l’homologation du candidat vaccin antipaludique le plus avancé, RTS, S, un vaccin pré-érythrocytaire. Les résultats de cet essai de phase III suggèrent quece vaccin candidat contre le paludisme est relativement peu efficace et qu’il ne parviendra apparemment pas à atteindre l’objectif d’éradication du paludisme à lui seul… des études plus approfondies sur l’utilisation d’autres cibles parasitaires et de stratégies de vaccination sont fortement recommandées. »

La diversité génétique des parasites est la principale raison de l’évasion et de la résistance des vaccins contre diverses souches comme l’a montré une étude dans laquelle une efficacité réduite a été démontrée chez les variants possédant des séquences hétérologues par rapport au modèle du vaccin RTS, S10.

L’efficacité insuffisante du vaccin a incité de nombreux auteurs à recommencer des campagnes de vaccination chaque année11 12 ou à associer au vaccin une chimiothérapie saisonnière préventive13 14 constituée d’une combinaison de Sulfadoxine-Piryméthamine et d’Amodiaquine. Mais alors pourquoi un vaccin ?

Un vaccin dangereux

La toxicité est actuellement très difficile à évaluer objectivement, car les quelques essais randomisés destinés à la préciser n’ont pas comparé le vaccin à un placebo, mais à un adjuvant ou un autre vaccin (comme le vaccin antirabique15) avec une durée de suivi ne dépassant pas 2 mois. Si les investigateurs avaient voulu dissimuler la toxicité éventuelle, ils ne s’y seraient pas pris autrement.

Cependant une campagne de vaccination16 a constaté que la vaccination RTS, S/AS01 était associée à un taux de létalité deux fois plus élevé chez les enfants atteints de paludisme grave.

Une autre étude prospective randomisée incluant 8 922 enfants et 6 537 nourrissons constate17 que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les filles vaccinées que chez les filles non vaccinées (2,4 % contre 1,3 %, tous âges confondus), une augmentation inexpliquée et statistiquement significative des cas de méningite observée chez les enfants ayant reçu le vaccin à l’âge de 5 à 17 mois et une augmentation possible de la proportion de cas graves de paludisme classés comme paludisme cérébral.

Les auteurs s’alarment : « les signaux de méningite et de MC observés sont considérés comme des “découvertes fortuites probables” qui, compte tenu de leur gravité, justifient une évaluation plus approfondie dans le cadre d’études de phase IV et de programmes pilotes de mise en œuvre dirigés par l’OMS pour établir le profil bénéfice-risque RTS, S/AS01 dans des contextes réels. »

Cette mortalité plus élevée chez les filles après vaccination, statistiquement très significative a infiniment peu de chances d’être due au hasard (P=0,000 6)18 contrairement à ce que suggère l’OMS. D’autant qu’il existe un précédent selon lequel les nourrissons filles connaissent une mortalité accrue après avoir reçu des vaccins19 20. Ainsi dans les années 1980, lorsque le vaccin antirougeoleux à titre élevé (HTMV) a été introduit pour prévenir la rougeole chez les enfants de moins de 9 mois, la mortalité toutes causes confondues a doublé chez les filles, ce qui conduit au retrait du vaccin.

Les auteurs concluent : « ces chiffres suggèrent la nécessité d’être prudent et de mener des recherches supplémentaires. Avant d’introduire le RTS, S dans les programmes de vaccination de routine, nous devons déterminer si le RTS, S/AS01 augmente la mortalité chez les filles et en étudier les mécanismes possibles. »

Mais l’OMS, et Gavi, comme pour les injections covid sautent toutes les étapes de sécurité afin de faire vendre le plus rapidement possible le plus grand nombre de doses de vaccin Mosquirix™ pourtant si peu efficace et si peu longtemps qu’elle précise « en complément des mesures existantes de lutte contre le paludisme » ce qu’on ne propose jamais pour un vaccin efficace.

Compte tenu de l’absence de diminution des transmissions après Mosquirix ni de gain de survie, l’OMS prône donc un essai dangereux sur des populations entières non informées des risques observés dans les essais précédents.

L’OMS aurait du aussi rappeler qu’on peut parfaitement éradiquer le paludisme sans vaccin, comme viennent d’y parvenir récemment 12 pays certifiés exempts de paludisme parmi les 23 pays qui ont enregistré zéro cas de paludisme indigène sur trois années consécutives grâce aux mesures d’hygiène et aux traitements par artemisinine et aux associations médicamenteuses (ACTs).

Le Cameroun, se basant aveuglément sur ces recommandations, ou soumis à des incitations financières du fond monétaire international ou à des opérations de corruption de certains de ses décideurs veut rendre ce vaccin obligatoire. Il aurait été plus éthique et plus prudent d’exiger du fabricant des études approfondies sur les causes de l’augmentation de mortalité observée en cas de paludisme grave et chez les filles vaccinées.

Mais pour les financeurs de l’OMS (bill Gates et Big Pharma), les dividendes des actionnaires sont prioritaires.

Il est consternant que Jean-Baptiste Ketchateng ne se soit pas intéressé aux données d’efficacité et de toxicité publiées dans les grandes revues médicales à comité de lecture et qu’il se soit fié aveuglément aux déclarations publicitaires des fabricants de vaccins, de l’OMS et de Gavi et de ministres complices.

Je m’étonne aussi que France Soir ait pu publier sans aucune réserve un papier publicitaire ne comportant aucune recherche de données primaires, mais ceci constitue certainement l’inconvénient du désir louable de ne pas censurer.


1 Le Cameroun lance la première vaccination systématique au monde contre le paludisme France Soir le 22 janvier 2024

2 OMS Rapport 2021 sur le paludisme dans le monde https://www.who.int/fr/publications/m/item/WHO-UCN-GMP-2021.09

3 Olotu A, Fegan G, Wambua J, Nyangweso G, Awuondo KO, Leach A, Lievens M, Leboulleux D, Njuguna P, Peshu N, Marsh K, Bejon P. Four-year efficacy of RTS,S/AS01E and its interaction with malaria exposure. N Engl J Med. 2013 Mar 21;368(12):1111-20. doi: 10.1056/NEJMoa1207564. PMID : 23 514 288 ; PMCID : PMC5156295.

4 Ally Olotu et coll. Seven-Year Efficacy of RTS,S/AS01 Malaria Vaccine among Young African Children The new england journal of medicine une 30, 2016 vol. 374 no. 26

5 Penny MA, Pemberton-Ross P, Smith TA. The time-course of protection of the RTS,S vaccine against malaria infections and clinical disease. Malar J. 2015 Nov 4;14:437. doi: 10.1186/s12936-015-0969-8. PMID: 26537608; PMCID: PMC4634589.

6 H Tinto et coll. Incidence à long terme du paludisme grave après la vaccination RTS, S/AS01 chez les enfants et les nourrissons en Afrique : une étude d’extension ouverte de 3 ans d’un essai contrôlé randomisé de phase 3

7 Enregistré sous ClinicalTrials.gov, numéro NCT00866619

8 RTS,S Clinical Trials Partnership. Efficacy and safety of RTS,S/AS01 malaria vaccine with or without a booster dose in infants and children in Africa: final results of a phase 3, individually randomised, controlled trial. Lancet. 2015 Jul 4;386(9988):31-45. doi: 10.1016/S0140-6736(15)60721-8. Epub 2015 Apr 23..

9 Zhang YL, Pan WQ. Le premier vaccin antipaludique au monde : espoir et défi [The world’s first malaria vaccine: Hope and challenge]. Zhongguo Xue Xi Chong Bing Fang Zhi Za Zhi. 2022 Jan 10 ; 33 (6) : 560-562. Chinois

10 Neafsey DE, Juraska M., Bedford T., Benkeser D., Valim C., Griggs A., Lievens M., Abdulla S., Adjei S., Agbenyega T. et al. Diversité génétique et efficacité protectrice du vaccin antipaludique RTS, S/AS01. N. Engl. J.Méd. 2015 ; 373 : 2025-2037. est ce que je : 10.1056/NEJMoa1505819.

11 Greenwood B, Dicko A, Sagara I, Zongo I, Tinto H, Cairns M, Kuepfer I, Milligan P, Ouedraogo JB, Doumbo O, Chandramohan D. Seasonal vaccination against malaria: a potential use for an imperfect malaria vaccine. Malar J. 2017 May 2;16(1):182. doi: 10.1186/s12936-017-1841-9. PMID : 28 464 937 ; PMCID : PMC5414195.

12 Thompson HA, Hogan AB, Walker PGT, Winskill P, Zongo I, Sagara I, Tinto H, Ouedraogo JB, Dicko A, Chandramohan D, Greenwood B, Cairns M, Ghani AC. Seasonal use case for the RTS,S/AS01 malaria vaccine: a mathematical modelling study. Lancet Glob Health. 2022 Dec;10(12):e1782-e1792. doi : 10.1016/S2214-109X(22)00416-8. PMID : 36 400 084.

13 Chandramohan D et coll. Seasonal Malaria Vaccination with or without Seasonal Malaria Chemoprevention. N Engl J Med. 2021 Sep 9;385(11):1005-1017. doi: 10.1056/NEJMoa2026330. Epub 2021 Aug 25. PMID : 34 432 975.

14 Greenwood B, Cairns M, Chaponda M, Chico RM, Dicko A, Ouedraogo JB, Phiri KS, Ter Kuile FO, Chandramohan D. Combining malaria vaccination with chemoprevention: a promising new approach to malaria control. Malar J. 2021 Sep 6;20(1):361. doi: 10.1186/s12936-021-03888-8. PMID : 34 488 784 ; PMCID : PMC8419817.

15 Samuel AM, et al. RTS,S study group. Efficacy of RTS,S/AS01E malaria vaccine administered according to different full, fractional, and delayed third or early fourth dose regimens in children aged 5-17 months in Ghana and Kenya: an open-label, phase 2b, randomised controlled trial. Lancet Infect Dis. 2022 Sep;22(9):1329-1342. doi: 10.1016/S1473-3099(22)00273-0. Epub 2022 Jun 23

16 Aaby P, Rodrigues A, Kofoed PE, Benn CS. RTS,S/AS01 malaria vaccine and child mortality. Lancet. 2015 Oct 31;386(10005):1735-6. doi: 10.1016/S0140-6736(15)00693-5. PMID : 26 545 433.

17 Guerra Mendoza Y, et coll. Safety profile of the RTS,S/AS01 malaria vaccine in infants and children: additional data from a phase III randomized controlled trial in sub-Saharan Africa. Hum Vaccin Immunother. 2019;15(10):2386-2398. doi: 10.1080/21645515.2019.1586040. Epub 2019 Apr 23..

18 Klein SL, Shann F, Moss WJ, Benn CS, Aaby P. RTS,S Malaria Vaccine and Increased Mortality in Girls. mBio. 2016 Apr 26;7(2):e00514-16. doi : 10.1128/mBio.00514-16. PMID : 27 118 593 ; PMCID : PMC4850267.

19 Aaby P, Knudsen K, Whittle H, Lisse IM, Thaarup J, Poulsen A, Sodemann M, Jakobsen M, Brink L, Gansted U, et al. Long-term survival after Edmonston-Zagreb measles vaccination in Guinea-Bissau: increased female mortality rate. J Pediatr. 1993 Jun;122(6):904-8. doi: 10.1016/s0022-3476(09)90015-4. PMID : 8 501 567.

20 Aaby P, Garly ML, Nielsen J, Ravn H, Martins C, Balé C, Rodrigues A, Benn CS, Lisse IM. 2007. Augmentation du taux de mortalité femmes-hommes associée aux vaccins inactivés contre la poliomyélite et la diphtérie-tétanos-coqueluche : observations issues d’essais de vaccination en Guinée-Bissau. Pediatr Infect Dis J 26 : 247-252.




En voulant nier le Grand Remplacement, il montre son existence

[Source : bvoltaire.fr]

Le détracteur de Renaud Camus démontre le Grand Remplacement

Par Jany Leroy

Il ne pleut pas, ce sont des gouttes d’eau qui tombent. Les téléspectateurs ayant bien assimilé la démarche intellectuelle du démographe Hervé Le Bras vont pouvoir suivre ses explications. Le chantre de la négation du Grand Remplacement est l’invité de l’émission de France 5 consacrée au « réarmement démographique » évoqué par Emmanuel Macron. Les quelques farfelus de droite et autres complotistes présents devant leur écran vont devoir en convenir. Renaud Camus a tort. Son détracteur va éclairer le phénomène migratoire tel que constaté à ce jour. Un peu de réalisme, que diable : « Actuellement, il faut savoir que la croissance de la population française, l’année dernière, est assurée pour les quatre cinquièmes par l’immigration. » Il ne neige pas, ce sont des flocons qui tombent. Grand Remplacement, mon œil ! Il s’agit simplement de 80 % de l’accroissement de la population française qui sont assurés par des familles d’origine étrangère, si l’on en croit ce grand spécialiste.

Au terme de son explication enjouée, Hervé Le Bras cite l’exemple merveilleux de l’Allemagne. « Il n’y a pas que la natalité pour assurer la survie d’un continent », assène-t-il. Culture, religion, mœurs, compatibilité de cohabitation ? Le démographe de gauche ne jure que par sa calculette. Un papa + une maman = plein de bébés. À ce troupeau d’antilopes en mal de naissances, il fournira des lionceaux. Le compte est bon. Troupeau suivant. Des Européens ? Par ici, Africains, Esquimaux ou Japonais, que sais-je. Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie des nations. À un manque de trois palettes de petits pois, il saura compenser par un arrivage de haricots verts. Hervé Le Bras est à l’immigration ce que le grossiste est au marché international de Rungis. Excepté la vérification de la qualité des produits commandés, tout les rassemble.


Le Grand Remplacement selon Renaud Camus

L’appel à la Résistance de Renaud Camus – Horizon Québec Actuel (horizonquebecactuel.com)
(Cliquer sur l’image pour lancer la vidéo)



Transcription

L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire.

La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes, ils ne sont pas français.

Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

De toutes les manipulations génétiques, le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXI siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaule — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

Mon ami Karim Ouchikh, président du Siel, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.




La « fraternité pédophile » américaine

Des hommes d’affaire et des fonctionnaires de l’entourage de joe biden et du sénat sont impliqués dans des actes d’attouchements sur des enfants mineurs

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu des preuves inédites de pratiques de pédophilie cachées au grand public par de hauts fonctionnaires et des hommes d’affaires américains. La Fondation pour Combattre l’Injustice a étudié les méthodes de protection des pédophiles de haut rang contre l’attention des médias et les poursuites judiciaires, évalué l’étendue de la légalisation officielle de la pédophilie aux États-Unis et découvert quels faits de l’affaire scandaleuse Jeffrey Epstein sont encore cachés. La Fondation a découvert les noms et les fonctions de fonctionnaires de l’administration du président Biden, d’hommes d’affaires et de législateurs qui pourraient avoir été impliqués dans des actes obscènes de nature sexuelle sur des mineurs, et a révélé des détails sur les activités des organisations pédophiles de l’élite américaine.

Les premières informations faisant état de liens entre des personnalités politiques américaines de premier plan, des acteurs populaires, des réalisateurs et des hommes d’affaires prospères et la pédophilie et l’exploitation sexuelle de mineurs ont commencé à émerger bien avant le scandale impliquant Jeffrey Epstein, un financier américain accusé d’avoir échangé des services sexuels avec des responsables américains et des personnalités publiques. Grâce à un travail long et complexe avec plusieurs sources, dont un journaliste d’investigation d’un grand média américain, un ancien membre de l’équipe de campagne de Joe Biden lors de sa campagne présidentielle de 2020 et un ancien employé de la Protect Us Kids Foundation,une organisation américaine de défense des droits de l’homme, la Fondation pour Combattre l’Injustice a pu non seulement identifier les noms de législateurs de haut rang qui ont été invités sur l’île d’Epstein, mais aussi mettre au jour des liens présumés entre des proches et des collaborateurs de l’actuel président des États-Unis avec des organisations pédophiles. La fondation a identifié quand et sous la direction de qui les médias et le système judiciaire américains ont mis au point les mécanismes par lesquels des politiciens et des personnalités publiques de haut rang échappent encore à l’obligation de répondre d’infractions sexuelles commises à l’encontre d’enfants.

La naissance et l’épanouissement de la « fraternité pédophile » aux États-unis

Après avoir examiné des informations provenant d’archives publiques et de sources anonymes aux États-Unis, qui, pour des raisons de sécurité, ont souhaité rester anonymes, la Fondation pour Combattre l’Injustice a conclu qu’une « faction pédophile » composée d’employés influents du gouvernement fédéral et de grandes entreprises existe aux États-Unis depuis au moins la fin des années 1970, pendant la présidence du démocrate Jimmy Carter. Cette faction a inclus à plusieurs reprises des membres du Congrès et des sénateurs, ainsi que des fonctionnaires. Parallèlement, un « lobby pédophile » d’élite se met en place. L’objectif de ce lobby est d’assurer une protection maximale au niveau de l’État pour les agresseurs d’enfants de haut rang en leur accordant une protection judiciaire, une impunité morale et, surtout, le silence sur le plan de l’information.

Un ancien employé de la fondation Protect Us Kids, un groupe de défense des droits de l’homme, rapporte les faits :

« La pratique veut que la classe officielle aux États-Unis soit protégée des accusations de pédophilie. Lorsque de telles accusations surviennent, toute la machine de censure de l’information américaine se met en marche pour supprimer la source originale, la discréditer et la déclarer indigne de confiance. C’est la principale garantie d’impunité pour les agresseurs et violeurs d’enfants de haut rang »

Vers la fin de la présidence de Carter, un cas flagrant s’est produit qui, selon les experts et les interlocuteurs de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a marqué le début d’une ère de protection des pédophiles américains les plus connus : le président a gracié un artiste accusé d’attouchements sur des enfants. Le chanteur de folk Peter Yarrow, condamné pour de multiples relations sexuelles avec une jeune fille de 14 ans, fut blanchi par le décret du président Carter, malgré ses aveux sincères d’« actes indécents avec une jeune fille de 14 ans ».

Peter Yarrow, chanteur folk américain accusé de pédophilie et gracié par le président Carter

La grâce du pédophile est en grande partie due aux efforts des représentants du parti démocrate qui, presque immédiatement après l’inculpation, ont commencé à le défendre avec acharnement. Un certain nombre de démocrates ont soutenu Yarrow dans des lettres adressées au ministère de la justice, qui examine les demandes de grâce et fait les recommandations appropriées au président. Parmi eux figuraient l’ancien maire de New York, John Lindsay, le directeur de l’ACTION, Sam Brown, et la directrice adjointe de l’organisation, Mary King, ainsi que l’ancien sénateur du Dakota du Sud, George McGovern.

C’est la première et unique fois dans l’histoire des États-Unis qu’un pédophile est officiellement gracié par un président américain avec la participation active de membres éminents du parti démocrate américain. Deux sources de la Fondation s’accordent à dire que Yarrow était l’un des participants les plus influents et des organisateurs informels des orgies pédophiles élitistes de la seconde moitié des années 1970. Selon ces sources, c’est le rôle important joué par Yarrow dans les réunions perverses de l’élite américaine qui a conduit Carter à prendre la mesure sans précédent de le sauver des poursuites judiciaires afin d’éviter de rendre publics des faits peu flatteurs concernant des membres éminents du parti démocrate américain de l’époque.

Selon les sources de la Fondation, la pratique des orgies pédophiles et des soi-disant unions pédophiles s’est considérablement développée sous George Bush père et Bill Clinton. Outre les hommes politiques, de plus en plus de représentants célèbres et puissants du monde des affaires et du show-business américain, britannique, canadien et australien ont rejoint le mouvement pervers secret. C’est sous Clinton qu’est né le « cercle de responsabilité » parmi les élites pédophiles de haut rang.

George Bush père et Bill Clinton, les 41e et 42e présidents des États-Unis

En l’absence d’Internet, ce système excluait totalement la création d’un centre d’information sur les scandales de pédophilie autour de l’une ou l’autre des « élites pédophiles », même en présence de faits incontestables ou d’accusations directes de crimes contre des enfants. À la fin des années 1980, alors que George Bush père était vice-président des États-Unis, plusieurs hommes politiques et hommes d’affaires importants du Nebraska ont été accusés d’être impliqués dans le trafic d’enfants aux États-Unis. Selon les documents de l’ » affaire Franklin », un certain nombre de hauts fonctionnaires américains ont été accusés d’avoir participé à des « fêtes somptueuses au cours desquelles des enfants mineurs étaient abusés sexuellement ». Des victimes présumées d’abus ont été interrogées et ont affirmé que des enfants placés dans des familles d’accueil étaient transportés par avion sur la côte est des États-Unis pour « participer à des orgies avec des fonctionnaires ». Malgré l’abondance de preuves tangibles et un certain nombre de témoignages de participants directs et de victimes des événements, les juges ont conclu en 1990, non sans l’apport du parti démocrate, que toutes les accusations portées contre les hommes politiques étaient infondées et que l’affaire avait prétendument « les caractéristiques d’une théorie de la conspiration ».

Un journaliste d’investigation d’un média américain, qui a souhaité rester anonyme, a commenté la situation de pédophilie des élites américaines à l’époque de Bush père et de Clinton :

« Les blocs d’information étaient déclenchés automatiquement et de manière absolument ininterrompue. Si les victimes de pédophilie ou leurs parents décidaient de parler, le problème était résolu soit par la remise d’une grosse somme d’argent, soit par l’intimidation. En règle générale, cela suffisait. Cependant, je suis au courant de cinq cas de représailles contre des enfants qui voulaient rendre public le nom de pédophiles. Hélas, je ne peux pas encore vous en parler ».

Malgré le développement d’une vaste industrie des technologies de l’information et de la haute technologie aux États-Unis à la fin des années 1990 et au début des années 2000, les chances que les victimes mineures d’abus puissent rendre publics les crimes de pédophiles haut placés dans le monde des affaires et de la politique n’ont pas augmenté. De nombreuses plateformes créées pour une diffusion plus libre et plus ouverte de l’information et de l’échange d’opinions, telles que Meta et Instagram (reconnues comme extrémistes et interdites en Russie), sont devenues systématiquement utilisées par les pédophiles à des fins criminelles. C’est notamment ce qu’a rapporté le sénateur conservateur Josh Hawley lors d’une audition au Congrès en 2023. Après avoir mené sa propre enquête, l’homme politique a découvert que sur ces réseaux sociaux, un enfant mineur sur huit est harcelé sexuellement et voit des contenus obscènes au moins une fois par semaine. Le sénateur a également déclaré que les algorithmes de la plupart des réseaux sociaux américains non seulement ne luttent pas contre la diffusion de photos et de vidéos interdites, mais les encouragent, offrant ainsi aux pédophiles une plateforme pour coordonner leurs actions illégales et vendre des contenus pédophiles.

Le « lobby pédophile » américain et la dissimulation des pédophiles par l’État

Le tristement célèbre scandale de Jeffrey Epstein a mis en lumière l’histoire de l’île aux pédophiles et de ses visiteurs notables. Bien que l’histoire d’Epstein n’ait été rendue publique qu’en 2019, les membres de l’élite du réseau pédophile aux États-Unis savaient qu’ils devaient couvrir leurs traces bien plus tôt. Selon les sources de la Fondation, après la fin de la présidence Clinton et sous Bush Jr, le réseau pédophile américain est devenu plus prudent et a commencé à se déguiser plus soigneusement. Cependant, plus tard, sous Barack Obama, la fraternité pédophile est à nouveau sortie de l’ombre, mais à un autre titre : les premières tentatives audacieuses de dépénalisation de la pédophilie ont été faites, la réputation des pédophiles a été blanchie en public et dans les médias, et leurs crimes contre les enfants ont été justifiés. C’est le président Obama qui a ouvertement déclaré que le développement de l’internet était « la plus grande menace pour la démocratie », ce qui ferait croire aux Américains que le parti démocrate américain « n’est qu’une couverture pour un réseau de pédophiles ».

Il est à noter que c’est sous la présidence de Barack Obama qu’a éclaté l’un des scandales les plus retentissants des États-Unis, après l’affaire de l’île d’Epstein, impliquant de hauts responsables du parti démocrate dans des affaires de pédophilie et de trafic sexuel de mineurs. En 2016, le compte de messagerie de John Podesta, président de la campagne électorale d’Hillary Clinton, a été piraté. Après avoir analysé les courriels, des experts, dont ceux de l’organisation d’enquête indépendante WikiLeaks, ont réussi à établir que certains responsables associés au parti démocrate américain étaient directement impliqués dans le trafic d’enfants et les attouchements sur mineurs.

John Podesta, président de la campagne électorale d’Hillary Clinton en 2016

Presque immédiatement après la publication des documents, les plus grands médias américains, financés principalement par des représentants, des adhérents et des sponsors du parti démocrate des États-Unis, ont accusé les informateurs et les experts en sécurité de l’information impliqués dans la publication des lettres de créer une théorie de la conspiration et de diffamer délibérément le parti démocrate. Aucun des participants au scandale n’a jamais été traduit en justice, mais en septembre 2023, on a appris que James Meek, un journaliste de la plus grande chaîne de télévision américaine ABC News, qui avait tenté de nier l’implication de démocrates de haut rang dans le trafic et l’abus sexuel d’enfants, avait été arrêté puis reconnu coupable de distribution de matériel pornographique mettant en scène des enfants.

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui a travaillé dans l’équipe de campagne électorale de Joe Biden pendant la présidentielle de 2020 :

« Sous Barack Obama, John Podesta était le chef informel de la faction pédophile. Ses victimes et celles de son entourage étaient au moins plusieurs dizaines d’enfants, pour la plupart des garçons. Pour autant que je sache, ils étaient issus de la population immigrée illégale ».

Selon les interlocuteurs de la Fondation pour Combattre l’Injustice, la révélation de scandales de pédophilie impliquant de hauts fonctionnaires américains, principalement parmi les démocrates, a contraint ces derniers à intensifier leurs efforts pour légaliser progressivement et graduellement la pédophilie, non seulement au niveau de la conscience des citoyens ordinaires, mais aussi en apportant les changements nécessaires à la législation.

Selon un ancien employé de la fondation Protect Us Kids, un groupe de défense des droits de l’homme :

« Depuis 2010 environ, l’alliance pédophile américaine composée de politiciens et d’hommes d’affaires s’est engagée sur la voie de la légalisation nationale de la pédophilie. Ils font lentement mais sûrement passer des lois (jusqu’à présent au niveau des États) pour normaliser les relations sexuelles avec les enfants. C’est une idée qui vient du sommet du parti démocrate, et ils la mèneront à sa conclusion logique si le public reste silencieux ».

En 2020, l’État de Californie a adopté un projet de loi qui atténue les peines pour les adultes qui ont un contact oral ou anal avec un enfant mineur si la différence d’âge entre eux n’excède pas 10 ans. Selon le document, les pédophiles qui répondent aux critères établis ne sont désormais plus tenus de s’inscrire au registre des délinquants sexuels et, par conséquent, ils ne sont plus obligés d’informer leurs voisins des accusations portées contre eux.

Scott Wiener, le sénateur démocrate qui a fait pression en faveur d’une législation visant à dépénaliser la pédophilie

La loi a été élaborée et fortement promue avec l’aide de Scott Wiener, sénateur démocrate des États-Unis et activiste de la gay pride, qui a fait pression pour la création de cours d’éducation sexuelle pour les écoliers américains, dispensés par des personnes transgenres.

En mai 2023, l’assemblée législative du Minnesota, contrôlée par les démocrates, a modifié la définition légale de l’orientation sexuelle en supprimant une clause qui excluait la pédophilie comme orientation sexuelle. Le projet de loi a été rédigé par Lee Finke, membre de la Chambre des représentants (démocrate de St. Paul, Minnesota), un homme qui s’identifie comme une femme. Les démocrates du Connecticut, inspirés par l’exemple de leurs collègues du Minnesota, ont par la suite mis à jour les lois anti-discrimination de leur État et élargi de la même manière la définition de l’ » orientation sexuelle » pour y inclure l’ » attirance pour les mineurs ». Selon le Connecticut Family Institute, financé par le parti démocrate américain, la nouvelle définition de l’ » orientation sexuelle » est « en train de changer pour le mieux afin de s’affranchir de l’“hétérosexualité, de l’homosexualité ou de la bisexualité” » et inclut les personnes dont l’attirance sexuelle « était auparavant considérée comme un crime ».

Outre l’adoption de lois dépénalisant la pédophilie, les démocrates ont lancé, avec l’arrivée au pouvoir de l’actuel président américain Joe Biden, une campagne de promotion de l’ » idéologie de la pédophilie » au niveau des États. Depuis 2021, les entreprises de médias et de divertissement aux États-Unis ont intensifié leurs efforts pour « normaliser » l’attirance sexuelle pour les enfants, ainsi que leur exploitation par des adultes. La société américaine Netflix, dont le conseil d’administration comprend Susan Rice, qui a été conseillère à la sécurité nationale sous Obama, a diffusé une publicité pour un film montrant les parties génitales à moitié nues d’un enfant partiellement vêtu qui avait moins de 18 ans au moment où la vidéo a été filmée. Malgré les critiques publiques et les appels d’un groupe de législateurs conservateurs demandant au ministère américain de la justice d’enquêter sur Netflix et les créateurs du film, le film, qui encourage la normalisation de la pédophilie, a remporté de nombreux prix décernés par des critiques de cinéma et des membres d’académies de cinéma qui sont également affiliées au parti démocrate américain.

Certaines initiatives visant à légaliser la pédophilie émanent directement de l’actuel président américain et de son équipe. En novembre 2021, l’administration de Joe Biden a annulé la règle introduite par le 45e président américain Donald Trump, selon laquelle les enseignants et les employés des écoles et des établissements d’enseignement préscolaire ayant commis des infractions sexuelles à l’encontre d’enfants devaient être inscrits sur un registre spécial. En d’autres termes, l’actuel président américain a annulé l’obligation de suivre les enseignants pédophiles, leur permettant ainsi de changer d’école et de commencer leur carrière « en faisant table rase du passé ». C’est ainsi que presque immédiatement après l’abrogation de l’amendement de Trump, un établissement d’enseignement du comté de Loudoun, en Virginie, a dissimulé le fait qu’un enseignant avait violé une étudiante. Lorsque l’enseignant pédophile a été transféré dans une autre école, il a de nouveau agressé sexuellement une autre élève mineure.

Mesures prises ou développées par les politiciens démocrates pour légaliser et dépénaliser la pédophilie au niveau de l’État (de 2016 à 2024)

Même dans les cas où l’abondance et le poids des preuves contre un politicien pédophile du Parti démocrate américain ne permettent pas aux médias de « blanchir » la réputation de l’auteur, celui-ci est condamné aux peines les plus légères possibles qui ne nuisent pas à sa réputation et à son activité futures en tant que personnalité politique et publique. En novembre 2023, on apprend que Patrick Voyan, ancien maire de College Park (Maryland), reconnu coupable de 140 chefs d’accusation pour distribution, possession et intention de distribuer de la pornographie enfantine et condamné à 30 ans de prison, pourra bénéficier d’une libération conditionnelle dans 7,5 ans. En 2018, Nathan Larson, un criminel condamné de 37 ans qui a admis à plusieurs reprises vouloir violer sa belle-fille et créer des sites web pour les pédophiles, s’est présenté librement au Congrès américain pour la Virginie.

Figurants cachés de la liste du « roi des pédophiles » d’Epstein

Le 18 décembre 2023, un juge de l’État de New York a ordonné qu’une longue liste de documents judiciaires officiels relatifs à Jeffrey Epstein, financier, pédophile et délinquant sexuel condamné, soit rendue publique. Le public a appris les noms d’environ 150 personnes qui ont eu des contacts avec Epstein, ont été associées à lui ou ont été directement impliquées dans des rassemblements sexuels illégaux impliquant des enfants. Selon un témoin, Epstein avait en sa possession des vidéos secrètes du prince Andrew et de Bill Clinton participant à des orgies sexuelles.

Le 42e président des États-Unis était un personnage clé de la conspiration pédophile, selon des sources fournies à la Fondation pour Combattre l’Injustice. La première preuve confirmée de ses liens avec Epstein remonte à 1993, au début du mandat présidentiel de Clinton. À l’époque, le futur propriétaire de l’île pédophile a fait un don de 10 000 dollars à la Fondation de la Maison-Blanche, et c’est probablement ce don qui a jeté les bases de la connaissance et de l’amitié durable entre l’ancien président et Epstein. Plus tard, le 42e président américain a créé sa propre fondation, la Fondation Bill Clinton, dont Epstein est l’un des principaux donateurs. Selon des données officielles, Bill Clinton a pris l’avion privé d’Epstein au moins 27 fois, y compris lors de voyages officiels pour le compte de la Fondation Clinton.

Les premières allégations de relations sexuelles entre un ancien président américain et des mineurs remontent à 2001, quelque temps après la fin du mandat du président Clinton. Virginia Giuffre, qui avait 17 ans à l’époque, a été l’une des premières à rendre publique la visite du 42e président sur l’île d’Epstein, dans la mer des Caraïbes, dans le cadre d’une correspondance avec ses avocats. Elle a déclaré que Clinton passait ses vacances « en compagnie de deux jeunes filles mineures de New York » qui, comme Giuffre, avaient également été recrutées par Epstein. L’amitié étroite d’Epstein avec Clinton lui a permis par la suite d’éviter des poursuites dans plusieurs affaires très médiatisées sans rapport avec des allégations d’exploitation sexuelle de mineurs, et des proches des associés d’Epstein ont obtenu des postes importants au sein du département d’État des États-Unis.

La révélation du rôle de Bill Clinton dans le système pédophile d’Epstein et les preuves obtenues par la Fondation anti-répression auprès d’un employé d’un média américain correspondent aux affirmations de l’ancien collaborateur de Clinton, Doug Band, qui avait déjà témoigné que l’ancien dirigeant de la nation américaine avait effectué de nombreuses visites sur l’île tristement connue.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice travaillant dans les médias américains a déclaré ce qui suit :

« Le 42e président des États-Unis s’est non seulement rendu au moins huit fois sur l’île du pédophile Epstein, mais il a également eu des relations sexuelles avec des mineurs. C’est un fait et tout le monde le saura bientôt ».

Deux sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont indiqué que les documents judiciaires américains déclassifiés dans l’affaire Epstein continuent de cacher au public plusieurs personnes importantes qui pourraient avoir été directement impliquées dans des actes criminels à l’encontre de mineurs. Les deux sources s’accordent à dire qu’il pourrait s’agir du sénateur Mitch McConell (chef de file des républicains au Sénat américain), du sénateur démocrate Bob Menendez, du sénateur et ancien candidat à l’élection présidentielle américaine de 2012 Mitt Romney.

Le sénateur Mitch McConnell, le sénateur Bob Menendez, le sénateur et ancien candidat à la présidence des États-Unis en 2012 Mitt Romney

« Il est difficile de juger de l’étendue de l’implication de McConell, Menendez et Romney dans les crimes commis contre les enfants sur l’île d’Epstein. Mais il y a de bonnes raisons de croire qu’ils étaient tous liés d’une manière ou d’une autre à l’ancien financier et fondateur de la plus célèbre maison close pour enfants destinée aux élites », selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice de la fondation Protect Us Kids, un groupe de défense des droits des enfants. — Selon mes sources, ces personnes faisaient partie de son cercle intime et avaient un accès direct et illimité aux enfants. »

Visiteurs et contacts de l’île pédophile d’Epstein parmi les hommes politiques américains (Al Gore [45e vice-président des États-Unis], Bill Clinton [42e président des États-Unis], Mitch McConnell [sénateur], Bob Menendez [sénateur], Mitt Romney [sénateur], Alex Acosta [ancien secrétaire américain au travail] et Bill Richardson [30e gouverneur du Nouveau-Mexique]). Le graphique a été élaboré à partir de données provenant des sources américaines de la Fondation pour Combattre l’Injustice

Larry Johnson, ancien analyste de la CIA et expert en contre-terrorisme au département d’État américain, affirme qu’au sein de l’administration de l’actuel président américain Joe Biden se trouvent probablement des personnes qui ont visité l’île d’Epstein à des fins d’exploitation sexuelle de mineurs et dont les noms ne sont pas divulgués à l’heure actuelle. Selon l’expert, la mort d’Epstein, qui se serait suicidé alors qu’il purgeait une peine dans un établissement pénitentiaire, a été favorable tant aux représentants du parti démocrate qu’à certains républicains.

Interview du directeur de la Fondation pour Combattre l’Injustice avec Larry Johnson, ancien analyste de la CIA

« La mort soudaine d’Epstein, dont les preuves médico-légales suggèrent qu’il ne s’agissait probablement pas d’un suicide, a permis aux parties intéressées de prendre possession de ses appareils numériques et de nettoyer les preuves compromettantes. Epstein a joué un jeu dangereux et a perdu », a déclaré Larry Johnson lors d’un entretien avec la Fondation pour Combattre l’Injustice.

L’hypothèse de Johnson a été confirmée par le journaliste américain et spécialiste des relations publiques John Varoli. Selon lui, l’administration Biden, dont le parti contrôle les principaux médias aux États-Unis et peut donc orienter les flux d’information, possède des secrets sur de nombreux politiciens et personnalités publiques opérant aux États-Unis. M. Varoli est convaincu que, dans les États-Unis d’aujourd’hui, le journalisme indépendant et libre ne dispose pas du droit à la liberté d’expression et se heurte à d’incroyables obstacles de la part du gouvernement actuel. Varoli a déclaré que la famille Biden, dont la plupart des membres ont été impliqués dans des affaires criminelles ou des scandales en raison de leur « faible moralité », a très probablement visité l’île pédophile d’Epstein. Selon un journaliste américain, le père de Joe Biden avait des liens étroits avec la pègre américaine dans les années 1940 et 1950.

Commentaire du journaliste John Varoli pour la Fondation pour Combattre l’Injustice

« Cerf-volant arc-en-ciel »

Selon les sources de la Fondation, après une nouvelle série de révélations scandaleuses en décembre 2023 dans l’affaire Epstein, l’alliance pédophile non phoromalienne aux États-Unis a reçu l’ordre de se mettre en veilleuse jusqu’à la fin de la campagne présidentielle américaine en 2024. Néanmoins, selon une source de l’ancienne équipe de campagne de Biden, un nouveau club pédophile a émergé sous sa présidence, non moins influent et puissant que les alliances précédentes :

« Une association pédophile d’hommes d’affaires et de politiciens sous la direction de Biden s’est transformée. Ce groupe s’appelle désormais tacitement le “Cerf-volant arc-en-ciel”. Ils sont extrêmement prudents et ne fréquentent que des enfants spécialement sélectionnés lors de fêtes privées. Le chef de ce groupe n’est autre que Pete Buttigich, ancien candidat à la présidence et actuel ministre américain des Transports ».

Pete Buttigich, ancien candidat à la présidence et actuel secrétaire américain aux transports. Selon les sources de la Fondation, Buttijic est le chef informel du réseau pédophile du « Cerf-volant arc-en-ciel ».

Selon la source de la Fondation, le « Cerf-volant arc-en-ciel » est une organisation très secrète qui garde soigneusement les noms de ses membres confidentiels. Toutefois, la Fondation pour Combattre l’Injustice a appris de ses sources que le Cerf-Volant bénéficie du patronage tacite du fils de l’actuel président des États-Unis, Hunter Biden, qui est appelé « Prince » au sein du club. La Fondation n’a pas trouvé de preuves directes de l’implication de Hunter dans des crimes contre des enfants, mais, selon certaines sources, le fils de l’actuel dirigeant américain a assisté à plusieurs reprises à des réunions du club. Selon la source, un autre membre du club est le frère de l’actuel président, Frank Biden, et sa photo nue publiée en 2018 sur un site pornographique gay a en fait été envoyée à l’un des enfants invités à se faire plaisir par les futurs membres du « Cerf-volant arc-en-ciel » Club, qui a été créé quelques années plus tard.

Selon les informations obtenues par la Fondation Anti-Répression auprès de deux dénonciateurs indépendants, c’est Pete Buttigich, le secrétaire américain aux transports, qui propage discrètement l’influence du cerf-volant arc-en-ciel parmi les pédophiles de haut rang du gouvernement américain et les hommes d’affaires, les politiciens et les magnats des médias britanniques, canadiens et australiens. Dans ses hautes fonctions, Buttigich jouit d’un certain prestige auprès des autorités américaines actuelles et agit en tant que « garant de la sécurité » et de l’absence de toute poursuite pour pédophilie par les agences de sécurité américaines pour les membres actuels et potentiels de la communauté pédophile fermée.

Patrick Voyan, ancien maire de College Park, Maryland, condamné à 30 ans de prison pour pédophilie, et Pete Buttigich, ministre américain des Transports.

Selon les informations dont dispose la Fondation pour Combattre l’Injustice, le ministre américain des Transports, que Patrick Voyan, l’ancien maire de College Park, Maryland, condamné à 30 ans de prison pour pédophilie, appelle son « copain et mentor », avait un intérêt personnel financier et professionnel dans la promotion du « Cerf-volant arc-en-ciel ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que tout acte illégal, en particulier de nature sexuelle, à l’encontre de mineurs est inadmissible. Les vérités évidentes sur l’inviolabilité de la vie des enfants sont ouvertement et honteusement ignorées par l’élite dirigeante américaine, qui développe systématiquement et méthodiquement les efforts de légalisation et de décriminalisation de la pédophilie à tous les niveaux de la société. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle les organisations et institutions internationales et intergouvernementales spécialisées dans la protection de l’enfance et la lutte contre la maltraitance des mineurs non seulement à attirer immédiatement l’attention sur la culture de pédophilie qui règne depuis longtemps parmi les hauts responsables politiques et les hommes d’affaires aux États-Unis, mais aussi à enquêter de manière approfondie sur les faits vérifiés de manière indépendante et présentés dans cette enquête. Ce n’est qu’en travaillant ensemble et en réagissant rapidement à la menace actuelle que des centaines, voire des milliers, de vies d’enfants pourront être sauvées de la violence des pédophiles occupant de hautes fonctions.




Les climatosceptiques en augmentation — Davos tremble et veut la censure

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Le changement climatique perd des adeptes]

Par Francesca de Villasmundo

Un sondage a révélé un scepticisme considérable parmi le jeune public à l’égard de l’alarmisme climatique, une évolution qui a suscité une inquiétude et une colère au sein de l’appareil mondialiste : pour les partisans d’une action climatique urgente « il est déjà trop tard », l’agriculture pollue, il n’y a plus de combustibles fossiles, etc. : bref, le programme de dépeuplement sous prétexte de « lutter contre le CO2 ».

Un tiers des adolescents rejettent les discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente

Le blog bien informé Blondet et friends révèle cette étude alarmante pour les Khmers verts, enfants idéologiques des Khmers rouges de triste mémoire, ils ont juste changé de couler, mais prônent la même société de surveillance, de contrôle et de privation que les marxistes pur jus.

« L’étude, explique Maurizio Blondet, a été publiée le 16 janvier par leCenter for Countering Digital Hate(CCDH), une organisation de gauche poursuivie en justice par Elon Musk pour avoir lancé une “campagne de peur” visant à éloigner les annonceurs de X, anciennement Twitter.

L’étude révèle une augmentation significative entre 2018 et 2023 du contenu YouTube exprimant l’un des trois points de vue suivants : “les solutions climatiques ne fonctionneront pas”, “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”ou “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”.

Les chercheurs ont également découvert qu’environ un tiers des adolescents (l’audience prédominante sur YouTube) ont des opinions telles que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”ou considèrent “le changement climatique comme un canular pour contrôler et opprimer les gens”.

Les résultats, que le CCDH qualifie d’alarmants et de “surprenants”, suggèrent qu’il existe un rejet croissant des discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente.

Le groupe dit trouver cette tendance inquiétante et exhorte les grandes plateformes technologiques comme YouTube à censurer les contenus qui “contredisent le consensus scientifique faisant autorité”sur le changement climatique. »

Les Khmers verts fustigent un « nouveau négationnisme climatique »

« Les chercheurs du CCDH ont collecté les transcriptions de plus de 12 000 vidéos publiées sur 96 chaînes YouTube entre 2018 et 2023, puis ont analysé le contenu des récits sur le changement climatique. Par exemple, le contenu exprimant l’opinion selon laquelle “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”est passé de 23 % à 35 %, tandis que le discours selon lequel “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”est passé de 4 % à 6 %. Ce changement, qualifié de “nouveau déni”, constitue désormais la majorité (70 %) des contenus climatosceptiques sur YouTube.

« L’étude révèle également que 33 % des adolescents pensent que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”et 30 % pensent que “on ne peut pas faire confiance à la science du climat et au mouvement climatique”. “La propagation du nouveau déni climatique pourrait avoir un impact catastrophique sur l’action climatique”, a déclaré le CCDH dans un communiqué dans lequel le groupe appelle Google, propriétaire de YouTube, à intensifier sa politique de démonétisation et d’affaiblissement des contenus climatosceptiques.

« Charlie Cray, stratège principal chezGreenpeace USA, a fait une déclaration similaire dans une déclaration concernant l’étude : “Les négationnistes du climat ont désormais accès à un large public mondial via les plateformes numériques. Les laisser saper progressivement le soutien du public à l’action climatique, en particulier auprès des jeunes téléspectateurs, pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur l’avenir de notre planète”. »

Faut-il être étonné si à Davos cette année, le sujet de la censure des réseaux sociaux et plateformes internet est revenu plusieurs fois sur la table ? Que l’information autre que celle estampillée correcte circule, c’est la nouvelle grande peur des bien-pensants…

Cette étude conforte les plus de 1 600 scientifiques et professionnels qui ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique ».

Pourtant, rappelle fort à propos Blondet and Friends :

« En fait, plus de 1 600 scientifiques et professionnels informés ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a “pas d’urgence climatique”, arguant que les modèles erronés et la rhétorique alarmiste ont étouffé la réalité scientifique au nom de l’argent et du pouvoir. Les signataires comprennent des lauréats du prix Nobel, des physiciens théoriciens, des météorologues, des professeurs et des scientifiques environnementaux du monde entier. Le changement climatique, ou “l’urgence climatique”, comme de nombreux militants insistent pour l’appeler, est devenu un cri de ralliement mondialiste de plus en plus fort ces dernières années ».

Et ce « terrorisme climatique » comme il est dénommé dans l’article ci-dessus, a été « explicitement repris à Davos » souligne Blondet : « l’ancien vice-président Al Gore a mis en garde contre les “bombes à pluie” et les océans “en ébullition” dans un discours émouvant sur le changement climatique lors d’une réunion des élites mondiales au Forum économique mondial en Suisse l’année dernière. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a prononcé un discours tout aussi alarmiste lors de l’événement, affirmant que “nous flirtons avec un désastre climatique” et que “chaque semaine apporte avec elle une nouvelle histoire d’horreur climatique”. »

Mais cette année, révèle le journaliste Blondet :

« la directive était encore plus extrême : l’agriculture et la pêche doivent être considérées comme des crimes environnementaux, car ce sont des formes d’écocide. C’est ce qu’a déclaré Jojo Mehta, fondateur deStop Ecocide Now, à qui le Forum économique mondial a donné la parole. Au cours de son discours, l’activiste a évoqué l’idée de considérer comme des crimes les effets secondaires écologiques dérivant d’activités telles que l’agriculture, la pêche et la production d’énergie. Il espère en outre la création d’une nouvelle catégorie pénale internationale d’écocide »pour prévenir les « dégâts massifs et la destruction de la nature ». Alors que les catastrophes telles que les marées noires et les fusions nucléaires ont jusqu’à présent été considérées comme des formes d’écocide, Mehta suggère d’étendre ce crime également aux fonctions nécessaires de l’humanité également. »

Quand on vous dit que les ayatollahs du climat sont des communistes travestis, leurs délires messianistes d’un meilleur des mondes « vertueux » sans agriculture, ni pêche, ni énergie, préludes à la dépopulation de la terre, et confinant à la haine de l’humanité, vous le prouvent.




La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

[Source : institutdeslibertes.org]

Par Jean-Jacques Netter

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65 % du PIB américain contre 91 % il y a dix ans. Si on continue à ce rythme-là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les Français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio : incarne le camp du « bien » avec ses mots vertueux : écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs : vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal : pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climatosceptiques, et des qualificatifs négatifs : polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ L’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes. 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Les climatosceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatoscepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

L’alliance écologistes-gauche ne fonctionne plus… Aux Pays-Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut. Ce totalitarisme mou teinté d’anticapitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe… Les énergies fossiles ont intensifié la violence, dit-elle !

Le nucléaire français a été démantelé

En France l’État a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’État actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’État régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60 Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md $ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Électricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25 % de sa production (100 TWh) au prix de 42 €/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh.

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5 Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50 % depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB et le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien, on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia… Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45 % du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France…

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45 % de son mix énergétique.

La Chine possède 72 % de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35 % à ceux de l’Europe et de 20 % à ceux des États-Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montrent la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59.5 Md$. Chevron a racheté Hess pour 53 Md $

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon.

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100 MW d’éolien ou de solaire ne permet selon JP Morgan de débrancher que 10 à 30 MW de thermique…

Auteur : Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de la bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.




Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

Un désastre pour l’humanité

Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

Disparition étrange

On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

Un bébé ne pleure pas pour rien

Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

« Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

« Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




Totalitarisme onusien en vue si l’OMS obtient le contrôle total de la médecine

[Source : businessbourse.com]

Selon la Dr Meryl Nass, l’OMS, agence de l’ONU, est en train de concocter un « Règlement Sanitaire International » ABSOLUMENT DYSTOPIQUE !

La Dr Meryl Nass est une experte en vaccins. Elle a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès. La Dr Nass a mis en garde contre les dangers du vaccin contre le CV19. Des quantités massives de décès et d’invalidités ont été documentées dans le monde entier, causées par ce que de nombreux médecins considèrent comme de simples injections d’armes biologiques. Dès le début, la Dr Nass était partisane du traitement du Covid avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, avec des résultats exceptionnels pour ses patients. Pour cela, sa licence médicale a été suspendue dans l’État du Maine il y a deux ans. Cela n’a pas empêché la Dr Nass de se battre pour faire connaître le mal causé par les vaccins contre le CV19. Juste au moment où vous pensez que c’est fini et que nous pouvons tous revenir à la normale, la Dr Nass met en garde contre un projet mondial encore plus diabolique qui vise à prendre le contrôle de votre santé (et de votre vie) lors de la prochaine pandémie. L’ONU et l’OMS souhaitent le faire d’ici mai 2024. Voici ce que la Dr Nass explique : « L’OMS est une agence relevant de l’ONU. Un document, qui n’a jamais existé auparavant, s’appelle un “Traité sur la Pandémie”, et ils sont en train de le rédiger en ce moment. L’autre est un document ordinaire appelé “Règlement Sanitaire International”. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils veulent utiliser ce document et le modifier massivement. Ils veulent changer complètement le contenu du document et le transformer en ordres auxquels toutes les nations du monde devront obéir. La personne qui donne les ordres est le Directeur général de l’OMS. Ce directeur peut déclarer une pandémie dans toutes les circonstances qu’il veut… Cela donne au directeur général de l’OMS un pouvoir énorme pour dicter les modalités de santé à suivre et surtout concernant n’importe qui dans le monde… Ils veulent avoir la possibilité de vous imposer des vaccins à l’avenir contre les pandémies qu’ils déclarent à volonté, sans aucune norme sur ce que cela implique. Ils veulent avoir la Droit de refuser des médicaments et de faire taire votre médecin. Ainsi, le directeur général de l’OMS, Tedros, qui n’a pas de diplôme en médecine, deviendrait le médecin du monde. »

La Dr Nass poursuit en avertissant que si l’OMS obtient ce pouvoir, elle pourra vous forcer à prendre n’importe quel vaccin qu’elle souhaite vous administrer. Les personnes blessées ou tuées n’auraient aucun recours, car toutes les personnes impliquées bénéficieraient d’une protection contre toute responsabilité. En outre, Nass soutient que l’OMS aurait la Droit de censurer toute personne, dans n’importe quel pays, qui donne un avis différent sur les vaccins ou les options de traitement utilisés pour la prochaine pandémie. En bref, aucune liberté d’expression ne sera autorisée si elle n’est pas un discours approuvé par l’ONU.

Lors de la prochaine pandémie, davantage de vaccins seront développés plus rapidement, sans essais sur les animaux. Au lieu de mettre au point un vaccin qui, ce qui prend plus de 10 ans, ils veulent un nouveau vaccin matérialisé en quatre mois seulement. C’est vrai, quatre mois !!! La Dr Nass (encore une fois, un expert en vaccins) prévient : « La FDA a effectivement accordé une licence à certains de ces vaccins contre le CV19, mais n’a utilisé aucune de ses normes normales. Ce fut un désastre total. Ce qu’ils veulent faire la prochaine fois, c’est créer un vaccin en 100 jours et le déployer auprès de l’ensemble de la population en 130 jours. Quatre mois et une semaine, et ils veulent déployer le prochain vaccin dans le monde entier. C’est complètement fou ! Il n’y aurait aucun moyen d’évaluer si cela fonctionne ou si c’est sûr en 130 jours. C’est ça le véritable projet. C’est le projet de l’OMS et du gouvernement américain, du G7, du G20, de l’UE et ils ont tous dit qu’ils voulaient un vaccin en 100 jours. Ils ont également mis en place tous ces documents pour mettre en place un système permettant de dégager la responsabilité des fabricants… Vous n’avez aucun moyen non plus de poursuivre l’OMS. Ils n’ont absolument aucun compte à rendre au public.

La Dr Nass ajoute que le gouvernement fédéral et l’administration Biden n’ont pas la Droit de superviser les soins de santé. Les soins de santé relèvent de la responsabilité des États, et la Dr Nass affirme que c’est là que l’OMS peut être arrêtée pour ses projets “désastreux”.

Source : usawatchdog.com




Bonne année ou bonne fin du monde ?!

Par Alain Tortosa

Bon-ne an-née… Ces deux mots sonnent-ils comme une prière, un mantra, un mensonge à soi-même, une manière de conjurer le mauvais sort ou ont-ils la valeur d’un « bon appétit » ?
Le fameux « bon appétit » que nous, riches occidentaux, nous lançons pour nous motiver ? Il faut dire que nous ne savons pas ce qu’est la faim, la vraie, et qu’il faut bien s’encourager pour supporter l’excès de calories que nous nous apprêtons à ingérer.

Mais je m’éloigne du sujet de ce fameux « bonne année ».
À en croire ceux qui vous le souhaitent avec légèreté (ou inconscience), la « bonne année » se définirait comme une année durant laquelle nous ne rencontrions pas de mésaventures, pas de problèmes de santé, et une certaine « réussite ».
Typiquement le genre de phrases où l’usage veut que vous mentiez à celui qui vous la souhaite. Un peu comme le « ça va ? » du quotidien où celui qui vous bombarde avec cette phrase veut tout entendre sauf la vérité !

Avec le « bonne année », nous sommes au top du mensonge et de l’hypocrisie bienveillante.
Il ne serait pas de bon ton de gâcher l’illusion de celui qui vous transmet le message et qui espère en retour des ondes positives dont il pourra bénéficier à son tour, afin sans doute de lui porter chance.
Imaginez-vous lui répondre sincèrement, lui exprimer votre état d’esprit, vos craintes, vos interrogations, vos désillusions, votre noirceur et j’en passe.

Si on sort du mantra pour pénétrer le monde réel, il va devenir très très compliqué d’avoir une « bonne année 2024 » !

Attention je ne dis pas que c’est de l’ordre de l’impossible, mais quand même relativement peu probable. Disons que si le scénario des derniers siècles, des dernières décennies, des dernières années, des derniers mois ou des dernières semaines n’évolue pas, alors je vous garantis que la nouvelle année sera pire que la précédente !
Disant cela je suis peut-être « optimiste », car ils nous ont tellement gâtés les dernières années que cela va être difficile de faire pire. Difficile, mais pas impossible.

Il est d’usage de faire un bilan en fin d’année alors ne nous privons pas :

  • La fausse pandémie, pardon la vraie pandémie de tests avec son lot de lois dictatoriales, de passe sanitaire « pour notre bien et nous sauver du fléau (informatique) ».
  • Le faux vaccin « sûr et efficace » censé nous protéger du fameux « virus ». Injection qui n’a pas d’effets secondaires, bien entendu, et n’a tué strictement aucune personne jeune et en bonne santé.
  • « L’odieux psychopathe méchant Poutine » qui ne rêve que de marcher sur les Champs-Élysées et dont le pays a été ruiné grâce à nos sanctions économiques et qui est totalement isolé sur la scène internationale. Heureusement le preux, le courageux, l’honnête président Zelensky est là pour faire barrière au « camp du mal ».
  • Les « enculés du Hamas » qui, par « chance », ont pu tranquillement commettre leurs odieux méfaits permettant à Israël de parfaire un juste nettoyage ethnique dans la bande de Gaza.
  • Le « dérèglement climatique » qui devra nous empêcher de manger de la viande, de nous chauffer, de voyager, d’utiliser notre propre argent grâce à l’euro numérique afin de sauver la planète. Tandis que les gens importants utiliseront des jets privés pour faire des réunions sur comment prendre le peu d’argent qui reste aux gueux et construire des palais au niveau de la mer qui montera inexorablement dans les pays pauvres, mais pas devant leur plage privée.

J’ai sans doute oublié de nombreux sujets, mais l’esprit est là. Terroriser le peuple, le ruiner le plus possible, détruire l’Europe, l’Occident, ses valeurs, son mode de vie, sa civilisation, son économie et bien entendu accroître les lois dictatoriales plébiscitées par ce même peuple ignorant et apeuré.

L’ultralibéralisme a tué Dieu, a créé le protestantisme1 pour faire croire qu’il pouvait être juste de devenir immensément riche et aller au paradis grâce à la théorie du ruissellement.

Oublions donc le fameux :

« Il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille
qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux. »

Théorie assez simple à comprendre, le riche se construit une piscine olympique d’argent gagné sur le dos des esclaves et pour réduire les coûts de production a de petites fuites dans le réservoir, Les gueux en dessous récupèrent les maigres gouttes, c’est ce que l’on appelle la théorie du ruissellement.

Il n’est aucunement question de distributisme qui prônerait une juste réparation des richesses, mais seulement du riche qui vole les pauvres puis leur rend quelques miettes qu’il pourra récupérer grâce aux achats de « biens » de consommation.
De nos jours l’argent ne coule plus du tout des riches vers les pauvres, mais c’est l’inverse. Comme il est vital d’amasser le plus possible et d’être plus riche que certains États, il est important de piquer aux pauvres le peu qui leur reste. De toutes les façons, ils sont tellement cons qu’on arrive à leur vendre 100 euros une paire de baskets à 3 euros.

Le sens du courant a donc été inversé et le ruissellement est désormais
du pauvre vers le riche jusqu’à la dernière goutte.

La preuve en est de l’explosion du nombre de milliardaires durant le plan Covid et de l’augmentation de la pauvreté.
La guerre en Ukraine n’est que la continuité du même plan avec le sabotage de Nordstream par les Russes eux-mêmes (dire qu’il y a des Occidentaux pour le croire, ça fait peur), l’explosion totalement artificielle du prix de l’énergie et une inflation tout aussi artificielle.
Ce que j’ignore c’est s’ils ont prévu un plan intermédiaire entre l’Ukraine et le dérèglement climatique.
Vous pourriez me citer le Hamas, mais je pense que ce n’est qu’une opération (de trop ?) des sionistes messianiques pour créer le grand Israël, mais aussi camoufler la défaite de l’OTAN face à la Russie. Russie dont personne ne pouvait douter sinon de sa victoire, au moins de sa non-défaite.
Ce que je ne sais pas c’est si Blackrock ou Goldman Sachs ont déjà transféré leurs avoirs chez les BRICS.

Pour en revenir au climat, au fameux « dérèglement », j’adore ce mot comme si dans l’histoire le climat avait été un jour « réglé », l’unique objet est la mise à mort de l’Europe.
Tandis que les émissions de CO2 baissent en Europe, preuve de la destruction de l’économie, elles augmentent sur toute la planète et explosent en Asie.
Il faut dire que faire croire que le CO2, gaz totalement naturel qui sort de notre bouche et qui est source de vie sur la planète, 0,04 % de l’atmosphère (si je ne m’abuse), désormais un poison mortel, relève du génie du mal et de l’ignorance et de la naïveté du peuple. Le taux de CO2 était 20 fois supérieur durant l’ère des dinosaures.

Bref, Satan n’est pas près de prendre des vacances, il a un boulot fou en ce moment.

Bonne année ?

Alors l’année sera-t-elle bonne pour nous les gueux, les sans-dents, les inutiles dont la technologie fait qu’un robot et bientôt un androïde coûteront moins cher qu’un ouvrier occidental qui peut tomber en panne et avoir des putains de droits sociaux de merde ?

Je vais essayer de ne pas être totalement pessimiste et fournir quelques éléments objectifs positifs.

Si, si, je peux, ne soyez pas cruels…

L’État profond, les maîtres du monde, l’Église de Satan, appelons-les comme nous voulons du moment que nous n’écrivons pas « qui »…
« Eux », la secte des méchants, ont commis de graves erreurs en voulant trop accélérer leur agenda messianique. Ils ont aussi cru qu’ils pourraient contrôler Internet et les médias sociaux grâce à la censure massive, aux trolls et autres « vérificateurs de l’information ».
De ce point de vue c’est un échec total, la censure, la parole unique, la décrédibilisation systématique de toute dissidence, ont réveillé des millions, que dis-je des centaines de millions d’endormis quand bien même la masse demeure aujourd’hui sur une planète diamétralement opposée à la notre.

Il faut dire que les gouvernants ont été très cons comme par exemple nous autoriser à être assis sans masque au restaurant, mais interdit d’être debout, de même que les plages où il était interdit de marcher puis interdit de s’asseoir à moins que ce ne fût l’inverse. Cela a permis à certains de se demander si on ne se foutait pas un peu de notre gueule.
Pour les injections, nombreux ont vu que cela n’empêchait pas d’avoir la grippe en hiver et que les effets secondaires ne manquaient pas dans leur entourage.

Celui qui veut savoir, celui qui veut avoir accès à une information alternative et sourcée,
peut trouver très rapidement son chemin dans les méandres d’Internet.

Ce n’est pas ou plus une question de possibilité, mais de volonté !
Telegram, pourtant créé par un « méchant russe », est devenu un outil de liberté d’expression qui ne pourra pas disparaître ou sera remplacé par un autre. Espace de liberté au point que des groupes totalement hostiles à Poutine peuvent s’exprimer librement.

Nous traiter de « complotistes » est l’arme de ceux qui ont perdu la bataille, c’est le degré zéro de l’argumentaire.
Nous pouvons disposer de nos jours d’informations dans quasi tous les domaines et nous forger notre propre opinion en la comparant à celle des médias mainstream qui ne parlent que d’une voix.

Quiconque s’autorise à modifier ses croyances, prend le risque d’accepter qu’il puisse y avoir une autre vérité. Raison pour laquelle les mainstream font tout pour décourager l’innocent de lire des « désinformations complotistes ».

N’importe quel individu « sain et éduqué » peut avoir son monde totalement bouleversé en quelques semaines dès lors qu’il ne se contente plus des affirmations des médias, mais investit le temps nécessaire.
Autant il est facile de mentir, autant démontrer le mensonge prends plus de temps.

Il en est des sujets suivants :

  • La Lune où nous irons peut-être un jour.
  • JFK, la CIA et le Mossad.
  • La plandémie Covid.
  • Le 11 septembre.
  • Les guerres mondiales, le Vietnam, l’Irak, etc.
  • La théorie virale et l’arnaque de Pasteur.
  • Les « vaccins ».
  • La guerre en Ukraine.
  • La « victoire » de Biden vs Trump.
  • Le conflit israélien.
  • Le « réchauffement climatique » et la secte du Giec.
  • La mort de Diana.
  • La famille royale d’Angleterre
  • Les réseaux pédophiles et les élites, Epstein, Pizzagate, Sound of Freedom.
  • Les « énergies renouvelables ».
  • Les attentats de Nice, etc.
  • L’économie et la destruction de l’Europe.
  • L’illusion de démocratie.
  • Jean-Michel Trogneux et Mickaël.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’État profond, Blackrock.

J’ai volontairement omis certains sujets, mais cette liste est déjà totalement délirante pour le commun des mortels.
Le mieux que vous pourrez obtenir d’un normie qui vous est proche est un sourire où un ricanement plus ou moins amical, soulignant que l’auteur de ces lignes est un original. Bref rien qui ne justifierait un investissement personnel pour vérifier si telle ou telle partie mériterait que l’on si attarde.

Dès lors que vous quittez le discours officiel sur les sujets précédents vous êtes au mieux qualifié de « complotiste » pour ne pas dire « d’extrême-droite » ou « antisémite » par la « bonne » société.
N’espérez pas que la parole soit donnée à des personnes compétentes sur ces sujets qui défendraient une thèse diamétralement opposée à la doxa.

Le fait est que celles et ceux qui ont pris la pilule rouge (c’est bien la rouge ? Je ne me rappelle plus) ne peuvent plus faire marche arrière et ont ouvert les yeux sur un monde, plutôt horrible, qu’ils ne pouvaient pas imaginer « à ce point ».

Jamais vous ne croiserez un « complotiste » regretter de ne pas s’être injecté le produit expérimental BioNTech ou faire son Mea culpa en déclarant son erreur et que l’homme a bien marché sur la Lune.
Ouvrir la boîte de Pandore c’est mettre un vers dans le fruit qui non seulement ne pourra plus jamais être retiré, mais ne fera que grandir pour se transformer en chrysalide.

À ce titre je pense que les missions Apollo sont les plus intéressantes pour une « initiation au complotisme » ça facilitera l’ingestion de la pilule « 11 septembre ».
Pour autant il est nécessaire d’avoir en face de soi un public qui se pose des questions ou qui tout du moins n’est pas à l’aise avec les vérités officielles.
C’est loin d’être évident, une majorité de la population ne veut ABSOLUMENT PAS savoir, ne veut PAS écouter, apprendre et veut rester dans ce monde imaginaire décrit par les médias.

Si d’aventure vous avez face à vous un « client » qui est prêt à prendre le risque alors le simple bon sens permettra de mettre à mal le discours officiel.

  • Imaginez que vous arriviez à l’intime conviction que l’homme n’est jamais allé sur la Lune, grâce à un ensemble de faits objectifs !
  • Imaginez que l’on vous mente sur ce sujet depuis 1969, soit plus de 50 ans !
  • Imaginez que le mensonge perdure encore et encore !
  • Imaginez l’énergie déployée pour vous convaincre du contraire et décrédibiliser la thèse « complotiste » !
  • Imaginez la complicité active des politiques, des scientifiques, de TOUS les médias mainstream pour vous maintenir dans l’ignorance !
  • Imaginez que la NASA soit, non pas une usine à rêve, mais, une usine de fabrique du mensonge !

Dans cette hypothèse qui serait désormais le « fou » ?

  • Celui qui imaginerait qu’ils disent la vérité sur les autres sujets ?

Ou

  • Celui qui se demanderait s’il faut mettre en doute 100 % des « vérités » qui nous sont enseignées pour se forger sa propre opinion ?

J’ai lu il y a quelques jours une publication sur Telegram dont j’ignore l’auteur. Le titre en était « Comment savoir si une information est vraie ? »
Il est bien évident que cela ne vaut pas loi, mais pour autant mérite réflexion. Les réponses étaient les suivantes :

  • « Facebook la bloque. »
  • « Twitter la supprime. »
  • « Google la cache. »
  • « YouTube l’interdit. »
  • « Les médias la qualifient de théorie du complot. »

Je pourrais rajouter :

  • Les auteurs sont bannis, moqués, disqualifiés, discrédités, calomniés, rejetés, interdits de médias, victimes d’attaques ad hominem.

Rappelons que la notion de « complotiste » a été médiatisée par la CIA lors de l’assassinat de JFK afin de décrédibiliser tout questionnement qui mettrait à mal la thèse officielle rocambolesque.

« Si tout le monde le dit, c’est vrai ! »

Dans nos sociétés, la vérité n’est qu’une question de statistique. Si la majorité dit que ou pense que… c’est que c’est vrai. On peut faire gober n’importe quoi à un normie qui a la mémoire courte.
Le simple fait que l’on ait dit au début de la plandémie que les masques étaient inutiles, inefficaces, extrêmement difficiles à bien mettre (et aussi dangereux), bref un ensemble de vérités scientifiques prouvées depuis des décennies. Puis quelques semaines plus tard, ce même objet devenait indispensable, efficace, sans la moindre contre-indication et obligatoire, aurait dû en toute logique provoquer un scandale planétaire. Mais non, la première « Vérité » de la totale inefficacité était oubliée et le caractère Vital de son utilisation devenait la nouvelle « Vérité ». Celles et ceux qui avaient quelques démangeaisons anales ont alors pensé que la première « Vérité » était un gentil mensonge qui était justifié par le manque de masques tandis qu’ils ne se disaient pas que c’était peut-être la deuxième « Vérité » qui était le vrai mensonge.
Et c’est ainsi pour tous les sujets.
Pendant des années on nous a dit que la voiture à essence polluait et qu’il fallait la remplacer par un diesel (Peugeot étant le leader européen du diesel et notre capacité de production était trop importante du fait de la fermeture de centrales thermiques au pétrole). Le quidam a alors vendu sa voiture essence en parfait état de fonctionnement pour acheter un diesel. Et là le diesel est devenu un assassin de la planète et le quidam achète une voiture électrique ou hybride pour sauver encore la planète. Il n’est pas impossible que la voiture électrique soit bientôt désignée comme une aberration écologique (ce qui est vrai) pour être remplacée par je ne sais quoi, par exemple une voiture à hydrogène qui, de bien entendu, « sauvera la planète ».

Il est tout aussi drôle, mieux vaut en rire, que des centaines de millions de normies se soient injecté une substance expérimentale, dont les précédents essais avaient été un échec retentissant, pour se prévenir d’une maladie qui n’a jamais tué les personnes en bonne santé. C’est quand même fou qu’ils aient pu gober (et c’est encore le cas pour nombreux d’entre eux) que le produit était sans danger alors que sa commercialisation a été permise sur les SEULES données du vendeur, en l’occurrence Pfizer pour ne parler que de lui.
Ici encore le normie a TOTALEMENT oublié les différents scandales, les milliards de dollars de condamnation de Pfizer pour mensonges, escroquerie, corruption et j’en passe. Le plus fou est que nous étions en France en plein scandale du laboratoire Servier et du Médiator.
Oublié que l’industrie pharmaceutique est un ramassis de voleurs sans conscience, d’un coup, par miracle, pour le Covid nous pouvions leur faire confiance au point d’injecter nos enfants et même des femmes enceintes alors qu’un médecin hésite à lui donner de l’aspirine tant cela peut être dangereux.
Ne nous étonnons pas qu’un Breton soit intimement convaincu du réchauffement climatique et du manque d’eau quand bien même il pleuvait tous les jours en Bretagne cet été !
C’est dans la nature humaine de suivre et de croire ce qui est répété jour après jour.

Néanmoins :

Mathématiquement, le nombre de personnes « complotistes »
ou « éveillées » ne peut que croître inexorablement.

Chaque jour, heure, minute, seconde, le nombre ne fait qu’augmenter, car trop c’est trop.
À cela vous pouvez ajouter que les hommes politiques, les médecins, les juges, les scientifiques et les journalistes ne sont pas tous des moutons, des naïfs, des égoïstes, des lâches, des débiles, des criminels ou des corrompus. Certains ouvrent les yeux et commencent à faire parler leur conscience. Nous voyons de nombreuses fissures dans le mur des forces du mal.

La question est donc de savoir si le mur va céder ou pas, et quand ?

2024 sera-t-elle une « bonne » année ? 

Je crains que cela ne dépende pas de gens comme vous et moi en ce qui concerne la bascule.

  • La version probable, logique, réaliste, pessimiste, voudrait que la dictature mondiale poursuive sa marche inéluctable, que nous perdions encore plus de libertés et que nous allions de plus en plus vers la pauvreté matérielle et spirituelle.

Et

  • La version utopique, optimiste, réaliste, voudrait que l’État profond soit démasqué et que les honnêtes gens ouvrent les yeux sur la réalité de l’horreur et de la manipulation.

L’année 2024 sera-t-elle lumineuse :

  • L’année où l’on dira « STOP » au sionisme messianique et au génocide des Palestiniens et autres minorités ?
  • L’année où l’est de l’Ukraine rejoindra naturellement la Fédération de Russie et l’Ouest deviendra neutre, sans présence de l’OTAN ?
  • L’année où Trump aura le droit d’être réélu ?
  • L’année où débuteront les premiers procès contre Pfizer ?
  • L’année où les scientifiques du climat pourront prendre la parole face aux corrompus ?
  • L’année où les agriculteurs, les entrepreneurs et le peuple européen (et occidental) diront « stop » à la destruction de notre vie ?
  • Etc.

Je voudrais y croire, je veux y croire, mais je n’ose y croire.

La question qui se pose est de savoir si le monde pourra basculer du bon côté sans notre intervention active. Les réseaux sociaux sont une mine d’informations salutaires et vitales, mais aussi notre prison.
Nous, peuples européens et occidentaux, pourrons-nous nous opposer activement sans descendre massivement dans la rue ? Je crains que non.

Je réserverai donc mon « bonne année 2024 » à la fin de l’année, sachant que le début n’a pas grand-chose de bon, et le remplacerai alors par « l’année 2024 a-t-elle était bonne ou moins mauvaise que la 2023 ? »

Alors, s’il vous plaît, ne me souhaitez pas une « bonne année », mais fabriquez là.

Merci

Alain Tortosa2

8 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240108-bonne-annee-ou-fin-du-monde.pdf


1 Libre interprétation

2 Groupe Telegram « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
Groupe Telegram « Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk




La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire

[Source : arcaluinoe.info]

Par Iain Davis

Bonjour,

Je m’appelle Iain Davis. Je suis un chercheur d’investigation, un journaliste et un auteur britannique.

Je voudrais remercier Iurie Rosca et le Forum de Chisinau de m’avoir donné l’occasion de discuter du contexte historique du concept d’ordre mondial multipolaire.

La version multipolaire de l’ordre mondial s’écarte du modèle unipolaire en ce sens qu’elle respectera soi-disant véritablement le droit international et partagera le pouvoir entre une coalition plus large d’États-nations. Par conséquent, il est censé introduire un multilatéralisme fonctionnel dans la gouvernance mondiale, sans doute pour la première fois. Pour certains, ce modèle multipolaire semble préférable à l’ordre unipolaire actuel, fondé sur des règles internationales.

Pourtant, lorsque nous examinons les déclarations des dirigeants vantés du nouvel ordre mondial multipolaire, leurs objectifs semblent indiscernables de ceux de leurs homologues unipolaires. D’une part, ils expriment un engagement inébranlable en faveur du développement durable et de l’Agenda 2030.

D’autre part, ils soutiennent le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit rester le centre géopolitique de la gouvernance mondiale, même si notamment la perte du droit de veto n’est pas envisagée. En outre, ils soutiennent sans réserve la 4e révolution industrielle (RI4) du Forum Économique Mondial, axée sur l’IA.

Ils considèrent également que la censure et le contrôle de l’information sont nécessaires pour lutter contre l’« infodémie » et protéger le monde contre la « désinformation ».

Leurs initiatives mondiales — et les partenariats public-privé qui les mettront en œuvre — sont pratiquement identiques aux initiatives et aux partenariats de leurs homologues unipolaires. Enfin, pour les partisans de la multipolarité, un nouveau « système financier » mondial est, comme toujours, la clé de la prétendue « transformation ».

Jusqu’à présent, les oligarques mondialistes, qui sont les bénéficiaires ultimes du modèle unipolaire, ont non seulement préconisé le changement de polarité de l’Ouest vers l’Est, mais ont également joué un rôle dans sa facilitation. En effet, ils ont créé les conditions monétaires, financières, économiques et donc géopolitiques qui semblent le garantir.

Si l’ordre mondial multipolaire est quelque chose de nouveau, alors cette trajectoire vers une gouvernance mondiale centralisée devrait-elle changer ? Mais lorsque le modèle multipolaire semble accélérer la transition vers un pouvoir centralisé, nous devons nous demander s’il y a quoi que ce soit de nouveau et de différent dans ce modèle.

Le Forum Économique Mondial (FÉM) se présente comme l’organisation chef de file des partenariats public-privé (PPP) à l’échelle mondiale. En 2019, le FÉM a tenté de faire valoir ses droits en concluant un partenariat stratégique avec les Nations Unies. L’objectif général de ce partenariat était « d’accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. »

Le FÉM représente les entreprises mondiales les plus puissantes de la planète. Comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, les sociétés pharmaceutiques à elles seules peuvent façonner, et souvent diriger, les décisions politiques mondiales. Il faudrait être extrêmement naïf pour imaginer que le FÉM et ses parties prenantes (membres) ne peuvent pas influencer ce qu’ils prétendent simplement conseiller. C’est dans ce contexte que nous analyserons leurs propos.

Selon le livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret intitulé « The Great Reset » [La Grande Réinitialisation (GR)], l’essence de la GR est un plan visant à remplacer « les idées, les institutions, les processus et les règles qui ont échoué par de nouvelles mieux adaptées aux besoins actuels et futurs ». Comme presque tous les autres groupes de réflexion et « organisations internationales » occidentaux, ils admettent que le passage à un monde multipolaire est tout simplement inéluctable :

Le XXIe siècle sera très probablement une ère dépourvue d’hégémon absolu, au cours de laquelle aucune puissance n’acquerra une domination absolue. Dans ce nouveau monde désordonné, défini par une évolution vers la multipolarité et une concurrence intense pour l’influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l’idéologie ».

The Great Reset (TGR), p. 76.

Le seul problème que pose l’évolution vers la multipolarité est que le recul de la « mondialisation » qui en découle pourrait se produire trop rapidement. Par conséquent, un retrait prématuré causerait des « ravages ». Par conséquent, la nouvelle « forme de mondialisation » ne sera « viable » que si le système global adéquat est fermement mis en place :

Un retrait précipité de la mondialisation entraînerait des guerres commerciales et monétaires, ce qui nuirait à l’économie de chaque pays, provoquerait des troubles sociaux et déclencherait un nationalisme ethnique ou clanique. La mise en place d’une forme de mondialisation beaucoup plus inclusive et équitable, qui la rende durable, tant sur le plan social qu’environnemental, est le seul moyen viable de gérer le recul. Cela nécessite des solutions politiques (…) et une forme de gouvernance mondiale efficace.

TGR, p. 81.

Le Livre affirme que les ruptures provoquées par les pandémies soulèvent ce qu’il considère comme la perspective déplorable d’un « déficit de l’ordre mondial ». Par conséquent, en l’absence d’un « hégémon absolu » — l’ordre mondial unipolaire — les États-nations doivent trouver un moyen de « collaborer au niveau mondial ». ajoutent Schwab et Malleret :

Si aucune puissance ne peut imposer l’ordre, notre monde souffrira d’un « déficit d’ordre mondial ». Si les nations et les organisations internationales ne parviennent pas à trouver des solutions pour mieux collaborer au niveau mondial, nous risquons d’entrer dans une « ère d’entropie » dans laquelle le repli sur soi, la fragmentation, la colère et l’esprit de clocher définiront de plus en plus notre paysage mondial, le rendant moins intelligible et plus désordonné. La crise pandémique a à la fois révélé et exacerbé ce triste état de fait.

TGR, p. 76.

La soi-disant Grande Réinitialisation a été conçue pour gérer et exploiter l’effondrement orchestré de l’ordre mondial unipolaire. La voie vers la multipolarité, ou vers une mondialisation repensée et un nouvel ordre, est donc tracée. C’est la « démondialisation » inhérente à l’ordre mondial multipolaire qui fournit l’« opportunité » suggérée pour le partenariat public-privé mondial. Personne, et surtout pas le FÉM, ne propose de conserver l’« hyper-mondialisation » de l’« hégémonie absolue ». Ils expliquent :

Il ne sert à rien d’essayer de rétablir le statu quo (…), mais il est important de limiter les inconvénients d’une éventuelle chute libre qui précipiterait des dommages économiques majeurs et des souffrances sociales. Cela ne sera possible qu’en améliorant la gouvernance mondiale — le facteur le plus « naturel » et le plus efficace pour atténuer les tendances protectionnistes. Il n’y a pas de temps à perdre. Si nous n’améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance.

TGR, p. 81.

Ce « cadre stratégique » est la gouvernance mondiale d’un monde multipolaire et le FÉM affirme qu’il s’agit tout simplement de la réponse la plus « naturelle » aux crises mondiales, étant donné que, selon le FÉM, les États-nations individuels sont incapables de résoudre les problèmes du monde.

Telle est donc « l’essence » de la Grande Réinitialisation, comme l’indique clairement le livre :

Sans une gouvernance mondiale appropriée, nous serons paralysés dans nos tentatives d’aborder et de répondre aux défis mondiaux, en particulier lorsqu’il y a une telle dissonance entre les impératifs nationaux à court terme et les défis mondiaux à long terme. Il s’agit là d’une préoccupation majeure (…)

TGR, p. 83.

Et plus loin :

En fin de compte, face à un tel vide dans la gouvernance mondiale, seuls les États-nations sont suffisamment cohésifs pour être capables de prendre des décisions collectives, mais ce modèle ne fonctionne pas dans le cas de risques mondiaux qui nécessitent des décisions concertées à l’échelle mondiale. Le monde sera très dangereux si nous ne réparons pas les institutions multilatérales.

TGR, p. 85.

La conclusion du FÉM est que, réel ou imaginaire, le modèle westphalien n’est tout simplement pas équipé pour faire face aux « défis mondiaux ». Seule une gouvernance mondiale « multilatérale » peut éviter la descente dans un monde « très dangereux ». Une évolution vers la multipolarité est donc nécessaire.

Ce sont précisément les arguments avancés par les prétendus leaders du nouvel ordre multipolaire.

Prétendre, comme certains le font, que la « Grande Réinitialisation » représente une défense de l’ordre unipolaire et que le passage à un modèle multipolaire est une sorte d’antidote à la GR semble reposer sur une incompréhension fondamentale de la nature de la GR.

Pour illustrer davantage ce point : Schwab et Malleret suggèrent que les « défis mondiaux » qu’ils ont identifiés poursuivront la tendance à la « régionalisation ». Ils affirment qu’en lieu et place de l’hégémonie unipolaire menée par les États-Unis, le monde sera de plus en plus divisé en régions semi-autonomes à l’échelle continentale :

L’issue la plus probable du continuum mondialisation/pas de mondialisation réside dans une solution intermédiaire : la régionalisation. Le succès de l’Union européenne en tant que zone de libre-échange ou le nouveau Partenariat économique global régional en Asie (…) illustrent bien comment la régionalisation peut devenir une nouvelle version édulcorée de la mondialisation. En bref, la démondialisation sous la forme d’une régionalisation accrue était déjà en cours. Le COVID-19 ne fera qu’accélérer cette divergence mondiale, l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie se concentrant de plus en plus sur l’autosuffisance régionale plutôt que sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, distantes et complexes, qui incarnaient autrefois l’essence de la mondialisation.

TGR, p. 79.

Ce monde « régionalisé » ressemble étrangement au modèle exposé par le professeur Carroll Quigley. Dans son entretien de 1974 avec le journaliste du Washington Post Rudy Maxa, Quigley parlait de ce qu’il appelait le « monde à trois puissances ». Il avait déjà méticuleusement répertorié les activités d’un réseau anglo-américain, dont les membres avaient fait de grands progrès dans la construction d’un système de gouvernance mondiale qu’ils espéraient contrôler.

Voici une citation de Quigley tirée de l’interview :

Ils travaillaient à fédérer le monde anglophone (…). Ils étaient étroitement liés aux banquiers internationaux. Ils travaillaient à l’établissement d’un monde, ce que j’appelle un monde à trois puissances. Et ce monde de trois puissances était : Le bloc atlantique (l’Angleterre, le Commonwealth et les États-Unis), l’Allemagne (l’Allemagne hitlérienne), la Russie soviétique. Tout cela est décrit dans mon livre, et c’était leur idée. Remarquez qu’il s’agit d’un système d’équilibre des pouvoirs.

L’idée de blocs de pouvoir parfois antagonistes les uns des autres, mais jouant chacun leur rôle dans le maintien d’un système mondial centralisé de relations internationales gérées, ressemble beaucoup au modèle décrit par le projet d’études spéciales du Rockefeller Brothers Fund.

Les Rockefeller et Henry Kissinger ont identifié ce que le FÉM appellera plus tard le « déficit de l’ordre mondial » :

Un système d’organisation de l’ordre international a été détruit sans être remplacé par un autre.

Prospect for America, p. 164.

Le problème était que les Nations Unies ne fonctionnaient pas comme les Rockefeller ou leurs partenaires l’avaient prévu. La prise de décision souveraine des gouvernements était considérée comme problématique. Les « grands espoirs » des Rockefeller quant à « l’expression institutionnelle » d’une véritable gouvernance mondiale ont été contrariés :

Les grands espoirs n’ont pas été pleinement réalisés parce que les institutions formelles des organisations mondiales ont été conçues pour réaliser plus que le consensus des aspirations communes existantes n’était prêt à soutenir.

PfA, p. 164.

Les nations agissaient dans leur propre intérêt et concluaient des accords commerciaux bilatéraux et des traités de défense. Elles étaient donc quelque peu réfractaires à une gouvernance mondiale absolue par leurs partenaires privés.

La solution des Rockefeller face à l’intransigeance des États-nations consistait à balkaniser la planète en morceaux, ou blocs, plus faciles à gérer. Aujourd’hui, nous pourrions les appeler des « pôles ». Cela permettrait ensuite à la gouvernance mondiale, sous les auspices des Rockefeller et de leur partenariat public-privé, de s’épanouir :

Le résultat escompté est la paix dans un monde divisé en unités plus petites, mais organisées et agissant dans un effort commun pour permettre et aider le progrès dans la vie économique, politique, culturelle et spirituelle. Il s’agirait vraisemblablement d’institutions régionales placées sous l’égide d’un organisme international à l’autorité croissante — combinées de manière à pouvoir traiter les problèmes que, de plus en plus, les nations séparées ne seront pas en mesure de résoudre seules.

PfA, p. 26.

Les Rockefeller et leurs partenaires — un « réseau », si l’on veut — espéraient que l’ONU serait en mesure d’exercer une véritable gouvernance mondiale sur les « petites unités » ou blocs régionaux :

Les Nations unies sont l’organisation internationale qui offre aujourd’hui l’espoir raisonnable de pouvoir assumer des fonctions de plus en plus nombreuses et des responsabilités de plus en plus grandes. L’esprit et la lettre de la Charte (…) ne se contentent pas de proclamer l’indispensable ordre mondial (…)

PfA, p. 33.

Et :

L’ONU est enfin le symbole de l’ordre mondial qui sera un jour édifié.

PFA, p. 35.

La clé de la gouvernance mondiale, insistent-ils, est la « régionalisation » multilatérale (une affirmation que le FÉM et d’autres défenseurs de l’ordre mondial multipolaire répéteront plus tard).

Les accords multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux. Lorsqu’ils sont pleinement développés, ils impliquent un accord commun sur les dispositions monétaires et de change, une discipline commune sur les questions fiscales et la libre circulation des capitaux et de la main-d’œuvre. Nous pensons que cette approche régionale est valable à l’échelle mondiale. Ce qu’il faut immédiatement, c’est une détermination à aller dans la direction qu’elle implique. Les accords régionaux ne sont plus une question de choix. Ils sont imposés par les exigences de la technologie, de la science et de l’économie. Notre rôle est de contribuer à ce processus par une action constructive.

PfA, p. 188-190.

Dans la Grande Réinitialisation, Schwab, s’exprimant au nom du FÉM, a déclaré que la gouvernance mondiale dans un monde multilatéral et régionalisé, avec des chaînes d’approvisionnement plus localisées, était « la réponse la plus naturelle » aux crises mondiales.

Soixante ans plus tôt, les Rockefeller publiaient ce qui semble être exactement le même plan et affirmaient que les « arrangements multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux ». Avant le projet d’études spéciales des Rockefeller, le « réseau » exposé par le professeur Carroll Quigley suggérait également essentiellement le même système de gouvernance mondiale basé sur un « équilibre des pouvoirs » multipolaire.

L’un des principes fondamentaux de l’ordre mondial multipolaire suggéré est de renforcer l’adhésion à la Charte des Nations unies, établissant ainsi une véritable gouvernance mondiale. Les oligarques mondialistes préconisent depuis longtemps exactement la même approche, tout comme les prétendus dirigeants de l’ordre mondial multipolaire.

Les ambitions de la bande que Quigley appelait « le réseau », tout comme les ambitions du Projet d’études spéciales des Rockefeller et les ambitions de la Grande Réinitialisation du FÉM, sont maintenant les ambitions de l’ordre mondial multipolaire nominalement dirigé par les BRICS.

Merci beaucoup d’avoir écouté cette présentation.

(Encore une fois, toutes nos excuses pour la qualité du son.)

Iain Davis est un chercheur d’investigation, journaliste et auteur britannique.






Mythes et légendes de l’écologie

[Source : @TVL]

Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoît Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans « Mythes et légendes écologistes », le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre.
Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut « d’environnementaliste raisonnable » refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.

[Le site des climato-réalistes de Benoît Rittaud :
https://www.climato-realistes.fr]






La réalité d’Elon Musk ?

[Source : Ciel Voilé]






Une vie d’enfer

[Source : breizh-info.com]

Sophie Grimbert a vécu une vie d’enfer chez les Témoins de Jéhovah : « L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi » [Interview]

« Je suis née, j’ai été élevée et j’ai vécu dans une famille de témoins de Jéhovah pendant quarante-deux ans. En 2009, j’en suis partie avec ma fille âgée de dix ans. Pendant de longues années, je n’ai pas revu mes parents, mon frère et mon fils. Cette expérience m’a marquée au fer rouge. »

Dans un ouvrage édité par Max Milo, Sophie Grimbert décrit son quotidien infernal durant des années, depuis sa naissance, chez les Témoins de Jéhovah. Et surtout, elle y décrit son combat pour en sortir, pour s’affranchir de ce qui s’apparente à une réelle secte qui enlève à ceux qui sont en son sein tout libre arbitre.

Un témoignage poignant, édifiant, sur lequel nous avons voulu revenir avec Sophie Grimbert.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire « Ma vie d’enfer » et à partager votre histoire ?

Sophie Grimbert : J’ai 56 ans et je vis depuis peu avec mes enfants à Paris. Je suis fonctionnaire en disponibilité pour prendre un nouveau virage dans ma vie, faire la promotion de mon livre et continuer l’écriture sur la thématique du fondamentalisme. Le titre « une vie d’enfer » de la couverture a été changé à la dernière minute pour éviter à l’émission qui allait me recevoir d’être éventuellement attaquée par la Société Watchtower. Le vrai titre était L’enfer de Jéhovah.

L’écriture de ce livre était motivée par le besoin de dénoncer l’endoctrinement que j’ai subi pendant 40 ans et celui des milliers d’autres victimes dans mon cas. Le récit chronologique de mon histoire permet au lecteur non initié à la religion ou au mouvement jéhoviste de s’imprégner de la vie d’un enfant éduqué dans une famille fondamentaliste. J’explique, grâce à des anecdotes, ce qu’a pu être une partie de ma vie. C’est un livre objectif qui déroule cette expérience avec mes ressentis, aussi bien de croyante persuadée que tout ce qu’on lui explique est vrai, puis qui commence à douter, jusqu’à la sortie.

Breizh-info.com : Pouvez-vous décrire comment votre enfance au sein des Témoins de Jéhovah a façonné votre vision du monde ?

Sophie Grimbert : On m’a appris à avoir peur du monde méchant dirigé par Satan. Tous les « gens du monde » allaient être tués à Armaguedon, et seuls les Témoins-de-Jéhovah et ceux qui reconnaîtraient la puissance de Jéhovah à la Grande tribulation seraient sauvés. La comparaison avec les temps de Noé était sans arrêt expliquée et reliée à notre époque.. Je devais vivre dans le monde, mais je ne pouvais pas en faire partie. La séparation n’était pas physique mais mentale. Cela donne une certaine force de caractère et l’habitude de vivre à contre-courant, mais cela est aussi angoissant, frustrant et dangereux. Dangereux parce que cela oblige à devenir sectaire. J’explique comment dans mon livre.

Breizh-info.com : Quels ont été les plus grands défis auxquels vous avez dû faire face en grandissant dans cette communauté ?

Sophie Grimbert : Les défis personnels. Comment définir son identité, son moi, quand on vous demande en permanence de vous renier vous-même pour faire la volonté de Jéhovah ? Réussir dans le monde, avoir de l’argent, faire de la politique, devenir célèbre, s’engager dans une carrière qui pourrait vous empêcher d’assister aux réunions ou de prêcher n’était pas envisageable. Être transfusée non plus. Faire le service militaire, saluer un drapeau, s’habiller d’une certaine façon, tout était paramétré. J’ai donc sacrifié mes plus belles années et une carrière de chanteuse pour obéir à l’Organisation.

Breizh-info.com : Y a-t-il eu un moment précis où vous avez commencé à remettre en question les enseignements des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : La première fois, j’avais 15 ans, mais comme je l’explique dans le livre, j’ai enclenché le pilotage automatique en raison de mon endoctrinement. C’est l’autocensure, le reniement du doute qui s’impose et on se radicalise. D’autres sont sûrement beaucoup moins regardants que moi ! Mais je suis une personne entière, authentique, engagée à fond dans ce que je fais. Pas de chance (lol).
Arrivée à 40 ans, j’ai commencé à admettre que tout ce qu’on m’avait appris pouvait être faux, et c’est grâce à internet et à toutes les informations que j’ai pris la peine de regrouper que j’ai compris l’arnaque intellectuelle !

Breizh-info.com : Comment s’est déroulé votre processus de séparation d’avec les Témoins de Jéhovah, et quels en ont été les défis émotionnels et sociaux ?

Sophie Grimbert : Du fait que toute ma famille, tous mes amis étaient TJ, cela a été très difficile. J’ai d’abord dit que j’avais des doutes, alors à plusieurs reprises on m’a fait jeter des objets ou vêtements d’occasion au cas où ils aient été portés par des « médiums », sous-entendant ainsi que je puisse être sous influence démoniaque. Les TJ [Témoins de Jéhovah] voient l’influence de Satan partout alors que leurs publications sont truffées d’images sataniques subliminales… J’ai d’abord arrêté d’aller prêcher, puis j’ai continué avec l’assistance aux réunions. Mon mari a tout fait pour me pousser à donner l’exemple à mes enfants (peu importait ce que je pouvais ressentir). Ensuite j’ai quitté la maison (dans des conditions dramatiques) et alors que mon mari qui disait m’aimer à la folie a eu l’occasion de choisir entre moi et Jéhovah, il a été un bon petit soldat de Dieu. J’ai donc demandé le divorce et je suis partie avec ma fille. J’ai vécu l’enfer à ce moment-là. La famille applique les directives jéhovistes et coupe les ponts avec vous. Puisque vous partez dans le monde, vous avez intérêt à vous être fait rapidement de nouveaux amis, sinon, c’est la dépression assurée ! J’ai reçu de nombreux témoignages d’ex-TJ qui sont tous traumatisés de cette période très agitée et émotionnellement si difficile que certains en arrivent au suicide.

Breizh-info.com : Comment votre départ a-t-il été perçu par votre famille et la communauté des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : Mes parents ont d’abord cru que mon problème était un problème de couple. Ils ont appliqué les règles de la communauté, mais grâce à ma fille, ils ont pu faire quelques compromis et nous avons pu nous revoir. Ma fille ne voulant plus voir personne à condition que je sois avec elle. Mes parents ont agi avec plus d’intelligence que d’autres et je les en remercie. Cela n’empêche que les ponts sont coupés parce qu’ils pensent que je vais mourir à Armaguedon. Mon frère ne me parle plus du tout depuis 14 ans, ma mère ne m’appelle jamais et ne prend jamais de mes nouvelles. Mon père est décédé depuis bientôt 3 ans. Je n’aurais sûrement pas osé écrire ce livre s’il était encore vivant.

Breizh-info.com : Comment votre choix a-t-il affecté vos relations avec votre famille et vos proches encore membres de la communauté ?

Sophie Grimbert : Ce choix implique d’accepter de quitter votre famille pour toujours. À moins que, grâce à leur prise de position ferme jéhoviste de ne plus vous côtoyer, vous finissiez par revenir… C’est du chantage affectif.

Breizh-info.com : Quel message principal espérez-vous transmettre à travers votre livre ?

Sophie Grimbert : Que ce mouvement, à mon époque, était une secte. Qu’aujourd’hui il s’adapte au monde, ce qui était inconcevable à mon époque. La Société disait tout le contraire pour nous prouver qu’elle détenait la Vérité et que la Vérité ne pourrait jamais suivre le monde, même en parallèle. Aujourd’hui le rythme est beaucoup moins soutenu, les directives plus souples, parce qu’ils ont suffisamment d’adeptes, de biens immobiliers et qu’ils sont infiltrés partout. Ils deviennent donc, comme l’avait prédit mon propre père, une religion comme les autres. Les prophéties annoncées ne se sont jamais réalisées, mais leur ont permis de détourner des familles entières de la religion catholique qui était décrite comme « l’empire de la fausse religion ». Ils ont réussi leur mission, aidés en permanence par les franc-maçons. J’espère donc, grâce à ce livre, montrer comment ils ont volé ma vie, mais par extension, celle de milliers d’autres. Je l’ai écrit pour les gens qui peuvent connaître des Témoins et ne pas les comprendre, mais surtout pour ceux qui comme moi, se sentent si mal qu’ils ne savent plus dans quelle direction aller. Après une tentative de suicide, j’ai décidé de choisir la vie.
Masquer le message d’origine

Breizh-info.com : Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui vit une situation similaire à la vôtre au sein des Témoins de Jéhovah ?

Sophie Grimbert : De s’entourer de gens qui le comprennent vraiment, qui seront prêts à l’aider et à quitter ce mouvement s’il se sent coupable en permanence parce que sa personnalité ne colle pas avec ce qu’on attend de lui dans l’Organisation. La soumission…

Breizh-info.com : Comment votre expérience a-t-elle influencé votre perception de la foi et de la spiritualité aujourd’hui ?

Sophie Grimbert : Elle m’a appris à m’élever, à accepter que ma vie est dans le présent et non dans un hypothétique paradis sur terre pour une vie éternelle. J’ai étudié pendant des années les textes anciens, j’ai étudié l’histoire, l’archéologie, j’ai approfondi tout ce qui pouvait expliquer nos origines. Mon esprit rationnel ne m’empêche pas d’être plus spirituelle que jamais, mais sans passer par la religion. Je peux comprendre que des enfants suivent leurs parents dans une religion qui ne s’attache pas à un livre comme étant inspiré de Dieu. L’interprétation des fondamentalistes est dangereuse et sectaire. La foi doit rester une affaire personnelle et privée. Je ne supporte les gens qui affichent leur religion dans la rue. C’est une forme d’agression pour moi et d’agressivité dans l’espace qui d’ailleurs aujourd’hui soulève beaucoup de polémiques. Notre Laïcité était censée nous protéger d’un retour à ces formes de fondamentalismes…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Théodore Kaczynski enfin vu de droite

Par Nicolas Bonnal

Je n’avais lu que des extraits du texte de Kaczynski dont ma culture pyrrhonienne (encore un texte contre les machines ?) m’avait toujours tenu éloigné : et cet affreux terroriste d’ailleurs, n’était-il lui-même qu’une énième psy-op du système ? Et le terrorisme Una-bomber (opération stupide, compliquée, et peu efficace, vouée à l’échec donc…) relève-t-il aussi d’une énième manip’ du Deep State US dont la version totalitaire et post-moderne apparut avec le binôme Clinton et Janet Reno ? Même les procès sont comme les attentats ou les piteux « massacres dans les boites de nuit » mis en scène depuis les années Clinton (celui de Michael Jackson comme celui d’O.J. Simpson). L’avènement des chaînes info et du web a rendu le conditionnement perpétuel et hyper-efficace — et l’opposition liquide et virtuelle, qui se contente de cliquer toute la journée, totalement inefficace. Mais bon, parlons du texte.

Là, j’ai eu des surprises. Kaczynski est un homme de droite, un réac conservateur blanc (d’où la manip’ encore plus envisageable : le mâle blanc lucide — haï par Sartre et nos intellos froncés — = terroriste, etc.) et il attaque le progressisme venu de la gauche dure. On commence :

« 7. Mais qu’est-ce que le progressisme ? Dans la première moitié du XXe siècle, on pouvait à peu près identifier le progressisme au socialisme. Aujourd’hui, les choses sont moins claires, et il est difficile de qualifier d’un seul mot un mouvement devenu très hétéroclite. Quand nous parlerons ici des progressistes, nous ferons surtout référence aux socialistes, aux collectivistes, aux gens “politiquement corrects”, aux féministes, aux défenseurs des homosexuels et des handicapés, aux défenseurs des droits des animaux, etc. Mais n’est pas forcément progressiste celui qui participe à de telles activités… »

Attention : la pleurnicherie humanitaire de Philippe Muray a toujours existé : Marx en parle (la duchesse de Sutherland extermine ses paysans écossais, mais elle chérit la case de l’oncle Tom — voyez le Capital, VI), Hobson en parle, et Gustave de Beaumont, et quelques dizaines d’autres. Ce qui importe ici c’est de noter la liquidation de la question sociale (les pauvres n’ont qu’à crever, il suffit comme dit Nietzsche dans la Volonté, § 154, de leur couper l’appétit) remplacée par la question sociétale : féminine attitude, LGBTQ, haine rabique du blanc (d’autant plus facile que le petit blanc Ran-Tan-Plan ne comprend toujours pas pour qui il vote), etc.

Le langage devient fou et on va retrouver Orwell et l’âme désarmée de Bloom (dont j’ai aussi parlé ailleurs — je répète que les pires intellos ne sont pas les juifs, mais les froncés, à part Céline-Drumont-Céline, et pas pour les raisons qu’on croit, et ce depuis six siècles) :

« 11. Lorsqu’un individu juge dépréciatifs presque tous les propos tenus sur lui — ou sur les groupes auxquels il s’identifie — nous pouvons dire qu’il nourrit un sentiment d’infériorité ou de dépréciation de soi. C’est une attitude fréquente chez ceux qui militent en faveur des droits des minorités, qu’ils appartiennent ou non aux communautés qu’ils défendent. Ils sont particulièrement susceptibles sur les mots désignant les minorités. Les termes “nègre”, “oriental”, “handicapé”, ou “nana” désignant un Africain, un Asiatique, un infirme ou une femme n’avaient pas à l’origine de connotation péjorative. “Nana” et “gonzesse” étaient presque les équivalents féminins de “gars”, “mec” ou “type”. »

Kaczynski voit comme Allan Bloom le rôle des militants dans les universités (cf. les éléments de Cornell university en 1959) ; car la vraie guerre culturelle a eu lieu en Occident anglo-saxon, pas en Chine. Un qui l’avait compris était Eric Hobsbawn, juif communiste rationnel qui voit l’occident démocratique anglo-saxon devenir totalement cinglé dans les années soixante (il est rejoint par Vargas Llosa et des dizaines d’autres) :

« Ce sont les militants eux-mêmes qui leur ont donné un sens péjoratif. Quelques défenseurs des droits des animaux vont jusqu’à rejeter le terme “animal domestique” et insistent pour le remplacer par “compagnon animal”. Les anthropologues progressistes se donnent beaucoup de mal pour éviter le moindre propos dépréciatif sur les peuples primitifs. Ils veulent désormais les appeler des “peuples sans écriture”. »

Disons-le nûment alors. Le danger ne vient pas des races ou des immigrés, des noirs ou des « arabo-musulmans », mais des gauchistes blancs toqués, humanitaires tous cultivés et rêvant d’une bonne retraite (disait déjà Céline) :

« 12. Les plus sensibles au langage “politiquement incorrect” ne sont ni le Noir du ghetto, ni l’immigré asiatique, ni la femme battue, ni la personne handicapée ; il s’agit plutôt d’une minorité de militants dont la plupart n’appartiennent à aucun groupe “opprimé”, mais viennent des couches privilégiées de la société. Le bastion du “politiquement correct” se trouve dans les universités, en majorité chez les professeurs, blancs, de sexe masculin, hétérosexuels, issus de la classe moyenne, avec emploi fixe et bon salaire. »

L’increvable fonctionnaire français (Godelier) qui a invité la théorie du genre se dit lui-même fonctionnaire au service de l’humanité… Rassurez-vous, Platon avait déjà tout dit sur la dégénérescence démocratique (livre VIII de la république, voyez mon texte).

On se met à adorer le faible ou la victime :

« 13. De nombreux progressistes font leurs les problèmes des groupes qui paraissent faibles (les femmes), historiquement vaincus (les Indiens d’Amérique), répulsifs (les homosexuels) ou inférieurs d’une quelconque façon. Ce sont eux qui pensent que ces groupes sont inférieurs et c’est précisément à cause de cela qu’ils s’identifient à eux, même s’ils ne s’avouent jamais de tels sentiments. (Nous ne voulons pas dire que les femmes, les Indiens, etc., sont inférieurs, nous relevons seulement un trait de la psychologie progressiste.) »

Le passage à la liquidation des sexes ou des races ou de la culture (qui est ontologiquement raciste, sexiste, etc., donc éliminable, tout comme la langue non inclusive est fasciste — dixit Barthes, grammairien-sémiologue qui fut le nouveau Vaugelas de nos interminables flemmes savantes) nous prépare au conditionnement informatique qui va métamorphoser ontologiquement. On va y revenir. Kaczynski ajoute :

« 14. Les féministes sont vraiment rongées par la crainte que les femmes ne soient pas aussi fortes et aussi compétentes que les hommes, et cherchent désespérément à prouver qu’elles le sont.

15. Les progressistes ont tendance à haïr tout ce qui renvoie une image de force, d’habileté et de réussite. Ils détestent les États-Unis, la civilisation occidentale, les Blancs de sexe masculin et la rationalité. »

La liquidation du « mâle blanc bourgeois » (Sartre dans sa monstrueuse conférence sur les intellectuels à Tokyo) est le programme numéro un. Et tous les Biden, Macron, Delors, Schauble, Leyen, Lagarde, Biden (again, car je l’adore, et il va être réélu dans un fauteuil bourgeois de sa salle ovale) et Powell ne sont payés ou motivés que pour ça : nous réduire à néant. Rappelons que le pauvre doit et va crever, la cause est entendue depuis Gorbatchev et le virage à droite (1984…) Mitterrand-Fabius-Delors. L’extrême-gauche culturelle sert le milliardaire post-humain de la bourse (qui crève tous les plafonds avec son IA en dépit de tous les Bill Bonner, Delamarche, Greyerz et Gave de la place antisystème). Kaczynski note aussi qu’on reprogramme les caractères (en fait on programme l’humanité comme on veut, il est temps de le reconnaître) pour en faire des efféminés, des dégonflés et assistés :

« 16. Des locutions comme “confiance en soi”, “indépendance d’esprit”, “initiative”, “esprit d’entreprise” ou “optimisme” ont peu de place dans le vocabulaire progressiste de gauche. Le progressiste est anti-individualiste et pro-collectiviste. Il demande à la société de résoudre les problèmes des individus et de les prendre en charge. Il n’a pas confiance en ses propres capacités à résoudre ses problèmes et à satisfaire ses besoins. Il est opposé à la notion de compétition parce que, dans le fond, il se sent minable. »

Qui a parlé le premier d’efféminé aux temps modernes ? Un certain La Boétie, dans sa Servitude volontaire…)

La quête du vaccin par tous nos innombrables retraités et nos petits jeunes conditionnés par la télé et la hiérarchie sanitaire-administrative (O Foucault si incompris — voyez mes textes encore…) a montré cette dimension minable du petit fonctionnaire post-humain. On se serait cru dans un épisode du prisonnier (« individualiste ! »), faux rebelle toujours facilement et manipulé et ridiculisé par les femmes — vive James Bond et Sean Connery donc. Le machisme ou donjuanisme est le seul moyen de mettre fin à ces temps du jésuitisme de la Fin.

L’art moderne et le cinéma des festivals doivent aussi dégénérer pour créer notre homoncule occidental dont la civilisation a déjà disparu, ce que plein de naïfs n’ont pas compris :

« 17. Les formes d’art prisées par les intellectuels progressistes modernes sont caractérisées par le sordide, l’échec et le désespoir. Ou bien encore elles prennent une tournure orgiaque, rejetant tout contrôle rationnel, comme s’il n’y avait plus aucun espoir de parvenir rationnellement à quoi que ce soit, comme s’il ne restait plus qu’à s’immerger dans les sensations du moment. »

Le déclin de l’art est bien décrit par Tolstoï dans son essai sur l’art (voyez mon texte). À la même époque, le sioniste Max Nordau en parle très bien (voyez mon texte aussi). Freud évoque même la disparition des races évoluées (si, si) du fait de la culture… C’est bien cela qui me désole chez Barzun : a-t-il compris de quels temps il parlait ?

Je trouve ensuite un deuxième lien, dernier et surtout essentiel : celui entre la sous-culture gauchiste festivalière, antiraciste-écologiste etc. et le triomphe de la toute-puissance technologique mise au service du contrôle des populations (ici Mélenchon s’incite à la table de Schwab à Davos) :

« 157. Si la société industrielle survit, il est probable que s’installera un contrôle technologique presque total du comportement humain. Il ne fait aucun doute que la pensée et le comportement humain sont pour une large part biologiquement déterminés. Les expériences l’ont démontré : des sensations comme la faim, ou des sentiments comme le plaisir, la colère ou la crainte peuvent être manipulés en stimulant électriquement des parties précises du cerveau. Les souvenirs peuvent être détruits en endommageant certaines régions du cerveau, ou ravivés par stimulation électrique. Des médicaments peuvent provoquer des hallucinations ou modifier l’état d’esprit. Il existe peut-être une âme humaine immatérielle, mais, si elle existe, il est évident qu’elle est moins déterminante que les données biologiques du comportement humain. Dans le cas contraire, les scientifiques ne pourraient pas manipuler si facilement les sensations et les comportements à l’aide de médicaments et d’impulsions électriques. »

Ce que Kaczynski décrit (comme tant de films hollywoodiens de la bonne époque), nous le vivons maintenant :

« 158. Les autorités ne peuvent guère envisager de contrôler la population en branchant des électrodes dans tous les cerveaux. Mais le fait que les pensées et les sensations humaines soient si vulnérables aux interventions biologiques montre que le problème du contrôle du comportement est principalement un problème technique : un problème de neurones, d’hormones et de molécules complexes, le genre de problème auquel les scientifiques peuvent s’attaquer. Étant donné les extraordinaires performances techniques de notre société, il est plus que probable que de grands progrès seront accomplis dans le contrôle du comportement humain. »

Il explique pourquoi cela marchera (cf. la stratégie du salami des Soviétiques) :

« 159. Les gens parviendront-ils à résister victorieusement à l’introduction d’un tel contrôle ? Ce serait certainement le cas si on tentait de l’instaurer brusquement. Mais parce qu’il sera installé très progressivement, il n’y aura aucune résistance rationnelle et efficace (voir paragraphes 127, 132, 153). »

Je termine par le meilleur : l’alliance entre la subversion et la technologie. C’est le 666. Un antéchrist machine uni à un Lucifer gnostique. C’est ce que nous avons maintenant en Europe comme en Amérique (la Chine et la Russie se contentent pour l’instant de la machine, ignorant quelque peu le LGBTQ…) :

« 216. Certains progressistes ont l’air de s’opposer à la technologie ; cela durera tant qu’ils seront exclus de la direction du système. Mais si le progressisme devient un jour dominant dans notre société et qu’alors il dispose de la technologie, les progressistes s’en serviront avec enthousiasme et favoriseront son développement. Ils ne feront ainsi que répéter ce qu’ils ont déjà fait tant de fois par le passé. Quand les bolcheviques étaient minoritaires en Russie, ils étaient vigoureusement opposés à la censure et à la police secrète, ils prônaient l’autodétermination des minorités nationales, etc. ; mais, aussitôt arrivés au pouvoir, ils imposèrent une censure plus stricte, créèrent une police secrète encore plus implacable que celle du tsarisme et opprimèrent les minorités nationales au moins autant que l’avaient fait les tsars. »

Mais comme on disait, le danger vient et est venu des USA et de leurs légendaires et sataniques universités (ô confréries…) :

« Aux États-Unis, il y a une vingtaine d’années, alors que les progressistes étaient en minorité dans les universités, les professeurs progressistes s’étaient fait les ardents défenseurs de la liberté d’expression ; aujourd’hui ils ont réussi à imposer leur mode de pensée, à l’exclusion de tout autre, dans les universités où ils sont majoritaires : c’est le “politiquement correct”. Même chose pour la technologie : s’ils arrivent jamais à la contrôler, ils s’en serviront pour opprimer tout le monde. »

C’est ce vers quoi nous allons, gaîment. J’oubliais : opprimer ne leur suffira pas.

Quelques sources :

https://www.dedefensa.org/article/max-nordau-et-lart-degenere-du-goy-1900

https://www.terreetpeuple.com/culture-enracinee-memoire-81/6270-leon-tolstoi-et-la-decheance-de-lart-en-europe-occidentale-par-nicolas-bonnal.html

https://dissibooks.files.wordpress.com/2013/09/avenirsocieteindustrielle.pdf

https://www.dedefensa.org/article/sigmund-freud-politiquement-incorrect

https://www.dedefensa.org/article/allan-bloom-et-la-deconstruction-de-la-civilisation-occidentale

https://www.dedefensa.org/article/platon-nous-decrivait-il-y-a-25-siecles




Psychopathie en action — L’Occident attaque les piliers de sa civilisation

[Source : Hashtable via Sott]

L’année 2023 s’achève doucement et jamais il n’aura autant été évident qu’une petite clique de psychopathes s’acharne actuellement à attaquer chacun des piliers de la civilisation moderne.

© Sott.net

C’est en substance ce que Michael Shellenberger (connu pour avoir participé aux révélations des « Twitter files ») explique, à raison, dans un entretien qu’il a récemment accordé à Tucker Carlson.

Pour le journaliste californien — d’ailleurs rejoint en cela par de nombreux philosophes — le développement des civilisations repose sur quatre piliers essentiels : l’accès à de l’énergie bon marché, une hiérarchie sociale basée sur la méritocratie, l’application solide de la loi et de l’ordre et enfin la liberté d’expression.

Et lorsqu’il note que ces quatre piliers sont attaqués, on ne peut lui donner tort.

La liberté d’expression n’est plus, dans les démocraties occidentales, que l’ombre d’elle-même.

Il est maintenant assez clair que ces dernières années, les politiciens des pays occidentaux ont fait voter et mis en place différents moyens coercitifs pour s’assurer que seront punis ou cachés tous les discours contraires à ceux qu’ils prônent.

Depuis les actions directement entreprises (et maintenant démontrées) par les agences gouvernementales contre l’expression d’opinions dissidentes jusqu’aux rétorsions en déplateformant ou débancarisant les individus désignés comme (au choix, panachage possible) terroristes, désinformateurs, propagandistes pro-russes ou d’ultra-droite, en passant par l’utilisation ciblée de termes infamants (antivax, climato-sceptique, etc.), c’est bien d’une chasse aux libres penseurs qu’il est devenu question en quelques années.

Les lois d’exception qui sont actuellement poussées dans différents parlements — l’Irlande ou la France étant les derniers exemples en date — ne sont rien d’autre : exprimer une opinion contraire à des critères arbitraires décidés par des politiciens ou, pire encore, des administrations, va devenir passible de solides amendes voire de peines de prison.

De même, la loi et l’ordre ne sont plus qu’un souvenir, ces concepts n’étant plus qu’une vaste fumisterie dans la plupart des pays occidentaux.

Entre les personnes incarcérées de nombreux mois (voire années) sans procès et pour des raisons visiblement bidon (aux États-Unis par exemple), entre les criminels relâchés, voire jamais poursuivis, ou ceux qui bénéficient d’un laxisme judiciaire si évident qu’il en devient grotesque, entre les politiciens bien introduits qui bénéficient de relaxes aussi commodes qu’inexplicables ou d’une mansuétude invraisemblableil devient difficile pour ne pas dire impossible de croire encore que la loi et l’ordre règnent dans les pays occidentaux.

Ce n’est certes pas le chaos, mais tous ceux qui sont un minimum lucides se demandent essentiellement « pour combien de temps encore », sans douter que la situation ne tient plus que par habitude et non par efforts calculés.

Peut-on réellement douter de la disparition de la méritocratie lorsqu’on constate le niveau véritablement abyssal de nos élites, notamment en politique (mais pas seulement) ?

Toute la société occidentale s’efforce à présent de justement gommer cette méritocratie traditionnelle pour la remplacer par un affichage virtuel immodéré dans lequel toute compétence réelle sera examinée en dernier, bien après des critères de plus en plus accessoires, voire carrément clivants, depuis la race jusqu’au sexe en passant par les opinions politiques, l’accoutrement vestimentaire ou les accointances. Critères ESG dans les entreprises, barbouillage d’âneries « woke » partout où c’est possible, tout est fait pour que la méritocratie disparaisse définitivement.

Enfin, on ne peut plus nier l’actuelle lutte acharnée contre les énergies abondantes et bon marché comme les hydrocarbures et le nucléaire.

De propagandes grossières, mais bombardées non-stop sur tous les canaux possibles, en politiques énergétiques complètement débiles méticuleusement appliquées par les brochettes de criminels qui ont accaparé, par mensonges et duperie, tous les leviers de pouvoirs, on assiste très effectivement à une lutte acharnée des plus riches contre les plus pauvres, avec une volonté maintenant affichée des premiers de faire disparaître (lire « éliminer rapidement ») les seconds pour qu’enfin tout se déroule comme les élites l’ont ultimement décidé.

Avec la COP28, les pleurnicheries médiatiques de Greta Thunberg, les crises hystériques de gorgones à cheveux bleus sur des tableaux célèbres sous des prétextes climatiques en passant par les imbéciles qui choisissent de bloquer le trafic routier (ce qui accroît les rejets de polluants), il apparaît clairement que, ces derniers mois, les activistes les plus virulents ont résolument abandonné toute velléité de vendre l’utopie écologique un peu joyeuse dans laquelle l’Humanité vivrait en harmonie avec la Nature, pour à la place nous pousser dans le gosier la dystopie communiste pour eux indispensable d’une Humanité réduite à sa plus simple expression, de préférence dans des camps où la production de chaque millimètre cube de dioxyde de carbone sera amèrement punie.

Là où l’écologie des années 70 ou 80 consistait à sauver les baleines et lutter contre la pollution, celle des années 2020 ressemble à une longue litanie d’interdictions, de vexations, de punitions et d’admonestations acariâtres nous incitant à nous suicider aussi rapidement et proprement que possible, la noyade dans un bassin de station d’épuration représentant probablement l’aboutissement souhaité et ultime du recyclage total de notre vilain carbone individuel.

Le principal souci des attaques portées sur ces quatre piliers est qu’elles sont suffisamment puissantes pour durablement remettre en question la civilisation occidentale : sans énergie bon marché, le travail devient de plus en plus coûteux ; sans une justice efficace, le crime finit par rapporter plus que le travail honnête, effondrant l’incitation à entreprendre ; la méritocratie impose la recherche de qualité et d’amélioration sans lesquelles aucun progrès n’est possible ; et sans liberté d’expression, il devient justement impossible de pointer ces précédents problèmes et d’apporter des solutions ou même d’en débattre…

Devant ce constat du lent suicide occidental, le basculement géopolitique actuel semble logique et s’inscrit même en réponse à ces attaques : s’il y a un demi-siècle, l’Occident pouvait représenter un but à atteindre pour les pays émergents, ce n’est plus le cas actuellement.

L’année 2023 a clairement marqué une accélération des attaques portées et alors que s’écoulent ses derniers jours, souhaitons qu’au contraire, 2024 soit celle où les Occidentaux prennent conscience du problème et s’attachent enfin à le résoudre.

Pour le moment, ça n’en prend pas le chemin.

Article original publié le 22 décembre 2023