La réponse aux courriels de Fauci prouve que tout est faux, que la gestion des récits l’emporte sur la réalité, et que ceux qui sont au pouvoir le veulent ainsi

[Source : Aube Digitale]

En observant la couverture médiatique – ou l’absence de couverture – des courriels du Dr Anthony Fauci et de ce qu’ils signifient pour l’origine du coronavirus, on est frappé par le fait que tout est implacablement faux, des experts de la santé publique à la science.

Les courriels suggèrent notamment que Fauci s’est entendu avec Peter Daszak – chef de l’EcoHealth Alliance, qui a canalisé des fonds de recherche américains vers l’Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et écarter toute idée selon laquelle le virus responsable du Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué naturellement.

En fait, M. Daszak a donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l’année dernière, et personne dans les médias n’a pensé à faire le lien. En d’autres termes, Donald Trump a dit que le virus venait de Chine et qu’il pouvait provenir d’un laboratoire, ce qui signifie qu’il était faux et raciste.

Ce n’est qu’un exemple, le plus récent et le plus aigu, de la victoire à tout prix de la narration sur la réalité. Des millions de morts, une destruction généralisée de l’économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le “progrès” et assurer le “bon” résultat de l’élection de 2020, pourraient dire les fortifiants de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. “Reconstruire en mieux !”, répète la presse à la place.

Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d’expression, mais Biden disant à une journaliste qu’il préférerait l’écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre qui se déroule actuellement en Israël est une blague amusante, haha, comme c’est hilarant. Quel parfum de glace avez-vous commandé, monsieur ?

Cela peut sembler partisan à première vue, mais n’oublions pas qu’il s’agit des mêmes médias qui ont autrefois fièrement soutenu le récit des “ADM de Saddam” [Armes de Destruction Massive]. La vieille dichotomie entre démocrates et républicains ne fonctionne donc pas vraiment ici et, de plus, elle ne tient pas compte de la situation dans son ensemble.

Une société vraiment libre n’aurait pas de récits officielsa écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone en début de semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres, et que les récits officiels sont tout ce qu’elles ont. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de l’”insurrection” du 6 janvier au Capitole ?

Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu’ils considéraient qu’une presse libre était nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe médiatique des entreprises et leurs homologues des Big Tech sont devenus les chiens de poche du pouvoir, et non ses chiens de garde. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont dans le coup. AP a littéralement réécrit son manuel de style pour limiter l’utilisation du mot “émeute” l’été dernier. Reuters a “vérifié les faits” en déclarant que l’éloge funèbre de Robert Byrd par Biden était faux parce que le sénateur démocrate n’était pas un “grand sorcier” du KKK mais simplement un “cyclope exalté”.

Ce remplacement orwellien des faits par des récits conditionne le public à se faire l’écho de l’infâme défense d’Hillary Clinton à propos de Benghazi : “Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ?”.

Les “faits” ne signifient rien pour cette foule. La “science” n’est pas [pour elle] un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour conférer l’autorité et bannir la dissidence. La “vérité” est ce qu’ils déclarent être à ce moment-là, et lorsque cela ne leur convient plus, ils reviennent en arrière sans vergogne et réécrivent leurs propres mots, en prétendant depuis le début que c’est ce qu’ils ont toujours cru. Oui, c’est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s’en soucier.

Après tout, qu’allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c’est ce qui se passe. Mois après mois, les rapports d’audience montrent que CNN et MSNBC se font nettoyer par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler le nombre de sujets woke et de points de discussion démocrates, tout en menant un véritable jihad contre Fox pour “désinformation”.

Il est donc insensé de penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité de l’audimat leur sautera aux yeux. Ils n’en ont tout simplement rien à faire. Se pourrait-il qu’ils ne se soucient pas tant de l’argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes – et c’est discutable dans le meilleur des cas – ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour reprendre l’expression de Lord Acton.

Les médias sont censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – et non les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si cette dernière était vraie et voulue. C’est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu’il est impossible de les raisonner. Confrontez-les à des faits réels, à des principes ou à des lois de la physique, et ils vous censurent – ou bien ils ricanent et continuent.

Le comportement de Biden commence à avoir du sens lorsque vous comprenez qu’il existe dans un monde imaginaire, entièrement imaginé par la presse et son équipe. Tout comme des milliers d’activistes, d’”ONG” et de consommateurs cultistes de subventions du gouvernement américain dans le monde entier. Comment atteindre ces personnes, qui ont intériorisé la “logique” de Qui/Qui ? C’est peut-être la question la plus importante à laquelle seront confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde entier, très bientôt.

Traduction du Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Est-ce-que ce monde est sérieux ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Prêt pour le saut dans le vide – Les photovores]

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir

Quand tu te fais remonter les bretelles au Carrefour de ton quartier par un garde qui vient te chercher jusqu’à la caisse où tu as déjà commencé à déposer tes achats en t’apostrophant avec une remarque désobligeante et stupide parce que tu n’as pas ton nez correctement recouvert du niqab naso-buccal réglementaire alors que tous les indicateurs épidémiologiques rasent le plancher viral, ta colère éclate publiquement, car trop c’est trop, vraiment, la compliance a ses limites.

Je ne serai résolument et définitivement jamais adapté à cette société hygiéniste profondément malade dans laquelle nous ont projetés une clique de sociopathes bouffés par leur névrose thanatophobique et soumis à un Ordre économique et socio politique élitaire mondialiste et matérialiste sans conscience et sans âme.

Ce port obligatoire du masque est le symbole absolu de cette mascarade sanitaire de laquelle nous ne sortirons pas avant qu’un événement significatif ne fasse trembler ce régime autoritaire et totalitaire qui s’est imposé en un tournemain avec l’approbation et l’assentiment général et malheureusement dans une indifférence massive hallucinante et désespérante pour les êtres encore dotés d’un certain niveau de conscience.

Je sais qu’il se trouve des personnes qui refusent de reconnaître le caractère totalitaire de ce régime au motif qu’il ne remplit pas toutes les cases sociopolitiques classiques décrites par les grands théoriciens du totalitarisme.

Cela reste un débat auquel je demeure ouvert.

Néanmoins, je considère que lorsque nous n’avons plus la liberté de disposer de notre corps ni de notre vie comme nous en avons envie de le faire et en principe aussi le droit de le faire et que l’État s’approprie le droit de décider pour nous comment nous devons nous comporter en sortant de chez nous pour exercer notre liberté et nos droits fondamentaux, c’est que ce régime est devenu totalitaire, puisqu’il décide, contrôle et surveille nos déplacements, nos activités en fonction de mesures sanitaires décidées sans aucune concertation démocratique.

Le totalitarisme globalitaire (globalitarisme) est ce régime de gouvernance par lequel tous les aspects et les domaines de notre vie privée sont investis. Il est totalitaire parce que totalisant, englobant la vie des individus sans que ces derniers n’aient eu le droit ni l’occasion d’en débattre.

Le totalitarisme ne s’exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans les sphères privée et intime, englobant toute la société et tout le territoire, en imposant à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire (la santé selon le dogme viral et vaccinal), hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté.

Nous y sommes.

Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : d’une part, un monopole idéologique (le logiciel épidémiologique qui est un dogme auquel il faut souscrire), une conception d’une vérité indiscutable (virale, vaccinale, gravité de la pandémie) qui ne supporte aucun doute, ne tolère aucune critique, est imposée à tous et se trouve consolidée par la lutte contre les ennemis du régime (sanitaire) qui sont discrédités et disqualifiés, et d’autre part un pouvoir qui dispose de l’ensemble des moyens de communication de masse utilisés comme des instruments de propagande (formatage et fabrique de l’opinion et du consentement) ainsi que du pouvoir de coercition judiciaire, administratif et policier.
À ce titre, je considère que nous sommes dans les prolégomènes et l’antichambre d’un nouveau totalitarisme qui a déjà installé ses fondements et ses fondations au nom de la santé et d’un hygiénisme forcené que je qualifie de thanatophobique.

Il ne reste plus alors qu’à bâtir l’édifice dont les plans sont déjà établis et dessinés à Davos et dans d’autres instances internationales multilatérales depuis longtemps par une élite qui considère que la démocratie est trop lente et trop lourde, qu’elle est dépassée dans un monde interconnecté en réseaux où la vitesse et le changement sont érigés en fétiches et qu’elle est le produit des inutiles, des incultes, des profanes, des abrutis et des sans dents.

Le nouveau totalitarisme sanitaire numérique s’oppose aux anciens dans sa structure, dans son esthétique, dans ses rituels, dans sa phénoménologie, sa visibilité.

Les anciens (fascismes, nazisme, communisme) étaient incarnés par une figure humaine, un visage, des grimaces, des postures, une personnalité, une tête, visibles et identifiables, des habits, des costumes et des coutumes, des rites de passage, des mimiques, des pratiques et des traditions violentes, tandis que le nouveau est peu visible, confus, opaque, sans tête unique emblématique, multiforme, réticulaire, feutré, souriant, anonyme, insaisissable, affable, ce qui explique pourquoi il est si difficile de le reconnaître et de l’identifier.

L’erreur est, me semble-t-il, de penser le totalitarisme contemporain à l’aune de l’histoire révolue du 20e siècle. La fabrique du consentement autour d’un ennemi faussement désigné comme le fascisme (le “populisme” souverainiste, patriotique) relève d’une imposture historique (le fascisme étant historiquement mort à Berlin en 1945) dont le nouveau totalitarisme se nourrit afin d’avancer masqué au propre comme au figuré au nom de la santé érigée en valeur suprême alors que celle-ci n’est qu’un bien au même titre que la richesse ou la beauté : on n’admire pas, en principe, quelqu’un parce qu’il est en bonne santé.
La manoeuvre totalitaire contemporaine est en outre très perverse, car le rapport à la loi est tordu, celle-ci étant contournée, ignorée, violée.

L’État n’a pas la prérogative de se mêler de la santé individuelle de ses administrés, je l’ai déjà écrit et je l’écris à nouveau aujourd’hui, il s’agit d’un grave abus de pouvoir, l’État (de droit) a le devoir de s’occuper de la santé collective, de gérer les risques, de les prévenir, de soigner, mais la santé publique ne peut se confondre avec la santé individuelle et ce n’est pas à l’État de nous dire comment nous devons vivre et nous soigner, qui nous pouvons fréquenter, où nous pouvons aller ni comment nous devons nous vêtir pour faire nos courses. La santé est un bien individuel, personnel, intime, singulier, la santé publique est une des matières non régaliennes.

La soumission massive et le consentement général à l’autorité sanitaire sont un désastre anthropologique et sociopolitique majeur et historique.
Nous ne sommes pas sortis des ténèbres sanitaires numériques et vestimentaires desquelles je le crains, aucune immunité collective artificielle ne nous sortira.

Notre époque est celle du règne de l’hypnose collective savamment entretenue par l’emprise d’une nouvelle religion politique sanitaire qui se nourrit du vide spirituel et symbolique creusé depuis des décennies par une classe politique et médiatique et par une élite à qui nous avons accordé notre confiance et notre voix trop facilement.

Auteur(s): Michel Rosenzweig pour FranceSoir




Les « Expliqueurs » : Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux

Par Alain Tortosa

[Ndlr : texte à prendre au second degré.]

Les « Expliqueurs »

Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux ?

Cela fait plusieurs mois qu’il répand des théories complotistes délirantes sur la toile.

Comment en ce 17e siècle éclairé pouvons-nous avoir encore des idées aussi loufoques et dangereuses qui se répandent comme une traînée de poudre ?

Les journalistes indépendants investigateurs des « Expliqueurs » ne pouvaient pas rester silencieux face à cette nouvelle vague de désinformation et cette menace supplémentaire pour la démocratie, la sécurité et la liberté.

Une fois de plus des personnes fragiles, sans repères, et en quête de réponses faciles, sont tombées dans le piège des manipulateurs pervers…

Ce Galilée se base sur les théories fumeuses d’un certain Copernic(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Copernic)) dont le système a été si justement condamné en 1616.

Ils ont appelé leur théorie « l’héliocentrisme », théorie selon laquelle ce ne serait pas tous les astres qui tournent autour de la Terre, mais la Terre qui tournerait autour du Soleil !

Ne riez pas, certains y croient dur comme fer !

C’est tout aussi délirant qu’imaginer que le Sars-Cov2 ne serait pas naturel, que les confinements seraient inutiles, que le masque ne serait que muselière pour rendre visible une épidémie montée en épingle, que le Covid se traiterait avec succès avec des molécules génériques ou que les vaccins seraient des produits expérimentaux inefficaces et dangereux…

C’est dire à quel point on peut faire croire n’importe quoi !

Je vous rappelle que nous les « Expliqueurs » sommes sur le qui-vive depuis le début de la crise.

  • Nous vous avons expliqué comment les confinements étaient efficaces.
  • Nous vous avons expliqué que le 1er confinement serait de nature à nous en sortir.
  • Nous vous avons expliqué que les masques étaient inutiles, surtout en plein air.
  • Nous vous avons expliqué que l’hydroxychloroquine était très dangereuse.
  • Nous vous avons expliqué que l’internement forcé ou des camps d’internement relevaient du délire.
  • Nous vous avons expliqué que le virus est 100 % naturel né d’une idylle entre une chauve-souris et un pangolin.
  • Nous vous avons expliqué qu’un passeport sanitaire relevait de l’infox…
  • Nous vous avons expliqué que le nombre de personnes en réanimation était exact même s’il était faux.
  • Nous vous avons expliqué que tous les décès comptabilisés concernaient des personnes mortes du Covid.
  • Nous vous avons expliqué qu’il y aurait un rebond et une nouvelle vague en juin 2020, puis en juillet, puis en août pour finalement la faire en septembre.
  • Nous vous avons expliqué que le Remdesivir était une molécule prometteuse.
  • Nous vous avons expliqué que l’immunité de masse était un leurre et que les guéris n’avaient pas d’anticorps (ou que nous ne savions pas si ils seraient durables).
  • Nous vous avons expliqué que les tests en masse permettraient de mettre fin à l’épidémie.
  • Nous vous avons expliqué qu’il était indispensable de porter des masques à l’intérieur, mais pas nécessaires à l’extérieur.
  • Nous vous avons expliqué, en mars 2020, qu’il fallait rester à l’intérieur, ne pas sortir, ni en montagne ni sur la plage… trop dangereux.
  • Nous vous avons expliqué que l’Ivermectine était inefficace et dangereuse.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait deux doses de vaccins pour s’en sortir.
  • Nous vous avons expliqué en juin 2020 que les variants n’existaient pas.
  • Nous vous avons expliqué que les anticorps monoclonaux étaient porteurs d’espoir.
  • Nous vous avons expliqué qu’il fallait mieux manger dehors, même en hiver et éviter de rester à l’intérieur.
  • Nous vous avons expliqué qu’il était indispensable de porter des masques aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.
  • Nous vous avons expliqué que la vaccination ne serait pas obligatoire.
  • Nous vous avons expliqué que la vaccination était efficace et serait la voie vers la liberté.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait vacciner 70 % des adultes.
  • Nous vous avons expliqué que les guéris avaient des anticorps durables rendant inutile une deuxième dose.
  • Nous vous avons expliqué pourquoi, même vacciné, il fallait continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières et le confinement.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait vacciner les enfants.
  • Nous vous avons expliqué que les variants étaient la cause de la 3e vague.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait sans doute une 3e dose de vaccin et même plus du fait des nouveaux variants.
  • Nous vous avons expliqué que la recrudescence de Covid dans des pays fortement vaccinés était due à un relâchement des gestes barrières et non au vaccin bien sûr.
  • Nous vous avons expliqué que le passeport sanitaire serait rendu obligatoire en Europe.
  • Nous vous avons expliqué que l’origine artificielle du virus n’est plus à exclure.
  • Nous vous avons expliqué que les positifs pourraient être mis à l’isolement de force.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait sans doute rendre la vaccination obligatoire.

Bref, nous sommes toujours présents et travaillons d’arrache-pied pour clouer le bec aux fakenews et autres délires complotistes pour rétablir LA Vérité.

Revenons à Galilée et rappelons que cet individu est aussi coutumier des théories loufoques.

En 1610 il avait déjà affirmé qu’il y avait des satellites autour de la planète Jupiter(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quivalence_des_hypoth%C3%A8ses)) ce qui bien évidemment n’a aucun sens, comme si des astres pouvaient tourner autour d’autres planètes que la Terre.

Interrogé par notre correspondant à Rome, l’expert de renommée internationale Orazio Grassi(([3] https://books.openedition.org/psorbonne/15548?lang=fr)) a déclaré à notre antenne :

« Ce qui n’a pas été accordé pour l’opinion concernant le mouvement de la Terre, bien que son immobilité ne soit pas considérée comme étant l’un des points fondamentaux de notre Foi, sera permis encore moins, si je ne me trompe, pour ce qui constitue ou bien le point essentiel de la Foi, ou alors ce qui contient tout autre point essentiel ».

Confirmant que l’héliocentrisme ne repose sur aucune théorie valable et que le géocentrisme est et demeure une réalité scientifique immuable.

Mais qui est donc ce Galilée au passé bien sombre ?

Il est l’aîné d’une famille de sept enfants et a essayé, très jeune, d’exister au sein de sa famille.

Ne pouvant se faire remarquer pour ses talents et son intelligence, le petit Galileo faisait des maquettes.

Rendez-vous compte des « maquettes » !

Ses parents ne sachant plus quoi faire de lui le donnèrent à l’âge de 10 ans au prêtre du village.

On tente d’en faire un prêtre, mais sans succès !

Ensuite c’est les études de médecine, mais là aussi c’est un échec !

Il se prend ensuite de passion pour des pendules puis se lance dans les mathématiques…

Une de ses premières escroqueries a été de faire croire qu’il avait inventé une lunette astronomique alors qu’il avait volé l’idée aux Hollandais,(([4] https://www.groupeastronomiespa.be/lunetteastro.htm)) c’est dire le manque de scrupules de cet individu malfaisant.

Mais revenons au délire de l’héliocentrisme, sans chercher des théories fumeuses…

Faisons juste appel au bon sens dont les complotistes manquent cruellement.

Nous voyons bien que le soleil tourne autour de la Terre et qu’il se déplace dans la journée.

De plus si nous étions nous-mêmes en train de nous déplacer, nous serions éjectés de la planète comme une bille au bord d’un tourne-disque.

Et les preuves ne manquent pas comme celle de faire chuter un objet d’une falaise… Si la Terre se déplaçait à la vitesse de 1000 km/h sur nos latitudes ou de 40 000 km/h à l’équateur, l’objet ne tomberait pas à la verticale, c’est évident !

Plus délirant encore d’imaginer que la Terre se déplacerait à 100 000 km/h autour du soleil… nous aurions disparu depuis bien longtemps.

De grands illuminés en sont même à dire que notre planète ferait partie d’un système solaire lui-même au sein d’une galaxie qui se déplacerait à 2 millions de kilomètres par heure !

Et cela n’empêche pas des esprits faibles, et je suis gentil, de croire en ces théories délirantes.

Heureusement plainte a été déposée contre ce charlatan et j’espère que celui-ci sera condamné au plus vite.

Le procès devrait avoir lieu en 1633, ne doutons pas que l’individu sera justement condamné !

Merci

Alain Tortosa.

Pour les « Expliqueurs »

Le 8 juin 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210608-galilee-escroc-decodeurs.pdf





La gifle et les habits trop grands du Président de la République pour Emmanuel Macron le petit

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Vers 13h30, Emmanuel Macron a reçu une gifle de la part d’un jeune quidam chevelu qui a poussé le cri de « Montjoie ! Saint-Denis ! » lors d’une rencontre avec des Français ordinaires qui l’attendaient à Tain-l’Hermitage, village bien connu pour ses vignobles. C’est évidemment un geste scandaleux. Mais on ne peut s’empêcher d’y voir un abaissement global du statut de Président de la République, commencé avec le « Casse-toi pov’con » de Nicolas Sarkozy, poursuivi fidèlement avec le Président normal qui lui succéda, et désormais achevé par quatre années de macronisme ponctuées par des passages chez des Youtubeurs et autres amuseurs publics. Ou comment les habits de Président de la République sont devenus trop grands pour une caste méprisante mais sans véritable épaisseur.

La gifle (relativement théâtrale, au point que l’Elysée a parlé d’intention de gifler plus que de gifle) devrait rester dans les mémoires, à l’égal du « Casse-toi pov’con » qui a collé à Sarkozy durant son quinquennat. Elle exprime en apparence quelque chose de très différent du « Casse-toi pov’con », où les Français hallucinés découvraient que leur Président de la République pouvait se comporter dans la rue comme n’importe quel Français ordinaire. En réalité, elle en est une proche cousine, car, si le Président apparaît ici comme une victime là où Nicolas Sarkozy apparaissait comme un agresseur, les deux images illustrent deux versants de la désacralisation progressive de la fonction présidentielle.

Cette désacralisation n’est pas un phénomène propre à Emmanuel Macron. Elle a commencé bien avant lui, notamment avec Nicolas Sarkozy. Mais elle s’est poursuivie sans relâche jusqu’à ces images lunaires, et peut-être même martiennes, où les Français se sont interrogés (sans parfois oser le formuler) sur la nature du pouvoir qui s’exerçait dans leur pays :

Peu de Français pouvaient imaginer que leur Président se livreraient un jour en chemise à des attouchements avec deux jeunes hommes arborant les codes de communication de la racaille. Ce jour-là, l’exercice du pouvoir a franchi un cap, qu’Emmanuel Macron n’a pas renié depuis : il a multiplié les images de ce genre.

Par exemple, celle-ci, prise à l’Elysée :

Tout au long de ses quatre ans au pouvoir, Emmanuel Macron a multiplié les signaux envoyés sur son attirance pour les univers où le pouvoir est désacralisé. On notera, dans les derniers événements marquants en date, le temps qu’il a passé avec des youtubeurs

Macron et la désacralisation de la fonction présidentielle

Loué à ses débuts pour sa capacité à « endosser le costume de Président » par opposition à François Hollande, force est de constater qu’Emmanuel Macron a en réalité désacralisé la fonction présidentielle dans des proportions jamais connues avant lui. Chronologiquement, il est intéressant de noter que l’affaire Benalla a joué un véritable rôle de catalyseur dans cette fuite en avant. Tout le monde se souvient notamment de la petite phrase du « Qu’ils viennent me chercher s’ils ne sont pas contents », qui a préfiguré une visite au Puy-en-Velay, en pleine crise des Gilets Jaunes, particulièrement mouvementée. Ce soir-là, Emmanuel Macron avait failli être extrait manu militari de sa voiture par des manifestants en colère.  Jamais le pouvoir n’avait connu un tel passage en vide, en France. Les routes étaient bloquées par des manifestants en colère, et le Président semblait incapable de leur adresser la parole. Ce mutisme est probablement l’une des manifestations les plus saisissantes de la désacralisation présidentielle : soudain, celui qui est chargé d’incarner la nation a fait sécession et n’a plus adressé la parole au corps social.  

Le corps de la nation martyrisé

Que le Président ne soit pas seulement une personne physique, mais l’incarnation de la nation tout entière, qu’à ce titre toute offense faite à sa personne soit une offense faite au peuple, telle est l’idée la plus importante que la République ait conservé de l’Ancien Régime. Il existe, dans la crédibilité présidentielle, une sublimation individuelle, un dépassement de la personne humaine, et un accès à une forme d’incarnation mystique du groupe, sur laquelle Emmanuel Macron ne sermble guère à l’aise. 

Sa manie de se déguiser, par exemple, soulève des questions sur la capacité du personnage à prendre sa fonction au sérieux. Tous ceux qui ont vu Macron grimé en pilote de chasse, se sont demandés si leur Président n’était plus occupé à réaliser un rêve d’enfant qu’à gouverner le pays. L’exercice de la fonction présidentielle suppose une rupture de la personnalité, par laquelle l’élu renonce à ce qu’il était et devient la nation elle-même. 

« Le Roi est mort ! Vive le Roi ! » criait-on sous l’Ancien Régime pour manifester cet abandon de soi et cette forme de transsubstantiation propre à la fonction monarchique. Si cette métamorphose n’a pas lieu, un hiatus apparaît entre la nation et son dirigeant, en qui elle ne se reconnaît. 

On peut penser que le malheur français aujourd’hui tient à cette distance entre l’image attendue d’un Président et sa réalité. Il y aurait ici long à dire sur les astuces et les ruses que l’Ancien Régime utilisait pour donner vie à cette métamorphose (notamment le recours à l’onction du Prince), dont la République s’est privée. 

En attendant, un constat s’impose : les Présidents qui se succèdent peinent de plus en plus à endosser les habits qu’on leur donne lors de leur investiture.

La gifle, symbole d’une rupture criante

On est encore loin de tout savoir sur l’incident de la gifle opportunément tourné par une caméra bien placée qui a inondé les medias dans l’heure qui a suivi. Pour l’instant, la version officielle parle d’un royaliste d’extrême droite. Pourquoi pas…

Dans tous les cas, rien ne peut justifier une atteinte physique aux personnes. Et c’est tout particulièrement vrai du Président de la République qui incarne, nous l’avons dit, le corps social dans son entier. 

Reste que le spectacle d’un Président de la République giflé lors d’un « tour de France » par un quidam donne l’image d’un pouvoir présidentiel méprisé et contesté dans ses racines et dans sa dimension collective. Elle ponctue un cycle de quatre ans où beaucoup de Français ont eu le sentiment que leur Président jouait avec le feu en abaissant sa fonction lorsqu’il la confondait avec celle d’amuseur public. 

Le drame français tient au fait qu’Emmanuel Macron ne semble guère challengé par des rivaux capables de faire mieux que lui en termes d’incarnation de la fonction. C’est à la fois un drame et une chance, car c’est aussi l’occasion rare de rebâtir un système nouveau. 




Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19. Votez pour les Bobards d’or 2021 !

[Source : breizh-info.com]

La XIIe cérémonie des Bobards d’Or aura lieu lundi 14 juin à 19 heures au théâtre du Gymnase, 38, boulevard de Bonne-Nouvelle, 75010 Paris. Pour consulter les 15 Bobards présélectionnés : https://bobards-dor.fr/bobards-dor/bobards-dor-2021/

Pour sélectionner en ligne les 9 Bobards qui seront départagés par le public du Théâtre du Gymnase : https://polemia1.typeform.com/to/sqrofcyS

Pour s’inscrire à la cérémonie : https://www.weezevent.com/les-bobards-d-or-2021

Avec les catégories Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19, ce sera un peu la nuit américaine le lundi 14 juin au Théâtre du Gymnase !

Comme chaque année de grands noms sont en compétition.

L’usine à bobards, l’AFP – pour Agence France Presque ou Agence Française de Propagande -, qui « lave plus blanc que blanc » en dénonçant « un tireur blanc » comme auteur d’une tuerie aux États-Unis commise par un… musulman syrien !

France 2 et TF1 qui n’ont pas hésité à ouvrir leurs journaux télévisés par une étude totalement bidonnée sur l’ hydroxychloroquine. C’est le Bobard Lancet.

Quant au Monde, il tient la corde pour le Bobard de laboratoire pour avoir savamment expliqué que la thèse d’une sortie du coronavirus du laboratoire de Wuhan était « complotiste » : une thèse pourtant considérée aujourd’hui comme la plus probable par de très nombreux scientifiques.
Alors, un pangolin d’honneur pour le Monde ?

À moins que Michel Cymes ne rafle un prix bien mérité pour son Retournement de blouse blanche magistral ?

Pour le Bobard capital au Capitole, toute la presse est dans la course après avoir fortement dénoncé les cinq morts de « l’attaque meurtrière » ! En fait, aucun garde ou policier n’a trouvé la mort en rapport avec l’événement. La seule vraie et unique victime a été une manifestante abattue à bout portant par un garde !

Les différentes contraintes gouvernementales ne nous empêcheront pas de dénoncer ces journalistes qui mentent au nom du politiquement correct !

Rendez-vous lundi 14 juin, qui permettra de départager les meilleurs bobards sélectionnés par les internautes sur www.bobards-dor.fr

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021,
dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


[Source : Les Bobards d’Or (bobards-dor.fr)]

BOBARDS LIVES MATTER

BOBARD PLUS BLANC QUE BLANC

Bobard plus blanc que blanc

Pour l’AFP, l’auteur d’une fusillade aux États-Unis était « un homme blanc ». En réalité, il s’agissait d’un migrant syrien musulman.

BOB’HARPON

Bob’Harpon

Pour le journal « L’Humanité », le terroriste Mickaël Harpon fait partie des… victimes des violences policières !

TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE !

Tout va très bien, madame la marquise !

Les émeutes Black Live Matter ont été très violentes mais plusieurs journalistes américains ont tout fait pour minimiser ces violences.

BOB’ARMES À FEU

Bob’armes à feu

Lors d’une manifestation Black Lives Matter dans une ville du Missouri, des manifestants sont entrés illégalement sur une propriété privée.

BOBARD SYSTÉMIQUE

Bobard systémique

Après la mort de George Floyd, la quasi-totalité des médias français a dénoncé le racisme systémique de la police américaine.

GOLDEN BOBARDS

UNE INFORMATION QUI CLOCHE

Une information qui cloche

De nombreux médias américains avaient affirmé que la victoire de Joe Biden avait été saluée dans notre pays par… des volées de cloches !

BOBARD COMPLOT

Bobard Complot

Le magazine « Time » a dévoilé le plan de certaines élites contre Donald Trump. Une manipulation électorale massive et bien réelle.

MACHINE À BOBARDER

Machine à bobarder

Les accusations du clan Trump sur les machines à voter ont amené CNN à produire un « fact-checking »… qui a confirmé les accusations !

BOBARD CAPITAL AU CAPITOLE

Bobard capital au Capitole

Contrairement aux bobards médiatiques, il y a eu un seul décès lors de l’envahissement du Capitole, celui d’une manifestante pro-Trump.

BOBARD HUNTER BIDEN

Bobard Hunter Biden

Quand Trump attaquait le fils de Joe Biden, les médias français ironisaient. Hunter Biden est finalement mis en examen… après l’élection.

BOBID-19

BOBARD LANCET

Bobard Lancet

En 2020, une étude démontrant la dangerosité de la chloroquine était publiée dans « The Lancet ». Mais elle était totalement bidonnée !

RETOURNEMENT DE BLOUSE BLANCHE

Retournement de blouse blanche

Sur le Covid-19, Michel Cymes a procédé à de spectaculaires retournements de blouse blanche… toujours dans le sens du vent gouvernemental !

BOBARD MASQUÉ

Bobard masqué

Les journalistes ont assuré pendant longtemps que le port du masque était inutile et n’ont pas lésiné sur les moyens pour nous en convaincre.

BOBARD DE LABORATOIRE

Bobard de laboratoire

Pendant des semaines, les médias ont répété que l’hypothèse d’un virus sorti du laboratoire de Wuhan était « complotiste ». Et finalement…

BOBARD PASCAL

Bobard Pascal

Le 12 avril 2020, Le Point annonçait triomphalement une messe clandestine. Sauf que la messe était autorisée et que l’église était vide.




Le Parlement européen, une mascarade de démocratie – par John Laughlan

[Source : RT en français]

[Illustration : © Frederick Florin/Pool via REUTERS
Le Parlement européen de Strasbourg, avant une séance]

Quand le Parlement européen vote une résolution antirusse, les médias russes s’affairent. Mais selon l’universitaire John Laughland, ils devraient plutôt faire comme les citoyens européens et ne prêter aucune attention à cette assemblée inutile.


Par John Laughland(([1] John Laughland est un universitaire britannique spécialisé en géopolitique et philosophie politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages traduits en sept langues. ))

Dans un monde qui change, certaines choses demeurent. Cette semaine, comme des dizaines de fois pendant les années récentes, le Parlement européen votera une énième résolution contre la Russie. Véritable fabrique de textes russophobes, le Parlement européen consacre un temps disproportionné à la condamnation obsessionnelle de son grand voisin.

Parfois ces résolutions créent des remous en Russie, comme par exemple quand le Parlement a voté une résolution demandant un changement de régime en Russie ainsi que des moyens financiers pour le provoquer. Cette semaine, c’est la réglementation russe sur les ONG étrangères qui est visée. La fois dernière, c’était Navalny. Et ainsi de suite.

Lire aussi Un projet de rapport du Parlement européen plaide pour un changement de régime en Russie A la différence de la Russie, par contre, ces résolutions passent totalement inaperçues en Europe même, alors que le Parlement européen est censé incarner la volonté démocratique des Européens. Il n’est en réalité qu’une parlotte, détachée des vrais soucis des citoyens, d’où le souverain dédain avec lequel ceux-ci le traitent.

Le Parlement européen est l’organe le moins puissant de l’UE : moins puissant que la Commission, le Conseil et la Cour de justice. Il ne remplit aucune des fonctions d’un vrai parlement, celui de soutenir un gouvernement au pouvoir tout en le soumettant au contrôle démocratique. Sa vraie fonction est ailleurs : il est censé donner une façade démocratique à une Union européenne qui est fondamentalement autoritaire et bureaucratique.

Son impuissance explique son intérêt disproportionné pour les affaires étrangères. Incapable de peser sur les vraies décisions prises au niveau européen, il entreprend une activité de substitution en votant, à chaque plénière, des textes sur d’autres pays du monde sur lesquels il a encore moins de pouvoir qu’en Europe, voire aucun. Cette semaine c’est l’Afghanistan, Cuba, le Sri Lanka, le Maroc, la Biélorussie et, bien sûr, la Russie qui seront condamnés. Les Nations unies et les Etats-Unis feront aussi l’objet de débats et de votes. Mais toutes ces résolutions et condamnations sont parfaitement futiles, ne servant qu’à renforcer un sentiment de supériorité morale chez ceux qui les votent.

Son impuissance intrinsèque fait qu’en réalité le Parlement européen ressemble à une grande ONG couveuse des idées les plus marginales et immatures, ou encore à un syndicat d’étudiants où on vote des résolutions condamnant tel ou tel pays avant d’aller prendre un verre.

Ce problème fondamental est aggravé dans le cas russe par le fait que tous les dossiers qui concernent la Russie ont été détournés par les eurodéputés polonais et baltes. On ne trouve jamais une résolution sur la Russie rédigée ou proposée par un Allemand ou un Français, bien que ces pays aient leur propre vision des rapports euro-russes qui est différente de celle des Polonais et Baltes monomaniaques. Dans le monde réel, ce sont les grandes puissances qui prennent les décisions, Paris et Berlin en premier lieu. On a l’impression que ces deux pays laissent les dossiers russes du Parlement européen, qui n’ont aucune incidence sur le monde réel, aux députés des anciens pays soviétiques simplement pour leur faire plaisir : ils peuvent ainsi se distraire en continuant à jouer aux jeux de leur enfance.

La résolution du mois dernier qui appelait à un changement de régime en Russie illustre bien ce problème. Elle a été rédigée par un ancien premier ministre lituanien, Andris Kubilius, qui consacre la totalité de son activité parlementaire au combat contre l’Etat successeur de l’URSS que son pays a quitté voici plus de 30 ans. Jamais Kubilius n’intervient sur son propre pays ou sa propre région. Adoubé par le Parlement l’an dernier comme son principal responsable de la question russe, il est comme un robot qui continue à effectuer les fonctions pour lesquelles il a été programmé, bien longtemps après qu’elles ne soient devenues inutiles. Il est la preuve vivante que le Parlement européen sert souvent de maison de retraite des hommes politiques d’hier.

Lire aussi Poutine appelle l’UE à reprendre une «coopération pragmatique et respectueuse» avec la Russie Le caractère illusoire d’une grande partie de l’activité du Parlement européen est bien mis en exergue par la résolution de Kublius, qui sera votée en commission en juillet et en plénière plus tard cette année. Dans son texte, Kubilius exhorte le Parlement européen à ne pas reconnaître les résultats des élections législatives russes qui auront lieu en septembre si celui-ci considère qu’elles ne sont pas démocratiques. Je prends rendez-vous avec vous, chers lecteurs, pour confirmer que cette non-reconnaissance aura bien lieu si Russie Unie, majoritaire, gagne cet automne.

Mais le plus ridicule ne se trouve pas dans la triste inévitabilité de cette affaire. Il se trouve dans le fait que la reconnaissance ou non-reconnaissance n’a strictement aucune importance. Ressortissant balte, monsieur Kubilius sait parfaitement que la non-reconnaissance par les puissances occidentales de l’annexion des pays baltes par l’URSS après la Seconde Guerre mondiale n’a eu absolument aucun effet sur la réalité de cette annexion, pas plus d’ailleurs que les décisions du même Parlement européen de reconnaître Juan Guaido comme président du Venezuela en 2019, ou de ne pas reconnaître Alexandre Loukachenko comme président biélorusse l’an dernier.

Plus le Parlement européen est délié de toute attache aux vrais soucis des électeurs, plus il flotte au-dessus de leurs problèmes pour se perdre dans un monde virtuel et imaginé. Là où un gouvernement national doit peser le pour et le contre – par exemple sur la question du gazoduc Nord Stream 2 dont la construction aura des conséquences concrètes sur la vie des citoyens, et notamment celles des factures de chauffage moins chères – le Parlement européen, lui, habite un monde rêvé. Il milite avec acharnement contre ce gazoduc, alors même que le gouvernement américain semble sur le point d’abandonner son opposition à celui-ci. Si le gazoduc est terminé, comme cela semble maintenant probable, il livrera du gaz aux Européens alors que leur parlement ne leur donne que du vent.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/87558-parlement-europeen-mascarade-democratie-john-laughland





Le guérisseur du désert – Un homme a passé deux décennies à créer une oasis verte au milieu d’un désert froid

[Source : anguillesousroche.com]

Anand Dhawaj Negi, un bureaucrate à la retraite devenu agriculteur du désert, a passé plus de deux décennies de sa vie à transformer le désert froid de l’Himachal Pradesh, dans le nord de l’Inde, en une oasis vivante.

En 1977, le gouvernement indien a lancé un ambitieux programme visant à atténuer les effets néfastes de la désertification dans les déserts froids et chauds de ce pays asiatique. A. D. Negi travaillait dans le département financier en charge du programme de développement des déserts et a vu des millions de dollars partir à la poubelle sans résultats concrets.

Chaque fois qu’il demandait aux scientifiques et aux fonctionnaires impliqués dans le programme pourquoi il n’y avait pas de réel progrès, la réponse était toujours qu’ils n’avaient pas la technologie nécessaire pour développer un type de culture durable dans l’environnement inhospitalier qu’est le désert. Fils d’agriculteur lui-même, Negi en a eu assez des excuses et a pris un congé en 1999 pour tenter sa chance. En 2003, il s’était déjà retiré définitivement de son travail pour concentrer toute son énergie sur son oasis de désert en pleine croissance.

Originaire du village de Sunam dans le Kinnaur, M. Negi a décidé de transformer une parcelle de terre stérile dans le désert froid de l’Himachal Pradesh en une oasis verte, juste pour montrer à tous, et en particulier aux agriculteurs en difficulté de la région, que c’était possible. Ce n’était pas la chose la plus facile à faire au monde, mais l’ancien bureaucrate savait dans quoi il s’engageait et avait l’ambition et la patience nécessaires pour aller jusqu’au bout.

A. D. Negi a échoué dans ses premières tentatives, car les graines qu’il a plantées n’avaient pas assez d’eau, ce qui a constitué son premier défi. Il a utilisé la plantation en courbes de niveau, c’est-à-dire le labourage d’un terrain en pente selon une élévation constante, afin de conserver l’eau de pluie et de réduire l’érosion du sol, et a travaillé avec les communautés locales pour créer des canaux d’irrigation peu profonds qui détournent les cours d’eau des glaciers situés à environ 25 kilomètres. Après avoir été témoin de ses progrès, le département régional de l’irrigation a également commencé à coopérer.

« Le département de l’irrigation fournit de l’eau ici. Auparavant, il ne mettait pas d’eau à disposition avant le mois de juin. J’y ai travaillé et j’ai complété leurs efforts. J’ai également travaillé sur les Kuhls, de sorte que nous avons réussi à obtenir un approvisionnement en eau au cours des mois d’avril et de mai. Une fois que nous avons rendu cela possible, le département de l’irrigation a également coopéré et a assuré un approvisionnement régulier en eau ici », a déclaré Negi à Down to Earth.

Mais l’eau n’était qu’un des défis posés par le froid des déserts. Le sol sablonneux manquait de nutriments pour soutenir les cultures que Negi voulait planter. Il a donc créé un élevage d’environ 300 chèvres Chigu et mélangé leur fumier avec des vers de terre pour doubler efficacement la teneur en azote de la terre. Cette teneur a été renforcée par les hectares de trèfle qu’il a plantés autour de l’oasis, qui se décomposent régulièrement à mesure que de nouvelles plantes prennent leur place.



Le tampon de trèfle a également réglé le problème du lièvre auquel Negi était confronté au départ. Les rongeurs venaient se régaler des plantes savoureuses, aussi l’agriculteur a-t-il planté du trèfle de la famille des pois légumineux autour des cultures plus précieuses. Comme les lièvres aiment les trèfles, ils ne s’occupent pas des autres plantes.

Lorsqu’il a commencé à travailler dans l’Himachal Pradesh, A. D. Negi a dépensé tout son argent pour tester différentes combinaisons de techniques agricoles locales avec des méthodes de culture plus scientifiques. C’était un processus laborieux, mais avec le temps, le taux de mortalité des plantes est passé d’environ 85% à 1%.

Après avoir prouvé qu’il était possible de cultiver des plantes de valeur comme les haricots rouges, les pommes de terre, les pois verts, les pommes et les abricots, même dans le dur environnement désertique, l’ancien bureaucrate a commencé à s’intéresser aux arbres, qu’il considérait comme essentiels pour lutter contre le changement climatique dans la région.



« Ma première priorité ici est le reboisement », a déclaré le guérisseur du désert. « Les robiniers sont les plus nombreux. Ils sont suivis par les saules et les abricotiers sauvages. En ce qui concerne les arbres fruitiers et les autres cultures, notamment les pois verts, je les cultive uniquement à des fins de démonstration afin que les gens puissent les reproduire. »

Avec l’aide de seulement deux volontaires, Anand Dhawaj Negi a réussi à transformer une parcelle de plus de 90 hectares de désert froid en une oasis verte qui a attiré les louanges des habitants et des scientifiques. Les gens viennent de loin pour assister à ce miracle de la vie réelle, certains viennent acheter l’engrais naturel de Negi pour faire pousser leurs propres cultures, et d’autres amènent leur bétail pour brouter son trèfle, car il est considéré comme le meilleur fourrage de la région.

Malheureusement, Anand Dhawaj Negi, le guérisseur du désert, est décédé le mois dernier, à l’âge de 74 ans, des suites d’une attaque cérébrale. Il restera dans les mémoires comme un héros local et son oasis de verdure sera, nous l’espérons, préservée pour rappeler que rien n’est impossible. La famille de Negi prévoit de poursuivre son travail, mais a demandé au gouvernement d’assumer la responsabilité de l’oasis et de contribuer à sa préservation.https://www.youtube.com/embed/-foEwcAu_zw

« Avant de nous faire ses adieux, il avait l’intention de planter quelques arbres à feuilles persistantes ou conifères comme le pin et le déodar », a déclaré Virender Sappa Negi à The Better India« Maintenant, en tant que famille, nous voulons réaliser ses dernières volontés. De plus, nous voulons que le gouvernement de l’État prenne la responsabilité de sa forêt afin que son travail puisse inspirer les générations futures. »

Anand Dhawaj Negi rejoint d’autres légendes indiennes qui ont consacré leur vie à la reforestation, comme l’homme-arbre d’Uttarakhan, ou Aditya et Poonam Singh.

Lire aussi : Pourquoi Jadav Payeng, l’homme qui a planté une forêt entière tout seul, n’est pas médiatisé comme Greta Thunberg ?

Source : Oddity Central – Traduit par Anguille sous roche




« Tous les jours j’entends à la télé que vous, “journalistes” ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les “réticents au vaccin”. »

Par Alain Tortosa

Tous les jours j’entends à la télé que vous, « journalistes » ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les « réticents au vaccin ».

Savez-vous que, au mieux, vous perdez votre temps ?

Et oui, pas un jour sans que vous, les porte-parole du gouvernement, BFM et autres France-Info ou LCI ne se posent cette question qui vous semble primordiale et centrale…

« Que faire de celles et ceux qui sont réticents aux vaccins ? »

Permettez-moi d’abord de rétablir une petite vérité…

Ce n’est pas que je sois « réticent » aux thérapies vaccinales expérimentales contre le Covid, mais disons plutôt que :

  • J’y suis viscéralement opposé me concernant !
  • Je suis prêt à perdre mon travail ou ma liberté de déplacement pour y échapper !
  • Il faudrait me passer sur le corps (ou me menacer d’une arme et être beaucoup plus rapide que moi) si vous vouliez « vacciner » mes enfants de force !

Je ne suis pas contre le port du masque, contre les confinements ou contre les vaccins, ne vous en déplaise, mais je suis contre l’obscurantisme, la fausse science et surtout contre l’obligation !

Mais ceci dit, je suis bon prince et disposé à vous aider en fonction de mes possibilités…

Il y a pourtant une chose que je ne comprends pas bien…

Vous avez tellement menti, terrorisé et manipulé les honnêtes gens qu’une majorité écrasante de Français (et peut-être vous-mêmes, ex-journalistes) ont fini par croire à vos mensonges.

Les terrorisés (et les moutons manipulés qui ne veulent pas savoir) :

  • Croient que le Covid est plus dangereux que les maladies respiratoires habituelles.
  • Croient que le masque porté par une population en bonne santé protège.
  • Croient que les confinements des personnes en bonne santé sont efficaces.
  • Croient qu’il n’y a pas de traitements efficaces contre le Covid.
  • Croient que ces thérapies vaccinales expérimentales sont efficaces et sans danger.
  • Croient que l’on peut éradiquer un coronavirus par une immunité vaccinale de groupe.
  • Croient que le « vaccin » et le passeport sont l’unique voie vers la liberté.

Ils pourraient même finir par croire que l’industrie pharmaceutique est bonne pour les humains ou que vous, ex-journalistes, n’êtes pas endormis, narcissiques, aveugles ou corrompus…

Vous avez d’autant plus la preuve de l’efficacité de vos manipulations que deux tiers des Français étaient contre la vaccination il y a quelques mois avant la campagne de propagande.

Le revirement est totalement extraordinaire et inespéré pour votre dictature sanitaire !

  • Les plus de 60 ans sont vaccinés à plus de 70 % et ils atteindront allégrement les 80 % voire 90 % de leur tranche d’âge lorsque l’on analyse les courbes actuelles d’évolution.
  • La vaccination chez les personnes jeunes et en bonne santé explose au point que les 18-24 ans sont déjà 25 % à être vaccinés contre une maladie qui ne les concerne PAS.
  • La vaccination criminelle des enfants sera probablement une réussite si vous arrivez à cacher suffisamment de décès… Je rappelle qu’il y a eu 0 mort du Covid chez les moins de 15 ans en bonne santé !

Alors qu’est-ce que vous en avez à faire de nous les « réticents » ?

Pourquoi ? Oui, pourquoi ?

Dites-moi, pourquoi focalisez-vous l’attention du public sur nous alors même que des millions de Français veulent se vacciner et qu’ils n’ont pas encore pu le faire ???

Comprenez bien que je ne demande qu’à vous aider, mais il faudrait d’abord m’expliquer…

Cherchez-vous juste à attiser la haine, à nous pousser les uns contre les autres ?

Aimeriez-vous qu’un non-vacciné soit pendu par la foule dans un bus en Prime Time ?

Voulez-vous une guerre civile ?

Parce que là où votre entreprise machiavélique est proche du génie c’est que vous avez réussi non seulement à faire croire que ces thérapies expérimentales sont inoffensives, mais aussi…

  • Efficaces alors qu’elles n’empêchent pas de tomber malade.
  • Solidaires alors qu’elles n’empêchent pas la propagation du virus.

Sans parler :

  • Des variants mathématiquement et logiquement favorisés par la vaccination.
  • Du risque d’anticorps facilitants et de formes beaucoup plus graves pour les vaccinés.
  • Des effets à long terme totalement inconnus pour des thérapies expérimentales jamais utilisées à grande échelle sur des personnes jeunes et en bonne santé.

Vous avez réussi à fabriquer :

  • « Le vacciné qui a peur d’être contaminé par un non-vacciné. »
  • « Le vacciné qui doit porter un masque pour protéger les autres (vaccinés). »
  • « Le vacciné qui doit respecter les gestes barrières pour protéger les autres (vaccinés). »

Vaccinés qui sont globalement très contents, satisfaits et rassurés (s’ils n’ont pas d’effets secondaires graves ) de leur « vaccination » même si elle ne leur apporte actuellement aucune liberté.

Vous avez inventé le « vaccin indispensable et solidaire » qui lui seul nous permettra d’en sortir, mais qui… ne protège pas.

Avez-vous si peur que nous puissions « pervertir » le peuple et le rallier à notre juste cause ?

Honnêtement pour l’instant on peut dire que vous nous avez battus à plate couture.

Les vaccinés n’ont strictement aucun questionnement et n’émettent aucune critique…

Si vous avez réussi, vous-mêmes, à croire au « Saint Vaccin contre le Covid », je comprends que vous soyez perturbés par notre existence et que vous communiquiez sans cesse sur vos antennes.

Il se trouve que les autorités vaccinales que vous avez crues et qui annonçaient qu’il faudrait atteindre une immunité de masse de l’ordre de 70 % ont révisé leur propagande mensongère.

Ils étaient obligés de le faire du fait de l’explosion de cas et de décès dans certains pays, jusqu’à présent épargnés par l’épidémie, qui ont eu massivement recours à la « vaccination ».

Ne pouvant avouer l’inefficacité de la vaccination, le leurre d’une immunité acquise contre un virus qui mute naturellement et donc que la vaccination amplifie les mutations, il devient indispensable d’accroître le mensonge et affirmer qu’il faudra peut être 80 % ou 90 % de la population vaccinée pour se débarrasser du virus…

Pour chaque mutation, chaque nouvelle « vague » vous serez bien obligés d’accuser les non-vaccinés et vendre de la 3e ou 4e dose de « poison »…

Il devient relativement logique (« biaisée ») que vous pensiez qu’il faille vacciner 100 % de la population mondiale, car une seule personne non vaccinée pourrait mettre en péril votre merveilleux édifice… construit sur des sables mouvants nauséabonds.

Pour être plus précis, cette personne non vaccinée serait désignée comme étant LA coupable étant donné que « les vaccins fonctionnent ».

Au-delà du fait qu’il faut vraiment être totalement stupide pour imaginer vacciner la population mondiale (vacciner les pays riches peut s’entendre, mais les pauvres est simplement impossible).

Vous avez gagné la bataille de la manipulation et vous pourriez naïvement croire que vous pourriez nous ramener dans « le droit chemin » et nous sortir de notre « folie ».

N’avez-vous pas compris que la route qui mène à la vérité scientifique, à l’esprit critique et à la réflexion n’est pas à double sens ?

Autant nous pouvons sauver encore des personnes, mais vous ne réussirez pas à ramener, ne serait-ce qu’une seule personne comme moi, dans votre obscurantisme mortifère et criminel !

Vous perdez votre temps à l’espérer alors acceptez avec humilité cette défaite !

Alors, même si l’hypothèse est stupide, car impossible, seriez-vous rassuré si vous arriviez à tous nous injecter en France ou en Europe ?

Savez-vous qu’environ 25 % des personnes qui attrapent le Covid seraient vaccinées ?

Savez-vous qu’un vacciné peut aussi vous contaminer ?

Faites-vous semblant de l’ignorer alors que vous savez que c’est vrai, sinon vous seriez en sécurité et vous auriez enlevé votre masque ?

Le seul fait que vous ayez peur de moi prouve que vous ne croyez pas en votre bouillie expérimentale.

Si d’aventure vous arriviez à me vacciner de force lors d’une rafle de vos amis de la milice, vous n’arriveriez pas à vous débarrasser de ce virus simplement parce que… vous n’avez pas de vaccin !

Quel dommage !

Je dois vous avouer humblement que mon raisonnement a ses limites…

Car pour m’entendre vous seriez obligés de vous questionner sur vos certitudes contradictoires…

Seule la foi vous guide et vous apporte de la sérénité et la foi ne se démontre pas.

Vous voulez croire, mais le problème est que votre dieu est un faux dieu qui vise au mieux à se faire des milliards de dollars de bénéfice ou nous transformer en esclaves.

Alors s’il vous plaît, arrêtez de croire que vous pourrez nous « convaincre », partez d’un principe de réalité qu’il va falloir faire avec nous, un « nous » qui ne peut qu’augmenter.

Merci

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-pourquoi-tant-de-haine.pdf




La synagogue de Satan

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

[Notes de Georges Gourdin :
Prenez le temps de lire cet article lumineux — et très rigoureusement documenté — de Mazetto qui vous apporte les clés pour comprendre la façon dont va le monde aujourd’hui.
Notre illustration à la une : Le Sabbat des sorcières, tableau de Goya (1798) qui nous dépeint un rituel de sorcellerie, dirigé par un Grand bouc, l’une des formes prises par le diable, qui officie lors d’un rituel de sacrifices d’enfants. Ce tableau avait été retenu par Juan Branco pour illustrer son site internet.]

[Ndlr : Mazetto évoque ici une secte particulière qui n’a rien à voir avec les synagogues en général.]

par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666

C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama « l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666.(([1] Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18 )) Le nombre de la bête marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du second temple.

Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou Dönmeh(([2] https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh )) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle plus tard, avec Jacob Frank.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank )) Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.

Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale ou religieuse,(([4] « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui, Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. » (([Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22] )) en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes dans l’âme, ils prétendront être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.

La kabbale lourianique

L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–1572):(([5] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant, l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils, mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe primordiale de « la brisure des vases » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(([6] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111 ))

Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale, car, lors de la création, il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières « sefirot », les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(([7] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem )) la haute autorité en matière de kabbale le résume ainsi :

« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans la diaspora. »(([9] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68 ))

Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam.(([10] https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam )) Et ce sera au peuple élu qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.

On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité »(([11] https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss ))

Kabbale et satanisme

Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie, de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah », à savoir la descente en vue de l’ascension, la transgression en vue du repentir »(([12] Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192 – https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52 ))

Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« « Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la conclusion morale : puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous pécheurs. »(([13] Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462 ))

Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui (sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. »(([14] https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-Aliyah-Ascent.htm ))

Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a, officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance spirituelle intérieure de l’individu, et une « kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale pratique d’une bonne partie de magie « noire » — c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »

Il ajoute :

« Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens, particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(([15] Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d ))

Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la promotion faite chez des jeunes de la fête d’Halloween,(([16] https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s )) Hollywood a aussi, par l’entremise du star-system,(([17] https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-stars/ar-BB1acDMV )) tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de kabbale.(([18] D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403 )) Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses maîtres kabbalistes.

La cabale

C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui entre aujourd’hui dans sa phase ultime.

« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati » fondés par le jésuite Adam Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété : Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati, ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté et, en ce moment même, elle atteint son apogée. »(([19] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199 – https://1lib.fr/book/964237/8b5986 ))

L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :

« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(([20] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p. ))

Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir d’abord la Haskala,(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala )) les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn,(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn )) sous l’influence de Nicolai,(([23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai )) dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes,(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes )) l’ancêtre de l’Internationale communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(([25] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger )) de la perversion du judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(([26] https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-homosexuals-in-rabbinate.html ))

Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la Révolution française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(([27] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort )) et, aujourd’hui, le siège de la BCE(([28] https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ%C3%A9enne )) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté, depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.

Les crypto-sabbatéens

L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(([29] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz )) à son confrère Jacob Emden,(([30] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden )) qui l’accusa d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion », « mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal,(([31] https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal )) jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécut que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie cachée », il fit la révélation suivante :

« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer — je ne mentais donc pas — et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. »(([32] https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/n38/mode/2up ))

Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan, aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme

C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(([33] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21 )) pour écrire le Manifeste, selon les idées déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(([34] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess )) fut, non seulement le mentor de Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non religieux. Le fait que son arrière-grand-père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen confirme la volonté d’empêcher la création d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la Déclaration(([35] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917 )) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque d’appartenance à la Synagogue de Satan.(([36] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG ))

Le règne du mensonge et de l’inversion

À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans continuent dévotement à faire le pèlerinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés, aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur Saint-Père franc-maçon, qu’ils considèrent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’ils ne perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé » du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël, malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti la médecine. Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le cas d’Albert Bourla,(([37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla )) PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller,(([38] https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html )) est compatible avec la santé, de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.

Israël, l’État sabbatéo-frankiste

Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la Première Guerre mondiale, il fallut à la cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(([39] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200 ))

Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street.(([40] https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf )) Quant à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu,(([41] https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara )) mais qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(([42] https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-after-antisemitism-claims )) cette simple vérité historique. C’est un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.

D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler, une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé « le prophète du Troisième Reich » et « magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(([43] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163 ))

De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis, avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(([44] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202 ))

Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :

Criminels de guerre juifs » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du « yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte aux monstres nazis.
 »(([45] Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 – https://1lib.us/book/5255692/918b9e ))

À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la critique, l’antisémitisme « nouveau »(([46] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme )) est apparu, incluant l’anti-sionisme.

Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant d’un « nouvel holocauste. »(([47] https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/ ))

Klaus Schwab, le sabbatéen

Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(([48] https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/ )) de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège… à savoir, confondre les symptômes avec les causes… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(([49] https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?q=the+real+enemy ))

Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(([50] Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du monde supérieur de l’émanation divine (([atzilut]. La Torah que vénérent les vrais juifs, qu’ils appellent Torah de beriah (([de la création], fait partie d’un monde inférieur dans la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée. )) est restée un principe cardinal de la « sainte foi », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le monde… »(([51] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162 ))

Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(([52] https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8 ))

666, la marque déposée

Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro contient la marque de la bête,(([53] https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/WO2020060606A1.pdf )) car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »(([54] https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/ )) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »,(([55] Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes – https://1lib.us/book/5600763/a79838 )) remontent déjà à une vingtaine d’années. Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies de la génétique d’aujourd’hui.(([56] https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-genetique-a-portee-de-main/ ))

On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâce à l’implant d’une puce électronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement, équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à son époque, ne pouvait encore concevoir.

La fuite en avant

Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible : l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV‑2, sont aussi passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.

Mazetto


Notes de lecture :




Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

[Source : Sott.net]

Par Bernard Marx — OffGuardian

En 2010, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a enfreint de multiples directives éthiques et juridiques en testant un nouveau vaccin sur des enfants sans le consentement [éclairé – NdT] des parents, et les médias occidentaux ne s’en sont jamais fait l’écho.

Jeunes filles de la tribu Koya, dans le district de Khammam de l’État indien de Telangana

L’Inde fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps… Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, il se produit là-bas une sorte d’apocalypse. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective.

Dans leur empressement à soutenir l’actuel récit de terreur sur le Covid-19, les médias du monde entier n’ont de cesse aujourd’hui de parler de l’Inde, alors qu’il y a douze ans, lorsqu’une véritable tragédie y avait cours, ils étaient tous aux abonnés absents.

Un peu de contexte

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a procédé sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables au monde à des essais cliniques non autorisés d’un vaccin. Cette ONG a agi sans fournir d’informations sur les risques encourus, sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même mentionner qu’elle menait un essai clinique.

Après la vaccination, de nombreux enfants participants sont tombés malades et sept d’entre eux sont morts. Telles ont été les conclusions d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves à l’appui de ses dires. Toute cette affaire est passée quasiment inaperçue dans les médias occidentaux.

Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2009, Path a mené un projet visant à administrer le vaccin contre les infections à papillomavirus humains. L’objectif du projet était, selon les propres termes de Path,

« de générer et de répandre des données probantes [« des preuves d’impact » (Sic !) – NdT] en vue de favoriser auprès du public l’introduction des vaccins anti-papillomavirus. »

Il a été mené dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. La GAVI, une autre organisation financée par la Fondation Gates, avait initialement été envisagée pour gérer le projet directement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, mais la responsabilité en a finalement échu à Path.

De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différents groupes ethniques dans l’essai a permis de comparer les effets du vaccin dans divers groupes de population — l’ethnicité représentant un critère quant à l’innocuité et à l’efficacité de certains médicaments.

Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient faire l’objet d’études : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par les États, les considérables bénéfices annuels réalisés par ces mêmes entreprises seraient une véritable aubaine.

Dans le cadre de cette expérimentation, deux types de vaccins contre le papillomavirus humain ont été utilisés : Gardasil de Merck et Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil mené sur les populations en Inde par Path.

Il convient de noter ici la relation entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’une des entreprises pharmaceutiques dont les produits étaient testés. En 2002, ladite fondation avait acheté pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, y compris des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de ladite fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle en tant que détenteur de parts de marché dans des entreprises du même secteur.

Note du traducteur : Ces 205 millions d’investissement incluaient aussi des actions chez Pfizer Inc. et Johnson & Johnson.

Rapide aperçu du haut de la pyramide en partant de Merck

Le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., une société étatsunienne de fonds d’investissement, qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non exhaustive). La société est également le premier actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs. Avec des sociétés comme The Vanguard Group, on atteint le haut du panier… Mentionnons que la société se trouve aussi être le premier actionnaire de son plus proche « concurrent » Blackrock, Inc., n°1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020. Ces deux sociétés détiennent des parts dans une grande partie de l’ensemble des sociétés cotées en bourse, dans le monde.

Le Wall Street Journal a rapporté, en août 2009, que la Fondation Bill & Melinda Gates avait vendu ses parts [pour 8 millions de dollars – NdT] Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, soit à peu près au moment où les essais sur le terrain du vaccin contre le papillomavirus humain commençaient en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet — qui était déjà opérationnel en octobre 2006 — et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la Fondation Bill & Melinda Gates a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative investie dans des soins de santé humanitaires et celui d’un actionnaire de l’entreprise pharmaceutique qui réalisait des bénéfices.

De tels conflits d’intérêts sont depuis 2002 la marque de fabrique de la Fondation Bill & Melinda Gates. Lorsque Gates a fait l’année dernière des apparitions régulières à la télévision pour promouvoir la vaccination anti Covid-19, en apportant un soutien particulièrement enthousiaste à l’effort de Pfizer-BioNTechson objectivité n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains (VPH) vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck en 2006 aux États-Unis, mais ses ventes ont souffert après qu’une série d’articles publiés dans des revues médicales étatsuniennes eurent jugé que ses risques étaient supérieurs à ses bénéfices. L’analyse des rapports sur les effets indésirables du Gardasil transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC leur a été particulièrement préjudiciable.

Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association le 19 août 2009. Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves signalés comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux — caillots sanguins — et le syndrome de Guillain-Barré.

Dans la même édition du Journal of the American Medical Association, le Docteur Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Associationa écrit :

« Le fait qu’un risque vaille la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seraient prêts à accepter les risques. Mais le bénéfice net du vaccin contre le VPH pour une femme est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Donc, elle devrait logiquement être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. »

Le Docteur Haug, dans une allusion claire faite envers Merck, le fabricant du Gardasil, a également fait remarquer que

« lorsque l’on évalue les preuves des risques et des bénéfices, il convient également de se demander qui prend le risque et qui bénéficie des avantages. »

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil ont été controversées. Le Docteur Angela Raffle, l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie marketing de Merck en l’assimilant à

« un coup de bélier porté sur le ministère de la Santé et un pilonnage en règle de ses institutions affiliées. »

Le Docteur Raffle craint que la pression en faveur d’une vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 :

« Je crains que la précipitation motivée par des considérations commerciales pour nous faire paniquer et introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »

Le professeur Diane Harper

Le professeur Diane Harper, qui travaillait alors à la faculté de médecine de Dartmouth, dans le New Hampshire, avait dirigé deux essais du vaccin et était catégorique sur le fait que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de papillomavirus humains.

Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, elle a déclaré :

« Les programmes de vaccination de masse [constitueraient] une gigantesque expérience de santé publique… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin demeurera efficace. Pour être honnête, nous n’avons pas, pour le moment, de données sur l’efficacité chez ces jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et qui continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela sera efficace ou pas. C’est un gros défi à relever. »

Ainsi, à l’époque où Path menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : son innocuité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient remises en question, non pas par les « anti-vaxx » et les « complotistes », mais par l’establishment médical international et les principaux médias respectés.

Les jeunes filles de Khammam

Le district de Khammam faisait, en 2009, partie de l’État indien oriental de l’Andhra Pradesh — les changements frontaliers effectués en 2014 font qu’aujourd’hui le district de Khammam appartient à l’État du Telangana. La région est essentiellement rurale et considérée comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.

Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, certaines estimations situant sa population tribale à environ 21,5 pour cent — environ 600 000 personnes. Comme c’est le cas pour les populations indigènes du monde entier, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de la région dans son ensemble.

En 2009, pas moins de 14 000 filles ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam. Les filles recrutées pour le projet de Path avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille, mais dans des ashram pathshalas — des foyers gérés par le gouvernement — situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.

Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré par la suite être convaincue que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car il s’agissait d’un moyen de :

« contourner la contrainte d’avoir à demander le consentement parental avant de procéder aux injections. »

Bien que l’Inde ait fait l’objet d’un grand nombre de reportages récemment, la couverture médiatique dont bénéficie ce pays et ses actualités reste généralement discrète. Et bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages qui lui sont consacrés sont rares.

Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son épouvantable histoire en matière de santé et de sécurité ou de la corruption endémique de son gouvernement..

Depuis des décennies, des profiteurs sans scrupules ont su exploiter ces lacunes. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop grande pour être ignorée.

Nous avons appris que près de 7 000 personnes ont été tuées et plus d’un demi-million ont été blessées après avoir été exposées au gaz mortel d’isocyanate de méthyle, à la suite d’une fuite de gaz dans l’usine de pesticides d’Union Carbide à Bhopal. Mais nous n’avons rien appris, au cours des années qui ont précédé la catastrophe, de la culture basée sur des normes médiocres et le mépris de la réglementation, qui a été finalement responsable de la catastrophe.

Dans ces conditions, il est assez logique que le projet de Path visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre les infections à papillomavirus humains soit passé inaperçu en Occident. Le même constatation peut être faite en Inde : les médias indiens ne font pas plus de reportages sur leurs groupes tribaux que les médias occidentaux n’en font sur les Indiens. En dépit des préoccupations quant au projet formulées en octobre 2009 par Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — l’actualité indienne ne s’en est pas pour autant fait l’écho.

Membres du groupe de défense des droits Sama

Ce projet n’aurait donc pas pu être plus opaque s’il avait eu lieu sur la Lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à circuler à Khammam selon lesquelles quelque chose avait affreusement mal tourné : plusieurs des filles incluses dans les essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient décédées.

En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour obtenir plus de renseignements sur les témoignages qui commençaient à émerger. Ils ont appris que jusqu’à 120 jeunes filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour approfondir leur enquête.

La mobilisation de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path.

C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire.

Le 17 mai, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

Le rapport indique que :

« De nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. À la suite de la vaccination, des signalements ont fait état de l’apparition précoce des règles, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de malaise. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »

Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles qui avaient participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie sont lents à mettre en branle. C’est plus de trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Alors que beaucoup s’attendaient à ce qu’il cherche à dissimuler la réalité, il n’en est rien : la lecture en est choquante.

Le Sansad Bhavan, siège du Parlement de l’Inde, New Delhi

Le rapport critique à la fois Path et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant que

« la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés. »

La commission a constaté que Path, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour agir ainsi. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu en septembre 2009 un certificat du Registre des sociétés de l’Inde, ce certificat lui-même avait été produit en violation de la loi.

Le rapport indique aussi que :

« Path […] a violé toutes les lois et réglementations applicables aux essais cliniques […] son seul objectif était de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre les infections à papillomavirus humains […] il s’agit d’un grave abus de confiance […] car le projet impliquait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Ces agissements constituent de la part de Path une violation flagrante des droits fondamentaux de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance infantile. »

La commission a accusé Path de lui avoir menti et d’avoir au cours de son enquête tenté de l’induire en erreur, et a recommandé au gouvernement indien de signaler à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement étatsunien les violations des droits fondamentaux commises par Path.

Le rapport stipule en outre que l’ensemble du projet de Path consistait en une tentative cynique d’assurer des profits continus pour Merck et GSK :

« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique du produit mis en avant, à ce moment-là, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays respectifs sont autant d’indices d’un plan bien planifié pour exploiter une situation à des fins commerciales. Si [le plan de] Path avait été couronné de succès […] cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais de la vente automatique, année après année, sans aucune dépense en termes de campagne publicitaire ou de marketing. Il est notoire qu’une fois un vaccin introduit dans le programme vaccinal, il devient politiquement impossible de revenir en arrière. »

Et d’ajouter :

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, Path a eu recours à un élément de subterfuge en appelant les essais cliniques « études d’observation » ou « projet de démonstration », et diverses autres expressions du même ordre. Ainsi, en utilisant une nomenclature établie par ses soins et servant ses propres intérêts, Path a complètement mis en péril le bénéfice, la sécurité et le bien-être des sujets, ce qui non seulement est absolument déplorable, mais constitue également une grave violation de la loi du pays. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India

Des voix éminentes de la communauté médicale indienne se sont fait l’écho de ces accusations. Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities a déclaré :

« Il est choquant de voir comment une organisation étatsunienne a utilisé des méthodes subreptices pour s’établir en Inde. Il ne s’agissait pas de philanthropie. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date des pratiques corrompues dans le domaine de la santé, n’a pas mâché ses mots :

« Il s’agit d’un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes. »

Le rapport de la commission permanente s’est également montré très critique à l’égard des relations entre Path et les membres de plusieurs agences sanitaires indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts.

Sur la question du consentement éclairé, la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires.

Aucune assurance n’avait été prévue pour aucun des enfants en cas de préjudice [post-vaccinal – NdT] et,

« Path n’avait pas plus anticipé le recours urgent à des experts médicaux en cas d’événements indésirables graves. »

En outre, en effectuant un essai clinique d’un médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai du médicament sur des adultes, Path a gravement enfreint la réglementation indienne en matière de santé.

Concernant les jeunes filles décédées, le comité a critiqué Path, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh pour avoir, sans mener d’enquêtes approfondies, sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination. En 2016, quelque 1 200 des jeunes filles ayant participé en Inde aux deux essais de vaccins contre les infections à papillomavirus humains faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5 pour cent de la cohorte totale de 23 500 personnes. À ce moment-là, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Hormis en Inde, cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits humains fondamentaux est passée presque totalement sous silence. La commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé une ONG étatsunienne de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves à l’appui de ses accusations, mais les médias occidentaux n’en ont pratiquement pas parlé.

Un conflit d’intérêt financier a-t-il compromis The Guardian ?

Les populaires magazines scientifiques que sont Nature et Science ont chacun publié un bref article sur la débâcle, mais aucune n’est entré dans les détails quant aux violations légales et éthiques de Path. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature accorde plus de place à la réfutation des accusations formulées par le directeur de Path, Vivien Tsu.

La façon dont les médias du monde entier sont financés par la Fondation Bill & Melinda Gates et comment ces financements influencent leurs reportages sur la même Fondation et sur les organisations qu’elle parraine, requiert un article qui y soit exclusivement consacré. Mais mentionnons toutefois ici que la la Fondation Bill & Melinda Gates a financé la BBC pour un total de 51,7 millions de dollars — à mai 2021 — et The Guardianpour un total de 12,8 millions de dollars.

The Guardian, malgré toutes ses prétentions à donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux au sujet des jeunes filles de Khammam. Du moins, à l’exception d’un article, publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente.

L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avait plaidé en faveur des filles, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire.

Non. Il a été écrit par un Étatsunien appelé Seth Berkley. Berkley est le Pdg de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Seth F. Berkley, Pdg de GAVI

Berkley a profité de sa tribune dans The Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Parlant des 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré :

« Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. »

La compassion est loin d’être le seul élément absent de son article. En adressant une fin de non recevoir à cette infamie, Berkley n’a pas une seule fois abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique qui s’étaient produites, ni le rôle de Path et celui de ses employeurs, la Fondation Gates.

The Guardiana commencé à recevoir des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles distincts qui critiquaient les tactiques de lobbying utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil et qui mettaient en doute l’efficacité de son utilisation dans les programmes de vaccination à grande échelle.

Depuis l’accord conclu avec Gates, The Guardian a toujours publié des articles positifs sur ce médicament — et sur la vaccination contre les infections à papillomavirus humains en général.

Que s’est-il passé ensuite ?

Le gouvernement indien était réticent à prendre l’une des mesures recommandées par le comité. Après tout, des organisations comme Path ont permis à l’État, aux institutions et aux particuliers de disposer d’énormes sommes d’argent.

Siège social de la Fondation Bill & Melinda Gates

C’est ainsi qu’aucun rapport officiel sur les violations des droits humains fondamentaux n’a jamais été présenté par le gouvernement indien à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement étatsunien, comme l’avait recommandé le comité permanent.

Toutefois, en 2017, le comité a annoncé qu’il n’accepterait plus les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des « conseils en matière de stratégie vaccinale » et qui concerne environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la même Fondation dans d’autres domaines.

Merck, et son vaccin le Gardasil, ont enregistré de très bons résultats depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam a tellement peu été relayé en dehors de l’Inde que la firme n’en a jamais vraiment été affectée. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars, grâce à son intégration dans les calendriers vaccinaux du monde entier, ainsi qu’à son lancement cette année-là en Chine.

Path ne s’est jamais aussi bien porté. Tout comme pour Merck, et grâce au silence médiatique qui a entouré les événements de Khammam, l’organisation n’a pas souffert. Depuis 2010, elle a continué de recevoir d’énormes financements de la Fondation Bill & Melinda Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement étatsunien. Au cours de cette période, Path a reçu de la Fondation Bill & Melinda Gates un financement de plus de 1,2 milliard de dollars.

La Fondation Bill et Melinda Gates n’a eu de cesse d’accroître son réseau d’influence. Jacob Levich décrit comme suit les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici :

« En substance, la Fondation Bill et Melinda Gates achèterait des stocks de médicaments qui n’ont pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, les écoulerait à un prix réduit dans les pays dits en voie de développement et conclurait des accords d’achat sur le long terme avec les gouvernements des pays dits du tiers-monde. »

La Fondation s’est depuis lors tournée vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 a véritablement propulsé la Fondation Bill et Melinda Gates sur le devant de la scène. Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître à un point qui aurait été inimaginable même en 2019.

En dépit de son absence de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination mondiale généralisée avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède, en utilisant les plates-formes qui lui sont offertes par les médias qu’il finance.

Et les filles de Khammam ?

En 2010, ces pauvres enfants et leur situation critique n’étaient même pas connus au-delà des frontières de l’Inde. Dire qu’elles ont été oubliées reviendrait à sous-entendre que personne ne les connaissait ou ne se souciait d’elles.


À propos de l’auteur :

Bernard Marx est le pseudonyme utilisé par un écrivain et enseignant basé en Irlande. Ses domaines d’intérêt sont l’histoire, la politique et la musique populaire. Vous pouvez lire la suite de son travail sur Notes from the New Normal.


Note du traducteur : 
Voir aussi sur le sujet : Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

Source de l’article initialement publié en anglais le 18 mai 2021 : OffGuardian
Traduction : Sott.net


[Voir aussi :
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

[Source : reseauinternational.net]

par Candice Vacle.

La vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans sera ouverte le 15 juin 2021 en France, pour les volontaires et avec accord des parents, avec le vaccin nouvelle technologie à ARN de Pfizer/BioNTech (Comirnaty).(([1] 20minutes.fr/2021/06/02-coronavirus-pourquoi-vaccination-ados-12-15-ans-pourrait-faire-plus-debat-autres))

Bien qu’a priori les enfants ne peuvent être vaccinés en France sans le consentement de leurs parents, l’avocat Fabrice Di Vizio, spécialiste des questions de santé, comprend que les parents puissent être inquiets que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans le consentement parental.

Pourquoi ?

Car l’OMS tend à laisser entendre qu’il y a une présomption de consentement des adolescents (à partir de 14 ans en particulier) et que les parents ne peuvent s’y opposer, plus particulièrement quand la vaccination se fait dans l’enceinte scolaire. (à partir de la minute 15:00)

On peut remarquer qu’en Belgique la vaccination contre le Covid-19 est étendue aux 16-17 ans, sur base volontaire et sans consentement des parents.(([2] rtbf.be/detail_la-vaccination-contre-le-coronavirus-etendue-aux-16-17-ans-sur-base-volontaire-et-sans-consentement-des-parents))

Maître Di Vizio dans sa vidéo du 4 juin 2021 donne un conseil aux parents inquiets du fait que leur enfant ou adolescent soit vacciné à l’école sans leur consentement parental.

https://youtu.be/fzlg55Kks9Y

Il propose aux parents d’adresser un courrier au chef de l’établissement scolaire de leur enfant en écrivant qu’ils refusent la vaccination de leur enfant ou adolescent dans le cadre scolaire ; et il préconise de mettre un mot exprimant ce même refus dans le carnet de correspondance de l’élève, à l’attention du professeur principal. (de la minute 17:43 à la minute 18:55)

Il donne aussi deux informations juridiques sur le consentement à la vaccination contre le Covid-19 concernant les enfants et adolescents.

Pour le cas où les deux parents sont d’accord pour la vaccination de leur enfant mais pas l’enfant, normalement le médecin ne peut pas faire l’injection du vaccin. (à partir de la minute 23:05)

La vaccination d’un enfant nécessite l’accord des deux parents. Si l’un des deux parents n’est pas d’accord, il peut en informer le médecin traitant. (à partir de la minute 29:26)





Algérie — Drôles de « démocrates » ! Pour un réel changement : « Ana N’voti ; moi je Vote ! »

 Par S. Nasser

Algérie — Drôles de « démocrates » ! Pour un réel changement :

« Ana N’voti ; moi je Vote ! »

[Illustration : Photo d’archives/REUTERS/Ramzi Boudina]

Depuis des années qu’ils réclament les changements, plus de démocratie, le « non » au 4e puis au 5e mandat, le changement de la Loi électorale qu’ils considèrent « non démocratique » par l’astuce des « têtes de liste », permettant la fraude du fait de la mainmise de l’Administration, mais tout en s’accommodant des « quotas d’élus » qu’ils acceptent sans rechigner ! 

« Phase de transition » avortée, des partis désorientés, des citoyens otages.  

Aujourd’hui, les voici « au pied du mur » lorsque leurs revendications sont prises en compte, devenant réelles pour le volet « élections » législatives et locales et en cours pour d’autres !

Mis à part leur souhait d’imposer une « phase de transition » sans élections qu’ils veulent mener eux-mêmes par on ne sait quel moyen légal et légitime, sinon qui doit la diriger sans les voir s’étriper, il a fallu que la nouvelle loi électorale soit adoptée, donnant plus et mieux qu’ils ne le souhaitent, pour les voir pris d’une torpeur à laquelle ils ne s’y attendaient pas ! Ils ont toujours pensé qu’un changement de la sorte n’allait jamais se réaliser ; eux qui s’accommodaient parfaitement avec un système qui leur fournissait les postes, la stabilité, la sécurité, les privilèges, la considération et la tranquillité tout en feignant faire les « opposants » par un pitoyable jeu de rôle !

Il faut dire que cette nouvelle Loi les a bien ébranlés ! Elle annihile tous les tripatouillages et tricheries qui arrangeaient aussi bien le régime déchu que les partis dits d’oppositions ! Ce sont toujours eux, les dirigeants de ces partis, qui en profitaient depuis des décennies et non leurs militants qui se sont avérés des pions que l’on déplace au gré des circonstances dans leurs intérêts. Il est vrai que les premiers à être abusés sont leurs militants qui se sont fait rouler en se voyant plus leurs serviteurs, leurs faire-valoir que militant d’une cause patriotique !

Ces partis que la propagande, relayée par des officines et médias français en particulier, présente comme majoritaires ne sont en fait plus que des ombres, sans encrage réel et sans force militante (en nombre) imposante et agissante. Ils ne sont pas ce qu’ils veulent nous faire croire ! Le hirak les a tous mis à nu ! Les principes qui leur permettaient de subsister ne sont plus que dissimulation. Le Mak et Rachad les ont bien supplantés en Kabylie. La plupart des citoyens de cette région qui font mine de boycotter les élections pour cause de revendication de « démocratie » et de « liberté », le font en réalité pour cacher les terribles humiliations qu’ils subissent de la part du Mak et de ses ouailles et aussi de Rachad qui leur interdisent de voter par les pressions et les menaces ! Une réalité pénible et malheureuse qu’ils n’osent pas reconnaître. Otages et incapables de les contrer, ils cachent leur effroi en bombant leur torse, vers le « pouvoir »!

 Nécessité de voter pour les simples raisons suivantes :

  •  La nouvelle loi électorale bannit les « quotas d’élus » qui favorisent les « têtes de liste » où se positionnent leur famille et leurs copains. Les militants des partis ne sont jamais bénéficiaires de ces places « tête de liste » !
  •  La nouvelle loi électorale, plus démocratique, impose le vote à la « proportionnelle », avec vote « préférentiel » c’est-à-dire que l’électeur algérien doit choisir « son » ou « ses » candidats au sein de sa liste préférée. Il prend sa liste favorite et coche la/les cases correspondantes au/aux candidats qu’il choisit.
  • La nouvelle loi favorise, en ouvrant la voie, une jeunesse diplômée, souvent de haut niveau, exclue jusque-là des postes clés et des fonctions électives !
  • La nouvelle loi bannit le « trafic » sur les premières places (dites « têtes de liste ») qui se « vendaient » à coup de milliards de centimes et qui favorisaient les riches milliardaires souvent sans instruction !
  • La nouvelle loi exclut de la candidature ceux qui ont cumulé deux mandats ! Essentiellement les membres des directions des partis qui s’éternisent dans la députation et aussi dans la Direction de leur parti.
  • La nouvelle loi exclut l’Administration (centrale et locale) dans l’organisation des élections, durant tout le processus électoral, jusqu’à l’annonce des résultats. La mission est confiée à l’ANIE (Autorité nationale indépendante des élections) organisme indépendant érigé après consultation des partis. L’ANIE est composée au niveau national et local d’ex-cadres universitaires en retraite ayant exercé dans le domaine de la justice et des collectivités locales principalement.
  • La nouvelle loi a mis à nu les faux principes de certains partis qui ont, paradoxalement, vite fait de la refuser pourtant des plus démocratiques ! 
  • La nouvelle loi électorale, plus démocratique, risque fort de confirmer l’ancrage réel de certains dans le paysage politique et associatif et que par le choix « nominatif » ces « leaders » de partis, risquent de perdre leur fausse crédibilité auprès du peuple !

Pour ces raisons et le souhait d’un changement réel dans la gestion et la gouvernance, les patriotes démocrates sincères et irréductibles, tous les jeunes, doivent voter !

Au final, c’est parce ce que des officines étrangères (françaises et marocaines en particulier) et certains médias (dont Le Monde, le Figaro, Libération, le Point et d’autres), hostiles à l’Algérie, prennent faits et causes des choix des félons algériens (pseudo-démocrates, Makistes et Rachadistes) qu’ils soutiennent — notamment en réfutant les changements annoncés ou en cours et en rejetant toutes les élections notamment celles du 12 juin prochain — que nous devons les contrer en faisant le contraire !

Donc :  « Ana N’voti ! » ; « moi je vote ! » 

 S. Nasser




Le Grand Réveil : le nouveau virus

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Aujourd’hui je ne vais pas vous parler des drames que nous vivons, de la folie que nous subissons depuis 1 an et demi, de cette peur entretenue artificiellement par les médias, de ces « contaminés » dont les chiffres ne correspondent à aucune réalité, de ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel on veut nous entraîner. Non, rien de tout ça.

Ce que je constate en prenant le recul nécessaire à la réflexion, c’est un phénomène planétaire étrange et à la fois extraordinaire qui vient confirmer ce dicton populaire qui dit que « tous les maux ne viennent pas pour nuire » et qu’en clair, si nous regardons le monde autour de nous, cette tragi-comédie covidienne a des aspects surprenants et des conséquences étonnantes.

D’abord un besoin de vérité. Et oui, ils ont tellement menti, tellement triché, manipulé, que notre réaction au mensonge c’est un vital besoin de vérité, la nécessité d’une véritable information pour nourrir notre réflexion. Et dans un processus naturel que nous ne maîtrisons pas, comme des anticorps s’attaquent à un élément nocif étranger dans notre organisme, notre esprit élimine les impuretés pour retrouver équilibre et santé mentale.

Nous, êtres humains possédons à l’intérieur de nous, un système de défense extraordinairement efficace pour expulser ce qui peut nous nuire et nous protéger de tout ce qui pourrait être malsain, nous guérir de ce qui pourrait avilir et affaiblir notre esprit.

Et ces anticorps de l’esprit se sont mis à l’œuvre presque instantanément pour nous protéger. Ainsi, le besoin que nous ressentons pour démontrer que nous sommes sur le chemin de la guérison, c’est justement ce besoin de vérité qui vient, comme une source d’eau claire, désaltérer les assoiffés.

C’est ce que je veux appeler le Grand Réveil.

Et ce Grand Réveil a bien plus de puissance que n’importe quel virus, n’importe quelle vraie ou fausse pandémie. Ce Grand Réveil se propage à l’échelle planétaire comme le lever du jour succède à la nuit, comme l’obscurité cède sa place à la lumière. D’un seul coup, nous comprenons tout plus clairement sans avoir à nous forcer. Tout ce qui nous semblait obscur devient soudainement éclairé, et à la place de cette oppression que nous ressentions à l’intérieur de nous, un énorme soupir de soulagement car nous nous sentons délivrés.

Et cette lueur du jour qui vient nous éblouir de sa lumière, nous permet de voir et de regarder ce monde dans sa nouvelle réalité.

On a voulu nous enfermer, nous isoler, nous couper les uns des autres et en réaction nous apprécions maintenant la saveur douce de la liberté, la chaleur de se retrouver, et un besoin intense de nous aimer car nous avons compris que les êtres humains ne peuvent être heureux que dans la fraternité, la solidarité, l’entraide et l’amour partagé.

Quel fantastique bond en avant ! Quel merveilleux retournement de situation ! Quelle extraordinaire prise de conscience, prélude au changement salutaire dont nous avons tous besoin pour retrouver notre humanité.

Nous réalisons que ce monde ancien qui disparait, emporte avec lui tout ce qui a pollué nos vies, tout ce qui nous a salis et avilis, tout ce dont nous n’avions pas vraiment besoin. Les chaînes de la servitude volontaire se brisent comme par enchantement faisant de nous des êtres nouveaux, enthousiastes à l’idée du grand changement, d’une nouvelle vie plus saine, plus vraie, plus conforme à notre nature profonde et en harmonie avec l’univers qui nous entoure. Le Grand Réveil donne naissance à une Nouvelle Vie !

Et en regardant en arrière, comme dans un immense tremblement de terre, nous voyons s’effondrer les tours de l’égoïsme dans les flammes, les buildings du matérialisme transformés en amas de pierres, les monuments du consumérisme en poussière, les temples de la perversion dans le feu des enfers… Un châtiment divin qui s’abat sur ce monde ancien pour le détruire et l’enterrer, et un chemin qui s’ouvre vers un nouveau destin plus apaisé…

Nous réalisons que tout ce dont nous avons vraiment besoin n’existait pas dans ce monde ancien et que nous n’avons rien à regretter car qui pourrait se plaindre de retrouver la vraie liberté, la vraie fraternité ?

Nous accédons à un niveau de conscience qui fait de nous des êtres nouveaux, régénérés, remplis d’empathie, de sentiments purs, prêts à donner et à recevoir de l’amour, prêts à construire un monde plus conforme à ce que nous sommes. L’amour, la plus subtile des énergies, cette énergie qui permet de déplacer des montagnes, cette énergie pure et gratuite que Dieu nous a donné et que les maîtres ce monde ancien ont étouffé car ils en connaissaient la puissance…

Et dans ce triptyque divin, le Grand Réveil, la Nouvelle Vie, l’Amour, nous réalisons que tout ce que les prophètes de malheur nous promettaient, n’a plus sa place dans ce monde nouveau. Pour nous qui sommes miraculeusement éveillés, pas de guerre civile, pas d’affrontements, pas de violences, pas d’intolérance, pas de haine. Tout ceci disparaît dans le feu et dans les ruines, que cet éveil de la Conscience a provoqué…

Nous sommes délivrés. Enfin libres !

Le mot Apocalypse signifie Révélation. Et comme le disait si justement Robert F. Kennedy :

« Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes quelques chanceux, le groupe des frères et des sœurs, et nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Tout le monde ici, j’en suis certain, sait quel est son devoir et va le faire et je serai à vos côtés quand vous agirez. Je sais que vous serez à nos côtés… »

Ouvrons nos cœurs, ouvrons nos bras et transmettons à tous ceux qui sont disposés à le recevoir, ce virus de la Vérité car il donne accès à ce que nous avons de plus précieux, de plus pur, de plus contagieux : l’Amour.

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[Voir aussi :
Note sur les problèmes et les opportunités
La clef de la libération
Note sur l’avenir
Note sur la science, la magie et la religion
La vue, la vision et la vie
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave]




Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

Selon AXA Assurance, les problèmes de santé mentale des personnes ont fortement augmenté pendant la crise du Covid-19. Julia Asbrand, psychologue et chercheuse à l’Université Humboldt de Berlin, a écrit, au nom de nombreux collègues, une lettre ouverte au gouvernement fédéral.
Dans tout le pays, les psychiatres pour enfants et adolescents ainsi que les psychothérapeutes tirent la sonnette d’alarme quant à l’augmentation de l’agressivité, des troubles du sommeil, de l’anxiété à l’école, des troubles alimentaires, de la dépression et de la toxicomanie chez les jeunes, voire des suicides. À ce stade, la question se pose de savoir si les mesures de confinement sont réellement justifiées, compte tenu de ces conséquences dramatiques sur la santé mentale de la population.

Pourquoi empêche-t-on par tous les moyens un débat public sur la proportionnalité des mesures anti Covid ?
Une réponse possible est fournie par David Icke, journaliste et écrivain.
Depuis 1996, il étudie intensivement les opérations de contrôle mental menées par les services de renseignement et les gouvernements. Icke analyse les mesures de confinement à travers le monde et déclare :
« Ce qui est actuellement appliqué dans le monde entier, ce sont des techniques systématiques de coercition, de contrainte et de programmation de la perception qui sont pratiquées sur les individus depuis très, très longtemps. »

Comment en arrive-t-il à des déclarations aussi radicales ?

Les mesures actuelles contre le Covid-19, telles que l’isolement, le port de masques, les peurs massives qu’on attise ou la privation de libertés, présentent des parallèles frappants avec les méthodes de la CIA visant à manipuler délibérément la conscience des gens.

Dans les années 1950, dans le cadre du projet MK-Ultra, des psychologues de renom ont étudié les techniques de manipulation de la conscience. En 1956, par exemple, le psychologue Alfred Biderman a exposé les résultats de ses recherches dans le « diagramme de coercition de Biderman ».
Ce diagramme est considéré comme un cadre de méthodes visant à briser l’esprit humain, le respect de soi et la résistance des individus.
Biderman note que la torture psychologique est « le moyen idéal pour briser un prisonnier » car « l’isolement affecte les fonctions cérébrales du prisonnier tout autant que le fait de le battre, de l’affamer ou de le priver de sommeil. » Pour briser la volonté d’une personne, il suffit de la priver de tous les contacts sociaux, de la désorienter, de perturber ses rythmes biologiques et de la soumettre à un stress massif.

Les méthodes psychologiques nommées par Biderman ont été conçues pour la destruction ciblée de la psyché humaine.

Les mesures du gouvernement contre le Covid n’ont-elles que des similitudes fortuites ou sont-elles intentionnelles ?

  1. Isolement :
    Briser la force de résistance des victimes en retirant le soutien social de la famille ou des amis. Cela se fait par le biais du confinement, du travail à domicile, de l’enseignement à domicile, etc.
  2. Monopolisation de la perception :
    Fixer constamment l’attention sur la situation actuelle difficile. Une telle fixation sur le Covid n’est obtenue qu’en diffusant continuellement des informations dominantes sur le Covid qui excluent toutes les autres perceptions, c’est-à-dire les autres opinions.
  3. Atteindre l’épuisement, affaiblir la force de résistance :
    En interdisant tout ce qui est amusant, en imposant de lourdes charges, comme l’enseignement à domicile, les gens s’épuisent de plus en plus.
  4. Cultiver les peurs :
    Des peurs massives sont créées par des scénarios d’horreur constamment répétés.
  5. Assouplissements occasionnels :
    … ils provoquent une motivation à être docile, créent un espoir de changement, qui est sans cesse déçu. Cela crée une dépendance des victimes et réduit leur résistance. Les espoirs d’une fin rapide d’un confinement sont toujours déçus. À Noël, des concessions ont été faites, pour être ensuite annulées. Toujours de nouvelles perspectives d’assouplissement : Si nous descendons en dessous d’un taux d’incidence inférieur à XY, alors…
  6. Diminuer l’estime de soi en dégradant et en imposant des exigences insensées :
    De nombreuses mesures sont perçues par les gens comme contradictoires, dénuées de sens et arbitraires, telles que le port d’un masque pour se promener, des taux d’incidence douteux, l’ouverture de grandes surfaces et la fermeture de petits magasins, etc.…
  7. Développer une accoutumance à la situation exceptionnelle :
    Plus l’espoir d’une fin rapide du confinement est déçu, plus les gens sont censés s’habituer à cette situation inévitable.

Selon David Icke, les autres moyens sont les menaces en cas de violation et les assouplissements occasionnels en cas d’obéissance, ainsi que la démonstration de l’omnipotence. Plus les consignes sont triviales, stupides et ridicules, plus la dignité humaine est détruite. Le port de masques est un élément central de la guerre psychologique. Cela déshumanise et rend anonyme.

David Icke voit dans les ordres constamment changeants et contradictoires du gouvernement non pas de l’incompétence, mais de la méthode. Tout cela conduit à rendre les gens si dociles qu’ils ne devraient plus avoir leur propre raisonnement, leur propre perception et leur propre opinion. Pourquoi ?

Il est évident que les personnes psychologiquement affaiblies ne sont utiles que pour la mise en œuvre du « Great Reset » proclamé par le Forum économique mondial. Le but est de rendre les gens dociles à des changements planifiés de longue date qui sont tout à l’avantage des oligarques financiers et au détriment absolu des peuples.

Derrière les belles promesses de justice sociale et de nouveau départ écologique se cache l’imposition d’un despotisme global et totalitaire d’une minorité qui, totalement absorbée par elle-même, veut T O U T posséder et contrôler.

Cependant, selon David Icke, cela ne fonctionne que tant qu’une population désorientée, divisée, intimidée ou flegmatique laisse tout cela lui arriver, sans aucune réflexion et sans coordination.
Face à une grande résistance, tout ce « cirque » éclaterait immédiatement !

de rw., ag.


[Voir aussi :
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19]


Sources/Liens :

Anstieg psychischer Erkrankungen:
https://www.youtube.com/watch?v=V3WheSUqOpQ

Anstieg Psychischer Probleme bei Kindern und Jugendlichen:
https://www.welt.de/wissenschaft/article226432247/Corona-Mehr-Kinder-und-Teenager-brauchen-psychiatrische-Hilfe.html

Forschungsergebnisse zu psychologischer Kriegsführung, MK-Ultra, Geheimdienste, Biderman u.a.:
Wissenschaftlicher Artikel „Foltern für das Vaterland: Über die Beiträge der Psychologie zur Entwicklung von Techniken der weißen Folter“ von Prof. Rainer Mausfeld, April 2009;
http://www.uni-kiel.de/psychologie/psychophysik/mausfeld/Mausfeld_Psychologie%20und%20Folter.pdf

David Icke: „Die systematische Zerstörung der menschlichen Psyche“ vom 17.11.2020:
www.youtube.com/watch?v=Asi0XpTxi7E

Bidermans Diagramm des Zwangs:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1806204/pdf/bullnyacadmed00378-0046.pdf
https://www.strath.ac.uk/media/1newwebsite/departmentsubject/socialwork/documents/eshe/Bidermanschartofcoercion




Macron trahit la « start-up Nation », les GAFAM raflent la mise

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




« Ceci n’est pas un vaccin »

Par Lucien Samir Oulahbib


Dans ce moment surréaliste si douloureusement vécu, cette affirmation dans le titre n’est peut-être pas tant que cela une énième imitation de Magritte, mais l’illustration de notre triste réalité devenue même hyperréaliste, en ce sens où nous est imposé (en guise de « science » censée nous « éclairer » sur ce « réel » sanitaire) un trompe-l’œil : il s’agit en effet d’un modèle coercitif Canada Dry de perception et de comportement. La peinture présentée montre ainsi qu’une thérapie génique expérimentale (TGE) ayant une autorisation provisoire de mise sur le marché et appelée pompeusement « vaccin » aurait pour but de protéger non pas soi-même, mais « autrui » (nous pourrions lui faire du mal sans le savoir) ; ce qui implique déjà alors de ne plus percevoir ce « médicament vaccinal » comme ayant pour objet d’abord de protéger son porteur, mais d’empêcher qu’il puisse nuire, voilà la réalité (inédite) telle qu’elle nous est peinte. Et à laquelle il est sommé de croire sous peine d’être mis à l’Index..

Or, il s’avère que personne, pas même parmi les « positifs », n’est transmetteur sans symptômes (Fauci l’avouait il y a plus d’un an dans ses emails confortant ce qu’une docteure de l’OMS avait indiqué à la même époque — avant de se faire rabrouer — ainsi que l’Institut Pasteur), ce qui rendrait alors d’autant plus caduque la volonté de « vacciner » les enfants et adolescents. Ces derniers sont bien loin d’être les victimes majeures de cette maladie, celle-ci étant alimentée plutôt par le manque de soins préventifs précoces…

C’est donc bien ce détournement de fonction dudit « vaccin » (censé d’abord protéger son porteur) qui s’avère de plus en plus irréaliste, irresponsable, inconcevable, puisque tout le discours sur le côté principalement « asymptomatique » d’une maladie aux taux de létalité et mortalité infimes s’avère en réalité être de plus en plus faux…

Et pourtant cela n’empêche pas que des pseudo philosophes tels Enthoven et Onfray (par ailleurs guère connus comme étant des spécialistes en matière de santé) éructent des menaces, bien loin de leur posture maniérée en matière de tolérance stoïque de bon aloi. Exit donc Montaigne et Voltaire. Chassez le naturel, place à l’Inquisition au nom de « la » Morale (maximaliste pour le coup). Ne parlons pas d’un pseudo journaliste comme Patrick Cohen et d’autres encore, sans oublier nos deux « médecins » Dupont et Dupond — Alexandre et Marty — dont les visages défigurés par l’envie et la haine/jouissance solitaire dévoilent qu’ils deviennent le portrait craché que tentait en vain de cacher Dorian Gray dans son intimité.

Pourtant cela repart de plus belle en une GB de plus en plus « vaccinée », sans oublier les 1/1000 de myocardite chez les jeunes en Israël (comme l’indique le Courrier des Stratèges), comme si cette TGE inoculée avait pour but en réalité d’augmenter la fonction venimeuse du virus puisqu’il posséderait un « gain de fonction » permettant d’être mieux accepté par l’organisme humain. C’est en tout cas ce qui semble indiquer son séquençage selon Alexandra Henrion-Caude montrant dès novembre 2020 que ce « gain » aurait même été « breveté » : Fauci reconnaît l’existence de recherches liées à un tel « gain », tout en démentant le fait que sa participation financière au laboratoire P4 incriminé ait eu pour objet ce dernier… Pourtant, l’on ne voit pas vraiment comment dans une structure aussi opaque au sein d’un régime politique fait de la même matière la teneur des sommes allouées pourrait être vérifiée comme Fauci le prétend…

Mais peu importe, surtout s’il s’avère en tout cas qu’au fond ce « gain de fonction » peut faciliter la transmission du virus à l’organisme humain et que ledit « vaccin » est précisément structuré à partir d’une de ses parties (dont cette fameuse protéine Spike), car l’hypothèse se renforce en stipulant que ce virus à la réalité augmentée serait le levier permettant ce Grand Reset ou ce grand remodelage des sociétés urbaines contemporaines en route vers le tout numérique et le tout sanitaire, nos corps et esprits devenant le produit à manipuler fabriquer et vendre en même temps (le tout au nom également de la lutte contre le réchauffement climatique). « Vaccinés », nous voilà ainsi encore plus perméables à ce virus augmenté (puisque directement inoculé et non plus reçu aléatoirement), devenant donc dépendants de « l’antidote » que serait la « dose » [vaccinale] vendue, un peu comme dans les films de SF, ou plus prosaïquement à la façon des « addictions », alors qu’ayant des traitements précoces et prenant tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé nous n’aurions pas besoin de tout cela en réalité…

Le « tout hygiéniste » formaté par la Secte Scientiste Affairiste (SSA) est ainsi parti à l’assaut global du dernier terrain vague supposé : nos corps qu’il faut littéralement programmer, baignant par ailleurs dans cette eau intellectuelle putride bien imaginée dansI-robot et Minority report, et que des pré-cyborgs en tête de gondole cherchent à nous vendre en guise d’élixir de vie.

Lucien Samir Oulahbib

Le 07/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-rhombe_les_nouvelles_eve_marie_marianne_les_nouveaux_adam_moise_jacob_lucien_samir_oulahbib-9782343233161-69943.html




Ça ne fait pas plus mal qu’une « bine » — Le geste de Christian Dubé et ses acolytes est-il si innocent qu’on veut bien nous le faire croire ?

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : « bine » terme québécois pour « coup de poing »]

Par Guy Boulianne

Dans un article paru le 20 mai 2021, j’écrivais ceci : « J’aimerais bien savoir où se situe la frontière exacte entre le « complotisme » et le fait de se poser des questions légitimes vis-à-vis des événements qui se déroulent sous nos yeux. Il faut admettre que les personnes qui ont le droit au micro en cette société s’ingénient souvent à semer des doutes dans l’esprit de la population. Comme si tout cela était volontaire afin de maintenir la population dans la confusion la plus totale. N’est-ce pas là une manière de conserver le contrôle sur le mental des individus qui ne savent plus trop « à quel saint » se vouer pour faire le tri entre la vérité et le mensonge ? » Évidemment, je conserve toujours ce même point de vue aujourd’hui.

Le 4 mai dernier, le ministre de la Santé Christian Dubé a surpris les internautes avec la publication d’une publicité silencieuse invitant les Québécois(es) à se faire vacciner. On le voit faire un rond avec les doigts de sa main droite en fixant la caméra avec un sourire étrange. Un message suit en mentionnant : « Ça ne fait pas plus mal qu’une “bine”. Fais-toi vacciner. ». Ce signe des doigts, qui forme un « OK », ferait référence au circle game ou « jeu du rond », fort populaire auprès des adolescents. Si le regard d’autrui est porté vers le signe à la hauteur des hanches, le « perdant » peut recevoir une « bine ». On peut lire dans la publication du ministre : « Si t’as regardé, je t’en dois une », sous-entendant que le vaccin ne fait pas plus mal qu’une bine (je suis désolé, mais quiconque a déjà reçu une « bine » sur l’épaule, sait que cela fait plutôt mal). Le même jour, la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, et la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, ont toutes deux imité M. Dubé dans leur propre version de la vidéo. Chacune s’est fait reprocher de véhiculer un symbole des suprémacistes.

Les politiciens jouent les ignorants. Le premier ministre du Québec, François Legault, écrit sur sa page Facebook : « Vraiment pas sûr de comprendre de quoi on parle, mais comme le dit Christian, faites-vous vacciner! » Quant à elle, la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, écrit sans gêne : « J’ai pas encore compris, mais si ça peut aider… », tandis que la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, mentionne : « J’ai aussi regardé la vidéo, et ça ne fait pas plus mal qu’une « bine ». Fais-toi vacciner ! » Est-ce à dire que ces politiciens sont disposés à faire n’importe quoi — « en toute méconnaissance de cause » — avec l’argent des contribuables ? On dirait bien à la lueur de ce que l’on voit ici …


« Pour communiquer avec ses affiliés sans être compris des autres gens, il emploie des signes convenus d’avance » (Commentaires de « Bible annotée »)


S’agit-il d’un geste innocent ?

Signe, doigts, 666

Les médias “mainstream” prétendent que le geste posé par Christian Dubé et ses acolytes fait référence au « jeu du rond ». À l’origine, ce qu’on appelle le « jeu du rond » est généralement joué par les adolescents, et il consiste à faire regarder ce signe par une autre personne. Si on réussit, cela donne le droit de faire une « bine » à celui qui a regardé. Mais dans les commentaires sous les publications des politiciens, alors que certains s’interrogent sur le sens de la vidéo et du symbole, d’autres rappellent que le signe de rond fermé, quand il est montré dans les airs, est en fait un signe de la main récupéré par des groupes suprématistes.

En Grande-Bretagne, la Ligue de l’anti-diffamation l’a placé dans son document « Hate on Display » en l’an 2000. L’Anti-Defamation League tient à souligner que le plus souvent, le symbole signifie que tout va bien : « L’utilisation écrasante du geste de la main aujourd’hui est toujours son objectif traditionnel. » Personnellement, je ne crois pas que ces politiciens aient souhaité utiliser un symbole suprématiste. C’est la raison pour laquelle il faut savoir utiliser les symboles avec parcimonie, surtout venant de politiciens ayant une haute responsabilité sociale. Comme je l’écrivais le 29 avril dernier, on doit comprendre qu’il faut utiliser les symboles avec intelligence, car ceux-ci peuvent avoir une connotation insoupçonnée. Le symbole montre, réunit et enjoint. Selon l’encyclopédie Universalis :

« Le symbole, d’abord, montre ; il rend sensible ce qui ne l’est pas : valeurs abstraites, pouvoirs, vices, vertus, communautés. Il ne s’agit pas de la simple analogie, régie par la conjonction « comme ». « Laid comme un crapaud » ne signifie pas que le crapaud est le symbole de la laideur, privilège qu’il partagerait… avec les sept péchés capitaux ! On dit d’ailleurs aussi « laid comme un pou ». En d’autres termes, le symbole est exclusif. Le courage ne saurait être symbolisé que par le lion, lequel, d’ailleurs, n’accepte que difficilement de symboliser autre chose (l’orgueil est plutôt symbolisé par le paon). C’est qu’il faut que chacun puisse reconnaître le symbole comme tel, qu’il n’y ait pas de contestation quant à son contenu et son sens. On voit par là qu’il a une valeur pour le groupe, pour la communauté, pour la société, qu’il a pouvoir de rassemblement, de consensus, en d’autres termes que le symbole est social. »


guy.boulianne · Publicité de Christian Dubé : le message aura-t-elle la portée espérée chez les adolescents?

Le pasteur Paul Ballière écrivait en 2017 : « Depuis quelques années, un signe d’envergure mondiale, apparaît de plus en plus dans notre quotidien; si fréquent que l’on n’y prête pas attention. Ce signe, ou signal, est l’un des gestes des mains le plus couramment utilisé ces derniers temps. Il se réalise en connectant l’index et le pouce de la main, formant un cercle et en laissant les trois autres doigts étendus en l’air ; peu importe si c’est la main gauche ou droite. » En général, dans la partie occidentale du monde, il est interprété comme voulant dire « c’est bon », « approuvé » ou « apprécié ». Il convient de noter que cette interprétation a été promue et popularisée par l’influence subtile de la propagande des médias, ainsi que des magazines, et des centres commerciaux.

Comme beaucoup d’autres signes ou gestes, il a un sens beaucoup plus sombre et beaucoup plus profond dans les cercles occultes. Dans une large mesure, sa signification passe inaperçue parce que le système de la culture moderne est conçu de telle manière que ce genre de signe devient une mode ; sa signification originale, particulièrement sombre, est donc imperceptible. Comme le signe « des cornes », popularisé par des groupes de Heavy Metal, il semble que ce signe a été propagé, lui aussi, ces dernières années, par des groupes de rock, certains chanteurs et rappeurs, de nombreux artistes influents, et l’industrie populaire de la musique.

Dans ce contexte, quelle est la signification de ce signe ? L’Apocalypse évoque le nombre de la Bête (l’anti-Christ) : 

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence, calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » 

(Apocalypse 13:18)

Dans le satanisme, l’inclinaison des trois doigts en l’air, forme trois six, 666. En raison du contexte et de son utilisation, et souvent combiné avec d’autres symboles ou signes occultes, le signal « OK » prend un sens différent, avec une toute autre signification que : « c’est bon ». Dans la philosophie des illuminati, le signe « OK » devient une approbation et une annonciation de la venue du « Seigneur de la lumière », que nous connaissons comme l’Antéchrist, ou la Bête du livre de l’Apocalypse.

Quoi qu’on en pense, il demeure étrange que les publications récentes de Christian Dubé et ses acolytes rejoignent symboliquement les publicités de Urbania que le Gouvernement du Québec a soutenu il y a quelques temps. Voici ce que j’écrivais sur Facebook le 12 avril 2021 : « Le Gouvernement du Québec a apposé sa signature satanique dans les publicités de Urbania concernant ses projets d’électrification de la province, d’économie verte, d’énergies renouvelables et de villes intelligentes. C’est ce qui se prépare en douce pendant que la population est en confinement, dirigée avec une main de fer sous le couvert du couvre-feu. » Mon compte Facebook fut fermé quelques heures après cette publication.


« L’homme pervers, l’homme inique, Marche la fausseté dans la bouche; Il cligne des yeux, parle du pied, Fait des signes avec les doigts; La perversité est dans son coeur, Il médite le mal en tout temps, Il excite des querelles. »

(Proverbes 6:12-14)



RÉFÉRENCES :



Le Christ à deux doigts d’être battu par les firmes pharmaceutiques qui vaccinent ?

Par Alain Tortosa

« Miracle » ou « catastrophe » aux Seychelles ?

Cela fait maintenant des semaines que les « complotistes terroristes débiles ennemis du peuple paranoïaques » trouvent plutôt « étrange » que de nombreux pays qui se sont lancés dans la folle course à la « vaccination » de leur population générale (et jeune), en bonne santé, vivent une explosion du nombre de cas et de décès…

Cette information demeure bien sûr totalement niée et cachée par la Pravda française !

Mais voilà qu’un magazine sérieux comme Forbes(([1] https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/29/some-countries-with-the-highest-vaccination-rates-are-facing-a-surge-in-covid-deaths-and-infectionsexperts-say-complacency-is-partly-to-blame/?sh=51b970c84457)) publie un article confirmant cette réalité des chiffres.

Les pseudo « vaccins » seraient-ils alors dangereux ou à minima inefficaces ?

Blasphème !

Si vous le pensez, c’est que vous n’avez strictement rien compris aux saintes Écritures de l’église du coronavirus… comme d’habitude !

Comment pourrions-nous être stupides au point de croire qu’il pourrait y avoir un lien entre vaccination et augmentation de l’épidémie quand bien même cette information se vérifie dans de très nombreux pays?…

Prenons l’exemple des Seychelles.

Le virus n’aimant pas voyager et encore moins les plages de sable fin ou la chaleur avait décidé de boycotter massivement les Seychelles.

Au point qu’au 1er janvier 2021 le pays avait dénombré 256 cas(([2] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&hideControls=true&Metric=Confirmed+cases&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~SYC)) officiels depuis le début de la crise pour un total de… 1 mort !

Devant une telle hécatombe, décision fut prise de vacciner l’ensemble de la population qui compte un peu moins de 100 000 habitants.

Comme quoi il y a encore des politiques dignes qui pensent avant tout à leur peuple et certainement pas à l’argent !

La raison officielle en fut la réouverture du tourisme !

Mais parlons-en, des touristes !

Cette réouverture(([3] https://www.lefigaro.fr/voyages/sans-vaccin-ni-quarantaine-les-seychelles-rouvrent-en-grand-aux-touristes-20210324)) « en grand » a été fixée au 25 mars 2021 pour toutes les personnes, y compris les non vaccinés, un test PCR étant obligatoire et suffisant ! (test PCR y compris pour les vaccinés).

Pour autant, notez que les Seychelles ont quand même reçu des touristes en 2020.

Le chiffre d’affaires(([4] https://www.reuters.com/article/seychelles-economy-idUSL8N2KM4G7)) n’a chuté « que » de 61 % et il y a eu par exemple environ 2000 touristes au mois de juillet 2020.

Vous pourrez constater sur les courbes de cas (et encore plus sur celles des décès) que cette présence touristique n’a pas été de nature à faire apparaître une épidémie demeurée quasi inexistante jusqu’à début 2021.

Donc début janvier 2021, la campagne de « vaccination » débute avec le vaccin chinois puis de l’AstraZeneca.

Dès le 11 février, 50 % de la population a reçu une dose de vaccin et au 30 mars 100 % de la population a reçu au moins une dose. En 3 mois, 100 % de la population a reçu une dose.

Voici la courbe des cas :

Nous voyons une quasi-absence de cas jusqu’au 4 janvier, date où le nombre se met à fortement augmenter…

Il est néanmoins difficile d’accuser le vaccin dès lors que la vaccination n’aurait débuté que le 9 janvier.

La courbe de cas croit de façon forte et linéaire jusqu’au 29 avril où le pourcentage de doses administrées est déjà de 129 % (on peut donc supposer que 29 % de la population a eu 2 doses).

Un être naïf comme moi aurait pu penser qu’avec 100 % de la population ayant reçu une dose depuis le 27 mars, dans ces conditions, un mois plus tard… les effets de la vaccination devraient se faire sentir positivement, non ?

Mais là pas du tout !

À partir du 29 avril, la courbe d’augmentation de cas est quasi verticale !

Jetons maintenant un œil à la courbe des décès :

  • 1 mort au total le jour de la première vaccination soit 10 décès par million d’habitants
  • Le 15 février, alors que 50 % de la population a reçu une dose, il y a déjà 8 morts soit 81 décès par million d’habitants (8 fois plus).
  • Le 27 mars, alors que 100 % de la population a reçu une dose, 20 morts, soit 203 morts par million d’habitants vs 10 morts par million d’habitants 3 mois plus tôt !
  • Le 29 avril, un mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 26 morts, soit 264 morts par million d’habitants.
  • Le 2 juin soit deux mois après que 100 % de la population ait reçu une dose, 42 morts pour 427 morts par million d’habitants vs 10 avant le début de la vaccination.

Les autorités et les spécialistes (mais aussi les Pravda) sont donc arrivées à la conclusion « évidente » que la cause en était les habitants heureux d’être libérés du fléau invisible…

Je vous rappelle qu’il n’y avait pas d’épidémie dans le pays… et donc les habitants se sont mis à faire la fête et ont arrêté de respecter le port du masque et les gestes barrières après le début de la campagne !

Un représentant du gouvernement(([5] https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/seychelles-80-des-personnes-infectees-n-ont-pas-ete-vaccinees-1004674.html)) a même mis en garde ses concitoyens contre un relâchement du respect des mesures sanitaires et déclaré début mai :

« Les Seychellois, parce qu’ils sont vaccinés maintenant, se détendent et pensent que tout va bien. Nous baissons la garde, nous ne sommes pas aussi prudents qu’avant ».

Et notant le fait qu’il n’y avait que deux cas graves en réanimation au moment de ses déclarations…

« Cela montre que la vaccination a eu son effet ! »

Bien bien, bien…

Notons plusieurs points intéressants :

  • Le virus circulait aux Seychelles avant la vaccination et leur première vague. Il y avait bien des flux migratoires, des touristes, et donc l’épidémie n’est pas arrivée ex nihilo.
  • Le nombre de cas a commencé à augmenter fin décembre et le nombre de décès début janvier ce qui pourrait constituer une preuve que le vaccin n’aurait pas créé la vague.
  • Le « vaccin » ne pourrait pas être la cause de la vague d’autant plus qu’au 19 janvier, seuls 10 % des habitants avaient reçu une dose ce qui semble bien faible et bien court pour provoquer une épidémie…
  • La courbe des cas demeure linéaire jusqu’au 29 avril alors que 100 % de la population a reçu une dose depuis plus d’un mois. Cela tendrait à prouver que les habitants ne se sont pas relâchés à moins que par miracle la vaccination ait parfaitement contré l’augmentation qui n’aurait pas manqué de se produire sans vaccination (étant donné qu’elle est déclarée « efficace »).
  • L’hypothèse du relâchement, déjà utilisée pour l’Inde et les bidonvilles de New Delhi pourrait faire rire.
    • Les îles Seychelles possèdent des plages de classe mondiale et un luxe cinq étoiles attirant une classe élite de touristes. Mais l’argent du tourisme de l’archipel ne profite pas aux citoyens les plus pauvres du pays: des dizaines de maisons ne disposent ni d’électricité, ni de toilettes intérieures, ni d’eau potable traitée.
      Héléna De Letourdis, directrice générale adjointe du bureau, a déclaré :
      « Cela montre que 32 % de la population des Seychelles est pauvre de manière multidimensionnelle et souffre de privations liées au niveau de vie, à l’éducation, à la santé, à la nutrition et à l’emploi.(([6] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/11029/Une+enqute+sur+la+pauvret+aux+Seychelles+rvle+que++familles+peinent++se+procurer+des+produits+de+premire+ncessit))»
      De fait, qui pourrait gober que cette population pauvre, mal éduquée, ne disposant pas du nécessaire pour vivre dignement… porterait parfaitement un masque et respecterait des gestes barrières ?
    • Comment expliquer que la vaccination, au contraire de diminuer la vague, la fait exploser par la suite, alors même que toute la population a reçu au moins une dose ?

Autre point intéressant le même ministre a déclaré que :

« Les Seychelles viennent d’annoncer très officiellement que 80 % des personnes, testées positives lors de cette troisième vague, n’ont pas été vaccinées »

Dans des documents transmis à l’OMS,(([7] https://www.aljazeera.com/news/2021/5/12/who-reviewing-seychelles-data-after-fully-vaccinated-get-covid)) il ajoutait :

« The seven-day rolling average of positive cases increased from 120 on April 30 to 314 on May 8, the ministry said in a statement late on Monday, with almost two-thirds of the positive cases being close contacts of another person testing positive.

Some 37 percent of those testing positive had received both doses of a vaccine, it said. »

Plus d’un tiers des contaminés avaient reçu 2 doses de vaccin !

Ce qui est déjà de nature suffisante pour critiquer le côté protecteur et immunisant du « vaccin ».

Et pourrait peut-être aussi expliquer pourquoi même les vaccinés doivent fournir un test PCR négatif avant de pénétrer le pays !

Cela nous montre à quel point les autorités elles-mêmes ne croient pas à l’efficacité du vaccin…

D’autre part, si l’augmentation délirante de l’épidémie, notamment à partir du 29 avril, était liée au vaccin, cela pourrait vouloir dire que les vaccinés seraient de fait des super-contaminateurs…

Autre point intéressant précisé au 8 mai.

« Les Seychelles comptent actuellement 1 068 cas actifs. 84 % sont des Seychellois, 16 % des touristes ou des étrangers. »

Cette information soulève plusieurs questions :

  • Hypothèse 1 : Les touristes ont importé du virus malgré les quarantaines et autres tests PCR. Ce qui tendrait à prouver que ces mesures ne servent à rien et que le test PCR est une fumisterie.
  • Hypothèse 2 : Les touristes ont été contaminés sur place par les autochtones massivement vaccinés.

La vérité ne peut qu’être un mélange des deux..

Des touristes ont importé le virus et des autochtones ont contaminé des touristes, autochtones eux-mêmes contaminés par des touristes…

Le problème des cas :

Il est impossible de baser son raisonnement sur le nombre de cas.

D’une part parce que les tests PCR peuvent dire n’importe quoi selon le nombre de cycles et qu’il est possible de jouer sur ceux-ci pour modifier les courbes.

D’autre part, et étant donné que le pays avait décidé de vacciner début janvier…

En effet 50 000 doses de vaccin (chinois) sont arrivées le 22 décembre, offertes par les Émirats Arabes Unis.

Il était de fait logique d’accroître les tests :

  • Pour suivre l’évolution de la maladie du fait de la vaccination.
  • Pour augmenter artificiellement le nombre de cas, plus on teste plus on trouve, afin de « motiver » la population à se faire vacciner… ce que la France a fait en créant sa fausse 3e vague de Covid pour vendre du vaccin. À ce propos, vous comprenez bien qu’une nouvelle vague sera indispensable en France à la fin août, malgré la vaccination massive et délirante des adultes, pour vacciner les enfants dont même les autorités répètent qu’elles ne sont PAS à risque !

Il est donc IMPOSSIBLE de se fier à l’évolution du nombre de cas…

La Seychelles News Agency (leur AFP locale) indiquait dans une publication du 4 janvier(([8] http://www.seychellesnewsagency.com/articles/14135/Seychelles+to+unveil+vaccination+plan+this+week+as+COVID-+infection+spreads)) que le président serait le premier à recevoir une dose (d’eau salée?), marketing oblige, et que les personnels de santé seraient les premiers à se vacciner.

Pourquoi le gouvernement attendrait-il le 9 janvier, soit 18 jours après l’arrivée des premiers vaccins, pour administrer les premières doses à des professionnels de santé si « fiers » de lutter contre l’épidémie (qui le 22 décembre est quasi inexistante) ????

Il est intéressant de constater que le 8 mai le ministre précisait « that no one who had died had been fully vaccinated » (aucune personne ayant reçu deux doses n’est décédée).

En langage compréhensible cela confirme que des personnes ayant reçu UNE dose de vaccin étaient décédées (sinon il n’aurait pas ajouté « fully » ou aurait mis « partially »).

En résumé

  • Le 22 décembre, arrivée des vaccins aux Seychelles.
  • Le 16 janvier, le 2e mort officiel du Covid se produit, marquant le début d’une vague qui se poursuit jusqu’à ce jour malgré une vaccination Sinopharm et AstraZeneca (50/50). … Soit 3 semaines après l’arrivée des premières doses…
  • Il est confirmé que des personnes ayant reçu une dose sont mortes.
  • En France les premières doses de Pfizer conservées à -80°C, sont arrivées le 26 décembre et la première vaccination dès le lendemain !

Qui peut raisonnablement croire qu’il s’est passé plus de 2 semaines entre la réception de vaccins dont l’administration est classique (pas de conservation à -80°C) et les premières vaccinations de personnels de santé ?

Qui peut croire que les politiques ne voudraient pas faire la publicité de la vaccination le plus tôt possible ?

Si cette hypothèse logique de vaccination dès le 23 décembre s’avère exacte alors cela change tout !

Car :

  • Non seulement la vaccination de masse n’aurait pas été en mesure de diminuer l’épidémie
  • Non seulement la vaccination aurait fait empirer l’épidémie notamment à partir du 29 avril du fait des vaccinés devenant des super-contaminateurs.

Mais

  • la vaccination serait elle-même à l’origine de la vague qui a conduit à multiplier par 40 le taux de mortalité en 3 mois. Le « vaccin » agissant alors comme un catalyseur…

Tout ceci est difficile à prouver, la seule chose qui est CERTAINE est que la vaccination aux Seychelles n’a pas été de nature à diminuer l’épidémie.

Car, comme en France, il est gravé dans le marbre nauséabond que les confinements, port du masque et désormais les vaccinations expérimentales sont efficaces.

En science, quand tu as la preuve que le 1er confinement en France n’a pas sauvé de vies (en observant l’absence d’aplanissement de la courbe, l’absence de regain après le déconfinement et des courbes identiques dans des pays qui n’ont pas confiné), tu ne mets pas en œuvre le 2e puis le 3e confinement !

Avec leur pseudo science manipulatrice, non seulement ils ont osé dire que le confinement avait sauvé 60 000 vies, mais que l’échec potentiel pourrait être causé par le non-respect de la mesure.

Donc il suffit d’abord d’affirmer que s’il n’y avait pas eu vaccination, la situation aurait été 100 fois pire aux Seychelles puis d’ajouter qu’il faut augmenter le pourcentage de vaccinés pour parvenir à 100 %.

Puis si malgré cela, de nouveaux cas et décès se produisent, il suffira d’affirmer que c’est causé par des variants (sinon créés, tout du moins favorisés par lesdits « vaccins ») et d’administrer une 3e dose à l’ensemble de la population…

Jamais l’efficacité de la mesure ne sera remise en question, ce qui est l’apanage des pseudosciences qui ne peuvent jamais être contredites.

Nous sommes bien dans la Foi pour les uns… et dans le crime organisé pour les autres…

Et le Christ dans tout ça ?

Si on adhère aux prêches des autorités et de la Pravda, les 41 morts aux Seychelles comptabilisés depuis la campagne de vaccination ne seraient absolument pas causés par ladite « vaccination »…

Bien au contraire même, cette thérapie vaccinale expérimentale aurait permis d’endiguer la vague et épargner des dizaines de vies ou des centaines de vies…

Alors, imaginez qu’ils aient lancé la vaccination 3 mois plus tôt !

Avant même le début de leur première vague !

C’était un coup à ressusciter des dizaines de personnes décédées !

Par chance, la vaccination a été entreprise plus tard et l’église du coronavirus n’a pas pu faire mieux que le Christ !

Et pendant ce temps ?

Le peuple, jeune et vieux, se précipite pour recevoir la sainte injection qui leur permettra de retrouver leur liberté, ce qui selon les saintes Écritures de l’église du coronavirus veut dire, retrouver la possibilité de voyager et de consommer grâce à un passeport vaccinal !

Merci.

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-christ-vs-vaccin-seychelles.pdf





Fait divers inquiétant. (humour)

Par Alain Tortosa

[Photo : iStock]

Peut-être aurez-vous du mal à le croire, mais un homme de 44 ans a été retrouvé chez lui, en parfaite santé, 4 semaines après sa 2e dose de vaccin.

Étrangement, celui-ci ne présentait strictement aucun effet secondaire, pas même un petit mal de crâne.

Il a été transféré en urgence à l’hôpital par une cellule spécialement équipée pour les accidents chimiques afin de procéder aux premiers examens.

Bien évidemment son entourage a été mis à l’isolement comme il se doit et ses effets personnels ont été incinérés.

Lui-même et sa famille ont reçu (de force) 2 nouvelles doses panachées de vaccins en espérant que la solution permette d’endiguer la situation qui, si elle se répandait, pourrait s’avérer dramatique pour le monde libre.

Contacté par notre correspondant, le directeur local de la compagnie pharmaceutique, M. Bad Isvéri, ayant fourni les doses s’est voulu rassurant.

Celui-ci a déclaré à notre micro :

« Je peux vous assurer que tout est mis en œuvre depuis le début afin que nos vaccins développent un maximum d’effets secondaires. S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas nous reprocher, c’est bien d’avoir court-circuité toutes les sécurités possibles et corrompu un maximum de soignants et de politiques. Nous avons même procédé aux premiers essais sur l’homme dès le mois d’avril 2020 pour épargner un maximum de rats de laboratoire. Hélas, nous sommes humains et il peut parfois y avoir des incidents. Croyez bien que la population est à l’abri et qu’elle peut continuer à s’injecter nos produits présents et futurs sans se poser la moindre question. »

Le directeur de l’hôpital le professeur Ted Caurup, député et président du conseil de l’ordre régional, s’est aussi voulu rassurant :

« Je confirme tout à fait les propos de mon très généreux bienfaiteur. Nous-mêmes n’avons fait strictement aucun test d’innocuité avant de vacciner en masse adultes, enfants et femmes enceintes. Je vous rappellerais aussi qu’en cas d’effets secondaires, même graves, nous interdisons tout traitement, seul du paracétamol est proposé afin de ne pas risquer de perturber le processus. »

Nous continuons nos investigations, mais d’ores et déjà il semblerait que cet individu peu recommandable ne respectait ni les confinements ni les gestes barrières.

Celui-ci avait même retiré ses enfants de l’école afin qu’ils ne portent pas de masques « maltraitants » selon ses propos incohérents.

Une expertise psychiatrique a été immédiatement diligentée par la procureuse de la République chargée de l’enquête, Mme Jay Padcouye, chargée de déterminer le degré de folie et de dangerosité de l’individu.

L’enquête de voisinage a permis de déterminer que celui-ci ne portait pas de masque, faisait du sport, se promenait souvent en forêt, qu’il prenait des vitamines et avait une vie saine.

D’autre part, fait étrange qui souligne la bizarrerie de l’individu, celui-ci ne prenait jamais de médicaments malgré son âge.

Une voisine, Mme Aimée Vichy, nous a confié que rien n’avait été fait malgré les dizaines d’appels téléphoniques anonymes qu’elle avait passés à la gendarmerie depuis le mois de mars dernier.

Le maire de Bourgnon sur Oiseuse, qui se serait bien passé de cette publicité, a quant à lui déclaré qu’il ne cautionnait absolument pas ce type d’agissements et que l’ensemble de ses concitoyens respectait scrupuleusement les mesures sanitaires surtout et y compris les plus absurdes !

Afin de limiter le brassage, il avait même été décidé que les habitants ayant un numéro pair pourraient se rendre au marché de la ville les semaines paires et inversement tout en alternant une semaine pour les hommes et une semaine pour les femmes. Les enfants pouvant s’y rendre, en toute logique, une semaine sur quatre, sauf les mois qui comportent 31 jours. Des cours du soir avaient été proposés par la ville afin de rappeler ces règles de bon sens.

Qui aurait pu prédire un tel drame ?

Nous vous rappelons que selon les données officielles de Santé Publique France, le risque de décès pour une personne jeune et en bonne santé n’est que 10 fois plus important pour les personnes vaccinées que de décéder du Covid.

Nous fondons de grands espoirs sur les variants favorisés par les vaccins afin que ce risque augmente de façon significative.

Hélas, l’objectif de plus de décès par la vaccination que par le Covid prévu pour la fin 2021 risque de ne pas se produire avant 2023 si aucun progrès significatif n’est apporté dans les vaccins actuels.

Espérons que les défenses immunitaires réduites à la fois par les gestes barrières, les confinements, les masques, le stress, l’épuisement psychologique, mais aussi surtout par les vaccins puissent accélérer les choses.

Nous ne manquerons pas de revenir vers vous surtout si nous n’avons rien à vous dire de plus…

Merci

Alain Tortosa correspondant CGN pour Facture Portes.

2 juin 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210602-vaccin-pas-effet-secondaire.pdf




Les écoles australiennes doivent cesser d’appeler les enfants « garçons et filles »

[Source : anguillesousroche.com]

[Note de Joseph : l’homogénéisation et l’uniformisation représentent un mouvement qui va dans le sens du chaos, conforme à la logique franc-maçonne de la construction d’un Nouvel Ordre Mondial en passant d’abord par la destruction. Ce mouvement est contraire à celui de l’organisation des formes et structures (sociales et autres) par la Conscience. Et il l’est d’autant plus qu’il tend à couper les êtres humains de leur essence en leur faisant développer une vision et une approche matérialistes de la vie.
Voir notamment La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos)
et Le Nouvel Ordre Mondial par le chaos.]

En Australie, des enseignants ont reçu l’ordre d’imposer à leurs élèves un programme « woke » d’extrême gauche et de cesser d’appeler les enfants « garçons et filles » afin de rendre la classe plus neutre sur le plan du genre.

Selon les nouvelles directives en matière d’éducation, les enseignants doivent utiliser des termes tels que « autre » et éviter de qualifier les choses de « normales » afin de mieux intégrer les minorités.

Ces directives invitent le personnel scolaire à transmettre aux enfants les craintes liées à « l’urgence du changement climatique » et à promouvoir la « superdiversité ».

C’est ce que rapporte Dailymail.co.uk : Un chapitre du livre, édité par des universitaires de l’université Monash, encourage les enseignants à « s’engager à dire la vérité sur la réalité de la dégradation du climat ».

« Une politique associée devrait être utilisée pour rassembler la communauté scolaire, en s’appuyant sur l’énergie, les idées et les capacités de cette dernière, même si cette politique est susceptible d’être exigeante et d’une grande portée », peut-on lire dans le livre.

Le livre – Building Better Schools with Evidence Based Policy – indique également aux enseignants qu’ils peuvent promouvoir l’inclusion dans la classe s’ils « embrassent activement la diversité ».

Le terme « anglais en tant que deuxième langue » devrait être remplacé par l’expression « émergent – bilingue » pour donner plus d’assurance aux élèves qui parlent plusieurs langues.

Les termes « garçons et filles » devraient également être retirés de l’usage courant dans les écoles, suggère le livre.

Défendant son chapitre sur le climat, l’auteur universitaire Alan Reid a déclaré que les enseignants devraient encourager les élèves à débattre des concepts qu’il soulève.

« Une école peut également écouter et contester certains points de vue, et préciser ce qui reste à la porte de l’école, pour ainsi dire, étant donné le contrat social en matière d’éducation », a-t-il déclaré au Daily Telegraph.

Kel Richards, animateur radio de Sydney, a déclaré qu’essayer de supprimer le mot « normal » de l’usage en classe était voué à l’échec.

« Quoi qu’ils fassent en classe, quoi qu’ils disent, quel que soit le rapport publié, le mot “normal” sera toujours là et nous l’utiliserons toujours », a-t-il déclaré.

Cette révélation intervient quelques semaines après qu’il a été révélé que les écoles de Melbourne étaient invitées à utiliser des pronoms neutres et à remplacer « maman et papa » par « parent » dans le cadre d’une campagne visant à améliorer l’inclusion des étudiants LGBTQI+.

Les toilettes unisexes, les équipes sportives non mixtes et le déploiement de drapeaux arc-en-ciel sont également recommandés pour améliorer l’inclusion.

Certaines écoles sont même encouragées à empêcher les enseignants et les élèves d’utiliser des mots tels que « maman »« papa » et « petit ami », dans une tentative controversée de bannir les mots sexués.

Les mots « parent » et « partenaire » sont préférés.




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique

[Source : Contrepoints]

Par Charles Castet

Is it therefore infallibly agreeable to the Word of God, all that you say ? I beseech you, in the bowels of Christ, think it possible you may be mistaken. 
[Tout ce que vous dites est-il donc infailliblement conforme à la Parole de Dieu ? Je vous en supplie, dans les entrailles du Christ, pensez qu’il est possible que vous vous trompiez.]

 Olivier Cromwell, Lettre à l’assemblée générale de l’Église d’Écosse – 3 août 1650

Le wokisme en tant que phénomène religieux est la proposition que le système de croyance actuel décrit ou auto-décrit sous les vocables alternatifs de progressiste, universaliste, politiquement correct ou plus exactement woke se comprend d’autant mieux s’il est considéré comme une branche du christianisme.

Plus spécifiquement s’il est vu comme une descendance non-théiste de la branche calviniste, plutôt que comme un phénomène politique désigné sous le vocable péjoratif de marxisme culturel. Le wokisme sera défini simplement par la conscience de l’existence d’injustices sociales et raciales et l’impératif d’agir pour les résoudre.

L’affirmation peut surprendre.

Quelle continuité entre certaines sociétés du XVIe siècle où la dévotion joue un rôle central autour de quatre points du calvinisme résumés de la manière suivante au synode de Dordrecht :

  • l’élection conditionnelle
  • l’expiation illimitée
  • la dépravation totale
  • la résistibilité de la grâce

Quel rapport entre le synode de Dordrecht et les célébrations sur le lieu de la mort de George Floyd ?

MISE EN PERSPECTIVE DU WOKISME

Il convient de rappeler deux choses.

D’abord la filiation intellectuelle entre christianisme et communisme (pour l’approuver ou la condamner) a été établie par des personnalités aussi diverses que Dostoïevski, Aron, Camus ou Arendt.

Dostoïevski écrivait dans la préface de son livre Les Frères Karamazov que la question du communisme n’avait rien à voir avec la question ouvrière mais qu’il s’agissait en fait de la création du royaume de Dieu sur Terre et de la tour de Babel renversée (faire venir la divinité et non pas chercher à l’atteindre comme dans le récit biblique original). Cela reste une réponse littéraire à une idéologie politique inédite.

Néanmoins dans L’Opium des intellectuels Raymond Aron a affiné l’intuition de l’écrivain russe en analysant les diverses filiations entre le prolétaire sauveur collectif chez Marx et le Messie sauveur collectif dans la Bible, la similitude entre le Parti et l’Église.

Dans L’Homme révolté, Camus disait que le communisme est une prophétie. Toute prophétie se justifie par une révélation divine, jamais par la raison humaine.

Ensuite, comment cette filiation a-t-elle été analysée ?

Dans son livre Aron ne s’intéresse pas aux croyances surnaturelles à propos du monde surnaturel. Mais construire le royaume de Dieu sur Terre est une action physique et si cette croyance est un impératif moral alors elle aura forcément des effets dans le monde réel.

Aron fonde sa démonstration du lien entre christianisme et communisme en s’inspirant de la cladistique de la manière suivante : l’existence d’une généalogie intellectuelle, un état d’esprit similaire, un mode de reproduction idéologique commun, des mêmes haines, des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine et qui ont un fort caractère morbide.

Donc entre les principes de Dordrecht et le wokisme, quels liens pouvons-nous tirer sachant que :

  1. Le concept de christianisme non-théiste est cohérent.
  2. Le wokisme est mieux compris comme une secte du christianisme non théiste.
  3. Cette secte est la version la plus répandue du christianisme aujourd’hui.
  4. Elle inclut des propositions qui ne sont pas consistantes avec la raison humaine.
  5. Ces propositions contiennent un fort caractère morbide.

La cohérence du premier point a été démontrée dans les écrits mentionnés plus haut.

LE GOUVERNEMENT DES SAINTS

Pour le second point, qu’est-ce qui rapproche le calvinisme du wokisme ? Indépendamment des points théologiques qui apparaîtront incongrus au lecteur de 2021, les régimes politiques issus du calvinisme (la République de Genève, le gouvernement des Saints) avaient un double objectif : instaurer le royaume de Dieu sur Terre et la totale droiture.

Afin d’atteindre ces buts le système de gouvernement avait les caractéristiques suivantes : un contrôle social inédit pour l’époque, un amour pour la vérité officielle hors les questions théologiques, une obsession de la pureté morale et des relations sociales devenues pathologiques.

Comme Stefan Zweig le décrit dans Conscience contre violence :

Pour ce rabaissement draconien de la personnalité, pour ce dépouillement complet de l’individu au profit de la collectivité, Calvin applique une méthode particulière, la fameuse « discipline ». Dès la première heure, cet organisateur génial enferme son « troupeau », sa « communauté » dans un réseau serré d’articles et d’interdictions – les fameuses « ordonnances » – et crée en même temps un office spécial pour en surveiller l’exécution, le Consistoire, dont la tâche est définie d’une façon extrêmement équivoque : « surveiller la communauté afin que Dieu soit proprement honoré ». Mais c’est seulement en apparence que ce contrôle des mœurs est limité à la vie religieuse. Par suite de la liaison complète entre le terrestre et le spirituel dans la conception totalitaire de Calvin, toute la vie privée tombe désormais automatiquement sous la surveillance de l’État ; c’est ainsi qu’il est prescrit aux sbires du Consistoire, aux « anciens », d’ouvrir l’œil sur l’existence de chacun. Rien ne doit échapper à leur attention, « non seulement les paroles, mais aussi les opinions et les idées sont à surveiller. »

Zweig continue :

Cette Gestapo des mœurs fourre son nez partout. Elle s’assure que les robes des femmes ne sont ni trop longues ni trop courtes, qu’elles n’ont pas de ruches superflues ou des jours exagérés, compte les bagues que l’on a aux doigts et les chaussures qui sont dans l’armoire. Du cabinet de toilette elle passe à la salle à manger, pour voir si l’on n’a pas ajouté au seul plat permis une petite soupe ou un morceau de viande, ou si l’on n’a pas caché quelque part des friandises ou de la confiture. Et le pieux policier poursuit son inspection dans toutes les pièces. Il regarde dans la bibliothèque pour savoir si elle ne contient pas de livres ne portant pas le sceau de la censure consistoriale, fouille dans les tiroirs pour voir si par hasard on n’y a pas caché une image sainte ou un chapelet.

Un siècle plus tard en Angleterre pendant la guerre civile, un autre trait se manifeste, l’iconoclasme.

Le catéchisme du soldat recommande d’ailleurs en cette année 1644 de délivrer définitivement le pays des chefs-d’œuvre de l’art médiéval ou baroque qui détournent de la vraie foi. Cette fureur destructrice ne porte pas tant sur les édifices eux-mêmes, relativement épargnés, que sur les tableaux ou les sculptures représentant Dieu le Père, le Fils ou le Saint-Esprit, sans oublier les statues de la Vierges, les chérubins, les ora pro nobis et autres formules latines délictueuses qui assaillent l’âme de leurs troubles pensées. Bernard Cottret – Cromwell

Suite à la restauration monarchique anglaise en 1660, les branches du protestantisme exilées d’Europe ont fondé des colonies théocratiques aux États-Unis, se sont transfigurées dans le messianisme américain. Leurs pouvoirs se sont accrus en proportion de l’émergence des États-Unis comme superpuissance et les victoires militaires successives, que ce soit dans la guerre d’Indépendance, la guerre de Sécession, les deux guerres mondiales.

Prenons une de ces étapes intermédiaires clés de cette mutation décrite dans World War I as Fulfillment: Power and the Intellectuals de Murray Rothbard :

Also animating both groups of progressives was a postmillennial pietist Protestantism that had conquered Yankee areas of northern Protestantism by the 1830s and had impelled the pietists to use local, state, and finally federal governments to stamp out sin, to make America and eventually the world holy, and thereby to bring about the Kingdom of God on earth […] The crucial role of postmillennial pietist Protestantism in the drive toward statism in the United States. Dominant in the Yankee areas of the North from the 1830s on, the aggressive evangelical form of pietism conquered Southern Protestantism by the 1890s and played a crucial role in progressivism after the turn of the century and through World War I. Evangelical pietism held that requisite to any man’s salvation is that he do his best to see to it that everyone else is saved, and doing one’s best inevitably meant that the State must become a crucial instrument in maximizing people’s chances for salvation. In particular, the State plays a pivotal role in stamping out sin, and in making America holy.
[Ces deux groupes de progressistes étaient également animés par un protestantisme piétiste post-millénaire qui avait conquis les régions yankees du protestantisme nordique dans les années 1830 et qui avait poussé les piétistes à utiliser les gouvernements locaux, étatiques et finalement fédéraux pour éradiquer le péché, pour rendre l’Amérique et finalement le monde saint, et ainsi apporter le Royaume de Dieu sur terre […] Le rôle crucial du protestantisme piétiste post-millénaire dans la poussée vers l’étatisme aux États-Unis. Dominante dans les régions yankees du Nord à partir des années 1830, la forme évangélique agressive du piétisme a conquis le protestantisme du Sud dans les années 1890 et a joué un rôle crucial dans le progressisme après le tournant du siècle et pendant la Première Guerre mondiale. Le piétisme évangélique soutenait que le salut de tout homme exigeait qu’il fasse de son mieux pour que tous les autres soient sauvés, et faire de son mieux signifiait inévitablement que l’État devait devenir un instrument crucial pour maximiser les chances de salut des gens. En particulier, l’État joue un rôle central dans l’éradication du péché et dans la sanctification de l’Amérique.]

Un cas particulièrement frappant qui s’est déroulé quelques décennies après la période décrite par Rothbard, dans cet article du Time Magazine de 1942 : un programme politique élaboré par le conseil fédéral des églises (issues de la branche principale du protestantisme avec des racines calvinistes) se révèle être très proche du wokisme de 2021 et est décrit par le journaliste comme « super-protestant ».

Entre 1942 et 2021, la version sécularisée est apparue à travers le credo de l’amour universel pendant les décennies 1960-1970 lors du mouvement de la contreculture.

LE TRIOMPHE DE L’IRRATIONNEL MORBIDE

Avant d’aborder le quatrième et le cinquième point, pourquoi cacher la généalogie et le lien direct entre les puritains et dissidents anglais d’hier et les wokistes d’aujourd’hui ?

D’abord parce que le progrès des connaissances fait qu’un propos est plus facilement crédible s’il est présenté comme étant le fruit de la raison plutôt que comme provenant d’une révélation divine.

Une autre raison ensuite, un wokiste n’admettra jamais être le descendant direct du calvinisme surtout parce qu’il tient son credo comme universel et qu’aucun individu dans le monde ne peut en douter indépendamment de sa religion ou de son absence de religion.

Un élément qui contredit l’universalité du wokisme est son inégale implantation géographique. Né aux États-Unis, il est nettement répandu dans les pays anglo-saxons, plus faible en Europe continentale et quasiment absent en Asie et en Afrique si ce n’est en Corée du Sud dont un bon quart de la population est protestante.

Cette implantation est confirmée par les localisations géographiques des protestations de BLM. Que dit la cartographie officielle du mouvement ? Que les protestations se déroulent surtout au Royaume-Uni, Pays-Bas, Allemagne du Nord, et Scandinavie, moins en France, en Espagne, en Italie, et autre pays d’Europe centrale et de l’est. Elles sont quasiment inexistantes ailleurs.

Les discours wokistes suivent le même modèle que la diatribe de l’actrice Adèle Haenel à 29:55 :

Tout y est : la Faute, l’angoisse, la culpabilité, le repentir, le désir d’absolution, l’espoir d’être débarrassé du péché, la construction individuelle du salut, la quête (individuelle) vers la plus grande droiture, et enfin la conversion.

Que faire puisque nous vivons une époque de fièvre religieuse et que les discussions ont quitté tout champ rationnel ?

Dans sa biographie de Cromwell, l’historien Bernard Cottret décrit fort bien le climat d’hallucination spirituelle de l’époque où les protestants pensaient que le Pape était l’antéchrist qui recevait ses instructions directement du diable. Les catholiques n’étaient pas en reste avec l’Inquisition.

Que faire dans une perspective libérale ? Il resterait à choisir le retrait comme Montaigne en attendant que la fièvre baisse ou bien apporter une parole discordante pour défendre la liberté comme Raymond Aron dans les années 1950.




Éoliennes : du rêve aux réalités

[Source : Documentaire et Vérité]

Recueillant près de 80% d’opinion favorable, les éoliennes sont en quelques années devenues le symbole de la transition énergétique. Quels enseignements politiques, sociaux, économiques et environnementaux peut-on tirer de leur multiplication ? Le rêve est-il en phase avec la réalité ? Professionnels, experts et riverains nous dévoilent les envers du décor.

Pour en savoir plus : https://eoliennes-lefilm.com
Pour soutenir l’association et faire un don :
Éoliennes : du rêve aux réalités – Documentaire et Vérité (documentaire-et-verite.com)

SOMMAIRE :
00:00 Introduction
09:30 Stockage et intermittence
18:15 Le modèle allemand
22:45 Système européen
31:09 Toujours du vent quelque part ?
33:19 Du vent dans le gaz
39:28 Oil, GAFA & black-out
45:12 Pour une sortie du nucléaire ?
52:00 Quand le vent se transforme en or
58:58 L’installation d’un parc
1:05:43 Une chance pour l’emploi ?
1:11:41 Une énergie bon marché ?
1:19:37 Une fabrication verte ?
1:26:40 Eoliennes, mon amour ?
1:37:01 Dénis démocratiques ?
1:47:29 Le salut par l’offshore ?

INTERVENANTS :
Cette plongée dans l’univers des éoliennes a été l’occasion de réunir quelques-uns des plus éminents experts de l’énergie, parmis lesquels :

  • Jean-Marc Jancovici : ingénieur et directeur du Shift Project
  • Hervé Machenaud : ancien directeur de la production d’EDF
  • Jacques Percebois : directeur du centre de recherche en économie et droit de l’énergie
    D’autres personnalités, comme Henri Proglio (ancien président directeur général d’EDF), Dominique Finon (directeur de Recherche honoraire au CNRS) ou bien encore Antoine Waechter (candidat des Verts à l’élection présidentielle de 1988) apportent leur éclairage aux Français

L’ASSOCIATION :
Le projet est porté par une association loi 1901, Documentaire et Vérité, dont l’objectif est le financement participatif de documentaires basés sur des faits vérifiables et des experts reconnus, accessibles gratuitement et diffusés en ligne.

LE FINANCEMENT :
Destiné à être diffusé gratuitement au plus grand nombre, ce projet d’envergure a été exclusivement financé par des citoyens par le biais d’une campagne de crowdfunding organisée sur le site de l’association. Ce financement participatif a récolté plus de 100 000 € de la part de près de 1 000 contributeurs, révélant une fois de plus l’importance du sujet éolien en France.




L’Affaire AstraZeneca. Des victimes témoignent

[Source : breizh-info.com]

Nous évoquions hier le premier reportage d’Armel Joubert des Ouches, journaliste indépendant, suite à la censure dont il est victime concernant sa première enquête au sujet de la vaccination liée au Covid-19. Il en a réalisé une autre, elle aussi censurée, intitulée L’Affaire AstraZeneca, qui regroupe des témoignages, notamment de victimes.

L’affaire AstraZeneca, c’est l’histoire d’un scandale sanitaire occidental qui a vu des personnes en parfaite santé mourir peu après l’injection d’un vaccin produit par la multinationale pharmaceutique suédo-britannique. Le sujet est grave : l’enquête est rigoureuse, menée par des journalistes professionnels.

Nous sommes partis à la rencontre de médecins, de proches des victimes décédées quelques heures après l’injection du vaccin et de témoins de ces drames humains auxquels les médias mainstream refusent la parole, que les GAFA censurent impitoyablement.

Les victimes de cette affaire sont mortes deux fois : par des thromboses et par le silence coupable du pouvoir politico-médiatique.

Journalistes professionnels, nous avons décidé de briser le tabou. Par devoir de solidarité, par respect de la personne humaine, et en hommage aux victimes, nous n’avions pas le droit de nous taire. Vous non plus !

Voici le lien pour voir le reportage, et soutenir son réalisateur



Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Reiner Fuellmich – notre travail avance bien mais attention aux fausses rumeurs

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Nous recevons l’avocat allemand Reiner Fuellmich, une nouvelle fois pour un debriefing exclusif sur l’avancée des travaux du groupe d’experts qui forment le Comité Corona.

Beaucoup d’informations erronées ont circulé sur l’action qu’il mène avec un groupe d’avocats de plusieurs pays. Nous avons tenu à ce que Dr Fuellmich puisse apporter les réponses lui-même aux questions qui ne manquent pas d’enflammer les réseaux sociaux.

Les messages qui circulent sur les réseaux sociaux sont trop souvent « augmentés » rapportés de site en site, d’email en email avec des additions qui entrainent une déviation du message originel factuel.

Dr Fuellmich confirme travailler avec un groupe d’expert de moins de 100 personnes alors que l’on peut lire que ce groupe comprend parfois plus de 1000 avocats. Comme il dit :

« Seules quelques bonnes personnes suffisent »

Après un mise jour sur la procédure en cours, il répond à nos questions afin d’apporter une clarification nécessaire , très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l’action que son groupe mène.

Au risque d’en décevoir certains, il confirme qu’il y aura un procès, mais cela ne commencera pas le 3 juillet 2021 comme on a pu le lire sur le net.  Pas plus que ce ne sera un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.

Retrouvez le debriefing complet du Dr Fuellmich

Version Originale sous titrée en français



Version Originale en anglais



Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich]




Le culte de la virologie – Documentaire

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.

Sont abordées en détail les méthodes et techniques frauduleuses que les scientifiques ont utilisés pour créer de toutes pièces un scénario d’épidémie catastrophe ayant plongé le monde dans une hystérie massive jamais vue auparavant.
Il est abordé par le biais de différents intervenants tels que le Dr. Stefan Lanka, le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Robert O. Young, le Dr. Thomas Cowan, le nutritionniste Jeff Green et le Dr. Alain Scohy les différentes failles dans le scénario présenté par les médias et experts en tous genre.

L’isolement des virus, les tests PCR, le séquençage nouvelle génération, la bio-informatique, les mutants, la théorie des germes, les processus de contagion, la vaccination et l’origine véritable du fameux “SARS-CoV-2” n’auront plus de secrets pour vous après ce visionnage.



Sous-titres et adaptation par https://cv19.fr

Sources :

[Voir aussi :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
La théorie des exosomes contre celle des virus
Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19]




Mails de Fauci : l’AFP savait-elle pour l’origine du virus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les emails des FauciLeaks récemment dévoilés, une découverte de taille page 3123 : on y apprend que l’AFP était au courant de la fabrication du virus depuis le 31 janvier 2020. A-t-elle enterré l’affaire ?

Voir aussi : L’indépendance sanitaire des Français entre les mails du Pr Delfraissy et Anthony Fauci

Depuis le 31 janvier 2020

L’AFP, par le biais du journaliste Issam Ahmed, écrivait au Dr Barney Graham du NIH (National Health Institute) au sujet d’une demande assez urgente un vendredi soir. Le journaliste demandait un avis sur une étude scientifique qui venait juste d’être publiée sur le serveur Biorxiv.org. L’article affirmait que le nouveau coronavirus comprenait quatre insertions similaires au VIH-1, et que ce n’est pas une coïncidence.

Le journaliste demandait des informations sur cet article écrit par des chercheurs indiens, qui sera plus tard rétracté sous la pression, nous a déclaré le mathématicien Jean-Claude Perez.

Sur le site du NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), on peut lire que Dr Barney Graham est le directeur adjoint du centre de recherche sur les vaccins, chef du laboratoire de pathogenèse virale et noyau de science translationnelle. Ses principaux domaines de recherche sont le développement de vaccins et d’anticorps monoclonaux pour COVID-19, RSV, grippe, EV-D68, Nipah, Zika, VIH, Ebola et d’autres agents pathogènes émergents viraux, la conception de vaccin basée sur la structure et base structurelle pour la neutralisation du virus à médiation par les anticorps et l’approche pathogène prototype pour la préparation et la riposte à une pandémie. Le Dr Graham est donc un expert et ne pouvait pas ne pas savoir puisque cette étude était publiée.

Quel rôle pour l’AFP ?

Ce qui semble étonnant, c’est que l’AFP n’ait pas fait écho de cette étude. Cette même AFP a attaqué le Pr Luc Montagnier et le mathématicien Jean-Claude Perez lors de leurs déclarations de mai 2020, puis lors d’un « AFP factuel » de Julie Charpentrat en août 2020. 

Contactés par la rédaction de FranceSoir, M. Ahmed et Mme Charpentrat n’ont pas répondu à l’heure où nous publions cet article.

Le rôle d’une agence de presse est de vérifier, de valider et d’informer en respect de la charte de Munich. L’AFP aurait-elle manqué à son devoir en jouant ainsi un rôle de désinformation important dans l’identification de l’origine du virus alors que l’information était disponible ? L’information s’est-elle perdue en route ou a-t-elle été enterrée ?
 


Traduction de l’email

From: lssam AHMED
Sent: Friday, January 31, 2020 5:27 PM
To: Graham, Barney (NIH/YRC)
Objet : Demande de commentaires sur un article indien concernant le nouveau coronavirus

Cher Dr Graham,

Je suis journaliste scientifique à l’agence de presse Agence France-Presse et j’écris avec une demande – excusez-moi d’avoir tendu la main un vendredi soir ! Un contact m’a dit que vous pourriez être prêt à donner un avis sur ce document qui vient d’être mis en ligne : https:www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.full.pdf  

L’étude suggère que le nouveau coronavirus a quatre inserts similaires au VIH-1 et ce n’est pas une coïncidence.

Merci beaucoup, si vous le pouvez.

lssam AHMED Health, Science and Environment

Voir aussi :
Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?
Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Auteur(s): FranceSoir




Les emails de Fauci confirment la manipulation du coronacircus !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Le scoop du jour : les emails d’Anthony Fauci, le Mr Santé des USA, révèlent la supercherie du coronacircus

En attendant que les TV françaises se réveillent et au passage ouvrent des yeux encore fermés de trop nombreux citoyens sur le drame des pseudo-vaccins et « sauvent des vies » en évitant que des parents soumis acceptent de les vacciner (et prendre des risques majeurs tant dans l’immédiat que pour le futur), réjouissons-nous sur le nouveau feuilleton de l’année, le faucileaks.(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Et attendons impatiemment les épisodes suivants. Pas encore le caviar dit Olivier D., mais ça vient.(([2] Fauci Files : au menu caviar et petits fours | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com) )) Remontons-nous le moral ! Il était temps.

Pas évident de savoir pourquoi ces emails sont lâchés dans la nature maintenant, par qui et pourquoi, mais il semble bien que le vieux Mr Fauci soit bien un fusible et en tous cas que son sort soit fixé à brève échéance.

Le Dr Fauci est le conseiller médical de longue date de la haute administration américaine. Conseiller du Président Trump avec lequel il y eu beaucoup de divergences, il resta naturellement le conseiller du nouveau Président, Biden.

Fauci est donc le numéro UN de la santé aux USA. C’est dire l’importance de ces révélations à un moment où le scénario du coronacircus se fissure. L’existence de preuves incontestables de la manipulation mondiale dirigée par quelques-uns est capitale pour faire cesser enfin cette mascarade qui a déjà coûté tant de vies, en particulier par les mesures sanitaires complètement disproportionnées que ce mini-groupe adossé aux milliardaires via l’OMS et le forum de Davos a imposées dans une grande partie des pays occidentaux. L’Asie et l’Afrique ont été relativement épargnées par une moindre obéissance aux ordres de Davos et du FMI.

Comme souvent depuis le début de la crise, le journaliste André Bercoff révèle sur Sud Radio ce jour 4 juin, cette saga de l’histoire du coronacircus vue à travers les emails de Fauci ! Ils sont mis en lumière grâce à une liberté aux USA disparue en France. Grace au Freedom of information act aux USA qui a dévoilé 3 000 pages de mails du Mister Santé des USA avec ses correspondants. Richard Boutry appelle à ce que la vérité éclate !



Selon Olivier :

« Le fait fondamental est qu’il ne s’agit pas d’une “fuite“… France-Soir commet une faute importante en parlant de “fuite“. Mais de la communication officielle de documents, menée par un organe officiel qui en amont a procédé à une censure en bonne et due forme, dans le cadre d’une loi officielle (Freedom of Information Act). J’ajoute que caviarder est une chose… il est encore plus facile de faire disparaître purement et simplement un email.

Car ces messages, entre janvier et juin 2020… sont une sélection ! Absolument pas toute la correspondance de Fauci durant cette période ».(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Fauci répète mail après mail que les asymptomatiques ne sont pas à risque, ne peuvent pas transmettre. Les masques sont uniquement pour les gens infectés.  Mais en pratique il va les imposer. Et ainsi de suite.

Et nous ne sommes pas en reste. Déjà sans que tous les mails ne soient défrichés, notre M. Conseil scientifique est concerné. Formidable !

Le Pr Delfraissy le 25 mars 2021 explique dans un mail à son collègue le Dr Fauci « qu’il y a un léger signal positif pour l’hydroxychloroquine. (..) mais qu’il fait face à une énorme pression politique pour autoriser l’hydroxychloroquine, mais ne cède pas ». Trop beau de disposer de ces affirmations entre privés (le Dr Fauci, Mr vaccin américain, et M. Delfraissy, M. vaccin français).

À croire que les USA sont encore une vraie démocratie contrairement à notre pays et que l’élection volée de Trump, même reconnue par Biden, laisse des traces et entraîne des remous majeurs.

Le Pr Didier Raoult interviewé ce jour par André Bercoff sur Sud radio fait rapidement remarquer pourquoi il ne pouvait pas travailler avec des gens comme cela, les décisions prises ne résultant pas d’une discussion scientifique, le Conseil scientifique lui apparaissant plus comme un Conseil des copains. En ce qui concerne par exemple les essais, il n’a même pas été consulté sur le bras hydroxychloroquine, alors qu’il avait en France la plus grande expérience sur ce sujet. Il a renoncé à participer à ce Conseil, car il refuse d’être une marionnette. Il pense qu’on ne pourra pas faire l’économie de la mise en cause des raisons pour lesquelles le Lancet Gate a trompé le monde et poursuivre les gens qui ont imposé le Remdésivir qu’on savait inefficace et toxique, en collusion avec Gilead qui a subventionné les prix de la recherche remis cette année à des médecins corrompus. On ne pourra pas faire l’économie de la mise à plat de la corruption universitaire.

Fauci a menti, on le savait bien sûr, mais maintenant c’est révélé sur les chaînes de télé américaines. Il a menti devant le Sénat, ce qui habituellement aux USA est mal vécu et habituellement lourdement condamné. On verra si le cirque coronavirus depuis 18 mois a changé les mentalités même aux USA…


Watch the latest video at foxnews.com

Cette vidéo est excellente : ici est apportée la preuve qu’il savait que le Sars-cov2 n’avait pas sauté la barrière des espèces, mais il a menti sous serment en affirmant le contraire. Il a menti sur les masques, l’immunité naturelle, les vaccins. Et à la fin, le lien avec Gates est souligné.

Tucker Carlson n’a pas insisté, mais entre les minutes 4 : 30 et 4 : 40, on voit apparaître en copie d’un mail le nom de Christian Drosten, le conseiller santé de Mme Merkel, grand manitou de la politique sanitaire allemande et, de fait, européenne, homme douteux dont la thèse [de Doctorat] est difficile à trouver, mais qui a su imposer à la terre entière les fameux tests PCR fallacieux, mais toujours omniprésents dans notre quotidien pour la moindre réunion sportive ou autre voyage.

Il est aussi à l’origine du mensonge majeur sur la prétendue contagiosité des porteurs asymptomatiques de la Covid et tout ce qui s’en est ensuivi : les masques, les quarantaines de bien-portants surnommés asymptomatiques, etc.

Fauci, Gates, Drosten : acteurs majeurs de la pandémie et tous mis en cause ici.

Cette vidéo de Fox news par T Carlson sur Fauci est créditée d’un million de vues. Il est bien difficile à ce jour de tirer des conclusions claires de cette entreprise de transparence, car comme dit Olivier D. :

« La NSA est capable d’écouter un pet de mouche à des milliers de km dans un bunker enterré… Alors trafiquer des emails ? En supprimer ?

Je rappelle qu’aux États-Unis, les services de renseignement n’hésitent pas à monter des dossiers de toute pièce, même des faux (exemple le Russiagate sous Trump), y compris les trucs les plus farfelus le tout ensuite repris par tous les médias et les politiciens des États-Unis, sans oublier des institutions (comme le FBI)…

Bref, on a bien voulu publier… ce qu’on a bien voulu publier, avec un ou des objectifs précis. Mais il est naïf de croire que l’administration américaine laisserait passer des éléments réellement compromettants.

C’est pourquoi je revendique un certain scepticisme face à ce genre de communication officielle…

On mesure le gouffre entre les Faucifiles et les révélations par exemple de Snowden… basées elles sur des véritables fuites, pas du tout contrôlées ! Il n’y a semble-t-il aucune preuve irréfutable …

On a simplement la confirmation qu’il a menti, souvent »

Relativisons, pourquoi pas, mais il semble bien que ce feuilleton ne fasse que commencer et nous tienne en haleine un certain temps. Pourquoi pas un « plus belle la vie » ? À moins que le grand Soleil n’apparaisse à nouveau ?

Nicole Delépine





Comment les médias ont perverti nos âmes…

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

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Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…




Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire

[Source : breizh-info.com]

Philippe Guillemant vient de publier sur sa page facebook un texte intitulé : « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire » que nous vous proposons de découvrir ci-dessous, car très intéressant sur un certain avenir qui nous fonce droit dessus…

Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech’ Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe.


Par Philippe Guillemant

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

  • Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
  • Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  •  Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  •  Détection de déplacement inhabituel…

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfant
  •  Analyse des interactions familiales
  •  Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.

La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »]




Bilan de la vaccination en France au 4 juin 2021

Par Gérard Delépine

[Illustration : © Crédit photo : Archives AFP / Capture SO]

Une propagande sans précédent répétée depuis des mois conditionne les Français à se faire « vacciner » par des médicaments expérimentaux qui ne sont pas de réels vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes, mais un code génétique censé stimuler la création d’anticorps). Cette propagande répète sans arrêt que l’épidémie ne sera pas vaincue tant que la couverture vaccinale ne dépassera pas les 70 % et tant que les enfants ne seront pas vaccinés. Et que nos libertés inutilement confisquées ne nous seront pas rendues avant.

Cette propagande totalement mensongère ne vise qu’à faire injecter les tonnes de vaccin achetées par nos gouvernants qui risquent de leur rester sur les bras comme les vaccins H1N1 de Mme Bachelot en 2009.

Quelle est réellement la situation vaccinale en France ?

Depuis le début de la campagne de vaccination, 26 583 112 personnes ont reçu au moins une injection (soit 39,7 % de la population totale) et 11 452 053 personnes ont reçu deux injections (soit 17,1 % de la population totale et 21,8 % de la population majeure). D’après les apôtres de la vaccination, cette couverture vaccinale est totalement insuffisante pour prétendre agir sur le cours de l’épidémie. (Chiffres officiels du ministère de la Santé.

Comment évolue l’épidémie en France ?

Mais depuis deux mois l’épidémie s’éteint avec un nombre de nouvelles contaminations quotidiennes en chute libre (diminution de 80 % entre début avril et fin mai 2021.

Cette chute des contaminations journalières déclarées à l’OMS est confirmée par le réseau Sentinelle : en semaine 21 (celle du 24 mai 2021), le taux d’incidence des cas de COVID-19 vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants.

Rappelons qu’en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100.000 habitants et celui de la diarrhée aiguë (gastro-entérite) était de 194 cas pour 100.000 habitants.

En France, l’épidémie de Covid est donc terminée depuis plus de 2 mois. Cette évolution spontanément régressive évoque celle des grippes saisonnières. Il est scandaleux que ces bonnes nouvelles ne fassent pas la une des médias, car elles permettraient à la population de reprendre confiance en l’avenir. Et de libérer enfin le pays de toutes les contraintes sans intérêt sanitaire qui briment encore la population alors que la quasi-totalité des États américains s’en sont débarrassées, sans qu’aucune reprise des contaminations n’ait été observée.

Cette disparition de l’épidémie en France ne peut en aucun cas être attribuée à la vaccination, car, quand elle a commencé, début avril, moins de 7 % de la population était complètement vaccinée.

Qu’en est-il aux USA ?

Ce recul spontané de l’épidémie est également observé aux USA depuis début janvier, date à laquelle moins de 3 % de la population avaient reçu deux doses

Comment évolue l’épidémie en Europe ?

Dans la plupart des pays européens (vaccinés ou pas) le nombre de nouvelles contaminations journalières s’effondre depuis avril avec une chute de 85 % en deux mois

Cette régression spontanée de l’épidémie dans les pays durement touchés a partout précédé la vaccination démontrant que l’hypothèse « pas de fin du Covid19 sans vaccination » n’était qu’un slogan publicitaire des marchands de vaccins.

Une couverture vaccinale élevée protège -t-elle les populations ?

Les avocats de la vaccination prétendent constamment qu’une couverture vaccinale supérieure à 70 % protège les populations de la maladie. Examinons les faits avérés.

À ce jour, seuls deux petits pays ont obtenu une couverture vaccinale supérieure à 70 % : les Seychelles et Gibraltar. Et dans ces deux pays, les statistiques de l’OMS montrent que la vaccination a été suivie par une explosion des cas et de la mortalité.

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations et de morts a explosé (passant à 95 morts).

La couverture vaccinale idéale, rêvée par les avocats de la vaccination n’a donc abouti dans ce pays qu’à une cuisante déconvenue alors que la situation sanitaire ne la justifiait en rien. Mais les autorités sanitaires responsables de ce désastre, pour éviter toute mise en cause, jurent que la vaccination n’est pas responsable.

Les Seychelles

Le tourisme constitue la principale ressource (environ 72 % du PIB et employant plus de 30 % de la population) de ce petit état africain qui compte à peu près 100000 habitants. Fin décembre, le pays comptait moins de 500 cas confirmés sans aucun mort, mais la fermeture des liaisons aériennes et l’hystérie mondiale de l’infection menaçaient la prochaine saison touristique.

Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses clients potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. L’Inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Le 5 mai il est devenu le premier pays africain à se vacciner et l’un des pays les plus vaccinés au monde avec une couverture vaccinale supérieure à 70 %.

Mais depuis les Seychelles font face à une hausse considérable des cas de coronavirus avec des pics de 1000 cas journaliers plusieurs jours de suite mi-mai, conduisant ainsi le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars, les casinos.

Au 3 juin, en cinq mois post vaccinaux, les Seychelles comptabilisent 42 morts de covid.

Un phénomène semblable a été observé sur l’ile de Man

Une couverture vaccinale de plus de 70 % installée depuis plusieurs mois ne protège donc pas de la propagation de la maladie contrairement à ce qu’affirment constamment les médias et les promoteurs de la vaccination !

Les faits avérés montrent :

Que l’épidémie est en voie de disparition en France, en Europe et aux USA.

Que les vaccinations étaient à chaque fois trop rares et trop récentes pour avoir participé à l’extinction de la maladie

Que les pays qui ont dépassé les 70 % de couverture vaccinale ne sont pas protégés

Alors pourquoi vouloir imposer un traitement expérimental pour une épidémie en voie de disparition alors que ces pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les contaminations et qu’ils exposent à de nombreuses complications ?




Biélorussie : Roman Protassevitch opposant fabriqué et néo-nazi

[Source : Vu du Droit]

Par Charles Meyer

Le détournement de l’avion Ryanair vers Minsk et l’arrestation de Roman Protassevitch permet d’assister une fois de plus à un jeu de rôle classique. Le moins que l’on puisse dire c’est que si détournement il y a pour permettre une arrestation, c’est simplement de la piraterie. Et le fait que les États-Unis, l’Allemagne et la France (coucou Assange, coucou Snowden, coucou Benbella…) n’aient aucune leçon à donner n’empêche pas cette qualification.

Cela étant, le scénario habituel s’est mis en place. Les agents américains BHL et Glucksman (les plus rapides) se sont précipités sur tous les plateaux pour relayer la propagande de la CIA . Nos gauchistes à nous qu’on a, se sont comme d’habitude scrupuleusement alignés sur les positions américaines. Mention spéciale quand même pour Jean-Luc Mélenchon. Un petit aventurier néonazi, a été immédiatement intronisé comme martyr de la liberté. Et naturellement Macron, jamais en retard pour s’aligner sur les USA, en a fait des tonnes en mode roquet qui jappe.

Sur le fond j’invite à prendre connaissance de l’interview de l’interview d’Arnaud Dubien qui montre que l’affaire est un peu plus compliquée qu’on ne le présente.

Concernant le palmarès de l’admirateur du troisième Reich, Olivier Berruyer a fait le boulot. C’est édifiant.

J’ai demandé à Charles Meyer qui suit attentivement ce qui se passe en Europe centrale de nous donner son avis sur deux points. L’impasse politique et stratégique que constitue la création artificielle par les USA, servilement suivis par l’UE, d’opposants en carton. Et le danger de ce soutien que l’Occident apporte ainsi au développement de ce néo-nazisme raciste et antisémite particulièrement inquiétant.

Régis de Castelnau

La Biélorussie, c’est comme la Russie et la vie : c’est compliqué, parfois. Soyons clairs, on n’a pas besoin de défendre les vertus de la politique pensée à Minsk. Mais juste de comprendre que derrière un sujet d’actualité qui couvre une situation politique interne et géopolitique, se trouvent des individus pour lesquels on discerne mal les raisons qui conduisent à des soutiens inconditionnels qui fleurissent en Europe ou aux Etats-Unis. Pas plus qu’Alexeï Navalny, Roman Protassevitch n’échappe à une règle bien connue de la politique intérieure des pays de l’est : il n’y a pas pire remède que les opposants qui sont fabriqués de l’extérieur. Depuis quelques jours, on s’agite autour du cas de Protassevitch.

Soyons tout aussi clairs : il ne s’agit pas de priver celui-ci des droits qui seraient reconnus à d’autres ou de cautionner des tortures ou des châtiments qui lui seraient infligés par le régime de Loukachenko.  Mais simplement de nous déterminer sur le point de savoir si l’on défend les droits fondamentaux d’un citoyen biélorusse, ou la démarche politique d’un opposant. Et ce n’est pas du tout la même chose.

Protassevitch a droit au respect de son intégrité et de sa vie. Mais nous avons droit, aussi, de nous questionner sur sa démarche politique et de savoir, puis de comprendre comment ce jeune homme est devenu un militant et sympathisant néo-nazi. On ne parle pas d’extrême droite ou de « droite extrême », mais bien de néonazisme. Comme Navalny, ses accointances idéologiques le placent au cœur des dispositifs politiques et paramilitaires dont la Doctrine est la pureté de la race, l’élimination physique de l’ennemi russe, l’antisémitisme et surtout, l’adoration du Troisième Reich. Il faut comprendre que la mouvance néonazie en Europe de l’Est est beaucoup plus puissante et infiltrée qu’elle ne l’est ailleurs. Roman malgré sa jeunesse, en est un bon exemple. Et je vous assure qu’il n’y a nul besoin de noircir le tableau.

Roman Protassevitch fait partie de cette génération baignée dans le culte nationaliste du post soviétisme qui, d’année en année, a mené à la constitution de véritables corps francs en Europe de l’est, à l’image du bataillon Azov. C’est la raison pour laquelle on le retrouve il n’y a pas trois ans en arrière, manifestant au sein des tristement célèbres « blocs noirs » bien connus pour rassembler dans les rues la fine fleur de l’idéologie fasciste, la référence au fascisme ayant ici, pour une fois, un sens et ne dérangeant pas les grands mots.

C’est aussi la raison pour laquelle Protassevitch fait non seulement partie des manifestations de Maïdan à Kiev en 2014, mais qu’il sympathise à la même époque avec plusieurs membres du détachement de Pahonia. Pahonia est une organisation armée biélorusse qui a combattu aux côtés du bataillon Azov. Ces deux milices partagent clairement la même fascination pour le Troisième Reich, réunissent des néo -nazis venus de toute l’Europe et militent clairement pour une société raciale qu’ils rêvent de rétablir par les armes.

Il ne s’agit pas de faire comme certains de Protassevitch un néo-nazi irrécupérable ou un criminel de guerre, de la même manière que lorsqu’on dénonce l’islamisme d’un ou d’un tel, il ne s’agit pas non plus de prétendre à un déterminisme absolu ou à l’évocation systématique du djihadisme. Il s’agit de comprendre. En l’occurrence, on ne peut nier que Protassevitch fréquente les milieux néo- nazis et des chaînes de radio telles que « Belsat », dont l’idéologie est clairement documentée par le positionnement des animateurs qui est dépourvu de la moindre équivoque. On ne peut nier la participation de Protassevitch à des événements et un engagement dépourvus de la moindre équivoque. Pas plus qu’on ne peut nier les liens qu’entretiennent Protassecitch et Lobov, ou d’autres néo-nazis notoires. Je ne m’étendrai pas ici sur le rôle joué par des pays comme la Pologne et l’imprégnation évidente de l’idéologie fascisante que recycle ce pays, mais il y aurait aussi beaucoup à dire sur ceux qui ont encouragé, endoctriné et instrumentalisé des jeunes comme Protassevitch.

On peut tout à fait demander humanité et respect de la personne de Roman Protassevitch. Mais cela ne doit pas impliquer, comme on le lit trop souvent, de faire de lui l’opposant fantasmé qui représenterait face à Loukachenko celui qui porte les valeurs de la Démocratie. Ne soyons pas naïfs, la confusion qui s’opère en Occident entre les droits fondamentaux individuels des opposants médiatisés et la valeur du message qu’ils portent, est une confusion inacceptable en ce qu’elle ne rendra jamais service aux Peuples de cette Europe tantôt oubliée, fantasmée, perdue et qui se cherche au milieu de forces politiques et géopolitiques qui les instrumentalisent de toute part.




La zone euro en phase terminale ? Les déclarations-choc d’un ancien dirigeant de la BCE. Vincent Held

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Voici ce qu’affirmait le 15 mai dernier l’ex-économiste en chef de la BCE Jürgen Stark au discret mensuel allemand Tichys Einblick, édité à Munich :

« L’Allemagne a perdu le contrôle de sa politique budgétaire. »
« Je ne peux plus exclure un krach ».
« Nous sommes en plein milieu d’un changement de système. »

Des déclarations d’autant plus spectaculaires qu’elles ne semblent avoir trouvé aucun écho dans les grands médias outre-Rhin. Pourtant, ces déclarations fracassantes proviennent bel et bien d’un haut fonctionnaire allemand qui avait à l’époque contribué « de façon déterminante »  à l’introduction de l’euro… et qui a siégé au directoire de la BCE jusqu’en septembre 2011 !

L’évocation par le Dr. Stark d’un « krach » financier majeur n’est donc pas anodine, surtout à l’heure où l’on commence à prendre conscience de la fragilité du gigantesque marché REPO, dont les banques centrales sont justement des acteurs-clés. Par ailleurs, la référence du Dr. Stark à un « changement de système » évoque immanquablement cet appel de l’actuel ministre des Finances français à « réinventer l’ordre monétaire international » :

« L’ordre [monétaire international] de Bretton Woods tel que nous le connaissons a atteint ses limites, a affirmé le ministre des Finances français Bruno Le Maire […] D’après [lui], tout comme Bretton Woods a défini l’ordre économique international de la seconde moitié du 20ème siècle, la première partie de ce siècle pourrait bien être définie par le projet de nouvelles Routes de la soie de la Chine. » (Reuters, juillet 2019)

Après la crise - couverture (hi-q)

Et M. Le Maire de surenchérir :

« L’euro est menacé. Il n’a jamais été aussi menacé »

Ainsi, cette sortie fracassante du Dr. Stark est aussi pour nous l’occasion d’esquisser le scénario de la scission de l’euro, que nos grands médias évoquent de temps à autres. Sans que cette hypothèse pourtant connue ne prenne véritablement pied dans le débat politique.

Voici donc un extrait de notre dernier ouvrage, où cette option politique est abordée de façon plus directe que ce n’est généralement le cas dans les grands médias.

Le destin trouble de la zone euro
(extrait d’Asservissement, janvier 2021)

« Avec l’euro, il y a quelques gagnants, mais beaucoup de perdants » (Antonio Costa, premier ministre portugais, mars 2015)

« Il est vrai que [le] pouvoir politique [allemand] aura, au fil des années, donné tous les gages d’un jusqu’au-boutisme farouche en faveur de l’euro. De fait, un effondrement de la zone euro ne manquerait pas de produire de fâcheux effets pour les retraités allemands, dont le poids électoral est notoirement considérable… Et qui se retrouvent aujourd’hui exposés – à leur insu et dans des proportions phénoménales – aux risques explosifs de la dette des pays du Sud.[1] Ce d’autant plus qu’avec leurs fameux « mini-BOTS » (approuvés à l’unanimité par les parlementaires de tous bords !), les dirigeants italiens se sont d’ores et déjà assurés de la possibilité, le cas échéant, de rembourser leurs dettes vis-à-vis de l’Eurosystème (et donc de l’Allemagne)… en monnaie de singe. On comprend dès lors que les dirigeants allemands tiennent tant à faire la preuve de leur engagement sans faille en faveur de la monnaie unique !

Pourtant, quelques talentueux économistes ne nous ont-ils pas expliqué par le menu que l’eurozone est, par construction, un ensemble sécable ? Et que la Bundesbank elle-même cherche, depuis bien des années déjà, à se ménager des portes de sortie, en développant des mécanismes permettant d’exclure de la zone euro les pays trop indisciplinés… ?[2] Or, voilà que la Cour de Karlsruhe nous signifi[ait] subitement [en mai 2020] que ce scénario d’un fractionnement de la zone euro pourrait se concrétiser à tout instant !

On comprend dès lors mieux pourquoi « la décision de Karlsruhe » a pu être interprétée comme l’arrêt de mort de la zone euro telle que nous la connaissons. Et relancé les spéculations quant à l’éventualité d’une future scission de la zone euro…

« Il s’agit à présent d’agir de manière responsable et avec sagesse pour que l’euro puisse continuer d’exister… LA COUR CONSTITUTIONNELLE A DÉPOSÉ UNE CHARGE EXPLOSIVE SOUS L’EURO ET SOUS L’UNION EUROPÉENNE » (Angela Merkel à l’agence Reuters, mai 2020. Les majuscules sont de Reuters.)

De fait, les pays du Sud, déjà largement désindustrialisés, auraient aujourd’hui un intérêt évident à procéder à une forte dévaluation monétaire en vue de regagner de la compétitivité commerciale. Une question d’autant plus pressante que leur gestion souvent calamiteuse de la « crise sanitaire » covidienne les a passablement lessivés sur le plan économique…

« Nous ne sommes pas ici pour fermer les écarts [entre le coût des dettes italienne et allemande] » (Christine Lagarde, présidente de la BCE, en mars 2020)

La réémergence inéluctable de la crise de l’euro pourrait ainsi aboutir à une scission plus ou moins ordonnée de l’espace monétaire européen. Avec au Nord, une eurozone rétrécie menée par l’Allemagne, face à laquelle pourrait se former un bloc « euro-Sud », sans doute mené par la France. Cette nouvelle « Union latine » pouvant dès lors être amenée à mettre en place – tout au moins temporairement, des politiques de contrôle des changes en vue de garantir la stabilité monétaire face à des risques accrus de fuite des capitaux ou d’attaques spéculatives…

Par ailleurs, les pays « méditerranéens » de l’UE pourraient également trouver un intérêt majeur dans le fait de valoriser des réserves d’or parfois très importantes (Italie, France) ou significatives par rapport à la taille de leurs économies (Portugal, Grèce). Ceci afin de se donner un peu d’oxygène financier à un moment où ils en auront sans doute le plus grand besoin. De telle sorte que bien des candidats à la sortie de l’euro pourraient être tentés de s’associer rapidement (individuellement ou ensemble) au projet de nouveau système monétaire international basé sur « un étalon-or modernisé » que proposent, en particulier, la Chine et la Russie… »

Asservissement-couv

Par Vincent Held, auteur des ouvrages Le crépuscule de la Banque nationale suisse (2017), Après la crise (2018), Une civilisation en crise (2020) et Asservissement (2021).


RAPPEL, vidéo 2018

https://youtu.be/zY3b3wuTrsA

Notes

[1] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[2] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands).

[3] Et ce en particulier via les gigantesques « soldes Target » de la banque centrale allemande. On rappellera que les « soldes Target » expriment le montant des capitaux transférés par les banques centrales européennes à l’étranger (à l’intérieur de l’Eurosystème ou au-dehors). Fin 2020, le solde Target (positif) de l’Allemagne se montait à quelque 1’136 milliards (!) d’euros, alors que l’Italie et l’Espagne présentaient, à elles deux, un « découvert » de quelque 1’000 milliards d’euros environ.

[4] cf. les passionnantes explications du regretté Vincent Brousseau sur le scénario d’une « sortie furtive de l’euro » (son article éponyme publié sur le site de l’UPR contient de précieuses références pour prendre la mesure des préparatifs allemands.




Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn