Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




France : pour ou contre un général comme prochain Président ?

Par Joseph Stroberg

Le journaliste Richard Boutry vient de lancer un sondage sur cette question, via Twitter :

Cependant :

Un général remplit essentiellement un rôle militaire, offensif et/ou défensif et s’il intervient dans le gouvernement d’une nation, deux directions principales s’offrent à lui :

  • Comme dans le cas du Général de Gaulle, il peut intervenir pour redresser le pays ou en défendre la souveraineté (par exemple face à l’OTAN) ;
  • Comme dans le cas de Napoléon Bonaparte, il peut se lancer dans des actions de conquête et d’offensives contre d’autres nations, au risque d’entraîner finalement la nation à sa perte.

Jeanne d’Arc n’était pas un général, mais elle a joué un rôle déterminant dans la restauration de la France en mettant en branle le processus qui a permis ensuite de bouter les Anglais hors du royaume de France.

Charles Martel n’était au départ qu’un maire de palais, et donc remplissait un rôle essentiellement administratif. Il a cependant contribué à chasser presque totalement les musulmans hors de la Gaule.

Si une nation (([1] Habituellement : groupe humain partageant une même culture, une même histoire et une même langue. Cependant, par nation nous entendons plutôt ici un ensemble d’individus qui partagent une même vibration fondamentale sur le plan de la conscience (ou des âmes), de l’approche mentale et des égrégores affectifs et émotionnels le plus souvent liés à un territoire particulier aux frontières floues. La nation française, selon cette nouvelle notion, n’est alors pas spécifiquement liée à la langue française, mais est héritée de la Gaule et des Celtes qui étaient présents sur le territoire approximatif de la France actuelle et d’une partie de la Belgique, au moins.)) ne doit pas mourir ou doit ressusciter (comme la Pologne à la suite de ses partitions), elle trouvera toujours une femme ou un homme providentiel pour l’incarner et lui redonner sa grandeur ou la ramener à la vie. Ce peut aussi bien être un soldat, qu’une pucelle ou même qu’un poète ou qu’un homme de religion. D’une certaine manière, la nation (ou, derrière elle, la nature) trouve toujours une voie et celle-ci semble finalement suivre la loi d’Économie (([2] Celle qui permet la plus petite dépense d’énergie pour le résultat optimal ou maximal, du moins lorsque l’ambition personnelle (comme dans le cas d’un Napoléon) ne vient pas interférer)).

Les plus grands restaurateurs de nations ont généralement été aussi les plus humbles serviteurs de ces dernières, car lorsque l’ambition ou la mégalomanie interviennent au contraire, la nation voit son parcours de redressement infléchi plus ou moins fortement vers la route du chaos et de la destruction partielle ou complète. Pour l’avenir de la France, ce qu’il convient de rechercher n’est pas une fonction spécifique qu’elle soit militaire ou d’une autre nature, mais des capacités particulières qui soient utilisées avec réelle humilité (et donc notamment non accompagnée de déclarations telles que « En toute humilité, je… »). Ces capacités gagnent bien entendu à être celles nécessaires pour faire face à la situation vécue par la nation.

La France est actuellement plongée dans une situation chaotique du fait d’élites corrompues et de sa participation à l’entreprise totalitaire qu’est l’Union Européenne (un genre d’avatar de l’URSS, à la différence que les goulags s’y trouvent sur le plan mental et dans l’univers émotionnel, par le biais de la pensée unique et de la bien-pensance). Elle est profondément divisée en communautés actuellement peu compatibles et par de multiples courants idéologiques plus ou moins fanatiques et extrémistes. Elle a perdu pratiquement toutes ses racines profondes (religieuses, politiques, économiques, sociales, culturelles, artisanales, agricoles et artistiques…) au mauvais profit du matérialisme, d’une prétendue démocratie, du « woke », d’industries étrangères, d’agriculture industrielle, et de décadence… La pierre angulaire qui a été supprimée est celle représentée par la religion traditionnelle du pays depuis la gaule jusqu’à la période révolutionnaire : le christianisme. De la destruction de cette pierre, de cette « Église » (([3] non pas « Catholique Romaine » faussement universelle, mais simplement humaine. Simon Pierre n’était pas fait de roches, mais de chair et de sang. « Église » signifie originellement l’ensemble des fidèles du Christ)), découlent toutes les autres destructions, décadences et dégradations qui sont intervenues dans les différents secteurs de la vie de la nation.

Pour restaurer la France, mais pas du tout nécessairement dans le maintien d’une Cinquième République ni dans la création d’une Sixième, les capacités qui semblent indispensables sont probablement au moins les suivantes :

  • capacité à stimuler l’âme française, franque, gauloise ou celte en chacun des habitants du pays, à part éventuellement ceux qui se sentent trop étrangers à cet esprit et préféreront revenir à leurs propres racines, distinctes;
  • capacité à unir les partisans de la restauration malgré leurs divergences d’opinions et de goûts;
  • capacité à s’effacer devant les souhaits exprimés du plus grand nombre;
  • capacité à révéler ce qui était caché et à fonctionner lui-même en transparence, avec honnêteté et franchise;
  • capacité à se satisfaire de peu dans la vie concrète (afin de ne pas chercher à amasser des fortunes personnelles sur les dos des membres de la nation);
  • capacité à arbitrer les conflits pour amener des solutions qui puissent satisfaire toutes les parties impliquées;
  • capacité à reconnaître et à stimuler les aptitudes des partisans de la restauration, autant dans son entourage proche que plus lointain;
  • capacité à percevoir et à accueillir différents points de vue (et différentes croyances) et à en tirer la synthèse ou la substance essentielle;
  • capacité à s’entourer de conseillers désintéressés, efficaces, intelligents et sages dans les domaines qu’il ne maîtrise pas ou connaît peu;

Est-ce qu’un général français possède actuellement de telles capacités ?


Voir aussi : La France revivra-t-elle?





Échappatoire immunitaire : vaccination de masse & confinements, des remèdes bien pires que le mal selon le conseil scientifique covid-19 français

[Source : Association Victimes Coronavirus Covid-19 France
(association-victimes-coronavirus-france.org)]

Immunité collective vaccinale, confinements et couvre-feux sont devenus les maîtres-mots des stratégies de la plupart des gouvernements et de nombreux scientifiques médiatiques. MAIS une nouvelle donne remet en question ces approches présentées comme des solutions incontournables à l’épidémie Covid-19 : l’échappatoire immunitaire.

[Ndlr : cette notion d’échappatoire immunitaire représente une nouvelle rustine sur la théorie branlante (aux fondements jamais réellement démontrés), comparable à une chambre à air pleine de trous, qu’est la théorie virale. Une approche basée sur le « terrain » fournit une tout autre explication à l’absence relative d’efficacité de certaines méthodes de protection face à une contagion.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Voici ce que nous apprend un papier publié le 18 février dans The Lancet et co-écrit par les membres du Comité Scientifique Covid-19 français : Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy (Copyright © 2021 The Author(s). Publié par Elsevier Ltd., article en accès libre sous la licence CC BY-NC-ND 4.0)

Vaccination de masse : terrain propice à l’émergence de variants résistants rendant impossible l’immunité collective

La quête de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, pourrait être remise en question à cause d’un phénomène propre aux virus mutants et adaptables : l’échappatoire immunitaire.

Le SRAS-Cov2 semble bénéficier de cette caractéristique d’adaptation aux réponses immunitaires des organismes infectés. Cela nécessite une réévaluation urgente des stratégies de santé publique. Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS Cov2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste suite :

  • aux premières expositions aux virus antérieurs (naturels)
  • à la vaccination de masse

La dynamique de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, dans les régions où ces variants sont apparus semble même exercer une pression considérable sur l’écosystème viral, facilitant ainsi l’émergence de variants à transmissibilité accrue et résistants à l’immunité naturelle et vaccinale. La vaccination de masse contre le SRAS-Cov2 pourrait induire une sélection virale et être même à l’origine de l’échappatoire immunitaire rendant ainsi impossible l’obtention d’une immunité collective.

Il faut ABANDONNER les stratégies de la PEUR, les confinements et CIBLER les mesures.

Selon le Conseil scientifique Covid-19 français, il est grand temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, les confinements généralisés et aléatoires comme principales réponses à la pandémie.

Il faut arrêter de compter sur la patience des citoyens qui attendent que les capacités en réanimation/soins intensifs soient renforcées, que la vaccination soit complète et que l’immunité collective soit atteinte.

Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles et les mouvements de protestation de plus en nombreux dans plusieurs pays.

L’impact de l’isolement général sur des économies entières a été dévastateur, et les niveaux de chômage et d’endettement national sont encore pires. Les conséquences sociales et sanitaires (physiques et psychiques) sont colossales, en particulier pour les jeunes générations qui pourtant présentent peu de facteurs de risques et chez qui la Covid-19 a très peu sévi.

Les gouvernements doivent appliquer des mesures beaucoup plus ciblées et adaptées aux différentes catégories de la population. En effet, toutes les générations n’ont pas été touchées de la même façon : entre mars et juin 2020, 96% des patients étaient âgés de plus de 70 ans.

Il n’est plus possible d’utiliser l’isolement général en mode stop & go comme principale réponse à la pandémie de Covid-19. Considérée séduisante par de nombreux scientifiques et dirigeants politiques, qui en font une mesure par défaut craignant de voir leur responsabilité légale engagée en cas d’hésitations et réponses tardives, cette solution doit être remise en question et utilisée qu’en tout dernier recours.

Les scientifiques qui travaillent contre le COVID-19 doivent avoir le courage de s’adresser aux dirigeants au pouvoir responsables ultimes des choix politiques et de leurs conséquences. Rester dans le déni aura de très lourdes conséquences. Nous ferons inévitablement les comptes et ils seront alors terribles.

NDLR : A noter que si le Comité scientifique Covid-19 français relève des points d’une importance capitale, déjà signalées par le Pr Raoult, il omet toujours un point crucial : TRAITER au plus vite. Le nerf de la guerre est de soigner et détruire les charges virales au plus tôt. Nous reviendrons plus en détail sur cette essentielle question du traitement.

ARRÊTONS D’AVOIR PEUR, RÉCLAMONS DES MESURES CIBLÉES, DES TRAITEMENTS ADAPTÉS ET REFUSONS LE « TOUT VACCIN » AINSI QUE CONFINEMENTS ET COUVRE-FEU

SOURCE : https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0




La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

[Rappel]

14 mars 2021 :

« Je vous présente ce soir quelque chose d’absolument extraordinaire! Voici 3 données qui confirment ce que nous disons ici depuis un an, à savoir que même le vaccin dit vaccin à ARN messager induit effectivement une réécriture du code génétique dans le but de transformer la cellule en machine à fabriquer des protéines. Démontrer ceci revient à démontrer que le vaccin à ARN messager modifie le patrimoine génétique humain et en fait un Humain Génétiquement Modifié. Et cela sort de la bouche du scientifique en chef de Moderna Therapeutics, un des fournisseurs officiels de vaccins contre le SARS CoV 2. On ne peut faire mieux. » 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/.

Ce soir, je vous présente l’étude qui confirme qu’il peut y avoir transcription inverse sans rétrovirus. La chose que l’on injecte va donc très probablement modifier le génome des receveurs.

Une nouvelle découverte montre que les cellules humaines peuvent écrire des séquences d’ARN dans l’ADN.
Phys-org

Les cellules contiennent des machines qui dupliquent l’ADN dans un nouvel ensemble qui entre dans une cellule nouvellement formée. Cette même classe de machines, appelées polymérases, crée également des messages d’ARN, qui sont comme des notes copiées à partir du référentiel central de recettes d’ADN, afin qu’elles puissent être lues plus efficacement en protéines. Mais on pensait que les polymérases ne fonctionnaient que dans un seul sens de l’ADN en ADN ou ARN. Cela empêche les messages d’ARN d’être réécrits dans le livre de recettes principal de l’ADN génomique.

Maintenant, les chercheurs de l’Université Thomas Jefferson fournissent la première preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN, ce qui remet potentiellement en question le dogme central de la biologie et pourrait avoir de vastes implications affectant de nombreux domaines de la biologie.

« Ce travail ouvre la porte à de nombreuses autres études qui nous aideront à comprendre l’importance d’avoir un mécanisme pour convertir les messages d’ARN en ADN dans nos propres cellules », déclare Richard Pomerantz, Ph.D., professeur agrégé de biochimie et de biologie moléculaire à Université Thomas Jefferson. « La réalité selon laquelle une polymérase humaine peut le faire avec une grande efficacité soulève de nombreuses questions. » Par exemple, cette découverte suggère que les messages d’ARN peuvent être utilisés comme modèles pour réparer ou réécrire l’ADN génomique.

Les travaux ont été publiés le 11 juin dans la revue Science Advances.

En collaboration avec le premier auteur Gurushankar Chandramouly et d’autres collaborateurs, l’équipe du Dr Pomerantz a commencé par étudier une polymérase très inhabituelle, appelée polymérase thêta. Sur les 14 ADN polymérases dans les cellules de mammifères, seuls trois d’entre eux font l’essentiel du travail de duplication de l’ensemble du génome pour préparer la division cellulaire. Les 11 autres sont principalement impliqués dans la détection et la réparation en cas de rupture ou d’erreur dans les brins d’ADN. La polymérase thêta répare l’ADN, mais est très sujette aux erreurs et provoque de nombreuses erreurs ou mutations. Les chercheurs ont donc remarqué que certaines des « mauvaises » qualités de la polymérase thêta étaient celles qu’elle partageait avec une autre machine cellulaire, bien qu’une plus courante dans les virus – la transcriptase inverse. Comme Pol theta, la transcriptase inverse du VIH agit comme une ADN polymérase, mais peut également se lier à l’ARN et relire l’ARN dans un brin d’ADN.

Dans une série d’expériences ingénieuses, les chercheurs ont testé la polymérase thêta contre la transcriptase inverse du VIH, qui est l’une des mieux étudiées en son genre. Ils ont montré que la polymérase thêta était capable de convertir les messages d’ARN en ADN, ce qu’elle faisait aussi bien que la transcriptase inverse du VIH, et qu’elle faisait en fait un meilleur travail que lors de la duplication d’ADN en ADN. La polymérase thêta était plus efficace et introduisait moins d’erreurs lors de l’utilisation d’une matrice d’ARN pour écrire de nouveaux messages d’ADN que lors de la duplication d’ADN en ADN, ce qui suggère que cette fonction pourrait être son objectif principal dans la cellule.

Le groupe a collaboré avec le laboratoire du Dr Xiaojiang S. Chen à l’USC et a utilisé la cristallographie aux rayons X pour définir la structure et a découvert que cette molécule était capable de changer de forme afin de s’adapter à la molécule d’ARN plus volumineuse – un exploit unique parmi les polymérases.

« Notre recherche suggère que la fonction principale de la polymérase thêta est d’agir comme une transcriptase inverse », explique le Dr Pomerantz. « Dans les cellules saines, le but de cette molécule peut être la réparation de l’ADN par l’ARN. Dans les cellules malsaines, telles que les cellules cancéreuses, la polymérase thêta est fortement exprimée et favorise la croissance des cellules cancéreuses et la résistance aux médicaments. Il sera passionnant de mieux comprendre comment L’activité de la polymérase thêta sur l’ARN contribue à la réparation de l’ADN et à la prolifération des cellules cancéreuses. »

https://phys.org/news/2021-06-discovery-human-cells-rna-sequences.html

L’étude

Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair

larn-peut-retranscrire-dans-ladn.-et-ca-change-tout.-science-advances

https://advances.sciencemag.org/content/7/24/eabf1771




Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




France : pourquoi le général Lecointre quitte le commandement des armées

[Source : RFI via yahoo.com]

En fonction depuis quatre ans, le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, va quitter ses fonctions et être remplacé par l’actuel chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Thierry Burkhard, a annoncé dimanche l’Élysée. Une décision dont Emmanuel Macron se serait bien passé à moins d’un an de l’élection présidentielle.

Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre en poste depuis quatre ans, a annoncé ce dimanche matin 13 juin dans l’émission le grand Jury sur RTL qu’il quittait ses fonctions. Il ne souhaitait pas une « politisation de la fonction de chef d’état-major des armées ». Il ne voulait pas partir « à l’issue du mandat » du président Emmanuel Macron, afin de ne pas etre « associé à un politique », a-t-il précisé.

Toujours est-il qu’à quelques mois de la présidentielle, Emmanuel Macron se serait bien passé du départ du général Lecointre. Les deux hommes entretenaient une relation de confiance. C’était sans compter la détermination du chef d’état-major à quitter son poste. Après trente sept ans sous les drapeaux dont quatre années passées au sommet de l’armée française, François Lecointre a laissé entendre qu’il était éprouvé par ses responsabilités.

Dernier assaut à la baïonnette

Issu des troupes de Marine, le général Lecointre est entré dans l’histoire militaire en commandant le dernier assaut à la baïonnette, lors de la prise du pont de Verbania en Bosnie en 1995. À la tête des armées, il a mis en œuvre l’ambitieuse loi de programmation militaire du 14 juillet 2018 et supervisé la complexe opération Barkhane.

Ces dernières semaines encore, il a dû donner de la voix et prononcer « la mise à la retraite d’office » des officiers auteurs d’une tribune polémique.

(…) le général Lecointre veut désormais prendre du champ.




Rémy Daillet et sa famille expulsés de Malaisie

[Source : francesoir.fr]

Par M. Jegathesan – Kuala Lumpur (AFP)

Le Français Rémy Daillet et sa famille ont été expulsés dimanche de Malaisie en direction de la France où le complotiste, soupçonné d’avoir contribué à l’enlèvement de la petite Mia, fait l’objet d’un mandat d’arrêt.

Rémy Daillet, sa compagne Léonie Bardet et ses trois enfants de 17, 9 et 2 ans, ont été arrêtés fin mai sur l’île touristique malaisienne de Langkawi où ils résidaient parce que leurs visas avaient expiré. Une procédure d’extradition dans le cadre de l’affaire de l’enlèvement aurait été beaucoup plus longue qu’une expulsion pour séjour irrégulier.

Rémy Daillet et sa famille se trouvent actuellement en escale à Singapour « où sa compagne, enceinte, a été prise en charge pour un problème de santé », selon une source française proche du dossier.

Ils devaient ensuite prendre un vol pour Paris où ils sont attendus lundi matin.

Mais les autorités attendent maintenant de savoir « s’il pourront poursuivre le voyage jusqu’à Paris ou non ».

Selon une source proche du dossier française, ils n’avaient pas encore été remis aux autorités françaises et n’étaient pas sous escorte policière pendant le vol, contrairement a ce qui avait été indiqué initialement côté malaisien.

Rémy Daillet, 54 ans, a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation tandis que sa compagne enceinte craignait des complications, voire de perdre son enfant si elle prenait l’avion, selon des proches.

Mme Bardet présente « un état de grossesse à risque incompatible avec un transfert en avion », attesté par des experts médicaux, selon son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi, qui a fait appel de la décision d’expulsion.

« Cette expulsion forcée est illégale puisque mise en oeuvre au mépris de l’immigration act » de la loi malaisienne, « au mépris des conventions internationales, au mépris des règles de procédure et surtout au mépris de l’appel », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Si l’expulsion se déroule comme prévu, à l’arrivée de Rémy Daillet sur le sol français, le juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, dans l’est de la France, qui a émis le mandat d’arrêt aura « deux possibilités », a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Nancy, François Pérain.

Il pourra soit « le faire présenter immédiatement à Nancy en vue de sa mise en examen », soit décider de « le faire présenter devant le juge des libertés et de la détention » de Bobigny « pour une incarcération provisoire ». Dans ce cas, M. Daillet devra ensuite être présenté au juge d’instruction « dans un délai de quatre jours », a précisé le procureur.

– Vidéo pour se défendre –
[Ndlr : ses vidéos sont accessibles sur sa chaîne Odysee]

Rémy Daillet, exclu du parti centriste Modem en 2010, est devenu une figure du mouvement complotiste.

Il est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Mia.

La petite fille de 8 ans avait été enlevée mi-avril à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors qu’elle était hébergée chez sa grand-mère dans un village des Vosges.

Sa mère n’avait alors plus le droit de la voir seule, ni de lui parler au téléphone.

Dans une vidéo mise en ligne après l’enlèvement de la fillette, Rémy Daillet avait tenté de se défendre. Sans évoquer nommément Mia, il réfutait le terme d’enlèvement.

Dans d’autres vidéos plus anciennes, il défendait l’idée d’un coup d’État populaire et se disait opposé aux impôts, aux vaccins, aux masques ou à la 5G. Il prônait par ailleurs l’éducation des enfants par leurs parents à la maison.

Dans le cadre de l’affaire Mia, neuf personnes au total, dont la mère de la fillette, proches de la mouvance anti-système et complotiste, ont déjà été mises en examen, et huit d’entre elles ont été placées en détention provisoire.

La justice française s’interroge aussi sur le rôle de Rémy Daillet dans une autre affaire dans le Doubs, celle d’un couple qui vivait en vase clos et s’était retranché à son domicile en novembre, refusant de confier ses quatre enfants aux assistantes sociales comme le demandait un juge.

C’est à son contact qu’ils auraient décidé de déscolariser leurs enfants puis de se couper du monde.




Comment les fanatiques du confinement ont conquis le monde

[Source : Aube Digitale]

par Jeffrey Tucker

Au début de la « pandémie », j’écrivais furieusement des articles sur les confinements. Mon téléphone a sonné avec un appel d’un homme nommé Dr Rajeev Venkayya. Il est à la tête d’une entreprise de vaccins mais s’est présenté comme l’ancien responsable de la politique de lutte contre la « pandémie » pour la Fondation Gates.

Je l’ai écouté.

Je ne le savais pas à l’époque, mais j’ai appris depuis, grâce au livre (pour la plupart terrible) de Michael Lewis, The Premonition, que Venkayya était en fait le père fondateur des confinements. Alors qu’il travaillait pour la Maison-Blanche de George W. Bush en 2005, il a dirigé un groupe d’étude sur le bioterrorisme. Du haut de son influence — au service d’un président apocalyptique — il a été le moteur d’un changement radical de la politique américaine en cas de pandémie.

Il a littéralement ouvert les portes de l’enfer.

C’était il y a 15 ans. À l’époque, j’ai écrit sur les changements dont j’étais témoin, m’inquiétant du fait que les nouvelles directives de la Maison Blanche (jamais votées par le Congrès) permettaient au gouvernement de mettre les Américains en quarantaine tout en fermant leurs écoles, leurs entreprises et leurs églises, le tout au nom de l’endiguement de la maladie.

Je n’ai jamais cru que cela se produirait dans la vraie vie ; il y aurait sûrement une révolte de la population. J’étais loin de me douter que nous allions vivre une folle aventure…

L’homme qui a allumé l’allumette

L’année dernière, Venkayya et moi avons eu une conversation de 30 minutes ; en fait, c’était surtout une dispute. Il était convaincu que le confinement était la seule façon de faire face à un virus. J’ai rétorqué que cela bousculait les droits, détruisait les entreprises et perturbait la santé publique. Il a dit que c’était notre seul choix parce que nous devions attendre un vaccin. J’ai parlé de l’immunité naturelle, qu’il a qualifiée de brutale. Et ainsi de suite.

La question la plus intéressante que je me posais à l’époque était de savoir pourquoi ce gros Bill certifié perdait son temps à essayer de convaincre un pauvre gribouilleur comme moi. Quelle raison pouvait-il y avoir ?

La réponse, je le réalise maintenant, est que de février à avril 2020, j’étais l’une des rares personnes (avec une équipe de chercheurs) qui s’opposait ouvertement et agressivement à ce qui se passait.

Il y avait un soupçon d’insécurité et même de peur dans la voix de Venkayya. Il voyait la chose impressionnante qu’il avait déclenchée dans le monde entier et était impatient d’étouffer toute velléité d’opposition. Il essayait de me faire taire. Lui et d’autres étaient déterminés à écraser toute dissidence.

C’est ainsi que les choses se sont passées pendant la plus grande partie des 15 derniers mois, avec les médias sociaux et YouTube supprimant les vidéos qui contestent le verrouillage. C’est de la censure depuis le début.

Malgré tous les problèmes que pose le livre de Lewis, et il y en a beaucoup, il a bien compris toute cette histoire. Bush est venu voir ses spécialistes du bioterrorisme et a exigé un énorme plan pour faire face à une calamité imaginée. Lorsque Bush a vu le plan conventionnel — faire une évaluation de la menace, distribuer des produits thérapeutiques, travailler à la mise au point d’un vaccin — il était furieux.

« C’est des conneries », a crié le président.

« Nous avons besoin d’un plan pour l’ensemble de la société. Qu’allez-vous faire au sujet des frontières étrangères ? Et des voyages ? Et le commerce ? »

Hé, si le président veut un plan, il aura un plan.

« Nous voulons utiliser tous les instruments de la puissance nationale pour faire face à cette menace », rapporte Venkayya, qui a dit à ses collègues.

« Nous allions inventer la planification en cas de pandémie ».

C’était en octobre 2005, la naissance de l’idée du confinement.

Le Dr Venkayya a commencé à chercher des personnes capables de mettre au point l’équivalent national de l’opération Tempête du désert pour faire face à un nouveau virus. Il n’a trouvé aucun épidémiologiste sérieux pour l’aider. Ils étaient trop intelligents pour y croire. Il finit par tomber sur le véritable innovateur en matière de verrouillage, qui travaille aux laboratoires nationaux Sandia, au Nouveau-Mexique.

Manivelles, ordinateurs et poux

Il s’agit de Robert Glass, un informaticien sans formation médicale et encore moins de connaissances sur les virus. Glass a été inspiré par un projet de foire scientifique sur lequel travaillait sa fille de 14 ans.

Elle avait théorisé (comme le jeu des poux de l’école primaire) que si les écoliers pouvaient s’espacer davantage ou même ne pas être à l’école du tout, ils arrêteraient de se rendre malades. Glass a repris l’idée et a élaboré un modèle de contrôle des maladies basé sur des ordres de rester à la maison, des restrictions de voyage, des fermetures d’entreprises et une séparation humaine forcée.

C’est fou, non ? Personne dans le domaine de la santé publique n’était d’accord avec lui, mais comme tout excentrique classique, cela a convaincu Glass encore plus. Je me suis demandé, « Pourquoi ces épidémiologistes ne l’ont-ils pas compris ? » Ils ne l’ont pas compris parce qu’ils n’avaient pas d’outils axés sur le problème. Ils avaient des outils pour comprendre le mouvement des maladies infectieuses sans chercher à les arrêter.

Génial, non ? Glass s’imaginait être plus intelligent que 100 ans d’expérience en santé publique. Un gars avec un ordinateur sophistiqué allait tout résoudre ! Eh bien, il a réussi à convaincre certaines personnes, y compris une autre personne qui traînait à la Maison Blanche, Carter Mecher, qui est devenu l’apôtre de Glass.

Veuillez considérer la citation suivante du Dr Mecher dans le livre de Lewis : « Si vous preniez tout le monde, que vous les enfermiez chacun dans leur chambre et que vous ne les laissiez parler à personne, vous n’auriez aucune maladie ».

Enfin, un intellectuel a un plan pour abolir la maladie – et la vie humaine telle que nous la connaissons aussi ! Aussi grotesque et terrifiant que cela puisse être — une société entière non seulement en prison mais en isolement — cela résume toute la vision de Mecher sur la maladie. C’est aussi complètement faux.

Les agents pathogènes font partie de notre monde ; ils sont générés par le contact humain. Nous nous les transmettons les uns aux autres au prix de la civilisation, mais nous avons également développé des systèmes immunitaires pour y faire face. C’est de la biologie de troisième, mais Mecher n’en avait aucune idée.
[Ndlr : de plus, ceci vaut surtout dans le cadre de la théorie des germes qui est remise en question par quelques pionniers.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Les fanatiques gagnent la journée

Avancez jusqu’au 12 mars 2020. Qui a exercé une influence majeure sur la décision de fermer les écoles, même si l’on savait à l’époque que le SARS-CoV-2 présentait un risque quasi nul pour les personnes de moins de 20 ans ? Il y avait même des preuves que le COVID-19 ne se propageait pas sérieusement aux adultes.

Cela n’avait pas d’importance. Les modèles de Mecher — développés avec Glass et d’autres — n’ont cessé de débiter une conclusion selon laquelle la fermeture des écoles réduirait la transmission du virus de 80 %. J’ai lu ses mémos de cette période — dont certains ne sont toujours pas publics — et ce que vous observez n’est pas de la science mais du fanatisme idéologique en jeu.

D’après l’horodatage et la longueur des courriels, il est clair qu’il ne dormait pas beaucoup. En fait, il était Lénine à la veille de la révolution bolchevique. Comment est-il parvenu à ses fins ?

Il y avait trois éléments clés : la peur du public, l’assentiment des médias et des experts, et la réalité bien ancrée que la fermeture des écoles faisait partie de la « planification de la pandémie » depuis près de 15 ans. Essentiellement, les pro-confinement, au cours de ces 15 années, ont épuisé l’opposition. Le financement généreux, l’attrition de la sagesse au sein de la santé publique et le fanatisme idéologique ont prévalu.

Comprendre comment nos attentes d’une vie normale ont été si violemment contrecarrées, comment nos vies heureuses ont été brutalement écrasées, occupera les intellectuels sérieux pendant de nombreuses années. Mais au moins, nous avons maintenant une première ébauche de scénario historique.

Comme pour presque toutes les révolutions de l’histoire, une petite minorité de fous animés par une cause l’a emporté sur la rationalité humaine des multitudes. Quand les gens comprendront, les feux de la vengeance brûleront très fort.

Il s’agit maintenant de reconstruire une vie civilisée qui ne soit plus fragile au point de permettre à des fous de détruire tout ce que l’humanité a eu tant de mal à construire.

Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale




Les cloches du Covid

[Source et auteur : Gérard Maudrux]

Les épidémies virales sont en général caractérisées par des courbes d’évolution en cloche, avec le développement, le pic, puis la décroissance. Est-ce que la forme de la cloche permet de juger de l’efficacité d’un traitement ? La réponse est non, par contre le contenu : oui.

Voici 4 cloches épidémiques :

Si je vous dis que la première concerne un pays où rien n’a été fait, la seconde un pays qui a confiné sans traitement, la troisième un pays qui a traité précocement, la quatrième un pays qui a vacciné, vous vous dites que ce n’est pas possible, qu’il y a anguille sous cloche. Et pourtant ce sont bien des courbes réelles, qui permettent au premier de dire que quoi qu’on fasse, le résultat est le même, au second que le confinement marche, au troisième que le traitement précoce marche, au quatrième que c’est le vaccin qui a marché. Comment se faire une opinion avec ces différents sons de cloches ? Il faut savoir que deux cloches identiques n’ont jamais le même son.

Alors qui a tort, qui a raison ? Pour le savoir, il faut regarder ce qu’il y a dedans, car ce n’est pas la forme, mais ce qu’il y a sous la cloche qui est important. Petite démonstration avec deux gros Etats indiens, l’Uttar Pradesh et le Tamil Nadu.

Il y a 3 semaines, on vous montrait les courbes de ces deux Etats, le premier traitant à l’Ivermectine, le second ne traitant pas. Voici ces courbes, éloquentes. Le premier en avait terminé avec l’épidémie, alors que le second était en pleine crise, n’en voyant pas le bout. CQFD, l’ivermectine est le produit miracle qui a mis fin à cette vague, là où on traitait.

Maintenant, le 10 juin, on va vous dire que c’est faux. “Regardez, le Tamil Nadu est en train de régler le problème, sans un gramme d‘ivermectine, ce n’est donc pas l’ivermectine qui a réglé le problème dans l’Uttar Pradesh, car il s’est passé la même chose dans le Tamil Nadu. Vous n’auriez pas donné d’ivermectine au premier, l’évolution aurait été la même”. La preuve ? Voici les courbes mises à jour :

On a bientôt la même courbe pour les deux. Alors ? Déception pour l’ivermectine ? Non, le résultat reste indiscutable, car il ne faut pas regarder la forme de la courbe, qui effectivement avec le temps sera très souvent plus ou moins la même, mais il faut regarder ce qu’il y a dedans, c’est à dire les chiffres. La courbe peut faire illusion, pas les chiffres. Ces courbes doivent s’interpréter en regardant l’intensité, la durée, et rapporter à la population, et quand on compare les décès, tenir compte de l’âge médian et des conditions sanitaires.

Ces deux Etats sont parfaits pour comparer les résultats de politiques différentes. La population est identique, les conditions sanitaires peu éloignées, les populations sont importantes et significatives, 204,2 M pour l’Uttar Pradesh et 67,8 M pour le Tamil Nadu, et l’un a massivement traité, l’autre pas (sinon confinement). Conditions parfaites pour voir ce qui marche.

Superposons les 2 courbes, à échelle temps identique, et regardons les chiffres en les rapportant à population identique (Il s’agit ici du nombre de cas par jour, moyenne sur 7 jours) :

On constate que l’épidémie a commencé exactement en même temps, autour du premier avril. L’épidémie semble s’être développé plus vite dans l’Uttar Pradesh, mais ce n’est pas le cas : elle ne s’est pas développé plus vite (ascension de la courbe), car 3 fois plus peuplé, il est normal que le nombre de cas grimpe 3 fois plus vite. 

Par contre en traitant, le premier a stoppé deux fois plus vite la croissance, les pics étant atteints le 24 avril pour l’Uttar Pradesh, le 21 mai pour le Tamil Nadu. Le premier a également eu 3 fois moins de cas. En effet, les pics sont identiques, autour de 37 000 cas, mais la population du premier étant trois fois plus importante, il aurait dû avoir trois fois plus de cas.

Enfin en ayant démarré tous deux le même jour, l’Uttar Pradesh avait réduit de 95% ses cas journaliers le 30 mai (1 850 cas/jour au lieu de 37 000), alors qu’à la même date, le Tamil Nadu en était à 29 000 cas/ 36 000, soit 12% de réduction. Au 10 juin le premier en est à 98% depuis quelques jours, le second en est à 50%. Au rythme actuel, cela devrait se terminer dernière semaine de juin, soit une évolution naturelle de 3 mois, contre 2 mois, et 3 fois moins de cas avec traitement.

Et si on prend comme échelle nombre de cas/million d’habitants, voici ce que cela donne : même ascension, pic 3 fois inférieur, vague terminée contre 50% encore à parcourir pour le dernier.

Et ce n’est pas tout, après la durée et le nombre de cas, regardons la gravité de l’épidémie, avec les décès : 

Moyenne de 330 décès/jour au pic pour l’Uttar Pradesh, contre 480 décès/jour, soit 4,4 fois plus de décès à population égale au Tamil Nadu. Ce chiffre n’est pas anodin, et il était prévisible. Il est en effet très logique et cohérent puisque toutes les méta analyses depuis des mois montrent que l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité. Ce qui est montré dans les études portant sur près de 20 000 cas, se vérifie sur une population de 272 millions d’habitants, 4 fois la France. Rappelez-vous la conclusion d’Andrew Hill dans son rapport pour l’OMS : mortalité réduite de 83%.

Petit exercice comparatif pour terminer, entre l’Inde, qui a traité (pas partout toutefois), et la France, qui a choisi l’option tout vaccins et confinement. Prenons comme un point de départ identique au 1er janvier, date des premiers vaccins. A cette date il y avait en France 195 nouveaux cas/jour par million d’habitants. A cette date l’Inde n’avait pas d’épidémie, 12 cas/jour par million. Faisons démarrer la comparaison avec une vague au même stade, j’ai positionné l’Inde avec 195 cas/jour avec la France à 195 cas/jour. C’est le point de départ des courbes, épidémie d’importance identique, l’un traite, l’autre pas. Au 20-25 février, l’Inde avait fini, nous nous montions encore (comme le Tamil Nadu).

Vous me direz, oui, mais l’Inde ne déclare pas tout. Je répondrai, d’une part qu’en comparant deux Etats indiens, le problème ne se pose pas, et d’autre part que c’est sans importance pour suivre l’évolution et comparer, si les conditions de recueil des données ne changent pas. Si c’est sous-estimé dans les mêmes proportions au départ, au pic, et à la fin, la courbe est la même. Démonstration : doublons les cas en Inde. On arrive à un pic égal en nombre de cas à la France, mais le résultat du traitement reste le même. En effet, si vous réduisez de 95% les cas avec le traitement, que ce soit sur 1 000, 10 000 ou 100 000 cas, 95% resteront toujours 95%, et la proportion de 4 fois moins de morts restera toujours la même, même s’il y a deux fois plus de morts.

Conclusion : que l’on compare l’Uttar Pradesh (ou un autre Etat qui a traité comme Goa ou Dehli) avec un autre Etat indien qui n’a pas traité, ou avec un autre pays, sous ivermectine + macrolide, l’épidémie cède le pas deux fois plus vite, avec quatre fois moins de morts. Ces chiffres, constatés grandeur nature, sont identiques à ceux des études publiées, les faits démontrant que les critiques de ces études sont mal fondées.

P.S : pour répondre à une demande fréquente, où trouve t-on ces courbes :

Voici mes sources pour les obtenir rapidement et simplement, sans avoir à retenir l’adresse d’un site. Allez sur Google et tapez « chiffres Covid ». Vous avez un onglet pour choisir « cas » ou « décès », et un autre pour faire défiler les pays, même des très petits. En faisant aller le curseur latéralement, vous avez tous les chiffres, jour par jour, avec la moyenne sur 7 jours, ce qui évite les creux de WE. Si vous sélectionnez un grand pays comme l’Inde ou le Brésil, vous avez un onglet pour faire défiler les Etats ou régions.

Pour avoir la superposition de pays, je vais sur ourworldindata : 
https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=2021-01-01 
(si vous avez des barres au lieu de courbes, cliquez sur la date du jour en bas à droite).
À gauche sélectionnez ou supprimez des pays, en haut choisissez cas, décès, vaccins, etc.
Les sources sont Johns Hopkins University, référence depuis le début de l’épidémie.




Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL(([1] N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies)) m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs(([2] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès
Mondialisation.ca, 30 mai 2021 
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051))(([3] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 
https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176))

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid, mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable
de cette médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020.
Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record.(([4] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html))

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale(([5] https://coronavstats.co.uk/)) britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration.(([6] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays))

Rappelons(([7] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html)) qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine





La destruction de la destruction en marche

Par Lucien Samir Oulahbib

Mélenchon, LR, le RN, les éléphants dem [démocrates] aux USA, les Verts de tous les pays, tous, sont les bras armés ou les complices de la destruction l’implosion de ce qui est foncièrement humain tout en préservant la façade : à l’instar de ces rénovations qui maintiennent debout le devant et installent leur verroterie derrière façon labos de choc dans lesquels mijotent les essais de ces nouveaux produits à fabriquer (nous).

Bien sûr, « Méluch » essaye, pour masquer sa complicité, de nous rejouer la scène des années 30 avec lui comme « rempart » contre le RN, unique frontière qu’il se permet de défendre alors qu’il pousse au métissage, obligatoire, à fond (y compris bientôt avec l’hybridation animale chère au transhumanisme) sauf, cependant et bien sûr, avec ceux qui préfèrent la singularité, la particularité du « souverainisme ». Ceux-ci sont évidemment à bannir ou… à encenser s’ils sont contre Charles Martel, ou s’ils sont membres de sa Secte hygiéniste.

Mais dans l’ensemble tout ce beau monde partage la même hystérie hygiéniste, aidé en ce sens par une Lacombe, un Fauci et un Cohen, vent debout « au nom » de « la » Science contre ceux qui refusent leur mensonge stipulant qu’il n’y aurait pas d’autres traitements que leur médicament ARN ou OGM et qu’au fond l’être humain ne serait qu’une machine comme une autre qu’il est possible de monter et démonter à sa guise ; le tout en gonflant les chiffres (amalgame entre « mort avec » et « mort de ») ou les dégonflant (effets secondaires, morts post injection) [selon la période et l’objectif], en se moquant d’un Raoult et de son histoire de nombre d’accidentés en trottinette (([1] « Concrètement, si vous ramenez les morts chinois infectés par le coronavirus à la taille de la population de 1,6 milliard, il y a probablement plus de gens qui sont tués en trottinette en Chine que par le virus. »)) qui aurait été supérieur à celui de Covid-19 alors qu’il n’avait pas tort s’il s’agit d’authentifier ce chiffre uniquement chez les jeunes, guère touchés par cette maladie, mais que la Secte hygiéniste cherche pourtant elle aussi à marquer [à l’aide du « vaccin » anticovid].

La bascule d’un extrême à l’autre fait qu’à la fin les deux se touchent, hygiénistes de tous bords unissez vous ! D’où l’émergence des similitudes dans leur totalitarisme, avec toujours ce débat en filigrane (byzantin par excellence) : la chambre à gaz est-elle plus horrible que le Goulag par moins 35 °C avec les humiliations, les coups, les v(i)ols à répétition (à Cologne récemment également) ? Le camp de redressement est-il plus liberticide que le dépeçage mental permanent fait par les médias et les enseignants (votant Méluch) cherchant à amalgamer comme dans les années 30 libéralisme et nazisme (leurs ennemis faisant l’inverse : liberté=individualisme anti-altruiste) ?…

Généralement la réponse, ouatée, aura été de dire dans l’ensemble que les deux sont à bannir, mais que le premier volet est bien plus génocidaire, il faudrait donc bien distinguer camp de la mort et camp de travail, insistait Raymond Aron. Cependant, au-delà de ce « débat », il s’avère, d’une part, que l’assassinat à petit feu en camp de travail n’a toujours pas été sanctionné : où est le procès façon Nuremberg du Goulag (et de ses copies contemporaines en Chine post-maoïste actuelle, à Gaza, en Algérie, au Venezuela…) ?…

D’autre part, il s’ensuivit que prétextant de l’existence du premier (le camp de la mort), certains (par exemple Jean-François Lyotard, ce pape du « postmodernisme ») se sont mis à mettre en cause non pas l’hégémonisme germaniste purificateur, mais le seul christianisme occidental blanc et mâle posé comme source de tout le « mal », ce qui donne aujourd’hui cette diatribe « anti-néolibérale » aisée qui permet à tous les extrêmes de se rencontrer, de se mixer, y compris les plus récalcitrants : Onfray était pro Raoult il y a un an et demi, dans un an il n’est pas sûr qu’il ne fasse pas mea-culpa et ne voie pas à nouveau dans Mélenchon une solution sinon salutaire du moins sanitaire face à un Macron micronisé…

Ainsi tous sont d’accord pour marquer les populations avec un médicament inutile et coûteux (n’ayant en plus qu’une autorisation provisoire) et bardé d’effets secondaires de plus en plus nombreux sans compter ceux visibles uniquement sur le long terme (chose que l’on a reprochée à l’hydroxychloroquine pour la marginaliser et de même aujourd’hui pour l’ivermectinealors que leurs effets secondaires sont quasi inexistants et que ces médicaments s’avèrent efficaces s’ils sont pris à temps et combinés [à d’autres substances] (([2] Ndlr : surtout dans le cas de l’hydroxychloroquine qui nécessite l’usage combiné du zinc et d’un antibiotique adéquat tel que l’azithromycine pour avoir un effet plus notable))), sans oublier tout ce qui permet de renforcer naturellement le système immunitaire, les uns demandant seulement que ces variants russes, voire chinois, soient aussi accessibles. C’est bien là le sommet de l’ignorance crasse de la part d’une classe politique et médiatique qui en fait néanmoins une vertu et qui excommunie tous ceux (pourtant spécialistes) qui recommandent plutôt de soigner de façon précoce. Ces derniers demandent aussi, par exemple, de ne pas de surcroît rendre les jeunes coupables d’une maladie qui ne les concernent pas et qu’ils ne transmettent pas — selon les dernières études à disposition qu’un Anthony Fauci connaissait, mais a contribué à enfouir en vain (de même que pour les traitements précoces).

Tous ces destructeurs, réunis en Secte — se chamaillant sur les écrans, s’acoquinant dans les coulisses — vont se retrouver dans les poubelles de l’Histoire (qui — du moins quelqu’un de sensé — peut encore les voir et les entendre sans dégoût ?). Entre-temps, bonjour les dégâts…

Le 13/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe




G7 : photo de famille avec distanciation pas que sociale

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où le chef de la Maison-Blanche, à l’occasion du G7 réuni en Cornouailles, a pour mission d’unir le camp occidental face à la Chine sur le commerce et les nouvelles technologies, il va d’abord devoir recoller les morceaux de ce même camp sorti groggy de l’épreuve du Covid.

En témoigne la menace du Premier ministre britannique de déclencher l’article 16 qui l’autorise à piétiner le protocole nord-irlandais conclu avec l’UE en cas de « graves difficultés économiques, sociales ou environnementales », face aux remontrances de l’UE qui l’accuse de ne pas tenir parole sur ses engagements post Brexit en Irlande du Nord. Le ton est donné.

Alors que la chancelière allemande « préconise de trouver une solution pragmatique aux dispositions du traité » post Brexit sur l’Irlande du Nord, le chef de l’État français se contente de sourire quand on lui parle de possible guerre commerciale en cas de déclenchement de l’article 16. Ambiance…

Notons au passage que ce G7 a pour mission de lancer un vaste plan mondial d’infrastructures pour les pays pauvres et émergents, baptisé « reconstruire le monde en mieux. » Klaus Schwab devrait applaudir des deux mains à cette initiative de la Maison-Blanche qui vise à aider uniquement ces pays à se relever de la crise du Covid, au détriment de toute la classe moyenne occidentale ruinée par la même occasion, et qui ne figure pas au programme, bien évidemment.

Intéressons-nous maintenant à cette photo de famille du G7.

Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’inspire pas la franche rigolade, mais plutôt les prémices d’une cérémonie funèbre qui devrait bientôt avoir lieu.

Comme d’habitude, la position des dirigeants respectant la distanciation sociale du 1 mètre les rend aussi artificiels que ridicules, mais là n’est pas le propos.

Observons plutôt leur attitude un à un, en commençant par la puissance invitante placée au centre.

Parler de puissance n’est en effet pas superflu, tant Boris Johnson a l’air d’un gros éléphanteau mal dégrossi, évoquant plus un chef de rayon de quincaillerie qu’un vrai chef d’État. Son pantalon qui gondole n’arrange rien, pas plus que son air ahuri habituel, de celui qu’on vient de prendre au saut du lit. Il est le seul à avoir les mains dans le dos, qui traduisent manifestement un désœuvrement, en d’autres termes, une distanciation qui n’est pas que sociale vis-à-vis de ses alter ego, Brexit oblige.

Passons à celui qui se tient directement à sa droite, Joe Biden, avec cet innénarable sourire crispé et niais qu’il affiche en permanence. Quand on observe attentivement le bonhomme, on ne peut être que frappé par l’absence de toute expression humaine dans son visage figé comme son corps, et on en vient à se demander inexorablement combien de pièces de Playmobil coexistent en lui. Président « augmenté » selon Schwab ou bien diminué selon Alzheimer, chacun jugera… sur pièces.

À la gauche du chef d’État britannique se tient l’improbable président français. De lui, on a tout dit.

Plus souvent le pire que le meilleur, qu’on cherche encore. Sur cette photo, il est égal à lui-même, droit comme un i, en bon petit soldat qu’il est du Forum de Davos. Son maître à penser n’est pas là, mais on peut être sûr qu’il y pense très fort. Il sait qu’il lui est redevable et qu’en tant que pièce maîtresse de l’échiquier davosien, il se doit de ne pas décevoir son maître sous peine de perdre le grand poste européen qu’on lui a promis dès qu’il aura achevé son programme de destruction de l’économie française.

À côté de Macron se tient l’inoxydable chancelière allemande dans sa pose favorite des mains jointes en triangle que celle-ci a expliqué un jour en affirmant qu’elle ne sait pas quoi faire de ses bras quand elle pose… Comprenne qui pourra, libre à chacun d’interpréter ce geste.

Comme à son habitude, elle est la seule à arborer une veste de couleur criarde dans un univers gris essentiellement masculin. On notera par ailleurs qu’elle est reléguée en bout de rang. Symbole de sa disparition prochaine de la scène politique ?

Derrière Angela Merkel se tient la transparente présidente de la Commission européenne. Sa veste claire se confond avec la couleur du ciel, à l’image de cette femme qui ne laissera pas derrière elle un souvenir inoubliable à son poste. La position de ses mains tente de se rapprocher de celles de sa compatriote, version molle, les mains pendantes. Elle est là juste pour la galerie car sa postion dans l’échiquier politique ne la met pas à égalité avec un chef d’État, l’UE n’en étant pas un, même si elle a la prétention de régenter 27 pays. C’est toute la différence avec l’URSS à laquelle l’UE s’acharne de ressembler avec un certain succès et qui va la conduire au même funeste destin très bientôt pour des raisons assez semblables. Un paléontologue en parlerait mieux que moi.

À la droite d’Ursula Von der Leyen se tient le Premier ministre italien Mario Draghi. On devrait plutôt dire le premier financier italien, tant ce premier sinistre évoque plus les compromissions financières avec la BCE que la politique stricto sensu. On le sent raide et crispé. Il y a de quoi, l’Italie étant dans le collimateur de la Cour allemande de Karlsruhe, pour le déficit vertigineux de 160 % de son PIB. L’Allemagne a encore rappelé récemment, via son ancien ministre des finances, Wolfgang Schäuble, qu’il était encore une fois hors de question de mutualiser les dettes, ceci étant contraire aux traités. Il y a de la bière dans le Chianti entre l’Allemagne et l’Italie. On peut comprendre que Mario Draghi n’ait pas envie de porter le chapeau le jour plus vraiment lointain où l’Allemagne reprendra son sacro-saint Deutsch Mark, prélude à l’effondrement programmé de l’UE.

Passons rapidement au suivant, le Premier ministre japonais. On serait tenté de se demander ce qu’il fait là. C’est du moins l’attitude qu’il laisse supposer. Il n’est dans sa fonction que depuis 9 mois et ça se sent. Précisons juste qu’il s’appelle Yoshihide Suga et qu’il n’a pas démérité de poser au sein de cette galerie de musée Grévin occidental.

À sa droite, se tient raide comme un piquet dans son pantalon trop court, le président du Conseil européen, plus transparent que transparent, à tel point qu’il semble se cacher derrière le président américain. Mais malgré sa relégation à l’arrière de la photo, il le dépasse encore d’une tête et montre à la face du monde son air vide et benêt. Cet eurocrate est tellement insignifiant qu’il n’apparaît même pas quand on tape Charles sur Google, contrairement à De Gaulle, Bronson, Aznavour et sept autres célébrités.

Devant lui se tient la grande erreur de casting de cette assemblée : Justin Trudeau, le Premier ministre canadien. Erreur de casting, car on a vraiment l’impression qu’il s’est trompé de film. Sa barbiche de conquistador, sa tignasse rebelle, sa posture tendue les jambes écartées, les mains devant, prêtes à dégainer, évoquent plus un western spaghetti qu’une réunion au sommet des grands dirigeants de ce monde. Il me fait penser à Johnson, l’un des deux héros du film Helzappopin qui demande au projectionniste de rembobiner et où tout le film repart en arrière…

Si seulement ce G7 était comme ce film pour changer ce casting déplorable de dirigeants qui ne dirigent plus rien, si ce n’est comme des GPS du monde de Davos…




L’immunité post vaccinale ne protège pas la population contre le covid-19. Résultats cliniques avérés au 11 juin 2021

Par G Delépine, chirurgien et statisticien

Depuis que la population réalise peu à peu que l’épidémie a quitté la France, la demande vaccinale stagne, inquiétant les marchands de vaccins. Leurs représentants prétendent maintenant qu’il faudrait vacciner les enfants et atteindre un taux de couverture vaccinale de 70 % pour créer une immunité de groupe susceptible de protéger les aînés.

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La vaccination anticovid des enfants ne peut leur apporter aucun bénéfice

Nous avons largement rappelé que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne transmettent pas cette maladie, ni aux autres enfants ni aux adultes.(([1] Nicole Delepine – l’ouverture des écoles est sans danger : les enfants ne transmettent pas le covid19 Economie matin 23/04/2020 http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine))(([2] « Non, les enfants ne transmettent pas le SARS-CoV-2 » https://www.nexus.fr/actualite/analyse/enfants-covid-19-gerard-delepine/))

Une vaccination expérimentale(([3] C’est le cas des pseudo vaccins covid actuels dont les essais ne seront pas terminés avant 2023)) « pour protéger les autres » est contraire aux règles éthiques de l’Association Médicale Mondiale(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) et au serment d’Hippocrate.

Le comité national d’éthique a critiqué la décision « précipitée » du gouvernement d’élargir la vaccination aux enfants et adolescents alors que l’épidémie est en décrue et s’interroge : « est-il éthique de faire porter aux mineurs la responsabilité, en termes de bénéfice collectif, du refus de la vaccination d’une partie de la population adulte ? »

« un consentement libre et éclairé est nécessaire pour vacciner, a rappelé le Comité consultatif national d’éthique dans un avis paru une semaine après l’annonce par Emmanuel Macron de démarrer la vaccination des plus jeunes.

L’immunité de groupe post vaccinale ne paraît pas exister avec les vaccins covid actuels

Les résultats actuels des pays qui ont atteint une couverture vaccinale de plus de 70 % montrent que l’immunité de groupe créée par les pseudos vaccins actuels n’est pas capable d’empêcher la transmission du covid19.

Quelques exemples de pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 %

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Ainsi 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020, alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4302) et celui des morts par 19 (atteignant 95), mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Une évolution post vaccinale comparable a été observée sur l’Île de Man

Les Émirats Arabes Unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale de 80 % chez les adultes.

Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Le Bahreïn est un émirat d’à peu près 1 million d’habitants. La campagne de vaccination a commencé le 7 décembre 2020 alors que le pays comptait 87 929 cas confirmés et 341 morts. Au 8 juin 2021, un total de 1 838 561 doses vaccinales a été injecté assurant une couverture vaccinale globale de près de 60 % et dépassant les 80 % chez les adultes.

Ainsi, depuis la vaccination les nombres de nouveaux cas et de décès ont considérablement augmenté avec un total de 253 819 cas et 1161 décès recensés au 10/6/2021 (le triple d’avant vaccination). 6 mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations quotidiennes reste beaucoup plus élevé qu’avant la vaccination.

Dans tous ces pays, une couverture vaccinale élevée se révèle donc incapable de prévenir l’extension de la maladie

Les « victoires » à la Pyrrhus d’Israël et de la Grande-Bretagne

Ces deux pays sont partout cités comme exemples de l’efficacité de la vaccination par les médias et leurs gouvernements qui ne parlent jamais des hécatombes post vaccinales précoces qui ont suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS.

Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

Israël

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne israélienne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Durant le mois de novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas, soit onze fois plus) et février (134 000 cas, soit 7 fois plus) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

La vaccination a aussi été suivie par une forte augmentation de la mortalité attribuée au Covid. En décembre 2020, le pays avait recensé 453 morts attribuées au Covid, mais en janvier ce chiffre mensuel a bondi à 1359 et en février à 965, établissant ainsi les records mensuels de mortalité covid depuis le début de l’épidémie.

Cet accroissement de la mortalité attribuée au Covid se traduit par une augmentation de la mortalité globale.

Les mois de janvier et février 2021 ont été ceux avec les taux de mortalité globale, toutes causes confondues, les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années.(([5] Gilad Atzmon – Rapport catastrophique sur la vaccination en Israël 23 mai 2021 – La Lumière du monde)) Le Comité populaire israélien constate que

« dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité globale a été la plus spectaculaire. Dans ce groupe d’âge, on constate une augmentation de 32 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente ».

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie, Israël comptait 366 000 cas confirmés et 3053 morts attribuées au covid. Les six mois suivant la vaccination ont vu ces chiffres plus que doubler avec 473 000 cas et 3373 morts de plus. La victoire proclamée par les responsables de la vaccination et les médias ressemble donc pour l’instant à une victoire à la Pyrrhus.(([6] Pyrrhus, roi d’Épire combattait les Romains avec une armée plus nombreuse et des éléphants. Il accumula les victoires à Héraclée puis à Ausculum, mais en perdant à chaque fois plus de soldats que les Romains. Et à la fin, ses troupes épuisées furent vaincues.))

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination.

La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont eux aussi établi les records de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Le faible taux de contamination actuel dont se flattent les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace, car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés, comme dans les pays très peu vaccinés. De plus, malgré son taux record de vaccinés une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée en Grande-Bretagne depuis trois semaines.

Les avocats de la vaccination prétendent que ces augmentations post vaccinales ne seraient pas dues à la vaccination, mais seulement à des coïncidences malencontreuses de flambée épidémique. Mais comment des poussées épidémiques dues au hasard surviendraient juste après la vaccination dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Le faible taux de mortalité actuel semble lié à la fin spontanée de la vague épidémique en Europe, mais aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risque. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février n’étaient plus à risque en mars, avril et mai. On ne peut pas mourir deux fois !

Un autre argument des pro vaccins est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais les exemples des Émirats Arabes Unis, des Seychelles et du Bahreïn montrent que même cinq mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

L’analyse des faits avérés publiés par l’OMS montre qu’une couverture vaccinale élevée ne protège pas la population de l’épidémie.

Cette incapacité des pseudo vaccins actuels à prévenir les transmissions virales a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Véran devant le Conseil d’État

Proposer la vaccination des enfants pour protéger les adultes est donc totalement illogique. Rappelons son caractère non éthique et dangereux en plus d’être inutile.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Inutile et à risques pour les enfants, elle ne protégerait pas les adultes, car l’immunité de groupe ne paraît pas pouvoir être atteinte avec les vaccins covid actuels, même avec des taux de couverture vaccinale dépassant les 70 %

On ne peut qu’exhorter nos dirigeants à suivre les conseils de Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS(([8] https://atlantico.fr/article/pépite/covid-19—tedros-adhanom-ghebreyesus-le-directeur-general-de-l-oms-appelle-a-renoncer-a-vacciner-les-enfants-pour-donner-les-doses-aux-pays-defavorises-covax)):

« renoncez à vacciner les enfants et les adolescents contre le Covid-19 et donnez les doses ainsi libérées au système Covax »





Pierre Jovanovic : Mes nouvelles accusations contre Bill Gates

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Après un retentissent entretien « J’accuse Bill Gates », vu par plus de 700 000 téléspectateurs, le journaliste et lanceur d’alerte, Pierre Jovanovic, avance de nouvelles accusations contre William Henry Gates III, dit Bill Gates. Et derrière le portrait idyllique construit par la presse progressiste se profile les visages de Melinda Gates, Leon Black et Epstein. Embourbé dans les révélations scabreuses et les attitudes inappropriées, lâché par une partie des médias américains, le milliardaire informaticien va-t-il tomber de son piédestal ? Si tel est le cas, Pierre Jovanovic aura réussi, par son obstination et son travail, à établir la vérité sur celui que Le Monde présentait comme un « philanthrope » désintéressé, à la tête d’une fondation sans histoire.

[À partir de la 4e minute :]




Entre Macron et sa baffe, où est la vraie violence ?

[Source : Le Media Pour Tous]

MACRON : L’ULTRA BAFFE ?

Vincent Lapierre réagit à la tarte à Tain qu’a dégustée Macron.




L’environnement urbain moderne cache un lourd secret qui explique sa laideur

[Source : entelekheia.fr]

[Photo : Une école à Washington conçue par l’architecte post-moderne Michael Graves]

Traduction : Corinne Autey-Roussel


Par James Howard Kunstler
Paru sur The American Conservative sous le titre The Heart Of The Matter


Il y a quelques années, j’ai lancé mes explorations du paysage américain dans le supplément dominical du New York Times, qui était à l’époque un organe sain et digne du discours public, avec un article dont le titre provisoire était « Pourquoi l’Amérique est-elle si moche, [bip] ? » C’était sur la banlieue, et tous ses accessoires et meubles nauséeux. En fin de compte, c’était trop pour eux, c’est-à-dire pour leur comité éditorial poussiéreux, et ils ont rejeté le projet, que j’ai rapidement transformé en proposition de livre et vendu à Simon & Schuster pour une somme bien plus importante que les taux minables payés à contrecœur (et toujours avec des mois de retard, après beaucoup de relances) par le NYT. C’est devenu un livre à succès intitulé The Geography of Nowhere (La Géographie de nulle part). Ok, bien pour moi.

McDonalds par Robert Venturi et Denise Scott Brown, Lake Buena Vista, Floride.

Mais cette question fondamentale — pourquoi l’Amérique est-elle si laide, [bip] — s’est avérée très difficile à comprendre. Il fallait dépasser la laideur superficielle du derby de démolition national pour atteindre le cœur de la question. Mes premières recherches m’ont amené dans l’orbite de postmodernistes célèbres tels que Robert Venturi et sa femme/partenaire en architecture, Denise Scott-Brown, qui avaient eux-mêmes publié dans les années 1970 un livre universitaire-pop intitulé Learning From Las Vegas (Apprenons de Las Vegas), un endroit qu’ils trouvaient charmant, principalement pour des raisons ironiques. Grosse erreur d’aller les voir. En fait, l’interview dans leur salle de conférence de Philadelphie a été un désastre, qui a culminé avec Mme Scott-Brown me criant : « Si l’Amérique est trop désordonnée pour vous, déménagez en Suisse ! » (Bruit de porte qui claque…)

Siège de Robert Venturi pour Knoll, 1984

J’ai pris d’autres mauvais virages dans mes recherches (Michael Graves, Peter Eisenman) mais je suis finalement tombé sur de l’or pur avec les New Urbanists, qui, par un coup de chance, venaient juste de se regrouper cette année-là (1993) dans une confrérie officielle appelée « Congress for the New Urbanism » (« Congrès pour le nouvel urbanisme ») dotée d’un grand élan réformiste. Ils avaient analysé la crise du développement des banlieues en long, en large, en travers et sur la tranche. Ils savaient exactement ce qui n’allait pas dans l’habitat humain de m…  que nous avons réussi à répandre dans le paysage, d’une côte à l’autre, jusqu’aux ratios des bordures des carrefours à six voies et aux fenêtres ridicules du ranch surélevé archétypal, avec ses volets en plastique.

Un « ranch surélevé » typique. S’il présente cette configuration incongrue, c’est sans aucune nécessité, uniquement pour avoir l’air imposant.

Ma rencontre avec ces personnes des N.U. — Andres Duany, Lizz Plater-Zyberk, Peter Calthorpe, Stefanos Polyzoides, Peter Katz, Dan Solomon, Vincent Scully, et bien d’autres — m’a poussé à terminer le livre que je devais à Simon & Schuster. Mais leurs connaissances techniques étaient loin d’expliquer la profonde déchéance spirituelle induite par notre mode de vie. Ces lieux donnaient aux gens un sentiment de malaise, de désespoir, de perte de liens, d’anomie paralysante. Finalement, ai-je découvert, il fallait trouver l’explication à tout cela dans la physique.

Ce n’est pas seulement que notre monde quotidien est mal conçu. Il possède une qualité démoniaque qui ne peut être expliquée que par les principes fondamentaux de l’univers : sa laideur immersive, jusqu’aux éléments vivants, respirants, gazeux, délaminants et oxydants de sa composition, équivaut à une expression visible de l’entropie.

[Voir : La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

C’est une violation flagrante de l’ordre fondamental de l’univers. C’est pour ça que les gens la trouvent repoussante. Si l’art humain consiste à imprégner le monde matériel d’un sens palpable de vitalité, de vie, alors la dernière chose à faire est de le saturer avec la force de la nature qui conduit à l’anéantissement, ce qui est exactement la définition de l’entropie — ce n’est pas quelque chose avec quoi il faille s’amuser. Le fiasco des banlieues ne se caractérise pas seulement par l’absence d’art, et de la grâce que son application apporte à la sensibilité humaine, mais plutôt par un anti-art satanique, une inversion qui cherche agressivement à vaincre tout ce qui, dans l’esprit humain, nous rapproche de la résonance avec notre nature, en particulier le lien avec nos semblables. D’où le cri de deuil commun sur la perte du sens de la communauté, ce qui était à peu près la seule façon pour les citoyens ordinaires d’exprimer leur détresse, en plus de reconnaître la laideur évidente des autoroutes et la monotonie étouffante des lotissements urbains.

[Voir : Effets de l’art moderne]

Les Nouveaux urbanistes ont fait un effort pour changer ce voyage dans les ténèbres, mais le modèle de construction de tout ce qui est nouveau en Amérique est tellement verrouillé [tout comme en France, NdT] par des réglementations et des habitudes mentales tragiquement mauvaises que leur lutte a été sisyphéenne. Même aujourd’hui, le besoin démoniaque de parachever l’œuvre de destruction persiste. Il est également tragiquement ironique que la fin de tout cela semble s’accompagner de la fin de la nation elle-même telle que nous l’avons connue, avec la bataille colossale actuelle entre les partisans de la liberté et les commissaires de la coercition.

Dans l’ombre du COVID-19, une nouvelle disposition des choses lutte pour naître. Comme toute chose dans cet univers de déséquilibre dynamique, le système passe d’un état à l’autre, cherchant toujours à retrouver l’équilibre. Pour l’instant, il semble n’y avoir que le flux du désordre autour de nous, la confusion partout : dans le travail, la politique, le business, le sexe, l’art. Nous dépasserons cette période d’assujettissement aux forces démoniaques, parce qu’il y a une force bénéfique égale qui nous tire vers le haut. À mesure du déploiement de son action, nous nous entourerons de plus en plus de bâtiments et de meubles qui exprimeront notre gratitude d’être de ce monde. N’abandonnez pas. Ne désespérez pas.





Audit électoral aux États-Unis : dénouement en vue ?

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sidney Powell interviewée au rassemblement des patriotes à Dallas, Texas pour le Memorial Day WEGateway pundit]

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir

Une majorité d’Américains commence à s’impatienter : si, comme un faisceau de preuves le démontre, Biden est un président qui n’a pas été élu par le peuple, il est donc illégitime et doit être destitué. La procédure est sans précédent, mais comme l’a affirmé publiquement l’avocate fédérale Sidney Powell au cours du rassemblement organisé fin mai par les patriotes à Dallas, Texas, « c’est la première fois qu’une fraude aussi abjecte a été perpétrée dans notre pays. Trump devrait simplement être réinstallé en fixant une nouvelle journée d’inauguration. » 

L’audit électoral du comté de Maricopa complété à 80%

Dans notre dernier article, nous avons montré le tableau récapitulatif des fraudes potentielles établi par l’ex-conseiller au commerce Peter Navarro pour les six États clés qui devrait consacrer la victoire de Trump dans chacun de ces États, du moment que des audits judiciaires complètes sont conduites. Trump a de fait été élu démocratiquement, avec une large majorité des grands électeurs, et pratiquement 80 millions d’électeurs. La vérité se rapproche, puisque les résultats de la première phase de l’audit en Arizona, à savoir la vérification et le recomptage des bulletins de vote du comté de Maricopa devraient être annoncés le 14 juin. L’acharnement médiatique et légale, doublé de menaces et tentatives de coercition de tous ordres n’ont pas réussi à faire stopper les actions en cours. Beaucoup de volontaires, habitants du comté, patriotes et citoyens – parmi eux des démocrates – contribuent à l’opération, aujourd’hui complétée à 80% : soit en venant physiquement à Phoenix – rappelons qu’il y a plus de deux millions de bulletins à contrôler – pour aider à scanner les bulletins de votes ou à titre de simples observateurs, soit en participant au financement de l’audit.  

La sécurité des élections en question

Aux États-Unis, les élections rythment la vie politique tous les deux ans, que ce soit pour élire les sénateurs, les représentants au Congrès, les gouverneurs des États et bien sûr le Président. Cet audit a le mérite de rappeler à des millions d’Américains qu’élus démocrates comme républicains ont alerté publiquement et à plusieurs reprises ces dernières années sur le manque de sécurité des machines de vote, les risques avérés de piratage localement et via Internet et l’impact sur les résultats. Ron Widen, sénateur démocrate de l’Oregon, a déclaré devant la commission du Sénat sur la sécurité des élections : « ces machines de vote ont des accès illicites permettant de les pirater facilement », Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota : « il n’y a que trois entreprises qui contrôlent ces machines, et elles sont faciles à pirater », la plus révélatrice étant l’intervention de Kamala Harris devant le Sénat le 12 juin 2018 alors qu’elle était sénatrice de Californie : « nous avons organisé une démonstration ici au Capitole pour nos collègues, avec des gens qui ont piraté devant nos yeux les machines de vote ». Certains élus ont aussi dénoncé les contrats non conformes passés par les États avec ces fabricants privés (Dominion, Smartmatic) qui interdisent aux fonctionnaires responsables de l’organisation des élections l’accès au code informatique et donc le contrôle factuel des résultats. En montrant aux citoyens que ces critiques répétées n’ont pas été adressées, les audits en cours et à venir poussent à une remise à plat complète du système électoral prenant en compte les risques associées à la cyber -écurité, et aboutiront peut-être au retour du bulletin papier et à la présentation d’une pièce d’identité pour restaurer la confiance. 

Les preuves absolues des cyber-attaques

Après les révélations exposées dans ses documentaires « Absolute Interference » et « Absolute Proof » visionnés à ce jour par plus de 150 millions de personnes dans le monde, Mike Lindell a fait réaliser une analyse systématique de 20 cyberattaques conduites dans cinq États-clés – sur un total de près de 3000 attaques commises durant l’élection. Cet entrepreneur passionné et son équipe d’avocats ont atteint un tel point de certitude quant aux preuves et évidences de ces cyber-attaques perpétrées par des hackers en provenance de Chine, qu’ils poursuivent Dominion et Smartmatic en justice pour un montant de plus de 2 milliards de dollards, pour conspiration contre lui, son entreprise et avoir rendu possible ces fraudes. Son dernier documentaire montre l’analyse détaillée des manipulations de données par des experts travaillant pour les agences de renseignement gouvernementales de ces 20 attaques en provenance de Chine et qui retournent les résultats dans cinq États clés au profit de Trump. Il a fait réaliser cette validation par une équipe de cyber-experts : ceux-ci ont analysé les pcaps ou packet capture ayant transité sur les réseaux informatiques le jour de l’élection et durant les deux jours qui ont suivi. Ces interfaces de programmation, inviolables et codées en dur au fur et à mesure des mouvements, enregistrées en temps réel, permettent de capturer les données brutes du trafic réseau. Ce qui fait dire à l’un des experts : « ces preuves sont irréfutables et au-delà de toute considération partisane, comparables à un enregistrement vidéo en temps réel de malfaiteurs en train de braquer une banque. » Curieusement, Mike Lindell qui pendant des semaines, a été moqué et attaqué avec violence par les médias mainstream, reçoit à nouveau des appels de journalistes de CNN et MSNBC : à temps pour pouvoir retourner leur veste le moment venu ? 

L’effet domino se poursuit

Seth Keshel, analyste du renseignement militaire, attend avec impatience les résultats de l’audit en Arizona. Pour effectuer ses calculs, cet expert examine l’historique des résultats des élections présidentielles en fonction de l’évolution du nombre d’électeurs des deux principaux partis dans les différents comtés. Le comté de Maricopa inclut pratiquement les deux tiers des votes de l’État, a toujours voté pour le candidat républicain, et ce depuis 1948. L’audit devrait expliquer d’où viennent ces voix attribuées à Joe Biden dans un des États les plus républicains du pays. Un audit qui, selon S. Keshel, devrait entrainer la dé-certification des votes de l’Arizona – un précédent, et booster les mêmes démarches dans ces États où les résultats sont inexplicables face aux tendances de l’électorat et aux courbes d’évolution statistiques, comme la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan. Comme annoncé, l’audit en Arizona attire d’autres élus ou candidats d’États dans lesquels les élections sont remises en question depuis l’annonce des résultats début novembre. Une délégation de législateurs républicains de Pennsylvanie s’est rendue à Phoenix le 2 juin pour faire le tour du site de l’audit et ont été favorablement impressionnés par les actions menées sur place, notamment l’analyse des ruptures dans les chaines de contrôle durant les élections. Plusieurs d’entre eux, les sénateurs Cris Dush et Doug Mastriano, le membre du Congrès Rob Kauffman vont dans le sens des électeurs et se sont officiellement déclarés favorables à la conduite d’un audit similaire dans leur État.

 Vernon Jones, lors de l’annonce de sa candidature pour le poste de gouverneur de Géorgie, a demandé formellement un audit judiciaire des élections. Il vient de se rendre lui aussi en Arizona cette semaine : il déclare être inspiré par la transparence, la qualité de l’audit et des procédures et déclaré qu’il faut faire la même chose en Géorgie. L’ancien commissaire de police Bernie Kerik est formel : dans le comté de Fulton qui inclut la capitale Atlanta, les élections ont été volées, le secrétaire d’État Brad Raffensperger a annoncé la certification des votes alors qu’il manquait 17 400 bulletins. Des assignations à comparaître ont été délivrées par le juge et des dépositions de témoins sont en cours… la pression monte pour démarrer cet audit. L’avocate Sidney Powell ainsi qu’une poignée de patriotes ont décidé de poursuivre la vérité quoiqu’il en coute. Elle a compris dès le mois de novembre la faillite des institutions censées faire appliquer la loi. Constatant que ces fonctionnaires du FBI, du DHS, du DOJ supposés assurer la transparence des élections, responsables de l’État de droit et de protéger la Constitution américaine ont failli à leurs devoirs, elle confirme la montagne d’évidences qui prouvent le vol des élections. Il ne s’agit pas de Donald Trump, il s’agit de la République américaine et de restaurer son fonctionnement démocratique. Si comme les signes le montrent et malgré les obstacles, la vérité éclate enfin, l’Amérique et We The People auront donné une leçon de démocratie au reste du monde libre.

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Pass sanitaire, ou comment s’asseoir sur l’éthique

[Source : Contrepoints]

Par Patrick de Casanove

Le pass sanitaire est une atteinte aux droits naturels.

Le gouvernement a fini par réussir à imposer le pass sanitaire. En transformant le  passeport vaccinal en pass sanitaire, moins fermé, il tient formellement parole sur  la non-obligation vaccinale. Pour cela il intègre d’emblée la guérison naturelle de l’infection et la possibilité d’un test négatif.

Grâce à cela, il court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le pass implique, et il essaie d’éviter de braquer ceux qui ne veulent pas être vaccinés.

Pour la vaccination, il agira par d’autres voies. En créant un seuil à partir duquel le pass sera obligatoire, il ne serre pas trop le nœud coulant pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.

Si les Français avaient compris le passeport vaccinal comme non éthique, cela aurait suffi pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, les argumentations contre le dispositif tournaient donc essentiellement autour de questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques, comme la possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner.

Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiques et logistiques, alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.

Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un pass sanitaire qui ne l’est pas non plus.

LE PASS EST LIBERTICIDE

L’argument pour le pass consiste à dire qu’il autorise un « retour à la vie normale ». Il repose sur l’émotionnel. Une vie de soumission ne saurait être normale. Le pass est présenté comme une libération bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition ni manipulation.

Affirmer que les gens seront libres avec le pass, ou qu’il permettra leur libération est une perversion des mots qui perdent leur sens.

Affirmer que les individus seront libres avec le pass sanitaire, mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que par conséquent ce refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.

Imposer le pass sanitaire au nom d’une prétendue libération est immoral. Un droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti-Covid, au motif que d’autres vaccins sont obligatoires pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.

Le pass sanitaire n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec la liberté. Cet ersatz est tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières ni de la distanciation sociale, ces fameuses jauges.

Le pass sanitaire ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.

LA LIBERTÉ EST UN PRINCIPE

La liberté n’a pas de contrepartie. Elle est un principe, qui plus est fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit énonce :

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Il ne faut pas reculer sur la liberté. Elle implique la responsabilité individuelle,  nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric BastiatLa Loi (1848). Détruire la liberté détruit l’Homme.

LE PASS PORTE ATTEINTE À L’ÉCHANGE

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société – Frédéric Bastiat, Échange (1850)

L’échange est un droit naturel comme la propriété.[…] priver [ tout citoyen] de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs […] c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice – Frédéric Bastiat – Association pour la liberté des échanges (1846)

Le pass est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.

LE PASS EST DISCRIMINATOIRE

L’étatisme parque les gens dans des cases. En attendant mieux, ou pire… il crée deux catégories de citoyens. Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, tout l’appareil étatique est mobilisé. Mais il ordonne la discrimination.

Même l’ONU est mobilisée contre la discrimination en attendant un ausweis mondial qui est bien parti.

Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau, mais la discrimination par la Covid est désormais légale aujourd’hui dès l’instant où mille personnes peuvent se rassembler.

Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.

SON OBJECTIF EST LE CONTRÔLE DES POPULATIONS

La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un ausweis est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteuses d’autres maladies infectieuses mais elles sont privées de ces libertés si elles ne peuvent pas prouver qu’elles n’ont pas la Covid. Il s’agit bien de politique.

Pour l’État, l’important n’est pas le contrôle de la Covid. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.

L’Europe a été son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un pass sanitaire sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. Une fois de plus l’Europe trahit ainsi ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes, ce qui confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.

Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.

Le pass sanitaire, peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict. Il existe des risques que ce pass finisse par ne pas concerner uniquement la Covid.

Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement citoyen des individus, écoresponsables comme il se doit, le comportement des entreprises citoyennes, elles aussi écoresponsables et solidaires, le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.

C’est la porte ouverte au crédit social. Si les Français ne peuvent plus se rendre en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois : les Chinois ne se mêlent pas de politique, ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruines.

Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du pass. Il suffit de constater que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le pass sanitaire : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.

À côté du pass lui-même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son  passeport vert mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.

Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression et celle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non-respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! » 

C’est le nec plus ultra du totalitarisme.

Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce pass ou un équivalent sans directive étatique. Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.

LA CAPTATION D’INFORMATIONS

Israël a montré le chemin. Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire par essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?

La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.

OUVRIR LES YEUX

Nous avons vu que le pass est une atteinte aux droits naturels qui s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’une petite atteinte. Le niveau de résilience ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la spoliation légale que l’État leur inflige.

Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un droit naturel est grave. Toute atteinte à un droit naturel les détruit tous.

Les droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La liberté c’est l’Homme. Détruire ses droits naturels c’est nier son humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le christianisme avaient fait de l’individu une personne, c’est fini.

S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins, sont morts abandonnés. Leurs proches ont été privés des rites funéraires propres à l’Homme à cause de réglementations étatiques délibérées.

En ce sens la crise créée par les politiques est un bouleversement extrêmement profond, social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales.

Cela traduit bien un changement absolu de notre société, dans ses fondations, ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à son fonctionnement harmonieux. C’est un changement civilisationnel.




Automatiquement, le coronacircus allume la mèche qui va faire exploser Babylone

Par Alain Nicolaï

Huit articles sur la crise sanitaire




Une vidéo explosive et inédite montre Peter Daszak décrivant des « collègues chinois » développant des coronavirus « tueurs »

[Source : Actu Intel]

Le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui a collaboré avec le Wuhan Institute of Virology dans le cadre de recherches financées par le National Institute of Allergy and Infectious Disease du Dr Anthony Fauci, semble se vanter de la manipulation de coronavirus « tueurs » de type SRAS effectuée par ses « collègues chinois » dans un clip découvert par The National Pulse.

NDLR : quelqu’un a dit « gain de fonction » ?

Par NATALIE WINTERS

Source : The National Pulse

Daszak a fait cet aveu lors d’un forum de 2016 consacré aux « maladies infectieuses émergentes et à la prochaine pandémie », ce qui semble être en contradiction avec le refus répété de Fauci de financer la recherche sur les gains de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan.

Tout en décrivant comment son organisation séquence les virus mortels, Daszak décrit le processus d’ »insertion de protéines en pointe » dans les virus pour voir si elles peuvent « se lier aux cellules humaines » comme étant effectué par ses « collègues en Chine » :

« Ensuite, lorsque vous obtenez une séquence d’un virus, et qu’elle ressemble à un parent d’un pathogène méchant connu, comme nous l’avons fait avec le SRAS. Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauves-souris, toute une série, dont certains ressemblaient beaucoup au SRAS. On a donc séquencé la protéine spike, celle qui s’attache aux cellules. Puis nous… Ce n’est pas moi qui ai fait ce travail, mais mes collègues en Chine. Vous créez des pseudo particules, vous insérez les protéines spike de ces virus, vous voyez si elles se fixent aux cellules humaines. À chaque étape, on se rapproche de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène pour l’homme. »

« On se retrouve avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs », ajoute-t-il.

Ces commentaires font suite à des preuves de plus en plus nombreuses que le NIAID de Fauci a des liens financiers et personnels profonds avec l’Institut de virologie de Wuhan – et que l’alliance EcoHealth de Daszak était l’un des principaux mandataires qui acheminaient l’argent vers le laboratoire du Parti communiste chinois.

Plus d’une douzaine de documents de recherche réalisés dans le cadre d’une subvention de 3,7 millions de dollars de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) mentionnent Shi Zhengli, directeur du Centre des maladies infectieuses émergentes du laboratoire de Wuhan, comme coauteur aux côtés de Daszak. Shi a inclus ces subventions soutenues par Fauci dans son CV.

Le laboratoire de Wuhan a également mentionné les National Institutes of Health (NIH) comme l’un de ses « partenaires », mais a secrètement effacé cette mention en mars 2021 (NDLR : on vous avait traduit l’article ici).




Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

[Illustration :  Le sénat français et ses trois auteurs du pire texte liberticide jamais écrit :
Véronique Guillotin (Radicale),
René-Paul Savary (LR),
Christine Lavarde (LR)]


[Ndlr : Il s’agirait d’un texte élaboré par des sénateurs membres de la délégation sénatoriale à la prospective, « chargée de réfléchir aux transformations de la société et de l’économie en vue d’informer le Sénat« . Ses travaux n’ont pas de valeur législative et le rapport en question ne serait donc pas un projet de loi qui aurait été adopté. (Voir ici). Cependant, qu’est-ce qui empêcherait un gouvernement de s’en inspirer pour établir ensuite de nouvelles lois ?]






Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.




Les expériences sur les enfants de moins de 12 ans se poursuivent sans accroc…

Par Alain Tortosa

La firme allemande BioNTech (dont les produits sont commercialisés par Pfizer) a massivement testé ses injections expérimentales d’ARNm en Israël avant de les poursuivre pour partie en Pologne pour les enfants…

Nostalgie quand tu nous tiens…

Les premières expérimentations de la thérapie génique à ARN Messager ont débuté en mars sur les enfants de moins de 12 ans.

Pourquoi « vacciner » les enfants ?

Pfizer(([1] https://www.pfizer.com/science/coronavirus/vaccine/additional-population-studies)) répond sans se cacher à la question :

« Les enfants doivent-ils être vaccinés pour que le monde atteigne l’immunité collective contre le SRAS-CoV-2 ? »

« Les enfants de moins de 15 ans représentent 26 % de la population mondiale. Nous pensons que la vaccination réussie des enfants contribuera à la protection contre le COVID-19 si le vaccin s’avère efficace dans cette population. »

Pfizer confirme qu’il n’y a strictement aucun bénéfice pour les enfants.

L’idée est qu’elle pourrait participer au mythe de l’immunité vaccinale de masse contre le Sars-Cov2.

Bref l’unique raison est mathématique(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210101-vaccination-sacrifice.pdf)) comme je l’avais déjà écrit il y a plus de 5 mois.

Rapport bénéfice vs risque

USA Today le confirme en indiquant que :

« Les enfants sont moins susceptibles que les adultes d’avoir un cas grave de COVID-19, donc les sociétés pharmaceutiques essaient de minimiser les effets secondaires des “vaccins” tout en maximisant les avantages ».

Plusieurs points de cette phrase sont très intéressants :

  • « essaient de minimiser les effets secondaires des vaccins. » Cela confirme qu’il y a bien des effets secondaires y compris pour des enfants (et d’autant plus pour une thérapie totalement expérimentale).

Et

  • « tout en maximisant les avantages » Alors que les avantages pour les enfants sont nuls.

Il est donc officiellement reconnu que le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour les enfants ne peut qu’être défavorable, car le bénéfice est nul.

Nous sommes ainsi dans le même cadre que les « bébés médicament »…

Quelle sécurité, quel objectif ?

Il a été décidé (par une dictature mondiale) que tous les enfants de la planète seraient donc utilisés pour uniquement protéger des vieux riches occidentaux en fin de vie.

  • Je ne parlerai pas du fait qu’il existe des traitements efficaces préventifs et curatifs contre le Covid.
  • Je ne parlerai pas du fait que rien ne prouve que la vaccination permettrait d’éradiquer ce virus et d’autant plus que ces « vaccins » n’éliminent pas la propagation du virus. Nous en avons la preuve du fait de vaccinés contaminés même après leurs 2 doses.
  • Je ne parlerai pas des effets secondaires graves et des décès, qui même s’ils sont minimisés ou même parfois niés par nos autorités sanitaires, existent pour des adultes en bonne santé.
  • Je ne parlerai pas des risques à long terme qui sont totalement inconnus comme les risques de maladies auto-immunes ou de cancers.

Durée de l’étude sur les enfants cobayes :

Les données officielles(([3] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04816643?term=NCT04816643&draw=2&rank=1)) de cette étude de phase 1 sur les enfants indiquent qu’elle a débuté fin mars 2021 (de cette année donc).

Que la fin d’intervention, c’est-à-dire le moment à partir duquel Pfizer BioNTech ne sera plus actif, mais uniquement dans l’observation est fixé au 4 mars 2022 soit environ un an plus tard !

Que la fin de cette phase 1 est fixée au 1er septembre 2023 soit deux ans et demi après les premières injections sur de jeunes enfants.

Quand ces injections expérimentales seront autorisées en masse pour les enfants de moins de 12 ans ?

UsaToday(([4] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/)) indique :

« Si ces essais prouvent l’innocuité et la réponse immunitaire, les entreprises prévoient de demander l’autorisation fédérale en septembre ou octobre (2021) pour fournir le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans, et un peu plus tard à l’automne pour les plus jeunes.» (c’est-à-dire dès 6 mois).

Les injections pour les enfants devraient donc probablement débuter en septembre 2021 soit 6 mois après les tout premiers essais chez les moins de 12 ans et donc 2 ans avant la fin de l’étude !

Qui sont les participants ?

« Ces essais incluront 4 500 volontaires dans les trois groupes d’âge aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne. Les organisateurs des essais s’efforcent d’assurer une diversité de participants aux essais, a déclaré la société. »(([5] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/))

« Un enfant recevra un placebo pour deux qui reçoivent le vaccin actif. Les enfants qui reçoivent le placebo auront la possibilité de recevoir les injections actives si le vaccin est autorisé dans les six mois suivant leur participation. »

Notez un point important, la commercialisation est prévue 6 mois après le début de l’essai qui dure 2 ans et demi.

Mais ceux qui ont reçu le placebo pourront donc demander le vaccin actif dès la commercialisation.

Il est plus que probable que les « allumés » ou les « désespérés » qui ont fait de leurs enfants des cobayes vont demander à les injecter dès que possible.

De fait il ne sera plus possible de comparer les effets à long terme des vaccins vs placebo.

… De l’art de faire disparaître les preuves du crime !

(À noter qu’il y avait la même disposition pour les adultes.)

Karine Lacombe et la « vaccination » des enfants

Le docteur Lacombe, plus présente dans les médias qu’avec ses patients, a déclaré hier 9 juin 2021 sur FranceInfo que la vaccination des enfants n’était qu’un « geste altruiste », confirmant que les enfants n’ont rien à y gagner médicalement parlant.

Mais qu’ils auraient « un bénéfice à la vaccination » !

Si, si, car grâce à la « vaccination » des enfants, l’épidémie disparaîtra (on peut rêver) et ainsi les mesures coercitives et dictatoriales (elle n’a pas utilisé ce terme) à leur encontre seront levées.

Nous sommes toujours dans le chantage à la liberté pour « convaincre ».

Elle a aussi été en capacité de noter qu’il y avait le problème du consentement qui n’était pas possible pour des enfants et que les parents devraient prendre la décision à leur place (à quand des procès à l’encontre de leurs parents, d’enfants devenus majeurs et ayant des séquelles graves ?).

Et de conclure avec sa logique « qu’il fallait vacciner les enfants ».

Je profite de ma tribune pour rappeler que Mme Lacombe a encore « oublié » d’énumérer ses conflits d’intérêts alors que la loi le lui oblige et que le « journaliste » qui lui a encore déroulé le tapis rouge, a aussi « oublié » de le lui rappeler.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de vous rapporter ses propos sur l’hydroxychloroquine.

Selon elle, il ne doit pas y avoir de débats scientifiques sur la molécule.

En discuter relève de la désinformation et de la fakenews !

Il n’y a aucun doute sur le fait que la molécule est inefficace et dangereuse comme le prouvent toutes les études (financées par les labos, mais pas les autres ?).

Il devrait de fait être interdit de communiquer sur ladite molécule pour ne pas tromper les Français.

Je vous rappelle que cette brave dame est quand même rémunérée notamment par Gilead et qu’elle a fait la promotion du Remdesivir, dès le début de la crise, tout en crachant sur l’hydroxychloroquine. Remdesivir dont l’inefficacité et la dangerosité ne sont plus à prouver.

Elle demeure pourtant toujours invitée comme intervenante respectable, compétente et intègre !

Fauci

Pendant ce temps et à quelques jours d’intervalle, la chaîne Fox News(([6] https://twitter.com/CuendetV/status/1401832873515225090)) (Accessible par 87,2 millions de ménages américains, elle est la chaîne d’information câblée la plus regardée aux États-Unis devant ses concurrentes CNN et MSNBC)(([7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Fox_News_Channel)) honnie comme il se doit par les médias corrompus français fait la part belle au scandale des mails du Dr Fauci qui a fait de son mieux pour faire disparaître l’hydroxychloroquine.

Le Dr Fauci est celui qui a transformé le Covid en fléau, obligé les masques, empêché l’HCQ, etc., etc. Les informations sortent suite à une fuite de plusieurs milliers de mails dont le Dr Fauci ne semble pas remettre en question leur véracité.

Il a de plus été confirmé sur la chaîne Fox News que la molécule était extrêmement efficace et qu’elle aurait pu sauver la vie de 450 000 personnes !

Bref un scandale international comme nous en avons rarement vu.

À noter que cet homme, d’une grande modestie, aurait déclaré(([8] https://news-24.fr/le-dr-fauci-appelle-a-pousser-son-licenciement-absurde-et-fait-rage-lorsque-vous-lattaquez-vous-attaquez-la-science/)):

« Donc, si vous essayez de m’attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous attaquez vraiment non seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science. »

Le scandale prend de l’ampleur(([9] https://www.youtube.com/watch?v=C1RHyr6U9MY)) sauf en France où l’AFP dit aux médias ce qu’ils doivent en penser et en dire pour continuer à manipuler massivement nos concitoyens sidérés(([10] https://www.leprogres.fr/sante/2021/06/07/masques-hydroxychloroquine-ce-que-contiennent-les-mails-du-scientifique-americain-anthony-fauci))

Bref, j’attends avec impatience que justice se fasse.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a déclaré quant à lui(([11] https://crowdbunker.com/post/mRbjlFD3a2Q7u)):

« La vaccination de masse crée les variants et est une énorme erreur scientifique et une faute médicale…
C’est effectivement la vaccination qui a créé les variants…
Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination…
Je refuse d’être vacciné, je dis aux 200 000 généralistes, comportez-vous en médecins et pas en moutons. »

Nous vivons une époque dans laquelle la parole d’un animateur de l’émission « TPMP » sur C8 est plus crédible qu’un prix Nobel. L’animateur est applaudi tandis que le prix Nobel est ridiculisé…

Indifférences face à la vaccination des enfants

À part nous, qui sommes qualifiés d’irresponsables ou de complotistes, tout le monde politique, médiatique, scientifique ou médical a l’air de trouver que la vaccination des enfants est un non-événement et une évidence.

Nous nous apprêtons à injecter à des centaines de millions d’enfants des produits 100 % expérimentaux dont nous ignorons tout pour un bénéfice reconnu NUL !

Nous savons donc qu’ils vont tuer des enfants pour rien (même si c’est évidemment toujours pour rien), mais ce que l’on ignore c’est dans quelle proportion et dans quel délai !

Ces enfants ne sont que des cobayes, des sujets d’expérimentation, une manne financière… ou pire…

Nous vivons sur une planète où il n’y a plus la moindre éthique, plus aucun sens du bien ou du mal.

Plus aucune référence aux horreurs du passé et aux crimes contre l’humanité.

Au fait, savez-vous que 1er septembre, la date de fin de l’étude sur les enfants, est la date anniversaire de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes ?(([12] https://www.herodote.net/1er_septembre_1939-evenement-19390901.php))

Avec la manipulation, le chantage et peut-être la vaccination obligatoire, adultes et enfants sont désormais les victimes d’une expérimentation humaine à une échelle jamais connue sans l’accord des personnes concernées !

Et quand nous verrons que l’épidémie ne disparaît pas malgré la vaccination massive, les « scientifiques » et « médias corrompus » accuseront les variants.

Il sera alors demandé de proposer une 3e puis une 4e dose de vaccins…

Jusqu’à quand le peuple suivra-t-il aveuglément ?

Sans doute jusqu’à ce qu’un drame se produise…

Merci.

Alain Tortosa

Le 10 juin 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210610-vaccination-enfants-cobayes.pdf





Profs, parents, élèves, unissez-vous !

Par Karen Brandin

Tribune publiée initialement sur France Soir le 07/06/21 PAR Karen BRANDIN, enseignante

En écrivant en novembre 2018 « Les maths en soins palliatifs, » (3) j’étais loin d’imaginer que cet emprunt ponctuel de vocabulaire à la stricte sphère médicale deviendrait deux ans plus tard notre quotidien.

Tous les maux de la société semblent en effet désormais repensés au travers du prisme de ce champ lexical si frappant, si inquiétant, parfois si fascinant. On parle : « métastases, cancérisation, embolie administrative, phagocytose, hémorragie cognitive, symptômes bien sûr » comme une piqûre de rappel incessante d’un danger insaisissable, mais qui rôde.

Mais aussi sans doute, parce qu’il ne faudrait pas être tentés d’oublier que la nouvelle obsession est sanitaire. Comme le déclarait de manière quasi prophétique dans le journal le Monde en 2017 Antoinette Rouvroy :

« On ne cherche plus à comprendre l’environnement, on cherche à le prédire. Notre rapport au savoir change, mais aussi notre rapport au monde (…) Voir et comprendre sont supplantés par détecter et prévenir. »

Je n’avais pas imaginé une seconde non plus que l’éducation serait « mise à distance, » qu’elle deviendrait une variable d’ajustement comme une autre. Que l’école, ce lieu de vie, ce lieu d’échanges et de rencontres où l’on fait ses premières armes avec la contradiction, le débat, où l’on apprend à mettre des mots sur les maux, serait présentée ou plutôt décrétée « haut lieu de contamination » avant que les autorités dites compétentes se ravisent… un an plus tard. Trop tard.

Je n’aurais jamais pu imaginer qu’il faudrait en fermer les grilles, avant d’en dépeupler les classes en instaurant cet étrange concept de demi-jauges, pas plus absurde ma foi que les vacances apprenantes ou les plages dynamiques. Alphonse Allais disait :

« Une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites. »

On a passé les bornes.

Pourtant des médecins de renom comme mon amie la pédiatre-oncologue Nicole Delépine (voir notamment 4) et son mari le chirurgien Gérard Delépine n’ont eu de cesse de nous alerter, de nous rassurer aussi sur ces enfants prétendus « bombe virale » en faisant pour nous, en temps réel, l’exégèse de la littérature scientifique internationale, mais nous n’avons su ni écouter, ni lire ; un comble pour des enseignants, tout entier à notre sidération.

Une sidération qui n’explique et n’excuse pas tout.

Si durant une année, chacun d’entre nous, avec ou sans casserole, a été projeté ou s’est parfois reconnu dans la peau d’un visiteur médical au chevet d’un hôpital public à bout de souffle, le moment est peut-être venu d’entrer dans une autre chambre, celle de l’Éducation Nationale parce que le pronostic vital y est tout autant engagé.

Les tests PISA nous ont renseignés sur l’intensité de la douleur sur une échelle de 0 à 10, mais à vrai dire, on n’avait pas besoin d’un diagnostic aussi artificiel pour savoir que l’école râle, qu’elle étouffe aussi. Qu’elle est tout simplement en train de perdre son âme et que l’on finira par y régresser, en espérant que cette inquiétude lancinante ne soit pas déjà une réalité.

Il y aura une conséquence directe, concrète de cette année d’éducation dégradée, disloquée puisque le bac (ou plutôt ce qu’il en reste, un hommage pour le moins inattendu à Napoléon pourtant célébré cette année) sera plus que jamais une formalité.

L’épreuve de philosophie que l’on présente pudiquement comme « réaménagée » et ce Grand Oral improvisé viendront d’ici quelques jours clore cette mascarade.

Espérons que cette liberté de parole si précieuse et désormais si rare que m’offre le statut de l’enseignement hors contrat soit un encouragement à témoigner pour tous les enseignants (puisqu’ils existent forcément) qui ont souffert durant ces mois interminables d’être privés de leurs élèves, de leurs rires, de leurs moues sceptiques ou provocatrices ; parfois clairement réprobatrices.

Privés de cette complicité tout simplement qui est au cœur de l’enseignement, qui en fait son intérêt et sa force.

Privés enfin de cette énergie vitale, des confrontations d’idées, des défis et des remises en question que suppose toute pédagogie.

Que la parole se libère pour ceux qui ont parfois été stigmatisés, traités d’excentriques, voire d’irresponsables lorsqu’ils se sont opposés aux cours « à distance » comme on ose dire puisqu’il faut bien comprendre que « non, » on ne fait pas cours à distance !

Ces profs aussi qui se sont inquiétés de l’obligation du port du masque, malheureusement presque toujours en silence, et qui ont souffert de ne pas reconnaître 4 ou 5 mois après la rentrée, leurs élèves aux grilles du lycée parce que ces visages tronqués, défiant les lois de l’anatomie, ils avaient fini par les reconstituer à leur idée, involontairement, pour combler un manque, un vide. Et puis, parce qu’un jour un masque a glissé, ils sont restés surpris devant ces traits enfin dévoilés, révélés, devant ces visages familiers et pourtant étrangers finalement, puisqu’on les avait imaginés autrement. Il restait la voix bien sûr et encore, elle aussi était étouffée comme les regards étaient trop souvent embués derrière les lunettes.

Qu’enfin s’engouffrent dans la brèche de cette tribune, tous les membres du corps enseignant qui souffrent cette fois depuis des années, puisque la chute du niveau scolaire en l’espace de dix ans est dramatique, de ne plus avoir le temps ou la possibilité de transmettre, mais seulement celui d’imposer toujours plus vite, toujours plus mal. Ce faisant, c’est bien la démocratie qui est menacée.

Les séances de cours deviennent des séances de gavage avec des horaires réduits à la portion congrue dans lesquels il faut faire tenir coûte que coûte des programmes aux ambitions démesurées. C’est alors que tout se perd, rien ne se crée ni ne se transforme sinon en un vernis de connaissances qui s’écaille au bout de quelques semaines, voire quelques jours. L’intelligence reste naturelle, mais le savoir cruellement artificiel.

Définitivement dans l’enseignement, il faudra se souvenir que « l’humain est la règle absolue et le numérique l’exception. » Que l’IA aura toujours quelque chose à nous envier : l’imperfection. Car finalement c’est le doute, le défaut, le temps « mort » et pourtant si vivant qui marquent, rendent inoubliable et créent du lien.

Cet enseignement hybride, chimère instable, aura achevé de nous convaincre que l’innovation n’est pas toujours un progrès.

Dans le même temps, un autre danger nous guette, plus insidieux encore. Celui, à force d’avoir été séparés par des écrans et autres protections, de percevoir la proximité avec l’autre, qu’il soit élève ou patient, comme une agression après nous avoir martelé durant des mois qu’il était un danger.

À un an des élections, un an perdu pour l’enseignement à n’en pas douter, le temps n’est plus aux chuchotements ou aux murmures, car « qui ne dit mot consent ».

Le consentement justement, parlons-en…

À l’heure sombre où l’on projette de vacciner les adolescents, on le veut plus que jamais « libre et éclairé » et même si l’école ne peut pas tout, elle a ce devoir impératif de rendre ces jeunes libres de leurs décisions et de les éclairer dans leurs choix, en leur présentant de manière loyale et argumentée, les chemins possibles.

« Primum, non nocere. » C’est le cas pour nous aussi, enseignants.

Je ne pourrai pas me prononcer pour l’ensemble des disciplines puisque je ne suis légitime qu’en maths où loin d’être à l’origine d’une miraculeuse rémission, la réforme Blanquer accompagne aussi maladroitement que péniblement l’agonie de cette matière jusqu’à rendre, dans l’indifférence absolue, le faire-part de décès inévitable.

Qui l’eût cru ? Dans un pays où l’on n’en finit pas de se gargariser du nombre de médaillés Fields. Je renvoie donc nos dirigeants, notamment le député Cédric Villani, autrefois un ambassadeur passionnant et passionné, à cette phrase de Wendelin Werner, membre de l’académie des sciences, médaillé Fields 2006 :

« Lorsque l’on me demande à quoi peut servir une éducation mathématique au lycée pour quelqu’un dont le métier ne nécessitera en fait aucune connaissance scientifique, l’une de mes réponses est que la science permet de former un bon citoyen : sa pratique apprend à discerner un raisonnement juste, motivé et construit d’un semblant de raisonnement fallacieux et erroné. »

Je ne peux même pas témoigner pour l’ensemble de l’institution scolaire, mais seulement pour le lycée, les plus grands des élèves donc ; mais il est bien certain que « si toutes ne mourront pas, toutes les matières seront frappées » par cette réforme aberrante, cette réforme qui a fait du lycée une start-up et de l’enseignant, un VRP de sa discipline condamné à séduire un nouveau type de client : l’élève.

Il est désormais urgent, d’instaurer une sorte de « pharmaco-vigilance » de l’enseignement pour faire remonter les premiers effets secondaires, d’ores et déjà inquiétants, de cette réforme.

Concernant la philosophie, on pourra consulter notamment d’Harold Bernat : « Oraison funèbre de la classe de philosophie » (2).

Cette inquiétude qui me conduit à reprendre la plume est nourrie et chaque jour ravivée par les échanges que j’ai avec mes élèves. Je les trouve plus démunis que jamais, fatalistes aussi dans l’acceptation de ne pas comprendre. Seulement enclins à « se souvenir » et par voie de conséquence, à subir.

En leur fournissant une explication ou en exigeant d’eux une justification claire et motivée, on ne les soulage plus ou si peu désormais. C’est une évolution inquiétante contre laquelle nous a pourtant mis en garde Alexis de Tocqueville en nous alertant sur le fait que

« s’il y a des peuples qui se laissent arracher la lumière, il y en a d’autres qui l’étouffent eux-mêmes sous leurs pieds. »

On est à la phase où l’on se laisse arracher la lumière.

On a créé à force de QCM et autres Kwyk, une génération dépendante aux raisonnements courts, à la réponse immédiate, finalement terrifiée par le temps long que suppose la réflexion, le recul ; une génération qu’en revanche les QR-codes n’effraient pas et d’autant plus prompte sans doute à tendre l’autre joue ou… le bras.

Faire cours, ce n’est pas faire court.

Désormais, « prendre le temps de » semble synonyme d’un aveu d’échec qui ne dirait pas son nom ; ils ne cherchent plus jamais, ils veulent trouver quoi qu’il en coûte. C’est la dictature de l’impatience. La lecture des énoncés les afflige, les décourage. Ils se sentent traqués, tentent parfois une esquive en commençant au milieu du texte pour gagner du temps comme s’ils en manquaient, en saisissant des mots-clés avant de reconstruire un énoncé, loin de la réalité souvent, mais qui les rassure, qu’ils reconnaissent.

Comment a-t-on pu en arriver là ?

Et surtout, ces jeunes gens qui sont gênés par un simple énoncé de maths le seront dans un avenir proche tout autant par une notice de médicament à déchiffrer, un article de presse ou un contrat.

Il faut désormais déployer avec les lycéens une énergie folle, doublée d’un caractère atypique qui intrigue pour les retenir, les empêcher de glisser vers cette facilité, cette dépendance presque « sucrée » au réflexe.

« Ces enfants de la déconstruction » (9), il faut reprendre le temps de les armer et de les désarmer tout à la fois. Ce temps, il faut donc le redonner aux enseignants.

On a invoqué le faux alibi de la poisseuse « bienveillance » pour justifier la baisse des exigences quand il s’agissait simplement d’excuser notre paresse à nous, profs. Il faut bien se dire que l’on est en réalité dans la maltraitance puisque consciemment ou pas, on refuse à ces jeunes ce que l’on a reçu : la curiosité, l’envie, et avec elles, l’écriture des premiers chapitres d’un manuel d’autodéfense intellectuelle plus indispensable que jamais pourtant.

On les a privés du droit, du devoir « d’errance » en les inondant de photocopies et de vidéos directement extraites d’internet comme une ode à l’éducation de masse, désespérément homogène quand rien ne saurait pourtant remplacer un cours écrit, un cours unique donc, imparfait sûrement et alors ? Un cours vivant, qui évolue et se transforme.

On les a privés du temps de la recherche et de celui de l’erreur, du temps de se perdre, puis de se retrouver avec comme corollaire, la possibilité de découvrir autre chose autrement pour gagner en autonomie et en maturité. L’enrichissement est à ce prix.

Il a une citation particulièrement inspirante de Bratslav :

« Ne demande jamais ton chemin à celui qui le connaît, tu risquerais de ne pas pouvoir t’égarer. »

Bien entendu, dans l’enseignement, l’errance est sous contrôle, mais elle doit exister ; il ne s’agit pas de laisser l’élève durablement s’essouffler, mais de le convaincre qu’il est en mesure de développer des stratégies pour s’en sortir sans nous, car finalement ces jeunes, qui sortent leurs portables plus vite que leur ombre à la moindre difficulté, au moindre doute, n’ont plus aucune confiance en leur capacité de raisonnement. Ils sont en situation de dépendance. Notre mission est pourtant de les aider à s’émanciper. 

En maths notamment, les chemins pour aboutir à une conclusion sont souvent multiples. Bien entendu, certains nous sont plus familiers parce que l’on a des habitudes, des aptitudes aussi donc il peut arriver que l’on oriente la résolution. Lorsqu’un élève me soumet une méthode moins intuitive pour moi, mais que je l’encourage dans sa voie parce que c’est possible, il fait systématiquement volte-face. Au lieu d’être revalorisé comme cela semblerait naturel, il se sent étrangement pris au piège et souhaite retrouver le confort de la méthode du prof devenu pour un temps, « gourou ». Et quand on propose de développer les deux stratégies, on s’expose à un soupir d’exaspération : « oh, pour quoi faire ? ; une, ça ne suffit pas ? ». Inertie quand tu nous tiens…

Il faut rétablir de manière urgente des devoirs sur table dignes de ce nom que des interros « flash éclair » de 15 minutes ont remplacé. En un quart d’heure, on n’évalue pas un élève de première, on vérifie tout au plus qu’une forme de dressage a bien eu lieu.

Il est impératif de retrouver l’exigence et le goût aussi d’un argumentaire rigoureux pour combattre cette aversion pour le temps long quitte à rappeler que « l’art n’est pas une course. »

Quant aux maths, c’est une aventure (8).

C’est à ce prix que le lycée redeviendra un tremplin vers l’enseignement supérieur, grand absent des débats trop souvent et pourtant durement impacté. On l’imagine en tous cas.

Et ce n’est que le début…

Bien sûr, le naufrage de l’éducation nationale ne date pas d’hier. La crise associée à cette incompréhensible autant qu’injustifiable réforme a simplement précipité la chute. Il est impossible désormais pour un lycéen d’avoir une formation scientifique complète et cohérente puisqu’il n’a accès en terminale qu’à 2 options, deux « spécialités » suivant le prétentieux vocable consacré.

Je ne reviens pas ici sur l’imposture des maths complémentaires dont le programme, très ambitieux comme son nom ne l’indique pas, a bien souvent été tout juste effleuré cette année faute d’adhésion d’élèves dépassés  (ici l’argument sanitaire ne suffit pas à tout expliquer, car les lycées privés sous contrat n’ont été soumis que très tardivement — fin avril — aux contraintes de demi-jauge ; une rupture d’égalité que personne finalement n’a relevée) ni sur celle non moins criante des maths expertes, la seule chance désormais pour les élèves d’aborder le chapitre pourtant fondamental en physique comme en sciences de l’ingénieur des nombres complexes.

Les contenus de ces programmes sont aussi incohérents qu’est aberrante cette épreuve du mois de mars qui contraint les enseignants à parcourir les chapitres estimés essentiels (dont le dénombrement ! par contre, on découvre que l’intégration n’a pas tant d’intérêt…) à marche forcée.

On comprendra plus tard, peut-être… L’heure est encore et toujours au conditionnement.

En première et en réalité, dès la classe de seconde, l’enseignant est désormais tenu, pour éviter que les élèves abandonnent en masse sa discipline l’année suivante, d’appâter le chaland quitte à laisser de côté les chapitres qui fâchent : la trigonométrie, le produit scalaire. On est dans une démarche strictement commerciale, une démarche de séduction, mais comment le reprocher ? L’élève l’a bien compris d’ailleurs. On est à l’ère des concessions sur la rigueur, l’ambition. On brade puisque tout doit disparaître…

Avec la pression de présenter un dossier de qualité (il faudra bien un jour que toute la transparence soit faite sur le principe de sélection de Parcoursup parce que décidément, on comprend mal des résultats toujours plus étonnants ou injustes), il ne choisit pas tant ce qui l’intéresse, mais plutôt des disciplines « rentables. » La physique par exemple, estimée trop difficile, est abandonnée en masse contrairement à ce que l’on entend. Non, nous ne sommes pas dans une filière S qui ne dirait juste plus son nom. Cette affirmation est ridicule ; le niveau d’un terminale S de 2015 et celui d’un élève en spécialité maths en 2021, par exemple, sont incomparables. Les grandes écoles n’auront d’ici peu pas d’autres choix que d’en tenir compte.

Il y a les programmes et la réalité, celle d’élèves de 17 ans, parfois aspirant aux classes préparatoires, qui manipulent encore difficilement les fractions ou les puissances. On récolte la moisson de la méthode globale appliquée aux maths : « je ne comprends pas, mais à la place, je me souviens. » Sauf que la mémoire est faillible et trop souvent mauvaise conseillère.

Où que se porte le regard donc, l’éducation agonise quand pourtant Victor Hugo écrivait :

« celui qui ouvre une porte d’école ferme une prison ».

On parle bien du « corps » enseignant donc plus que jamais, il est urgent que les profs, d’où qu’ils viennent, fassent « corps » justement. Il est urgent de retrouver le cœur et la raison de ce métier.

Karen Brandin

« Pour être efficace, l’enseignement doit se faire au corps à corps, c’est-à-dire en discutant face à face avec quelqu’un, en échangeant des regards, des idées, des arguments, des contre-arguments, et dans cette interaction les pensées de l’un et l’autre évoluent. Penser, c’est constamment interroger ce que l’on pense pour savoir si l’on a raison de le penser. Une pensée qui n’est jamais interrogée devient une croyance. »

Etienne Klein (pour Maddyness  – août 2019)

NB : Étienne Klein précise que ces lignes ont été écrites hors du contexte de la crise sanitaire.


[Note de Nicole : Si on a beaucoup parlé du coronacircus depuis plusieurs mois, les monstrueux dégâts qui ont atteint l’enseignement primaire, secondaire et les facs sont passés inaperçus, achevant la dégradation déjà bien engagée de cette autrefois belle institution. Je remercie Karen de bien vouloir partager ce cri qui je l’espère en appellera d’autres. Car si la santé est importante, il est évident que l’avenir du pays dépend de sa jeunesse et celle-ci de son éducation en particulier. Nous espérons que les professeurs vont se lever et partager leur vécu et leurs espoirs.]


Bibliographie possible :

1— Le fiasco Blanquer (auteur : Saïd BENMOUFFOK paru aux Petits Matins -2021)

2— Oraison funèbre de la classe de philosophie (auteur : Harold BERNAT paru chez Atlantiques déchaînés -2020)

3— http://images.math.cnrs.fr/Lycee-les-maths-en-soins-palliatifs.html (auteur : Karen BRANDIN — 2018)

4— http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine (auteur : Docteur Nicole DELEPINE -2021)

5— La fabrique du crétin digital (auteur : Michel DESMURGET collection Points — 2019)

6— Rebâtir la France par l’éducation et l’éducation et l’enseignement : bac 2021, la catastrophe annoncée (auteur : Christian GERONDEAU paru chez L’artilleur -2020)

7— L’IA peut-elle penser ? (auteur : Hubert KRIVINE chez De Boeck — 2021)

8— Libérez les mathématiques (auteur : Paul LOCKHART collection Champs — 2020)

9— Enfants de la déconstruction : portrait d’une jeunesse en rupture (auteurs : Paul MELIN et Jérémie CORNET, éditions Marie B — 2019)

10— Pour une pédagogie interactive en mathématiques et ailleurs (auteur : Marie MILLIS chez Chronique Sociale — 2020)

11— Requiem pour l’éducation nationale (auteur : Patrice ROMAIN paru au Cherche Midi — 2021)

12— De la démocratie en pandémie (auteur : Barbara STIEGLER, collection Tracts Gallimard 2021)




Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007)

[Source : Sciences et Avenir]

Par Cécile Dumas (23/11/2007)

Tous ceux qui cherchent à comprendre comment la vie a commencé sur Terre, comment elle a émergé de la soupe primitive de molécules organiques, seront sûrement captivés par ces magnifiques clichés, publiés cette semaine dans la revue Science. Pas (seulement) pour leur esthétique mais parce qu’ils signifient que de tous petits fragments d’ADN sont capables de s’assembler pour former des cristaux liquides dans une solution.

Jusqu’à présent, on savait que de larges fragments d’ADN pouvaient s’assembler pour former ces cristaux liquides, plus connus pour équipés nos écrans de montres ou de télévisions. Pour la première fois, une équipe de chercheurs américains et italiens a montré que l’état liquide-cristallin, où se conjugue à la fois des propriétés des solides et des liquides, pouvait être atteint avec de très courts fragments d’ADN.

Dans les écrans, les cristaux liquides sont généralement des molécules allongées, en forme de bâtonnets par exemple, qui sont en mouvement mais peuvent s’aligner dans une même direction en fonction de différents paramètres (température, voltage…). De même, les longues chaînes de molécules d’ADN s’alignent facilement, un peu comme des spaghettis jetés dans une boîte qui vont se ranger parallèlement si on les secoue un peu, explique l’un des auteurs, Noel Clark (University of Colorado at Boulder, USA).

Qu’en est-il des touts petits bouts d’ADN ? Les chercheurs de l’université de Boulder et de l’université de Milan ont découvert que lorsqu’un fragment d’ADN de seulement six bases (ou nucléotides) se liait à un segment complémentaire afin de former petit élément de deux nanomètres de long et de large, il pouvait entrer dans un état liquide-cristallin et se comporter comme un plus long segment.

Ces toutes petites molécules sont donc capables de trouver le bon partenaire puis de s’organiser toutes seules au sein de gouttes. Ces gouttes facilitent ensuite la formation de plus larges molécules, expliquent les chercheurs.

Pour expliquer l’émergence de la vie à partir de la soupe prébiotique, l’ADN et l’ARN sont à l’heure actuelle les deux meilleurs candidats, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients. Les résultats publiés aujourd’hui dans Science apportent un argument de plus en faveur de l’ADN. A suivre.

Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/11/07)




Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON




Au tour du meurtrier Bill Gates !

[Source : NéoSanté Editions (neosante.eu)]

Vous suivez « l’Affaire Fauci » sur les réseaux sociaux ?  Je présume que oui et si ce n’est pas le cas, je vous conseille de le faire car c’est un feuilleton palpitant dont voici une petite vidéo récapitulative. En résumé, la déclassification de ses e-mails professionnels révèle que l’immunologue américain, personnage central de la « crise sanitaire », a copieusement menti  aux autorités de son pays et  a délibérément dissimulé un tas de choses à ses compatriotes, notamment son rôle dans le financement du laboratoire P 4 de Wuhan et de ses périlleuses recherches sur les coronavirus. Nonobstant son implication dans ce scandale, sa correspondance dévoile qu’Anthony Fauci n’a jamais cru à l’utilité antivirale du masque, savait depuis le début que les asymptomatiques ne représentaient aucun danger, était au courant que l’hydroxychloroquine pouvait être repositionnée en traitement prometteur et n’ignorait pas que l’infection procurait une immunité naturelle durable. Dans un échange avec Mark Zuckerberg, patron de Facebook, on apprend que le vaccin était déjà en voie de fabrication dès février 2020 et que son développement était évalué à 6 semaines ! Vu que les 3.000 courriels rendus publics n’ont pas encore été tous dépouillés, on peut s’attendre à d’autres surprises car même les médias mainstream  sont en train de déballer le linge sale, du moins chez l’Oncle Sam car en Europe, ces révélations fracassantes font très peu de remous. Dossier à suivre via les canaux alternatifs comme France Soir ou Sud Radio.
 
L’autre covidingue
 
Quand sa tête roulera sur le billot, le monde entier pourra se réjouir car de par sa fonction de « Monsieur Covid » étasunien, le Dr Fauci aura été une pièce maîtresse dans la construction du narratif plandémiste. Comme en atteste un message émanant de Jean-François Delfraissy, son homologue français, c’est l’Amérique qui donnait le ton et  qui dictait le « consensus  scientifique» sur lequel se sont appuyés les artisans de la terreur hystérique et les partisans du verrouillage économique. Lorsque le domino Tony tombera à Washington, nos experts en mesures liberticides auront aussi du souci à se faire. Mais n’oublions pas un autre personnage-clé du Corona Circus, un autre covidingue amerloque sans qui le délire sanitaire  totalitaire n’aurait jamais pris une dimension planétaire. Je veux évidemment parler du multimilliardaire Bill Gates, opportunément rebaptisé « Kill » Gates par certains médias anglophones indépendants. Personnellement, je ne vois pas cet éternel adolescent bigleux comme un affreux conspirateur eugéniste ayant cyniquement  planifié un génocide vaccinal. Dans sa fameuse conférence Fedex de 2010,  il parle bien de réduire la population  mondiale de 15% grâce aux vaccins mais il voulait dire par là que la réduction de la mortalité infantile allait conduire à une baisse spontanée de la fécondité. Pour autant, le richissime homme d’affaires ne mérite absolument pas l’absolution et le traitement de faveur que les médias – bénéficiant parfois de ses largesses, comme le journal Le Monde – lui réservent invariablement. Lui, un philanthrope désintéressé ? C’est au contraire un assoiffé d’argent et de pouvoir qui a trouvé dans la distribution de dons le moyen de faire fructifier sa fortune et d’amplifier sa capacité d’influence. Dans la revue Néosanté  de juin 2019, nous avons modestement œuvré à rectifier le récit journalistique à l’occasion  de la sortie du livre de Lionel Astruc « L’art de la fausse générosité », consacré aux entourloupes fiscales et aux manigances financières de la galaxie Gates. Lui, un bienfaiteur de l’humanité ? Peu de gens le savent, mais ce mégalomane transhumaniste ne poursuit pas seulement le rêve de vacciner la terre entière et d’en tracer numériquement tous les habitants. Aux States, il a acheté des millions d’hectares agricoles pour y appliquer un agrobusiness-model dopé aux pesticides et aux OGM, ses deux autres domaines d’investissement privilégiés. Tonton Bill n’est pas seulement le boss de la pharmafia, c’est aussi le parrain omnipotent de l’agrochimie  transgénique.  Ce bourreau de la nature déguisé en sauveur du genre humain est également dévoré par l’ambition pathologique de préserver le globe du réchauffement climatique. Comment ?  En finançant des programmes de géo-ingénierie consistant à masquer le soleil  par l’envoi de  millions de tonnes de poussières dans la stratosphère, ainsi que vous pouvez le vérifier en cliquant ici .  Il y a deux mois, la Suède a bloqué  une expérience visant à tester  dans son ciel la faisabilité de ce projet démentiel . Mais ne croyez pas qu’il soit abandonné et que son  faux mécène va renoncer à sa guerre des ténèbres contre l’astre solaire. Ce type est complètement givré  et en attendant la livraison de son méga-yacht à hydrogène (600 millions d’euros, une bagatelle), il va certainement continuer à dériver vers la folie pure et la technoscience dénuée de toute conscience.
 
Kill Gates est bien un sérial killer
 
La saga corona aura au moins permis de mettre sa démence en évidence et à faire surgir l’urgence d’arrêter ses folles entreprises prométhéennes.  Mais comment faire quand  les instances de santé sont sous sa coupe financière , la presse sous son contrôle insidieux et l’oligarchie politique sous son charme pécuniaire   ? Je ne vois qu’une solution : exploiter à fond le dossier des vaccins en exposant le désastre de la vaccination anticovid et  les crimes vaccinaux  que l’ex-mari de Melinda  a sponsorisés dans le passé. Car des casseroles macabres, il y en a aux fesses de cet obsédé sexuel harceleur impénitent de ses employées  et ami du pédophile Jeffrey Epstein. Dans le Tiers-Monde, l’informaticien se prenant pour le médecin du monde a plus d’une fois trucidé l’éthique médicale et financé des expérimentations mortelles sur des peuplades trompées et manipulées. Les journaux occidentaux n’en ont jamais parlé mais le casier médico-judiciaire  du milliardaire est lourdement chargé en Afrique et en Asie. Il a contribué à tuer de nombreuses victimes innocentes lors d’essais cliniques sauvages !  Il y a 15 jours,  un site indien a publié une enquête accablante  sur l’ONG américaine PATH, une des associations pseudo-caritatives que Gates stipendie pour fournir  des cobayes à l’industrie pharmaceutique. Voici une douzaine d’années, cet organisme a procédé à la vaccination expérimentale de jeunes adolescentes indiennes  contre le papillomavirus humain. Plus d’une centaine d’entre elles ont subi de graves secondaires et au moins 7 sont décédées à la suite de cet essai effectué sans leur consentement éclairé.  L’affaire a fait grand bruit en Inde à l’époque, il y a même eu une commission d’enquête parlementaire,  mais le scandale a fini par être étouffé et Bill Gates n’a jamais été inquiété.  C’est toute cette histoire que raconte l’investigation de Bernard Marx  pour Greatgameindia, à laquelle la presse occidentale n’a  – à ma connaissance – pas fait le moindre écho.  Ce silence radio m’a paru insupportable et j’ai demandé à Catherine,  collaboratrice ponctuelle et traductrice bénévole pour Néosanté, de  traduire l’article in extenso. Je vous l’offre en lecture ci-dessous, en espérant que ce petit caillou concoure  à lapider la réputation humaniste d’un cinglé sans scrupules  appelé Bill Gates. Si  ce criminel frapadingue tombe dans la foulée de Fauci, la religion vaccinaliste  aura perdu  son  plus illustre prélat et le cauchemar covidiste approchera de sa fin. On tient bon, ami(e)s complotistes !
 

Yves Rasir

Comment l’ONG PATH, financée par Bill Gates, a tué des jeunes filles tribales en Inde lors d’essais cliniques non autorisés

par Bernard Marx

publié le 25/05/2021 sur https://greatgameindia.com/bill-gates-path-tribal-girls-india/amp/

Voici l’histoire inédite de l’ONG PATH, financée par Bill Gates, qui a tué des jeunes filles tribales en Inde dans le cadre d’essais cliniques non autorisés de vaccins et s’en est tirée à bon compte.
 
Nous avons beaucoup entendu parler de l’Inde aux informations récemment. Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, une sorte d’apocalypse s’y déroule. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective[1]. Alors qu’aujourd’hui les médias du monde entier n’en finissent pas de scruter l’Inde – dans leur empressement à soutenir un récit terrorisant sur le Covid-19 – il y a douze ans ces mêmes médias brillaient par leur absence et leur silence tandis qu’une histoire bien réelle s’y déroulait.

Les essais cliniques non autorisés de vaccins

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a réalisé des essais cliniques[2] non autorisés de vaccins sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Elle l’a fait sans fournir d’informations sur les risques encourus[3], sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même déclarer qu’elle menait un essai clinique.
Après la vaccination, nombre de jeunes participantes sont tombées malades et sept d’entre elles sont mortes. Telles ont été les conclusions[4] d’une commission parlementaire chargée d’enquêter[5] sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves[6] à l’appui de ses dires. Toute cette affaire a à peine effleuré le radar des médias occidentaux.
PATH (anciennement Program for Appropriate Technology in Health) est une ONG basée à Seattle, largement financée[7] par la fondation Gates et qui reçoit également des subventions importantes[8] du gouvernement américain. Entre 1995 et le moment où nous écrivons ces lignes (mai 2021), PATH a reçu plus de 2,5 milliards de dollars[9] de la fondation.
En 2009, PATH a mené un projet[10] de vaccination contre le papillomavirus humain (VPH). L’objectif était, selon les termes de PATH, « de générer et de diffuser des preuves favorisant l’introduction éclairée des vaccins contre le VPH dans le secteur public ». Ce projet a été mis en œuvre dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. Une autre organisation financée par Gates, GAVI, avait initialement été pressentie pour gérer le projet, mais la responsabilité a finalement été déléguée à PATH. Le projet a été directement financé par la fondation Gates.
De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différentes ethnies dans l’essai devait permettre de comparer les effets du vaccin dans une diversité de groupes de population (l’ethnicité étant un facteur déterminant dans la sécurité et l’efficacité de certains médicaments).
Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient être étudiés : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par l’État, cela représenterait une manne annuelle de bénéfices pour les entreprises concernées.
Deux types de vaccins contre le VPH ont été utilisés dans l’essai : le Gardasil de Merck et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil par PATH en Inde.
Il est intéressant de noter ici la relation entre la fondation Gates et l’une des entreprises dont les médicaments étaient testés. En 2002, la fondation avait, de manière controversée, acheté[11] pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, incluant des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de la fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle de propriétaire d’entreprises dans le même secteur.
Le Wall Street Journal a rapporté[12] en août 2009 que la fondation Gates avait vendu ses parts dans Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, à peu près au moment où commençaient les essais sur le terrain du vaccin contre le VPH en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet (déjà opérationnel en octobre 2006[13]), et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la fondation a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative responsable en termes de soins et celui d’un propriétaire d’entreprise responsable en termes de profits.
Ces conflits d’intérêts sont la marque de fabrique de la fondation Gates depuis 2002. Lors de ses apparitions régulières à la télévision en 2020[14] pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 – avec un soutien particulièrement enthousiaste[15] à l’effort de Pfizer-BioNTech – l’objectivité de Bill Gates n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire[16] de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)

Le vaccin contre le VPH vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck aux États-Unis en 2006, mais ses ventes étaient menacées après qu’une série d’articles parus dans des revues médicales américaines eurent jugé que ses risques l’emportaient sur ses avantages.
Une analyse[17] des rapports transmis au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sur les effets indésirables du Gardasil, a été particulièrement préjudiciable. Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) le 19 août 2009.
Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins) et le syndrome de Guillain-Barré.
Dans la même édition du JAMA, le Dr Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Association, écrivait[18] : « La question de savoir si un risque vaut la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seront prêts à accepter les risques. Mais pour une femme, le bénéfice net du vaccin contre le VPH est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Rationnellement elle devrait donc être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. » Le Dr Haug faisait également remarquer que « lorsqu’on évalue les risques et les bénéfices, il convient également de se demander qui prend les risques et qui en retire les bénéfices » – une allusion claire à Merck, le fabricant du Gardasil.

La controverse sur le Gardasil

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil étaient controversées. Le Dr Angela Raffle[19], l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie de marketing de Merck comme « un bélier chargeant sur le ministère de la Santé et un pilonnage à la périphérie ».
Le Dr Raffle craignait que l’incitation à la vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 : « Je crains que la panique instaurée pour des considérations commerciales afin d’introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »
Diane Harper[20], professeur à la faculté de médecine de Dartmouth dans le New Hampshire, qui a dirigé deux essais du vaccin, a affirmé catégoriquement[21] que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de VPH.
Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, Dr Harper a déclaré : « Les programmes de vaccination de masse (constitueraient) une expérience de santé publique à grande échelle… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin sera efficace dans la durée. Pour être honnête, nous n’avons pas actuellement de données sur son efficacité chez les jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela fonctionne ou non. Le pari est énorme ».
Ainsi, à l’époque où PATH menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : sa sécurité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient mises en question, non par les anti-vaccins et les théoriciens du complot, mais par l’establishment médical international et les médias dominants respectés.

Les filles de Khammam

En 2009, le district de Khammam faisait partie de l’état d’Andhra Pradesh, à l’est de l’Inde (depuis les changements de frontières effectués en 2014, le district de Khammam appartient à l’état du Telangana). La région, essentiellement rurale, est considérée[22] comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.
Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, représentant environ 21,5% de sa population (quelque 600 000 personnes) selon certaines estimations. Comme souvent chez les populations indigènes[23] ailleurs dans le monde, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de l’ensemble de la région.  Quelque 14 000 filles[24] ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam en 2009. Les filles recrutées pour le projet de PATH avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille mais dans des ashrams pathshalas (foyers gérés par le gouvernement), situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.
Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré[25] par la suite qu’elle pensait que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car c’était un moyen de « contourner la nécessité de demander le consentement parental pour les injections ».
Si l’Inde a été très présente dans l’actualité ces derniers temps, la couverture de ce pays et de ses affaires est généralement discrète. Bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages sur ce pays sont rares. Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son histoire abyssale en matière de santé et de sécurité[26] ou de sa longue tradition de corruption[27] au sein du gouvernement.
Des chercheurs de profit sans scrupules profitent de ces défaillances depuis des décennies. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop importante pour être ignorée.
En 1984, nous avons appris[28] que quelque 7 000 personnes avaient été tuées et plus d’un demi-million blessées après avoir été exposées[29] à un gaz mortel, l’isocyanate de méthyle, suite à une fuite de gaz[30] dans l’usine de pesticides Union Carbide à Bhopal. Mais au cours des années qui ont précédé la catastrophe, nous n’avons rien su de la culture de normes déficientes et de mépris des réglementations[31] qui était en fin de compte responsable de ce désastre.

Le rapport accablant de l’ONG Sama

Il est donc ‘’normal’’ que le projet de PATH visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre le VPH soit passé inaperçu en Occident. De même qu’en Inde : les médias indiens ne sont pas plus réputés pour leurs reportages sur les groupes tribaux que les médias occidentaux pour leurs reportages sur les Indiens.
Malgré les inquiétudes[32] exprimées en octobre 2009 par Sama[33], une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes, le sujet n’a pas été relayé dans l’actualité indienne.
Ainsi, ce projet n’aurait pas pu être plus ignoré des radars s’il s’était déroulé sur la lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à filtrer à Khammam, indiquant que quelque chose avait terriblement mal tourné : plusieurs des filles qui avaient participé aux essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient mortes.
En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour en savoir plus sur les bruits qui couraient. Ils ont appris[34] que jusqu’à 120 filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour enquêter davantage sur la situation.
L’implication de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face à un barrage de publicité négative, le Conseil indien de la recherche médicale (IMCR) a suspendu[35] le projet PATH. C’est alors que le Commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter[36] sur cette affaire.
Le 17 mai, Sama a produit un rapport[37] accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.
Le rapport indique que « de nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. Des rapports font état de l’apparition précoce des menstruations, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de mal-être suite à la vaccination. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »
Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles ayant participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie tournent lentement. C’est seulement trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport[38] de la Commission permanente de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Si beaucoup s’attendaient à ce que l’affaire soit balayée sous le tapis, il n’en fut rien: la lecture de ce rapport est révoltante.
Le rapport condamne à la fois PATH et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant[39] que « la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés ». La commission a constaté[40] que PATH, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour le faire. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu un certificat du Registre des sociétés de l’Inde en septembre 2009, ce certificat lui-même était en infraction avec la loi.
Le rapport indique[41] que « PATH…. a violé toutes les lois et réglementations établies pour les essais cliniques… son seul objectif a été de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH. Il s’agit d’un grave abus de confiance… car le projet engageait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Cet acte de PATH est une violation flagrante des droits humains de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance d’enfants ».
La commission a accusé[42] PATH de lui avoir menti et d’avoir tenté de l’induire en erreur au cours de son enquête et a recommandé[43] au gouvernement indien de signaler les violations des droits de l’homme commises par PATH à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement américain.
Le rapport déclare[44] que la totalité du plan mis en œuvre par PATH était une tentative cynique d’assurer des profits continus à Merck et GSK :
« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique – à ce moment-là – du produit promu, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays concernés, sont autant d’indices d’un plan bien orchestré pour exploiter commercialement une situation.
Si PATH avait réussi… cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais d’une vente automatique, année après année, sans la moindre dépense de promotion ou de marketing. Il est bien connu qu’une fois introduite dans un programme d’immunisation, il devient politiquement impossible d’arrêter une quelconque vaccination. »

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, PATH a eu recours à un subterfuge en appelant les essais cliniques « Études observationnelles » ou « Projet de démonstration » et autres expressions de ce genre. Ainsi, l’intérêt, la sécurité et le bien-être des personnes ont été mis en péril absolu par le biais d’une nomenclature autodéterminée et autosuffisante, instrumentalisée par PATH, ce qui est non seulement hautement déplorable mais constitue une violation sérieuse de la loi du pays. »

Des jeunes indiennes utilisées comme cobayes

Ces accusations ont été reprises[45] par des voix éminentes de la communauté médicale indienne. « Il est choquant de voir comment une organisation américaine a utilisé des méthodes furtives pour s’établir en Inde », a déclaré Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities, « (ce) n’était pas de la philanthropie ».
Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date[46] des pratiques corrompues dans le domaine de la santé n’a pas mâché ses mots : « C’est un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».
Le rapport de la commission permanente était également très critique à l’égard de la relation entre PATH et les membres de plusieurs agences de santé indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts[47].
Sur la question du consentement éclairé[48], la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes (souvent les gardiens des foyers où vivaient les filles) et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations sur la nécessité alléguée de la vaccination, ses avantages et ses inconvénients ou ses effets secondaires potentiels.
Aucune assurance[49] n’était prévue pour aucun des enfants en cas de dommages et « PATH ne prévoyait pas de soins médicaux urgents et spécialisés en cas d’événements indésirables graves ». De plus, PATH a gravement enfreint[50] les réglementations sanitaires indiennes en effectuant un essai clinique de médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai de ce même médicament sur des adultes.
Concernant les jeunes filles décédées, la commission a critiqué[51] PATH, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh pour avoir sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination sans mener d’enquêtes approfondies. En 2016[52], quelque 1 200 jeunes filles ayant participé aux deux essais de vaccins contre le VPH en Inde faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5% de la cohorte totale de 23 500 personnes. À cette date, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits de l’homme est passée presque totalement sous silence en dehors de l’Inde. La Commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé[53] une ONG américaine de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves[54] à l’appui de ses allégations, mais les médias occidentaux n’en ont quasiment pas fait mention.
Les revues de vulgarisation scientifique Nature[55] et Science[56] ont chacune publié un bref article sur le désastre, mais aucune des deux n’est entrée dans le détail des violations légales et éthiques de PATH. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature privilégie la réfutation des accusations par le directeur de PATH, Vivien Tsu.
La façon dont les médias du monde entier sont financés[57] par la fondation Gates, et dont cela affecte les reportages[58] sur la fondation elle-même et les organisations qu’elle parraine, mériterait un article à part entière[59]. Mentionnons tout de même qu’à ce jour la BBC a reçu[60] un total de 51,7 millions de dollars et le Guardian[61] 12,8 millions de dollars.

In memoriam, par Seth Berkley, PDG de GAVI

Le Guardian, qui prétend donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux sur les jeunes filles de Khammam. Du moins à l’exception d’un article[62] publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente. L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avaient plaidé en leur faveur, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire. Non. Il a été écrit par un Américain du nom de Seth Berkley. PDG de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la fondation Gates.
Berkley a profité de sa tribune dans le Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Évoquant les 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré : « Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. » Pour la compassion on repassera. Et dans son déni de cette iniquité, pas une seule fois Berkley n’a abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique, ni le rôle de PATH et de son employeur, la fondation Gates. The Guardian a commencé à recevoir[63] des fonds de la fondation en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles qui critiquaient les tactiques de lobbying[64] utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil, et mettaient en doute son efficacité[65] dans les programmes de vaccination de masse. Suite à l’accord conclu avec Gates, le Guardian s’est cantonné dans une couverture positive[66] de ce médicament (et de la vaccination contre le VPH en général).

Le gouvernement indien cède à l’influence de Bill Gates

Le gouvernement indien était réticent à prendre les mesures recommandées par le commission. Après tout, des organisations comme PATH mettaient d’énormes sommes d’argent[67] à la disposition de l’État, des institutions et des particuliers. Finalement, aucun rapport officiel sur les violations des droits de l’homme ne fut adressé par les autorités indiennes à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement américain, ainsi que l’avait recommandé[68] la commission.
Cependant, en 2017, le gouvernement annonça[69] qu’il n’accepterait plus les subventions de la fondation Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des ‘’conseils en matière de stratégie vaccinale’’ pour le compte d’environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la fondation dans d’autres domaines.
Merck et son vaccin Gardasil contre le VPH ont remarquablement prospéré depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam n’a jamais vraiment affecté l’entreprise du fait qu’il n’a quasiment pas été ébruité en dehors de l’Inde. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars[70], grâce à son inclusion dans les calendriers vaccinaux du monde entier et à son lancement cette même année en Chine.
PATH ne s’est jamais aussi bien portée. Tout comme pour Merck, l’absence de reportages sur ce qui s’est passé à Khammam a permis à l’organisation de ne pas être affectée. Depuis 2010, elle continue de recevoir[71] d’énormes financements de la fondation Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement américain. Au cours de cette période, la fondation a fourni à PATH plus de 1,2 milliard de dollars[72].
La Fondation Bill et Melinda Gates a continué à étendre sa toile d’influence. Décrivant les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici, Jacob Levich a déclaré dans Aspects of India’s Economy[73] : « En substance, la fondation achetait des stocks de médicaments qui n’avaient pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, en élargissait la promotion à un prix réduit et concluait des accords d’achat à long terme avec les gouvernements du Tiers monde. »
Depuis, la fondation Gates a migré vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 l’a véritablement propulsée sur le devant de la scène. Bill Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître[74] à un point encore inimaginable même en 2019.
Malgré son manque de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination de masse à l’échelle planétaire avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède[75], en utilisant les plateformes[76] que lui offrent les médias qu’il finance[77].
Et les filles de Khammam dans tout ça ? Ces pauvres enfants et leur détresse étaient à peine connues en dehors de l’Inde en 2010. Dire qu’on les a oubliées sous-entendrait pour commencer que l’on ait eu connaissance de leur situation et que l’on s’en soit soucié.

Source : https://notesfromthenewnormal.com/?p=339 (11/05/2021)
 
À LIRE AUSSI :
Une étude publiée par The Lancet montre que le vaccin Dipthérie-Tétanos-Coqueluche de Bill Gates a tué dix fois plus de petites filles africaines que la maladie elle-même.
06/01/2021 : https://greatgameindia.com/bill-gates-dtp-vaccine-africa/
Study 01/02/2017 : « The Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis and Oral Polio Vaccine Among Young Infants in an Urban African Community: A Natural Experiment »
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(17)30046-4/fulltext


[1] https://greatgameindia.com/vaccination-second-covid-19-wave-india/
[2] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[3] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[4] https://www.thehindu.com/news/national/its-a-path-of-violations-all-the-way-to-vaccine-trials-house-panel/article5083151.ece
[5] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[6] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[7] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[8] https://www.path.org/about/finances/
[9] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[10] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[11] https://archive.is/XP9QA#selection-2083.395-2083.417
[12] https://archivÒe.is/UMSos
[13] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/4/mode/2up
[14] https://www.youtube.com/watch?v=VVapO-ynD7k
[15] https://nypost.com/2020/09/15/bill-gates-says-pfizer-has-best-shot-at-early-covid-19-vaccine/
[16] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[17] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/184421
[18] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/184404
[19] https://research-information.bris.ac.uk/en/persons/angela-e-raffle
[20] https://medicine.umich.edu/dept/family-medicine/diane-m-harper-md-mph-ms
[21] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[22] https://web.archive.org/web/20120405033402/http://www.nird.org.in/brgf/doc/brgf_BackgroundNote.pdf
[23] https://www.un.org/development/desa/indigenouspeoples/mandated-areas1/education.html
[24] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[25] https://grain.org/en/article/6511-why-the-bill-gates-global-health-empire-promises-more-empire-and-less-public-health
[26] https://amrc.org.hk/content/india-health-and-safety-work
[27] https://thediplomat.com/2010/12/a-story-of-indian-corruption/
[28] https://www.theatlantic.com/science/archive/2018/07/the-worlds-worst-industrial-disaster-is-still-unfolding/560726/
[29] https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/1476-069X-4-6
[30] https://www.nytimes.com/1985/01/28/world/the-bhopal-disaster-how-it-happened.html
[31] https://www.cambridge.org/core/books/international-crime-and-justice/bhopal-gas-disaster-and-corporate-criminal-negligence/94BB44AB0F79C34C15E075A135374C40
[32] https://samawomenshealth.wordpress.com/2009/12/14/concerns-around-hpv-vaccine-a-memorandum-to-the-health-minister/
[33] https://samawomenshealth.wordpress.com/
[34] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[35] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[36] https://ia801803.us.archive.org/34/items/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/Alleged%20Irregularities%20in%20the%20Conduct%20of%20Studies%20using%20HPV.pdf
[37] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[38] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[39] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[40] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[41] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[42] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[43] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[44] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/20/mode/1up
[45] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[46] https://www.bmj.com/content/360/bmj.k105
[47] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[48] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/11/mode/1up
[49] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[50] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[51] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[52] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[53] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[54] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/mode/1up
[55] https://www.nature.com/articles/nature.2013.13700
[56] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[57] https://www.cjr.org/criticism/gates-foundation-journalism-funding.php
[58] https://www.seattletimes.com/seattle-news/does-gates-funding-of-media-taint-objectivity/
[59] https://robertfortner.posthaven.com/why-you-might-think-like-bill-gates-about-global-health
[60] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?page=2&q=bbc
[61] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=guardian
[62] https://www.theguardian.com/global-development/2013/oct/08/anti-hpv-vaccine-campaigners-cervical-cancer
[63] https://www.theguardian.com/gnm-press-office/guardian-launches-global-development-site
[64] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health1
[65] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[66] https://www.theguardian.com/society/hpv-vaccine
[67] https://economictimes.indiatimes.com/industry/healthcare/biotech/healthcare/controversial-vaccine-studies-why-is-bill-melinda-gates-foundation-under-fire-from-critics-in-india/articleshow/41280050.cms
[68] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[69] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[70] https://www.forbes.com/sites/greatspeculations/2019/10/04/mercks-3-billion-drug-jumped-to-4x-growth-over-previous-year/?sh=6cc2a74c6294
[71] https://www.path.org/about/finances/
[72] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[73] https://archive.ph/RyOaj#selection-1315.2-1315.220
[74] https://www.corbettreport.com/how-bill-gates-monopolized-global-health/
[75] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[76] https://www.vox.com/2015/6/10/8760199/gates-foundation-criticism
[77] https://medium.com/mediapowermonitor/gates-foundation-the-rich-disruptor-be774b83493e


[Voir aussi :
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




« La tarte à Tain, le gâteau indigeste de Macron » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Avertissement. La violence c’est jamais bien, il ne faut pas frapper le président, mais le non-violent que je suis vous dira aussi qu’il ne faut pas non plus frapper de façon générale son prochain etc… Il faut le dire donc disons-le, mais dire cela c’est le degré 0 de l’analyse et de la réflexion,  alors surtout commençons à penser un peu pour comprendre ce qu’il se passe et ce qui va se jouer. Notamment la dynamique des violences et des révolutions.

Expliquer, penser, ce n’est pas justifier, ce n’est pas cautionner, c’est analyser pourquoi ce qui vient de se passer, va se reproduire et s’amplifier, les mêmes causes provoquant les mêmes effets.

Hier le président a été giflé lors d’un bain de foule qui semble tout de même bien maigre côté foule. Généralement, ce genre de « foule » de 10 personnes filmées en plan serré et triées sur le volet, surtout depuis le mouvement des Gilets Jaunes notre jeune président devant, par la force des choses, courir devant le peuple. N’y voyez de ma part aucun plaisir. Aucune joie. C’est évidemment très grave et que le président de la république suscite un tel rejet est encore plus dramatique et attristant. L’enquête nous dira ou pas, comment cet « opposant » a pu arriver jusque-là.

Ce qui se passe est grave, et ce n’est pas faute d’alerter de la colère sourde et immense qui monte dans le pays.

Une colère « tripale ».

Une colère sourde.

Une colère noire.

Que la classe politique ne s’y trompe pas.

Derrière cet homme, ce sont des millions de Français qui ont « giflé » par procuration aussi bien ce président que cette république.

La colère est tripale. Sourde. Noire, et surtout, la colère est massive.

La colère est majoritaire.

Je vous le dis autrement, c’est l’idée viscérale de la France qui ne veut pas mourir et ne supporte plus de se voir mourir.

Mitterrand aurait dit ce sont les forces telluriques.

On n’arrête pas le déchaînement des forces telluriques.

Une fois dit que gifler le président c’est gifler la république, réfléchissons un peu.

Cela fait de nombreuses années que je cite dans chaque édito la phrase de JFK. « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ». Ce n’est pas un hasard. Cela fait plusieurs années que ce qui se passe aujourd’hui était très facilement prévisible d’un point de vue analytique.

Le président Macron n’est pas un président légitime dans le cœur des gens et il y a des explications très rationnelles à cela que cela plaise ou non.

Il a été élu, il est légalement légitime, mais inconnu quelques mois avant, monté en mayonnaise par un système et des médias, la droite éliminée par l’affaire Fillon, Macron, ne « pèse » au mieux que 20 %, sans parti, sans base électorale réelle. Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens de droite comme de gauche il est le fruit d’un coup d’Etat médiatique.

Il a mis en place une politique nuisible aux intérêts du peuple.

Il a provoqué à de multiples reprises aussi bien dans ses outrances langagières que dans ses actes comme les photos terribles de la fête de la musique 2018 ou encore sa promenade à Saint-Martin.

Il détruit volontairement ce qui fait la grandeur de la fonction pour la réduire au poste de gouverneur d’une province européenne des Etats-Unis d’Europe. ENA, préfectorale, privatisation de fleurons de l’industrie etc…

Il a expliqué à certains qu’ils étaient des moins que rien, ou des « pas grand-chose ».

Lorsque nos concitoyens les plus méritants, travaillant beaucoup pour bien peu, ceux de la seconde ligne qui ont occupé par millions les ronds-points, le tout Paris les a méprisé, outragé, insulté.

Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens il est là non pas pour le bien de la nation mais pour le bien d’un petit nombre et d’une caste dont il représente les intérêts. Il est vu comme un fossoyeur de la nation. Il est vu comme l’homme des hommes de l’ombre qui ruinent le pays.

Ils pensent sincèrement représenter, incarner et défendre beaucoup plus le pays que celui qui est le locataire de l’Elysée et qui est considéré dans une large mesure comme un usurpateur.

Le bal des couineurs peut reprendre comme un mantra nécessaire et convenu qu’en giflant Macron c’est la République que l’on gifle, je peux vous assurer que d’un point de vue analytique, une révolution qui fait tomber un ordre établi va, forcément par définition détruire l’ordre établi, donc pour protéger la « République », il va falloir trouver des arguments d’un autre calibre pour être crédible.

BFM peut dire que les Gilets Jaunes sont des complotistes qui détruisent la république, pas un seul d’entre eux pensent à un seul moment menacer cette république. Mieux ils pensent en être les vrais défenseurs.

Le hiatus est donc total entre dirigeants et dirigés.

Ils n’ont pas été compris disais-je.

Alors ils répondent, « je vous hais, compris ? ».

Après plusieurs mois de manifestations Gilets Jaunes, syndicales et autres et de propagande, le gouvernement à fait deux choses.

De la communication et de la répression.

Tour de France, grand débat blablablabla.

Des dizaines d’éborgnés et de gueules cassées.

La police est devenu milice car elle ne faisait plus du maintien de l’ordre indispensable, mais du maintien au pouvoir.

La résolution de la crise devait être politique. Un grand homme aurait remis son mandat. Il serait parti.

Ils ont voulu rester.

Ils veulent reprendre les réformes là où elles ont été laissées.

Mieux, ils veulent réduire Mélenchon, pour faire monter Marine le Pen, car c’est exactement la stratégie de la petite politique du diviser pour mieux régner. Une fois détruit et réduit le Mélenchon et LFI, on réduira et on détruira Marine le Pen, on tentera même de pousser une candidature dissidente de Zemmour qui sait, puis on se fera élire à nouveau en 2022 avec 50.1 % des voix sur les restes fumants d’un front républicain branlant pour continuer sans représentativité réelle une politique que l’immense majorité du peuple de ce pays toutes couleurs, origines, et religions confondues refuse.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Notre pays vient de passer des mois éprouvants, et d’autres nous attendent. Sur le plan économique, mais aussi sanitaire car, même si on ne vous le dit pas, rien n’est fini, mais aussi politique. Le déconfinement et le retour à une vie plus normale va s’accompagner de grands débordements, là aussi prévisibles. L’été risque d’être très chaud.

Si l’on veut éviter à notre pays un bain de sang et de violence, la résolution de nos différentes crises majeures ne peut être que politique et donc non-violente.

Le mouvement des Gilets Jaunes n’est pas terminé, et les révolutions, prennent plusieurs années. C’est rarement un seul évènement le lundi à 15h30. C’est un processus, un mouvement, une dynamique bien particulière qui s’étend toujours sur plusieurs années.

Ce pays danse sur un volcan, et la chaleur devient de plus en plus intense au fur et à mesure que la pression monte.

La pression du temps.

La pression de l’heure de vérité qui approche.

Tous ceux qui analysent la situation avec lucidité et froideur le savent et le ressentent.

L’heure approche et nous allons vers des temps qui ne seront ni beaux à voir, ni beaux à vivre.

La violence est toujours aveugle, toujours terrible, jamais souhaitable.

Parfois inéluctable.

Nous sommes dans un de ces moments où l’histoire semble inéluctable, les pulsions de mort et de violence collective irrépressibles.

Notre société est profondément malade, fracassée.

La classe politique devrait se poser une seule question.

Comment guérir notre pays ?

Au lieu de cela, c’est magouilles, propagande, mensonge et manipulation.

Pour le moment c’est une tarte à Tain. Ce n’est pas bien. C’est même très mal.

Mais à mon sens, ce n’est que le début d’un orage qui laissera notre pays exsangue.

La grandeur et le sens politique voudraient que cet homme soit condamné en comparution immédiate, et gracié par le président avec un sincère « je vous ai compris », une véritable solution politique, car, pour que la solution soit politique et éviter la violence, Macron, doit faire le choix, de ne pas se représenter ce qui semble peu probable.

La plus grande bataille, le plus grand combat est toujours celui des cœurs et de l’amour. Et côté amour et cœur, Macron n’a pas la côte…

Ce pays étouffe, ce pays est étouffé par une classe politique et médiatique insupportable de suffisance et de bien-pensance, et ce pays va exploser parce qu’on lui interdit de penser et de se penser.

Si vous ne laissez pas d’espaces de parole

Si vous ne laissez pas d’espaces d’expression et de pensées même si vous êtes en désaccord, surtout si vous êtes en désaccord.

Si vous ne laissez pas de libertés.

Si vous ne laissez pas assez de démocratie.

Alors, vous comprenez mieux le sens de la phrase et de la pensée de JFK.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Vous pouvez déplorer le résultat de la violence, et j’ai entendu ce soir le concert des couinemuses. Un concert nécessaire, mais très, très insuffisant. Les mêmes causes produiront les mêmes effets. Pire. Les mêmes causes vont amplifier une violence qui sera de plus en plus forte. Personne ne veut dire de quoi cette gifle est le nom et ce qu’elle représente ou porte en elle.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Le Texas interdit à toutes les entités gouvernementales et aux entreprises d’exiger des «passeports vaccinaux»

Sources : https://www.collective-evolution.com/2021/06/09/texas-bans-all-government-entities-businesses-from-requiring-proof-of-vaccination/
https://capitol.texas.gov/BillLookup/History.aspx?LegSess=87R&Bill=SB968 
et https://www.theepochtimes.com/texas-bans-businesses-from-requiring-vaccine-passports_3848787.html

Traduction : ExoPortail

«Le Texas est ouvert à 100%. Les Texans devraient avoir la liberté d’aller où ils veulent sans aucune limite, restriction ou exigence. Aujourd’hui, j’ai signé une loi qui interdit à toute entreprise ou entité gouvernementale du Texas d’exiger des passeports de vaccination ou toute information sur les vaccins», a tweeté Greg Abbott, le gouverneur du Texas. Il a fait cette annonce lundi et la nouvelle est devenue virale sur les plateformes de médias sociaux et les médias indépendants. En fait, le débat et la remise en question de l’idée des «passeports vaccinaux» n’ont pas vraiment été bien accueillis, bien que de nombreux experts de la santé aient condamné cette idée depuis sa création.
«Le Texas est ouvert à 100 %, et nous voulons nous assurer que vous avez la liberté d’aller où vous voulez sans limites», a annoncé le gouverneur républicain dans une vidéo postée sur Twitter.

La nouvelle loi SB 968 couvre de nombreux aspects de la préparation et de la réponse aux catastrophes et aux urgences de santé publique. Elle a été approuvée à l’unanimité en avril et a été adoptée par un vote de 146-2 par la Chambre de l’État en mai.

Dès à présent, les entreprises texanes «ne peuvent exiger d’un client qu’il fournisse un document attestant de sa vaccination contre le COVID-19 ou de sa guérison post-transmission pour entrer dans l’entreprise, y accéder ou bénéficier de ses services», indique la législation. Les agences d’État en charge des différents secteurs commerciaux peuvent exiger que les entreprises se conforment à la nouvelle loi pour être autorisées à exercer leurs activités au Texas.

En outre, les entreprises qui ne se conforment pas à la loi ne pourront pas conclure de contrats avec l’État et ne pourront pas recevoir de subvention.

Les entreprises peuvent toujours mettre en œuvre leurs propres protocoles de contrôle de l’infection par le COVID-19 «conformément à la loi de l’État et à la loi fédérale pour protéger la santé publique».

Le Texas sera le septième État à promulguer une telle mesure : 
https://exoportail.com/resistance-le-gouverneur-de-lalabama-signe-une-loi-interdisant-les-passeports-vaccinaux-rejoignant-ainsi-12-etats-us-sy-opposant/

L’Alabama, l’Indiana, l’Iowa et le Dakota du Nord ont également interdit aux entreprises et aux entités gouvernementales d’exiger une preuve de vaccination, tandis que l’Utah et l’Arkansas ont interdit aux gouvernements d’exiger une preuve de vaccination.




Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés

[Source : Eveilhomme.com]

https://youtu.be/bSZxQ34FbrA

[Voir aussi : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]




Soutien à Louis Fouché, objet d’attaques hideuses

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Il fallait s’y attendre : une campagne de diffamation et de dénigrement extrêmement violente est en train de s’abattre sur le Dr Louis Fouché, co-fondateur et porte-parole du collectif Réinfo-Covid.

Avec cette convergence de malveillance à laquelle il faut désormais s’habituer entre les puissances capitalistiques les plus mafieuses et la bien-pensance de gôche qui a d’ailleurs toujours historiquement fait le lit des totalitarismes.

Ne sachant que trouver d’intelligent à porter comme critique contre le bonhomme (nous supporterions volontiers en tant qu’opposants un vrai débat d’idées avec de vraies critiques qui nous seraient adressées) voilà qu’on l’accuse d’ « être un gourou faisant le lit de l’extrême-droite. »

Ce qui me rappelle le titre stupide et malveillant d’un journaliste de l’Express à mon sujet dans lequel le gratte-papier en question me traitait d’ « expert autoproclamé » (au soir d’une carrière professionnelle de 30 ans !) « en guerre contre la science », ceci parce que je me fais un devoir de souligner l’état endémique de corruption qui y prévaut, de notoriété générale !

Au moins le message des gredins est clair : lorsque vous dénoncez la corruption, vous attaquez (au choix) la science ou bien la démocratie. Ce qui devrait -si une aptitude à penser (même modeste) persistait collectivement- s’avérer a contrario pédagogique…

Nous en prenons donc pour nos grades à tour de rôle et c’est actuellement Louis (dans la foulée du déchaînement contre Didier Raoult et l’IHU) qui en fait les frais.

Un moment peut-être décisif

Je comprends que l’homme soit dérangeant. Non seulement parce que sa critique est pertinente et affûtée, mais pour deux raisons supplémentaires : tout d’abord, il l’énonce avec une extrême prévenance et humanité, ce qui fait bizarre dans un monde qui s’est habitué à ce que les hurlement et les anathèmes remplacent le propos. Ensuite, par son aptitude à la pensée complexe, il ringardise de manière sanglante les pontes qui viennent servir une soupe abrutissante sur les plateaux de télévision.

Tout ceci s’inscrit de surcroît dans un moment historique à haute tension : les révélations tirées de la publication des emails d’Anthony Fauci sont bien plus redoutables qu’il y paraît, et méritent bien plus d’intérêt que la minimisation lamentable qu’en font nos médias payés à cette fin.

Car on y voit dans toute sa splendeur (certes noyée dans le style de correspondants qui n’ignorant rien du Freedom of Information Act, y mettent la prudence des formes) le fond de la réalité qui nous détruit depuis quinze mois : une collusion criminelle d’intérêts qui ont verrouillé toute la réponse dite sanitaire grâce à des acteurs comme ceux qui échangent dans ces mails.

Oui, bien sûr, les Fauci et autres Delfraissy ont mis en échec systématiquement les traitements précoces risquant de se montrer efficaces.

Oui, bien sûr, il y a eu une manipulation générale sur l’origine du Sars-CoV-2 et des opérations pour occulter les rôles de l’Institut Pasteur et des laboratoires américains sur les « gains de fonction » produits à Wuhan visant à rendre létaux des virus inoffensifs. Selon le titre d’un article du Daily Mail (que les presses suisses et française n’ont évidemment pas repris) : « Comment le Dr Peter Daszak, expert britannique, a orchestré une campagne d’intimidation et a contraint des scientifiques de haut niveau à signer une lettre adressée à The Lancet visant à écarter la responsabilité du laboratoire de Wuhan qu’il finançait avec des fonds américains au sujet du Covid-19. »

Et oui, il y a eu un système mafieux fait de chantages et même de menaces contre quiconque oserait transgresser l’omerta, comme en a témoigné le Dr Robert Redfield, ancien directeur du Center for Disease Control américain, qui a reçu des menaces de mort de la part de collègues scientifiques après avoir dit à CNN qu’il pensait que le virus s’était probablement échappé d’un laboratoire. « Je m’attendais à cela de la part des politiciens. Je ne m’y attendais pas de la part de la science. » a-t-il témoigné !

Le tout avec pour conséquences d’avoir laissé mourir des centaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible de soigner, ainsi que violenté et conduit à la ruine des milliards d’autres uniquement pour réserver des centaines de milliards de dollars de profit à des compagnies répétitivement criminelles. Et imposer un Great Reset conduisant à la servitude la population mondiale.

Ce scénario criminel, que les médias payés à cette fin ont nié, moqué et vilipendé depuis quinze mois est en train d’exploser à la face de tout le monde comme constituant désormais une hypothèse indiscutable et même à ce stade l’hypothèse forte. Cette explosion n’est pour l’instant contenue que grâce à la complicité active (dès lors elle aussi criminelle) des grandes agences et des groupes de presse, incestueusement maqués avec les intérêts en question.

Bashing

Toute cette dérive a dépendu pour son succès du flingage systématique et diligent des voix osant s’opposer aux aberrations qui nous ont été infligées. Les meilleurs scientifiques et spécialistes ont été traînés dans la boue et humiliés publiquement par leurs homologues au service de la corruption systémique ainsi qu’une presse de caniveau rappelant plus la propagande fasciste qu’un travail journalistique respectant une élémentaire déontologie.

Aujourd’hui encore cette même presse fait feu de tout bois pour occulter ce qui révélerait le pot aux roses et descendre toute opposition – il n’y a qu’à lire les derniers éditoriaux -d’une stupidité et d’une veulerie dont le sublime confine presque à la beauté dans leur registre- de Tamédia ou du Temps sur la votation du 13 juin contre la loi Covid-19…

Le propre de la violence institutionnelle, c’est qu’elle doit s’exercer au vu et au su de tous pour déployer sa pleine puissance pédagogique : les lapidations et les crucifixions avaient lieu aux portes des villes pour que tous ceux qui les franchissaient mesurent bien ce qu’il en coûtait de s’opposer au pouvoir en place.

Les gibets étaient posés et les exécutions avaient lieu la plupart du temps sur les places centrales des villes pour obtenir le même effet.

On aura donc vu une sarabande lamentable de lynchages médiatiques contre les meilleurs experts, qu’il se soit agi du Pr Ioannidis, des Pr Gupta, Battacharya et Kulldorf (les épidémiologistes d’Oxford, Stanford et Harvard à l’origine de la déclaration du Great Barrington), des Pr Raoult et Perronne, ainsi qu’à une moindre échelle de votre modeste serviteur – protégé en quelque sorte par son statut de « menu fretin » : il aura suffi à quelques boîtes de comm’ (dont certaine basée en Suisse romande – je sais qui vous êtes les gars !) pour faire croire que j’étais « auto-proclamé » (malgré un CV fort bien fourni) pour que quelques idiots utiles s’en donnent à cœur joie comme ce fut le cas de Bertrand Kiefer (rédacteur de la Revue médicale suisse), le médecin cantonal neuchâtelois ou un ancien directeur des Hôpitaux universitaires de Genève à la réputation pourtant plus que douteuse… ainsi que plusieurs « rédacteurs en chef » romands arrosés par l’état.

Fouché bashing

Aujourd’hui donc, c’est Louis Fouché qui a droit à son lynchage individuel orchestré par des pouvoirs crapuleux. Je sais l’homme suffisamment aligné sur ses valeurs fondamentales et sa sincère abnégation ainsi que suffisamment entouré de bienveillance pour tenir le choc. Pour être passé par là, je ne minimise pas pour autant la brutalité de la haine et de la calomnie qu’il affronte. Je sais par expérience combien un homme est seul dans ces moments-là, même entouré d’amour et d’expressions de soutien.

C’est pourquoi je tiens à faire savoir l’indignation profonde que je ressens face à cette ignominie et ces procédés qui devraient être prohibés et dénoncés comme honteux non seulement en démocratie mais aussi simplement dans toute société cultivant un minimum de dignité.

Louis connaît (je les lui ai exprimés) toute l’admiration et le respect que j’ai pour sa personne et la sincérité de sa motivation. S’il existe un honnête homme en ce bas-monde, c’est bien de Louis Fouché (comme de Vincent Pavan ou de Christian Perronne parmi bien sûr d’innombrables autres) qu’il s’agit.

L’intelligence et l’éthique non-violente du bonhomme sont aussi ébouriffantes que sa coupe de cheveux est ébouriffée -c’est dire. Il dispose ainsi d’une aptitude rare à la pensée complexe, enracinée dans une culture encyclopédique – pour la petite histoire un de ses dadas est l’anthropologie de la technique, domaine dans lequel il m’en remontre aisément comme il en remontrerait à la plupart de mes collègues.

Il dispose de surcroît de cette « rationnalité sensible » dont parle Michel Maffesoli et qui est en quelque sorte à la fois le contraire et l’antidote au rationalisme morbide prévalant actuellement, avec une pseudoscience débile assénée avec fanatisme. Par des corrompus aussi cyniques que leur immoralité le commande ou encore des abrutis faisant penser aux chemises brunes du fascisme de l’avant-guerre, tout heureux de pouvoir conduire des campagnes de harcèlement en toute impunité.

Louis, lui est un homme de bien. Non seulement par qui il est ou ce qu’il énonce, mais aussi par ce qu’il propose. Il sait mieux que quiconque voir au-delà de la crapulerie en cours en gardant son regard posé vers un futur désirable, un futur digne de nos aspirations profondes et de cette humanité à laquelle nous avons à advenir.

Il en pressent les possibles désirables, et sait les communiquer de manière désarçonnante. Là où je suis pour ma part plus un combattant, Louis sait toujours mettre de la tendresse, de l’humour et de gentillesse. On en comprend d’autant mieux que cela infurie le camp adverse. Dont il a su révéler au passage la plus grande faiblesse, en soulignant que tous les totalitarismes du passé se sont toujours imposés sur la base d’un projet désirable- faux mais désirable.

Le totalitarisme religieux par la peur de l’enfer et la promesse du paradis, le communisme par l’avènement du paradis des travailleurs, le fascisme par le triomphe de la race supérieure expurgée des tares des sous-hommes…

Le nouveau fascisme numérique et transhumaniste lui ne s’appuie sur aucune illusion désirable, sauf celle, a contrario  et misérabiliste, que la robotisation nous soulage de notre humanité -ce qui peut être en effet la tentation de toutes les personnes suffisamment aliénées à elles-mêmes. Ce à quoi la presse, la télévision et la faillite de l’éducation ont abondamment œuvré depuis quelques décennies…

Louis donc est une menace pour ces forces d’aliénation et d’impérialisme totalitaire. Il n’est pas étonnant dès lors qu’il ait droit à une intensification du bashing qui le vise, en parallèle à celui visant Didier Raoult et l’IHU de Marseille.

Car c’est désormais un quitte ou double pour les puissances mortifères : soit le mensonge se verrouille pour quelques années au moins  (ce qui implique la mise hors d’état de nuire des opposants) soit le vent menace de tourner avec le risque d’une véritable Bérézina pour les corrompus de tous poils, petits et grands.

On voit donc les pires alliances sortir la tête de leur mare : comme Edwy Plénel (please !) accusant Louis Fouché d’être un gourou au service de l’extrême droite !

Peut-on imaginer argument plus vil et stupide ?! A défaut de s’être singularisé dans le renouveau d’un journalisme éthique et intelligent, au moins le rédacteur en question aurait-il brillé par un naufrage qui de tous ceux auxquels on a assistés n’est pas le moins lamentable et sidérant… Triste effondrement à vrai dire pour le responsable d’un média qui se voulait différent et termine simplement collabo, comme les autres.

Je conclurai ce billet en adressant à Louis Fouché, à sa femme Carole, à sa famille et à ses proches, ainsi qu’aux membres des collectifs Réinfo-Covid des différents pays francophones toute ma solidarité, mon respect ainsi que ma sincère et affectueuse admiration pour la valeur et la beauté de l’action menée. Sans violence et sans haine, de leur côté.

Et le temps rendra bien sûr son verdict.




Les liens étroits France-Chine symbolisés par l’Institut Pasteur

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Liliane Held-Khawam

Le Réseau International des Instituts Pasteur de la Région Asie-Pacifique offre une plateforme d’activités de recherche, de santé publique et de formation, dans laquelle chaque institut membre est reconnu comme un centre d’excellence sur les maladies infectieuses. Un réseau aussi efficace permet de mener une surveillance et des enquêtes de classe mondiale sur les agents pathogènes pandémiques et épidémiques aux niveaux national et régional. 
http://www.hkupasteur.hku.hk/presskit/leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11.pdf

Plus je cherche à comprendre les tenants et les aboutissants de la Planète Santé, plus je découvre que le narratif officiel qui nous présente une Chine qui vampiriserait le savoir-faire occidental est faux. La chose est bien plus complexe dans un monde globalisé.

Hier, nous avons découvert la nature multi-casquettes de Peter Daszak, M Santé, qui défie la nature de base d’un État de droit. Aujourd’hui, nous partons à la découverte de la déterritorialisation de l’Institut Pasteur, qui n’est pas plus français que EDF, BNP, ou Total. De fait, on lui a fait subir le même genre de métamorphose qui consiste à globaliser la structure, et à la dénationaliser de fait.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/07/largent-anglosaxon-developpe-la-technologie-necessaire-au-transhumanisme-en-chine-lhk/

En effet, les partenariats qui unissent l’Europe et la Chine sont bien plus conséquents que ce que l’on a bien voulu nous présenter. A la suite de ces quelques informations, si votre journaliste préféré continuait à vous dire que la Chine est l’ennemi de l’Occident, vous pourrez lui dire qu’il diffuse une fake news. D’ailleurs, l’ambassade de Chine est inscrite au Registre du Commerce belge depuis… 1988.

Qu’est-ce que l’Institut Pasteur?

L’Institut Pasteur reste optimiste, mais prudent. Alors que la décrue de l’épidémie se poursuit dans les hôpitaux et que le rythme de la vaccination est toujours élevé, les chercheurs ont publié lundi leurs nouveaux modèles pour la France. Dans cette projection à court terme des besoins hospitaliers pour les patients Covid-19, le modèle de la fondation française « anticipe une baisse des admissions à l’hôpital et des besoins en lits dans les jours qui viennent » au niveau national et dans les régions métropolitaines. « Dans les régions d’outre-mer, les effectifs étant faibles, nos projections restent très incertaines », précise l’Institut Pasteur dans sa mise à jour du 7 juin
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/covid-19-ce-qu-il-faut-retenir-des-nouvelles-projections-de-l-institut-pasteur_2152409.html

Avril 2020. Arnaud Fontanet, directeur de l’Unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur, présente brièvement une étude. Celle-ci révèle que 26% de la population étudiée a été infectée par le SARS-CoV-2 et possède des anticorps contre ce virus.

Si l’on posait la question autour de soi, on nous répondrait quelque chose qui ressemblerait à la mission affichée sur le site de l’établissement, à savoir: « L’Institut Pasteur est une fondation à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies, en priorité infectieuses, par la recherche, l’innovation, l’enseignement, et des actions de santé publique. » Et l’on serait tenté de rajouter que c’est un établissement français agissant sur sol français, n’est-ce pas?

Eh bien pas du tout.

Une immense machine qui couvre les 5 continents

L’Institut Pasteur est une énorme organisation internationale et globale qui dépasse en taille tout ce que l’on peut imaginer. Il s’agit d’une galaxie de 33 instituts présents dans 25 pays. Russie et Iran inclus.

https://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/dans-le-monde/reseau-international-instituts-pasteur

Association Pasteur International Network

Créée en 2011, l’Association Pasteur International Network est l’entité légale du réseau des différents instituts. En 2016, celle-ci a été reconnue comme organisation en « relations officielles » avec l’Organisation mondiale de la santé, soulignant le rôle du Réseau International des Instituts Pasteur dans la santé publique du globe.

Le Conseil d’Administration a confirmé, le 31 janvier 2019, le renouvellement pour 3 ans du statut l’Association Pasteur International Network, du réseau de l’Association internationale des Pasteurs – APIN « en tant qu’acteur non étatique en relations officielles » avec l’OMS, conformément au plan de collaboration 2019-2021 présenté à l’automne 2018.

Bras armé de l’OMS

Ce renouvellement souligne le rôle majeur du RIIP en santé mondiale et l’importance de ses relations avec l’OMS. Ce statut permet à l’APIN de participer à l’Assemblée mondiale de la santé et d’accroître la visibilité du RIIP sur les questions liées à ses activités, conformément aux déclarations précédentes des deux dernières années.

https://www.pasteur.fr/fr/international/association-pasteur-international/affiliation-partenaires

Ses apports sont:

  • promotion de la stratégie et soutien aux activités de l’OMS dans le cadre de son treizième programme de travail
  • offrir un soutien technique à l’OMS, en particulier en cas d’épidémie, et aider les pays à renforcer leurs systèmes et leurs capacités de santé, en particulier en ce qui concerne l‘accès aux données
  • proposer des formations pour renforcer les capacités des pays à se conformer au Règlement Sanitaire International (RSI) et dans le contexte des maladies transmissibles

Des organismes d’État partenaires de l’Institut

Le groupe Institut Pasteur est présidé pour la 1 ère fois par un non-Français.

L’organisation est présidée depuis 2018 par un Britannique/Français, Stewart Cole, qui fut durant 10 ans professeur à L’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne et le directeur de son Institut mondial de la santé.

Toutefois avant de rejoindre l’EPFL, M Cole a fait ses armes durant 24 ans dans la galaxie de l’Institut Pasteur aussi bien en France qu’en Iran ou à Montevideo. 
https://dndi.org/our-people/stewart-cole/

L’Institut Pasteur en Chine depuis 15 ans

Lors de l’inauguration du laboratoire P4 de haute sécurité de Wuhan, le 1er ministre français avait dit, en se référant au partenariat France-Chine:

Cette coopération repose également sur l’accord signé en 2014 entre l’Inserm, l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), ainsi que sur les rapprochements entre l’institut Pasteur en France, l’institut Pasteur de Shanghai, la fondation Mérieux et l’Institut de virologie de WUHAN.

https://www.gouvernement.fr/partage/8936-discours-du-premier-ministre-a-la-ceremonie-d-accreditation-du-laboratoire-de-haute-securite

Et ce partenariat dure depuis longtemps. En janvier 2020, l’Institut Pasteur a célébré ses 15 ans de présence en Chine! Le labo de Wuhan n’est pas un évènement aussi extraordinaire que ce que l’on nous avait présenté. L’organisation française est clairement déterritorialisée depuis un bon bout de temps. Elle est globale. 
http://nhbcb2020.csp.escience.cn/dct/page/65580

L’Institut est si bien intégré qu’il cohabite à Shanghaï avec l’Académie des Sciences chinoise.

La présence de l’Institut est couronnée par le transfert et la mise en place de compétences de très haut niveau. Voici 2 exemples de ce qui ressemble à des startups. Elles sont localisables à la même adresse que l’Institut.

Les activités de l’Institut Pasteur en Chine

Un rapport nous présente les réalisations de l’organisation.

PRINCIPALES EXPERTISES & PLATEFORMES TECHNIQUES DISPONIBLES (cf référence ci-dessous)

  • Centres de référence nationaux et OMS pour la grippe, le VIH, la dengue, la leptospirose, la rage, le paludisme
  • Partenariat avec les hôpitaux et les centres de santé régionaux
  • Capacités de recherche clinique sur la rage dans toutes les principales maladies infectieuses grâce à de vastes collaborations et réseaux hospitaliers
  • Une cohorte de 15 000 habitants en communauté (région de Kampong Cham, Cambodge)
  • Des biobanques d’échantillons biologiques et d’agents pathogènes
  • Des technologies et une expertise de pointe pour la compréhension des mécanismes des maladies infectieuses au niveau cellulaire : culture de plasmodium, tests de criblage à haut débit (pseudotypes et VLP pour H5N1, H1N1v, VIH, dengue), séquençage à haut débit, criblages à haut contenu (technologie PhenomicScreen™, PhenomicID™), technologies d’imagerie de pointe, canal ionique plateforme, développement de nouveaux nanomatériaux, chimie médicinale
  • Plateforme animaux transgéniques
  • Expertise en médecine translationnelle et programmes de développement avec l’industrie Installations : Laboratoires de biosécurité Niveaux : 2, 2+ et 3 ; Laboratoires de biosécurité animale Niveaux : 2, 2+, 3

Partenariat entre l’UE et la Chine dans le domaine scientifique et technologique

Cette présence ainsi que ce fort transfert de compétences France-Chine que nous voyons à travers l’Institut Pasteur fait suite à un partenariat UE-Chine remonte à… 1998. Voici un document qui dit que

Le nouveau partenariat UE-Chine visera donc à:

  • aider la Chine à occuper une place plus importante dans la communauté internationale par une intensification du dialogue politique
  • soutenir la transition de la Chine vers une société ouverte basée sur l’autorité de la loi et le respect des droits de l’homme
  • poursuivre l’intégration de la Chine dans l’économie mondiale en la faisant participer plus pleinement au système d’échanges commerciaux mondiaux et en soutenant le processus de réforme économique et social
  • étendre le financement européen pour fournir les moyens financiers nécessaires à la mise en oeuvre d’une politique concernant les relations avec la Chine
  • faire connaître l’Union européenne en Chine.

L’UE espère en particulier développer et étendre l’éventail d’activités de coopération dans des domaines tels que l’industrie, la formation, l’énergie et l’environnement. Dans le domaine de la science et de la technologie, la Commission propose que la coopération scientifique et technologique soit utilisée pour consolider la position des entreprises européennes en Chine, ainsi que pour soutenir le développement économique de la Chine. Les domaines de coopération pourraient inclure l’agriculture, les technologies de l’information et des communications, la biotechnologie, les sciences des matériaux, les transports, l’énergie, l’environnement et les ressources naturelles.

La Commission propose la négociation d’un accord de coopération spécifique en science et technologie entre l’UE et la Chine, et a récemment demandé l’autorisation du Conseil à cet effet. Les autres activités de coopération couvriraient le développement de partenariats et l’échange de jeunes scientifiques, de cadres et d’ingénieurs.

20 Mai 1998 https://cordis.europa.eu/article/id/10348-building-a-comprehensive-partnership-with-china/fr

Et voici la fin d’un discours du Président Chirac:

Mesdames, Messieurs,
La Chine et la France souhaitent aborder ce XXIe siècle dans une logique de partenariat global, politique, économique, industriel, culturel, scientifique.
Que la Chine retrouve le rang qui doit être le sien dans l’économie mondiale ; qu’elle continue sur la voie des réformes où elle s’est engagée : qu’elle libère toujours plus la créativité de son grand peuple et lui apporte le bien-être, sans que le progrès n’oublie personne ; qu’elle soit chaque jour davantage une amie et un partenaire, voilà les vux que la France forme, par ma voix, pour la Chine.
Mesdames, Messieurs, je vous remercie.

Déclaration de M. Jacques Chirac, Président de la République, sur le partenariat stratégique franco-chinois et l’implantation des entreprises françaises en Chine, à Chengdu le 9 octobre 2004. 
https://www.vie-publique.fr/discours/143804-declaration-de-m-jacques-chirac-president-de-la-republique-sur-le-par

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS

Lors d’un inventaire à l’Institut Pasteur, les collaborateurs ont signalé la disparition de milliers de tubes contenant du SRAS. La chose est revenue sur le tapis lors de la survenue de la pandémie. Certains ont laissé sous-entendre que la Chine aurait pu être derrière cette disparition. 
https://www.lemonde.fr/societe/article/2014/04/15/la-mysterieuse-disparition-de-2-349-tubes-contenant-du-virus-sras_4401244_3224.html

Pourquoi au vu de ce qui précède, les Chinois auraient emporté à la sauvette des milliers de tubes de SRAS, alors que le transfert de savoir et savoir-faire était déjà en place depuis de nombreuses années?

Les partenaires privés de l’Institut

Bref, il est grand temps que l’on arrête de nous présenter les Etats comme étant les principaux acteurs. La stratégie de coller les problèmes sur leur dos a fait long feu… Ils ont été largement financiarisés et corporatisés. D’ailleurs regardons qui sont les financeurs privés…

LHK

Annexe

leaflet_institut_pasteur_asia-pacific11




Les valeurs familiales de Schwab

[Source anglaise : unlimitedhangout.com]

​[Traduction automatique par DeepL]

Le vrai Klaus Schwab est-il une figure de vieil oncle bienveillant souhaitant faire le bien pour l’humanité, ou est-il en réalité le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé l’esclavage et aidé les nazis à obtenir la première bombe atomique ? Johnny Vedmore mène l’enquête.

Par JOHNNY VEDMORE

Le matin du 11 septembre 2001, Klaus Schwab prend son petit-déjeuner à la synagogue Park East de New York avec le rabbin Arthur Schneier, ancien vice-président du Congrès juif mondial et proche des familles Bronfman et Lauder. Ensemble, les deux hommes ont assisté à l’un des événements les plus marquants des vingt prochaines années, lorsque des avions ont frappé les bâtiments du World Trade Center. Aujourd’hui, deux décennies plus tard, Klaus Schwab est à nouveau aux premières loges pour assister à un autre moment déterminant de l’histoire moderne de l’humanité.

S’il semble toujours être aux premières loges lorsqu’une tragédie se profile à l’horizon, Schwab doit sa proximité avec les événements qui bouleversent le monde au fait qu’il est l’un des hommes les mieux connectés de la planète. En tant que force motrice du Forum économique mondial, « l’organisation internationale pour la coopération public-privé », Schwab a courtisé les chefs d’État, les grands dirigeants d’entreprise et l’élite des cercles universitaires et scientifiques à Davos pendant plus de 50 ans. Plus récemment, il s’est également attiré l’ire de nombreuses personnes en raison de son rôle plus récent en tant que chef de file de la Grande Réinitialisation, un vaste effort visant à refaire la civilisation au niveau mondial pour le bénéfice exprès de l’élite du Forum économique mondial et de ses alliés.

Lors de la réunion annuelle du Forum en janvier 2021, Schwab a souligné que l’instauration d’un climat de confiance ferait partie intégrante du succès de la Grande Réinitialisation, signalant une expansion ultérieure de la campagne de relations publiques déjà massive de l’initiative. Bien que Schwab ait appelé au renforcement de la confiance par le biais de « progrès » non spécifiés, la confiance est normalement facilitée par la transparence. C’est peut-être la raison pour laquelle tant de personnes ont refusé de faire confiance à M. Schwab et à ses motivations, car on sait si peu de choses sur l’histoire et le parcours de cet homme avant qu’il ne fonde le Forum économique mondial au début des années 1970.

Comme c’est le cas pour de nombreuses personnalités qui défendent les intérêts de l’élite, le dossier en ligne de Schwab a été bien aseptisé, ce qui rend difficile la recherche d’informations sur ses débuts et sur sa famille. Pourtant, étant donné qu’il est né à Ravensburg, en Allemagne, en 1938, beaucoup ont spéculé ces derniers mois sur le fait que la famille de Schwab aurait pu avoir un lien quelconque avec les efforts de guerre de l’Axe, des liens qui, s’ils étaient exposés, pourraient menacer la réputation du Forum économique mondial et apporter un examen indésirable à ses missions et motivations déclarées.

Dans cette enquête d’Unlimited Hangout, le passé que Klaus Schwab s’est efforcé de cacher est exploré en détail, révélant l’implication de la famille Schwab, non seulement dans la quête nazie d’une bombe atomique, mais aussi dans le programme nucléaire illégal de l’Afrique du Sud de l’apartheid. L’histoire du père de Klaus, Eugen Schwab, qui a dirigé la branche allemande d’une société d’ingénierie suisse, soutenue par les nazis, pendant la guerre en tant qu’entrepreneur militaire de premier plan, est particulièrement révélatrice. Cette société, Escher-Wyss, utilisait des esclaves pour produire des machines essentielles à l’effort de guerre nazi et à la production d’eau lourde pour le programme nucléaire nazi. Des années plus tard, dans la même entreprise, le jeune Klaus Schwab siégeait au conseil d’administration lorsqu’il a été décidé de fournir au régime raciste d’apartheid d’Afrique du Sud l’équipement nécessaire pour poursuivre sa quête de devenir une puissance nucléaire.

Le Forum économique mondial étant aujourd’hui un éminent défenseur de la non-prolifération nucléaire et de l’énergie nucléaire « propre », le passé de Klaus Schwab fait de lui un piètre porte-parole de l’agenda qu’il professe pour le présent et l’avenir. Pourtant, en creusant encore plus profondément dans ses activités, il apparaît clairement que le véritable rôle de Schwab a longtemps été de « façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels » du présent afin d’assurer la continuité de programmes plus vastes et beaucoup plus anciens qui ont été discrédités après la Seconde Guerre mondiale, non seulement la technologie nucléaire, mais aussi les politiques de contrôle de la population influencées par l’eugénisme.

Une histoire souabe

Le 10 juillet 1870, le grand-père de Klaus Schwab, Jakob Wilhelm Gottfried Schwab, appelé plus tard simplement Gottfried, est né dans une Allemagne en guerre contre ses voisins français. Karlsruhe, la ville où est né Gottfried Schwab, est située dans le Grand-Duché de Bade, gouverné en 1870 par le Grand-Duc de Bade, Frédéric Ier, âgé de 43 ans. L’année suivante, ledit Duc sera présent lors de la proclamation de l’Empire allemand qui a lieu dans la Galerie des Glaces du Château de Versailles. Il était le seul gendre de l’empereur en exercice Wilhelm Ier et, en tant que Frédéric Ier, il était l’un des souverains régnants d’Allemagne. Lorsque Gottfried Schwab a 18 ans, l’Allemagne voit Wilhelm II monter sur le trône à la mort de son père, Frédéric III.

En 1893, Gottfried Schwab, âgé de 23 ans, quitte officiellement l’Allemagne, abandonne sa nationalité allemande et quitte Karlsruhe pour émigrer en Suisse. À l’époque, sa profession est celle d’un simple boulanger. C’est là que Gottfried rencontre Marie Lappert, originaire de Kirchberg, près de Berne, et de cinq ans sa cadette. Ils se marient à Roggwil, Berne, le 27 mai 1898 et l’année suivante, le 27 avril 1899, leur enfant Eugen Schwab naît. A l’époque de sa naissance, Gottfried Schwab a gravi les échelons, il est devenu ingénieur en mécanique. Quand Eugen a environ un an, Gottfried et Marie Schwab décident de retourner vivre à Karlsruhe et Gottfried redemande la nationalité allemande.

Eugen Schwab suivra les traces de son père et deviendra lui aussi ingénieur en mécanique et, dans les années à venir, il conseillera à ses enfants de faire de même. Eugen Schwab commence à travailler dans une usine située dans une ville de Haute-Souabe, dans le sud de l’Allemagne, capitale du district de Ravensburg, dans le Bade-Wurtemberg.

L’usine où il allait forger sa carrière était la branche allemande d’une entreprise suisse appelée Escher Wyss. La Suisse avait de nombreux liens économiques de longue date avec la région de Ravensburg. Au début du XIXe siècle, des commerçants suisses apportaient du fil et des produits de tissage. À la même époque, Ravensburg a livré des céréales à Rorschach jusqu’en 1870, ainsi que des animaux d’élevage et divers fromages, au cœur des Alpes suisses. Entre 1809 et 1837, 375 Suisses vivaient à Ravensburg, mais la population suisse n’en comptait plus que 133 en 1910.

Dans les années 1830, des travailleurs suisses qualifiés ont créé une usine de coton avec une usine de blanchiment et de finition incorporée, dont les frères Erpf étaient les propriétaires et les responsables. Le marché aux chevaux de Ravensburg, créé vers 1840, a également attiré de nombreux habitants de Suisse, surtout après l’ouverture en 1847 de la ligne de chemin de fer reliant Ravensburg à Friedrichshafen, une ville située sur le lac de Constance voisin, à la frontière entre la Suisse et l’Allemagne.

Les négociants en grains de Rorsach se rendaient régulièrement au Ravensburger Kornhaus et, finalement, cette coopération et ce commerce transfrontaliers ont également conduit à l’ouverture d’une succursale de la fabrique de machines de Zurich, Escher-Wyss & Cie, dans la ville. Cet exploit a été rendu plausible lorsqu’une ligne de train reliant la Suisse au réseau routier allemand a été achevée entre 1850 et 1853. L’usine est créée par Walter Zuppinger entre 1856 et 1859 et commence à produire en 1860. En 1861, on peut voir le premier brevet officiel des fabricants Escher-Wyss de Ravensburg concernant des « installations particulières sur des métiers mécaniques pour le tissage de rubans ». À cette époque, la succursale de Ravensburg d’Escher Wyss est dirigée par Walter Zuppinger. C’est là qu’il développe sa turbine tangentielle et qu’il obtient un certain nombre de brevets supplémentaires. En 1870, Zuppinger et d’autres fondent également une usine de papier à Baienfurt, près de Ravensburg. Il prend sa retraite en 1875 et consacre toute son énergie à faire progresser les turbines.

Document de fondation de l’usine Escher-Wyss Ravensburg, daté de 1860.

Au début du nouveau siècle, Escher-Wyss avait mis de côté le tissage de rubans et commençait à se concentrer sur des projets beaucoup plus importants comme la production de grandes turbines industrielles. En 1907, ils ont demandé une « procédure d’approbation et de concession » pour la construction d’une centrale hydroélectrique près de Dogern am Rhein, ce qui a été rapporté dans une brochure bâloise de 1925.

En 1920, Escher-Wyss se trouve en proie à de graves difficultés financières. Le traité de Versailles avait limité la croissance militaire et économique de l’Allemagne après la Grande Guerre, et l’entreprise suisse trouvait le ralentissement des projets de génie civil des pays voisins trop lourd à supporter. La maison mère d’Escher-Wyss, située à Zurich, datait de 1805 et l’entreprise, qui bénéficiait encore d’une bonne réputation et d’une histoire de plus d’un siècle, était jugée trop importante pour être perdue. En décembre 1920, une réorganisation a été effectuée en réduisant le capital social de 11,5 à 4,015 millions de francs français, puis en l’augmentant à nouveau à 5,515 millions de francs suisses. À la fin de l’exercice 1931, Escher-Wyss perd toujours de l’argent.

Pourtant, l’entreprise courageuse a continué à fournir des contrats de génie civil à grande échelle tout au long des années 1920, comme le montre la correspondance officielle écrite en 1924 par Wilhelm III, prince d’Urach, à l’entreprise Escher-Wyss et au gestionnaire de fortune de la maison d’Urach, le comptable Julius Heller. Ce document traite des « Conditions générales de l’Association des fabricants allemands de turbines hydrauliques pour la livraison de machines et autres équipements pour les centrales hydrauliques ». Ceci est également confirmé dans une brochure sur les « Conditions de l’Association des fabricants allemands de turbines hydrauliques pour l’installation de turbines et de pièces de machines au sein du Reich allemand », imprimée le 20 mars 1923 dans une brochure publicitaire de Escher-Wyss pour un régulateur universel de pression d’huile.

Après que la Grande Dépression du début des années 1930 ait dévasté l’économie mondiale, Escher-Wyss annonce : « En raison de l’évolution catastrophique de la situation économique liée à la baisse des devises, la société [Escher-Wyss] est temporairement dans l’incapacité de poursuivre ses engagements actuels dans divers pays clients ». La société a également révélé qu’elle demanderait un sursis au tribunal au journal suisse Neue Zürcher Nachrichten, qui a rapporté le 1er décembre 1931 que « la société Escher-Wyss a obtenu un sursis de faillite jusqu’à la fin du mois de mars 1932 et qu’une société fiduciaire a été désignée comme curateur en Suisse ». L’article affirme avec optimisme qu' »il devrait y avoir une perspective de poursuite des activités ». En 1931, Escher-Wyss employait environ 1 300 travailleurs non contractuels et 550 employés salariés.

Au milieu des années 1930, Escher-Wyss se trouve à nouveau en difficulté financière. Afin de sauver l’entreprise, un consortium a été mis sur pied pour sauver la société d’ingénierie en difficulté. Le consortium est en partie formé par la Banque fédérale de Suisse (qui, par coïncidence, est dirigée par Max Schwab, qui n’a aucun lien de parenté avec Klaus Schwab) et une nouvelle restructuration a lieu. En 1938, il est annoncé qu’un ingénieur de l’entreprise, le colonel Jacob Schmidheiny, devient le nouveau président du conseil d’administration d’Escher-Wyss. Peu après le déclenchement de la guerre en 1939, Schmidheiny aurait déclaré : « Le déclenchement de la guerre ne signifie pas nécessairement le chômage pour l’industrie des machines dans un pays neutre, au contraire. » Escher-Wyss, et sa nouvelle direction, étaient apparemment impatients de profiter de la guerre, ouvrant la voie à leur transformation en un important contractant militaire nazi.

Une brève histoire de la persécution des Juifs à Ravensburg

Lorsque Adolf Hitler est arrivé au pouvoir, beaucoup de choses ont changé en Allemagne, et l’histoire de la population juive de Ravensburg à cette époque est triste à raconter. Pourtant, ce n’était pas la première fois que l’antisémitisme était signalé comme ayant fait son apparition dans la région.

Au Moyen Âge, une synagogue, mentionnée dès 1345, était située au centre de Ravensburg, au service d’une petite communauté juive dont on peut retrouver la trace entre 1330 et 1429. À la fin de l’année 1429 et au cours de l’année 1430, les Juifs de Ravensburg ont été pris pour cible et un horrible massacre s’en est suivi. Dans les localités voisines de Lindau, Überlingen, Buchhorn (rebaptisée plus tard Friedrichshafen), Meersburg et Konstanz, les résidents juifs sont arrêtés en masse. Les Juifs de Lindau sont brûlés vifs lors de la campagne de diffamation de Ravensburg en 1429/1430, au cours de laquelle des membres de la communauté juive sont accusés de sacrifier rituellement des bébés. En août 1430, à Überlingen, la communauté juive a été contrainte de se convertir, 11 d’entre eux l’ont fait et les 12 qui ont refusé ont été tués. Les massacres qui ont eu lieu à Lindau, Überlingen et Ravensburg se sont déroulés avec l’approbation directe du roi Sigmund et les Juifs restants ont été rapidement expulsés de la région.

Ravensburg a vu cette interdiction confirmée par l’empereur Ferdinand Ier en 1559 et elle a été maintenue, par exemple, dans une instruction de 1804 émise pour la garde de la ville, qui se lisait comme suit « Les juifs n’étant pas autorisés à exercer ici un commerce ou une activité, personne d’autre n’est autorisé à entrer dans la ville par la poste ou en voiture. Les autres, cependant, s’ils n’ont pas reçu du bureau de police une autorisation pour un séjour plus ou moins long, doivent être expulsés de la ville par le poste de police. »

Ce n’est qu’au XIXe siècle que les Juifs ont pu s’installer à nouveau légalement à Ravensburg et, même alors, leur nombre est resté si faible qu’une synagogue n’a pas été reconstruite. En 1858, seuls 3 Juifs étaient recensés à Ravensburg et, en 1895, ce nombre atteignait 57. Entre le début du siècle et 1933, le nombre de Juifs vivant à Ravensburg n’a cessé de diminuer jusqu’à ce que la communauté ne compte plus que 23 personnes.

Au début des années 1930, sept grandes familles juives vivaient à Ravensburg, notamment les familles Adler, Erlanger, Harburger, Herrmann, Landauer, Rose et Sondermann. Après la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, certains des Juifs de Ravensburg ont été contraints d’émigrer, tandis que d’autres ont été assassinés dans les camps de concentration nazis. Avant la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses manifestations publiques de haine à l’égard de la petite communauté juive de Ravensburg et de ses environs ont eu lieu.

Dès le 13 mars 1933, environ trois semaines avant le boycott national par les nazis de tous les magasins juifs d’Allemagne, des gardes SA se postent devant deux des cinq magasins juifs de Ravensburg et tentent d’empêcher les acheteurs potentiels d’entrer, affichant sur l’un des magasins des panneaux indiquant « Wohlwert fermé jusqu’à l’aryanisation ». Le magasin Wohlwert sera bientôt « aryanisé » et sera le seul magasin juif à survivre au pogrom nazi. Les autres propriétaires des quatre grands magasins juifs de Ravensburg, Knopf, Merkur, Landauer et Wallersteiner, sont tous contraints de vendre leurs biens à des commerçants non-juifs entre 1935 et 1938. Au cours de cette période, de nombreux Juifs de Ravensburg ont pu fuir à l’étranger avant que le pire de la persécution nationale-socialiste ne commence. Alors qu’au moins huit d’entre eux sont morts violemment, il a été rapporté que trois citoyens juifs qui vivaient à Ravensburg ont survécu grâce à leurs conjoints « aryens ». Certains des Juifs arrêtés à Ravensburg pendant la Nuit de cristal ont été contraints de défiler dans les rues de Baden-Baden sous la surveillance de gardes SS le jour suivant et ont ensuite été déportés au camp de concentration de Sachsenhausen.

D’horribles crimes nazis contre l’humanité ont eu lieu à Ravensburg. Le 1er janvier 1934, la « loi sur la prévention des maladies héréditaires » est entrée en vigueur dans l’Allemagne nazie, ce qui signifie que les personnes atteintes de maladies diagnostiquées telles que la démence, la schizophrénie, l’épilepsie, la surdité héréditaire et divers autres troubles mentaux, pouvaient être légalement stérilisées de force. À l’hôpital municipal de Ravensburg, aujourd’hui appelé hôpital Heilig-Geist, des stérilisations forcées ont été pratiquées à partir d’avril 1934. En 1936, la stérilisation était la procédure médicale la plus pratiquée dans l’hôpital municipal.

Au cours des années d’avant-guerre des années 30 qui ont précédé l’annexion de la Pologne par l’Allemagne, l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, désormais dirigée directement par le père de Klaus Schwab, Eugen Schwab, est restée le plus gros employeur de Ravensburg. Non seulement l’usine est un employeur majeur de la ville, mais le parti nazi d’Hitler lui-même décerne à la succursale Escher-Wyss de Ravensburg le titre d' »entreprise modèle nationale-socialiste » alors que Schwab est à sa tête. Les nazis courtisaient potentiellement l’entreprise suisse en vue d’une coopération dans la guerre à venir, et leurs avances ont fini par être réciproques.

​Escher-Wyss Ravensburg et la guerre

Ravensburg était une anomalie dans l’Allemagne de la guerre, car elle n’a jamais été visée par des frappes aériennes alliées. En raison de la présence de la Croix-Rouge et de la rumeur d’un accord avec diverses entreprises, dont Escher-Wyss, les forces alliées ont accepté publiquement de ne pas cibler la ville du sud de l’Allemagne. Elle n’a pas été classée comme une cible militaire importante tout au long de la guerre et, pour cette raison, la ville a conservé nombre de ses caractéristiques d’origine. Cependant, des choses bien plus sombres se préparaient à Ravensburg dès le début de la guerre.

Eugen Schwab continue de gérer la « National Socialist Model Company » pour Escher-Wyss, et l’entreprise suisse aidera la Wermacht nazie à produire d’importantes armes de guerre ainsi que des armements plus simples. L’entreprise Escher-Wyss est leader dans la technologie des grandes turbines pour les barrages hydroélectriques et les centrales électriques, mais elle fabrique également des pièces pour les avions de chasse allemands. Elle était aussi intimement liée à des projets beaucoup plus sinistres qui se déroulaient en coulisses et qui, s’ils avaient été menés à bien, auraient pu changer l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

Officiels nazis devant l’hôtel de ville de Ravensburg en 1938,
Source : Haus der Stadtgeschichte Ravensburg

Les services de renseignements militaires occidentaux étaient déjà au courant de la complicité et de la collaboration d’Escher-Wyss avec les nazis. Les services de renseignements militaires occidentaux de l’époque disposent de documents, notamment le Record Group 226 (RG 226) des données compilées par l’Office of Strategic Services (OSS), qui montrent que les forces alliées étaient au courant de certaines relations d’affaires entre Escher-Wyss et les nazis.

Dans le document RG 226, il y a trois mentions spécifiques d’Escher-Wyss, notamment :

  • Dossier numéro 47178 qui se lit comme suit : La société suisse Escher-Wyss travaille sur une grosse commande pour l’Allemagne. Les lance-flammes sont expédiés de Suisse sous le nom de Brennstoffbehaelter. Daté de septembre 1944.
  • Le dossier numéro 41589 montre que les Suisses autorisaient le stockage d’exportations allemandes dans leur pays, une nation supposée neutre pendant la Seconde Guerre mondiale. L’entrée se lit comme suit : Relations commerciales entre Empresa Nacional Calvo Sotelo (ENCASO), Escher Wyss et Mineral Celbau Gesellschaft. 1 p. juillet 1944 ; voir aussi L 42627 Rapport sur la collaboration entre l’entreprise espagnole Empresa Nacional Calvo Sotelo et l’entreprise allemande Rheinmetall Borsig, sur les exportations allemandes stockées en Suisse. 1 p. Août 1944.
  • Le dossier numéro 72654 affirmait que : La bauxite de Hongrie était autrefois envoyée en Allemagne et en Suisse pour y être raffinée. Puis un syndicat gouvernemental a construit une usine d’aluminium à Dunaalmas, aux frontières de la Hongrie. L’énergie électrique était fournie ; la Hongrie a contribué aux mines de charbon, et l’équipement a été commandé à la société suisse Escher-Wyss. La production commence en 1941. 2 pages. Mai 1944.

Pourtant, Escher-Wyss est leader dans un domaine en plein essor, la création d’une nouvelle technologie de turbine. L’entreprise a conçu une turbine de 14 500 CV pour l’usine hydroélectrique d’importance stratégique de Norsk Hydro à Vemork, près de Rjukan en Norvège. L’usine Norsk Hydro, en partie alimentée par Escher Wyss, était la seule usine industrielle sous contrôle nazi capable de produire de l’eau lourde, un ingrédient essentiel à la fabrication du plutonium pour le programme nazi de la bombe atomique. Les Allemands avaient mis toutes les ressources possibles derrière la production d’eau lourde, mais les forces alliées étaient conscientes des avancées technologiques des nazis, de plus en plus désespérés, qui pouvaient changer la donne.

En 1942 et 1943, l’usine hydroélectrique a été la cible de raids partiellement réussis du Commando britannique et de la Résistance norvégienne, bien que la production d’eau lourde se soit poursuivie. Les forces alliées ont largué plus de 400 bombes sur l’usine, ce qui a à peine affecté les opérations de cette installation tentaculaire. En 1944, des navires allemands ont tenté de ramener de l’eau lourde en Allemagne, mais la Résistance norvégienne a réussi à couler le navire transportant la charge utile. Avec l’aide d’Escher-Wyss, les nazis ont presque réussi à changer le cours de la guerre et à provoquer la victoire de l’Axe.

Dans l’usine Escher-Wyss de Ravensburg, Eugen Schwab s’est employé à faire travailler des travailleurs forcés dans son entreprise nazie modèle. Pendant les années de la Seconde Guerre mondiale, près de 3 600 travailleurs forcés ont travaillé à Ravensburg, notamment chez Escher Wyss. Selon l‘archiviste de la ville de Ravensburg, Andrea Schmuder, l’usine de machines Escher-Wyss de Ravensburg a employé entre 198 et 203 travailleurs civils et prisonniers de guerre pendant la guerre. Karl Schweizer, un historien local de Lindau, affirme que Escher-Wyss a maintenu un petit camp spécial pour les travailleurs forcés dans les locaux de l’usine.

L’utilisation de masses de travailleurs forcés à Ravensburg a rendu nécessaire l’installation de l’un des plus grands camps de travail forcé nazis répertoriés dans l’atelier d’un ancien charpentier situé Ziegelstrasse 16. Le camp en question a accueilli à un moment donné 125 prisonniers de guerre français qui ont ensuite été redistribués dans d’autres camps en 1942. Les travailleurs français ont été remplacés par 150 prisonniers de guerre russes qui, selon la rumeur, étaient les plus mal traités de tous les prisonniers de guerre. L’un de ces prisonniers était Zina Jakuschewa, dont la carte et le carnet de travail sont détenus par le United States Holocaust Memorial Museum. Ces documents l’identifient comme une travailleuse forcée non juive affectée à Ravensburg, en Allemagne, en 1943 et 1944.

Eugen Schwab maintient consciencieusement le statu quo pendant les années de guerre. Après tout, avec le jeune Klaus Martin Schwab né en 1938 et son frère Urs Reiner Schwab né quelques années plus tard, Eugen aurait voulu garder ses enfants à l’abri du danger.

Klaus Martin Schwab – Homme de mystère international

Né le 30 mars 1938 à Ravensburg, en Allemagne, Klaus Schwab est l’aîné des enfants d’une famille nucléaire normale. Entre 1945 et 1947, Klaus a fréquenté l’école primaire de Au, en Allemagne. Dans une interview accordée en 2006 au Irish Times, Klaus Schwab se souvient que : « Après la guerre, j’ai présidé l’association régionale franco-allemande de la jeunesse. Mes héros étaient Adenauer, De Gasperi et De Gaulle ».

Klaus Schwab et son jeune frère, Urs Reiner Schwab, devaient tous deux suivre les traces de leur grand-père, Gottfried, et de leur père, Eugen, et suivre une formation d’ingénieur en machines. Le père de Klaus avait dit au jeune Schwab que, s’il voulait avoir un impact sur le monde, il devait suivre une formation d’ingénieur en machines. Ce n’est que le début de la carrière universitaire de Schwab.

Klaus commence à étudier ses nombreux diplômes au Spohn-Gymnasium de Ravensburg entre 1949 et 1957, et obtient finalement le diplôme du Humanistisches Gymnasium de Ravensburg. Entre 1958 et 1962, Klaus a commencé à travailler dans diverses sociétés d’ingénierie et, en 1962, Klaus a terminé ses études d’ingénierie mécanique à l’École polytechnique fédérale (ETH) de Zurich avec un diplôme d’ingénieur. L’année suivante, il a également suivi un cours d’économie à l’Université de Fribourg, en Suisse. De 1963 à 1966, Klaus a travaillé comme assistant du directeur général de l’Association allemande de la construction mécanique (VDMA), à Francfort.

En 1965, Klaus prépare également son doctorat à l’ETH de Zurich, en rédigeant sa thèse sur : « Le crédit à l’exportation à long terme comme problème commercial dans la construction mécanique ». Puis, en 1966, il obtient son doctorat en ingénierie à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH). A cette époque, le père de Klaus, Eugen Schwab, nageait dans des cercles plus grands que ceux dans lesquels il avait nagé auparavant. Après avoir été une personnalité bien connue à Ravensburg en tant que directeur général de l’usine Escher-Wyss depuis l’avant-guerre, Eugen sera finalement élu président de la chambre de commerce de Ravensburg. En 1966, lors de la fondation du comité allemand pour le tunnel ferroviaire de Splügen, Eugen Schwab définit la fondation du comité allemand comme un projet « qui crée une connexion meilleure et plus rapide pour les grands cercles de notre Europe de plus en plus convergente et offre ainsi de nouvelles possibilités de développement culturel, économique et social ».

En 1967, Klaus Schwab a obtenu un doctorat en économie de l’université de Fribourg, en Suisse, ainsi qu’une maîtrise en administration publique de la John F. Kennedy School of Government de Harvard, aux États-Unis. À Harvard, Klaus Schwab suit les cours de Henry Kissinger, dont il dira plus tard qu’il fait partie des trois ou quatre personnalités qui ont le plus influencé sa pensée tout au long de sa vie.

Henry Kissinger et son ancien élève, Klaus Schwab,
accueillent l’ancien Premier ministre britannique Ted Heath lors de la réunion annuelle du WEF en 1980.
Source : Forum économique mondial

Dans l’article de l’Irish Times de 2006 mentionné précédemment, Klaus parle de cette période comme étant très importante pour la formation de sa pensée idéologique actuelle, déclarant : « Des années plus tard, lorsque je suis revenu des États-Unis après mes études à Harvard, deux événements ont eu un effet déclencheur décisif sur moi. Le premier était un livre de Jean-Jacques Servan-Schreiber, The American Challenge – qui disait que l’Europe perdrait contre les États-Unis en raison des méthodes de gestion inférieures de l’Europe. L’autre événement était – et cela concerne l’Irlande – l’Europe des six est devenue l’Europe des neuf« . Ces deux événements ont contribué à faire de Klaus Schwab un homme qui voulait changer la façon dont les gens travaillaient.

La même année, Urs Reiner Schwab, le frère cadet de Klaus, obtient son diplôme d’ingénieur en mécanique de l’ETH Zurich et Klaus Schwab entre dans l’ancienne entreprise de son père, Escher-Wyss, qui deviendra bientôt Sulzer Escher-Wyss AG, Zurich, en tant qu’assistant du président pour aider à la réorganisation des sociétés fusionnées. Cela nous mène aux connexions nucléaires de Klaus.

L’ascension d’un technocrate

Sulzer, une société suisse dont les origines remontent à 1834, s’est fait connaître après avoir commencé à construire des compresseurs en 1906. En 1914, l’entreprise familiale faisait partie de « trois sociétés par actions« , dont l’une était la société holding officielle. Dans les années 1930, les bénéfices de Sulzer ont souffert de la Grande Dépression et, comme beaucoup d’entreprises à l’époque, ont dû faire face à des perturbations et à des actions industrielles de la part de leurs travailleurs.

La Seconde Guerre mondiale n’a peut-être pas touché la Suisse autant que ses voisins, mais le boom économique qui a suivi a permis à Sulzer de gagner en puissance et de dominer le marché. En 1966, juste avant l’arrivée de Klaus Schwab chez Escher-Wyss, les fabricants suisses de turbines signent un accord de coopération avec les frères Sulzer à Winterthur. Sulzer et Escher-Wyss commencent à fusionner en 1966, lorsque Sulzer achète 53% des parts de la société. Escher-Wyss devient officiellement Sulzer Escher-Wyss AG en 1969, lorsque les dernières actions sont acquises par les frères Sulzer.

Une fois la fusion entamée, Escher-Wyss commence à être restructurée et deux des membres du conseil d’administration existants sont les premiers à voir leur service à Escher-Wyss prendre fin. Le Dr H. Schindler et W. Stoffel démissionnent du conseil d’administration désormais dirigé par Georg Sulzer et Alfred Schaffner. Le Dr Schindler a été membre du conseil d’administration d’Escher-Wyss pendant 28 ans et a travaillé aux côtés d’Eugen Schwab pendant la majeure partie de son mandat. Peter Schmidheiny prendra plus tard la présidence du conseil d’administration d’Escher-Wyss, poursuivant ainsi la domination de la famille Schmidheiny sur les dirigeants de l’entreprise.

Au cours du processus de restructuration, il a été décidé qu’Escher-Wyss et Sulzer se concentreraient sur des domaines distincts de la construction de machines. Les usines d’Escher-Wyss travailleraient principalement sur la construction de centrales hydrauliques, y compris les turbines, les pompes de stockage, les machines d’inversion, les dispositifs de fermeture et les canalisations, ainsi que les turbines à vapeur, les turbocompresseurs, les systèmes d’évaporation, les centrifugeuses et les machines pour l’industrie du papier et de la pâte à papier. Sulzer se concentrerait sur l’industrie de la réfrigération ainsi que sur la construction de chaudières à vapeur et de turbines à gaz.

Le 1er janvier 1968, la société Sulzer Escher-Wyss AG, fraîchement réorganisée, est présentée publiquement. La société a été rationalisée, un mouvement jugé nécessaire en raison de plusieurs acquisitions importantes. Parmi celles-ci figure une étroite collaboration avec Brown Boveri, un groupe de sociétés suisses d’ingénierie électrique qui avait également travaillé pour les nazis, fournissant aux Allemands une partie de la technologie des sous-marins utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale. Brown Boveri est également décrite comme une « entreprise d’électricité liée à la défense » et trouvera les conditions de la course aux armements de la guerre froide bénéfiques à son activité.

La fusion et la réorganisation de ces géants suisses de l’ingénierie mécanique ont vu leur collaboration porter ses fruits de manière unique. Pendant les Jeux olympiques d’hiver de 1968 à Grenoble, Sulzer et Escher-Wyss ont utilisé 8 compresseurs de réfrigération pour créer des tonnes de glace artificielle. En 1969, les deux entreprises se sont associées pour participer à la construction d’un nouveau navire de passagers baptisé « Hamburg », le premier navire au monde à être entièrement climatisé grâce à la combinaison Sulzer Escher-Wyss.

En 1967, Klaus Schwab fait officiellement irruption sur la scène du monde des affaires suisse et prend la tête de la fusion entre Sulzer et Escher-Wyss, tout en formant des alliances profitables avec Brown Boveri et d’autres. En décembre 1967, Klaus s’est adressé, lors d’un événement à Zurich, aux principales organisations suisses d’ingénierie des machines : l’Association patronale des fabricants suisses de machines et de métaux et l’Association des fabricants suisses de machines.

Dans son exposé, il a prédit avec justesse l’importance de l’intégration des ordinateurs dans l’ingénierie des machines suisses modernes, en déclarant que :

« En 1971, des produits qui ne sont même pas sur le marché aujourd’hui sont susceptibles de représenter jusqu’à un quart des ventes. Cela oblige les entreprises à rechercher systématiquement les développements possibles et à identifier les lacunes du marché. Aujourd’hui, 18 des 20 plus grandes entreprises de notre industrie des machines ont des départements de planification qui sont chargés de ces tâches. Bien entendu, chacun doit utiliser les dernières avancées technologiques, et l’ordinateur en fait partie. Les nombreuses petites et moyennes entreprises de notre industrie des machines empruntent la voie de la coopération ou utilisent les services de prestataires spécialisés dans le traitement des données. »

Les ordinateurs et les données étaient manifestement considérés comme importants pour l’avenir, selon Schwab, et cela s’est reflété dans la réorganisation de Sulzer Escher-Wyss lors de leur fusion. Le site Web moderne de Sulzer reflète ce changement d’orientation notable, indiquant qu’en 1968 : « Les activités de technologie des matériaux sont intensifiées [par Sulzer] et constituent la base des produits de technologie médicale. Le changement fondamental d’une entreprise de construction de machines à une entreprise de technologie commence à devenir apparent. »

Klaus Schwab a contribué à faire de Sulzer Escher-Wyss quelque chose de plus qu’un simple géant de la construction de machines, il l’a transformé en une entreprise technologique qui se dirige à grande vitesse vers un avenir de haute technologie. Il convient également de noter que Sulzer Escher-Wyss a modifié un autre aspect de ses activités pour les aider à « former la base des produits de technologie médicale », un domaine qui n’avait pas été mentionné auparavant comme industrie cible pour Sulzer et/ou Escher-Wyss.

Mais le progrès technologique n’était pas la seule amélioration que Klaus Schwab voulait introduire chez Sulzer Escher-Wyss, il voulait également changer la façon dont l’entreprise pensait à son style de gestion. Schwab et ses proches collaborateurs poussaient une philosophie d’entreprise entièrement nouvelle qui permettrait « à tous les employés d’accepter les impératifs de la motivation et d’assurer chez eux un sens de la flexibilité et de la manœuvrabilité ».

C’est ici, à la fin des années 1960, que nous voyons Klaus commencer à devenir une personnalité plus publique. À cette époque, la société Sulzer Escher-Wyss s’intéresse également plus que jamais à la presse. En janvier 1969, les géants suisses ont mis en place une séance de consultation publique intitulée « Journée de presse de l’industrie des machines« , qui concernait principalement des questions sur la gestion de l’entreprise. Au cours de cet événement, Schwab déclare que les entreprises qui utilisent des styles de gestion autoritaires sont « incapables d’activer pleinement le « capital humain«  », un argument qu’il utilisera à plusieurs reprises à la fin des années 1960.

Le plutonium et Pretoria

Escher-Wyss a été le pionnier de certaines des technologies les plus importantes en matière de production d’énergie. Comme le souligne le ministère américain de l’énergie dans son document sur le développement du cycle de Brayton au CO2 supercritique (CBC), un dispositif utilisé dans les centrales hydroélectriques et nucléaires, « Escher-Wyss a été la première entreprise connue à développer les turbomachines pour les systèmes CBC dès 1939″. Escher-Wyss a été la première entreprise connue pour avoir développé les turbomachines des systèmes CBC à partir de 1939. » Elle ajoute que 24 systèmes ont été construits, « Escher-Wyss ayant conçu les cycles de conversion d’énergie et construit les turbomachines pour tous les systèmes sauf trois ». En 1966, juste avant l’entrée de Schwab dans Escher-Wyss et le début de la fusion avec Sulzer, le compresseur à hélium d’Escher-Wyss a été conçu pour la société La Fleur et a poursuivi l’évolution du développement du cycle de Brayton. En 1986, cette technologie était encore importante pour l’industrie de l’armement, les drones à propulsion nucléaire étant équipés d’un réacteur nucléaire à cycle de Brayton refroidi à l’hélium.

Escher-Wyss a été impliqué dans la fabrication et l’installation de la technologie nucléaire au moins dès 1962, comme le montre ce brevet pour un « dispositif d’échange de chaleur pour une centrale nucléaire » et ce brevet de 1966 pour une « centrale à turbine à gaz pour réacteur nucléaire avec refroidissement de secours ». Après le départ de Schwab de Sulzer Escher-Wyss, Sulzer a également contribué au développement de turbocompresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium afin de produire des combustibles pour réacteurs.

Lorsque Klaus Schwab rejoint Sulzer Escher-Wyss en 1967 et entame la réorganisation de l’entreprise pour en faire une société technologique, l’implication de Sulzer Escher-Wyss dans les aspects les plus sombres de la course mondiale aux armements nucléaires devient immédiatement plus prononcée. Avant que Klaus ne soit impliqué, Escher-Wyss s’était souvent concentré sur l’aide à la conception et à la construction de pièces pour les utilisations civiles de la technologie nucléaire, par exemple la production d’énergie nucléaire. Pourtant, avec l’arrivée de l’enthousiaste M. Schwab, l’entreprise a également participé à la prolifération illégale de la technologie des armes nucléaires. En 1969, l’incorporation d’Escher Wyss dans Sulzer est entièrement achevée et l’entreprise devient Sulzer AG, abandonnant le nom historique d’Escher-Wyss.

Il a finalement été révélé, grâce à un examen et un rapport réalisés par les autorités suisses et un homme nommé Peter Hug, que Sulzer Escher-Wyss a commencé à se procurer et à construire secrètement des pièces clés pour les armes nucléaires dans les années 1960. La société, alors que Schwab siégeait au conseil d’administration, a également commencé à jouer un rôle essentiel dans le développement du programme illégal d’armes nucléaires de l’Afrique du Sud pendant les années les plus sombres du régime d’apartheid. Klaus Schwab était une figure de proue dans la fondation d’une culture d’entreprise qui a aidé Pretoria à construire six armes nucléaires et à en assembler partiellement une septième.

Dans ce rapport, Peter Hug explique comment Sulzer Escher Wyss AG (appelée Sulzer AG après la fusion) a fourni des composants vitaux au gouvernement sud-africain et trouve des preuves du rôle de l’Allemagne dans le soutien du régime raciste. Il révèle également que le gouvernement suisse « était au courant des transactions illégales mais les « tolérait en silence » tout en soutenant activement certaines d’entre elles ou en ne les critiquant qu’à moitié ». Le rapport de Hug a finalement été finalisé dans un ouvrage intitulé : « La Suisse et l’Afrique du Sud 1948-1994 – Rapport final du PFN 42+ mandaté par le Conseil fédéral suisse » qui a été compilé et rédigé par Georg Kreis et publié en 2007.

En 1967, l’Afrique du Sud avait construit un réacteur dans le cadre d’un projet de production de plutonium, le SAFARI-2 situé à Pelindaba. SAFARI-2 faisait partie d’un projet visant à développer un réacteur modéré à l’eau lourde qui serait alimenté par de l’uranium naturel et refroidi au sodium. Ce lien avec le développement de l’eau lourde pour la création d’uranium, la même technologie qui avait été utilisée par les nazis également avec l’aide d’Escher-Wyss, peut expliquer pourquoi les Sud-Africains ont initialement impliqué Escher-Wyss. Mais en 1969, l’Afrique du Sud abandonne le projet de réacteur à eau lourde à Pelindaba, car il draine les ressources de leur programme d’enrichissement de l’uranium qui a débuté en 1967.

Un missile nucléaire sud-africain en stockage

En 1970, Escher-Wyss était définitivement très impliqué dans la technologie nucléaire, comme le montre un document disponible dans les archives du Land de Bade-Wurtemberg. Ce document présente les détails d’une procédure de passation de marché public et contient des informations sur les pourparlers d’adjudication avec des entreprises spécifiques impliquées dans l’acquisition de technologies et de matériaux nucléaires. Les entreprises citées sont notamment : NUKEM ; Uhde ; Krantz ; Preussag ; Escher-Wyss ; Siemens ; Rheintal ; Leybold ; Lurgi ; et la tristement célèbre Transnuklear.

Les Suisses et les Sud-Africains ont entretenu des relations étroites durant cette période de l’histoire, où il n’était guère facile pour le brutal régime sud-africain de trouver des alliés proches. Le 4 novembre 1977, le Conseil de sécurité des Nations unies avait adopté la résolution 418 qui imposait un embargo obligatoire sur les armes à destination de l’Afrique du Sud, embargo qui ne serait pas entièrement levé avant 1994.

Georg Kreis a souligné les points suivants dans son évaluation détaillée du rapport Hug :

« Le fait que les autorités aient adopté une attitude de laisser-faire même après mai 1978 apparaît dans un échange de lettres entre le Mouvement Anti-Apartheid et la DFMA en octobre/décembre 1978. Comme l’explique l’étude de Hug, le Mouvement anti-apartheid de Suisse s’est appuyé sur des rapports allemands selon lesquels Sulzer Escher-Wyss et une société appelée BBC avaient fourni des pièces pour l’usine d’enrichissement d’uranium sud-africaine, et sur des crédits répétés à ESCOM, qui comprenaient également des contributions considérables de banques suisses. Ces affirmations ont conduit à se demander si le Conseil fédéral, compte tenu de son soutien fondamental à l’embargo de l’ONU, ne devrait pas inciter la Banque nationale à ne plus autoriser de crédits pour ESCOM à l’avenir. »

Les banques suisses ont contribué à financer la course au nucléaire de l’Afrique du Sud et, en 1986, Sulzer Escher-Wyss a réussi à produire des compresseurs spéciaux pour l’enrichissement de l’uranium.

La fondation du Forum économique mondial

En 1970, le jeune Klaus Schwab écrit à la Commission européenne pour lui demander de l’aider à créer un « groupe de réflexion non commercial pour les chefs d’entreprise européens ». La Commission européenne sponsorise l’événement et envoie l’homme politique français Raymond Barre comme « mentor intellectuel » du forum. Raymond Barre, qui était à l’époque commissaire européen aux affaires économiques et financières, est devenu par la suite premier ministre français et a été accusé de tenir des propos antisémites pendant son mandat.

Ainsi, en 1970, Schwab quitte Escher Wyss pour organiser une conférence de deux semaines sur la gestion des entreprises. En 1971, la première réunion du Forum économique mondial – alors appelée « European Management Symposium » – se tient à Davos, en Suisse. Environ 450 participants de 31 pays allaient prendre part au premier symposium européen sur le management organisé par Schwab, composé principalement de dirigeants de diverses entreprises européennes, de politiciens et d’universitaires américains. Le projet a été enregistré comme étant organisé par Klaus Schwab et sa secrétaire Hilde Stoll qui, plus tard la même année, deviendra l’épouse de Klaus Schwab.

Le symposium européen de Klaus n’était pas une idée originale. Comme l’a déclaré l’écrivain Ganga Jey Aratnam de manière tout à fait cohérente en 2018 :

 » L’esprit de Davos  » de Klaus Schwab était aussi  » l’esprit de Harvard « . L’école de commerce n’était pas la seule à défendre l’idée d’un symposium. L’éminent économiste de Harvard John Kenneth Galbraith s’est fait le champion de la société d’abondance ainsi que des besoins de planification du capitalisme et du rapprochement de l’Est et de l’Ouest. »

Il est également vrai que, comme l’a souligné Aratnam, ce n’était pas la première fois que Davos accueillait de tels événements. Entre 1928 et 1931, les conférences universitaires de Davos ont eu lieu à l’hôtel Belvédère, des événements cofondés par Albert Einstein et qui n’ont été interrompus que par la Grande Dépression et la menace d’une guerre imminente.

​Le Club de Rome et le WEF

Le groupe le plus influent qui a suscité la création du symposium de Klaus Schwab est le Club de Rome, un groupe de réflexion influent de l’élite scientifique et riche qui reflète le Forum économique mondial à bien des égards, notamment dans sa promotion d’un modèle de gouvernance mondiale dirigé par une élite technocratique. Le Club avait été fondé en 1968 par l’industriel italien Aurelio Peccei et le chimiste écossais Alexander King lors d’une réunion privée dans une résidence appartenant à la famille Rockefeller à Bellagio, en Italie.

Parmi ses premières réalisations, citons un livre publié en 1972, intitulé « The Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui portait essentiellement sur la surpopulation mondiale et avertissait que « si les modes de consommation et la croissance démographique du monde se poursuivaient au même rythme élevé qu’à l’époque, la Terre atteindrait ses limites d’ici un siècle. » Lors de la troisième réunion du Forum économique mondial en 1973, Peccei a prononcé un discours résumant le livre, que le site web du Forum économique mondial rappelle comme ayant été l’événement marquant de cette réunion historique. La même année, le Club de Rome publiait un rapport détaillant un modèle « adaptatif » de gouvernance mondiale qui diviserait le monde en dix régions économiques/politiques interconnectées.

Le Club de Rome a longtemps été controversé pour son obsession de la réduction de la population mondiale et nombre de ses politiques antérieures, que les critiques décrivaient comme influencées par l’eugénisme et le néo-malthusianisme. Cependant, dans le livre tristement célèbre du Club, The First Global Revolution, publié en 1991, il était affirmé que de telles politiques pouvaient obtenir un soutien populaire si les masses étaient capables de les associer à une lutte existentielle contre un ennemi commun.

À cet effet, La première révolution mondiale contient un passage intitulé « L’ennemi commun de l’humanité est l’Homme », qui stipule ce qui suit :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre, feraient l’affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent effectivement une menace commune qui doit être affrontée par tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est qu’en changeant d’attitude et de comportement qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »

Dans les années qui ont suivi, l’élite qui peuple le Club de Rome et le Forum économique mondial a fréquemment soutenu que les méthodes de contrôle de la population sont essentielles pour protéger l’environnement. Il n’est donc pas surprenant que le Forum économique mondial utilise de la même manière les questions de climat et d’environnement pour faire valoir la nécessité de politiques autrement impopulaires, telles que celles de la grande réinitialisation.

Le passé est un prologue

Depuis la création du Forum économique mondial, Klaus Schwab est devenu l’une des personnes les plus puissantes au monde et sa Grande Réinitialisation a rendu plus important que jamais l’examen minutieux de l’homme assis sur le trône mondialiste.

Compte tenu du rôle prépondérant qu’il a joué dans la vaste entreprise de transformation de tous les aspects de l’ordre existant, l’histoire de Klaus Schwab a été difficile à rechercher. Lorsque vous commencez à creuser l’histoire d’un homme comme Schwab, qui côtoie d’autres membres de l’élite, vous vous apercevez rapidement que de nombreuses informations ont été cachées ou supprimées. Klaus est quelqu’un qui veut rester caché dans les coins sombres de la société et qui ne permet à la personne moyenne de voir qu’une construction bien présentée de son personnage choisi.

Le véritable Klaus Schwab est-il une figure de vieil oncle bienveillant souhaitant faire le bien pour l’humanité, ou est-il en réalité le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail forcé et a aidé les nazis à obtenir la première bombe atomique ? Klaus est-il le chef d’entreprise honnête en qui nous devrions avoir confiance pour créer une société et un lieu de travail plus justes pour le commun des mortels, ou est-il la personne qui a contribué à pousser Sulzer Escher-Wyss dans une révolution technologique qui l’a conduit à jouer un rôle dans la création illégale d’armes nucléaires pour le régime raciste d’apartheid d’Afrique du Sud ? Les preuves que j’ai examinées ne suggèrent pas un homme aimable, mais plutôt un membre d’une famille riche et bien connectée qui a l’habitude d’aider à créer des armes de destruction massive pour des gouvernements agressifs et racistes.

Comme l’a déclaré Klaus Schwab en 2006, « le savoir sera bientôt disponible partout – j’appelle cela la « googlisation » de la mondialisation. L’important n’est plus ce que vous savez, mais la manière dont vous l’utilisez. Vous devez être à la pointe du progrès. » Klaus Schwab se considère comme un « pace setter » et un joueur de haut niveau, et il faut dire que ses qualifications et son expérience sont impressionnantes. Pourtant, lorsqu’il s’agit de mettre en pratique ce que l’on prêche, Klaus a été démasqué. L’un des trois plus grands défis figurant sur la liste des priorités du Forum économique mondial est la non-prolifération des armes nucléaires. Pourtant, ni Klaus Schwab ni son père Eugen n’ont respecté ces mêmes principes lorsqu’ils étaient dans les affaires. C’est tout le contraire.

En janvier, Klaus Schwab a annoncé que 2021 était l’année où le Forum économique mondial et ses alliés devaient « rétablir la confiance » avec les masses. Cependant, si Schwab continue à cacher son histoire et celle des liens de son père avec la « National Socialist Model Company » qu’était Escher-Wyss dans les années 1930 et 1940, les gens auront de bonnes raisons de se méfier des motivations sous-jacentes de son programme de Grande Réinitialisation, qui va trop loin et n’est pas démocratique.

Dans le cas des Schwab, il ne s’agit pas simplement de mauvaises pratiques commerciales ou d’un quelconque malentendu. L’histoire de la famille Schwab révèle au contraire une habitude de collaborer avec des dictateurs génocidaires pour des motifs basiques de profit et de pouvoir. Les nazis et le régime d’apartheid sud-africain sont deux des pires exemples de leadership dans la politique moderne, mais les Schwab n’ont manifestement pas pu ou voulu s’en rendre compte à l’époque.

Dans le cas de Klaus Schwab lui-même, il semble qu’il ait aidé à blanchir des reliques de l’ère nazie, c’est-à-dire ses ambitions nucléaires et ses ambitions de contrôle de la population, afin d’assurer la continuité d’un agenda plus profond. Alors qu’il occupait un poste de direction chez Sulzer Escher Wyss, la société a cherché à soutenir les ambitions nucléaires du régime sud-africain, qui était alors le gouvernement le plus proche des nazis dans le monde, préservant ainsi le propre héritage de l’ère nazie d’Escher Wyss. Ensuite, par le biais du Forum économique mondial, Schwab a contribué à réhabiliter les politiques de contrôle de la population influencées par l’eugénisme au cours de la période qui a suivi la Seconde Guerre mondiale, une époque où les révélations sur les atrocités commises par les nazis ont rapidement jeté un grand discrédit sur cette pseudo-science. Y a-t-il une raison de croire que Klaus Schwab, tel qu’il existe aujourd’hui, a changé de quelque façon que ce soit ? Ou est-il toujours le visage public d’un effort de plusieurs décennies pour assurer la survie d’un programme très ancien ?

La dernière question à se poser sur les motivations réelles des actions de Herr Schwab est peut-être la plus importante pour l’avenir de l’humanité : Klaus Schwab essaie-t-il de créer la quatrième révolution industrielle ou le quatrième Reich ?

L’auteur

Johnny Vedmore est un journaliste d’investigation totalement indépendant et un musicien de Cardiff, au Pays de Galles. Son travail vise à exposer les personnes puissantes qui sont négligées par les autres journalistes et à apporter de nouvelles informations à ses lecteurs. Si vous avez besoin d’aide, ou si vous avez un conseil à donner à Johnny, contactez-le via johnnyvedmore.com ou en écrivant à johnnyvedmore@gmail.com.