Pour porter plainte contre le « pass » sanitaire

[Source : courriel]

Maitre Di Vizio, l’un des seuls avocats à remuer ciel et terre pour notre droit, a rédigé une plainte pour extorsion qui permet d’invalider le passe sanitaire :

https://www.divizio.fr/recours/

Le Cabinet Di Vizio constitue actuellement deux recours distincts :

  • Un recours contre l’Obligation Vaccinale (s’adresse uniquement aux professions éligibles) / Action contre l’Obligation Vaccinale
  • Un recours contre le « Pass » Sanitaire (s’adresse à tout le monde) / Action contre le « Pass » Sanitaire[*]

IL EST URGENT QUE CHACUN PORTE PLAINTE GRACE À CE TEXTE ET S’ASSURE QUE CHACUN AUTOUR DE LUI FASSE DE MEME !!

Pourquoi ? Parce qu’une fois que suffisamment de personnes seront vaccinées, et qu’il y aura assez de naïfs pour croire qu’on en aura fini, ils pourront imposer la vaccination obligatoire. Il n’y aura plus de résistance. C’est LE MOMENT !

Faites-le et n’hésitez pas à faire remonter comme quoi vous l’avez fait.

POUR RAPPEL, il existe déjà :

  1. Une plainte pour extorsion contre le Premier ministre ;
  2. Une plainte  contre le ministre Alexandre  Djebbari, le ministre de la transition écologique chargé des transports ;
  3. Une plainte  contre Elisabeth Borne, ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion ;
  4. Une plainte contre les publicités pour les vaccins qui sont toutes illégales.

Ces plaintes-là sont des plaintes pénales que chaque citoyen doit envoyer lui-même par recommandé avec accusé de réception à la Cour de justice de la République avec le numéro de la loi et il faudra signer la plainte.

Ces quatre plaintes sont totalement gratuites.
Ça doit partir par centaines de milliers. Il faut qu’on soit au minimum 100 000 à l’envoyer.
Elles passent par le site de l’association victimes coronavirus France :
https://association-victimes-coronavirus-france.org/

PLAINTE CONTRE LE PASS SANITAIRE
https://association-victimes-coronavirus-france.org/plainte-contre-le-pass-sanitaire/ :
choisir « plainte extorsion« 

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[*]
Recours #2

Recours contre le Pass Sanitaire

Ce recours s’adresse à toute personne physique :
Frais de participation de 1,20 € ttc / personne.

Pour valider de façon définitive votre inscription, vous devez remplir le formulaire qui suit et régler en ligne par carte bancaire.
JE RÈGLE MON INSCRIPTION




Passe sanitaire : preuve que tout était déjà prévu avant janvier 2020 !

Par Claude Janvier

C’est bête de faire des erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport — Covid-19 : point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 —, le nombre total des décès dus au virus est publié page 41 : « Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43, tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès imputés au Covid-19, mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862 décès. Ah ! quand même… Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le bourrage de crâne politico/médico/médiatique.(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021))

Que se passait-il en janvier 2020 ?

Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque mon épouse et moi avions décidé de nous prendre quelques jours de vacances en Bretagne, histoire de nous changer les idées face à la morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du passe sanitaire liberticide.

Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair, ce gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?

Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci : W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique.

En recherchant sur Google la référence ci-dessus et la date, je tombe directement sur Santé publique France. Organisme d’État. Notez au passage qu’ils ont reçu 3,831 milliards d’euros de subvention pour 2021 — oui, vous lisez bien — pour 625 agents. Déjà en 2020, cet organisme avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros.(([4] Tec hôpital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » —… de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là…)) Tout cet argent pour pondre des rapports alarmants, soporifiques, souvent mensongers et des affiches Covid. Démentiel !

J’ai mis sur mon compte Twitter, https://twitter.com/JANVIERClaude1, ma photo de l’affiche. Beaucoup de rififi à ce propos sur le réseau, surtout de la part d’une quantité non négligeable de trolls macronistes.

Florilège :

  • C’est la loi concernant le fait de ne rien jeter sur la voie publique, loi 2003, modifiée en 2020.
  • C’est la référence d’un papier utilisé en imprimerie, et je cite un commentaire : « ce marquage/logo a été imprimé en 01/2020 et depuis, il sert pour chaque nouvelle impression. »
  • La photo est fausse.
  • Vous avez retouché la photo avec l’ordinateur.
  • Insultes diverses.

Sauf que, d’après mes recherches, cela ne correspond en rien :

Cette affiche a été conçue par Santé publique France le 20 janvier 2020. Pas de doute possible. Or, à cette date, personne n’avait entendu parler du passe sanitaire, ni des confinements, ni du masque obligatoire, etc. À chacun d’en tirer des conclusions.

Toute cette coronafolie était donc bien prévue avant janvier 2020. Dur à avaler certainement pour beaucoup, mais le fait est là. Tout ce cinéma infernal afin de permettre à quelques labos d’empiler des milliards d’euros. Répugnant.

Il est plus que temps de faire le ménage, d’établir une véritable démocratie et de retrouver notre souveraineté.

Claude Janvier
Ecrivain, polémiste.
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes




PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Extrêmement contraignants pour les États qui les ont signés, les contrats Pfizer semblent les avoir ligotés. Quelques explications qui s’appuient sur les tweets de Marceau qui a traduit et commenté ces révélations faites sur Twitter.

Bien que les documents qui ont fuité soient en réalité des « drafts » du laboratoire, soit un brouillon, une version non finale, il y a fort à parier que les contrats y ressemblent comme deux gouttes d’eau. Pfizer s’est montré plutôt agressif en essayant de protéger les détails de leurs accords internationaux sur le vaccin COVID-19. Mais en voici une copie. Le document qui est ici épluché a été rendu public par l’Albanie en janvier 2021.

Voir aussi : le document complet en anglais

Tout d’abord, on note que le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Ces accords sont supposés être confidentiels… Mais comme vous êtes sur le point de le voir, il y a une bonne raison pour laquelle Pfizer se battait pour en cacher les détails.

Pour commencer, parlons du produit : l’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 et ses mutations, mais également tout « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin ».

Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été empêchée, eh bien, c’est simplement parce que l’accord conclu avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament efficace était trouvé pour traiter le Covid-19, le contrat ne peut pas être annulé. Difficile donc, de jouer sur deux tableaux. Vous imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher devait exister ?

Approvisionnement en vaccins :

« Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit »
« Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision »

Pour être clair, « l’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi », et donc subira les conséquences de produits deffectueux et/ou manquants si cela venait à arriver. La seule façon d’obtenir un rappel est de prouver un défaut de fabrication.
« Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication ». Notons toutefois que c’est une preuve difficile à apporter puisque le procédé de fabrication n’est même pas encore stabilisé.

« Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ».

Étudions maintenant ce qui pourrait intéresser les avocats

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».

Par ailleurs, il existe des clauses concernant la possibilité de résiliation, mais en tout état de cause, l’acheteur n’a presque rien qui puisse être considéré comme une violation substantielle (même en cas d’inefficacité des vaccins ou en cas d’effets secondaires grave/mortels), tandis que Pfizer peut facilement le faire s’il n’obtient pas son argent ou s’il le juge nécessaire. En d’autres termes, ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombants à Pfizer et ses filiales (…) suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… Le monde à l’envers, vous dites ?

L’État acheteur doit défendre Pfizer :

« Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues.

Pfizer s’assure que le pays en question paiera pour tout :

« Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur. »

Le pays acheteur est presque entièrement responsable et renonce à tout droit d’immunité. Il doit fournir à Pfizer une immunité totale contre toutes les réclamations et toutes les pertes, doit la mettre en œuvre conformément aux exigences légales ou réglementaires, et seul Pfizer peut décider du niveau de protection qu’il juge suffisant.

Par ailleurs, à l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur. Ainsi, chaque destinataire est tenu de protéger les données et les contrats avec Pfizer, et « ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord ». Le contrat doit théoriquement rester confidentiel pendant 10 ans. Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir.

Commentaires de l’auteur : ce contrat est simplement terrifiant et met les États à la merci de Pfizer. Des milliards de doses commandées vont être livrées sans aucun moyen pour les États de stopper l’approvisionnement. Le seul moyen de rompre le contrat est de prouver le défaut de fabrication, ce qui est virtuellement impossible. Le processus de fabrication n’est pas stabilisé donc il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes. Pfizer a une immunité totale et n’est même pas responsable pour la non-efficacité de ses vaccins ou de la survenue d’effets secondaires, à court ou long terme. Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’il est à présent aisé de comprendre pourquoi il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.

L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations.

Deux questions subsistent :

  • Le gouvernement français, après avoir signé un tel contrat avec Pfizer, peut-il nous imposer la vaccination obligatoire pour écouler des livraisons continues de vaccins ?
  • Pourquoi les États acceptent-ils de signer de tels contrats ?

Le fil Twitter en français :

https://twitter.com/2020Marceau/status/1420017526977749004?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1420017526977749004%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fsociete-sante%2Fpfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

Le récapitulatif en un lien : 
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html

Auteur(s): FranceSoir




Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

[Source : observatoiredumensonge.com]

Une ordonnance puis un décret, passés inaperçus dans les médias et aussi dans l’opposition, auront suffi pour la Macronie à prendre le contrôle du corps médical. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

Par Daniel Desurvire

L’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 relative à la certification périodique de certains professionnels de santé, fait apparaître la mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance dans l’exercice de leur art, en regard des ingérences du pouvoir politique. Mais cette époque de liberté est désormais révolue, car la Haute Autorité de santé devra partager ses prérogatives avec l’Exécutif, en ce qui concerne le pilotage de ses actions menées pour surveiller, encadrer et actualiser les niveaux de compétences et la qualité des professionnels salariés, mais surtout de la médecine libérale (article L. 4022-3). Un Conseil national de certification, entièrement soumis à l’autorité politique, est constitué pour délivrer, reconduire ou retirer le droit d’exercer. Ces prérequis, à travers certaines contingences politico-sanitaires, fixent des objectifs et des obligations aux médecins.

Curieusement, cette ordonnance ne fait jamais apparaître l’existence du Conseil de l’Ordre corporatif des médecins, lui-même compartimenté par degrés de juridictions géographiques, comme s’il n’existait pas, ou que le Gouvernement méprisamment l’occulterait. Certes, ce Conseil administratif et juridictionnel de défense et de régulation est déjà placé sous la tutelle du ministère de la Santé, mais il conserve sa spécificité socio-médicale, avec sa déontologie, ses instances disciplinaires et ses activités formatrices. Dans un monde collectiviste où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de cette oligarchie dominante. Ces collaborateurs de la toute-puissance élyséenne ; la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification, tels deux gendarmes, seront désormais l’oreille et la voix de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre des médecins. Cette institution de droit privé devra désormais se ranger à la politique inquisitoriale de l’Étaten dénonçant, en sanctionnant voire en révoquant les médecins qui refusent de relayer l’obligation vaccinale pour leurs patients et pour eux-mêmes, ou en récompensant les bons élèves qui savent piquer sans compter.

Un décret n° 2021-964 du 20 juillet 2021 porte la trace visible de ce changement de paradigme dont la profession toute entière est indéfectiblement liée au serment d’Hippocrate. Nous frôlons ici le syndrome du salut fasciste des forces de l’Axe après l’attentat du 20 juillet 1944 au QG Wolfsschanze en Allemagne nazie, pour exprimer une adhésion forcée des professionnels de santé à une autre idéologie : le ralliement politique. C’est ainsi que « La prime d’intéressement collectif lié à la qualité du service rendu » est devenu : « la prime d’engagement collectif ». En d’autres termes, il ne s’agit plus d’intéressement lié à la qualité de service ou d’un objectif de production, mais d’une incitation mentale, qui frappe du talon en résonnant au pas de l’oie, à obéir aveuglément aux directives politiques de l’autorité oligarchique en embuscade dans les couloirs des hôpitaux. La délation inquisitoriale n’est donc pas éloignée, mais elle se nourrira désormais de dénigrements, de rumeurs et de menaces. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Dans le texte susvisé, « aux objectifs prioritaires et aux équipes porteuses d’un projet », sont ajoutés des « indicateurs de résultats avec des objectifs précis, mesurables, accessibles et adaptés… ». Nous plongeons en plein délire d’initiation à un ordre nouveau ! Le médecin interniste se verra harcelé sur la façon de rédiger une posologie de soins, et de se déplacer en rang d’oignon pour se ranger à un ordre établi, non plus en fonction de son diagnostic et du profil pathologique du patient. L’encadrement revêt ainsi l’uniforme politique du moment, et en bon soldat, le praticien se verra juger sur son comportement, d’où son engagement, non sur la qualité de service rendu.

Pourquoi publier un tel décret où il n’apparaît aucune volonté d’exprimer une orientation à caractère professionnel et/ou didactique ? Ni les mots « santé », « sanitaire » ou « déontologie » ne figurent dans ce texte, où seul un acharnement politique s’y exprime avec la force de mots qui impriment la persuasion par la dissuasion. L’accent comminatoire d’une confiscation de ladite prime sera la première sanction contre celui ou celle qui ne remplira pas les conditions ou les obligations « d’engagement » à l’idéologie politique assénée par le ministre de la Santé. Nous entrons dans une ère nouvelle, ou plutôt en réminiscence par une histoire de triste mémoire que l’on croyait ne jamais revenir en surface. Cette idéologie qui ne se cache même pas, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron, autant avec le « passe-sanitaire », le « QR code » et l’appli « TousAntiCovid ».

Ces indicateurs rappellent étrangement une discrimination entre les citoyens, non de confession, mais du libre choix de disposer de son corps et d’accepter ou refuser des thérapies). Cette liberté issue des droits naturels, est exprimée et inscrite de façon inaliénable par la Constitution française, qui prend sa source dans l’esprit et la lettre des Droits de l’homme. Si les Français ne comprennent pas le virage autoritaire et particulièrement liberticide de cette mandature qui gomme les derniers reliefs de notre démocratie à l’agonie, ce sera toute notre histoire révolutionnaire qui s’effondrera d’un seul bloc.

Mais cela ne suffit toujours pas à l’État-Macron qui veut imposer ses directives politiques, sans devoir en passer par l’esprit professionnel de cette catégorie médicale. Dans une logique spécieuse, la lutte contre l’épidémie, même s’il n’ait personne pour vérifier si elle est toujours présente ou si ce ne seraient que des tests positifs sur des porteurs sains passant pour être la maladie, doit en passer par la discrimination culpabilisante et pénalisante. De fait et pour l’époque présente, trop de médecins s’opposent à la vaccination obligatoire susmentionnée, voire ne sont pas eux-mêmes vaccinés contre la Covid. Devant les motifs professionnels légitimes et scientifiques de cette profession, l’oligarchie élyséenne vient à présent imposer son incontournable autorité en ordonnançant le droit à son avantage exclusif, en dépit de l’intérêt sanitaire national que les médecins ont ordinairement vocation à réserver en priorité à leurs patients.

Dans le rapport joint à cette ordonnance, il est prétendu qu’aucune opposition directe et générale n’a été formulée s’agissant d’une concertation, dont le rédacteur n’a laissé aucune indication de personnes, de lieu et de date pour discerner une trace lisible de ce forum fantôme. Quid de la composition d’acteurs qui auraient conduit à l’orientation de cette résolution ? Ici le mensonge est énorme et cette faconde transpire de mauvaise foi. De sorte que ce Gouvernement en aura déduit que le pilotage scientifique du dispositif lui serait confié, sous la bénédiction dudit Conseil national de la certification périodique qu’il préside.

Une fois encore et comme à son habitude, Emmanuel Macron s’accapare tous les pouvoirs, jusqu’à pénétrer les épidermes professionnels, la chair de nos institutions sociales et sanitaires, puis de tout ce qui bouge, soigne, fabrique et administre. L’histoire de la Covid suscite toutes les interrogations et les suspicions de fraudes, de prises illégales de pouvoir et d’enrichissements personnels exorbitants, dès lors que le Politique prend le pas sur les réalités.

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: 
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




NOUS SOMMES LA MAIN !

Par Alain Tortosa

Le droit n’est qu’un outil, qu’une arme, qu’un marteau…

Sans la main qui les commande, ils ne sont RIEN !

Vous êtes cette main, vous avez VOTRE destin entre VOS mains !

Réaction 19, Reinfocovid, Mme Wonner et tous les autres ne fournissent que des outils…

Nombre d’entre nous sommes désespérés par le rouleau compresseur du totalitarisme. Le gouvernement, reniflant sans doute l’odeur de la défaite, a appuyé à fond sur l’accélérateur pour imposer la « vaccination » et le pass sanitaire.

Ce que nous avions écrit il y a plusieurs mois se produit, hélas… Des dizaines de milliers de postes-frontières sont mis en place dans notre pays où les libertés ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Pour la quasi intégralité des politiques, des médias et des ex-médecins corrompus, il n’est pas nécessaire d’avoir la moindre réflexion éthique sur le fait d’introduire officiellement des castes, y compris pour les enfants !

Plus de blancs, de noirs, de jaunes, de gris, de bleus ou de verts mais des « sains » vaccinés et des « dangereux » non-vaccinés.

Tels des indiens, ma famille et moi-même sommes devenus des INTOUCHABLES !

Nous sommes désormais de mauvais français, des citoyens de seconde zone, menacés, privés de leurs droits fondamentaux, traqués par la police de Vichy qui a repris du service avec son lot de collabos.

Les personnes qui se vaccinent en masse aujourd’hui ne sont plus les paniqués convaincus d’hier qui ont cru aux mensonges du gouvernement et du fameux « vaccin libérateur ». Le réveil de ceux-ci pourrait être d’une grande violence.

La dictature devra-t-elle utiliser tout l’alphabet grec pour nommer des variants (probablement créés par les vaccinés), justifiant mesures dictatoriales et nouvelles doses ad vitam æternam ? Comment arrivent-ils à gober encore de tels mensonges alors même qu’Israël, cité en exemple par toutes les journalopes, a annoncé que les touristes vaccinés ne pourront plus pénétrer dans leur pays ?

Et ils osent répéter que leur injection criminelle est efficace à 90 %, mais qu’il est néanmoins vital que les non-vaccinés se piquent pour protéger les vaccinés, malgré leur vaccin totalement efficace ! Le 27 juillet le CDC a officiellement ajouté que les vaccinés deux doses devaient porter un masque !(([1] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/fully-vaccinated-guidance.html))

Dans notre « merveilleux pays des droits de l’homme et de l’intelligence », les données de pharmacovigilance sur les effets secondaires sont dix fois moindres que ceux enregistrés aux Pays-bas, qui sont des humains identiques aux Français et sont piqués avec la même merde !

Et alors que depuis le mois de mars 2020, n’importe quel mort qui avait le malheur d’éternuer avant son dernier souffle était étiqueté décédé du Covid. Alors même qu’une personne asymptomatique avec un cancer en phase terminale, testée positive à l’entrée de l’hôpital, est comptabilisée décédée du Covid…, Maxime Beltra, jeune homme de 22 ans, décédé quelques heures après l’injection du poison, parce qu’il voulait partir en vacances en Grèce, sera, sans nul doute, officiellement décédé de ses allergies connues dont il souffrait depuis la naissance.

Je veux bien que la dictature décide officiellement que ce pauvre Maxime soit considéré comme décédé de ses allergies, mais à une unique condition ! Que l’on recompte les vrais morts, que l’on supprime 90 % des décès de personnes mortes avec le Covid pour ne garder que les morts du Covid.

Si Maxime est déclaré mort de ses comorbidités, alors j’exige que le nombre de mort officiel passe à 12 000 morts (et non 115 000). Nous sommes réduits en esclavage et peut-être bientôt placés dans des camps, pardon « des lieux de résidence surveillés », pour « protéger » les vaccinés avec leur « vaccin parfaitement efficace ».

Dans ces conditions, nombreux sont celles et ceux qui renoncent, qui se sont ou qui vont se « vacciner » pour éviter de perdre leur travail ! Leur leitmotiv étant « C’est foutu, je n’ai pas les moyens de perdre mon emploi ».

Allez-vous faire de même pour vos enfants non vaccinés qui seront officiellement soumis à l’apartheid ?

Je ne peux vous garantir que nous sortirons vainqueurs si chacun de nous mène la bataille, mais je peux en revanche vous garantir que nous serons laminés si nous abdiquons avant même de combattre !

  • Allez-vous prendre le risque de vous injecter cet ARNm expérimental ?
  • Allez-vous prendre le risque de voir cet ARN migrer en ADN ?
  • Allez-vous prendre le risque de développer une maladie auto-immune (à vie) dans quelques années ?
  • Allez-vous prendre le risque que votre enfant développe un cancer dans les 10 ou 15 ans ?

Et pour quoi ? (écrit en deux mots.)

  • Pour que votre enfant puisse faire des sorties scolaires ?
  • Pour ne pas perdre votre emploi ?
  • Pour « protéger » (ce qui est faux en plus) des vieux en fin de vie ?

L’association Reaction19, avec Carlo Brusa à sa tête, ainsi que d’autres juristes fournissent des outils pour se battre, des outils pour résister à la dictature !

Mais vous avez quoi à perdre à les essayer ? Vous pensez que la dictature va vous injecter deux fois pour vous punir si vous osez résister ?

Nous avons tous le choix de baisser les bras pendant la bataille si la pression devient insupportable.
Comment pourrons-nous encore nous regarder dans un miroir si nous ne saisissons pas dans notre main les outils offerts pour nous défendre ?

Je le redis, quand bien même nous serions à la dernière étape avant notre licenciement, nous pourrions nous injecter cette merde pour éviter le couperet et nous serions bien sur réintégrés, la dictature étant trop contente de pouvoir afficher notre reddition !

Mais en entendant, nous devons nous battre ! Dans une catastrophe naturelle, celui qui survit, c’est celui qui tient ! Nous ne sommes pas seuls, nous sommes désormais des millions dans la rue ! Nous avons un pack de solutions juridiques et autres pour lutter et gagner du temps !

Rappelez-vous la fin horrible du film The Mist de Stephen King, où le héros renonce cinq minutes avant la fin du cauchemar !
Tenez ! Tenez ! Vous n’avez rien à perdre ! La liberté est au bout du chemin !

Alain Tortosa.

https://7milliards.fr/tortosa20210729-nous-sommes-la-main.pdf




4e vague de Covid-19 à l’hôpital ? « Un mensonge d’État » selon le fondateur de la Société Française de Virologie

[Source : (breizh-info.com]

La vidéo de l’intervention de Jean-Michel Claverie, fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet sur BFMTV est rapidement devenue virale. Et pour cause : le virologue a qualifié de « mensonge d’État » l’hypothèse d’une 4e vague de Covid-19 à l’hôpital tandis que médias maistream et responsables politiques entretiennent un climat de peur afin de justifier l’instauration du pass sanitaire.

« De vraies bonnes raisons éthiques et scientifiques » de s’opposer au pass sanitaire

Sur BFMTV, chaîne particulièrement zélée et inféodée à la politique gouvernementale depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce sont des mots très forts qui ont été prononcés par Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet.

Interrogé en direct par le duo de présentateurs, ce dernier a fortement remis en cause la politique sanitaire de l’exécutif français ainsi que les prévisions alarmistes faites quelques jours auparavant par le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, lequel a redouté que la quatrième vague de coronavirus soit la plus puissante de toutes. Tout en ajoutant le 23 juillet, déjà sur BFMTV, que « le retour à la normale, c’est pas maintenant, c’est peut-être 2022 [ou] 2023 ».

Un constat que ne partage absolument pas Jean-Michel Claverie qui a démonté en quelques minutes plusieurs arguments martelés en boucle par le gouvernement et les principaux médias du pays afin de justifier la mise en œuvre du pass sanitaire.

Tout d’abord en apportant une précision salutaire sur le profil des très nombreux Français ayant pris part aux manifestations du 24 juillet contre le pass sanitaire : 

« Les gens qui sont dans la rue ne sont pas tous des gens qui pensent que la Terre est plate, ou des anti-vax, ou des extrémistes politiques. Il y a de vraies bonnes raisons à la fois éthiques et scientifiques à trouver que le pass sanitaire est quelque chose qui est à la fois inacceptable pas très efficace. »

Sur le plan éthique, le fondateur de la Société Française de Virologie a notamment fait référence aux 10 points d’alerte émis par la Défenseure des droits Claire Hédon le 20 juillet. Et de souligner à juste titre que ces alertes n’ont eu « aucun écho politique » ni « aucun écho médiatique ». CQFD…

4e vague à l’hôpital : « Un mensonge d’État » selon Jean-Michel Claverie

Dans un second temps, Jean-Michel Claverie évoque ensuite la question de la gestion du Covid-19 au plan scientifique. Et apporte un point de vue détonnant sur les chiffres des nombres de cas quotidiens positifs au coronavirus traités de manière alarmiste par une grande partie de la classe politique et médiatique française : 

« Il faut arrêter avec ces 20 000 cas dont on nous bassine tous les jours ; ces 20 000 cas ne sont pas des cas de gens malades mais de gens testés avec un PCR positif ».

Le virologue s’appuie également sur l’exemple de l’Angleterre où, 

« dans une population qui est vaccinée à peu près comme la nôtre, cette maladie fait extrêmement peu de cas graves ou de gens malades ».

Quant aux propos de Jean-François Delfraissy sur la virulence d’une « quatrième vague à l’hôpital », Jean-Michel Claverie utilise des mots lourds de sens : « Là, il y a un mensonge d’État ! »

Tentant par la suite de contredire le fondateur de la Société Française de Virologie, le présentateur BFMTV s’appuie alors sur des chiffres prétendument issus de l’outil CovidTracker. Une erreur que ne manque alors pas de corriger Jean-Michel Claverie, le reprenant alors sur les données des derniers jours. Avant d’interroger : 

« Est-ce que vous pensez que cela justifie de faire ces lois incroyablement liberticides sans aucune justification réelle clinique et sanitaire ? »

Pass sanitaire
Chiffres CovidTracker France au 25 juillet 2021. Source : covidtracker.fr

Vidéo de l’intervention du virologue Jean-Michel Claverie sur BFMTV :

https://www.youtube.com/embed/F551T8B5d2Y

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !

[Voir aussi sur : Réarmer l’intelligence ! (upinsky.work)]

Par Dr Gérard Delépine chirurgien et statisticien(([1] Docteur Nicole Delépine – Site Officiel du Docteur Nicole Delépine, Pédiatre, Oncologie
https://docteur.nicoledelepine.fr))

Enfin la réfutation des allégations anti-scientifiques du Président Macron à Tahiti :

L’obligation « vaccinale » des soignants et des pompiers sans aucune logique vaccinale, Dr. Gérard Delépine, chirurgien et statisticien (26 juillet 2021)


L’obligation vaccinale des soignants et des pompiers n’a aucune logique médicale

L’obligation voulue par la majorité parlementaire serait un scandale médical et démocratique contraire aux engagements de la France

Les personnels hospitaliers et les pompiers ne sont pas des enfants et mesurent mieux que les politiques et leurs experts souvent corrompus les bénéfices/risques des vaccins. Pourquoi les injurier, et leur imposer un vaccin inefficace et dangereux ?

Au moins 6 raisons majeures s’opposent à une telle obligation :

1°) Ces pseudo vaccins sont totalement expérimentaux. Leur obligation est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signé.

2°) Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection réelle contre la maladie.

3°) Ils sont incapables de limiter la transmission de la maladie et donc de protéger les contacts.

4°) Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.

5°) Des traitements préventifs peuvent protéger les soignants et leurs contacts

6°) Imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

1°) Ces pseudo vaccins sont doublement expérimentaux

Il s’agit non pas de vrai vaccin (composé d’antigènes spécifiques) mais de médicament génétique qui ordonne à l’organisme de fabriquer la protéine Spike dont la nocivité vasculaire est connue.

Ils sont le fruit d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée pour fabriquer des médicaments humains anti-infectieux et qui aurait dû faire redoubler de précautions.

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain clinicaltrials.gov consultable par tout un chacun.

Imposer un traitement expérimental est contraire aux lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947(([2] Lors du procès des médecins de Nuremberg, la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort))

Et en particulier contraire à la Convention internationale d’Oviedo(([3] « Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine »,)) signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne et entrée en vigueur le 1er décembre 1999, seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’homme.

La convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/
Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

2°) Les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie, ni de ses formes graves

Les gouvernants, les services de vaccination, les médecins corrompus ou crédules et les médias nous répètent en boucle le crédo des laboratoires, ou de dirigeants prétendant que les pseudo vaccins actuels seraient efficaces à plus de 90 %. Il s’agit d’un énorme mensonge démenti par les faits avérés.

À Gibraltar, le taux de couverture vaccinal atteint 115 % (les Espagnols travaillant à Gibraltar ont aussi été vaccinés) mais l’épidémie repart fortement depuis début juillet 2021

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination depuis fin décembre 2020 le nombre de contaminations journalières reste plus élevé qu’avant la vaccination

Les marins du groupe aéronaval de la Royal Navy du HMS Queen Elizabeth, tous complètement vaccinés depuis plus de six mois, sont touchés par une épidémie de cas de Covid avec plus de 100 cas depuis une escale à Chypre.

La vaccination à 100 % n’empêche donc ni les contaminations ni les transmissions. Toute nouvelle contamination d’un seul vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins.

Les pseudo vaccins actuels n’évitent ni les formes graves ni la mort

L’analyse des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination démontre que dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les six mois post-vaccination ont été assombris par 68 183 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Comme en Israël où l’on a recensé 3085 morts avant la vaccination et 3372 pendant les 6 mois qui ont suivi la vaccination de masse, comme aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 1274 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

L’explication la plus vraisemblable de l’aggravation des mortalités après vaccination est la présence d’anticorps facilitants(([5] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) dont le risque avait été signalé dès janvier 2021 par l’Académie de médecine(([6] Communiqué de l’Académie du 15 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Aveu du ministre de la Santé sur les aléas de la vaccination en mars 2021

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([7] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) 

« efficacité partielle des vaccins »,

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

En Israël, les vaccinés représentent actuellement 56 % des nouveaux patients en réanimation.

En Grande-Bretagne Santé Publique Angleterre, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non vaccinées ».

Prétendre que la pseudo vaccination Covid protège contre les formes graves ou la mort ne constitue donc qu’un énorme mensonge publicitaire.

3°) Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher la transmission

La motivation sociétale « il faut vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des EHPAD » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes officiels des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData montre le contraire.

Les exemples britannique, israélien et espagnol affirment l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations.

Dans tous ces pays qui ont beaucoup vacciné, on observe depuis plus d’un mois une forte récidive forte de l’épidémie

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique avaient prévenu(([8] 1. Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI :
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État :

« le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire d’imposer la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux. Et parfaitement mensonger d’affirmer qu’elle pourrait le faire.

4°) Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications graves

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20 % à 40 % des personnels incapables de travailler pendant plusieurs jours. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les sportifs de haut niveau ont fréquemment constaté après vaccination des baisses de performances pendant une à plusieurs semaines. Les très mauvais résultats récents de Mbappé ont d’ailleurs succédé à sa vaccination très médiatisée.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

Mais des complications graves sont très nombreuses et le site Eudravigilance comptabilise actuellement plus de 1 900 000 effets indésirables, dont plus de 17 000 décès possiblement liés à la vaccination Covid.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins les plus répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite qui n’ont jamais donné une mortalité notable. Pourquoi serait-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du Covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

À Nantes, un étudiant en médecine de 24 ans sportif et en bonne santé est mort après la vaccination et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde.(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))

Ces complications sont d’autant plus inacceptables que les soignants et les pompiers ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid. Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

5°) On peut protéger les soignants et leurs contacts par des traitements préventifs sans risques et bon marché

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les membres de familles au contact des malades et a rajouté l’Ivermectine à ses recommandations lors de la poussée épidémique qui a été rapidement contrôlée. Au 25/7/2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, un très faible taux de vaccination, l’Inde déplore 322 morts/million d’habitants contre 1694/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on compte 5 fois plus de morts/million que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de traitements précoces administrés par les médecins traitants !

6°) Poursuivre dans son désir d’imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire totalement déconnecté de la vie réelle et des faits avérés

Les syndicats de personnel hospitalier organisent actuellement des grèves et de nombreux soignants ont annoncé leur volonté de démissionner ou de se mettre en arrêt de travail si le gouvernement maintient ses menaces et les directions le harcèlement moral qui constitue aussi un délit.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie, et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants et les pompiers jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour leur entourage et leurs patients. Vouloir les imposer autoritairement va démotiver ces personnels et en faire démissionner davantage alors qu’on n’a cruellement besoin.





Où allons-nous avec le pass ?

Par JE. Chabert

👁 L’humanité sous surveillance part1 : 

Les parlementaires français ont voté contre l’arrêt du Pass sanitaire une fois ladite crise passée ! Quelle sera donc l’évolution de ce pass ? Le contrôle total par des outils numériques de toute la population, ou que vous soyez, même dans l’intimité ? 

1️⃣ère vidéo : ARTE, « Crédit social en Chine : comment le gouvernement contrôle sa population avec un système de notation » 

https://www.arte.tv/fr/videos/097011-000-A/chine-le-monde-d-apres/

2️⃣ème vidéo : France 24, « Avec le crédit social, la Chine classe les « bons » et les « mauvais » citoyens » 

3️⃣ème vidéo : France 2 / Envoyé spécial, « Le système de crédit social testé en Chine « existe » déjà en France » 

https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/video-le-systeme-de-credit-social-teste-en-chine-existe-deja-en-france-selon-ce-chercheur-en-intelligence-artificielle_3653119.html

⚠️ Des centaines de millions sont actuellement investis pour mettre en place la reconnaissance faciale. Nous comptons sur vous pour partager cette publication afin que plus prennent conscience de ce qui se prépare pour un futur proche voire très proche. Afin de contrer cette société que nous ne voulons pas !




Un pasteur du Tennessee déclare que les masques ne sont pas autorisés dans son église

[Source : RT USA News]

[Traduction : Aube Digitale]

Alors que les obligations de port de masque continuent d’être débattus à travers les Etats-Unis, un pasteur du Tennessee, connu pour son opposition aux confinements et à la vaccination de masse, a clairement indiqué que les porteurs de masque seront renvoyés de son église.

S’adressant à sa congrégation dimanche, le pasteur controversé a déclaré qu’il était opposé à ce que les comtés réimposent le port du masque pour freiner l’augmentation des cas de coronavirus. Si Mount Juliet, Tennessee, où se trouve l’église Global Vision Bible Church, subit la même régression de politique, le pasteur Greg Locke a affirmé qu’il ne suivrait pas les directives rétablies.

« S’ils passent par le deuxième tour et que vous commencez à vous montrer (avec) tous ces masques et toutes ces bêtises, je vous demanderai de partir », a déclaré Locke sous les acclamations de sa congrégation. « Je vous demanderai de partir. Je ne joue pas à ces jeux démocrates dans cette église. Si vous voulez une distance sociale, allez à la First Baptist Church, mais n’allez pas dans celle-ci », a ajouté le pasteur, sous les applaudissements nourris de l’assemblée réunie sous une tente géante.

Au cours d’une messe diffusée en direct sur Facebook, M. Locke a ensuite critiqué ses collègues pasteurs qui refusent d’organiser des services tels que des baptêmes par crainte du virus et de sa variante Delta qui se propage rapidement.

« Je ne joue pas à ces jeux stupides », a-t-il déclaré. « Une bande de pasteurs qui disent à quel point ils veulent voir les gens guérir et qui ont peur de baptiser les gens à cause du variant Delta – j’en ai marre. »

Locke a déclaré qu’il n’a pas l’intention de fermer même si on lui ordonne de le faire.

« Ils serviront des Frosty’s en enfer avant de fermer cet endroit », a-t-il promis.

Locke a attiré l’attention nationale l’année dernière pendant le confinement du Tennessee lorsqu’il a continué à tenir des services en personne alors que la plupart des autres églises se sont tournées vers des alternatives à distance.

Son mandat anti-masque a, comme on pouvait s’y attendre, provoqué des remous chez les utilisateurs de tendance libérale sur les médias sociaux. Certains ont prédit que Locke et ses partisans allaient inévitablement attraper le Covid-19, un commentateur allant jusqu’à suggérer que le pasteur allait mourir du virus.

[Ndlr : à côté de cet exemple, le Pape fait pâle figure en appuyant les mesures sanitaires et la vaccination. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il est depuis le début un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial.]




Souvenirs de la montée du nazisme

[Source : Sott.net]

En passant… Et en lisant Sebastian Haffner – Allemagne, mars 1933

Source de la retranscription numérique

[Photo : Sebastian Haffner en 1984]

Voici un extrait « éclairant » du chapitre « La révolution », extrait de l’ouvrage de Sebastian HaffnerHistoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), paru aux Éditions Babel.


Qu’est-ce qu’une révolution ?

Les spécialistes du droit public répondent : la modification d’une constitution par d’autres moyens que ceux qu’elle prévoit. Si l’on souscrit à cette sèche définition, la « révolution » nazie de mars 1933 n’en était pas une. Car tout se passa dans la stricte légalité, avec les moyens prévus par la constitution : d’abord des « décrets-lois » du président et enfin une résolution qui transférait au gouvernement la totalité du pouvoir législatif, résolution votée par le Parlement à la majorité des deux tiers exigée pour les changements constitutionnels.

C’est là une imposture manifeste. Mais quand on voit les choses comme elles ont vraiment été, on peut encore se demander si ce qui s’est joué en mars mérite vraiment le nom de révolution. Pour le sens commun, l’essentiel d’une révolution semble résider dans le fait que des gens attaquent par la violence l’ordre existant et ses représentants : police, armée, etc., et l’emportent sur lui. Ce n’est pas toujours forcément magnifique et enthousiasmant, et cela peut fort bien être associé à des débordements, des violences, des brutalités de populace déchaînée ; on peut piller, tuer, brûler. Ce qu’on attend des gens qui se prétendent des révolutionnaires, c’est au moins qu’ils attaquent, fassent preuve de courage, mettent leur vie en jeu. Les barricades sont peut-être un peu démodées, mais une forme quelconque de spontanéité — insurrection, prise de risque, émeute — semble inhérente à l’essence de la révolution.

Rien de tel en mars 1933. Les événements étaient une décoction des ingrédients les plus bizarres, mais on aurait vainement attendu un acte de courage, de bravoure, d’audace de quelque côté que ce fût. Ce mois de mars produisit quatre choses qui auraient pour résultat final la domination incontestée des nazis : la terreur, des fêtes et des déclamations, la trahison, et pour finir un collapsus collectif — plusieurs millions d’individus s’effondrant simultanément. Beaucoup d’États européens, la plupart même, ont eu une naissance plus sanglante. Mais il n’en existe aucun dont la naissance eût été à ce point répugnante.

L’histoire européenne connaît deux formes de terreur : l’une est l’ivresse sanguinaire effrénée d’une masse révolutionnaire déchaînée, grisée par sa victoire ; l’autre est la cruauté froide, délibérée, d’un appareil étatique triomphant qui cherche à intimider, à manifester son pouvoir. Ces deux formes sont normalement réparties entre révolution et répression. La première est révolutionnaire ; elle s’excuse par l’émotion et la rage du moment, par l’emportement. La deuxième est répressive ; elle s’excuse par les représailles à l’encontre des atrocités de la révolution.

Les nazis ont eu le privilège de combiner les deux d’une façon qui n’admet aucune excuse. La terreur de 1933 fut bien exercée par une tourbe ivre de sang (à savoir les SA, les SS ne jouant pas encore le rôle qui serait le leur), mais les SA se présentaient comme une « police auxiliaire » ; ils agissaient sans la moindre émotion, sans la moindre spontanéité, et surtout sans prendre le moindre risque — mais bel et bien en toute sécurité, sur ordre et avec discipline. Le tableau externe était celui de la terreur révolutionnaire : populace hirsute pénétrant par effraction la nuit dans les maisons et traînant des gens sans défense dans une cave pour les torturer. Le processus interne était celui de la terreur répressive : gestion administrative froidement calculée, couverture policière et militaire totale. L’ensemble ne découlait pas de cette excitation qui suit la victoire, un grand danger auquel on a survécu — rien de tel ne s’était produit. Ce n’étaient pas non plus des représailles à l’encontre d’atrocités exercées par le parti adverse — il n’y en avait eu aucune. Ce qui se produisait, c’était l’inversion cauchemardesque des notions normales : brigands et assassins dans le rôle de la police, revêtus du pouvoir souverain ; leurs victimes traitées comme des criminels, proscrites, condamnées d’avance à mort. Un cas exemplaire, rendu public en raison des proportions prises : une nuit, un responsable syndical social-démocrate de Köpenick(([1] Faubourg de Berlin.)) se défendit, aidé de ses fils, contre une patrouille de SA qui avait pénétré chez lui et abattit, en état de légitime défense évidente, deux SA. Sur quoi, cette même nuit, ses fils et lui furent maîtrisés par une seconde patrouille plus nombreuse et pendus dans la remise de leur maison. Mais le jour suivant, en bon ordre, des SA en service commandé pénétrèrent chez tous les habitants de Köpenick connus pour être des sociaux-démocrates et les abattirent sur place. On n’a jamais su le nombre de morts.

Cette sorte de terreur avait un avantage : selon les cas, on pouvait hausser des épaules navrées en parlant des « inévitables conséquences fâcheuses de toute révolution » — c’était l’excuse de la terreur révolutionnaire — ou se référer à la rigueur de la discipline en démontrant que l’ordre et le calme régnaient, que seules avaient lieu les descentes de police indispensables, et que c’était précisément cela qui épargnait à l’Allemagne les troubles révolutionnaires — c’était l’excuse de la terreur répressive. Et les deux étaient effectivement invoquées à tour de rôle, suivant le public concerné.

Cette forme de publicité a contribué, et contribue toujours, à rendre la terreur nazie plus repoussante qu’aucune autre terreur connue dans l’histoire européenne. La cruauté elle-même peut avoir une ombre de grandeur quand elle s’affiche avec la grandiloquence d’une détermination suprême, quand ceux qui l’exercent revendiquent fougueusement leurs actes comme ce fut le cas lors de la Révolution française et des guerres civiles russe et espagnole. Les nazis, en revanche, n’ont jamais affiché autre chose que le rictus blême, lâche et craintif du meurtrier niant ses crimes. Tandis qu’ils torturaient et assassinaient systématiquement des êtres sans défense, ils affirmaient tous les jours avec des accents nobles et touchants qu’ils ne faisaient de mal à personne, et que jamais révolution ne s’était déroulée de façon aussi humaine et pacifique. Et quelques semaines après l’institution de l’épouvante, une loi menaçait d’une lourde peine quiconque affirmait, fût-ce entre ses quatre murs, qu’il se passait des choses atroces.

Il va de soi que cela n’avait pas pour but de tenir secrètes les horreurs. Car alors elles n’auraient pu atteindre leur but, qui était de provoquer chez tous crainte, effroi, soumission. Ce secret tendait au contraire à renforcer l’effet de la terreur par le danger qu’il y avait ne serait-ce qu’à en parler. L’exposition publique — par exemple à la tribune de l’orateur ou dans les journaux — de ce qui se passait dans les caves de la SA et dans les camps de concentration aurait peut-être pu provoquer même en Allemagne une riposte désespérée. Les nouvelles épouvantables chuchotées sous le manteau — « Faites bien attention, voisin ! Savez-vous ce qui est arrivé à X ? » — brisaient bien plus sûrement toutes les résistances.

D’autant plus qu’on était au même instant occupé et distrait par une série interminable de fêtes, de solennités, de célébrations nationales. On commença par fêter la victoire en grand avant les élections, le 4 mars, jour du « Réveil national ». Marches gigantesques et feux d’artifice, tambours, trompettes, orchestres et drapeaux dans toute l’Allemagne, des milliers de haut-parleurs diffusant la voix de Hitler, serments et promesses — et tout cela alors qu’il n’était pas certain que les nazis n’allaient pas prendre une veste électorale. De fait, c’est bien ce qui se produisit ces élections, les dernières à se dérouler en Allemagne, n’apportèrent aux nazis que quarante-quatre pour cent des voix (auparavant ils en avaient obtenu trente-sept) — la majorité votait toujours contre eux. Si l’on songe que la terreur battait déjà son plein, que les partis de gauche avaient été muselés dès la semaine décisive qui précédait le scrutin, il faut dire que le peuple allemand dans son ensemble s’est assez bien comporté. Mais les nazis n’en eurent cure. La défaite fut tout simplement célébrée comme une victoire, la terreur renforcée, les fêtes se multiplièrent. Quinze jours durant, les fenêtres restèrent pavoisées. Une semaine plus tard, Hindenburg abolissait les anciennes couleurs, et le drapeau à la croix gammée devenait, avec le noir-blanc-rouge, le « pavillon provisoire du Reich ». Et chaque jour des défilés, des célébrations géantes, des manifestations de gratitude pour la libération nationale, de la musique militaire du matin au soir, honneurs rendus aux héros, consécration des couleurs, enfin, pour couronner le tout, la mise en scène boursouflée de la « journée de Potsdam », avec ce vieux félon de Hindenburg se recueillant sur la tombe de Frédéric le Grand, Hitler jurant pour la énième fois fidélité à je ne sais quoi, cloches sonnant à toute volée, cortège solennel des députés vers l’église, parade militaire, sabres au clair, enfants agitant des petits drapeaux, retraites aux flambeaux.

L’ineptie, l’absurdité sans bornes de ces manifestations continuelles étaient, selon toute vraisemblance, parfaitement concertées. Il fallait habituer la population à se réjouir et à se « réveiller », même si elle n’en voyait pas vraiment la raison. Chaque jour, chaque nuit, des gens qui s’abstenaient trop ostensiblement de participer — chut ! — étaient torturés à mort à coups de drille ou de fouet d’acier, et c’était déjà une raison suffisante. Réjouissons-nous donc, et hurlons avec les loups, Heil, Heil ! Et on finissait par y trouver goût. En mars 1933, il faisait un temps magnifique. N’était-ce pas beau, sous le soleil printanier, de se mêler à une foule en liesse sur une place pavoisée, prêtant l’oreille. à des propos sublimes où revenaient les mots de patrie et de liberté, de réveil et d’engagement sacré ? (En tout cas, cela valait mieux que de se retrouver à huis clos dans une caserne de SA, à se faire remplir d’eau les intestins).

On se mit à participer — d’abord par crainte. Puis, s’étant mis à participer, on ne voulut plus que cela fût par crainte, motivation vile et méprisable. Si bien qu’on adopta après coup l’état d’esprit convenable. C’est là le schéma mental de la victoire de la révolution national-socialiste.
Pour la parachever, toutefois, une chose était indispensable : la lâche trahison de tous les chefs de partis et d’organisations auxquels s’étaient confiés les cinquante-six pour cent d’Allemands qui, le 5 mars 1933, avaient voté contre les nazis. Le monde n’a pratiquement pas pris conscience de cette évolution historique terrible et décisive. Les nazis n’avaient pas intérêt à la souligner, parce qu’elle ne pouvait que dévaluer considérablement leur « victoire » ; quant aux traîtres eux-mêmes, ils avaient tout intérêt à se taire. Pourtant, seule cette trahison explique le fait apparemment inexplicable qu’un grand peuple, qui ne se compose quand même pas exclusivement de poltrons, ait pu sombrer dans l’infamie sans résistance.

La trahison fut totale, générale et sans exception, de la gauche à la droite. J’ai déjà dit que les communistes, derrière les rodomontades de façade qui exaltaient leur « détermination » et mentionnaient des préparatifs de guerre civile, préparaient en vérité l’exil de leurs hauts fonctionnaires avant qu’il ne fût trop tard.

En ce qui concerne les cadres de la social-démocratie, à qui des millions de braves petites gens fidèles accordaient une confiance aveugle et loyale, ils avaient commencé de les trahir dès le 20 juillet 1932, quand Severing et Grzesinski s’étaient « inclinés devant la force ». Les sociaux-démocrates s’étaient déjà terriblement humiliés au cours de la campagne électorale de 1933 en courant après les slogans des nazis pour souligner qu’ils étaient, eux aussi, de bons « nationaux ». Le 4 mars, veille du scrutin, Otto Braun,(([2] Otto Braun (1872-1955), social-démocrate, à la tête du parti depuis 1911, ministre-président de Prusse entre 1925 et 1933.)) leur « homme fort », chef du gouvernement prussien, passa en automobile la frontière suisse ; il avait pris soin d’acquérir une maisonnette dans le Tessin. En mai, un mois avant la dissolution de leur parti, les députés sociaux-démocrates en étaient à accorder massivement leur confiance au gouvernement Hitler et à chanter le Horst-Wessel-Lied.(([3] Chant de marche de la SA écrit sur une mélodie existante par le jeune Sturmführer (lieutenant) Horst Wessel (1907-1930). Celui-ci ayant trouvé la mort au cours d’une bagarre avec des communistes dans des circonstances mal élucidées, les nazis firent de lui un martyr et de son œuvre l’hymne officiel du parti.)) (Le compte rendu des débats parlementaires note : « Applaudissements sans fin dans la salle et sur les tribunes. Le chancelier lui-même, tourné vers les sociaux-démocrates, applaudit »).

Le centre, ce grand parti bourgeois catholique qui, dans les dernières années, avait rallié une part de plus en plus importante de la bourgeoisie protestante, avait atteint ce stade dès le mois de mars. Ses voix assurèrent à Hitler la majorité des deux tiers qui lui confiait « légalement » la dictature. Il agissait sous la houlette de l’ancien chancelier Brüning. L’étranger l’a généralement oublié aujourd’hui, et Brüning y passe encore largement pour le possible successeur de Hitler. Mais qu’on me fasse confiance : les Allemands, eux, ne l’ont pas oublié. Un homme qui croyait encore, le 23 mars 1933, pouvoir inféoder à Hitler : dans un vote d’importance vitale, le parti qui lui était confié, n’aura plus jamais la moindre chance en Allemagne.

Enfin, le parti national, la droite conservatrice qui revendiquait carrément « l’honneur et l’héroïsme » comme programme — Dieu ! qu’il était lâche et déshonorant, le spectacle que ses chefs infligèrent à leurs partisans en 1933 et par la suite ! Une fois déçue leur attente du 30 janvier, alors qu’ils espéraient avoir « mis les nazis dans leur poche » pour les « empêcher de nuire », on attendait au moins qu’ils « freinent » pour « éviter le pire ». Que non ; ils participèrent à tout : à la terreur, aux pogromes, aux persécutions contre les chrétiens ; ils ne se laissèrent même pas émouvoir par l’interdiction de leur parti et l’arrestation de leurs partisans. Il est déjà navrant de voir des fonctionnaires socialistes s’enfuir en plantant là leurs électeurs et leurs sympathisants. Mais que dire d’officiers nobles qui, voyant fusiller leurs amis et leurs collaborateurs les plus proches — comme M. von Papen —, restent en place en criant Heil Hitler ? Tels partis, telles fédérations. Il existait une Fédération des anciens combattants communistes, et, en ce qui concernait le Parti démocratique allemand, une Reichsbanner schwarz-rot-gold, organisée militairement, non dépourvue d’armes, comptant des millions d’adhérents destinés expressément à tenir les SA en échec si le besoin s’en faisait sentir. Durant tout ce temps, on ne perçut rien de son existence, absolument rien, pas la moindre chose. Elle disparut sans laisser de trace, comme si elle n’avait jamais existé. Dans toute l’Allemagne, la résistance prenait tout au plus la forme d’un acte individuel désespéré — comme celui du syndicaliste de Köpenick. Les officiers de la Reichsbanner ne firent même pas mine de riposter quand les SA « reprirent » leurs locaux. Le Stahlhelm, l’armée des nationalistes, se laissa mettre au pas, puis dissoudre peu à peu, en récriminant, mais sans résister. Il n’y eut pas un seul exemple d’énergie défensive, de vaillance, de tenue. Il n’y eut que panique, fuite éperdue, apostasie. En mars 1933, des millions de personnes étaient encore prêtes au combat. Du jour au lendemain, elles se retrouvèrent sans chefs, sans armes, trahies. Une partie d’entre elles cherchèrent encore désespérément à rallier le Stahlhelm et les nationalistes quand il s’avéra que les autres ne se battaient pas. Le nombre de leurs adhérents enfla démesurément en l’espace de quelques semaines. Puis ils furent dissous eux aussi — et se rendirent sans combat.

Cette terrible capitulation morale des chefs de l’opposition est un trait fondamental de la « révolution » de mars 1933. Grâce à elle, les nazis eurent le triomphe facile. Il est vrai qu’en même temps elle remet en cause la valeur et la solidité de leur victoire. La croix gammée n’a pas été imprimée dans la masse allemande comme dans une matière récalcitrante, mais ferme et compacte. Elle l’a été comme dans une substance amorphe, élastique et pâteuse. Le jour venu, cette pâte est susceptible de prendre une autre forme, avec autant de facilité et sans plus de résistance. Il est vrai que depuis mars 1933 subsiste une question sans réponse : vaut-elle vraiment la peine d’être formée ? Car l’Allemagne a manifesté alors une faiblesse morale trop monstrueuse pour que l’histoire n’en tire pas un jour les conséquences.

Ailleurs, toute révolution, même si elle a laissé le peuple momentanément exsangue et affaibli, a toujours amené une remarquable potentialisation des énergies dans les deux camps en présence — aboutissant, à long terme, à l’émergence d’une nation considérablement plus forte. Qu’on considère la formidable quantité d’héroïsme, d’intrépidité, de grandeur humaine — mêlée sans doute à des débordements, des cruautés, des violences — qu’ont déployée dans la France révolutionnaire jacobins et royalistes, dans l’Espagne contemporaine franquistes et républicains ! Quelle que soit l’issue, la bravoure avec laquelle on a combattu demeure dans la conscience de la nation comme une inépuisable source d’énergie. À l’endroit où cette source devrait jaillir, les Allemands d’aujourd’hui n’ont que le souvenir de l’infamie, de la lâcheté, de la faiblesse. Cela ne peut manquer d’avoir des conséquences qui se manifesteront un jour, peut-être dans la dissolution de la nation allemande et de sa forme politique.

Le Troisième Reich est né de cette trahison de ses adversaires et du sentiment de désarroi, de faiblesse et de dégoût qu’elle a suscité. Le 5 mars, les nazis étaient encore minoritaires. Si de nouvelles élections avaient eu lieu trois semaines plus tard, ils auraient vraisemblablement eu la majorité. Ce n’était pas seulement l’effet de la terreur, ni de l’ivresse engendrée par les fêtes (les Allemands aiment à s’enivrer de fêtes patriotiques). L’élément décisif, c’est que la colère et le dégoût provoqués par la lâcheté et la traîtrise des chefs de l’opposition l’emportaient momentanément sur la colère et la haine à l’encontre du véritable ennemi. Dans le courant du mois de mars 1933, d’anciens opposants au parti nazi s’y rallièrent par centaines de milliers — les « victimes de mars », suspectées et méprisées par les nazis eux-mêmes. Surtout, pour la première fois, même des centaines de milliers d’ouvriers quittèrent leurs organisations sociales-démocrates ou communistes pour s’inscrire clans les « cellules » nazies ou s’enrôler dans la SA. Ils y étaient poussés par diverses raisons, et souvent plusieurs à la fois. Mais on aurait beau chercher longtemps, on n’en trouverait pas une seule dans le lot qui soit bonne, valable, inattaquable et positive — pas une seule de présentable. Le phénomène manifestait dans chaque cas particulier tous les symptômes d’une dépression brutale.

La raison la plus simple, qui s’avérait presque toujours, quand on creusait, la plus intime, c’était la peur. Frapper avec les bourreaux, pour ne pas être frappé. Ensuite, une ivresse mal définie, ivresse de l’unité, magnétisme de la masse. Puis, chez beaucoup, dégoût et ressentiment envers ceux qui les avaient laissés tomber. Puis un syllogisme étrange, typiquement allemand, qui déduisait : « Les adversaires des nazis se sont trompés dans toutes leurs prévisions. Ils ont affirmé que les nazis allaient perdre. Or, les nazis ont gagné. Donc, leurs adversaires avaient tort. Donc, les nazis ont raison. » Puis, chez quelques-uns (en particulier chez les intellectuels), la conviction de pouvoir encore changer le visage du parti nazi et l’infléchir dans leur direction en y adhérant eux-mêmes. Ensuite, bien entendu, la soumission pure et simple, l’opportunisme. Enfin, chez les plus primitifs, les plus frustes, dominés par l’instinct grégaire, un phénomène tel qu’il a pu s’en produire dans les temps mythologiques, quand une tribu vaincue abjurait son dieu tutélaire manifestement infidèle pour se mettre sous la protection du dieu de la tribu victorieuse. On avait cru en saint Marx, il n’avait pas secouru ses fidèles. Saint Hitler était manifestement plus puissant. Brisons donc les statues de saint Marx placées sur les autels pour consacrer ceux-ci à saint Hitler. Apprenons à prier : « C’est la faute aux juifs », au lieu de : « C’est la faute au capitalisme. » Peut-être est-ce là notre salut.

Comme on le voit, ce phénomène n’a rien que d’assez naturel ; il relève tout à fait du fonctionnement psychologique normal, et cela explique presque parfaitement ce qui semble inexplicable. La seule chose qui subsiste, c’est l’absence totale de ce qu’on nomme, chez un peuple comme chez un individu, de la « race » : à savoir un noyau dur, que les pressions et les tiraillements extérieurs ne parviennent pas à ébranler, une forme de noble fermeté, une réserve de fierté, de force d’âme, d’assurance, de dignité, cachée au plus intime de l’être et que l’on ne peut, précisément, mobiliser qu’à l’heure de l’épreuve. Cela, les Allemands ne le possèdent pas. Ils forment une nation inconstante, molle, dépourvue de squelette. Le mois de mars 1933 en a fourni la preuve. À l’instant du défi, quand les peuples de race se lèvent spontanément comme un seul homme, les Allemands, comme un seul homme, se sont effondrés ; ils ont molli, cédé, capitulé — bref : ils ont sombré par millions dans la dépression.
Le résultat de cette dépression généralisée fut le peuple uni, prêt à tout, qui est aujourd’hui le cauchemar du monde entier.

Tel est le processus évident, clair et bien délimité qui se présente aujourd’hui, avec le recul, à l’observateur. Tandis qu’il se déroulait, il m’était bien sûr impossible de le voir dans son ensemble. Je sentais bien, et c’était assez terrible, que tout cela était écœurant jusqu’à la nausée, mais j’étais incapable d’en saisir et d’en classer les éléments. Chaque fois qu’on essayait de comprendre, on voyait s’interposer comme un voile ces discussions infiniment oiseuses et stériles, toujours recommencées, au cours desquelles on s’efforçait de faire entrer les choses dans un système de notions politiques obsolètes qui ne leur était plus adapté. Comme ces discussions paraissent inconsistantes aujourd’hui, quand un caprice de la mémoire en fait remonter à la surface des bribes et des lambeaux ! Avec toute notre culture historique bourgeoise, nous étions intellectuellement démunis devant cette évolution qui ne s’était jamais produite dans tout ce que nous avions appris. Les explications étaient absurdes, les tentatives de justification parfaitement stupides — mais les constructions de fortune que la raison tentait d’édifier autour de ce sentiment d’effroi et de dégoût qui ne trompait pas étaient aussi désespérément superficielles. Tous les -ismes qu’on mobilisait étaient d’une inanité qui me fait frissonner quand j’y pense.

En outre, la vie quotidienne était un obstacle à l’analyse lucide — la vie qui continuait, encore que définitivement irréelle et spectrale, chaque jour tournée en dérision par les événements dans lesquels elle s’inscrivait. J’allais encore au tribunal, comme avant ; on y disait toujours le droit, comme si ce mot signifiait encore quelque chose, et le conseiller juif qui faisait partie de ma chambre siégeait toujours tranquillement en toge derrière la barre. Il est vrai que ses collègues le traitaient déjà avec cette délicatesse pleine de doigté qu’on témoigne aux grands malades. Je continuais d’appeler au téléphone mon amie Charlie, nous allions au cinéma, buvions du chianti dans un bistrot à vin, allions danser quelque part. Je continuais à voir des amis, à discuter avec des camarades, à fêter des anniversaires en famille — mais alors qu’en février on pouvait encore se demander si tout cela ne signifiait pas le triomphe de la vraie vie, de la réalité indestructible sur les agissements des nazis, on devait désormais admettre que ce n’était plus, au contraire, qu’un mécanisme automatique et creux qui démontrait à chaque instant le triomphe des puissances ennemies qui le submergeaient de toute part.

Et pourtant, curieusement, c’était entre autres choses la poursuite machinale de la vie quotidienne qui s’opposait à une quelconque réaction énergique et vitale contre la monstruosité. J’ai déjà dit comment la trahison et la lâcheté de leurs chefs avaient empêché les équipes des autres groupes politiques de se mobiliser contre les nazis. Cela n’explique pas pourquoi il n’y eut pas, ici, là ou ailleurs, un individu pour se dresser et se défendre spontanément, sinon contre l’ensemble, du moins contre quelque injustice particulière, quelque scandale survenu non loin de lui. (Je n’ignore pas que cette question inclut un reproche à l’égard de moi-même).

À cela s’opposait précisément le mécanisme de la vie courante. Il est probable que les révolutions, et l’histoire dans son ensemble, se dérouleraient bien différemment si les hommes étaient aujourd’hui encore ce qu’ils étaient peut-être dans l’antique cité d’Athènes : des êtres autonomes avec une relation à l’ensemble, au lieu d’être livrés pieds et poings liés à leur profession et à leur emploi du temps, dépendant d’une foule de choses qui les dépassent, éléments d’un mécanisme qu’ils ne contrôlent pas, marchant pour ainsi dire sur des rails et désemparés quand ils déraillent. La sécurité, la durée ne se trouvent que dans la routine quotidienne. A côté, c’est tout de suite la jungle. Tout Européen du XXe siècle le ressent confusément avec angoisse. C’est pourquoi il hésite à entreprendre quoi que ce soit qui pourrait le faire dérailler — une action hardie, inhabituelle, dont lui seul aurait pris l’initiative. D’où la possibilité de ces immenses catastrophes affectant la civilisation, telle que la domination nazie en Allemagne.

Certes, j’écumais de rage en ce mois de mars 1933. Certes, je faisais peur à ma famille avec des projets désordonnés : quitter la fonction publique, m’exiler, me convertir avec ostentation au judaïsme. Mais je me contentais de formuler ces intentions. Mon père, riche de l’expérience, point adaptée aux nouveaux événements, d’une vie qui s’était déroulée entre 1870 et 1933, minimisait, dédramatisait, tentait de contrer mes propos emphatiques par une discrète ironie. Il faut dire que j’étais habitué à son autorité, et pas encore très sûr de moi. En outre, le scepticisme tranquille m’a toujours convaincu davantage qu’une grandiloquence péremptoire ; j’ai mis longtemps à comprendre que dans ce cas particulier mon instinct de jeune homme avait effectivement raison contre la sagesse et l’expérience de mon père, et qu’il existe des choses que le scepticisme tranquille est impuissant à maîtriser. À l’époque, j’étais encore trop timide pour tirer les conséquences de mes intuitions.

Peut-être, n’est-ce pas, avais-je effectivement une vision déformée de la situation. Peut-être fallait-il l’endurer, laisser passer les choses. C’est seulement dans mon travail, protégé par les articles du Code civil et du Code de procédure civile, que je me sentais sûr de moi et mûr. Ces articles étaient toujours debout. Le palais de justice aussi. Son activité pouvait pour l’heure paraître vide de sens, mais elle ne s’était en rien modifiée. Peut-être qu’en fin de compte tout cela finirait par s’avérer durable et l’emporterait.

Donc, accomplir la routine quotidienne dans une expectative incertaine. Ravaler sa rage et son effroi ou les épancher à la table familiale en éclats stériles du plus haut comique. Vivant dans la même apathie que des millions d’autres individus, je laissais venir les choses.

Elles vinrent.

© Actes Sud

Voir aussi notre [de Sott.net] article « Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933) », de Sebastian Haffner ou quand l’histoire se répète… à l’échelle mondiale


[Voir aussi :
De la démocratie à la tyrannie
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]


Notes




Encore un « Fact Checker » (Vérificateur de fait) pris à désinformer

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Libé, CheckNews et l’ivermectine : non seulement partisans mais désinformateurs

Dans un article récent, M. Gouthière, qui se présente comme un journaliste scientifique, « fact-checker » de Libération, commet pas moins de six affirmations trompeuses sur l’ivermectine.

Il avait déjà été pris en défaut à plusieurs reprises, pour désinformation sélective sur l’hydroxychloroquine et l’étude Recovery. 

Les six affirmations suivantes sont inexactes :

  • Au-delà des études scientifiques, on notera que plusieurs pays ayant donné sa chance à l’ivermectine se sont ravisés. Ainsi, le Pérou, qui a recommandé ce médicament de mai 2020 à mars 2021 dans les mêmes usages que l’Inde, n’a pas évité les vagues épidémiques d’août 2020 et février 2021. 
    Outre le fait que les comparaisons semblent permises dans un sens mais pas dans l’autre, et que cela relève du sophisme – personne n’a jamais prétendu que l’ivermectine permettait d’éviter une vague épidémique (au Pérou, elle n’était pas prescrite en prophylaxie, seulement à des personnes malades), cette affirmation occulte le fait qu’en Inde et dans d’autres pays : ArgentineMexiqueBrésilEtats-Unis, de nombreux médecins ont constaté une baisse de l’épidémie avec l’utilisation systématique de l’ivermectine.
    Au Pérou, cette étude (preprint) montre que Lima, sans ivermectine pendant les premiers mois de l’épidémie initiale (déploiement seulement quatre mois plus tard), a eu de moins bons résultats que les autres régions. L’arrêt est lié à l’arrivée d’un nouveau Premier ministre mais aussi à des pressions.
     
  • L’Inde a recommandé l’ivermectine… et s’est ravisée. Et quarante jours seulement après l’avoir ajouté sur la fameuse liste, le ministère l’en a finalement retiré.
    Ceci est faux, l’ivermectine est toujours recommandée par l’Indian Council of Medical Research et le ministère de la Santé. Me Dipali Ojha, avocate explique bien dans son debriefing le jeu d’une des agences du ministère de la Santé indien, la DGHS, qui n’a jamais fait de recommandation auparavant. M. Gouthière aurait pu simplement se renseigner avant de contribuer à la désinformation ambiante.



  • Quid de la récente étude de Pasteur ? Toutefois, comme on l’a dit, les données sur l’homme ne sont toujours pas, à ce jour, en faveur d’un intérêt clinique notable. 
    Faux, de nombreuses études ont montré l’efficacité de ce traitement sur l’homme – c’est ici un « cherry-picking ».
    L’étude Shouman en prophylaxie, ou Niaee en traitement, ont été publiées et sont extrêmement positives. L’étude Kroweliecki publiée dans le Lancet, de même que l’étude Chaccour, montrent un effet positif modeste, cette dernière retrouvant d’ailleurs les mêmes effets que dans l’étude de Pasteur sur les hamsters. 

    Voir aussi : Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel
     

  • Les études les plus solides échouent à identifier un intérêt clinique – Pour l’heure, et sur la base des meilleures données disponibles, il reste donc hasardeux de conclure que l’ivermectine pourrait avoir un intérêt thérapeutique contre le Covid-19, et ce, quels que soient le stade de la maladie ou la gravité des symptômes.
    Encore une fois faux, les études sont largement en faveur de l’ivermectine avec une efficacité importante dans des méta-analyses publiées.
    Le rédacteur a un parti pris important ici en ne mentionnant pas de manière neutre les résultats de toutes les études.
     
  • L’étude la plus favorable à l’ivermectine rétractée – Incomplet
    Il s’agissait d’un preprint, effectivement retiré, cette étude (Elgazzar) représente une pondération de 4.3% dans une des méta-analyses et de 14% dans la seconde dont l’auteur principal Andrew Hill fait l’objet d’une plainte pour fraude à la science avec interférence sérieuse d’un auteur externe dans une étude : une suspicion porte sur l’implication de Dominique Costagliola
     
  • Un engouement né sur des bases fragiles
    Faux – le Dr Pierre Kory, auditionné au Sénat américain sous serment, a fait une méta-analyse revue par les pairs qui est sérieuse et dont Libé ne parle même pas, pas plus qu’il n’évoque les expériences réussies dans le Chiappa au Mexique, les milliers de personnes soignées en Inde ou le succès au Sénégal ou Nigéria.
    Parti pris, incompétence ? Laurent Mucchielli l’a explicité clairement dans un article sur les journalistes, dans lequel les autoproclamés « fact-checkers » comme M Gouthirère en prennent pour leur grade : sans légitimité, ni réelle expertise, le plus souvent sans contact avec la réalité, ils se font les arbitres du vrai et du faux et c’est une dérive du journalisme qu’attaque le sociologue.

Ce qu’omet également de mentionner Libé, ce sont les nombreuses pressions subies dans les pays qui ont fait usage de l’ivermectine, décrites par le Dr Carvallo en Argentine ou le Dr Babalola au Nigéria, où le laboratoire Merck a essayé d’influencer le ministère de la Santé.

En Inde, le ministre de la Santé de l’état de Goa a défendu le traitement précoce au tribunal contre un groupe d’avocats aux commanditaires non identifiés mais suspectés d’être proche des laboratoires pharmaceutiques et l’India Bar Association a engagé un bras de fer avec l’OMS. Rappelons que Merck a deux médicaments nouveaux en développement.

Sollicités au sujet de leurs affirmations, M. Gouthière et Libération n’ont pas répondu à nos questions.
 

Le docteur Gérard Guillaume, que nous avons reçu récemment pour un Entretien essentiel, nous confie à la lecture de cet article :

« Comment ne pas se sentir offusqué par un tel article, qui n’est qu’un tissu de contre-vérités. Libération se faisant le chantre de la désinformation, bafouant l’éthique du journalisme.

Des milliers de médecins, en France, peuvent témoigner par leur expérience de l’efficacité de l’Ivermectine, tant en prescription préventive que curative.

Deux Ehpad ont été victimes d’épidémie de gale, en Seine-et-Marne et en Charente-Maritime. En Seine-et-Marne, tous les cas observés de COVID-19 «traités» par ivermectine étaient mineurs, sans décès durant la période d’étude, alors que les résidents des Ehpad « contrôles » (sans ivermectine), appariés selon âge, effectif et niveau socio-économique, ont montré une fréquence de COVID-19 et une mortalité plus élevées.* Cette expérience s’est renouvelée en Charente-Maritime avec les mêmes constatations. Il est vrai que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a refusé de délivrer une autorisation temporaire à l’ivermectine contre le covid-19.

J’ai du mal à comprendre la politique de désinformation du journal Libération, sinon qu’elle ne fait qu’accréditer la politique d’un gouvernement qui a érigé le mensonge en principe de gouvernement. »

*C. Bernigaud et col : Ann Dermatol Venereol. 2020 Dec; 147(12): A194 Bénéfice de l’ivermectine : de la gale à la COVID-19, un exemple de sérendipité

 

A noter également :

Auteur(s): FranceSoir




De la démocratie à la tyrannie

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Tocqueville by Hohenfels (CC BY-NC 2.0) — Hohenfels, CC-BY]

Le passe-temps populaire des démocraties modernes  punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers  est cultivé via l’État.

Par Erik von Kuehnelt-Leddihn.
Un article de Mises.org

Dans La République, Platon nous dit que la tyrannie naît, en règle générale, de la démocratie. Historiquement, ce processus s’est déroulé de trois manières très différentes. Avant de décrire ces différents modèles de changement social, précisons ce que nous entendons par démocratie.

À la question « Qui devrait gouverner ? », le démocrate répond : « la majorité des citoyens politiquement égaux, soit en personne, soit par l’intermédiaire de leurs représentants ». En d’autres termes, l’égalité et la règle de la majorité sont les deux principes fondamentaux de la démocratie. Une démocratie peut être libérale ou illibérale.

Le libéralisme authentique est la réponse à une question tout à fait différente : comment le gouvernement doit-il être exercé ? La réponse qu’il apporte est la suivante : quel que soit celui qui gouverne, le gouvernement doit être exercé de manière que chacun jouisse de la plus grande liberté compatible avec le bien commun.

Une monarchie absolue pourrait être libérale (mais peu démocratique) et une démocratie pourrait être totalitaire, illibérale et tyrannique, avec une majorité persécutant brutalement les minorités. (Nous utilisons, bien sûr, le terme « libéral » dans son acception mondiale et non dans le sens américain, qui depuis le New Deal a été totalement perverti.)

Comment une démocratie, même libérale au départ, pourrait-elle évoluer vers une tyrannie totalitaire ? Comme nous l’avons dit au début, il y a trois voies d’approche, et dans chaque cas l’évolution serait de nature organique. La tyrannie évoluerait à partir du caractère même d’une démocratie libérale parce que, dès le début, il y a un ver dans le fruit : la liberté et l’égalité ne se mélangent pas, elles s’excluent pratiquement.

L’égalité n’existe pas dans la nature et ne peut donc être établie que par la force. Celui qui veut l’égalité géographique doit dynamiter les montagnes et combler les vallées. Pour obtenir une haie de hauteur uniforme, il faut utiliser des sécateurs. Pour atteindre des niveaux scolaires égaux, il faudrait faire pression sur certains élèves pour qu’ils travaillent très dur tout en empêchant les autres de le faire.

La première voie vers la tyrannie totalitaire (bien qu’elle ne soit pas la plus fréquemment utilisée) est le renversement par la force d’une démocratie libérale par le biais d’un mouvement révolutionnaire, en règle générale un parti prônant la tyrannie mais incapable de gagner le soutien nécessaire dans des élections libres. Le décor est planté pour une telle violence si les partis représentent des philosophies si différentes qu’elles rendent impossibles le dialogue et le compromis.

Clausewitz a dit que les guerres sont la continuation de la diplomatie par d’autres moyens, et dans les nations idéologiquement divisées, les révolutions sont vraiment la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens. Le résultat est la domination absolue d’un « parti » qui a finalement obtenu un contrôle total.

Un cas typique est l’octobre rouge de 1917. L’aile bolchevique du Parti ouvrier social-démocrate russe n’avait pas pu remporter les élections dans la République russe démocratique d’Alexandre Kerenski et a donc organisé un coup d’État avec l’aide d’une armée et d’une marine vaincues et en maraude, et a ainsi établi une solide tyrannie socialiste.

De nombreuses démocraties libérales sont affaiblies par les conflits entre partis à un point tel que des organisations révolutionnaires peuvent facilement s’emparer du pouvoir. Et il arrive que pendant un certain temps les citoyens semblent heureux que le chaos ait pris fin.

En Italie, la Marche sur Rome des fascistes en a fait les dirigeants du pays. Mussolini, un ancien socialiste, avait appris la technique de la conquête politique auprès de ses amis socialistes internationaux et, sans surprise, l’Italie fasciste fut la deuxième puissance européenne à reconnaître le régime soviétique, après la Grande-Bretagne travailliste, et bien avant les États-Unis.

La deuxième voie vers la tyrannie totalitaire est celle des « élections libres ». Il peut arriver qu’un parti totalitaire jouissant d’une grande popularité gagne un tel élan et tant de voix qu’il devienne légalement et démocratiquement le maître d’un pays. C’est ce qui s’est passé en Allemagne en 1932, lorsque pas moins de 60 % de l’électorat a voté pour le despotisme totalitaire : pour deux national-socialistes, il y avait un socialiste international sous la forme d’un communiste marxiste et un autre sous la forme d’un social-démocrate un peu moins marxiste.

Dans ces conditions, la démocratie libérale était condamnée puisqu’elle n’avait plus de majorité au Reichstag. Cette évolution n’aurait pu être stoppée que par une dictature militaire (comme envisagé par le général von Schleicher qui fut plus tard assassiné par les nazis) ou par une restauration des Hohenzollern (comme planifié par Bruning). Mais dans le cadre démocratique et constitutionnel, les national-socialistes étaient voués à l’emporter.

Comment les « nazis » ont-ils réussi à gagner de cette manière ? La réponse est simple : étant un mouvement de masse tentant d’obtenir une majorité parlementaire, ils ont visé les minorités impopulaires (plus elles étaient petites, mieux ça valait) et ont ensuite monté l’opinion publique contre elles.

Le Parti National-Socialiste des Travailleurs était « un mouvement populaire basé sur la science exacte » (les propres mots d’Hitler), militant contre des minorités détestées : les Juifs, la noblesse, les riches, le clergé, les artistes modernes, les « intellectuels », catégories qui se recouvrent fréquemment, et enfin contre les handicapés mentaux et les Tsiganes.

Le national-socialisme était la « révolte légale » de l’homme ordinaire contre ceux qui sortent de l’ordinaire, du « peuple » (Volk) contre les groupes privilégiés et donc enviés et détestés. Rappelez-vous que Lénine, Mussolini et Hitler ont qualifié leur régime de « démocratique » – demokratiya po novomu, democrazia organizzata, deutsche Demokratie – mais ils n’ont jamais osé l’appeler « libéral » au sens mondial (non américain).

Carl Schmitt, dans sa 93e année, a analysé cette évolution dans un célèbre essai intitulé La révolution juridique mondiale. Ce genre de révolution – la révolution allemande de 1933 – se produit simplement par le biais des bulletins de vote et peut se produire dans n’importe quel pays où un parti qui veut établir un régime totalitaire obtient une majorité relative ou absolue et prend ainsi le pouvoir « démocratiquement ».

Platon a rendu compte d’une telle procédure qui correspond, aussi fidèlement qu’une photocopie, à la transition constitutionnelle en Allemagne : il y a le « leader populaire » qui prend à cœur l’intérêt du « peuple de base », des « braves gens ordinaires » contre les riches roublards. Il est largement acclamé par le plus grand nombre et se constitue une garde personnelle uniquement pour se protéger et, bien sûr, protéger les intérêts du « peuple ».

AU NOM DU PEUPLE

Pensez à Hitler, à ses SA et SS, et aussi à la tendance à appliquer autant que possible le préfixe Volk (peuple) : Volkswagen (voiture du peuple), Volksempfänger (station de radio du peuple), des gesunde Volksempfinden (les sentiments sains du peuple), Volksgericht (tribunal du peuple). Inutile de dire que cette politique verbale s’est poursuivie dans la « République Démocratique allemande » où nous voyons une « police populaire », une « armée populaire », tandis que les États satellites de Moscou étaient appelés « démocraties populaires ».

Tout cela implique qu’autrefois, seules les élites avaient une chance de gouverner et que maintenant, enfin, l’homme de la rue est maître de son destin et capable de jouir des bonnes choses de la vie ! Peu importe que les réalités soient tout à fait différentes. Un très haut responsable soviétique déclarait récemment à un prince européen : 

« Vos ancêtres ont exploité le peuple en prétendant qu’ils gouvernaient par la grâce de Dieu, mais nous faisons beaucoup mieux, nous exploitons le peuple au nom du peuple. »

Ensuite, il y a la troisième voie par laquelle une démocratie se transforme en une tyrannie totalitaire. Le premier analyste politique à prévoir cette évolution jusque-là jamais expérimentée fut Alexis de Tocqueville. Il a dessiné une image exacte et effrayante de notre État-prestataire (appelé à tort État-providence) dans le deuxième volume de sa Démocratie en Amérique, publié en 1835 ; il y parlait longuement d’une forme de tyrannie qu’il ne pouvait que décrire, mais pas nommer, parce qu’elle n’avait pas de précédent historique. Il est vrai qu’il a fallu plusieurs générations pour que la vision de Tocqueville devienne réalité.

Il envisageait un gouvernement démocratique dans lequel presque toutes les affaires humaines seraient réglementées par un gouvernement doux, « bienveillant » mais déterminé, sous lequel les citoyens pratiqueraient leur quête du bonheur comme des « animaux craintifs », perdant toute initiative et toute liberté. Les empereurs romains, disait-il, pouvaient diriger leur colère contre les individus, mais sous leur règne il était hors de question de contrôler toutes les formes de vie.

Ajoutons qu’à l’époque de Tocqueville, la technologie qui permet une telle surveillance et une telle réglementation n’était pas suffisamment développée. L’ordinateur n’avait pas été inventé et donc ses avertissements ont trouvé peu d’écho au siècle dernier.

Tocqueville, libéral authentique et légitimiste, s’était rendu en Amérique non seulement parce qu’il était préoccupé par les tendances aux États-Unis, mais aussi en raison de la victoire électorale d’Andrew Jackson, le premier démocrate à la Maison Blanche et l’homme qui a introduit le très démocratique système des dépouilles, une véritable invitation à la corruption.

Les Pères Fondateurs, comme l’a souligné Charles Beard, détestaient la démocratie plus que le péché originel. Mais maintenant, une idéologie française, trop familière à Tocqueville, avait commencé à conquérir l’Amérique.

Cette évolution de mauvais augure a attiré l’aristocrate français dans le Nouveau Monde où il voulait observer l’avancée mondiale du « démocratisme », à son avis (et à sa consternation) voué à pénétrer partout et à se terminer par l’anarchie ou la Nouvelle Tyrannie – qu’il nommait « despotisme démocratique ».

Le chemin de l’anarchie est plus susceptible d’être emprunté par les Sud-Européens et les Sud-Américains (et il se termine généralement par des dictatures militaires afin d’empêcher la dissolution totale), tandis que les nations nordiques, tout en gardant toutes les apparences démocratiques, ont tendance à échouer dans la bureaucratie sociale totalitaire.

L’absence d’une philosophie politique commune est plus propice au développement de révolutions pures et simples dans le Sud, où les guerres civiles ont tendance à être « la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens (et plus violents) », tandis que le Nord est plutôt voué à des processus évolutifs, à une augmentation rampante de l’esclavage et à une diminution de la liberté et de l’initiative personnelles.

Ce processus peut être beaucoup plus paralysant qu’une simple dictature personnelle, militaire ou autre, sans caractère idéologique et totalitaire. Les régimes de Franco et de Salazar et certains gouvernements autoritaires latino-américains, tous adoucis au cours des années, en sont de bons exemples.

TOMBER EN SERVITUDE

Tocqueville ne nous a pas dit exactement comment peut s’effectuer le changement graduel vers la servitude totalitaire. Mais il y a 150 ans, il ne pouvait pas exactement prévoir que la scène parlementaire produirait deux principaux types de partis : les partis Père Noël, principalement à gauche, et les partis Serrage de Ceinture, plus ou moins à droite.

Les partis Père Noël, avec des cadeaux pour le plus grand nombre, prennent normalement à certaines personnes pour les donner à d’autres : ils fonctionnent avec des largesses, pour utiliser le terme de John Adams. Le socialisme, qu’il soit national ou international, agira au nom de la « justice distributive », ainsi que de la « justice sociale » et du « progrès », et gagnera ainsi en popularité. Après tout, vous ne tirez pas sur le Père Noël. En conséquence, ces partis gagnent normalement les élections, et les politiciens qui utilisent leurs slogans engrangent les votes.

Les partis Serrage de Ceinture, s’ils prennent le pouvoir de manière inattendue, agissent généralement plus sagement, mais ils ont rarement le courage de défaire les politiques des partis Père Noël. Les masses qui votent, souvent favorables aux partis Père Noël, retireraient leur soutien si les partis Serrage de Ceinture agissaient de manière radicale et cohérente.

Les prodigues sont généralement plus populaires que les avares. En fait, les partis Père Noël sont rarement complètement battus, mais ils se battent parfois eux-mêmes en présentant des candidats nuls ou en provoquant des troubles politiques ou un désastre économique.

Un Saint Nicolas politisé est un triste maître. Il est impossible de distribuer des cadeaux sans une réglementation bureaucratique, l’enregistrement et l’enrégimentement de l’ensemble du pays. D’innombrables conditions sont attachées aux cadeaux reçus d’en haut. L’État s’ingère dans tous les domaines de l’existence humaine : éducation, santé, transports, communications, divertissement, alimentation, commerce, industrie, agriculture, construction, emploi, héritage, vie sociale, naissance et mort.

Cette ingérence à grande échelle a deux aspects : l’étatisme et l’égalitarisme, qui sont intrinsèquement liés puisque pour régimenter parfaitement la société, il faut réduire les gens à un niveau identique. Ainsi, une « société sans classes » devient le véritable objectif, et toute forme de discrimination doit cesser. Mais la discrimination est partie intégrante d’une vie libre, car la liberté de volonté et de choix est une caractéristique de l’homme et de sa personnalité.

Si j’épouse Marie au lieu de Brigitte, je discrimine évidemment contre Brigitte ; si j’emploie le Dr Nishiyama comme professeur de japonais au lieu du Dr O’Hanrahan, je discrimine ce dernier, et ainsi de suite. Et il ne faut plus s’étonner qu’un opéra qui rejetterait un chanteur bantou de 1 mètre 20 pour le rôle de Siegfried dans Ring de Wagner soit accusé de racisme !

En fait, il n’y a qu’une discrimination juste ou injuste. Pourtant, la démocratie égalitaire reste inflexible dans sa politique totalitaire. Le passe-temps populaire des démocraties modernes – punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers –  est cultivé via l’État, remplissant un programme démo-égalitaire basé sur une idéologie démo-totalitaire.

La tyrannie démocratique, évoluant en catimini comme une corruption lente et subtile conduisant au contrôle total de l’État, est donc la troisième voie, et en aucune façon la plus rare, vers la forme la plus moderne d’esclavage.

Traduction Gérard Dréan pour Contrepoints.

Source en anglais


[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]




Grande-Bretagne : des journalistes désillusionnés forment une alliance contre la censure de points de vue alternatif sur le coronavirus

[Source : anguillesousroche.com]

Ces journalistes affirment que les médias traditionnels ne remettent pas suffisamment en question les récits du gouvernement.

Un groupe de 26 journalistes s’est réuni pour dénoncer l’alarmisme du COVID-19 et la censure des points de vue alternatifs par les grands médias et les plateformes Big Tech depuis le début de la pandémie.

Selon le groupe, le résultat de cet alarmisme et de cette censure est que le public reçoit une « vision déformée de la vérité ».

Le groupe s’appelle « Holding the Line: Journalists Against COVID Censorship » (Tenir la ligne : Les journalistes contre la censure du COVID).

Il se compose principalement de journalistes basés au Royaume-Uni qui travaillent pour des journaux, des radiodiffuseurs et des sociétés de relations publiques en tant que salariés ou indépendants.

Les membres ont été interrogés par Press Gazette, la plupart préférant rester anonymes par crainte de représailles de la part de leurs employeurs.

Toutefois, certains étaient plus qu’heureux d’être nommés, notamment Sonia Elijah et Karen Harradine, journalistes d’investigation pour The Conservative Woman, Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, et Laura Berril, journaliste spécialisée dans les relations publiques et la technologie.

La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues.

Pour eux, les médias font un « travail incroyable ». Mais il existe des lacunes, notamment en ce qui concerne les reportages sur le COVID, telles que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement« .

Le groupe a accusé les médias britanniques de publier souvent des rapports « induisant la peur et parfois inexacts », qui créent à leur tour une hostilité envers ceux qui préféreraient ne pas recevoir les vaccins.

« C’est sans précédent la façon dont le COVID-19 a été rapporté au Royaume-Uni, mais pas seulement au Royaume-Uni, dans le monde entier », a déclaré Sonia Elijah, l’un des membres du groupe qui a autorisé Press Gazette à mentionner son nom.

« Il n’y a eu qu’un seul récit officiel dans les médias grand public et cela n’a pas changé avec le temps.

Il n’y a eu qu’une seule ‘vérité scientifique’ autorisée à être discutée : celle approuvée par les organismes de réglementation gouvernementaux du monde entier, et même cela a été très sélectif. Cela a donné au public une vision déformée de la vérité qui a été très préjudiciable. »

Elijah a exprimé son inquiétude quant à la censure des informations qui contredisent le récit fourni par la Trusted News Initiative.

« Pendant longtemps, nous avons été dans cette ère sombre de la censure qui a été incarnée par l’initiative Trusted News qui traverse les grandes technologies et tous les médias grand public », a-t-elle déclaré.

« Elle s’est articulée autour de cette guerre contre la désinformation ou la mésinformation, où tout ce qui allait à l’encontre du récit officiel n’était pas seulement vérifié, mais supprimé ou supprimé. »

Selon M. Gosling, le groupe se fait le champion d’un débat équilibré.

Gosling a déclaré : 

« Notre principale préoccupation est qu’il y a un lobby très puissant derrière beaucoup de ces mesures du COVID, y compris le traitement, l’absence de traitement et les vaccins, évidemment, mais il n’y a pas beaucoup de lobby dans l’autre sens. Et je pense que la plupart d’entre nous ont le sentiment que nos employeurs de toutes sortes n’ont pas représenté les deux côtés. »

Gosling a fait retirer par YouTube deux de ses interviews présentant des médecins prônant un traitement précoce après le diagnostic, l’efficacité de l’ivermectine et les dangers des vaccins « expérimentaux ».

Pour illustrer la couverture « parfois inexacte », il a cité un reportage de la BBC dans lequel le collaborateur affirme que le vaccin Pfizer est « 100 % sûr » pour les enfants âgés de 12 à 15 ans. Ce n’est qu’après sa plainte que la BBC a supprimé l’affirmation « choquante » et « dégoûtante » et a fourni une correction.

Gosling a ajouté : 

« Mon objectif est d’apporter un équilibre, c’est tout. Et aussi de faire remarquer au public que les journalistes ne choisissent pas toujours ce qui est publié. »

« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Analyse d’un Coup d’État institutionnel

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

Par Olivier Demets, fonctionnaire d’État [français] et inspecteur des finances publiques et sapeur pompier volontaire.

A partager en masse.

Gardez confiance !
Soutenez les derniers remparts institutionnels que sont les vrais serviteurs de l’État. Aidez-les à prendre leurs responsabilités en respectant le sens de leur engagement !






Des vérités sur les « vaccins » anti-covid éclatent lors d’une réunion privée de santé publique

[Sources : Les 7 du quebec]






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur

[Source : lemediaen442.fr]

Pousser les Français à se faire vacciner en leur faisant peur de la mort, c’est la stratégie de dirigeants eux-mêmes dominés par la peur. Selon Marie-Estelle Dupont, psychologue, les marchands de peur comme Karine Lacombe sont les premiers à avoir peur. Leur personnalité leur dicte leur conduite.



La menace de la carotte et du bâton pour infantiliser, la maladie pour faire peur, le monde d’avant pour rassurer. Autant de dérivés de la méthode d’interrogatoire du méchant flic et du gentil flic qui donne une cigarette en échange d’aveux. Bon, ce n’est qu’une théorie, car quand ça ne marche désespérément pas, Big Pharma passe, avec ses médias, à la menace directe (Emmanuel Lechypre), aux insultes (Thomas Porcher). De la même façon, Emmanuel Macron est passé de l’enfumage médiatique à la répression sauvage contre les Gilets Jaunes, pour finir par totalement emprisonner (euh… confiner) la population.


[Voir : La clef de la libération – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?




L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes

[Source : For life on Earth.weebly.com]

[Traduction : changera.blogspot.com]

Par Claire Edwards, 26 juillet 2021

Dans une nouvelle vidéo, La Quinta Columna révèle que de l’oxyde de graphène (GO) a été trouvé dans une solution saline et ils en déduisent que l’utilisation du GO est beaucoup, beaucoup plus répandue et a commencé bien plus tôt que les seuls vaccins « Covid ».(([1] Solution saline physiologique contenant du graphène : 
https://www.brighteon.com/36a8d0c6-0c43-4acc-b5ea-5d6cc642f97d)) On a constaté que les bébés sont magnétiques, et les personnes qui n’ont pas pris le vaccin « Covid » ou qui n’ont pas été testées par PCR ou qui n’ont pas porté de masques montrent également du magnétisme, donc cela doit venir d’ailleurs. Ils en déduisent que le GO est utilisé depuis quelques années dans tous les vaccins, y compris le tétanos, la méningite, les vaccins pour enfants, etc. La Quinta Columna affirme que le GO était aussi dans le vaccin contre la grippe de 2018 et que cela pourrait expliquer pourquoi des personnes présentent du magnétisme alors qu’elles n’ont pas eu le vaccin « Covid ». Cela pourrait également expliquer le nombre élevé de décès dus à la « grippe » après la campagne de vaccination contre la grippe de 2018. Cela explique aussi le fait que tant de personnes soient mortes à Wuhan. Le gouvernement chinois avait rendu le vaccin contre la grippe obligatoire pour la population juste avant d’allumer les dizaines de milliers d’antennes 5G flambant neuves à Wuhan.  De même, les personnes âgées décédées à Milan avaient également été vaccinées contre la grippe et il y avait un grand nombre d’antennes 5G à Milan (voir les cartes des installations d’antennes en Italie en mars/avril 2020, qui montrent que la région de Milan a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus »).  

Magda Havas a constaté que les cas de Covid-19 par million étaient supérieurs de 95% et les décès de Covid-19 par million étaient supérieurs de 126% dans les États américains dotés de la 5G. La Quinta Columna rappelle que la 4G LTE utilise également des ondes millimétriques et que la 5G n’est donc pas la seule à être impliquée. Bartomeu Payeras i Cifre a publié une étude sur la corrélation 5G-Covid en avril 2020. Il a souligné le fait que Saint-Marin a été le premier État européen doté de la technologie 5G et l’État qui a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus » pour 1.000 habitants, soit 4,07 fois plus de cas que l’Italie et 27 fois plus que la Croatie, qui ne disposait pas de la 5G à l’époque (voir la carte ci-dessous).

M. Payeras i Cifre a également observé que le « coronavirus » semblait peu enclin à franchir les frontières. Le nombre moyen d’infections pour les quatre États américains limitrophes du Mexique était de 0,242, soit plus de 2.000 % de plus que le Mexique. La moyenne pour l’ensemble des États-Unis était de 0,814, soit 7.000 % de plus qu’au Mexique (voir la carte ci-dessous). L' »effet frontière » entre le Mexique et les États-Unis

Données pour le 3 avril 2020 – infections pour 1.000 habitants

Californie Arizona Nouveau-Mexique Texas Mexique USA
0.28 0.31 0.20 0.18 0.012 0.814

Je me demande comment il se fait que toutes ces informations utiles émanent d’Espagne. Même Andreas Kalcker (basé en Espagne) est sur une vidéo discutant de GO en espagnol. Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, souligne que nous devrions prendre note du fait que chaque période de vaccination a été liée à un saut technologique. Le graphique ci-dessous illustre comment chaque expansion de l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) et chaque nouvelle génération de technologie sans fil a été accompagnée d’une nouvelle maladie. 

On pourrait ajouter que la grippe dite espagnole est apparue six mois après que l’armée américaine a commencé à utiliser des émetteurs radio très puissants à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917. La grippe asiatique s’est produite en 1957-1958 lorsqu’un puissant système de surveillance radar a été mis en service. La grippe de Hong Kong est apparue en 1968, lorsque 28 satellites militaires de surveillance de l’espace ont été mis en service. En 1997, lorsque les téléphones portables ont été utilisés en masse, on a constaté une augmentation de 31% du diabète aux États-Unis en un an. Au Royaume-Uni, entre 1994 et 2002, parallèlement à l’adoption soudaine de la technologie des téléphones portables, la population de moineaux domestiques a diminué de 75% et elle a été classée parmi les espèces en voie de disparition. Notons également qu’en octobre 2018, juste après que des centaines d’avions aient été équipés d’un tout nouveau WiFi embarqué venant directement du satellite, des cas massifs de « grippe » se sont déclarés à bord des vols et des ambulances ont dû être appelées et des vols détournés.

De même, alors que nous avons commencé à entendre parler de cas de « coronavirus » à bord de bateaux de croisière début 2020, nous avons appris simultanément que les paquebots venaient de déployer la 5G complète et la reconnaissance faciale à bord, tous les passagers étant irradiés avec des brassards et des pendentifs prêts pour la 5G. Ce sont deux médecins italiens, Montanari et Gatti, qui ont été les premiers à alerter sur les vaccins contenant mystérieusement des nanoparticules non déclarées dans un article publié début 2018. Ils ont notamment trouvé de l’acier inoxydable et du carbure de tungstène, hautement toxique, dans des vaccins. Pour leur peine, leurs domiciles ont été perquisitionnés par la police, qui leur a retiré toutes leurs données et ordinateurs. Dans une interview, les deux chercheurs ont expliqué qu’il est interdit que des nanoparticules se trouvent dans toute solution injectable car, contrairement aux autres nanoparticules auxquelles nous sommes exposés et que nous pouvons respirer et expulser en grande partie si nos poumons sont sains, les nanoparticules injectées restent piégées à jamais et peuvent circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau, provoquant des démences et des maladies comme le cancer et le diabète.
Si l’on ajoute à cela le fait que les téléphones portables ouvrent la barrière hémato-encéphalique pour laisser entrer les toxines, y compris les particules de l’air et les nanoparticules des vaccins, nous avons un mélange très dangereux de menaces.(([2] Le portail EMF de l’université d’Aix-la-Chapelle répertorie 34 études traitant de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Disponible sur 
www.emf-portal.org/en/article/overview/mobile-communications-med-bio/g-84/t-84003#level-3)) Je dis depuis le début de tout cela, fin 2019, qu’il n’y a pas de « Covid ». « Covid » est une désignation générale pour une collection de symptômes discrets, qui sont tous les mêmes que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques. Et, fait intéressant, nous apprenons que l’hôpital de Barcelone, en Espagne, a décidé de changer le nom du service où sont traitées les personnes réagissant à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques, dites « électrohypersensibles » ou EHS, en un service « post-Covid ». Comme c’est approprié !

Mais ce que je ne savais pas en 2020, c’est que cette exposition est massivement renforcée par l’implantation de nanoparticules métalliques dans l’organisme. C’est reconnu dans la littérature scientifique, même par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP ; pas internationale, pas une commission, et ne protégeant personne contre quoi que ce soit, sauf peut-être l’armée et les sociétés de télécommunications contre des poursuites pour des crimes contre l’humanité remontant à des décennies) qui déclare dans ses propres directives de « sécurité » sur l’exposition aux CEM que si vous avez du métal dans votre corps, il va agir avec les champs électromagnétiques (CEM) pour vous rendre malade(([3] Directives de l’ICNIRP pour limiter l’exposition aux champs électromagnétiques (100 kHz à 300 GHz). Health Phys. 118(5):483-524 ; 2020. Disponible à l’adresse
www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf)): 

« Les procédures médicales peuvent utiliser des CEM, et les implants métalliques peuvent modifier ou perturber les CEM dans le corps, qui à leur tour peuvent affecter le corps à la fois directement (via une interaction directe entre le champ et le tissu) et indirectement (via un objet conducteur intermédiaire). Par exemple, l’ablation par radiofréquence et l’hyperthermie sont toutes deux utilisées comme traitements médicaux, et les CEM de radiofréquence peuvent indirectement causer des dommages en interférant involontairement [je ne savais pas que les CEM possédaient une intention] avec des dispositifs médicaux implantables actifs (voir ISO 2012) ou en modifiant les CEM en raison de la présence d’implants conducteurs. » 

Les nanoparticules sont utilisées dans les traitements contre le cancer. Elles sont injectées dans la tumeur, puis un rayonnement électromagnétique est appliqué afin que chaque nanoparticule brûle les cellules cancéreuses adjacentes. C’est ce qu’on appelle la « thérapie par ablation thermique ».(([4] Ablation par radiofréquence (RFA) : Il s’agit probablement du type d’ablation thermique le plus couramment utilisé. La RFA utilise des ondes radio à haute énergie pour le traitement. Une fine sonde en forme d’aiguille est insérée dans la tumeur pendant une courte période, généralement de 10 à 30 minutes. La sonde est guidée en place à l’aide d’ultrasons, d’une IRM ou d’un scanner. L’extrémité de la sonde émet un courant à haute fréquence qui crée une chaleur très élevée et détruit les cellules dans une zone donnée. Les cellules mortes ne sont pas éliminées, mais deviennent des tissus cicatriciels et rétrécissent avec le temps. L’hyperthermie pour traiter le cancer.
www.cancer.org/treatment/treatments-and-side-effects/treatment-types/hyperthermia.html)) 

Que se passe-t-il donc lorsque vous remplissez tout le corps de nanoparticules d’oxyde de graphène et que vous exposez tout le monde aux rayonnements électromagnétiques inéluctables et omniprésents qui couvrent toute la planète, y compris depuis les satellites et les plates-formes de haute altitude (HAPS) telles que les planeurs et les drones dans la stratosphère ?(([5] « Des constellations massives de … satellites en orbite terrestre basse sont en cours de planification et de fabrication et … couvriront le globe d’une capacité à faible latence et à large bande passante » afin d’étendre la portée de l’Internet mondial aux zones rurales et reculées et de compléter les réseaux terrestres 5G. » Union internationale des télécommunications ; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Commission du haut débit pour le développement durable. Groupe de travail sur les technologies dans l’espace et la haute atmosphère. Identifier le potentiel des nouvelles technologies de communication pour le développement durable. Septembre 2017. 
www.broadbandcommission.org/Documents/publications/WG-Technologies-in-Space-Report2017.pdf))

Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, a la réponse : 

« Chaque personne qui a été inoculée avec cette nanotechnologie de l’oxyde de graphène a maintenant une mèche, de la dynamite, une bombe à retardement qui est prête à exploser par l’activation d’une micro-onde. » 

La réponse est que vous avez un génocide. C’est ce qu’a expliqué avec force détails graphiques un ingénieur français dans une vidéo de 2020 (supprimée depuis par Youtube), mais dont nous avons la transcription :

« Pour moi, ces nanoparticules font partie d’un système d’armes qui permettra la dépopulation sans résistance de masse. Si vous comparez cela à un système d’explosifs, la nanoparticule serait la barre de l’explosif plastique, c’est-à-dire la matière active qui va exploser. La deuxième chose qui serait nécessaire est un détonateur. Pour moi, c’est l’onde électromagnétique qui va faire vibrer la nanoparticule, et la troisième chose c’est le contrôle, je pense qu’on l’a trouvé maintenant, c’est l’idée de 2020 060606,(([6] Brevet Microsoft 060606 – Monnaie numérique à interface corporelle. 
www.disclose.tv/t/microsoft-patent-060606-body-interfaced-digital-currency/298))(([7] Pour une discussion détaillée du vaccin proposé, voir Rapport d’enquête des officiers de réserve de l’armée française sur la pandémie de Covid-19 et ses relations avec le SRAS-COV-2 et d’autres facteurs, chapitre 13 : Vaccin et puce électronique. 
French Army Reserve Officers’ Investigative Report on the Covid-19 Pandemic and its Relationship to SARS-COV-2 and Other Factors, chapter 13: Vaccine and electronic chip.)) c’est-à-dire la vaccination sous-cutanée que les maîtres du monde vont proposer pour qu’ils puissent savoir où nous sommes et puissent nous tracer avec la 5G. L’avantage de la 5G comme détonateur est qu’elle peut nous tracer. C’est une arme à énergie dirigée. Donc, on est tracé, ils savent où envoyer l’onde et ils savent qui ils vont chauffer. De quoi avez-vous besoin pour que ce système d’armement soit opérationnel ? Il faut être capable d’injecter les nanoparticules dans le corps. Le seul moyen qui semble cohérent au regard de l’histoire est de les mettre dans les vaccins. »

Ce que cela signifie, c’est que chaque adulte ou enfant qui a reçu les vaccins « Covid », et apparemment n’importe quel autre vaccin au cours des deux dernières années, est maintenant une antenne relais et risque de mourir à tout moment d’une exposition aux CEM, mais cela se manifestera par toute une série de maladies différentes.  N’oublions pas non plus que la géo-ingénierie qui se déroule au-dessus de nos têtes pendant tout ce temps est également pleine de nanoparticules, et inclut probablement aussi le GO.

Les canaris dans la mine de charbon à l’heure actuelle sont les pilotes qui ont été vaccinés. Les pilotes et le personnel navigant sont exposés professionnellement à des niveaux de radiation très élevés. Faut-il s’étonner, dès lors, que quatre pilotes de British Airways soient morts après avoir reçu les vaccins et cinq autres de Jet Blue Airlines ?  Un vol de Singapore Airlines a dû se dérouter vers l’aéroport de Moscou parce qu’une hôtesse de l’air a eu une attaque. D’autres rumeurs font état de décès de pilotes d’autres compagnies aériennes. 

Je pense que nous avons été la cible d’une énorme opération psychologique et que pratiquement tout le monde regarde dans la mauvaise direction.  Tout tourne autour des radiations électromagnétiques et c’est la clé.  Maintenant que tous ceux qui se sont fait piquer sont pleins d’oxyde de graphène, leur seul recours est de suivre les précautions que prennent les personnes dites électrohypersensibles (EHS) et de se débarrasser de leurs téléphones portables et de tous les appareils sans fil et de s’assurer qu’ils n’entrent jamais en contact avec une quelconque technologie sans fil. 

Et bien sûr, si les gouvernements ne désactivent pas immédiatement toutes les antennes partout dans le monde (et ils n’ont pas besoin de nous dire que c’est une notion ridicule alors qu’ils étaient tout à fait heureux de fermer l’économie mondiale entière pour le Covid inexistant), alors c’est une preuve prima facie d’intentions génocidaires, parce que la littérature scientifique est sans équivoque que les métaux dans le corps deviennent des antennes lorsqu’ils sont exposés aux EMR. Le pistolet fumant de la conspiration de Covid est les nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins. Maintenant que nous le savons, la priorité de chacun doit être d’éteindre toutes les technologies sans fil et toutes les antennes de la planète, ainsi que tous les satellites 5G. Ne pas le faire sera une condamnation à mort pour les vaccinés.


[Voir aussi :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]


RÉFÉRENCES




Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

[Source : agoratv]



[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette question béotienne (comme on dit) peut encore prêter à sourire tant d’un côté l’évidence crie « oui », à voir la propagande hygiéniste et ses diverses obligations juridiques qui explosent (malgré l’effondrement des indicateurs : les malades de diarrhée étant plus importants que ceux de la C19) tandis que de l’autre les puissants de l’heure expliquent que « non » puisque vous pouvez encore vous poser la question sans être enfermé et qu’il existe des « lois ».

Ce dernier point peut prêter à sourire tant ces « puissants » oublient volontairement que sous Staline il y avait de la presse assez critique sur les dysfonctionnements du quotidien, que sous Hitler le droit était prolifique et se voulait même « moral », et qu’en règle générale il y a toujours eu des élections avec des candidats divers au sein des régimes dits pourtant non démocratiques…

Or, lorsque la presse est de plus en plus aux ordres, lorsqu’elle ment (confondant « cas » et « malades », par exemple, ou assénant qu’aucun traitement ne marche hormis l’injonction de l’injection expérimentale), de même lorsque le conseil d’État, le Parlement, et dans une certaine mesure le Conseil Constitutionnel adoubent toutes les décisions de fond du Pouvoir qui empiète pourtant les libertés fondamentales, mais ce au nom d’une supposée urgence « sanitaire » alors qu’elle est disproportionnée en réalité au vu des chiffres réels et non pas projetés) lorsqu’enfin toute critique de fond signifie mort médiatique puis sociale du « questionniste » (lorsqu’il n’est pas taxé de « rassuriste », « platiste », « complotiste »), quelle est la différence, dans les faits, entre ce que sont et/ou deviennent peu à peu aujourd’hui la France, les USA par exemple et les (anciennes) dictatures ?…

Car il est possible en effet d’avancer que deux différences cruciales restent toujours probantes : d’un côté l’existence de conflits permanents au sein du Pouvoir et de ses institutions qui laissent penser qu’une « balance des pouvoirs » existe encore, de l’autre l’absence d’une répression brutale et l’enfermement puis l’assassinat.

La première différence apparaît pourtant de moins en moins évidente (surtout avec un taux d’abstention de plus en plus important) d’autant plus que le conflit entre les instances ou en leur sein ne semble pas décisif, comme on le voit de mieux en mieux en France (de plus, la dernière loi d’urgence a été votée par une poignée de « députés ») ; par ailleurs, il y a toujours eu des conflits au sein des dictatures (d’où les purges permanentes).

La seconde différence s’exprime dans le fait que l’on peut toujours manifester ; certes, mais dans quelles conditions ? Tout dépend du moment et du degré de stupeur. Il y a eu aussi des manifestations sous Lénine et Trotsky, en 1968 en Tchécoslovaquie, Pologne en 1980, en 1989 sous le régime maoïste, en Égypte, Tunisie, en Algérie ces derniers temps… Observons la manière dont les manifestations des Gilets Jaunes première mouture ou de la « manif pour tous » ont été peu à peu brutalement dénigrées, voire réprimées au bout d’un certain moment (et celles aussi que le Pouvoir a laissées dégénérer par milices dites « antifa » interposées…). Rien ne dit que celles qui se déroulent actuellement contre un « pass » plus politique que « sanitaire » (les chiffres démentant le discours officiel au niveau des réanimations et de la mortalité) ne subiront pas le même sort à la rentrée de septembre (2021).

En un mot, passé le moment de sidération, pensant aussi que le « soufflet » de la contestation s’essoufflera comme toujours, le Pouvoir actuellement préserve toujours l’apparence d’une démocratie même si cela devient de plus en plus un village Potemkine du moins pour le peuple, car du point de vue des élites consentantes cela ne se voit pas du tout : leurs institutions supérieures fonctionnent normalement. Ainsi les Académies pérorent (mais sous l’Union Soviétique aussi), publient, soutiennent même la politique hygiéniste au nom de « la » Science alors que la controverse salutaire au sein de celle-ci est muselée, mais rien n’y fait : l’aveuglement est la norme, comme sous Lyssenko ou la pensée hygiéniste eugéniste à l’amorce du 20e siècle.

Tout cela sera bien entendu balayé d’un revers de main par les Suffisants bien assis sur leur certitude en argile pourtant.

Finalement qui a écrit : « La souveraineté nationale appartient au peuple » ?  Un populiste, voire un complotiste ? Un souverainiste extrémiste de droite ?…

Bonjour chez vous N°6


[Voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »]




L’école à la maison, c’est fini

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La consultation sur le passe sanitaire, – et adoption finale -, à vitesse grand V  dans une Assemblée nationale et un Sénat aux ordres, a occulté  l’adoption d’une autre loi inique, liberticide : celle qui met fin à l’instruction à domicile. Pourtant, le 23 juillet dernier, les scellées ont été posées sur le cercueil de l’école à la maison. Et les Français ont perdu une autre de leur liberté : celle concernant leur choix éducatif pour leurs enfants.

Dans un communiqué, la Fondation pour l’école revient sur cette interdiction qui s’est faite « au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions » :

« Lors de son vote du 23 juillet 2021, l’Assemblée nationale a définitivement adopté la loi confortant le respect des principes de la République.

Cette adoption a pour conséquence la suppression du régime déclaratif de l’instruction en famille (IEF) institué depuis fort longtemps et pourtant garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme[1].

Il est dorénavant remplacé par un régime d’autorisation préalable, soumis à des conditions aussi strictes que subjectives, privant de facto 62 398 enfants[2] d’un mode d’instruction parfaitement légal et régulièrement contrôlé par les services de l’État.

Comme elle l’avait annoncé précédemment, la Fondation ne peut se résoudre à la suppression d’une telle liberté fondamentale, et entamera donc lundi 26 juillet une procédure dite de « la porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel.

Rappelons que cette adoption du 23 juillet s’est faite au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions. Ainsi :

un premier avis du Conseil d’État sur cette loi, modifié in extremis sur pression du gouvernement[3], s’est prononcé en nette défaveur de la suppression de l’IEF en décembre 2020 ;

la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), après avoir auditionné la Fondation pour l’école, at rendu un avis défavorable le 28 janvier 2021[4] sur le projet de loi ;

le Sénat, où la Fondation a également été auditionnée, a supprimé l’interdiction de l’IEF lors de son examen du 19 mars 2021[5] et a fait part de ses plus vives inquiétudes sur la dimension liberticide d’une telle loi ;

les travaux de la Commission mixte paritaire n’ont, par la suite, pas abouti ;

le Sénat avait ensuite renouvelé ses inquiétudes devant la volonté manifeste des députés d’un passage en force, et leur refus réitéré de tenir compte des dispositifs alternatifs proposés[6].

Rappelons également que :

l’étude d’impact du projet de loi remis par le Gouvernement n’a fourni aucun chiffre permettant de démontrer les dérives séparatistes massives prétendument issues de l’IEF ;

la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) a refusé de rendre publics et de communiquer à l’Assemblée deux rapports émis sur le sujet, obligeant ainsi les députés à voter « dans le noir »[7].

Ainsi, l’Assemblée nationale aura méprisé tous les avis rendus par les différentes institutions républicaines… au nom du respect des principes de la République : l’ironie de la situation n’échappera à personne.

Face à ce déni démocratique avéré, la Fondation pour l’école, associée aux collectifs L’école est la maison[8] et Liberté éducation[9], déposera une « contribution extérieure » communément appelée « porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel, par l’intermédiaire de son avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, Maître Guillaume Valdelièvre.

Cette procédure vise à rétablir l’IEF telle qu’elle était inscrite dans la loi française. Elle a également pour objectif de s’opposer aux nouveaux contrôles et sanctions visant les établissements scolaires indépendants (dits hors contrat). Face à ces attaques particulièrement graves de nos libertés fondamentales, nous attendons du Conseil constitutionnel qu’il réponde rapidement et favorablement à nos demandes en déclarant ces atteintes aux libertés d’instruction et d’enseignement comme étant contraires à la Constitution.

Il est inconcevable que la liberté de 67 millions de français soit ainsi piétinée par les dérives de quelques-uns[10]. »

L’étau visant à supprimer, petit à petit, la majeure partie de leurs libertés fondamentales, se resserre autour des Français.

La France bascule inexorablement dans un régime tyrannique à la chinoise.

Francesca de Villasmundo 


[1] Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, article 26 alinéa 3 : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

[2] https://www.liberteeducation.com/quelques-chiffres-sur-lecole-a-la-maison/

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/suppression-de-l-instruction-en-famille-comment-le-conseil-d-etat-a-declare-son-inconstitutionnalite-avant-de-se-retracter-20210601

[4] https://www.cncdh.fr/sites/default/files/a_-_2021_-_1_-_pjl_principes_de_la_republique_janv_2021.pdf

[5] http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210329/cult.html

[6] https://www.senat.fr/amendements/2020-2021/734/jeu_complet.html

[7] https://association-unie.fr/petition-nous-voulons-les-rapports-de-la-dgesco/

[8] https://lecoleestlamaison.blogspot.com/

[9] https://www.liberteeducation.com/

[10] Vademecum sur l’IEF de l’Éducation nationale, page 38 : « Les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l’occasion du contrôle de l’instruction au domicile familial sont exceptionnels. ». En 2019, 179 enfants suivis en CPRAF (cellule de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles) pour des motifs de radicalisation étaient effectivement déscolarisés ou instruits en famille.




Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, 4 doses de vaccin sont prévues pour chaque européen de l’Union Européenne

[Source : myessentielles via profession-gendarme.com]

https://twitter.com/_LE_GENERAL_OF/status/1417216021778378752?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1417216021778378752%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.profession-gendarme.com%2Falexandra-henrion-caude-balance-du-lourd-en-direct-y-a-4-doses-qui-sont-prevues-pour-chacun-dentre-nous-y-compris-bebes%2F



Selon l’avocat Reiner Fuellmich, le front des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres

L’avocat allemand, Reiner Fuellmich, a pris la parole par l’intermédiaire d’une vidéo préenregistrée lors de la manifestation pour la liberté qui se tint au Trafalgar Square de Westminster, à Londres. En effet, des milliers de personnes se sont rassemblées le samedi 24 juillet au Trafalgar Square pour protester contre les règles de verrouillage et les vaccinations COVID-19. Un large éventail d’intervenants ont participé à l’événement, dont Kate Shemirani, David Icke et Piers Corbyn qui se sont adressés à la foule. Les manifestants sont en colère contre la récente décision qui rendra les passeports vaccinaux obligatoires en Angleterre pour accéder aux boîtes de nuit et autres lieux bondés. Boris Johnson a déclaré que la nouvelle mesure entrerait en vigueur d’ici la fin septembre.

Des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs pays ont aussi protesté contre les mesures anti-COVID. En France, les citoyens sont descendus dans la rue pour protester à l’échelle nationale contre le laissez-passer sanitaire du président Emmanuel Macron qui réduira considérablement l’accès aux restaurants et aux espaces publics pour les personnes non vaccinées. « Liberté, liberté », scandaient des manifestants en France, portant des pancartes dénonçant « Macron, Tyran »« Big Pharma enchaîne la liberté » ou disant « Non à la passe de la honte ». Un programme similaire, appelé « laissez-passer vert », a déclenché des manifestations de colère dans toute l’Italie. Les habitants de Rome, Naples et Turin ont scandé « liberté » et « à bas la dictature » ​​contre les projets du soi-disant « pass vert ».

Vous remarquerez que dans son discours, Dr Reiner Fuellmich ne parle pas du tout d’un procès international de type « Nuremberg 2.0 » pour la simple et bonne raison qu’une telle procédure n’existe pas. L’avocat avait lui-même rétabli les faits auprès de FranceSoir concernant ce soi-disant « méga procès » qui n’est qu’une fausse rumeur propagée par des gens sans doute mal intentionnés, dans le but éventuel « de le discréditer » selon ses propres dires. C’est ce que j’avais moi-même révélé dans un article du 20 avril dernier dans lequel je faisais part d’une correspondance datant de la veille avec Me Reiner Fuellmich. Dans cette correspondance, l’avocat me confirmait que « malgré toutes les (fausses) rumeurs il n’a rien déposé auprès de la Cour pénale internationale ». Il espérait simplement rassembler les juristes de partout dans le monde qui remettent en question les mesures à la base : le test PCR Drosten. Le reste, dont le dépôt d’une plainte à la Cour pénale internationale, n’étant que des rumeurs.

Celles et ceux qui affirment qu’un procès de type « Nuremberg 2.0 » est en préparation mentent et profitent de la crédulité des gens, en propageant de faux espoirs parmi la population. Récemment, certaines personnes ont affirmé qu’elles organisaient un « Nuremberg 2.0 » devant le Palais de justice de Douglas sur l’île de Man. Elles disent avoir signifié cette procédure au procureur général John Quinn, au lieutenant gouverneur Richard Gozney et au greffier en chef Stuart Quayle. Selon cette rumeur, le rassemblement devrait avoir lieu le 1er septembre devant le tribunal de droit commun sur l’île de Man.

Je suis donc allé à la source et j’ai écrit au Palais de justice de l’île de Man pour leur demander si cette information était véridique ou non. Le directeur de la performance et des services judiciaires au Registre général, Colin Cowley. me répondit : « Cher Monsieur. Le greffe général n’a connaissance d’aucun document signifié comme indiqué et ne peut donc faire aucun commentaire à ce sujet. Salutations » Évidemment, certaines personnes diront que le procès Nuremberg 2.0 étant « secret » 🙂  le Tribunal de l’île de Man ne révélera aucune information à son sujet. Je laisse donc ce genre de commentaire aux adeptes des jeux de rôles et de fantaisie… Pour ma part, je reste dans le monde des adultes.

Colin Cowley - Isle of Man Courts of Justice

VEUILLEZ NOTER : Des dizaines de crimes contre l’humanité ont été perpétrés depuis très longtemps dans différentes régions du monde. Il n’y a qu’à regarder du côté des premiers mutants de l’espèce humaine, exposés pendant 40 ans aux essais nucléaires soviétiques, les habitants de la région du Kazakhstan ont servi de cobayes humains. La ville de Kourtchatov, base ultrasecrète où vivaient les scientifiques et techniciens avec leurs familles, n’était mentionnée sur aucune carte à l’époque. Aujourd’hui, elle abrite des êtres détruits : ils souffrent de cécité ou de faiblesse des os, ils ont parfois le visage complètement déformé. Le taux de cancer est 3 fois supérieur à la normale. Ici, les naissances monstrueuses sont légion depuis les années 50. Reconnues par l’État, ces victimes de l’atome touchent de modestes pensions. Mais les radiations ont marqué pour toujours leur patrimoine génétique.

Y a-t-il jamais eu un procès pour crimes contre l’humanité pour ces atrocités ? Non, jamais !

« C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création. »

Reiner Fuellmich



Le discours de l’avocat Reiner Fuellmich

Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle. Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus ? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie ? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde ? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi-artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4 %. Et en conséquence, Singapour est tombée d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.

Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections. Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100 % de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97 % de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).

Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures (la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc.) n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.

En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus. Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des États-Unis.

Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45 000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations. Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets, et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11 000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1 % et 10 % de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.

Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux États-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout à fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.

Entre-temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être. Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.

Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.

Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.

Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.

C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.




« Se croyant tout puissants, les comploteurs qui œuvrent sous le couvert du globalisme croient pouvoir soumettre toute l’humanité et la nature sous leur joug totalitaire, mais ils s’apercevront bientôt qu’ils ne sont pas les maîtres à bord et que leur imperium disparaîtra plus rapidement qu’il n’est apparu… »

Guy Boulianne




Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021

[Source : nicolasbonnal.com]

Totalitarisme fou et absolu. Les manifs ne les font surtout pas reculer [voir : Note sur les manifestations sous le règne du NOM] : manifestation obligatoire universelle pour septembre. Les enseignants doivent se vacciner. Aucune catastrophe sanitaire nulle part, déclare Florian qui rappelle que les libertés progressent ailleurs : il faudra donc se battre ou crever comme des rats numérotés. Râler et boycotter sont déjà dépassés.

Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

Blanquer annonce la vaccination obligatoire pour les enseignants – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

LA VACCINATION OBLIGATOIRE S’ÉTENDRA-T-ELLE AUX ENSEIGNANTS ? CETTE MESURE, QUI SERAIT LOGIQUE, MAIS QUI EST DIFFICILE À IMPOSER POLITIQUEMENT, SEMBLE ANNONCÉE PAR UNE MAIL ENVOYÉ PAR LE MINISTRE BLANQUER À TOUS LES PERSONNELS DANS UN MESSAGE QUE NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS. DANS LA PRATIQUE, IL EST TROP PROBABLE QUE, DÈS SEPTEMBRE, L’EDUCATION NATIONALE SOUMETTRA SES PERSONNELS À UNE OBLIGATION VACCINALE.

https://youtu.be/RJ9VvgRJFEI



Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





France : votre maire est-il un collabo? Vérifiez dans cette liste de 382 noms!

[Source : FL24.net]

Par Pascal Tenno

Dans une lettre ouverte publiée par Le Journal Du Dimanche, 382 élus de différents partis, dont le PS et LR, Estrosi en tête, applaudissent la tyrannie sanitaire mise en place par Emmanuel Macron lundi dernier, et saluent avec force courbettes et prosternations “le courage des décisions prises”.

Cette lettre ouverte est une déclaration de soumission totale au pouvoir élyséen. Personne ne l’attendait, personne ne la demandait… excepté Macron lui-même, afin d’asseoir toujours davantage sa domination, et de faire croire que la Nation entière approuve la destruction pseudo-sanitaire de nos droits fondamentaux. Et, sans aucun doute, Estrosi, qui est désormais la tête de pont officielle de la macronisation des esprits hors des frontières de LREM.

Le texte de la lettre est honteusement lâche et obséquieux, scandaleusement arriviste et hypocrite. “Dans l’intérêt du pays comme dans celui de nos territoires, nous, maires et responsables de collectivités territoriales, avons choisi d’agir ensemble pour l’avenir. D’agir ensemble pour la France. Voilà pourquoi nous soutenons les actions que vient d’annoncer le Président Emmanuel Macron.” . Etc., etc., etc.

Mais l’initiative a au moins un intérêt majeur: fournir une liste des 382 élus les plus prosternés et les plus consternants de France. Une liste utile, qui vous permet de savoir si votre élu local est un collabo. Puisqu’ils se dénoncent eux-mêmes, il n’y a aucun mal à vérifier. À vous de jouer!

  • Houssamoudine ABDALLAH, Maire de Sada (Mayotte)
  • Mouslim ABOURAHAMA, Maire de Boueni (Mayotte)
  • Bruno ACCIAÏ, Maire de La Robine-Sur-Galabre (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Olivier ALLAIN, Maire de Corlay (Côtes-d’Armor)
  • Tearii ALPHA, Maire de Teva I Uta (Polynésie française)
  • Christian AMIRATI, maire de Gignac-La-Nerthe (Bouches-du-Rhône)
  • Mahfoud AOMAR, Maire de Valravillon (Yonne)
  • François ARIZZI, Maire de Bormes-les-Mimosas (Var)
  • Alexis ARMANGAU, Maire de Fitou (Aude)
  • Jean AUBOURG, Maire de Saint-Ouen-du-Tilleul (Eure)
  • Fabien AUFRECHTER, Maire de Verneuil Sur Seine (Yvelines)
  • Philippe AUGIER, Maire de Deauville (Calvados)
  • Pierre AVOYNE, Maire de Norolles (Calvados)
  • Bruno Nestor AZEROT, Maire de Sainte-Marie (Martinique)
  • Dominique BAERT, Maire de Wattrelos (Nord)
  • Rolland BALBIS, Maire de Villecroze (Var)
  • François BARBIER, Maire de Contamines (Haute-Savoie)
  • Frédéric BARON, maire de Etriac (Charente)
  • Philippe BARRE, Maire de Sainte-Hermine (Vendée)
  • Annick BARRE, Maire de Laz (Finistère)
  • Catherine BARTHELET, Maire de Pelousey (Doubs)
  • Pascal BAUDELOT, Maire de Lenax (Allier)
  • Jean-François BAUDRY, Maire de Féron (Nord)
  • Marcel BAUER, Maire de Sélestat (Bas-Rhin)
  • Stéphane BEAUDET, Maire d’Évry-Courcouronnes (Essonne )
  • Jean-Michel BEAUGER, Maire de Tharoiseau (Yonne)
  • Christophe BÉCHU, Maire d’Angers (Maine-et-Loire)
  • Doriane BECUE, Maire de Tourcoing (Nord)
  • Bertrand BELLANGER, Président du conseil départemental de la Seine-Maritime
  • Thierry BELLONI, Maire de Staffelfelden (Haut-Rhin)
  • Laïthidine BEN SAÏD, Maire de Mtsamboro (Mayotte)
  • Joris BENIER, Maire des Trois-Lacs (Eure)
  • Florent BENOIT, Maire de Vulbens (Haute-Savoie)
  • Samuel BENOUDIZ, Maire de Aigremont (Yvelines)
  • Fabrice BERGER, Maire de Challuy (Nièvre)
  • Gérard BERHAULT, Maire de Le Hinglé (Côtes-d’Armor)
  • Eric BERLIVET, Maire de Roche-La-Molière (Loire)
  • Raphael BERNARDIN, Maire de Saint-Sulpice-La-Pointe (Tarn)
  • Michel BERNOS, Maire de Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)
  • André BERTERO, Maire d’Aurons (Bouches-du-Rhône)
  • Bruno BERTHELIER, Maire de Charlieu (Loire)
  • André BEVILLE, Maire de Saint-Jean-de-Thouars (Deux-Sèvres)
  • Louis BISCARRAT, Maire de Jonquieres (Vaucluse)
  • Yves BLEUNVEN, Maire de Grand-Champ (Morbihan)
  • Thomas BLONSKY, Maire de Chapelle-Royale (Eure-et-Loir)
  • Laurent BONNATERRE, Maire de Caudebec-Lès-Elbeuf (Seine-Maritime)
  • Jean-Luc BONNET, Maire de Le Vigen (Haute-Vienne)
  • Patrice BONVOISIN, Maire de Freneuse-sur-Risle (Eure)
  • Yannick BORDE, Maire de Saint-Berthevin (Mayenne)
  • Jean-Charles BORGHINI, Maire de La Brillanne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Jean-Baptiste BORSALI, Maire du Bourget (Seine-Saint-Denis)
  • Georges BOTELLA, Maire de Théoule-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Luc BOUARD, Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée)
  • François BOUCHART, Maire de Roissy-en-Brie (Seinte-et-Marne)
  • Patrick BOUILLON, Maire de Lugny-Les-Charolles (Saône-et-Loire)
  • Laurent BOUQUET, Maire de Arrigny (Marne)
  • Monique BOURDIER, Maire de Bouleurs (Seine-et-Marne)
  • Arlette BRADAT, Maire de Welckolsheim (Haut-Rhin)
  • Didier BREMOND, Maire de Brignoles (Var)
  • Pierre BRETEAU, Maire de Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
  • Christian BRETIN, Maire de Cousance (Jura)
  • Christophe BRINGOUT, Maire de Labergement-lès-Auxonne (Côte-d’Or)
  • Thierry BRUN, Maire de Margency (Val-d’Oise)
  • Christophe BUHOT, Maire du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines)
  • Michel BUILLARD, Maire de Papeete (Polynésie française)
  • Marc CAGNARD, Maire de Croissy-sur-Celle (Oise)
  • Christiane CAILLIAU-DELEU, Maire de Martrin (Aveyron)
  • Dominique CAP, Maire de Plougastel-Daoulas, Président de l’association des maires du Finistère et de Bretagne
  • Philippe CASTERAN, Maire de Sédeilhac (Haute-Garonne)
  • Jean-Michel CATELINOIS, Maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme)
  • Laurent CATHALA, Maire de Créteil (Val-de-Marne)
  • Hugo CAVAGNAC, Maire de Fronton (Haute-Garonne)
  • Francois CAVALLIER, Maire de Callian (Var)
  • Caroline CAYEUX, Maire de Beauvais (Oise)
  • Florence CAYLA, Maire de Sébazac-Concourès (Aveyron)
  • Claude CENTLIVRE, Maire de Eguisheim (Haut-Rhin)
  • Laurence CHABAUD-GEVA, Maire de Saumane-de-Vaucluse (Vaucluse)
  • Richard CHAMARET, Maire de Méral (Mayenne)
  • Julien CHAMBON, Maire de Houilles (Yvelines)
  • Jean-Yves CHAPELET, Maire de Bagnols-Sur-Cèze (Gard)
  • Dominique CHAPPUIT, Maire de Rosoy (Yonne)
  • Maurice CHAUTANT, Maire de La Roche-des-Arnauds (Hautes-Alpes)
  • Vincent CHAUVET, Maire d’Autun (Saône-et-Loire)
  • Brigitte CHEVROT, Maire de La Bâtie-des-Fonds (Drôme)
  • Christophe CHOSEROT, Maire de Maxéville (Meurthe-et-Moselle)
  • Alain CHRÉTIEN, Maire de Vesoul (Haute-Saône)
  • Daniel CHRISTEL, Maire de Saint-Désert (Saône-et-Loire)
  • Thierry CIPIERRE, Maire de Coulouniers-Chamiers (Dordogne)
  • Philippe CLAUDOTTE, Maire de Villiers-aux-Bois (Marne)
  • Dominique CLAVERIE, Maire de Martillac (Gironde)
  • Cédric CLECH, Maire de Tonnerre (Yonne)
  • Philippe COLLAS, Maire de Val d’Hazey (Eure)
  • Didier COMBIS, Maire de Magrie (Aude)
  • François COMMEINHES, Maire de Sète (Hérault)
  • Loïc COMMUN, Maire de Marcy L’Etoile (Rhône)
  • Bruno CORADETTI, Maire du Vésinet (Yvelines)
  • Joelle CORDELETTE, Maire de Mont-Louis (Pyrénées-Orientales)
  • Thierry CORNIOT, Maire de Seignelay (Yonne)
  • Sandrine COSSERAT, Maire de Volonne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Cyril COTONAT, Maire de Ladevèze-Rivière (Gers)
  • Stéphane COTTY, Maire de Plounévézel (Finistère)
  • Bernard COUDRIAU, Maire de Saint-Lumine-de-Coutais (Loire-Atlantique)
  • Jean-Louis COUREAU, Maire de Puymirol (Lot-et-Garonne)
  • Xavier COURTOIS, Maire de Massangis (Yonne)
  • Jennifer COURTOIS-PERISSÉ, Maire de Rieumes (Haute-Garonne)
  • Yves COUSSAIN , Maire de Teissières-Lès-Bouliès (Cantal)
  • Yves CRISTIN, Maire de Lent (Ain)
  • Mathieu CUEL, Maire de Salles (Gironde)
  • Paulo DA SILVA MOREIRA, Maire de Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe (Yonne)
  • Jean-François DARDENNE, Maire de Nogent-Sur-Oise (Oise)
  • Jean-Paul DAVID, Maire de Guillaumes (Alpes-Maritimes)
  • Manuel DE JESUS, Maire de Sermoise-sur-Loire (Nièvre)
  • Jean-Jacques DE PERETTI, Maire de Sarlat-La-Canéda (Dordogne)
  • Michel DEBOUVERIE, Maire de Combas (Gard)
  • Laurent DEGALLAIX, Maire de Valenciennes (Nord)
  • Patrick DEHEN, Maire de Sorle-le-Château (Nord)
  • Hervé DELAGE, Maire de Monsaguel (Dordogne)
  • Jean DELALANDRE, Maire de Duclair (Seine-Maritime)
  • Guillaume DELBAR, Maire de Roubaix (Nord)
  • MICHEL DELEPAUL, Maire de Bois-Grenier (Nord)
  • Richard DELEPIERRE, Maire du Chesnay (Yvelines)
  • Yves DELOT, Maire de Saint-Florentin (Yonne)
  • Jean-Michel DERREY-HUE, Maire de Crasville (Eure)
  • Jérôme DESNOUE, Maire de Champmotteux (Essonne)
  • Manuel DESVERGNE, Maire de Saint-Laurent de Céris (Charente)
  • Valentin DETHOU, Maire de Champigneulles (Meurthe-et-Moselle)
  • Michel DIAZ, Maire de Saint-Jean-de-Barrou (Aude)
  • Arnaud DIAZ, Maire de L’Hospitalet-près-d’Andorre (Ariège)
  • Jean DIONIS DU SEJOUR, Maire d’Agen (Lot-et-Garonne)
  • Marc DITLECADET, Maire de Saint-Germain-Les-Belles (Haute-Vienne)
  • Didier DOUSSET, Maire du Plessis-Trévise (Val-de-Marne)
  • Alexandre DROGOZ, Maire de Saint-Chef (Isère)
  • Yves DU BUIT, Maire de Plouzané (Finistère)
  • Frédéric DUCHE, Maire des Andelys (Eure)
  • Michel DUFRANC, Maire de La Brède (Gironde)
  • Sylvain DUMAS, Maire de Farges-lès-Chalon (Saône-et-Loire)
  • Gervais EGAULT, Maire de Louannec (Côtes-d’Armor)
  • Xavier ELBAZ, Maire de Villedieu-Sur-Indre (Indre)
  • Youssef ERRAMMACH, Maire de Bois-Le-Roi (Eure)
  • Didier ESCARTIN, Maire de Escarmain (Nord)
  • Christian ESTROSI, Maire de Nice (Alpes-Maritimes)
  • Jean-René ETCHEGARAY, Maire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
  • Chantal EYMEOUD, Maire d’Embrun (Hautes-Alpes)
  • Hubert FALCO, Maire de Toulon (Var)
  • Dominique FAURE, Maire de Saint-Orens-De-Gameville (Haute-Garonne)
  • Sylvie FEREMANS, Maire de Cambremer (Calvados)
  • Thierry FEROTIN, Maire de Biviers (Isère)
  • Sébastien FINE, Maire de Villard-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes)
  • Bernard FLORENCE, Maire de Hohrod (Haut-Rhin)
  • Franck FONTAINE, Maire de Mézières (Yvelines)
  • Christian FOURNIER, Maire de Saint-Martin-Valmeroux (Cantal)
  • Jérôme FRANÇOIS, Maire de Meriel (Val-d’Oise)
  • Joëlle FREBAULT, Maire de Hiva Oa (Polynésie française)
  • Dominique FREYSSENET, Maire de Sainte-Sigolène (Haute-Loire)
  • Nicolas FRICOTEAUX, Président du conseil départemental de l’Aisne
  • Christian FRIES, Maire de Garrebourg (Moselle)
  • Edouard FRITCH, Président de la Polynésie française et maire de Pirae
  • Jean-Luc FRUCHART, Maire de Bromont-Lamothe (Puy-de-Dôme)
  • Michel GABAS, Maire de Eauze (Gers)
  • Catherine GABRELLE, Maire de Royer (Saône-et-Loire)
  • Cécile GALLIEN, Maire de Vorey (Haute-Loire)
  • Dominique GAMBIER, Maire de Déville-Lès-Rouen (Seine-Maritime)
  • Vincent GASSMANN, Maire de Chavannes-Sur-L’Etang (Haut-Rhin)
  • Willy GATUHAU, Maire de Païta (Nouvelle-Calédonie)
  • Benoît GAUVAN, Maire d’Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Philippe GENTY, Maire de Saint-Maurice-L’Exil (Isère)
  • Jean-Philippe GERAULT, Maire de Bellegarde-Adoulins (Gers)
  • NICOLAS GIRARDIN, Maire de Solliès-Ville (Var)
  • Marc GIROUD, Maire de Vallangoujard (Val-d’Oise)
  • Nathalie GODET, Maire de Loperhet (Finistère)
  • Yves GOEPFERT, Maire de Wittelsheim (Haut-Rhin)
  • Vai GOODING, Maire de Gambier (Polynésie française)
  • Marc GOUA, Maire de Trélazé (Maine-et-Loire)
  • Bruno GRANCOING, Maire de Saint-Auvent (Haute-Vienne)
  • Christophe GRAZIANI, Maire de Bigorno (Haute-Corse)
  • Elisabeth GRESSIER, Maire de Strazeele (Nord)
  • Morgan GRIFFOND, Maire de Saint-Pierre-La-Palud (Rhône)
  • Dominique GRIMPRET, Maire de Ahuy (Côte-d’Or)
  • Olivier GRIOCHE, Maire de Passel (Oise)
  • Roger GUCCIARDI, Maire de Ryes (Calvados)
  • Philippe GUERRIOT, Maire de Pins-Justaret (Haute-Garonne)
  • Rémy GUILLOU, Maire de Plouisy (Côtes d’Armor)
  • Nicolas HABARE, Maire de Bourgogne-Fresne (Marne)
  • Jean-Baptiste HAMONIC, Maire de Villepreux (Yvelines)
  • Marib HANAFI, Maire d’Acoua (Mayotte)
  • Mirelle HAOATAI-LIZ, Maire de Manihi (Polynésie française)
  • Christian HENRIET, Maire de Saint-Pierre-Le-Vieux (Vendée)
  • christophe HIGUET, Maire de Ry (Seine-Maritime)
  • Jean-Marie HOMBERT, Maire de Saint-Romain-Au-Mont-D’Or (Rhône)
  • Thierry HORY, Maire de Marly (Moselle)
  • Achille HOURDÉ, Maire de Jaignes (Seine-et-Marne)
  • Marie-Lise HOUSSEAU, Maire de Sorèze (Tarn)
  • Pascal HUBER, Maire de Chesny (Moselle)
  • Fabrice HUGELE, Maire de Seyssins (Isère)
  • Hervé HUNKELER, Maire de Montérolier (Seine-Maritime)
  • Laurent ILTIS, Maire de Pact (Isère)
  • Yann JACCAZ, Maire de Praz-Sur-Arly (Haute-Savoie)
  • Bernard JACOTIN, Maire de Beautheil-Saints (Seine-et-Marne)
  • Philippe JANICOT, Maire de Boisseuil (Haute-Vienne)
  • Marie-Christine JAOUEN, Maire de Saint-Hernin (Finistère)
  • Marie-Claude JARROT, Maire de Montceau-Les-Mines (Saône-et-Loire)
  • Danielle JEANNE, Maire de Aulnay-Sur-Iton (Eure)
  • Cyril JOBIC, Maire de Calanhel (Côtes-d’Armor)
  • Pascal JOLLY, Maire de Gasny (Eure)
  • Emmanuel JOULIE, Maire de Labastide-Saint-Georges (Tarn)
  • Bernard JULLIEN, Maire de Valencin (Isère)
  • Sébastien KARCHER, Maire de Villeneuve-L’Archevêque (Yonne)
  • David KAUFFER, Maire de Saint-Romain-Les-Atheux (Loire)
  • Benoît KAUTAI, Maire de Nuku Hiva (Polynésie française)
  • Alain KELYOR, Maire d’Émerainville (Seine-et-Marne)
  • Olivier KLEIN, Maire de Clichy-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
  • Jean LACHET, Maire de Camboulazet (Aveyron)
  • Philippe LACROIX, Maire d’Oadour-sur-Glane (Haute-Vienne)
  • Serge LADAN, Maire de Saint-Rémy (Calvados)
  • Sonia LAGARDE, Maire de Nouméa (Nouvelle-Calédonie)
  • Bernard LAMARY, Maire de Lorp-Sentaraille (Ariège)
  • Christophe LANGOUËT, Maire de Cossé-le-Vivien (Mayenne)
  • Roger LARS, Maire de Landévennec (Finistère)
  • Sylvain LAUNAY, Maire de Lonrai (Orne)
  • Thierry LAVIT, Maire de Lourdes (Hautes-Pyrénées)
  • Bruno LE BESCAUT, Maire de Loudéac (Côtes-d’Armor)
  • Thierry LE BIHAN, Maire de Mordelles (Ille-et-Vilaine)
  • Christophe LE BOULANGER, Maire de Caumont-Sur-Aure (Calvados)
  • Joël LE JEUNE, Maire de Trédrez-Locquémeau (Côtes-d’Armor)
  • Joseph LE MEROUR , Maire de Camaret-Sur-Mer (Finistère)
  • Frederic LE MEUR, Maire de Moustéru (Côtes-d’Armor)
  • Gwenn LE NAY, Maire de Plouay (Morbihan)
  • Olivier LE PICK, Maire de Carnac (Morbihan)
  • Jean Simon LEBLANC, Maire de Labastide-Monréjeau (Pyrénées-Atlantiques)
  • Alain LEBOUC, Maire de Amfreville-les-Champs (Seine-Maritime)
  • Nadine LEFEBVRE, Maire de Beuvry (Eure)
  • Nicolas LELEUX, Maire de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d’Oise)
  • Daniel LENOIR, Maire de Villaines-La-Juhel (Mayenne)
  • Franck LEROY, Maire d’Épernay (Marne)
  • Miguel LEROY, Maire de Auvillers-Les-Forges (Ardennes)
  • Jean-Philippe LHÔTELAIS, Maire de Crottet (Ain)
  • Gilles LIEBUS, Maire de Souillac (Lot)
  • Denis LINGLIN, Maire de Sergy (Ain)
  • Simplicio LISSANT, Maire de Punaauia (Polynésie française)
  • Ronan LOAS, Maire de Ploemeur (Morbihan)
  • Frédéric LOINARD, Maire de Colleville-Montgomery (Calvados)
  • Franck LONGO, Maire de Fontaine (Isère)
  • Jean-Luc LONGOUR, Maire du Cannet-des-Maures (Var)
  • Jean LOPES, Maire de Maizieres (Meurthe-et-Moselle)
  • Bruno LORENTZ, Maire de Sommerau (Bas-Rhin)
  • Guy LOSBAR, Président du conseil départemental de la Guadeloupe
  • Philippe LOYEZ, Maire de Noyelles-Sur-Escaut (Nord)
  • Michel LUCANTE, Maire de Coarraze (Pyrénées-Atlantiques)
  • Michèle LUTZ, Maire de Mulhouse (Haut-Rhin)
  • Mohamadi MADI OUSSENI, Maire de Chiconi (Mayotte)
  • Stéphane MAGUET, Maire de Janville-En-Beauce (Eure-et-Loir)
  • Chantal-Marie MALUS, Maire de Château-Chinon (Nièvre)
  • Christelle MANGE, Maire de Chéraute (Pyrénées-Atlantiques)
  • Tahuhu MARAEURA, Maire de Rangiroa (Polynésie française)
  • Laurent MARCANGELI, Maire d’Ajaccio (Corse)
  • Bruno MARIAGE, Maire de Warlus (Somme)
  • Jean-François MARY, Maire de Allaire (Morbihan)
  • René MAUTRAIT, Maire de Le Meix-Tiercelin (Marne)
  • Robert MEDINA, Maire de Mondouzil (Haute-Garonne)
  • Cyrille MELCHIOR, Président du conseil départemental de La Réunion
  • Eric MÉNASSI, Maire de Trèbes (Aude)
  • Nicolas METZDORF, Maire de La Foa (Nouvelle-Calédonie)
  • Jean-Paul MICHAUD, Maire de Thoraise (Doubs)
  • Vincent MINIER, Maire de Chanteloup (Ille-et-Vilaine)
  • Franz MOLET, Maire de Voulangis (Seine-et-Marne)
  • Damien MONNIER, Maire de Sathonay-Camp (Rhône)
  • Ralph MONPLAISIR, Maire de Case-Pilote (Martinique)
  • Raphaël MORETON, Maire de Viricelles (Loire)
  • Jean-Luc MOUDENC, Maire de Toulouse (Haute-Garonne)
  • Ali Moussa MOUSSA BEN, Maire de Bandrélé (Mayotte)
  • Yves MULLER, Maire de Marange-Silvange (Moselle)
  • David MUNIER, Maire de Chevry (Ain)
  • Philippe MURAT-DAVID, Maire de Vérignon (Var)
  • Ange MUSSO, Maire du Revest-Les-Eaux (Var)
  • Rémi MUZEAU, Maire de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine)
  • Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Jean-Lucien NETZER, Maire de Bischwiller (Bas-Rhin)
  • Raphaël NIVOIT, Maire de Gambais (Yvelines)
  • Karl OLIVE, Maire de Poissy (Yvelines)
  • Bertrand OLLIVIER, Maire de Joinville (Haute-Marne)
  • Said OMAR OILI, Maire de Dzaoudzi (Mayotte)
  • Jean-Charles ORSUCCI, Maire de Bonifacio (Corse)
  • François OUZILLEAU, Maire de Vernon (Eure)
  • Didier PAINEAU, Maire de Byans-sur-Doubs (Doubs)
  • Dominique PALLIER, Maire de Apprieu (Isère)
  • Patrice PANIS, Maire de Lédergues (Aveyron)
  • Elisa PANOFRÉ, Maire de Recurt (Hautes-Pyrénées)
  • Jacques PAUL, Maire de La Celle (Var)
  • Jean-Marc PEILLEX, Maire de Saint-Gervais-Les-Bains (Haute-Savoie)
  • Michel PELIEU, Président du conseil départemental des Hautes-Pyrénées
  • Cédric PEMBA MARINE, Maire du Port-Marly (Yvelines)
  • Alain PENOT, Maire de Saint Germain Les Vergnes (Corrèze)
  • Arnaud PERICARD, Maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)
  • Yannick PERON, Maire de Gargenville (Yvelines)
  • Jérôme PEYRAT, Maire de La Roque-Gageac (Dordogne)
  • Laurent PEYRONDET, Maire de Lacanau (Gironde)
  • Laurence PICARD, Maire de Coulommiers (Seine-et-Marne)
  • Laurent PIEN, Maire de Condé-Sur-Vire (Manche)
  • Christophe PIERRETON, Maire de Barby (Savoie)
  • Françoise PILLOY, Maire de Braye-En-Laonnois (Aisne)
  • Brigitte PISTRE, Maire de Frazé (Eure-et-Loir)
  • Franck POQUIN, Maire de Saint-Léger-de-Linières (Maine-et-Loire)
  • Daniel POUJAUD, Maire de Ports-sur-Vienne (Indre-et-Loire)
  • Dominique PROT, Maire de Junay (Yonne)
  • Jean-Luc QUEIRAS, Maire de Saint-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascal RAGOT, Maire de Bonnieux (Vaucluse)
  • Georges RAMON, Maire de Belvis (Aude)
  • Christian RAPHA, Maire de Saint-Pierre (Martinique)
  • Monique RATINEAU, Maire de Brantôme (Dordogne)
  • François REBSAMEN, Maire de Dijon (Côte-d’Or)
  • Teddy REGNIER, Maire de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine)
  • Hervé RENAULD, Maire de Grandchamp (Yvelines)
  • Bernard RENOY, Maire de Venterol (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascale REQUENNA, Maire de Hagetmau (Landes)
  • Bernard REY, Maire de Saint-Bernard (Ain)
  • Jean-Pierre RICCO, Maire de Pérols (Hérault)
  • Jean-Michel RIGAULT, Maire de Druyes-Les-Belles-Fontaines (Yonne)
  • François RINGUET, Maire de Kourou, président de l’association des maires de Guyane (Guyane)
  • Gilles RIPERT, Maire de Caseneuve (Vaucluse)
  • Yves-Marie RIVEMAL, Maire de Verneuil-sur-Avre (Eure)
  • Frédéric RIVETA, Maire de Rurutu (Polynésie française)
  • Jacques ROBIN, Maire de Rospez (Côtes-d’Armor)
  • Arnaud ROBINET, Maire de Reims (Marne)
  • Ludovic ROCHETTE, Maire de Brognon et président de l’association des maires de Côte-d’Or
  • Pierre-Jean ROCHETTE, Maire de Boën-sur-Lignon (Loire)
  • Joëlle ROLLIN, Maire de Blaru (Yvelines)
  • Philippe RONDAT, Maire de Tronsanges (Nièvre)
  • Joel ROUDAIRE, Maire de Kembs (Haut-Rhin)
  • Michael ROUSSEAU, Maire de Jouy-Sur-Morin (Seine-et-Marne)
  • Daniel ROUSSEL, Maire de Saint-Samson (Calvados)
  • Frédéric ROUX, Maire de Mollans-Sur-Ouvèze (Drôme)
  • Catherine SADON, Maire de Semur-En-Auxois (Côte-d’Or)
  • Moudjibou SAIDI, Maire de Dembéni (Mayotte)
  • Jean Philippe SAULNIER ARRIGHI, Maire de Moulins-sur-Ouanne (Yonne)
  • Jean-Pierre SAVIGNAC, Maire de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
  • Laurent SCHEMBRI, Maire de Recey-Sur-Ource (Côte-d’Or)
  • Gilles SCHMITT, Maire de Joganville (Manche)
  • Muriel SCOLAN, Maire de Deuil-La-Barre (Val-d’Oise)
  • Joseph SEGURA, Maire de Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
  • Yves SEJOURNE, Maire de Mirecourt (Vosges)
  • Emmanuel SERRE, Maire de Beaufin (Isère)
  • Jean-Pierre SERRUS, Maire de La Roque d’Anthéron (Bouches-du-Rhône)
  • Agnès SIMON PICQUET, Maire de Les Junies (Lot)
  • Sylvie SIRI, Maire de Saint-Tropez (Var)
  • Serge SMOCK, Maire de Matoury (Guyane)
  • Madi Madi SOUF, Maire de Pamandzi (Mayotte)
  • Claude SOULLIER, Maire de Brié-Et-Angonnes (Isère)
  • Ambdilwahedou SOUMAILA, Maire de Mamoudzou (Mayotte)
  • Patrick SOUTIF, Maire de Le Horps (Mayenne)
  • Daniel SPAGNOU, Maire de Sisteron et président de l’association des maires des Alpes de Haute-Provence
  • Michel TARTIE, Maire de Saint Paul-de-Jarrat (Ariège)
  • Vincent TERRAIL-NOVÈS, Maire de Balma (Haute-Garonne)
  • Jean-François THERET, Maire de Frévent (Pas-de-Calais)
  • Thierry THIBAUD, Maire de Savoillan (Vaucluse)
  • Véronique THIEUX LOUIT, Maire de Lupiac (Gers)
  • Denis THURIOT, Maire de Nevers (Nièvre)
  • Jean-Paul TISSOT, Maire de Veauchette (Loire)
  • Gaston TONG SANG, Maire de Bora-Bora (Polynésie française)
  • Francoise TRELAT, Maire de Chaumont-la-Ville (Haute-Marne)
  • Samir TRIKI, Maire de Lavault Sainte Anne (Allier)
  • Stéphane TRIQUART, Maire de Mussidan (Dordogne)
  • Vincent TURPINAT, Maire de Jarnages (Creuse)
  • David VALENCE, Maire de Saint-Dié-Des-Vosges (Vosges)
  • Sylvie VALLADE, Maire de Saint-Hilaire-les-Places (Haute-Vienne)
  • Frédéric VALLETOUX, Maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne)
  • Bachil VALY, Maire de L’Entre-Deux (La Réunion)
  • David VARRONE, Maire d’Andon (Alpes-Maritimes)
  • Martine VASSAL, Présidente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône
  • Jean-Marc VASSE, Maire de Terres-De-Caux (Seine-Maritime)
  • Joël VAUDEY, Maire de Verchaix (Haute-Savoie)
  • Bernard VERDIER, Maire de Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées)
  • Michel VERGOZ, Maire de Sainte-Rose (La Réunion)
  • Régis VIALLATTE, Maire de Clonas-Sur-Varèze (Isère)
  • Philippe VIGOUROUX, Maire de Coulangeron (Yonne)
  • Yannick VILLAIN, Maire de La Celle-Saint-Cyr (Yonne)
  • Marjorie VIORT, Maire du Thoronet (Var)
  • Louis VOGEL, Maire de Melun (Seine-et-Marne)
  • Martine VOIDEY, Maire de Voujeaucou rt (Doubs)
  • Christian VOLTZ, Maire de Fortschwihr (Haut-Rhin)
  • Benoît VUILLEMIN, Maire de Saône (Doubs)
  • François WERNER, Maire de Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Florence ZITO, Maire de Saint-Nicolas-lès-Cîteaux (Côte-d’Or)

Source: Le Journal Du Dimanche




Manipulation au sommet de l’État — Macron pris en flagrant délit de mensonge

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Quand on constate que sur le site de l’Élysée le premier responsable de l’État ose afficher ceci : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19  », on peut se dire que seuls les débiles et les ignorants(([1] « Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »)) ne peuvent se rendre compte que le dénommé Macron nous prend tous pour des imbéciles.

Il sait pertinemment que d’autres solutions existent. N’a-t-il pas été soigné en décembre avant que ne soit produit le « vaccin » ?!

Comment se fait-il que le Président de la République se permette une telle déclaration contraire à la vérité, si ce n’est parce qu’il se croit tout permis ?

Son affirmation est entièrement mensongère et, de plus, malveillante, comme le rappelle ce qui s’est passé en Inde(([2] extrait de N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )):

L’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Trois parmi les médicaments efficaces face à la covid-19 :

Hydroxychloroquine

Les scientifiques du monde entier contre l’escroquerie du Lancet, la macronie mise au pied du mur, doit retirer les mesures anti Raoult | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

Ivermectine

Le traitement du Covid existe 2) : Ivermectine, efficace à 100% ? – blog de Gérard Maudrux

Plitidepsine

Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Aucune voix dans son gouvernement n’a mis en doute l’affirmation de Macron selon laquelle la vaccination serait la seule solution contre ce virus. Cette contrevérité, sciemment dite et répétée, a des conséquences incalculables pour toute la population.

Surtout que les injections en question posent un grave problème. Ce ne sont pas des vaccins 
L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Encore plus grave, voici lautopsie d’un vacciné
Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : “ARN viral trouvé dans chaque organe du corps” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le mensonge de Macron « La vaccination est la seule solution. » est la preuve absolue d’une gigantesque manipulation.

C’est tenter le diable, car il n’est pas sans risques dans le pays de la Révolution française et des Droits de l’Homme, de se permettre de mentir aussi effrontément. 

C’est tenter le diable d’avoir des comportements qui vont à l’encontre du Bien commun, et de la devise républicaine Liberté – Égalité – Fraternité inscrite sur tous les bâtiments publics.


Ici, nous tenons à faire un rappel historique.

Extrait du discours de Robespierre prononcé à la Société des Amis de la Constitution, le 18 décembre 1791 :

« L’amour de la justice, de l’humanité, de la liberté est une passion comme une autre : quand elle est dominante, on lui sacrifie tout, quand on a ouvert son âme à des passions d’une autre espèce, comme la soif de l’or et des honneurs, on leur immole tout, et la gloire, et la justice, et l’humanité, et le peuple, et la patrie. Voilà le secret du cœur humain ; voilà toute la différence qui existe entre le crime et la probité, entre les tyrans et les bienfaiteurs de leur pays. »(([3] Voilà comment un média bien connu traite les informations qui ne font pas partie de sa ligne éditoriale : COVID: Sur BFMTV, Jean Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dénonce un « Mensonge d’état »… Où est la Maladie ?))

Conclusion

Soyez en sûr, devant des manipulations aussi flagrantes et des mensonges aussi grossiers, la population de ce pays, quelle que soit son origine et ses idées politiques, va vous demander des comptes d’une manière ou d’une autre. C’est légitime, elle en a parfaitement le droit. Mais ce n’est pas tout : COMME TOUT EST LIÉ, TOUT VA EXPLOSER :
Automatiquement, le coronacircus allume la mèche qui va faire exploser Babylone – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Sociétés secrètes, État profond, lobbies, Covid-19

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Aujourd’hui, partage d’informations sur un sujet qui me parait important et d’une actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’État profond aux USA, et ailleurs

La première vidéo proposée est un document d’archive de 5 minutes qui me paraît essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il s’agit d’un discours (sous titré en français) du président Kennedy prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat. Ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde. S’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de « sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait.

Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier.



Kennedy n’est pas le seul président US à avoir évoqué ces sociétés « secrètes », ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète.

Avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors : « le complexe militaro-industriel ».



Après lui, le président Trump a, lui aussi combattu ce qu’il a appelé : « l’État profond », contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée.

Pour les anglophones moins pressés, une émission télévisée d’enquête sur « l’État profond » ou « deep state » permet d’aller au fond des choses :

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de « complotisme » par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet « État profond » qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux.

Ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante. Il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde.

Le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et « tenues » par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité.

Aux USA, les évènements du 11 Septembre 2001 avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les médias, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure « Sécurité nationale » (Patriot Act). Prévues pour une durée initiale de 4 ans, nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui. …. vingt ans après.

En France, la « pandémie de la Covid-19 » constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les médias, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée « indocile ». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce « green pass » a duré trois mois avant d’être abandonné …) ; Et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées…

Le lecteur notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est évidemment pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des médias mainstream dans ces mêmes pays.

La bonne nouvelle, c’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française.

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier : 
Israël: À Partir Du 1er Juin Toutes Les Restrictions Liées Au Coronavirus Seront Levées Et Le Passeport Vert Sera Annulé – I24news

Le Royaume Uni a suivi le 19 juillet : 
Covid-19 : le Royaume-Uni se prépare à lever les dernières restrictions (francetvinfo.fr)

Quant aux USA, la quasi totalité des 50 États de l’Union s’opposent à l’instauration d’un pass sanitaire : 
Vaccine passports: 50 states with bans, limitations & green lights (beckershospitalreview.com)

Seul l’État de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat. Notons que cet État s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium US pour le taux de mortalité par million d’habitants…

S’agissant des grandes organisations internationales, l’OMS et le Conseil de l’Europe se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination.

En France, de nombreux vaccinés « sous contraintes gouvernementales » se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal. Ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en « sauveur de la patrie », dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux Benyamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Wait and See.

Dominique Delawarde




Retour sur les manifestations du 24 juillet en France (plus de 200) par LaUneTv

Source : LaUneTv






Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon (France)

[Source : nicolasbonnal.com)]

Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon… No comment (voyez à partir de la 28′)




Naissance d’un mouvement citoyen visant en priorité à sa réelle qualité de vie

Par Lucien Samir Oulahbib

La qualité des soins de la fraternité, de la solidarité, la liberté, l’égalité est sans doute et de plus en plus le dénominateur commun de cette vaste mobilisation qui s’amorce cette fin de juillet 2021 dans le monde avec ampleur, et ce, en France, particulièrement en province, ce qui en prouve déjà la profondeur. C’est vraisemblablement un mouvement de fond qui enfin émerge durablement, tapi dans l’ombre depuis des décennies, au-delà des tiraillements et des étiquetages partisans, et visant à la réelle qualité de vie, point de départ des révoltes des années 60 (à ne pas confondre avec les révoltes gauchistes petites-bourgeoises des années 70, aujourd’hui supplétifs du Pouvoir hygiéniste/scientiste/affairiste) et celles ayant débuté en novembre 2018 avec les « gilets jaunes » ce mouvement hétéroclite qui a été hélas parasité pour une part par les variants néo-gauchistes recyclés dans le relativisme culturel et le terrorisme intellectuel aujourd’hui de plus en plus visible.

D’ailleurs, ce néo-léninisme encore bien placé dans des rouages décisifs de la machine étatico-médiatique croit toujours que ce mouvement disparate visant à la qualité rechercherait en fait et uniquement à préserver ou à augmenter les points de retraite, le salaire, le « niveau » de vie, alors qu’il s’agit — on le voit de mieux en mieux — d’un effort politique au sens fort, cherchant d’abord à asseoir spirituellement une pensée qualitative de notre présence sur Terre, ou la vie effective.

Car au départ, la qualité de pensée prime, s’imprime dans les corps puis s’exprime. Mais c’est parce qu’elle devient qualitativement supérieure que cette expression devient quantitative, fait nombre, donc masse, ce qui fait basculer les gravitations symboliques et physiques telles par exemple ces policiers et soldats qui ne peuvent plus tirer, littéralement paralysée par ce souffle (pneuma).

Du moins si cette supériorité permet aussi de rendre visible l’incompétence de plus en plus manifeste de l’élite au pouvoir, car l’écrasement des révoltes au 20e siècle (et encore maintenant…) contredit en apparence cette idée du basculement se voulant d’abord qualitatif pour pouvoir être quantitatif. Certes. Cependant, les écrasements n’ont qu’un temps, mais l’époque des martyrs n’est pas révolue (voir tous ces héros en mort sociale). L’URSS s’est effondrée, l’Allemagne nazie écrasée, de même que le Japon militariste. Des citoyens tombent certes sous les balles (« ami, entends-tu ? »), mais la « Vieille Taupe » creuse (disait Karl M lisant Hamlet de Shakespeare).

Et même si l’on n’est pas d’accord avec « lui » (qui ne se disait pas marxiste), en particulier le fait que le feu permanent et inégal du conflit humain pourrait être définitivement éteint par l’eau tiède de l’égalitarisme, comme on le voit encore avec ce scientisme voulant substituer les fonctions immunitaires naturelles par des artificielles, il semble bien pourtant qu’il y ait en effet de plus en plus une contradiction désormais insurmontable entre le mouvement de fond de toutes ces nouvelles forces spirituelles et sociales qui aspirent cette fois à la réelle qualité de vie (ce que je nomme la néo-modernité) et l’ancienne architecture politique. Celle-ci n’a, au fond, que raffermi l’État absolutiste — au sens non républicain du terme (politeia) — à savoir la tyrannie non plus provisoire, mais se voulant perpétuelle, celle d’une ploutocratie globalisée qui veut profiter de la mondialisation des échanges multiformes pour imposer une société de plus en plus désunie, fragmentée, segmentée, avec d’un côté une élite cooptée, purifiée et éternellement jeune, et de l’autre le « peuple » — ces porteurs de sandales (étymon de piétons) —, piétaille, bétail à marquer au fer technologique instrumentalisé, parce que la nouvelle matière première est devenue le corps humain, son esprit aussi, l’élite autoproclamée scientiste hygiéniste affairiste ayant un ego démesuré et un appétit féroce (avoir des appartements partout dans le monde, du personnel, des mignon(ne)s, des jets et des hélicoptères, cela coûte).

D’aucuns cependant balaient d’un revers de main tout ceci en parlant encore de démocratie et de crise sanitaire à « gérer », critiquable sans doute, mais c’est tout, ce qui frise non seulement l’irréalité, mais bascule, sans le savoir pour certains tant ils sont aveuglés par la propagande scientiste, dans l’idéologie du 2+2=5 de 1984. Car la démocratie ce n’est toujours pas agir par état d’urgence reconductible et surtout disproportionné au vu des chiffres réels et des traitements et préventions réels à disposition.

Voilà ainsi l’enjeu, semble-t-il : la « crise » actuelle s’avère d’ampleur, mais elle court depuis plusieurs siècles, et ce sans doute en effet aura surgi en amplitude durant ladite Renaissance en Europe lorsque d’aucuns ont cru qu’il suffisait soit de revenir au Même des Anciens soit de basculer résolument dans le seul fleuve du Nouveau ; d’où la critique dernière du Romantisme, puis de tous les « ismes » à sa suite ; alors qu’il s’agit d’un « mixte » des deux, car le nouveau tout en se voulant toujours autre ne peut faire l’impasse sur la nécessité d’une durée, à moins de croire que cette dernière ne serait qu’un songe et partant la vie également, comme tentent de nous le faire croire les scénaristes actuels de la réalité virtuelle devenant de plus en plus, pour certains, la seule vie réelle qu’ils cherchent à imposer (contredisant le mot attribué à Voltaire).

Il semble bien cependant que cet hyperréalisme-là (modélisé) devienne insoutenable, au sens où précisément la prise de conscience issue de la Révélation christique fut de penser qu’il n’est point possible de vivre par procuration : admirer, oui, imiter le plus possible sans doute les Héros, Saints, Mythes, toutes ces matrices du beau, du bien et du vrai se déclinant en contes et légendes ; mais de là à passer son temps à les copier et servir, non (telle fut sans doute d’ailleurs le fond de cette Révélation comme je l’explique dans Rhombe en considérant qu’elle provient bien plus de Moïse que d’Abraham).

Être ou ne pas être pleinement citoyen au sens grec du terme devenu aujourd’hui universel grâce au christianisme (d’origine juive) à leur métaphysique fondamentale (Maïmonide, Descartes, Pascal, Bergson…) présuppose la liberté comme fondement (le défi d’Eve prenant le Fruit et l’offrant à Adam). C’est elle qui nous anime en qualité, et qui cherche aujourd’hui à atteindre une nouvelle forme plus adéquate à son développement en expansion (tout comme l’Univers). Tel est l’enjeu à la fois local et mondial aujourd’hui (ou l’Universel, morphologique, qui n’impose rien puisqu’il est pour qui veut comme je l’indique aussi dans Être et vérité du réel humain).




Le bouclier du lanceur d’alerte

[Source : jbl1960blog]


[De la même source, piqûre de rappel sur l’inutilité des masques :
etude-denis-rancourt-sur-les-masques-faciaux-traduction-guy-boulianne-version-pdf-de-jbl-juin-2021.pdf
à voir aussi sur Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]