Objectif euromondialiste : destruction du Travail à l’horizon 2030

[Source : E&R via SOTT]

Beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du plan d’ensemble qui s’abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s’abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années : le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi — rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté —, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.

Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat — la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône —, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.

Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?

Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… L’une après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites… lorsque l’intelligence artificielle et les robots ont assumé une grande partie de notre travail… »

Il ne restera plus que la classe dominante, une classe de servants technologiques du Système, les gardiens armés de l’ensemble, et une foule hétéroclite d’assistés, d’esclaves, de margoulins, d’artistes et de dingos (le surplus non productif sera un jour déporté sur Mars ou éliminé par des pandémies ciblées). On peut penser que les drogues de synthèse seront en vente libre, ça fait partie du projet d’anesthésie des masses et de leur colère potentielle. On approche de la dystopie hollywoodienne de bas étage.

Les trois piliers de notre société — et de notre civilisation — étaient le travail, la famille et la patrie. Tous ont été rongés par le travail de sape des forces occultes qui se cachent de moins en moins. Le travail disparaît, suite à la mondialisation, au choc robotique et à l’extension de l’IA ; la famille éclate sous les coups de boutoir du féminisme, de la liberté sexuelle (qui remplace la liberté d’expression) et de la dés-éducation ; enfin, la patrie est fondue dans un ensemble plus grand – L’Europe — mais aussi plus flou aux frontières ouvertes à la misère humaine. Les euromondialistes parlent d’un milliard de migrants climatiques. L’Europe des peuples est devenue l’otage des disciples de Schwab et Attali, tout est cohérent, la boucle est bouclée, le piège parfait.

Macron ne fait qu’appliquer à marche forcée la méthode Thatcher des années 80, remplacer l’appareil productif avec son emploi salarié de masse par une économie de services comprenant finance, banques et assurances. La révolte des Gilets jaunes — cette classe productive de base — a été matée dans le sang, comme celle des mineurs en Angleterre. Le président français ne fait qu’obéir à ses maîtres, Schwab et Rothschild.

Le discours de l’employée étasunienne Leyen au forum de Davos 2023 ne laisse plus de place au doute : le changement sera brutal.

La transition vers une industrie neutre en carbone entraîne déjà d’énormes transformations sur le plan industriel, économique et géopolitique — de loin les plus rapides et les plus marquées que nous ayons connues de notre vivant. Elle transforme la nature du travail et la configuration de notre industrie. […]

C’est maintenant que s’écrit l’histoire de l’économie des technologies propres. Durant toutes ces années où je suis venue à Davos, j’ai souvent entendu dire que nous sommes à l’aube d’une de ces périodes de destruction créatrice dont parlait 

l’économiste Joseph Schumpeter. Il pensait que l’innovation et la technologie remplacent l’ancien, entraînant l’abandon à la fois de l’industrie précédente et des emplois qui y étaient liés. Cette dynamique s’applique, de bien des manières, à la révolution des technologies propres de demain.






Les Français dépossédés de leurs biens immobiliers ? Finie la propriété privée ?

[Source : Putsch Media]

« Vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux » présidait Klaus Schwab, le big boss du Forum de Davos et patriarche du World Economic Forum. En France, le gouvernement semble en prendre le chemin avec une volonté de déposséder les Français de leurs biens immobiliers. Demain plus de propriétaires ? La fin du droit inaliénable de la propriété privée ? Vous seriez propriétaire du bâti, mais plus du foncier ? Vous redeviendrez donc des locataires avec comme bailleur l’État ? La Macronie semble avoir un plan à ce sujet. Et cette perspective est très inquiétante ! Décryptage avec Alain Falento, conseiller économique et auteur de « Sortir de l’Europe, question de vie ou de mort ! » (Ed. Riposte Laïque)




Les Young Global Leader, l’organisation du FÉM pour « infiltrer » les gouvernements

[Source : France-Soir]

[Illustration : Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, qui se réunit à Davos (Suisse).
 Photo de Evangeline Shaw sur unsplash.com]

ENQUÊTE  Klaus Schwab, fondateur du Forum Économique Mondial ([FÉM ou] WEF [World Economic Forum]), dit qu’il en est “très fier”. Selon lui, ils “infiltrent” les gouvernements à travers le monde, choisissent les dirigeants de demain et votre président ou premier ministre en a probablement fait partie.

Qui peuvent-ils bien être ? Ce sont les “Young Global Leaders” (YGL), un programme du WEF pour sélectionner les futurs “maîtres du monde” qui vont “façonner la politique, la société et le monde qui les entourent”, pour reprendre ses dires. Qui sont ces personnes ? Comment sont-elles sélectionnées ? Qui en a déjà fait partie et quelles en sont les actuelles figures ?  

Organisation de lobbying

Le Forum économique mondial, qui se définit comme une association à but non lucratif, est une organisation de lobbying qui réunit chaque année depuis 1974, à l’occasion d’un sommet à Davos en Suisse, des dirigeants d’entreprises et des responsables politiques.

Son fondateur Klaus Schwab, économiste allemand, rassemble des personnes qui ont “le pouvoir d’apporter des changements” pour évoquer le “nouvel ordre mondial” en remplacement à “l’ordre libéral” actuel, “menacé 70 ans après” son instauration. 

C’est en 2004 que Schwab lance le Forum des Young Global Leaders, pour remplacer le programme en vigueur depuis 1993, appelé “Global Leaders for Tomorrow”. L’objectif était “d’aider le monde à faire face à des problèmes de plus en plus complexes” en créant une “communauté proactive des dirigeants de la prochaine génération du monde”, capables “d’influencer la prise de décision”.

Cette organisation, dirigée par un Conseil d’administration, présidé entre autres par lui-même et sa fille Nicole, dit sélectionner “les voix du futur et les espoirs des prochaines générations”.  

Macron, Zuckerberg, Musk… des Young Global Leaders 

Présenté en 2008 par Bruce Nussbaum, journaliste de Bloomberg BusinessWeek, comme “l’un des réseaux sociaux privés les plus exclusifs” dans le monde, les YGL ont jusque-là compté dans leurs rangs plus de 1400 membres et alumnis (Ancien élève, NDLR) issus de 120 nationalités.

Chaque nouvelle promotion se voit attribuer une mission. Celle qui comptait parmi les siens Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie sous François Hollande en 2016, a été élue pour façonner la quatrième révolution industrielle”.  

Parmi les anciens membres des YGL figurent des personnalités considérées comme étant les plus puissantes de ce monde. Le président Emmanuel Macron, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, les homme d’affaires Elon Musk et Jack Ma, le PDG de Meta, Mark Zuckerberg ou encore l’ex-première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern sont des « alumnis » (anciens élèves, ndlr) de cette organisation, selon son site Internet ou son fondateur. D’autres figures, ni politiques ni économiques, comme l’acteur Leonardo DiCaprio, le pilote Michael Schumacher ou encore l’actrice Charlize Theron sont aussi des anciens membres.  

Comment ces personnalités ont-elles été sélectionnées pour faire partie des Young Global Leaders ? Sur la base de quelles critères ? Qui, chez le Forum économique mondial, procède à la sélection des “futurs dirigeants” qui “façonneront le monde” ?

Cette organisation à but non lucratif, basée tout comme le WEF en Suisse, explique le processus de sélection :

“pour identifier et sélectionner chaque année des leaders de moins de 40 ans qui dirigent leur pays, servent leurs communautés et lancent des initiatives novatrices pour inspirer de nouvelles façons de conduire le changement social”.  

C’est les anciens membres qui nomment les nouveaux “Jeunes leaders mondiaux” pendant un mandat de six ans. Les candidats, qui doivent avoir entre 28 et 38 ans, doivent totaliser 5 à 15 ans de “leadership, d’expérience professionnelle exceptionnelle et de réalisations reconnues” dans de nombreux domaines, comme la politique, l’entrepreneuriat, la recherche académique, l’art, les médias ou la société civile. 

Ils doivent également démontrer un “engagement personnel à servir la société, aux niveaux local et mondial”. Les candidats doivent, en outre, avoir une “bonne réputation” et détenir, selon leurs secteurs d’activités, des titres ou des responsabilités élevées.

Les candidatures issues du secteur privé, des startups et de la société civile doivent concerner des présidents, des présidents de conseils d’administrations ou des directeurs. Les candidats du secteur public doivent être des chefs de gouvernements, des ministres, des parlementaires ou même des maires.

Tout au long du processus de sélection, les candidats sont soumis à un droit de veto. Ils doivent, en d’autres termes, faire l’unanimité auprès des anciens membres. Le Forum de Davos ne dévoile pas les critères sur lesquels le comité de sélection se base pour choisir les 100 participants de chaque promotion.  

Le cabinet de Trudeau “infiltré” par les YGL 

Selon un communiqué du WEF, les personnalités nominées suivront pendant trois ans un programme de développement de leadership “pour les aider à avoir un impact encore plus significatif sur la société”. Depuis 2007,les participants sont invité au “Summer Davos”, qui les réunit avec les autres délégations du Forum.  

Si les anciens membres témoignent régulièrement dans les rapports annuels des Young Global Leaders ou dans les médias sur l’impact de ce programme dans leurs positions respectives, ce n’est visiblement pas ce dont Klaus Schwab est le plus “fier”. Tout comme le World Economic Forum, la vocation première des TGL est la gouvernance mondiale.  

En 2017, dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux et la plateforme YouTube, l’économiste allemand expliquait avec “fierté” comment le Forum économique mondial a “infiltré” des gouvernements à travers le monde, particulièrement au Canada.

Lors d’une conférence à la John F. Kennedy School of Government de l’Université de Harvard, il a affirmé que la chancelière allemande, Angela Merkel ou encore le président russe Vladimir Poutine ont été membres des Young Global Leaders. Contrairement à Emmanuel Macron ou encore Jacinda Ardern, leurs homologues ne figurent pas dans la liste des alumnis et, sauf dérogation de la part du WEF, étaient âgés de plus de 40 ans en 2004, date de la première promotion des YGL.  

“Mais ce dont nous sommes très fiers maintenant, poursuit Schwab, c’est la jeune génération comme celle du Premier ministre Trudeau et du président de l’Argentine (Mauricio Macri, ndlr)… Nous avons infiltré leurs cabinets (…) Je sais que la moitié de son cabinet (Trudeau, ndlr), voire plus de la moitié de son cabinet, sont en fait des Young Global Leaders”, a-t-il affirmé.  

En France, de nombreux collaborateurs du chef de l’État sont également d’anciens membres de cette organisation du WEF. Il s’agit de Marlène Schiappa, alors Secrétaire d’État en 2018 et Gabriel Attal, alors ministre de l’Education en 2020 ou Christel Heydemann, actuelle PDG du groupe Orange. Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation sous François Hollande, est l’autre responsable française à être membre des YGL.  

Comme à l’accoutumée, la promotion de 2023 compte dans ses rangs de nombreux actuels responsables politiques, comme le sous-secrétaire du Cabinet de la Maison-Blanche, Daniel Arrigg Koh ou Benjamina Karic, maire de Sarajevo. D’autres participants sont des hauts cadres dans des entreprises internationales comme Siemens ou Meridian ou encore le BlackRock.




Le retour de flamme végétalien : La vérité derrière l’agenda antimatière animale

[Source : Cogiito vie Sott.net]

Par Jan Wellmann

D’ici à une dizaine d’années, notre table ne contiendra plus d’aliments à haute densité, naturels et d’origine animale. Un examen plus approfondi de l’ordre du jour explique pourquoi il est nécessaire de commencer à planifier l’autosuffisance.

Dites-moi ce que vous mangez

« Dites-moi ce que vous mangez, et je vous dirai qui vous êtes », écrivait le gastronome français Jean Anthelme Brillat-Savarin dans son livre Physiologie du goût paru en 1825. 1

Friedrich Nietzsche s’est rallié à cette idée dans Ecce Homo près d’un siècle plus tard. Nietzsche a essayé le végétarisme, mais a conclu que la modération et l’équilibre en toutes choses étaient préférables, tout comme Brillat-Savarin, qui mettait également l’accent sur le plaisir et la qualité de la nourriture.

Un siècle plus tard, il est à nouveau temps de se rappeler que oui, en effet, « nous sommes ce que nous mangeons », car les ingénieurs sociaux visent à éliminer les aliments à haute densité d’origine animale – tels que la viande, les produits laitiers et les œufs – et à les remplacer par des aliments de synthèse d’origine végétale.

Par « plantes », nous n’entendons pas les êtres vivants qui poussent dans la nature, mais des variantes obtenues en laboratoire et fabriquées en usine.

Elles représentent l’un des nutriments les plus nocifs et les plus répandus, car elles endommagent le tractus gastro-intestinal, sapent l’équilibre microbien et perforent la muqueuse intestinale, pierres angulaires de nos systèmes digestif, immunitaire et endocrinien. 2

Que nous aimions ou non l’idée de nutriments à faible densité, manipulés génétiquement et fabriqués chimiquement n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est d’optimiser l’impact en CO2 de nos futures calories sans détruire la planète.

Cette histoire émotionnelle, psychologiquement calibrée, est composée à 50 % de cosmétiques et à 50 % de conneries.

Le véritable objectif est le contrôle

Comme Henry Kissinger, grand précepteur de Klaus Schwab et porte-parole du clan du gouvernement mondial, aurait dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » 3.

Il n’est pas nécessaire d’être un adepte de la théorie du complot pour se rendre compte que ces tangentes sont aujourd’hui pleinement engagées. Nous nous dirigeons vers un système d’enclos humain. Une fois à l’intérieur, la sortie sera difficile.

Nous nous concentrerons sur l’aspect alimentaire ci-dessous parce qu’il aura l’impact le plus immédiat et le plus profond sur ce que l’espèce humaine deviendra demain. Si nous ne parvenons pas à arrêter le vecteur actuel, nous serons confrontés à une population catastrophiquement plus malade et plus faible, qui dépendra des produits pharmaceutiques, des stimulants et d’une nounou pilotée par l’IA.

Une grande partie de la population a déjà subi un lavage de cerveau pour croire que la prochaine version sans viande du régime alimentaire américain standard (SAD) sera bénéfique pour les humains et la planète.

Une fois que l’on vous aura expliqué les avantages des hamburgers synthétiques végétaliens, une simple image d’un dîner au steak pourra activer les mots « cholestérol », « soins intensifs » et « défibrillateur » dans votre subconscient, ainsi qu’une animation GIF de vous, en train de vous tordre sur un canapé de télévision à cause d’une attaque coronarienne.

Vous verrez peut-être aussi des vaches dans des pâturages pastel péter des nuages de méthane, responsables de l’engloutissement de Bangkok, de la Nouvelle-Orléans, de Miami et de Venise sous la montée des eaux. N’oubliez pas les calottes glaciaires qui fondent, les ours polaires qui se noient, leurs petits qui meurent de faim et vos rêves de visiter Rome, en Italie, qui s’évaporent parce que le sud de l’Europe est en train de devenir une partie du Sahara.

Des choses terribles se produisent lorsque vous n’avez pas le courage moral de refuser un steak.

Il faut des décennies de récits élaborés pour en arriver à ce niveau d’abrutissement. Il faut un siècle d’opérations psychologiques pour faire avaler le discours anti-viande comme s’il s’agissait d’une série d’arguments scientifiques.

Malheureusement, ce n’est ni la première ni la dernière fois que nous nous faisons avoir.

Un précurseur historique : L’escroquerie sur le cholestérol

L’élimination progressive de la viande éclipsera probablement les dommages causés par l’élimination progressive des graisses saturées, qui a commencé avec l’engouement des années 1980 pour les aliments pauvres en graisses, alias le mythe des graisses saturées qui bouchent les artères.

Ce qui s’est passé en quelques décennies est historique, comme en témoigne l’explosion des taux d’obésité dans les pays industrialisés.

La campagne de désinformation sur les aliments pauvres en graisses a utilisé le cholestérol comme bouc émissaire. Manger des graisses entraîne un excès de cholestérol et donc des maladies cardiaques. Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agit d’une fabrication de bout en bout.

Selon les dernières recherches évaluées par des pairs,

« un régime alimentaire composé d’un pourcentage élevé de graisses naturelles, d’une quantité modérée de protéines et d’une faible proportion d’hydrates de carbone nous aidera à perdre du poids, à prévenir les maladies, à satisfaire notre appétit, à réduire les fringales et à promouvoir la longévité  » 4.

La consommation de bonnes graisses (huile de coco, huile d’olive, graisses de viande biologique, avocat, huiles de poisson, etc.) est un moyen fiable d’obtenir des calories à haute densité tout en perdant du poids sainement, sans affecter notre taux de cholestérol.

D’ailleurs, la science non corrompue sait depuis longtemps que le cholestérol est indispensable à la vie. « C’est un élément essentiel de la construction des hormones, une partie cruciale du système immunitaire et un élément central de l’appareil de réparation des tissus de l’organisme. Sans cholestérol, il n’y aurait pas de renouvellement cellulaire et pas de vie », écrit le Dr Jeffry Gerber dans Eat Rich Live Long.

En cas de stress et d’inflammation dans l’organisme, comme c’est le cas pour la plupart des gens de nos jours, votre survie dépend de l’augmentation du taux de cholestérol, car il aide à guérir et à réparer les cellules endommagées. À moins que vous ne preniez un Lipitor, bien sûr, et que vous empêchiez le corps de se guérir lui-même.

En raison du marché de plusieurs milliards de dollars que représentent les pilules hypocholestérolémiantes, Big Pharma, aidée par Big Media et Big Healthcare, a d’abord diabolisé le cholestérol, puis manipulé le seuil de diagnostic de l' »hypercholestérolémie » jusqu’à ce que la quasi-totalité des êtres humains de la planète satisfassent aux critères pour prendre une statine.

En 2011, Pfizer gagnait 11 milliards de dollars rien que sur le Lipitor. En 2021, les ventes cumulées de Lipitor sur l’ensemble de sa durée de vie s’élevaient à plus de 163 milliards de dollars. 5 6 7 8

C’est une belle performance pour une pilule aux effets secondaires graves (perte rapide de mémoire, troubles de l’équilibre, douleurs musculaires aiguës) et à l’impact quasi nul sur la longévité ou le bien-être. 9 10

La grande conférence sur le cholestérol restera dans les annales et ne sera probablement surpassée que par l’héritage des injections de MRNA 11, mais il s’agit là d’une autre histoire (en cours de développement).

Nous entrons à présent dans le niveau suivant de dommages potentiels pour l’humanité. Comme nous le verrons à partir de données nutritionnelles objectives, l’absence de viande sera un accélérateur pour la santé physique et mentale collective déjà défaillante. Ou disons simplement « santé », puisque « mental » et « physique » sont tous deux des aspects de la santé métabolique, qui dépendent de notre niveau de nutrition et de notre mode de vie. 12 13

La nouvelle réalité nutritionnelle ne fera rien non plus pour lutter contre le changement climatique tout en compromettant la gestion efficace des terres au point de provoquer l’autosabotage de la planète.

Les arguments contre la viande

Les principaux arguments contre la viande – selon le récit des ingénieurs – sont les suivants :

  • 1) Éthique : l’industrie moderne de la viande est diabolique.
  • 2) Efficacité : la production de viande est inefficace et ne peut nourrir la population mondiale.
  • 3) Santé : La viande est mauvaise pour la santé et est liée au cancer, aux maladies coronariennes, etc.
  • 4) CO2 : La production de viande est à l’origine du changement climatique.
  • 5) De meilleures alternatives : Les nouvelles alternatives à la viande synthétique sont plus saines, plus rentables et plus respectueuses de l’environnement.
  • 6) Spirituel / religieux : pourquoi les humains devraient-ils avoir le droit de tuer et de manger d’autres formes de vie ?

Il y en a probablement d’autres, mais abordons-les d’abord.

« L’industrie de la viande est maléfique et écologiquement inefficace

Oui, c’est vrai. L’industrie de la viande transformée est l’un des grands maux de notre époque. Au cours du siècle dernier, nous avons normalisé la souffrance animale en gros en échange de tranches de protéines emballées sous vide et de bénéfices pour les entreprises. Nous pouvons sentir le cauchemar dans le produit final si notre conscience est encore attachée à nos papilles gustatives. Nous ne recevons pas seulement un morceau de cadavre marqué par une vie de torture, mais aussi un cocktail cancérigène de produits chimiques destinés à conserver l’animal suffisamment longtemps pour qu’il puisse être vendu et digéré (tableau 1).

C’est pourquoi les végétaliens disposent d’un argument aussi puissant et convaincant.

« S’il vous plaît, arrêtez cette folie ! C’est le crime du siècle ! » Et ils ont raison. L’offense est si grave que les sociétés extraterrestres futures nous brûleront probablement (comme dans le film Mars Attacks de Tim Burton) en raison de ce que nous avons fait subir aux animaux aux 20e et 21e siècles.

Cependant, l’argument de l’holocauste ne tient pas compte du fait que nous pourrions également travailler avec des animaux sans les soumettre à un holocauste. Nous pourrions remplacer les camps de concentration par des environnements respectueux des animaux et de l’environnement, où les animaux paissent en liberté, fertilisent le sol naturellement sans dérivés pétroliers et prospèrent sans cocktail d’hormones parce qu’ils sont libres et satisfaits. 14

Cette stratégie brillante, conçue par la nature, peut être imitée par l’agriculture régénératrice avec la diversité des cultures, le bétail en pâturage libre et la fertilisation naturelle en laissant les animaux et la végétation se mélanger. 15

L’abattoir moderne est un exemple de ce qui se passe lorsque nous remettons en question la nature et que nous accusons la viande de tous les maux – y compris la contamination (méthane, oxyde nitreux) et les maladies animales (nécessitant des antibiotiques et des hormones) – alors que les problèmes ne concernent que la méthode d’exécution.

« Au cours du siècle dernier, l’agriculture a déclaré la guerre à la terre à l’aide de combustibles fossiles, mécaniquement (labourage du sol), chimiquement (herbicides et pesticides) et biologiquement (technologie des OGM). En séparant l’élevage des cultures, nous avons dissocié les cycles bio et géochimiques du carbone, de l’eau, de l’azote, du phosphore et du soufre, et augmenté les émissions de méthane et d’oxyde nitreux, ainsi que l’eutrophisation et la contamination des sources d’eau »

écrivent les auteurs d’une étude approfondie sur les systèmes alimentaires durables. 16

La réaction instinctive à ces arguments est généralement d’ordre strictement émotionnel.

« On ne peut pas nourrir des milliards de personnes avec de la viande de pâturage ! La vérité est que le système actuel – des monocultures induites chimiquement qui produisent en série des terres arides et séparent les animaux de la nature – est l’équation insoutenable.

Les ambassadeurs pro-vegan oublient que la plupart des terres agricoles ne peuvent de toute façon pas être exploitées pour les cultures – en raison d’un terrain inadapté, d’un sol pauvre, d’un manque d’eau, etc. Les deux tiers des deux milliards d’hectares de prairies (par opposition aux terres agricoles) dans le monde ne peuvent pas être utilisés comme terres cultivables, ce qui les rend idéaux pour faire paître du bétail heureux. 17 18 19

Prenons l’exemple d’Alan Savory, un expert en gestion des terres qui a étudié les troupeaux dans son pays natal, le Zimbabwe. Lorsque les animaux sont laissés en liberté de manière à laisser suffisamment de temps de repos au sol pour qu’il se rétablisse (comme le veut la nature), la magie opère, avec un triple avantage :

Le troupeau vit en bonne santé et en liberté.

Le troupeau contribue à revitaliser les terres arides au point de transformer des zones désertifiées en terres fertiles (c’est la seule technique connue qui y parvienne aujourd’hui avec succès).

Le troupeau produit une viande exceptionnellement riche en nutriments, sans hormones, sans antibiotiques et sans produits chimiques.

Le discours TED d’Alan sur la méthode du pâturage planifié holistique vaut la peine d’être écouté. Vous vous demanderez pourquoi cette méthode n’a pas encore été largement adoptée dans d’autres parties du monde. C’est la réponse à l’un des problèmes les plus urgents de notre planète : les terres arides.20 21

Les terres arides représentent près de 30 à 41 % de la surface terrestre mondiale et abritent aujourd’hui une personne sur trois. La dégradation de la qualité des terres dans les régions arides est responsable d’une réduction du produit intérieur national pouvant aller jusqu’à 8 % par an.

« Nous pouvons éviter le sort commun des sociétés anciennes tant que nous ne répétons pas leur grande folie de dépouiller la couche arable fertile à un rythme insoutenable. Malheureusement, c’est exactement ce que nous sommes en train de faire, mais cette fois à l’échelle mondiale »

écrit David Montgomery dans son livre Dirt, The Erosion of Civilizations (La saleté, l’érosion des civilisations).

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas de cette histoire ?

La réponse est que les ingénieurs sociaux devraient renoncer à argumenter contre la possibilité d’une production de viande éthique.

Le discours végan met de côté le fait que nous pouvons travailler avec les animaux sur un pied d’égalité. Il veut que nous nous concentrions sur un crime éthique parce que c’est la campagne de recrutement parfaite pour les mouvements anti-viande.

L’effort de recrutement éthique fonctionne, mais, étonnamment, il n’a pas produit suffisamment de fantassins pour une révolution. Bien que le récit des deux dernières décennies ait considérablement augmenté le nombre de végétaliens, celui-ci reste inférieur à 3 % de la population des États-Unis et de l’Union européenne 22, 23, 24.

C’est pourquoi les ingénieurs sociaux ont depuis longtemps compris qu’ils devaient pimenter l’histoire au-delà de l’éthique.

La viande doit également être mauvaise pour l’homme et la planète.

« La viande est mauvaise pour l’homme »

Même si tous les aliments « d’origine végétale » étaient en fait naturels, fabriqués à partir de légumes, de fruits et de graines propres, un régime purement végétalien ne suffirait pas à maintenir la plupart des gens en bonne santé.

« J’écris ce livre comme une mise en garde. Un régime végétarien – en particulier une version pauvre en graisses, et plus particulièrement un régime végétalien – n’est pas suffisant pour assurer l’entretien et la réparation à long terme du corps humain. Pour dire les choses crûment, il vous portera préjudice. J’en sais quelque chose.

Deux ans après être devenue végétalienne, ma santé s’est détériorée, et ce de manière catastrophique. J’ai développé une maladie dégénérative des articulations dont je souffrirai toute ma vie. Cela a commencé au printemps par une douleur étrange et sourde à un endroit dont je ne savais pas qu’il pouvait être sensible. À la fin de l’été, j’avais l’impression d’avoir des éclats d’obus dans la colonne vertébrale »,

écrit Lierre Keith dans son livre The Vegetarian Myth :

Food, Justice, and Sustainability (Le mythe végétarien : alimentation, justice et durabilité). Lierre est une ancienne végétalienne qui a consacré sa vie à comprendre la science de la nutrition (citation complète).25

Au début, les végétaliens éveillés – souvent des jeunes filles – qui abandonnent la viande pour des raisons éthiques se sentent plus forts, plus légers, plus éveillés et plus énergiques – ils se sentent plus sûrs d’eux. Au fil des ans, les problèmes chroniques s’accumulent lentement. Tout comme les grenouilles dans l’eau frémissante ne remarquent pas l’augmentation de la température, les végétaliens ne remarquent pas la perte progressive d’énergie, la fatigue et l’apparition de problèmes chroniques. Ils doivent se heurter à un mur, souvent après la deuxième décennie, avant de se rendre compte que quelque chose ne va vraiment pas.

Nous avons souvent besoin d’un voyage en ambulance pour nous permettre de changer notre façon de penser. C’est ce que j’ai fait. Et même les soins intensifs ne suffisent généralement pas à faire redémarrer le cerveau. Nous devons également être exposés à des données correctes et non corrompues. Ces deux facteurs coïncident rarement.

J’ai découvert le côté négatif du véganisme grâce à des études métabolomiques du sang qui examinent la production cellulaire d’ATP, le fameux cycle citrique, à l’aide d’analyses moléculaires du sang. Bien que je mangeais déjà de la viande, mes valeurs sanguines m’indiquaient qu’il fallait que je consomme davantage de viande pour améliorer mon équilibre en acides aminés. L’expert en métabolomique m’a dit que mon profil nutritionnel était celui d’un homme des cavernes. Mon nouveau régime riche en viande et en graisses a changé la donne. Après des années de fatigue, je me suis épanoui. J’ai décidé de faire profiter d’autres personnes des scanners métabolomiques pour les aider à identifier leur profil nutritionnel unique et à être en meilleure santé. Un historique de plus de 15 000 scanners métabolomiques m’a appris que l’incidence des problèmes chroniques était nettement plus élevée chez les femmes de la quarantaine et de la cinquantaine qui suivaient un régime végétalien depuis au moins 15 à 20 ans 26.

Plus tard, j’ai commencé à travailler avec des scanners biophysiques 27 28 qui ne prennent que 12 minutes pour mesurer le niveau énergétique du corps humain et j’ai remarqué un thème commun dans plus d’un millier de mesures. Les femmes qui ont évité la viande pendant plus de dix ans présentaient davantage de problèmes chroniques, une baisse d’énergie, une plus grande incidence de dépression, des problèmes intestinaux et un système immunitaire plus faible.

Convaincre un végétalien de changer de tact est délicat, car les arguments – notamment éthiques et spirituels – sont profondément ancrés dans le récit émotionnel. Sur la poignée – une douzaine – de personnes que j’ai eu l’honneur de convaincre de compléter leur alimentation avec de la viande biologique

– « au moins un tout petit peu de bœuf biologique ou de foie de poulet deux fois par semaine » – 95 % ont changé d’avis au bout de quelques semaines et sont restés fidèles aux produits d’origine animale.

« Modération et équilibre », vous vous souvenez ?

Il est important de souligner que le régime alimentaire est toujours très individuel. Tout le monde n’a pas besoin de viande comme les autres. Mais on peut affirmer que presque tout le monde a besoin de produits d’origine animale dans son alimentation. La raison en est simple. La viande peut fournir certains nutriments essentiels qu’aucun produit végétalien ne peut fournir avec la même efficacité métabolique.

Bien que l’Académie de nutrition et de diététique (AND) soit citée comme ayant déclaré que « toutes les grandes sociétés de diététique ont publié des articles affirmant qu’un régime végétalien est nutritionnellement adéquat à tous les stades de la santé humaine », cette déclaration est accompagnée d’une liste de tous les nutriments qui doivent être obtenus par l’enrichissement et les suppléments, ce qui revient à admettre qu’un régime végétalien n’est pas, en soi, sûr ou complet », écrit Jayne Buxton dans The Great Plant-Based Con (La grande arnaque des plantes).

« Les nutriments que l’on ne trouve que dans les aliments d’origine animale comprennent les vitamines A, B12, D3 et K2 préformées (sous-type MK4), le fer héminique, la taurine, la carnosine, la créatine, l’ALC, l’EPA et le DHA. Le zinc, l’iode, la méthionine, la leucine, la choline et la glycine sont des nutriments dont la teneur est faible dans les plantes. En outre, les plantes présentent souvent différentes formes d’un même nutriment qui sont moins biodisponibles et sont métabolisées différemment  » 29.

Jetons un coup d’œil rapide au Top 5.

La vitamine A est essentielle à l’assimilation des protéines et du calcium, à la croissance osseuse, à la vue, au fonctionnement du système immunitaire, à la fonction thyroïdienne et à la production d’hormones sexuelles et de stress. Les régimes végétariens et végétaliens souffrent d’une carence quasi-totale en vitamine A.30

La vitamine D favorise la solidité des os, la santé du système immunitaire, la réduction des inflammations, le métabolisme des minéraux, l’absorption du calcium, le tonus musculaire, le métabolisme sain du glucose, la fonction cellulaire et la longévité. L’organisme a naturellement besoin de D3, qu’il fabrique lorsqu’il est exposé au soleil. Néanmoins, l’organisme a besoin d’aliments d’origine animale (y compris les crustacés, les huiles de foie de poisson, les jaunes d’œuf, les abats, la graisse de beurre et la graisse d’oiseaux et de porcs) car la D2 provenant des plantes est largement inférieure et la D3 provenant des aliments d’origine animale est beaucoup plus biodisponible et puissante. 31

La vitamine B12 joue un rôle dans la synthèse de l’ADN, la formation de la myéline, la production de globules rouges et le maintien du système nerveux central. Il n’existe pas de sources végétales fiables de B12, c’est pourquoi les végétariens et les végétaliens présentent des niveaux élevés de carence en B12. Les symptômes comprennent la fatigue, la dépression, l’anxiété, une mauvaise mémoire, des problèmes d’équilibre, une détérioration de la vision, une confusion mentale ou une perte de mémoire, et la dépression. 32 33

Des données similaires s’appliquent aux acides gras oméga 3, qui sont essentiels pour les membranes cellulaires. Il n’est pas facile d’obtenir des oméga-3 à partir de graines de lin ou de chia. Le poisson gras ou la viande nourrie à l’herbe seraient une bien meilleure alternative pour préserver la santé cellulaire.

Qu’en est-il des minéraux ? Il est extrêmement difficile d’obtenir les 17 minéraux essentiels exclusivement à partir de sources végétales. Si nous devions éviter les aliments d’origine animale, nous devrions consommer des quantités insoutenables d’équivalents végétaux pour atteindre des niveaux minimaux acceptables. 34 35

La liste est encore longue.

Il est bon de se rappeler l’histoire des tribus indigènes. Avant que le colonialisme occidental ne les atteigne, elles prospéraient grâce à des régimes riches en graisses et centrés sur la viande, sans souffrir de maladies chroniques.

Deux médecins missionnaires arrivés au Kenya dans les années 1920 ont écrit que « l’hypertension et le diabète étaient absents… la population indigène était aussi mince que les anciens Égyptiens ».

Il a fallu quarante ans de régimes britanniques à forte teneur en glucides pour transformer les Kényans minces en Africains obèses souffrant d’une multitude de problèmes de santé, à commencer par les caries dentaires, puis « la goutte, l’obésité, le diabète et l’hypertension, qui finissent par les englober tous », ont observé les missionnaires 36.

L’Inde a également été transformée en « capitale mondiale du diabète » grâce aux habitudes alimentaires introduites par les Britanniques. Les régimes alimentaires occidentaux ont littéralement anéanti les Inuits en parfaite santé, les Amérindiens, les Zoulous, les Indiens du Natal, les cultures polynésiennes, les Indiens Yanomamo et Xingu du Brésil, et tous ceux qui ont été acculturés de gré ou de force à notre mode de vie.

« La viande rouge provoque le cancer

Qu’en est-il de toutes les études « interminables » qui « prouvent » que les mangeurs de viande sont plus malades et plus enclins aux maladies chroniques ? Qu’en est-il de la corrélation entre la viande rouge et le cancer ?

C’est un peu comme l’angle « 99 % des scientifiques sont d’accord… » utilisé dans tant de contes de fées aujourd’hui, de l’ARNM au changement climatique. Lorsque l’on soulève le rideau, on découvre une autre réalité. Souvent, les rares scientifiques qui ne sont pas d’accord avec le « consensus » sont des scientifiques indépendants et intègres, qui ne sont pas influencés par les salaires des entreprises ou les subventions de recherche.

C’est ce qu’on appelle le syndrome de Copernic.

Les deux études établissant un lien entre le cancer et la consommation de viande rouge, par exemple, comparent les consommateurs de viande transformée (voir le tableau 1 ci-dessous pour la liste des produits chimiques et cancérigènes contenus dans la viande transformée moderne) à des végétariens, sans tenir compte des différences de mode de vie (les mangeurs de viande sont aussi plus souvent des fumeurs et des buveurs), ni d’autres variables. En bref, les recherches sont « cuisinées » pour donner une mauvaise image de la viande. Ces études erronées sont ensuite propagées par l’OMS et citées par les médias grand public comme si elles représentaient des vérités axiomatiques. 37

TABLEAU 1 – ADDITIFS DANS LA VIANDE TRANSFORMÉE

Les bisphénols, tels que le BPA, peuvent agir comme l’hormone œstrogène, interférer avec la puberté et la fertilité, augmenter la masse graisseuse et causer des problèmes avec les systèmes immunitaire et nerveux.
Les nitrates/nitrites sont utilisés pour prolonger la durée de conservation, préserver les aliments et rehausser la couleur des viandes salées. Lorsqu’ils sont chauffés ou mélangés à l’acide gastrique, les nitrites peuvent produire des nitrosamines, liées à un risque accru de cancer du côlon et du pancréas.

Le tert-butyl hydroquinone (TBHQ), un conservateur présent dans de nombreux aliments transformés, peut nuire au système immunitaire.

Les substances per- et poly-fluoroalkyles (PFAS) sont un groupe de produits chimiques qui peuvent s’accumuler dans l’organisme et qui ont été associés à des problèmes de santé tels que des perturbations hormonales, des problèmes du système immunitaire et des cancers.

Le glutamate monosodique (MSG), auquel certaines personnes peuvent être sensibles ou allergiques, provoque des symptômes tels que des maux de tête, des nausées et des douleurs thoraciques.

Les sulfites, qui sont utilisés comme conservateurs et peuvent déclencher de l’asthme.

Les phosphates sont parfois ajoutés aux viandes transformées et, lorsqu’ils sont consommés en quantités excessives, ils peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les hormones peuvent être utilisées dans la production animale pour favoriser la croissance et potentiellement perturber l’équilibre hormonal chez l’homme.

Il ne fait aucun doute que la consommation de ces produits chimiques, même sans viande rouge, vous rendra probablement malade.

« Les études épidémiologiques qui établissent des associations inverses entre la consommation de viande rouge et la santé ne font pas de distinction entre la viande provenant d’animaux nourris avec des aliments riches en céréales dans des parcs d’engraissement et celle provenant d’animaux qui se nourrissent de mélanges de plantes riches en phytochimie. Elles n’abordent pas non plus la question de savoir comment les herbes, les épices, les légumes et les fruits consommés au cours d’un repas avec de la viande peuvent améliorer la santé », écrit Fred Provenza dans Frontiers in Nutrition.38

Il est difficile de trouver une seule étude prouvant que les viandes biologiques ont un effet négatif sur la santé.

« Les avantages pour l’homme de la consommation de viande riche en phytochimie/biochimie s’accumulent au fur et à mesure que le bétail assimile certains phytochimiques et en convertit d’autres en métabolites qui deviennent des muscles et des graisses, lesquels deviennent les phytochimiques/biochimiques qui promeuvent la santé. Ce phénomène est similaire, mais distinct, des avantages obtenus par la consommation d’herbes, d’épices, de légumes et de fruits riches en phytochimie. Cet ensemble élargi de composés – phytochimiques et métabolites produits par les animaux à partir des plantes – devrait être pris en compte dans les tentatives de compréhension des avantages pour l’homme, tels que l’atténuation du stress oxydatif et de l’inflammation liés au cancer, aux maladies cardiovasculaires et au syndrome métabolique », poursuit Fred Provenza.

La dissonance cognitive qui accompagne la recherche de la vérité sur la viande est comparable au fait de s’accrocher à un taureau enragé avec un chapeau de cow-boy. La situation devient rapidement de plus en plus folle. Mais accrochez-vous encore un peu.

« Le changement climatique est dû aux excréments et aux bourbiers des vaches

Les vaches sont responsables de l’apocalypse à venir si l’on en croit la légende. Mais il y a un hic.

L’histoire originale de la contribution catastrophique des vaches aux niveaux de méthane provient d’une étude de l’Université d’Oxford 39 qui a été citée lors d’une émission publique au Royaume-Uni en 2020. Les médias ont détourné l’histoire pour en faire la preuve que les humains pourraient réduire leur empreinte carbone de 61 à 73 % s’ils devenaient végétaliens. Cependant, l’étude d’Oxford fait référence à l’empreinte de différents aliments, et non à celle de l’homme. La différence est de taille.

L’empreinte alimentaire d’un individu est estimée à 16 % au maximum, ce qui signifie que le maximum théorique de réduction de l’empreinte individuelle en devenant végétalien est de 16 % sur 73 %, soit environ 10 %.

Cependant, même ce maximum de 10 % est faussé, car l’ensemble de l’argumentation est déséquilibrée.

Prenons un exemple pour illustrer à quel point l’argumentation est biaisée.

Si vous enfermez un millier de lapins dans une petite cabane et qu’ils détruisent l’endroit avec leurs crottes, blâmez-vous les lapins pour avoir détruit la cabane, ou prenez-vous la responsabilité de les avoir enfermés dans la cabane en premier lieu ?

Tant que des milliards d’animaux d’élevage seront séparés du cycle de l’azote, produisant des déchets qui ne sont pas recyclés efficacement dans la nature, des dommages incalculables continueront d’être causés aux animaux et à la planète, y compris de vastes quantités de méthane inutilement libérées. 40

Si, en revanche, nous suivons le cycle naturel de la Terre et intégrons des animaux en pâturage libre dans nos futurs plans écologiques, nous bénéficierons d’un autre avantage qui inversera la tendance, à savoir la séquestration, c’est-à-dire la manière dont la gestion naturelle des terres capture le CO2. Cette séquestration peut être accélérée grâce à la sylvopasture, qui est un moyen d’intégrer des arbres dans les paysages de travail. 41 42

Les politiques de gestion des terres axées sur la séquestration ont le pouvoir d’inverser le changement climatique, la désertification et la production de méthane, mais elles sont rarement, voire jamais, abordées par les scientifiques ou les médias. Vous vous demandez pourquoi ?

Au lieu de cela, les médias grand public propagent des allégations absurdes faites dans le cadre d’opérations publicitaires telles que le documentaire Cowspiracy, qui prétend que l’agriculture animale est responsable de 51 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre. Bien que les producteurs aient été contraints de se rétracter par la suite, l’histoire est restée dans l’esprit du public, car elle s’inscrit dans le cadre de la narration technique.

« Les nouveaux substituts synthétiques de la viande sont meilleurs »

Les aliments transformés, pauvres en graisses et à base de plantes, ont déclenché l’épidémie d’obésité dans les années 1980, mais on veut nous faire croire que les nouveaux aliments ultra-transformés (Frankenstein) seront excellents pour nous.

L’industrie de la fausse viande progresse déjà à pas de géant. Selon Bloomberg, le marché de la viande d’origine végétale pourrait atteindre 450 milliards de dollars d’ici à 2040 et croître d’au moins 70 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie 43 44.

Les UPF représentent une menace redoutable pour la santé mondiale. Le Dr Robert Lustig, endocrinologue pédiatrique, explique dans son livre 45 comment les FUP ont déjà contribué à alimenter des maladies non transmissibles telles que le diabète, les maladies cardiaques, le cancer et la démence. Selon le Dr Joan Ifland, les UPF créent également une dépendance, sont obésogènes (contribuent à l’obésité) et ont tendance à perturber le système immunitaire 46.

La plupart des personnes qui confondront probablement les régimes à base de plantes avec une alimentation saine et végétalienne s’apprêtent à faire un tour mortel avec des protéines synthétiques ultra-transformées, des additifs, des conservateurs, des stabilisateurs, des concoctions d’OGM, des émulsifiants, des huiles de graines, des sucres, des régulateurs d’acidité et des épaississants régurgités dans une matrice d’éprouvettes d’une manière qui les rendra accros pour toute la vie.

Les UPF ne vont pas seulement remplacer les produits carnés naturels, mais aussi les produits laitiers, les œufs et les céréales.

Nous sommes ce que nous mangeons.

Un jour, nous pourrons croire que les gaufrettes de silicone au goût et à l’odeur délicieux sont bonnes pour nous, accompagnées de tofu, tandis qu’un programme d’intelligence artificielle décidera de la prochaine destination de notre fauteuil roulant.

« Pourquoi les humains devraient-ils être autorisés à tuer des animaux ? »

Pour des raisons compréhensibles, cet argument éthique est celui qui fait le plus grand nombre de convertis au véganisme. Il est louable d’être choqué par les conditions de vie des animaux qui souffrent dans les abattoirs, mais accuser la consommation de viande d’être responsable du mal est une réponse artificielle et simplifiée au problème, puisque nous savons déjà à quel point le problème pourrait être résolu facilement avec des modèles d’agriculture régénératrice.

Il y a également un autre aspect que le récit principal occulte dans ce contexte : la quantité de souffrances et de meurtres d’animaux dus à l’agriculture moderne en tant que telle. La monoculture n’est pas possible sans l’abattage massif de formes de vie diversifiées.

Peu d’agriculteurs font le calcul.

« Pour cultiver 214 acres de fruits à noyaux et d’avocats sur cette ferme, je dois tuer au moins trente-cinq à quarante mille spermophiles par an, des milliers d’écureuils terrestres, des milliers d’abeilles, des milliers de papillons, des milliers de colibris, ces trois derniers éléments étant complètement accidentels, les deux autres étant des prédateurs ou des parasites que je tuerais intentionnellement », calcule l’agriculteur californien John Chester 47.

La culture de 400 tonnes de pois dans une seule ferme entraîne la mort de 1 500 animaux par an, des cerfs aux canards.

Un milliard de souris sont tuées en Australie pour protéger la viande. Quarante mille canards sont tués pour protéger la production de riz. Un producteur de pommes moyen tue 120 opossums en un an pour protéger son verger.

En 2013, les riziculteurs de Nouvelle-Galles du Sud ont tué 200 000 canards indigènes. Le ministère américain de l’Agriculture estime à 1,3 million le nombre d’animaux indigènes tués chaque année pour protéger l’agriculture non animale. Au total, au moins vingt-cinq fois plus d’animaux sensibles sont tués par kilo de protéines utilisables par rapport à la production de viande.48

Cependant, le calcul n’est pas pertinent ici. Il existe un argument plus profond, lié à la nature de la vie, que nous devrions prendre en considération.

Toute forme de vie dépend de la consommation d’autres formes de vie. Même les légumes sont des mangeurs de viande si vous observez une carcasse laissée dans la forêt ou le pâturage, alors que le cycle de la vie et de l’énergie poursuit son destin inévitable de transmutation éternelle d’une forme à l’autre.

Lierre Keith raconte l’histoire d’un pommier situé près des tombes de Roger Williams, le fondateur de Rhode Island.

« On a découvert que les racines de l’arbre avaient poussé dans les tombes et pris la forme de squelettes humains, alors que les tombes avaient été vidées de toute particule de poussière humaine. Il ne restait plus aucune trace de quoi que ce soit.

Le pommier a mangé un humain. Le pommier est-il mauvais ?

« L’un des principaux problèmes de la mythologie est de réconcilier l’esprit avec cette condition préalable brutale de toute vie, qui vit en tuant et en mangeant des vies. Vous ne vous faites pas d’illusions en ne mangeant que des légumes, car eux aussi sont vivants. L’essence de la vie est donc de se manger elle-même ! La vie vit de vies, et la réconciliation de l’esprit et de la sensibilité humaine avec ce fait fondamental ». écrit Joseph Campbell, l’avant-dernière autorité en matière de civilisations anciennes.

Même si nous nous en tenons aux principes les plus purs de la nature, où nous protégeons les animaux, la planète et les intérêts humains avec un équilibre égal, nous continuerons à nous manger les uns les autres.

Sans aucun doute, nous devrons le faire en étant plus gentils les uns envers les autres.

Épilogue : Raccourcir le « consensus scientifique »

Comme nous l’avons déjà appris, toute affirmation s’appuyant sur le « consensus scientifique » doit être considérée comme digne d’une enquête si elle est utilisée pour justifier l’agenda de l’ingénieur.

Si un opposant, tel qu’un « négateur du climat », est démoli par les médias ou par son entourage professionnel, nous devrions examiner de plus près ses modèles de données.

Il y a quelques années, j’étais convaincu de l’élévation du niveau de la mer, de l’effondrement des icebergs et de la sixième extinction. Aujourd’hui, je pense que nous devrions nous pencher sur la partie « anthropique » du « consensus ».49

Si une histoire correspond à l’avenir envisagé pour la nutrition, nous devrions sortir nos loupes et creuser avec un dévouement infernal.

La recherche de la vérité est un facteur déterminant pour l’avenir de notre espèce. Rien n’est plus important que de préserver notre santé et notre énergie. Pour cela, nous devons à nouveau nous intégrer à la nature, manger de manière saine, naturelle et équilibrée, et nous occuper de choses qui nous passionnent.


Source : https://greenmedinfo.com/blog/vegan-backfire-truth-behind-antimeat-agenda

Vous souhaitez lire d’autres œuvres de Jan Wellmann ?

Suivez-le sur Substack :
https://janwellmann.substack.com/

ou sur Twitter :


Références




Le temps du changement est venu !

Par Claude Janvier

Cela fait quelques années que les élites mondialistes veulent que vous deveniez le plus minimaliste possible. Les écolos à la petite semaine appliquent à la lettre la bible de Klaus Schwab avec pour unique slogan : « décroissance et minimalisme ».

Tout est fait pour que chaque citadin rêve d’habiter un petit appartement, dans un HLM aux murs végétalisés, avec un balcon où pousseraient deux ou trois plants de tomates rachitiques. Chaque matin, après avoir ingurgité un bol rempli d’un liquide ressemblant à du café, l’heureux citoyen enfourcherait son vélo électrique pour aller travailler. Empreinte carbone oblige, pas de voiture sauf électrique. Les voyages en avion ne seront pas envisagés, et la vie s’écoulera lentement, entre travail et temps libre avec pour seules distractions les jeux vidéo, les émissions de Télé-Réalité et les réseaux sociaux consultés toutes les heures sur son portable dernier cri.

Toujours dans le même livre, Klaus Schwab et Thierry Malleret, décrivent exactement à quoi va ressembler le futur alimentaire de chaque être humain vivant sur Terre. Un avenir radieux où la gastronomie aura disparu au profit de la « malbouffe » qui est, malheureusement, de plus en plus plébiscitée dans nos pays dits « civilisés ». Mac Donald, KFC, Subway, Pizzas industrielles, Kebab… Cette bouffe insipide ne vous nourrit pas. Même additionnée de sauces qui ne sont que des « rehausseurs de goûts », les saveurs sont totalement absentes. Et côté nutrition, un zéro pointé. En plus, si vous buvez un Coca-Cola afin de faire passer le hamburger étouffe-chrétien, sachez que la quantité de sucres absorbés va annihiler votre tonus pour quelques heures.

L’abandon du nucléaire civil, à force d’un lobby actif, se poursuit à grande vitesse. Le problème posé par les déchets nucléaires a été résolu. Un bref retour en arrière : à cause de Lionel Jospin, le projet Super Phénix a été totalement abandonné. Pourtant, ce projet allait dans le sens de retraiter les déchets radioactifs, donc d’éviter leur stockage et, de facto, de limiter les risques. La réutilisation de l’uranium 238 qui compose une grande partie du combustible usé dans un surgénérateur — un réacteur à neutrons rapides, dit de 4e génération — est au point. Avec un parc de surgénérateurs et rien qu’avec les stocks de combustible que nous avons actuellement en France, le problème de l’énergie ne se poserait pas avant plusieurs milliers d’années. Mais voilà. Ça ne rapporte rien ou presque et comme d’habitude, le raisonnement ne peut exister qu’en termes de « bénéfices engrangés ». La France a stoppé le projet ASTRID définitivement en 2019. Merci Emmanuel Macron. Ce programme étudiait les réacteurs de quatrième génération, lesquels recyclent les déchets des autres réacteurs. Autrement dit, de l’énergie nucléaire propre assurant notre pays et les autres, d’une énergie sans limites. Mais, cette solution n’arrange pas BlackRock, Vanguard et quelques autres. Il faut vendre à prix d’or des programmes d’énergie inefficaces et polluants.

La majorité de la population des nations occidentales doit désormais obéir à des minorités. La cancel culture, qui veut dire la culture de l’effacement ou de la déconstruction est le bras armé du Wokisme. Tout doit être déconstruit. Ce sont les buts de l’ONU, de l’UE, du FMI, de la CEDH et de toutes les ONG. Vous noterez qu’on en revient toujours aux buts d’une certaine oligarchie internationale financière apatride. Il est à noter que le Wokisme, la théorie du genre et le lobby des LGBTQ+A sont largement promus par des multinationales comme Coca-Cola, l’Oréal et Balenciaga. — La marque Balenciaga accusée de promouvoir la pédopornographie : ce qu’il faut retenir du scandale. FranceSoir. Publié le 4 décembre 2022. Mais il est à noter aussi que du sommet de l’état en France jusqu’aux municipalités de petites villes, tout est fait pour vous influencer. Drapeaux LGBTQ+A omniprésents dans les publicités, sur les plages — parasols, coupe-vent —, dans les commerces, tout est bon pour mettre l’attention sur ce fanion coloré, comme les passages piétons à Paris !

Une toile, exposée d’une « artiste » suisse, Miriam Cahn, au Palais de Tokyo à Paris, intitulée « Fuck Abstraction » montre un adulte en train de se faire faire une fellation par un enfant. Malgré les explications vaseuses de « l’artiste » et de la direction du Palais de Tokyo, on y voit un adulte nu, sexe en érection, en train de se faire faire une fellation par un enfant nu, agenouillé avec les mains liées dans le dos.

Si « l’artiste » ne voulait pas, selon ses dires, montrer cela, alors pourquoi n’a-t-elle pas montré une fellation entre deux adultes ? Extrait de la réponse de la direction du Palais de Tokyo, le 7 mars 2023. « Exposition de Miriam Cahn… L’œuvre “Fuck Abstraction” a fait réagir sur les réseaux sociaux où elle apparaît généralement recadrée ce qui entraîne une lecture biaisée. L’artiste représente ici une personne adulte aux mains liées, contrainte à une fellation… Ce ne sont pas des enfants… ». Je vous fais grâce du reste du communiqué. Vu les tailles des deux personnes, c’est sans équivoque. Il y a un adulte et un enfant. Ce Tableau est visible sur le Tweet de Karl Zéro @karlitozero en date du 5 mars 2023. 18 h 39. Communiqué intégral du Palais de Tokyo visible sur leur compte Twitter. @PalaisdeTokyo 7 mars 2023 19 h 26

Nos élites de droite comme de gauche sont les valets de pied des « Anglo-Saxons » et de leur hégémonie. Bien rémunérés, super protégés par des FDOs de plus en plus nerveux, nos dirigeants et tous les chefaillons de la république s’emploient activement à la destruction de notre civilisation. Sous des couverts de libertés, cette idéologie soi-disant gauchisante nous mène droit dans le mur. N’oubliez pas que c’est à cause de Jean-Luc Mélenchon, de la NUPES, des abstentionnistes et des syndicats félons, qu’Emmanuel Macron a été réélu. Quant au RN, sa position est loin d’être claire, au vu du débat tiédasse et peu convaincant de sa présidente face à Emmanuel Macron au second tour des présidentielles de 2022.

C’est peut-être de bon ton et à la mode de s’asseoir et d’attendre, en espérant « un monde meilleur ». C’est certainement très bien de ne penser qu’à sa famille, qu’à son travail et à ses vacances, en se disant que le monde pourrait être meilleur qu’il ne l’est, mais qu’on n’est pas si mal en France, etc.

Mais ce sont des démarches qui conduisent, petit à petit, à un suicide personnel, national et international. En effet, qu’on le veuille ou non, toute la population terrestre est en interaction. Ignorer sciemment ou inconsciemment qu’en dehors de son « pré carré », il y a des guerres, de la famine, de l’illettrisme, de la pauvreté et de la criminalité, n’aide en rien la survie. Ignorer aussi, et c’est très certainement un des points majeurs, qu’il y a un nombre assez conséquent de psychopathes ayant de hautes fonctions dans les gouvernements est suicidaire. Car, en apparence, ils vous veulent du bien, mais leurs actions prouvent le contraire.

À moins d’un grand changement dans la civilisation actuelle, au demeurant fort branlante, nous risquons fort d’être anéantis ou de faire partie d’une population de plus en plus réduite en esclavage.

Notre culture est aujourd’hui au bord de la destruction totale. Victime des coups de boutoir de la « cancel culture », du « Wokisme », du lobby LGBTQ+, et du lavage de cerveau médiatique et politique, elle est en train de s’effondrer dans une inconsistance abyssale.

Que cette destruction survienne sous la forme d’une ou plusieurs explosions épouvantables, à l’occasion d’un soulèvement politique ou encore par la désagrégation sociale, elle risque de venir, et ce, beaucoup plus rapidement qu’on ne le pense. À moins d’y faire quelque chose.

Il faut regarder autour de soi et observer maintes conditions et situations qui sont autant de signes de déclin, de douleur et de chagrin. Vous savez, au fond de vous-même, que cela ne doit pas être ainsi.

Prétendre, comme une majorité, que tout va bien aujourd’hui, c’est comme attendre que la tornade lancée à plus de 230 km/h vers votre habitation ne la détruise pas. Trop de gens ne connaissent pas grand-chose à propos du pourquoi, une certaine catégorie de la population, ne s’active qu’à détruire son prochain. Et pourtant, une bonne partie de cette catégorie se trouve à la tête de certains pays et occupe de hautes fonctions. Être instruit n’est pas synonyme d’altruisme et de bienveillance. Loin s’en faut.

Si un individu avait une conduite similaire à la conduite, par exemple de notre gouvernement en ce moment et depuis quelque temps, vous l’enfermeriez. Il suffit de regarder les faits. Pas d’écouter le bla-bla, ni de lire le copié/collé des médias. Non, il faut juste regarder les faits et les actions. Est-ce que cela va dans le sens de la survie pour le plus grand nombre ou pas ?

Si chacun d’entre nous se hisse vers des états d’efficacité toujours plus hauts, les choses peuvent changer. Chacun d’entre nous a le pouvoir de dire « Non ». Chacun de nous peut désobéir à des ordres ineptes et contre survie. La désobéissance civile, face à un gouvernement qui oppresse de plus en plus et qui n’œuvre pas pour la survie de son peuple, est une nécessité.

Les lanceurs d’alerte sont décriés, mis au ban de la société sans pouvoir s’exprimer dans les médias qui sont aux ordres. Mais le bouche-à-oreille est beaucoup plus puissant qu’on ne l’imagine. Un exemple : malgré l’antipub que les médias de masse ont écrit à propos du film « Vaincre ou mourir », malgré le déluge des critiques négatives des médias, ce film caracole à plus de 300 000 entrées.

Le temps du changement est venu. On peut y arriver si de plus en plus de gens disent « Non ». Tout peut s’améliorer. Tout peut changer. Le futur n’est pas écrit.

Claude Janvier.
Écrivain, essayiste. Co-auteur de deux livres avec Jean-Loup Izambert : « Le virus et le président » et « Covid-19, le bilan en 40 questions ». IS Édition. https://www.is-edition.com/






Ah ces Anglais ! Ils nous ont encore bien eus : Macron a accepté de prolonger la jungle de Calais !

Par Gérard Le Maître

Comment le Royaume-Uni va confier ses migrants à la France pour 200 millions d’euros !

CHARLES III n’a pas voulu venir visiter La France où c’est le chaos, ce n’est pas Macronescu qui lui a déconseillé contrairement à ce qu’il a dit, mais bien Les Britishs qui ont pris la décision d’annuler la visite pour des raisons de sécurité… Et c’est tant mieux !

De toute façon nous n’avons rien à attendre de ce personnage qui se dit écolo, mais qui est surtout un porte-parole des mondialistes, fidèle du World Economic Forum de Davos du sinistre Klaus Schwab et de tous les acolytes — Gates, Soros, Obama, OMS, et toute la clique de la finance…

Il fait partie du système. Il en est l’idiot utile… 

Comment le Royaume-Uni va confier ses migrants à la France pour 200 millions d’euros !

Londres donne 543 millions d’euros en 3 ans à Paris pour lutter contre l’immigration !

Perfide Albion toujours…

Rishi Sunak, Le nouveau Premier Ministre britannique, a annoncé, lors du sommet franco-britannique vendredi 10 mars, que son pays verserait à La France 500 millions de livres pour créer un centre de détention et 500 postes d’agents de patrouille sur les plages françaises. C’est plus que prévu, note la presse britannique, mais c’est pour trois ans et c’est La France qui va garder et entretenir sur son territoire ces milliers de migrants qui veulent rejoindre Le Royaume-Uni… qui s’obstine à ne pas les laisser entrer, rien n’a faire elle n’en veut pas, alors bonne poire, La France les prend en charge !! 

La Grande-Bretagne a divorcé de L’Union Européenne et c’est La France qui va garder les enfants !! 

Décidément ces Anglais ne s’avoueront jamais vaincus envers La France, l’ennemi héréditaire depuis plus de dix siècles…(([1] https://www.courrierinternational.com/article/vu-du-royaume-uni-londres-donne-543-millions-d-euros-a-paris-pour-lutter-contre-l-immigration))

L’accord ne le dit pas, mais La France reçoit déjà de l’aide du Royaume, la première main-d’œuvre est au boulot :

Pourtant Jeanne d’Arc avait bien bouté les Anglais hors de France !(([2] https://www.ledevoir.com/opinion/idees/31735/le-fin-mot-de-l-histoire-bouter-les-anglais-hors-de-france-jeanne-d-arc))

Accords du Touquet : retour sur un « cadeau » fait aux Britanniques en 2003 par Chirac

En 2003, l’ancien président Jacques Chirac signait les accords du Touquet avec le Premier ministre britannique, Tony Blair. Le texte prévoit que la France et le Royaume-Uni puissent effectuer des contrôles sur le territoire de l’autre, afin d’accepter ou non les candidats à l’asile. Depuis, les flux migratoires se sont accentués, faisant peser sur la France les décisions britanniques en matière d’accueil.

La situation dure depuis bientôt vingt ans. En 2003, la France et le Royaume-Uni signent les accords du Touquet. Le texte prévoit que chaque pays puisse effectuer des contrôles sur le territoire de l’autre afin de juger des demandes d’asile. Depuis, la majorité des migrants passent par la France pour partir au Royaume-Uni.

Cette situation fait peser sur l’Hexagone la charge de ces exilés, que les Britanniques refusent obstinément.
En deux décennies, la France a lancé plusieurs initiatives pour inverser la tendance.
Sans succès jusqu’ici.

Pourtant, selon un rapport de la Cour des comptes de février 2014, une collaboration pour construire deux porte-avions pour la marine britannique, et un pour la France, devait découler de ce traité.
Ha bon ? Jamais entendu parler !! 

À l’issue du sommet du Touquet, Jacques Chirac vantait en effet un accord « qui permettra de réaliser ces porte-avions ». Mais ce porte-avions français ne sera jamais fabriqué.
On s’était encore fait rouler dans la farine par ces sacrés British !!
On ne leur en veut même pas d’avoir brûlé Notre Jeanne d’Arc !(([3] https://www.marianne.net/monde/europe/accords-du-touquet-retour-sur-un-cadeau-fait-aux-britanniques-en-2003))

Regardez bien qui est tout en haut de la pyramide ! 

COMMENT ILS VEULENT LE MONDE À VENIR




Nous prépare-t-on une prochaine « plandémie » ?

[Source : Décoder l’éco]

Ce 30 janvier, le World Economic Forum annonce 3 priorités pour « se préparer à la prochaine pandémie ». On espère que vous êtes conscients de n’en être qu’au début de votre carte de fidélité. En tout cas, le WEF, lui, se prépare pour la prochaine fois. Il faut dire que Klaus Schwab, en se citant lui-même dans le Great Reset, nous apprend que la pandémie « représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». Accessoirement, elle fut l’occasion d’enrichir considérable quelques partenaires du WEF dont Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson&Johnson. C’est fou comme la philanthropie rapporte. La récompense divine se mesure finalement en milliards de dollars en provenance direct des impôts des gens.


[Source : aubedigitale.com]

Après Davos, l’une des principales conférences sur la centralisation mondiale est le sommet annuel mondial des gouvernements à Dubaï, un lieu où les élites de l’establishment peuvent s’exprimer à voix haute sur des programmes qu’elles gardaient hautement secrets il y a seulement dix ans. La conférence de 2023 offre une flopée de discours révélateurs, dont un exposé de Ian Bremmer, président et fondateur d’Eurasia Group. Cette organisation est un « cabinet de conseil en risques politiques » qui considère la gouvernance mondiale comme la solution à la majorité des problèmes du monde.

L’extrait suivant du discours de Bremmer est un autre exemple d’un mondialiste qui dit tout haut ce qui est silencieux : il considère les événements de crise comme utiles à la poursuite de la centralisation, et Bremmer inclut la pandémie de covid dans sa liste de catastrophes précieuses. Il ne donne pas de détails, mais il est probable que les catastrophes provoquent la peur du public, et la peur est facile à exploiter. Bien que Bremmer semble condamner la montée du « protectionnisme » et du nationalisme ces dernières années, il est clair qu’il considère les tensions nationales comme un outil précieux pour le jeu final : Un gouvernement mondial.




Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques

[Source : stopworldcontrol.com via Ciel Voilé]

Les Nations unies déploient actuellement l’Agenda 2030, avec les fameux « objectifs de durabilité ». Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Călin Georgescu décrit le processus d’infiltration et de prise de contrôle mondial des Nations unies par les oligarques, notamment Klaus Schwab et le Forum économique mondial (WEF).



[Clin d’œil de Joseph : Conakry en Guinée est son lieu de naissance.]




Un « monde fragmenté » se dirige, tel un somnambule, vers la troisième guerre mondiale

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Pepe Escobar

Les « élites » autoproclamées de Davos ont peur. Tellement peur. Lors des réunions du Forum économique mondial de cette semaine, Klaus Schwab, le maître à penser — qui a joué son rôle de méchant digne d’un James Bond — n’a cessé de répéter un impératif catégorique : nous avons besoin de « coopération dans un monde fragmenté ».

Bien que son diagnostic de la « fragmentation la plus critique » dans laquelle le monde est aujourd’hui embourbé soit, comme on pouvait s’y attendre, sombre, Herr Schwab maintient que « l’esprit de Davos est positif » et qu’au final, nous pourrons tous vivre heureux dans une « économie verte et durable ».

Ce que Davos a su faire cette semaine, c’est inonder l’opinion publique de nouveaux mantras. Il y a le « nouveau système » qui, compte tenu de l’échec lamentable de la grande réinitialisation tant vantée, ressemble maintenant à une mise à jour hâtive du système d’exploitation en cours, qui a été bien ébranlé.

Davos a besoin de nouveau matériel, de nouvelles compétences en programmation, voire d’un nouveau virus. Pourtant, pour l’instant, tout ce qui est disponible est une « polycrise » ou, en langage de Davos, un « ensemble de risques mondiaux liés entre eux et dont les effets s’aggravent ».

En clair : une tempête parfaite

Les ennuyeux insupportables de l’île du Divide and Rule, dans le nord de l’Europe, viennent de découvrir que la « géopolitique », hélas, n’est jamais vraiment entrée dans le tunnel de la « fin de l’histoire » : à leur grande surprise, elle est maintenant centrée — à nouveau — sur le Heartland, comme elle l’a été pendant la majeure partie de l’histoire.

Ils se plaignent d’une géopolitique « menaçante », ce qui est un code pour désigner la Russie et la Chine, avec l’Iran en plus.

Mais la cerise sur le gâteau alpin, c’est l’arrogance/la stupidité qui dévoile le jeu : la City de Londres et ses vassaux sont livides parce que le « monde créé par Davos » s’effondre rapidement.

Davos n’a pas « créé » de monde en dehors de son propre simulacre.

Davos n’a jamais rien compris, car ces « élites » sont toujours occupées à faire l’éloge de l’Empire du Chaos et de ses « aventures » meurtrières dans le Sud.

Non seulement Davos n’a pas su prévoir toutes les crises économiques majeures récentes, mais surtout la « tempête parfaite » actuelle, liée à la désindustrialisation de l’Occident collectif engendrée par le néolibéralisme.

Et, bien sûr, Davos n’a aucune idée de la véritable remise à zéro en cours qui nous dirige vers un monde multipolaire.

Les leaders d’opinion autoproclamés sont occupés à « redécouvrir » que La Montagne magique de Thomas Mann se déroulait à Davos — « avec pour toile de fond une maladie mortelle et une guerre mondiale imminente » — il y a près d’un siècle.

Eh bien, de nos jours, la « maladie » — entièrement bioweaponisée — n’est pas exactement mortelle en soi. Et la « guerre mondiale imminente » est en fait activement encouragée par une cabale de néo-cons et de néolibéraux américains straussiens : un État profond non élu, non responsable, bipartisan et même pas soumis à l’idéologie. Le criminel de guerre centenaire Henry Kissinger ne l’a toujours pas compris.

Le panel de Davos sur la démondialisation était truffé de non-séquences, mais le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a au moins apporté une dose de réalité.

Quant au vice-premier ministre chinois Liu He, avec sa vaste connaissance de la finance, de la science et de la technologie, il a au moins été très utile pour définir les cinq grandes lignes directrices de Pékin pour l’avenir prévisible — au-delà de la sinophobie impériale habituelle.

La Chine se concentrera sur l’expansion de la demande intérieure, le maintien de chaînes industrielles et d’approvisionnement « fluides », le « développement sain du secteur privé », l’approfondissement de la réforme des entreprises d’État et la recherche d’«attrayants investissements àl’étranger ».

Résistance russe, précipice américain

Emmanuel Todd n’était pas à Davos. Mais c’est l’anthropologue, historien, démographe et analyste géopolitique français qui a fini par hérisser tous les poils de l’Occident collectif ces derniers jours avec un objet anthropologique fascinant : une interview basée sur la réalité.

Todd s’est entretenu avec Le Figaro — le journal de prédilection de l’establishment et de la haute bourgeoisie française. L’interview a été publiée vendredi dernier à la page 22, entre les proverbiales tirades russophobes et avec une mention extrêmement brève en bas de première page. Les gens ont donc dû travailler dur pour la trouver.

Todd a plaisanté en disant qu’il avait la réputation — absurde — d’un « rebelle destroy » en France, alors qu’au Japon, il est respecté, fait l’objet d’articles dans les médias grand public et ses livres sont publiés avec grand succès, y compris le dernier (plus de 100 000 exemplaires vendus) intitulé : « La troisième guerre mondiale a déjà commencé ».

Il est significatif que ce best-seller japonais n’existe pas en français, étant donné que l’ensemble de l’industrie de l’édition parisienne ne fait que suivre la ligne UE/OTAN sur l’Ukraine.

Le fait que Todd ait raison sur plusieurs points est un petit miracle dans le paysage intellectuel européen actuel, d’une myopie abyssale (il existe d’autres analystes, notamment en Italie et en Allemagne, mais ils ont beaucoup moins de poids que Todd).

Voici donc le Greatest Hits concis de Todd :

— Une nouvelle guerre mondiale est en cours : En « passant d’une guerre territoriale limitée à un affrontement économique mondial, entre l’Occident collectif d’un côté et la Russie liée à la Chine de l’autre, cette guerre est devenue une guerre mondiale ».

— Selon Todd, le Kremlin a commis une erreur en calculant qu’une société ukrainienne décomposée s’effondrerait immédiatement. Bien entendu, il n’explique pas en détail comment l’Ukraine a été militarisée à outrance par l’alliance militaire de l’OTAN.

— Todd a raison lorsqu’il souligne que l’Allemagne et la France sont devenues des partenaires mineurs de l’OTAN et n’étaient pas au courant de ce qui se tramait en Ukraine sur le plan militaire : « Ils ne savaient pas que les Américains, les Britanniques et les Polonais allaient permettre à l’Ukraine de mener une guerre prolongée. L’axe fondamental de l’OTAN est désormais Washington-Londres-Varsovie-Kiev ».

— La principale révélation de Todd est meurtrière : « La résistance de l’économie russe conduit le système impérial américain au précipice. Personne n’avait prévu que l’économie russe tiendrait face à la “puissance économique” de l’OTAN ».

— En conséquence, « les contrôles monétaires et financiers américains sur le monde peuvent s’effondrer, et avec eux la possibilité pour les USA de financer pour rien leur énorme déficit commercial ».

— Et c’est pourquoi « nous sommes dans une guerre sans fin, dans un affrontement dont la conclusion est l’effondrement de l’un ou l’autre. »

— Sur la Chine, Todd pourrait ressembler à une version plus pugnace de Liu He à Davos : « C’est le dilemme fondamental de l’économie américaine : elle ne peut pas faire face à la concurrence chinoise sans importer une main-d’œuvre chinoise qualifiée. »

— Quant à l’économie russe, « elle accepte les règles du marché, mais avec un rôle important de l’État, et elle garde la flexibilité de former des ingénieurs qui permettent des adaptations, industrielles et militaires. »

— Et cela nous amène, une fois de plus, à la mondialisation, d’une manière que les tables rondes de Davos ont été incapables de comprendre : « Nous avons tellement délocalisé notre activité industrielle que nous ne savons pas si notre production de guerre peut être soutenue ».

— Dans une interprétation plus érudite de ce sophisme du « choc des civilisations », Todd s’intéresse au soft power et arrive à une conclusion surprenante : « Sur 75 % de la planète, l’organisation de la parentalité était patrilinéaire, et c’est pourquoi nous pouvons identifier une forte compréhension de la position russe. Pour le collectif non occidental, la Russie affirme un conservatisme moral rassurant. »

— Ainsi, ce que Moscou a réussi à faire, c’est de « se repositionner comme l’archétype d’une grande puissance, non seulement “anticolonialiste”, mais aussi patrilinéaire et conservatrice en termes de mœurs traditionnelles. »

Sur la base de tout ce qui précède, Todd brise le mythe vendu par les « élites » de l’UE/OTAN — Davos inclus — selon lequel la Russie est « isolée », en soulignant comment les votes à l’ONU et le sentiment général à travers le Sud global caractérisent la guerre, « décrite par les médias grand public comme un conflit de valeurs politiques, en fait, à un niveau plus profond, comme un conflit de valeurs anthropologiques. »

Entre lumière et obscurité

Se pourrait-il que la Russie — aux côtés du vrai Quad, tel que je l’ai défini (avec la Chine, l’Inde et l’Iran) — l’emporte sur les enjeux anthropologiques ?

Le vrai Quad a tout ce qu’il faut pour s’épanouir en un nouveau foyer interculturel d’espoir dans un « monde fragmenté ».

Mélangez la Chine confucéenne (non dualiste, sans divinité transcendante, mais avec le Tao qui coule à travers tout) avec la Russie (chrétienne orthodoxe, vénérant la divine Sophia) ; l’Inde polythéiste (roue de la renaissance, loi du karma) ; et l’Iran chiite (islam précédé par le zoroastrisme, l’éternelle bataille cosmique entre la Lumière et les Ténèbres).

Cette unité dans la diversité est certainement plus attrayante, et plus édifiante, que l’axe de la guerre éternelle.

Le monde en tirera-t-il une leçon ? Ou, pour citer Hegel — « ce que nous apprenons de l’histoire, c’est que personne n’apprend de l’histoire » — sommes-nous irrémédiablement condamnés ?

Pepe Escobar

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Quel choix : Un gouvernement mondial tyrannique ou une guerre nucléaire ?

[Source : crashdebug.fr]

Par Michael

Mesurez la chance que nous avons d’avoir un président [Biden] qui suscite autant l’admiration à l’international. Merci Washington ! Pour le reste, c’est du CHANTAGE : soit on accepte leur monde unipolaire avec les UK/USA à leur tête ; soit c’est la fin du monde dans un hiver nucléaire, bande de nazes… Ça vous donne le niveau de Klaus Schwab, Macron et consort, moi je préfère l’hiver nucléaire que continuer à voir leurs tronches…

Si vous deviez choisir entre vivre sous un gouvernement mondial extrêmement oppressif ou vivre une guerre nucléaire, lequel des deux serait votre choix ? Personnellement, je n’aime aucune de ces deux options, mais ces derniers jours, les dirigeants occidentaux ont essayé de nous convaincre que nous aurons l’une ou l’autre. Selon eux, nous pouvons soit nous soumettre à un « ordre mondial » dominé par les valeurs et l’agenda de l’élite occidentale, soit accepter un monde multipolaire qui finira par déboucher sur un chaos généralisé et une guerre nucléaire. Inutile de dire que les politiciens occidentaux vont s’efforcer de nous faire choisir la première option.

Vendredi, le président français Emmanuel Macron a prononcé un discours au sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) à Bangkok, bien que la France n’en soit pas membre.

Lors de ce discours, Macron a déploré le fait que la détérioration rapide des relations entre les États-Unis et la Chine déchire le monde, et il a déclaré avec audace que ce dont nous avons réellement besoin, c’est d’un « ordre mondial unique« …

Le président français Emmanuel Macron a appelé à un gouvernement mondial dans un discours vendredi, affirmant que cela permettrait d’éviter les conflits entre superpuissances concurrentes.

« Nous avons besoin d’un ordre mondial unique », a déclaré Macron au public du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) en cours à Bangkok, en Thaïlande.

« Êtes-vous du côté des États-Unis ou du côté de la Chine ? » Macron a posé une question rhétorique. « Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens voudraient voir qu’il y a deux ordres dans ce monde. »

« C’est une énorme erreur – même pour les États-Unis et la Chine », a-t-il ajouté après avoir comparé les deux superpuissances à de « gros éléphants » dans la « jungle » géopolitique.

Bien sûr, lorsqu’il dit que nous avons besoin d’un « ordre mondial unique », il ne suggère pas un ordre dans lequel des nations comme la Chine et la Russie sont des partenaires égaux.

Ce que Macron et les autres dirigeants occidentaux envisagent, c’est un système mondial régit par les règles et les valeurs occidentales.

Lorsqu’il a prononcé sa phrase sur l' »ordre mondial unique », M. Macron a ralenti et prononcé chacun des mots avec une insistance particulière.

J’ai l’impression que Macron s’imagine un jour à la tête d’un « ordre mondial unique ».

Une telle folie des grandeurs peut être extrêmement dangereuse.

Pendant ce temps, d’autres dirigeants occidentaux, comme le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, préviennent qu’un monde véritablement multipolaire serait un monde qui conduirait inévitablement à une confrontation nucléaire et à un conflit atomique…

Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a averti samedi que l’invasion de l’Ukraine par la Russie offrait un aperçu d’un monde où des pays dotés d’armes nucléaires pourraient menacer d’autres nations et a déclaré que Pékin, comme Moscou, cherchait un monde où la force fait le droit.

M. Austin a fait ces remarques lors du Forum annuel sur la sécurité internationale de Halifax, qui attire les responsables de la défense et de la sécurité des démocraties occidentales.

Les politiciens du monde occidental parlent beaucoup de la menace de guerre nucléaire ces derniers temps.

Je pense qu’ils essaient d’utiliser la menace de guerre nucléaire comme une tactique de peur pour faire avancer leur programme, car s’ils étaient vraiment préoccupés par la guerre nucléaire, ils travailleraient très dur pour l’empêcher de se produire.

Mais au lieu de rechercher la paix avec la Chine et la Russie par des moyens diplomatiques, les dirigeants occidentaux semblent avoir décidé que le moment est venu de se montrer très fermes avec la Chine et la Russie.

En fin de compte, nos dirigeants aimeraient voir les deux régimes s’effondrer et être remplacés par des gouvernements prêts à embrasser les valeurs occidentales et un « ordre mondial unique » dirigé par les nations occidentales.

Les politiciens occidentaux continuent d’espérer que la guerre en Ukraine aboutira à un tel résultat en Russie, et je suis sûr qu’ils essaient de trouver comment utiliser la prochaine invasion chinoise de Taïwan pour aboutir à un tel résultat en Chine.

Nous avons vu tant d’autres gouvernements être renversés au fil des décennies, et maintenant l’élite occidentale s’en prend aux deux plus gros poissons de l’étang.

Mais en étant si agressifs, ils nous amènent littéralement au bord d’un conflit nucléaire.

Au début de l’année, une étude a été publiée qui concluait qu’un échange nucléaire total entre les États-Unis et la Russie entraînerait des milliards de morts.

Mais seulement 360 millions de personnes environ seraient tuées par l’échange nucléaire initial.

C’est la bonne nouvelle.

La mauvaise nouvelle est qu’environ 5 milliards de personnes mourraient de faim pendant l’hiver nucléaire qui suivrait…

Selon une étude évaluée par des pairs et publiée dans la revue Nature Food en août 2022, une guerre nucléaire à grande échelle entre les États-Unis et la Russie, qui détiennent ensemble plus de 90% des armes nucléaires du monde, tuerait directement 360 millions de personnes et plus de 5 milliards indirectement par la famine pendant un hiver nucléaire.

Au lendemain d’un véritable échange nucléaire entre les États-Unis et la Russie, les températures mondiales chuteraient de façon spectaculaire en raison de toute la suie injectée dans l’atmosphère…

« Une guerre entre les États-Unis, leurs alliés et la Russie – qui possèdent plus de 90% de l’arsenal nucléaire mondial – pourrait produire plus de 150 téragrammes de suie et un hiver nucléaire », peut-on lire dans l’étude.

Un téragramme est une unité de mesure égale à mille milliards de grammes [ou un milliard de kilogrammes], et les modèles montrent que des injections de suie dans l’atmosphère supérieures à 5 téragrammes entraîneraient des pénuries alimentaires massives dans presque tous les pays [150 téragrammes seraient donc 30 fois pires].

Dans un tel environnement, très peu de choses pourraient être cultivées, et la production alimentaire mondiale ne représenterait bientôt plus qu’une petite fraction de ce qu’elle est aujourd’hui…

Dans le scénario d’une guerre entre les États-Unis et la Russie, la production moyenne mondiale de calories provenant des cultures diminuerait d’environ 90% dans les quatre années suivant la guerre nucléaire. La guerre nucléaire réduirait également l’approvisionnement mondial en poissons.

Les habitants de la plupart des pays consommeraient moins de calories que leur corps n’en brûle au repos et plus de 5 milliards de personnes mourraient à la fin de la deuxième année.

Les dirigeants occidentaux tentent de nous convaincre que le moyen d’éviter un tel destin est d’adhérer à leur vision d’un « ordre mondial unique » qu’ils dirigeraient.

La vérité, c’est qu’il existe un grand nombre de personnes qui seraient plus que disposées à renoncer à leurs libertés pour la sécurité d’un gouvernement mondial unique.

Ces personnes sont exactement comme les moutons sans cervelle qui ont récemment été repérés « marchant en cercle pendant 12 jours d’affilée »…

https://www.lalibre.be/international/asie/2022/11/19/des-centaines-de-moutons-marchent-en-cercle-depuis-plus-de-10-jours-sans-interruption-et-sans-raison-GDTWSHD6ZFAEZKT6CFVB46NARU/
https://www.sudouest.fr/international/chine/video-des-moutons-tournent-en-rond-depuis-douze-jours-le-mystere-possiblement-resolu-13053441.php
Etc.

Des dizaines de moutons ont étrangement tourné en rond pendant 12 jours d’affilée dans la région de la Mongolie intérieure, dans le nord de la Chine.

Ce comportement bizarre, filmé sur une vidéo de surveillance, montre le grand troupeau marchant continuellement dans le sens des aiguilles d’une montre dans un cercle presque parfait dans une ferme.

J’espère que nous pourrons inciter davantage de « moutons » à se réveiller pendant qu’il en est encore temps.

Nous ne voulons pas d’un gouvernement mondial.

Et nous ne voulons pas non plus de guerre nucléaire.

Malheureusement, nous n’avons pas toujours ce que nous voulons.

L’élite occidentale fait vraiment n’importe quoi, et nous allons tous subir les conséquences de leurs décisions incroyablement téméraires.

 Source : Endoftheamericandream.com




Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdahl

Il est important de comprendre qu’il n’y a pas une seule idée nouvelle ou originale dans le programme de la fameuse Grande Réinitialisation de Klaus Schwab pour le monde. Son programme de la Quatrième Révolution industrielle n’est pas non plus le sien, pas plus que sa prétention à avoir inventé la notion de capitalisme des parties prenantes n’est fondée. Klaus Schwab n’est guère plus qu’un agent de relations publiques habile pour un programme technocratique mondial, une unité corporatiste du pouvoir des entreprises avec le gouvernement, incluant l’ONU, un programme dont les origines remontent au début des années 1970, et même avant. La Grande Réinitialisation de Davos n’est qu’un plan actualisé d’une dictature dystopique mondiale sous le contrôle de l’ONU, dont l’élaboration remonte à plusieurs décennies. Les acteurs clés étaient David Rockefeller et son protégé, Maurice Strong.

[Voir aussi :
Quelques autres articles évoquant Maurice Strong :
Racines nazies de la famille royale britannique ?
La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »
La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
D’autres concernant Klauss Schwab, la Grande Réinitialisation, l’agenda 2030 ou encore Yuval Harari, un intellectuel influant du Forum Économique Mondial :
Qui a « construit » Klaus Schwab ? Qui sont ses mentors ?
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Yuval Noah Harari, l’architecte du plan
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Qu’est-ce que le « Conseil pour le capitalisme inclusif » ? C’est le Nouvel Ordre Mondial
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
La cabale mondialiste promeut un régime à base d’insectes — et de cannibalisme
L’ONU et le Forum économique mondial sont à l’origine de la « guerre contre les agriculteurs »
LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale
Bien comprendre ce que Schwab et la clique de Davos nous préparent
La grande Réinitialisation passe par la grande Dépossession commencée il y a des décennies!
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Klaus Schwab de la lignée Rothschild
Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Etc.
D’autres articles autour de ces sujets peuvent être trouvés à partir des thèmes Réinitialisation, Klaus Schwab, Nouvel Ordre Mondial, Bill Gates et Transhumanisme ou par recherche avec des mots clefs appropriés comme « Agenda 2030 ».]

Au début des années 1970, il n’y avait sans doute personne de plus influent dans la politique mondiale que feu David Rockefeller, alors surtout connu comme président de la Chase Manhattan Bank.

Créer le nouveau paradigme

À la fin des années 1960 et au début des années 1970, les cercles internationaux directement liés à David Rockefeller ont lancé un éventail éblouissant d’organisations d’élite et de groupes de réflexion. Parmi ces organisations, citons le Club de Rome, le 1001 : A Nature Trust, lié au World Wildlife Fund (WWF), la conférence de Stockholm des Nations unies sur la Journée de la Terre, l’étude du MIT intitulée « Limits to Growth » et la Commission trilatérale de David Rockefeller.

Le Club de Rome

En 1968, David Rockefeller a fondé un groupe de réflexion néo-malthusien, le Club de Rome, avec Aurelio Peccei et Alexander King. Aurelio Peccei, était un cadre supérieur de la société automobile Fiat, propriété de la puissante famille italienne Agnelli. Gianni Agnelli de Fiat était un ami intime de David Rockefeller et un membre du comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank de Rockefeller. Agnelli et David Rockefeller étaient des amis proches depuis 1957. Agnelli est devenu un membre fondateur de la Commission trilatérale de David Rockefeller en 1973. Alexander King, chef du programme scientifique de l’OCDE, était également consultant auprès de l’OTAN. C’était le début de ce qui allait devenir le mouvement néo-malthusien « les gens polluent ».

En 1971, le Club de Rome a publié un rapport profondément erroné, « Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui prédisait la fin de la civilisation telle que nous la connaissions en raison de la croissance rapide de la population, associée à des ressources fixes comme le pétrole. Le rapport concluait que sans changements substantiels dans la consommation des ressources, « le résultat le plus probable sera un déclin plutôt soudain et incontrôlable à la fois de la population et de la capacité industrielle ». Il s’appuyait sur des simulations informatiques bidon réalisées par un groupe d’informaticiens du MIT. Il énonçait une prédiction audacieuse : « Si les tendances actuelles de croissance de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution, de la production alimentaire et de l’épuisement des ressources se poursuivent sans changement, les limites de la croissance sur cette planète seront atteintes au cours des cent prochaines années ». C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de sa troisième réunion annuelle des chefs d’entreprise à Davos, a invité Peccei à Davos pour présenter « Limits to Growth » aux chefs d’entreprise réunis.

En 1974, le Club de Rome a déclaré avec audace : « La Terre a un cancer et le cancer, c’est l’homme ». Puis : « Le monde est confronté à un ensemble sans précédent de problèmes mondiaux interdépendants, tels que la surpopulation, les pénuries alimentaires, l’épuisement des ressources non renouvelables (pétrole), la dégradation de l’environnement et la mauvaise gouvernance ». Ils ont fait valoir que :

« Une restructuration “horizontale” du système mondial est nécessaire… des changements radicaux dans la strate normative — c’est-à-dire dans le système de valeurs et les objectifs de l’homme — sont nécessaires pour résoudre les crises énergétique, alimentaire et autres, c’est-à-dire que des changements sociaux et des changements dans les attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition vers une croissance organique ait lieu. »

Dans son rapport de 1974, « Mankind at the Turning Point » (L’humanité à la croisée des chemins), le Club de Rome affirme en outre que :

« L’interdépendance croissante entre les nations et les régions doit alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent être interdépendantes sans que chacune d’elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins en reconnaisse les limites. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial.

Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 de l’ONU, de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation de Davos en 2020.

David Rockefeller et Maurice Strong

L’organisateur de loin le plus influent du programme de « croissance zéro » de Rockefeller au début des années 1970 était l’ami de longue date de David Rockefeller, un pétrolier milliardaire nommé Maurice Strong. Le Canadien Maurice Strong a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement frauduleuse selon laquelle les émissions de CO2 d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture sont à l’origine d’une hausse spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace « la planète », ce que l’on appelle le réchauffement de la planète.

En tant que président de la conférence de Stockholm des Nations unies organisée en 1972 à l’occasion de la Journée de la Terre, Strong a promu un programme de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier afin de “sauver l’environnement”. Strong a énoncé son programme écologiste radical : “Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de provoquer cela ?” C’est ce qui se passe actuellement sous le couvert d’une pandémie mondiale hyper médiatisée.

Strong était un choix curieux pour diriger une initiative majeure de l’ONU visant à mobiliser l’action sur l’environnement, car sa carrière et sa fortune considérable s’étaient construites sur l’exploitation du pétrole, comme un nombre inhabituel des nouveaux défenseurs de la « pureté écologique », tels que David Rockefeller ou Robert O. Anderson de l’Aspen Institute ou John Loudon de Shell.

Strong avait rencontré David Rockefeller en 1947 alors qu’il était un jeune Canadien de dix-huit ans ayant abandonné ses études secondaires et, à partir de ce moment-là, sa carrière est devenue liée au réseau de la famille Rockefeller. Grâce à sa nouvelle amitié avec David Rockefeller, Strong, à l’âge de 18 ans, se voit confier un poste clé aux Nations Unies sous la direction du trésorier de l’ONU, Noah Monod. Les fonds de l’ONU sont gérés de manière assez pratique par la Chase Bank de Rockefeller. C’était un exemple typique du modèle de “partenariat public-privé” que Strong allait déployer — le gain privé du gouvernement public.

Dans les années 1960, Strong était devenu président de l’énorme conglomérat énergétique et compagnie pétrolière de Montréal connu sous le nom de Power Corporation, alors propriété de l’influent Paul Desmarais. Power Corporation aurait également été utilisée comme caisse noire politique pour financer les campagnes de certains politiciens canadiens tels que Pierre Trudeau, le père de Justin Trudeau, le protégé de Davos, selon la chercheuse d’investigation canadienne Elaine Dewar (Elaine Dewar, op cit. p. 269-271).

Sommet de la Terre I et Sommet de la Terre de Rio

En 1971, Strong est nommé sous-secrétaire des Nations unies à New York et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre, la Conférence des Nations unies sur l’environnement humain (Sommet de la Terre I), qui se tiendra à Stockholm, en Suède. Cette année-là, il est également nommé administrateur de la Fondation Rockefeller, qui finance le lancement du projet de Journée de la Terre à Stockholm (Elaine Dewar, op. cit. p.277). À Stockholm, le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) est créé avec Strong à sa tête.

En 1989, Strong est nommé par le secrétaire général des Nations unies à la tête de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement de 1992 ou CNUED (« Sommet de la Terre de Rio II »). Il y a supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’« environnement durable », l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU. Strong, qui était également membre du conseil d’administration du WEF de Davos, s’était arrangé pour que Schwab soit l’un des principaux conseillers du Sommet de la Terre de Rio.

En tant que secrétaire général de la conférence de l’ONU à Rio, Strong a également commandé au Club de Rome un rapport intitulé « La première révolution mondiale », rédigé par Alexander King, qui admettait que l’affirmation du réchauffement de la planète par le CO2 n’était qu’une ruse inventée pour forcer le changement :

« L’ennemi commun de l’humanité est l’homme. En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses semblables feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention de l’homme, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ».

Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, a admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement de la planète. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qu’il faut en termes de politique économique et de politique environnementale »1.

À Rio, Strong a introduit pour la première fois l’idée manipulatrice de « société durable » définie par rapport à cet objectif arbitraire d’élimination du CO2 et des autres gaz dits à effet de serre. L’Agenda 21 est devenu l’Agenda 2030 en septembre 2015 à Rome, avec la bénédiction du Pape, avec 17 objectifs « durables ». Il déclare entre autres :

“La terre, en raison de sa nature unique et du rôle crucial qu’elle joue dans l’établissement humain, ne peut être traitée comme un actif ordinaire, contrôlé par des individus et soumis aux pressions et aux inefficacités du marché. La propriété foncière privée est également un instrument principal d’accumulation et de concentration des richesses et contribue donc à l’injustice sociale… La justice sociale, la rénovation et le développement urbains, la fourniture de logements décents et de conditions saines pour la population ne peuvent être atteints que si la terre est utilisée dans l’intérêt de la société dans son ensemble”.

En bref, la propriété foncière privée doit être socialisée pour « la société dans son ensemble », une idée bien connue à l’époque de l’Union soviétique, et un élément clé de la Grande Réinitialisation de Davos.

À Rio en 1992, où il était président et secrétaire général, Strong a déclaré :

« Il est clair que les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une forte consommation de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de plats préparés, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation des maisons et des lieux de travail, et de logements en banlieue – ne sont pas durables ».

Strong n’a pas tenu compte de son propre appel. Ce que Strong n’a pas dit à ses alliés écologistes à Rio, c’est qu’il avait également fait un achat important de la Colorado Land and Cattle Company, auprès du marchand d’armes saoudien et actif de la CIA, Adnan Khashoggi.

À cette époque, Strong était au cœur de la transformation de l’ONU en un véhicule permettant d’imposer furtivement un nouveau fascisme technocratique mondial, en utilisant des avertissements alarmants sur l’extinction de la planète et le réchauffement climatique, en fusionnant les agences gouvernementales avec le pouvoir des entreprises dans un contrôle non élu de presque tout, sous le couvert frauduleux de la « durabilité ». En 1997, Strong a supervisé la création du plan d’action qui a suivi le Sommet de la Terre, l’Évaluation de la diversité mondiale, un plan directeur pour le déploiement d’une Quatrième Révolution industrielle, un inventaire de toutes les ressources de la planète, la façon dont elles seraient contrôlées et comment cette révolution serait réalisée.

À cette époque, Strong était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, à la mort de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : “Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation”.

Manifest Destiny : Democracy as Cognitive Dissonance

Avant d’être contraint de quitter l’ONU en disgrâce à la suite d’un scandale de corruption lié au programme « Food-for-Oil » en Irak, Strong était membre du Club de Rome, administrateur de l’Aspen Institute, administrateur de la Fondation Rockefeller et de la Fondation Rothschild. Strong était également directeur du Temple occulte de la compréhension du Lucifer Trust (alias Lucis Trust), situé dans la cathédrale Saint-Jean-le-Dieu de New York, « où les rituels païens consistent notamment à escorter les moutons et le bétail jusqu’à l’autel pour la bénédiction ». Ici, le vice-président Al Gore a prononcé un sermon, tandis que les fidèles se dirigeaient vers l’autel avec des bols de compost et des vers… ».

Telle est l’origine sombre du programme de la Grande Réinitialisation de Schwab, selon lequel nous devrions manger des vers et ne pas avoir de propriété privée afin de « sauver la planète ». Ce programme est sombre, dystopique et destiné à éliminer des milliards d’« humains ordinaires ».

source : F. William Engdahl

traduction Réseau International




La grande Réinitialisation passe par la grande Dépossession commencée il y a des décennies!

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Table des matières de Dépossession. Ce qu’il se passe aujourd’hui est la suite logique d’un processus multi-niveaux de confiscation voire d’expropriation à venir. Publié en 2018

Planète finance prépare les esprits au scénario apocalyptique qui est intimement lié au Great Reset de Klaus Schwab. Pour mettre en place le nouveau paradigme cryptomonétaire, il faut faire table rase de l’ancien. Cela semble évident n’est-ce pas ?

Voici donc le patron de JP Morgan en envoyé spécial auprès du grand public, à l’image de Bill Gates, le grand spécialiste des virus ou de Klaus Schwab porteur de la bonne parole transhumaniste.

Et que dit Jamie Dimon, le CEO de JP Morgan (banque cofondatrice de la société eugéniste – Cf notre publication précédente)? Il nous appelle à nous préparer à « un ouragan financier »

« En ce moment, il fait plutôt beau, les choses vont bien. Tout le monde pense que la Fed peut gérer cela », a déclaré

Dimon lors d’une conférence de Bernstein. « Cet ouragan est juste là-bas sur la route qui vient vers nous. » « Nous ne savons tout simplement pas si c’est mineur ou Superstorm Sandy. Vous feriez mieux de vous préparer », a déclaré Dimon, ajoutant que JPMorgan Chase ( JPM ) se prépare à un « environnement non bénin » et à de « mauvais résultats ».

https://edition.cnn.com/2022/06/01/economy/jamie-dimon-jpmorgan-chase-economy/index.html

On retiendra deux choses de cette intervention. D’abord, il semblerait que planète finance soit en train de se préparer à appuyer sur RESET. le cas de l’Espagne est éloquent. Ce pays est en train de transgresser le tabou et ose préparer la population à la confiscation de toutes sortes de biens. Le Blog à Lupus relaie la chose dans un article le passage suivant:

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

L’Espagne est non seulement l’un des pays européens où l’hystérie du covid a été mise en œuvre avec succès, mais aussi le cinquième pays le plus endetté au monde. La faillite de l’État semble être à portée de main. C’est pourquoi le gouvernement socialiste de gauche est en train de faire passer une loi autorisant les expropriations de la propriété privée et un « corralito ». (…)

À l’époque, le portail affirmait encore que cela ne concernerait que les sommes supérieures à 100 000 euros. Mais de l’eau a coulé sous les ponts : Le 26 mai 2022, le gouvernement socialiste de gauche de Pedro Sánchez a annoncé que le fisc pourrait désormais confisquer toutes les économies dépassant le salaire minimum.

Un « corralito » pourrait être ordonné du jour au lendemain, comme cela a déjà été fait en Argentine, à Chypre, en Grèce ou récemment au Sri Lanka, a prévenu la semaine dernière l’avocat espagnol Aitor Guisasola. (…)

Le fait que la faillite de l’État soit un objectif déclaré des décideurs politiques est actuellement également démontré par le fait que Sánchez et ses partisans poussent encore plus loin les dépenses publiques afin de pouvoir justifier les expropriations et le « corralito ». Le 24 mai 2022, El País a rapporté que le gouvernement a publié une « offre record » pour les emplois publics, avec 44 788 postes disponibles dans les ministères, la justice, la police et l’armée.

« Plus ils embauchent de fonctionnaires, plus ils seront soutenus dans la mise en œuvre de leurs plans », a souligné Guisasola.

https://leblogalupus.com/2022/06/05/expropriation-et-confiscation-lespagne-est-elle-au-bord-de-la-faillite-nationale/

Or, il suffirait que l’Espagne nous claque dans la main pour que la chose se répercute par effet domino sur l’ensemble des banques centrales (c’est-à-dire NOUS) qui participent au système TARGET.

Voir notre dossier d’il y a de nombreuses années sur le sujet https://lilianeheldkhawam.com/target-dossier/

Et voilà ce que donne l’arme de destruction massive ET systémique qu’est Target 2:

http://www.eurocrisismonitor.com/

Vous voyez sur ce graphique que l’Espagne a les moyens d’entraîner les banques centrales européennes au fond de l’enfer. Mais elle n’est pas seule. L’Italie présente un déficit de sa balance TARGET encore pire que l’espagnol.

Et par ricochet, la courbe allemande s’écroulera au moment même où M Dimon et ses amis annonceront la faillite de l’Espagne, de l’Italie, voire des deux simultanément. Les pertes germaniques seront actées à ce moment précis! Les bilans des banques centrales seront immédiatement amputés de leurs créances espagnoles ou italiennes et les braves contribuables devront passer à la caisse.

Maintenant, si nous parlons des germaniques, il nous faut inclure les liquidités considérables que la BNS a mises au service de la Bundesbank via sa sous-traitante SECB, la banque responsable du trafic des paiements suisses en euro et sise sur sol allemand. Ce n’est pas par hasard que l’UBS est chapeauté de près par l’ancien patron de la Bundesbank. Oui, il y a un émouvant entre-soi entre les financiers de Francfort et ceux de Zurich. Une chose que le petit peuple maintenu dans l’ignorance ne peut comprendre.

Cet article de 2015 n’avait ému personne. Aujourd’hui, nous paierons le prix fort. https://lilianeheldkhawam.com/2015/03/02/la-politique-monetaire-suisse-serait-elle-vassalisee-par-lallemagne-liliane-held-khawam/

Le TARGET allemand inclut les liquidités mises à disposition par la BNS via le marché des REPOS

https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/15/et-si-la-bns-faisait-faillite/

Le deuxième point que je voulais relever de l’intervention de Dimon est le fait de prétendre qu’il ne sait pas si cet ouragan sera mineur ou Superstorm Sandy. Eh bien nous pensons qu’il connait exactement le jour et l’heure du collapse définitif. Il est juste en train de préparer les esprits comme le fait si bien Bill Gates avec les pandémies qui se présentent dans une synchronicité impressionnante!

La preuve que M Dimon ment, c’est que nous savons sur ce site depuis des années que ce qui est en train de se passer a été longuement préparé par certains politiques corrompus.

Voici une publication très détaillée sur les préparatifs des dirigeants suisses et européens qui vont leur permettre le moment venu d’activer lois et directives à l’exacte image de ce qui s’est passé avec la Loi sur les épidémies de M Berset. Zéro hasard donc.

https://lilianeheldkhawam.com/2015/12/03/confiscations-bancaires-conseil-federal-cherche-couverture-democratique-vincent-held/

LHK

Retour sur les bases légales qui ont été jetées il y a de nombreuses années pour pouvoir aujourd’hui confisquer tranquillement l’épargne du déposant. Extrait du livre Une civilisation en crise, paru en janvier 2020

Un « tsunami financier » aux allures de décision politique

Les lois de confiscation de l’épargne adoptées « en toute discrétion » par le Parlement européen au printemps 20141 n’ont en réalité absolument rien d’un secret. De même, la possibilité de ponctionner les épargnants en-dessous du seuil « garanti » de 100’000 euros est tout aussi connue… dans les milieux politiques, tout au moins !

Le 24 juin 2015, la députée française Marine Le Pen avait en effet expliqué – devant plus de 600 autres parlementaires européens ! – que les avoirs des petits épargnants pourraient, eux aussi, être confisqués :2

« L’article 6 de ce texte3 permet à la Commission européenne de baisser ce seuil de spoliation de l’épargne de 100’000 euros à […] 20’000, 10’000, 5’000 ou zéro euros […] Je vous relis rapidement l’article 6 pour vous vous rafraîchir la mémoire : le montant [de] 100’000 euros […] fait l’objet d’un réexamen périodique, en tenant compte notamment de l’évolution du secteur bancaire et de la situation économique et monétaire […] Ce réexamen n’aura pas lieu avant le 3 juillet 2020, sauf si des événements imprévus le rendent nécessaire à une date plus rapprochée. »4

En 2015, les Grecs n’ont subitement plus eu accès ni à leurs comptes, ni même à leurs coffres en agence bancaire…

En clair, le seuil théorique de 100’000 euros pouvait être abaissé à tout moment, pour peu qu’un « événement imprévu » vienne justifier la généralisation des confiscations bancaires. Une affirmation spectaculaire, que personne au cours de la séance n’allait pourtant ni commenter, ni contredire !

Il y a là une similarité frappante avec le cas du député suisse Oskar Freysinger, dont la motion « Non à la confiscation des fonds privés par les banques » allait être classée sans suite par le Parlement fédéral en décembre 2015.5 Sans le moindre débat !

Quelques années plus tard, un professeur d’économie monétaire allait remettre cette question délicate sur la place publique. Au cours d’une émission à grande écoute de la chaîne publique suisse RTS, le Prof. Sergio Rossi devait expliquer que la « garantie » supposée de 100’000 francs sur les dépôts bancaires n’était en réalité qu’un mythe médiatique :

« C’est clair que l’on va toucher 1’000 ou 1’500 francs si une banque part en faillite. »6

Sans que, là non plus, quiconque n’ose le contredire, ni pendant l’émission (qui était diffusée en direct), ni par la suite.7

Force est dès lors de le constater : nos lois bancaires ont été délibérément conçues de manière à pouvoir exproprier même les petits épargnants au bénéfice des grandes banques en difficulté. Et c’est précisément là ce qui va causer le « tsunami financier » annoncé par tant de personnalités éminentes !

Car les confiscations bancaires ne peuvent avoir qu’un seul effet : la déflation, c’est-à-dire une hausse de la valeur de la monnaie. Un authentique scénario catastrophe !

Exemple : avec une déflation de -50%, toutes vos dettes (hypothèques, leasing-auto, crédit à la consommation…) doublent de valeur. Le montant de votre dette reste le même, mais sa valeur réelle explose. Il vous devient beaucoup plus difficile – et peut-être même impossible – de payer vos intérêts – et de rembourser le capital emprunté.

Les confiscations bancaires représentent donc un mécanisme de destruction monétaire imparable, qui permettra aux banques centrales d’imposer leurs monnaies numériques – et d’obtenir ainsi un contrôle total sur l’ensemble de nos comptes et flux financiers. Ceci sous prétexte d’assurer le versement d’un revenu universel, dont la population aura alors le plus grand besoin.

Tout sera alors en place pour nous imposer, à l’improviste, le système de crédit social « à la chinoise » qui est déjà dans les cartons de l’UE.

Vincent Held

Notes

1 Dixit Le Figaro (« Les banques en faillite pourront désormais ponctionner les comptes des déposants », 22/12/2015)

2 Il s’agissait d’un débat plénière auquel participaient très précisément 604 députés (cf. « Votes par appel nominal », PV du 24/06/2015 – europarl.europa.eu)

3 La Directive de « refonte du système de garantie des dépôts », votée le 16 avril 2014.

4 Préparation du Conseil européen (25 et 26 juin 2015) (débat) – Intervention de Marine Le Pen, europarl.europa.eu, 24/06/2015

5 Motion n°14.3201, parlament.ch, 20.03.2014

6 « Spécial votation – Monnaie pleine : un remède contre les crises financières ? », RTS (Infrarouge), 23/05/2018

7 Le caractère illusoire de la supposée « garantie » de 100’000 francs a été démontré – références à l’appui – dans un édito du grand magazine L’Illustré (08/07/2019). Sans que, là non plus, quiconque n’ose démentir cette analyse !

Complément



Ajout




Davos, nid de vipères

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, fonde avec l’aide d’un puissant réseau en 1971 le Symposium Européen du Management à Davos en Suisse, qui devient en 1987 le Forum Économique Mondial (World Economic Forum) ou Forum de Davos, fondation « à but non lucratif » dont le siège est à Genève (info tirée en partie de Wikipédia).

Pendant des années, le Forum a poursuivi un agenda global de libération de l’économie doublé d’un travail de sape afin de modifier à son avantage les règles du commerce mondial. Il a été aidé en cela par de très nombreux organismes, groupements, associations, groupes d’influences, « philanthropes »… qui aspirent au même objectif. Ils seraient fastidieux de les citer tous, car de plus, des personnes faisant partie de ces réseaux ont infiltré (on dirait chez les trotskistes, ils ont fait de l’entrisme) un grand nombre d’organismes de premier plan pour les orienter de l’intérieur en les colonisant. Nous citerons quand même un organisme où cela est flagrant, l’OMS dont son principal donateur est Bill Gates par l’intermédiaire de sa Fondation. Bill Gates qui à de très gros intérêts dans le domaine des vaccins était présent cette année à Davos. Profitons de l’occasion pour faire remarquer qu’Ursula Von Der Leyen, la présidente de la Commission Européenne dont son époux travaille pour Pfizer y était aussi, à notre sens c’est très révélateur… et devinez où était Albert Boula le PDG de Pfizer, l’homme dont la société a le record du monde, et de loin, des amendes pour fraudes et magouilles des entreprises pharmaceutiques ? 
https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/historique-judiciaire-pfizer/

Le Forum de Davos réunit en principe en janvier de hauts dirigeants d’entreprises, des responsables politiques, comme de soi-disant intellectuels ou des personnalités influentes des médias. Cette année après le Forum virtuel de 2021 la réunion a eu lieu fin mai sans la Russie et la Chine. Selon les médias dominants, l’absence de la Russie est due au fait que la Russie a attaqué l’Ukraine et qu’elle a été exclue pour cette raison. Ce panel élitiste, composé de nantis, assiste à des interventions sur des sujets divers allant de l’économie, à la finance, « à la santé »… comme à l’intelligence artificielle ou IA. Ce sujet tenant particulièrement à cœur à son fondateur Klaus Schwab, comme à un de ses principaux collaborateurs le dénommé Yuval Harari. Ce dernier étant l’auteur du livre Homo Deus encensé par tous les psychopathes de la planète. Voyez le bonhomme présentant son œuvre à l’Élysée avec un Macron ravi.

L’hebdomadaire Le Point à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage 21 leçons pour le XXI siècle en en fait « Le penseur du siècle. »

Mais lissez les commentaires des lecteurs sur ses bouquins et vous comprendrez rapidement que l’on a affaire à une escroquerie de bas étage. Tant que vous y êtes, jetez aussi un œil sur le livre qu’a commis en 2020 Klaus Schwab avec un collaborateur The Great Reset, La Grande Réinitialisation. Les commentaires des lecteurs sont là aussi très instructifs sur le niveau intellectuel des auteurs.

Parallèlement aux réunions, le forum publie un certain nombre de rapports économiques et implique ses membres dans différentes initiatives liées à des secteurs pour lui prioritaires. La fondation consacre une grande partie de son budget à l’organisation de différentes rencontres qui cherchent entre autres à influencer les décisions des politiques à travers le monde. Elle n’a en fait qu’un seul but : prendre par le haut le contrôle de la planète en court-circuitant la démocratie et la population.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/27/klaus-schwab-en-plein-delire-megalomaniaque-lavenir-est-construit-par-nous-une-puissante-communaute-ici-dans-cette-salle/

Liste des participants 2022 :

https://www.aubedigitale.com/decouvrez-les-mondialistes-voici-la-liste-complete-des-participants-a-davos-2022/

La véritable raison de l’absence de la Russie

Comme les médias grands publics et les journalistes complices, ou ceux qui ne font pas leur travail, ne vous le diront pas, en fait, l’absence de la Russie trouve son origine dans le gigantesque clash, que l’on peut qualifier dès maintenant d’historique, qui a opposé deux conceptions du monde antinomiques lors du Forum virtuel de la fin janvier 2021.

Le président Schwab en compagnie de notre Macron national ayant eu la bonne idée de donner ensemble leurs conclusions sur les leçons qu’ils tiraient de l’épidémie de coronavirus et sur la façon dont ils envisageaient l’avenir.

Ci-dessous le duo dans ses œuvres.

Remarquez que le site officiel de l’Élysée précise bien que l’intervention de Macron est faite dans le cadre de l’agenda de Davos organisé par le World Economic Forum. Cet aveu montre d’une façon irréfutable la perfidie de ce traître à la république.

Réponse cinglante de Vladimir Poutine. Vidéo provenant d’une salle Lumineuse du Kremlin. (Pour ceux qui savent voir.)

http://kremlin.ru/misc/64938/videos/4711

Conclusion

Nous sommes dans une guerre de l’information et les médias comme les journalistes collabos ou qui ne font pas leur métier participent à une gigantesque manipulation. Le peuple est berné par des gens sans foi ni loi ou des ignorants. Les conséquences sont énormes, les dégâts considérables. Nous ne leur pardonnerons jamais.

Bonus : infos de dernière minute

Exclusif : Klaus Schwab contre la Russie




La DGSE s’est rendue à Davos et a découvert le vrai SPECTRE

[Source : jovanovic.com]

Par Pierre Jovanovic

Le SPECTRE de James Bond est là, et ne se cache même pas. Leur président Klaus Schwab et tous ses obligés n’ont qu’un seul motto, leur fameux « bbb » ou 666, mais présenté au public comme build back better.

Dès lors vous comprenez bien mieux toutes les allusions faites par Emmanuel Macron « la bête de l’événement est là », son jet-ski signé 666, les 666 jours (et pas un de plus) de confinement du Canada, etc., etc. je vous ai donné ici un nombre incalculable d’exemples.

Entre eux, tous ces gens finissent leurs mails par l’abréviation « bbb » et le répètent à l’envi en public, regardez bien cette vidéo qui vaut vraiment le coup d’œil, sachant que Bill Gates y figure en bonne place, mais pas que :

Point intéressant soulevé par Robert Kennedy Jr, est que c’est en fait Washington qui finance une très grande partie de l’organisation du Forum de Davos, alors que tout le monde pensait qu’il s’agissait de financements strictement privés :

« @open_the_books found that US taxpayers ponied up $60 million over the last 8 years to support the #WorldEconomicForum, which is hosting the 2022 meeting of the world’s billionaire business elite in #Davos.

It was mostly through the State Department’s USAID; taxpayers paid $16 million to support the WEF Grow Africa program, which facilitated trade partnerships between agricultural businesses and African governments. Another $43 million went to WEF’s Global Alliance for Trade Facilitation program, to «boost competitiveness and business conditions, which are key drivers of inclusive economic growth and poverty reduction» in developing countries »

Constat tout simple : si Washington finance (et depuis le débit donc) cette réunion des milliardaires et politiques « bien choisis conformes Young Leader » c’est tout simplement parce que les Américains sont en fait derrière le rideau de l’organisation, laissant à Klaus Schwab la lumière des médias et l’accueil des invités.

Et parmi ces derniers, dans la catégorie des invités « french », surprise, chers lecteurs, le directeur de la DGSE Bernard Emié s’y est rendu (pour la promotion du nouveau site de la DGSE, le lien ici ?), accompagné par François Villeroy de Galhau (gouverneur Banque de France). Bien entendu, ce dernier n’a pas pu s’empêcher de clamer publiquement son mépris des Français :

« L’inflation causée par le conflit en Ukraine est le prix à payer pour défendre nos valeurs » et aussi de mentir en promettant de « ramener l’inflation à 2 % en 2024 »

Fallait oser. Villeroy de Galhau n’a pas hésité à publiquement révéler que Macron et lui n’ont pas eu d’état d’âme à sacrifier l’économie de la France au profit de celle de l’Ukraine !!! Extrait de l’interview :

« Franceinfo : le monde économique a aussi un rôle à jouer dans le conflit en Ukraine ?

François Villeroy de Galhau : depuis le premier jour de l’invasion de l’Ukraine, les Européens et les démocraties en général ont fait un choix économique courageux. Nous savions que cela signifierait moins de croissance, plus d’inflation, mais d’une certaine façon, c’est le prix à payer pour défendre nos valeurs, pour défendre l’Ukraine et sa liberté. Il y a eu aussi un appel à l’aide, déjà à très court terme, sur la situation financière de l’Ukraine. Il se trouve que j’ai participé la semaine dernière à une réunion du G7 en Allemagne et la somme de 19 milliards d’euros pour aider l’Ukraine a déjà été réunie, c’est plus que ce qui était espéré. Je crois que la mobilisation est déjà très forte et c’est un cas où, en faveur de la démocratie, de la solidarité, de la paix, nous acceptons de payer un prix économique »

Lire ici la suite de l’interview France Info.

Incroyable ! Bernard Emié est-il notre James Bond, ou plutôt Coplan ? ou est-ce un traître « à la Macron » ? Le WEF est bien le SPECTRE, puisque Schwab l’a confirmé lui-même lors du discours d’ouverture :

Au moins les choses sont claires. Voici trois années, le même Schwab se ventait dans une vidéo de Harvard (ou Princeton ?) d’avoir infiltré presque tous les gouvernements du monde grâce à son programme de Young Leaders, qui avait très précisément identifié à l’avance aussi bien macron que Trudeau.

Commentaire d’un lecteur :

« La clique de Davos veut prendre le pouvoir, elle en a les moyens et peut acheter tous les gouvernements et toutes les organisations mondiales. Légitimité démocratique ? Ils n’en ont cure, ils sont riches et peuvent tout se permettre (croient-ils). »

Et pour bien montrer que cette fois Klaus Schwab et ses « amis » n’ont plus à se cacher, et encore moins à dissimuler leurs intentions, observez cette dame qui peint des demi-cercles (comme les OOO du logo de Davos) avec ses fesses…

Un hommage à Yves Klein ?

Pour animer les débats, une jeune femme peint avec un pinceau dans ses fesses (?) et ce serait amusant si ce n’était tragique, mais n’oubliez pas, c’est aussi un clin d’œil à Zelensky qui jouait du piano debout, un humour très apprécié dans les pays de l’Est voir la vidéo de la jeune Lempicka en herbe ici.

Curieux de savoir si notre espion en chef et notre banquier central ont assisté à ce « happening » d’art très… concentrique !

Cependant Bernard Emié, Mr DGSE a dû être plus intéressé par la « keynote » du marionnettiste en chef, George Soros, 90 ans, venu donner ses instructions au nom du « deep state » américain.

Si les Chinois avaient toujours été sa (lire : celle des Américains) cible favorite, cette fois Soros a ajouté la Russie et Poutine dans sa liste des « grands méchants » à abattre parce que « la civilisation pourrait ne pas y survivre », oubliant au passage que ce sont justement [les Américains] qui avaient balancé 2 bombes atomiques sur le Japon alors qu’une seul aurait largement suffi.

En bon hypocrite, il a expliqué que l’Union Européenne a été mise en place pour empêcher une nouvelle guerre, oubliant, là aussi, que c’est Washington qui a demandé à Zelensky de pousser les Russes à bout (la patience de Moscou a duré 8 ans — quand même). Mais le plus fou de ses déclarations se trouve dans cette phrase :

« Artificial Intelligence is particularly good at producing instruments of control that help repressive regimes and endanger open societies… Covid-19 helped legitimize instruments of control because they are really useful in dealing with the virus (…) In an open society, the role of the state is to protect the freedom of the individual; in a closed society the role of the individual is to serve the rulers of the state ».
[« L’intelligence artificielle est particulièrement douée pour produire des instruments de contrôle qui aident les régimes répressifs et mettent en danger les sociétés ouvertes…. Covid-19 a aidé à légitimer les instruments de contrôle parce qu’ils sont vraiment utiles pour faire face au virus (…) Dans une société ouverte, le rôle de l’État est de protéger la liberté de l’individu ; dans une société fermée, le rôle de l’individu est de servir les dirigeants de l’État ».]

Cela vous montre que le vieux grigou est parfaitement informé de tout ce que Davos-Washington veulent mettre en place dans les années à venir, objectif 2030. Au passage, Soros s’est félicité du succès incroyable remporté par toutes ses associations à interférer dans le fonctionnement des gouvernements opposés à ces directives (exemple : la Hongrie, Pologne, etc.) et aussi de ses actions sur les réseaux sociaux.

« The rapid development of AI has gone hand in hand with the rise of social media and tech platforms. These conglomerates have come to dominate the global economy. They are multinational and their reach extends around the world ».
[« Le développement rapide de l’IA est allé de pair avec l’essor des médias sociaux et des plateformes technologiques. Ces conglomérats en sont venus à dominer l’économie mondiale. Ils sont multinationaux et leur portée s’étend au monde entier ».]

Cerise sur le gâteau, au passage il a même félicité Emmanuel Macron !

C’est vous dire à quel point notre président (ou plutôt le leur) exécute le programme Soros à la lettre ! lire ici sa conférence

PS : comme Davos avait organisé avec des années d’avance la pénurie alimentaire à venir (les lois ont été votées d’avance pour permettre la commercialisation) merci à notre lecteur David qui nous a fait parvenir une photo des premières délices que Davos-Washington va proposer à manger aux gueux, toujours à cause de Vladimir Poutine !!!

Il faut le voir pour le croire !

PS2 : Notez que chaque année, tous ces gens atterrissent à Davos avec leur avion privé, mais leur empreinte carbone ne compte pas étant donné qu’ils ont 20 millions de dollars ou d’euros sur leur compte bancaire, et vous non ! Raison pour laquelle, Davos veut vous interdire d’utiliser votre vieille Renault ou Peugeot diesel.

PS3 : Dans James Bond, si l’organisation qui veut mettre l’Humanité en esclave s’appelle SPECTRE, dans Les Hommes d’UNCLE, l’organisation similaire s’appelle THRUSH… « In the UNCLE novels written by David McDaniel, TRUSH stands for the Technological Hierarchy for the Removal of Undesirables and the Subjugation of Humanity » autrement dit la Hiérarchie technologique pour le retrait des Indésirables et la Subjugation de l’Humanité… Chers lecteurs, clairement on y est.

PS4 : Ajoutons que la série BD des Barracuda (années 1960-1972), deux super agents combattent les manipulateurs du WAM qui, lui, tient pour Guerre Contre l’Humanité ou War Against Mankind. Les écrivains sont bien des visionnaires. Aujourd’hui le WEF de Klaus Schwab est bien la supra-organisation internationale qui a infiltré tous les gouvernements pour contrôler les populations et se débarrasser des improductifs. Le Covid-19 ayant nettoyé la population de tous les malades et/ou faibles, ma liste des licenciements s’est bien arrêtée ! 

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2022




Elon Musk un anti-woke, libertarien et anti-mondialiste?

[Source : conscience-du-peuple]

Par Isabelle

Comment peut-on en arriver à la conclusion que Musk est un anti-woke, libertarien et anti-globaliste alors qu’il travaille à l’accomplissement du programme de Klaus Schwab grâce aux technologies de la 4e révolution industrielle ?

Il a décidé de ne pas donner de sexe à son bébé (non genré), il fait fortune dans l’industrie des véhicules électriques justifiés par le discours catastrophiste et environnementaliste, il a reçu des milliards de dollars de subventions du gouvernement américain pour financer ses projets, il travaille sur une flotte de camions autonomes (fin de l’industrie du camionnage) et sur des androïdes capables de remplacer à peu près toute la main-d’œuvre planétaire, il travaille avec le Pentagone et le Département de la Défense pour créer des fusées et des armes futuristes (plus puissantes que l’arme nucléaire), il crée un dôme de 12 000 satellites pour connecter tous les individus de la Terre (Matrice numérique), il rêve d’une société connectée où les humains pourront augmenter leurs capacités cognitives, physiques et psychologiques en se connectant à l’intelligence artificielle… Et encore plus !

J’essaie de trouver quelque chose de sympathique à ce puissant joueur de la 4e révolution industrielle, une dystopie cybernétique, une technocratie où les milliardaires vont avoir la main mise sur notre humanité, notre destinée. Je ne trouve rien.




Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Certains le connaissent, d’autres pas. Pourtant, son rôle est majeur au sein du Forum économique mondial, puisqu’il en est le conseiller principal. Yuval Noah Harari est un écrivain et historien israélien, auteur du best-seller « Sapiens », ouvrage qui ajoute la science à l’histoire de notre humanité entière. En 2018 déjà, avant la pandémie mondiale, il évoquait les concepts de l’homme numérique de demain. Cet homme serait celui que l’on pourrait « pirater », pour lequel la vie n’aurait plus de sens réel. Les dirigeants devraient alors tout mettre en œuvre pour remédier à cela, notamment grâce aux jeux vidéos et aux médicaments. Le bras droit de Klaus Schwab s’est également fait connaître avec son second tome : « Homo Deus ».

[Voir aussi :
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le futurisme illusoire des universitaires de l’ordre global libéral]



L’Homme : Homo sapiens ou une créature divine ?

Considéré comme l’un des livres fétiches de Barack Obama, l’ancien président des États-Unis, « Sapiens » (une brève histoire de l’humanité) est un ouvrage publié par Yuval Harari, en France, en 2015. Dans cet ouvrage, il retrace l’évolution de l’espèce humaine à travers la révolution cognitive, agricole et scientifique. La quatrième partie du livre, qui concerne la révolution scientifique (débutant au XVIᵉ siècle selon lui), est particulièrement intrigante. Elle permet de comprendre les avancées technologiques et scientifiques qui permettraient à l’homme de devenir un quasi-Dieu. 

« Les humains sont en train de développer des pouvoirs encore plus grands que jamais auparavant, nous sommes réellement en train de quérir des pouvoirs divins de construction et de destruction, nous sommes vraiment en train d’améliorer les humains en Dieu », écrit-il.

Interrogé chez France Soir lors d’un « Défi de la vérité », Laurent Alexandre exposait lui-même son point de vue quant à ces prouesses. Il utilisait le terme de « coup d’État numérique » pour évoquer le pouvoir détenu par les géants de la technologie. Un pouvoir immense, affirmait-il, mêlant à la fois la technologie, la science et la politique.

Vers un système de gouvernance mondiale par la surveillance de masse ?

Si les notions de « Grande réinitialisation » ou de « système de gouvernance mondiale » promues par le Forum de Davos sont encore souvent qualifiées de « thèses conspirationnistes », elles ont un objectif commun : transformer notre société en un monde meilleur. Mais quels sont les enjeux de ces aspirations ?

La surveillance semble être une clef de voute du projet. À ce sujet, Yuval Harari, le bras droit de Klaus Schwab, énonçait avec vigueur : « Nous voyons maintenant des systèmes de surveillance de masse, même dans les pays démocratiques qui, jusque-là, les avaient rejetés […]. Avant la surveillance était hors de notre corps, maintenant elle rentre dans notre corps. » Peu importe que l’on aime ou non la science-fiction, des questions se posent. D’autant plus que l’instauration du passe vaccinal et la démocratisation des QR codes ont été au cœur de l’actualité internationale pendant deux ans.

Il allait jusqu’à déclarer que « Les humains sont désormais des animaux que l’on peut pirater. » Il explique que pour pirater un être humain, deux choses suffisent : « Beaucoup de puissance de calcul et beaucoup de données, plus particulièrement, des données biométriques. » Rappelons que la Commission européenne prévoit d’instaurer un système de reconnaissance faciale internationale, qui remplira justement une gigantesque base de données. Pour l’instant, seuls les citoyens ayant commis une infraction pénale seraient concernés.

Par ailleurs, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a de profondes ambitions, depuis 2021, pour développer le plus rapidement une identité numérique européenne. Le projet consiste à rendre numériques tous les documents administratifs pour les conserver en ligne. Il serait possible d’y accéder de manière « sûre » et « transparente », selon l’Union européenne.

Voir aussi : L’UE dévoile un plan pour un nouveau portefeuille d’identité numérique

En France, Emmanuel Macron s’intéresse de près au « métaverse européen », un nouvel univers numérique (et futuriste) dont la société pourrait profiter. Rien d’étonnant étant donné qu’il était reconnu comme « habitué de Davos » par Klaus Schwab lui-même, le 24 janvier 2018.

Lire aussi : Pourquoi Emmanuel Macron fait-il du « métaverse européen » un point essentiel de son programme?

Peut-on tuer le mensonge ?

Au cours des réunions annuelles du Forum de Davos, Yuval Harari répétait à l’envi combien il est simple de faire croire aux mensonges : « Si vous répétez un mensonge assez souvent, les gens penseront que c’est la vérité et plus le mensonge est gros, mieux c’est », martelait-il lors d’une interview de l’émission TED, en février 2017. Les mensonges, il a même appris à vivre avec : « Les fake news nous entourent depuis des milliers d’années : prenez la Bible, par exemple ».

Pour résoudre ce problème, « la prochaine étape, c’est la surveillance qui va entrer dans notre corps », relate-t-il, un regard plein d’entrain. Et pour cela, l’épidémie de Covid-19 semble avoir ouvert une brèche. Si bien que Yuval Harari affirme que l’argument sanitaire « convainc les gens d’accepter, c’est ce qui est légitime : la surveillance biométrique totale ».

Rappelons que toutes les vidéos sont disponibles sur le site officiel du FEM.




Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Vous vous demandez pourquoi votre gouvernement vous empêche de voyager à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada si vous n’êtes pas pleinement vacciné ? C’est qu’il vous trahit au plus haut niveau et qu’il vous enc*le tout aussi profondément. Entre un Justin Trudeau qui vient d’être nommé par António Guterres pour promouvoir le « développement durable » dans le monde par l’ONU et une Chrystia Freeland qui siège au conseil d’administration du Forum économique mondial (FEM) où elle côtoie sur une base régulière son fondateur Klaus Schwab, les Canadiens sont les pauvres victimes d’un complot de haute trahison en vertu du Code criminel canadien (L.R.C. (1985), ch. C-46(2)b). Oui, les gouvernements complotent contre vous. Cela ne veut pas dire que le secret soit nécessaire pour eux puisque, selon le dictionnaire Larousse, comploter équivaut à « avoir un comportement qui prête à penser qu’on prépare une action dirigée contre quelqu’un, quelque chose ; manigancer ». Les comploteurs n’ont plus besoin de se cacher comme autrefois car ils sont désormais rendus à l’étape de l’exécution de leurs plans machiavéliques pour vous asservir tous. On vous empêche de voyager car vous êtes des prisonniers à l’intérieur de votre propre pays jusqu’à ce que leur système de contrôle social numérique « à la chinoise » soit dûment implanté sur le sol canadien.

Sachez que les politiciens véreux n’en ont rien à foutre de vous. Ils n’en ont rien à foutre de la Constitution de votre pays. Ils n’en ont rien à foutre de votre vie ou de votre mort. Tout ce qu’ils veulent est de servir la Bête de l’événement et ainsi acquérir une miette de pouvoir. Mais ils s’apercevront que cette miette de pouvoir se délaiera rapidement et qu’il ne leur restera que le vide d’une coque sans âme.

En effet, le gouvernement du Canada, Air Canada et deux grands aéroports canadiens se sont associés au Forum économique mondial (FEM) sur un projet d’identification numérique qui pourrait nécessiter un système de type crédit social pour voyager. Ce projet est connu sous le nom “Known Traveler Digital Identity” (Identité numérique du voyageur connu). « Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport d’Amsterdam Schiphol », écrit le FEM. Le KTDI est considéré comme un moyen de « promouvoir des voyages de passagers sûrs et fluides en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, du besoin critique de renforcer la sécurité transfrontalière et de l’augmentation du nombre de passagers attendue au cours de la prochaine décennie ». Le site Web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique (digital ID) d’une personne, elle est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

Known Traveler Digital Identity (KTDI) est une vision de « surveillance par conception » pour le suivi et le contrôle des voyageurs plus dystopique que tout ce que nous avons vu auparavant. KTDI utiliserait un registre distribué basé sur une chaîne de blocs pour relier, via une application sur l’appareil mobile d’un voyageur, toutes les données suivantes :

  • Biométrie (initialement des images faciales, éventuellement aussi des empreintes digitales, etc.) ;
  • Pièces d’identité émises par le gouvernement (numéro de passeport, etc.) ;
  • Historique des voyages, y compris les journaux des passages frontaliers, des séjours à l’hôtel et éventuellement des locations de voitures et/ou d’autres événements ;
  • Journaux d’achat et éventuellement informations sur les comptes bancaires et/ou autres enregistrements financiers et de transaction ;
  • « Évaluation des risques » prédictifs et scores de profilage générés à chaque point « d’intervention » avant et pendant chaque voyage ou transaction.

Chaque séjour à l’hôtel, achat ou autre transaction deviendrait comme un passage frontalier estampillé de manière permanente dans votre passeport dans le cadre d’un « laissez-passer de voyage » numérique soumis à une inspection sur demande par les autorités aux points d’« intervention » ultérieurs. Toutes ces données sont destinées à être utilisées pour discriminer les voyageurs dont les profils pré-criminels liés à l’identité sont classés comme « à haut risque » ou « à faible risque » :

L’accès à un historique de voyage et à des journaux de transactions plus complets est un objectif de longue date des agences gouvernementales de surveillance et de contrôle des voyages. Conformément aux normes établies par l’OACI, un espace est réservé sur la puce RFID de chaque passeport électronique pour les données d’historique de voyage. Mais cela était destiné, pour autant que nous puissions en juger, uniquement aux données de passage des frontières ou d’entrée / sortie, et non aux journaux de séjours à l’hôtel ou à d’autres transactions. À notre connaissance, peu de pays ont enregistré des données d’historique de voyage sur des puces RFID de passeport, probablement en raison de l’espace limité réservé dans la structure des données et des complications liées à la modification ou à l’ajout en toute sécurité des données sur la puce une fois qu’elle est écrite pour la première fois et signé numériquement par le gouvernement émetteur.

Lors d’une présentation à la conférence Hotel Electronic Distribution Network Association (HEDNA), des représentants d’Accenture (le maître d’œuvre du FEM pour le projet KTDI) et Marriott se sont vantés de la façon dont, sur la base des données KTDI, un individu pouvait être choisi parmi une foule pour « liste noire » utilisant la reconnaissance faciale automatisée, « sans arrêter ni reconnaître la caméra ». Il peut donc être utilisé pour une surveillance de masse subreptice et non consensuelle.

Les partenaires du projet KTDI incluent des agences gouvernementales (DHS, OACI, INTERPOL, etc.) et les industries aériennes et informatiques des compagnies aériennes (IATA, Amadeus, etc.). Mais ce n’est pas tout. Parmi les autres partenaires du projet KTDI figurent Google (Google a acquis un fournisseur de système de réservation informatisé en 2010, mais on ne sait pas à quel titre Google participe au projet KTDI), les chaînes hôtelières Marriott and Hilton (basées aux États-Unis) et Accor (basées en France), et la société de traitement des paiements et des cartes de crédit Visa.https://www.youtube.com/embed/hyFLmnb2xHM?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

La dystopie totalitaire du Forum économique mondial devient réalité

En janvier 2018, un projet pilote de surveillance des voyageurs aériens, commandé par le Forum économique mondial, a été approuvé à Davos.

A l’époque, l’économiste Norbert Häring présentait le projet Known Traveler Digital Identity (KTDI) comme une « dystopie totalitaire ». Un rapport de suivi montre que les multinationales associent avec succès les gouvernements et l’UE à leurs plans. Le Covid-19 accélère considérablement la mise en œuvre et Bill Gates nous fait savoir par inadvertance comment.

À l’instar du rapport de 2018 intitulé “The Known Traveller: Unlocking the potential of digital identity for secure and seamless travel” (Le voyageur connu : Libérer le potentiel de l’identité numérique pour un voyage sécurisé et fluide), ce livre blanc plus technique de KTDI intitulé “Known Traveler Digital Identity Specifications Guidance” (Guide des spécifications d’identité numérique des voyageurs connus) a été publié sans fanfare sur Internet, en mars 2020. Ces rapports, préparés par le cabinet de conseil Accenture, sont destinés à être lus uniquement par des personnes du secteur de la surveillance et de la sécurité numériques. Pour des raisons compréhensibles, ces personnes préfèrent parler d’identité numérique plutôt que de contrôle ou de surveillance numérique.

Voici comment le schéma KTDI est censé fonctionner : nous téléchargeons des informations nous concernant dans une base de données — ou autorisons d’autres à le faire. Tout d’abord, cela devrait être une preuve d’identité des autorités, mais aussi nos antécédents de voyage, les données bancaires, les chambres d’hôtel, les réservations de voitures de location, les documents des universités, des bureaux gouvernementaux et bien plus encore. Si nous voulons franchir une frontière, nous donnons préalablement aux autorités accès à cette base de données, afin qu’elles puissent voir à l’avance que nous sommes inoffensifs. Grâce à la reconnaissance faciale et à notre smartphone (idéalement) biométriquement lié, ils peuvent nous reconnaître au passage de la frontière. Si nous avons été suffisamment diligents dans la fourniture de données, nous serons autorisés à contourner les files d’attente des autres voyageurs, bénéficiant d’un traitement préférentiel et de contrôles minimaux. Toutefois, comme il est indiqué dans le premier rapport KTDI, en cas de doute sur les intentions d’un voyageur, l’agent des frontières peut, sur la base des informations fournies à l’avance, poser à la personne concernée des questions plus approfondies, par exemple « pour mieux comprendre ses activités récentes ».

On peut facilement imaginer à quel point cette diffusion des données sera « volontaire » une fois le système mis en place. Ce sera du genre : vous pouvez librement choisir si vous voulez entrer dans le pays et remettre la clé de vos données, ou si vous préférez rester à l’extérieur. Un essai est déjà en cours par les autorités frontalières du Canada et des Pays-Bas, avec les compagnies aériennes KLM et Air Canada dans les aéroports d’Amsterdam, de Toronto et de Montréal.

Les entreprises participantes, telles que Visa et Google, ne développent pas un tel système pour les autorités policières à leurs propres frais uniquement par sens du devoir cosmopolite. Le rapport KTDI 2018, ainsi que le livre blanc actuel, indiquent tous deux que l’autosurveillance à la frontière sert à créer une masse critique de participants à la norme de partage de données interopérable à l’échelle mondiale qui doit être introduite.

Les autorités frontalières sont simplement le catalyseur idéal d’un système mondial de surveillance de masse assistée par les citoyens et de partage de données, impliquant progressivement tous les gouvernements du monde. Une fois que les États-Unis et quelques autres grands pays auront pris part à ce programme, les citoyens d’un pays dont le gouvernement refuse de participer auront de grandes difficultés à voyager à l’étranger.

Une fois que tous les gouvernements auront adhéré à cette norme pour l’échange volontaire forcé de données avec les citoyens, il est prévu que nous serons également autorisés à transmettre nos données dans les interactions quotidiennes avec les entreprises et les autorités. Dans les deux rapports, la santé, l’éducation, la banque, l’aide humanitaire et les élections sont les domaines mentionnés.https://www.youtube.com/embed/cnUAQKKnEAU?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

Un système global et totalitaire

Le livre blanc de KTDI précise la grande ambition du projet dans ses conclusions :

« Ce document décrit l’ambition de KTDI de fournir les bases d’un écosystème d’identité décentralisé accepté à l’échelle mondiale. Un développement plus poussé et une adoption plus large dépendent de la maximisation de l’interopérabilité des échanges de données et de la confiance fédérée. Le succès reposera sur la coopération entre les gouvernements mondiaux, les régulateurs, l’industrie aéronautique, les fournisseurs de technologie et d’autres acteurs pour établir des normes et des spécifications mondiales pour la conformité de toutes les parties prenantes. »

Les conditions d’application de cette norme mondiale de surveillance sont excellentes. Le projet Known Traveler utilise des normes techniques pour les informations d’identification vérifiables et les identifiants décentralisés tels qu’ils sont actuellement développés par le World Wide Web Consortium (W3C). Le W3C est l’organisme de normalisation le plus important pour l’Internet et est dominé par les entreprises américaines d’Internet et de télécommunications.

Les membres du W3C recoupent fortement ceux de la Decentralized Identity Foundation, que des multinationales telles que Microsoft et de nombreuses petites entreprises du secteur de la sécurité numérique ont fondée pour faire progresser les normes mondiales de contrôle d’identité. Les entreprises qui composent ce groupe ont souvent des liens très étroits avec la communauté du renseignement. US Homeland Security a été impliqué dans le projet Know Traveler depuis le début. Lors des forums d’identité numérique pertinents, des représentants d’entreprises des industries de l’identité et de la sécurité numériques se mêlent aux représentants de toutes les agences de sécurité et de renseignement concernées.

Volontariat forcé

L’astuce est la fiction du volontariat, le consentement explicite, s’il est extorqué, à l’utilisation des données, que vous devez donner chaque fois que vous souhaitez recevoir un service gouvernemental dans ce système ou si vous souhaitez simplement payer quoi que ce soit par voie numérique. Ceci est similaire à ce qui vous arrive si vous vous déplacez sur le World Wide Web aujourd’hui. Vous devez constamment accepter volontairement de surveiller les demandes des opérateurs du site Web ou simplement choisir de rester à l’écart.

Le système mondial envisagé a un aspect particulièrement pernicieux, qui tourne en dérision l’autonomie et le contrôle souvent annoncés de ceux qui sont supposés posséder leurs données :

« Les attributs d’identité sont attestés et fournis par les autorités émettrices (c’est-à-dire le numéro de passeport, les coordonnées bancaires). Une autorité émettrice peut également révoquer un VC (identifiant virtuel) qu’elle avait précédemment émis en mettant à jour l’accumulateur cryptographique basé sur la blockchain en conséquence. »

Imaginez à quoi cela ressemblera lorsque ce système sera mis en place comme prévu dans le monde entier, dans tous les pays, aussi répressifs soient-ils. Supposons que l’abolition de l’argent liquide – qui est menée en parallèle par plus ou moins le même groupe d’entreprises et d’agences – soit menée à bien. Pour tout ce que vous voulez faire ou payer, vous dépendez de la présence d’une coche aux bons endroits dans la base de données sur vous. Si vous tombez en disgrâce auprès de votre propre gouvernement, il pourrait supprimer la coche de vos informations d’identité et vous visser, même si vous n’êtes pas dans le pays. Votre banque peut faire de même.

Si cela vous arrive, vous pouvez essayer de continuer pendant un certain temps. Mais finalement, vous devrez peut-être faire ce que le héros de la science-fiction “Soleil à crédit” de Michel Grimaud (1975) a dû faire. Lorsque sa carte électronique, dont tout le monde avait besoin pour se déplacer et se nourrir, a été confisquée par l’un des guichets automatiques, il s’est volontairement présenté aux portes de la prison et est resté volontairement en prison jusqu’à sa libération, car sinon il serait mort de faim.

Si le gouvernement américain ou les algorithmes contrôlés par ses agences ont quelqu’un dans le monde en vue, ils peuvent faire la même chose. Soit ils demandent au gouvernement ou aux banques respectifs d’invalider tous les documents numériques de la personne cible, soit les sociétés Internet américaines qui contrôlent le système peuvent le faire, soit les agences privées américaines de notation de crédit réduisent la cote de crédit.

Une grande partie de cela est déjà possible aujourd’hui et se fait, mais pas souvent à des particuliers. Mais le système ne sera complet et parfait que s’il existe une norme technique mondialement acceptée qui permet d’accéder à toutes ces données et documents de n’importe où. Ce n’est qu’alors que Washington (ou plutôt Fort Meade et Langley) pourront contrôler à partir de leurs ordinateurs personnels tout le monde dans tous les coins participants du monde. Dans le même temps, les gouvernements nationaux autoritaires pourront contrôler tout le monde dans leur propre sphère d’influence, qu’ils soient chez eux ou à l’étranger.

C’est l’agenda derrière le travail intense que l’USAID, Gates et le Forum économique mondial font, avec l’aide d’une ONU dépendante, pour créer des identités numériques pour chaque personne sur le globe. Ils travaillent à travers ID4Africa, ID2020 et une douzaine d’autres initiatives et consortiums similaires avec ID dans leurs noms.

Rapport minoritaire rechargé

Tout le monde peut alors être guidé par un anneau nasal normalement imperceptible. Cependant, cela pourrait être brutalement tiré, même si vous n’avez rien fait du tout, simplement parce qu’un algorithme conclut que vous êtes un type qui, statistiquement, pourrait bientôt causer des problèmes, comme dans le film “Minority Report”. L’ambition d’y arriver est documentée dans le premier rapport KTDI du Forum économique mondial avec une citation en surbrillance du directeur de Google, Rob Torres :

« Les entreprises technologiques ont fait des progrès majeurs dans l’exploration de données, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle permettant une analyse prédictive améliorée. En combinaison avec les informations fournies par les passagers, ces technologies peuvent être utilisées par les gouvernements pour… analyser des modèles complexes de mégadonnées dans le but de prévoir les risques de sécurité aux frontières. »

La citation indique clairement que l’identité numérique ne consiste pas simplement à donner à chacun un moyen facile de prouver qui vous êtes au moyen d’un certificat de naissance numérique ou d’une carte d’identité numérique, comme ils essaient de nous le faire croire. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici une autre citation, extraite du “EU blockchain observatory report on digital identity and blockchain” (Rapport de l’observatoire de la blockchain de l’UE sur l’identité numérique et la blockchain) :

« Lorsque nous parlons d’identité numérique, nous devons la comprendre comme la somme de tous les attributs qui existent à notre sujet dans le monde numérique, une collection de points de données en croissance et en évolution constantes. »

Ainsi, l’identité numérique signifie tout ce qui peut être stocké numériquement et qu’il y a à savoir sur nous, nos actions et nos préférences. Il s’agit d’introduire tout ce que l’on sait sur une personne dans une base de données qui peut être exploitée par toutes les entreprises et tous les gouvernements participants et manipulée par eux à tout moment. De sorte que les entreprises peuvent nous diriger en tant que bétail de consommation dans le bon corral et nous tondre chacun de nous individuellement et de manière optimale, et nous avoir comme des bêtes de somme peu exigeantes et obéissantes. Il s’agit pour les gouvernements et les entreprises d’être en mesure de détecter très tôt toute personne qui pourrait vouloir sortir du système ou casser le système.

Remarquablement, le Forum économique mondial affirme qu’il n’a pas encore proposé de concept pour la gouvernance de cette infrastructure de contrôle totalitaire mondiale, c’est-à-dire qui devrait être aux commandes de ce système. Le Livre blanc dit :

« Les travaux sur la définition et le développement d’un cadre de gouvernance approprié pour le concept KTDI se poursuivent et seront abordés dans un prochain rapport. »

En d’autres termes, les gouvernements sont censés s’engager dans ce concept sans que l’on sache qui tirera les ficelles. En réalité, bien sûr, c’est assez clair. C’est Washington et les grandes entreprises américaines, directement ou par l’intermédiaire d’organismes internationaux tels que le Forum économique mondial, le W3C, le GAFI et bien d’autres, qu’ils dominent.

Les gouvernements et l’ONU se sont alignés

Néanmoins, les gouvernements et une ONU dépendante de l’argent des entreprises semblent très désireux de participer à ce système de surveillance mondial développé par les multinationales et la US Homeland Security. Il est commercialisé par les entreprises participantes de l’industrie de la sécurité et de l’identité sous le nom euphémique d’identité auto-souveraine (SSI).

A Bruxelles, ce terme, SSI, s’impose. Le Comité économique et social européen, un organe de l’UE au sein duquel les associations d’employeurs, les syndicats et d’autres groupes d’intérêt sont censés représenter la « société civile organisée », a élaboré un cadre européen d’identité souveraine (eSSIF). C’est presque un contre un la dystopie décrite dans les rapports du Forum économique mondial.

Les gouvernements de 21 pays, dont l’Allemagne, ont formé un “partenariat européen de la blockchain” trois mois seulement après la réunion du Forum économique mondial de 2018 au cours de laquelle le concept de voyageur connu a été présenté. Ce partenariat semble viser à faire progresser le concept de surveillance du Forum économique mondial dans son incarnation européenne eSSIF. L’un des objectifs de travail de ce partenariat, comme indiqué dans la présentation du Comité économique et social en lien ci-dessus, est de savoir comment préserver les valeurs démocratiques européennes dans la mise en œuvre des SSI. Bonne chance avec ça !

Il existe plusieurs autres groupes et partenariats au niveau européen pour la mise en œuvre du SSID et il existe divers groupes associés aux Nations Unies au niveau mondial. Il devrait déjà être clair que KTDI et SSI ne sont pas des idéaux irréalistes de Washington et des entreprises technologiques, mais un plan réaliste qui est déjà mis en œuvre à l’échelle mondiale.

Le Covid-19 accélère beaucoup les choses

Les réactions des gouvernements à la Covid-19 en Corée du Sud et en particulier à Wuhan, en Chine, et des programmes similaires qui devraient bientôt être mis en œuvre en Occident, accélèrent le glissement mondial vers un contrôle algorithmique total de la population. À Wuhan, si vous ne pouvez pas afficher un bouton vert sur votre smartphone de surveillance qui signale que vous n’êtes probablement pas infecté, vous êtes interdit d’accès à la plupart ou à toutes les formes de transport en commun et vous n’êtes pas autorisé à entrer dans les restaurants ou à vous enregistrer dans les hôtels. En Corée du Sud, les enregistrements des caméras de surveillance, les données des cartes de crédit et les données GPS sont évalués pour identifier et suivre les porteurs potentiels de virus.

Dans une entrevue vidéo du 24 mars 2020, le deuxième homme le plus riche et probablement le plus puissant du monde est interviewé par le modérateur de TED Chris Anderson à propos de la stratégie corona américaine. Dans sa pose de pouvoir décontractée habituelle, Bill Gates parle comme s’il était président des États-Unis ou chef de l’ONU. L’interview devient particulièrement intéressante lorsque Gates en vient à l’immunité présumée des personnes qui se sont déjà remises d’une infection. Gates relie cela à la question de savoir comment et quand les restrictions de voyage peuvent être assouplies :

« Finalement, nous devrons avoir un certificat indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée, parce que vous ne voulez pas que des gens se déplacent dans le monde où vous avez certains pays, qui ne le contrôleront pas, malheureusement. Vous ne voulez pas bloquer complètement la capacité de ces personnes à aller et revenir et à se déplacer. »

Et puis vient la phrase doublement intéressante :

« Il y aura donc éventuellement ce type de preuve d’immunité numérique, qui facilitera la réouverture mondiale. »

Cette dernière phrase est doublement intéressante à cause du mot « numérique » et parce que la phrase n’est contenue que dans une version légèrement plus longue de la vidéo que quelqu’un a téléchargée pour la préserver. Dans la vidéo officielle de TED, cette phrase a été coupée (à la minute 34:27). Selon les commentaires sous la vidéo plus longue, cela s’est produit dans l’après-midi du 31 mars. C’est étonnant, car la seconde moitié de la phrase sur la réouverture des frontières est en fait une très bonne conclusion sur ce sujet, avant que l’intervieweur ne pose la question suivante. On ne le couperait pas pour des raisons journalistiques. La couper par souci de brièveté n’aurait pas beaucoup de sens, car elle ne dure que deux ou trois secondes et la coupure est perceptible.

C’était vraisemblablement le mot « numérique » qui devait être supprimé. Car cela invite à des questions qui mènent finalement à tout ce qui constitue le programme Known Traveler. Dans ce qui reste de la vidéo officielle, Gates ne parle que d’un certificat. Cela invite à comprendre ce dont il parle : seuls ceux qui ont un certificat d’immunité délivré par une autorité sanitaire peuvent réserver un vol, et seuls ceux qui peuvent le produire peuvent monter à bord d’un avion et passer l’immigration. Ce serait assez facile à mettre en œuvre et relativement sans problème.

Avoir le certificat en version numérique semble plus pratique, car ce serait plus rapide et plus facile. Mais si une preuve d’immunité numérique pour les voyages internationaux doit être (machine-)utilisable à l’échelle mondiale, elle a besoin d’une norme mondiale pour le certificat, d’un emplacement de stockage pour les certificats considéré comme sûr et généralement accessible, d’une norme d’échange de données qui fonctionne partout, et une norme mondiale pour certifier l’authenticité d’une preuve numérique. Le Known Traveler Program, piloté par la US Homeland Security et le Forum économique mondial, veut développer et mettre en œuvre tout cela. Bill Gates est l’un des membres les plus influents du Forum économique mondial, sinon le plus influent.

Google et Apple viennent à la rescousse

Le 10 avril 2020, Google et Apple ont annoncé qu’ils coopéreraient afin de permettre aux applications de suivi des contacts d’être interopérables sur les systèmes d’exploitation Adroid et iOS à partir du mois de mai suivant et de programmer la capacité de suivi dans leurs propres systèmes d’exploitation peu après. La recherche des contacts nécessite que les autorités sanitaires puissent alimenter le système, dont le numéro de téléphone est connecté à une personne testée positivement. Celui-ci peut facilement être complété en cochant la case convalescence ou vaccination. Et voila, le programme Known Traveler est prêt dans une première application.

Et comme il se doit, le volontariat, la souveraineté sur ses propres données (Self-Sovereign Identity) est totalement préservée. Chacun peut décider par lui-même s’il veut voyager et utiliser l’application de suivi ou s’il préfère rester à la maison.

Étant donné que Google et Apple travaillent de toute façon en étroite collaboration et en toute confiance avec les autorités de sécurité et les services secrets, il ne sera pas difficile d’ajouter d’autres domaines d’application. Tout d’abord, les autorités de sécurité peuvent cocher la case « ne peut pas voyager » ou « à surveiller » si nécessaire. Encore plus intéressant, la fonction de suivi des contacts peut être utilisée pour établir un réseau de contacts de personnes à surveiller et pour ajouter ces contacts à la liste. Au-delà de cela, le système pourrait être affiné davantage selon les besoins dans le sens de ce qui est décrit dans les rapports Known Traveler qu’Accenture a produits pour le FEM.

Grâce à la Covid-19, le Brave New World prend forme bien plus rapidement qu’on ne l’aurait cru. Et grâce à la Covid-19, beaucoup ou même la plupart des gens trouveraient actuellement un tel pouvoir totalitaire souhaitable. La Covid-19 est un cadeau du ciel pour les plans du Forum économique mondial.https://www.youtube.com/embed/y_GFx1uXdhk?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


TÉLÉCHARGEMENT DES RAPPORTS DU KNOWN TRAVELER DIGITAL IDENTITY :
SOURCES ET RÉFÉRENCES :



Qui possède le monde ?

[Source : exoconscience.com]

Par FLORENT DAVID

Ce brillant documentaire (sous-titré en français) de Tim Gielen révèle comment un petit groupe de criminels super riches a acheté pratiquement tout sur terre, jusqu’à tout posséder.

Depuis les médias, les soins de santé, les voyages, l’industrie alimentaire, les gouvernements… Cela leur permet de contrôler le monde entier. C’est pourquoi ils essaient d’imposer le Nouvel Ordre Mondial.

Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros, …

Ce documentaire incroyablement révélateur révèle quelque chose d’étonnant : la majorité de notre monde appartient à ces mêmes personnes. Grâce à cela, ils peuvent contrôler le monde entier et imposer leur programme maléfique à toute l’humanité.

C’est le moment de les dénoncer et de se lever comme un seul homme pour défendre notre liberté.

Les noms des deux sociétés qui « possèdent virtuellement le monde » sont Vanguard et BlackRock. Elles sont au cœur de l’État profond ou la Cabale.

Leur plan est la Grande Réinitialisation où ils veulent asservir chaque humain sur terre.



[Voir aussi :
Les 4 firmes qui possèdent les USA
Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?]

Pour aller plus loin :






Des « camps de rééducation » pour ceux qui seront réfractaires à la Grande Réinitialisation ?

[Source : ns2017]

Par anne

Le Forum économique mondial promet de jeter quiconque résiste à la « Grande Réinitialisation » dans des « camps de rééducation » à la chinoise. ALERTE ! ce type est fou a lier…

Oui, vraiment.

Wang Guan, un jeune leader mondial du WEF, fait pression pour que ceux qui résistent à la « grande réinitialisation » de Klaus Schwab soient emprisonnés dans des « camps de rééducation » de type Chine communiste jusqu’à ce qu’ils ne soutiennent plus des choses comme la liberté, le nationalisme et le droit de porter des armes.

Wang travaille actuellement comme correspondant politique en chef pour un média d’État chinois qui diffuse la propagande chinoise aux États-Unis.

Le WEF est devenu célèbre pour ses interventions mondialistes dans le monde entier, y compris, mais sans s’y limiter, pour ses pressions en faveur d’une « grande réinitialisation » dans le contexte du COVID-19″, écrit Natalie Winters dans le National Pulse.

« Le groupe cherche à abolir la propriété à la base, résumant cet objectif par son expression controversée ‘vous ne posséderez rien et serez heureux’. »

rapporte Truthbasedmedia.com : Le même média où Wang a été installé par Schwab pour laver le cerveau des Américains défend également le génocide des musulmans ouïghours par le Parti communiste chinois (PCC).

Le PCC diffuse des films de propagande présentant les camps de concentration comme des lieux d’apprentissage de compétences utiles dans la vie courante.
Dans un court-métrage réalisé pour promouvoir les camps de rééducation, Wang explique que les conditions de vie des musulmans ouïghours sont un « succès » et que cela sert les objectifs du PCC de procéder ainsi à un nettoyage ethnique de la Chine.

« Cinquante-quatre pays, dont la plupart sont des États à majorité musulmane, ont défendu les efforts de lutte contre l’extrémisme de la Chine au Xinjiang, félicitant la Chine pour ses politiques de développement dans cette région et pour « la prise en charge de ses citoyens musulmans » », a déclaré Wang dans la vidéo, ajoutant : « et ils ont probablement raison. »

Le même reportage mettait également en scène des survivants de ces camps de rééducation louant les dirigeants chinois pour leur avoir soi-disant enseigné des compétences de vie pour réussir.

« Nous avons rencontré un artiste de 33 ans, Abulizikari Aobuli, qui a perfectionné ses compétences en peinture dans le centre de rééducation et qui travaille maintenant dans une galerie », a déclaré Wang dans le film.

« Nous avons retrouvé Yuregul Yusan, 30 ans, qui travaille dans le secteur de l’hôtellerie. Nous avons trouvé Rukiya Yakup, 26 ans, qui a amélioré son mandarin et travaille désormais comme agent immobilier. Et nous avons rencontré Halinur, 23 ans, qui est maintenant caissière dans un restaurant. »

Comme c’est mignon : les camps de concentration du PCC ne sont que des collèges techniques incompris, apparemment.

« Selon les responsables locaux, la grande majorité des participants ont acquis une ou deux compétences, ont terminé leur formation et sont rentrés chez eux », a ajouté Wang dans une autre vidéo, diffusée par le China Global Television Network (CGTN).

« Rukiya Yakup, 26 ans, a passé 10 mois dans le centre d’éducation. Elle y a perfectionné ses connaissances en mandarin et étudié la vente. Aujourd’hui, elle est agent immobilier et gagne plus de 8 000 yuans, soit plus de 1 100 dollars américains par mois, ce qui est bien supérieur au revenu moyen local. »

La jeune femme de 26 ans a ensuite été montrée à l’écran affirmant qu’elle se sentait « plus heureuse » maintenant qu’elle avait enduré le camp de rééducation en Chine. Elle a également déclaré qu’elle était heureuse d’avoir appris le mandarin, car elle peut maintenant « recevoir à la fois les Han et les Ouïghours ».

« Mes revenus sont considérables », a-t-elle ajouté.

Une autre jeune dirigeante mondiale du WEF qui a poussé un agenda publiquement est la « journaliste » Daria Kaleniuk. Comme l’a rapporté l’émission Pulse à son sujet, Kaleniuk a affronté le Premier ministre britannique Boris Johnson et a exigé que l’OTAN entre en guerre en Ukraine.

Il semblerait que Schwab ait ses sous-fifres dans le monde entier pour faire avancer différents programmes en même temps. Et comme nous nous y attendons, tout tourne autour de sa précieuse Grande Réinitialisation.




Une cyberattaque de grande envergure sous faux drapeau est maintenant imminente

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

4 mars 2022

Au début de l’année 2021, au plus fort de la peur des covidés générée par les médias, le Forum économique mondial a publié une série de tables rondes et de livres blancs décrivant une « pandémie » d’une nature totalement différente, qu’il a qualifiée de « cyber-attaque imminente aux caractéristiques similaires à celles des covidés ». Le programme du WEF était intitulé « Cyber Polygone » et dirigé avec un zèle inquiétant par le mondialiste Klaus Schwab.

Le WEF et Schwab sont surtout connus pour deux choses :

1) Leur implication dans un jeu de guerre appelé Event 201 qui simulait la propagation mondiale d’une pandémie de coronavirus. Cette simulation s’est déroulée deux mois AVANT la réalité, au début de l’année 2020, et la majorité des mesures présentées dans le jeu ont été mises en œuvre presque immédiatement après l’épidémie.

2) L’annonce enthousiaste de Klaus Schwab selon laquelle la pandémie était l' »opportunité » parfaite pour instituer ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » de l’économie mondiale en même temps que l’essor de la Quatrième Révolution Industrielle, qui est la centralisation complète du commerce mondial et de la gouvernance dans un empire socialiste mondial où vous ne posséderez « rien, n’aurez aucune vie privée, et l’aimerez ».

[Voir aussi :
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »,
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
et
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Le fait que le WEF ait été si prescient en ce qui concerne la pandémie de covidés est un véritable miracle. C’était presque comme s’ils savaient que cela allait arriver, et leurs amis politiques dans diverses nations n’ont pas perdu de temps pour mettre en œuvre leurs politiques de mandat draconien dans le monde entier. L’Event 201 prévoyait un nombre initial de décès d’environ 65 millions de personnes, mais cela ne s’est pas produit. En fait, le taux médian de mortalité par infection du covid n’était que de 0,27 %. Le Covid ne tuait pas assez de personnes et le public commençait à remettre en question l’efficacité des mesures de confinement, les règles inutiles concernant les masques et la nécessité de prendre un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’avait pas été testée à long terme.

[Note de Joseph Stroberg : le taux de mortalité attribué à la Covid est sensiblement le même que celui de la grippe, alors que dans le même temps :
1)- celle-ci a pratiquement disparu et comporte plusieurs symptômes similaires ;
2)- il n’y a pas eu de surmortalité significative au niveau mondial.
On peut facilement en déduire que la grippe a été rebaptisée Covid.

Si par ailleurs, l’Humanité finit un jour par reconnaître que :
1)- les maladies virales ne sont en réalité pas causées par des virus et qu’aucun virus n’a été réellement isolé (selon un point de vue réellement scientifique et rigoureux conforme à la définition du terme « isolé ». Voir L’enterrement de la théorie virale) ;
2)- les ondes électromagnétiques, surtout pulsées (comme le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 5G, le Bluetooth…), et les champs électriques artificiels engendrent des problèmes physiques aux symptômes notamment similaires à ceux de la grippe ou de la Covid (en plus d’autres effets possibles),
3)- les lieux d’implantation initiaux de la 5G sont aussi ceux où l’on a d’abord repéré les symptômes attribués à la Covid (Wuhan, Corée du Sud et Saint-Marin),

alors on pourra facilement conclure que les morts attribués à la grippe baptisée Covid-19 provenaient en réalité pour une grande part d’un manque de résistance des individus aux nouveaux rayonnements 5G, le corps humain n’y étant pas encore habitué.]

Aux États-Unis, les États conservateurs ont commencé à se soulever et à bloquer le programme des covidés. Aujourd’hui, le CDC et le gouvernement fédéral ont déclaré la suppression de la plupart des mandats et même les États bleus de gauche commencent à céder. Cependant, la plupart des États rouges conservateurs n’ont pas eu de mandat depuis plus d’un an ou un an et demi. Nous avons été sans restrictions pendant tout ce temps, et le gouvernement agit comme s’il venait de nous « permettre » d’être libres à nouveau.

La vérité est que les mondialistes du WEF et leurs partenaires étrangers ont échoué dans leurs efforts pour instaurer une tyrannie médicale, du moins aux États-Unis et dans certaines régions d’Europe. L’agenda s’est effondré parce que la science était contre eux à tous les égards. Ils n’avaient rien. Avec 99,7 % de personnes à l’abri du covid, il était impossible de susciter suffisamment de peur dans une partie suffisante de la population pour qu’elle renonce à ses libertés.

Ainsi, pour ceux d’entre nous qui ont suivi attentivement ces événements, la sonnette d’alarme a vraiment commencé à retentir lorsque le WEF a changé de vitesse et s’est soudainement concentré sur le récit d’une cyberattaque. Était-ce un plan B ?

En avril 2021, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes auront besoin d’une autre crise en Amérique pour faire échouer leur programme de réinitialisation ». Dans cet article, je décrivais les scénarios les plus probables pour le prochain événement catastrophique, qui comprenaient la guerre en Ukraine ainsi qu’une cyberattaque mondiale qui perturbe la chaîne d’approvisionnement. Dans cet article, je déclarais :

« Les médias et l’administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l’Ukraine. Il y a un regain de tensions entre l’Iran et Israël et la déstabilisation continue de l’Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taïwan…
Il y a … un avantage narratif aux tensions mondiales ; lorsqu’ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l’establishment tentera d’affirmer que le mouvement pour la liberté n’est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement « astro-turf » créé par les Russes pour déstabiliser l’Amérique. C’est la stratégie de propagande des médias gauchistes depuis des années ; alors pourquoi s’arrêteraient-ils ? »

En juin 2021, j’ai écrit plus spécifiquement sur la nature suspecte du Cyber Polygon dans mon article « Cyber Polygon : Will The Next Globalist War Game Lead To Another Convenient Catastrophe ? » (Cyber Polygon : le prochain jeu de guerre mondialiste conduira-t-il à une autre catastrophe commode). Puis, en juillet 2021, j’ai écrit un article intitulé « Et si la prochaine cyberattaque majeure ciblait Internet ? J’y faisais cette observation :

« En juin de cette année, il y a eu un événement de panne d’Internet qui a conduit à de larges pans du Web à devenir sombres, y compris un certain nombre de sites d’information grand public, Amazon, eBay, Twitch, Reddit et une foule de sites Web gouvernementaux sont tombés en panne. Tout cela s’est produit lorsque la société Fastly, spécialisée dans les réseaux de diffusion de contenu (CDN), a eu un bug. Bien qu’Amazon ait remis son site en ligne en 20 minutes, cette brève panne a coûté à l’entreprise plus de 5,5 millions de dollars de chiffre d’affaires (et il ne s’agit que d’un seul site web !).

Fastly a identifié et corrigé le problème en deux heures, et continue d’affirmer que la panne n’avait rien à voir avec une cyberattaque. Cependant, elle a révélé une énorme vulnérabilité de l’internet (ce que von Clausewitz aurait appelé un schwerpunkt). Une grande partie du web dépend de seulement trois sociétés CDN, dont Fastly.

Voici ce qui me préoccupe : si une cyberattaque était menée sur ces points faibles du web, et que l’attaque impliquait un ver malveillant ou une autre arme hautement infectieuse, alors Klaus Schwab pourrait très bien avoir sa cyberpandémie. »

Aujourd’hui, les tensions guerrières avec la Russie sont sur le point de déborder et je soupçonne que ce n’est qu’une question de temps avant que la Chine ne lance également des opérations contre Taïwan. Mais il y a une menace bien plus grande à l’horizon. Je n’ai guère de doute, à ce stade, qu’une attaque sous faux drapeau contre les États-Unis ou l’Europe (ou les deux) est maintenant imminente, et ce que j’entends par « faux drapeau », c’est que l’attaque sera conçue pour profiter aux mondialistes et pas nécessairement au pays qui en est accusé.

Comme je l’ai noté dans le passé, Vladimir Poutine est un associé de longue date de nombreux mondialistes. Son amitié avec la goule du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, a débuté il y a plusieurs décennies et ils continuent de se rencontrer pour des déjeuners réguliers, Kissinger agissant en tant que conseiller auprès de plusieurs branches du Kremlin. Poutine a également entretenu des relations suivies avec le WEF et la Russie a même rejoint le réseau de la quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab l’année dernière. L’affirmation selon laquelle Poutine est anti-mondialiste est un mensonge, il est profondément impliqué dans le système mondialiste et l’a toujours été.

Les mondialistes jouent des deux côtés du conflit ukrainien. Telle est la réalité. Il est très important de comprendre et d’accepter ce fait, sinon vous ne serez pas en mesure de saisir les événements qui vont suivre.

Poutine a récemment menacé les gouvernements occidentaux de représailles d’une ampleur sans précédent s’ils tentent d’interférer en Ukraine. Le problème, c’est que de nombreux médias grand public et alternatifs ont automatiquement supposé qu’il s’agissait d’une menace de guerre nucléaire. Je ne pense pas que c’est à cela que Poutine faisait référence. J’ai une autre théorie…
Il est peu probable que les mondialistes passent les dernières décennies à construire l’une des grilles de contrôle technocratique les plus complexes de l’histoire pour suivre et dominer le public, pour ensuite tout anéantir en un clin d’œil avec des armes nucléaires. Un environnement post-nucléaire serait impossible à contrôler pour eux.  Ce qui est plus probable, à mon avis, c’est une cyberattaque massive qui vise la fonctionnalité de l’Internet lui-même, et il faudrait que cela se produise relativement vite.

La quantité d’opérations économiques et commerciales liées au web est stupéfiante. Même si l’internet devait s’arrêter pendant seulement deux semaines, les répercussions sur nos marchés et notre chaîne d’approvisionnement seraient dévastatrices. Par extension, les avantages pour les mondialistes seraient immenses. Ils pourraient mettre en place des filtres et des pare-feu sur toute partie du web qu’ils n’aiment pas (y compris les médias alternatifs) et prétendre que c’est pour protéger l’internet des sources possibles de propagation virale. Ils pourraient réduire le web à une poignée de sites d’entreprises et de gouvernements approuvés, tout cela au nom de la protection de l’intégrité du net.

En outre, une telle attaque serait un parfait bouc émissaire pour l’économie déjà en chute libre et l’inflation croissante. À ce moment-là, les banques centrales qui sont vraiment responsables de notre instabilité financière pourraient simplement dire que tout était « sur le point de revenir à la normale » jusqu’à ce que la Russie ou la Chine propage le cyber-virus. Et, peut-être que la Russie sera impliquée, mais ce ne sera pas Poutine qui donnera l’ordre, ce seront ses partenaires mondialistes derrière le rideau.

Le battage médiatique autour de l’Ukraine est à son comble en ce moment. Je trouve un peu bizarre la panique et l’indignation qu’elle suscite. C’est comme si les gens avaient oublié que le gouvernement américain vient de passer plus d’une décennie à dévaster un pays comme l’Irak sans raison valable. Personne ne semble mentionner l’hypocrisie d’exiger une guerre totale contre la Russie alors que les campagnes américaines en Irak ont tué des centaines de milliers de civils et que très peu de pays ont sourcillé à ce sujet.

Il est clair que les médias contrôlés tentent de convaincre les Occidentaux de soutenir une confrontation militaire directe avec la Russie pour un conflit qui n’a rien à voir avec nous. Il y a même de nombreux néo-conservateurs du GOP (Lindsay Graham, je vous regarde) qui font campagne pour que les vrais conservateurs soient d’accord avec un état de guerre. Je ne pense pas que cela gagne beaucoup de terrain, mais qu’est-ce qui a fonctionné comme une manipulation efficace contre les conservateurs dans le passé ?

Les mondialistes ont besoin d’un autre Pearl Harbor – une attaque du 11 septembre ou quelque chose d’encore plus grand. Ils ont besoin de quelque chose qui fasse enrager la population américaine, en particulier les conservateurs. Ils ont besoin d’une crise aux proportions épiques pour nous attirer dans une réponse émotionnelle et l’abandon de la logique. Ils ont également besoin d’un désastre bouc émissaire qu’ils pourront utiliser pour faire porter le chapeau à la crise économique imminente.

Je prédis que cet événement prendra la forme d’une cyber-attaque de grande envergure, et l’escalade des événements me laisse penser qu’ils vont essayer de mettre en œuvre une telle attaque à court terme. Peut-être dans les deux prochains mois et certainement avant la fin de l’année.

Il ne s’agit pas de la Russie. Il ne s’agit pas de l’Ukraine. La vraie guerre est entre les peuples libres et les mondialistes. Lorsqu’ils seront écartés et que leurs marionnettes le seront, la majorité de ces désastres cesseront. Tant qu’ils resteront au pouvoir, les événements de crise ne feront que s’accélérer et augmenter en fréquence jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose qui fonctionne ; quelque chose qui fait que la plupart des gens sont prêts à abandonner leurs libertés en échange de la fausse promesse de sécurité.




Pfizer a corrompu l’UE pour fourguer ses pseudo « vaccins » anti-Covid

[Source : LHK]

Quand on se sert de sommes astronomiques payées par le contribuable, on se doit de lui rendre des comptes. Ca ne se discute pas

L’entente si parfaite de l’autosuffisance, voire de l’arrogance!

Bruxelles, un lieu où le monde du fric et celui de la « politique » coulent depuis de nombreuses décennies des jours bénis par le dieu du fric, et de l’entente. Autrefois, cela s’appelait trafic d’intérêts ou corruption. Planète finance a rebaptisé les accointances en lobbying au service du concept multistakeholder qui a fait la fortune du World Economic Forum, représentée par Klaus Schwab, et parrainé par le puissant Henry Kissinger…

Et selon le modèle fumeux du multi-stakeholders, les populations sont des ignares qui ne méritent pas d’être informées. Donc on arrange des affaires aux sommes inimaginables dans un entre-soi détestable qui ferait pâlir d’envie les siciliens les plus célèbres.

Bref, Covid s’étant invitée dans la vie de la planète, la Commission européenne a trouvé parfaitement normal d’acheter des milliards de doses d’un produit non fini et de les injecter aux contribuables-cobayes. Evidemment pour que tout ceci fonctionne, l’information doit être mise sous embargo. C’est exactement ce qui s’est passé avec les contrats de l’oligopole producteur de vaccins.



Je vous invite à réécouter Michelle Rivasi qui vous parle des contrats de l’UE avec BigPharma. Longtemps indisponibles, puis après ils ont été mis à disposition mais… caviardés.

Et voilà qu’un journaliste insistant, auquel nous joignons notre voix, demande les textes échangés entre Ursula von der Leyen et le chef de Pfizer. Il est bien clair que dans la logique de ce club très fermé, on ne se sent pas obligé de répondre à la demande, sauf si un jour le vent se mettait à tourner et que les contrôleurs de ladite Présidente prennent position avec le journaliste. C’est exactement qui semble se produire en ce moment.

Je vous laisse prendre connaissance de cette info excessivement importante que les populations pourraient s’approprier pour demander des comptes et exiger la transparence à leur tour.

Je vous mets en bas d’écran des extraits de textes remis à l’UE, passablement caviardés… Rappelons ici que Bruxelles a promis l’immunité aux industriels, mais elle a aussi demandé à chaque Etat membre de prendre les frais de justice en cas de procédures contre les fabricants du produit inoculé, suite à des effets indésirables.

LHK

2 vidéos qui rendent compte de l’actualité de madame la présidente de la Commission européenne.

La 1ère vidéo commence à l’étape de l’ »échange » entre celle-ci et le maître de la montagne magique. On se demande franchement si elle n’est pas en train de passer un examen. (En cas d’intérêt, vous pouvez écouter son intervention en revenant en arrière)

Ici, un youtubeur anglosaxon semble avoir déterré des casseroles de l’époque où madame était aux affaires de la politique allemande.

L’observateur (watchdog ou chien de garde) de l’UE accuse Ursula von der Leyen de « mauvaise gestion » et lui ordonne de remettre les textes secrets qu’elle a envoyés au PDG de Pfizer lors des efforts pour acheter 1,8 milliard d’injections anti-Covid. Daily Mail

  • Ursula von der Leyen a utilisé la « diplomatie personnelle » pour conclure un accord sur le vaccin Pfizer
  • Des textes avec le PDG Albert Bourla ont été demandés par un journaliste mais non fournis
  • Le médiateur de l’UE a critiqué la chef et lui a ordonné de remettre des textes 
Un des corrupteurs lobbies les plus puissants de l’UE. BigPharma

Par Jack Newman pour Mailonline

Publié : le 28 janvier 2022

Un chien de garde officiel de l’UE a critiqué Ursula von der Leyen pour avoir gardé des messages texte secrets avec le PDG de Pfizer concernant l’achat de doses de vaccin Covid, affirmant que cela « constituait une mauvaise administration ».

La médiatrice de l’UE, Emily O’Reilly, a émis une recommandation formelle demandant au bureau de von der Leyen de rechercher et de remettre les textes dans le cadre d’une demande d’accès à l’information déposée par un journaliste.

Emily O'Reilly | Médiateur européen
Emily O’Reilly, Emily O’Reilly a été élue pour la première fois Médiatrice européenne en juillet 2013. À la suite des élections au Parlement européen, elle a été réélue pour un mandat de cinq ans en décembre 2014 puis une nouvelle fois en décembre 2019. En tant que Médiatrice européenne, elle enquête sur des cas de mauvaise administration au sein des institutions et des organes de l’Union européenne. En 2016, Mme O’Reilly figurait sur la liste de Politico des femmes qui « façonnent » Bruxelles. En reconnaissance de son travail, elle a reçu le prix Schwarzkopf Europe en 2017, le prix « Vision pour l’Europe » du sommet européen de Prague en 2018 et le « prix Europe » de l’Université de Flensburg en 2020. https://www.ombudsman.europa.eu/fr/emily-oreilly/biography/fr

En avril de l’année dernière, le New York Times a révélé que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, avaient échangé des SMS et des appels concernant l’achat de vaccins pour les pays de l’UE.

Le chef de la Commission européenne a utilisé la « diplomatie personnelle » pour conclure l’accord pour 1,8 milliard de vaccins Pfizer via des SMS avec le PDG, a révélé le journal. 

Le journaliste Alexander Fanta du site d’information netzpolitik.org a ensuite demandé à la Commission l’accès aux SMS et autres documents, mais l’exécutif ne les a pas fournis.

La commission a rejeté la demande de liberté d’information, refusant de dire si les textes existaient – même si von der Leyen les avait elle-même mentionnés dans une interview aux médias. 

Selon l’enquête du médiateur, la Commission n’a pas clairement demandé au cabinet de von der Leyen de rechercher les SMS.

Au lieu de cela, la Commission a déclaré que les seules informations dont elle disposait étaient un e-mail, une lettre et un communiqué de presse. 

« Cela ne répond pas aux attentes raisonnables en matière de transparence et de normes administratives au sein de la Commission », a déclaré O’Reilly. 

https://www.dailymail.co.uk/news/article-10451919/EU-watchdog-orders-Ursula-von-der-Leyen-hand-secret-texts-sent-Pfizers-CEO.html

«En ce qui concerne le droit d’accès du public aux documents de l’UE, c’est le contenu du document qui compte et non le dispositif ou le formulaire. Si les SMS concernent les politiques et les décisions de l’UE, ils doivent être traités comme des documents de l’UE. 

Le médiateur a déclaré que la commission devrait demander au bureau de von der Leyen de rechercher à nouveau les textes, et s’il les trouvait, « la Commission devrait évaluer si un accès public peut leur être accordé » conformément aux règles de l’UE. 

« L’administration de l’UE doit mettre à jour ses pratiques d’enregistrement des documents pour refléter cette réalité. »

Von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla (photo), avaient échangé des SMS et des appels concernant l’achat de vaccins pour les pays de l’UE

La Commission a fait valoir qu’un « message texte ou un autre type de messagerie instantanée est, par nature, un document de courte durée qui ne contient en principe pas d’informations importantes concernant des questions relatives aux politiques, aux activités et aux décisions de la Commission » et que « la Commission enregistre- garder la politique exclurait en principe la messagerie instantanée.

Ils ont également déclaré au médiateur qu’ »à ce jour, il n’a enregistré aucun SMS dans son système de gestion de documents ».

Mais O’Reilly a rejeté cet argument, affirmant que les textes relèvent de la définition de la Commission d’un document. 

La Commission Von der Leyen a dirigé le préachat de vaccins Covid pour les 27 pays de l’UE.

Plus de la moitié des doses achetées ou précommandés par la commission proviennent de BioNTech-Pfizer, ce qui en fait de loin le plus gros fournisseur des efforts d’inoculation du bloc.

La commission refuse de divulguer des aspects clés de ses contrats avec les fournisseurs de vaccins Covid, notamment sur les prix, invoquant le secret commercial.

Suite sur le site https://www.dailymail.co.uk/news/article-10451919/EU-watchdog-orders-Ursula-von-der-Leyen-hand-secret-texts-sent-Pfizers-CEO.html




Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

« Beaucoup se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais ».

Voilà comment le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a présenté le fameux « monde d’après » dont tout le monde rêve, il est sous nos yeux…

L’invité de « Politique & Eco », le juriste Marc-Gabriel Draghi qualifie ce nouveau monde ainsi : une domestication des masses combinée à une destruction des structures indépendantes par une soviétisation de l’économie. Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock tient désormais dans sa main la Réserve fédérale américaine et donc toute l’économie occidentale.

Aujourd’hui, toutes les banques centrales utilisent une planche à billets qui n’aura qu’une conséquence : le gonflement d’une dette qui sera irremboursable. Et à terme, mais cela a déjà commencé, tout notre patrimoine servira à éponger les pertes.

Pour faire face à la catastrophe, Marc-Gabriel Draghi propose une union latine entre la France et l’Italie qui grâce à leur stock d’or pourront résister à la grande vague de défiance de la monnaie qui viendra inexorablement…




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




G7 : photo de famille avec distanciation pas que sociale

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où le chef de la Maison-Blanche, à l’occasion du G7 réuni en Cornouailles, a pour mission d’unir le camp occidental face à la Chine sur le commerce et les nouvelles technologies, il va d’abord devoir recoller les morceaux de ce même camp sorti groggy de l’épreuve du Covid.

En témoigne la menace du Premier ministre britannique de déclencher l’article 16 qui l’autorise à piétiner le protocole nord-irlandais conclu avec l’UE en cas de « graves difficultés économiques, sociales ou environnementales », face aux remontrances de l’UE qui l’accuse de ne pas tenir parole sur ses engagements post Brexit en Irlande du Nord. Le ton est donné.

Alors que la chancelière allemande « préconise de trouver une solution pragmatique aux dispositions du traité » post Brexit sur l’Irlande du Nord, le chef de l’État français se contente de sourire quand on lui parle de possible guerre commerciale en cas de déclenchement de l’article 16. Ambiance…

Notons au passage que ce G7 a pour mission de lancer un vaste plan mondial d’infrastructures pour les pays pauvres et émergents, baptisé « reconstruire le monde en mieux. » Klaus Schwab devrait applaudir des deux mains à cette initiative de la Maison-Blanche qui vise à aider uniquement ces pays à se relever de la crise du Covid, au détriment de toute la classe moyenne occidentale ruinée par la même occasion, et qui ne figure pas au programme, bien évidemment.

Intéressons-nous maintenant à cette photo de famille du G7.

Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’inspire pas la franche rigolade, mais plutôt les prémices d’une cérémonie funèbre qui devrait bientôt avoir lieu.

Comme d’habitude, la position des dirigeants respectant la distanciation sociale du 1 mètre les rend aussi artificiels que ridicules, mais là n’est pas le propos.

Observons plutôt leur attitude un à un, en commençant par la puissance invitante placée au centre.

Parler de puissance n’est en effet pas superflu, tant Boris Johnson a l’air d’un gros éléphanteau mal dégrossi, évoquant plus un chef de rayon de quincaillerie qu’un vrai chef d’État. Son pantalon qui gondole n’arrange rien, pas plus que son air ahuri habituel, de celui qu’on vient de prendre au saut du lit. Il est le seul à avoir les mains dans le dos, qui traduisent manifestement un désœuvrement, en d’autres termes, une distanciation qui n’est pas que sociale vis-à-vis de ses alter ego, Brexit oblige.

Passons à celui qui se tient directement à sa droite, Joe Biden, avec cet innénarable sourire crispé et niais qu’il affiche en permanence. Quand on observe attentivement le bonhomme, on ne peut être que frappé par l’absence de toute expression humaine dans son visage figé comme son corps, et on en vient à se demander inexorablement combien de pièces de Playmobil coexistent en lui. Président « augmenté » selon Schwab ou bien diminué selon Alzheimer, chacun jugera… sur pièces.

À la gauche du chef d’État britannique se tient l’improbable président français. De lui, on a tout dit.

Plus souvent le pire que le meilleur, qu’on cherche encore. Sur cette photo, il est égal à lui-même, droit comme un i, en bon petit soldat qu’il est du Forum de Davos. Son maître à penser n’est pas là, mais on peut être sûr qu’il y pense très fort. Il sait qu’il lui est redevable et qu’en tant que pièce maîtresse de l’échiquier davosien, il se doit de ne pas décevoir son maître sous peine de perdre le grand poste européen qu’on lui a promis dès qu’il aura achevé son programme de destruction de l’économie française.

À côté de Macron se tient l’inoxydable chancelière allemande dans sa pose favorite des mains jointes en triangle que celle-ci a expliqué un jour en affirmant qu’elle ne sait pas quoi faire de ses bras quand elle pose… Comprenne qui pourra, libre à chacun d’interpréter ce geste.

Comme à son habitude, elle est la seule à arborer une veste de couleur criarde dans un univers gris essentiellement masculin. On notera par ailleurs qu’elle est reléguée en bout de rang. Symbole de sa disparition prochaine de la scène politique ?

Derrière Angela Merkel se tient la transparente présidente de la Commission européenne. Sa veste claire se confond avec la couleur du ciel, à l’image de cette femme qui ne laissera pas derrière elle un souvenir inoubliable à son poste. La position de ses mains tente de se rapprocher de celles de sa compatriote, version molle, les mains pendantes. Elle est là juste pour la galerie car sa postion dans l’échiquier politique ne la met pas à égalité avec un chef d’État, l’UE n’en étant pas un, même si elle a la prétention de régenter 27 pays. C’est toute la différence avec l’URSS à laquelle l’UE s’acharne de ressembler avec un certain succès et qui va la conduire au même funeste destin très bientôt pour des raisons assez semblables. Un paléontologue en parlerait mieux que moi.

À la droite d’Ursula Von der Leyen se tient le Premier ministre italien Mario Draghi. On devrait plutôt dire le premier financier italien, tant ce premier sinistre évoque plus les compromissions financières avec la BCE que la politique stricto sensu. On le sent raide et crispé. Il y a de quoi, l’Italie étant dans le collimateur de la Cour allemande de Karlsruhe, pour le déficit vertigineux de 160 % de son PIB. L’Allemagne a encore rappelé récemment, via son ancien ministre des finances, Wolfgang Schäuble, qu’il était encore une fois hors de question de mutualiser les dettes, ceci étant contraire aux traités. Il y a de la bière dans le Chianti entre l’Allemagne et l’Italie. On peut comprendre que Mario Draghi n’ait pas envie de porter le chapeau le jour plus vraiment lointain où l’Allemagne reprendra son sacro-saint Deutsch Mark, prélude à l’effondrement programmé de l’UE.

Passons rapidement au suivant, le Premier ministre japonais. On serait tenté de se demander ce qu’il fait là. C’est du moins l’attitude qu’il laisse supposer. Il n’est dans sa fonction que depuis 9 mois et ça se sent. Précisons juste qu’il s’appelle Yoshihide Suga et qu’il n’a pas démérité de poser au sein de cette galerie de musée Grévin occidental.

À sa droite, se tient raide comme un piquet dans son pantalon trop court, le président du Conseil européen, plus transparent que transparent, à tel point qu’il semble se cacher derrière le président américain. Mais malgré sa relégation à l’arrière de la photo, il le dépasse encore d’une tête et montre à la face du monde son air vide et benêt. Cet eurocrate est tellement insignifiant qu’il n’apparaît même pas quand on tape Charles sur Google, contrairement à De Gaulle, Bronson, Aznavour et sept autres célébrités.

Devant lui se tient la grande erreur de casting de cette assemblée : Justin Trudeau, le Premier ministre canadien. Erreur de casting, car on a vraiment l’impression qu’il s’est trompé de film. Sa barbiche de conquistador, sa tignasse rebelle, sa posture tendue les jambes écartées, les mains devant, prêtes à dégainer, évoquent plus un western spaghetti qu’une réunion au sommet des grands dirigeants de ce monde. Il me fait penser à Johnson, l’un des deux héros du film Helzappopin qui demande au projectionniste de rembobiner et où tout le film repart en arrière…

Si seulement ce G7 était comme ce film pour changer ce casting déplorable de dirigeants qui ne dirigent plus rien, si ce n’est comme des GPS du monde de Davos…




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




Grand Reset : « On assiste à un transfert de richesses qui est voulu par ceux qui nous dirigent »

[Source : Epoch Times France]

Philippe Herlin est Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), spécialiste des cryptomonnaies et essayiste.

Intrigué par le livre « Covid-19 : The Great Reset » coécrit par Klaus Schwab – le fondateur du Forum de Davos – et Thierry Malleret – un consultant et ancien collaborateur de Michel Rocard – paru l’été dernier, Philippe Herlin a décidé de décortiquer cet ouvrage.

Une lecture qui lui a inspiré un commentaire de quelques pages dans lequel M. Herlin s’efforce de décrypter l’idéologie portée par K. Schwab et T. Malleret.

Selon l’économiste, les auteurs du Great Reset entendent notamment profiter des bouleversements induits par la crise sanitaire pour promouvoir un projet « étatiste et socialiste » qui s’appuie sur la surveillance généralisée des populations, l’économie verte et le capitalisme de connivence.

Quels sont les véritables enjeux du Grand Reset ? Quelle est l’attitude de nos dirigeants vis-à-vis du projet porté par Klaus Schwab et Thierry Malleret ?

Esprits de Liberté a rencontré Philippe Herlin pour répondre à ces questions.




Quand les restaurateurs vont-ils enfin comprendre le sort qui les attend ?

Par Jean-Michel Grau

La décision prise par le gouvernement de plus que doubler l’amende aux restaurateurs qui tentent de rouvrir, la faisant passer de 200 à 500 euros, devrait définitivement leur ouvrir les yeux sur le sort qui les attend. (1)

Doit-on leur rappeler ici que dans le Grand Reset décrit en détail dans le livre de Klaus Schwab, le président fondateur du Forum de Davos, que notre gouvernement suit aveuglément, il est spécifiquement écrit que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais ? (2)

Les restaurants toujours ouverts à Madrid et à Monaco sont la preuve vivante que cette soi-disant pandémie instrumentalisée par les mondialistes est une gigantesque arnaque.

Quel est ce virus qui choisit de sévir avec tous ses variants à Nice, ville déjà programmée pour un troisième confinement, mais pas dans sa voisine monégasque, car la législation n’est pas la même ? (3) Sans parler des heures de couvre-feu qui varient d’un pays à l’autre. Toujours ces fameux variants, qui ne doivent pas se coucher à la même heure probablement…

Ce Covid 19 fait en réalité partie du grand plan de spoliation et de dépossession des classes moyennes par l’oligarchie financière mondialiste afin d’asseoir définitivement son pouvoir sur les peuples et avant tout, de récupérer la mise de ses actions perdues dans le grand krach boursier qui va advenir incessamment sous peu. Pour cela, elle pratique la politique de la carotte et du bâton, via l’Union européenne et ses gouvernements serviles, en donnant des subventions dans un premier temps afin d’endormir la méfiance, puis en spoliant et dépossédant ensuite très rapidement tous les indépendants qu’elle aura acculés à la faillite et à la ruine en fermant leurs activités, pour racheter leur bien pour un euro symbolique. C’est ce qui se passe déjà aux États-Unis dans l’État de l’Oregon(4) qui a pour objet de servir de terrain d’essai avant de passer aux choses sérieuses avec la mise en œuvre de la spoliation généralisée de tous les indépendants de l’Union européenne, des USA et du Canada, ruinés après le krach boursier qui s’annonce. (5)

Le but de cette gigantesque prise d’otage des peuples occidentaux au moyen du Covid 19, alimentée par la peur H24 par tous les médias à la botte de l’oligarchie financière, est de faire passer cette supercherie pour une grande œuvre humanitaire pour le développement durable et la lutte contre le réchauffement climatique, afin d’inciter les futurs spoliés à s’exclamer béatement :

« Je ne possède plus rien et je suis heureux. » comme dans la propagande du Forum de Davos. (6)

Traduction avec un cerveau qui fonctionne : « Je suis bien content d’être devenu un esclave. »

Malgré le chantage de l’État aux aides financières et la répression des contrevenants, il existe encore un dernier moyen pour les restaurateurs de résister pacifiquement avant la faillite.

Il s’agit d’appuyer massivement la proposition des 65 sénateurs qui demandent la réouverture des restaurants le midi.(7) (8) (9) (10) (11) On peut comprendre qu’ils aient mauvaise conscience, vu que leur restaurant 5 étoiles du sénat n’a jamais fermé, pas plus que celui de l’assemblée.

Il est quand même consternant que des sénateurs en soient réduits à quémander l’autorisation de la réouverture des restaurants à un jeune paltoquet de 43 ans qui pense et décide tout seul à leur place, alors que dans toute démocratie qui se respecte, c’est justement l’assemblée et le sénat qui devraient voter la réouverture. Mais comme l’assume dorénavant notre exécutant servile du programme de Davos, nous vivons bien en dictature (12). Pour preuve, l’état d’urgence sanitaire reconduit jusqu’au mois de juin qui lui donne les pleins pouvoirs, lui permet de se passer de l’avis de l’assemblée, du sénat, du conseil d’état, et même du Conseil constitutionnel ! Covid 19 oblige.

Il est décidément très pratique ce virus, puisqu’il permet de prolonger indéfiniment cet état d’urgence sanitaire, en tout cas, au moins jusqu’aux élections présidentielles. Ainsi pourra-t-on rétablir le vote par correspondance aboli en 1975 pour cause de fraudes, et généraliser le vote électronique avec les machines à voter comme aux USA. Le résultat est bien évidemment déjà écrit d’avance : il n’y a plus qu’à faire un copié-collé de l’élection américaine, dont la fraude massive a si bien marché, et le tour est joué ! Elle est pas belle la vie ?


Notes

(1) francais.rt.com/france/84056-restaurants-gouvernement-augmente-fortement-amende- reouverture-clandestine

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum publishing

(3) capital.fr/economie-politique/les-touristes-francais-se-ruent-a-madrid-ou-les-bars-et-restaurants- sont-ouverts-1393438

(4) translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://rfangle.com/politics/oregon-considering- bill-for-emergency-seizure-of-private-property/?fbclid %3DIwAR3iEzw607fhzZcPW7MSsRY6M3yYxt8o0-2LkL8U7WWmLHdA1oZSUpuxa44

(5) fr.sott.net/article/36297-Le-projet-diabolique-du-Forum-economique-mondial-Reinitialiser-le- futur-du-monde-du-travail

(6) nouveau-monde.ca/fr/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/

(7) francais.rt.com/france/84059-65-senateurs-ecrivent-macron-pour-demander-reouverture-restaurants-midi

(8) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/1

(9) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/2

(10) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/3

(11) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/4

(12) reseauinternational.net/macron-annonce-que-nous-vivons-bien-sous-une-dictature/




Le Grand Reset, un pacte suicidaire

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Le 8 février 2021 – Source Club Orlov

[NdNM : Dmitry Orlov est doué d’un type d’humour, éventuellement noir, plus ou moins sarcastique et particulièrement drôle pour ceux qui y sont sensibles.]

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le « Grand Reset ». Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que « Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux. » L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. « Mais qu’en est-il de l’Europe ? ! » s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. « M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? ! » « Peut-être », dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le « Grand Reset » : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du « Grand Reset » de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la Grande Peste que je pensais, pas au « Grand Reset » – je confonds toujours les deux…

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le sida – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature« les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement. » Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le « Grand Reset » ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle « la fenêtre d’opportunité » et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de « Grand Reset ». Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie « l’État social » : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de « Grand Reset », et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question « Qu’est-ce que le « Grand Reset », vraiment ? » Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, « Reconstruire en mieux » est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

Ce qu’ils appellent le « Grand Reset » est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que « le coronavirus l’a fait ! » de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”

https://youtu.be/oN2FfPKZjkM



Le masque, premier pas vers le transhumanisme

[Source : LHK]

La vidéo ci-dessus dans laquelle se livre M Klaus Schwab vous permet de mieux connaître l’avenir qui vous est réservé. Et croyez-moi si les plans arrivent à leur terme, les membres de l’humanité, qui auront survécu aux péripéties actuelles, devront accepter l’implant cérébral. (Voir ci-dessous)

Ami lecteur, il y a un consensus de la supra-élite autour du transhumanisme et de l’implant cérébral à l’horizon de 2030. Au plus tard. Kurtzweil, Musk, ou Diamandis, ces chouchous de Planète finance, vous le promettent depuis de nombreuses années, et personne n’ose les contredire. PERSONNE.

La part de l’élite actuelle qui ne consent pas à ce qui est considéré comme un dérapage politique n’ose pas prendre la parole et tenir un discours contraire à celui du mainstream. J’admets qu’il faut prendre le risque de tout perdre. En même temps, quelle sera votre vie dans un environnement techno-fasciste qui croit agir pour le bonheur de l’humanité?

Une révolution anti-humaniste est en marche

La robotisation de l’humain a déjà commencé avec le port du masque. On ne s’en rend pas compte parce que les plus de 80% des gens ne comprennent pas ce qu’est la globalisation par la technoscience. Toutefois, avec l’hécatombe qui s’est abattue sur les très âgés, ce pourcentage diminuera. Simultanément, les jeunes et les enfants seront toujours plus harcelés par l’hygiénisme ambiant.

Dans sa logique de robotisation de l’humain, Elon Musk « prédit » (ou promet) que le langage humain sera obsolète dans à peine cinq ans: «  Nous pourrions encore le faire pour des raisons sentimentales  » (Mai 2020)

https://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/news/elon-musk-joe-rogan-podcast-language-neuralink-grimes-baby-a9506451.html http://cdn.jwplayer.com/players/vD3llbs9-XLzx33eA.html

L’objectif de Musk confirme notre thèse selon laquelle le transhumain n’aura pas de proximité humaine avec des tiers (relations de couple, de famille, d’amis, professionnelles,etc.). Robotisé, il deviendra un point de contact traversé par un ensemble de relations digitalisées.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/03/remise-en-question-de-la-societe/

Cette philosophie qui vise la robotisation de l’humain, et qui passe par une phase transitoire appelée transhumanisme, est un crime contre l’humanité.

Les fans de ces fascistes, rhabillés en progressistes, ont pénétré les gouvernements, et occupent à l’heure actuelle des postes-clés de la sphère aussi bien publique que privée. Ils jouent ainsi depuis de nombreuses décennies les facilitateurs, voire les ouvreurs de portes, pour mettre à disposition de la « technoscience » et des nanosystèmes: les écoles, les universités, les entreprises, les laboratoires, ou les hôpitaux .

Grâce au virus, cette supra-élite s’est donnée les pleins pouvoirs, et grâce à l’argent qui coule à flot, des politiciens ambitieux et corrompus vont faire réviser avec une facilité déconcertante les législations, la sacralité de l’humain, ou la bioéthique(voir ce qui se passe dans les homes pour personnes âgées, ou le bricolage génétique du vivant).

Voici le masque qui fait l’unanimité des médias officiels et financiarisés. Il vous aide à mettre le pied à l’étrier du transhumanisme.

https://youtu.be/FvWiCclESL8

Ce masque est vanté par Reuters ou France Inter. Un piège pour les jeunes à qui il fait miroiter des performances autour de la thématique musicale par exemple! Et cette prison numérique vous sera refilé sous l’appellation de durabilité, une écologie trompeuse qui a largement fait ses preuves.

Avez-vous l’impression qu’un jour vous pourriez vous débarrasser de ce masque et de retourner normalement au travail ou à l’université? Si oui, c’est que vous n’avez pas saisi le concept fascisant du projet qui s’abat sur la terre. La fin de l’humanité telle que connue est en train d’être mise en place sous nos yeux impuissants.

Grâce à des assemblées planétaires et à des traités signés par l’ensemble des gouvernants, ceux-ci ont déjà acté ce mouvement qu’ils ne comprennent probablement pas et ne protègeront donc pas les récalcitrants. De toute manière, ils n’en ont plus les moyens.

LHK

Ne ratez pas cette vidéo SVP!

https://youtu.be/sUZwq8kIF_M

https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v1

Autriche : La cour suprême juge illégal le masque obligatoire à l’école et les cours en alternance (20minutes.fr)

Elon Musk avait présenté cet implant cérébral en 2019

En 2020, Elon Musk a présenté son nouveau modèle implanté sur une cochonne, son cobaye.

Est-ce que papa Gates avait reçu un implant, lui qui souffrait d’Alzheimer?

Mais à y regarder de plus près, il se pourrait que des humains aient accepté l’opération. Voici une photo de papa Gates. Et à y regarder de près, il se pourrait bien qu’il ait accepté de tester un produit similaire..?

Vidéo explicative de John Kennedy du 27 avril 1961

https://www.dailymotion.com/embed/video/xzu7kw https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_de_John_F._Kennedy,_le_27_avril_1961




Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”

[Source : Nous sommes partout]

Le Forum 2021 de Davos (World Economic Forum) s’est tenu virtuellement du 25 au 29 janvier, avec pour sujet principal la fameuse « pandémie » et sa solution économique le “Great Reset” (Grande réinitialisation) qui mènera l’humanité, bon gré mal gré vers un “New normal” [Une « nouvelle normalité »].


Rédaction NSP
KLARA VON KUSTNITZ

Loin d’être, comme le prétendent les médias aux ordres, une théorie du complot et un fantasme d’extrême-droite, la théorie du Great Reset est au contraire directement issue des réflexions du forum mondial de l’économie de Davos 2020 et parfaitement résumée dans l’ouvrage de son fondateur Klaus Schwab Covid-19 la Grande Réinitialisation (Ed. Forum Publishing). Schwab, qui cosigne l’ouvrage avec Thierry Mailleret, dit Milton Peel, ancien  collaborateur de Jacques Attali,  est un fervent sioniste,  membre du groupe Bilderberg,  et en a d’ailleurs annoncé le lancement le 3 juin 2020 avec à ses côtés, entre autres, le prince Charles, la Bill & Melinda Gates Foundation, Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU et haut-commissaire des Nations-Unies aux réfugiés, Kristina Georgieva  directrice du FMI, Nicolas Stern “économiste du climat”, le PDG de Mastercard et autres banquiers, des personnalités démocrates, gauchistes et bien sûr pro Joe Biden. Le ton était donné, on allait causer pognon, virus, climat et migrations.

Bill Gates, Nostradamus de la pandémie

En 2015, lors d’une Conférence TED (Technologie Entertainment and Design), Bill Gates avait mis le monde en garde contre les conséquences désastreuses d’une éventuelle pandémie. Quatre ans plus tard en 2019, le centre américain John Hopkins, largement financé par le milliardaire “philanthrope”, organise un exercice de simulation de pandémie fictive de coronavirus  nommé EVENT 201

[Voir aussi :
L’OMS, Bill Gates et les vaccins.
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19.
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.
Le bon virus au bon moment.
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset ».
Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!.]

Curieusement, en 2019, la pandémie est là et le coronavirus en même temps. Naturellement, les complotistes de tous poils — dont nous ne sommes évidemment pas — n’ont pas manqué de conclure qu’entre les oiseaux de mauvais augure de Event 201 et la volonté de rendre réelle la pandémie, il n’y avait qu’un pas. Nos lecteurs jugeront.

En tous cas, à Davos en 2020, les économistes, dignitaires bien pensants, européistes convaincus, démocrates forcenés, ont clairement établi le plan qui nous frappe actuellement. Ce plan est d’ailleurs fidèlement suivi par l’Union Européenne avec la France et l’Allemagne en tête et n’est rien d’autre que le programme de Joe Biden.

Davos 2021: du Great Reset 2020 au New Normal 

Appliquer le plan du Great Reset ou Grande Réinitialisation a bien sûr un but clairement défini : transformer la société et l’humanité pour arriver à une nouvelle situation post-crise: le New Normal. Le “New Normal” est une expression inventée par l’écrivain de science-fiction Robert A. Heinlein dans son roman The moon is a harsh mistress (Révolte sur la Lune), roman considéré comme libertarien. Dans cette “nouvelle normalité”, l’humanité qui a survécu à la crise , vit dans le tout-numérique et le sans-contact dans un monde déshumanisé, métissé et transgenre, asservi à une idéologie sanitaire, climatique et sociétale. Une oligarchie toute-puissante règne sur des populations abruties par les drogues légales et réduites en esclavage par un revenu conditionné aux idées “conformes”.

Le terme de “New Normal” revient régulièrement dans les paroles d’Emmanuel Macron lors de son grand oral du 26 janvier face à Klaus Schwab. Nous vous invitons à consulter le calendrier ci-dessous puis à visionner la video de l’intervention du Président de la république française. Celui-ci y déroule le plan à la perfection jusqu’à ce jour et la pandémie et le climat en sont les deux fils rouges — et parfaits alibis des financiers —  qui mèneront inéluctablement vers leur “nouvelle normalité”.https://www.youtube.com/embed/4mml-GYM39A

Le calendrier

Vous découvrirez ci-dessous un résumé de ce plan de “réinitialisation individuelle” que l’oligarchie veut nous imposer pour maintenir ses bénéfices dans une ère post-capitaliste. Un commentaire explicatif en italique aidera nos lecteurs à mieux comprendre et à voir à quel moment de ce diabolique projet nous nous situons.

  • 2019, apparition de la pandémie (Il s’agit de créer la peur, excellent moyen de manipuler les foules)
  • Début de l’ère de la surveillance sanitaire (Application stop-Covid, traçage numérique, utilisation de drones, fichage de l’état-civil dans les restaurants) 
  • Diminution du ratio vie privée/vie publique (Le pouvoir commence à passer outre les droits individuels)
  • Surveillance accrue, politique sécuritaire (Grâce à la peur générée par le virus, la surveillance ne sera pas contestée)
  • Explosion des problèmes mentaux (Dépressions, suicides, violences. Le plan précise que l’enfermement (confinement) provoquera l’émergence des fake-news et des théories du complot)
  • Internement psychiatrique des opposants politiques
  • Faillite de l’économie sans aucun redémarrage possible  (Licenciements, récession, chômage de masse)
  • Études sur un possible vaccin (Rien ne sera plus “comme avant” et le chômage augmentera tant que le vaccin ne sera pas administré à tous)
  • Crise des liquidités (Les entreprises ne sont plus solvables, innombrables faillites, les banques sont en danger)
  • Début de l’ère de l’automatisation  (Innovations techniques lucratives pour les banques mais jeunes sans emploi, vieux remplacés par des machines, millions de chômeurs en plus)
  • Début de l’ère du sans-contact (La distanciation imposée par la peur permet l’automatisation prévue: 75 % des commerces de détail ferment, 86% des restaurants, 59% des sociétés de divertissement disparaissent.)
  • Fin de la tyrannie du P.I.B., décroissance forcée (Augmentation de la fiscalité)
  • Prise de contrôle gouvernemental des entreprises privées
  • Contrôle sanitaire et dictature du “climat”, le Grand Alibi (Les idéologies du “climat et de la pandémie” créent la peur, peur personnelle et peur pour la planète)
  • Montée en puissance et enrichissement exponentiel de Big Pharma (Développement des technologies de la santé et du bien-être) 
  • Surveillance accrue par IA (Intelligence artificielle) et IoT (Intelligence des objets)
  • Ère du tout numérique et du “tout-distant” (Economie sans-contact, télémédecine, livraison par drones, paiements mobiles, éducation virtuelle, cryptomonnaie, fin de l’hégémonie du dollar)
  • Enrichissement exponentiel des entreprises qui investissent dans les infrastructures énergétiques progressistes ( Adhésion des consommateurs par la propagande climatique, la colère organisée des “militants” écologistes et la politique de la terreur de la pollution)
  • 4ème révolution industrielle, 5G
  • Ère du” comportement adéquat” et punition des entreprises non-conformes (Climat, diversité, augmentation des troubles sociaux — BLM, antifas, LGBT, écologistes, féministes — pour faire pression)
  • Légalisation des psychotropes (Une population abrutie par le cannabis “récréatif” se révolte rarement)
  • Rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement (Dévastation immédiate, émeutes de la faim)
  • Effondrement des prix du pétrole (Fin des énergies fossiles polluantes)
  • Déstabilisation des pays du Sud à destination touristique, troubles sociaux, guerres civiles, famines (Dictature sanitaire, impossibilité de voyager sans vaccin)
  • Migration massive de réfugiés “climatiques”(Conséquences des famines dans les pays du Sud)
  • Ère de la distanciation sociale  totale (Même les réunions de famille obligatoires en virtuel par le règne de la peur des pandémies)
  •  Revenu universel et Assistance sociale universelle, conditionnés à un “crédit social” (Le mal-pensant ou le réfractaire au vaccin est exclu du revenu, de l’aide, du travail et éventuellement interné en HP ou en camp d’isolement)
  • Alternance des périodes de confinement et de déconfinement sous prétexte de santé et de décarbonisation (Politique de la peur pour obtenir l’adhésion des masses par “contagion comportementale”)
  • Plan de relance lié à la dictature écologique
  • Diminution drastique de la population mondiale (Guerres, pandémies, vaccins, famines) jusqu’au chiffre d’occupation correcte de la planète estimé par le plan: un milliard d’êtres humains, et pourquoi pas diminuer encore?
  • 2035 Résolution du problème de la surpopulation (Merci les philanthropes et leur idéologie malthusienne qui nous fait irrésistiblement penser aux Georgia Guidestones qui suggèrent de maintenir l’humanité en dessous d’un seuil de 500 millions.)
  • New Normal (le monde modifié d’après la crise) 

[Voir aussi : Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial]

Derrière tous ces braves philanthropes, les Big Three [Les trois gros] (BlackrockVanguard et State Street) qui détiennent près de 90% des entreprises du S&P500, c’est-à-dire ont des intérêts énormes dans les médias, Big Pharma et les GAFAM.  A savoir que les actifs de Blackrock sont gérés par l’intelligence artificielle via son logiciel Aladdin qui lui a permis de prendre les rênes de la FED et est donc clairement au sommet de la pyramide du Great Reset.

[Voir aussi :
2020 : Le règne des marchands du Temple…
Les 4 firmes qui possèdent les USA]

Finalement, chers lecteurs, il ne nous reste plus qu’à devenir Amish pour faire échouer le plan et éviter d’être “réinitialisés”…

“C’est un triomphe pour la science car au moins nous sommes parvenus à stabiliser quelques chose : à savoir, l’estimation de la capacité d’accueil de la planète, c’est-à-dire un milliard de personnes. Quel triomphe ! D’un autre côté, voulons-nous en arriver là ? Je pense que l’on peut faire bien mieux.” 

(Hans Joachim Schellnhuber, climatologue, Conférence de Copenhague,2009)

En cas de réincarnation, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.” 

(Prince Philip — père du prince Charles – 1988, Deutsche Presse-Agentur).


Source: Faits & documents N° 487,488 et 489