L’intelligence artificielle devenue nazie en 24 h sur Twitter

[Source : BLAST, Le souffle de l’info]

« De même qu’après avoir détruit la planète, exterminé une immense partie des espèces animales et appauvri les neufs dixièmes des êtres humains au profit d’une minorité toujours plus réduite de bénéficiaires, le capitalisme finira nécessairement par se dévorer lui-même, les réseaux sociaux, par nature, ne seront plus un jour peuplés que par deux espèces : les trolls et les agents conversationnels, et ils seront indiscernables. Parce que le danger représenté par l’Intelligence artificielle n’est pas que des machines puissent commencer à penser comme nous. Le danger, c’est que nous puissions nous mettre à penser comme elles. Le problème n’est pas que les agents conversationnels soient des cons. Le problème, c’est que, à force de coexister avec eux et de vivre dans un milieu favorable à leur expansion, nous finissions par éteindre notre sensibilité afin de devenir leurs semblables. »




Le néonazisme pour les nuls

Par Lucien SA Oulahbib

C’est bien sûr contre-intuitif, mais la supériorité du néonazisme venant de la gauche néo-léniniste sur le néonazisme venant de la droite ethno-différentialiste consiste à agir sans le dire. C’était déjà le cas pour le léninisme à la différence du fascisme et du nazisme canal historique : le léninisme et encore moins le stalinisme n’annonçaient pas sur tous les toits qu’il fallait éliminer physiquement tous les ennemis du « prolétariat » ; ils prenaient des gants en parlant de rhétorique musclée (même Engels le faisait pour justifier la notion de dictature du prolétariat dans son « Anti-Dühring »). Et quand ils tuaient quand même pour de vrai, c’était indexé au fait de supprimer des « ennemis de classe » et non pas de « race », ou au nom d’un « hygiénisme » ou d’un « scientisme » comme le fit surtout le nazisme « classique » et aujourd’hui le néonazisme de la Secte S.H.A (scientiste, hygiéniste, affairiste).

D’où la confusion qui court depuis Raymond Aron et malgré la tentative d’Hannah Arendt de « subsumer » ces trois idéocraties dans la notion de « totalitarisme ». Aron l’admettait, mais insistait sur le fait qu’il y a une différence de nature entre les camps de la mort et les camps de travail. Or, il s’agit d’une différence de degré, par ailleurs hypocrite, puisque si en effet l’on ne mourait pas tout de suite au Goulag (et il y avait des camps de travail sous le nazisme classique), le froid, la famine, les coups faisaient le reste à moyen terme. Les nazis classiques sélectionnaient en amont ceux qui pouvaient encore servir comme forçats, éliminant d’entrée de jeu vieillards, malades, enfants, femmes (mais pas toutes…) puis assassinant les autres lorsqu’ils ne servaient plus à rien ou étaient en surnombre vers la fin.

Sous le léninisme, en particulier stalinien, l’économie soviétique a tenu principalement pendant des années grâce aux camps de travail. Sans eux, elle se serait effondrée encore plus vite. Ainsi pendant près de vingt ans, des millions de gens membres de l’Empire soviétique sont passés dans les camps et des millions en sont morts. Ne parlons pas des régimes maoïste, polpotien, etc..

La différence, peut-être tout de même, consiste en ce que les manipulations médicales n’existaient pas en URSS, sans doute parce qu’ils n’y croyaient pas considérant que seules la manipulation du milieu et la destruction des dégénérés bourgeois suffisaient.

Aujourd’hui, le léninisme s’est refait en France une « santé » à partir des années 68 et grâce à Althusser/Derrida (et à BHL, leur fils spirituel). La fascination qu’a toujours eue la gauche pour la force et la contrainte a pu être absorbée comme énergie additionnelle (à la façon des Immortels) tout en la condamnant politiquement officiellement lorsqu’elle vient de la droite, mais en la justifiant lorsqu’elle vient de la gauche (Bataille, Badiou), en la glorifiant artistiquement et sexuellement (([1] L’apologie de Sade par Foucault défendant par ailleurs la Terreur, ou celle de Masoch par Deleuze soutenant les Brigades rouges, la fascination de Sartre pour Genet défendant le terrorisme palestiniste par virilité homo, Le bleu du ciel de Bataille, l’instant de ma mort de Blanchot — étudiés iciTropique du Cancer de Miller — ayant sans doute inspiré Nabe… — Portier de nuitSalô, Les nuits fauves, Nettoyage à sec… comme témoignages)), mais la condamnant aujourd’hui lorsqu’elle provient de petits « blancs », tout en étant pardonnée juridiquement quand ce sont ses alliés islamophiles qui la créent aujourd’hui, car ils n’auraient pas les « codes » sauf qu’ils ne peuvent pas les avoir puisque cela se trouve interdit par les leurs… Cherchez l’erreur !…

Et à cette violence politique acceptée et justifiée lorsqu’elle vient de la « gauche » s’ajoute maintenant la violence génitale qui force certains jeunes (adultes) sous influence à manipuler leur « genre » et les autres à renier leur unisexualité (y compris les « gays » sous pression des « queers », le tout au nom du « progrès »). Elle est doublée d’une violence hygiéniste qui insiste de plus en plus pour que l’injection expérimentale contre la C19 devienne obligatoire (alors qu’il s’agit d’une maladie aisément soignable par des méthodes classiques). Mélenchon attend par exemple le feu vert de l’OMS (corrompue pourtant jusqu’à l’os) pour agir, et ce sur un ton péremptoire (qui passe pour du talent oratoire).

Puis en final et alors que la gauche « classique » voulait jusqu’à supprimer le mot « race » de la Constitution française, la gauche issue du néo-léninisme ayant également aujourd’hui absorbée l’hygiénisme, le scientisme et l’esthétique libidinale fasciste et nazie a franchi le Rubicon après des années d’apologie du tiers-mondisme et de diabolisation de la colonisation occidentale (restant silencieuse sur celles provenant de ses alliés arabo-musulmans et maoïstes) pour glorifier tout ce qui serait « non blanc », allant jusqu’à justifier un nouveau type de ségrégation (y compris chez les LGBTQIA+) les « intersectionnés » ayant plus de points que les autres pour prendre du galon (comme il a été vu à Lyon dernièrement).

C’est justement la force de ce néonazisme principalement venu de la gauche néo-léniniste que de masquer ce processus, d’agir sans le dire, sélectionnant, cooptant au sein de la Secte tout adepte désireux de ne pas mourir socialement dans certains secteurs de la production intellectuelle universitaire culturelle, de faire carrière au sein des appareils d’État et des ONG, et ce de plus en plus facilement puisque cette Secte a été désormais choisie par l’affairisme globaliste transcourants, comme Image institutionnelle (Disney, Coca…) afin d’accélérer la destruction des différences civilisationnelles, sexuelles, nationales, maintenues sous forme de folklores cependant jusqu’à en restaurer les décors par ailleurs très prisés par les touristes et les nostalgiques, ou comment faire d’une pierre trois coups.

Pendant ce temps, le néonazisme venu « d’extrême droite » reste lui marginal, malgré quelques effets suprémacistes ici et là, déjà parce qu’il ne vient pas de la « droite libérale », mais de sous-courants antirépublicains post-monarchistes façon Drumont et Maurras s’étant recyclés dans l’hypernationalisme ethno-différentialiste. Ce flambeau fut repris dans les années 60 par ladite « Nouvelle droite » en France (à ne pas confondre avec « Ordre Nouveau » bien plus anticommuniste qu’antisémite/antisioniste) et d’ailleurs toujours à la manœuvre y compris dans le « zemmourisme ». Il plombe dans ce cas, et malgré leur nombre infime, toute recomposition des droites, puisque le néonazisme néo-léniniste, dominant partout, et surfant sur la culpabilité de la droite non gaulliste (ayant préféré en 1936 « Hitler au Front Populaire ») aura beau jeu de montrer cette poutre (plus qu’une paille) plantée dans l’œil de la « droite nationale » (incarnée ensuite dans les lois antijuives pétainistes concernant les juifs… français…) tout en soulignant, comme l’a fait Macron dans son débat avec Marine Le Pen, qu’il n’y a pas de désaccord de fond pour la contrainte scientiste, hygiéniste, affairiste (avec Mélenchon aussi).

Le tout permet ainsi au néonazisme venu de la gauche de continuer à parader, malgré ses millions de cadavres qui s’accumulent lorsque l’on voit encore aujourd’hui le nombre d’assassinats effectués par ses alliés islamophiles en Afrique, comme au Nigeria ces temps-ci, sans oublier ses alliés pourtant issus du nazisme classique en Ukraine (Azov et compagnie), sans oublier également ceux du bolivarisme mafieux comme au Venezuela, ou au Nicaragua obligé d’en appeler à la Russie et aux USA pour juguler les gangs. ces derniers ne sont par ailleurs guère critiqués par la gauche, en particulier léniniste (Clémentine Autain polémiquant récemment avec le président du RN), qui a toujours vu chez eux une « révolte antibourgeoise », ce qui est bien sûr archifaux à voir la fascination pour le clinquant et l’arrivisme nourri de blanchissement multiforme de plus en plus visibles dans les quartiers dits difficiles laissés de plus en plus culturellement à l’abandon par « l’élite » dite « républicaine et laïque ».

Aussi, l’intérêt d’adopter une telle étiquette — celle du néonazisme — pour qualifier l’alliance, de plus en plus subjective, du néo-léninisme fasciné par les manips scientistes (comme la Ropa), de l’islamophilie, et de l’affairisme scientiste, hygiéniste, trans-courant et globaliste, consiste non pas à atteindre plus rapidement le « point Godwin », mais à renouveler et clarifier les actuelles classifications politiques qui datent de l’après Seconde Guerre mondiale. Il s’agit en particulier d’assainir cet épais marais de nuages conceptuels qui laisse croire que lorsque certains veulent enfermer, injecter, confiner, ils le feraient pour notre « bien » alors qu’il s’agit d’appliquer le scénario scientiste, hygiéniste, affairiste (le Grand Reset) sous prétexte de santé et de préservation de la Terre. En réalité de destruction de l’une et de l’autre malgré l’apparence du contraire (le fait d’éliminer tout CO2 aurait des répercussions dommageables pour l’agriculture, le confondant exprès à la lutte contre les pollutions). Le tout précisément sans le dire. Sans explicitement avouer que l’on agit aux antipodes de ce qui est énoncé (pour s’en protéger, il faut renverser dans la négation tout propos officiel comme le conseillaient autrefois les soviétologues).

Cette prudence communicationnelle du néo-léninisme (masquant sa conversion hygiéniste, scientiste et affairiste dans une virulence exacerbée contre « l’extrême droite », le « racisme », le « complotisme », alors qu’il s’énonce en réalité lui-même) est bien la preuve d’une suprématie pérenne présente du néo-léninisme sur l’ethno-différentialisme de plus en plus aujourd’hui dans l’impasse malgré quelques succès électoraux et médiatiques ici et là, le premier allant jusqu’à faire croire qu’il est l’opposant fondamental du globalisme hygiéniste, scientiste, affairiste, alors qu’il en est seulement l’assistance sociale.




Pourquoi des gouvernements sont aussi malfaisants

[Source : contrepoints.orgs]

Par Patrick de Casanove

La France était présentée il n’y a pas si longtemps comme une Union soviétique qui aurait réussi. Le point de départ est, à la Libération, le programme du CNR en particulier « Les jours heureux », et les ordonnances de 1945 qui ont créé la Sécurité sociale. La spoliation légale généralisée devenait le mode de fonctionnement du pays.

Néfaste par routine

À cause de cela les gouvernements successifs ont glissé vers un étatisme de plus en plus étouffant. Le vol légal, baptisé « solidarité » pour la « justice sociale » et « l’égalité », s’est développé, sans que la majorité des Français n’y trouvent à redire.

Les gouvernements étaient malfaisants à « l’insu de leur plein gré ». Ils avaient une politique néfaste de routine. Ils volaient les uns pour acheter les voix de autres. Ils asphyxiaient lentement le pays mais leur volonté de nuire à toute la population ne transparaissait pas.

Une partie de la population était persuadée qu’elle y gagnait. Une autre partie payait le prix. Cette autre partie trouvait qu’elle ne perdait pas trop, que c’était pour le bien de tous, pour le « modèle social français ». Le marché libre était encore important, le poids de la réglementation supportable et l’économie tournait. Les effets nocifs étaient les dégâts collatéraux, le prix à payer pour une politique qui dégoulinait de bonnes intentions.

En vérité la France était une Union soviétique qui n’avait pas terminé son évolution totalitaire.

Aujourd’hui le marché libre est en voie de disparition. La liberté économique est systématiquement battue en brèche. En France il existe 483 impôts, 78 codes, et presque chaque jour voit arriver une nouvelle couche de lois et règlements. Les effets délétères, chômage de masse structurel, mal logés et sans logis, nouveaux pauvres et pauvres permanents, abandons de souveraineté, fonctions régaliennes à vau-l’eau, sont de plus en plus patents. La liberté agonise et le libéralisme, ou ce qu’il en reste, meurt assassiné.

Néfaste par volonté

Le gouvernement est passé « d’arrêter d’emmerder les Français » à « j’ai très envie de les emmerder ». Cela concernait une catégorie de gens, mais le précédent étant créé, cela peut dorénavant s’appliquer à n’importe qui. Dès lors la volonté destructrice est patente. C’est un changement de paradigme et témoigne d’une volonté délibérée de nuire.

La destruction culturelle, sociale, économique du pays n’est plus accidentelle. Elle correspond à une volonté profonde et réfléchie de nos dirigeants.

Le gouvernement a rapidement saisi l’opportunité d’extension rapide, brutale, que lui offraient le covid et la guerre en Ukraine.

En ce qui concerne le covid, sa gestion constitue l’apothéose de la confiscation du soin par les administratifs, les politiques, aux dépens et au mépris des soignants. La gravité de l’épidémie prévue par des modélisations farfelues a été le prétexte à des mesures dont l’autoritarisme était sensé témoigner de la pertinence.

Ces mesures se justifiaient l’une l’autre sans tenir compte de la réalité. Les gouvernements rivalisaient de coercition pour « faire quelque chose », n’importe quoi, mais « quelque chose ».

Or l’épidémie est rapidement apparue comme peu grave, avec une population de personnes à risque parfaitement identifiée, et des possibilités thérapeutiques existantes bien que jamais validées par l’autorité centrale.

Pour le gouvernement la covid devait être grave pour justifier sa politique coercitive, sauver sa peau en « transformant un abominable fiasco en réussite formidable », et étendre son contrôle sur les populations. D’où chaque soir un flot continu d’images et de déclarations anxiogènes, la messe des morts attribués au coronavirus, puis la litanie des tests positifs présentés mal intentionnellement comme des cas. Grâce à ce subterfuge, quand il n’y a eu plus assez de malades pour jeter l’effroi, l’autorité centrale a fait passer des bien-portants pour des malades. La liberté d’expression a été mise à mal et la censure mise à l’honneur.

Le résultat est que les dégâts sont incommensurablement supérieurs à ceux de la covid elle-même. Le confinement et les mesures de coercition sociale, aussi inutiles que dangereux, ont volontairement détruit le pays, socialement, économiquement et sanitairement. Des gens qui n’auraient jamais dû mourir sont morts, d’autres qui n’auraient jamais dû être malades le sont devenus.

Cerise sur le gâteau étatiste, le poids des mesures de coercition a été essentiellement supporté par le secteur dit privé. Il est devenu quelque temps entièrement dépendant de l’État qui en a profité pour imposer sa volonté en échange de son « aide ». État que ledit privé, atteint du syndrome de Stockholm, remercie.

Avec la guerre en Ukraine, les sanctions économiques prises contre la France par son gouvernement, et prises contre l’Europe par l’Union européenne et son Politburo qu’est la Commission, ont ajouté une seconde couche de destructions économiques et sociales ;  et bientôt sanitaires car sans énergie abondante et bon marché il n’y a pas de prospérité, ni de système de santé performant. La liberté d’expression a été encore restreinte et la censure aggravée.

Covid et Ukraine ont dopé un troisième larron qui peinait à effrayer les gens : la « panique climatique« . Il repose sur les même fondations : la manipulation, la censure de ce qui n’est pas la doxa et la peur. Il provoque les mêmes dégâts.

Les intentions malveillantes sont de plus en plus patentes. Les décisions sont de plus en plus arbitraires, autoritaires. En plus du suicide culturel, économique et social, s’amorce une catastrophe géostratégique pour l’Occident, l’Europe, et la France en particulier.

Il apparaît dès lors qu’avec le gouvernement qu’elle a, la France n’a pas besoin d’ennemis.

Un précédent terrible

Avec la gestion politique de la covid un précédent terrible d’anéantissement soudain des droits humains dans une société dite libre, par un gouvernement prétendument démocratique, a été créé. Sans aucun motif valable, (si tant est qu’il en existe un), la population entière du pays, des dizaines de millions de personnes qui n’avaient rien fait de mal ont été enfermées, brisées, soumises, chosifiées, vaccinées en masse comme du bétail.

Aucun principe, aucune éthique, n’ont été respectés. Le bon sens a disparu, l’irrationnel règne, l’impensable a été décidé, l’inacceptable accepté… voire souhaité et désiré. La personne qui fait la spécificité de la civilisation européenne fut anéantie.

Ce fut une abomination.

Paradoxalement, bien des gens appellent l’État au secours. C’est oublier que l’État est le premier maltraitant. Certains réclament à cor et à cris le retour du politique. Mais c’est le politique qui est malfaisant.

Il décide seul de briser la vie des gens, de les contraindre, de les enfermer.

Il décide de la seule obsolescence programmée réelle, en ordonnant la fin de telle ou telle filière, la modification de telle ou telle norme.

Il a le monopole de la violence légale, fut elle injuste. Il ne faut pas la confondre avec l’usage légitime de la force pour défendre ses droits naturels. Usage légitime qui appartient à chaque individu.

Le politique pratique la fuite en avant dans une spirale infernale vers la catastrophe. À une mesure toxique s’ajoute une autre mesure toxique. Le malheur s’ajoute au malheur.

Tous les domaines de la vie sont concernés. Rien n’échappe à la malfaisance des politiciens. Cela ne finit jamais. Quelques exemples : la vaccination des enfants que l’Europe veut rendre obligatoire, la fin du moteur thermique en 2035, la fin du cash, sans oublier le woke, la cancel culture, la repentance, l’acculturation, etc.

Dans une descente aux enfers il y a des diables ! Par ordre alphabétique : la covid (les complotistes et les antivax), le libéralisme, (comme le dahu, personne en France ne l’a vu, mais il porte sur ses épaules tous les malheurs du pays), la Russie (Poutine). L’existence de diables a l’avantage de définir le camp du mal et celui du bien, ainsi que de fournir des boucs émissaires à l’incurie des politiciens. Le dogme veut que le gouvernement, ses thuriféraires et affidés soient le camp du bien. Le débat devient donc inutile et fait place à l’anathème.

Pourquoi cette malfaisance

La question se pose de la finalité d’une telle ténacité destructrice et des motivations des politiciens. Tous sont occidentaux, de culture occidentale et ils démolissent avec ardeur leur civilisation.

C’est une erreur de croire qu’ils ne se rendent pas compte des effets délétères de leurs décisions, ou qu’ils sont fous ou incompétents. Ils sont intelligents, compétents mais ils servent un dessein, un intérêt personnel.

Ils contrôlent l’État. Le propre de l’État est sa propension à s’étendre indéfiniment. C’est son objectif compulsif. Le plus probable est qu’ils aient saisi les opportunités qui s’offraient à eux pour atteindre ce but, justifier leur existence, étendre leur pouvoir, détruire les structures, les fondements de la société et… survivre à leurs conneries, « quoi qu’il en coûte ».

Ils induisent un changement civilisationnel qui s’inscrit dans l’idéologie de la création de l’Homme nouveau dans un « monde nouveau », et pour cela « du passé faisons table rase ». Ils signent les fondamentaux socialistes des gouvernements français depuis des dizaines d’années et de l’UE depuis le Traité de Maastricht, qui fait de l’Europe la future Union soviétique.

La fin ne justifie pas les moyens. Il y a des comportements qui sont interdits envers les êtres humains, même pour l’État.

« Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme […] Ce n’est pas parce que les hommes ont édicté des Lois que la Personnalité, la Liberté et la Propriété existent. Au contraire, c’est parce que la Personnalité, la Liberté et la Propriété préexistent que les hommes font des Lois. » Frédéric Bastiat, La Loi (1850) 

La Liberté chez soi est une arme très efficace en cas de problème économique, social, sanitaire et international. Malheureusement la France et l’Europe ont choisi l’expansion de l’État.




Appel aux familles, enseignants, éducateurs, professionnels de santé, etc. : protégeons nos enfants !

Par Nicole Delépine

INFORMONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE

« Myocardites, péricardites, etc.

La résistance à l’obligation vaccinale Covid relève désormais de la légitime défense ».

@TvlCampagnol

On nous demande constamment de protéger la planète. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants ? La question actuelle serait plutôt : quels enfants laisserons-nous à la planète bleue ?

Chacun d’entre nous (— en dehors des quelques milliers de milliardaires et affidés anaffectifs qui nous dirigent) — est concerné par le sort des enfants, des siens, mais aussi de ceux que nous côtoyons et/ou qui nous sont confiés comme enseignants, éducateurs, infirmiers, médecins, kiné, entraîneurs, coachs, etc.

Nous avons donc une responsabilité directe, morale, voire juridique dans certains cas si nous leur imposons, par notre position d’autorité et notre influence, une injection morbide.

Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernants qui nous ont constamment menti (sur les masques, sur l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques, sur l’efficacité des confinements, sur l’utilité des pass sanitaires, puis vaccinaux, sur l’efficacité des vaccins…) et faire comme si nous ne savions pas.

Aujourd’hui, s’il accepte d’ouvrir les yeux CHACUN SAIT, à moins de nier les signaux quotidiens comme les décès brutaux de trop de grands sportifs, sains et en bonne santé avant l’injection, mais tombés sur le sol en plein match ou les accidents post vaccinaux d’artistes célèbres comme Céline Dion ou Bieber incapables de poursuivre leurs activités.

Nous aimons les enfants et voulons leur bien. Ils sont notre avenir et celui de la planète.

Trop d’entre nous ont été instrumentalisés par la manipulation médiatique et gouvernementale durant ces deux années, et appliqué des mesures coercitives nocives, mais nous n’avons pas à les juger. Nous sommes tous dans le même bateau, vaccinés ou non, masqués encore ou non. Selon les circonstances, ses expériences antérieures, le temps libre pour s’informer, la propagande gouvernementale au service de Big Pharma et de Davos a été plus ou moins efficace. Gardons-nous de sermons, de leçons de morale, de jugements de valeur. Mais informons-les et agissons.

L’important est d’en sortir, ENSEMBLE. MAINTENANT.

Ensemble, nous devons protéger nos enfants de l’injection dont on connaît maintenant l’absence d’efficacité contre les contaminations, mais aussi contre les formes graves et la mort,

et la toxicité révélée à court terme pour certains effets déjà, et largement inconnue à moyen et long terme.

Les nombreux effets toxiques sur les organes reproducteurs bien explicités par le site « où est mon cycle » font craindre des troubles de la fertilité des bébés contaminés in utero chez les mamans injectées et les plus grands, vaccinés à tout âge.

Les myocardites dont la fréquence a été rapidement dépistée par les Israéliens ont de quoi nous choquer.

L’inutilité de l’injection chez les enfants avait été soulignée d’emblée par toutes les sociétés de pédiatrie, rappelant que les enfants ne risquent rien du covid et que cela avait été démontré dans de nombreuses études internationales résumées dans « les enfants sacrifiés du covid ».(([1] N et D Delépine éditions Fauves, janvier 2022))

L’inefficacité globale couplée à ses dangers a également été démontrée chez l’adulte.(([2] Delepine, G. Les vaccins Covid-19 conduisent à de nouvelles infections et à la mortalité : les preuves sont accablantes.
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccines-lead-to-new-infections-and-mortality-the-evidence/5746393))

Les effets secondaires déclarés se sont multipliés, colligés par les banques de données internationales(([3] Vogel, G. (2021). Israël signale un lien entre de rares cas d’inflammation cardiaque et la vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes hommes. Science.
https://www.sciencemag.org/news/2021/06/israel-reports-link-between-rare-cases-heart-inflammation-and-covid-19-vaccination)). Même si les déclarations sont sous-estimées, le nombre effrayant de toxicités doit imposer le retrait de cette injection et l’interdire tout particulièrement chez les enfants.(([4] Le ridicule ne tue pas, mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] Classen, JB. Il a été prouvé que les vaccins américains contre la COVID-19 causent plus de mal que de bien sur la base des données d’essais cliniques pivots analysées à l’aide du critère d’évaluation scientifique approprié, « Tous causent une morbidité grave ». Trends Int Med. 2021 ; 1 (1) : 1-6))(([6] Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections .
Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org))

Ces myocardites, même apparemment guéries après quelques semaines ou mois, ne sont pas anodines et sont à risque de séquelles tardives. Les cicatrices dans le cœur provoquent au fil des ans un « remodelage » pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des arythmies et une mort subite.

Déjà en septembre 2021, le Pr Claverie criait au secours dans le désert…

Ainsi :

« Les enfants font face à un risque substantiel de myocardite à partir d’une injection anticovid19. VAERS = 48 500 rapports d’événements indésirables chez les enfants, dont 112 décès (au 20 mai 2022) et # de rapports d’encéphalopathies, de problèmes de coagulation, de diabète et de problèmes neurologiques chez les enfants après des injections de C19. Arrêtez la pression de la FDA »

14 juin 2022 @jammingem

Et quelques jours plus tard, à la date du 17 juin 2022 on note

« Il y a maintenant 49 283 rapports VAERS d’événements indésirables chez les enfants par suite d’injections Anti-Covid, dont 114 décès, 457 rapports d’invalidité permanente et 1 326 rapports de myocardite. Ces rapports sous-estiment probablement les méfaits par un facteur de 41 à 100. »

6 h 19 · 17 juin 2022· @mhstangarone

« Allez regarder sur Eudravigilance, rien que pour l’Europe ! Pour 2 décès d’enfants par suite d’une contamination de pizza Buitoni, on arrête tout, on enquête et on retire du marché le produit ! Là on continue à injecter les gens ! Dans des essais normaux cliniques, tout serait arrêté ! »

@Arletty32083869

Le bon sens évidemment, mais quelles sont les raisons profondes de la poursuite de ce massacre que personne ne peut plus ignorer, rien qu’en regardant autour de soi, fatigues, troubles menstruels, AVC jeune (faute à pas de chance, mais à force…). Cette fameuse dépopulation programmée à laquelle nous refusions de croire ? En tous cas, le massacre continue.

ET GLOBALEMENT POUR L’UE 27 pays

RISQUE D’UNE CAMPAGNE DE VACCINATION À LA RENTRÉE.
NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER, NOUS UNIR ET REFUSER TOUS ENSEMBLE

Devant la pression gouvernementale et des instances européennes et internationales, on peut craindre une grande campagne pour la vax des enfants dès la rentrée. Trois événements couplés — projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France pour prolongation de l’état d’urgence, réunion de l’OMS(([7] L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! Quelle coïncidence ! ATTENTION à l’élargissement de la vax anticovid couplée à un vax antivariole du singe. Soyons vigilants.)) et prolongation du certificat européen(([8] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire Par Parlement Européen, le 15 juin 2022.
Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022.
Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.))— prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur alternant virus, guerre, famine ou autre chose.(([9] Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce mauvais théâtre mondial, et refuse en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Pourtant malgré les mises en garde d’instances médicales et scientifiques internationales telles le conseil mondial de la santé(([10] Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), l’appel de scientifiques japonais, canadiens ou américains, etc., la FDA vient d’autoriser le pseudovax chez les enfants. On peut craindre que l’EMA suive et donc la France.

18/06/2022 16 h 52(([11] La FDA américaine autorise les vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer pour les enfants dès 6 mois — Le Courrier du VietNam))

L’Administration américaine des aliments et des médicaments (FDA) a autorisé vendredi 17 juin l’utilisation d’urgence des vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants dès 6 mois.

Pour le vaccin Moderna, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure son utilisation chez les individus âgés de 6 mois à 17 ans. Le vaccin avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les adultes de 18 ans et plus.
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure l’utilisation du vaccin chez les individus âgés de 6 mois à 4 ans. Il avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les personnes de 5 ans et plus.

« Et pourtant Moderna a été retiré du marché dans les pays scandinaves il y a déjà plusieurs mois à cause des nombreuses myocardites chez les moins de 30 ans, ce sont carrément des rituels de sacrifices d’enfants, ils ne peuvent pas faire ça, c’est criminel. »(([12] Belzil Sylvio sur twitter))

Un élément positif, le peuple français n’est pas prêt à l’injection des enfants selon le Pr Delfraissy.

Il s’était exprimé ainsi en mars 2022 lors d’une conférence à Science Po Lille(([13] Ibid ref 3)) en réponse à un étudiant.

« Bonsoir Mr Delfraissy. 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA ; 36 000 morts dans l’UE,

Imputables au vaccin. Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike. Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes.

Ma question

Mr Delfraissy : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament, pourquoi ces vaccins continuent-ils de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse.

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« (…) là où vous pouvez m’argumenter, c’est en population plus générale, c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolue dans ma tête qu’on vaccine, pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

Vidéo 2/2 :

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes. »

(…)

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon, mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions. Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

EN RÉSUMÉ :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE !

Il est capital que chacun se sente responsable y compris juridiquement des enfants qu’il pourrait influencer.

Les directeurs d’école, les journalistes, les chroniqueurs, etc. ne peuvent pas impunément répandre de fausses informations comme une soi-disant efficacité sur les formes graves et la rareté et bénignité des effets secondaires.

Les parents doivent imposer la neutralité aux enseignants et dénoncer les brochures de propagande destinées à conditionner les élèves à la vaccination.

L’injection n’est pas un vaccin (ils ne contiennent pas d’antigène), ce sont des médicaments expérimentaux. Il faut via les associations, les avocats, etc. faire supprimer cette propagande mensongère prévue y compris dans les petites classes. Les enseignants ne sont pas là pour désinformer et conditionner les élèves.

COURAGE À TOUS !
SAUVONS LES ENFANTS !




USA Today, l’un des principaux « vérificateurs de faits », a été contraint de supprimer des articles pour cause de sources fabriquées

[Source : anguillesousroche.com]

Il aurait dû vérifier ses faits plus rigoureusement.

USA Today, qui est utilisé comme « vérificateur de faits » par les plateformes de médias sociaux, a été contraint de supprimer 23 articles de son site web après qu’une enquête a révélé qu’un de ses reporters avait fabriqué des sources.

C’est gênant.

Le média dispose d’une section entière de son site web consacrée à la « vérification des faits » et est utilisé par Facebook pour « vérifier les faits » des articles publiés par d’autres médias, en les déclassant dans les algorithmes, dans une forme de censure douce.

Cependant, il semble que USA Today aurait dû consacrer davantage de ressources à la vérification des faits avant de publier les articles de son propre personnel.

« Gabriela Miranda, journaliste chargée des nouvelles de dernière heure à USA Today, a fabriqué des sources et détourné des citations pour des articles, a confirmé le média jeudi. Le média a effectué une vérification interne après avoir reçu une ‘demande de correction externe’ pour l’un de ses articles publiés », rapporte Breitbart.

Les 23 articles qui ont été retirés parce qu’ils ne respectaient pas les « normes éditoriales » du journal comprenaient des articles sur l’interdiction de l’avortement au Texas, des contenus anti-vax et l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Miranda, qui a maintenant démissionné de son poste, « a pris des mesures pour tromper les enquêteurs en produisant de fausses preuves de sa collecte d’informations, notamment des enregistrements d’interviews », selon le New York Times.

« Après avoir reçu une demande de correction externe, USA TODAY a vérifié le travail de reportage de Gabriela Miranda. L’audit a révélé que certaines personnes citées n’étaient pas affiliées aux organisations revendiquées et semblaient avoir été fabriquées. L’existence d’autres personnes citées n’a pas pu être vérifiée de manière indépendante. En outre, certains articles comportaient des citations qui auraient dû être attribuées à d’autres personnes. »

Comme nous l’avons souligné précédemment, USA Today a également été contraint de supprimer à la hâte une série de tweets qui, selon les critiques, équivalaient à une normalisation de la pédophilie après que le journal ait cité la « science » pour affirmer que la pédophilie était « déterminée dans l’utérus ».

Le journal a également été critiqué après avoir vérifié les faits en affirmant qu’un t-shirt officiel de Trump 2020 comportait un « symbole nazi ».

En février de l’année dernière, le média a publié une tribune libre qui dénonçait Tom Brady pour avoir refusé de revenir sur son soutien antérieur à Donald Trump et pour être « blanc ».

Le journal a également dû licencier son rédacteur en chef « race et inclusion », Hemal Jhaveri, après qu’elle ait faussement attribué la fusillade du supermarché de Boulder aux Blancs.

En résumé, USA Today a un grave problème de partialité et ne devrait pas être utilisé comme un « vérificateur de faits » non partisan.




L’entêtement à perdre en France

Par Lucien SA Oulahbib

À « gauche » (extrêmes et deep écolo compris) surnage toujours cette idée maligne qu’en tondant les plus gros béliers, le troupeau de moutons s’en trouvera soulagé, même si ce dernier doit accepter que « l’on ne naît pas bélier, on le devient ». Ceci fait que la tonte ne se faisant qu’une fois pour toutes lorsqu’il s’agit des plus gros, elle sera en continu pour les autres, d’autant que le blocage des prix pour des denrées et marchandises étrangères ne dure qu’un temps, à moins d’établir, en plus du contrôle des capitaux et des changes, celui du commerce (« au nom de la lutte contre le réchauffement climatique » également).

Il ne faudra pas non plus oublier que devant les demandes insatiables qui seront déclenchées et la montée en puissance de l’assistanat tournant à plein régime, la désorganisation logistique s’accentuera comme il a été vu ailleurs : à quoi bon se lever si le chèque de solidarité est rondelet ? Sans oublier qu’avec un SMIC à 1500 euros net (soit dans les 3000 pour le patron, y compris petit), la proposition de travail va se faire rare (y compris dans les restaurants), à moins de les nationaliser, mais le problème restera le même : qui va se lever à six heures du matin sinon sans doute le migrant fraîchement arrivé ? D’où la reconstitution sans fin d’inégalités, non plus seulement de salaires, mais aussi de statut : ceux qui se lèvent, ceux qui restent chez eux en « télétravail » (du moins officiellement)

Et puis le Grand Reset court toujours — piquouse et compagnie lourdement « conseillées » sans doute si l’on veut garder son « alloc » — accélérant également l’arrivée décuplée de « chances pour la France » lorsque celles-ci auront entendu parler de cette manne à venir (le directeur de Frontex a dû démissionner il y a quelques mois tant il ne s’agit plus de refouler, mais d’accompagner), le tout sans qu’il y ait même besoin en réalité de « travailler » puisque dans l’ensemble, et à terme, de plus en plus de moutons blancs et puis ensuite moins blancs, etc. passeront eux aussi à la casserole et ainsi de suite (comme il a été vu en 17 en Russie, et divers pays d’Amérique du Sud et d’Afrique depuis) du moment qu’ils sont jugés un peu trop gras selon les critères du futur « passe citoyen ».

Ceci fait que dans une situation qui se détériore à vitesse grand V (l’amour dure deux ans : 1981-1983), même les gentils moutons y passeront, surtout ceux (effet Kiss cool) qui habitent là où il ne faut plus, continuant eux à être de plus en plus égorgés, volés, violés. L’important dans ce cas consistera à le nier (« ce n’est qu’un sentiment lié à votre éducation raciste blanche ») tout en continuant d’accuser les béliers et aux autres moutons « réactionnaires », encore là, même si les « victimes » sont en sang et frissonnent dans leurs beaux draps bleus et blancs froissés. Mais cette soumission ne servira à rien, bien au contraire, car le sacrifice des boucs émissaires a toujours été une solution pérenne, surtout lorsque l’on s’apercevra qu’en fait la tonte annuelle du troupeau à « 14 tranches » s’avérera impossible lorsqu’il n’y a plus (du tout) moyen de refaire de la laine.

À « droite » (extrême centre compris), surnage toujours cette idée obtuse qu’en tondant un peu tout le monde (mais plus les moyens que les gros), en fermant les yeux ici et là sur des « aides » égalitaristes sournoises (autant le gros que le petit) tout en faisant la manche à Bruxelles (la gauche aussi veut faire la manche, mais en beuglant. Pas sûr que cela marche — on l’a vu en Grèce), tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, surtout lorsque les grands axes du Grand Reset restent respectés (piquouse pour toutes et tous, le tout électrique, etc.).

Mais sans doute que la mort « sociale » pour tous promise par la gauche sera plus lente, plus anesthésiée, quoiqu’inéluctable, tant le tissu industriel français dans ses tréfonds est de plus en plus touché (à voir d’ailleurs le nombre d’entreprises qui ferment une par une dans les petites et même moyennes localités de plus en plus à l’abandon, sans parler de l’explosion de la violence contre les personnes qui, il est vrai, n’est qu’un « sentiment » de « blanc hétéronormé »).

En sus des déserts sanitaires sécuritaires et éducatifs s’ajoutent donc des déserts économiques, commerciaux, sociétaux, le tout avec une hausse monumentale des carburants (et bientôt de l’énergie, la guerre contre la Russie s’accentuant), alors que le trajet domicile/travail s’est considérablement allongé, depuis des lustres. Il s’agit d’une situation à produire du gilet jaune « en veux-tu, en voilà ». Et pourtant rien ne bouge tant le dégoût et le désespoir sont désormais les deux mamelles défraîchies et pendantes d’une France de plus en plus catin, bien plus que courtisane.

Et puis au niveau électoral, autant toute la « gauche » a réussi à retrouver vaille que vaille le score du parti socialiste d’il y a trente ans (ce qui est maigre et encore plus une fois rapporté aux inscrits), la « droite » elle, toujours subjuguée par la sentence d’un Chirac (radical-socialiste en réalité) refusant l’alliance de toutes les droites, républicaines, s’enfonce dans l’autodestruction, agrémentée de noms d’oiseaux et en permanence comme s’il s’agissait seulement de trouver l’homme ou la femme providentielle…

Bref, avec plus de 52 % d’abstention pourtant, la France fait pire que les USA en plus petit, alors que de tout temps elle était connue pour abriter un peuple « politique », à croire que hormis une poignée qui s’arrache les maigres suffrages exprimés, la majorité des inscrits (sans compter ceux qui ne le sont pas ou plus) n’est en fait pas du tout satisfaite du simplisme ahurissant, mais violemment agitée et revendiquée (« si tu n’es pas avec moi tu es complotiste, vendu à Poutine, Biden ou Bruxelles »). Ce qui veut dire peut-être qu’existe encore l’espoir que se lèvent de nouvelles Jeanne d’Arc, Jeanne Hachette, de nouveaux Bayard, Duguesclin, Roland, Charles, pour sortir enfin la France de l’ornière dans laquelle elle s’est (in)volontairement mise.

On peut toujours rêver.




Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.(([1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien !(([3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome)) On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid(([4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22)).

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).(([5] 08/06/22
Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
« Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
(https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
“Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
(N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp))

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » (([6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) ))

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX(([7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/))

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »(([9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979))

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.(([10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?))

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 : https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 : https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimation. Le reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.(([11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) ))

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA(([12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences))

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe : Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr., Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA, WorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????





Le Canada suspend la vaccination obligatoire de ses fonctionnaires

[Source : ledroit.com]

Par ANTOINE TRÉPANIER

Tous les fonctionnaires du gouvernement du Canada qui ne sont pas vaccinés contre la COVID-19 pourront reprendre leurs fonctions au bureau ou en télétravail.

À compter du 20 juin, tous ceux qui monteront à bord d’un avion ou d’un train au Canada, qui travaillent dans le secteur des transports sous réglementation fédérale et qui sont des employés de l’État n’auront plus à être vaccinés. Ils devront toutefois porter le masque lors de leurs déplacements en avion ou en train.

Le gouvernement fédéral assouplit donc certaines de ses mesures sanitaires adoptées durant la pandémie. Parmi lesquelles, il n’y aura plus aucune condition liée à la vaccination des fonctionnaires de l’État, un changement majeur à la politique adoptée en octobre 2021. 

Le Secrétariat du Conseil du trésor affirme qu’en mai, 2108 employés fédéraux, soit moins de 2% des employés fédéraux, étaient en congé administratif sans solde pour avoir refusé de divulguer leur statut vaccinal ou pour avoir refusé de recevoir deux doses de vaccin.

Tous ces employés pourront reprendre leurs fonctions puisqu’il ne s’agira plus d’une condition d’emploi. 




Vaccins Covid, révélations explosives

[Source : Vivre sainement]



Sources :
https://rumble.com/v189h7k-athletes-dropping-record-life-insurance-deaths-on-a-clear-and-convincing-ba.html
https://rumble.com/v18bpkf-the-chinese-social-credit-system-all-you-need-is-vaccine-passports-with-mor.html
https://rumble.com/v17tzkm-dr.-ryan-cole-covid-19-vaccines-are-causing-the-increase-in-sudden-adult-de.html
https://rumble.com/v17ye0j-a-shot-every-six-months-per-professor-bill-gates-you-can-tell-its-a-vaccine.html
https://rumble.com/v185h74-reckless-and-stupid-a-new-vaccine-for-a-new-pathogen-is-always-the-wrong-an.html
https://rumble.com/v17w7cb-exclusive-preview-nba-star-refuses-to-take-covid-vaccine.html
https://rumble.com/v18byhs-dr.-ryan-cole-covid-vaccine-side-effects-are-like-a-nuclear-bomb.html
https://www.epi-phare.fr/rapports-detudes-et-publications/myocardite-pericardite-vaccination-covid19/




Le Grand Appel de la Résistance

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Vingt-deux personnalités du monde médical, scientifique, juridique, intellectuel et journalistique(([1]
– Christine Deviers Joncour
– Dr Benoit Ochs
– Pierre Barnerias
– Jacob Cohen
– Dr Laurent Montesino
– Emmanuelle Darles
– Cécile du Docthothon
– Christian Cotten
– Mélodie de « Ou est mon cycle »
– TNT TV Journalistes sans frontières
– Thierry Beccourt
– Merlin Longuet
– Dr Anne-Marie Yim
– Chloé Frammery
– Dr Eric Loridan
– Maitre Ellen Bessis
– Lise Philippe – Mamans Louves
– Marion Sigaut
– Etienne Chouard
– Frederic Vidal
– Amélie Paul
– Dr Louis Fouché)) se sont réunies pour lancer un « Grand Appel » aux peuples de France, d’Europe et du Canada pour éveiller les consciences, et mettre un terme à la tyrannie sanitaire utilisée pour nous entraîner vers le Grand Reset et le Nouvel Ordre Mondial totalitaire. L’heure est venue de s’unir pour dire NON.

Nous sommes très nombreux, bien plus nombreux qu’on ne l’imagine à avoir fait le constat que nous ne vivons plus dans un État de droit depuis l’élection du gangster Sarkozy en 2007… Et depuis, les choses n’ont fait que s’aggraver. Aujourd’hui, chacun d’entre nous mesure la gravité de la situation. La Constitution, cette imposture rédigée pour faire de nous de simples « électeurs » conditionnables et manipulables à souhait, alors que nous croyions être des « citoyens », est bafouée et piétinée, les lois sont méprisées par ceux qui les ont rédigées, les droits des « citoyens » ne sont plus qu’une illusion et nos gouvernements ne sont plus que de vulgaires domestiques des cartels bancaires, des réseaux occultes et autres FEM, Bilderberg, Trilatérale sans oublier BlackRock et Vangard…

Et ces braves gens qui s’autoproclament « élites » ont décidé d’accélérer la mise en place du Nouvel Ordre Mondial en utilisant une arme biologique et la vaccination qui va avec… Oubliés les dizaines de milliers de médecins, de scientifiques, d’avocats, de journalistes, d’alerteurs qui s’opposent et dénoncent cette folie vaccinale. La censure massive s’est abattue sur leurs têtes avec une violence jamais vue. Exit la liberté d’expression, aujourd’hui remettre en cause le narratif officiel c’est s’exposer à recevoir la visite de la police à 6 h du matin comme Maître Virginie Araujo-Recchia…

Je ne vais pas détailler tout ce qui déraille dans notre pays, car il faudrait des pages et des pages pour en parler. 

Il vaut mieux se concentrer sur le monde nouveau que nous voulons bâtir ensemble. Si la politique servait à rendre les gens heureux, cela se saurait. Donc exit les parasites, les carriéristes, les corrompus, les traîtres et les démagogues. Les politiciens ont démontré qu’ils ne sont pas au service des peuples, mais au service de leurs propres intérêts et de ceux qui financent leurs campagnes électorales. En France, le vrai président n’est pas celui qu’on voit…

La société civile a donc décidé de reprendre en main sa destinée, car aucun d’entre nous ne veut vivre dans la société transhumaniste de Klaus Schwab et de Yael Noah Harari. Et ce Grand Appel n’est qu’un début…

Dimanche 19 juin, sera retransmise en direct sur TV-ADP, AgoraTV, Kairos, GushTV, TNT-TV, Nexus, et beaucoup d’autres médias indépendants européens, le MEGATON, une émission où près d’une centaine de personnalités viendront expliquer pourquoi il est légitime de défendre notre intégrité physique et celle des plus vulnérables, de nos enfants, de nos anciens et des orphelins qu’on utilise comme des cobayes de l’industrie pharmaceutique.

La « vaccination » provoque bien plus de victimes que le virus qu’elle est censée combattre. Et la meilleure preuve c’est que les vaccinés ne sont pas protégés du Covid, bien au contraire. La destruction de leurs défenses immunitaires naturelles les expose à tous les dangers au point que les centres de transfusion sanguine refusent leur sang…

Nous disposons aujourd’hui de tous les éléments pour refuser ces injections mortelles. Et à part ceux qui se nourrissent de la parole des gouvernements, des médias corrompus, des docteurs Mengelé, aucun être doué de raison ne croit plus à cette mascarade criminelle.

Dans ces conditions, n’est-il pas légitime de nous unir et dire NON à ces gens qui nous mentent et nous manipulent pour réduire la population mondiale et soumettre les survivants ?

Voici le texte du Grand Appel. Si vous vous sentez concerné, faites-le circuler, car si un homme averti en vaut deux, un homme informé en vaut 1000 !

Le Grand Appel

Se soumettre en accord avec les politiques mises en œuvre. Se soumettre à regret sous la pression. Ne pas se soumettre et se relever. Ainsi se résume désormais notre choix de vie. 

Les événements mondiaux vécus depuis 2020 amènent chacun à sa propre croisée des chemins. Ces deux dernières années ont eu le mérite d’éclairer notre vision de la France et de ses institutions. Ce chemin de conscience nous mène à présent aux choix les plus importants de toute une vie. 

L’exécution de cette politique mondiale, voulue par une poignée, la rend de plus en plus visible pour ce qu’elle est vraiment. Sa base : d’énormes mensonges qui orchestrent la peur. Alimentée par un véritable terrorisme médiatique, elle veut imposer un mode de vie totalitaire, par le biais d’organismes corrompus financés par les plus riches de la planète.

Le faux prétexte sanitaire est utilisé à répétition, tout comme peut l’être le prétexte écologique, dans un contexte de pénuries organisées qui vont très vite aggraver la situation, pour mieux soumettre les populations. 

Les niveaux de corruption, mais aussi d’incompétence des institutions, des milieux politiques, des milieux médicaux et de la presse subventionnée ont permis jusque-là cette mascarade, face à un peuple médusé, hypnotisé par la propagande et diverses techniques d’ingénierie sociale conduites sur des décennies. 

La révélation est brutale pour beaucoup d’entre nous. Oui, nous sommes tous à la croisée des chemins. 

Faire le grand écart entre la peur de dire non et la liberté de ses choix n’est plus possible. Trop d’enjeux en sont tributaires et il en va de l’avenir des générations qui nous suivent. Ce sont désormais deux modèles de société très différents qui se présentent sans compromis à chacun de nous. 

D’un côté, nous est annoncée à travers un Nouvel Ordre Mondial une société uniformisée de contrôle total des individus avec des visées transhumanistes. Celle que tentent d’imposer avec autorité les gouvernements des nations occidentales et leurs mentors, celle où les gardiens de la paix sont devenus les forces de l’ordre. Un modèle où toutes les libertés fondamentales, jusqu’à la dépossession de l’éducation des enfants, seront perdues, en échange d’une prise en charge du citoyen, réduit à une dépendance croissante aux autorités, par le biais de règles liberticides et de technologies intrusives. Cela peut séduire ceux qui céderont à la peur. 

D’un autre côté, est possible une société humaine bienveillante, où les peuples se rapprochent et ne sont plus les jouets souffrants de pratiques et de guerres fomentées par de médiocres intérêts privés, où leurs différences s’associent dans le bien commun qu’est la Terre dont ils assurent la pérennité, où la fraternité, l’éthique, l’intégrité, la dignité et le respect sont les fondements d’une société consciente. 

Les Temps sont venus et nombre d’entre nous l’ont compris. Si le choix n’est pas fait maintenant, avec détermination, les peuples d’Occident pour commencer, puis tous les autres connaîtront une dépopulation massive et une dictature planétaire comme on n’en a jamais vues. Ce n’est pas une théorie dite complotiste, c’est ce qu’ils nous annoncent très clairement, tout cela est vérifiable par chacun qui en fera l’effort. 

La France en tant que nation — et par nation il faut entendre un esprit, une langue, une culture, un patrimoine né de cet esprit et non une couleur politicienne — la France donc, a été littéralement démantelée par les pouvoirs successifs au fil des ans. L’excès du pouvoir présidentiel y est unique en Europe et sa constitution est gravement violée depuis 2008. 

Une confusion croissante est entretenue sur ce que sont les valeurs de son peuple, à commencer par le devoir inné de protection des plus vulnérables, dont nos anciens et nos enfants, le respect entre hommes et femmes, entre adultes et mineurs, entre l’humain et les autres règnes vivants, entre l’homme et la Terre qui l’accueille… 

Il faut porter le regard haut, car c’est à ce niveau et pas en dessous que se situe aujourd’hui notre décision la plus importante. Ne nous arrêtons pas aux détails dont les politiques, les médias et l’opposition contrôlée nous saturent. Il n’y a aucun salut à ne regarder que le bout du doigt et non ce qu’il désigne. 

Allons-nous continuer à laisser grandir l’infamie au-delà du point de non-retour, ou allons dire NON une fois pour toutes ? Chacun va-t-il continuer à regarder ailleurs jusqu’au moment ou l’ailleurs sera son présent et qu’il sera trop tard ? Ou chacun va-t-il enfin prendre la pleine mesure de ses responsabilités ? 

Il existe un peuple de France, dont l’héritage inné ou acquis coule dans ses veines. Il est prêt désormais à se lever pour restaurer sa souveraineté et arrêter dans leur course folle les sociopathes qui veulent pour lui écrasement, dégénérescence, contrôle et soumission. Nous leur avons laissé trop longtemps trop de pouvoir de nuire dans l’impunité de leurs actes. C’est à ce peuple-là que le Grand Appel est lancé. 

Il ne s’agit pas de se demander comment faire, nous le savons. La solution n’est pas de manifester dans les rues pour réclamer alors que nous n’avons rien à réclamer parce que nous ne leur sommes pas inféodés. C’est un terrain qu’ils contrôlent, comme ils l’ont fait avec la plus grande violence durant le long épisode des Gilets Jaunes. Mais il existe un terrain qui n’est pas le leur. Celui de l’intelligence collective du cœur. 

De nombreux réseaux existent aujourd’hui en France, constitués d’hommes et de femmes qui ont déjà fait leur choix de société, à travers la solidarité, le partage des expériences, l’apprentissage, la transmission des savoirs, l’organisation locale d’une manière de vivre respectueuse du Vivant. L’ensemble couvre tout le territoire, ce qui signifie qu’il y a quelque part près de chez vous au moins une cellule de ce grand corps organique que forment ces réseaux, que beaucoup ont déjà rejoints ces derniers temps. 

Nous appelons donc solennellement chacun à rallier le ou les réseaux de son choix. Nous appelons tous les réseaux et associations qui ne l’ont pas encore fait à se relier les uns aux autres, à se rencontrer au sein de leurs cellules locales et à organiser une communication de l’information entre eux.

L’objectif n’est pas de se fédérer en une seule structure, cela nous rendrait
vulnérables. Chacun doit conserver ses spécificités et poursuivre son œuvre, mais il est capital que les réseaux entre eux tissent un maillage physique étroit, afin de pouvoir créer une réelle solidarité sur le terrain et des réponses rapides et efficaces à tout besoin exprimé. 

Il faut être clair, ceux des Français qui ne se soumettront pas à la tyrannie, verront leur choix souverain et légitime impacter fortement leur mode de vie. Ils subiront probablement des pressions et des mesures de rétorsion, plus qu’il n’y en a déjà. Cela demande du courage et un renoncement provisoire à quelques conforts. C’est le prix de la liberté et de la souveraineté. Mais il est évident que ce choix individuel ne sera possible qu’à travers la solidarité de tous. C’est à travers ces réseaux que nous la trouverons, car elle existe déjà sur le terrain et nous nous employons tous à la développer davantage. 

Plus personne ainsi ne sera seul pour faire face aux difficultés à venir à court terme et nous pourrons organiser correctement la protection des enfants et des plus vulnérables. Nous manifesterons ainsi la volonté d’un peuple qui se rassemble de plein droit dans une intention pacifique, dans le devoir et la détermination d’arrêter par son nombre et sa volonté la folie de quelques-uns. Car il est important que tous les Corps de l’État, en qui demeurent des valeurs saines, voient émerger ce peuple souverain au sein de la confusion. Eux aussi sont désormais à l’heure des choix et devront choisir leur camp. 

Ne vous laissez pas démoraliser ni démobiliser par les apparences, même si les choses deviennent plus difficiles durant un temps. Un ferment des plus fertiles est déjà à l’œuvre dans ce pays, à travers des hommes et des femmes lucides et déterminés. Rejoignez-les. Il ne reste qu’à rassembler, nous savons le faire. L’heure est venue. 


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Accouchement non assisté à Vitré : « On est dans notre droit ! », clame la mère des deux enfants placés en service d’accueil

[Source : france3-regions.francetvinfo.fr]

[Ndlr : l’illustration ne représente pas la mère dont il est question dans l’article]

L’histoire enflamme les réseaux sociaux. Après avoir donné naissance sans assistance médicale à leur deuxième enfant dans leur maison de Vitré, des parents se sont vus retirer leurs deux filles. Le service de Protection maternelle et infantile (PMI) considère qu’un risque de danger sur leur santé a été identifié. En attendant qu’un juge statue, les enfants ont été placés provisoirement en service d’accueil d’urgence.

« Quand j’ai vu la gendarmerie se garer devant chez nous, je me suis dit : “C’est pas possible !” J’étais complètement sidérée. Il y avait au moins huit policiers dans notre salon. Certains devant les entrées, probablement pour ne pas qu’on se sauve. Et l’un d’eux nous a dit : “Bonjour, on vient retirer vos filles, il y a suspicion de maltraitance.” »

Quatre jours après les faits, la jeune maman a encore la gorge serrée et les larmes aux yeux. Ses deux filles, âgées pour l’aînée de 23 mois et pour la deuxième de 10 jours, lui ont été retirées vendredi soir, dans sa maison de Vitré.

« J’ai préparé leurs affaires rapidement et je les ai emmenées à la voiture en expliquant à la grande que ce serait comme des vacances, que les dames allaient être gentilles. Moi je croyais que j’allais la revoir lundi, que ce n’était que pour le week-end, qu’on allait vite se revoir. »

Sous le choc, la maman a publié une vidéo devenue virale sur Instagram. Parmi les raisons invoquées, elle raconte que la « précarité » de l’accouchement a été pointée du doigt.

Quid de l’accouchement non assisté

La jeune Vitréenne a fait ce qu’on appelle un ANA, un accouchement non assisté. C’est-à-dire qu’elle a donné naissance à sa deuxième fille, née le 3 juin dernier, sans médecin ni sage-femme, à son domicile. Un choix qu’elle assume :

« Je ne suis absolument pas contre les naissances médicalisées. Et je trouve ça très bien que les femmes qui ont besoin d’être rassurées par rapport à la position de leur bébé, son évolution, etc. puissent le faire. Mais ça reste un choix qu’on peut faire ou pas. Moi, je n’ai pas eu besoin d’être rassurée, parce que je savais pertinemment que ça allait. Et si j’avais senti que ça n’allait pas, je serais allée sans problème à la maternité », raconte la jeune femme de 22 ans.

Déjà maman d’une autre fille de bientôt deux ans, elle poursuit :

« D’ailleurs, pour ma première fille, le jour du terme, comme elle n’était pas arrivée, je suis allée à l’hôpital. Je me suis fait suivre tous les deux jours, jusqu’à ce que j’accouche parce que j’avais besoin d’être rassurée, je n’avais pas envie de prendre de risques. J’ai la liberté de choisir comment je me fais accompagner ou pas. Et c’est mon droit, j’écoute ce que je ressens. »

Les ANA également appelés « freebirth » par les Anglo-saxons (ndlr : accouchement libre ») représentent une infime partie des accouchements : 0,1 % des naissances en France en 2016, selon l’INSEE.

Faute de certificat médical d’accouchement

Des naissances qui doivent, comme toutes les autres, être déclarées en mairie dans les cinq jours qui suivent l’accouchement. C’est précisément quand le père est allé faire ces démarches auprès du service de l’état civil de la mairie de Vitré, quatre jours après la naissance, qu’un certificat médical d’accouchement lui a été demandé. Ce qu’il n’avait pas.

« Les agents ont alors demandé si l’enfant et la maman avaient été vus par un médecin, le père a répondu que non », explique la mairie de Vitré qui a tenu à se défendre suite aux nombreuses réactions sur les réseaux sociaux

Faute de certificat médical, le père a alors rédigé une déclaration sur l’honneur. La naissance a bien été enregistrée et le certificat transmis à la PMI : « Chaque naissance est transmise à la Protection maternelle et infantile (PMI) » justifie la mairie de Vitré dont l’agent a rappelé à la famille l’importance de faire une visite médicale.

« La PMI est une compétence du Département, chargée d’assurer la protection des femmes enceintes, des mères et des enfants jusqu’à l’âge de l’obligation scolaire. »

« Les filles ne sont pas très en forme »

Après contact pris avec la PMI, un rendez-vous est fixé avec un pédiatre de l’hôpital de Vitré qui ausculte le nouveau-né :

« Le premier truc qu’il m’a dit c’est que j’étais courageuse et que lui aussi était né à la maison, que personne ici ne me jugeait. Il nous a dit que tout allait bien : le cœur, les poumons, tout ! Tout allait bien », raconte la mère, compte-rendu médical à l’appui.

Dans ce document que la rédaction s’est procuré, le médecin emploie le conditionnel concernant l’accouchement qui « se serait déroulé sans complication » et constate dans son examen clinique que la tonicité du bébé est « adaptée à l’âge », que les bruits du cœur sont réguliers, etc. 

« Au moment de partir, il nous a dit qu’un médecin de la PMI allait passer nous voir dans l’après-midi. Je me suis dit : super ! Elle va venir chez nous, elle va voir qu’on a une grande maison, un jardin, elle va rencontrer les filles, qui ont chacune leur chambre. Je vais pouvoir lui expliquer de vive voix, tout va être réglé », s’enthousiasme la mère de famille.

L’arrivée de la gendarmerie en fin de journée est aux yeux de la maman d’autant plus surprenante que parmi les raisons invoquées, on lui dit que « le médecin trouve que les filles ne sont pas très en forme ». Une phrase que le couple ne s’explique toujours pas :

« À aucun moment, notre aînée n’a été auscultée et cela ne correspond pas du tout à ce que le pédiatre de Vitré nous a dit. » 

« Risque de danger sur la santé et le suivi médical »

Du côté du centre départemental d’action sociale (CDAS), on explique que « le service PMI a identifié des éléments de risque de danger sur la santé et le suivi médical de deux enfants. »

Un rapport de signalement a été adressé au procureur de la République de Rennes qui a ordonné le placement de ces deux enfants auprès des services de l’Aide sociale à l’enfance (ASE).

« Sans révéler le fond du dossier, je pense qu’à un moment donné, est apparu qu’il n’y avait pas de garantie suffisante pour la sécurité de cet enfant né quelques jours auparavant, précise ce mardi Philippe Astruc. Mon travail, c’est de protéger les enfants, mais je comprends parfaitement l’émotion des parents. Je me mets évidemment aussi à leur place et je ne doute pas que le juge des enfants les entendra, mais je pense qu’il y a besoin d’offrir un certain nombre de garanties autour de la sécurité qui n’étaient pas réunies au moment où la décision a été prise. »

Placées en pouponnière, la fillette et sa petite sœur n’ont pour l’instant pas le droit de voir leurs parents : « On y va quand même tous les jours pour déposer mon lait maternel et des affaires », soupire la mère entre deux sanglots.
Un juge pour enfants devrait statuer d’ici trois semaines sur le maintien ou la mainlevée de l’ordonnance de placement provisoire, prise par le parquet.

« Je constate que cette décision de placement provisoire suscite beaucoup d’émotions, mais je m’inscris en faux, contre l’insertion consistant à dire que l’on a placé ces enfants parce qu’ils étaient nés à domicile », précise le procureur de la République. « Je le répète : les motifs de ce placement sont sans lien avec le fait que l’accouchement ait eu lieu à domicile », insiste Philippe Astruc, qui assure s’être appuyé sur le certificat médical et l’analyse des services sociaux pour ordonner ce placement.

Ce dont doutent beaucoup les parents ainsi que le collectif La Révolte des mères qui les soutient dans leurs démarches.

« Faire avancer la cause »

« Il y a beaucoup de réactions de panique chez les médecins, comme chez les gens de nos familles quand on parle d’accouchement non assisté, parce que c’est quelque chose qu’on ne connaît pas. C’est extrêmement compliqué pour les gens de comprendre que n’importe quelle femme puisse faire ce choix d’accoucher sans assistance médicale », regrette la jeune mère de famille.

Et de reconnaître qu’elle se doutait que cela allait peut-être être compliqué :

« Dans les groupes privés, sur l’accouchement non assisté, le premier message qui circule c’est : “Attention, c’est dangereux d’assumer que vous avez fait une ANA !” Nous, on s’est posé la question : est-ce qu’on assume que c’était volontaire ou est-ce que l’on dit que c’est parce que nous n’avons pas eu le temps d’aller à l’hôpital ? Être transparent, c’est faire avancer la cause, mais c’était risqué. » 

Et la maman de conclure :

« Je ne regrette pas, je ne regrette rien. Mon accouchement était magnifique. »


[Note de Joseph : en Occident au moins, les gens s’imaginent être libres alors que leur seule liberté est de se comporter en consommateurs de biens matériels et de services autorisés, mais surtout pas de fonctionner ou de vivre hors du Système de contrôle du moindre aspect de leur existence. Voir La bureaucratie contre la liberté. La liberté est de plus en plus retirée, sous prétexte de sécurité (sanitaire, alimentaire, civile, etc.). Ces deux concepts sont pourtant antinomiques, voire antagonistes. Restreindre la prise de risques est diminuer du même coup la liberté de mouvements et d’actions].




Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence !

Par Nicole Delépine

EXIGEONS DE CONNAÎTRE LE CONTENU COMPLET DE CE PROJET DE LOI ET INFORMONS LES ÉLECTEURS LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE.

Pétition flash pour connaître le contenu du projet de loi covid du 22/06 avant les législatives – Les Patriotes (les-patriotes.fr)

Olivia Grégoire, la porte-parole du gouvernement, a annoncé le 8 juin un nouveau projet de loi portant sur la gestion de l’épidémie de Covid-19. Celui-ci sera présenté en Conseil des ministres le 22 juin, avant une première lecture au Sénat annoncée dans la semaine du 11 juillet. Avec ce texte présenté en Conseil des ministres le 22 juin, le gouvernement veut « être en mesure d’intervenir si nécessaire, avec la mise en place de mesures de freinage si la situation ».

Pourquoi passer une loi qui prévoit d’autoriser de nouveaux confinements ou d’autres mesures liberticides et inefficaces alors que rien ne le justifie, car depuis qu’Omicron a immunisé une grande partie de la population le nombre de malades est infinitésimal ?

Qu’y a-t-il dans ce projet de loi Covid 6/22 qui nous attend trois jours après le deuxième tour ?

Relayez, partagez la pétition, car Florian Philippot a raison, moins les députés Macron seront nombreux, plus le gouvernement aura du mal à imposer la poursuite et le renouvellement des mesures liberticides de l’état d’urgence.

Voici ce que dit le site des Patriotes à ce propos :

« À la surprise générale, le 8 juin dernier, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a annoncé l’arrivée en Conseil des ministres le 22 juin prochain d’un nouveau projet de loi Covid.
Ce projet de loi, dont le contenu reste largement mystérieux, vise dans sa philosophie à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui doit s’arrêter le 31 juillet prochain.

Il est inadmissible que les électeurs français ne connaissent pas précisément le contenu de ce projet de loi qui va toucher leur vie quotidienne et leurs libertés avant le 19 juin, c’est-à-dire avant la date du second tour des élections législatives, qui vont être déterminantes ! »

Ce projet sera sur la table des conseils des ministres, annoncé par la porte-parole le 8 juin 2022, le but du projet de loi est clairement la pérennisation par la loi des mesures de l’état d’urgence.

Dans ce but Olivia Grégoire fait croire à un léger retour du virus :

« nous en profitons et nous profiterons pour rappeler la quatrième dose et les mesures coercitives, et éventuellement légiférer à nouveau. »

Alors que tout cela est mensonger. Il n’y a pas de quatrième, septième ou vingt-cinquième vague ! Et de toute façon nous savons que les injections de rappel sont inefficaces (on ne compte plus les quadri-injectés malades comme tout récemment la reine Elizabeth) et dangereux (voyez l’état de Céline Dion ou Bieber)(([1] Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) les traitements précoces multiples pour traiter les patients éventuels.

La propagande de la presse aux ordres :

« un léger retournement de tendance »

« hausse de l’incidence »

« nous en profiterons pour rappeler la 4e dose (sic !), les gestes barrière que nous ne devons pas oublier… »

Contenu : « portant l’ensemble des mesures qui ont vocation à tomber naturellement au 31 juillet (loi du 11/11/2021) » C’est donc bien la pérennisation de l’état d’urgence que Macron veut nous imposer !

Les médias aux ordres ont traduit :

« retour en force possible des restrictions covid » « le covid 19 refait surface en France »(([2] Covid-19 : comment expliquer le rebond épidémique en France ? (europe1.fr) ))

« Après deux mois de baisse, le nombre de cas positifs au Covid-19 semble bien repartir en France. Selon Santé publique France, l’épidémie a commencé ces derniers jours à rebondir avec une reprise des contaminations. En moyenne 23 000 personnes ont été testées positives au Covid par jour cette semaine. La moyenne était de 18 000 il y a tout juste 10 jours. Certaines régions sont plus touchées. Par exemple la Corrèze où l’on recense 283 cas pour 100 000 personnes ». 1.850 cas pour 100 000 habitants en Martinique.

Cela reste bien loin du taux d’incidence dans les outre-mer. En Martinique il y a 1 850 cas pour 100 000 habitants. Pour l’instant, on ne ressent pas d’impact dans les hôpitaux, puisqu’il y a toujours un décalage de deux à trois semaines entre la hausse des contaminations et les entrées à l’hôpital ». Via Europe n° 1.

Donc, ils font tout pour relancer l’inquiétude ; c’est la phase de terreur décrite par Laurent Toubiana et qui doit succéder à la phase de sidération normale devant une épidémie qui a eu lieu et qui est maintenant terminée.

Ils recommencent à mentir, car il n’y a aucun rebond de l’incidence !

Laurent Toubiana donne chaque semaine les vrais chiffres de la maladie cette semaine sur https://covid.irsan.eu

Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

Les chiffres de « contamination » brandis par la propagande médiatique sont totalement trompeurs, car ils sont fabriqués à partir du test PCR qui, lorsqu’il est positif chez un asymptomatique, ne prouve ni qu’il est porteur du virus, ni qu’il est, ni qu’il sera malade, ni qu’il peut contaminer quiconque.

Ce fait scientifique a été formellement reconnu par le tribunal de la chambre d’appel de Lisbonne qui a exigé la libération immédiate de touristes mis en quarantaine sur la foi en ce seul test. (PROCESSO N.º 1783/20.7T8PDL.L1-3 covid Tribunal da Relação de Lisboa Data11 de novembro de 2020)(([3] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/))

La fréquence des faux positifs lors du dépistage d’asymptomatique atteint en effet 97 %.(([4] Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Van Hoang T, Colson P, Raoult D, La Scola B. Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction-Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates. Clin Infect Dis. 2021 Jun 1;72(11):e921. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Erratum in : Clin Infect Dis. 2021 Nov 2;73(9):1745. PMID : 32 986 798 ; PMCID : PMC7543373.))

La FDA elle-même a demandé qu’un test plus spécifique le remplace et le 20 janvier 2021, l’OMS l’a reconnu(([5] https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users)) en pesant soigneusement les termes de ses recommandations.

Seul compte le nombre de « malades » effectifs, ceux qui souffrent de symptômes (fièvre, toux, difficultés respiratoires…) Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

DANS LE MÊME TEMPS, L’OMS CONVOQUE UNE RÉUNION POUR STATUER SUR L’« ÉPIDÉMIE VARIOLE DU SINGE »

L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! quelle coïncidence !

Et même temps, l’UE a prévu une pérennisation du certificat européen(([6] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire (occitanie-tribune.com) ))

Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire

Par Parlement Européen, le 15 juin 2022

Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022

Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.

Lundi soir, les équipes de négociation du Parlement et du Conseil ont conclu un accord visant à prolonger le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE — dont la validité arrive à expiration le 30 juin — d’une année supplémentaire.

Avec cette prolongation, les législateurs de l’UE souhaitent garantir la liberté de circulation(([7] Humour de rigueur ? et non malheureusement.)) des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant.

Les négociateurs ont convenu que les États membres devraient s’abstenir d’imposer des restrictions supplémentaires à la libre circulation des titulaires du certificat. Les États membres ne seront autorisés à le faire que si ces restrictions sont nécessaires, proportionnées et non discriminatoires, dans le but de préserver la santé publique.

Les députés ont tenu à ce qu’une clause soit ajoutée, demandant à la Commission d’évaluer si le dispositif est toujours nécessaire au bout de six mois (fin 2022), en se fondant sur l’avis scientifique du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et du comité de sécurité sanitaire (CSS). La Commission devra alors également publier un bilan décrivant toutes les évolutions du certificat au niveau national et international. Le dispositif devrait ensuite être abrogé dès que la situation épidémiologique le permettra.

Prochaines étapes

L’accord informel devra désormais être officiellement approuvé par le Parlement et le Conseil afin d’entrer en vigueur le 30 juin, date à laquelle le dispositif actuel prend fin. Le vote en plénière est prévu lors de la session des 22 et 23 juin à Bruxelles. »

Parlement Européen (15-06-22)

#actualites #Europe

Là encore les députés européens mentent ce n’est pas pour« garantir la liberté de circulation des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant » qu’ils veulent prolonger leur Certificat COVID, mais au contraire pour interdire aux non injectés de circuler !

Alors qu’en aucun pays du monde les pass n’ont montré qu’ils pouvaient limiter les contaminations

Ces trois évènements couplés, projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France, réunion de l’OMS et prolongation du certificat européen prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur, alternant virus, guerre, famine ou autre chose.

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce théâtre mondial, refusent en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Dans l’immédiat, pour sauver nos libertés faisons tout pour que Macron n’ait pas de majorité.




Conférence sur HAARP et sujets connexes

[Source : Guy Boulianne]




La Ve République est morte, vive la France !

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

[Note de Joseph : mort de la cinquième République, ou mort de la France, phagocytée par l’UE et par le Nouvel Ordre Mondial ?]




Le petit fils de Gaulle sur l’existence d’un agenda américain en Ukraine : « Rôle funeste de l’OTAN »

[Source : RT France]

À l’ambassade de Russie en France, le petit-fils du général de Gaulle s’est exprimé sur le conflit ukrainien. Il s’est livré à une vive critique des politiques occidentales sur le dossier, imputant notamment à Paris une « soumission à l’OTAN ».

Le 14 juin, l’ambassade de Russie en France a organisé une réception officielle à l’occasion de la Journée de la Russie. L’événement a réuni de nombreux invités parmi lesquels figuraient des diplomates étrangers, des personnalités culturelles ou encore des représentants d’associations de compatriotes.

Au nombre des intervenants, le petit-fils du général de Gaulle a exprimé son attachement à l’amitié franco-russe, déplorant les multiples facteurs qui, selon lui, pourraient la détériorer.

Les Occidentaux ont laissé faire Zelensky, ses oligarques et les groupes militaires néonazis s’enfermer dans une spirale de guerre

«Je viens ici pour affirmer haut et fort qu’il est dans l’intérêt de la France de garder de bonnes relations avec la Russie et de dire qu’il faut travailler ensemble en vue d’aider à l’union et à la sécurité de notre continent, ainsi qu’a l’équilibre, au progrès et à la paix du monde entier», a-t-il par exemple déclaré devant son auditoire, avant de livrer son point de vue sur les enjeux relatifs au dossier ukrainien.

«Chacun reconnait aujourd’hui la responsabilité des Etats-Unis dans le conflit actuel, le rôle funeste de l’OTAN qui s’élargit sans cesse et la politique inconsidérée du gouvernement ukrainien. Ce dernier, fort de belles promesses et nourri d’illusions américaines et européennes, a conduit une politique très condamnable à l’égard des populations russophones du Donbass, multipliant discriminations, spoliations, embargos et bombardements», a souligné le descendant de l’instigateur de l’appel du 18 Juin.

Je regrette que le gouvernement français se commette dans [une] soumission à l’OTAN et donc à la politique américaine []…, l’OTAN absorbe l’Europe

Et selon lui, «les Occidentaux ont malheureusement laissé faire Zelensky, ses oligarques et les groupes militaires néonazis s’enfermer dans une spirale de guerre».

Toujours sur le conflit ukrainien, Pierre de Gaulle a mis en garde sur ce qu’il a estimé correspondre à l’application d’un agenda américain en Europe. «Que veulent les Américains si ce n’est de provoquer une nouvelle confrontation est-ouest dont le seul but est d’affaiblir et de diviser l’Europe pour imposer leurs directives, leur économie et leur système ?», a-t-il par exemple interrogé.

«Je regrette que le gouvernement français se commette dans [une] soumission à l’OTAN et donc à la politique américaine []…, l’OTAN absorbe l’Europe», a-t-il déploré, désapprouvant le retour de son pays dans le commandement intégré de l’Alliance atlantique, sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

«Depuis les Américains ne parlent plus à la France et ne nous considèrent plus comme une nation forte et indépendante», a-t-il soutenu, en étayant son raisonnement par la récente affaire des sous-marins,  à l’origine de frictions entre Washington et Paris.




Macron prépare la guerre totale contre la Russie… et personne ne bronche !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Lundi, Emmanuel Macron a affirmé à la presse que nous serions entrés dans une économie de guerre, imposant des mesures d’exception, notamment de réquisition militaire. Cette annonce, qui prépare très clairement une guerre avec la Russie, ne semble avoir ni surpris ni choqué personne. Sommes-nous à ce point hypnotisés que même le pire et le plus absurde ne nous réveille plus ? Et pourtant, faire la guerre à la Russie est bien aux antipodes des intérêts du pays !

Donc Emmanuel Macron a choisi un micro-trottoir au salon de l’armement de Satory, lundi dernier, pour expliquer que nous étions entrés dans une économie de guerre. Dans la foulée, il demande une réévaluation de la loi de programmation militaire, et l’adoption de dispositions qui permettraient des réquisitions de guerre. 

Habilement, cette attaque contre le droit de propriété n’a pas été citée par l’AFP, sans doute soucieuse de maintenir les Français dans leur apathie ordinaire. Il faut aller fouiner dans les titres de Bernard Arnault pour en lire mention… Voilà qui, en soi, est déjà un indice sur le fait que la presse subventionnée ne se sent guère obligée de tout dire, de tout dévoiler, ni de tout réfléchir sur la stratégie présidentielle qui commence et devrait occuper les mois à venir. 

La guerre ? l’adolescent sociopathe qui occupe l’Elysée n’a que ce mot à la bouche

Durant ses présidences, Macron aura donc pris un plaisir manifeste à jouer au héros troyen. 

Sous le quinquennat précédent, il nous avait déjà annoncé être en guerre contre un virus. On a compris rapidement à quoi servait cette invocation grotesque : ses décisions autoritaires étaient finalement prises sans compte-rendu, sans débat démocratique, dans un “conseil de défense sanitaire” dont les délibérations sont désormais classées secrètes. 

Au cas où on y découvrirait que Pfizer a su faire des propositions auxquelles il n’est pas possible de dire non, le problème est ainsi réglé pour un bon bout de temps. 

Cette fois, il ne s’agit plus de guerre contre un virus, mais de guerre avec de vraies armes, de vrais soldats, et de vrais ennemis. C’est beaucoup plus tragique. 

Mais contre qui sommes-nous en guerre ?

Sur l’ennemi que nous nous apprêtons à combattre, Macron n’a guère été loquace. Mais il suffit de lire ses propos pour comprendre qui il vise :

Et, pour qui douterait de l’urgence de ces efforts, il suffit de regarder une fois encore vers l’Ukraine, dont les soldats réclament un armement de qualité et qui sont en droit d’avoir une réponse là aussi de notre part.

Ah voilà ! nous préparons la guerre contre le grand méchant Poutine, face à qui il faut opposer “un armement de qualité”. Donc, sans le dire clairement, nous sommes en train de glisser, par solidarité avec cette fripouille de Zelensky et ses bataillons nazis, vers la confrontation directe avec les Russes. 

On aurait pu imaginer un débat démocratique sur le sujet, d’autant plus démocratique que Poutine dispose d’armes hypersoniques qui peuvent renvoyer la France au Moyen-Âge en quelques heures, et même en quelques minutes.

Mais de ce débat démocratique, dont on sait qu’il s’agit d’un gros mot dans l’esprit de Macron, le Président ne veut évidemment pas, parce qu’il sait qu’aucun Français n’est prêt à mourir pour Kiev. Des bourgeois de l’arrière endoctrinés qui appellent à la guerre, ça se trouve, des bourgeois endoctrinés qui sont prêts à la faire eux-mêmes, ça se cherche. 

Comme en 14. Sauf que, cette fois, les destructions seront bien plus massives, et les bourgeois endoctrinés n’ont pas encore compris qu’il n’y aura, dans la confrontation hypersonique qui se prépare, plus d’arrière ni d’avant. Lorsque Poutine appuiera sur le bouton pour les enquiller, ils n’auront même pas le temps de sauter dans leur SUV à propulsion hybride pour aller à la campagne : ils seront rayés de la carte bien avant d’avoir ouvert leur portière. 

Une guerre pour les Américains, pas pour la France

Je sais qu’une intense propagande déployée sans vergogne par le cartel de la presse subventionnée a transformé la légitime défense russe contre la menace nucléaire américaine en Ukraine en une agression qualifiée de façon très révélatrice de crime contre l’Histoire. Il n’en reste pas moins que les démêlés entre la Russie et l’Ukraine, qui s’expliquent essentiellement par l’ingérence toxique de l’OTAN et du Deep State américain dans cette partie du monde, ne concernent en rien les intérêts français.

Depuis plusieurs siècles, la Russie est notre alliée, et ses relations avec l’Ukraine font partie de son pré carré. Historiquement, nous pratiquons une alliance de contournement avec l’empire russe pour contrer l’hégémonie britannique et prussienne. 

En dehors d’une infiltration de notre diplomatie par de zélés atlantistes, rien ne justifie l’abandon de cette doctrine historique. 

Il faudra sans doute longtemps pour que le bourgeois ordinaire gorgé d’une haine anti-Poutine attisée par une presse débilitante et aux ordres comprenne qu’il est le dindon d’une farce qui ne profite qu’à Washington. Il n’en reste pas moins que Macron, sans débat, nous emmène dans une aventure suicidaire qui finira son oeuvre d’implosion de la France et de service obséquieux aux USA. 

Préparez-vous au pire !

Si vous vous souvenez des propos du Président en janvier 2022, qui affirmait avoir envie d’emmerder les non-vaccinés, vous avez compris toute la folie qui occupe l’Élysée, et tout l’endoctrinement fascisé dont ses ouailles sont les victimes. Cette hystérie fascisante est prête à passer de la prétendue guerre contre un virus, à la guerre contre un prétendu ennemi bien plus puissant que nous. 

Il n’est pas sûr que Macron soit encore capable de mesurer la responsabilité tragique qu’il prend en se rangeant aveuglément aux côtés des États-Unis pour porter la guerre sur le sol européen. Face à cet aveuglement, attendez-vous au pire, et particulièrement à des destructions massives et une période particulièrement éprouvante dont nous ne réchapperons pas tous. 

Dans les prochaines semaines, l’implosion économique de l’Occident devrait être forte, je vous en parle régulièrement depuis plus d’un an.

Mais il va désormais falloir redoubler d’agilité. 

Ceux qui peuvent partir loin ont intérêt à le faire. Nous vous donnons depuis plusieurs semaines des conseils d’expatriation. Ceux qui vont rester en France ont intérêt à adapter leur stratégie patrimoniale pour sauver ce qui pourra encore l’être. 

Je vous signale, dès ce vendredi, la parution des premiers conseils de Florent Machabert en matière d’épargne pour vous adapter le plus vite possible aux drames qui s’accumulent : hyperinflation, déroute boursière, crise monétaire orchestrée et “économie de guerre”, dans toute son horreur. 

Je vous le redis : le Deep State américain a décidé, en 2019, de brusquer le cours de l’histoire, et vous serez les premiers à souffrir de cette folie. 




L’échec redouté des atlantistes et la « porte de sortie » par la « médiation » d’un Kissinger centenaire pour éviter la débâcle ?

Par DJERRAD Amar

L’agressivité est un exutoire de la peur.

Les USA se testent, en permanence, par des guerres, contre les pays faibles, afin de se soulager de la frayeur de perdre leur leadership ou de subir, sur leur sol, une guerre d’anéantissement, d’un pays aussi fort, qu’il lui prévoit !

Leur comportement continuellement irrationnel par leurs actions illégales, provocantes et paranoïaques, ne peut conduire qu’à l’impasse ! Toute réplique ne peut être que légale et légitime !

Le jour où un pays comme la Russie se sentant en danger les a mis en sérieuse difficulté, ils ont mobilisé tous les moyens lourds (y compris la propagande de guerre) pour la persuader à renoncer, voire à abdiquer tout en s’évertuant à mettre la justice et l’humanité de leur côté !

La Russie irréductible quand il s’agit d’un problème existentiel n’a fait que répondre légitimement à un besoin naturel de sécurité suite à une injustice ; forcée de le régler sur le terrain de combat contre un quasi-ennemi qui l’a décidé par « guerre proxy » !

« La propagande (dit-on) est le contraire de l’artillerie : plus elle est lourde, moins elle porte. »


Le temps de l’échec redouté

C’est l’heure de la panique dans le système frelaté politique, militaire et informationnel occidental ! Toutes leurs sournoiseries et leurs boniments, cachés sous un sophisme futile, sont mis au grand jour ! Stratèges dans le mensonge hier pour expliquer l’échec de « Poutine », subitement ils deviennent stratèges pour « expliquer » leur échec par d’autres mensonges amalgamés à des vérités relativisées, en y ajoutant « selon les Russes ». Toutes les vérités cachées, pendant des mois sortent en désordre, avec parcimonie et ce, grâce aux images incontestables et humiliantes des redditions, des destructions d’arsenaux militaires et des villes sous contrôle russe ! Pour supporter leur honte et leur mauvaise foi, ils y ajoutent quelques « infos » absurdes comme preuves de l’échec des Russes pour faire diversion tels « Poutine limoge des généraux qui ont échoué » et tutti quanti si bien que « Libération » a titré cette idiotie qui a fait la risée des d’internautes « Derrière la chute de Marioupol, la défaite russe » ; comme si en Ukraine on joue à « qui perd gagne » avec la Russie. Ou bien ce journal de caniveau du détestable Times britannique qui se permet d’outrager l’intelligence de ses lecteurs par un article qu’il a intitulé « Le bataillon Azov a enlevé un symbole néonazi de ses insignes, qui aidait jusque-là à nourrir la propagande russe » comme si le changement de logo efface les crimes et l’idéologie de ces bataillons ! Pour ne pas se déjuger des mensonges passés démentis par la réalité incontestable, ils posent maintenant des questionnements sur la « qualité des nationalistes ukrainiens » : « sont-ils tous néonazis ? » ou d’en minimiser l’importance après des critiques et des révélations, etc., etc.. Dans quelques semaines nous les verrons faire une sorte de « mea culpa » avec de fausses justifications pour espérer regagner la confiance de leurs lecteurs et téléspectateurs… pour mieux les tromper plus tard pour d’autres évènements ! Pour cette espèce, le mensonge est salutaire quand il rassure et s’accommode avec leur incompétence, leur cupidité et leur arrogance ; surtout quand la mort ne les vise pas (ou leurs proches) ou que le terrain d’essai des combats se déroule via un proxy ! 

« la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissant pas et qui se massacrent au profit d’hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas. »

(Paul Valéry)

Les atlantistes constatent qu’ils sont bien en voie de perdre la guerre avec la Russie (voir aussi l’article de Moon of Alabama). Une guerre multiforme ; militaire, économique, politique, tactique et stratégique ! À ce jour, rien des multiples actions coercitives, même les plus crasses et inhumaines, n’a eu d’effets significatifs susceptibles « d’anéantir » la Russie, et ce malgré une coalition active, de plus de 30 pays ! Cette Russie est même sur le point de gagner un rôle cardinal dans le nouvel ordre mondial multipolaire, dédollarisé, qui s’esquisse de jour en jour ! Jens Stoltenberg le SG de l’OTAN a évoqué récemment en Finlande, devant le président finlandais ces « concessions » pour avoir la paix. Selon lui, « … La question est de savoir quel prix (les Ukrainiens) sont prêts à payer… Combien de territoire, combien d’indépendance, combien de souveraineté sont-ils prêts à sacrifier ? ». Même L’influent média international « Open Democracy » parle même de « fatigue ukrainienne ».

En effet, quand des soldats et des officiers ukrainiens désertent ou se rendent par centaines, que des milliers périssent sur le champ de bataille à la merci de l’artillerie russe, que les munitions manquent, ou que l’écrasante majorité de l’armement fourni par l’OTAN est détruit ou confisqué ou se retrouve en vente sur le marché noir, etc. il y a motif acceptable pour abandonner la partie, sauver ce qui reste dont la face, par orgueil ! Même le Washington Post, par un revirement étonnant, reconnaît les conditions catastrophiques des forces ukrainiennes. La bataille engagée pour le Donbass semble sceller le sort de la guerre en faveur de la Russie et mettre un terme à toute forfanterie et tout verbiage politico-médiatique occidental !

Rappelons que c’est la énième fois depuis au moins 10 ans que les Russes « quémandent » (pourrions-nous dire) des discussions, des négociations, etc. pour s’entendre sur une solution équitable en matière de sécurité ! Mais à qui s’adressent-ils ? À des impérialistes bouffis d’orgueil, sûrs de leurs forces, de leurs stratégies, de leur avantage et de leur réussite ! On voit les conséquences et les résultats après seulement trois mois !

Une « sortie » par Kissinger pour éviter la déroute ?

C’est dans ce contexte délétère de guerre, de panique, d’hystérie collective et du délitement de l’armée ukrainienne pilotée par les USA, que l’on observe, ces derniers temps, chez les atlantistes un changement de rhétorique visible dans leurs informations, les images diffusées, leurs éditoriaux, leurs débats, leurs commissions, leurs déclarations et au regard de l’agitation dans tous les sens de leurs instruments politiques, diplomatiques, médiatiques et propagandistes ! Curieusement ce sont les Américains qui avouent inconsciemment être les commanditaires en demandant aux Russes un cessez-le-feu au lieu des Ukrainiens ! La seule option qui se suggère est d’accepter ce qui a été perdu avant que ce qui ressemble aujourd’hui à une impasse ne se transforme en déroute. Il s’agit bien d’un rétropédalage face à une réalité qui risque d’anéantir les derniers atouts à faire valoir — dont des négociations à minima.

Les mentors américains ont bien saisi le grave danger qui guette le grand capital américain ; d’où cette « sortie » par Kissinger dont on a fait croire, par feinte et dissimulation, qu’elle a « suscité une fureur » ! Kissinger « lucide », dit-on ? Nous pensons qu’il a toujours été lucide, mais pour les intérêts américains exclusivement, mêmes illégitimes, au détriment des intérêts de tout autre pays souverain y compris européen ! Un rétropédalage sans perdre la face ? Sans aucun doute ! On y voit donc dans cette « immixtion » de Kissinger (vu son âge avancé) un bon signe d’un échec salutaire pour le reste du monde ! En effet, comme on dit « il arrive que le diable porte pierre ».

Kissinger a déclaré qu’il ne fallait pas laisser la guerre s’éterniser en engageant des négociations qui doivent convenir la Russie. « Les négociations doivent commencer dans les deux prochains mois, avant de créer des bouleversements et des tensions qui ne seront pas faciles à surmonter » et de suggérer que l’Ukraine devait envisager des concessions territoriales à la Russie. Il poursuit :

« L’Ukraine aurait dû être un pont entre l’Europe et la Russie, mais maintenant, alors que les relations sont remodelées, nous pouvons entrer dans un espace où la ligne de démarcation est redessinée et la Russie est entièrement isolée. Nous sommes maintenant confrontés à une situation où la Russie pourrait se couper complètement de l’Europe et chercher une alliance permanente ailleurs. Cela peut conduire à des distances diplomatiques semblables à celles de la Guerre froide, qui nous feront reculer de plusieurs décennies. Nous devons lutter pour une paix à long terme ».

Quand on lie ce discours avec la politique monétariste qui a appauvri une partie du peuple américain, le déficit budgétaire de plus de 3000 milliards de dollars, l’abus sans retenue de la planche à billets génératrice d’inflation, on comprend l’appel d’urgence de Kissinger et ses mentors à stopper la guerre en Ukraine avec la Russie ; qu’ils doivent percevoir comme « carburant » susceptible de précipiter la grave crise économique et financière qui pointe à l’horizon !

Kissinger est un pur produit de l’impérialisme américain qu’il a soutenu, perfectionné et étendu. Il a donc grandement participé en acteur à ce qui se déroule d’affreux et de criminel dans le monde. Son intervention à Davos est une continuité de son engagement à défendre par tous les moyens les intérêts illégitimes de son pays, depuis des décennies ! C’est un des idéologues du Capital financier anglo-américain. Il n’intervient que pour avertir des graves risques qui guettent ce Capital en provoquant ainsi, avec la stratégie adoptée, la redoutable Russie. Surtout qu’il fallait l’éloigner de la Chine, devenue première puissance économique au lieu de la rapprocher. Sa sortie médiatique est bien d’empêcher un délitement de la puissance de son pays par l’effondrement prévisible de son système économique et financier prédateur qui se décline au fur et à mesure que les provocations, les sanctions et les contraintes sur la Russie s’intensifient et que, à l’opposée, les ripostes se constatent plus néfastes pour les atlantistes que pour la Russie !

Si Kissinger semble raisonnable dans cette intervention qui va apparemment dans le sens des souhaits russes, c’est qu’il a vu que son pays risque une déculottée mémorable et à échéance, une déchéance irréversible de leader mondial ! Comme les Américains n’ont de principes et de morale que ceux de l’argent et de leurs intérêts exclusifs illicites, la solution la moins pénible est celle de négocier pour au moins maintenir leur position de leadership mondial. Même dans ce cas, ils resteront malhonnêtes, fourbes, perfides et tricheurs, car ils ne respectent jamais leurs engagements, même écrits ! À la moindre occasion ils ne s’embarrasseront d’aucun scrupule pour renier tout ! La preuve est donnée il y a quelques jours à propos de cette loi visant à empêcher la présence russe en Afrique par des sanctions à l’encontre des gouvernements et acteurs africains qui seraient favorables à cette présence.

Pourquoi Kissinger âgé de près d’un siècle ? Il nous semble un intermédiaire, envoyé pas sa doxa pour faire le médiateur afin d’éviter à l’Amérique une débâcle annoncée créée par leur politique hégémonique cupide et folle !

Faire croire au monde que le plus grand défenseur des intérêts américains — de surcroît détesté par le reste du Monde pour ses forfaits — propose une solution qui arrange les Russes vise, à notre sens, à stopper net un autre échec, mais des plus humiliants pouvant anéantir un siècle de domination impérialiste assistée par leurs vassaux européens (eux-mêmes colonialistes et néocolonialistes, avec leurs politiciens, leurs presses et leurs « experts », et ce, de la bouche même de Klaus Schwab, le Fondateur du Forum Économique Mondial qui, selon un tweet et en caméra cachée avoue « Nous les avons tous dans nos sacs, les politiciens, les médias et surtout les experts et les scientifiques. »).

La « philosophie » de la vie est simple pour les Américains ; elle est toujours « impérialo-civilisatrice » pour accaparer les richesses des autres ! L’idée d’une « mission civilisatrice » est une exécrable tromperie ! « … une théorie imaginée en France et dans d’autres pays européens qui se considéraient seuls pays civilisés ou de civilisations supérieures et qui se donnaient pour devoir… de “civiliser” les populations non européennes… selon une dichotomie remontant aux anciens Grecs et Romains dont ces pays européens se posaient comme les héritiers. » (selon Wikipédia). Nous sommes bien au XXIe siècle dans le même paradigme ! 

Ce que Kissinger dénonce c’est le « mauvais choix », car « ils se sont trompés » (selon l’interprétation d’un analyste) — entendre dans la politique et la stratégique. Il fallait donc autre chose de plus élaboré pour défaire la Russie ! En somme l’objectif reste le même : celui « d’affaiblir », au moins, la Russie et de l’empêcher de s’allier à la puissante Chine ! Il n’est donc pas du tout question d’équité, de sécurité pour la Russie (ou pour la Chine), de paix ou de concurrence loyale ! Il propose donc, à notre sens, la ruse de négocier pour limiter les dégâts, et d’ajourner, en quelque sorte, l’objectif fondamental qui est de ne jamais voir la Russie et la Chine puissantes économiquement et militairement au risque de voir s’accélérer le déclin impérial des atlantistes, en particulier américain ! La zone Indo-Pacifique (voire Océanique) apparaît bien plus stratégique pour les Américains que l’Europe qui n’est qu’un faire-valoir totalement acquis ! Kissinger n’intervient pas pour rendre à la raison les atlantistes quand ils provoquent ou agressent, mais quand il pressent leur échec !

Quand on observe qu’à cette guerre en Ukraine vient se greffer le problème de Taïwan, politiquement pro américain, mais surtout un territoire chinois inaliénable quitte, pour la Chine, à déclencher une guerre, on comprend la hantise de Kissinger d’arrêter l’escalade en négociant avec la Russie « dans les deux prochains mois, avant de créer des bouleversements et des tensions qui ne seront pas faciles à surmonter » tout en proposant de concéder des territoires ukrainiens russophones déjà annexés par la Russie. « Pour avoir la paix », il leur demande d’accorder à la Russie ce qu’ils lui ont refusé dans la paix et qu’elle a obtenu par la force ! Ce sont des territoires, non négociables, revenus à la Russie, définitivement perdus pour l’Ukraine en désintégration.

Contrairement aux « experts » de salons et des plateaux télé, Henry Kissinger, à Davos, exprime l’inquiétude qui gagne les atlantistes, en particulier les grands financiers, la réalité inquiétante des combats en ukrainien, la puissance technologique militaire de la Russie et sa puissance économique par les matières premières inévitables, ainsi que sa conviction sur la détermination de Poutine à mettre en échec la politique mondialiste et hégémonique de son pays qui risque de perdre l’essentiel s’ils ne négocient pas avec la Russie avec des « concessions ». Leurs propagandes agressives et leur voix d’ogre, face à la puissance russe, n’étaient donc qu’une disproportion par rapport à leurs aptitudes réelles ! « Tel un épouvantail, il ne fait peur que de loin. », dit un proverbe égyptien.

La devise amorale des atlantistes se résume donc ainsi : Je mens, je provoque pour dominer, si nécessaire par la force armée ; je vole les richesses et si ça se gâte, je négocie pour gagner du temps et accumuler afin de pouvoir recommencer plus tard ! Cela est clairement exprimé par Mike Pompéo, ex Secrétaire d’État américain :

« J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire ».

De par leur histoire continue, riche et le plus souvent héroïque, les Russes sont connus pour leur résilience, leurs engagements anticolonialistes, imbattables sur ces terrains (y compris le militaire) ! Il suffit simplement de se demander pourquoi toute l’Europe réunie avec les USA n’a pas osé déclarer honnêtement et ouvertement la guerre à la Russie, mais en manipulant et armant sournoisement l’Ukraine et des mercenaires, en annonçant avec dédain des sanctions économiques qui se sont dangereusement retournées contre eux ! L’entêtement à vouloir faire du mal, en niant les principes, n’est autre qu’une réaction de faiblesse qui peut tromper la vigilance et voiler les conséquences !

Nier tous les principes sur lesquels se construit l’équilibre et l’harmonie entre les groupes humains ou les individus uniquement pour punir un adversaire, réclamant un droit, qui lui pourtant les respecte, et la chose la plus crasse, la plus diabolique qui peut mener à la chute !

Diableries et aberrations du « pas d’énergie Russe » !

Les atlantistes ont toujours caché leurs diableries, en temps de paix, dans la bonne morale, le bien et la vérité ! Mais leur hypocrisie et leurs mensonges sont mis à découvert dans l’adversité. « Dans les plus calmes fleuves, les diables pullulent », dit un proverbe russe ! Leurs diables sont bien sortis pour se retrouver face à une redoutable force tranquille qu’ils croyaient impuissante et corrompue !

Les États-Unis obligeant l’Europe à acheter du gaz de schiste cher pour minimiser sa relation avec la Russie, les dirigeants européens annoncent la fable de se défaire totalement du pétrole et du gaz russes, suivant le programme « REPowerEU ». En fait, ce n’est qu’un fourvoiement qui traduit une incompétence puisque sa réalisation exige d’énormes investissements, des années pour sa mise en œuvre et une refonte de la politique extérieure, et ce, pour un résultat insignifiant sur la Russie qui a des demandeurs plus sûrs et crédibles de matières premières et qui s’autosuffit. L’aberration est qu’ils menacent la Russie — de façon effrontée et répétitive — qu’ils n’achèteraient plus son pétrole et son gaz, mais… une fois qu’ils auront trouvé un substitut ou un autre fournisseur ! Comme si la Russie, qu’ils doivent croire plus abrutie qu’eux, ne sait pas leur dire qu’elle peut les « aider » en arrêtant immédiatement les livraisons ! Respectueuse des contrats, elle a dû leur laisser le soin de décider eux-mêmes du sort de leur économie ! Ils cherchent en quelque sorte, éperdument, dans un trou — en prévoyant de dépenser des fortunes non disponibles — ce qui est à portée de leur main à bas prix ! Il faut être aliéné pour le faire ! L’UE est en effet gouvernée, selon un commentateur, par des « imbéciles téméraires ». 

Alors que la situation se dégrade chez eux, leurs politiciens hurlent sur le risque de famine — dont la Russie serait la cause — qui guette… l’Afrique (qui n’a rien dit) et non leurs pays. Quelle trouvaille ! Ils savent parfaitement que les populations africaines, entre autres, soutiennent l’action russe. À propos du blé, L’UE, par la voix d’Ursula von der Leyen, explique que la faible livraison de blé (russe et ukrainien) est causée par la Russie qui « a transformé délibérément en boomerang les sanctions européennes », alors que les Russes imputent le problème aux conséquences des sanctions qui interdisent aux navires russes d’utiliser les infrastructures côtières occidentales et au minage, par l’Ukraine, des zones maritimes. Les plus grands transporteurs y ont adhéré craignant les sanctions américaines.   

Si la guerre froide s’est terminée par l’effondrement de l’URSS, la 2e guerre froide se terminera sans doute — au vu de l’évolution des choses sur le terrain des combats et les nouvelles alliances hors Europe — par l’effondrement de l’OTAN et de l’UE, par des changements importants dans le système d’échange dans le monde, dans le système des relations internationales et dans le système de gouvernance mondiale ! Et au président vénézuélien d’asséner :

« L’ère de la domination militaire des États-Unis dans le monde est terminée… Nous vivons une époque de transition géopolitique qui définira le destin du XXIe siècle ».


Addendum

Josep Borrell, vise président de Commission européenne et Haut représentant pour les affaires étrangères et la sécurité évoque les « canaux de communication (qui) n’ont jamais été fermés… Il faut continuer de parler avec la Russie », alors qu’il n’a cessé de prôner un règlement du conflit avec la Russie par « des moyens militaires » ! 

Pour avoir une idée sur ce menteur, hypocrite et méprisant personnage, voici qu’il dit pour accuser Poutine en recourant de façon crasse à la navrante stratégie de « l’inversion accusatoire ». Une manipulation consistant à accuser la Russie de crimes que ses alliés coupables (USA, GB, France en particulier) ont commis ou commettent encore pour dominer des pays dans le monde :

« Ce que fait Vladimir Poutine n’est pas seulement une grave violation du droit international, c’est une violation des principes fondamentaux de la coexistence humaine. Avec son choix de ramener la guerre en Europe, nous assistons au retour de la “loi de la jungle”… Sa cible n’est pas seulement l’Ukraine, mais la sécurité de l’Europe et l’ensemble de l’ordre international fondé sur des règles, basé sur le système des Nations unies et le droit international. Son agression prend des vies innocentes et foule aux pieds le désir des gens de vivre en paix… forçant les gens à fuir. Nous voyons une catastrophe humanitaire… Pendant des mois, nous avons déployé des efforts sans précédent pour parvenir à une solution diplomatique… »

Josep Borrell n’a rien dit et ne dit rien ; n’a rien vu et ne voit rien de ce qu’ont fait ses maîtres maléfiques en Afghanistan, Irak, Libye, Serbie, Liban, Tchad, Yémen, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Rwanda, etc. sans parler de l’Indonésie, du Vietnam, Cambodge, Corée, Iran, Algérie, Guatemala, Cuba, Laos, Brésil, Panama, Congo, République Dominicaine, Chili, Nicaragua, Philippines, etc.

A.D




Restrictions Covid-19 : nouveau projet de loi le 22 juin 2022, juste après les législatives !

[Source : lemediaen442.fr]

À quelle sauce allons-nous être dévorés ? Olivia Grégoire, porte-parole d’Emmanuel Macron, a annoncé au conseil des ministres du 8 juin qu’un projet de loi lui sera présenté le 22 juin. Et d’ici là, nous dit-elle, le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle [NDLR : comme Big Brother] à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent, à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid.

La pause des élections est éphémère. Le fameux taux d’incidence revient sur le devant de la scène, particulièrement en Guyane et en Martinique, tel que nous le décrit, le 8 juin, la porte-parole du président au dernier conseil des ministres. Le deuxième tour des élections législatives est le 19 juin. Le gouvernement a-t-il quoi que ce soit à craindre pour le vote du pass sanitaire à l’Assemblée, s’il écope d’un mauvais résultat ? Rien du tout car, à part les Patriotes de Florian Philippot, les professions de foi des divers partis observent un silence assourdissant sur le pass sanitaire.

« D’ici quelques semaines, nous allons présenter un nouveau projet de loi. Ce sera au Conseil des ministres du 22 juin prochain. Le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid. »

(Voir la vidéo dans sa totalité)

Parallèlement, la commission européenne, le 3 février 2022, a prorogé le pass sanitaire du 23 juin 2022 au 30 juin 2023, et cela sans débat parlementaire. Ce pass aurait dû être mis au vote le 7 juin, mais les parlementaires avaient eu l’outrecuidance de demander des études d’impact, des justifications médicales… Qu’importent d’éventuelles raisons médicales : la Commission a très simplement avoué que le pass sanitaire a pour objectif d’inciter à la vaccination et non de freiner la contamination. L’objectif commercial prime donc tout objectif médical. La vaccination — obligatoire dans les faits — transforme les Européens en clientèle captive des laboratoires. C’est pour cela qu’en toute confiance, les commandes de vaccins sont poursuivies jusqu’à la fin de l’année. Le dossier sur le pass sanitaire va être proposé et voté par les 705 députés sans débat ni prise en compte de la consultation publique.

Mme Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, en rajoute :

« Le certificat covid numérique de l’UE a facilité la libre circulation et les déplacements en toute sécurité en période de grande incertitude. Nos citoyens l’ont adopté et il leur a rendu la vie plus facile. »

Traduction : Vous ne pourrez plus vous déplacer sans avoir été injecté par un produit expérimental, vous ne pourrez plus vous déplacer sans que Big Brother sache où vous allez, vous ne serez nulle part libre et en sécurité car la police vous contrôlera où que vous soyez. Et, comme dit la vieille publicité, transposée au certificat covid numérique, l’essayer c’est l’adopter (« nos citoyens l’ont adopté ») et ce qui complique votre vie, vous « a rendu la vie plus facile ».

Le but est mondial. M. Thierry Breton, commissaire au marché intérieur, a quant à lui déclaré :

« Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

Le certificat covid numérique : l’essayer, c’est l’adopter !



L’émergence du néofascisme en santé publique

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Je republie ici un texte paru sur le site du Brownstone Institute, une des sources où paraissent des contenus pertinents et non assujettis à la propagande crapuleuse qui a colonisé l’entier des médias « mainstream ».

Ceux-ci sont parvenus, avec une idéologie et des moyens totalitaires faits de désinformation, de calomnie et de harcèlement (comme nous l’avons développé précédemment), à imposer une pensée unique fallacieuse et criminelle. Ils ont intoxiqué les populations avec un narratif soigneusement ciselé mais qui est une insulte à la réalité et à l’intelligence.

Alors que les meilleurs experts au monde (par milliers) n’ont cessé de dénoncer les décisions destructrices et absurdes qui ont été prises, quand en avons-nous lu quoi que ce soit dans ces médias ?

Martin Kulldorf, épidémiologiste et professeur émérite de santé publique de l’Université de Harvard, a bien résumé la situation aux États-Unis, la même chose devant être dite ici :

Après avoir supervisé le pire fiasco de l’histoire en matière de santé publique, poussé à la fermeture des écoles, ignoré les dommages collatéraux et l’immunité naturelle, mal protégé les personnes âgées, etc., il est troublant que  Fauci soit toujours à la tête du NIAID (organisme responsable de la gestion des épidémies, NdT).

Quand avez-vous lu dans les colonnes de Heidi News du Temps, de Libé ou du Monde, ou entendu sur les plateaux de la RTS, de BFM ou de la RTBF que la plupart des meilleurs spécialistes en santé publique s’opposaient avec fermeté aux mesures débiles qui nous été imposées comme les confinements, le port du masque ou l’imposition d’injections géniques hasardeuses et expérimentales à la population tout entière ?!

Nulle part et jamais, tant ces organes de « presse » ne sont plus que des propagandistes sans scrupules d’un agenda fasciste et qui n’a accessoirement jamais rien eu à voir avec la santé publique. Voici par exemple ce que rappelle le Dr Gemma Aherane maintenant qu’aux États-Unis, un début de reconnaissance commence à se manifester quant à la nocivité des confinements :

Maintenant que les médias mainstream commencent à reconnaître les dommages complexes produits par les confinements, pouvons-nous s’il vous plaît nous souvenir que les experts qui ont été exprimé des réticences ont été harcelés et ont vu leurs conditions d’existence menacées. Ils ont été ostracisés, salis et ridiculisés. Ne l’oublions pas.

N’oublions en effet pas qu’ici, ce sont des gens comme Bertrand Kiefer, Serge Michel, Stéphane Benoît Godet, Claude Ansermoz, Alexis Favre et bien d’autres ainsi que des émissions comme Mise au Point et Temps Présent qui se sont chargés de manière zélée de cette sale besogne, en collusion avec les « experts » véreux de nos hôpitaux universitaires.

C’est donc avec conviction que je publie ici cette tribune du Dr David Bell, médecin en santé publique ayant travaillé pour l’OMS, portant sur l’abjection littéralement fasciste qui s’est emparée des politiques de santé publique sous l’action conjuguée des politiciens, des autorités médicales, des fonctionnaires (comme les lamentables « médecins cantonaux ») et des médias.

À bon entendeur…


L’émergence du néofascisme dans la santé publique

Par David Bell

Le fascisme est l’art de cacher la vérité derrière une façade de vertu saine. Il est, vraisemblablement, aussi vieux que l’humanité. Mussolini lui a simplement donné un nom – en cachant ses idées autoritaires derrière l’assèchement des marécages, la rénovation des villages, les enfants à l’école et les trains à l’heure. L’image du nazisme dans les années 1930 n’était pas celle de vitres brisées et de vieillards battus dans la rue, mais celle de jeunes souriants et heureux travaillant ensemble en plein air pour reconstruire le pays.

[Ndlr : le fascisme repose techniquement sur une alliance de l’État et des corporations privées, comme ce que l’on voit de plus en plus de nos jours avec le « PPP » ou « partenariat public-privé ».]

Il est dangereux de coller de telles étiquettes à l’époque actuelle, car elles sont porteuses d’un lourd bagage, mais cela permet aussi de déterminer si le bagage actuel que nous avions cru progressiste est en réalité régressif. Ces jeunes gens souriants et heureux des années 1930 étaient en fait formés aux arts de l’autosatisfaction, du dénigrement des idées fausses et de l’obéissance collective. Ils savaient qu’ils avaient raison et que le problème venait de l’autre camp. Cela vous est-il familier ?

Les changements sociétaux de ces deux dernières années ont été définis et dirigés par la « santé publique ». Il est donc juste de chercher des analogies avec la santé publique dans le passé pour aider à comprendre ce qui se passe, quels en sont les moteurs et où ils pourraient mener. Nous avons vu nos professions de santé publique et les associations qui les représentent appeler à la discrimination active et à la coercition sur le choix médical. Ils ont plaidé en faveur de politiques qui appauvrissent les autres, tout en maintenant leurs propres salaires, en contrôlant la vie familiale normale et même en dictant la façon dont ls gens peuvent faire le deuil de leurs morts.

Des hôpitaux ont refusé des transplantations à des personnes qui avaient fait des choix médicaux sans rapport avec l’hôpital et que celui-ci n’appréciait pas. Je les ai vus refuser à une famille l’accès à un proche mourant jusqu’à ce qu’il accepte des injections qu’il ne voulait pas, puis autoriser un accès immédiat, confirmant ainsi que ce n’était pas l’immunité, mais la conformité, qui était recherchée.

Nous avons tous vu d’éminents professionnels de la santé vilipender et dénigrer publiquement des collègues qui cherchaient à réaffirmer des principes sur lesquels nous avons tous été formés : absence de coercition, consentement éclairé et non-discrimination. Plutôt que de faire passer les gens en premier, un collègue professionnel m’a informé, lors d’une discussion sur les preuves et l’éthique, que le rôle des médecins de santé publique était d’appliquer les instructions du gouvernement. Obéissance collective.

Ces mesures ont été justifiées par le « plus grand bien » – un terme indéfini car aucun gouvernement défendant ce discours n’a, en deux ans, publié de données claires sur les coûts et les avantages démontrant que le « bien » est plus grand que le mal. Cependant, le décompte réel, bien qu’important, n’est pas la question. Le « plus grand bien » est devenu une raison pour les professions de santé publique d’annuler le concept de la primauté des droits individuels.

Ils ont décidé que la discrimination, la stigmatisation et la suppression des minorités étaient acceptables pour « protéger » une majorité. C’est ce qu’était, et est toujours, le fascisme. Et ceux qui ont promu des slogans tels que « la pandémie des non-vaccinés » ou « personne n’est en sécurité tant que tous ne le sont pas » connaissent l’intention et les résultats potentiels de la désignation de boucs émissaires pour les minorités.

Ils savent aussi, grâce à l’histoire, que la nature fallacieuse de ces déclarations n’empêche pas leur impact. Le fascisme est l’ennemi de la vérité, et jamais son serviteur.

Le but de cet article est de suggérer que nous appelions un chat un chat. Que nous disions les choses telles qu’elles sont, que nous disions la vérité. Les vaccins sont des produits pharmaceutiques dont les avantages et les risques varient, tout comme les arbres sont des objets en bois avec des feuilles. Ce sont les personnes qui ont des droits sur leur propre corps, et non les médecins ou les gouvernements, dans toute société qui considère que toutes les personnes ont une valeur égale et intrinsèque.

La stigmatisation, la discrimination et l’exclusion sur la base de choix de soins de santé, que ce soit pour le VIH, le cancer ou le COVID-19, est une erreur. Exclure et vilipender des collègues pour des opinions divergentes sur l’utilisation de médicaments sûrs est arrogant. Dénoncer ceux qui refusent de suivre des ordres contraires à l’éthique et à la morale est dangereux.

Suivre aveuglément les diktats des gouvernements et des entreprises simplement pour se conformer au « groupe » n’a rien à voir avec la santé publique éthique. Tout cela a plus en commun avec les idéologies fascistes du siècle dernier qu’avec ce qui était enseigné dans les cours de santé publique que j’ai suivis. Si c’est la société que nous souhaitons développer aujourd’hui, nous devons le dire ouvertement et ne pas nous cacher derrière des façades de fausse vertu comme « l’équité vaccinale » ou « tous dans le même bateau ».

Ne nous laissons pas enfermer dans les subtilités politiques de la « gauche » et de la « droite ». Les dirigeants des deux principaux régimes fascistes d’Europe des années 30 étaient issus de la « gauche ». Ils s’appuyaient fortement sur les concepts de santé publique du « plus grand bien » pour éliminer les penseurs inférieurs et les non-conformistes.

Notre situation actuelle appelle à l’introspection, pas à la partisanerie. En tant que profession, nous nous sommes conformés aux directives visant à discriminer, stigmatiser et exclure, tout en brouillant les exigences en matière de consentement éclairé. Nous avons contribué à supprimer les droits humains fondamentaux – à l’autonomie corporelle, à l’éducation, au travail, à la vie familiale, à la circulation et aux déplacements. Nous avons suivi les autoritaires des entreprises, en ignorant leurs conflits d’intérêts et en les enrichissant alors que notre public s’appauvrissait. La santé publique n’a pas réussi à mettre les gens aux commandes et est devenue le porte-parole d’une petite minorité riche et puissante.

Nous pouvons continuer sur cette voie, et cela finira probablement comme la dernière fois, sauf peut-être sans les armées des autres pour renverser la monstruosité que nous avons soutenue.

Ou nous pouvons trouver l’humilité, nous rappeler que la santé publique doit être au service du peuple et non l’instrument de ceux qui cherchent à le contrôler, et éliminer le monstre de notre milieu. Si nous ne soutenons pas le fascisme, nous pouvons cesser d’être son instrument. Nous pourrions y parvenir simplement en suivant l’éthique et les principes fondamentaux sur lesquels reposent nos professions.

David Bell, chercheur senior du Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Foundation for Innovative New Diagnostics (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, aux États-Unis. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale. MBBS, MTH, PhD, FAFPHM, FRCP

  • Pour lire l’article original en anglais : cliquer ici.



Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie

[Source : medias-presse.info]

Accès à la première partie de cet entretien [ou ici]

Dans une lettre envoyée au président américain de l’époque, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » – un terme largement utilisé – mais aussi à une « Église profonde » [Voir L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »]. Qu’entendez-vous par là et comment ces structures pourraient-elles être liées ?

L’Église profonde est à l’Église catholique tout comme l’État profond est à l’État : les deux sont la version corrompue et pervertie de l’institution qu’ils tiennent en otage et qu’ils ont infiltrée.

Les membres de l’Église profonde sont d’autant plus inconnus que leur pouvoir est grand : les personnalités publiques sont presque toujours des marionnettes dociles envers ceux qui tirent les ficelles. Biden et Bergoglio sont les hommes de paille de l’idéologie qui les unit : un mélange de collectivisme maoïste, de libéralisme maçonnique et d’œcuménisme conciliaire, avec des clins d’œil à l’idéologie du genre et aux instances LGBTQ.

Il faut cependant répéter que l’État profond et l’Église profonde ne sont que les deux déclinaisons de la même coupole éversive [Ndlr : qui renverse, qui bouleverse.] qui s’est appropriée le pouvoir en subvertissant l’autorité et en pervertissant les fins. Dans l’ordre naturel, l’État a pour but la bonne gouvernance et le bien commun des citoyens : les traîtres de l’État profond en ont fait l’ennemi des honnêtes gens et le complice des criminels. Dans l’ordre surnaturel, l’Eglise a pour but le gouvernement des fidèles et la sanctification des âmes : les traîtres de l’Église profonde condamnent ceux qui préservent la Foi et la Morale et louent publiquement les hérétiques, les sodomites, les avorteurs, les usuriers, les meurtriers et les criminels. Mais que cela soit clair : si dans les projets délirants de ceux-ci il y a la destruction de l’État et de l’Église moyennant la démolition ou la corruption de ceux qui détiennent l’autorité dans l’un et dans l’autre, nous savons bien que si une nation, une culture, une langue, une civilisation peuvent aussi disparaître, dans le cas de la Sainte Église, la promesse de Notre Seigneur reste valable pour toujours : portæ inferi non prævalebunt adversus eam [Ndlr : les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle]. Nous ne devons pas penser que les événements terrestres de l’Église doivent être jugés selon des paramètres purement humains, mais plutôt avoir la certitude que le Seigneur protégera son Église ut pupillam oculi [Ndlr : comme la prunelle des yeux].

Une objection de la part de ceux qui rejettent quelque chose en la qualifiant de conspiration est la suivante : comment est-il possible que dans presque tous les pays du monde, presque tous les politiciens participent à cette farce ? Qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour envoyer la moitié du monde en confinement ?

L’objection à ceux qui soutiennent la théorie du complot mondial est légitime et compréhensible, parce que chacun de nous a justement été éduqué à un système partagé de valeurs et de principes que nous tenons toujours pour acquis : que le fils doit faire confiance au père ; que l’élève peut faire confiance à l’enseignant ; que le patient peut compter sur le médecin pour être soigné ; que ceux qui voient un droit violé peuvent obtenir justice d’un tribunal impartial ; que les nécessiteux peuvent espérer dans la compassion et la charité des autres ; que le citoyen a en ses dirigeants ses gardiens et protecteurs ; que les fidèles peuvent écouter avec confiance la voix des Pasteurs, comme si c’était la voix même du Christ ; que le lecteur n’est pas trompé par les agents de l’information ; que le client ne doit pas craindre d’être trompé par le commerçant, ou empoisonné par le restaurateur. Dans ce système, l’autorité du père, de l’enseignant, du médecin, du juge, du dirigeant, se réfère à l’autorité de Dieu, qui est Père, Maître, Juge et Roi. Il est évident que l’œuvre de dissolution de la société chrétienne – puisqu’elle l’est encore, même si elle n’en conserve plus que quelques traces – est motivée par la haine inextinguible de Satan contre le Christ.

Mais que se passe-t-il si, avec un travail constant de plus de deux cents ans, l’ennemi infiltre les écoles, les tribunaux, les institutions, les séminaires, les entreprises et les syndicats, et conquiert progressivement le sommet, prenant des ordres du même groupe de pouvoir qui commande tout le monde, qui fait chanter ou récompense tout le monde ? Face à l’évidence d’une telle subversion, nous ne devons pas fermer les yeux parce que cela semble incroyable de ne pas l’avoir remarqué auparavant, mais plutôt avoir le courage de reconnaître que beaucoup, trop de nos silences ont permis au conseiller municipal corrompu, au curé vicieux, au soldat malhonnête, à l’assistant ignorant, au médecin sans scrupules, à l’employé apathique de devenir parlementaire, évêque, général, professeur, ministre et de s’être ainsi rendu sensible au chantage. En fin de compte, peu commandent, et les nombreux qui obéissent le font principalement par conformisme ou pour cacher de petites mesquineries. Mais ces quelques-uns – et nous le savons par les données qu’ils diffusent eux-mêmes – ont vraiment un pouvoir exorbitant, qui augmente avec chaque nouvel adepte nommé à la tête des institutions. Ce n’est pas impossible, au contraire : c’est extrêmement simple, si l’on considère qui possède les médias, qui finance les partis politiques, qui parraine les institutions internationales, qui donne les rapports de fiabilité aux budgets des nations. Ce sont toujours les mêmes, dirigés par quelques fonds d’investissement et un nombre encore plus restreint de représentants de la haute finance usuraire. Les noms sont ceux-là, et on les connaît.

Quelques années se sont écoulées depuis que vous avez vivement critiqué le pape François pour avoir révoqué les peines prononcées contre l’ancien archevêque de Washington, Theodore McCarrick, qui est l’un des principaux accusés du scandale des abus de l’Église catholique aux États-Unis. Un acte honteux. En tant que critique véhément d’une approche conciliante de ce problème apparemment récurrent dabus sur mineurs, que pouvez-vous dire sur la prévalence et l’importance de ce phénomène cruel dans l’Église catholique et la politique occidentale ?

Après ma dénonciation de l’affaire McCarrick, j’ai essayé de montrer le lien entre la corruption morale et doctrinale, en soulignant que la crise de la foi et de la liturgie qui a suivi le Concile Vatican II ne pouvait manquer d’entraîner une subversion de la Morale chez les fidèles et dans le clergé. Parce qu’une foi déviée conduit à une morale déviée. Un hérétique ne sera jamais une personne honnête, chaste, sincère : s’il embrasse les mensonges et les erreurs dans des choses qui concernent directement la Vérité de Dieu, c’est-à-dire Dieu lui-même, d’autant plus il pourra faire sa propre morale – ce que les modernistes appellent la moralité de la situation – qui s’adapte aux circonstances.

L’erreur du Concile Vatican II, d’abord déguisée pour cacher son caractère subversif – était précisément celle de penser que nous pouvions préserver la Foi intacte dans un hyperuranium [Ndlr : une royaume de formes parfaites (par comparaison à un royaume d’idées parfaites).], considérant obsolète et trop difficile de demander aux fidèles de l’embrasser dans sa totalité ; et dans le domaine moral, préserver la Morale comme modèle abstrait, en laissant les catholiques choisir selon leur convenance quels principes suivre et lesquels ne pas suivre. Pour l’Église conciliaire, la doctrine de la divinité de Notre-Seigneur reste théoriquement valable, mais on peut accepter qu’il y ait ceux qui n’y croient pas, en émettant l’hypothèse d’un chemin – qui n’est généralement jamais entrepris – de lente conversion qui devrait conduire à embrasser tout l’enseignement catholique. De même, l’avortement ou la sodomie sont des péchés qui crient vengeance devant Dieu, mais restent des notions abstraites que les Pasteurs en premier ne demandent pas aux fidèles de suivre. Ainsi donc le voleur continue à voler en vue d’une future conversion, rassuré par le fait qu’il ne tue ni ne commet d’adultère. Ceux qui commettent l’adultère se sentent rassurés par le fait qu’ils ne battent pas leurs enfants et n’exploitent pas leurs employés. Mais ce n’est pas ce que Notre Seigneur a demandé : Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande (Jn 15, 9), a-t-il dit ; et non : vous êtes mes amis si vous choisissez en quoi m’obéir. Être catholique signifie faire un choix héroïque, par lequel nous n’adhérons pas à une association philanthropique, mais sommes incorporés par le Baptême dans le Corps mystique du Christ, et par la Grâce nous sommes faits enfants de Dieu le Père en Christ. La médiocrité n’est pas possible pour un catholique, encore moins pour un prêtre ou un évêque.

Cette attitude relâchée est révélatrice d’une vision humaine de l’Église qui, selon eux, devrait s’adapter dans la pastorale à la mentalité du monde, en maintenant dans le magistère l’enseignement du Christ, comme dans une sorte d’archive que personne ne consultera jamais parce qu’on le considère comme utopique et irréaliste. Une façon de faire taire la conscience en préservant le depositum fidei [Ndlr : dépôt de crédit] mais pour seconder les convoitises et le péché en légitimant les déviations doctrinales et morales.

Il est évident que pour convaincre les évêques de renoncer à l’intégrité du Magistère catholique, il fallait les corrompre dans l’âme, car un prélat vicieux – et souvent l’objet de chantage – n’ose pas demander aux autres de respecter les commandements qu’il enfreint en premier. C’est pourquoi les infiltrés de l’Église profonde ont éliminé ou marginalisé en quelques décennies la partie saine du clergé et de l’épiscopat, la remplaçant par des vicieux, des luxurieux, des corrompus et des hérétiques. Leur simple présence au sommet de la Hiérarchie est l’outil le plus efficace pour détruire l’Église de l’intérieur, tout comme l’État profond l’a fait dans la sphère civile : un politicien corrompu ou pouvant faire l’objet d’un chantage votera pour des lois qui légitiment la corruption et le vice, et s’il ne veut pas le faire parce qu’il a quelques scrupules moraux, il le fera, autrement ses scandales personnels seront mis en lumière.

La seule façon de sortir de ce labyrinthe infernal est une action moralisatrice de l’Autorité, qu’elle soit religieuse ou civile. Celui qui commande doit savoir que son pouvoir appartient à Dieu et qu’en l’exerçant, il doit se prévaloir de toutes les vertus requises pour la bonne gouvernance et pour atteindre le but pour lequel l’autorité est constituée. Le concept d’« autorité vicaire » était très clair jusqu’à la Révolution Française, car il était inextricablement lié à la Foi : ce fut la suppression de Dieu de la société qui a ipso facto rendu les dirigeants des tyrans potentiels, car elle les a déchargés de leur responsabilité morale devant Dieu – l’unique Seigneur et Roi – limitant la question du pouvoir à la convenance de la majorité. La même chose s’est produite dans l’Église, qui a préféré se réconcilier avec le monde et assumer sa mentalité profane, convaincue qu’elle pourrait survivre – elle qui est une institution divine avec une fin surnaturelle – se présentant comme une institution humaine à des fins humanitaires.

Quand les Evêques – et le Pape –  reviendront à la Foi, quand ils aimeront Dieu à nouveau tel qu’Il s’est révélé à nous et dans ce qu’Il nous a enseigné ; quand ils se rendront compte que chacun de leurs manquements, chaque erreur enseignée aux simples, chaque déviation tolérée a défiguré le visage du Christ, a déchiré sa chair dans la flagellation, a transpercé ses mains et ses pieds dans la crucifixion, et qu’à cause de cela Notre Seigneur est mort pour nous racheter, ils seront prêts à mourir pour témoigner de leur fidélité à Celui qui les a constitués en autorité. Tant qu’ils essaieront de naviguer avec la logique humaine, leur ministère sera vide, tout comme leurs églises, leurs séminaires, leurs couvents sont vides. Ils disparaîtront par extinction, tandis que les bons prêtres continueront à faire ce qui a toujours été fait pour la gloire de Dieu et la sanctification des fidèles.

Bien entendu, il n’est pas possible de fournir une évaluation médicale à cet égard. Cependant, puisque vous interprétez la crise actuelle non seulement comme une crise médicale ou politique, mais vous reconnaissez une pertinence eschatologique aux événements actuels, nous serions intéressés de savoir comment vous évaluez, de votre point de vue théologique, les injections d’ARNm, qui jouent un rôle crucial dans toute l’orchestration.

La modification de l’ADN de l’individu causée par le sérum expérimental avec une nouvelle technologie d’ARNm est peut-être l’aspect le plus alarmant de cette bataille historique. S’il y a des puissances économiques qui n’ont aucun scrupule à cibler la population mondiale pour en affaiblir le système immunitaire, provoquer des morts subites et nous rendre tous malades chroniques à qui vendre leurs concoctions ou leurs services de santé, d’autre part il y a des gens qui sont voués au mal et qui sont bien conscients de travailler pour un plan infernal, pour l’avènement de l’Antéchrist à travers la synarchie du Nouvel Ordre Mondial.

Dans la tentative de modifier génétiquement l’homme, nous voyons portée aux extrêmes conséquences l’aversion de Satan contre la Création, et en particulier contre l’homme, qui, dans l’économie du salut, a été choisi pour être le temple de la Très Sainte Trinité, l’image de Dieu.

Dans votre lettre au président de l’époque Donald Trump, vous parlez d’une confrontation entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Où en sommes-nous dans cette confrontation ? Quels sont les résultats possibles de cette lutte ? Que pouvons-nous faire, nous qui voulons défendre la lumière ?

Les événements spirituels se croisent avec les événements terrestres, l’Histoire se croise avec l’éternité de Dieu, les événements humains sont le champ de bataille dans lequel les enfants des ténèbres combattent les enfants de la Lumière : une bataille qui, pour l’humanité, a commencé avec la chute d’Adam, trompé par Satan et illusionné de pouvoir être comme Dieu. Cette tentation se répète au cours des siècles à tout homme, chaque fois que l’Ennemi tente de le persuader qu’il peut décider indépendamment de ce qui est bien et de ce qui est mal, en s’arrogeant les droits souverains du Seigneur sur les créatures. C’est la bataille qui est menée encore aujourd’hui, après des siècles de rébellion contre la Loi de Dieu et de refus de reconnaître la Seigneurie de Jésus-Christ. En fin de compte, tout revient à ce discrimen, à « celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi » (Lc 11, 14), et à notre réponse libre à l’amour de Dieu, le Créateur et Rédempteur.

Juger ces événements historiques comme une simple conspiration humaine visant le pouvoir, serait réducteur ; penser que tous les partisans de la Grande Réinitialisation sont des adorateurs convaincus de Satan est une exagération. Mais précisément à cause de notre faiblesse, toute humaine, non seulement en accomplissant le bien, mais aussi en faisant le mal, nous pouvons pousser le Seigneur à la miséricorde, de sorte qu’Il confonde les desseins des méchants ne leur permettant pas de réaliser leurs projets. Les bons sont désorganisés, divisés, querelleurs ; les méchants très bien organisés, unis et toujours unis adversus Dominum, et adversus Christum ejus [Ndlr : contre le Seigneur et contre son Christ]. Mais les bons, s’ils comprennent la dimension spirituelle de cet affrontement historique et décident de prendre parti sous les bannières du Christ Roi, pourront remporter la victoire avec Lui et voir les ennemis communs vaincus.

Permettez-moi de conclure cet entretien en vous remerciant, Maître Fuellmich, de m’avoir donné l’occasion d’exprimer ma pensée sur ces questions importantes. Je souhaite à tous les membres de la Commission Corona et à tous ceux qui, dans chaque pays, combattent le Léviathan mondialiste d’être en mesure d’obtenir les résultats souhaités. Je vous bénis cordialement.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

3 juin 2022

© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò




Le fait de blâmer Poutine pour tous les malheurs aide Poutine

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Dmitry Orlov – Le 6 juin 2022 – Source Club Orlov

Orlov

La crise systémique à laquelle nous assistons actuellement en Occident (et dans d’autres parties du monde qui sont trop étroitement liées à l’Occident pour ne pas la vivre également) est objectivement causée par l’Occident lui-même. Mais les Occidentaux, qui n’ont pas l’habitude de reconnaître leurs erreurs (étant tous supérieurs, indispensables et infaillibles dans leur propre esprit), sont obligés d’expliquer leurs échecs épiques dans pratiquement tous les domaines en rejetant la faute sur Poutine. En fait, ils ne blâment même pas la Russie en général, mais Poutine personnellement ; après tout, la Russie peut être bonne et agréable par moments (comme elle l’était sous Gorbatchev et Eltsine), mais Poutine la fait mal se comporter. C’est pourquoi tout doit être de la faute de Poutine.

Voilà où nous en sommes : un président des États-Unis (ou quiconque dirige son téléprompteur), qui, au cours de sa campagne électorale, a juré haut et fort qu’il assumerait la responsabilité de tout ce qui se passerait sous son commandement, claironne maintenant la « hausse des prix de Poutine » de façon si régulière et monotone que l’expression est devenue un mème.

Aujourd’hui, le discours disant que « tout est de la faute de Poutine » s’est étendu à tous les problèmes les plus sensibles : l’inflation, le prix du carburant, la hausse des prix des denrées alimentaires et même… la pénurie de lait maternisé ! Il s’avère que les pénuries ne sont pas dues à la découverte de bactéries dangereuses dans les produits d’un producteur ayant un monopole, mais à une pénurie d’huile de tournesol importée depuis… l’Ukraine. C’est ce qu’affirme le Wall Street Journal, pas moins ! Les étapes logiques nécessaires pour rejeter la faute sur Poutine sont alors évidentes : les pénuries sont dues à la guerre et la guerre est la faute de Poutine.

Cette merveilleuse stratégie fonctionne très bien à court terme, mais elle présente une vulnérabilité majeure à plus long terme en raison d’un certain mécanisme de la psychologie de masse. Superficiellement, c’est simple et apparemment à l’épreuve des balles : Poutine est irrationnel ; il a des ambitions impériales, souffre de paranoïa, de la folie des grandeurs, est obsédé par la restauration de l’URSS… Comme ses motivations sont irrationnelles, il est impossible de les traiter par des moyens rationnels tels que la négociation, la diplomatie, le compromis, etc. Poutine est un dictateur fou qui possède de nombreux missiles nucléaires et tout ce que nous pouvons faire, c’est subir. Cette construction semble suffisante pour la plupart des objectifs, notamment pour expliquer les problèmes sociaux, les questions économiques et les échecs des dirigeants. Mais seulement à court terme.

Si le raz-de-marée de sanctions sans précédent que l’Occident a envoyé à la Russie avait produit une sorte d’effet tangible au cours des deux ou trois premiers mois de l’opération spéciale russe en Ukraine, alors cette stratégie aurait suffi à soulager les masses occidentales souffrantes du choc de la crise en cours (bien que la crise aurait continué à se dérouler même si l’économie russe s’était effondrée). Mais à plus long terme, cette stratégie ne fonctionne plus. Tout d’abord, le récit disant c’est « la faute à Poutine » est plutôt monotone et vieillit rapidement. Deuxièmement, et c’est bien plus important, au niveau de l’inconscient collectif, il crée l’impression que Poutine est un dieu : tout-puissant, super-influent et capable d’influencer les processus tant mondiaux que locaux par des moyens subtils et invisibles. De plus, Poutine le dieu ressemble à Zeus et dispose de puissantes foudres atomiques, ce qui ajoute un attrait terrifiant à son image déjà effrayante.

Tôt ou tard, le subconscient collectif occidental se fera une idée simple et parfaitement logique : si Poutine est tout-puissant et super-influent, et si nous, avec nos faibles « sanctions infernales », n’avons rien pu faire pour l’affaiblir ou le déloger depuis trois, puis cinq, puis sept mois, alors, évidemment, nous devons nous entendre avec lui et accéder à ses demandes avant que les choses n’empirent pour nous ! Et alors qu’il serait avilissant pour l’inconscient collectif occidental de négocier avec un petit tyran ou un despote fou, négocier avec un demi-dieu tout-puissant qui tient le destin de l’humanité entre ses mains n’est pas du tout honteux mais une mesure nécessaire, inévitable, éminemment raisonnable. De plus, il devrait être possible de présenter un tel compromis en termes flatteurs : comme un cadeau magnanime de la communauté des nations civilisées offert de bonne foi afin de sauver le monde de l’armageddon nucléaire sur le point d’être déclenché par un demi-dieu tout-puissant et en colère.

En retour, si les politiciens occidentaux sont, comme on peut s’y attendre, réticents à négocier avec Poutine et à faire des compromis, les masses occidentales souffrantes leur reprocheront tout retard. Si Poutine est tout-puissant et super-influent, alors pourquoi ne négocient-ils pas et ne cherchent-ils pas de compromis dès maintenant ? Qu’attendent-ils ? Qu’est-ce qui ne va pas chez eux ? L’élément le mieux informé parmi les masses occidentales pourrait même être en mesure de deviner vaguement un fait rarement discuté mais plutôt évident : ce que Poutine veut n’est pas du tout déraisonnable. Il veut juste une partie de l’Ukraine (pas nécessairement toute l’Ukraine, juste les parties patriotiques et enthousiastes) et il veut aussi que l’OTAN s’éloigne des frontières de la Russie, jusqu’en enfer s’il le faut.

« Pourquoi voulons-nous cette Ukraine de toute façon ? » pourrait se demander cet élément éclairé. Après tout, la plupart des Occidentaux ont vécu de nombreuses années heureuses sans savoir que l’Ukraine existait. Qui plus est, la découverte récente de son existence a coïncidé avec le début d’une crise très désagréable, et ils n’arrivent toujours pas à trouver ce satané endroit sur une carte ! Et maintenant, ils doivent subir des prix de l’essence qui montent en flèche, une nourriture inabordable, une inflation galopante, des pénuries de lait maternisé, tout cela parce que des politiciens stupides refusent de donner à Poutine cette putain d’Ukraine dont personne d’autre ne veut de toute façon ? (Enfin, la Pologne en veut, mais qu’est-ce que la Pologne, bon sang ?) Allez ! Soyez raisonnables ! Débarrassez-vous de ce stupide terrain de jeu ne servant qu’à Hunter Biden et passons à autre chose !

Tel est le nouveau récit qui se forme inévitablement dans l’inconscient collectif de l’Occident, et à mesure que le temps passe, que les prix de l’énergie continuent d’augmenter, que les pénuries de toutes sortes de choses deviennent monnaie courante… et que, pendant ce temps, le rouble se renforce et que la Russie devient de plus en plus riche malgré les « sanctions infernales », déplaçant sans hâte son légendaire mur d’artillerie vers l’ouest à travers le paysage ukrainien, ce récit deviendra de plus en plus fort et finira par devenir dominant. À ce moment-là, toute tentative de « blâmer Poutine » sera accueillie par des huées, des sifflets et une volée de légumes pourris. Que devons-nous attendre des politiciens occidentaux dans de telles circonstances ? Nous ne devons pas nous attendre à des surprises ; ils feront ce qu’ils ont toujours fait : ils essaieront de supprimer le nouveau récit concurrent. Ils « annuleront » toute personne qui tentera de l’articuler dans l’espace médiatique. (Attention Tucker Carlson !)

Ce faisant, l’Occident se fera l’écho de ce qui s’est passé en Ukraine même – un symptôme de l’ukrainisation rampante de l’Occident. En Ukraine, pour chaque échec désastreux et catastrophique qui s’est produit en 2014 et 2015, le régime de Kiev l’a carrément attribué à Poutine personnellement. Au fil du temps, il a réussi à former une sorte de quasi-culte de Poutine en tant que divinité maléfique toute-puissante qui s’acharne à détruire la pauvre petite Ukraine si câline et endolorie. En conséquence, en 2018, à une année près, un nouveau récit s’est formé dans le subconscient collectif ukrainien : « Pourquoi avons-nous besoin de cette Crimée infestée de Russes ou de ce Donbass hargneux ? Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement les donner à Poutine, afin qu’il nous laisse tranquilles et nous laisse nous développer en tant que pays orienté vers l’Europe ? »

Qu’a fait le régime de Kiev face à ce nouveau discours ? Il a fait tout ce qu’il pouvait pour le supprimer. Il ne s’agissait pas d’une quelconque initiative indépendante de sa part ; après tout, il s’agit d’une administration coloniale dirigée par Washington. Et puisque Washington était occupé à organiser une guerre ukrainienne contre la Russie, tout récit impliquant la paix avec la Russie était tout simplement interdit. C’est pourquoi tous les partis politiques d’opposition ukrainiens ont été interdits, toutes les chaînes de télévision non contrôlées par le gouvernement ont été fermées et tous ceux qui se sont aventurés à penser que donner à des territoires indépendants de facto une chance de décider de leur propre sort pouvait être une bonne idée ont été accusés de séparatisme et emprisonnés ou tués. En conséquence, l’Occident a obtenu ce qu’il voulait : une guerre ukrainienne avec la Russie.

Mais ensuite, quelque chose a terriblement mal tourné. Poutine a devancé l’attaque ukrainienne et a allumé un contre-feu en envoyant des colonnes de chars sur un territoire précédemment contrôlé par le régime de Kiev, brouillant ainsi sa logistique et mettant un désordre épouvantable dans ses plans de bataille. Il s’est ensuite attelé à faire exploser méthodiquement la capacité militaire de l’Ukraine à l’aide d’armes à longue portée. Selon le calendrier prévu, tout cela aura disparu dans le courant du mois, malgré l’aide militaire occidentale. Et puis il s’est avéré que la Russie était prête pour les « sanctions infernales », après avoir passé huit ans à s’y préparer, et qu’elle a pu encaisser le coup, qui a ensuite rebondi sur l’Occident et a commencé à le réduire en miettes. Par réflexe, l’Occident a continué à suivre le modèle ukrainien et à tout mettre sur le dos de Poutine. Aujourd’hui, le récit alternatif d’un Poutine tout-puissant est pleinement formé et nous devons nous attendre à entendre de plus en plus de voix réclamer des négociations et des compromis avec lui.

Tucker Carlson, déjà cité, est l’une de ces voix, et l’influence qu’il exerce sur son vaste public donne le ton à une grande partie de l’électorat américain – même si son vote ne compte guère. De manière beaucoup plus surprenante, la même opinion a été exprimée à Davos par nul autre que le fossile parlant, Henry Kissinger ! En réponse, les Ukrainiens ont ajouté Kissinger à leur… base de données de terroristes. Plusieurs porte-paroles du régime de Kiev se sont étouffés de fureur. Comment a-t-il pu ? Ne sait-il pas que négocier avec Poutine est strictement interdit ? Ce récit doit être supprimé – en Ukraine et en Occident !

La stratégie consistant à tout mettre sur le dos de Poutine s’est retournée contre l’Ukraine et l’Occident et continuera de se retourner contre eux, rongeant le tissu social et démoralisant la population. Mais ce n’est pas tout ! Cette stratégie est aussi immensément utile à la Russie. Sans tenir compte de l’idée évidente selon laquelle tout ce qui est préjudiciable à l’Occident est automatiquement bénéfique pour la Russie, il existe un autre avantage, bien plus important, que cette stratégie procure directement à la Russie : elle contribue à rehausser le prestige de la Russie, et de Poutine, dans le reste du monde, qui est déjà à un niveau bien plus important pour la Russie, niveau que l’Occident n’aura jamais plus.

À l’heure actuelle, le monde est assez unifié en termes d’accès à l’information. Les élites de presque tous les pays ont accès à Internet et peuvent soit lire l’anglais, soit passer par Google Translate pour en saisir l’essentiel. Et ce qu’elles lisent, c’est que l’Occident, qui entre dans une crise majeure, rejette la faute sur Poutine. Par conséquent, Poutine est tout-puissant et super-influent. En outre, ces élites peuvent observer que Poutine n’a pas le moins du monde peur de l’Occident et qu’il est prêt à entrer en conflit avec lui – un conflit armé, comme détruire la plus grande armée d’Europe, une armée entraînée et commandée par des spécialistes occidentaux, sur une période de trois mois, en n’utilisant qu’une petite partie de sa propre armée et avec un minimum de pertes. Ils voient Poutine reléguer aux livres d’histoire le dogme militaire traditionnel selon lequel les attaquants doivent être plus nombreux que les défenseurs. Ils en tirent une conclusion évidente : Poutine est définitivement quelqu’un qu’ils doivent traiter avec beaucoup de prudence et de respect ; l’Occident ne le fait toujours pas jusqu’à maintenant. Plus le discours du « tout est de la faute de Poutine » continuera d’être utilisé, plus l’influence et le prestige de Poutine, déjà très importants sur la scène mondiale, augmenteront, ce qui, à son tour, améliorera les chances de la Russie de parvenir à des accords favorables dans pratiquement toutes les négociations internationales.

Mais cet avantage s’étend bien au-delà des relations bilatérales de la Russie. Pour la première fois depuis l’époque où elle faisait partie de l’Empire mongol, la Russie a une réelle chance d’affronter l’Occident non pas seule, mais dans le cadre d’une puissante coalition internationale.

  • Où étaient les grands pays non occidentaux lorsque la Russie a affronté l’Occident collectif au 17e siècle, avec la Pologne comme fer de lance ? L’Inde, la Perse et la Chine étaient toutes plongées dans leur propre jus, tandis que l’Empire ottoman était, comme d’habitude, hostile à la Russie. L’Afrique, l’Amérique du Sud, l’Asie du Sud-Ouest étaient des colonies occidentales.
  • Où étaient ces pays au 18e siècle, lorsque la Russie était accostée par les Suédois, avec le reste de l’Occident derrière eux ? La situation était à peine différente, sauf que le conflit avec les Ottomans était encore plus chaud.
  • Où étaient-ils au XIXe siècle, lorsque la Russie était assaillie par les Français, le reste de l’Europe se battant aux côtés de la France ? Toujours la même chose.
  • Où étaient-ils au 20e siècle, lorsque la Russie s’est battue contre l’Allemagne – deux fois ! – alors que le reste de l’Occident armait et finançait les Allemands ? Pendant la première moitié du siècle, ils étaient encore tous des colonies ou des semi-colonies, tandis que pendant la seconde, ils étaient encore en train de trouver leur propre voie et n’avaient pas grand-chose à offrir sur le plan militaire, économique ou politique.

Depuis l’époque de l’Empire du ciel bleu de Gengis Khan, qui englobait à un moment donné la Russie, la Chine, la Corée, l’Inde et la Perse (et présentait les thèmes russes familiers de la sécurité collective et de l’aide mutuelle obligatoire), jusqu’à aujourd’hui, la Russie a fait cavalier seul dans son conflit permanent avec l’Occident. Mais maintenant, Poutine, seul, a une chance de cimenter une gigantesque alliance internationale de nations non occidentales, comprenant la grande majorité de la population mondiale, une base de ressources indépendante et abondante et bien plus de la moitié de la puissance économique. Personne d’autre ne bénéficie d’un tel niveau de soutien de la part des relations publiques occidentales, à l’exception de la campagne « blâmez Poutine ». Le seul concurrent de Poutine dans la course au poste de nouveau Gengis Khan est Xi Jinping, qui souhaiterait vivement rejoindre la coalition en tant qu’égal de Poutine. Mais la Chine a un test à passer avant de pouvoir réaliser ce rêve : elle doit reconquérir Taïwan. Venger l’humiliation subie par la Chine des mains des Japonais serait une belle récompense supplémentaire. Une fois que la Russie aura expulsé les États-Unis d’Ukraine et que la Chine aura expulsé les États-Unis de Taïwan, la voie vers l’unification eurasienne sera claire.

Que restera-t-il à faire pour l’Occident, le cas échéant, ? Blâmer Poutine pour tout cela, bien sûr !

Crédit : A. Galkin

Dmitry Orlov

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Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Il vient d’être réédité aux éditions Cultures & Racines.

Il vient aussi de publier son dernier livre, The Arctic Fox Cometh.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Législatives françaises : domination néonazie encore pire que prévu

Par Lucien SA Oulahbib

Les graves incidents du Stade de France qui auraient dû invalider les deux tendances néonazies venues de l’extrême gauche (racialisme scientiste, étatiste, islamophile, anti-progrès de la « Nupes ») et de l’extrême centre (hygiéniste et affairiste anti-progrès de « Renaissance ») les ont au contraire affermis : comme si au sein de l’effondrement actuel de ce que fut la France, ce fleuron de l’intelligence humaine ayant bravé les siècles, les maigres électeurs ayant tout de même choisi ces sbires, et sans doute du fait de la fascination que cela engendre (le lapin pris dans les phares) avaient voulu accélérer la tombée de plus en plus fracassante de l’édifice France dans le précipice du « puits sans fond de l’Histoire ».

La France était (tout) au bord de celui-ci (elle y glissait déjà à vrai dire) et les électeurs ont décidé de donner un grand coup (un râle final) par « un grand bond en avant ». Merci Mao ! Et Maduro ! Où l’on voit que soit ces électeurs se sont construits une mémoire de poisson rouge et refusent d’observer la catastrophe (ils accélèrent même, pensant que le mur serait seulement celui d’un jeu vidéo), soit ils adhèrent complètement à l’idée qu’il faut précipiter encore plus la faillite absolue de ce qui restait encore d’industrie automobile, d’agroalimentaire, de productions artistiques et intellectuelles non encore passées sous Les Fourches caudines de l’effacement orwellien, tout en croyant que « les riches payeront » pour les uns, « Bruxelles payera » pour les autres, alors qu’à la différence de la Russie, les reins ont été détruits et que nous sommes sous dialyse depuis des lustres. Où l’on voit d’ailleurs en passant en ce qui concerne la Russie qu’il ne s’agit pas d’une affaire de « sanctions » et « d’embargo » pour faire plier une nation, ce qui invalide définitivement maintenant le discours vulgaire expliquant la destruction du Venezuela, de Cuba, du Zimbabwe par les « sanctions » américaines et britanniques.

Du masochisme, donc, de la cécité à l’évidence, au profit de ce sadisme cathodique (désormais numérique) à l’état chimiquement pur, bref, du néonazisme version 69 (année érotique). Huilé de libido catho-numérique (dégoulinant de moraline pixelisée), surtout à les voir parader sur tous les écrans alors qu’ils suintent de suffisances maquillées de chiffres et de lettres, de mensonges, toutes ces dresseuses de mouches et leurs courbes achalandées.

Comment expliquer cette soumission autrement ? Comment comprendre que l’ancien ministre de la Santé ait atteint un tel score alors qu’il a menti comme un arracheur de dents ?… Pourquoi celles et ceux qui se sont battus contre cette dictature sanitaire ont autant perdu sinon par l’envoûtement et le matraquage mental opérés par tous ces faux mages au visage d’ange (et au corps SPA savamment entretenu) s’étant mis au service du néonazisme libidinal ayant pu par exemple faire croire qu’il suffisait d’être bien fait de sa personne pour avoir la peau d’un vrai expert en agitant soit quelques chiffres qui se sont avérés faux et archifaux (létalité, saturation, efficacité), soit en prononçant les mots donneurs de sort (racisme, extrême droite, complotisme, poutinisme) alors qu’ils sont eux-mêmes ce qu’ils dénoncent.

Face à ce néonazisme au visage innocent, les amoureux de la France d’autrefois ont donc perdu. La France fière d’elle, lorsque la maxime « mieux qu’une race, une nation » pouvait laisser envisager que les origines et la couleur de peau étant mises de côté, chacun avait sa chance de progresser dans une société exigeante, profondément spirituelle, soucieuse de préservation et d’affinement.

Hélas, ces amoureux, malgré les entailles de plus en plus profondes, sont encore tenus dans les entrailles par tout un ensemble de courants passéistes revanchards n’ayant pas encore compris 1789, pas plus que les débâcles de 1940, 1954, 1962… Or tant que ces amoureux de la France ne se libéreront pas de cette redoutable hypnose doublée d’une amnésie, ce qui est appelé le « camp national » fera de plus en plus office de Vieille Garde… Et, c’est tout.

Quelques bouquinistes peut-être en garderont le souvenir, dont la BNF bien sûr… La France Terre d’Archives. Et, surtout, surtout, d’asiles. Places encore fortes ici et là. Bien plus que d’archipels.




Youssef Hindi : « Cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter »

[Source : lemediaen442.fr]

Youssef Hindi est écrivain, conférencier, historien des religions et géopolitologue, mais aussi spécialiste du messianisme et de ses implications historiques. Il vient de publier « Covidisme et messianisme » où, comme son nom l’indique, il fait apparaître les liens intimes qui existent entre cette pandémie de covid-19 et le messianisme actif. Il est un des mieux placés pour comprendre et expliquer les tenants et les aboutissants de ce tournant historique de l’histoire de l’Humanité qui se déroule sous nos yeux. Un livre à lire d’urgence, et une interview qui en donne un avant-goût.

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Youssef, et bienvenue sur Le Média en 4-4-2. Un jour, en réunion, Marcel nous a dit : « Quand vous avez lu un livre de Youssef Hindi, vous savez où vous habitez ! » Nous sommes donc ravis de vous accueillir pour parler avec vous de votre dernier livre « Covidisme et messianisme », afin de mieux cerner la crise que nous traversons.

Le messianisme se fonde, entre autres, sur la croyance que « la rédemption du peuple juif et les temps messianiques doivent être précédés de grandes catastrophes et de bouleversements majeurs » (page 25) ; le messianisme actif consiste, lui, à conduire le monde au plus bas pour hâter la venue du Messie. Vous étudiez ces thématiques depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui vous a fait dire en avril 2020 que le Covid n’était pas un simple virus provenant du marché de Wuhan  ?

Youssef Hindi : Il y a plusieurs indices qui m’ont mis la puce à l’oreille. Et surtout, je n’avais pas oublié le précédent : la pandémie de H1N1 en 2009 qui ressemblait, avec le recul, à une grande répétition du covid-19. Étant donné que les peuples ont la mémoire courte, il faut rappeler certains faits.
Tentant de provoquer une panique générale, les médias et les dirigeants nous ont présenté le H1N1 comme une pandémie dangereuse. Souvenez-vous aussi qu’AstraZeneca avait produit en un temps record un vaccin que le gouvernement de l’époque a tenté, en vain, d’imposer à la population qui n’avait pas été prise de panique. Rappelez-vous aussi de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, qui a acheté avec l’argent du contribuable pour 712 millions d’euros de doses de vaccins AstraZeneca, laboratoire dont Mme Bachelot avait été salariée.
L’on entendait marteler une rhétorique similaire à celle qu’on nous assène depuis le début du covid-19. Le H1N1 était, dans la bouche de Bachelot, cette ancienne déléguée à l’information médicale chez AstraZeneca, un virus mortel. Elle disait, alors qu’elle était ministre de la Santé, que « cette grippe (H1N1) a tué dix-huit personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque » et elle appelait à « ne pas relâcher la garde sur la vaccination », précisant que « la semaine prochaine, les médecins généralistes volontaires pourront vacciner dans leur cabinet ».

À la fin de l’épidémie H1N1, en 2010, le virologue Bruno Lina a reconnu « on en a fait beaucoup plus que ce qui était nécessaire » contre la grippe A (H1N1), et d’ajouter que « le virus n’était pas aussi dangereux qu’on l’avait cru ».

C’est ce qui me conduit à qualifier le Covid-19 de remake du H1N1.

En outre, les idéologues messianistes nous ont servi, à l’occasion du covid-19, le même discours qu’à l’époque du H1N1. À chacune de ces « pandémies », Jacques Attali et d’autres personnages éminents de l’oligarchie occidentale (Henry Kissinger, Gordon Brown) nous ont tenu et nous tiennent un discours quant à la nécessité de mettre sur pied un « gouvernement mondial » pour lutter contre le virus.

Dans mon ouvrage, Covidisme et messianisme, je remonte aux origines de cette obsession messianique dont les pandémies, les guerres et les révolutions sont perçues par une certaine élite comme des occasions d’opérer un saut qualitatif vers le gouvernement mondial.

Cela fait plusieurs années que j’étudie l’histoire et les différentes formes du messianisme, et j’y ai consacré plusieurs ouvrages. Dans une conférence récente, le célèbre philosophe et historien Marcel Gauchet ne dit pas autre chose que moi lorsqu’il affirme que « le messianisme juif est un impérialisme mystique ».

Youssef Hindi

« Le covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez en effet que ce messianisme actif a su, au cours de l’histoire, « révéler, accompagner ou prolonger certains événements et catastrophes historiques majeurs, à l’instar de la révolution de 1789, la révolution bolchevique, la Seconde Guerre mondiale, la chute du mur de Berlin et, aujourd’hui, la “pandémie” de covid-19 » (page 51) pour nous amener vers le gouvernement mondial tant désiré par cette élite. Sont-ils en train de pousser la dernière pièce d’un plan préparé depuis plusieurs siècles ? Sommes-nous proches de l’échec et mat, si nous ne faisons rien ?

Youssef Hindi : Je ne parle jamais de « plan préparé depuis des siècles ». Le messianisme n’est pas un plan, c’est une promesse eschatologique que l’on trouve inscrite dans la Bible hébraïque, c’est un mouvement, une espérance, une méthode de domination dans une certaine mesure. C’est un « impérialisme mystique ».

Tout au long de l’Histoire les messianistes ont cru voir dans certains événements les signes de la rédemption, de la venue du Messie ; et parfois ils ont suivi des personnages qui ont prétendu être « le Messie ».

Le Covid-19 est considéré par les messianistes, laïcs ou religieux, comme l’une de ces catastrophes précédant les temps messianiques attendus fiévreusement. Mais il ne s’agit pas de leur dernière pièce ni de la dernière catastrophe qui sera utilisée comme levier pour accéder à l’utopique gouvernement mondial.

Le 20 juillet 2020, le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab, déclarait que l’on « ne prête pas suffisamment attention à l’effrayant scénario d’une cyberattaque globale qui occasionnerait un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son entièreté. « La crise du Covid-19 sera perçue, à cet égard, comme une petite perturbation en comparaison à une cyberattaque majeure ».

Demeure également le risque d’une guerre mondiale, une confrontation entre le bloc otanesque, d’un côté, et la Russie ainsi que la Chine, de l’autre.

Sans oublier les catastrophes écologiques. L’écologisme étant un volet important du globalisme. Je traite de cet aspect dans Covidisme et messianisme. De même que mon collègue et cofondateur de Strategika, Pierre-Antoine Plaquevent, qui a produit des dossiers extrêmement pointus sur la vaccination, la dépopulation et l’urgence climatique, pour notre site Strategika.fr.

Chacun de ces événements « apocalyptiques » sera l’occasion et le prétexte de tenter d’imposer aux peuples de l’Occident et de sa périphérie une gouvernance dite mondiale, tyrannique, sanitaire, numérique et policière.

L’Histoire ne connaît pas d’échec et mat, du moins tant qu’elle n’est pas terminée. Pour les chrétiens et les musulmans, l’Histoire se conclut par l’imposition de l’ordre divin, le retour du Christ et la défaite des forces antichristiques. D’ici là, le combat continue, la guerre se poursuit, et celle-ci est pavée de batailles gagnées et perdues.

Donc il ne faut en aucun cas désespérer ni s’affliger, car ces choses doivent arriver, et ceux qui persévéreront dans la Vérité seront sauvés. La Vérité quant à elle perdurera jusqu’à la dernière Heure n’en déplaise à nos ennemis.

Le Média en 4-4-2 : A plusieurs endroits de votre ouvrage, vous employez le qualificatif « utopique » pour qualifier le projet de mise en place d’une gouvernance mondiale. Pourtant de nombreux dirigeants mondialistes l’appellent de leurs vœux et tous les éléments semblent se mettre en place pour que cela se réalise. Qu’est-ce qui vous fait dire que ce projet n’est pas réalisable ?

Youssef Hindi : Le terme « utopia » désigne un monde idéal, une société parfaite qui n’existe pas, qui n’a jamais existé. Du point de vue de certains messianistes, le gouvernement mondial – comme la dictature du prolétariat rêvée par les communistes –, cette utopie, cette société parfaite, est un objectif à atteindre. Dans le messianisme traditionnel, l’utopie correspond au paradis terrestre, au jardin d’Eden que la Torah (dans le livre de la Genèse) situe sur Terre, en Mésopotamie, et qu’il s’agit de restaurer. Mais cette restauration s’accompagne d’éléments utopiques. Le monde post-historique, l’ère messianique, est une synthèse de restauration et d’utopie.

Ce projet de gouvernement mondial est irréalisable pour la simple raison que les pays où vit l’écrasante majorité des habitants de la Terre ont à leurs têtes des dirigeants qui n’entendent pas dissoudre leur État dans le moule globaliste. La Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil et nombre de pays qui ne sont pas sous domination occidentale préservent, et parfois renforcent, leur souveraineté nationale.

[Ndlr : il est cependant à noter que tous les pays du monde — Chine, Inde, Russie et Brésil inclus — à l’exception d’une poignée font partie des l’ONU, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales.]

Seuls les États occidentaux, avec des nuances, suivent la voie du transfert de souveraineté vers des institutions supranationales comme l’Union européenne et acceptent d’abandonner leurs prérogatives régaliennes, à l’instar du contrôle monétaire. Il faudrait donc plutôt parler d’un gouvernement occidental, européen plus précisément. Mais il n’est pas certain que les peuples européens se laissent gouverner par un président de l’Union européenne prenant ses ordres à Washington sans heurts ni révoltes.

« La violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes »

Le Média en 4-4-2 : En parlant de vagues de révoltes, vous expliquez (page 87) que les élites ont précipité leur agenda avec le covid suite aux menaces qu’ont constitué le Brexit, l’élection de Trump en 2016 et les Gilets Jaunes. A se précipiter, ont-ils commis des erreurs qui pourraient jouer contre eux ? Et quel regard portez-vous sur les mouvements de contestation actuels ?

Youssef Hindi : La politique économique, depuis les années 80, consiste à détruire le monde ouvrier dans un premier temps et les classes moyennes dans un second. Les tenants du capitalisme financier qui dirigent l’économie occidentale prennent aujourd’hui un pari risqué : accélérer la destruction des classes moyennes tout en instaurant une tyrannie policière, numérique et sanitaire pour juguler et conjurer la révolte des peuples qui a commencé et qui risque de s’accentuer à cause de cette destruction socio-économique.

Cette stratégie est dangereuse pour l’oligarchie et le personnel politique, car la violence politique peut provoquer en retour des révoltes d’une intensité telle qu’ils regretteront les Gilets Jaunes.

Ce qui m’amène aux mouvements de contestations actuels. Je vais répéter ce que j’écris maintenant depuis plusieurs années. La destruction de l’économie et du Code du travail à la faveur du covid-19 conduit à une accélération de la paupérisation de la classe moyenne ; processus qui entraînera une révolte d’ampleur plus large que celle des Gilets Jaunes, par la jonction de la France périphérique (que représentent les Gilets Jaunes) et des catégories socio-professionnelles composant la classe moyenne.

Mais nous n’y sommes pas encore tout-à-fait, car les manifestations qui ont démarré cet été n’ont pas pour cause première l’appauvrissement de masse, lequel est provoqué sciemment par le pouvoir. Il s’agit de manifestations contre le pass sanitaire, contre la société discriminant les non-vaccinés, contre la tyrannie numérique et policière, en somme pour la liberté et l’égalité des droits. Les Gilets Jaunes manifestaient, quant à eux, pour leur survie, là est toute la différence. C’est d’ailleurs ce qui explique pourquoi les manifestations contre le pass sanitaire n’ont pas le caractère « violent » qu’avaient celles des Gilets jaunes.

D’après Stéphane Sirot, spécialiste des grèves et du syndicalisme, les manifestants contre le pass sanitaire « sont assez diplômés et font partie, pour un certain nombre d’entre eux, de ce qu’on appelle communément classes moyennes ».

Les manifestations anti-pass sanitaire amorcent l’entrée des catégories supérieures (aux Gilets Jaunes dont les revenus oscillent entre 1 000 et 1 500 euros net mensuels) dans le mouvement de révolte.

Cette dimension sociologique inquiète le pouvoir et l’intelligentsia aux ordres, car l’implication des éduqués supérieurs dans un mouvement de révolte, qui pourrait fusionner avec la France périphérique, augmente considérablement la possibilité d’une révolution future. C’est-à-dire la naissance d’un mouvement structuré intellectuellement, mettant hors jeu les syndicats et les organisations de gauche.

Ces manifestations ne sont pas violentes, mais elles sont massives et sociologiquement plus diverses que celles des Gilets Jaunes. La radicalisation de la révolte n’adviendra toutefois que lorsque l’appauvrissement des classes moyennes, des patrons de PME et des professions intermédiaires, sera insoutenable.

C’est une question de mois ou d’années.

Youssef Hindi à la Librairie Vincent le 13 mars 2021

« C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale »

Le Média en 4-4-2: Cette attaque de la finance internationale contre les classes moyennes entre dans la stratégie du « great reset ». Cette destruction économique est accompagnée d’une spoliation ; le coupable désigné étant bien entendu le covid-19 (page 88)… Quelle va être selon vous la prochaine étape de l’oligarchie mondiale pour la mise en place de la « grande réinitialisation » voulue, entre autres, par le Forum Économique de Davos de Klaus Schwab ?

Youssef Hindi : J’ai évoqué plus haut la cyber-pandémie annoncée par Klaus Schwab comme éventuelle future catastrophe pour passer à l’étape supérieure de l’agenda oligarchique. Dans mon ouvrage, je traite également de ce qui nous est présenté comme le danger écologique imminent qui succédera, ou plutôt se combinera au covidisme.

C’est une combinaison du néo-capitalisme et de l’écologisme qui visent le même objectif : la réduction de la population mondiale. L’on est passé de la société de consommation, promue par le capitalisme industriel et productiviste, à ce que j’appelle « la société de consumation ». La consumation d’une énergie excédentaire, d’êtres humains surnuméraires, une main-d’œuvre devenue « inutile » et surtout dangereuse du point de vue du pouvoir occidental.

D’où le projet d’automatisation de nombre d’emplois (pour maintenir la distanciation sous couvert de lutte contre le virus), rédigé noir sur blanc dans le livre de Klaus Schwab que je cite dans mon dernier ouvrage. Schwab se réfère notamment à deux universitaires de l’université d’Oxford qui « en 2016, sont arrivés à la conclusion que jusqu’à 86 % des emplois dans les restaurants, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le secteur du divertissement pourraient être automatisés d’ici 2035 ».

Et le président du Forum Économique de Davos d’ajouter que « la pandémie va accélérer l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans notre vie personnelle et professionnelle. Dès le début des confinements, ajoute Klaus Schwab, il est apparu que les robots et l’IA (intelligence artificielle) constituaient une alternative “naturelle” lorsque la main-d’œuvre humaine n’était pas disponible ».

Cela dans le but de « réduire les risques pour la santé des employés », ajoute-t-il.

L’on justifie là la suppression des emplois sous couvert de protection sanitaire. Vous serez au chômage, mais en bonne santé… Le système capitaliste passe de la croissance à l’a-croissance ; une destruction des emplois, des catégories populaires, des classes moyennes, et donc des hommes. Il s’agit d’un sacrifice économique pour sauver l’oligarchie.

Le discours écologique apporte à ce projet néo-capitaliste le mythe justificateur, le storytelling, qui se résume ainsi : « il faut réduire la population mondiale pour sauver la planète ». C’est la mise en place d’une politique de dépopulation pour combattre le réchauffement climatique.

Je rapporte dans mon livre des études mettant en évidence que les vaccins contre le covid-19 ont provoqué des troubles du cycle menstruel chez les femmes. Dans les prochaines années nous verrons si oui ou non ces vaccins ont conduit à une chute de la natalité.

Dénatalité, consumation économique, sacrifice écologique sont les différents volets du Covidisme.

Le Média en 4-4-2 : Dans votre ouvrage, vous évoquez aussi le rôle des GAFAM, qui « offrent aux États policiers les moyens technologiques pour maintenir en rang les populations spoliées » (page 103). En prenant du recul, on peut se rendre compte que tout a été fait au fil des décennies pour que la population s’accapare ces nouvelles technologies et en devienne dépendante pour qu’au final, elles puissent être utilisées contre elle par les élites. Comment pouvons-nous lutter au quotidien contre ces technologies ? Avons-nous encore les moyens de nous en défaire ?

Youssef Hindi : Ce n’est pas mon domaine de spécialisation. Je dirais que le meilleur moyen de combattre ces technologies et les tyrannies numériques est de s’en défaire. Or, aujourd’hui, quand vous faites vos courses, vous les payez à une caisse automatique, vous achetez vos billets de train et d’avion sur internet, et certaines démarches administratives ne se font plus que sur le web. Il devient rare, voire impossible, d’avoir un rendez-vous ou un fonctionnaire au bout du fil. Nous avons affaire, la plupart du temps, à des machines qui nous envoient des réponses automatiques.

L’automatisation et la numérisation de la vie sociale conduira peut-être de plus en plus de gens à fuir les villes pour créer des communautés dans les campagnes et retrouver une vie saine. Ceux-là qui ne supporteront plus la tyrannie sanitaire et policière, seront qualifiés de « sécessionnistes », de « survivalistes », voire de « terroristes ».

« Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers »

Le Média en 4-4-2 : Vous expliquez que « l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne du peuple », argent qui nous appartient, « tandis que le gouvernement détruit sciemment l’économie et les emplois » (page 99). Le covid étant « le moyen de spolier la bourgeoisie » qui s’imagine à l’abri (page 101). Comment vont-ils s’y prendre pour y arriver ?

Youssef Hindi : Les Français doivent savoir avant tout à quoi servent leurs impôts directs et indirects. Le troisième poste de dépense de l’État est le remboursement des intérêts de la dette, une dette illégitime. Depuis la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 appelée Loi Pompidou-Giscard ou Loi Pompidou-Giscard-Rothschild, les emprunts de l’État ne se font plus auprès de la Banque de France à bas taux, mais auprès de banques privées. Depuis, la dette publique a explosé (2 762 milliards d’euros au deuxième trimestre 2021).

En langage clair, nos impôts vont dans la poche des banquiers. C’est un système que Karl Marx avait parfaitement décrit et qu’il appelait le « rançonnage de l’État » par la dette. Les banquiers prennent en otage les États qui rackettent les peuples pour engraisser ces financiers.

Aujourd’hui, l’État français cherche à mettre la main sur l’épargne des Français (qui a augmenté depuis le premier confinement) pour le compte des banques. Et il y a eu des précédents, en Italie, à Chypre. Et cela a été fait et se fera pour « résorber la dette ». Les confinements, semi-confinements, couvre-feux et autres restrictions contractent l’économie et augmentent la dette publique. Et le discours du pouvoir en place consiste à culpabiliser les épargnants qui ont mis de l’argent de côté pour faire face à cette destruction économique. Ainsi, l’État cherche une justification pour ponctionner une partie de votre épargne (10 % ou plus) pour participer à « l’effort de guerre anti-covid ».

« Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément »

Le Média en 4-4-2 : Parallèlement à cette spoliation, l’objectif des élites est aussi d’arriver au passeport numérique. « Les chercheurs travaillent également à augmenter la quantité de données pouvant être encodées, afin d’inclure des informations telles que la date d’administration et le numéro de lot du vaccin. Et pourquoi pas la pièce d’identité, le passeport, la carte bleue et le numéro de sécurité sociale ? » (page 111). Et pourquoi ne pas lier le futur revenu universel (qui remplacera toutes les autres aides de l’État) à la vaccination pour la rendre encore plus obligatoire ?

Youssef Hindi : Vous faites référence au chapitre de mon livre sur la surveillance numérique. Le passage que vous citez concerne une technologie en cours de développement par le Massachussetts Institute of Technology (MIT) et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. Un vaccin au carnet de santé intégré sous forme de nanoparticules injectables sous-cutanées et lisibles par un Smartphone permettant de confirmer qu’une personne a bien été vaccinée. Cette étude du MIT a été publiée le 18 décembre 2019 dans Science Translational Medicine, alors que la pandémie de covid-19 démarrait.

La techno-tyrannie n’est plus du strict domaine de la science-fiction, c’est notre présent et notre avenir. Avec ce type de technologie tout devient possible. Ils pourront éventuellement conditionner l’octroi d’aides sociales (futur revenu universel, RSA, allocations familiales) à la vaccination, vous bannir de la société et vous réduire à la clochardisation instantanément.

« Je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité »

Le Média en 4-4-2 : Dans la troisième et dernière partie de votre livre, vous nous permettez de saisir les soubassements religieux et anthropologiques de cette révolution majeure que traverse l’Occident. Quand nous exposons cette vision de la pandémie d’un point de vue « messianique » à des proches, beaucoup utilisent Israël qui est à la pointe de la « vaccination » en nous rétorquant qu’ils ne pourraient pas « vacciner » de la sorte si leur « vaccin » n’était pas sûr. Pourtant, le peuple juif a souvent été sacrifié par ses maîtres, et vous nous donnez de nombreux exemples. Comprenez-vous que cela soit difficilement imaginable que de telles choses se reproduisent ?

Youssef Hindi : En Occident, les peuples vivent encore mentalement, mais de moins en moins, dans l’idée qu’ils sont gouvernés par des systèmes « démocratiques » et « libéraux », et conçoivent très difficilement que leurs dirigeants puissent mener des politiques volontairement mortifères. Des politiques économiques, sociales, sanitaires que les analystes et autres opposants expliquaient par l’incompétence de la caste dirigeante. Ils commettraient simplement des erreurs.

Mais à l’occasion de la gestion covidienne — qui permit de voir au grand jour l’emprise des laboratoires pharmaceutiques sur les gouvernements, et leur collusion capitalistique avec les grands média et les banques — de plus en plus de voix s’élèvent, notamment dans le monde scientifique, pour dénoncer une guerre menée contre les peuples.

Outre les techniques d’ingénierie psychosociale que j’ai analysées dans un récent article publié sur strategika.fr, j’ai expliqué dans mon livre Covidisme et messianisme comment et pourquoi les dirigeants israélo-occidentaux ont utilisé Israël comme laboratoire et modèle pour l’Occident.

Il y a là un non-dit religieux : le peuple juif, considéré par lui-même comme élu, a joué malgré lui dans cette affaire d’injection d’un produit expérimental son rôle de « guide », de « phare de l’humanité », de Messie collectif.

Il y a un autre non-dit sur lequel ont joué les dirigeants et les médias qui ont été les acteurs de la propagande du gouvernement israélien allié à Pfizer, qui ont fait d’Israël le laboratoire de la vaccination, du pass sanitaire et de la citoyenneté à deux vitesses (un modèle de société qui exclut les non-vaccinés) imposés en France et dans nombre de pays occidentaux.

Ce non-dit se fonde sur le stéréotype d’une unité du monde juif, une unité entre élites juives et peuple juif. Les dirigeants juifs protégeraient coûte que coûte leur communauté. Or, rien n’est plus faux et j’ai apporté les exemples historiques pour le démontrer aux lecteurs.

J’ai aussi analysé dans mon livre cette vaccination de masse sous l’angle anthropologique, et je suis arrivé à la conclusion vertigineuse que nous étions face au plus grand sacrifice de l’histoire de l’humanité. Un sacrifice silencieux, qui ne dit pas son nom, et qui en est plus difficile à identifier.

Pour faire accepter ce sacrifice déguisé en vaccination, l’on a commencé par le sacrifice du peuple juif, « peuple messie ». Un sacrifice rémunératoire qui a d’autant plus de valeur qu’il s’agit du « peuple élu ». Car l’on ne sacrifie, par définition, que ce qui nous est cher, ce qui a une valeur symbolique lourde. Ce sacrifice à grande échelle est directement corrélé au messianisme, et je pense que mon ouvrage le prouve.

Je ne vais pas développer plus en avant ici cette thèse, mais depuis que je l’ai avancée publiquement, sur strategika.fr en juin 2021, elle a fait son chemin et elle a été reprise notamment par l’ancien haut fonctionnaire Éric Verhaeghe dans un article du 30 septembre 2021, et par l’historien des religions, spécialiste du sacrifice, Christophe Lemardelé dans un texte publié le 26 octobre 2021 titré Vaccination : la logique du sacrifice.

COVIDISME ET MESSIANISME – Tyrannie sanitaire, crise religieuse et sacrifice de Hindi Youssef

« On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité »

Le Média en 4-4-2 : Votre comparaison entre les sacrifices des Aztèques et le « sacrifice silencieux » que nous observons actuellement est d’ailleurs très frappant. Vous avancez le chiffre de 3 milliards de personnes à éliminer pour sauver la planète, d’après, entre autres, un article du Monde de 2010. Quel est votre point de vue sur le réchauffement climatique ? Que se cache-t-il derrière les accusations « écologiques » de l’élite faites aux citoyens ?

Youssef Hindi : Pour être précis, je compare le sacrifice aztèque au sacrifice économique. J’aborde dans mon livre différents types de sacrifices. Votre question porte sur le sacrifice écologique. Comme je l’ai expliqué, ces différents types de sacrifices suivent une logique générale cohérente.

Et les chiffres délirants de réduction de la population mondiale ne sont pas issus de mon imagination. Tout ce que j’écris est parfaitement sourcé et officiel :

« Le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale.

Quasiment au même moment, un rapport, élaboré par la London School of Economics (LSE) à la demande de l’Optimum Population Trust (OPT) — une ONG britannique militant pour réduire la population mondiale — estimait que le moyen le moins coûteux de résoudre le problème du réchauffement planétaire serait de réduire la population mondiale de 500 millions d’individus d’ici 2050. Or, comme la majorité des projections prévoient que la population totale devrait s’élever à plus de 9 milliards d’ici là, la proposition de réduire la population mondiale à seulement 6 milliards implique l’élimination de 3 milliards de personnes… »

N’étant pas scientifique, je n’ai pas d’avis tranché sur le réchauffement climatique. Je constate simplement que c’est un argument qui est utilisé pour faire culpabiliser les peuples. Le discours écologique consiste à dire que chaque bébé qui naît est « responsable de l’émission de x quantité de CO2 » conduisant au réchauffement climatique. Tout comme l’on fait porter la charge de la culpabilité sur les non-vaccinés qui seraient responsables de la diffusion du covid-19 (ce qui est scientifiquement erroné).

La solution est donc la réduction de la population mondiale par la diminution drastique du taux de natalité. On demande aux peuples de se suicider, en utilisant la culpabilité.
Là encore, l’anthropologie nous est d’un grand secours pour comprendre ce discours culpabilisant.

La culpabilité et le sacrifice sont intimement liés. Dans toutes les langues indo-européennes, les mots qui signifient « dette » sont synonymes de ceux qui signifient « péché » ou « culpabilité » (Geoffrey Ingham, The Nature of Money, 2004, p. 90). Le remboursement de la dette religieuse se faisait, dans quasiment toutes les cultures et traditions religieuses (hormis les religions monothéistes qui ont aboli le sacrifice expiatoire et rémunérateur), par le sacrifice d’un animal ou d’un être humain.

Cette dette-culpabilité était donc quantifiée, de la même façon que quantifient aujourd’hui les écologistes notre dette-culpabilité envers la Terre (qui redevient implicitement la déesse Gaïa pour qui il fallait sacrifier des animaux) : un bébé, nous dit une étude de l’université de l’Oregon sur laquelle s’appuient les écologistes malthusiens, est responsable de l’émission de 18 à 1 644 tonnes de CO2.

La solution, pour rembourser cette dette en CO2 est le renoncement à la procréation, l’avortement, un sacrifice d’enfants qui ne dit pas son nom. L’on peut se demander aujourd’hui pourquoi les laboratoires pharmaceutiques et certains États souhaitent vacciner les enfants, alors que ceux-là ne sont pas mis en danger par le covid-19…

Le Média en 4-4-2 : Merci Youssef pour le temps que vous avez consacré à cet entretien. Vu le contexte actuel, nul doute que vos propos vont inciter nos lecteurs à aller approfondir notre discussion en se procurant Covidisme et messianisme (KA Editions, Strategika). Nous vous laissons le mot de la fin si vous souhaitez aborder une dernière thématique.

Youssef Hindi : Je laisse aux lecteurs le soin de découvrir les autres thématiques que j’aborde dans mon ouvrage, mais je souhaite apporter une touche d’optimisme à ce tableau extrêmement sombre.

Tout ce travail analytique qui contraint les chercheurs comme moi à plonger au plus profond du mal vise à permettre à ceux qui nous lisent et nous écoutent à y voir clair dans les ténèbres, à identifier l’ennemi, sa nature, ses contours et le combattre de façon appropriée.

C’est le combat de l’esprit qui précède et guide le combat politique. Et cette guerre spirituelle, cette lutte culturelle, nous sommes en train de la remporter. Alors n’ayez pas peur et préservez d’ici là votre intégrité physique, mentale et spirituelle, quoi qu’il en coûte.

Pour aller plus loin :
– se procurer Covidisme et messianisme
– retrouver ses articles sur le site de Strategika
– son compte Twitter
– son canal Telegram


Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Ecologie et moteur thermique : comment Hayek avait prédit le totalitarisme bruxellois

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Nicolas Bonnal

La commission de Bruxelles veut donc priver le bas peuple (99 ou 99.9% de la population) de tout véhicule à moteur thermique. Même Gérard Carreyrou a râlé. Pas folle, l’élite sait que bien que le moteur ou le véhicule électrique sont des leurres (cf. les bus en panne de Wiesbaden) ; seuls donc les yachts, les jets et les bagnoles de luxe (vendues dit-on à moins de mille exemplaires) auront le droit de faire le plein de carburant polluant. Le reste pourra crever ou aller tranquille à bicyclette en s’éclairant à l’éolienne. Etre milliardaire ne leur suffit pas : il faut que la masse n’ait rien ou qu’elle ne soit plus. Là ils pourront rejouer au berger et à la bergère dans leur toile de Jouy robotique.

Il faut dire que la masse suicidaire s’en tape de sa disparition, ils auraient donc tort de se gêner. La démassification prophétisée par le gourou techno-fasciste Alvin Toffler (sa secte fait la chasse aux fake news maintenant…) il y a cinquante ans a produit ses effets : grâce aux réseaux sociaux et à la technologie la masse ne se mobilise plus physiquement (trois lycéennes pour interpeller Macron ? Mais où va-t-on ? Lui sait mobiliser ses gendarmes en tout cas). De toute manière même sur les réseaux la quantité de gens qui réagissent bien sur les sujets importants est infime. Estulin le remarquait en comptant les milliards de connexions pour visionner une vidéo de Lady Gaga ou de Beyonce. Je vous rassure, cela fait plus que Xavier Moreau ou Charles Gave. Pulchrum est paucorum hominum, rappelle Nietzsche.

Mais j’en reviens à la commission de Bruxelles, à la « caste », comme dit Eric Verhaeghe. Et comme nos abrutis au pouvoir et à la télé aiment dénoncer le nazisme (fondateur de l’écologie et de l’interventionnisme humanitaire, de la lutte contre le tabac, le harcèlement sexuel ou les excès de vitesse, lisez mes textes), je vais parler de la race des seigneurs. Le nazisme teuton a subsisté sous la forme Schwab ou Leyen, il fait aussi sa guerre d’extermination contre la Russie (elle est trop bien armée, ces russes trichent toujours) avec ses néonazis et il est écolo, censeur  et vitaliste comme jamais. Quant à sa fascination pour la technoscience, il n’a pas attendu Harari…

Celui qui parle de race des seigneurs dans le cadre de l’unification européenne qui se profile dès la fin de la guerre de 40, c’est Friedrich Von Hayek. Il a été souvent récupéré par les néolibéraux mais sa Route de la servitude reste un modèle. Hayek que le modèle nazi allemand sera plus ou moins suivi après pour la construction européenne, construction que les anglo-saxons vainqueurs de cette guerre veulent implémenter (Hayek donne des dizaines titres depuis oubliés).

Route de la servitude, p. 159 :

« Imaginer que la direction planifiée de la vie économique à une vaste région habitée par des peuples différents pourrait s’effectuer par des procédés démocratiques, c’est ignorer complètement les problèmes que pareil plan soulève. Le planisme, à l’échelle internationale plus encore qu’à l’échelle nationale, n’est que l’application de la force brute: un petit groupe impose à tous les autres un standard de vie et un plan de travail qu’il estime juste. »

Hayek visualise le grand espace économique et le bon vieux Herrenvolk, notion qui annonce la grosse commission bureaucratique germano-cosmopolite chargée d’établir tout cela en ruinant France, Italie, Espagne et autres PIGS :

« Il est exact que cette sorte de Grossraumwirtschaft, d’économie des grands espaces, conçue par les Allemands ne peut être réalisée que par une race de seigneurs, un Herrenvolk, imposant impitoyablement ses buts et ses idées à tous les autres, La brutalité et le manque de scrupules à l’égard des désirs et des idéaux des petits peuples ne sont pas simplement une manifestation de leur méchanceté spécifique, mais découlent logiquement de la tâche qu’ils ont entreprise. »

J’ai déjà parlé du démon occidental des organisations : on a les ONG, on a Soros, on a l’ONU, on a aussi l’Europe. Ces organisations sont soumises à des élites richissimes, woke et implacables ; élites qui reprennent le schéma malthusien britannique  décrit par Marx dans l’incomparable livre VI du Capital : on vide l’Ecosse et les Highlands de leur population (idem pour le pays de Galles ou l’Irlande génocidée et affamée, territoires depuis notoirement sous-peuplés) et on en fait une réserve de chasse pour les aristos. Les survivants iront en Amérique et en Australie préalablement dépeuplées. On ne change pas une méthode qui gagne, surtout quand on est le maître du récit. Ce n’est pas pour rien que Walter Darré, légendaire ministre nazi, dans son livre sur l’agriculture, ne tarit pas d’éloges sur cette aristocratie britannique au front étroit, adoratrice de vide et de gibier sauvage.

La commission de Bruxelles a jeté le masque. Au bon peuple de relever le défi ou d’accepter tranquille sa prolétarisation et son extermination. Rappelons qu’en occident le sort des masses ne s’est élevé au vingtième que par peur du communisme russe (cf. Zinoviev). Raison pourquoi l’élite génocidaire veut en finir avec la Russie pour en finir avec nous.

Bonnes vacances aux distraits !

Sources principales :

http://pombo.free.fr/hayek1944.pdf

https://reseauinternational.net/elites-genocidaires-et-masse-suicidaire-a-deux-doigts-du-neant/

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/09/pourquoi-peut-on-desormais-parler-de-democratie-totalitaire/

https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/05/25/bill-bonner-et-le-grand-effondrement-qui-accompagna-la-chute-de-lempire-romain-lisez-bien-cest-ce-qui-va-nous-arriver-la-theologie-woke-actuelle-accompagne-la-rage-destructr/

https://cudeg.com.uy/wp-content/uploads/2017/10/La-tercera-ola.pdf

https://reseauinternational.net/hitler-et-les-origines-du-neo-totalitarisme/




Les Français sont atteints du syndrome de Stockholm. Informons-les !

Par Dr Nicole Delépine

La France n’est pas sortie de la sidération de la peur (du virus, de la guerre, puis d’un autre virus). Elle est donc toujours sous emprise et dénigre ceux qui tentent de la sortir du gouffre comme Mme la Dr Wonner, une des seules députées à avoir défendu le peuple à l’assemblée et qui en est exclue.

Le premier tour des législatives a cruellement démontré que la France est encore hors sol, loin des problèmes concrets qui perturbent son quotidien. Elle est toujours dans sa bulle organisée par la clique de Davos et les médias aux ordres des milliardaires comme Bill Gates.

Les pseudo campagnes électorales pré-présidentielle et pré-législatives avaient déjà démontré la capacité du pouvoir en place de jouer le scénario « gare aux extrêmes ». Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique. Transformer Marine maintenant normalisée(([1] Elle ne parle plus de Frexit, de sortie de l’euro ni de sortie du commandement intégré de l’Otan.)), et devenue opposante ( ?) contrôlée comme son débat avec E. M l’a démontré (pas une question qui pourrait fâcher) en épouvantail fasciste, ça relève de l’exploit.

Et cette semaine, diaboliser à son tour la NUPES qui a fait élire E.M. (en le préférant à Marine) relève du cynisme politique bien compris. Chapeau l’artiste.

Bref nous sommes loin d’une vraie campagne, de choix politiques, de débat d’idées, de projets pour la France. Marie-Estelle Dupont commentant cet épouvantable crime commis par un enfant de 14 ans explique que la raréfaction du langage (via les écrans depuis au moins deux décennies et aggravée par le confinement de fait depuis deux ans), ne permet plus aux émotions de s’exprimer et d’évacuer les sentiments ni en particulier la violence. Et cette violence peut alors s’exprimer de la façon la plus épouvantable.

Les Français sont inquiets et frustrés comme rarement auparavant. En l’absence de toute expression dans les urnes dont témoigne l’abstention toujours plus importante, on peut craindre aussi des explosions de violence.

En matière de campagne électorale, le langage paraît perdu aussi, et les débatteurs ne discutent que d’un même problème de soir en soir, avec les mêmes mots et très peu de réflexions (par exemple Damien Abad, en passe d’ailleurs d’être réélu, puis les mensonges de Darmanin, etc.).

Nous avons arrêté de penser, sur ordre – via la pensée unique, la censure, puis l’autocensure, par crainte d’être sanctionné si on se permet une phrase hérétique y compris dans les familles. Pour éviter les ruptures, pour éviter d’être exclu du groupe. Mais existe-t-il encore des relations humaines authentiques dans le non-dit permanent ?

ET L’OBLIGATION VACCINALE ?

En dehors du pouvoir d’achat que les politiques et journalistes voudraient imposer comme seul sujet, ceux de l’obligation vaccinale, de la suspension des soignants et des pompiers vaccino prudents , de la persistance du pass qui empêche les familles d’accompagner leurs malades, du vide hospitalier et des déserts médicaux, de la solitude et de l’abandon des résidents d’EHPAD en sont d’autres qui impactent lourdement la vie quotidienne, mais qui ont été complètement abandonnés, censurés, oubliés, cachés.

Combien de Français craignent une obligation de l’injection expérimentale chez les enfants y compris les plus petits à la rentrée ? Même s’ils tentent de faire l’autruche, de penser aux vacances, d’oublier « tout ça », ils savent et connaissent déjà un minimum de risques, les problèmes menstruels étant les plus évidents, ainsi que la perte de mémoire du grand-père (… mais il est vieux …). Les crises cardiaques des sportifs et des pilotes, les accidents post injections de Céline Dion et de Bieber en ont bien inquiété quelques-uns, mais on passe vite à autre chose. Quant aux AVC ou infarctus chez des amis, ce n’est vraiment pas de chance.

LA SANTÉ OUBLIÉE

On s’était désolé que ce sujet ne soit pas apparu au premier plan des programmes des candidats à l’heure où la crainte de fermeture des urgences en été se renforce. Mais il faut avouer qu’aucun parti (de l’extrême droite à l’extrême gauche comme dirait E.M, pourtant tous jumeaux ) n’en a fait un sujet prioritaire, et c’est désolant.

Moralité, nous sommes dévastés, choqués de découvrir l’élimination au premier tour des seuls défenseurs de votre santé, de votre patrimoine génétique, de la fertilité de la jeunesse, etc. et de leurs scores très faibles (Martine Wonner, Nicolas Dupont Aignan, Florian Philippot par exemple).

Et pendant ce temps-là, O. Véran – celui qui a interdit de soigner par les traitements précoces, celui qui a en permanence dédaigné les avis des médecins et chercheurs compétents, celui qui a en mars 2020 signé avec Édouard Philippe alors Premier ministre le décret favorisant l’élimination des anciens par injection létale de Rivotril, etc. – est en position favorable, de même que Mme Borne qui a signé le décret de suspension sans rémunération ni RSA des soignants et pompiers soucieux de leur intégrité de leur corps, de même que Mme Bourguignon son obéissante adjointe qui se contentait de fermer le micro lors d’auditions au Sénat.

Les Français sont-ils devenus masochistes et aimeraient-ils ceux qui leur font mal ? Ils étaient prêts pour ce totalitarisme qui avance à grands pas, nous explique Ariane Bilheran.

Car sinon pourquoi voter pour tous ceux qui ont imposé un enfermement si toxique pendant des semaines, ceux qui nous ont demandé de nous autoriser nous-mêmes à sortir une heure, ceux qui ont, pendant des mois, asséné des ordres contradictoires et obligatoires, ceux qui ont gâché une génération de bébés qui ne savent pas ce qu’est un visage, ceux qui ont abîmé une génération d’adolescents en imposant encore plus d’écrans et en les privant de relations humaines si capitales à cet âge… ? Et maintenant ils tuent … Et on nous prédit qu’ils tueront de plus en plus jeunes.

Le syndrome de Stockholm se développe de manière inconsciente et involontaire. Il s’agit de l’instinct de survie. En sommes-nous globalement atteints ?

Le concept de « syndrome de Stockholm »(([2] Syndrome de Stockholm : définition, symptômes, causes et traitement (sante-sur-le-net.com) )) est apparu il y a une quarantaine d’années à l’occasion d’une prise d’otages à Stockholm en Suède. Fin août 1973, 6 malfaiteurs braquent une banque suédoise et prennent en otage ses quatre employés pendant 6 jours. Après une longue attente très médiatisée, et à l’issue des négociations, tous les otages sont libérés sains et saufs. Mais les otages ont refusé de témoigner contre leurs agresseurs. Certains sont allés les voir en prison, et l’une d’entre elles a entretenu une relation amoureuse avec l’un des malfaiteurs.

Le syndrome de Stockholm survient en cas de situation de stress psychologique extrême.

Selon la description individuelle :

« la victime se retrouve d’abord dans un état de sidération rendant impossible toute prise de décision. Après le choc, une réorganisation psychologique s’opère. En effet, la victime s’adapte à la situation et trouve de nouveaux repères. La victime n’a plus aucune autonomie et dépend totalement de son bourreau pour satisfaire ses besoins. Finalement, c’est « grâce » à lui s’il peut manger, dormir, bouger, aller aux toilettes, etc. Lorsque l’agresseur n’abuse pas de la situation, sa victime le voit comme quelqu’un de bien. Certaines victimes peuvent ressentir un sentiment de gratitude envers leur agresseur, et adopter petit à petit la pensée et le code moral du bourreau ».

Ainsi on peut complètement transposer ce vécu à celui des populations confinées (qui supportent x fois dans la journée les informations et les ordres de nos « bourreaux » et même les messages subliminaux permanents sur les écrans de TV).

« Plus la situation s’éternise, plus cette nouvelle personnalité a de risques de s’implanter profondément dans l’individu, à tel point que certaines victimes se rangent parfois du côté de l’agresseur et s’opposent aux forces de l’ordre. »

Le fait de vivre sans contact avec le monde extérieur peut également induire le syndrome de Stockholm, mécanisme d’adaptation permettant aux victimes de survivre. En effet, cet ajustement permettrait de diminuer l’anxiété engendrée par une menace de mort imminente.

Parallèle entre les otages d’un braquage et une population confinée et menacée

Ainsi si on examine les caractéristiques du syndrome de Stockholm, on peut faire quelques analogies instructives avec la situation qu’on subit des milliards d’individus.

Un syndrome de Stockholm est caractérisé par la présence d’un lien d’attachement et d’empathie entre la victime et « l’agresseur », lien conscient ou inconscient. L’agresseur – ici le pouvoir politique – peut être vu par sa victime comme en souffrance, sincère et bienveillant.

Et c’est bien ce qui s’est passé avec nos gouvernements qui affirmaient « protéger les vieillards » (soumis au Rivotril par ailleurs) par les mesures de confinement contre le « virus ». Il a été bien démontré depuis lors la totale inefficacité sanitaire(([3] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown?
https://arxiv.org/abs/2005.02090v2))(([4] John Gibson AIER Staff Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence December 19, 2020))(([5] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins Nov 1, 2020))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) et les graves conséquences sociales, éducatives, économiques, etc. de telles mesures. Le pouvoir se présentait aussi comme en souffrance lui-même vis-à-vis de la situation qu’il présentait (de façon mensongère). Syndrome du pompier pyromane.

Un sentiment d’impuissance exacerbé engendre une mise de côté de soi afin de survivre et ce fut bien le vécu des Français en proie à la peur du virus, de la mort rapide, et de plus dans la crainte de souffrances de détresse respiratoire mises en exergue dans les journaux TV. La PEUR que MACHIAVEL a bien décrite comme levier de gouvernement a été bien utilisée jusqu’à ce jour.(([9] Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Deux autres caractéristiques complètent ce parallèle :

  • dépendance totale qui engendre la perte d’autonomie de la victime (l’agresseur – ici le pouvoir – s’arrange pour être le seul à pouvoir répondre au besoin de sa victime pour obtenir sa soumission);
  • et une diminution, voire suppression des contacts avec l’extérieur  (critère réalisé par la pression pour les mesures coercitives pour absence de contact physique avec les autres, distanciation sociale épouvantable, etc..)

Rappelez-vous les cours d’école avec les carrés absurdes par enfant. Comment avons-nous pu accepter tout cela alors qu’on savait depuis le début que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne sont pas facteurs de transmission?

Effectivement, nous sommes atteints en partie ou complètement de ce syndrome qui explique pourquoi les électeurs ont chassé Martine Wonner du parlement et vont peut-être y réélire O Véran !

COMMENT EN SORTIR ?

Habituellement, la prise en chargeest un suivi psychologique ou psychiatrique très régulier. Mais alors que la TV continue de faire passer ses spots angoissants, que le pouvoir tente de remplacer la peur du covid par celle de la guerre en Ukraine, puis celle du virus du singe, comment diminuer la pression ?

« Le travail de reconstruction psychologique des victimes est très long et éprouvant. Parfois, le traumatisme est si important que la personnalité de la victime est profondément affectée. Le temps nécessaire à la reconstruction et au déconditionnement est variable selon la durée la période de violence et son contexte ». On peut imaginer que cela sera très difficile et que de longues années de souffrances diverses nous attendent.

L’ÉCRITURE THÉRAPEUTIQUE

Est, semble-t-il, un excellent moyen d’extérioriser les souffrances et de prendre de la distance vis-à-vis du traumatisme. Alors poussons tous nos concitoyens à écrire encore et encore, à titre de témoignages pour l’Histoire et d’évacuation de la douleur pour le présent, comme… les poilus de la guerre de 14 enfermés dans leurs tranchées qui nous ont légué de si poignantes lettres.

COMMENT SOMMES-NOUS ENCORE DANS CETTE PHASE DE SIDÉRATION ?(([10] https://nouveau-monde.ca/ariane-bilheran-lideologie-sanitaire-est-un-pretexte-a-une-gouvernance-totalitaire))

Selon A Bilheran, en 2020, « on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé, une politique de précarisation dans de nombreux pays du monde.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du Doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie ».(([11] Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) Mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité.
Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :
• La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
• La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
• La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
• Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
• La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.))

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela ? (…)

«  C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens.

Cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. Ou bien on se réfugie dans le déni : le réel est tellement insupportable que je refuse de me le représenter.

Moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien» et bien c’est très tentant d’y entrer ».

« La majorité des gens ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non. S’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou. »

Le psychisme protège, jusqu’à un certain point de ce basculement et de cette désintégration psychique.

Et ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation .

« D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens ».

Certains scientifiques, universitaires, chercheurs, médecins ont payé fort cher de livrer leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non. On devient un Kapo.

LA COLLABORATION DES INTELLECTUELS AVEC LES RÉGIMES TOTALITAIRES N’EST PAS NOUVELLE :

«  Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’il se passait ».

LA CRISE SANITAIRE, ABOUTISSEMENT D’UN LONG PROCESSUS DE DESTRUCTION SOCIALE

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger ».

Le totalitarisme est la proposition inverse.

Il est clair que la qualité de la médecine a effroyablement chuté depuis la fin du XXe siècle, lorsque sous prétexte de rationalisation « scientifique », mais en réalité financière, et idéologique, on nous a imposé des « protocoles uniformes pour tous » ( même si trompeusement appelés « personnalisés »). Les bureaucrates ont alors pu faire leurs ravages en contrôlant si les docteurs appliquaient bien les consignes des recommandations devenues rapidement obligatoires. La médecine agonisa… Homogénéiser les traitements a toujours été le contraire de la médecine d’Hippocrate, mais à grands coups de pub étatiques, de « plan cancer » de beaux bâtiments, de cellules d’organisation… on a acheté tout ce beau monde souvent inconscient du mal qu’ils allaient faire, et les citoyens manipulés comme à l’habitude ont applaudi.

Au sein du totalitarisme, l’individu n’est plus sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Cette mutation est en cours depuis très longtemps : perte de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. C’est la profanation de tous les individus.

« Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire : l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie. »

A. Bilheran pense que cette évolution est détectable depuis longtemps dans l’évolution du management au travail, la prolifération des écrans pour les enfants, le succès de Facebook et autres réseaux sociaux.
L’enfant n’est plus qu’ un objet destiné à devenir pour un bon consommateur, un instrument de production, qu’on jette lorsqu’il ne sert plus à rien. Et la clique de Davos a l’impression qu’ils n’ont plus besoin que de quelques esclaves. Ils se trompent…

A. Bilheran explique qu’il y a conjonction de plusieurs facteurs dont :

« le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort.

L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. »

Par ailleurs le développement technologique a été trop rapide par rapport à nos facultés affectives d’en dominer les effets. Comme un enfant précoce a parfois beaucoup de difficultés à assumer ses trois ans d’avance. Il est encore petit…

« L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre ». Repensons à Einstein et son désespoir d’avoir engendré la bombe atomique, un tel outil de mort. Il y a aussi une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants.

La seule question qu’on aurait dû se poser près la Deuxième Guerre mondiale, c’est : comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction ?

Du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing, etc., un encouragement à la dérégulation a fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans.

Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. Le monde de Huxley. C’est bien aussi ce qu’expliquait Patrick Le Lay parlant de la télévision au début des années 2000.

Écoutez :

« Cette crise est essentiellement psychologique, morale et spirituelle » – Ariane Bilheran | crise sanitaire | totalitarisme | Epoch Times.

Poursuivons l’analyse de la crise du Covid étape du totalitarisme montant, par notre philosophe.(([12] Psychopathologie du totalitarisme 3/3, par Ariane Bilheran))

Qui sont les résistants et que doivent-ils faire pour aider à en sortir ?

« Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure ».

« Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence ».

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion. Tous les totalitarismes de l’Histoire se sont effondrés, plus ou moins rapidement… C’est la question qui nous taraude évidemment.

« Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux ».

La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses. DONC NE NOUS DÉCOURAGEONS PAS, poursuivons notre labeur, notre mission…Chacun à sa façon, selon ses compétences, ses affinités…

« Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique ».

« Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance.

Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance ».

Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »

Une fois qu’on a pris le temps de se plonger dans tous ces écrits de Hannah Arendt, Ariane Bilheran et tous ceux à travers lesquels elles ont compris les mécanismes, il ne nous reste plus humblement qu’à poursuivre ce qui est dans nos cordes, informer encore et encore et par tous les canaux possibles, directement bien sûr via des rapports humains, des rencontres autour d’un goûter, un apéro, un repas citoyen, une manifestation, mais aussi la diffusion des vidéos, articles, témoignages, etc. sans sous-estimer chaque petite tâche. Une conversation avec la voisine ou avec la boulangère. Tout ce qui fait sens de l’Humain oublié pendant deux ans et demi.

Une plage de sable n’est jamais qu’une accumulation de grains de sable. Soyons ces grains..
Alors oui finalement il faut aller voter pour mettre les futurs élus au pied du mur.

INFORMONS ET DEMANDONS AUX FUTURS CANDIDATS UN ENGAGEMENT FORMEL CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS ET POMPIERS

UTILISONS NOTRE BULLETIN DE VOTE POUR SAUVER LA SANTÉ DES ENFANTS

En conclusion, continuons notre travail d’information sans désespoir, sans dépression, ni découragement. En ce qui concerne les élections, et en tant que médecin très attaché à la liberté de penser, de prescrire, en tant que citoyen attaché à la liberté d’être soigné, il me semble que chaque citoyen dans sa circonscription doit interroger les candidats députés, quelle que soit l’étiquette de la personne et obtenir un engagement formel à voter contre la vaccination des enfants, et le pass vaccinal.

Chacun doit rappeler les engagements pris par la France en signant la convention d’Oviedo et notre fidélité au code de Nuremberg.(([13] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? – AgoraVox le média citoyen))

Il est capital qu’un maximum de députés élus s’engage contre l’obligation vaccinale que l’UE veut imposer en prolongeant le pass vaccinal qui doit être voté courant juin 2022 pour un an. Les candidats et même les ex-députés n’ont souvent pas bénéficié de toutes les informations sur le caractère expérimental des pseudovaccins, sur l’importance des effets secondaires dont beaucoup sont létaux dans le monde, sur la tromperie de Pfizer sur les essais (maintenant publiée grâce aux juges américains).

Ne sous-estimez pas votre poids auprès de ces personnes. Nous en avons rencontré plusieurs qui nous ont avoué ne pas avoir été informés. INFORMEZ-LES !(([14] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([15] L’échec du zéro covid en Australie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([16] Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))





Santé publique : malgré leur toxicité, les nanoparticules sont partout y compris dans les vaccins et… dans la modification du climat !

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Roger Lenglet, est un philosophe français et un journaliste d’investigation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Lenglet

Roger Lenglet parle des nanotechnologies et de leur présence massive sans que les informations n’aient été communiquées au grand public par peur probablement de son opposition. Je vous remets ce documentaire fondamental sur les nanos :

Si la révolution nanotechnologique est un formidable progrès industriel, il en va autrement de la santé publique. Et Roger Lenglet de comparer la toxicité des nanos à celle de l’amiante. Sujet qu’il maîtrise.

À l’heure actuelle, industriels, financiers et lobbyistes tiennent le couteau par le manche et mettent ces particules un peu partout….

https://www.60millions-mag.com/2017/08/24/des-nanoparticules-cachees-dans-nos-assiettes-11318

…Y compris dans les vaccins !

https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/26/de-la-nanotechnologie-dans-les-vaccins-un-journal-grand-public-en-parle-on-progresse/

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccin]

L’autre sujet majeur et vital dans lequel s’invite la nanotechnologie dans la modification du climat. Il ne s’agit de rien d’autre que du sprayage de notre planète avec minuscules particules dont l’issue peut être fatale pour la vie sur terre. On parle là de la géo-ingénierie.

Pour limiter le réchauffement planétaire, la commission étudie différentes possibilités. Parmi celles-ci, la capture et le stockage du carbone dans le sol. Mais aussi la possibilité d’utiliser la géo-ingénierie solaire pour contrôler le climat terrestre. Cette technologie s’inspire des grandes éruptions volcaniques qui créent une sorte de voile dans l’atmosphère, limitant ainsi le rayonnement solaire reçu à la surface de la Terre. “On parle d’injecter des milliers de millions de tonnes de particules dans la stratosphère chaque année, via des ballons ou de très grandes flottes d’avions porteurs qui feraient des rotations en permanence”, précise Stéphane Foucart. Cette technologie présente cependant de nombreux risques : perturbation du cycle de l’eau et des courants marins, l’acidification des pluies, entre autres. « Le seul avantage de la géo-ingénierie, affirme le journaliste spécialiste des sciences environnementales, serait de maintenir les températures à un niveau acceptable.” Mais si du jour au lendemain, on ne pouvait plus continuer à injecter ces particules dans l’atmosphère, à cause d’une catastrophe par exemple, la température pourrait augmenter spectaculairement et rendrait illusoire l’idée de pouvoir s’adapter au changement climatique.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-interview/l-interview-de-secrets-d-info-du-samedi-04-juin-2022-3748138

Cependant les enjeux du contrôle du climat vont de pair avec ceux d’un business vorace qui veut redéfinir la vie de l’ensemble de la biosphère et même de l’atmosphère.

Voici au hasard un brevet qui mêle géo-ingénierie, nanotechnologie et business. On ne peut faire mieux pour sortir du déni ceux qui sont prompts à parler de complotisme.

1 .
Procédé commercial pour fournir une valeur commerciale à une entreprise de refroidissement global de géo-ingénierie d’une première partie, comprenant les étapes consistant à :
(a) fabriquer ou avoir fabriqué un dispositif ou un agent conçu pour réduire l’énergie incidente sur la Terre ou incidente sur ses océans, ses masses terrestres ou son atmosphère ;
(b) déployer ou faire déployer ledit dispositif ou agent ;
et,
(c) recevoir une compensation sous la forme d’un crédit négociable, ledit crédit étant délivré en tant que compensation par une seconde partie à la première partie en échange de ladite réduction de ladite énergie incidente ;
et,
(d) monétiser ledit crédit en vendant ledit crédit ou en l’échangeant contre d’autres instruments de valeur au second ou à un tiers, ces instruments comprenant des espèces, des billets, des prêts, des matériaux, des devises ou d’autres instruments négociables.

Juste avec cet extrait, vous voyez le business que ces gens peuvent déployer à l’heure où nous les humains n’aurons plus le droit de nous déplacer sans raison valable. Il suffit de voir toutes les compagnies d’aviation qui suppriment des vols juste au moment où les gens veulent partir en vacances. Pour les plus motivés, voici l’entier du brevet :

Dernier point, quand on parle de refroidir le climat, il faut avoir en tête que l’ensemble des composants de la planète est touché.

Rapport Réagir (100 Mo ) : ici

Une pure folie à laquelle l’ONU, la Commission européenne, les Etats occidentaux, bref tous ceux qui sont sous l’influence des lobbies, ont dit oui!

L’Agenda 21 voté à l’unanimité des Etats

LHK

D’autres vidéos de Roger Lenglet




Qui a voulu empêcher un colloque pour la paix en Syrie ?

Par Claude Janvier

Le Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples, en la personne de son président Adnan Azzam, a organisé un colloque « Pour la paix en Syrie, stop à l’embargo inhumain contre le peuple syrien » vendredi 10 juin 2022, place de la Bastille à Paris.

Citoyens français et franco-syriens engagés de longue date dans les associations humanitaires et culturelles à travers le monde, nous nous sommes rendus à plusieurs reprises en Syrie depuis 2011, et avons constaté, année après année, la dégradation dramatique des conditions de vie du peuple syrien et les souffrances inadmissibles qui en découlent pour les populations civiles.

Coupures d’électricité quotidiennes, absence d’éclairage public, manque d’énergie, d’essence et de gazole, pas de chauffage, manque de nourriture, de matières premières, de médicaments, et de produits de première nécessité, telle est l’oppression constante que subit le peuple syrien à cause des sanctions auxquelles la France est hélas associée.

Les nombreux intervenants étaient tour à tour en train de démontrer l’inutilité des sanctions économiques pesant sur le peuple syrien depuis 2011, et d’apporter les preuves que le rapport « César » qui a servi de blanc-seing à la coalition internationale pour les imposer, est un rapport mensonger monté et financé par un pays belligérant contre la Syrie, et soutenu par Human Right Watch qui est une ONG fabriquée et financée par Georges Soros dont l’activisme de déstabilisation envers d’innombrables pays souverains n’est plus à démontrer, quand tout à coup, un groupuscule d’individus fit irruption dans la salle et nous empêcha momentanément de continuer nos exposés.

Devant l’impossibilité de les raisonner, nous avons été obligés d’intervenir et avec l’aide du public, de les repousser et au final de les expulser dans le calme. Des policiers sont venus rapidement constater les faits. Ainsi, notre colloque a pu reprendre et se terminer un peu plus tard dans une ambiance sereine.

Qui est derrière cette tentative de censure ? Qui veut étouffer les évidences que cette guerre sert les intérêts de la coalition internationale ? Qui est contre la paix en Syrie et qui ne souhaite pas que son peuple puisse vivre dignement ?

Peut-être, faut-il chercher les causes de cet extrémisme dans les ingérences militaires américaines et de leurs alliés qui se sont multipliés dans le monde, largement accompagnées de faux rapports et de propagandes scandaleuses destinés à mettre en état de choc l’opinion publique. Rappelez-vous les fausses informations à propos des charniers de Timisoara, d’armes chimiques inexistantes en Irak et en Syrie, et des soldats libyens drogués, violeurs… Le lavage de cerveau s’intensifie de plus en plus à grande échelle à travers des médias de masse complices.

Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles, les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

Nous appelons à la levée immédiate de la loi « César » qui n’a d’autre but que d’asphyxier financièrement le gouvernement syrien afin d’arriver à un changement de régime, tout en faisant souffrir inutilement le peuple syrien.

Les pressions ne nous empêcheront pas de continuer sans relâche à dénoncer cet embargo inhumain.

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l’homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes en agissant pour supprimer la loi « César ».

Claude Janvier

Écrivain, essayiste

Membre du Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples.




Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ?

[Voir aussi sur mondialisation.ca]

Par Nicole Delépine

CÉLINE DION

Vu le nombre d’abonnés de Céline Dion (924 200 abonnés sur Twitter, plus d’un million sur FB, etc.), on peut espérer que les malheurs de cette fabuleuse chanteuse toucheront plus de monde que les sites officiels d’EudraVigilance ou du Vaers (plus difficiles à consulter) et en alerteront quelques-uns. Ne serait-ce que pour instiller le doute fertile…

Que lui est-il arrivé ? Pour l’instant, sa famille et/ou ses agents alimentent son compte par des rappels de ses disques ou concerts, etc.. Mais pourquoi ce silence, ces éternelles annulations de concerts pour l’instant reportés à sept 2023. Qui y croit encore ? 

 @jjdenoual 2 nov. 2021

« À la suite de sa seconde injection du vaccin contre le coronavirus, Céline DION serait paralysée et aurait annulé tous ses concerts ! Mais silence radio dans les médias, car ce serait la panique chez tous les vaccinés ! »

@Rideaubleu 31 oct. 2021

« Donc on récapitule le délire : un pompier vaccine une fillette de 12 ans, pour fêter la 100000e dose. Ils offrent à l’enfant des places pour le concert de Céline Dion, concert qui a été annulé, car la chanteuse qui appelait à la vaccination est paralysée. Non, ce n’est pas une blague ».

Céline Dion, sa mystérieuse maladie liée au vaccin contre le Covid, révélation CHOC de Bob Kennedy Jr (ilestencoretemps.fr)  

Nos confrères du magazine Public ont récemment publié que la chanteuse de 53 ans serait frappée par une maladie singulière appelée neuropathie à petites fibres, une pathologie que Céline Dion aurait contractée il y a un an, « peu après s’être fait vacciner contre le Covid sans que le lien soit fait » ouvertement. Pourtant elle n’est pas connue pour présenter les facteurs favorisants décrits pour cette maladie (mutations dans les gènes SCN9A et SCN10A, syndrome métabolique, VIH, maladie cœliaque, syndrome de Sjögren, amyloïdose, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, maladies infectieuses, hépatite C, maladie de Lyme, hypothyroïdie, troubles du système immunitaire).

Une coïncidence de plus ?

Si cette piste vaccin devait se confirmer, Céline serait, à l’instar des millions de personnes, victime d’un « complot » mondial, comme le soutient Bob Kennedy Jr qui a dédié un ouvrage à ce sujet.

En mai 2021, Céline déclarait :

« J’encourage tout le monde à se faire vacciner parce que je pense qu’en ce moment, c’est la seule façon de rebâtir une immunité à travers le monde. ».

Qu’en savait-elle ? Comment oser affirmer une telle aberration ? Aurait-elle aimé que je la remplace pour chanter sur scène ? Chacun son travail, ses compétences.

 Ce mélange des genres via manipulation des lobbies et des médias doit cesser. 

Le 19 mai 2022, Céline Dion confirme ce que tout le monde redoutait sur son état de santé : « Je suis tellement désolée d’avoir à changer les dates de la tournée en Europe une nouvelle fois ; la première fois, ce fut à cause de la pandémie, maintenant, c’est en raison de ma santé », précisait la chanteuse, âgée aujourd’hui de 54 ans.

« Pour être honnête, j’ai hâte, mais je ne suis pas encore tout à fait prête… ». « Il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants ».

« On se demande si elle ne lit pas un message, on la sent extrêmement triste, comme robotique » commentait la chroniqueuse canadienne Sophie Durocher après avoir visionné le court extrait.

« Si une artiste de la trempe de Céline Dion reporte, ce n’est pas parce qu’elle a un petit mal de tête, il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants » poursuivait-elle au micro d’une radio locale.

« Des millions de dollars sont en jeu ! Il va falloir se poser la question. Est-ce que Céline Dion va remonter sur scène ? » se demande-t-elle.

D’après le tabloïd britannique « The Express », Céline Dion souffrirait de dystonie. Une pathologie qui se caractériserait par des contractions musculaires, survenues de façon involontaire et prolongée.

Bref, tous ces commentaires confirment la grande probabilité d’une maladie neurologique post vaccinale, évoquant le cas de Mauricette atteinte de Creutzfeld Jacob ou d’une maladie apparentée. Ce qui a d’autant plus choqué et nié un temps, c’est que Céline Dion s’était faite l’avocate tenace de l’injection expérimentale jusqu’à imposer le vax à ses spectateurs en concert. Elle y croyait vraiment et a été victime de sa croyance ! Vaccination » devenue religion.
 
Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes qui sont loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

La corruption ne se limite pas à la corruption financière, mais touche toutes les facettes de l’âme humaine, désir de plaire, de conseiller, de jouer les sauveurs, etc.. Tragique histoire qui se répète à l’envi au fur et à mesure que les jours passent et que l’effet toxique de ces produits expérimentaux s’incruste dans le corps. 

Après Céline, Justin Bieber

Un deuxième exemple est venu cette nuit du 10 Juin 2022

Agence France-Presse :

« Justin Bieber avait animé un concert en faveur des pseudo vaccins covid le 27 juin 2020 organisé par Global Citizen Ursula avec l’appui de von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Melinda Gates, présidente de l’Alliance mondiale pour les vaccins et vaccinations (Gavi), Ngozi Okonjo-Iweala, ou Derrick Johnson (président de la NAACP). »

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal.

Espérons que ses jeunes fans se poseront quelques questions à cette occasion et hésiteront à aller se faire injecter une nouvelle fois. 

Par quel mécanisme de pensée tortueuse s’était-il transformé en marchand d’injection, dont il ne connaissait rien, d’autant que tous les éléments étaient cachés ? La seule certitude vérifiable était que ces substances étaient expérimentales comme le démontrait d’emblée le site clinicaltrials.gov. 

Elles le sont toujours et il faudra attendre 2023 pour obtenir les données officielles des essais. Mais actuellement nous disposons grâce à la justice américaine d’une partie des documents cachés de Pfizer qui dévoilent la tricherie qui devrait faire interdire toute poursuite des injections. Et les données anglaises données par l’ONS anglais démontrent aussi le danger létal pour la population des injections.

Ainsi le 10 juin 2022 on apprend via Twitter :

« Après sa compagne, Justin Bieber est à son tour gravement malade et contraint d’interrompre sa tournée. Triplement vacciné, il avait demandé à ses fans des schémas de vaccinations complètes pour assister à ses concerts. »

Ou via @vl_plus :

Après sa femme Hailey hospitalisée pour un caillot sanguin dans le cerveau marieclaire.fr/hailey-bieber — …

c’est Justin Bieber lui-même qui souffre d’une maladie mystérieuse « qui s’aggrave » et le force même à suspendre ses concerts…. mirror.co.uk/3am/celebrity -— …

@AldoSterone111     

Justin Bieber annule ses concerts. Il est très malade. Son visage est paralysé… On dirait un vaccident. dailymail.co.uk/tvshowbiz/arti…11/06/2022 0 h 48

@NaraShi138767941/3) 08/06/22

Justin Bieber 28 ans reporte ses spectacles

Il a écrit sur Instagram : « Je n’arrive pas à croire que je dis ça. J’ai tout fait pour aller mieux, mais ma maladie s’aggrave ».   La star de 28 ans n’a donné aucun détail sur sa mystérieuse maladie.

www-uol-com-br.translate.goog/splash/noticia… pic.twitter.com/w3YBHqOeyg 09/06/2022 

Bref notre célèbre et beau chanteur est défiguré par une paralysie faciale bien décrite dans les complications de la vaccination anticovid sous le nom de paralysie de Bell. Le présenter sous le nom de syndrome de Ramsay fait peut-être savant, mais ne change rien au fait.

Quel malheur d’avoir rendu malades ces beaux jeunes gens qui avaient l’avenir devant eux et qui de plus ont cru utile de conseiller aux autres ce délire absolu.

© Instagram/Justin

Selon un infectiologue, le zona de Justin Bieber est apparu le long des deux nerfs du visage, le facial et l’auditif, voilà pourquoi le chanteur a du mal à parler et sûrement à entendre. Instagram/Justin Bieber

Il faut exiger des instances mondiales un arrêt complet de ces injections dangereuses dont on commence à connaître les drames à court et moyen terme (myocardites, mort subite de sportifs en course, etc., maladie proche de la vache folle) et inconnus à long terme.

L’évolution rapidement fatale de cancers guéris depuis de nombreuses années ou de cancers récents se constate de plus en plus après les injections, particulièrement la troisième.Rappelons que dans la première phase de la vaccination, seulement 5 % des lots ont été concernés par les accidents vaccinaux. Placebos, dosages et ingrédients différents. On ne le sait pas. Ce qui est certain est que depuis la troisième dose dite « booster », les accidents paraissent plus fréquents, et plus rapides même si on peut aussi distinguer des variétés géographiques, ce qui laisse supposer des différences dans les lots.   Roulette russe… Ça vous dit vraiment ? 



« Mon cœur se brise de devoir reporter ces prochains spectacles (ordres des médecins). À tout mon peuple, je vous aime tellement et je vais me reposer et aller mieux ». 

Dans le clip publié vendredi, Justin a montré les effets dévastateurs de son diagnostic en montrant que son œil ne clignait pas, ne pouvait pas sourire et que la narine ne bougeait pas du côté droit de son visage.

Il a expliqué :

« Il y a donc une paralysie complète de ce côté de mon visage. Alors pour ceux qui sont frustrés par mes annulations des prochains shows, je suis juste physiquement évidemment pas capable de les faire. C’est assez grave comme vous pouvez le voir. »

Conclusion

En conclusion, souhaitons à ces artistes et aux nombreuses autres victimes des injections la meilleure récupération possible. Néanmoins, espérons qu’à l’avenir, les artistes, les sportifs, les politiques, des associations, etc. éviteront de se lancer dans des campagnes de pub pour des vaccins et/ou des médicaments (supposés miracles), et/ou de dépistages, etc. dont ils ne disposent pas du fond des données (bien souvent cachées). À chacun son métier.




Profs, médecins : deux métiers sous influence. Mise à jour

Par Karen Brandin

[Mise à jour : ajouts dans le texte.]

On se souvient tous en octobre 2021 des propos polémiques d’Emmanuelle Wargon, alors ministre du Logement, qui avait déclaré sans ambages que « les maisons individuelles étaient un non-sens écologique, économique et social » ; bref, une prétention absurde, d’un autre âge en quelque sorte. Depuis, nous sommes chaque jour encouragés à devenir des « locataires universels », qu’il s’agisse de voitures, d’électroménager ou de vêtements, comme un retour en grâce du collectivisme.

En plus de cette invitation pressante aux relents de culpabilité d’une expropriation matérielle, ne nous pousse-t-on pas en plus à une expropriation intellectuelle ? Avons-nous encore le droit d’avoir des idées, des convictions, de revendiquer des compétences ? La vocation, qu’il s’agisse de la médecine ou de l’enseignement, est-elle devenue une passion honteuse, marginale ? Ces professions sont-elles condamnées à être sous l’influence d’une hiérarchie toujours plus envahissante, toujours plus castratrice ?

Comme les médecins sont désormais sans cesse contrariés, entravés dans leur liberté de prescrire quand bien même leurs ordonnances sont consécutives à un examen clinique qu’eux seuls sont à même de pratiquer et d’interpréter, on voit ces dernières années se multiplier dans l’enseignement secondaire notamment, des plateformes d’assistance pédagogique destinées elles-aussi à encadrer la pratique d’un métier pourtant fait de compétences durement acquises. La plus célèbre d’entre elles (en maths puisque c’est mon domaine d’intervention) s’appelle Kwyk. Elle est bien connue des enseignants. Je ne fais pas là le procès d’intention de ce type d’outils, car il est possible d’en faire un usage modéré et équilibré, mais il est légitime de s’interroger sur les promesses qui sont mises en avant pour susciter l’adhésion ou l’intérêt. Je cite ce message « promotionnel » adressé au personnel de l’éducation (en réalité, de l’instruction) :

  • 1— Je crée un devoir en 1 min (« Quick » donc)… Un gain de temps incontestable pour le prof, sans doute, mais que fait-on de ce temps libéré ? Profite-t-il à terme aux élèves ?)
     
  • 2— Je l’envoie et reçois le bilan par mail (le système s’invite et en fait « s’intercale » dans la relation prof-élève qui s’en trouve corrompue. Il faut en outre préciser que ce système fait la part belle aux réponses ; l’argumentation n’est quant à elle pas évaluée, pas plus que la rédaction d’ailleurs, deux piliers pourtant fondamentaux de la démarche mathématique.)
     
  • 3— J’active les révisions personnalisées (??? alors qu’il s’agit d’une banque de données dans laquelle on vient se servir, sorte de « buffet » d’exercices ; on est donc très loin d’un quelconque enseignement « sur-mesure ». On retrouve là le mythe de la médecine numérique présentée comme ultra-personnalisée à grand renfort d’espace santé.)

Un effet pervers de ce type de système est qu’il conduit à un désengagement des acteurs de la profession concernée, ruine leur créativité ainsi que tout espoir de satisfaction durable et donc, à terme, d’épanouissement. En les plébiscitant, on devient rapidement, insidieusement, l’artisan de la perte de sens de nos métiers. Cette assistance présentée comme « pratique, » voire sécurisante, est en réalité « débilitante ».

Le mécanisme est désormais bien rodé et la logique toujours la même. Sous un prétexte fallacieux d’efficacité, de simplification des tâches assimilée de fait à « un progrès », à une innovation (on confond trop souvent ces deux notions malheureusement), on crée une dépendance avec comme corollaire naturel, l’acceptation d’une surveillance. De cette dépendance naît une fébrilité, une faille dans laquelle il est alors facile de s’engouffrer.

Annuler doucement, mais sûrement toute autonomie, semer non plus un doute « raisonnable », une prudence légitime, mais bien plus sûrement une incertitude délétère qui, à terme, paralyse. C’est ce qui guette ces corps de métiers soumis à de trop fortes contentions.

Apparemment, il faut cacher ces esprits libres que nous ne saurions voir.

Comme chaque année, en cette période de correction des épreuves du bac (ou plutôt de ce qu’il en reste après la tornade de la réforme Blanquer), les témoignages d’enseignants légitimement consternés se multiplient. Ceux-ci constatent que les notes qu’ils ont attribuées aux copies (dûment numérisées !) dont ils avaient la charge, ont été allègrement modifiées suite à une obscure commission dite d’harmonisation, et ce bien entendu à l’avantage des élèves, car il s’agit de battre les records d’admission à cet examen désormais fantoche. Ce processus, profondément humiliant, dégradant en plus d’être déstabilisant, vient anéantir et remettre en question sans pudeur aucune, la légitimité de prof ainsi que son autorité.

Il est donc urgent de redoubler de vigilance et de garder bien présent à l’esprit que c’est en le pratiquant en conditions réelles que le geste d’enseignement, que le geste médical s’affirme, se perfectionne. Il ne faut jamais perdre de vue que lorsque l’on délègue à ces assistants virtuels censés nous soulager, on se dépouille et l’on finit par régresser, car ce sont autant de compétences que l’on ne retrouvera jamais dans leur intégrité et leur densité premières.

Si l’homme n’est pas infaillible dans sa mission de transmettre ou encore dans son diagnostic, la machine (notamment administrative) ne l’est pas davantage, fût-elle équipée d’une IA. Elle doit rester un outil et ne jamais devenir une excroissance, encore moins une donneuse d’ordres. Il faut retrouver une autonomie de réflexion qui permette de gérer la peur de l’erreur et refuser que l’on vienne s’immiscer dans ces professions à visée humaine avec en ligne de mire, le célèbre adage : « diviser pour mieux régner. »

Car en réalité ce qui semble inquiéter au plus point la hiérarchie d’où qu’elle vienne (hôpital, école, et même université) et que j’avais nettement perçu lors de mes vacations en lycées, c’est la complicité qui peut se créer entre l’enseignant et sa classe, le médecin et son patient (on parle alors de « colloque singulier »). Un contrat de confiance réciproque. On pourrait naïvement imaginer que c’est pourtant là le saint Graal, le but ultime. Or c’est très mal vécu par les autorités qui ne souhaitent perdre ni leur possibilité de contrôle ni leur emprise. Cet état de fait, cet état de grâce, est presque toujours perçu comme une provocation, une menace absurde d’une mutinerie à venir. La complicité que l’on perçoit spontanément comme « facilitante », comme un facteur d’adhésion (qu’il s’agisse d’un cours ou d’un soin), est finalement présentée comme un vecteur d’un désordre et provoque la suspicion. Et si par malheur vos élèves venaient à progresser et vos patients à guérir, vous vous exposeriez à un procès pour sorcellerie ou charlatanisme.

Toute initiative, qu’elle soit pédagogique ou médicale, est de fait présumée coupable. Nous en avons eu un dramatique exemple à l’occasion de la crise du covid avec des praticiens, les médecins de ville comme l’on dit parfois, lourdement et impitoyablement sanctionnés pour avoir revendiqué une prise en charge de leurs malades alors que c’est là justement le cœur de leur métier et de leur engagement. S’appuyer en première intention sur des traitements sûrs, car largement éprouvés, encourager le repositionnement de molécules anciennes est assimilé à rien de moins que de l’obscurantisme.

L’éducation n’est pas davantage épargnée par ce diktat, cette obsession du modernisme. Ainsi les méthodes dites anciennes d’apprentissage de la lecture (la méthode syllabique : le b-a-ba), comme celles des opérations de base ont beau avoir fait leurs preuves, elles sont plus que jamais caricaturées et leurs défenseurs avec elles, balayées par le vent de la nouveauté, le blizzard des neurosciences. Pourtant la méthode globale, en n’offrant aucune structure, aucun repère, a largement contribué à l’effondrement du niveau des élèves en français, mais aussi en mathématiques.

Ce qui peut, ce qui doit retenir les Ulysses des temps modernes (que nous sommes tous en puissance) de succomber aux appels répétés des sirènes des protocoles et de développer une addiction à une liberté surveillée qui nous déresponsabilise au profit d’une tribu protectrice fantasmée, c’est peut-être la prise de conscience que nous ne sommes plus jamais que le dernier maillon d’une chaîne de décisions trop longue pour nous donner le courage de la briser et trop courte pour nous garantir la liberté de penser, d’instruire ou encore de soigner.

Ce sursaut est nécessaire pour les générations à venir déjà terriblement embrigadées, dépendantes de toutes sortes d’assistants qu’ils soient orthographiques, vocaux ou encore mathématiques (je pense à la redoutable application « photomath »), mais aussi victimes si l’on pense à l’insondable ParcourSup…

Je donne souvent cet exemple parmi tant d’autres. En donnant dès le plus jeune âge accès à une calculatrice aux élèves, on compromet leur indépendance dans leur rapport aux nombres, au calcul, aux ordres de grandeur. Et cet outil, clairement indispensable dans des cas difficiles, devient une béquille sur laquelle ils s’appuieront par la suite pour tout et n’importe quoi. Quand j’emprunte par hasard ce matériel à l’un de mes terminales et que par curiosité je parcours l’historique, je suis à chaque fois effarée de ne voir figurer que des calculs décourageants de facilité : 2×3, 12-7, etc. qu’ils savent parfaitement réaliser bien sûr, mais qu’ils « préfèrent vérifier » comme ils disent. Et si, suite à une manipulation défectueuse, la « machine répond 2×3=5 », il y a un moment de flottement. L’élève n’a plus son libre arbitre, il l’a délégué à la machine toute puissante. Il est définitivement en demande (et donc souvent en manque) d’un GPS de la pensée dont il est prêt à suivre les instructions, les directives comme un somnambule.

À l’opposé, nous avons tous la chance, le privilège d’avoir dans notre entourage comme autant de phares dans ce crépuscule de l’intelligence et des idées, des médecins, des profs entrés en fonction dans les années 70/80 et devant lesquels on est invariablement admiratifs tant ils font preuve d’une vivacité d’esprit (critique notamment), d’une dextérité, d’une curiosité et surtout d’une capacité d’adaptation dont nous nous sentons, nous pourtant plus jeunes, désormais incapables. Ce n’est pas seulement la conséquence légitime de l’expérience, mais aussi le fruit d’une formation initiale de qualité, exigeante, où l’on apprenait à comprendre, où l’on apprenait à évaluer le bénéfice comme le risque, à l’assumer aussi alors qu’aujourd’hui, nous sommes tout au plus conditionnés pour mémoriser des schémas préétablis, découpés en séquences, systématiquement dictés par d’autres plus haut dans la pyramide et dont nous sommes les exécutants maladroits et inquiets, car sans cesse inquiétés. Diviser pour mieux régner donc, mais aussi « insécuriser » pour mieux régner.

Il est plus que temps de se réveiller et de se réconcilier avec notre condition d’être humain. C’est à ce prix que l’on pourra espérer lutter efficacement contre cette hémorragie du sens qui menace nos professions respectives et retrouver la satisfaction et la fierté d’un travail original, soigné et motivé. À l’instar des gilets jaunes, défendons chèrement nos valeurs, notre indépendance et donnons-nous rendez-vous au rond-point d’une éthique revendiquée.

Karen Brandin

« Mais dis-moi tout
Marionnettiste
J’ai des ficelles à mon destin
Tu me fais faire un tour de piste
Mais où je vais je n’en sais rien
Mais dis-moi tout
Marionnettiste
Mon cœur de bois soudain s’arrête
Que feras-tu de tes artistes
Après la fête ? »

(P. Bachelet — extrait)

NB : Je remercie chaleureusement la pédiatre-oncologue Nicole Delépine de m’avoir suggéré la possibilité de ce début de réflexion que d’autres poursuivront j’espère.

Quelques pistes de lecture :

  • 1— Oraison funèbre de la classe de philosophie (Harold Bernat — éditions Atlantiques déchaînés)
  • 2— http://images.math.cnrs.fr/Lycee-les-maths-en-soins-palliatifs.html
  • 3— Souffrir d’enseigner. Faut-il rester ou partir ? (Rémi Boyer — J.M. Horenstein — éditions de la Mémoire)
  • 4— J’avais honte d’être prof (Paul Dandelot — éditions Fabert)
  • 5— Ma liberté de soigner (Nicole Delépine — éditions Michalon)
  • 6— Soigner ou Obéir ? (Nicole et Gérard Delépine — éditions Fauves)
  • 7— https://la-verite-vous-rendra-libres.org/seule-la-liberte-des-medecins-et-soignants-peut-sauver-la-medecine-pour-les-malades/
  • 8— Je ne pouvais pas les laisser mourir ! (J.J. Erbstein -éditions JDH)
  • 9— Délires et tendances dans l’éducation nationale (Dany-Jack Mercier — éditions EPU)
  • 10— L’enseignement de l’ignorance (J.C Michéa — éditions climats)
  • 11— L’école fantôme (Robert Redeker — éditions Desclée de Brouwer)
  • 12 — Santé publique, Année zéro (Barbara Stiegler-François Alla — éditions Gallimard)



L’échec du zéro covid en Australie

Par le Dr Gérard Delépine

Au début de la crise covid, les Chinois, l’OMS et N. Ferguson ont inventé la stratégie du zéro covid.

Cette politique sanitaire, jusqu’ici jamais utilisée en médecine moderne, consiste à enfermer l’ensemble des populations (malades et personnes saines) à domicile (confinement) jusqu’à l’invention d’un vaccin ou d’un médicament miracle qui sauverait le monde.

En contradiction totale avec les connaissances médicales traditionnelles, cette politique n’avait pour seul argument que des simulations mathématiques basées sur des hypothèses fausses. Elle a néanmoins séduit de nombreux dirigeants autoritaires qui ont pu y voir le moyen de faire taire toute opposition politique par une propagande terrorisante, des lois d’urgence, la censure, l’interdiction des rassemblements…

Après deux ans d’épidémie, il est maintenant possible d’en tirer un bilan factuel qui en démontre la vanité, l’absence d’efficacité, et ses conséquences tragiques.

L’Australie a subi les pires restrictions de liberté après la Chine

Lors de cette crise, l’Australie a renié ses traditions démocratiques.

Dès le mois de mars 2020 : fermeture des frontières. Les ressortissants australiens n’ont été autorisés à sortir du territoire que pour un motif impérieux/urgent ; ils ne pouvaient revenir sur le territoire national qu’après obtention d’une autorisation préalable par les autorités douanières et quarantaines sévères et à leurs frais comme pour les autres voyageurs.

Confinement strict, distanciation sociale avec interdiction de se déplacer à plus de 5 km de son domicile, port du masque généralisé, couvre-feux. Et dans cet état fédéral fermeture des frontières intérieures des États et territoires, action qui n’avait été utilisée que lors de la grippe espagnole, en 1919.

Ces mesures interrompues par de courtes périodes ont été réactivées à la moindre apparition de nouveaux cas. Le 31 janvier 2021, un seul cas dans la province occidentale a conduit à un confinement de cinq jours pour ses 2 millions d’habitants !

La répression policière des opposants à ces mesures liberticides a été systématique. Le 23 août 2021, la police australienne a investi une église de Sydney qui célébrait une messe et a imposé des amendes de 5000 à 1000 dollars australiens (3000 à 600 euros) à une trentaine de fidèles.

Le 13 septembre 2021 déclaré « Jour de la Liberté », pour protester contre la réponse excessive du gouvernement face à la pandémie, la police a arrêté 74 manifestants opposés aux restrictions et en a verbalisé 176 autres. Et quelques jours plus tard, des centaines de militaires ont même été appelés en renfort pour veiller au strict respect du confinement.

L’attitude du gouvernement ne respectait pas l’avis de la majorité de la population puisque 57 % des Australiens préféraient que l’économie reste ouverte avec certaines mesures de contrôle, contre 43 % partisans de politiques censées réduire les décès évitables.(([1] Manipis K, Street D, Cronin P, Viney R, Goodall S. Exploring the Trade-Off Between Economic and Health Outcomes During a Pandemic: A Discrete Choice Experiment of Lockdown Policies in Australia. Patient. 2021;14(3):359-371. doi:10.1007/s40271-021-00503-5))

En octobre 2021 Melbourne avait déjà subi six confinements d’une durée totale de 260 jours.

Et les médias chantaient les louanges des confinements(([2] Australie : comment Melbourne a gagné contre le coronavirus après un confinement marathon tout l’hiver https://www.rtbf.be/article/australie-)) et des vaccins comme le Premier ministre Scott Morrison promettant très imprudemment :

« quand 70 % à 80 % de la population âgée de 16 ans et plus auront été vaccinés. Le nombre de cas ne sera plus le problème ».

Il aurait mieux fait d’être prudent, car ses croyances ont été totalement démenties par l’explosion récente de l’épidémie malgré un pourcentage de vaccinés dépassant largement son chiffre d’or.

Le mirage de la vaccination

Pour imposer les pseudo vaccins à la population, la propagande mensongère et le chantage aux libertés ont constitué les moyens les plus utilisés.

Les mensonges ont instrumentalisé la pseudoscience utilisant encore des simulations biaisées comme celle de Zachreson C(([3] Zachreson C, Chang SL, Cliff OM, Prokopenko M. How will mass-vaccination change COVID-19 lockdown requirements in Australia?. Lancet Reg Health West Pac. 2021;14:100224. doi:10.1016/j.lanwpc.2021.100224)):

« la stratégie de vaccination de l’Australie peut raisonnablement réduire l’intensité de confinement requise et le taux de croissance initial de l’épidémie de 43 % et 52 %, respectivement. »

Les partisans de cette politique zéro covid n’ont pas tenu compte de ses coûts médicaux, scolaires, politiques, économiques désastreux.

Pourtant les études récentes, basées non plus sur des simulations, mais sur les faits constatés suggèrent(([4] David K. Miles1 Stay at Home, Protect the National Health Service, Save Lives: A cost benefit analysis of the lockdown in the United Kingdom Int J Clin Pract. 2021;75:e13674. | 1 of 14
https://doi.org/10.1111/ijcp.13674 « the lowest estimate for lockdown costs incurred was 40% higher than highest benefits from avoiding the worst mortality case scenario at full life expectancy tariff and in more realistic estimations they were over 5 times high ».)):

« les plus faibles estimations du coût du confinement les placent 40 % haut dessus que les meilleurs bénéfices espérés en vie humaine ; les estimations plus vraisemblables situent les conséquences néfastes cinq fois pires »

Le coût humain caché de cette politique zéro covid

Les troubles psychologiques liés aux confinements

« Les adolescents sont plus préoccupés par les restrictions gouvernementales conçues pour contenir la propagation du virus que par le virus lui-même, et que ces préoccupations sont associées à une augmentation de l’anxiété et des symptômes dépressifs et à une diminution de la satisfaction de vivre. »(([5] Magson NR, Freeman JYA, Rapee RM, Richardson CE, Oar EL, Fardouly J. Risk and Protective Factors for Prospective Changes in Adolescent Mental Health during the COVID-19 Pandemic. J Youth Adolesc. 2021;50(1):44-57. doi:10.1007/s10964-020-01332-9))

« Nos résultats fournissent des preuves de pires trajectoires des symptômes de santé mentale des parents et des enfants à un moment coïncidant avec une deuxième épidémie de COVID-19 impliquant un confinement strict à Victoria, par rapport aux États non confinés en Australie. »(([6] Elizabeth M Westrupp Parent and child mental health trajectories April 2020 to May 2021: Strict lockdown versus no lockdown in Australia Australian and NZ J of psychiatry 21/12/21
https://doi.org/10.1177/00048674211065365))

« Une augmentation des pratiques d’alcool à risque… L’anxiété, le pessimisme et la dépression ont entraîné un comportement de stockage chez les femmes britanniques et australiennes. »(([7] Miller ER, Olver IN, Wilson CJ, et al. COVID-19, Alcohol Consumption and Stockpiling Practises in Midlife Women: Repeat Surveys During Lockdown in Australia and the United Kingdom. Front Public Health. 2021;9:642950. Published 2021 Jun 30. doi:10.3389/fpubh.2021.642950))

« 39 à 54 % des participants ont signalé une détérioration de leur santé mentale, de leur santé physique, de leur situation financière et de leur productivité au travail. »(([8] Rogers SL, Cruickshank T. Change in mental health, physical health, and social relationships during highly restrictive lockdown in the COVID-19 pandemic: evidence from Australia. PeerJ. 2021;9: e11767. Published 2021 Jul 22. doi:10.7717/peerj.11767))

« Parmi 1157 Victoriens, un tiers ont signalé des symptômes d’anxiété ou de trouble dépressif, un cinquième ont signalé des idées suicidaires et un dixième ont déclaré avoir sérieusement envisagé le suicide au cours des 30 jours précédents. »(([9] Czeisler MÉ, Wiley JF, Facer-Childs ER, et al. Mental health, substance use, and suicidal ideation during a prolonged COVID-19-related lockdown in a region with low SARS-CoV-2 prevalence. J Psychiatr Res. 2021;140:533-544. doi:10.1016/j.jpsychires.2021.05.080))

Au point que Holly Lawford Smith s’interroge :

« la vie en confinement valait-elle la peine d’être vécue ? »(([10] Lawford-Smith H. Was lockdown life worth living? Monash Bioeth Rev. 2022 Mar 20:1–22. doi: 10.1007/s40592-022-00155-7. Epub ahead of print. PMID : 35 306 628 ; PMCID : PMC8934538.))

« Le confinement de la communauté victorienne a eu des conséquences néfastes sur la santé, qui se sont inversées à la sortie du confinement. »(([11] Griffiths D, Sheehan L, Petrie D, van Vreden C, Whiteford P, Collie A. The health impacts of a 4-month long community-wide COVID-19 lockdown: Findings from a prospective longitudinal study in the state of Victoria, Australia. PLoS One. 2022 Apr 7;17(4):e0266650. doi :))

« Les confinements n’étaient donc pas justifiés… L’examen des informations dont disposait le gouvernement australien en mars 2020 donnait un ratio similaire et soutenait donc fortement l’adoption d’une stratégie d’atténuation à ce moment-là. »(([12] Martin Lally1A cost–benefit analysis of COVID‑19 lockdowns in Australia Monash Bioethics Review
https://doi.org/10.1007/s40592-021-00148-y))

Les victimes collatérales du confinement

Le dépistage et le traitement des cancers ont été fortement impactés par les confinements.

L’Australie a littéralement mis fin à ses programmes de dépistage du cancer pendant les confinements et l’impact délétère de ces arrêts va apparaître dans les prochaines années. Une estimation actuelle(([13] Yong JH, Mainprize JG, Yaffe MJ, et al. The impact of episodic screening interruption: COVID-19 and population-based cancer screening in Canada. J Med Screen. 2021;28(2):100-107. doi:10.1177/0969141320974711)) estime que pour le dépistage du cancer du sein :

« une interruption de trois mois pourrait augmenter de 310 les cas diagnostiqués à des stades avancés et de 110 les décès par cancer en 2020-2029. Une interruption de six mois pourrait entraîner 670 cancers plus avancés et 250 décès supplémentaires par cancer. »

Une étude italienne(([14] Vanni G, Pellicciaro M, Materazzo M, Pedini D, Portarena I, Buonomo C, Perretta T, Rizza S, Pistolese CA, Buonomo OC. Advanced Stages and Increased Need for Adjuvant Treatments in Breast Cancer Patients: The Effect of the One-year COVID-19 Pandemic. Anticancer Res. 2021 May;41(5):2689-2696. doi:)) confirme cet impact négatif du confinement :

« les diamètres des tumeurs étaient plus grands dans le groupe du confinement. Le type de chirurgie et le stade N étaient statistiquement significativement différents. L’incidence extrême de la maladie avancée était significativement différente entre les groupes (2,7 % du groupe confinement contre 0 groupe pré-COVID-19, p = 0,011). L’incidence de la radiothérapie post-chirurgicale était plus élevée dans le groupe COVID-19. »

« Pour les cancers colorectaux, une suspension de six mois du dépistage primaire pourrait augmenter l’incidence du cancer de 2 200 cas et entraîner 960 décès supplémentaires par cancer au cours de la vie. »

L’arrêt du dépistage des cancers du poumon a été évalué aux USA(([15] Robert M Van Haren Impact of the COVID-19 Pandemic on Lung Cancer Screening Program and Subsequent Lung Cancer J Am Coll Surg 2021 avril ;232(4):600-605
https://doi.org/10.1016/j.jamcollsurg.2020.12.002 ISSN 1072-7515/20)). Durant les confinements, le taux d’absence au dépistage a augmenté de manière significative (40 % contre 15 % ; p < 0,04). Le pourcentage de patients présentant des nodules pulmonaires suspects de malignité a augmenté de manière significative après la reprise des opérations de dépistage (29 % contre 8 % ; p < 0,01).

Tous les malades chroniques ont vu leur traitement impacté

L’impact du confinement sur le traitement des autres maladies chroniques a été également considérable. Le Dr Bente Mikkelsen, directeur de la Division des maladies non transmissibles (MNT) de l’OMS a ainsi déclaré(([16] https://news.un.org/en/story/2020/09/1071732)): « l’étude la plus récente montre qu’il y a une interruption des services de santé, y compris le diagnostic et les traitements des MNT dans 69 % des cas ».

L’échec avéré de cette stratégie zéro covid sur l’épidémie

Si l’insularité et l’isolement de l’Australie ont permis à la fermeture des frontières d’être efficace plus d’un an, l’apparition de souches plus contagieuses a renversé la situation.

L’inefficacité de la vaccination pourtant massive n’a pas conféré l’immunité nécessaire à la protection de la population. L’apparition de Delta puis surtout d’Omicron a révélé l’échec total de cette stratégie zéro covid avec une explosion des cas journaliers.

Échec reconnu enfin clairement(([17] Bennett CM. Learning to live with COVID-19: time for a new approach. Public Heath Res Pract. 2021;31(3):e3132110.)):

« l’émergence de la variante Delta du SRAS-CoV-2 a rendu la stratégie australienne “COVID-zéro” non viable. »

Cet échec contre les contaminations se double maintenant d’une mortalité croissante

« On ne peut pas vivre confinés pour toujours », a reconnu le Premier ministre Scott Morrison dans un entretien diffusé sur ABC le dimanche 22 août 2021. Melbourne a suivi l’exemple de Sydney qui a abandonné la stratégie zéro Covid. L’Australie a mis fin aux confinements à grande échelle et à la fermeture de ses frontières, intérieures et extérieures. Reste à panser les plaies que cette stratégie folle a infligé inutilement à la population.

Tous les autres pays adeptes du zéro covid ont reconnu l’échec et la vanité de cette approche zéro Covid.

Avec l’Australie, la Nouvelle-Zélande(([18] https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-nouvelle-zelande-abandonne-sa-politique-zero-covid_fr_619b4393e4b07fe2010dbd9b)), Singapour(([19] https://www.7sur7.be/monde/singapour-dit-adieu-a-la-strategie-zero-covid-nous-ne-pouvons-pas-eradiquer-le-virus-mais-nous-pouvons-vivre-avec~a8d276af/)), Taiwan(([20] https://www.20minutes.fr/monde/3279619-20220428-taiwan-abandonne-strategie-zero-covid-plus-10000-cas-24-h)), le Vietnam(([21] https://www.ft.com/content/37f7f400-20aa-4e52-8f3b-f9359fa73fe8)), la Corée du Sud(([22] https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20211031-fin-de-la-strat%C3%A9gie-z%C3%A9ro-covid-en-cor%C3%A9e-du-sud-le-pays-entend-vivre-avec-le-virus)) ont également abandonné cette stratégie scientifiquement infondée du zéro covid en constatant qu’elle était inefficace dans la durée et beaucoup trop dommageable pour leurs habitants.

Combien de temps faudra-t-il attendre pour que notre gouvernement prenne acte de ces échecs de l’autoritarisme et reconnaisse qu’on ne peut gagner une guerre contre le covid avec des lois d’exception, des mesures autoritaires ubuesques et des faux vaccins ?

Seuls la Chine et Hong Kong persistent dans cette politique autoritaire et il est maintenant évident qu’ils ne le font plus que pour des raisons politiques pour contrôler leurs populations.





Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Le nouvel ordre des barbares, c’est le titre d’un ouvrage publié dans les années 80 à partir de deux enregistrements datés de 1988 (et un en 1991 avec Randy Engel) et que l’on trouve encore aujourd’hui chez plusieurs éditeurs. Ce livre est la retranscription par le Dr. Lawrence Dunegan d’une réunion de la Pittsburgh Pediatric Society le 20 mars 1969 par un autre médecin, le Dr Richard Day, un insider du Nouvel ordre mondial. Professeur de pédiatrie à la Mount Sinai Medical School de New York et ancien directeur médical de la Fédération Américaine du Planning Familial (PPFA), il explique 50 ans à l’avance l’agenda du Great Reset qui se déroule sous nos yeux.

Le contenu de cet ouvrage est édifiant sur la programmation d’un agenda défini par le Nouvel ordre mondial, agenda qui doit se dérouler avec la collaboration des « idiots de service(([1] Ce terme est celui utilisé par le Dr Richard Day en 1969 dans la conférence à laquelle a assisté le Dr Dunegan. Ce terme est repris dans la note de l’éditeur sur la version publiée par les éditions St Rémi, 2011.))», c’est-à-dire la population occidentale et celle du monde entier.

Nous proposons de reprendre quelques phrases rapportées en 1988 et qui montrent assez clairement la programmation anticipée de ce que nous vivons actuellement :

Le retour du communisme

1_ « Certains d’entre vous vont croire que je parle de communisme, mais ce dont je parle est beaucoup plus important que le communisme ». En 1969, parler du communisme pouvait prêter à sourire. Le conférencier expliquait « qu’il y avait beaucoup plus de coopération entre l’Est et l’Ouest que la plupart des gens réalisent ». Effectivement, le communisme est de retour par l’intermédiaire du crédit social à la chinoise qui implique la reconnaissance faciale des personnes, leur surveillance permanente et des restrictions de déplacement. La mise en place d’une monnaie numérique et d’un passe sanitaire électronique et identitaire sont les principales caractéristiques d’une politique mondiale et uniforme montrant la convergence de l’Est et de l’Ouest. Tout cela alors que l’Occident livre une guerre contre la Russie par pays interposé. Cette guerre n’est-elle pas artificiellement provoquée et entretenue pour instaurer ce néocommunisme en occident rajoutant à la peur provoquée par les épidémies et un risque de restriction alimentaire qui rappelle les pires années du communisme de Staline. Il est toujours intéressant de relire l’ouvrage d’Antony C. Sutton – considéré évidemment comme un conspirationniste par la presse subventionnée – intitulé Le complot de la Réserve Fédérale et l’implication du monde de la finance, de la société Skull and Bones dans le soutien au nazisme et au communisme.

Le contrôle de la population

2_ 

« Le contrôle de la population fut réellement le point d’entrée (de la conférence), suivant immédiatement l’introduction. Il mentionna que la population grossissait trop rapidement. Le nombre de personnes vivantes à n’importe quel moment sur la planète doit être limité ou nous manquerons d’espace pour vivre. Nous allons faire pousser notre propre nourriture et nous allons rejeter nos déchets sur le reste du monde pour le polluer ».

Cette idéologie sera portée par le rapport du Club de Rome (ou Meadows) commandé en 1970. Le Club de Rome qui précède le forum de Davos est composé de la caste dominante qui impose lentement mais surement une vision mortifère de l’avenir du monde sans jamais envisager une révision des modes de production et de consommation du monde moderne. Ils s’en serviront au contraire pour justifier la limitation de la croissance démographique. Nous renvoyons le lecteur à l’ouvrage intitulé « l’élimination des pauvres » qui décrit parfaitement l’articulation de l’idéologie maçonnique avec la politique internationale déployée depuis les années 70.

L’avortement

3_ « L’avortement ne sera plus un crime, l’avortement sera accepté comme étant la norme, et ils seront même payés par les impôts […] Si les programmes de sexe à l’école amènent plus de grossesse chez les enfants, ce ne sera pas du tout vu comme un problème ». Il n’est pas nécessaire de commenter ce passage, ces positions sont aujourd’hui la norme et l’OMS encourage l’avortement jusqu’au 9e mois.

Contrôle identitaire et crédit social à la chinoise

4_ Le contrôle identitaire et l’utilisation des hôpitaux pour enfermer les citoyens : « La nécessité de s’identifier au moment des déplacements commencera à petite échelle : hôpitaux, certains commerces, mais il se développera rapidement jusqu’à inclure tout le monde, partout ». Incroyable car l’auteur nous parle ici du crédit social à la chinoise (pour l’occident donc) et du contrôle facial biométrique que l’on met en place en occident. L’auteur mentionne également que :

« les hôpitaux peuvent être utilisés pour emprisonner les gens et pour le traitement de criminels, ce qui ne veut pas nécessairement dire traitement médical. À cette époque, je ne connaissais pas le terme prison psychologique comme en Union Soviétique, mais sans me rappeler tous les détails, il décrivait l’utilisation d’hôpitaux pour le traitement de malades et pour le confinement de criminels pour des raisons autres que le bien-être médical du criminel. La définition du criminel ne fut pas donnée ».

Et pour cause il était impensable pour ceux qui écoutaient cette conférence que les criminels seraient les personnes non vaccinées face à une épidémie (ou plusieurs épidémies puisque la variole du singe est maintenant déclarée dans 40 pays). Certains centres de confinement au Canada, en Australie, en Chine et dans d’autres pays encore sont parfois assimilés à des centres d’internement des personnes positives au Covid. « Plus de prisons seront requises. Les hôpitaux pourront servir comme prisons. Certains nouveaux hôpitaux seront construits pour être adaptables en prison ». En 1969, ce discours est parfaitement incompréhensible et il l’aurait encore été il y a deux ans et demi.

D’autres thématiques et événements évoqués dans Le nouvel ordre des barbares font référence à des situations étonnement récentes qui ne peuvent laisser le lecteur indifférent. La lecture de cet ouvrage conduit à s’interroger sur les origines de l’épidémie de Covid.

[Voir aussi les articles du site concernant notamment :
le Great Reset,
Bill Gates,
Klaus Schwab,
l’Agenda 2030,
l’identification numérique
la dépopulation]




De l’uni, vers le multipolaire… concrètement.

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Introduction

Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.

Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.

Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques, ce sera votre manière de m’aider très concrètement à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.


Sujet du jour : Un monde s’écroule… un autre nait.

Je ne reviendrais pas dans ce billet sur le début de la guerre « de haute intensité » contre la Russie, déclenchée en 2014 par les USA sur le territoire ukrainien ni sur la réaction « Poutinesque » en déclenchant « l’opération militaire spéciale ». Les numéros du 14 avril et du 21 avril 2022 des « Rendez-vous d’Hubert » y sont largement consacrés.

Ces actions militaires russes ont engendré des sanctions d’ordre financier, infligées par les États-Unis d’Amérique et leurs affidés (dont la France). En réaction, les Russes… aidés par les Chinois, ont accéléré la mise en place d’un nouveau système financier, au niveau mondial. Dans le numéro du 21 mai 2022 des « Rendez-vous d’Hubert », j’ai décrit tout cela et surtout, ce qu’il était nécessaire de faire rapidement, au niveau de votre patrimoine, pour atténuer les conséquences de ce véritable tsunami financier.

Ce qui se passe en Ukraine ne doit pas nous faire oublier la partie du « plan », qui consiste à contrôler les masses par tous les moyens, y compris par l’injection de produits modifiant notre structure cellulaire ☹!!! Dis donc, Hubert, te voilà à nouveau atteint de « fièvre complotiste » ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. Souvenez-vous de ce que j’écrivais il y a plusieurs années, à propos de notre système financier. À l’époque, j’étais aussi traité de complotiste ☺. Jamais découragé, je reprends mon « bâton de pèlerin » de lanceur d’alerte.

La priorité des « marionnettistes » est bien d’injecter les produits « qui vont bien » à un maximum de personnes par le monde, afin de pouvoir les contrôler. C’est dans ce but que les gouvernements sont aimablement conviés à transférer leur pouvoir en matière de gestion de crise sanitaire, à une organisation supranationale… contrôlée par un certain… Bill … je ne me rappelle plus son nom. Buffalo Bill ? Non, ce n’est pas lui. Bill COSBY ? Non plus… Billy le kid ? Toujours pas… je vous laisse chercher, ma mémoire m’abandonne. Je crois qu’il a travaillé dans l’informatique dans sa jeunesse, mais je n’en suis plus sur ☺.

Vous l’avez compris, « l’entité supranationale » c’est l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le 3 mars 2022, le Conseil européen a adopté une décision autorisant l’ouverture de négociations en vue d’un accord international sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. L’idée est que l’OMS coordonne l’action des états s’approprie le pouvoir des états, pour décider seule, des conduites à tenir pour les prochaines pandémies.

Toujours prompt à « faire le maximum » pour emmerder les français la santé des français, notre cher « Jupiter 1er » a donné son accord enthousiaste à ce projet :

« je suis favorable à l’adoption, sous l’égide de l’OMS, d’un accord international juridiquement contraignant ».

Cela tranche avec l’avis du président d’un « petit pays émergeant membre des BRICS »… le Brésil. Avec plus de 200 millions d’habitants, la population brésilienne se situe au 5e rang mondial. Sa position est claire :

« Le Brésil est autonome et n’entrera pas là-dedans, vous pouvez l’oublier. J’ai déjà parlé à notre cabinet des relations extérieures et si cette proposition va de l’avant, ce ne sera pas avec le Brésil ».

Plus fort, le Botswana a déclaré au nom des 47 membres de l’AFRO qu’il n’apporterait pas son soutien à ces « réformes ».

Encore plus fort, tenez-vous bien : le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud… vous vous souvenez ? Les BRICS… auxquels se joignent maintenant l’Iran et la Malaisie !!! Tout ce « petit monde » qui n’est pas vraiment « fana » pour le projet de l’OMS. Ça fait beaucoup de monde☺.

Le « monde occidental » autrement dit, les USA et ses « alliés », encore autrement dit, le monde unipolaire… c’est la fin !!! La montée en puissance des « pays émergents » et de l’Afrique… voilà que se dessine le monde multipolaire de demain. Et si nous tendions l’oreille à l’est ? Et si nous portions un autre regard sur la Chine ?

Et si nous échappions à « la piquouse pour tous » grâce à ce Nouveau Monde qui émerge ? Voilà une perspective réjouissante, ne pensez-vous pas ?

« Tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu des meurtriers et des tyrans.
Bien qu’il puisse sembler momentanément qu’ils aient le dessus, ils sont toujours tombés ».

(Mahatma Gandhi)

Chers lecteurs, il est des raisons d’espérer. Je vous aime et vous salue.




La Pelote de Laine

[Source : Sott.net]

« La Pelote de Laine » de Matthieu Biasotto

Par Jacques Paquin

Je suis souvent confronté à un problème qui n’est pas vraiment un problème mais qui à chaque fois me laisse avec un choix difficile et je dois bien avouer que pour l’instant je n’avais pas encore vraiment trouvé de réponse appropriée. Pour résumer, on me demande régulièrement, soit verbalement, soit par courriel, si je connais une bonne source d’information qui résumerait bien tous les secrets cachés dans les coulisses du monde, et qui permettrait facilement de dévoiler les marionnettistes camouflés pour mieux nous manipuler, mais il faudrait que tout soit résumé en quelques articles, ou encore mieux, un simple livre facile à lire pour quelqu’un s’éveillant à la réalité.

la pelote de laine

Ceux qui savent (du moins en partie) ce qui se trame en arrière-plan ont commencé leurs recherches très souvent depuis de nombreuses années et ont lu « des tonnes et des tonnes » d’articles et de livres, et ont visionné de nombreuses vidéos. Relever ce défi et trouver juste quelques articles ou même un livre qui pourraient permettre d’y répondre n’a pas été facile. Très souvent, je noyais la personne avec beaucoup trop d’informations et suivre le fil conducteur devenait trop compliqué et trop laborieux pour la personne en question.

Mais, tout récemment, je suis « tombé par hasard » sur un article qui parlait « en bien » d’un nouveau livre. Après avoir lu cet article, j’ai décidé de me procurer le livre sur le site de l’auteur. Comme vous l’avez surement deviné à partir de la photo introductive, il s’agit de La Pelote de Laine, de Mattieu Biasotto.

L’auteur est connu pour ses livres de style « romance à suspense ou thriller psychologique ». Mais dans son prologue il explique que son nouveau livre s’inscrit dans un registre différent de ce qu’il écrit habituellement :

À la base, je devais concocter une fiction, une romance à suspense ou un thriller psychologique, entre les deux, mon cœur balance toujours un peu. Mais il faut se rendre à l’évidence, je n’ai aucune envie d’inventer en ce moment, et face au sentiment d’urgence qui me dévore, je dois sacrifier mon 28e livre sous peine de devenir dingue et de finir interné. Depuis 8 ans, dans la peau d’un auteur, je me suis évadé à 27 reprises en espérant rendre, à mon modeste niveau, le monde un tout petit peu plus beau.

Peu intéressé par les événements qui ont lieu en coulisses, il suivait bien paisiblement son train-train quotidien :

Il n’y a pas si longtemps, j’étais comme l’immense majorité des gens : dans ma petite bulle familiale, occupé à tracer mon sillon, à travailler sur mon prochain roman pour payer mes factures, histoire que mon banquier me foute la paix entre deux bouquins. J’ai grandi avec les premiers ordinateurs qui m’ont tout de suite fasciné, j’ai passé un nombre d’heures incalculable avec une manette de console à la main, je n’ai pas un, mais deux casques de réalité virtuelle, j’ai une vie très connectée même en habitant en rase campagne, c’est dire à quel point je suis imbibé de technologie, finalement dans la peau de monsieur tout le monde. Fidèle client Amazon depuis des années, adepte du Prime, abonné Netflix de la première heure et Disney+ pour mes trois petits garçons, je me suis peu à peu installé dans une routine confortable. J’étais en mode pilote automatique du haut de mes 38 ans, un peu dans du coton, je vivais ma vie machinalement sans me poser plus de questions que ça. En tout cas, sans me poser les bonnes questions ni sans t’en faire part. En somme, j’étais dans une forme de coma.

Se demander ce qui a pu le motiver à changer de genre littéraire de façon si drastique est légitime. Voici sa réponse publiée sur son site :

Pourquoi vouloir divertir mes lecteurs alors qu’il est plus que temps d’informer un maximum de monde ? Pourquoi m’évader dans un univers fictif tandis qu’il est vital d’ouvrir les yeux sur le réel ? Je me sentais de moins en moins aligné avec mes valeurs, du coup, quand ma femme a deviné le malaise qui me rongeait, elle m’a adressé un clin d’œil qui a tout changé.

Ma plume s’aventure donc dans un autre registre pour tenter de mener une enquête largement documentée, servie par des faits que j’ai pris soin de connecter le long d’un fil rouge tissant une toile d’araignée. Je voulais que la Pelote s’adresse à tout le monde quitte à partir de loin et enfoncer une ou deux portes ouvertes, mais je voulais que cette boule de laine apporte aussi sont lots d’informations judicieuses aux lecteurs les mieux informés. Aussi, je démarre de choses à la portée de tous avant de me risquer dans des détails beaucoup plus pointus.

Mattieu Biasotto est par ailleurs bien conscient de prendre de gros risques et il l’évoque dans sa 4e de couverture :

Je peux tout perdre sur ce livre, l’existence que je menais, ma carrière et même la vie. La censure me guette car je suis de ceux « qui ne sont rien », de ceux qui se posent des questions qui dérangent, je suis surtout de ceux qui voient l’avenir de nos enfants menacé et je suis prêt à tout sacrifier pour tenter de les sauver.

J’en appelle à ton intuition, à tes instincts de parent. J’en appelle à ton bon sens, à ta capacité d’écrire une page de l’Histoire. J’en appelle à chaque citoyen, irresponsable ou emmerdé, curieux ou réfractaire, à tous les grands perdants d’une gigantesque toile.

Car la réalité est sous nos yeux, volontairement éparse et fragmentée. De Wuhan, jusqu’à l’Ukraine, en passant par Biden ou encore notre gouvernement (et bien plus encore), j’ai découvert que tout était connecté à travers 1 359 sources et références. La vérité est donc reliée le long d’un seul et unique fil rouge, c’est la raison pour laquelle je t’invite à dérouler la pelote de laine afin d’ouvrir les yeux.

Tout bien considéré, il s’agit d’un livre écrit par un nouvel éveillé pour les nouveaux éveillés. Maintenant, ce livre nous dévoile-t-il vraiment ce qui se cache dans les coulisses du monde ?

Quid du livre ?

Voici le « Teaser », disponible sur le site de l’auteur :

https://matthieubiasotto.com/wp-content/uploads/2022/05/TEASER_FINAL2.mp4?_=1

L’auteur a choisi une approche progressive et s’adresse à son lecteur comme à un ami curieux de connaître « le fonctionnement de la Matrice ». Il commence doucement par nous révéler les grands marionnettistes du jeu, à savoir les groupes BlackRock et Vanguard. Puis il nous parle de George Soros, des Rockefeller et des Rothschild, de Bill Gates, de Jeffrey Epstein, de Klaus Schwab, d’Henry Kissinger, d’Ursula von der Leyenparmi d’autres personnages impliqués dans ce grand échiquier. Son exploration se poursuit avec les médias, le Covid-19 et les nouveaux vaccins, l’Ukraine, le Dolder Club, le Nouvel Ordre Mondial, le Grand Reset, etc. Il aborde également les techniques utilisées par les élites pour atteindre leurs objectifs.

Bref, sans vouloir trop en dire, il brosse un tableau général sommaire très complet, mais il le fait de manière explicite en présentant de nombreux liens pour soutenir ses propos, afin d’expliquer d’une façon simple et limpide ce qui échappe à la majorité des gens, mais qui néanmoins nous affecte tous.

Ce livre de 430 pages avec 1 359 sources et références offre un très bon résumé de ce qu’est notre réalité et permet par conséquent d’en comprendre les rouages, que ce soit pour une personne qui s’éveille ou pour celle qui a déjà commencé à cheminer dans la quête de la vérité.

Je ne peux que remercier Mattieu Biasotto pour l’excellent travail qu’il a fait « en si peu de temps » et pour son courage en nous offrant ce livre.

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Jacques P. 

Jacques Paquin est originaire de Québec, Canada. Il a étudié les sciences actuarielles à l’Université Laval et a gradué en 1976. Il a travaillé plus de 30 ans pour le Gouvernement du Québec et est maintenant retraité. Sa quête pour la vérité l’a conduit à devenir un éditeur pour SOTT en 2007. Quand Jacques ne travaille pas comme éditeur pour SOTT, il oeuvre dans un groupe de traduction, lit des livres sur la psychologie, la santé, la spiritualité, la science. Il est passionné de plein air et aime faire des randonnées pédestres et du vélo.




Lyudmila Denisova, médiatrice pour les droits de l’homme en Ukraine, avoue avoir menti sur les viols d’enfants par les Russes

[Source : lemediaen442.fr]

La propagande ukrainienne vient de passer une étape vers l’horreur la plus abjecte. La médiatrice pour les droits de l’homme en Ukraine, Lyudmila Denisova, avait rapporté qu’à Bucha, 25 filles et femmes âgées de 14 à 24 ans ont été retenues captives dans un sous-sol par des soldats russes et agressées à plusieurs reprises, et que nombre d’entre elles sont enceintes.


« Les soldats russes leur ont dit qu’ils les violeraient au point qu’elles ne voudraient plus avoir de contacts sexuels avec aucun homme, pour les empêcher d’avoir des enfants ukrainiens. » Lyudmila Denisova

Déclarations relayées par tous les médias du monde, CNNWashington Post , de la BBC, dont les médias français qui n’ont fait aucune vérification, que ce soit FranceInfoLCILe Parisien

Le président ukrainien était même venu renchérir sur les propos de Lyudmila Denisova le 12 avril en y ajoutant un nouveau-né victime de viol afin d’alimenter de l’horreur à l’horreur. « Des centaines de cas de viol ont été enregistrés, y compris ceux de jeunes filles mineures et de tout petits enfants. Même d’un bébé ! Cela fait peur rien que d’en parler » avait déclaré Volodymyr Zelensky.

Mais voilà, la médiatrice pour les droits de l’homme en Ukraine, Lyudmila Denisova, est passée aux aveux :

« Lorsque j’ai pris la parole au parlement italien, à la commission des affaires internationales, j’ai entendu et vu une telle lassitude de l’Ukraine, vous comprenez ? J’ai parlé de choses terribles afin de les pousser d’une manière ou d’une autre, afin qu’ils prennent des décisions dont l’Ukraine et le peuple ukrainien ont besoin. Peut-être que j’y suis allé trop fort. Mais j’essayais d’atteindre l’objectif de convaincre le monde de fournir des armes et de faire pression sur la Russie. »

Mensonges, collaboration, rien ne va plus…

Après les milliards d’euros et des armes reçus par les Occidentaux, le parlement ukrainien a démis Lyudmyla Denysova de ses fonctions le 31 mai. Les députés ont trouvé qu’elle se concentrait trop sur les crimes sexuels des militaires russes. Elle leur a opposé avoir eu connaissance de ces crimes de manière fiable et avoir donné les preuves d’abus sexuels au procureur général. Le gouvernement ukrainien a laissé traîner ce mensonge pendant deux gros mois, alors que le procureur général Iryna Venediktova a déclaré que Lyudmyla Denysova n’avait pas remis aux enquêteurs de documents concernant des viols commis par des militaires russes en Ukraine mais seulement des lettres avec les normes du droit international qui ont été violées par les militaires russes…

Les médias mainstream ne semblent n’avoir rien appris sur la fake news après le pseudo massacre de Timisoara en Roumanie. On prend les mêmes et on recommence avec les conséquences terribles que cela peut avoir. Zelensky peut se féliciter d’avoir obtenu ce qu’il voulait, par le mensonge et sur le dos des peuples européens qui doivent aujourd’hui se serrer la ceinture.