L’image du jour

[Source : michelledastier.com]




La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants

[Source : ns2017]

Par Michael Nevradakis, Ph.D.

COVID-19 a peut-être pris une grande partie de la planète par surprise à la fin de 2019 et au début de 2020, mais une grande partie des bases de la technologie aujourd’hui largement utilisée comme “réponse” à la pandémie a été conceptualisée et développée des années auparavant.

Aux États-Unis et dans le monde entier, des efforts ont été déployés récemment pour mettre en œuvre divers régimes de “passeport vaccinal”, dont beaucoup s’appuient sur des technologies numériques telles que des applications mobiles permettant d’enregistrer – du moins jusqu’à présent – le carnet de vaccination COVID-19 d’une personne.

Ces “outils” sont présentés par les responsables publics et d’importantes sections des médias au cours des dernières semaines et des derniers mois comme une sorte d’inévitabilité, une progression technologique aussi naturelle que la respiration.

Ils sont également présentés comme une réponse “nouvelle” à une crise sans précédent.

Ces applications technologiques sont présentées comme un moyen de maintenir les commerces ouverts et d’assurer la “tranquillité d’esprit” des citoyens qui hésitent à pénétrer dans les espaces publics.

Mais dans quelle mesure cette “nouvelle” technologie est-elle nouvelle ? Et l’utilisation de la technologie se limitera-t-elle aux vaccinations COVID, ou à des fins de “santé” ?

Les “alliances” internationales qui soutiennent la fusion entre “Big Tech” et “Big Health”

C’est au début de la décennie précédente, en janvier 2010, que Bill Gates, par l’intermédiaire de la Fondation Bill & Melinda Gates, a proclamé : “Nous devons faire de cette décennie celle des vaccins”, ajoutant que “l’innovation permettra de sauver plus d’enfants que jamais”.

En lançant cette “Décennie des vaccins”, la Fondation Gates a promis un financement de 10 milliards de dollars. Mais Gates n’était pas le seul acteur derrière cette initiative.

Par exemple, le programme de la “Décennie des vaccins” a utilisé un modèle provenant de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health pour projeter l’impact potentiel des vaccins sur les décès d’enfants au cours de la décennie à venir.

Et l’annonce de l’initiative “Décennie des vaccins” a été faite lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) de cette année-là.

Ces mêmes acteurs – la Fondation Bill et Melinda Gates, la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health et le WEF – ont organisé le désormais célèbre exercice de simulation de pandémie Event 201, en octobre 2019, juste avant que le COVID n’entre dans nos vies.

En outre, en 2010, un “Plan d’action mondial pour les vaccins” a été annoncé dans le cadre de cette initiative. Il s’agissait d’une collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), le Dr Anthony Fauci faisant partie du conseil de direction.

Comme l’a déclaré la Fondation Gates à l’époque :

“Le Plan d’action mondial pour les vaccins permettra une meilleure coordination entre tous les groupes de parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques – et identifiera les lacunes critiques en matière de politiques, de ressources et autres qu’il faut combler pour réaliser le potentiel des vaccins à sauver des vies.”

Le comité de pilotage du “Plan d’action mondial pour les vaccins” comprenait un membre de GAVI Alliance. Notamment, l’annonce initiale de la “Décennie des vaccins” a été faite en présence de Julian Lob-Levyt, alors PDG de GAVI Alliance.

Qu’est-ce que, ou qui, est GAVI Alliance ? Également connue sous le nom d’”Alliance pour les vaccins”, elle se donne pour mission de “sauver des vies et de protéger la santé des populations” et déclare “contribuer à la vaccination de près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes”.

GAVI poursuit en décrivant son partenariat principal avec diverses organisations internationales, dont les noms sont désormais familiers : l’OMS, l’UNICEF, la Fondation Bill et Melinda Gates et la Banque mondiale. (Loin d’aider les pauvres du monde, la Banque mondiale a été décrite par un ancien initié, John Perkins, comme une organisation qui utilise des “tueurs à gages économiques” pour assujettir des pays financièrement paralysés).

En 2018, GAVI, par le biais de son initiative INFUSE (innovation pour la mise à jour, l’échelle et l’équité dans la vaccination), a mis en avant les ” éléments de réflexion ” suivants :

“Imaginez un avenir dans lequel tous les enfants ont accès à des vaccins salvateurs, quel que soit l’endroit où ils vivent – un avenir dans lequel les parents et les agents de santé veillent à ce qu’ils soient vaccinés à temps, un avenir dans lequel ils disposent de leur propre dossier médical stocké numériquement, qui ne peut être ni perdu ni volé, un avenir dans lequel, indépendamment du sexe, du statut économique ou social, ce dossier permet à chaque enfant (et à ses parents) d’avoir accès à un compte bancaire, d’aller à l’école, d’accéder à des services et, en fin de compte, de construire une vie prospère.

“Ce futur est possible aujourd’hui. Grâce aux dernières avancées des technologies numériques qui permettent des moyens plus efficaces d’enregistrer, d’identifier les naissances et de délivrer des preuves d’identité et d’authentification pour l’accès aux services – nous sommes sur le point de construire un avenir plus sain et plus prospère pour les enfants les plus vulnérables du monde.”

Selon GAVI, cet objectif serait atteint par le biais de l’initiative INFUSE, notamment en “faisant appel à des innovations qui tirent parti des nouvelles technologies pour moderniser le processus d’identification et d’enregistrement des enfants qui ont le plus besoin de vaccins vitaux”.

Comme décrit par le journaliste d’investigation Leo Hohmann :

Ne vous laissez pas tromper par la partie concernant la “construction d’un avenir plus sain et plus prospère”. Ce n’est que de la poudre aux yeux. Il ne s’agit que de collecte de données et cela n’a rien à voir avec la santé.

“Le véritable objectif derrière la poussée historique et sans précédent pour vacciner les très jeunes, même contre des maladies comme le COVID qui ne représentent pas une menace pour eux, est d’intégrer la génération actuelle d’enfants dans le système d’identité numérique mondial en plein essor.”

GAVI elle-même a confirmé la déclaration ci-dessus, puisqu’elle a décrit les utilisations potentielles de ces ” nouvelles technologies ” comme allant au-delà de la délivrance d’une ” carte de santé numérique pour enfant ” pour englober ” l’accès à d’autres services “, y compris les ” services financiers ” au sens large.

Les limitations de ” l’accès ” à ces ” autres services ” sont déjà apparentes dans les juridictions où les passeports COVID restreignent l’accès aux entreprises, aux banques et à d’autres espaces privés pour les personnes non vaccinées.

GAVI Alliance collabore également étroitement avec l’Alliance ID2020, fondée en 2016, qui prétend plaider en faveur ” d’approches éthiques et protectrices de la vie privée en matière d’identification numérique “, ajoutant que ” bien faire l’identification numérique signifie protéger les libertés civiles “.

Sans surprise, aucune clarification n’est fournie concernant la perte potentielle de libertés civiles pour les personnes qui choisissent, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner et qui sont donc exclues de larges pans de la société dans les zones où les passeports COVID ont été mis en œuvre et appliqués.

Une telle rhétorique de la part d’ID2020 rappelle les déclarations publiques de l’Union européenne (UE) alors qu’elle se préparait à lancer son “Passeport vert” au début de l’année :

Les fonctionnaires de l’UE, comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen – qui a récemment appelé à une “discussion” sur les vaccinations obligatoires dans l’UE – se sont donné beaucoup de mal pour souligner la manière dont la vie privée des individus serait protégée.

D’une manière que certains pourraient considérer comme un manque de ton, ils ont également souligné que ce laissez-passer numérique permettrait aux gens de “se déplacer en toute sécurité” pour “le travail ou le tourisme”, comme si cette libre circulation était un nouveau concept que seul un laissez-passer numérique pourrait rendre possible.

Une fois encore, les restrictions imposées aux personnes non vaccinées, y compris celles concernant le “travail ou le tourisme”, étaient totalement absentes du discours public entourant cette nouvelle mesure.

Soulignant les possibilités que pourrait apporter la collaboration entre GAVI et ID2020, l’appel à l’innovation d’INFUSE déclare

Toutes ces propositions et initiatives semblent, à leur tour, s’aligner étroitement sur les Objectifs de développement durable des Nations unies, et en particulier sur l’Objectif 16.9, qui appelle à la fourniture d’une identité légale numérique pour tous, y compris les nouveau-nés, d’ici 2030.

À cette fin, l’ONU a créé en 2018 le groupe de travail sur le programme d’identité légale des Nations unies. En mai 2021, cette task force, aux côtés du Programme des Nations unies pour le développement et de divers acteurs du secteur privé, a organisé les sessions de tables rondes “Future of Technology and Institutional Governance in Identity Management”.

Le rapport final de ces sessions indique notamment que les parties prenantes souhaitent l’expansion des partenariats public-privé pour la poursuite du développement et de la mise en œuvre des régimes d’identité numérique dans le monde entier, y compris dans le Sud global.

L’une des parties prenantes présentes, l’organisation à but non lucratif Secure Identity Alliance, se félicite de son soutien à “la fourniture d’une identité légale et fiable pour tous et au développement de services numériques inclusifs nécessaires à une croissance économique et une prospérité durables à l’échelle mondiale”.

Dans un document publié en juillet par la Secure Identity Alliance, il est question de “faire des certificats de santé une réalité réalisable”.

L’un des cinq principes mis en avant par le document pour ces passeports médicaux est qu’ils soient “à l’épreuve du temps”, en offrant une “fonctionnalité polyvalente” afin de “garantir une valeur continue au-delà de la crise actuelle”.

La Secure Identity Alliance compte parmi ses observateurs des autorités gouvernementales de pays tels que l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Estonie, la Slovénie, les Émirats arabes unis, le Nigeria et la Guinée.

En outre, l’un de ses membres fondateurs et membres actuels du conseil d’administration est le groupe Thales, une entreprise privée active dans l’aérospatiale, la défense et la sécurité – en bref, un entrepreneur de la défense.

Sur son site web, le groupe Thales fait fièrement la promotion de sa “carte de santé intelligente” et de sa technologie de portefeuille d’identification numérique. Au milieu d’un langage utopique affirmant que “nous sommes prêts pour le changement” et que “nous donnons le contrôle aux citoyens”, le portefeuille d’identification numérique promet au public la possibilité “d’accéder aux droits et services auxquels nous avons droit.”

En effet, les documents qui seraient disponibles via ce portefeuille d’identification numérique vont au-delà des “titres de santé” et incluent les cartes d’identité nationales, les permis de conduire et tout autre document officiel.

De nombreux pays dans le monde, y compris les États-Unis, se trouvent actuellement à différents stades de la mise en œuvre de ce type de “portefeuille numérique”.

Les “passeports santé” franchissent une étape (ou plus) : les régimes de porte-monnaie numériques prennent forme

Le 30 novembre, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté le projet de loi H.R. 550, intitulé Immunization Infrastructure Modernization Act of 2021.

Si elle est adoptée par le Congrès, cette loi prévoit un financement de 400 millions de dollars pour développer les systèmes de suivi des vaccins au niveau des États et des collectivités locales, permettant aux responsables de la santé des États de surveiller le statut vaccinal des citoyens américains et de fournir ces informations au gouvernement fédéral.

Des passeports vaccinaux et des listes d’interdiction de vol pour les personnes non vaccinées – un concept pour lequel Fauci a exprimé son soutien – pourraient être créés en vertu de la loi.

Le projet de loi, parrainé par la représentante Annie Kuster (NH-02), a été adopté par la Chambre des représentants des États-Unis avec 294 voix, dont toutes les démocrates et 80 républicains. Il est maintenant devant le Sénat, où il est examiné par la commission de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions.

Depuis son adoption par la Chambre des représentants, le projet de loi a suscité une attention considérable – d’autres développements récents en matière d’identification numérique aux États-Unis semblent toutefois être restés relativement discrets.

En septembre, par exemple, Apple a annoncé un partenariat avec huit États – l’Arizona, le Connecticut, la Géorgie, l’Iowa, le Kentucky, le Maryland, l’Oklahoma et l’Utah – pour rendre les permis de conduire de ces États disponibles sous forme numérique via la plateforme Apple Wallet.

Parallèlement, plusieurs États, dont New York (via son “Excelsior Pass”) et le Connecticut, ont introduit leur propre certificat de vaccination numérique COVID.

À l’instar de la promotion des passeports vaccinaux par l’UE, ces initiatives au niveau des États américains sont présentées comme un moyen de rouvrir l’économie en toute “sécurité” et d’encourager les voyages et les déplacements.

En effet, l’État de New York est allé jusqu’à mettre à disposition un “plan” de sa plateforme de passeports vaccinaux, “comme guide pour aider d’autres États, territoires et entités dans l’expansion de systèmes compatibles de titres de vaccination COVID-19 afin de faire progresser les efforts de développement économique à l’échelle nationale”.

En ce qui concerne l’UE, l’une des priorités du bloc dans le cadre de son plan quinquennal 2019-2024 est de créer une “identité numérique pour tous les Européens.” À savoir que chaque citoyen et résident de l’UE aurait accès à un “portefeuille numérique personnel” dans le cadre de cette initiative.

Ce “portefeuille numérique personnel” pourrait inclure des documents tels que des cartes d’identité nationales, des certificats de naissance, des certificats médicaux et des permis de conduire.

L’UE a ensuite présenté ses projets pour la “décennie numérique européenne”, dans le cadre de laquelle, selon la “boussole numérique” de l’UE, 100 % des principaux services publics seront disponibles sous forme numérique, avec un objectif de 80 % d’adoption des documents d’identification numériques.

Plusieurs États membres de l’UE se sont déjà lancés dans l’aventure.

L’Allemagne, qui dispose de cartes d’identité nationales électroniques (via des puces biométriques) depuis 2010, a introduit des versions numériques de ces cartes d’identité à l’automne dernier, via l’AusweisApp2. La même application rend les permis de conduire allemands disponibles sous forme numérique.

L’Allemagne et l’Espagne ont également signé récemment un accord pour lancer un programme transfrontalier d’identification numérique, qui impliquerait une reconnaissance mutuelle des documents numériques officiels de l’autre partie.

La France a également annoncé récemment son intention d’intégrer sa carte d’identification nationale aux smartphones.

La Grèce a reçu les éloges de la presse mondiale lorsqu’elle a introduit des outils numériques particulièrement draconiens lors de ses deux lockdowns COVID, tels qu’une plateforme SMS gouvernementale à laquelle les résidents devaient envoyer un message texte afin de pouvoir circuler en public pour un ensemble limité de “raisons”.

Plus récemment, la Grèce a annoncé la création prochaine d’un portefeuille numérique qui contiendra des documents tels que la carte d’identité nationale, le permis de conduire et les documents médicaux.

L’Estonie, considérée comme un leader mondial dans l’introduction de l’e-gouvernance numérique et qui dispose de cartes d’identité numériques depuis 2002, prépare son propre système de portefeuille numérique tout en exprimant son soutien à la “boussole numérique” de l’UE.

En dehors de l’Europe, plusieurs autres pays ont également étendu leurs régimes d’identification numérique de diverses manières.

En Australie, par exemple, des États comme la Nouvelle-Galles du Sud, l’Australie-Méridionale et le Queensland ont introduit ou testé des permis de conduire numériques.

C’est en Inde, cependant, que ces documents numériques semblent avoir suscité le plus de controverse jusqu’à présent.

La mission numérique Ayushman Bharat a été annoncée en 2020 et lancée en tant que programme pilote dans six régions de l’Inde en 2021. Il s’agit d’une application qui fournit un identifiant de santé numérique unique à chaque citoyen et qui est liée à son dossier médical personnel.

Sa création intervient sur les traces du développement d’Aadhaar, le système de carte d’identité numérique nationale de l’Inde.

Aadhaar a suscité la controverse en raison des projets du gouvernement de le relier à la base de données nationale des électeurs, tandis qu’il a également été la cible de pirates informatiques.

Des questions se posent alors que de nouvelles plateformes numériques sont déployées à des “fins officielles”.

Le déploiement de plateformes numériques soulève des questions quant à la sécurité des données des individus sur ces plateformes numériques, malgré les assurances contraires des gouvernements concernant la protection de la vie privée.

En outre, on ne sait toujours pas combien de temps les “passeports COVID”, qu’ils soient sous forme numérique ou papier, resteront en vigueur, ni si les gouvernements envisagent de rendre ce régime permanent.

Un article récent paru dans The Atlantic, intitulé “Why Aren’t We Even Talking About Easing COVID Restrictions” (Pourquoi ne parlons-nous pas de l’assouplissement des restrictions COVID ?), s’interroge sur la raison pour laquelle les passeports vaccinaux obligatoires aux États-Unis n’ont pas de date d’expiration.

En effet, si l’on en croit la proclamation de la Secure Identity Alliance concernant la nécessité de “préparer l’avenir” de ces documents numériques, il se pourrait que les gouvernements n’aient pas l’intention de supprimer les passeports vaccinaux.

Même si ces utilisations spécifiques des “passeports” numériques finissent par disparaître, l’éventail des utilisations potentielles des portefeuilles numériques est stupéfiant, y compris, par exemple, via le suivi des “quotas de carbone personnels”, comme l’a précédemment rapporté The Defender.

[Voir aussi :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
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Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?

+ Une vidéo en anglais, hébreux et français
(Comment repérer les vaccinés codés Bluetooth avec un téléphone Android ?) :



(Source vidéo : hyativ)]

Source :




Jacques Julliard et l’Algérie : L’aveuglement devant l’histoire

Par Abdellali Merdaci*

[Illustration : Jacques Julliard.]

Depuis les années 1960 et le désaveu cinglant du pouvoir en Algérie par Simone de Beauvoir, c’était après le renversement d’Ahmed Ben Bella par le colonel Boumediene, plusieurs intellectuels français, qui ont soutenu l’insurrection anticoloniale, sont revenus dans des autocritiques, parfois pathétiques, sur leur engagement en faveur d’une Algérie libérée de l’aliénation coloniale française. C’était, ces dernières semaines, celle de Jacques Julliard, écrivain, professeur d’Université et éditorialiste du magazine parisien « Marianne », de Natacha Polony et du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, qui n’a absolument aucune parenté avec celui de Jean-François Kahn — même s’il a conservé les mêmes habillages et personnels.

Jacques Julliard s’émeut-il de voir son pays rejeté partout dans le monde, principalement par ses alliés, notamment américains, qui lui tondent la laine sur le dos dans un contrat militaire faramineux avec l’Australie. Et, aussi, l’Allemagne qui « fait bande à part ». L’éditorialiste peut même piquer un fard : « La France entretient à l’heure actuelle des relations détestables avec d’autres pays, au premier chef l’Algérie, mais aussi la Turquie, le Mali, l’Afghanistan »(([1] Jaques Julliard, « La France seule », « Marianne » (Paris), 12 au 18 novembre 2021.)). Il s’en prend, spécialement, à l’Algérie après le conflit mémoriel provoqué par le président Macron(([2] Réunissant au palais de l’Élysée des jeunes Français d’origine algérienne, le 15 octobre 2021, le président Macron a exprimé son profond scepticisme sur l’existence d’une nation algérienne avant la conquête française. Propos de précampagne électorale qui ont été à l’origine d’une brouille entre les deux pays. L’Algérie a rappelé son ambassadeur à Paris et interdit son espace aérien aux avions militaires français.)) et reproche à son pays de faire des « génuflexions » devant le pouvoir algérien, qu’il traite en ces termes : « Dans le cas de l’Algérie, la naïveté et la maladresse d’Emmanuel Macron, dépourvu de toute expérience en la matière, y sont pour beaucoup. Comment imaginer un gentleman’s agreement avec un gouvernement corrompu, incompétent, qui ne se maintient que par la force militaire, comme l’ont démontré les révoltes populaires du Hirak. »(([3] « La France seule », art. cité.)). Et, le coup de grâce, cette tardive contrition :

« Je suis de ceux qui ont combattu de toutes leurs forces le colonialisme français et la sale guerre d’Algérie quand il le fallait, mais nos prosternations répétées, non suivies d’effets, devant des potentats aussi cyniques, aussi méprisables, ne sont pas un acte de justice, mais une absurde humiliation volontaire. »(([4] Id.))

La France et la carte de l’islamisme

Il n’est jamais tard pour battre sa coulpe pour de bonnes raisons. Mais Jacques Julliard en a-t-il sur l’Algérie indépendante ? Il reste dans le sillage d’un de ses maîtres d’antan, le socialiste François Mitterrand, président de la France, de 1981 à 1995, qui a appuyé dans les années 1990 la terrible guerre islamiste contre l’État algérien, son pouvoir et son peuple. C’est ce président, connu pour son infamie pendant la guerre d’Algérie (« L’Algérie, c’est la France »), qui a ouvert le territoire de la France, son droit d’asile et ses centres d’accueil aux islamistes. À Paris, sous la protection de la France, Mourad Dhina, membre de l’instance de commandement du FIS à l’étranger et porte-parole des groupes islamistes, égrenait quotidiennement devant la presse internationale la litanie des morts infligées au peuple algérien. En ces années 1990, chaque jour d’Algérie correspondait à dix « Bataclan », car, partout dans le monde, les victimes innocentes de la barbarie islamiste méritent le même respect et la même foi, particulièrement en Algérie et en France. Des civils, hommes et femmes de toutes conditions, ont été tués et des nourrissons jetés dans des fours à chaux par les groupes islamistes armés. Et, à l’ombre des mihrabs, des tribunaux islamistes collationnaient des listes d’Algériens dont le sang était licité. En France, le pouvoir politique qui était scrupuleusement informé de la réalité du terrain et de ses victimes civiles, les élites et les médias ont fait le choix de l’islamisme contre le peuple algérien — convient-il de le rappeler ? Nos morts leur étaient indifférents.

Parmi ceux qui criaient le plus fort, Jacques Julliard et une presse française sans honneur. Ils ont monté contre l’Armée nationale populaire (ANP), l’ultime recours de l’Algérie et des Algériens contre les tueries islamistes et l’anéantissement de leur pays, l’accusation odieuse du « Qui-tue-qui ? ». Dans cette guerre, la France a joué la carte de l’islamisme pour châtier un gouvernement républicain, de surcroît indépendant des partis. Cette crapulerie politique, à l’enseigne du socialisme, restera.

Les Français n’ont jamais surmonté le traumatisme de la guerre et de l’indépendance de l’Algérie et, surtout, le morne ressentiment envers ses pouvoirs issus du FLN, qui a conduit le combat pour la libération du pays. Relativement à l’Algérie, en près de soixante années d’indépendance, la France, dans toutes ses nuances politiques, persiste dans la même et immuable hypocrisie. Ses responsables politiques, dans les gouvernements et dans les partis, maintiennent coûte que coûte le contact avec les gouvernants algériens pour préserver les intérêts économiques et commerciaux de leur pays, mais ses élites peuvent leur « taper » dessus à l’envi. Une distribution de rôles scélérate.

Dans ce sordide arrangement, Julliard tient sa partition. Mais, sur le fond, qu’en sait-il de l’histoire présente de l’Algérie ? Est-il un indiscutable spécialiste de ce pays, comme il l’est du champ politique français ? Il reprend, certes, l’image dysphorique de l’Algérie et de ses régimes politiques, largement répandue dans les médias et dans l’intelligentsia de son pays. Mais la France est-elle le comptable ad vitam aeternam du destin de son ancienne colonie ?

En 2021, comme sous le règne de François Mitterrand, rien n’aura donc changé pour la France concernant l’Algérie : un soutien sans limites à toute opposition déclarée. Dans tous les domaines. Ainsi, dans le champ culturel, lorsque l’Académie française attribue contre ses propres principes, en 2015, son grand Prix du roman à un fatras islamophobe de Boualem Sansal, écrit d’une plume de tâcheron, très vite entré dans l’oubli(([5] Abdellali Merdaci, « L’indigne compromission de l’Académie française », Afrique-Asie.fr, 30 octobre 2015.)). Mais le sinistre individu, porte-parole du sionisme international, dépiautait l’Algérie sur tous les plateaux de radios et de télés de France. Cette manière de casser l’Algérie et les Algériens reste l’ordinaire des médias français. Une passion triste.

Jacques Julliard peut se réclamer du hirak et de ses « révoltes populaires », qu’il ne connaît pas. Simplement, parce que ce hirak est contre le gouvernement d’Alger : l’ennemi de mon ennemi… Vieille ritournelle. Faisons de la pédagogie pour ce professeur d’histoire politique sans discernement. Aux mois de février et de mars 2019, des manifestations de rue, vite dénommées « hirak » sur le modèle de celles qui ont enflammé le Rif marocain, ont précipité la chute du président Abdelaziz Bouteflika, démissionnaire le 2 avril 2019, et de son clan corrompu, régnant sans partage sur le pays pendant vingt ans (1999-2019). Mais, il est difficile, aujourd’hui, pour un historien de reconnaître et de décrire les raisons de la chute d’un pouvoir d’airain, soutenu par plusieurs puissances mondiales, entre autres la France et les États-Unis.

Au-delà des marches, aux attentes souvent débridées, quels ont été les acteurs de la confrontation, ouverte dès l’installation d’un pouvoir intérimaire chargé, selon les dispositions constitutionnelles, d’officialiser l’élection présidentielle, confiée à un organisme indépendant ? Si la Russie et la Chine se sont cantonnées dans une position d’observateurs neutres, les États-Unis d’Amérique avaient déjà leurs pions dans la partie feutrée qui s’annonçait. C’est un de leurs conférenciers, coutumier des arcanes de la NED (National Endownent for Democracy), ordonnatrice de la « démocratisation » du Grand Moyen Orient, le Français Lahouari Addi, qui imposera, en l’absence de toute délibération des marcheurs, une feuille de route du hirak : une présidence collégiale de l’Algérie, dévolue aux avocats Mustapha Bouchachi, Zoubida Assoul, présidente de l’UCP, un parti agréé, et de l’activiste Karim Tabbou, agents de l’agit-prop formés et financés par la NED(([6] Voir sur cet aspect, l’ouvrage d’Ahmed Bensaada, « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? », Alger, APIC Éditions, 2020.)). Cette présidence collégiale devait coopter une Assemblée constituante et nommer un gouvernement. Il s’agissait, alors, de refuser toute voie démocratique et de privilégier le coup de force. Le pouvoir chancelant d’Alger n’avait d’autre ressource que de remettre les clés de la Mouradia, siège de la présidence de la République, au triumvir désigné par les Américains. Cette solution était fermement soutenue par les bobos algérois, clients de la France et de ses « services » à Alger.

Dans quelle mesure, cet objectif de rupture radicale engagé par des acteurs politiques structurés dans une opposition clairement fomentée par « la main de l’étranger » pouvait-il recueillir l’adhésion des marcheurs, notamment dans les villes et villages de l’intérieur, traditionnellement attachés au pouvoir central ? De fait, leurs slogans en appelaient à l’ANP, incontournable gardien de la sécurité du territoire et, surtout, de la cohésion nationale. Le « khawa-khawa », nettement doctrinal, confortant le lien entre le peuple et son armée, entonné par des centaines de milliers de marcheurs, de Tlemcen à Souk-Ahras, d’Alger à Tamanrasset, marquait un tournant dans le hirak algérien. Le haut commandement de l’ANP, mettant au premier plan le général Ahmed Gaïd Salah, chef de l’État major, vice-ministre de la Défense, n’excédait pas les recommandations de la Constitution en vigueur, précisément un retour aux urnes. Son premier effet, le plus perceptible dans les marches du vendredi, était une notable dispersion des marcheurs. Les familles algériennes qui leur ont imprimé leurs couleurs d’espoir ont choisi leur camp. Il est vrai, aussi, que les Algériens ne marcheront jamais contre leur armée, avec laquelle ils ont partagé dans l’effroyable adversité islamiste des années 1990 les épreuves et la solidarité. Le hirak originel du 22 février 2019, dévoyé, perdait la légitimité populaire.

Les amis algériens de Jacques Julliard

Le 12 décembre 2019, l’élection dans une compétition régulière et légale de M. Abdelmadjid Tebboune, sixième président de la République algérienne démocratique et populaire depuis l’indépendance, en 1962, devait marquer la fin du hirak. Mais dans un néo-hirak, qui va tirer ses cartouches à la veille de l’élection présidentielle, qu’il appelle à boycotter, un nouveau groupe s’impose, celui des islamistes emmenés par Rachad, succédant au FIS-dissous avec les mêmes cadres et les mêmes desperados harnachés de tenues afghanes et d’épées, recevant ses ordres de sa direction domiciliée à Londres et Genève, où l’ancien porte-parole des groupes islamistes armés, Mourad Dhina, reprend du service. Ce néo-hirak, qui prétendait rassembler plus de « trente millions d’Algériens », a refusé les élections présidentielles de juillet 2019, annulées faute de candidats, et de décembre 2019. Lorsqu’on dispose de « trente millions » de marcheurs en âge de voter, on peut contrôler de bout en bout une élection et faire approuver son programme politique par un plébiscite populaire. La « démocratie » du néo-hirak reste celle du gourdin des nervis islamistes, qui recherchent le passage en force : faire tomber le régime — « un cadavre à la renverse », exultaient les bobos d’Alger — sans passer par les urnes. Et, c’est encore le deal aujourd’hui.

Les marcheurs égaillés du néo-hirak où se distinguaient déjà les islamistes de Rachad, en chefs de file, les agents de la NED et leurs partisans, les bobos dîneurs à l’ambassade de France, les communistes du MDS et les trotskystes du PST, partis agréés, font la jonction avec le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK), une ligue séparatiste, soutenue par la France, Israël et le Maroc, qui prône la lutte armée pour la dislocation du territoire algérien et la fin de l’État républicain. Plus que jamais, le néo-hirak, c’est la partition de l’Algérie : une part pour une funambulesque oumma de l’Islam sous la férule du calife Erdogan, l’autre, la Kabylie, en protectorat franco-israélien. La France et ses médias applaudissent. Cependant, M. Tebboune et son gouvernement ne devaient-ils pas faire face à ce mouvement insurrectionnel ? Avec fermeté. Mais, aucun marcheur n’a été ni tué ni estropié, comme en Colombie, au Myanmar et en France. Certes, relevait-on, ici et là, quelques arrestations dans la stricte application de lois civiles.

La stratégie rouée de Rachad et du MAK met face au pouvoir les forces supplétives des agents américains, des bobos d’Alger et des gauchistes du MDS et du PST. A-t-on jamais entendu parler d’un islamiste de Rachad arrêté et déféré dans la justice ? Ou d’un activiste du MAK ? Dans le pays, durement frappé par la pandémie du coronavirus, où les manifestations de rue sont réglementées, ce sont les néo-hirakistes des grandes cités qui occupent la scène judiciaire dans une rébellion urbaine aux provocations calculées. Des exemples typiques ? Khaled Drareni, correspondant (sans carte) de TV5-Monde, de l’ONG française « Reporters sans frontières » (RSF), fondateur du site d’informations en ligne « Casbah Tribune », chouchou des médias français, a été accusé d’« attroupement non armé » et d’« atteinte à l’unité nationale », condamné à une peine de prison, puis gracié par le président de la République. Après chaque marche, il aurait été débriefé par les « services » français, dans les locaux de l’ambassade de France à Alger. C’est du boulot ! À Oran, un trotskyste réputé de l’Université, membre de la Ligue algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH), agitateur doué, a été arrêté et jugé une demi-douzaine de fois. Un journaliste, à Annaba, élisait domicile dans les prétoires. Et, des dizaines d’activistes sortis du néant. Pendant que les bobos et les « gauchos » harcelaient les forces de police, Rachad ramassait de l’argent dans l’arrière-pays et le MAK des armes de guerre.

Ces trublions citadins se sont comptés, ces derniers jours, à l’occasion du soixante-treizième anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme de l’ONU et de la Journée mondiale des Droits de l’Homme, le 10 décembre 2021. Ils étaient exactement, d’après un recensement de la presse, cent cinquante signataires d’une pétition contre l’État algérien adressé aux Nations unies. Il y a même parmi eux de nombreux Français d’origine algérienne, singulièrement une élue du Parti socialiste, qui n’ont aucun lien avec l’Algérie, qui n’est plus leur pays. Que peut un gouvernement contre ces francs-tireurs des beaux quartiers de la capitale et des leurs commanditaires, visibles ou masqués ?

Derrière les « révoltes populaires » qu’évoque Jacques Julliard, dont l’écho s’est depuis bien longtemps dissipé, il ne reste qu’un mouvement terroriste soutenu par les bobos d’Alger, bien-nés, et leur presse, qui savent faire du bruit à Alger et à Paris. Ces factotums de l’islamisme et du séparatisme kabyle peuvent faire feu de tout bois pour hâter la chute du régime. Ainsi cette veillée d’armes d’opposants au pouvoir d’Alger, vers la mi-octobre 2021, dans l’amphithéâtre de l’Assemblée nationale française, sous la direction de Mme Marie-George Buffet, député du Parti communiste français. Comme au temps de Charles X et de l’expédition contre Alger(([7] Voir Georges Fleury, « Comment l’Algérie devint française », Paris, Perrin, 2008.)), Mme Buffet a promis à ses convives de lever les chars français, et derrière eux ceux de l’OTAN, contre le pouvoir d’Alger(([8] Ahmed Bensaada, « Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet » (https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=586:2021-11-17-21-55-07&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119).)). Des bobos d’Alger se voient déjà entrant dans la capitale algérienne sur les chars de l’Occident, qui ont détruit la Libye, pour offrir le pouvoir aux islamistes de Rachad et aux séparatistes du MAK. Il se répète, à Alger, qu’ils ne sont dans le néo-hirak que pour chauffer les tambours de l’islamisme de Rachad. Un de leurs maîtres à penser, un professeur de sociologie de l’Université d’Alger, n’a-t-il pas délivré à l’islamisme de Rachad l’onction démocratique dans les colonnes d’un quotidien francophone d’Alger ?

Passons, donc. Ce qui est détestable dans la prose de Jacques Julliard, c’est cette arrogance affichée envers les Algériens et leur gouvernement : « un gouvernement corrompu, incompétent, qui ne se maintient que par la force militaire », « des potentats aussi cyniques, aussi méprisables ». Une exécution nocturne en rase campagne. Une morgue foncièrement néo-colonialiste. Un racisme scrofuleux. Une haine suintante. Jacques Julliard se dresse devant l’Algérie avec son casque colonial, ses guêtres et sa cravache. Comme dans les cruelles années 1990, la France de Jacques Julliard soutient ouvertement les ennemis de l’Algérie sans s’embarrasser de ses contradictions. Contre l’islamisme, à Paris, tueur, en 2015, à « Charlie Hebdo », à l’« Hyper Casher », sur les terrasses des restaurants et des brasseries et au « Bataclan », en 2016, à Nice, qui continue à décapiter des Français ; avec l’islamisme à Alger et ses 200 000 victimes de la « décennie noire ».

Lectures à courte vue

Ce n’est pas la seule fois, ces dernières semaines, où Jacques Julliard s’est exprimé véhémentement sur le pouvoir d’Alger, colligeant un corpus malveillant, emprunté à la terminologie de son opposition islamiste et séparatiste kabyle, nourrie, logée et blanchie par le pouvoir de Paris. Que reproche-t-il aux hauts responsables de l’État algérien ? Que l’on en juge : « […] les raisons du caractère détestable des relations franco-algériennes actuelles sont plus profondes : la vérité est que le gouvernement militaro-autoritaire qui règne sur l’Algérie, par son absence de représentativité, est incapable d’entraîner son pays et ses habitants dans un processus sincère de réconciliation avec l’ancienne puissance coloniale »(([9] Jacques Julliard, « De la repentance », « Marianne », 15 au 21 octobre 2021.)). Reprenons donc les griefs de l’éditorialiste parisien :

Un « gouvernement militaro-autoritaire ». Sur quelles données formellement établies, Jacques Julliard fonde-t-il un gouvernement militaire de l’Algérie ? L’Armée nationale populaire, éloignée de la politique politicienne, est une institution républicaine dont les missions ne déparent pas de celles des armées des grandes démocraties mondiales. Cette vaillante armée du peuple, il serait difficile de lui coller une carte de parti, quel qu’il soit, autre que celle de l’Algérie. Le chef de cette armée, comme dans toute démocratie, est un civil, en l’espèce M. Abdelmadjid Tebboune, président de la République, ministre de la Défense et chef suprême des forces armées.

Jacques Julliard a décidé de mettre un militaire derrière chaque Algérien et derrière chaque élu algérien, quelles qu’en soient l’appartenance politique et la charte idéologique. Mais la France, toute proche, de l’Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle et de l’État de Vichy du maréchal Pétain, n’était-elle pas foncièrement dans une compétition de chefs militaires ? Ne convient-il pas de rappeler à l’insulteur des Algériens et de leur gouvernement que le fondateur de la Ve République française, le général Charles de Gaulle, ne manquait pas de proclamer sa filiation militaire et de revêtir solennellement l’habit en plusieurs circonstances de la vie politique de son pays ? Et, récemment, ce sont des militaires qui ont censuré l’action politique du président Macron dans une sévère pétition publiée par le magazine « Valeurs actuelles ». Dans la France de ce début de XXIe siècle, c’est aussi un militaire, le général de Villiers, qui est pressenti par les Français pour sortir leur pays du déclin. Rien de tel en Algérie, les militaires ne font pas de politique.

Une « absence de représentativité ». En termes de représentativité réelle, en dehors des alliances du second tour propres au système électoral français, un président de la République française, rassemble au mieux un quart des électeurs au premier tour. C’était le cas en 2017 pour M. Macron, et, aussi, dans les prévisions actuelles du président-candidat en 2022. En 2019, M. Tebboune, élu au premier tour, réunissait les deux tiers des électeurs participant au vote. Quant à la désaffection des électeurs, elle est du même niveau en Algérie et en France.

En quoi l’éditorialiste infatué de « Marianne » peut-il donner des leçons à l’Algérie ? La France est-elle plus démocratique et l’Algérie le serait moins ? Toutes les instances représentatives du pays sont élues, ainsi le président de la République, les députés, une partie des membres du Conseil de la Nation (équivalent du Sénat en France), les conseillers de wilaya (département), les conseillers municipaux et les maires.

Une « sincère réconciliation ». Il faut en parler. Et, revenir nécessairement à l’éclairage de déchirantes pages d’histoire coloniale française en Algérie. La France entre en Algérie, en 1830, sans y être invitée, procède à une longue et sanglante guerre de conquête (1830-1870), parsemée de génocides, comme dans les enfumades du Dahra dirigées, en 1845, par le lieutenant-colonel Pélissier(([10] Le 19 juin 1845, plus de 700 Algériens ont été asphyxiés dans les grottes du Dahra par les troupes du colonel Pélissier. Ce meurtre collectif a été salué à la Chambre des députés (Cf. François Maspero, « L’Honneur de Saint-Arnaud », Paris, Plon, 1993).)). Pour maintenir la colonisation, elle procède distinctement à des massacres à Sétif, Guelma et Kherrata, en 1945, et tue des centaines de milliers d’Algériens dans une féroce guerre coloniale (1954-1962). La France a déstructuré le pays, son économie, son système de formation, déplacé des centaines de tribus dépossédées de leurs terres. La colonisation française n’a jamais été heureuse pour l’Algérie et les Algériens. Elle a été un facteur de retard et d’effondrement. C’est le jeune Kateb Yacine qui pariait, en 1948, que l’Algérie sans la France aurait eu le potentiel socio-économique de l’Égypte (11). Ce passif douloureux devrait-il s’effacer par un trait de plume ?

Quelle réconciliation est aujourd’hui envisageable entre Algériens et Français sur un passé qui divise toujours ? Faudrait-il encore que les Algériens mettent genou à terre devant leur ancien oppresseur pour un « processus sincère de réconciliation » en subissant, chaque jour, les imputations de « rente mémorielle » — des candidats Macron et Zemmour, unis dans leurs fariboles néocoloniales ? Les querelles mémorielles de ces derniers mois entre Paris et Alger ne montrent-elles pas qu’une telle projection reste hâtive ? Ce n’est pas seulement, comme le pense Julliard, une question de gouvernants. Les Français encensent l’exemplaire réconciliation franco-allemande. Or l’Algérie et l’Allemagne face à la France ne sont pas dans la semblable complexité historique. La rivalité de nations européennes chevronnées qu’entretenaient Français et Allemands ne s’inscrivait pas dans une trame coloniale — même si de part et d’autre des territoires étaient convoités. Il est encore tôt, trop tôt pour les Algériens, pour éveiller et rendre possible une réconciliation avec la France selon le protocole franco-allemand.

Au-delà d’une indécidable « réconciliation sincère » attendue par la France, ce qui dérange désormais les Français, c’est un changement imprévu : l’Algérie possède un président de la République à l’écoute de son peuple, plus que de Paris comme cela était, à juste titre, rattaché à son prédécesseur. L’Algérie n’a pas rencontré ce profil de chef d’État, soucieux de la personnalité et de la dignité de son pays, depuis Houari Boumediene (1965-1978) et Liamine Zeroual (1996-1999) et c’est un très bon signe pour une nation qui affirme son autonomie régionale et internationale. M. Tebboune, parlant au nom des Algériens, a insisté sur le fait qu’Alger ne reprendra ses relations avec Paris, que d’égal à égal, dans un strict respect. Il a aussi insisté sur le fait que l’Algérie, offensée par les propos inconsidérés du président Macron sur son histoire, ne fera jamais le « premier pas ». Le message est sans fioriture et il semble qu’il a été entendu à Paris. Julliard s’inquiète-t-il des « génuflexions » et des « prosternations » des autorités françaises ? C’est ce que vient de faire, ces jours-ci à Alger après la bourrasque mémorielle, Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ? L’éditorialiste de « Marianne » ne se doute-t-il pas que les Algériens auraient pu attendre du haut-représentant de la France plus que des regrets ? L’aman, sûrement, ce vieux rite punitif de la France coloniale en Algérie.

Dans les chromos de l’Algérie française, ce qui demeure d’une culture coloniale indigente, figurent des images sépia de populations indigènes, le front et les genoux dans le sol boueux, suppliant l’aman à un officier français au-devant de ses mousquetons et de ses canons. Il ne suffisait pas à la France coloniale inhumaine de pourchasser et de tuer les Algériens sans armes, il lui fallait aussi humilier leurs survivants dans cette cérémonie victorieuse de l’aman, le pardon. À Alger, M. Le Drian, autrefois grand mamamouchi socialiste, rapetassé dans une livrée macroniste, n’a pas été soumis à l’aman, il a même été reçu en audience par M. Tebboune, qui a été, en la grave circonstance, singulièrement aimable, qui n’a pas exhumé des reliques de l’histoire commune algéro-française ce sacré éventail du dey Hussein. Dans ce bref contentieux mémoriel avec la France, qui devra bien s’épuiser, rien n’est perdu : l’Algérie a gagné un président patriote et déterminé, qui a rendu aux Algériens leur fierté et leur grandeur de peuple libre dans un État souverain. Contre Jacques Julliard et ses lectures à courte vue, l’Histoire des Algériens en témoignera.


* Linguiste, écrivain, critique et historien de la littérature.

Notes




Selon Reuters, les réfugiés n’ont pas accès aux vaccins car Big Pharma craint les poursuites judiciaires !

[Source : lelibrepenseur.org]

Pendant que les morticoles cathodiques nous vendent la vaccination comme sure et sans risque, pas plus dangereuse que si on avalait une cacahouète, on apprend que Big Pharma refuse de vacciner les réfugiés car ils ne sont pas sous la protection d’un État qui prend la responsabilité de la vaccination et de l’indemnisation des effets indésirables. Ceci est une énième démonstration de cette mascarade vaccinale mondiale qui est clairement la plus grande escroquerie de tous les temps. Honte aux médecins et à tous les professionnels de la santé impliqués et complices.


Des dizaines de millions de migrants pourraient se voir refuser les vaccins COVID-19 d’un programme mondial parce que certains grands fabricants s’inquiètent des risques juridiques liés aux effets secondaires nocifs, selon des responsables et des documents internes de Gavi, l’organisation caritative qui gère le programme, examinés par Reuters.

[Voir aussi :
Les laboratoires limitent l’accès au vaccin pour les migrants par peur des procédures judiciaires (RT France)]

Près de deux ans après le début d’une pandémie qui a déjà tué plus de 5 millions de personnes, seuls 7 % environ des habitants des pays à faible revenu ont reçu une dose. Les livraisons de vaccins dans le monde ont été retardées par des problèmes de production, la thésaurisation par les pays riches, les restrictions à l’exportation et la bureaucratie. De nombreux programmes ont également été entravés par l’hésitation du public.

Les préoccupations d’ordre juridique constituent un obstacle supplémentaire pour les responsables de la santé publique qui s’attaquent au coronavirus, alors même que les responsables affirment que les personnes non vaccinées offrent un environnement idéal pour sa mutation en de nouveaux variants qui menacent l’immunité durement acquise dans le monde entier. Selon les Nations unies, de nombreux fabricants de vaccins COVID-19 ont exigé que les pays les indemnisent pour tout événement indésirable subi par des personnes à la suite de l’administration de ces vaccins.

Là où les gouvernements n’ont pas le contrôle, cela n’est pas possible.

Les préoccupations concernent les personnes, telles que celles déplacées par les crises au Myanmar, en Afghanistan et en Éthiopie, qui sont hors de portée des programmes de vaccination des gouvernements nationaux.

Pour les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile, ainsi que pour les personnes touchées par des catastrophes naturelles ou d’autres événements qui les mettent hors de portée de l’aide gouvernementale, le programme mondial connu sous le nom de COVAX a créé un tampon humanitaire – une réserve de vaccins de dernier recours à administrer par des groupes humanitaires. Gavi, l’alliance pour les vaccins, est un partenariat public-privé créé en 2000 pour promouvoir la vaccination dans le monde.

Mais ce tampon ne dispose d’aucun mécanisme permettant d’offrir une compensation. Gavi, qui gère COVAX avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), explique que lorsque les demandeurs de doses, principalement des ONG, ne peuvent pas supporter les risques juridiques, les livraisons à partir de ce stock ne peuvent être effectuées que si les fabricants de vaccins acceptent leur responsabilité.

Les entreprises qui sont prêtes à le faire dans ces circonstances ne fournissent qu’une minorité des vaccins du programme, selon des personnes connaissant bien le dossier et les documents, rédigés par le personnel de Gavi pour une réunion du conseil d’administration qui débutera fin novembre.

Plus des deux tiers des doses de COVAX proviennent de Pfizer Inc. (PFE.N) et de son partenaire BioNTech SE (22UAy.DE), AstraZeneca PLC (AZN.L) et Moderna Inc. (MRNA.O), indique Gavi. Moderna a refusé de commenter. AstraZeneca et Pfizer ont déclaré être en pourparlers avec Gavi mais ont refusé de faire d’autres commentaires. Tous trois ont déclaré qu’ils s’engageaient à mettre des doses à la disposition des nations les plus pauvres à des prix relativement bas. Pfizer a déclaré qu’elle collaborait directement avec les gouvernements de Jordanie et du Liban pour donner des doses aux réfugiés.

Principalement en raison des problèmes juridiques, moins de 2 millions de doses ont été envoyées jusqu’à présent par les pays tampons, selon Gavi. Environ 167 millions de personnes risquent d’être exclues des programmes nationaux, selon les données des Nations unies citées dans les documents.

À moins que toutes les entreprises n’acceptent leur responsabilité légale, « l’accès aux vaccins pour certaines populations restera un défi », indiquent les documents de Gavi, ajoutant que de nouvelles crises généreront une demande supplémentaire pour couvrir les populations déplacées.

La réticence des fabricants de vaccins à assumer les risques juridiques constitue « un obstacle majeur » aux tentatives de fournir des vaccins pour les populations tampons, a déclaré à Reuters un porte-parole de Gavi. Gavi n’a pas commenté les détails contenus dans les documents, mais a déclaré que les demandes de vaccins sont confidentielles jusqu’à ce que les doses soient livrées. En septembre, le PDG de Gavi, Seth Berkley, a lancé sur Twitter un appel aux fabricants de médicaments pour qu’ils renoncent à leurs exigences en matière d’indemnisation légale.

Trois fabricants de médicaments chinois ont accepté d’assumer les risques juridiques lorsque leurs vaccins sont livrés par le biais du tampon : SinoVac Biotech Ltd (SVA.O), Sinopharm Group Co. Ltd (1099.HK) et Clover Biopharmaceuticals Co. Ltd, selon le document de Gavi. Les fabricants de médicaments n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

L’entreprise américaine Johnson & Johnson (JNJ.N) a confirmé qu’elle renonçait à exiger une indemnité pour les livraisons du tampon : « Nous sommes fiers de participer à cet effort pour protéger les personnes les plus vulnérables du monde », a déclaré Paul Stoffels, vice-président du comité exécutif et directeur scientifique. Il n’a pas donné de détails.

Cependant, moins d’un tiers des fournitures de COVAX proviennent de ces quatre entreprises, selon les données de COVAX : Le vaccin de Clover n’a pas encore été approuvé et n’est donc pas utilisé.

L’association industrielle mondiale, la Fédération internationale de l’industrie du médicament (FIIM), a déclaré qu’ »aucune entreprise n’a refusé d’envisager » d’assumer le risque juridique. Toutefois, dans le cas des vaccins administrés à partir de la zone tampon, certaines entreprises ont estimé qu’elles ne pouvaient pas le faire sans savoir exactement où et comment les vaccins seraient utilisés.

Il serait difficile de contrôler en permanence l’innocuité des vaccins dans les camps de réfugiés, et la livraison est très difficile d’un point de vue logistique et ne convient pas à tous les types, a déclaré la Fédération européenne d’associations et d’industries pharmaceutiques (EFPIA), qui représente les grandes entreprises pharmaceutiques en Europe.

Les gens peuvent blâmer les vaccins pour des problèmes qui apparaissent par la suite, même s’ils n’ont aucun lien, a-t-elle ajouté.

« Cela pourrait conduire à une augmentation du nombre de litiges (…) au cours desquels la sécurité et l’efficacité du vaccin seraient publiquement remises en question », a-t-elle déclaré dans une déclaration à Reuters. Cela pourrait conduire à une plus grande hésitation à se faire vacciner et à une reprise plus lente de la pandémie, a-t-elle ajouté.

Jusqu’à présent, il y a peu d’informations sur les litiges concernant le vaccin COVID, mais les réclamations faites auprès des programmes de compensation extrajudiciaire sont une mesure du risque. Selon les données publiques, un programme mis en place aux États-Unis n’a jusqu’à présent rien versé, pas plus qu’un programme mis en place par l’OMS pour les pays à faible revenu. En Europe, une poignée d’indemnités ont été accordées pour des montants non divulgués, selon les données officielles du Danemark, de l’Allemagne, de la Norvège et de la Suisse. Lire plus

À l’échelle mondiale, peu d’infections au COVID ont été signalées parmi les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile – les tests ne sont pas toujours systématiques et les infections peuvent n’engendrer que des symptômes légers, en particulier chez les jeunes.

Mais l’exiguïté des lieux et la faiblesse des soins de santé les exposent à un risque d’infection élevé. Cette situation, associée à de faibles niveaux de vaccination dans une population mobile, pourrait favoriser l’émergence de nouvelles variantes et constituer un vecteur d’infection, a déclaré Mireille Lembwadio, coordinatrice mondiale de la vaccination à l’Organisation internationale des migrations (OIM), un organisme lié aux Nations unies qui conseille les gouvernements et les migrants.

« Les laisser non vaccinés pourrait contribuer à la propagation du virus et de ses variantes dans le monde », a-t-elle ajouté.

L’ATTENTE DES DOSES

François Nosten, un professeur français qui aide à coordonner les soins de santé pour les personnes originaires du Myanmar vivant à la frontière avec la Thaïlande, est l’un de ceux qui attendent des vaccins. En juin, il a déposé une demande de 70 000 doses auprès du tampon humanitaire – certaines pour les quelque 90 000 personnes réfugiées dans des camps le long de la frontière, mais la plupart pour les migrants non enregistrés dans la ville frontalière de Mae Sot et les villages voisins.

Nosten, dont le travail principal est la recherche sur le paludisme, attend les doses – une fraction des plus de 8 milliards administrées dans le monde – ce mois-ci. On lui a dit qu’elles proviendraient de Sinopharm, et il espère qu’elles pourront aider à vacciner les principaux groupes à risque dans la province thaïlandaise de Tak. Gavi a indiqué que les modalités de livraison sont encore en cours de finalisation.

Environ 20 000 doses seront administrées aux personnes vivant dans les camps par l’International Rescue Committee (IRC), un groupe humanitaire travaillant avec Nosten.

« À ce stade, nous sommes reconnaissants pour tout vaccin que nous pouvons obtenir », a déclaré Darren Hertz, directeur de l’IRC pour la Thaïlande. Il a ajouté que l’IRC pensait que la probabilité qu’un membre de la population réfugiée tente d’intenter une action en justice en cas d’effets secondaires était « extrêmement faible ».

Selon M. Hertz, l’IRC a reçu quelques dons de vaccins ad hoc du gouvernement thaïlandais et s’attaque actuellement à des épidémies importantes dans cinq des neuf camps situés à la frontière, où environ 3 000 cas ont été confirmés, dont au moins 26 décès. Un porte-parole du ministère thaïlandais des Affaires étrangères a confirmé que le gouvernement travaillait avec l’IRC pour fournir des vaccins dans les abris le long de la frontière.

L’organisation caritative de Nosten, Border Health Foundation (BHF), est l’une des huit organisations dans le monde à avoir demandé à distribuer les vaccins provenant du tampon humanitaire et l’une des trois à avoir été approuvée, a déclaré Gavi.

Ann Burton, chef de la santé publique à l’agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), a déclaré que la question de la responsabilité était l’une des raisons pour lesquelles les agences ont été lentes à se porter candidates. Le programme a également été retardé par la pénurie générale de vaccins et les obstacles administratifs.

Les organisations qui demandent des fournitures à partir du tampon ne peuvent pas choisir les vaccins qu’elles reçoivent. Travaillant avec des personnes déplacées, M. Nosten a déclaré qu’il serait plus pratique de leur donner le vaccin de Johnson & Johnson, qui offre une protection après une seule dose au lieu des deux doses nécessaires pour celui de Sinopharm.

Mais la version de Sinopharm sera « mieux que rien », a-t-il ajouté.

Plus de 100 gouvernements nationaux ont promis d’offrir des vaccins, dans la mesure du possible, à toutes les personnes déplacées sur leur sol, selon l’OIM. Toutefois, le groupe des Nations unies affirme que les migrants et les réfugiés sont souvent exclus de ces programmes en raison d’obstacles administratifs ou culturels.

Dans les cas où les gouvernements ne sont pas en charge ou n’ont pas accepté de vacciner les migrants, le tampon humanitaire de COVAX est la seule option. Selon l’OIM, au moins 40 pays n’ont pas encore inclus les migrants non autorisés dans leurs programmes de vaccination – l’OIM et le HCR ont refusé de nommer ces pays.

Gavi a mis en place le tampon en mars 2021, prévoyant de réserver jusqu’à 5 % des doses de vaccin au fur et à mesure qu’elles deviennent disponibles pour COVAX, ce qui représenterait environ 70 millions de doses à ce jour.

Les seules doses livrées à partir de la réserve jusqu’à présent – un peu plus de 1,6 million de doses de Sinopharm – ont atterri en Iran en novembre, où un grand nombre d’Afghans déplacés sont arrivés, a déclaré UNICEF Iran. Cela suffit pour vacciner environ 800 000 personnes, mais il en faudra probablement davantage, a précisé l’UNICEF.

BESOIN DE RAPIDITÉ

L’inquiétude juridique des fabricants de vaccins trouve son origine dans la rapidité sans précédent des efforts déployés pour développer les vaccins COVID, selon l’EFPIA.

Dans des circonstances normales, les fabricants de médicaments souscrivent une assurance pour couvrir la responsabilité des effets indésirables potentiels des vaccins. Mais le COVID les a obligés à développer des médicaments si rapidement que certains effets secondaires – par exemple, un trouble rare de la coagulation sanguine chez certaines personnes ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca – apparaissent au moment où les vaccins arrivent dans les bras des gens.

De nombreux gouvernements et agences internationales ont mis en place des systèmes de compensation pour rembourser les victimes et éviter de longs procès. Une loi d’urgence invoquée par le gouvernement américain prévoit l’immunité juridique des entreprises pharmaceutiques pour les effets secondaires de leurs vaccins COVID-19 utilisés dans le pays. La seule exception concerne les cas de « faute intentionnelle ».

Pour les entreprises pharmaceutiques, accepter une responsabilité potentielle va à l’encontre des pratiques habituelles.

« Les fabricants de vaccins essaient de minimiser les risques juridiques dans presque tous les cas », a déclaré John T. Monahan, professeur à l’université de Georgetown. « La norme d’or est l’immunité totale contre les poursuites judiciaires. S’ils acceptent des exemptions, il pourrait devenir plus difficile d’atteindre cet objectif. »


Photo d’illustration : Un homme reçoit une vaccination COVID-19 au camp de réfugiés de Thamhin, en Thaïlande, le 25 octobre 2021. Photo prise le 25 octobre 2021. Filigrane fourni à la source. International Rescue Committee/Handout via REUTERS


Francesco Guarascio et Panu Wongcha-um

Reuters

16 décembre 2021


Titre de l’article original en anglais : The Great Reboot Refugees lack COVID shots because drugmakers fear lawsuits, documents show




Fabrice Divizio : « Nous nous battrons jusqu’au bout… Nous sommes en guerre contre notre gouvernement, l’absurdité, le mensonge, la corruption et les intérêts financiers ! Nous saisirons le Comité des droits de l’homme de l’ONU !!! »

[Source : Ma France]




Covid : 2 heures de vérité après 2 ans de mensonges !

[Source : TVlibertés]

Élise Blaise reçoit quatre invités prestigieux, tous scientifiques : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN, le professeur Christian Perronne, infectiologue et ancien conseiller des gouvernements en matière de santé publique, Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l’IRSAN, et Laurent Montesino, médecin réanimateur, ainsi que la participation du généticien moléculaire, Christian Vélot et le témoignage de Marc Doyer, dont l’épouse, Mauricette, aurait contracté la maladie de Creutzfeld-Jakob après la deuxième injection du vaccin Pfizer.

Au fil de ces deux heures d’émission, la stratégie du gouvernement et ses effets sont passés au crible pour expliquer pourquoi un an après le lancement de la campagne de vaccination, les pouvoirs publics et médiatiques continuent de faire peur aux Français.

Manipulation des chiffres, prise en charge des patients malades du Covid, traitements interdits, vaccination massive et effets secondaires, conflits d’intérêts… tous les sujets que les médias refusent d’aborder avec honnêteté et sérieux sont traités ici, par des scientifiques et des praticiens de renom.






Gilbert Deray, médecin orateur de plateau TV, avec 171 déclarations, a été payé 161 646€ par Big Pharma pour forcer à faire vacciner les 0-11 ans

[Source : Qactus]

Gilbert Deray :

« Les 0-11 ans ne sont pas vaccinés et sont des vecteurs majeurs de la contamination »…

Les 0- 11 ans ?? … On marche sur la tête ! Et personne pour faire tomber cela, même ces journalistes complices qui savent très bien ce qu’ils font, et ce qu’ils disent et par qui ces médecins véreux sont payés !!

Voyez la vidéo ci-dessous :



Statistiques NHS par age et comorbidité en, dessous de 40 ans en bonne santé, risque COVID si bas qu’il ne justifie aucun vaccin, et rappelle que @GilbertDeray n’est que néphrologue et chef de service de néphrologie @HopPitieSalpe. Nous ne voyons donc pas en quoi il a les #competences pour parler du #COVID19 . Cela relève de l’épidémiologie et des médecins spécialisés !


Maintenant, amusez-vous à chercher ci-dessous sur le site EUROFORDOCS.fr voici le lien officiel ci-dessous de la déclaration des revenus payé par Big Pharma à tous ces corrompus satanistes et génocidaire du peuple, complice du gouvernement.

Voyez ses déclarations avec les labos et ses revenus payés en Euros ventilés en trois termes distincts :

  • Avantage
  • Convention
  • Rémuneration

Mais ceux que nous préférons sont dans la rubrique « Type Déclaration » = « Rémunération » agrémenté d’une ligne blanche « RIEN », « NADA » avec des 1680 €, 1350 € etc… versé en rémunérations sans commentaire ?? Eh aussi d’autre comme ORATEUR, ah oui nous l’avons vu sur TF1 justement !! C’est une honte quand on oblige des salariés à une injection contre la perte de leur seul revenu, ces collabos eux se gavent sans injection.

Pr Didier #Raoult met le doigt sur les conflits d’intérêts en France et l’obligation vaccinale  » Il y a des mœurs dans ce pays qui ne sont pas raisonnables » Pr Raoult et Pr Perronne sont en train de démolir la propagande médiatico-politique!




Quand a Covidinfos.net, c’est au total : 172 761 € Que Deray a touché!!

Un petit rappel que les conflits d’intérêts, ne sont qu’une minorité de médecins de plateaux TV.

Quand on est bourré de liens et de conflits d’intérêt avec BIGPHARMA comme le sont Karine Lacombe et Gilbert Deray, pas étonnant qu’ils se donnent corps et âme pour défoncer la chloroquine et vilipender l’IHU. Cela dit, vous n’aurez jamais la carrière scientifique du Pr Raoult.

Il ne faudra jamais oublier !!


https://twitter.com/Yoann_IV/status/1462777752403292166

Merci à BAN pour cette vidéo regardez la et vous comprendrez ce qu’ils font.

Gilbert Deray (conflits d’intérêt avec Big Pharma) menace très explicitement Laurence Ferrari de faire stopper l’invité, Pr. #Perronne qui exécute l’ordre aussitôt. Observez bien le comportement, la gestuelle et le langage corporel de ses individus!




Le British Medical Journal dénonce le « fact-checking » mensonger de Facebook

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Lettre ouverte du BMJ à Mark Zuckerberg

Cher Mark Zuckerberg,

Nous sommes Fiona Godlee et Kamran Abbasi, rédacteurs en chef du BMJ, l’une des revues de médecine générale les plus anciennes et les plus influentes au monde. Nous vous écrivons pour vous faire part de nos graves préoccupations concernant la « vérification des faits » effectuée par des fournisseurs tiers pour le compte de Facebook/Meta.

En septembre, un ancien employé de Ventavia, une société de recherche sous contrat qui a participé à l’essai principal du vaccin Pfizer covid-19, a commencé à fournir au BMJ des dizaines de documents internes de la société, des photos, des enregistrements audio et des courriels. Ces documents ont révélé une multitude de mauvaises pratiques de recherche sur les essais cliniques au sein de Ventavia, susceptibles d’avoir un impact sur l’intégrité des données et la sécurité des patients. Nous avons également découvert que, malgré la réception d’une plainte directe concernant ces problèmes il y a plus d’un an, la FDA n’a pas inspecté les sites d’essais de Ventavia.

Le BMJ a chargé un journaliste d’investigation d’écrire l’histoire pour notre journal. L’article a été publié le 2 novembre, après avoir fait l’objet d’un examen juridique, d’un examen externe par les pairs et de la supervision et de l’examen éditoriaux habituels de haut niveau du BMJ.(([1] Thacker PD. Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial. BMJ. 2021 Nov 2;375:n2635. doi: 10.1136/bmj.n2635. PMID: 34728500.
https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635))

Mais à partir du 10 novembre, les lecteurs ont commencé à signaler divers problèmes lorsqu’ils ont essayé de partager notre article. Certains ont signalé qu’ils étaient incapables de le partager. Beaucoup d’autres ont signalé que leurs publications étaient marquées d’un avertissement concernant le « contexte manquant ». Des vérificateurs de faits indépendants affirment que cette information pourrait induire les gens en erreur ». Les personnes qui ont essayé de publier l’article ont été informées par Facebook que les personnes qui partagent de façon répétée de « fausses informations » risquent de voir leurs publications descendre dans le fil d’actualité de Facebook. Les administrateurs des groupes où l’article a été partagé ont reçu des messages de Facebook les informant que ces publications étaient « partiellement fausses ».

Les lecteurs ont été dirigés vers une  » vérification des faits  » effectuée par un sous-traitant de Facebook nommé Lead Stories.(([2] Miller D. Fact Check: The British Medical Journal Did NOT Reveal Disqualifying And Ignored Reports Of Flaws In Pfizer COVID-19 Vaccine Trials. Nov 10, 2021.
​​https://leadstories.com/hoax-alert/2021/11/fact-check-british-medical-jo…))

Nous estimons que la « vérification des faits » effectuée par Lead Stories est inexacte, incompétente et irresponsable.

  • Il n’est fourni aucune affirmation factuelle quant à ce que l’article du BMJ aurait mal interprétée.
  • Le titre est absurde : « Vérification des faits : Le British Medical Journal n’a PAS révélé de rapports disqualifiant et ignorés sur les défauts des essais du vaccin COVID-19 de Pfizer ».
  • Le premier paragraphe qualifie de manière inexacte le BMJ de « blog d’information ».
  • Il contient une capture d’écran de notre article avec un tampon indiquant  » Contient des Erreurs (Flaws Reviewed) « , alors que l’article Lead Stories n’identifie rien de faux ou de mensonger dans l’article du BMJ.
  • Il a publié l’article sur son site web sous une URL qui contient la phrase « alerte contre les faux (hoax)« .

Nous avons contacté Lead Stories, mais ils refusent de changer quoi que ce soit à leur article ou aux actions qui ont conduit à ce que Facebook signale notre article.

Nous avons également contacté Facebook directement, en demandant le retrait immédiat du label « vérification des faits » et de tout lien vers l’article de Lead Stories, permettant ainsi à nos lecteurs de partager librement l’article sur votre plateforme.

Il y a également une préoccupation plus large que nous souhaitons soulever. Nous sommes conscients que le BMJ n’est pas le seul fournisseur d’informations de grande qualité à avoir été affecté par l’incompétence du régime de vérification des faits de Meta. Pour donner un autre exemple, nous soulignons le traitement par Instagram (également détenu par Meta) de la Revue Cochrane, le fournisseur international d’examens systématiques de haute qualité des preuves médicales.(([3] https://twitter.com/cochranecollab/status/1458439812357185536))

Plutôt que d’investir une partie des bénéfices substantiels de Meta pour aider à garantir l’exactitude des informations médicales partagées sur les médias sociaux, vous avez apparemment délégué la responsabilité à des personnes incompétentes pour mener à bien cette tâche cruciale. La vérification des faits est un élément essentiel du bon journalisme depuis des décennies. Ce qui s’est passé dans ce cas-ci devrait préoccuper tous ceux qui apprécient et se fient à des sources telles que le BMJ.

Nous espérons que vous agirez rapidement : spécifiquement pour corriger l’erreur relative à l’article du BMJ et pour revoir les processus qui ont conduit à cette erreur ; et plus généralement pour reconsidérer votre investissement et votre approche de la vérification des faits en général.

Meilleures salutations,

Fiona Godlee, rédactrice en chef
Kamran Abbasi, nouveau rédacteur en chef

British Medical Journal

Intérêts concurrents :

En tant que rédacteurs en chef actuels et futurs, nous sommes responsables de tout ce que contient le BMJ.

Lien vers la publication originale (en anglais) : cliquer ici.

References :




Le peuple syrien pris en otage par un embargo criminel. Lettre ouverte aux hommes de bonne volonté

Par Claude Janvier

Au cours d’un voyage d’études, les signataires de ce texte ont pu constater les conséquences désastreuses de l’embargo imposé à la République Arabe Syrienne par les États-Unis et l’Union européenne.

Pour avoir visité les villes principales de Syrie, nous pouvons témoigner que l’embargo a pour effet de poursuivre la guerre sur le plan économique. C’est pourquoi nous appelons à la levée immédiate de la loi « César » qui n’a d’autre but que d’asphyxier financièrement le gouvernement syrien. Ceci afin d’empêcher toute reconstruction en détruisant la société civile syrienne dans le but d’imposer un changement de régime. L’inefficacité de ces sanctions, destinées à séparer le président du peuple qui l’aime, est assurée !

La Syrie, pourtant détentrice d’importantes ressources pétrolières, voit celles-ci confisquées par les forces américaines occupant les zones de production. Il en résulte une pénurie énergétique permanente, qui se traduit par des fournitures d’électricité intermittentes. La vie quotidienne des Syriens en est gravement perturbée.

Si officiellement, ces sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque — connu et calculé par les promoteurs de l’embargo — de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

Le démantèlement de la Syrie, qui n’a pu être obtenu par les moyens militaires et les actions terroristes, pourrait l’être ainsi en réactivant des antagonismes communautaires qui ressurgiraient à l’occasion de pénuries économiques graves.

Aujourd’hui, l’État syrien est parvenu au miracle de réaliser l’unité nationale autour d’un idéal de vie commun sous couvert d’une stricte laïcité.

Cette réussite exceptionnelle, politique et sociétale, doit être préservée. En premier lieu par la levée en urgence d’un blocus légalement injustifié et moralement condamnable.

Notre diagnostic a été établi par la visite des villes suivantes :

  • Damas, la ville du jasmin. Peu d’éclairage public fonctionnel. Les lumières existantes sont produites par les commerçants, grâce à des groupes électrogènes. Les banlieues nord et sud ont été totalement détruites, après d’âpres combats entre l’armée arabe syrienne loyale, épaulée par la Russie et l’Iran, qui a légitimement défendu l’intégrité du territoire de la Syrie, contre des terroristes d’al-Qaïda, de Daesh, des djihadistes proches des frères musulmans et des rebelles de l’armée syrienne libre soutenus par la coalition extérieure internationale, déterminés à provoquer un changement de régime. De nombreux réfugiés couchent dans des tentes au milieu des décombres.
  • Alep, ville martyre, détruite à 70 %. Les souks séculaires du 14e siècle entièrement rasés ainsi que la grande mosquée. Pourquoi dynamiter des bâtiments historiques ? Les terroristes obéissent à une seule devise : faire table rase de la Syrie actuelle, tout à la fois société laïque moderne et mémoire des civilisations, afin d’imposer un islam radical.
  • Lattaquié, grande ville portuaire qui commence à se remettre de l’agression des rebelles et des terroristes. L’électricité est aussi intermittente.
  • Soueïda, grande ville du sud syrien. Électricité défaillante et de facto pas de chauffage. Il faut préciser que les États-Unis ont créé dans la région de la localité syrienne d’al-Tanf (frontalière avec la province de Soueïda), une base sur l’axe stratégique Bagdad — Damas pour soutenir les rebelles de l’armée syrienne libre (ASL) composée de terroristes islamistes.
  • Daraa. Dernière étape de notre visite. Comme Alep, c’est une ville martyre. Un accord récent — moins de deux mois — pour déposer les armes a été négocié entre le gouvernement syrien légitime — avec l’aide des Russes — et les chefs des groupes rebelles.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité. Mais, malgré le fait que le gouvernement est obligé de donner des cartes de rationnement pour les produits de base afin de lutter contre la spéculation et malgré le fait d’une grande quantité d’immeubles dont la construction est paralysée depuis des années, les échoppes revivent. Des légumes, des fruits et des produits de première nécessité se vendent à tous les coins de rue. La ténacité, le courage et le patriotisme du peuple syrien forcent le respect.

Un fait récent permet de vérifier que cet embargo constitue en soi un acte de guerre déguisé. En effet, sous couvert d’aide humanitaire, des semences de blé contaminantes ont été livrées fin novembre 2021 au peuple syrien. Les effets auraient été dévastateurs : pourriture des épis et baisse de la germination de plus de 80 % par stérilisation des sols.(([1] https://parstoday.com/fr/news/world-i104350-syrie_l%27adm_am%C3%A9ricaine_frappe_!))

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l’homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes.

Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser immédiatement et impérativement.

Nous remercions M. Adnan Azzam, écrivain syrien, humaniste et homme de cœur, pour avoir parfaitement organisé ce périple. Nous remercions chaleureusement M. Mahdi Dakhlalah, membre du commandement central du parti Baas pour son aide précieuse et nous remercions vivement M. Mohammed al Hourani, président de l’Association des Écrivains Arabes Syriens et ses membres de nous avoir invités.

Signataires de la délégation française :

  • Jean-Michel Vernochet. Journaliste et écrivain.
  • Emmanuel Leroy. Politologue et président de l’Institut 1717
  • Pierre-Emmanuel Thomann. Géopolitologue, président d’Eurocontinent
  • Maria Poumier. Universitaire émérite et Maître de Conférences Paris VIII.
  • Yves Béraud. Général (2S) en retraite de l’armée de terre.
  • Claude Janvier. Écrivain et essayiste.

Contact : clojea@gmail.com

Notes :




France — Pétition pour le retour à la normale dans les écoles le 3 janvier 2022

[Source : wesign.it]

Pour signer la pétition :
https://www.wesign.it/fr/sante/ecoles-retour-a-la-normale-le-3-janvier-2022?s=08

Au vu des données scientifiques disponibles

  • sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),
  • sur la quasi absence de formes graves de la Covid19 chez les enfants de moins de 12 ans,
  • de la vaccination des enseignants qui le souhaientent avec 3 doses de vaccins ARN,
  • de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise, augmentation massive des troubles anxieux, dépressifs, obsessionnels compulsifs et du comportement alimentaire),

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale.

C’est-à-dire

  • la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,
  • l’absence de toute forme de pression vaccinale sur les enfants ainsi que
  • la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique.

Mobilisation créée par Martin Blachier
15/12/2021

Contacter




Note au sujet de mon absence

[Source : Arrêt sur Info]

Par Brandon Turbeville

Publié le 20 novembre 2021 sur Activistpost sous le titre A Note On My Absence


Cela fait presque deux ans que je n’ai rien écrit. Que je n’aie plus publié d’articles. Que je n’ai plus rédigé de nouveaux poèmes. Que je n’ai plus exercé mon métier de journaliste. Il se peut que j’aie écrit des commentaires sur les médias sociaux durant cette période, mais même de cela, je n’en suis pas sûr.

Il fut un temps où j’écrivais toute la journée. Je publiais plusieurs articles par jour, je travaillais assidûment sur mes livres et j’écrivais de la poésie jusqu’au matin. Pendant des années, c’était mon rituel quotidien et j’y travaillais jusque tard dans la nuit, même après une journée entière de travail. Mais ces deux dernières années ? Rien. J’ai tout simplement disparu des médias alternatifs.

J’ai le sentiment de ne pas pouvoir revenir à mon métier d’écrivain avec certitude sans au moins expliquer auparavant à mes lecteurs la raison de mon absence.

J’ai toujours été étonné qu’autant de personnes lisent religieusement, au fil des ans, les articles que j’ai écrit. Mais ce qui a commencé comme une nécessité de faire entendre ma voix à une époque où je croyais qu’il n’y avait pas assez de voix, s’est arrêté exactement dans les mêmes circonstances. Pour cela, je suppose que je dois des excuses à mes lecteurs. Les deux dernières années ont eu plus que jamais besoin d’entendre des voix et, pendant ce temps, la mienne est restée silencieuse.

Le plus étrange, c’est que je n’ai plus jamais eu envie d’écrire quoi que ce soit, du moins jusqu’à récemment. Alors comment quelqu’un dont l’identité entière était enveloppée dans le mot écrit, a-t-il soudainement arrêté d’écrire ? Pour moi, il y a eu un concours de circonstances.

D’abord, mes derniers articles ont été écrits au début de la prétendue « pandémie ». Au milieu de cette nouvelle hystérie, je me suis rendu compte que j’avais bouclé la boucle dans ma vie professionnelle et personnelle. La première fois que j’ai pris conscience de faits politiques, c’était à la suite du 11 septembre, un besoin de rechercher la vérité entourant cet événement et de préserver les libertés constitutionnelles mises à mal par une classe dirigeante qui avait prévu depuis longtemps d’enfoncer le dernier clou dans le cercueil des États-Unis tels que nous les connaissions. À l’époque, je me sentais, comme beaucoup d’autres, pris entre une oligarchie totalitaire et un public terrifié. M’élever contre la guerre, la destruction de la Déclaration des droits et l’État policier vêtu de noir m’a valu d’être surveillé par l’État profond et, plus malheureusement, de voir le public américain pousser des cris d’orfraie. Mais ce n’était qu’un début.

Cinq ans plus tard, après cinq années de massacres en Afghanistan, trois ans de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en Irak, une surveillance active, la suspension de l’habeus corpus, la torture, une police militarisée, l’humiliation publique, et une définition élargie du « terrorisme », ceux d’entre nous qui ont réagi en 2001 ont trouvé des oreilles plus réceptives. Si seulement ces oreilles avaient été à l’écoute le 11 septembre, alors toutes les atrocités susmentionnées auraient pu être évitées.

En mars 2020, presque vingt ans plus tard, je me suis retrouvé dans la même situation. Cette fois, beaucoup de ceux qui avaient depuis suivi le programme, dénoncé le totalitarisme, les États policiers, les guerres, etc., s’en prenaient maintenant légitimement à ceux qui osaient remettre en question les gouvernements omniscients et (à leurs yeux) qui non seulement interdisaient les rassemblements, mais obligeaient les citoyens à se couvrir le visage en public, faisaient la guerre à leurs propres économies (en particulier les petites entreprises) et réglementaient même les funérailles, les services religieux et la possibilité pour des êtres humains souverains d’étreindre les membres de leur propre famille. Le gouvernement américain était mauvais, semblait-il, sauf dans les moments où il y avait un danger perçu de tomber malade. Au moment du COVID, ils en étaient tous venus à aimer Big Brother.

J’ai été particulièrement choqué par ceux d’entre ces « patriotes » qui avaient longtemps mis en garde contre « l’ennemi intérieur », eux-mêmes tellement imprégnés d’images religieuses prêchant constamment contre une société où le gouvernement réglementerait qui pourrait acheter et vendre en fonction du « crédit social » et de la conformité. Leur propre obsession de rester en vie à tout prix les a conduits à embrasser la chose même qu’ils avaient auparavant considérée comme un signe avant-coureur de la fin des temps et un péché impardonnable.

Néanmoins, au moment où la folie a commencé, j’ai écrit de nombreux articles s’opposant aux port de masques, aux « lockdowns », et aux attaques contre les libertés civiles et la liberté économique. J’ai été accueilli par des cris de « Vous voulez que les gens meurent ? » et d’autres questions tendancieuses qui étaient toujours sous-tendues par l’idée, propagandisée et psychiquement motivée, que ces politiques gouvernementales n’étaient pas l’affront à la vie et à la dignité humaines qu’elles sont en réalité.

Après avoir écrit pendant près de 20 ans, je me sentais plus découragé que je ne l’avais jamais été. Si un si grand nombre de mes lecteurs, qui avaient été à mes côtés dans la lutte pour mettre fin à la guerre en Syrie ainsi que dans de nombreuses autres batailles, étaient si facilement amenés non seulement à renoncer à leur propre liberté mais aussi à aider à la retirer par la force à leurs amis et aux membres de leur famille, alors je ne voyais pas l’intérêt de continuer à écrire des paroles qui, au mieux, seraient comprises correctement des années après les faits et, au pire, seraient utilisés pour me condamner en tant qu’indésirable devant le tribunal de l’opinion publique ou le tribunal gouvernemental.

Alors, j’ai tout simplement tout arrêté. J’ai complètement arrêté d’écrire. Peu après, j’ai cessé de lire les nouvelles. J’ai arrêté de débattre. J’ai cessé de parler des questions qui me tenaient tant à cœur autrefois. Je n’en ai même pas parlé. Je vous épargnerai tous les détails mais, au milieu de mon hiatus, ma vie personnelle s’est effondrée. Ma santé s’est dégradée. Les médias alternatifs ont perdu l’une de leurs voix les plus importantes lorsque mon ami, Alan Watt, est décédé subitement et j’ai remplacé la lecture des nouvelles que je dévorais par du whisky et de la vodka. J’ai décidé que la scène du film où ma bataille avec le système se déroulait publiquement était terminée et que je ne résisterais plus ouvertement.

Mais, pour une raison quelconque, je ne pouvais toujours pas céder. Ou plutôt, je n’en avais pas le droit. Je ne pouvais tout simplement pas retourner dans la matrice et me fondre dans la masse parce que la grande machine à manger s’est maintenant tournée pour se nourrir du peuple américain et, une fois de plus, il semble que je ne puisse pas éviter l’inévitable confrontation avec elle. Il reste à voir si moi ou la machine survivrons à cette confrontation mais, comme l’a dit Alexandre Soljenitsyne,

« Laissez le mensonge venir au monde, laissez-le même triompher. Mais pas à travers moi. »

Cher lecteur, nous ne pourrons peut-être pas empêcher ce qui vient, mais nous pouvons au moins entrer dans la prochaine vie avec la dignité de celui qui n’y a pas contribué, qui a refusé de se laisser consommer et coopter pour le servir. Qui a dit : « Tu peux dire tous les mensonges que tu veux, mais je ne les croirai pas et je ne les répéterai jamais. Vous pouvez me faire ce que vous voulez, mais vous ne pourrez jamais me forcer à le faire à quelqu’un d’autre. » ?

J’ai longtemps plaidé pour une résistance organisée. Je suppose que c’est encore le cas. Mais je ne me fais pas d’illusions sur le fait qu’une résistance massive est encore possible. C’est l’ère de l’individu. Car l’humanité choisira dans les prochains jours si oui ou non l’individu continuera à être habité par ce qui reste de notre culture. En fait, l’humanité décidera bientôt si l’individu continuera d’exister.

Nous avons atteint le point où la résistance individuelle est le seul espoir. Cette résistance ne viendra pas de la nécessité, mais de la détermination à vivre une vie de dignité et de liberté. Elle viendra lorsque nous aurons atteint le point où l’individu devra décider qu’il y a des choses pires que la mort et qu’il doit vivre en conséquence.

« Comme il suffisait de peu de choses pour lutter et vaincre – simplement ne pas s’accrocher à la vie ! Une vie qui était de toute façon déjà perdue », a écrit Soljenitsyne. Comme il avait raison.

Cela fait presque deux ans et sachez que je n’ai pas encore porté de masque. J’ai refusé à chaque fois qu’on me l’a demandé et surtout lorsqu’on a exigé que je le fasse. Dans certains cas, mon refus a déclenché une réaction en chaîne, d’autres autour de moi ont également enlevé le leur et bientôt la foule couverte de visages avait à nouveau des visages. D’autres fois, j’étais le seul.

J’ai refusé la « distance sociale », choisissant plutôt de rejoindre les foules de personnes non masquées au plus fort de l’hystérie, même lorsque le pouvoir gouvernemental déclarait qu’il était criminel de le faire.

Je n’ai jamais obéi aux ordres de « rester à la maison » et je n’ai jamais obéi aux « lockdowns ». Je ne me plierai tout simplement pas à cette tyrannie ni ne me soumettrai à la folie et à l’hystérie. Ni de la part de mon gouvernement, ni de la part de mes amis.

*
[Voir aussi : La clef de la libération]
*

La plupart d’entre nous ont toujours été très prudents dans les médias alternatifs. Nous avons toujours choisi nos mots pour exprimer les choses que nous voulions vraiment dire. Mais, au cours des deux dernières années, nous avons vu où mène le souci de sécurité et de prudence. Au lieu de cela, je vous encourage tous aujourd’hui à refuser de vous conformer à tous les niveaux.

Ne portez pas de masque. Ne prenez pas de distance sociale. Ne fermez pas votre entreprise. Ne prenez pas le vaccin. N’obéissez pas. Ne reculez pas devant votre gouvernement ou les membres de votre communauté qui veulent vous contraindre à la soumission. Résistez. L’existence de votre culture et de votre pays ne dépend pas de candidats présidentiels ou de leaders activistes. Votre existence même en tant qu’individu ne repose que sur vos épaules. Si vous ne préservez pas votre droit à vivre une vie librement individuelle, qui le fera ? Et qui devrait le faire ?

[Voir aussi :
Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »
Appel à la désobéissance civile
Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir
Un Maire Français ose dire NON et rentre en désobéissance civile : il n’appliquera pas la fermeture]

« Et comme nous avons brûlé dans les camps plus tard, en pensant : Qu’en aurait-il été si chaque agent de la Sécurité, lorsqu’il sortait la nuit pour procéder à une arrestation, avait été incertain de revenir vivant et avait dû dire au revoir à sa famille ? Ou si, pendant les périodes d’arrestations massives, comme par exemple à Leningrad, quand ils ont arrêté un quart de la ville entière, les gens n’étaient pas simplement restés enfermés dans leurs retranchements, pâlissant de terreur à chaque claquement de la porte du rez-de-chaussée et à chaque marche de l’escalier, mais avaient compris qu’ils n’avaient plus rien à perdre et avaient hardiment installé dans le hall du rez-de-chaussée une embuscade d’une demi-douzaine de personnes avec des haches, des marteaux, des tisonniers, ou tout ce qui leur tombait sous la main ? … Les Orgues auraient très vite souffert d’un manque d’officiers et de transport et, malgré toute la soif de Staline, la maudite machine se serait arrêtée ! Si…si…nous n’aimions pas assez la liberté. Et même plus – nous n’avions aucune conscience de la situation réelle ! Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui est arrivé par la suite ».

Soljenitsyne

Nous voici donc presque deux ans plus tard, et je tape à nouveau sur un clavier. J’écris.

Je ne me fais aucune illusion sur l’effet que peut avoir ce que j’écris. Je ne sais pas quand ni si j’écrirai un autre article. Vous ne devez plus vous attendre à des mises à jour quotidiennes sur la Syrie ou tout autre sujet. Il est possible que j’en écrive, mais rien n’est certain et je ne fais aucune promesse.

Le monde se dirige dans une voie très sombre. Les économies sont mises à mal. La liberté est écartelée. L’âme de l’humanité est en train d’être modifiée. Les lumières de l’humanité vacillent. Comme l’a dit Orwell « La morale à tirer de cette dangereuse situation est simple : ne laissez pas ce cauchemar se produire. Cela dépend de vous. »

J’ai passé deux semaines à essayer de rassembler la motivation et le courage nécessaires pour rédiger ce texte, tel qu’il est. Il s’agit peut-être du début d’une longue série d’articles ou d’un des rares articles que je suis en mesure d’écrire.

Je n’ai pas de but précis pour cet article, si ce n’est d’expliquer mon absence et d’encourager les quelques personnes qui restent proches à résister. Pour vous encourager tous à prononcer le mot le plus puissant dans toutes les langues qui existent dans ce monde… « Non. »

Brandon Turbeville


Brandon Turbeville – les archives de ses articles sont ici – est l’auteur de sept livres, Codex Alimentarius — The End of Health Freedom7 Real ConspiraciesFive Sense Solutions et Dispatches From a Dissident, volume 1 et volume 2The Road to Damascus: The Anglo-American Assault on Syria, et The Difference it Makes: 36 Reasons Why Hillary Clinton Should Never Be President. Turbeville a publié plus de 650 articles sur une grande variété de sujets dont la santé, l’économie, la corruption gouvernementale et les libertés civiles. L’émission de radio de Brandon Turbeville, Truth on The Tracks, peut être écoutée chaque lundi soir à 21h EST sur UCYTV. Son site est BrandonTurbeville.com 

Traduction Olinda/Arrêt sur info

Source : Activistpost




Mehdi Belhaj Kacem : « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place »

[Source : FranceSoir]

Philosophe autodidacte et reconnu, comme en témoignent ses publications dans les plus grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Fayard…), Mehdi Belhaj Kacem est venu nous accorder un « Entretien essentiel ».

[Voir aussi : Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne]



L’écrivain avait fait du bruit le mois dernier, en publiant un long texte de réponse à un édito pro-vaccin rédigé par le maire de sa commune. 

Au-delà de cette controverse, dont FranceSoir s’est fait le relais, ce libre penseur nous fait part de ses réflexions sur « le nouveau totalitarisme » en place, visant « sciemment à rendre les gens fous » et qui promeut le transhumanisme.

Pour autant, même s’il considère que nous vivons « la période la plus sombre de notre histoire », Mehdi Belhaj Kacem se dit optimiste, « car à long terme, ils ne peuvent pas gagner ».

Auteur(s): FranceSoir




Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »

[Source : anguillesousroche.com]

La Dre Astrid Stuckelberger, lanceuse d’alerte de l’Organisation mondiale de la santé, a déclaré publiquement que l’OMS avait été prise en charge par des entités hostiles telles que Bill Gates, qui perpétuent une « pandémie de mensonges » afin d’asservir l’humanité.

Dans une interview accordée à un journal norvégien, elle a déclaré que la pandémie avait été orchestrée par les élites mondiales afin d’instaurer un « nouvel ordre mondial » et de contrôler la population.

Freewestmedia.com rapporte : 

« C’était spécial : Des organisations telles que GAVI – l’Alliance mondiale pour la vaccination dirigée par Bill Gates – sont arrivées à l’OMS en 2006 avec des fonds. Depuis lors, l’OMS est devenue un nouveau type d’organisation internationale. GAVI a gagné de plus en plus d’influence, et une immunité totale, plus que les diplomates de l’ONU. GAVI peut faire exactement ce qu’elle veut, la police ne peut rien faire. »

L’OMS a fait l’objet d’un audit en 2014 et après cela, elle est devenue davantage une entreprise dont les pays sont les filiales.

« Quand je travaillais avec les relations internationales à l’OMS en 2013, j’ai vu que GAVI arrivait de plus en plus. GAVI a présenté un plan d’action mondial pour la vaccination 2012-2020. C’est-à-dire huit années où GAVI avait tout entre les mains. Bill Gates s’est occupé de la vaccination, il a pris le relais. »

[Voir aussi :
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

L’OMS exerce un pouvoir énorme sur les pays, a-t-elle ajouté. 

« Avant, tous les pays étaient libres. Mais maintenant, quand je fais des interviews dans le monde entier, je vois que chaque pays fait partie d’une ‘société OMS’. L’OMS n’est plus une organisation membre démocratique, comme l’ONU. Les différents gouvernements constituent la base de ‘l’entreprise’. Cela correspond logiquement à ce qui se passe actuellement, puisque les ‘entreprises’ veulent de l’argent, des affaires, et contrôler les gens. C’est comme l’esclavage. Les impôts que nous payons vont aux gouvernements qui sont soumis à « l’entreprise ». Sous les organisations multinationales, comme GAVI. »

Contrat entre GAVI, la Banque mondiale et l’OMS

« GAVI, la Banque mondiale et l’OMS ont conclu un contrat appelé IFFM : International Facility Finance for Immunization. Nos pays, nos populations, paient à l’OMS, à la Banque mondiale et à GAVI pour réaliser leurs programmes de vaccination. Ce qui signifie vacciner l’ensemble de la population. Quand vous voyez le plan de GAVI, vous voyez que de 2012 à 2020, ils ont eu cet objectif. Mais comme cela n’a pas fonctionné, ils ont dû créer une pandémie. »

Selon elle, la pandémie a très certainement été planifiée. 

« Vous pouvez le voir dans tous les documents. Tout le monde peut les analyser, ils sont au grand jour, sous nos yeux. »

[Voir aussi :
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010]

Elle a souligné les recherches du professeur John Ioannidis de l’université de Stanford, qui montrent que la mortalité en 2020 n’était pas plus élevée que les autres années. 

« C’est un mensonge, et il n’y a pas de pandémie. L’OMS accepte que la mortalité ne soit pas plus élevée, pourtant elle n’a pas déclaré que la ‘pandémie’ était terminée », a-t-elle ajouté.

[Voir aussi :
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
(ou sur Mondialisation.ca)
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents du Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Mme Stuckelberger a déclaré qu’elle ne se considérait pas comme une lanceuse d’alerte, mais comme une experte en santé publique, en médecine et en science. Mais les larbins de Gates lui ont déclaré la guerre. 

« Les universités de Genève et de Lausanne ont arrêté tous mes cours. Je suis en procès, ils m’attaquent. Ils veulent révoquer ma licence médicale, ils essaient de dire que je ne suis pas compétente, que je mens. Cela s’applique à tous les chercheurs qui disent cela, nous sommes maintenant plusieurs médecins à mettre en garde contre la mort après la vaccination. C’est dangereux pour les professionnels d’en parler. »

L’ancienne employée de l’OMS s’est moquée avec ironie du rôle des médias dans la diffusion des mensonges. 

« Les médias sont payés par les « entreprises » multinationales. Je les appelle les pirates internationaux. Et les médias contrôlent les gouvernements. Les médias doivent devenir indépendants, ils doivent aider la population à obtenir des informations libres. »

[Voir aussi :
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique]

Un certain nombre d’études et de médecins ont souligné qu’il existe un traitement pour le Covid-19.

Stuckelberger, qui vit à Genève, pense que la solution est de revenir à l’ancienne vie communautaire : 

« Nous devons organiser un système social parallèle. Nous devons revenir à l’âge des Vikings. C’est arrivé en Suisse, beaucoup de choses ici maintenant ont des racines dans l’époque des Vikings. J’y pense beaucoup – en Norvège, on peut revenir à l’agriculture. »




Castex, Véran et Blanquer visés par une nouvelle plainte à la Cour de justice de la République

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Nous avions rapporté à la mi-novembre la plainte des associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) contre X, notamment les médias grand public et leurs directeurs de publication. L’objet : un traitement médiatique partial qui se traduit par une diffusion en continu d’une information déloyale et biaisée, conduisant à l’exercice d’une pression psychologique visant à soumettre le public à un essai clinique de thérapie génique, qui présente des risques pour la santé.

Une nouvelle fois, BonSens s’associe à l’AIMSIB dans le cadre d’une plainte contre Jean Castex, Premier ministre, Olivier Véran, ministre de la Santé, et Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, pour des faits d’abus de faiblesse et d’ignorance, d’extorsion de consentement et de tentative d’extorsion de consentement, d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, d’escroquerie et de tentative d’escroquerie en bande organisée, de tromperie aggravée et de tentative de tromperie aggravée en bande organisée, de génocide.

En premier lieu, les associations estiment que nous vivons actuellement, non pas une crise sanitaire, mais une crise mondiale financière sur fond d’idéologie mondialiste et néomalthusienne. Une crise dont les membres du gouvernement se sont saisis pour inciter la population à se faire injecter des produits pharmaceutiques expérimentaux appelés à tort « vaccins » au moyen de mesures coercitives sans précédent.

Il leur est reproché les publicités mensongères à propos de ces produits expérimentaux sans jamais informer les Français sur les risques encourus, sur le fait qu’il s’agisse d’un essai clinique, sur les décès survenus en France et à l’international.

À l’appui de leur dossier de plainte, de nombreux éléments sont apportés pour démontrer les liens d’intérêt financier entre les grands médias, les GAFAM, l’OMS, GAVI, différentes fondations, les intervenants de plateau, les agences de conseil sélectionnées par le gouvernement et les laboratoires pharmaceutiques commercialisant les « thérapies géniques expérimentales » (condamnés à de multiples reprises pour corruption de chefs d’État, fausse publicité, atteinte au principe du consentement libre et éclairé, blessures et homicides).

BonSens et AIMSIB concluent qu’il faut donc évoquer ici une collusion se manifestant par un ensemble d’actes depuis janvier 2020 qui démontrent une volonté d’atteinte à la vie, à l’intégrité physique et psychique d’un grand nombre de citoyens français.

Pour étayer leur argumentaire, le dossier de 135 pages comporte une avalanche de faits et de documents notamment sur les mécanismes de torture psychologique et de manipulation de masse, le recours à des tests PCR pour créer une pandémie de tests positifs et de faux malades, l’exploitation d’un taux d’incidence fixé à un niveau de cas extrêmement bas pour justifier la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, le faible taux d’hospitalisation Covid pour l’année 2020 contrastant avec le discours de peur tenu par Olivier Véran, le nombre de morts causés par le Covid augmentés artificiellement, l’interdiction de traitements efficaces mondialement connus au motif qu’il n’y aurait « aucune preuve scientifique » alors qu’il en existe une abondance, la dépendance des médias français vis-à-vis des géants financiers américains empêchant les citoyens de se former un consentement libre et éclairé, les violences, menaces, discriminations et incitations à la haine à l’endroit des personnes qui ne se soumettent pas à l’expérience scientifique en cours, ou encore le haut niveau d’effets secondaires et de décès liés à la vaccination.

Au regard de ces éléments, des premiers décès survenus au moment de la vaccination de masse, des multiples alertes d’experts mondiaux, les associations jugent que l’éthique médicale et le principe de précaution auraient dû pousser à la cessation immédiate de cette expérimentation.

Elles accusent donc les membres du gouvernement de persister dans une voie « meurtrière » et de dramatiser aujourd’hui une cinquième vague qui n’existe pas afin de contraindre les Français à courir vers une troisième injection, adolescents compris, qui, elles soulignent, s’ils sont loin d’être la cible du Covid, sont, en revanche, fortement susceptibles de développer des effets secondaires.

S’appuyant sur les définitions juridiques, elles estiment que les éléments constitutifs d’un génocide sont réunis, posant la question : « Quelle idéologie ou raison financière peut pousser un gouvernement à terroriser et sacrifier ainsi sa population ? »

Pour l’ensemble de ces raisons, BonSens et AIMSIB ont choisi de déposer une plainte auprès de la Commission des Requêtes.

Retrouvez ici l’intégralité de la plainte (PDF) [135 pages]

Auteur(s): FranceSoir




Pourquoi changer de mode de tricherie quand il fonctionne et que les Français gobent encore le mensonge ? Toujours pas de 5e vague en France !

Par Alain Tortosa

Les données ci-dessus sont officielles et extraites du réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=bulletin&option=calendrier)) ou Santé Publique France.(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=Covid_hospit_clage10.hosp&s=2021-12-15&t=a01&view=map1))
J’ai représenté 4 colonnes, une pour chacun des pics du taux d’incidence des vagues 2 à 5.

Les constats sont les suivants :

  • Il n’y a eu aucune épidémie de Covid selon le réseau Sentinelles pour les « vagues » 2 à 5.
  • Le taux d’incidence en semaine 49 pour Sentinelles est de 36 pour 100 000 habitants alors que le seuil épidémique est fixé à 179.
    Dans le même temps, le taux d’incidence retenu par le gouvernement est de 508 soit 14 fois plus que le taux constaté par les médecins de Sentinelles.
  • Le gouvernement utilise le taux d’incidence de positifs (non malades) pour déclarer qu’il y a une épidémie. Si cet indicateur était valide et pertinent, il devrait être reproductif et refléter la situation épidémique réelle du pays.
    Le taux d’incidence de SPF actuel est proche du taux du pic de la vague 2.
    À taux d’incidences SFP identiques, Sentinelles était quant à lui à 82 pour 100 000 pour la vague 2 tandis qu’il est aujourd’hui de 32 pour 100 000. Pourquoi ?
  • Toujours à taux identiques le nombre de personnes hospitalisées, en soins critiques ou décédées étaient largement plus importants au pic de la vague 2 qu’aujourd’hui. Pourquoi ?
    Preuve en est que le taux d’incidence SPF n’a aucune valeur prédictive.
  • Le pourcentage de patients Covid parmi les infections respiratoires aiguës.
    Nous sommes officiellement en pleine vague Covid et pourtant le Covid ne représente que 10 % des infections respiratoires.
    90 % des personnes qui souffrent d’états grippaux n’ont PAS le Covid ! Il est intéressant de noter que lors du pic de la vague 2 (taux incidence identique à aujourd’hui) le Covid représentait un tiers des infections respiratoires versus 10 % aujourd’hui, non seulement il n’y a pas d’épidémie de Covid en France, mais de plus celui-ci est marginal dans les infections respiratoires.
  • Intéressons-nous maintenant au nombre de tests.
    Pourquoi ? En théorie les données ne devraient pas être impactées par les tests. Cependant SPF ne comptabilise pas les malades qui souffrent du Covid, mais les personnes positives au Covid…
    Pour arriver à un taux d’incidence identique à la vague 2, SPF a provoqué 5 millions de tests dans la semaine versus 2 millions. Plus de deux fois plus de tests, confirmant bien que le taux de 508 est bien le résultat d’une explosion du nombre de tests et non du nombre de malades.
  • Les données hospitalières.
    Beaucoup moins d’hospitalisations, de soins critiques et de décès actuellement qu’en vague 2 ! Si on regarde ces données en fonction du nombre de tests alors nous avons un plus grand éclairage.
    Je vous rappelle que SPF n’est pas en capacité de distinguer un patient hospitalisé pour Covid d’un patient positif au Covid… donc plus il y a de positifs asymptomatiques et plus le nombre de personnes hospitalisées va augmenter artificiellement.
    1,13 % des personnes testées étaient hospitalisées au pic de la vague 2 versus 0,27 % aujourd’hui !
    Cela prouve une fois de plus que le taux d’incidence est trompeur et que la situation n’a rien de dramatique
    Quant aux soins critiques, 0,17 % en vague 2 et 0,06 % en vague 5.
    99,73 % des personnes testées ne sont pas hospitalisées et 99,94 % des personnes testées ne vont pas en réanimation…
  • Les hôpitaux saturés ?
    Le matraquage médiatique est sans faille. Les chefs de service corrompus se succèdent pour parler de leurs services de réanimation saturés par le Covid, oubliant de dire que les données fournies ne concernent pas les personnes en réanimation, mais les personnes positives en soin critiques.
    On laisse entendre ou on dit carrément que 50 % des réanimations sont prises par le Covid (5000 lits de réanimation environ en France) alors qu’il y a environ 17 000 lits de soins critiques.
    Nous sommes donc à ce jour officiellement à 17 % d’occupation des lits de soins critiques par des patients ayant un test positif au Covid.

Tout ceci nous prouve que l’actuelle vague 5 est totalement mensongère.
Le taux d’incidence est artificiellement dopé par une explosion de tests et même malgré cela peu d’hospitalisations et peu de soins critiques.
Les naïfs diront que c’est grâce à la vaccination et les autres que c’est grâce à l’immunité acquise par la population et les variants de moins en moins dangereux.

Le mensonge peut continuer dans une indifférence générale.

[Note de Joseph Stroberg : on nous sert le même genre d’escroquerie numérique au Québec pour faire croire également à l’existence d’une cinquième vague, à la dangerosité d’un variant Omicron ou encore au caractère urgent et indispensable d’une troisième dose pseudo-vaccinale.
Dans l’article Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires, le Canada apparaît même pire que la France en ce qui concerne les mesures répressives qui en découlent. Cependant, l’Allemagne qui semble avoir soudainement oublié son passé nazi est actuellement en tête de la course au totalitarisme.]

Merci

Alain Tortosa.
https://7milliards.fr/tortosa20211217-s49-mensonge-vague5.pdf





Crise des réfugiés en Biélorussie : les accusations contre Loukachenko à l’épreuve des faits réels

[Source : Kla.tv]

Depuis juillet 2021, des migrants tentent d’entrer dans l’Union européenne en passant par la Biélorussie. Cependant, le 2 septembre, le gouvernement polonais a fermé sa frontière avec la Biélorussie. Environ 2 100 réfugiés se sont retrouvés bloqués à la frontière. Les médias et les politiques occidentaux ont parlé de « crise humanitaire » et ont notamment accusé Alexandre Loukachenko, le chef d’État de la Biélorussie, d’utiliser « la migration comme arme » contre l’UE. Mais qu’en est-il de ces accusations répétées comme un moulin à prières par les médias occidentaux ? Kla.TV a soumis ces accusations à une vérification des faits. 



Les accusations véhémentes sont portées contre Alexandre Loukachenko, le chef d’Etat de la Biélorussie.

L’UE accuse Loukachenko d’utiliser « la migration comme arme ».(([1] EU-Außenminister zu Belarus: „Migration als Waffe“
https://www.tagesschau.de/ausland/europa/belarus-eu-aussenminister-105.html))

Le ministre allemand de l’Intérieur, Horst Seehofer, a accusé Loukachenko de « mener une guerre hybride ».(([2] Politische Reaktionen und Folgen
https://de.wikipedia.org/wiki/Migrationskrise_an_der_Grenze_zwischen_Belarus_und_der_Europ%C3%A4ischen_Union#Politische_Reaktionen_und_Folgen))
[Guerre hybride= mélange de tactiques régulières évidentes et irrégulières dissimulées pour déstabiliser un pays ciblé].

La radio et télévision suisse SRF a titré : « Le chantage de Loukachenko avec les migrants n’a pas fonctionné ».(([3] „Lukaschenkos Erpressung mit Migranten hat nicht funktioniert“
https://www.srf.ch/news/international/konflikt-belarus-eu-lukaschenkos-erpressung-mit-migranten-hat-nicht-funktioniert))

Le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas a qualifié Loukachenko de « chef d’un cercle étatique de passeurs » et préconise de nouvelles sanctions « contre le dictateur de la Biélorussie». (([2] Politische Reaktionen und Folgen
https://de.wikipedia.org/wiki/Migrationskrise_an_der_Grenze_zwischen_Belarus_und_der_Europ%C3%A4ischen_Union#Politische_Reaktionen_und_Folgen))

Le ministre de l’Intérieur du Brandebourg, Michael Stübgen, affirme que Loukachenko accepte à bon compte que des personnes meurent de froid et de faim sur leur route.

Mais qu’en est-il de ces accusations répétées comme un moulin à prières par les médias occidentaux, et qu’est-ce qui se cache derrière ?

Kla.TV a vérifié les faits de ces accusations.

Voyons maintenant les choses dans l’ordre. Que s’est-il passé ?

Depuis juillet 2021, des migrants tentent d’entrer dans l’Union européenne en passant par le territoire de la Biélorussie – c’est également appelé « route de la Biélorussie ». Il s’agit en majorité de réfugiés en provenance du Proche et du Moyen-Orient, comme l’Irak, la Syrie, le Yémen, le Liban ou l’Afghanistan. On estime à environ 10 000 le nombre de réfugiés qui ont tenté d’entrer dans l’UE via la Biélorussie cette année.(([4] Die mediale Desinformation über die Flüchtlingskrise an der weißrussischen Grenze
https://www.anti-spiegel.ru/2021/lukaschenko-droht-im-falle-neuer-eu-sanktionen-den-gashahn-zuzudrehen/
&
https://www.anti-spiegel.ru/2021/die-mediale-desinformation-ueber-die-fluechtlingskrise-an-der-weissrussischen-grenze/))

Le 2 septembre, le gouvernement polonais a déclaré l’état d’urgence dans la zone frontalière avec la Biélorussie. Une clôture provisoire constituée de rouleaux de fil de fer barbelé a été érigée.

• L’accès aux organisations de défense des droits de l’homme, aux journalistes et autres a été interdit.
• Environ 15 000 à 20 000 soldats polonais équipés de chars sécurisent la frontière vers la Biélorussie.
• Environ 2 100 réfugiés qui ont continué à essayer d’entrer dans l’UE sont restés bloqués à la frontière.
• Les soldats polonais ont utilisé des grenades sonores et aveuglantes ainsi que des canons à eau pour les empêcher d’entrer.(([5] Migranten an der weißrussisch-polnischen Grenze – Lage vor Ort (Wasserwerfer gegen Migranten)
https://www.youtube.com/watch?v=dNMJIv50QtY&t=14112s))

Ce sont les autorités biélorusses qui ont tout mis en œuvre pour protéger les réfugiés bloqués :

• Des tentes ont été montées.
• Du bois de chauffage a été livré.
• Des enfants et des femmes ont reçu des repas chauds.
• Des médecins ont été dépêchés sur place, etc.

Le 18 novembre, tous les réfugiés ont quitté volontairement le camp de fortune installé à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne et ont été transportés dans un centre logistique en Biélorussie en raison de la dégradation des conditions météorologiques qui mettaient leur vie en danger.(([6] Belarus: Migranten aus Nahost in Logistikzentrum untergebracht
https://snanews.de/20211119/belarus-migranten-in-logistikzentrum-4384293.html)) Ils y ont reçu des repas chauds, des vêtements chauds et des produits de première nécessité, ont pu se laver et recevoir des soins médicaux. Ainsi, l’une des accusations, selon laquelle Loukachenko aurait laissé les réfugiés « mourir de froid et de faim », est réfutée de manière avérée.

Passons maintenant aux autres accusations portées contre Loukachenko :

  1. Est-ce Loukachenko qui a incité les réfugiés à vouloir entrer dans l’UE via la Biélorussie ?

Tout d’abord, il faut noter que Loukachenko n’a absolument rien à voir avec le fait que les migrants veulent venir dans l’UE. L’Afghanistan, l’Irak, la Syrie et d’autres pays du Proche et du Moyen-Orient ont vécu des guerres menées par les États-Unis et l’OTAN, ce qui a entraîné des destructions sociales, économiques et politiques. Même le magazine d’information « Der Spiegel » n’a pas pu s’empêcher de citer Loukachenko :

« Les gens n’y auraient plus de moyens de subsistance et utiliseraient désormais différentes routes vers l’Europe pour se construire un avenir ».(([7] https://www.spiegel.de/ausland/belarus-lukaschenko-sieht-schuld-fuer-migrationskrise-bei-schleusernetzwerken-a-a91e43f3-361c-4f73-b557-bfd375d8abca))

Les migrants invoquent l’ancienne invitation de la chancelière Merkel et savent très bien que les prestations sociales accordées aux réfugiés dans les pays de l’UE sont plusieurs fois supérieures à ce qu’un bon travailleur pourrait jamais gagner dans son pays d’origine.

Il y a une raison simple pour laquelle de plus en plus de réfugiés tentent d’entrer dans l’UE via la Biélorussie. Les voyageurs de nombreux pays d’origine n’ont pas besoin de visa pour la Biélorussie. Ils peuvent également demander un visa touristique qui serait ensuite remis par un consulat biélorusse dans le cadre de procédures et de délais internationaux.(([8] Lukaschenko: „Sie haben ein Loch bei uns entdeckt.“
https://www.anti-spiegel.ru/2021/die-fluechtlinge-zeigen-was-die-eu-und-all-ihre-werte-wert-sind/))
Cela ne date pas de cette année. Maintenant, les organisations internationales de passeurs – les mêmes qui opèrent sur d’autres routes- ont commencé à exploiter la brèche via la Biélorussie.

La Biélorussie s’en tient strictement aux bases juridiques internationales.Selon ses propres indications, elle a renvoyé dans leur pays d’origine environ 5 000 réfugiés entrés illégalement, et ce,de juin 2021 jusqu’à novembre 2021.(([9] Lukaschenko erzählt über sein Telefonat mit Merkel im Detail
https://www.youtube.com/watch?v=Zab9bEsZfFQ&t=618s)) Cela n’aurait sans doute pas été sensé si Loukachenko avait été le « chef d’un cercle de passeurs étatiques ».

  1. Est-ce que Loukachenko a utilisé les réfugiés comme « arme » pour déstabiliser l’UE ?

Il est facile de répondre à cette question si on regarde le nombre de réfugiés qui entrent dans l’UE par d’autres biais.

Lorsqu’en 2015, environ 1,5 million de réfugiés ont afflué dans l’UE, on disait qu’ils étaient un enrichissement. L’Allemagne à elle seule a accueilli 131 000 réfugiés de janvier à septembre 2021 sans que les médias et les politiques ne parlent de déstabilisation. Par conséquent, comment 10 000 réfugiés pourraient-ils soudainement devenir une « arme » et déstabiliser l’UE, simplement parce qu’ils sont passés par la Biélorussie ? (([5] Migranten an der weißrussisch-polnischen Grenze – Lage vor Ort (Wasserwerfer gegen Migranten)
https://www.youtube.com/watch?v=dNMJIv50QtY&t=14112s))

  1. Sur l’accusation de « guerre hybride »

En tant que voix dissidente, écoutez Loukachenko lui-mêmes’exprimer à propos de l’accusation de « guerre hybride » :

« Les Polonais, c’est-à-dire les dirigeants de l’Etat, exercent une pression sur l’Union européenne en annonçant que nous menons ici une attaque hybride contre l’UE. Nous savons que tout cela est absurde et nous l’avons dit maintes fois.Vous avez invité les prétendus migrants chez vous, alors accueillez-les. Vous les avez appelés chez vous, vous avez ruiné ces pays. Vous êtes responsables du fait que les gens fuient la guerre dans ces pays pour venir en Occident et vous devez vous en préoccuper. Et j’ai maintes fois précisé qu’il s’agit d’une bande internationale qui de là-bas envoie les gens et pas seulement par le biais de la Biélorussie. Écoutez, il y a beaucoup plus de gens qui entrent dans l’Union européenne par la Méditerranée. Ils viennent en masse, et tout cela est arrangé par des personnes qui organisent et rassemblent ces gens dans leurs pays. Ils financent même en partie ces personnes et les font ensuite monter dans l’avion pour venir ici et profitent de l’exemption de visa qui existe chez nous. Là aussi, ils sont accueillis par des personnes désignées. Celles-ci les amènent ensuite à la frontière et les font passer. Et c’est là, chez vous, en Pologne, en Lituanie et dans d’autres pays, que se trouvent les tout derniers bandits qui rassemblent les migrants, et qui les emmènent ensuite en Allemagne. […] Et je l’ai déjà dit ouvertement, vous avez déclenché une guerre hybride contre nous, vous menez contre nous une guerre de sanctions et maintenant vous voulez en plus qu’on vous protège? »

Toutes les accusations contre Loukachenko, soutenues de manière répétitive par les médias et la politique, ne peuvent guère résister à une vérification indépendante des faits. Il faut plutôt en conclure que la crise humanitaire à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne est instrumentalisée par les médias et les politiciens occidentaux afin de pousser Loukachenko dans ses derniers retranchements :

  • médiatiquement, pour justifier des tentatives de renversement contre Loukachenko ;
  • militairement, pour justifier des armements militaires à la frontière avec la Biélorussie ;
  • économiquement, pour justifier et étendre les sanctions contre la Biélorussie.

Il est un chef d’Etat indésirable qui n’est pas prêt de
se soumettre aux diktats du FMI, de l’OMS,
ni de se soumettre aux valeurs occidentales, etc.
et qui gère par exemple sa propre politique contre le covid-19. Par conséquent
son pays doit être déstabilisé jusqu’au renversement de son gouvernement. (www.kla.tv/20879)

L’exemple de Loukachenko révèle comment les médias et les politiciens occidentaux parviennent toujours à faire porter le chapeau aux autres pour des actes qu’ils commettent eux-mêmes : déstabiliser un pays indésirable à l’aide d’une guerre hybride.

Afin de se faire une idée impartiale de Loukachenko, il est recommandé de visionner la vidéo suivante, dans laquelle Loukachenko raconte son entretien téléphonique avec Angela Merkel :

de dd.

Sources / Liens :




Le Général Flynn crée son site Internet et expose son plan pour sauver l’Amérique et le monde

[Source : generalflynn.com]



[Ndlr : les précédentes tentatives pour sauver un pays de la situation actuelle, que ce soit en France, aux États-Unis ou ailleurs dans le monde, ont pour l’instant toutes échoué. Sans pour autant nous nourrir de faux espoirs, nous pouvons néanmoins donner sa chance à ce nouveau coureur et le soutenir d’une manière ou d’une autre, selon nos moyens.]

Avec plus de 33 ans de service dans l’armée américaine et actuel président de America’s Future [Le futur de l’Amérique], la carrière militaire du général Flynn a culminé en tant que directeur de la Defense Intelligence Agency (DIA) [Les services secrets de l’Armée des USA] et en tant qu’officier de renseignement militaire le plus haut placé de la nation.

Après avoir pris sa retraite de l’armée en 2014 et en tant que citoyen privé, le général Flynn a occupé divers postes dans les domaines des affaires, de l’éducation et des organisations à but non lucratif, notamment en soutenant des organisations d’anciens combattants dans tout le pays, ce qu’il continue de faire aujourd’hui.

Dans le cadre de sa fonction publique, il a été sélectionné et a servi en tant que conseiller en politique étrangère de plusieurs candidats républicains à la présidence des États-Unis (2016), puis a été nommé et a servi en tant que conseiller à la sécurité nationale du 45e président des États-Unis d’Amérique [Donald Trump].

Le général Flynn est un auteur de best-sellers nationaux, il est titulaire de trois maîtrises et a reçu de nombreux prix militaires, de renseignement et d’application de la loi.

Il est marié, a deux fils et a plusieurs petits-enfants.

En novembre, le général Michael Flynn rejoint Alex Jones et Infowars pour présenter un plan d’urgence pour identifier et traduire en justice les mondialistes retranchés dans le gouvernement américain.

Au cours de cette interview exclusive, il explique comment l’Amérique est attaquée par de mauvais acteurs à travers le monde, aidés par des traîtres à l’intérieur du pays.

Flynn souligne également l’importance pour les Américains informés d’inspirer collectivement une prise de conscience massive de l’opération mondialiste [nommée notamment Grand Reset ou encore Nouvel Ordre Mondial] via le Grand Réveil.

Vidéo en anglais






Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ?

[Source : La Pilule Rouge]






Les principaux réseaux sociaux sont tous partenaires de services de renseignement

[Source : voltairenet.org]

Facebook (Meta) travaille depuis sa création avec les services de renseignement états-uniens qui archivent la totalité de ses données privées.

WeChat et QQ (Tencent) sont transparents pour les services de renseignement chinois, mais il ne semble pas qu’ils archivent toutes leurs données.

Moscou était très en retard sur les États-Unis (Five eyes) et la Chine en matière de surveillance de masse. Mais VKontakte est désormais transparent pour les services de renseignement russes via le groupe gazier public, Gazprom, qui en devient actionnaire.

Il n’est donc plus possible d’échanger sur Internet sans être espionné. Le seul choix des internautes est celui de la puissance à qui ils font le plus confiance.


[Source : CBS News]

[Article du 11 juillet 2011]

Il n’est pas nécessaire de porter un chapeau en aluminium pour croire que la CIA utilise Facebook, Twitter, Google (GOOG) et d’autres médias sociaux pour espionner les gens. En effet, la CIA publie une liste utile de communiqués de presse sur toutes les entreprises de médias sociaux qu’elle parraine, via sa branche d’investissement technologique In-Q-Tel.

Les entreprises qui reçoivent l’argent d’In-Q-Tel n’hésitent pas non plus à rendre public ce qu’elles font. Tout récemment, GeoSemble a annoncé une mise à jour de son produit GeoXray, qui surveille les discussions sur les médias sociaux en fonction de la localisation :

  • Cette capacité profite aux utilisateurs professionnels qui peuvent surveiller la concurrence, l’activité de la chaîne d’approvisionnement ou les opportunités commerciales dans un comté, un quartier ou une région frontalière.
  • Pour les gouvernements aux niveaux municipal, local et fédéral, elle offre la possibilité de visualiser l’activité dans une zone donnée, filtrée par sujet, heure et lieu.
  • … nous pouvons fournir automatiquement et avec précision toutes les informations disponibles sur ce lieu à partir de sites Web, de blogs, de tweets et d’autres médias sociaux…

La plus grande base de données au monde sur les personnes

L’une des principales menaces pour la vie privée vient des publicitaires, qui veulent suivre tout ce que les consommateurs font sur le web et fouiller leurs comptes en ligne à la recherche d’informations personnelles. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre que la CIA et le plus grand réseau mondial d’agences de publicité, WPP (WPPGY), collaborent à une entreprise d’extraction de données sur les médias sociaux depuis au moins janvier 2009. WPP affirme actuellement posséder la plus grande base de données au monde de profils individuels uniques — y compris des historiques démographiques, financiers, d’achat et géographiques. L’unité Visible Technologies de WPP a reçu un investissement d’In-Q-Tel à l’automne 2009. Visible Technologies développe des outils permettant d’analyser les réseaux de médias sociaux tels que Twitter et Facebook.

WPP a également financé Omniture, une agence de ROI marketing, à hauteur de 25 millions de dollars en janvier 2009. L’unité Visual Sciences d’Omniture a également reçu des fonds d’In-Q-Tel. La CIA a renoué avec Visible Technologies dans le cadre d’un autre cycle de financement de 6 millions de dollars en mars 2011.

Parmi les autres entreprises qui exploitent des données Web et qui ont bénéficié d’investissements d’In-Q-Tel, citons :

  • Fetch Technologues : « Les agents logiciels personnalisés de Fetch naviguent sur les sites web pour fournir instantanément des données significatives, utiles et fiables, et s’intègrent facilement au système de gestion des données existant d’une entreprise pour une analyse immédiate. »
  • Cleversafe : Une société de stockage en nuage qui, comme le note Wired, est « ‘idéale pour stocker des données critiques en répondant aux principes fondamentaux de confidentialité, d’intégrité et de disponibilité des données. » (Incidemment, ces principes désignent également la CIA). »
  • Cloudera : fournit des logiciels de stockage de données qui permettent aux gouvernements de traiter et d’analyser facilement de grandes quantités d’informations.

Google et la CIA : de vieux amis

Voyez-vous déjà une tendance ? Google (GOOG) est partenaire de la CIA depuis 2004, date à laquelle l’entreprise a racheté Keyhole, une entreprise de technologie cartographique qui est finalement devenue Google Earth. En 2010, Google et In-Q-Tel ont investi conjointement dans une société appelée Recorded Future, qui a pour objectif, à la manière de Minority Report, de créer un « moteur d’analyse temporelle » qui parcourt le web et crée des courbes permettant de prédire la direction que prendront les événements.

Google aide déjà le gouvernement à écrire et à réécrire l’histoire. Voici, tirées de son rapport de transparence, quelques statistiques sur la quantité d’informations qu’il a soit données au gouvernement, soit supprimées du Web en fonction des demandes des agences américaines :

  • 4 601 demandes d’agences gouvernementales américaines concernant des « données utilisateur » :
    Google s’est conformé aux demandes gouvernementales concernant les données des utilisateurs dans 94 % des cas.
  • 1 421 demandes de suppression de contenu :
    Google s’est conformé aux demandes de suppression de contenu dans 87 % des cas.
  • 15 demandes émanaient de « l’exécutif, de la police, etc. ».
    1 était une demande de sécurité nationale.



Covid : un cardinal accuse Soros et Gates de vouloir instaurer un « contrôle total » de la population

[Source : RT France via anguillesousroche.com]

Le cardinal allemand Gerhard Ludwig Mueller a accusé « l’élite financière » – citant Soros, Gates et Schwab – d’instrumentaliser la crise du Covid-19 pour instaurer un « contrôle total » des populations. La presse allemande dénonce son « complotisme ».


L’ancien évêque de Ratisbonne – aujourd’hui prince de l’Eglise catholique – Gerhard Ludwig Mueller a tiré à boulets rouges sur une certaine « élite financière », qui profite selon lui de la crise du Covid-19 pour « faire avancer son agenda ».

« Les gens qui sont assis sur le trône de leur richesse », voient une « opportunité de faire avancer leur programme », a accusé l’homme d’église dans un extrait d’entretien (non encore diffusé en intégralité) publié sur les réseaux sociaux le 6 décembre par l’Institut Saint-Boniface, un site traditionnaliste autrichien.

Le septuagénaire a estimé que le Covid-19 a semé le « chaos » et des « troubles » non seulement en raison du « manque de connaissances » sur la transmissibilité et la dangerosité du virus lui-même, mais aussi de la volonté des super-riches de « saisir une opportunité de mettre les gens au pas ». Les élites financières mondiales instrumentaliseraient selon lui désormais la pandémie et les mesures restrictives adoptées par les gouvernements afin de lutter contre la propagation du virus pour soumettre les gens à un « contrôle total » et mettre en place un « Etat de surveillance » mondial, a-t-il ajouté.

Parmi les personnes prétendument à l’origine de ce projet, les milliardaires Bill Gates et George Soros ainsi que le président du Forum économique de Davos, Klaus Schwab, ont été cités par le cardinal. « Cela n’a rien à voir avec la démocratie », s’est encore insurgé le prélat, pour qui les élites financières voudraient créer un « homme nouveau », qui serait à leur « image et à leur ressemblance ».

La presse allemande dénonce des propos « complotistes »

D’abord passés relativement inaperçus dans le monde germanophone, les propos du cardinal ont été depuis relayés par la presse, et taxés de « complotisme ». Interrogé par l’agence DPA, le politologue allemand Jan Rathje a estimé que ces propos relevaient non seulement de la théorie du complot, mais aussi possiblement de l’antisémitisme, George Soros étant de confession juive.

L’agence de presse précise que contacté par ses soins, le Vatican n’a pour l’instant pas fait de commentaire. Pas plus que la Conférence épiscopale allemande, qui a simplement réitéré son appel à la vaccination.

Contacté par DPA, le cardinal a pour sa part confirmé ses propos et affirmé qu’il rejetait la logique consistant à classer « automatiquement du mauvais côté » ceux qui critiquent l’« élite financière ». Il en a profité pour tancer une nouvelle fois « l’influence illégitime des élites super-riches dans divers pays ».

Gerhard Ludwig Mueller a été entre 2012 et 2017 préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, un organe essentiel de la curie romaine qui a pour mission de « faire connaître et garder la foi », avant d’être démis de ses fonctions par le pape François.

Lire aussi : Un archevêque de haut rang : Ceux qui combattent le « Nouvel Ordre Mondial » sont « protégés par Dieu »




USA : Un hôpital de Virginie est reconnu coupable d’outrage à magistrat et doit payer une amende de 10 000$ par jour après avoir refusé de donner de l’Ivermectine à un patient.

[Source : resistance-mondiale.com]

Chris Davies et son père Donald se battent depuis quelques semaines pour que leur mère et leur épouse Kathy Davies aient le droit d’essayer le médicament Ivermectin comme traitement du COVID-19 à l’hôpital Fauquier Health de Warrenton, en Virginie. Mais l’hôpital – où Chris travaille comme technologue en radiologie – avait fait subir à sa mère une série d’obstacles juridiques apparemment conçus pour l’empêcher de recevoir le traitement.

Lundi 13 décembre, la 20e Cour judiciaire de Virginie a déclaré Fauquier Health coupable d’outrage au tribunal pour avoir refusé de se conformer à des ordonnances antérieures et a décidé qu’à 21 heures ce soir, heure de l’Est, Kathy Davies devait recevoir la dose d’Ivermectin prescrite par un médecin engagé par la famille Davies. En outre, si l’hôpital ne s’y conformait pas, l’État avait le droit de lui infliger une amende de 10 000 dollars par jour. Cette ordonnance aurait été appliquée rétroactivement à partir du 9 décembre. Le tribunal a également ordonné que la famille Davies bénéficie d’une escorte policière si nécessaire pour administrer le médicament à leur mère.

Mais le tribunal a également déclaré que l’hôpital avait la possibilité de se débarrasser de l’accusation d’outrage en se conformant à l’ordonnance. L’hôpital aurait maintenant choisi de se conformer à cette ordonnance après une semaine d’argumentation sur les raisons pour lesquelles il ne pouvait pas autoriser l’administration du médicament à Kathy Davies comme le demandait la famille.

Cette histoire offre l’espoir d’un répit juridique pour de nombreuses familles qui se sont retrouvées dans des situations similaires en essayant de lutter contre un établissement médical sans doute opposé à tout traitement non soutenu par la FDA pour combattre le COVID-19.

La saga des Davies a commencé en octobre lorsque la mère de Chris Davies a été admise à l’hôpital avec le COVID-19. Elle a été placée sous respirateur dans l’unité de soins intensifs (USI) le 3 novembre. Donald devait être son mandataire médical et, après consultation de Chris et de ses frères et sœurs, il souhaitait que les médecins administrent à Kathy de l’Ivermectin dans l’espoir d’obtenir des résultats contre le COVID-19.

Les médecins et l’hôpital ont refusé cette demande et ont été catégoriques sur le fait qu’ils n’administreraient pas le médicament malgré les souhaits de la famille. Le 3 décembre, la famille Davies a informé Fauquier Health qu’elle engageait des avocats au nom de Kathy et qu’elle intentait un procès.

“Priez pour que nous ayons un juge compatissant et que le procès se déroule sans heurts”, a envoyé Chris aux amis qui soutiennent sa mère le 5 décembre. “Nous voulons juste avoir le droit d’essayer l’Ivermectin !”

“Prions pour que nous puissions le lui donner et que cela l’aide à sortir de cette longue souffrance !” a-t-il ajouté. “Merci à tous et que Dieu vous bénisse ! !!”

Le lundi 6 décembre, selon un document judiciaire obtenu par The Daily Wire, le tribunal avait décidé que Kathy avait le droit, en vertu de la loi de Virginie, d’essayer l’Ivermectine ou toute autre ordonnance et prescription fournie par le Dr Martha Maturi – le médecin retenu par la famille Davies qui avait prescrit l’Ivermectine – indépendamment de son emploi à l’hôpital.

Mais, lorsque Chris et une infirmière autorisée sont allés administrer le médicament la nuit du 7 décembre sur les ordres de Maturi, “l’administration de l’hôpital a empêché [lui et l’infirmière] d’entrer dans l’unité de soins intensifs avec l’Ivermectin”.

Selon Chris, “Kevin Sales, directeur de l’exploitation de l’hôpital, et Christine Hart Kress, directrice générale de l’hôpital, les ont empêchés d’entrer avec l’ordonnance initiale du tribunal”.

Alors que Chris avait l’Ivermectin en main, il dit que Kress “a menacé de dénoncer l’infirmière à l’ordre des médecins pour lui retirer sa licence” parce qu’”elle n’était pas une employée de l’hôpital”.

L’hôpital a dit à Chris qu’il avait demandé une autre audience d’urgence qui devait se tenir le 8 décembre.

Le 9 décembre, le juge James P. Fisher du 20e tribunal judiciaire de Virginie a statué – selon un autre document obtenu par The Daily Wire – que Maturi avait le droit de donner de l’Ivermectin à la mère de Chris en vertu de la loi de Virginie, déclarant que “ce tribunal estime qu’il n’est pas nécessaire de descendre dans une analyse des mérites de l’Ivermectin en tant que protocole de traitement” et que l’hôpital doit faire un “effort raisonnable” pour transférer les soins à Maturi.

L’ordonnance poursuit en notant que les arguments de l’hôpital contre l’admission de Maturi à l’hôpital n’étaient pas suffisants.

L’avocat de Davies, Ralph Lorigo, a fait valoir que “tout effort raisonnable” concernant l’Ivermectin signifiait trois choses : 1. Prescription de médicaments, 2. Administration de médicaments, et 3. Prendre tout appel concernant l’Ivermectin et le patient.

Les avocats de l’hôpital auraient accepté d’accorder à Maturi des privilèges d’admission dans ces conditions.

Mais vendredi, Maturi a passé des heures à répondre à des questions concernant l’assurance contre les fautes professionnelles, les références et d’autres formulaires que l’hôpital jugeait nécessaires avant de l’autoriser à voir le patient. L’hôpital a attendu jusqu’à 15h30 le vendredi 10 décembre pour faire savoir aux avocats de Davies qu’ils n’allaient pas admettre Maturi à l’hôpital malgré l’ordonnance du tribunal.

Les avocats de Davies ont discuté de la question avec les avocats de l’hôpital le vendredi, le samedi et le dimanche pour savoir pourquoi Maturi ne pouvait pas recevoir de privilèges. L’hôpital a déclaré que si Maturi devait administrer de l’Ivermectin, elle devrait prendre le contrôle total du patient. Ils ont essentiellement dit qu’aucun médecin ou infirmier employé par l’hôpital n’aiderait à prendre soin du patient.

Cela n’avait aucun sens pour les avocats de Davies ou pour sa famille, pour diverses raisons, dont la principale est qu’un seul médecin n’est jamais en charge du patient, mais qu’une équipe de médecins, de spécialistes et d’infirmières s’occupe du patient.

C’était trois jours de plus pendant lesquels la mère de Chris ne recevrait pas le médicament. Comme l’hôpital avait refusé à la famille Davies le droit de donner de l’Ivermectin à Kathy le vendredi après-midi, une audience d’urgence devait attendre jusqu’au lundi matin.

En réponse, les avocats des Davies ont fait valoir au tribunal lundi que l’hôpital avait été déraisonnable dans ses efforts pour soigner la patiente, Kathy Davies, et qu’il devait être tenu pour coupable d’outrage au tribunal.

Le juge Fisher leur a donné raison et a décidé lundi que l’hôpital pouvait faire appel de l’ordonnance, s’y conformer ou s’exposer à une amende de 10 000 euros par jour.

Lorigo a déclaré qu’après avoir essayé pendant plusieurs heures de demander des “éclaircissements” sur la question, Fauquier Health s’est finalement conformé à la décision. Les administrateurs de l’hôpital ont même fait savoir à Chris et à son père qu’ils avaient trouvé une infirmière diplômée qui pourrait aider le Dr Maturi à délivrer l’Ivermectin.

À l’heure où nous mettions sous presse, Chris et Maturi se rendaient au Fauquier Health avec de l’Ivermectin en main pour enfin la remettre à sa mère dans l’espoir de l’aider à vaincre le COVID-19.

Source : https://www.dailywire.com/news/virginia-hospital-found-in-contempt-of-court-subject-to-10k-per-day-fines-after-denying-patient-ivermectin




Véran interdit les antibiotiques pour plusieurs pathologies… et la Covid !

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Comment interdire de se soigner contre la Covid? Ce sera donc le Doliprane, rien que le Doliprane… Véran préfère que vous creviez ! Véran a décidé de limiter l’usage de plusieurs antibiotiques largement utilisés en France à la présentation d‘un test attestant d’une angine à streptocoques. Vous vous en foutez ?

Et quand le « pass » climatique sera à son tour instauré, votre autorisation d’acheter un billet d’avion supprimée, ça vous fera réagir ? Même pas…

Au même moment, l’échec des référés auprès du Conseil d’État est un encouragement à étendre la politique de discrimination à l’encontre des non-vaccinés. Soit une majorité de Français saisit l’enjeu démocratique derrière le #Covid, soit nous deviendrons des sous-citoyens d’un pays asservi.

Sont concernés :

  • amoxicilline ;
  • cefuroxime (sous forme de céfuroxime axétil) ;
  • cefpodoxime ;
  • azithromycine ;
  • clarithromycine ;
  • josamycine.

Problème ces antibiotiques sont largement utilisés pour tous les problèmes bucco-dentaires (dent arrachée), pour toutes les pathologies ORL et pulmonaires.

Vous avez reconnu l’azithromycine efficace contre la Covid et en toute certitude contre les complications bactériennes qui accompagnent la Covid.

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/azithromycine-teva-30508.html

En application des dispositions de l’article R. 5132-5-1 du code de la santé publique et dans le respect des dispositions de l’article R. 5123-1 du même code, le prescripteur peut recourir à une ordonnance de dispensation conditionnelle pour la prescription de médicaments de la classe des antibiotiques dans la suspicion d’angine bactérienne à streptocoque du groupe A. La liste des principes actifs entrant dans la composition des médicaments relevant de cette situation médicale est fixée dans l’annexe au présent arrêté.
Cette ordonnance conditionne la délivrance de l’antibiotique à la réalisation d’un test oro-pharyngé d’orientation diagnostique (TROD) des angines à streptocoque beta-hémolytique du groupe A dont le résultat est positif. Cette ordonnance devient caduque dans un délai maximum de 7 jours, dont le premier jour correspond à la date de l’ordonnance.
La mention à faire figurer sur l’ordonnance, rattachée à la dénomination commune du médicament, est la suivante : « si TROD angine positif, sous 7 jours calendaires ».

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044483134

Il n’est pas interdit de prescrire sans test, mais attention, les médecins courageux seront marqués à la culotte… Crevez, mais crevez vaccinés !

Par tous les moyens le pouvoir limite la liberté de prescrire des médecins. Le totalitarisme conduit au désespoir et le désespoir aux actes désespérés. Véran en partage la responsabilité avec Macron.




Mais bon sang, réveillons-nous !!!…

Par Diane Vincero

Ce qui est infiniment dommage dans toute cette mascarade Covid, c’est que ces dirigeants fous ne sont qu’une toute petite poignée, face à 68 millions d’habitants en France et 7 milliards d’habitants dans le monde !!!…

Comment pouvons-nous continuer à tergiverser encore et encore, comme des brebis tremblantes devant ces quelques loups ???!!! (ce qui n’est pas gentil pour les loups qui ont en réalité un comportement tellement magnifique et sain par rapport à ces fous furieux…)

Qu’attendons-nous pour arrêter ces malades ???!!!

C’est incroyable, insensé !!! Sommes nous tous tétanisés, paralysés à ce point par la folie qui déferle chaque jour sous nos yeux ???
Ou bien trop formatés depuis la maternelle à obéir aveuglément et stupidement aux ordres, fussent-ils aussi déjantés ???!!!

Nous manifestons, c’est bien, mais les manifestations n’ont jamais rien changé, à commencer par celles de nos valeureux gilets jaunes !!!…

Je tiens à rappeler ce que disait un jour un policier :

« si les Français prenaient les armes des magasins, ni la police, ni l’armée, ni la gendarmerie ne pourraient faire face !!! »…

Donc a fortiori 6,8 millions d’habitants face à cette poignée de dirigeants, ça frise le ridicule !!! Un stop ferme et définitif pourrait se faire largement sans aucune effusion de sang…

Aujourd’hui, tout a été décrypté dans cette mascarade Covid, même l’armée, la gendarmerie, les pompiers non vaccinés sont victimes de cette cruauté (suspension du contrat de travail et du salaire, comme pour les médecins et les soignants) et commencent à comprendre qu’ils ont été abusés par les gouvernants….

Ont-ils oublié comment se font les arrestations ???

Sur le plan légal, les dirigeants ont bafoué toutes les lois, sans vergogne, et ils ont pondu des lois qui les arrangent plus vite qu’une poule pond son œuf !!!…

Si nous respectons simplement le protocole qui a eu cours ces dernières décennies, nous ne ferons que suivre LA loi !!!…

Mais bon sang, réveillons-nous !!!…
Avant qu’il soit dramatiquement trop tard (surtout pour nos enfants) !!!…




La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2)

Par Khider Mesloub et Robert Bibeau

La première partie de ce texte est disponible ici :
La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) – les 7 du quebec

L’euthanasie sociale sous le socialisme et sous le fascisme

Curieusement, cette « euthanasie sociale » (socialiste et/ou social fasciste)  des personnes âgées et vulnérables, opérée à la faveur de la pandémie du Covid-19, a une résonnance historique avec une pratique de l’État nazi appelée l’Aktion T4, programme d’extermination de plus de 300 000 Allemands handicapés physiques et mentaux. L’Aktion T4, appelé aussi « programme d’euthanasie » est un véritable protocole d’élimination des handicapés physiques et mentaux mis en œuvre dès 1939 à la demande expresse d’Adolphe Hitler. À cet égard, ironie de l’histoire linguistique, il n’est pas inutile de relever que le terme euthanasie contient le mot nazi (euthanazi), comme l’a écrit Lionel Chrzanowski : « De l’euthanasie à l’État nazi, il n’y a que quelques lettres d’indifférence ».

L’État nazi voyait ces personnes comme une charge pour la société, n’ayant aucune utilité pour la nation (sic). Les personnes à exterminer étaient sélectionnées par les médecins et réparties en trois groupes : celles souffrant de maladie psychologique, de sénilité ou de paralysie incurable ; celles hospitalisées depuis au moins cinq ans ; et enfin celles internées comme aliénés criminels, les étrangers et celles qui étaient visées par la législation raciste nationale-socialiste. Dans l’optique des nazis, les faibles d’esprit et tuberculeux, les enfants atteints de malformations et les vieillards malades, étaient des individus improductifs, antisociaux, mais surtout un fardeau social pour le système sanitaire et financier de l’État. Ils étaient considérés comme de véritables « choses inutiles ». Aussi, l’assistance de ces personnes était un gaspillage, en particulier dans un contexte où le pays devait concentrer toutes ses énergies sur l’effort de guerre (aujourd’hui, en 2021, pour le moment la guerre est économique, et conséquemment diplomatique, juridique, politique et idéologique, mais elle ne va pas tarder à se transformer en conflagration armée généralisée, permettant de concrétiser à l’échelle mondiale le programme d’euthanasie planifié). Les arguments eugéniques et d’hygiène sociale visant la création d’une pure race germanique (aujourd’hui le système capitaliste, avec sa tentative de reconfiguration économique sur fond de destruction des secteurs obsolètes de l’économie et d’euthanasie sociale des personnes vulnérables en raison du coût de leur entretien et de leurs soins), vise à créer une nouvelle « race » (catégorie-classe sociale)  de producteurs salariés numérisés et atomisés et de consommateurs isolés -désocialisés- d’e-Commerce, autrement dit une société avec moins de grandes unités-usines concentrationnaires- de production (sources de dangers de fraternisation de la classe ouvrière) et sans commerces physiques de proximité, devenus coûteux, désuets, non rentables) se mêlaient aux exigences utilitariste, chères aux libéraux.

Il faut comprendre ici que cette stratégie de démantèlement-réorganisation (Great Reset) de la nouvelle économie politique capitaliste vise particulièrement la petite et la moyenne bourgeoisie dont l’avenir de paupérisation et de prolétarisation est tracé par les complotistes du Grand capital mondialisé. On comprend mieux que ces segments marginaux et sacrifiés de la bourgeoisie dominante montent aux crénaux  de la Résistance à l’hystérie pandémique du Covid-19.(([1] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec)) Ces segments bourgeois adoptent deux tactiques différenciés. Un segment de la petite bourgeoisie se soumet au diktat des grands patrons et ordonne à la populace (plèbe) de se soumettre aux autorités « démocratiques » totalitaires, espérant ainsi sauvegarder leurs privilèges de classe en perdition. Un second segment de cette basse bourgeoisie se révolte et mène la charge contre l’évolution incontournable – inévitable – du monde de production capitaliste monopoliste, espérant ainsi entraver la marche en avant inéluctable du Grand capital moribond.(([2] Résultats de recherche pour « crise économique » – les 7 du quebec)) Peine perdue, l’histoire ne revient jamais sur ses pas… ces petits bourgeois l’apprendront de triste façon. Nous espérons qu’a la fin de leur périple ils se rallieront au prolétariat plutôt qu’au fascisme de leurs patrons.

Les gouvernements des États capitalistes de gauche et de droite

Quoi qu’il en soit, les gouvernants ne peuvent pas s’exonérer de leur responsabilité dans cette tragédie en arguant qu’ils ignoraient la menace de l’épidémie du coronavirus. Depuis plusieurs années, les scientifiques n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme. Les autorités médicales internationales (OMS) comme les États de tous les pays capitalistes étaient informés de la menace d’une épidémie liée aux coronavirus. D’autant mieux informés que le Grand capital mondialisé subventionnait des dizaines de laboratoires militaires de recherche de nouvelles armes bactériologiques de tuerie massive (virus à gain de fonctions meurtrières virales).(([3] Résultats de recherche pour « gain de fonction » – les 7 du quebec)) Or, comme on le constate dramatiquement aujourd’hui, aucune politique de santé prophylactique n’a été instituée, ni aucune thérapeutique curative n’a été expérimentée. Le scandale Ivermectine – les 7 du quebec   Les États ont délibérément ignoré les recommandations des autorités médicales en refusant de développer une véritable politique de santé prophylactique et curative.(([4] Pr Didier Raoult – Bilan scientifique suite à la terreur pandémique du COVID-19 – les 7 du quebec)) Pour des raisons de restrictions budgétaires, ils ont détruit le système de santé, notamment le secteur de prévention sanitaire tout comme les secteurs des soins de longue durée (CHSLD et EHPAD).(([5] Mourir parmi les personnes âgées emprisonnées en CHSLD ou en EHPAD! – les 7 du quebec)) Car, pour le capitalisme, les dépenses de prévention sont « improductives » – c’est-à-dire ne produisent pas de profit. Aussi, l’État, organe de planification et de rationalisation de la domination de classe, alloue-t-il un financement dérisoire à ce poste budgétaire jugé stérile en termes  de rentabilité économique et sociale.

Comment expliquer cette barbarie à visage démocratique ?

En premier lieu, comme on l’a souligné plus haut, du fait des restrictions budgétaires, responsables ces dernières années du démantèlement des hôpitaux et de la réduction des effectifs des personnels soignants (qui se poursuit encore aujourd’hui en pleine pandémie). Mais, plus globalement, cette politique sanitaire dépourvue d’humanité s’inscrit dans une « philosophie » de l’existence libérale où l’intérêt individuel prime sur les besoins primordiaux collectifs, conception particulièrement répandue parmi les classes dirigeantes cyniques, au sein des instances gouvernementales et entrepreneuriales. La mondialisation a converti l’ensemble des oligarques et larbins politiques à la logique comptable en matière de rapports sociaux. Pour cette pensée marchande vénale, l’homme n’est pas la fin de l’organisation sociale  et politique mais seulement le moyen de l’accumulation du capital, ce que nombre de Résistants appellent communément « le règne de l’argent roi » oubliant que l’argent n’est que la représentation du capital variable (salaire) et du capital constant (immobilisation et machinerie) . Enserré dans l’idéologie du culte de la performance (productivité) et de la compétition (concurrence pour les marchés) pour l’accumulation de profits et la valorisation du capital, « l’homme capitaliste » (le ploutocrate) est assujetti à des impératifs économiques supérieurs : la conquête des parts de marché, l’accroissement de la productivité, l’expansion (valorisation) de la rentabilité des capitaux, l’extension illimitée de l’économie libidinale de la jouissance personnelle et du divertissement individuel (strictement pour le profit). De là s’explique que, pour le système capitaliste, les individus ne sont dignes d’intérêt que dans la mesure où ils constituent une marchandise active, un objet dynamique capable lui-même de consommer d’autres objets qu’ils auront payés par leur travail salarié. Dès lors qu’ils perdent leur force productive génératrice de valeur et leur dynamique consommatrice, autrement dit ils vieillissent ou deviennent inaptes au travail, ils sont considérés par le capital comme des objets à charge, un coût dont il doit se décharger. Aussi, la reconnaissance de leur qualité humaine et de leur dignité sociale disparaît-elle au sein de la société capitaliste.

Corrélativement, doivent-ils se résoudre à accepter ou à commander leur disparition, leur dépérissement. Pour les gouvernants de l’État capitaliste sans coeur, les personnes âgées ne constituent qu’un amas d’objets rouillés, d’ex-moyens de production, destinés à être jetés à la casse… comme n’importe quelle autre marchandise obsolète.

En vertu de la conception de l’obsolescence programmée chère aux libéraux, à l’instar de Schumpeter, fondateur de la théorie de la «destruction créatrice», les personnes fragiles, invalides, âgées, inutiles, devenues surnuméraires, doivent ainsi abréger leur durée de vie, autrement dit se laisser mourir, du coronavirus ou de quelque maladie chronique inoculée par le système capitaliste pathogène via ses laboratoires virologiques de recherche de nouvelles armes létales. Plus exactement, c’est l’État qui se charge d’abréger leur durée de vie par leur mise à mort précipitée, au moyen de l’application de la politique d’«euthanasie sociale», dans le cadre de la conception malthusienne, cette mort volontaire, organisée par les gouvernements des riches par leur incurie volontaire, pour résoudre à leur manière scélérate la question des fonds de retraites (déficitaires et insolvables)  et du déficit de la sécurité sociale, de la démographie surnuméraire.(([6] Résultats de recherche pour « retraite » – les 7 du quebec))

Pour les puissants 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale

En réalité,  cette politique euthanasique s’intègre dans l’idéologie néo-malthusienne, c’est-à-dire la gestion de la démographie par l’accroissement de la mortalité, autrement dit la programmation de la dépopulation de la planète opérée actuellement par la pathologisation des populations (contamination virale, infection bactérienne, dégradation psychologique, aliénation sociale), la planification de la destruction de millions d’emplois occasionnée par la robotisation de l’industrie et la dématérialisation de l’économie (désignés sous le nom de Grand Reset), avec, comme corollaire, la paupérisation généralisée de centaines de millions de personnes privées de revenus, et, à court terme, la propagation de la famine, donc l’explosion de la mortalité. À cet égard, il est utile de rappeler que, bien avant le début de notre millénaire apocalyptique (marqué par deux profondes crises économiques en l’espace d’une décennie – 2008 et 2020 -), à la fin du siècle dernier, lors de la réunion des principaux dirigeants du monde capitaliste, tenue à Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995, cinq cents convives (parmi lesquels figuraient George Bush père, Margaret Thatcher, Václav Havel, Bill Gates, Ted Turner, Zbigniew Brzezinsky) avaient envisagé  que, dans la future société hautement technologique, 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale. En d’autres termes, 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, donc inutiles, surnuméraires. Avec la volonté du grand capital d’accélérer actuellement la robotisation et la dématérialisation de l’économie, donc l’expulsion de millions de salariés de la production, les prévisions des puissants du monde se concrétisent. Et, par extension, le programme d’élimination des surnuméraires en voie d’exécution par les autorités étatiques, ces succursales du grand capital financier.

Cependant, une embuche imprévue se présente sur la route des convives malthusiens de l’Hôtel Fairmont. Quelle faction du Grand capital international commandera à son profit l’armée des salariés aliénés, ce 20% de population active enchaîné? En 1995 l’émergence de la super puissance chinoise (1,4 milliard d’individus solidement encadré par un gouvernement totalitaire) n’était pas encore évidente. En 2021, la superpuissance chinoise mène son expansion dans toutes les directions sous le programme des Nouvelles routes de la soie, entraînant la déroute de l’Alliance Américaine moribonde.(([7] Résultats de recherche pour « nouvelles route de la soie » – les 7 du quebec
Et débâcle américaine en Afghanistan et en Asie centrale :
Résultats de recherche pour « afghanistan » – les 7 du quebec))

Faute d’hôpitaux en cours d’élagages, larbins politiciens et technocrates bureaucratiques ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme »

Pour preuve. Pour ceux qui douteraient de l’agenda machiavélique planifié par les puissances du Grand capital, illustrée par l’euthanasie sociale (élimination d’une partie de la population surnuméraire non profitable) et économique (destruction des infrastructures devenues obsolètes du point de vue du grand capital financier, ce génocidaire des petits industriels et de l’économie productive, car les industriels, singulièrement les petits indépendants, pâtissent également des politiques euthanasiques économiques infligées par le grand capital financier), il suffit de citer la dernière étude consacrée à la baisse record de l’espérance de vie enregistrée depuis l’apparition de la pandémie, baisse occasionnée par la gestion criminelle de la crise sanitaire avec ces confinements déments.(([8] Résultats de recherche pour « confinements » – les 7 du quebec)) En effet, selon une étude publiée par l’université d’Oxford dans l’International Journal of Epidemiology, la diminution de l’espérance de vie dans 29 pays, dont les États-Unis, le Chili et 27 pays d’Europe (autrement dit les principaux pays de l’Alliance Américaine), est la plus importante de l’histoire moderne. Pour l’Europe occidentale, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis les années de la Seconde Guerre mondiale. Ces indices démographiques sont bien différents en Asie et en Afrique…Pourquoi ?

Pour les États-Unis, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis l’instauration des registres officiels démographiques en 1933, au plus fort de la Grande Dépression. L’étude d’Oxford conclut par cet avertissement sur les implications potentiellement mortelles à long terme de la pandémie (traduction, des mesures politiques et économiques meurtrières décrétées par les gouvernants, la pandémie est innocente  dans ces manigances) :

«Bien que la Covid-19 puisse être considérée comme un choc passager sur l’espérance de vie, les preuves de la morbidité potentielle à long terme due à une Covid longue et les impacts des soins retardés pour d’autres maladies, ainsi que les effets sur la santé et l’élargissement des inégalités découlant de la perturbation sociale et économique de la pandémie suggèrent que les cicatrices de la pandémie de Covid-19 sur la santé de la population pourraient être plus durables.» En d’autres termes, le taux de mortalité va considérablement augmenter, et l’espérance de vie continuer à dramatiquement baisser. Notamment du fait de la déprogrammation de nombreuses consultations et interventions chirurgicales au cours de la pandémie politiquement instrumentalisée.

Il en est ainsi du cancer. Pour prendre la situation de la France (à généraliser à l’ensemble des pays atlantistes), selon la Ligue contre le cancer, la « crise sanitaire » a freiné considérablement le dépistage. Cette négligence médicale entraînera inévitablement une explosion du nombre de décès dans les années à venir. Car, par le dépistage précoce du cancer, la chance de guérison est de 90%. Or, du fait de la défaillance de dépistage organisée depuis le début de la pandémie, on va assister à une inversion de la tendance : la mortalité liée au cancer va augmenter de manière exponentielle. En France, selon la Ligue, quasiment 100 000 cas de cancer n’ont pas été diagnostiqués en 2020, en raison des mesures restrictives de déplacement, de confinement, et, surtout, de déprogrammations ordonnées par les hôpitaux (pour cause, soi-disant de saturation de malades de Covid. Or, les hospitalisations liées au Covid n’ont représenté (comme on le souligne ci-dessous) que 2% au cours de l’année 2020. À cette défaillance de dépistage du cancer, il faut ajouter les autres pathologies chroniques létales qui n’auront pas été détectées, traitées et soignées à temps. Aussi, à court terme, faut-il s’attendre à une augmentation très importante des décès parmi ces populations atteintes désormais de maladies chroniques létales.

Une chose est sûre : la majorité des morts du Covid est décédée par manque de soins (défaillance d’unités de réanimation, de respirateurs, d’oxygénation, de traitement médicamenteux). Et les États sont responsables de cette hécatombe covidale. Car, après avoir sacrifié le système de santé sur l’autel du capital, à défaut de pouvoir mobiliser les hôpitaux moribonds, ils ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme » (croyance en le pouvoir thaumaturgique de la vaccination désormais déifiée, édifiée en exclusive méthode de soin aux dépens de la thérapeutique médicale curative conventionnelle, diabolisée et excommuniée par les médecins et scientifiques stipendiés par les Big Pharma, ces Seigneurs du grand capital, Démiurges du nouvel ordre mondial despotique) en religion médicale mercantile. Les États inféodés au grand capital en sont réduits à soigner (administrer) leurs populations à coups d’injonctions dictatoriales et d’injections vaccinales.(([9] Résultats de recherche pour « vaccin » – les 7 du quebec))

Qu’importe le moyen, l’essentiel est la disparition des « vieux », des fragiles, des surnuméraires, pour être remplacés par une nouvelle génération réifiée de producteurs et de consommateurs génétiquement modifiés, façonnés selon les normes capitalistiques du nouvel ordre économique financiarisé, numérisé, dématérialisé et, surtout, déshumanisé (au double sens du terme : un monde composé d’une humanité démographiquement réduite, et dépourvu sentimentalement et spirituellement de toute humanité).

La propagation mondiale de cette doctrine capitaliste utilitariste a infecté toutes les classes dirigeantes, pour qui l’avoir ($$$) a remplacé l’être, la quantité a effacé la qualité, l’esprit marchand a englouti les valeurs morales. Aussi, dressés comme des machines à commander, accoutumés à observer la vie uniquement par le prisme de la quantité, des statistiques, des courbes et des nombres, les technocrates modernistes (fascistes) sont-ils dépourvus de toute empathie, incapables d’évaluer l’impact inhumain de leurs décisions. Avec leur logique comptable, leur cerveau en forme de calculette, la vie devient une abstraction, la société une irréalité, les rapports humains sont réifiés, la gouvernance chosifiée. Nous avons affaire à de véritables pervers narcissiques et psychopathes, des êtres dépourvus d’affects, de sensibilité, d’humanité… N’est-ce pas l’exact définition du fascisme et du social-fascisme ?(([10] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec 
et fascisme : Résultats de recherche pour « fascisme » – les 7 du quebec))

Les gouvernants contaminés par le virus de la doctrine capitaliste utilitariste

  Pour escamoter leur incompétence, ils se dissimulent derrière les courbes statistiques, les chiffres comptables. Leur reproche-t-on la réduction des lits d’hôpitaux, les technocrates sous-fifres des politiciens vassaux des ploutocrates milliardaires s’abriteront derrière les restrictions budgétaires. Leur reproche-t-on la défaillance des équipements médicaux (masques, tests, respirateurs, lits de réanimation), ils brandiront, dans un langage technique abscons, l’argument spécieux de « la conformité aux règles comptables exigées par les instances économiques supranationales garantes d’une gestion optimale en matière de sécurité établie selon les normes de fonctionnement en flux tendu en cours dans toutes instances gouvernementales » (sic). Leur présentera-t-on un tableau dramatique du nombre de femmes et d’hommes morts du fait du Covid-19 ou d’autres maladies, ils ne verraient qu’abstraction chiffrée et non une réalité humaine décimée.

Ironie de l’histoire, en plein XXIème siècle, à l’ère de la domination triomphale de la science et de la technologie, les classes dirigeantes décadentes, pour lutter contre un banal virus grippal, auront employé trois moyens mortellement incongrus : le confinement-isolement  dément ayant entraîné la mort de million de pauvres en pays émergents; l’euthanasie déguisée en compassion pour les vieux et les vulnérables;  et la vaccination expérimentale avec des médicaments non validés-alambiqués et testés sur des milliards de cobayes anthropoïdes contraints.

En effet, au lieu de soigner la maladie, sous forme thérapeutique médicale curative conventionnelle (totalement proscrite par les autorités gouvernementales), les médecins (tels des marabouts prescrivant des potions magiques pour guérir les maux de leurs clients en détresse, moyennant paiement de sommes souvent colossales), sous la pression des États soumis aux firmes pharmaceutiques, auront été assignés au rôle de prometteur de la vaccination. Autrement dit, usant de formules incantatoires vaccinales en guise d’argumentation scientifique, il se seront bornés d’orienter les patients vers les vaccinodromes, à déléguer leur pouvoir soignant aux vaccins, cet élixir pharmacologique, dernière potion médica-menteuse génique aux vertus magiques, inventée par les laboratoires des Big Pharma. Ainsi, les médecins auront démissionné de leur fonction soignante, décidant de ne plus soigner. Autant par lâcheté que par esprit de vénalité, ils auront trahi leur serment d’Hippocrate. (Pourtant, dans les études de médecine les étudiants apprennent que la vaccination ne doit jamais être employée pendant une période épidémique.)

Or, une maladie, ça se soigne. La maladie ne se vaccine pas. Sinon, autant supprimer la médecine pour octroyer le pouvoir thérapeutique médicale à la seule vaccination, autrement dit aux laboratoires pharmaceutiques, ces nouveaux thaumaturges de la médecine. Une vaccination, c’est un simple additif aux soins. C’est d’autant plus un additif dès lors qu’il s’agit d’un véritable vaccin. Or, ce n’est pas le cas avec les nouveaux produits géniques ARN-m commercialisés pourtant encore en phase d’essai clinique, c’est-à-dire expérimentale.

Par ailleurs, selon les gouvernants la surmortalité enregistrée au cours de l’année 2020 serait imputable à la saturation des hôpitaux, autrement dit aux admissions massives de malades dans les établissements de soin débordés. De même, selon le gouvernement Macron (c’est le même argument excipé par tous les États atlantistes), les mesures restrictives, tout comme les confinements, avaient été décrétées car les hôpitaux étaient saturés par les admissions ininterrompues de patients atteints de Covid. Donc, selon les gouvernants, c’est pour éviter une surmortalité incontrôlable dans les hôpitaux saturés de patients de Covid que les États avaient décidé d’instaurer les confinements, restreindre les déplacements, fermer les établissements accueillant le public, pour éviter également la propagation accélérée du virus.

Or, aujourd’hui, à lire le dernier rapport publié par l’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation), consacré aux hospitalisations en France, notamment aux causes des admissions hospitalières des patients, on apprend que les hôpitaux français n’ont accueilli au cours de l’année 2020 à peine 2% de malades liés au Covid. Dès l’introduction, le rapport écrit : « au cours de l’année 2020, les patients Covid représentaient 2% de l’ensemble des patients hospitalisés, tous champs hospitaliers confondus ». Ainsi, par ce rapport officiel, on découvre que, durant l’année 2020, au plus fort de la pandémie ayant prétendument saturé les hôpitaux, seulement 2% des malades hospitalisés étaient des patients Covid. Autant dire, Rien. Alors que les gouvernants et leurs médias stipendiés par les Big Pharma n’avaient cessé de déclarer que les hôpitaux étaient saturés, débordés par les admissions incontrôlables de malades de Covid, au point de ne plus pouvoir soigner les autres maladies (pour accréditer cette narration gouvernementale mystificatrice, de nombreuses consultations et interventions chirurgicales avaient été annulées par les hôpitaux, mettant ainsi en péril la vie de ces vrais malades sacrifiés sur l’autel de l’imposture sanitaire covidale). Au point d’organiser également, dans une mise en scène médiatiquement orchestrée, des transferts de malades vers d’autres régions aux hôpitaux prétendument moins saturés, voire vers l’étranger, notamment l’Allemagne, pour accréditer le scénario de la saturation des hôpitaux nationaux. Il ne faut pas oublier que cette imposture sanitaire gouvernementale a occasionné des mois de confinement avec les dommages collatéraux financiers, sociaux et psychologiques dramatiques. À analyser uniquement la situation de la France, le coût financier est estimé à 200 milliards d’euros juste pour l’année 2020 (d’ici la fin 2021, l’imposture sanitaire aura coûté 424 milliards d’euros), des millions de salariés mis en chômage partiel ou définitif (donc avec perte de revenus), des milliers de petits entrepreneurs acculés à la faillite, des millions de personnes précipitées dans la paupérisation, plongées dans la dépression (35% des jeunes avaient déclaré avoir des idées suicidaires du fait des confinements et des restrictions, des millions d’élèves avaient subi des retards scolaires, développé des phobies scolaires du fait notamment du port du masque en cours et des multiples mesures restrictives).


Nota bene : Pour ceux qui souhaiteraient être éclairés sur les réelles intentions des gouvernants, animés depuis des années par le projet de la mise en œuvre de l’Euthanasie sociale et économique, voici ce qu’écrivait déjà en 1981 un de leurs serviteurs et fidèles conseillers, Jacques Attali. En effet, dans le livre « l’Avenir de la Vie » (Segher éd.), publié par Michel Salomon, Jacques Attali déclarait : (…) « dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société.

D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité ». Quelques lignes plus loin, il déclarait : « en effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement ». (…). « On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché. Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir ». (…) « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures ». (…) « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future », préconisait-il. (…)

« La production de consommateurs et leurs entretiens coûtent cher, plus cher encore que la production de marchandises elles-mêmes. Les hommes sont produits par des services qu’ils se rendent les uns aux autres, en particulier dans le domaine de la santé, dont la productivité économique n’augmente pas très vite. ». « La productivité de la production de machines, augmente plus rapidement que la productivité relative de la production de consommateurs. Cette contradiction sera levée par une transformation du système de santé et d’éducation vers leur marchandisation et leur industrialisation. ». Ainsi, pour les puissants, l’euthanasie sociale et économique constitue une variable d’ajustement économique censée réduire les coûts d’entretien de personnes « improductives », « inutiles » à la société.

Khider Mesloub 





Manif Nuremberg 13.12.2021 — Appel pour la manif du 19 décembre à Nuremberg

Traduction : Christine Côte



Encore une fois, des milliers de citoyens à Nuremberg !

13.12.21 19:52 h

@NousNousLevons




Message Ignaz Bearth de Suisse 🇨🇭

VENEZ TOUS À NUREMBERG 🇩🇪🤝🇨🇭

‼️Dimanche 19 décembre 2021 Nuremberg‼️

Le dimanche 19 décembre 2021

nous défilerons à partir de 12h30

dans les rues de Nuremberg.

#BAYERNLEISTETWIDERSTAND ✊ (RÉSISTANCE BAVAROISE)

Rendez-vous : 12:30

Défilé : 13:00

Départ : Kornmarkt

     POUR L’UNITÉ

                            DROIT

                                    ET LA LIBERTE

‼️Nous vous attendons tous‼️.

Discussion & échange : @nuernberg2021




Troubles du spectre autistique : guide de sécurité en ligne

[Source : wizcase.com]

Par John Bennet

Des personnes de tous horizons et de toutes origines peuvent être victimes du harcèlement en ligne et de la cybercriminalité. Toutefois, des études ont révélé que les personnes atteintes de troubles du spectre autistique (TSA) sont plus exposées que les autres aux menaces en ligne.

Les TSA sont un trouble du développement qui affecte le comportement et la communication. Les personnes atteintes de troubles du spectre autistique mènent une vie relativement normale, mais peuvent avoir besoin de supervision et manquer de discernement – un trait identifié comme dangereux lorsqu’elles sont livrées à elles-mêmes dans le cyberespace.

Les enfants et adultes atteints de TSA ne sont pas seulement vulnérables vis-à-vis des autres. En effet, ils sont également susceptibles de développer des habitudes compulsives en ligne et dépendances à Internet, et d’être davantage affectés par l’exposition à un contenu inapproprié.

Tout le monde devrait se sentir en sécurité en ligne. Il est donc extrêmement important de vous assurer que votre sécurité en ligne est adéquate, et de faire constamment preuve de vigilance sur Internet.

Pour vous aider à naviguer facilement et à limiter votre vulnérabilité aux attaques, jetez un œil à notre Guide de sécurité Internet pour les personnes atteintes de TSA. (Partager sur Facebook)

Sommaire :

  • 01 Le harcèlement en ligne
  • 02 Comprend le contexte des messages en ligne
  • 03 Devenir la victime d’une arnaque, d’une manipulation ou d’un piratage
  • 04 L’exposition à du contenu inapproprié
  • 05 La surcharge sensorielle sur Internet
  • 06 La dépendance à Internet
  • 07 Comment vous protéger sur les réseaux sociaux populaires ?
  • 08 Les rencontres en ligne et les TSA
  • 09 Comment savoir si quelqu’un est vraiment la personne qu’il prétend être ?
  • 10 Les indicateurs de dangers potentiels en ligne
  • 11 Astuces pour améliorer la sécurité de vos enfants sur Internet
  • 12 Conclusion

Problèmes en ligne courants

De nombreuses menaces pèsent constamment sur le cyberespace. Familiarisez-vous avec, et faites preuve d’une vigilance extrême. Nous vous conseillons vivement de disposer d’un plan d’action. Vous trouverez ci-dessous les problèmes en ligne les plus courants auxquels se heurtent les personnes atteintes de TSA, ainsi que des conseils pour vous aider à maîtriser la situation.

1 Le harcèlement en ligne

Le harcèlement en ligne, ou cyber-intimidation, est une tendance de plus en plus courante sur Internet, et qui touche particulièrement les enfants et personnes atteintes de TSA. Les harceleurs utilisent des plates-formes numériques, telles que des réseaux sociaux ou forums de chat sur Internet, pour harceler et intimider leurs victimes. Parfois, ce harcèlement peut dégénérer en menaces et harcèlement dans le monde réel. N’importe qui peut être la cible du harcèlement en ligne, quel que soit son âge, son origine ou son mode de vie.

Selon le Journal de la recherche en santé mentale sur les déficiences intellectuelles (Journal of Mental Health Research in Intellectual Disabilities), les personnes présentant une déficience intellectuelle ou développementale sont plus exposées aux risques de harcèlement en ligne. L’alliance anti-harcèlement a également révélé que les personnes handicapées étaient plus susceptibles d’être victimes de harcèlement en ligne.

Des efforts supplémentaires sont déployés afin de comprendre le phénomène et contribuer à créer un environnement en ligne plus sûr. Toutefois, le harcèlement en ligne n’est pas toujours facile à reconnaître.

Il est parfois difficile de transmettre le même niveau de signification et de contexte à l’écrit qu’à l’oral. Pour cette raison, il n’est pas toujours évident de savoir si une personne essaye de harceler de manière intentionnelle, ou s’il s’agit d’un malentendu. Cependant, si quelqu’un vous envoie des messages abusifs, ou tente de vous intimider ou de vous faire honte en ligne, il est fort probable qu’il s’agisse de harcèlement en ligne.

Les effets du harcèlement en ligne à long terme

Le harcèlement peut affecter votre estime de soi et/ou votre santé mentale. Le harcèlement continu est susceptible de vous pousser à vous isoler, limitant vos interactions avec vos amis et proches. Si rien n’est fait, le harcèlement en ligne peut avoir un impact profond et durable.

Même si cela semble effrayant, cela ne devrait pas vous empêcher d’explorer en ligne et de vous faire des amis via Internet.

Les différents types de harcèlement en ligne

Le harcèlement en ligne présente de nombreuses facettes. Sa forme la plus fréquente est l’envoi de messages abusifs par e-mail, SMS et chat. Toutefois, les harceleurs en lignes peuvent vous atteindre de nombreuses autres manières.

Infographie sur les différents types de cyberintimidation

Le harcèlement en ligne peut également se manifester sous les formes suivantes :

  • Une personne qui propage des rumeurs sur vous en ligne, auprès de vos amis ou même d’inconnus
  • Quelqu’un qui publie des statuts et commentaires dans l’intention de vous humilier ou d’altérer la façon dont les autres vous perçoivent.
  • Des menaces à votre intention adressée via les réseaux sociaux et d’autres moyens de communication en ligne
  • Quelqu’un qui utilise son profil en ligne pour partager des informations, vidéos ou photos de vous sans votre consentement ou après leur avoir demandé d’arrêter.
  • Une personne qui utilise vos profils et informations en ligne pour vous harceler en ligne et/ou dans la vie réelle.
  • Quelqu’un qui pirate vos comptes en ligne ou se fait passer pour vous avec l’intention d’utiliser votre nom et votre réputation pour propager du contenu inapproprié ou préjudiciable. Cette pratique est connue sous le nom de « fraping ».

Comment prévenir le harcèlement en ligne ?

Des recherches récentes indiquent que le harcèlement en ligne a tendance à se produire lorsque certains facteurs de risque ne sont pas évités. Bien qu’il soit difficile de mettre fin au harcèlement en ligne, vous pouvez prendre des mesures pour éviter de devenir une victime.

La première étape consiste à modifier les paramètres de vos comptes de réseaux sociaux afin que vos profils soient uniquement accessibles aux personnes que vous connaissez et en qui vous avez confiance. Les harceleurs en ligne sont opportunistes par nature, et vous êtes donc davantage exposé au harcèlement en ligne si des inconnus peuvent facilement vous contacter.

De même, vous devriez toujours éviter d’ouvrir des messages ou d’accepter les demandes d’amis de personnes que vous ne connaissez pas. La possibilité de se cacher derrière un écran d’ordinateur pour attaquer quelqu’un protège souvent les harceleurs en ligne des conséquences concrètes de leurs actes. Ils s’en prennent donc à une personne qui n’appartient pas à leur cercle social, ou qu’ils ne connaissent pas.

Que faire si vous êtes victime de cyberintimidation
  • Sécurisez vos comptes de réseaux sociaux. Définissez vos niveaux de sécurité sur « amis uniquement » afin que les inconnus ne puissent pas voir votre profil ni vous envoyer de messages.
  • Ne publiez pas d’informations personnelles en ligne. Ne publiez jamais d’informations telles que votre localisation, votre adresse, votre numéro de téléphone, votre école ou votre lieu de travail. Cela contribuera à prévenir le harcèlement en ligne, et empêchera les harceleurs de vous contacter face à face ou par téléphone.
  • Si quelqu’un vous envoie des messages abusifs, ne mordez pas à l’hameçon. L’objectif principal de la plupart des harceleurs est d’obtenir une réaction de leur cible. Si vous répondez, cela risque de les inciter à continuer. Par conséquent, mieux vaut s’abstenir de leur donner ce qu’ils veulent. En l’absence de réponse, la plupart des harceleurs abandonneront et vous laisseront tranquille.
  • Signalez-les. Si quelqu’un vous harcèle ou s’en prend à une personne de votre entourage, signalez-le à l’équipe d’assistance de la plateforme. Un membre du personnel examinera le contenu et décidera de le supprimer ou de le laisser. Dans des cas plus graves, la plateforme peut même prendre des mesures contre le harceleur en le bloquant ou en lui interdisant l’accès.
  • Bloquez le harceleur. Bloquer quelqu’un l’empêchera d’accéder à votre profil et de vous contacter dans le futur.
  • Parlez-en. Informez un ami de confiance ou un proche de la situation. Il pourra peut-être vous aider ou vous prodiguer des conseils utiles.

2 Comprendre le contexte des messages en ligne

Les malentendus en ligne

Il est possible de mal interpréter une situation lorsque vous communiquez avec quelqu’un par Internet. Vous pouvez facilement passer à côté du contexte ou du sens du commentaire d’une personne en l’absence d’indices sociaux, ce qui peut faire dévier la discussion en ligne, voire même provoquer un conflit.

Avoid Miscommunication online

Voici les meilleures pratiques pour éviter les malentendus en ligne :

  • N’oubliez pas que tout ce que vous lisez en ligne n’est pas vrai, et que toutes les personnes auxquelles vous parlez ne sont pas honnêtes.
  • Si quelque chose n’est pas clair, demandez à la personne de clarifier ce qu’elle veut dire avant de partager votre opinion.
  • Utilisez des sources fiables pour vérifier les faits et informations afin d’éviter de partager des informations inexactes.
  • Souvenez-vous de faire preuve de politesse et de calme, même lorsque vous êtes certain que quelqu’un a tort ou vous manque de respect.
  • Contactez les administrateurs et modérateurs des groupes et forums pour assurer la médiation des discussions en ligne en cas de malaise ou de conflit.

Certains forums en ligne comme Talk About Autism, sont spécialement conçus pour permettre aux personnes atteintes de TSA de discuter et se faire des amis. La plupart de ces forums ont des modérateurs qui suivent les discussions et sont formés pour offrir une médiation en cas de malentendu.

12 astuces pour mieux communiquer sur les réseaux sociaux et en ligne

L’utilisation des réseaux sociaux présente de nombreux avantages, en particulier pour les personnes atteintes de troubles du spectre autistique, qui peuvent avoir des difficultés à interagir avec les autres. Toutefois, le fait de publier toutes vos informations sur les réseaux sociaux s’accompagne souvent d’inconvénients. Voici 12 astuces pour vous aider à mieux communiquer en ligne et minimiser le risque de malentendu.

Capture d'écran des moyens d'améliorer les médias sociaux et la communication en ligne
  1. N’ajoutez jamais votre patron, enseignant ou superviseur sur les réseaux sociaux. Si vous êtes amis en ligne, ils pourront voir le contenu de votre profil, ce qui pourrait donner lieu à des interprétations erronées de votre personnalité. Si leur opinion sur vous est affectée par ce qu’ils voient, cela pourrait vous empêcher d’obtenir une promotion.
  2. Ne publiez jamais de commentaires en ligne concernant votre entreprise, en particulier si vous vous plaignez. Cela peut vous sembler innocent, mais pourrait vous coûter votre emploi si votre patron ou vos collègues en avaient vent. En outre, la plupart des entreprises interdisent désormais les publications concernant le travail sur les réseaux sociaux.
  3. Évitez de publier du contenu qui pourrait fausser l’avis des autres sur vous, par exemple des coups de colère. Les employeurs potentiels consultent généralement vos profils en ligne et peuvent fonder leur opinion sur ce qu’ils voient, même si cela ne représente pas vraiment votre personnalité.
  4. Donnez toujours rendez-vous à vos nouveaux amis en ligne pendant la journée et dans un lieu public. Informez toujours quelqu’un du lieu de rendez-vous, de la personne que vous rencontrez et de tout changement de lieu. Pour une rencontre encore plus sûre, vous pouvez demander à un ami de confiance ou un proche de vous accompagner. Évitez les endroits isolés, et n’allez jamais chez la personne. Si quelque chose vous semble louche, n’hésitez pas à partir.
  5. Protégez vos mots de passe et évitez de pirater les comptes ou sites Web d’autres personnes, même si vous en avez la possibilité. Les personnes atteintes de TSA se retrouvent souvent victimes d’une personne manipulatrice qui leur demande d’enfreindre la loi ou de pirater un ordinateur, ce qui est illégal.
  6. Ne croyez pas tout ce que vous lisez en ligne, en particulier sur les réseaux sociaux. De nombreux utilisateurs propagent de fausses nouvelles et informations sur Internet, et ont tendance à exagérer pour que leur vie semble parfaite.
  7. Ne comparez pas votre vie à celle des autres sur les réseaux sociaux. Souvenez-vous que vous voyez uniquement les moments forts de leur vie, et non leurs activités quotidiennes.
  8. Faites toujours preuve de politesse dans votre discours en ligne et évitez les conflits, même lorsque vous estimez que l’autre personne a tort.
  9. N’oubliez pas que la plupart des internautes considèrent que les majuscules sont l’équivalent numérique de crier. Dans cette optique, l’utilisation de majuscules peut être perçue comme impolie.
  10. Vous pouvez utiliser des émoticônes, ou emojis, pour mieux exprimer le contexte et le sens de vos mots. Par 5La surcharge sensorielle sur Internetexemple, l’ajout d’un smiley souriant à la fin d’une phrase montrera que vous êtes de bonne humeur ou sympathique.
  11. Si quelqu’un vous met mal à l’aise ou en danger, mettez fin à la situation et bloquez-le.
  12. N’envoyez jamais de photos explicites de vous-même, et ne transmettez jamais des photos de quelqu’un d’autre. Si vous partagez des photos sans consentement ou d’un mineur, vous enfreignez la loi et vous vous exposez à des poursuites judiciaires.

3 Devenir la victime d’une arnaque, d’une manipulation ou d’un piratage

Les arnaqueurs et hackers font malheureusement partie du quotidien en ligne. En termes simples, certaines personnes ont de mauvaises intentions et souhaitent manipuler les autres à leur avantage.

Ils feront semblant de vouloir devenir votre ami, voire même un compagnon sentimental potentiel. Ils mettront tout en œuvre pour établir une relation afin de gagner votre confiance, puis de vous arnaquer !

Les arnaqueurs, hackers et cybercriminels peuvent avoir différents motifs. Par exemple, ils peuvent essayer de vous convaincre de leur envoyer de l’argent ou de commettre un crime à leur place.

Ils peuvent également essayer d’obtenir vos informations personnelles, par exemple les informations de votre passeport, afin d’usurper votre identité ou de se faire passer pour vous en ligne.

Les meilleures pratiques pour éviter les arnaques et la manipulation

  • Ne communiquez à personne vos informations personnelles telles que votre adresse, votre numéro de téléphone ou votre numéro de carte d’identité.
  • Ne divulguez jamais vos informations bancaires ou de carte de crédit en ligne. N’oubliez pas que des arnaqueurs peuvent vous contacter en se faisant passer pour votre banque. Votre banque ne vous contactera jamais pour vous demander des informations personnelles et confidentielles.
  • Ne communiquez à personne votre lieu de travail ou d’études, ou celui de vos amis et proches.
  • Pensez à utiliser un pseudonyme au lieu de votre vrai nom. De nombreuses personnes utilisent leur premier et deuxième prénom ou s’inventent un nouveau nom.
  • Faites preuve de prudence lorsque vous acceptez de rencontrer des personnes que vous avez connues en ligne.
  • N’envoyez jamais d’argent à quelqu’un que vous avez rencontré en ligne. Si quelqu’un vous demande de lui envoyer de l’argent, il essaye probablement de vous arnaquer.
  • Ne cliquez jamais sur des liens vers des sites Web que vous ne reconnaissez pas, car ils risquent de vous amener sur un site susceptible de compromettre la sécurité de votre ordinateur.

Si vous pensez avoir été victime d’une arnaque, contactez immédiatement votre banque et l’organisme local chargé de l’application de la loi.

Play it Safe (ne prenez pas de risques)

Le Centre sur l’enseignement secondaire pour les élèves atteints de troubles du spectre autistique (Center on Secondary Education for Students with Autism Spectrum Disorder) a créé un acronyme facile à retenir pour rester en sécurité en ligne : Play it Safe, qui signifie « Ne prenez pas de risques » en anglais.

JOUEZ EN SÉCURITÉ avec ASD

Personal information (Informations personnelles) : Ne partagez jamais vos informations personnelles en ligne.

Let a friend or family member know if someone has asked you for this information, or if you don‘t feel safe (Informez un ami ou proche si une personne vous a demandé ces informations ou si vous ne vous sentez pas en sécurité).

Attachments (Pièces jointes) : Souvenez-vous que les pièces jointes peuvent contenir des malware susceptibles d’endommager votre ordinateur et de recueillir des informations confidentielles. Ne les ouvrez pas, sauf s’il s’agit d’un fichier que vous attendiez de quelqu’un en qui vous avez confiance.

Your feelings are important (Vos sentiments sont importants) : Si quelque chose vous met mal à l’aise ou en danger, mettez fin à votre activité et informez quelqu’un.

Information : N’oubliez pas que tout ce que vous lisez en ligne n’est pas vrai.

Take breaks from your computer often to socialize, stretch, and give your eyes a rest (Faites régulièrement des pauses pour interagir avec d’autres personnes, vous étirer et reposer vos yeux).

Spend your money safely. (Dépensez votre argent prudemment) : N’achetez rien dans des boutiques ou en suivant des liens inconnus, et n’envoyez jamais d’argent.

Act politely and don‘t say things online that you wouldn‘t say in real life. (Faites preuve de politesse et ne dites pas en ligne des choses que vous ne diriez pas dans la vie réelle.)

Friends online should stay online (Les amis en ligne doivent le rester) : Si quelqu’un souhaite vous rencontrer, refusez.

Enjoy yourself and have fun! (Amusez-vous !)

4 L’exposition à du contenu inapproprié

Certes, le Web offre une incroyable richesse de contenu passionnant et instructif. Malheureusement, il s’accompagne de la même profusion de contenu inapproprié et préjudiciable. Vous risquez en effet de tomber sur des images violentes ou pornographiques, ainsi que du contenu illégal que la plupart des gens préfèrent éviter. L’accès à des choses telles que la pornographie infantile, même par mégarde, peut avoir des conséquences juridiques désastreuses. Vous devez donc vous protéger.

Outils de blocage du contenu inapproprié

1. SafeSearch :

La fonctionnalité SafeSearch de Google bloque le contenu explicite dans vos résultats de recherche Google. Bien qu’elle ne soit pas toujours précise à 100%, elle vous permet de filtrer des éléments tels que la pornographie et les images explicites lorsque vous naviguez sur Google, que ce soit sur votre tablette, votre téléphone ou votre ordinateur.

Configuration de SafeSearch :

Cliquez sur le bouton « paramètres » de votre page d’accueil Google, puis accédez aux paramètres de recherche. Sous Filtres SafeSearch, cochez la case à côté de l’option « Activer SafeSearch » et assurez-vous de cliquer sur Enregistrer avant de quitter.

Vous pouvez consulter le guide Google SafeSearch pour savoir comment l’activer sur votre dispositif Android ou iOS.

2. Filtres Internet :

Les filtres Web comme Net Nanny surveillent les sites que vous consultez pour en bloquer le contenu inapproprié. Vous pouvez personnaliser les éléments à filtrer, et même établir une liste blanche de sites Web que vous considérez comme sûrs. Il s’agit d’un excellent outil pour les adultes qui souhaitent filtrer le contenu peu sûr au travail, ainsi que pour les parents qui souhaitent protéger leurs enfants en ligne.

3. Bloqueurs de publicité et de fenêtres émergentes :

Nous avons tous entendu des histoires d’amis surpris en flagrant délit pile au moment où une fenêtre émergente explicite et inattendue s’affichait à l’écran. Vous pouvez éviter ces incidents potentiellement désastreux en installant un bloqueur de fenêtres émergentes et de publicité sur votre navigateur.

4. Protection anti-virus et anti-malware :

Certains virus et malware provoquent l’ouverture de fenêtres émergentes à des moments inopportuns. Un bon antivirus à jour protégera non seulement votre ordinateur des infections préjudiciables, mais vous protégera également du contenu inapproprié.

5. Liens :

Évitez de cliquer sur des liens que vous ne reconnaissez pas. Même si le message vous est envoyé par un ami, ne cliquez pas sur un lien que vous ne reconnaissez pas ou que vous n’attendez pas. Vous recevrez souvent des messages spam par SMS et par e-mail vous invitant à cliquer sur un lien pour accéder à un site Web ou même à un cadeau. Toutefois, tout ce que vous risquez de gagner est un virus ou une arnaque.

5 La surcharge sensorielle sur Internet

Les personnes qui présentent une sensibilité sensorielle peuvent souffrir d’une surcharge provoquée par les dispositifs électroniques et Internet. Les bruits forts, les rétroéclairages lumineux, la musique inattendue et la lecture automatique de vidéos ne sont que quelques-uns des éléments irritants susceptibles de conduire à une surcharge.

Heureusement, vous pouvez prendre certaines mesures pour minimiser cet impact sensoriel.

  • Réglez les niveaux de luminosité de votre écran et investissez dans une application qui bloque la lumière bleue sur votre dispositif. Votre écran prendra une teinte légèrement orangée, mais il est indispensable de bloquer la lumière bleue pour atténuer les effets du rétroéclairage sur nos sens. Des applications pour bloquer la lumière bleue sont disponibles sur la plupart des dispositifs, et vous aideront même à vous endormir plus rapidement et à réduire l’impact des migraines provoquées par la sensibilité à la lumière.
  • Désactivez la lecture automatique des fichiers audio et vidéo sur vos plates-formes de réseaux sociaux.
  • Investissez dans un clavier et une souris « silencieux » pour réduire le bruit lors de la frappe.
  • Le bruit blanc est un excellent outil pour apaiser les sens. Cela peut également atténuer des sons irritants, comme le bourdonnement de votre ordinateur ou vos voisins bruyants ! Des vidéos de bruit blanc sont disponibles gratuitement sur YouTube, ou vous pouvez également acheter une machine à bruit blanc.

6 La dépendance à Internet

L’attrait et la facilité des rencontres en ligne peuvent avoir un impact négatif sur votre volonté d’interagir avec les autres dans le monde réel. La dépendance en ligne est un problème grave qui touche de nombreuses personnes. Des études indiquent que les personnes sujettes à des comportements obsessionnels présentent un risque plus élevé de développer une dépendance à Internet. Les personnes atteintes de TSA et de troubles anxieux présentent un risque particulièrement élevé.

L’explication est simple : Internet offre un refuge, et un moyen facile de rencontrer et communiquer avec les autres. Si la plupart de vos amis sont sur Internet, c’est là que vous voudrez passer le plus clair de votre temps.

Il est essentiel pour votre santé physique et mentale de développer et maintenir des relations dans le monde réel. Internet est un outil formidable, mais s’il vous empêche de passer du temps avec vos amis et proche, il est peut-être temps de faire une pause.

Conseils de prévention de la dépendance à Internet :

  • Établissez une limite de temps lorsque vous êtes sur votre ordinateur. Vous pouvez par exemple créer une alarme au bout d’une heure ou deux, et vous déconnecter lorsque le temps est écoulé.
  • Créez une liste de projets et réservez du temps chaque jour pour vos amis et proches, ou pour des passe-temps et de l’exercice physique. Incluez le temps que vous prévoyez de passer en ligne dans votre liste, mais planifiez d’autres activités pour votre temps libre.
  • Assurez-vous d’avoir terminé toutes les autres tâches que vous devez effectuer, par exemple les tâches ménagères, avant de vous connecter chaque jour.
  • Utilisez des applications spécialement conçues pour vous rappeler de faire une pause. Des programmes tels que Offtime contrôlent votre navigation et vous montrent le temps passé sur les réseaux sociaux. Vous pouvez même les configurer pour bloquer certains sites, tels que Facebook, à certaines heures de la journée.
  • Désactivez les notifications push de vos réseaux sociaux sur votre téléphone ou tablette. Ainsi, vous les recevrez uniquement lorsque vous vous connectez, et non lorsque vous êtes en train de faire autre chose.

Si vous pensez être victime d’une dépendance à Internet, vous pouvez demander à votre médecin de vous orienter vers un thérapeute expérimenté, qui sera à même de vous prodiguer d’autres conseils.

7 Comment vous protéger sur les réseaux sociaux populaires ?

Vous trouverez ci-dessous un bref guide qui vous aidera à rester en sécurité sur les réseaux sociaux les plus populaires. Nous vous expliquons leurs risques, et comment modifier les paramètres de votre compte pour éviter le contenu explicite, les arnaqueurs, les faux profils et les harceleurs en ligne.

Facebook

Facebook

Quels sont les principaux risques sur Facebook ?

  • Sur Facebook, les arnaqueurs peuvent facilement se lier d’amitié avec vous et vous leurrer en utilisant de faux profils.
  • Il existe un risque moyen à élevé d’être exposé à des liens pointant vers des sites Web de hameçonnage de vos informations personnelles.
  • Les harceleurs en ligne utilisent souvent Facebook pour harceler leurs victimes.
  • Même si cela est contraire aux politiques de Facebook, vous pouvez être exposé à des publications explicites non détectées par leurs filtres de contenu.
  • Des fonctionnalités telles que la lecture automatique vidéo peuvent déclencher une surcharge sensorielle.
  • En général, les réseaux sociaux peuvent créer une dépendance.

Astuces pour vous protéger sur Facebook

Évitez d’utiliser vos informations personnelles :

Bien que Facebook vous demande votre prénom et votre nom, évitez de les utiliser dans la mesure du possible. De nombreux internautes utilisent un pseudonyme ou créent un faux nom de famille. Ainsi, il sera plus difficile de vous retrouver sur d’autres plateformes ou dans la vie réelle.

Évitez de trop personnaliser votre section « À propos ». N’indiquez jamais votre lieu de résidence, de travail ou d’études à Facebook.

Si vous utilisez un dispositif avec GPS, n’autorisez pas Facebook à publier votre localisation. Pour ce faire, le moyen le plus simple consiste à empêcher Facebook d’accéder aux informations de localisation de votre dispositif. Ce paramètre est généralement disponible sur votre dispositif sous Paramètres > Confidentialité > Services de localisation.

Rendez votre compte privé :

Assurez-vous que votre profil est configuré comme « privé », afin que seuls vos amis puissent voir votre statut et vous envoyer des messages. Cela réduit les risques de harcèlement en ligne en vous permettant de choisir qui peut vous contacter. N’oubliez pas que les personnes que vous ne connaissez pas pourront tout de même lire les commentaires que vous faites sur les publications de vos amis et pages publiques.

Comment limiter l’accès à vos publications à vos amis :

Une fois la boîte de dialogue de statut ouverte, cliquez sur le menu déroulant des paramètres de confidentialité dans la barre inférieure. Vous aurez le choix entre « amis » ou « public ». Si l’option par défaut est « amis », cela signifie que seuls les amis que vous avez acceptés verront cette publication. Si l’option est définie sur « public », cliquez dessus et sélectionnez « amis » avant de cliquer sur le bouton Publier.

Comment rendre votre profil privé :

Connectez-vous à Facebook et cliquez sur la flèche en haut de votre page dans la barre d’accueil. Sélectionnez « Paramètres ».

Une fois la page des paramètres chargée, sélectionnez « Confidentialité » dans la barre latérale. Cela chargera deux catégories de paramètres de confidentialité que vous pourrez modifier.

Deux options de confidentialité sont proposées sous « votre activité ». Pour une confidentialité optimale, configurez-les comme suit :

Qui peut voir vos futures publications ?

Ce paramètre doit être défini sur « amis » pour que les inconnus ne puissent pas voir vos mises à jour de statut privées.

Limiter l’audience des publications que vous avez ouvertes aux amis de vos amis ou au public ?

Si vous choisissez « amis », cela augmentera la confidentialité de toutes vos publications précédentes, de sorte que les inconnus ne pourront plus les voir.

Ensuite, vous pouvez choisir la manière dont les gens peuvent vous trouver et vous contacter.

Qui peut vous envoyer des invitations à devenir amis ?

Si vous ne souhaitez pas recevoir de demandes d’amis de la part d’inconnus, définissez cette option sur « amis de vos amis ». Malheureusement, il n’y a aucun moyen d’éviter complètement les invitations, mais cela en réduira considérablement l’occurrence.

Qui peut voir votre liste d’amis ?

Pour une sécurité optimale, définissez ce paramètre sur « amis » ou « moi uniquement ».

Qui peut vous trouver en utilisant l’adresse email/le numéro de téléphone que vous avez fourni(e) ?

Si vous craignez que des inconnus ou harceleurs vous trouvent via votre adresse e-mail ou numéro de téléphone, définissez ce paramètres sur « amis ». Vos amis peuvent déjà vous contacter par l’intermédiaire de votre compte, et n’ont donc aucune raison de vous chercher d’une autre manière.

Souhaitez-vous que les moteurs de recherche externes à Facebook indexent votre profil ?

Si vous sélectionnez « oui » pour cette option, les gens pourront trouver votre page Facebook en cherchant votre nom sur Google ou tout autre moteur de recherche. Pour une sécurité optimale, sélectionnez « non ».

À présent, accédez à vos paramètres « journal et identification » (« timeline and tagging ») pour finaliser le processus.

Qui peut publier dans votre journal ?

Pour empêcher les inconnus (et harceleurs) de publier dans votre journal, vous pouvez définir cette option sur « moi uniquement ». Toutefois, cela empêchera également vos amis de publier dans votre journal.

Qui peut voir ce que d’autres personnes publient dans mon journal ?

Ici encore, définissez ce paramètre sur « amis » ou « moi uniquement » afin que les inconnus ne puissent pas voir les publications d’autres personnes dans votre journal.

Évitez les harceleurs :

Si quelqu’un utilise Facebook pour vous harceler, vous pouvez l’empêcher de voir votre profil ou de vous contacter. Il vous suffit d’accéder à son profil et de sélectionner le menu déroulant représenté par trois petits points en haut de sa page. Ensuite, sélectionnez « bloquer ». Il ne pourra ni trouver, ni consulter votre profil, et il ne saura pas que vous l’avez bloqué.

Évitez le contenu inapproprié :

Dans la plupart des cas, le logiciel de censure de Facebook filtre le contenu inapproprié et préjudiciable de votre feed. Toutefois, vous pouvez également configurer Facebook pour filtrer les commentaires contenant des mots spécifiques et les éliminer de votre journal.

Revenez à vos paramètres « journal et identification », puis dans la catégorie « journal », sélectionnez l’option « Masquer les commentaires contenant certains mots ». Vous pourrez alors créer une liste de mots, de termes et même d’émoticônes que vous souhaitez éviter dans votre journal. Facebook se chargera de les bloquer à votre place.

Faites une pause :

Vous pouvez vous déconnecter de Facebook à tout moment, mais vous pouvez également désactiver temporairement votre compte pour une absence prolongée. L’intégralité de vos amis, publications et photos resteront dans votre profil pendant votre absence, mais personne d’autre ne pourra accéder à votre compte ou vous envoyer de messages jusqu’à votre prochaine connexion. C’est une excellente solution si vous souhaitez vous distancier des réseaux sociaux sans pour autant perdre votre contenu et vos souvenirs.

Pour désactiver votre compte, rendez-vous dans Paramètres > Général > Gérer le compte > Désactiver votre compte.

Twitter

Twitter

Quels sont les principaux risques sur Twitter ?

  • Twitter est un centre névralgique de l’activisme social et politique, ce qui peut parfois être éprouvant.
  • De par la nature extrêmement diversifiée du contenu de Twitter, vous risquez de tomber sur des tweets explicites ou provocateurs de temps en temps.
  • Les discussions sur Twitter aboutissement souvent sur des disputes passionnées, et les utilisateurs risquent d’être victimes de harcèlement en ligne.
  • Comme tous les réseaux sociaux, Twitter peut potentiellement créer une dépendance et interférer avec votre vie quotidienne.

Astuces pour vous protéger sur Twitter

Rendez vos tweets privés :

Lorsque vous définissez votre profil Twitter et vos publications sur privé, elles seront uniquement visibles pour vos « followers ». Lorsque qu’une nouvelle personne vous suit, Twitter vous envoie une notification et vous demande d’approuver ou de refuser sa demande. Toutefois, les comptes qui vous ont suivi avant de protéger vos tweets pourront toujours voir et interagir avec votre profil, sauf si vous les bloquez.

Pour protéger vos tweets, rendez-vous dans la section confidentialité des Tweets dans vos paramètres de confidentialité et de sécurité, et cochez la case à côté de « Protéger mes tweets ». Cliquez sur le bouton Enregistrer, saisissez votre mot de passe pour confirmer, et c’est tout bon !

Par ailleurs, vous pouvez faire en sorte que les personnes qui disposent de vos informations de contact ne puissent pas vous trouver sur Twitter à moins que vous ne les suiviez au préalable. Dans la page des paramètres de confidentialité et de sécurité, décochez les deux options de détectabilité.

Empêchez Twitter de publier vos informations de localisation :

À chaque fois que vous créez un tweet, vous pouvez choisir si Twitter publie ou non votre localisation. Par défaut, Twitter ne communiquera pas votre localisation à moins que vous n’ayez déjà opté pour le service.

Évitez les harceleurs en ligne :

Le processus de blocage d’un utilisateur sur Twitter s’apparente à celui de Facebook. À partir de son profil, cliquez sur l’icône « Plus » (trois points verticaux), puis sélectionnez « Bloquer » dans le menu. Ensuite, cliquez à nouveau sur « Bloquer » pour confirmer. Les personnes que vous avez bloquées ne peuvent ni suivre, ni voir votre profil Twitter. Twitter ne leur enverra pas de notification lorsque vous les bloquerez. Toutefois, si elles consultent votre profil, elles recevront un message les informant du blocage.

Évitez le contenu inapproprié :

Le meilleur moyen de vous assurer d’éviter le contenu que vous ne souhaitez pas voir sur Twitter est de suivre uniquement les personnes qui sont déjà vos amis, et de consulter uniquement le contenu de votre feed Twitter principal. Si vous explorez la fonctionnalité de recherche de Twitter ou examinez les hashtags, vous serez vulnérable au contenu inapproprié. Par défaut, Twitter affiche un avertissement avant d’afficher du contenu qu’il considère comme peu sûr pour un environnement professionnel. Toutefois, cet outil n’est pas précis à 100% et certains tweets peuvent passer à travers le filtre de Twitter.

Faites une pause :

La désactivation de votre compte Twitter est une solution permanente. Si vous souhaitez vous distancier de Tweeter à court terme, mieux vaut vous déconnecter. Vous pouvez désactiver complètement votre compte, mais vous risquez de perdre votre profil et vos tweets antérieurs.

Instagram

Instagram

Rendez votre compte privé :

À l’heure de publier des photos personnelles sur Instagram, la confidentialité est importante. Vous ne souhaitez sans doute pas que des inconnus puissent accéder à vos informations personnelles ou utiliser vos photos pour se faire passer pour vous en ligne.

Heureusement, vous pouvez rendre toutes vos publications privées et uniquement visibles pour vos amis. Pour ce faire, accédez à vos paramètres, puis sélectionnez « confidentialité du compte » et activez « compte privé ».

Les utilisateurs devront désormais vous envoyer une demande d’abonnement que devrez approuver avant qu’ils puissent consulter vos publications, vos abonnés et vos listes d’abonnements. Si une personne vous suivait avant de rendre votre compte privé et que vous souhaitez l’empêcher de voir vos futures publications, vous devrez la bloquer.

Évitez les harceleurs en ligne :

Comme la plupart des plateformes de réseaux sociaux, Instagram vous permet de bloquer facilement quelqu’un. Il vous suffit d’accéder au profil de la personne concernée, de cliquer sur le bouton « Plus » (représenté par les petits points) et de sélectionner « Bloquer ».

Une fois que vous bloquez quelqu’un, il ne pourra plus trouver votre profil, vos publications ou vos histoires. Instagram n’informera pas les utilisateurs bloqués.

Évitez le contenu inapproprié :

Bien que la publication de contenu explicite soit contraire aux politiques d’Instagram, certains utilisateurs ne se privent malheureusement pas de le faire. Comme pour Twitter, le meilleur moyen d’éviter de tomber sur du contenu explicite est de consulter uniquement le profil des personnes en qui vous avez confiance et d’éviter d’explorer les hashtags.

Faites une pause :

Si vous souhaitez vous distancier un peu de votre compte Instagram, connectez-vous à partir d’un navigateur Internet mobile ou de bureau, accédez à votre profil, puis cliquez sur « modifier le profil ». Sélectionnez « Désactiver temporairement mon compte » et suivez les instructions. Tous vos abonnés et votre contenu vous attendront patiemment jusqu’à ce que vous soyez prêt à vous reconnecter.

8 Les rencontres en ligne et les TSA

Les rencontres en ligne sont un excellent moyen de vous faire de nouveaux amis, voire plus si affinités, mais s’accompagnent de dangers non négligeables. Les personnes que vous rencontrez via des sites de rencontre en ligne ne sont pas toujours celles qu’elles prétendent être, et les « catfish » sont très répandus.

Un « catfish » est une personne qui crée un profil de rencontre en ligne en se faisant passer pour quelqu’un d’autre. Elle peut utiliser un faux nom, de fausses images et une fausse histoire, entre autres, pour que vous vous représentiez une image mentale d’une personne qu’elle n’est pas.

Sécurité des rencontres en ligne

Il n’est pas toujours évident d’identifier les « catfish ». Par conséquent, vous trouverez ci-dessous des astuces pour vérifier si quelqu’un vous ment sur son identité.

Si vous faites des rencontres sur Internet, gardez à l’esprit les conseils suivants :

  • Prenez toujours le temps de discuter avec quelqu’un et d’apprendre à le connaître avant d’accepter de le rencontrer en personne.
  • Demandez-lui de discuter par vidéo ou téléphone pour vérifier qu’il s’agit bien de la personne sur la photo. Les personnes qui n’ont rien à cacher concernant leur identité n’émettent généralement aucune objection, et seront également rassurées de leur côté.
  • Demandez-lui également de l’ajouter sur Facebook si vous avez un compte. Vous pourrez ainsi consulter son profil, ses photos et ses amis pour vous faire une meilleure idée de son identité.
  • Proposez toujours un lieu public animé comme lieu de rencontre, par exemple un café en journée. Assurez-vous que d’autres personnes soient présentes pour vous aider en cas de problème, et envisagez de demander à un ami ou à un proche de vous accompagner.
  • Ne communiquez jamais d’informations personnelles telles que votre adresse, même si la personne propose de venir vous chercher.
  • Assurez-vous de pouvoir vous rendre au lieu de rendez-vous de manière autonome et en toute sécurité. Ainsi, vous n’aurez pas à demander à la personne de vous raccompagner si le courant ne passe pas.

9 Comment savoir si quelqu’un est vraiment la personne qu’il prétend être ?

La plupart des gens que vous rencontrez en ligne disent la vérité sur leur identité, mais certains peuvent utiliser de faux profils conçus pour vous attirer et vous manipuler. Heureusement, il est généralement facile de vérifier si une personne ment sur son identité grâce à quelques astuces simples.

Vérifiez leur photo :

Vérifiez si leur photo de profil est celle d’une personne réelle.

Si vous retrouvez la même personne sur d’autres photos de leur compte, il est probable qu’elles soient sincères. Vous pouvez enregistrer l’une de ces photos sur votre ordinateur et utiliser la recherche d’image inversée de Google pour voir si elle apparaît ailleurs en ligne.

Si vous la trouvez sur de nombreux sites, la photo est peut-être volée. Toutefois, si elle apparaît uniquement sur leur profil, il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une photo d’eux.

Vérifiez leur nombre d’amis :

Ont-ils d’autres amis sur leur compte ? Si vous êtes leur seul ami, ils utilisent peut-être un faux profil pour vous atteindre.

S’ils ont d’autres amis, ces derniers publient-ils des choses dans le journal ou sur le profil de la personne en question susceptibles d’indiquer qu’ils se connaissent vraiment ? Dans le cas contraire, cette personne utilise peut-être un faux profil pour attirer plusieurs cibles qui ne l’ont jamais rencontrée auparavant.

Vérifiez les mises à jour de leur statut et leurs publications :

Leurs mises à jour de statut sont-elles régulières, et concernent-elles leur vie quotidienne ? Ou publient-ils principalement des liens et publicités ? S’ils publient principalement des liens et annonces, ils utilisent probablement un faux profil pour arnaquer des gens ou vendre quelque chose.

Secret:

Vous ont-ils demandé de ne parler d’eux à personne ? Le cas échéant, cela indique qu’ils pourraient avoir de mauvaises intentions et ne sont pas de vrais amis.

Argent:

Vous ont-ils demandé de l’argent, ou vous ont-ils dit qu’ils se trouvaient dans une situation délicate et qu’ils avaient besoin d’une aide financière ? Le cas échéant, ils se font probablement passer pour un ami pour vous arnaquer.

Si vous pensez que votre ami en ligne n’est pas la personne qu’il prétend être, cessez immédiatement de lui parler et bloquez son compte.

10 Indicateurs de dangers potentiels en ligne

Si vous vous sentez contrarié, mal à l’aise ou en danger, votre situation en ligne pourrait être sérieusement menacée. Il est important d’écouter votre for intérieur et de mettre fin à la situation avant qu’elle ne se dégrade. Vous devrez peut-être bloquer la personne responsable de ce sentiment, ou solliciter l’aide d’un tiers, par exemple un proche ou la police.

Si l’un de vos amis en ligne n’est pas cohérent dans ses propos, il est possible qu’il mente sur son identité. Vous pouvez appliquer les astuces ci-dessus pour vérifier s’il vous dit la vérité, et dans le cas contraire, le supprimer de votre réseau en ligne.

Le harcèlement en ligne est courant sur les réseaux sociaux. Si une personne se montre cruelle envers vous ou d’autres personnes, elle n’en vaut pas la peine. Nous vous conseillons de signaler les commentaires cruels à l’administrateur du site Web, puis de la bloquer pour l’empêcher de vous contacter ultérieurement.

Si quelque chose semble trop beau pour être vrai, c’est probablement le cas. Méfiez-vous toujours des arnaques. Si un inconnu ou ami vous propose quelque chose qui vous semble louche, par exemple un cadeau en échange d’un clic sur un lien, évitez-le à tout prix. En cas de doute, vous pouvez faire des recherches sur Google ou même sur Snopes.com pour savoir s’il s’agit d’une arnaque.

11 Astuces pour améliorer la sécurité de vos enfants sur Internet

Tous les parents devraient se soucier de la sécurité de leurs enfants sur Internet, que ces derniers soient atteints de TSA ou non. Voici quelques astuces et conseils pour vous aider à garantir la sécurité de vos enfants en ligne et éviter certains des dangers d’Internet.

Façons d'améliorer la sécurité Internet de votre enfant
  • Laissez l’ordinateur de votre famille dans un espace commun, par exemple le salon ou la cuisine. Ainsi, vous pouvez garder un œil sur les cercles de relations en ligne de vos enfants.
  • Créez des rappels visuels et affiches avec des conseils de sécurité sur Internet, et affichez-les à proximité de votre ordinateur. C’est également une excellente occasion d’aborder la sécurité Internet avec vos enfants et de vous mettre d’accord sur certaines règles.
  • Informez vos enfants sur la sécurité en ligne, assurez-vous qu’ils en comprennent l’importance et renouvelez régulièrement leurs connaissances.
  • Créez différents scenarios avec vos enfants pour leur apprendre à réagir face aux dangers en ligne dans un environnement sécurisé. Vous pouvez créer un compte sur la plate-forme qu’ils utilisent et l’utiliser pour leur envoyer des messages dans le cadre du jeu de rôle, afin de le rendre plus réaliste.
  • Rédigez et tenez-vous à une liste stricte de temps d’utilisation d’Internet afin de prévenir les problèmes de dépendance à Internet. Vous pouvez même diviser le temps en ligne en différentes catégories, par exemple le jeu ou les études, et l’intégrer également à la liste.
  • Rangez tous les dispositifs électroniques environ deux heures avant le coucher afin de favoriser un sommeil de qualité.
  • Utilisez des filtres de contenu Internet comme Net Nanny pour surveiller et limiter l’activité de navigation de vos enfants. Ces programmes limiteront également leur accès au contenu inapproprié et à tout autre site Web que vous décidez de bloquer.
  • Installez des navigateurs Internet adaptés aux enfants, comme par exemple KidSplorer. Ils sont visuellement attrayants pour les enfants et sécurisent leur navigation sur Internet. Comme avec un filtre de contenu, ils pourront uniquement accéder aux sites Web que vous avez spécifiés et bloqueront même l’accès à Internet à certaines heures.
  • Établissez un plan d’action avec eux pour qu’ils sachent comment réagir et à qui s’adresser en cas de harcèlement en ligne.
  • Posez-leur naturellement des questions sur leurs amis en ligne et les sujets dont ils parlent, comme si vous leur demandiez comment s’est passé leur journée à l’école.
  • Fournissez-leur une liste de contrôle des informations qu’ils ne sont pas autorisés à communiquer par Internet, par exemple leur nom complet, leur date de naissance, leur adresse et le nom de leur école.

12 Conclusion

Pour résumer, l’essentiel est de s’assurer que vous êtes en sécurité sur Internet. Renforcez vos mesures de sécurité en ligne. Informez-vous et restez vigilent.

Les personnes qui présentent des TSA sont plus exposées que les autres aux menaces en ligne. Nos conseils pour rester en sécurité en ligne sont donc d’autant plus importants pour elles.

Les harceleurs et arnaqueurs en ligne feront malheureusement toujours partie du décor sur Internet. Il est donc de votre responsabilité de prendre les précautions nécessaires pour vous protéger des attaques.

Suivez nos conseils pour repérer les situations suspectes, et prenez des mesures pour vous protéger si vous vous sentez menacé.

Ce Guide de sécurité Internet traite des domaines clés à surveiller et de la manière de faire face aux menaces. Profitez de votre temps en ligne, mais n’oubliez pas de redoubler de prudence sur Internet !




Le code de Nuremberg — prise de conscience bioéthique

[Source : AgoraVox]

Par eau-du-robinet.fr

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un tribunal est constitué pour juger les principaux dirigeants nazis. Il est connu sous le nom de Tribunal de Nuremberg, une ville de Bavière. L’accord menant à sa création a été signé à Londres par des représentants des puissances victorieuses, dont la France.
SOURCE

L’importance du Code de Nuremberg conçu notamment pour juger les crimes commis par des médecins sur des déportés, tient à ce qu’il a constitué le point de départ de la prise de conscience sur les dangers des progrès de la science avec les dérives qu’elle peut susciter, et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles. Ça été la naissance du code de Nuremberg et de la prise de conscience de la bioéthique.

La science est à la dérivé depuis des dizaines d’années, prise en otage par un groupe de personnes pour lesquelles les intérêts financiers priment sur notre santé et notre bien être. La science est aux mains des faussaires.

Il est important d’éveiller la conscience des scientifiques, en particulier celle des médecins, et bien évidement de toute la population pour défendre plus que jamais les valeurs humanistes et démocratiques.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.



Voici les 10 points du code Nuremberg

Le code de Nuremberg – 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent où y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Source

Quand on regarde les chiffres institutionnels on constate qu’on n’a pas affaire à une pandémie mais à une épidémie ; Or les médias ont fait bouillir la marmité de la désinformation pour semer une peur infondée, celle de mourir, en exagérant la dangerosité, déformant gravement des faits, en manipulant les chiffres, en donnant la parole essentiellement aux personnes ayant des conflits d’intérêts ! Ils ont osé d’interdire aux médecins les traitements ambulatoires précoce et inventé le mensonge qu’il n’existe aucun remède contre le Covid, pour nous imposer les vaccinations à perpétuité !

https://www.youtube.com/embed/6D3ZR_rg6cc

Pour rappel des faits, de la réalité, voici les vrais chiffres émanant des instituts français :

Voici un premier rapport :
Le rapport de l’I.R.SAN. l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté, datant du 25 Mars 2021, confirme l’analyse de DR Astrid Stuckelberger, citation du rapport : L’épidémie, qui a touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans, (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (+3,72 % d’excès pour cette classe d’âge).
Voici le rapport

Voici un deuxième rapport :
Mr Martin Blachier, médecin français spécialiste en santé publique, se réfère au rapport de la A.T.I.H. (Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation) sur le COVID. Cette agence gère tous les systèmes d’informations des hôpitaux du territoire français, dont toutes les hospitalisations. 

Au cours de l’année 2020, les patients Covid représentait : 5% de l’ensemble des patients pris en charge dans les services de réanimation, ET 2% de l’ensemble des patients tout champs hospitaliers confondus.
Voici le rapport la A.T.I.H. datent d’Octobre 2021

L’irruption de la conscience bioéthique

Le 9 décembre 1946 s’ouvre devant le tribunal militaire américain de Nuremberg (Allemagne) le procès de vingt-trois médecins et scientifiques, accusés notamment d’avoir réalisé des expérimentations médicales sur des êtres humains durant la seconde guerre mondiale. Ce procès suit de quelques semaines celui de dirigeants nazis mené à Nuremberg par le Tribunal militaire international. Même si le procès des médecins, qui s’est achevé le 19 août 1947, s’est déroulé selon la procédure américaine, le jugement prononcé le lendemain est considéré comme une décision pénale internationale. Il comprend une liste de critères pour apprécier le caractère légal, ou non, des expérimentations médicales – liste connue sous le nom de code de Nuremberg.

Les principes érigés dans ce texte de portée universelle qui intervient quelques mois avant la Déclaration universelle des droits de l’homme (consentement, information loyale, justification scientifique et conditions éthique de mise en œuvre de la recherche, évaluation des risques encourus), seront repris par la suite au sein de l’Association médicale mondiale dans la Déclaration d’Helsinki régulièrement adaptée aux évolutions scientifiques depuis sa première version, en 1964.
Source

Citoyennes, citoyens, c’est l’heure de vous réveiller, même si c’est déjà presque trop tard, car les dégâts sont énormes et irréparables, pour défendre notre liberté, notre santé, notre intégrité, nos valeurs humanistes, car il est inacceptable de nous laisser transformer progressivement en cyborg comme c’est envisagé par Laurent Alexandre et autres transhumanistes dont certains très fortunés comme Elon Musk.




Nous n’avons pas mis nos enfants au monde pour qu’ils servent de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques !

Bonjour,

Comme vous le savez, en un an de campagne de « vaccination » anti-Covid-19, parmi les plus de 50 millions de citoyens français « vaccinés », plus de 1300 personnes ont été signalées aux services de pharmacovigilance comme ayant perdu la vie suite à ces injections.

À la veille du lancement d’une campagne équivalente ciblant des millions d’enfants (dans un premier temps, ceux âgés de 5 à 11 ans), de nombreux experts et personnalités, impliqués dans la résistance aux mesures dites sanitaires imposées par le gouvernement français, ont alerté sur le caractère scandaleux de ce projet « vaccinal » pédiatrique.

Ayant découvert que plus de 22 000 enfants de moins de 12 ans avaient déjà été piqués avec des doses non adaptées à ces enfants et non validées par les instances responsables des processus de validation d’autorisation de mise sur le marché, nous désirons relayer le plus massivement possible l’appel de plusieurs personnalités exigeant l’arrêt immédiat de ces expérimentations sur les enfants.

Dans ce contexte, ci-joint, nous vous transmettons la copie d’un courrier destiné aux autorités sanitaires nationales ; courrier que plusieurs de ces personnalités ont co-signé.

Nous vous serions extrêmement reconnaissants de bien vouloir diffuser cette lettre appelant les autorités sanitaires à faire connaître les rapports de suivi de la « vaccination » illégale de ces 22 490 enfants, avant qu’elle ne soit étendue à des millions d’autres enfants de moins de douze ans.

Un très grand merci, par avance, pour votre intérêt et pour ce que vous pourrez faire pour les enfants de notre pays !

Le collectif INSEME de Porto-Vecchio

COURRIER NATIONAL DES LEADERS RÉSISTANTS UNIS POUR LA VÉRITÉ

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE
POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai 2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021 !(([1] “…la vaccination des enfants de moins de 12 ans, celle-ci n’est “pas à l’ordre du jour” et ne devrait pas être envisageable “avant le début de 2022”, selon M. Fischer, qui a souligné que les essais cliniques relatifs à cette population commençaient à peine. »
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-la-vaccination-des-adolescents-pourrait-commencer-courant-juin-selon-alain-fischer_6081022_3244.html))

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de « vacciner » des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits !(([2] À ce jour, pour le CCNE, la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable, en grande partie parce qu’il n’existe aucune étude évaluant la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dans cette population. D’ailleurs, aucun pays n’a actuellement pris la décision de vacciner ses jeunes enfants.
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/enjeux_ethiques_relatifs_a_la_vaccination_covid_08.06.21_0.pdf))

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier(([3] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/23/covid-19-qui-sont-les-17-000-enfants-de-moins-de-12-ans-deja-vaccines_6103239_4355770.html?fbclid=IwAR14JGyvYxszOnLzKCZVzMlWio2u4woiWH5vlixs68pcnfdiT5tvfCkqsOE)), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là ?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021) ?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22 490 enfants français ?

Nous exigeons que la lumière soit faite sur cette scandaleuse affaire et que les rapports de pharmacovigilance soient publiés AVANT que ne débute la campagne d’injections prévue pour le 15 décembre prochain.

Fait à Paris, le 11 décembre 2021

Signataires : Martine Wonner, Virginie de Araujo-Recchia, Nicole Delépine, Alexandra Henrion Caude, Yoanna Micoud, Laurent Mucchielli, Benoît Ochs, Jean-Marc Sabatier, Pierre Barnérias, Louis Fouché, Pascal Sacré, We for Humanity — une association humanitaire fondée par des survivants de l’Holocauste et leurs descendants, Collectif Soignants Militants Libres et Unis, Sébastien Recchia, Jean-Pierre Eudier, LNPLV, Le Collectif des Maires Résistants, Collectifs corses INSEME et INSEME SCOLA, Antennes de RéinfoCovid (Vaucluse, Var, 84, 13, 05 et Soignants) Jacqueline D’Antuoni, Sylvain d’Antuoni, Stefan Litty, Lionel Million, Lucette Istace, Marie Anne Andreani, Isabelle Bocognani, Jackie Giraud, Jean-Marc Sabatier, Fabrice Martineu, Nathalie Biancarelli, Michel Biancarelli, Laure Vignot, Alain Schollaert





Lettre ouverte à Cédric Villani (médaille Fields 2010, député de l’Essonne)

Par Karen Brandin

Cher Cédric Villani,

Lors de la sortie en Novembre 2013 du film d’Olivier Peyon au titre tristement prédestiné : « Comment j’ai détesté les maths », j’avais eu l’occasion comme tant d’autres passeurs anonymes de cette fascinante discipline, d’échanger avec vous par mails.

Vous étiez dans « votre première vie » si l’on peut dire ; celle que je comprenais mieux sans doute, celle loin de la politique en tous cas. Nous avons tous gardé en mémoire quel ambassadeur des mathématiques passionné et passionnant vous étiez alors. Sous votre impulsion, votre égide, les maths allait enfin avoir, en plein cœur de Paris, leur “maison” : la maison Poincaré (http://www.maison-poincare.fr/).

Nous avions naturellement un espoir ravivé, presque enfantin, que cette discipline trouverait grâce à vous notamment, toute sa place dans l’éducation ou plutôt, retrouverait un rayonnement terni, en particulier dans le cadre du lycée puisque tout commence là : la confiance, les vocations bien sûr, le goût du doute, celui de la découverte, des débats enflammés mais toujours constructifs et surtout l’émergence de la pensée critique. Celle qui rend libre et qui nous fait si cruellement défaut aujourd’hui.

Depuis lors, nous avons malheureusement essuyé de bien lourdes désillusions avec la réforme Blanquer, une réforme de déconstruction, de désinstruction massive aussi, qui a littéralement détruit la possibilité d’enseigner dignement cette discipline dans le cadre du secondaire. On pourra toujours nous rétorquer que cette réforme, c’est « pour le pays, c’est pour la magie, » ce sont bien des larmes que l’on a dans les yeux, pas des paillettes.

Ce faisant, parce que le savoir fonctionne par ricochet, c’est la qualité de l’enseignement supérieur que l’on a pris le risque d’hypothéquer et ce, à très court terme. Avec lui, par voie de conséquence, la réputation d’excellence des chercheurs français. Il y a à peine quelques mois, un dirigeant de Thalès impliqué dans des problèmes de cybersécurité, se félicitait sur les ondes de France-Info de la qualité des mathématiciens en cryptographie (une branche de la théorie algébrique des nombres) que lui fournissait l’université française. Il se pourrait que cette source de créativité se tarisse rapidement et que la compétitivité de la France ait à en pâtir. Certains grands groupes d’écoles d’ingénieurs, sans doute conscients que le lycée n’était plus en capacité de jouer son rôle de tremplin, ont décidé de renoncer à organiser des concours assez exigeants de recrutement en privilégiant désormais les “examens” oraux éventuellement en visio (on pense à Advance notamment), quand il ne s’agit pas de simple entretiens de motivation.

Est-il utile de rappeler que cette discipline est désormais optionnelle au sens où de jeunes gens de 16 ans à peine peuvent prendre la décision, certes libre mais probablement peu éclairée, d’interrompre leur formation à l’issue de la classe de seconde ?

Les maths, loin de renouer avec un quelconque rayonnement et auxquelles l’on reproche si injustement d’être élitistes en oubliant que tout ce qui vaut la peine est difficile (les maths sans aucun doute, mais comme le reste), connaissent au contraire et ce, dans un mutisme assourdissant, le destin tragique des langues mortes. Elles pourtant si vivantes, si foisonnantes.

« Théorème vivant »(7), c’est bien le titre de l’un de vos ouvrages ?

On nous a vanté les mérites d’une réforme qui devait permettre de sélectionner les vrais esprits scientifiques comme on dit, tout en mettant fin à l’hégémonie supposée de la section S et la rancœur que cette situation générait. Finalement, les élèves dont les aptitudes en maths sont les plus prometteuses, ceux qui ont besoin et envie de comprendre, se détournent de cet enseignement proche du “gavage” dont ils sortent écœurés et ce sont les élèves les plus dociles, souvent les plus indifférents aussi, ceux aussi qui vont accepter d’ingurgiter une masse de connaissances sans passion et sans haine, qui résistent le mieux à cette maltraitance.

A la question : « Vous m’apprendrez par cœur l’annuaire », on devait privilégier les élèves qui répondraient : « Pour quoi faire ? » ; on conserve au contraire les élèves qui nous disent : « C’est pour quand ? »

De manière plus triviale encore, le problème majeur facile anticipé pourtant, qu’a engendré la disparition des sections est que se retrouvent soumis à un même enseignement dont l’exigence et l’ambition sont réels, des profils très/trop hétérogènes. Il y a des élèves qui auraient été à l’aise dans un enseignement de première ES et se retrouvent noyés en spé maths dont la sensibilité est plus proche de l’ancienne section S. Cela conduit fatalement à un fort nivellement du niveau par le bas pour essayer tant bien que mal, de mener tout le monde au port. Alors bien sûr, à peine déposés sur le quai, un seul cri rassemble ces jeunes : « courage, fuyons ! ».

Il serait trop long de revenir sur l’imposture de l’option si improprement nommée : « maths complémentaires », plébiscitée au départ par les élèves comme un compromis acceptable avant, depuis, un rejet massif pour « tromperie. » Ces derniers imaginaient sans doute être confrontés à des notions très élémentaires de probabilités ou de statistiques quand il s’agit en réalité d’un programme ambitieux visant à donner des bases pour faire de la physique dans des conditions réalistes tout simplement. Car avec cette réforme absurde, il est désormais impossible de conserver le triptyque : maths, physique, SVT. Il faut désormais choisir deux spécialités seulement. Sauf que choisir, c’est renoncer … à 17 ans.

Quant aux maths dites expertes, ces dernières n’étant pas sanctionnées par un examen de fin d’année contrairement à l’ancienne spé maths dans la feue terminale S, on retrouve dans cet enseignement des élèves parfois très faibles, tellement dépassés qu’ils ne sont pas en mesure de tirer un quelconque bénéfice de ce qui devait être un complément de formation. Je ne reviens pas sur l’absurdité d’avoir extrait du tronc commun le chapitre sur les nombres complexes.

Si l’erreur est humaine, persévérer est diabolique dit-on. Les conséquences de cette désastreuse réforme n’ayant pas tardé à se faire sentir, il fallait l’abroger et revenir dans un premier temps, en arrière. Si l’on souhaitait rétablir des sections d’excellence avec un enseignement de qualité et des profils marqués mais équilibrés, peut-être fallait-il simplement renouer en terminale et donc à l’issue d’une première S, avec les sections C, D et E d’autrefois (une époque que je n’ai pas connue malheureusement, la qualité de l’enseignement ayant commencé à se dégrader il y a une trentaine d’année. On assiste là juste à l’estocade finale.).

« Comment je vais finir par détester les maths ? », ce n’est pas encore une question qui s’impose à nous, enseignants de toutes origines mais détester la manière dont on est contraints de les transmettre : assurément.

À savoir dans une urgence qui est incompatible avec la notion même d’éthique pourtant au cœur de ce métier, comme de tant d’autres. Les maths sont une discipline du temps long ; même si l’on est dans une période où l’on n’en finit pas de s’arranger avec les faits, il faudra faire avec celui-là. Les notions demandent une maturation pour être pleinement assimilées. Est-il utile de rappeler cette citation pleine de sagesse d’Einstein :

“Un étudiant n’est pas un conteneur que vous devez remplir mais une torche que vous devez allumer.”

Cette réforme nous prive de combustible.

Pour « être en marche » comme le souhaite décidément cette société frénétique, addict à l’agitation et allergique à la réflexion, au mûrissement des idées, il faut savoir se pauser parfois et se donner le temps d’oublier pour mieux apprendre.

Je vous demande donc de prendre en compte ce cri d’alarme et d’alerte ; c’est tout à la fois un appel confraternel au mathématicien doublé d’un appel politique au député.

Il y a quelques jours, un communiqué conjoint de la SMF et de l’APMEP(1) est revenu sur les dérives de l’enseignement des mathématiques en France ; ce dernier fait suite à quelques articles dans le Canard Enchaîné, la Croix(2) ou encore Libération(3) qui se sont faits l’écho de cette agonie programmée. C’était hier au tour d’Europe 1(4) de s’inquiéter de la chute vertigineuse du niveau dans cette discipline.

Je crois savoir que l’APMEP projette de saisir les parlementaires autour des difficultés que génère et amplifie cette réforme absurde, notamment cette échéance intenable de l’épreuve de spécialité prévue au mois de Mars. Je me permets donc de vous demander de considérer très sérieusement les requêtes qui seront exprimées à cette occasion.

Programmer une épreuve en mars sur moralement les 2/3 du programme à un effet doublement pervers : cela oblige les profs à parcourir au pas de course, sans aucun temps de respiration, des notions parfois délicates, privilégiant le conditionnement, le réflexe au raisonnement argumenté si bien ce sont ces élèves exaspérés, débarrassés de l’échéance fatidique -pour ne pas dire, du diktat – de Parcoursup, que comme l’an passé, on ne parviendra plus à motiver pour achever le programme estimant par là-même que le calcul intégral, pour ne citer que lui, constitue un pan des maths… secondaire. On appréciera.

Vous devez être pour le corps enseignant en mathématiques, et ce d’où qu’il vienne, un interlocuteur privilégié et fiable.

On ne demande rien de démesuré ou d’impossible ; nous souhaitons simplement pouvoir transmettre aux jeunes générations dans un temps et des conditions acceptables ce que l’on a reçu : une éducation digne et un cursus scientifique équilibré et stable. Bref, de quoi participer à la construction de citoyens autonomes et clairvoyants, capables de développer des outils d’auto-défense intellectuelle.

C’est un devoir. Vous avez je crois dans votre cursus, bénéficié d’interlocuteurs de qualité, de professeurs investis et curieux qui, avec la géométrie du triangle pour ne citer qu’elle, ont su vous émerveiller et aiguiser votre soif d’apprendre, de comprendre. Vous avez souvent évoqué cette influence. Ces conditions optimales d’apprentissage doivent être préservées, défendues.

Nous connaissons votre admiration pour les travaux et la personnalité engagée d’Henri Poincaré. On ne peut que le rejoindre lorsqu’il disait :

“On fait de la Science avec des faits comme une maison avec des pierres ; mais une accumulation de faits n’est pas plus une science qu’un tas de pierres n’est une maison.”

Nous sommes en train de trahir cette pensée tout simplement ; les programmes de première et de terminale ne sont plus qu’une accumulation de chapitres parcourus sans cohérence souvent, à grand renfort de séquences, de compétences à acquérir, avec une unique obsession : « être dans les temps, quoi qu’il en coûte » et ce n’est pas acceptable.

Nous, enseignants, avons prononcé, en silence seulement, notre « serment d’Hippocrate » et souhaitons le respecter.

C’est collectivement, c’est-à-dire toutes disciplines confondues car si « elles ne mourront pas toutes, toutes seront frappées, » que nous devons réagir. Il ne faut jamais perdre de vue que ces jeunes gens que l’on forme si vite, si mal, sont les profs, les chercheurs, les ingénieurs de demain.

Aux futurs ministres de l’Éducation ainsi que de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, nous disons : « A bon entendeur, salut » avec en prime le même avertissement que celui que l’on peut lire sur les voies ferrées à propos des trains : « une crise peut en cacher une autre… »

En vous remerciant de votre attention.

Bien Sincèrement

Karen Brandin
Enseignante en structure hors contrat
Docteur en Théorie Algébrique des Nombres

PS : On pourra lire en complément :




Cadeau (pour temps meilleurs) : les collabos de la répression sanitaire

[Source : E&R via Sott.net]

[Photo : Le croque-mitaine Gilles Pialoux : « un des principaux facteurs de contamination chez les adultes reste le fait d’avoir un enfant chez soi »]

Rien ne serait possible dans le covidisme, c’est-à-dire le terrorisme sanitaire de l’oligarchie, sans la complicité active et traîtresse du pack médiatique qui parle d’une seule voix, celle de son maître.

Ces créatures, qu’on ne peut plus compter parmi nos frères humains au sens humaniste, n’ont que la bave aux lèvres et la répression à la bouche. Ils sont tous devenus des inquisiteurs, des traqueurs de résistants, des délateurs au petit pied, qui un jour découvriront qu’après la collaboration, il y a la libération…

Certains, dans le domaine sanitaire, ou insanitaire, vont tellement loin que leur sort est déjà scellé, en termes d’appartenance ou d’éloignement par rapport au groupe humain.

Mais d’autres, même en haut lieu, ont senti le danger, et rétropédalent doucement, pour que les vrais maîtres ne s’en aperçoivent pas trop. On sent qu’on est en 1942-1943, après Stalingrad, que le vent peut tourner, et qu’il faut garantir son avenir, vu le Nuremberg sanitaire qui se profile, annoncé par Raoult en 2020 et Di Vizio en 2021.

Ambivalent, l’inquiétologue Delfraissy est capable de jouer sur les deux tableaux, on n’est jamais trop prudent…

Dans la veine de l’ambigu Delfraissy, il y a évidemment l’inclassable Blachier, qui joue sur plusieurs tableaux lui aussi, et du jour au lendemain, au point que beaucoup d’antivax et d’anti-pass en sont désorientés.

Commentaire [Sott.net] : Dernières saillies de Martin Blachier sur CNews hier :



Prudent Blachier, qui voit que son camp – répressif – va décidément trop loin. On se répète, mais chez les plus durs, les plus radicaux, les plus acharnés des covidistes, quelque chose a lâché, mentalement.
Voici le petit dernier de la liste : Yonathan Freund. Il promet, celui-là !

Nous sommes plus que jamais dans la guerre des 1 % contre les 99 %. Il s’agit de pouvoir, pour les politiques qui l’avaient perdu progressivement sur les peuples depuis la naissance du Net, et qui le récupèrent avec le covido-terrorisme, mais aussi d’argent, pour les multinationales – du Big Tech, du Big Pharma et du Big Bank – qui sont intéressées dans cette opération mondiale et mondialiste, et qui en sont les commanditaires officiels.

Sauf qu’en bas, malgré les bataillons de policiers qui remplacent les bataillons de soignants manquants (vérifier si d’anciens soignants ne seraient pas devenus de nouveaux flics), volontairement écartés du soin de la nation, tout ne se passe pas comme prévu. En termes de résistance et de libération, la Guadeloupe est en avance sur la métropole.

C’est le noyau dur des résistants qui permet à un panel plus large de Français, pourtant vaccinés, mais de plus en plus sceptiques depuis l’annonce d’un énième variant et d’une 4e piqûre, de peut-être changer d’avis, pour inverser enfin le sens de l’histoire contemporaine française.

Et puis, au milieu du delirium covidique jaillissent ici et là des raisons de se réjouir, des petites victoires qui sont comme des petites bulles, qui s’agglomèrent dans la casserole nationale qui bout, qui bout, à l’image de la bête immonde (pour l’oligarchie) qui monte, qui monte…

Bravo aux soignants résistants !




La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Grande-Bretagne — Selon la chambre des Lords, les preuves sont insuffisantes pour rendre la vaccination obligatoire chez les soignants

[Source : REINFOCOVID]

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords.

La chambre des Lords est la chambre haute du parlement britannique dont le rôle s’apparente à celui du Sénat français.

Un article, paru dans le British Medical Journal, rapporte les échanges entre l’équivalent du Ministère de la Santé et la Chambre des Lords.

Les points importants de ce débat politique britannique sont les suivants :

  • Les plans du gouvernement n’ont pas fait l’objet d’une réflexion approfondie selon la chambre ;
  • 126 000 soignants quitteraient leur emploi si la vaccination devenait obligatoire, selon la chambre ;
  • Le gouvernement ne propose pas de plan d’impact de cette perte de soignants ;
  • Cette obligation vaccinale des soignants engendrerait un surcoût de 270 millions de livres sterling.

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords

Traduction de l’article

https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf

Un comité de la Chambre des Lords a soulevé plusieurs préoccupations concernant la proposition de loi visant à rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 pour l’ensemble du personnel soignant en Angleterre, particulièrement de savoir si le bénéfice de la vaccination des 8 % des soignants non vaccinés était proportionnée et comment le système de soin ferait face à la perte des 5,4 % qui ne veulent pas être vaccinés.

Le Secondary Legislation Scrutiny Committee a déclaré que les plans du gouvernement n’avaient pas fait l’objet d’une réflexion approfondie, empêchant la chambre des Lords d’examiner la proposition de loi.

Le 9 novembre, le ministre anglais de la santé et de l’aide sociale, Sajid Javid, a annoncé que tous les membres du personnel travaillant dans des établissements de santé et d’aide sociale réglementés par le gouvernement britannique seraient tenus de se faire vacciner d’ici le 1er avril. « Nous devons éviter les dommages évitables et protéger les patients du système de soins, nos collègues du système de soins et le système de soins lui-même.

Mais dans un rapport publié le 30 novembre, la commission a déclaré que l’avantage d’augmenter la couverture vaccinale du personnel “peut être marginal” et que le gouvernement n’a pas publié de plans d’urgence sur la façon dont il ferait face à la perte de personnel qui ne veut pas du vaccin.

Le rapport indique que sur les 208 000 membres du personnel du Système de Santé National qui ne sont pas actuellement vaccinés, 54 000 (26 %) se feraient vacciner en vertu de la loi et 126 000 (61%) quitteraient leur emploi.

“Étant donné que l’on s’attend à ce que la législation entraîne des coûts supplémentaires de recrutement et de formation de 270 millions de livres sterling et des perturbations majeures de l’offre de soins à la fin de la période de grâce, des preuves très solides devraient être fournies pour soutenir ce choix politique.

Le DHSC [Department for Health and Social Care] (NDLR : équivalent du ministère de la Santé) n’a pas fourni de telles preuves”, a-t-elle déclaré.

La commission a également critiqué le ministère pour ne pas avoir inclus dans la législation des détails pratiques sur comment des expressions telles que “face à face” ou “autrement engagé” seraient appliquées, renvoyant à la place à des directives qui seront produites à l’avenir.

Le président de la commission, Robin Hodgson, a déclaré : “Nous sommes tout à fait favorables à des niveaux élevés de vaccination, mais le DHSC est responsable de ses décisions devant le Parlement et doit nous donner une idée claire sur les effets de ces réglementations, sur de l’effet de l’inaction et de toute autre solution envisagée, afin que le Parlement comprenne pleinement toutes les conséquences de ce que le DHSC lui demande d’accepter.

Ceci est particulièrement important lorsque le Système National de Santé est déjà soumis à une telle pression.

“Le DHSC n’a fourni aucune déclaration cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener, et cela nuit à la capacité de la Chambre à entreprendre un examen efficace de la législation proposée.”

Références

Référence : https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf  BMJ 2021;375:n2957 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.n2957




Totalitarisme sanitaire avant 3e guerre mondiale ?

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

« Nous ne vivons pas en république »

Valérie Bugault




France — réforme du Lycée, la formation en mathématiques en question

[Source : Société Mathématique de France (emath.fr)]

[Photo : © Getty Images]

La réforme du lycée conduit à une réduction inquiétante de l’enseignement des mathématiques au lycée, en contradiction avec les défis scientifiques et technologiques à venir.

Les sociétés de mathématiques(([1] ADIREM, APMEP, CFEM, SFdS, SMAI, SMF)) alertent sur l’impact négatif de la réforme du lycée sur l’enseignement des mathématiques en première et terminale.

La note d’information de novembre 2021 de la DEPP(([2] Note d’Information, n° 21.37. , fig. 2)) montre que la réforme du lycée a conduit à l’économie par le ministère de l’éducation nationale de près de 36 000 heures d’enseignement en premières et terminales des séries générales et technologiques entre 2018 et 2020. Cette diminution concerne essentiellement les mathématiques et la technologie qui perdent environ 20% des heures auparavant dispensées aux élèves.(([2] Note d’Information, n° 21.37. , fig. 2)) Derrière cette observation, l’absence de mathématiques dans le tronc commun est indéniable : moins de 7% des heures de l’enseignement scientifique général est assuré par des professeurs de mathématiques.

Comme mise en évidence par les dernières enquêtes internationales TIMMS 2019 et PISA 2015, (([3] Note d’Information, n° 19.08. et n° 20.46 fig 2)) la faiblesse des compétences mathématiques des élèves et collégiens français aurait pourtant mérité mieux qu’une stratégie d’abandon de la formation mathématique au lycée, qui, comme d’habitude en France, pénalise encore davantage les classes défavorisées.(([4] Note d’Information, n° 21.22.))

De plus, cette diminution de la formation mathématique et technologique va à l’encontre des besoins croissants de la société concernant les secteurs de l’innovation, de la technologie, de l’ingénierie, nécessitant par exemple de la modélisation numérique et statistique.(([5] OCDE Regard sur l’éducation 2020, p.97))(([6] Étude pour le Parlement Européen, Encourager les études en Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques, 2015
https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/STUD/2015/542199/IPOL_STU(2015)542199_EN.pdf)) Ignorant les alertes répétées de la communauté mathématique sur ce sujet, les politiques choisissent donc l’affaiblissement du vivier des étudiants capables de faire face à ces besoins(([7] SMF, nouveaux profils des étudiants en sciences, avec le filtre des mathématiques, 2021)) et aggravent le déficit actuel de qualification dans les disciplines mathématiques, scientifiques, techniques.

Il serait temps que les pouvoirs politiques prennent conscience de l’importance des problèmes de formation des élèves et des enseignants en mathématiques et proposent, contrairement à l’abandon, des investissements significatifs à tous les niveaux, élèves, enseignants, formateurs. Ces investissements sont indispensables pour retrouver un niveau de compétences satisfaisant pour l’ensemble de la population, tant pour le socle commun de tous que pour les futurs techniciens, ingénieurs, scientifiques dont la société aura besoin pour relever les défis immenses de l’avenir de notre société.

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