Russie-Ukraine : la jeune femme enceinte de Marioupol dément le récit officiel occidental

[Source : FranceSoir]

[Illustration :
Capture d’écran d’une vidéo publiée par la police nationale ukrainienne, le 9 mars 2022.
Les soldats évacuent la matertiné de Marioupol, Ukraine.
AFP PHOTO / National Police of Ukraine / handout]

Auteur(s): FranceSoir

Le 9 mars dernier, des images chocs de la maternité de Marioupol, en Ukraine, défrayaient la chronique. Selon les sources d’informations occidentales, le bâtiment a été bombardé par les forces russes. Parmi les blessés, la photo de Marianna Vishegirskaya enceinte, capturée par l’Associated Press (AP), émeut l’opinion publique. Trois semaines après l’événement, l’influenceuse beauté ukrainienne reparaît sur YouTube, en accordant cette fois un entretien à un vidéaste russe. La vidéo est intitulée « Interview de la fille de la maternité de Marioupol : la vérité sur les militaires, l’explosion, et les journalistes d’Associated Press ». L’histoire qu’elle y raconte met à mal le récit occidental. Autour de cette jeune femme, une guerre de l’information est lancée.

On la voyait le visage ensanglanté, descendant les escaliers délabrés de la maternité avec le ventre gonflé par son bébé. Le cliché a rapidement fait le tour du monde et Marianna est, peut-être malgré elle, devenue un symbole ukrainien représentant les « crimes de guerre ». Le 2 avril dernier, on la retrouve assise sur un canapé beige, le visage un peu pâle, esquissant toutefois quelques sourires, en train de répondre aux questions de Denis Seleznev. Là, le récit est bien différent de celui qui était diffusé par l’Ukraine : elle explique en substance ne pas être sûre qu’il y ait bien eu un bombardement, que les soldats ukrainiens ne faisaient pas montre d’une grande sympathie, et que les journalistes d’AP l’ont filmée contre son gré. Elle a l’air plutôt détendue en début de vidéo, semble parfois contenir son agacement, mais ne parvient pas à cacher son émotion jusqu’à la fin. Au moment où elle semble « craquer », écran noir pendant cinq secondes. Le plan change légèrement, elle paraît moins triste mais davantage stressée, et s’adresse directement à Volodymyr Zelensky à la demande de son interlocuteur. Le Figaro rapporte ses propos :

« Cher président de l’Ukraine Vladimir Alexandrovitch, vous nous aviez promis que l’armée ukrainienne pourrait nous protéger, mais finalement la ville s’est transformée en cage. Plus personne ne peut en sortir. […] La majorité de la ville n’existe plus, sans parler de toute une partie de la population. Les habitants sont en train de mourir, des soldats des deux côtés, aussi. Les gens ont perdu espoir, l’espoir qu’ils pourraient survivre et s’en sortir (…) S’il vous plaît, il faut essayer de se mettre d’accord, de trouver des compromis, parce que c’est devenu insupportable. C’est douloureux de voir tout ça, et, là-bas, on vit dans la peur. Il faut essayer de trouver une solution à ce problème. »

La vidéo est partagée par certains comptes gouvernementaux russes, ainsi que sur le compte Telegram de Marianna. Aussitôt, AP se défend de toutes les accusations en dénonçant un faux récit de la jeune femme. Les autres médias se mettent en branle et enchaînent les « debunkages« . C’est une quasi-certitude : elle a été manipulée par les Russes.

Pour AP, elle ment. Non seulement « les récits de témoins oculaires et les vidéos des journalistes de l’AP à Mariupol démontrent l’existence d’une frappe aérienne », mais en plus, Marianna « est consciente qu’elle est filmée, et ne montre pas qu’elle est contre. » L’agence de presse redirige son lectorat vers une de ses vidéos pour prouver ses dires. Difficilement visionnable sur YouTube à cause des « règles de la communauté » qui en limitent le contenu, nous avons pris la liberté de télécharger la vidéo afin de l’intégrer ci-dessous :



Dans les premières secondes, on entend un bruit sourd qui pourrait être un avion, et le bruit d’une explosion. Quand l’image apparaît cependant, seulement de la fumée, pas d’avion visible. La preuve n’est pas d’une évidence criante, surtout en temps de guerre.

Ensuite, l’agence filme l’évacuation des blessés à travers les décombres. On voit alors une autre femme enceinte, blessée et transportée sur un brancard par les soldats. À ce sujet, l’ambassade russe au Royaume-Uni avait d’abord assuré qu’il s’agissait d’un montage et que les deux femmes étaient en réalité une seule et même actrice : Marianna Vishegirskaya. Dans la nouvelle vidéo du 2 avril, cette affirmation est aussi mise à mal. Marianna est catégorique : ce n’était pas elle. Elle explique avoir appris entretemps que l’autre femme est malheureusement décédée, avec son bébé.

En somme, l’information en temps de guerre est rapidement mise à mal. Une chose est sûre, comme nous le partageait le journaliste et écrivain Radu Portocala : 

« L’opinion publique peut tout accepter, si c’est bien présenté et si c’est émouvant ».




Racines nazies de la famille royale britannique ?

[Source : Sott.net]

[Photo : © Popperfoto/Getty Images
Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard,
lors d’une tournée dans l’Allemagne nazie en 1937.]

Les racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha (Windsor) mises en lumière par de nouvelles révélations

Par Matt Ehret

Au milieu de la tempête de désinformation orwellienne qui façonne notre monde actuel, le haut est devenu le bas, le blanc est devenu le noir et le bien est devenu le mal [plus que jamais sans doute – NdT].

Bien que les maux du nazisme aient été vaincus principalement grâce aux sacrifices consentis par les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale, il est de plus en plus courant d’affirmer que le véritable méchant de la grande guerre était Staline. Et en dépit du fait que les nazis refusant d’accepter le changement social et économique ont été absorbés par la machine de renseignement dirigée par les Five Eyes pendant la Guerre froide — lesquels ont donné naissance à des nazis de deuxième et troisième générations présents en Ukraine aujourd’hui — on nous répète que l’Ukraine est un temple de la liberté et un phare de la démocratie sur le territoire duquel nous devrions risquer d’allumer le feu nucléaire mondial pour le défendre.

Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l’illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d’air frais. L’une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l’authenticité du contenu scandaleux et funeste de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d’Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu’il supervisait alors qu’il était vice-roi d’une Ukraine infestée de nazis.

Le roi nazi de Channel 4 est nu

Une autre révélation explosive — laquelle a provoqué une onde de choc dans les grandes lignes de la pensée occidentale ces derniers jours — a été présentée dans un documentaire diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, intitulé « Edward VIII : Britain’s Traitor King » [Le roi traître de Grande-Bretagne – NdT].

Ce film, basé sur un livre de l’historien Andrew Lownie qui va bientôt sortir, utilise des rapports récemment déclassifiés issus des archives royales pour raconter l’histoire du roi britannique nazi Édouard VIII, qui non seulement souhaitait la victoire des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, mais a activement travaillé à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre elle-même.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un sieg heil correct ne fut pas sa seule courbette envers le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le couple royal s’est lié avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Édouard à des responsables allemands, exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Édouard a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne devant les nazis en 1939, discours que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un Nouvel Ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait envoyé un câble aux fonctionnaires d’Hitler indiquant qu’il était prêt à revenir en Europe si nécessaire et à reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Édouard VIII et Hitler
© Alamy Stock Photo
Édouard VIII et Hitler

Au-delà du film — Les racines nazies des Windsor

Outre le cas d’Édouard VIII, il existe de nombreux autres liens pour le moins embarrassants entre les nazis et la maison de Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film ne mentionne pas, dont certains impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le [décédé – NdT] duc d’Édimbourg).

Trois des quatre sœurs du duc d’Édimbourg ont été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu un officier Waffen SS ayant le rang d’Oberführer (chef supérieur).

Ce dernier, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était le chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS dans l’équipe personnelle de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus des fonctionnaires de haut rang du parti nazi.

Philip a lui-même perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi centré sur l’eugénisme, avant de fonder en 1961 le World Wildlife Fund (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de toujours et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de l’Eugenics Society of Britain) en tant que cofondateur du WWF. Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre la surpopulation ».

Note du traducteur : En 1907, l’Eugenics Educational Society (qui deviendra après 1926 l’Eugenics Society) est fondée en Grande-Bretagne à l’initiative de Francis Galton (1822-1911) et de la réformatrice sociale Sybil Gotto. Source

Le pendant de l’Eugenics Society of Britain se situe de l’autre côté de l’Atlantique : l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

Quant à Francis Galton, l’homme qui voulait améliorer l’espèce humaine et le fondateur de l’eugénisme, il était le cousin de Charles Darwin — dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste — et, entre autres, connu pour avoir mis en place de façon systématique la méthode d’identification des individus au moyen de leurs empreintes digitales. Il a également développé des techniques considérées comme l’ancêtre du morphing.

Francis Galton est aussi le père de la formule « nature vs culture », encore au cœur des débats contemporains ; il la devait sans doute à La Tempête, pièce de théâtre de Shakespeare, dans laquelle Prospero se désole que son esclave Caliban soit « Un démon, un diable-né, car à sa nature, la culture ne saurait adhérer ».

Voir aussi : De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

En ce qui concerne ce virulent concept de réduction de la population, il convient de revenir sur l’œuvre et les paroles de celui qui fut un éminent vice-président du WWF de 1978 à 1981, Maurice Strong, et qui travaillait directement sous les ordres du prince Philip (alors président par intérim du WWF). Selon Justin TrudeauStrong avait cofondé le Forum économique mondial aux côtés de Klaus Schwab en 1971, présidé la Conférence des Nations unies sur la population de 1972 et sa suite à Rio de Janeiro en 1992, tout en jonglant avec un large éventail de casquettes : président de la Banque mondiale, auteur de la Charte de la Terre, fondateur de l’Agence des Nations unies pour la protection de l’environnement et architecte de l’Agenda 21 (récemment rebaptisé Agenda 2030).

Note du traducteur : À propos de Maurice Strong et de l’Agenda 2030, voir les deux articles suivants :

Attachez vos ceintures ! Mesdames, Messieurs maintenant le « Grand Reset » de l’économie mondiale de Davos. Que se passe-t-il après la pandémie de la Covid-19 ? :

[Maurice Strong était] un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, c’est l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine.

Et Vanguard, Blackrock, Big Pharma, Gates, FEM, OMS, ONU & Co — Monopole et Grande réinitialisation

Maurice Strong
© Wikimedia
Maurice Strong

Dans un entretien accordé en mai 1990 au magazine WEST, Strong évoque une réunion à Davos et s’interroge :

« Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux arrivait à la conclusion que le principal risque pour la Terre provient des actions des pays riches ? Et si le monde devait survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l’environnement. Le feraient-ils ? La conclusion du groupe est « non ». Les pays riches ne le feraient pas. Ils ne changeraient pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide : Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? »

Le prince Philip a fait preuve d’une froideur misanthrope similaire en contemplant le zoo humain :

« Vous ne pouvez pas garder un troupeau de moutons plus important que la quantité que vous êtes capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer un abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte que c’est un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvelle superficie mise en culture signifie qu’une autre superficie est refusée aux espèces sauvages. »

Le cas troublant du Prince Charles

Bien que Philip soit décédé en 2021, son fils et héritier du trône a pris la mission de son père de réduire la population mondiale à cœur, en dirigeant diverses organisations de protection de l’environnement et en tant que parrain de la défunte Liverpool Care Pathway, dont il a été révélé qu’elle a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, entre 2001 et 2013.

Au cours de ses 18 années de règne, la Liverpool Care Pathway a fait pression sur des centaines de prestataires de soins de santé pour qu’ils inscrivent des millions de patients malades et âgés — et coûteux — sur des listes de « fin de vie » sans leur consentement, avec pour conséquence une déshydratation forcée et des perfusions de morphine pour accélérer la mort, alors que des traitements vitaux étaient encore disponibles.

En juin 2020, le prince Charles a cofondé avec son collègue Klaus Schwab l’Initiative Great Reset du Forum économique mondial afin de profiter de la « double crise existentielle » du changement climatique et d’une pandémie [orchestrée – NdT] pour remodeler radicalement les comportements et les systèmes économiques mondiaux. Au-delà des belles paroles utilisées par les milliardaires de Davos pour rallier l’humanité au sauvetage de la planète, le fait est que ces réformes « vertes », « Build Back Better » [reconstruire en mieux – NdT], qui adhèrent à l’énergie durable, à la réduction des émissions de carbone et aux réformes de l’alimentation, comme en témoigne l’agenda européen « Farm to Fork » [de la ferme à la fourchette – NdT], entraîneraient une échelle de mort dont même un Hitler pourrait rougir.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles dirigeants soulève la question suivante : Pourquoi leur poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’a-t-elle pas été plus largement portée à la connaissance du public ? Dans quel type de monde vivons-nous, pour que des faits aussi ahurissants ne soient pas de notoriété publique ?

Le système du Conseil privé

J’espère qu’il devient de plus en plus clair que l’empire britannique et ses aspirations au contrôle de la population n’ont jamais pris fin avec l’annulation du projet Hitler en 1945.

J’espère qu’il devient également clair que cet empire n’a jamais été la nation de Grande-Bretagne, son Parlement ou son peuple.

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne. L’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises (autrement appelées les Founts of All Honours). C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg, son appendice junior le Forum économique mondial, et qui dirige la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations basé à New York (la version américaine de Chatham House), surnommé par Hillary Clinton « le vaisseau-mère ».

Note du traducteur : Un « Fount of Honour » désigne le chef d’État d’une nation qui, en vertu de sa position officielle, a le droit exclusif de conférer des titres légitimes de noblesse et des ordres de chevalerie à d’autres personnes.

Chatham House est un autre nom pour le Royal Institute for International Affairs (RIIA) créé en 1919 par les principaux Milnerites du mouvement de la Table ronde qui ont créé le Council on Foreign Relations (CFR) afin de promouvoir l’eugénisme et un gouvernement mondial sous l’égide de la Société des Nations. La branche américaine a reçu son nom pour éviter toute allusion à la terminologie britannique en raison de la méfiance des Américains à l’égard des intrigues britanniques. Les branches canadienne et australienne ont été créées en 1928 et dirigées depuis lors le plus souvent par des agents formés à Oxford. Dans le cas des États-Unis, l’actuel président du CFR, Richard Haass, a obtenu une bourse Rhodes à Oxford en 1978.

Note du traducteur : Ce mouvement est aussi connu sous le nom de Rhodes-Milner Round Table Groups. Parmi les premiers membres se trouvent Lord Balfour, Cecil Rhodes et Lord Nathan Mayer Rothschild. La Table ronde sera financée par la Banque Lazard, la J.P. Morgan & Co. ainsi que par la famille Astor. C’est aujourd’hui un think tank toujours actif. Selon Wikipédia, l’influence de ce groupe aurait et serait très exagéré. Ben voyons…

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand en déclarant :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie… devraient parvenir à un accord par lequel elles empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays comme la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie. »[1]

N’importe quel technocrate prônant un projet de « Reconstruire en mieux pour le monde entier » ou un « New Deal vert mondial » pourrait être l’auteur de cette déclaration.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, un pantin du Forum économique mondial, une tentative qui se poursuit encore aujourd’hui.

Un pilier essentiel du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence de ce Conseil privé que les agents de niveau inférieur sont institués sous la forme de sous-ministres, de Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres acteurs clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent un serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris le serment de garder secret ce qui est discuté lors des réunions du Conseil privé[2].

Note du traducteur : Voir à ce sujet l’excellent article La psychopathie mondialisée et le Partenariat public-privé mondial et ses mécanismes de gouvernance multipartite

Au temps pour les parangons de « l’ordre libre et démocratique fondé sur des règles » !

Comme le documentaire de Channel 4 sur le roi nazi devrait nous le rappeler, certains placards royaux ne peuvent plus contenir le grand nombre de squelettes que certaines forces puissantes ont souhaité mettre à l’abri des regards. L’incapacité de la civilisation occidentale à rejeter la Novlangue orwellienne et autres inversions de la vérité a donné lieu à une tension existentielle qui sera résolue d’une manière ou d’une autre. Quant à savoir si cela signifie que l’héritage anti-humain d’Hitler, du Prince Philip, d’Edward VIII et d’autres nazis royaux passés et présents poussera l’humanité vers un nouvel Âge sombre ou si cela nous fera sortir de notre torpeur et chercher un nouveau destin plus digne, rien n’est certain.

Notes

[1] Transcription depuis l’ouvrage de Sir James R.M. Butler, Lord Lothian, Philip Kerr, 1882-1940, Macmillan and Co., Londres, 1960, pp. 332

[2] Étant donné qu’il est difficile pour les gens ordinaires de se faire à l’idée qu’une institution aussi médiévale existe encore dans le monde moderne, voici une extrait choisi du Serment d’allégeance que tous les conseillers privés doivent prêter en entrant dans cette fonction :

« Je, [nom], jure solennellement et sincèrement être un fidèle serviteur de Sa Majesté la Reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. En cette qualité, je garderai secrètes toutes les questions qui me seront confiées et révélées ou qui seront traitées secrètement devant le Conseil. D’une manière générale, j’agirai en toutes choses comme un fidèle et véritable serviteur doit le faire pour Sa Majesté. »

À propos de l’auteur

Matthew Ehret est le rédacteur en chef de la Canadian Patriot Review et Chargé de mission à l’université américaine de Moscou. Il est l’auteur de la série de livres Untold History of Canada et de Clash of the Two Americas. En 2019, il a cofondé la Rising Tide Foundation, basée à Montréal. Cet article a été publié pour la première fois sur le site de la Fondation pour la culture stratégique.

Source de l’article initialement publié en anglais le 3 avril 2022 : Substack
Traduction et emphases : Sott.net




Affaire McKinsey : quelques vidéos pour ceux qui n’ont pas envie de lire

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

L’affaire McKinsey est un scandale d’État assez considérable. On l’appelle de cette façon par commodité, mais il ne concerne pas seulement la firme américaine. C’est par milliards d’euros que l’État a confié, parfois avec des marchés de complaisance, des missions à l’utilité souvent douteuse.

Avec l’arrogance qui le caractérise Emmanuel Macron, reprenant sa technique du « qu’ils viennent me chercher » avait conseillé aux soupçonneux « d’aller au pénal ». J’ai publié quelques papiers pour baliser le chemin qu’il fallait emprunter en dressant la liste des infractions.

J’ai également enregistré quelques vidéos que l’on trouvera ci-dessous, dans lesquelles j’expose verbalement les éléments que j’ai déjà publiés. J’ajoute également une interview de Béatrice Brugère dirigeante d’un syndicat de magistrats qui donne son opinion. Ce qui permet de constater que je ne dis pas que des bêtises.

[Voir aussi :
McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »
Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales
L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey
McKinsey Gate — Suite
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?]




Les investigations du Sénat continuent aux États-Unis : 4,8 MILLIONS de bulletins de vote TRAFIQUÉS lors des élections de 2020 !

[Source : planetes360.fr]




L’Internationale woke s’en prend aux enfants

[Source : ladroiteaucoeur.fr]

Par tandrifyr

« Nous avons beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnages LGBTQIA dans nos histoires, et pourtant nous n’avons pas assez de rôles principaux et de récits qui permettent aux personnages gays d’être simplement des personnages, sans avoir à parler d’histoires gays. Cela m’a ouvert les yeux et je peux vous dire ce que je pense : si ce moment n’était pas arrivé, ni moi en tant que dirigeante ni mes collègues nous ne nous serions concentrés sur ce fait ».

Ces propos ont été tenus par la directrice de Disney, Karey Burke, lors d’une réunion en visioconférence avec d’autres cadres de l’entreprise afin de discuter d’une mesure pour le moins farfelue : 50% de LGBT et de minorités raciales dans les films pour enfants.

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Endoctrinement

Voici donc que la théorie critique de la race et la théorie du genre s’en prend aux enfants et tout cela dans une volonté bienveillante de les « éduquer ». Réjouissance sûre chez nos camarades d’extrême gauche mais cela pose néanmoins certaines questions sur les limites franchies par ces nouvelles idéologies éveillistes. En effet, s’ils se défendent d’endoctriner les enfants, on s’étonne quand même de cette obsession à  l’éducation. Nous savons tous ce qu’il se passe dans nos écoles: il n’y a pas un seul jour sans qu’un professeur ne fasse cours sur l’antiracisme, la cause LGBT, tout en n’oubliant pas les «Zemmour fasciste» ou «Marion Maréchal Pétain». Moi qui pensais que l’école devrait être un lieu neutre pour instruire de futurs citoyens responsables, il a plutôt aujourd’hui l’air d’une « usine à wokes».

Ils sont partout

Mais cela ne reste plus que dans nos écoles : la ville de Lyon a organisé un festival de deux jours pour les familles LGBT. Comme toute marche de fierté : on a nos camarades queer, drag queen et quelques déguisements de carnaval (ou peut-être serait-ce leur réelle identité de genre, on ne sait plus) qui font la fête mais à cela près qu’ils (ou plutôt iels) vont se mettre à réciter des contes aux enfants. Et je ne pense pas que le baiser non consenti du prince à Blanche Neige y soit très bien vu.

Eduquer et rien d’autre

Dans tous les cas, ce n’est pas de l’endoctrinement. Non, nos chers camarades veulent juste conscientiser nos enfants sur leurs causes. Ils ne veulent pas leur laver le cerveau, juste leur dire qu’à 4 ans, ils peuvent changer de sexe. Non, il n’a jamais été question d’endoctrinement : c’est l’éducation, c’est le progrès et il faudra – que le réac’ de droite le veuille ou non – l’accepter.

Ben voyons !




Une opportunité qui n’arrive qu’une fois par siècle

[Source : RI]

par Alastair Crooke.

« L’ère de la mondialisation libérale est terminée. Sous nos yeux, un nouvel ordre économique mondial est en train de se former »

Wow ! Comme la roue de la fortune tourne vite. Il semble que ce n’était qu’hier qu’un ministre français des Finances vantait l’effondrement imminent de l’économie russe, et que le président Biden célébrait le rouble « réduit à néant » – l’Occident collectif ayant saisi les réserves de change de la Banque centrale de Russie, menacé de saisir tout l’or russe sur lequel il pourrait mettre la main, et imposé des sanctions sans précédent aux particuliers, entreprises et institutions russes. Une guerre financière totale !

Eh bien, ça ne s’est pas passé comme ça. Les banquiers centraux du monde entier ont été effrayés à l’idée que leurs réserves pourraient également être saisies s’ils s’écartaient de la « ligne ». Néanmoins, la décision hubristique de l’équipe Biden de tenter une nouvelle fois de faire s’effondrer l’économie russe (la première tentative remonte à 2014) pourrait bien être considérée comme un point d’inflexion géopolitique majeur.

Son importance en termes géopolitiques pourrait même être équivalente à la fermeture de la « fenêtre de l’or » américaine par Nixon en 1971, même si, cette fois, les événements se sont déroulés dans le sens inverse.

Les conséquences de l’abandon de l’or par Nixon ont été nucléaires. Le système commercial basé sur les pétrodollars qui en a découlé a permis à l’Amérique de « frapper » le monde de sanctions et de sanctions secondaires, donnant ainsi aux États-Unis leur hégémonie financière unipolaire (après que le militarisme américain, principal pilier de l’ordre mondial, ait été discrédité à la suite de la guerre du Golfe de 2006).

Aujourd’hui, à peine un mois plus tard, on peut lire dans la presse financière que c’est le système financier occidental et la monnaie de réserve mondiale qui sont en plein déclin, et non le système économique russe.

Que se passe-t-il donc ?

Le système de l’après-1971 est rapidement passé d’un système reposant sur une matière première – le pétrole brut – à une monnaie fiduciaire qui est une « promesse » de remboursement d’une dette, et rien de plus. Une monnaie adossée à un actif dur est une garantie que le remboursement aura lieu. En revanche, un dollar de capital de réserve n’est soutenu par rien de tangible – juste la « pleine foi et le crédit » de l’entité émettrice.

[Voir aussi, pour une monnaie basée sur l’énergie :
Cette chose avec laquelle on ne peut pas tricher]

Ce qui s’est passé, c’est que le système fiduciaire a commencé à s’effondrer lorsque les « faucons » russophobes de Washington ont stupidement déclenché une bagarre avec le seul pays – la Russie – qui possède les matières premières nécessaires pour diriger le monde, et pour déclencher le passage à un système monétaire différent – à un système ancré dans autre chose que la monnaie fiduciaire.

Eh bien, la première « frappe » sur le système – la conséquence de la guerre financière occidentale contre la Russie – a simplement été le chaos sur les marchés des matières premières avec la flambée astronomique des prix. La Russie est un super fournisseur mondial de matières premières, et elle a été mise à l’index par les sanctions.

Puis, début mars, Zoltan Pozsar, qui a travaillé à la Fed de New York, a été conseiller au Trésor américain et est actuellement stratège au Crédit suisse, a publié un rapport de recherche dans lequel il explique que le monde se dirige vers un système monétaire dans lequel les monnaies sont adossées à des matières premières, et non plus uniquement à la « pleine foi et au crédit » d’un émetteur souverain.

En tant que l’une des voix les plus respectées de Wall Street, Pozsar a fait valoir que le système monétaire actuel fonctionnait tant que les prix des matières premières oscillaient de manière prévisible dans une fourchette étroite, c’est-à-dire en l’absence de tensions extrêmes (précisément parce que les matières premières servent de garantie à d’autres instruments de dette). Toutefois, lorsque l’ensemble du complexe des produits de base est soumis à des tensions, comme c’est le cas actuellement, la flambée des prix des produits de base entraîne un vote de défiance plus large à l’égard du système. Et c’est ce à quoi nous assistons actuellement.

En bref, la guerre financière contre la Russie a donné à l’Occident une leçon sans équivoque de Moscou : les monnaies les plus dures ne sont pas le dollar ou l’euro, mais plutôt le pétrole, le gaz, le blé et l’or. Oui, l’énergie, la nourriture et les ressources stratégiques sont des monnaies.

Puis vint la deuxième attaque contre le système : Le 28 mars, la Russie a annoncé qu’elle mettait un plancher sous le prix de l’or. Sa banque centrale achètera de l’or à un prix fixe de 5000 roubles par gramme – jusqu’au 30 juin au moins (fin du deuxième trimestre).

Un prix de 100 roubles pour un dollar équivaut à un prix de l’or de 1550 dollars l’once et un taux de change rouble/USD d’environ 75, mais aujourd’hui, un rouble s’échange à environ 84 roubles pour un dollar (c’est-à-dire qu’il faut plus de roubles que 75 pour acheter un dollar). Tom Luongo a toutefois noté que, la Banque centrale achetant de l’or à un taux fixe, cet engagement incite les Russes à détenir leurs économies en roubles, car le rouble est « fixé » à un taux sous-évalué par rapport à un prix de l’or ouvert surévalué (à environ 1936 dollars l’once, au moment de la rédaction).

En bref, l’engagement de la Banque centrale de Russie met en branle une dynamique visant à rééquilibrer le rouble par rapport au prix actuel de l’or en dollars sur le marché libre. Et « hey presto », contrairement aux efforts des Européens et des Américains pour faire s’effondrer la valeur de change du rouble et provoquer une crise, le rouble est déjà revenu à son niveau d’avant-guerre – et c’est le dollar qui s’est effondré (par rapport au rouble).

Mais notez bien ceci : Si la valeur du rouble augmente encore par rapport au dollar (disons de 100 à 96:1) – en raison de la force du commerce des matières premières de la Russie – le prix imputé de l’or devient alors de 1610 $ par once. En d’autres termes, la valeur de l’or augmente.

Mais il y a un autre problème : Les Européens protestent bruyamment contre le fait que Poutine a insisté pour que les « États inamicaux » paient leurs importations de gaz en roubles (plutôt qu’en dollars ou en euros) à partir du 31 mars, mais Poutine a ajouté une clause stipulant que les Européens pouvaient également payer en or. (Et les autres États ont une autre possibilité de payer en bitcoins).

Et c’est là que réside le problème : si moins de 75 roubles équivalent à un dollar, les acheteurs obtiennent du pétrole à un prix réduit lorsqu’ils paient en or. Les grandes entreprises européennes du secteur de l’énergie ne seront peut-être pas intéressées, mais les négociants asiatiques seront ravis d’arbitrer et de profiter des écarts de prix implicites. Et cela, en soi, est susceptible d’entraîner les marchés de l’or physique dans une situation de pénurie de l’offre, ce qui se traduira à nouveau par une augmentation du prix de l’or physique.

Une composante moins évidente des cris de douleur européens (« Nous ne paierons pas en roubles ») est donc que les banques centrales tentent de maintenir les échanges d’or dans un schéma serré (en manipulant le marché de l’or papier afin de ne pas ébranler les fondations du système financier mondial).

Mais ce que la Banque centrale russe vient de faire, c’est d’arracher à l’Occident, et à ses manipulations de prix, le rôle de « faiseur de prix » de l’or. À elles deux, la Russie et la Chine peuvent donc contrôler efficacement le prix de l’or et du pétrole. Luongo conclut : « Ils sont sur le point de changer le dénominateur sur les marchés mondiaux des changes, passant du dollar américain à l’or/pétrole (monnaie des matières premières) ».

« Poutine y est allé doucement avec cette annonce. Il aurait pu entrer dans la salle et annoncer 8000 roubles au gramme ou 2575 dollars l’once, ce qui aurait cassé les marchés vendredi et pendant le week-end, en vendant son pétrole et son gaz à un prix fortement réduit » – forçant ainsi une hausse du prix de l’or.

Pas mal, hein ?

Ok, ok : le chœur des tropes habituelles est arrivé : Oh non, pas un autre « récit de dédollarisation » ! TINA – « Il n’y a pas d’alternative au dollar comme monnaie de réserve ».

Très bien. Nous savons tous que la valeur totale de l’or, telle qu’elle est évaluée actuellement, est bien trop faible pour soutenir une monnaie d’échange ou un commerce mondial entièrement adossé à l’or. Et, soit dit en passant, il ne s’agit pas de mettre fin au dollar en tant qu’instrument commercial. Non, il s’agit de signaler une nouvelle direction à prendre.

L’argument de Pozsar est plus subtil : une crise est en train de se produire. Une crise des matières premières. Les matières premières sont des garanties, et les garanties sont de l’argent, et cette crise est liée à l’attrait croissant de la « monnaie liée aux matières premières » par rapport à la monnaie fiduciaire. En période de crise bancaire, les banques hésitent à jouer le jeu de l’intérieur parce qu’elles ne font pas confiance à la monnaie fiduciaire comme véritable garantie. Elles refusent alors de prêter de l’argent à leurs homologues bancaires. À chaque fois que cela se produit, les banques centrales doivent imprimer davantage de monnaie pour « lubrifier » suffisamment le système pour qu’il fonctionne. Ce qui, à son tour, dévalue encore plus la monnaie fiduciaire sur laquelle repose le système.

Mais si la monnaie émise par les gouvernements et imprimée par les banques centrales est adossée à des actifs solides, ce problème est évité. Dans ce système, la contrepartie d’une transaction commerciale ou financière aurait la possibilité d’exiger un paiement en actif(s) dur(s) garantissant la monnaie – très probablement de l’or ou éventuellement une marchandise convenue à l’avance. Rappelons que la monnaie fiduciaire n’est rien d’autre qu’un titre de créance non garanti de l’entité émettrice – qui, comme nous l’avons vu, peut être « annulé » à volonté par l’émetteur – le Trésor américain.

Cela rend également plus compréhensible le système de « paiement en roubles » : Dans tout système de « paiement en roubles » viable, les acheteurs de gaz se rendront auprès des banques russes pour leur vendre des dollars, des euros ou des livres sterling, afin qu’elles achètent des roubles pour les remettre à Gazprom. Cela aura pour effet d’augmenter la valeur du rouble en tant que moyen d’échange, mais aussi d’atténuer le risque de nouvelles sanctions financières en faisant des institutions russes le lieu des opérations de paiement.

Quelle est la « direction à prendre » ? « Après l’histoire actuelle de confiscation des réserves en dollars », Sergey Glazyev – supervisant la planification de l’avenir monétaire de la Commission économique eurasiatique – a déclaré sans ambages : « Je ne pense pas qu’un pays voudra utiliser la monnaie d’un autre pays comme monnaie de réserve. Nous avons donc besoin d’un nouvel outil ». « Nous (la CEE) travaillons actuellement sur un tel outil, qui peut d’abord devenir une composante moyenne pondérée de ces monnaies nationales », a-t-il déclaré. « Eh bien, à cela nous devons ajouter, de mon point de vue, des matières premières négociées en bourse : non seulement l’or, mais aussi le pétrole, le métal, les céréales et l’eau : Une sorte de bundle de marchandises – avec un système de paiement basé sur les technologies numériques modernes de blockchain ».

« En d’autres termes, l’ère de la mondialisation libérale est terminée. Sous nos yeux, un nouvel ordre économique mondial est en train de se former – un ordre intégral, dans lequel certains États et banques privées perdent leur monopole privé sur l’émission de la monnaie ».

source : Strategic Culture Foundation

traduction Réseau International




McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »

[Source : lemediaen442.fr]

L’étau se resserre autour du président de la République, Emmanuel Macron. À la veille des présidentielles ce mercredi 6 avril 2022, le Parquet national financier (PNF) annonce avoir ouvert une enquête préliminaire sur le chef de « blanchiment aggravé de fraude fiscale », après un rapport du Sénat sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques pendant le mandat d’Emmanuel Macron.

Plus tôt, Marianne titrait sur le mécontentement de magistrats français : « McKinsey : nous, magistrats, trouvons anormal que le Parquet ne déclenche pas d’enquête. » Ces magistrats, tenus à une certaine réserve, ont choisi de parler anonymement, car ils considèrent que « Dans l’affaire McKinsey, il y a matière à ouvrir une enquête préliminaire. Ne pas le faire, disent-ils, ce serait alimenter, à raison, le soupçon des Français… »




Le médiamensonge du jour – Boutcha : Que s’est-il vraiment passé?

[Source : investigaction.net]

Les images de cadavres jonchant les rues de Boutcha ont fait le tour de monde. Les autorités ukrainiennes ont aussitôt dénoncé un génocide, et Emmanuel Macron a déjà appelé à voter de nouvelles sanctions contre la Russie. Michel Collon explique cependant pourquoi il faut rester prudent devant de telles images, surtout en période de guerre.

[Voir aussi :
Massacre de Boutcha : Quand images satellite et vidéos sont manipulées pour raconter une fausse histoire
Boutcha – Déclaration du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie
La vérité sur Bucha est peut-être trop gênante pour être découverte
Lors du « massacre » de Bucha en Ukraine, un cadavre ressuscite !]

https://youtu.be/CD-vpG9–7g



Il y avait bien 2 officiers de la DGSE dans l’hélicoptère abattu en Ukraine

[Source : jovanovic.com]

Par Pierre Jovanovic

CONFLIT RUSSIE-UKRAINE 

L’information traînait sur les canaux spécialisés, et qui rapportaient ce qui se passait à Marioupol. Une information particulière a capté l’attention, à propos d’un bataillon du régiment nazi Azov qui était totalement encerclé par l’armée de Vladimir Poutine, et pour lequel Kiev déployait des moyens inhabituels. Gleb Bazov avait même précisé que les Ukrainiens se sont retrouvés bloqués dans 4 « chaudrons » :

1) les usines Ilyich et Azovmash ;
2) le complexe métallurgique Azovstal ;
3) sur la rive gauche de la ville ;
4) et dans le port (ci-dessous la carte de la ville en rose, les forces russes).

Et c’est à partir de là que les plusieurs choses curieuses se sont passées :

1) Le 28 mars dernier, un hélicoptère avait embarqué plusieurs haut-gradés d’Azov, dont les commandants Prokopenko et Baraniouk, puis :

2) Le 29 mars, Emmanuel Macron a demandé par téléphone à Poutine une évacuation de toute urgence « pour raisons humanitaires » avec l’appui de la Grèce et de la… Turquie!

Note : pour que Macron collabore avec les services de son ennemi juré Erdogan, c’est que, forcément, il y a anguille sous roche, car Macron n’avait jamais pardonné à Erdogan ses insultes (voir mon reportage à Istanbul de septembre 2021 — onglet reportages).

3) Les Grecs se sont joints à cette demande alors que la majorité des fonctionnaires grecs sont pro-russes (orthodoxes), et que Athènes ainsi que d’autres villes ont même organisé des grandes manifestations en soutien de Moscou !!! Ca ne colle pas vraiment… sauf pour noyer le poisson.

4) Les Ukrainiens ont également appuyé cette demande, et pour cause : la colonne aurait permis à ses combattant d’Azov de quitter le piège russe qui s’était renfermé sur eux.

Pensant que tout se passerait pour le mieux, plusieurs hélicoptères ukrainiens (avec des blindages allemands) se sont posés dans le chaudron avec plus ou moins de succès puisque le 31 mars, 2 ont été abattus par les Russe s:

Si le premier est introuvable, car sous les flots, le second s’est écrasé dans un lieu-dit nommé « Rybatskoye », ne laissant que 2 survivants sur les 17 passagers. Ironie de l’histoire, il a été abattu par un tube sol-air fourni par les Américains, et capturé par les Russes auprès d’un soldat Ukrainien tué précédemment.

Et là, surprise :

Dans ce qui reste de l’appareil du lieu du crash, les Russes découvrent — ou plutôt identifient — l’un des chefs d’Azov, le commandant Palamar (dit « Kalina »), 2 autres membres officiers d’Azov, Tymius Juri Vladimirovitch et Dyachenko Maksim, ainsi que 3 autres personnes présentées comme 2 instructeurs français de la DGSE ainsi qu’un gradé américain, et pas n’importe lequel s’il vous plaît : le général des Marines Roger Cloutier (photo ci-dessous). Est-ce là un bluff des Russes ?

Précisons que le général Cloutier a toujours été un grand supporter du colonel Sirsky, commandant des Forces Ukraniennes, auquel il était très lié, donc sa présence ne serait pas illogique dans l’appareil. Via Gleb Bazov et Ole Nkarei :

« Gen RogerCloutier, commanding general of NATO Southern European Task Force and senior responsible officer for American Military forces in northern Italy is said to be trapped in Marioupol » et « If Gen Roger Cloutier, GoC/NATO Land-Command is trapped in Mariupol, as is being rumoured, the Russians will dig up every inch of that city to kill or capture. No escape. Some of his H/Q Staff, too. What a holy f*ck the Europeans are making of this Ukraine mess.« 

Donc CIA et DGSE auraient été évacués dans le même hélicoptère que d’autres officiers de l’unité Azov… (sachant que la CIA entraîne Azov depuis 1998). Précisons qu’on sait que l’un des survivants parle russe sans accent, ce qui ne laisse qu’un seul Français éventuellement survivant de l’appareil, la nuance est importante ici.

En effet, si les Russes ont montré l’interrogatoire de l’Ukrainien, il n’a été donné aucune information sur le 2e survivant, ce qui est par définition suspect.

L’information concernant ces deux officiers des services français morts en Ukraine en compagnie des soldats d’Azov a même pris de l’ampleur, et je me suis dit que — si c’était vrai et s’ils n’ont pas survécu — Poutine disposait alors d’un sacré levier sur Emmanuel Macron, à savoir récupérer leurs corps et les rapatrier afin qu’ils puissent bénéficier d’un enterrement digne de ce nom (sans parler des autres conséquences).

Du coup, on comprend mieux la soudaine décision de Macron de virer sur le champ le général Éric Vidaud, patron de la Direction du Renseignement Militaire, la très vieillotte DRM.

La raison? La DRM avait donné de mauvaises infos à Macron (qui, sur cette base là donc, aurait pris la décision d’autoriser la DGSE d’envoyer des instructeurs aider les nazis « Azoviens » ?) ! Voilà qui va améliorer les relations entre Macron et les militaires français, sans parler du fait que cela revient à une sorte de déclaration de guerre à la Russie !

Mais voici la partie la plus importante :

Ne sachant s’il s’agissait d’une pure propagande russe (cette possibilité est logique, d’où mon emploi du conditionnel dans la première partie de cet article) ou si 2 officiers de la DGSE sont vraiment entre les mains des Russes, j’ai voulu vérifier l’information à tout hasard auprès de l’un de mes contacts historiques tôt le matin, à vrai dire sans grand espoir, vu le niveau de secret et de paranoïa dans lequel ce monde vit. Est-il exact que 2 officiers de la DGSE ont été tués en Ukraine ?

Mon contact m’a rappelé bien plus tard ce week-end et m’a juste dit ceci :

« OUI. J’en ai eu la confirmation. Et je ne peux pas vous en dire plus, vous comprendrez plus tard. »

Ma traduction : soit les 2 sont morts, soit l’un a survécu, mais il est dans un état grave.

En conséquence, Macron ne pourra plus trop traîner Vladimir Poutine dans la boue sur les médias, vu qu’il y a 2 hommes à récupérer, même s’ils sont morts (au moins un).

Et même si Poutine prend encore le président de la France au téléphone, ce qui est certain c’est que Macron sera désormais forcé de se soumettre au président russe : il y a bien 2 officiers de la DGSE à récupérer pour les familles, sachant que un est éventuellement encore vivant mais gravement blessé.

Par extension de cette confirmation, alors il y aurait aussi dans le tas le général américain (mort ou vivant), et tout porte à croire que cela va être une sacrée négociation, vu le profil de Roger Cloutier qui est toujours à la tête du LANDCOM de l’OTAN de la base turque d’Izmir. S’il a été capturé ou tué, ce serait alors une tragédie pour Joe Biden, l’US Army, la CIA et l’OTAN !

« Allied Land Command formerly Allied Land Forces South-Eastern Europe (LANDSOUTHEAST) is the standing headquarters for NATO land forces which may be assigned as necessary (…) When directed by the Supreme Allied Commander Europe, it provides the core of the headquarters responsible for the conduct of land operations. The command is based at Sirinyer, Izmir in Turkey« .

Ci dessous, sa prise de commandement des mains du général Thomson (avec une intro du général Walters) le 4 août 2020 à Izmir :

Lecteurs sur Apple IOS si vous ne voyez pas la video cliquez ce lien.

Mais quelles que soient raisons, il est totalement irresponsable de la part d’Emmanuel Macron d’avoir envoyé des officiers de la DGSE sur un champ de bataille des Russes avec lesquels, à ce jour, nous sommes toujours en paix, au risque de déclencher des hostilités supplémentaires et, surtout, d’aggraver la situation.

PS : voici le lien pour la video de la télévision chinoise CGTN du lieu du crash via Alexander Bunin qui a écrit (en cyrillique) « ????? ?????????? ?????????? CGTN ?? ??????? ??????? ? ????????? ??????????? ???, ? ??????? ?????????????? ?????????? ???????????? ????????? «????» ?????? ? ??? ??????? ??????????? ???????? DGSE :

PS2: ci-dessous, un lance roquette anti-char donné aux Ukrainiens par la France, pour ceux qui pensent que Macron ne fait rien pour les armer, aux côtés des Anglais, des Suédois, des Allemands, des Japonais, des Espagnols, etc.

Photo : Laurent Courtois

PS3 : En Syrie 13 instructeurs français avaient été capturés, mais ce fut le silence total des médias en France ; seul le Telegraph de Londres avait abordé le sujet.




Massacre de Boutcha : Quand images satellite et vidéos sont manipulées pour raconter une fausse histoire

[Source : donbass-insider.com]

Par Christelle Néant

Alors que le scandale autour du massacre de Boutcha prend de l’ampleur, de nouveaux éléments prouvent que cet épisode est bien digne des charniers de Timisoara, entre la désinformation du New York Time qui sort des images satellites qui ne tiennent pas la route, l’Ukraine qui sort la vidéo d’un drone prise un autre jour, et la vérité qui apparaît dans la vidéo filmée par les troupes ukrainiennes chargées de « nettoyer la ville ».

Suite à mon article d’hier soulignant plusieurs incohérences dans le narratif officiel du massacre de Boutcha, de nouvelles informations sont venues renforcer l’analyse que j’en ai faite.

Tout d’abord, des posts venant d’une chaîne Telegram dédiée à la vie à Boutcha, montrent des photos du 31 mars 2022, où il n’y a pas de corps dans les rues. Et aucune mention de ces derniers non plus.







Autre information obtenue grâce à cette chaîne Telegram, il s’avère que l’armée ukrainienne a débarqué à Boutcha dès le 1er avril 2022, et non le 2 comme le laissait supposer la vidéo de Botsman (commandant ukrainien). Ce qui permet de dire que les troupes ukrainiennes pourraient bien être responsables des morts visibles dans la vidéo du 1er avril (voir l’article d’hier).



Revenons justement sur cette vidéo de Botsman, qui nous avait déjà révélé que les soldats ukrainiens avaient reçu l’autorisation de tirer sur les hommes ne portant pas de brassard bleu (marque des soldats ukrainiens).

Le blogueur russe Rybar a découvert qu’en augmentant le son des dernières secondes de cette vidéo (postée par Botsman lui-même je le rappelle), on entend un homme dire « s’il vous plaît ne me tuez pas », puis un bruit sourd, semblable à un coup de feu (la go-pro qui filme n’a pas un micro de grande qualité, et en baissant le son lors de l’édition vidéo avant publication ça devenait presque inaudible). J’ai donc moi-même augmenté au maximum le son des dernières secondes de cette vidéo pour vérifier, et effectivement c’est bien ce qu’on entend (voir la vidéo ci-dessous).



Les photos satellites permettent de localiser cette vidéo comme ayant été filmée dans la rue Vokzalnaya où une colonne d’équipement russe avait été détruite le 27 février 2022 (matériel qu’on voit sur la vidéo).

Le mauvais traitement des personnes soupçonnées de collaboration avec les forces russes est d’ailleurs visible sur cette vidéo filmée par les Ukrainiens eux-mêmes. Les hommes arrêtés sont sévèrement battus par les soldats ukrainiens, y compris en pleine tête.



Résultat l’hypothèse d’un massacre des civils de Boutcha ayant eu de l’aide des forces russes, par les forces armées ukrainiennes, se renforce. En effet, plusieurs des corps visibles sur les photos sont situés près de rations militaires russes, que les civils ont dû obtenir en guise d’aide humanitaire de la part de la Russie.



Or, le député ukrainien, Alexeï Jouravko, a publié la vidéo de l’interview d’une femme ayant quitté Boutcha le 25 mars. Cette femme raconte comment sa maison a été bombardée une heure après qu’elle a acceptée de l’aide humanitaire de l’armée russe. En clair, des dénonciateurs (sûrement des voisins, puisque comme le prouve l’interview donnée à Meduza, des membres des bataillons de défense territoriale étaient à Boutcha) ont signalé qu’elle avait accepté de l’aide russe, et l’armée ukrainienne a bombardé sa maison.



Ceci étant établi venons en maintenant aux derniers éléments fournis censés prouver que les soldats russes ont tué ces civils bien avant leur départ. On a eu tout d’abord le New York Times qui nous a sorti du chapeau des images satellites Maxar datant prétendument du 19 mars 2022 et montrant des taches sombres qui seraient des corps.

Problème déjà on ne comprend pas bien pourquoi les photos du 28 février sont de bonne qualité, mais celles du 19 et 21 mars sont pixelisées à mort. Avec un tel degré de qualité prétendre que ces taches sombres sont forcément des corps relève de la lecture des feuilles de thé. En gros chacun y voit ce qu’il veut.

Mais là où ça coince le plus, c’est que si ces gens avaient été tués le 19 mars 2022, cela voudrait dire que les corps sont restés dehors pendant deux semaines avant d’être découverts ! Or sauf confinement en chambre froide (température entre 2 et 4 °C qui permet de ralentir le processus mais pas de le stopper), le corps va commencer à se putréfier deux à trois jours après la mort.

Or dès le 20 mars les températures montent jusqu’à atteindre 16 °C les 22 et 23 mars. Le temps est de plus ensoleillé, ce qui veut dire qu’il fait encore plus chaud sur l’asphalte sombre où reposent les corps. Ce qui veut dire qu’en deux semaines la putréfaction de ces corps devrait être bien avancée.

Les corps devraient être gonflés par les gaz issus de la putréfaction des organes internes, et du liquide de putréfaction noir-rouge aurait dû s’échapper des corps qui dégageraient une odeur répugnante (j’ai assisté à une exhumation de corps à l’été 2016, et je peux vous assurer que même à 20 m des gars qui creusaient l’odeur était à vomir).

De plus, asticots, chiens errants, rats, et charognards auraient largement eu le temps de dévorer certains morceaux de ces corps. Or là il n’en est rien, ces corps sont intacts. Aucun habitant de la rue où ces gens ont été tués n’aurait laissé les corps là pendant deux semaines. Même sous les bombardements, les civils de Marioupol ont enterré leurs morts dans les jours qui suivaient le décès, tant l’odeur était horrible.

Et contrairement à ce que certains racontent, les forces russes n’ont pas empêché l’enterrement de corps de civils, puisque le creusement de la fosse commune mi-mars (dont j’ai parlé hier) est confirmée par plusieurs articles ukrainiens de cette période.



De plus, des photos plus récentes de certains corps confirment que quelque chose cloche dans ce récit. Voici des photos prises par Reuters.

On voit clairement aux mains que le corps est encore « frais ». La peau n’a pas encore pris une couleur verte puis noire. Par contre il y a du sang accumulé sous les ongles et la peau des doigts est fripée comme s’ils étaient restés dans de l’eau pendant un moment. Par contre la peau de la paume ne montre pas de marques identiques, ce qui semble indiquer que la personne gisait sur le dos, avec le bras derrière le dos, et que sa main droite trempait dans une flaque peu profonde. Or le bandage blanc qui lie les mains est très propre. Dans l’ensemble les vêtements de la victime sont eux aussi très propres. Impossible d’être aussi propre pour un cadavre étant resté deux semaines dans la rue.

Une photo du cycliste mort interroge aussi. Si on regarde ses mains, on voit qu’on lui a enfilé des gants, mais post-mortem. En effet, sûrement à cause de la rigidité cadavérique, il a été impossible d’enfiler tous les doigts comme il faut. Pourquoi enfiler des gants sur un mort ?

De plus presque tous les morts ont leur capuche rabattue sur la tête, ou sont face contre terre. S’ils avaient été abattus d’une balle dans la tête il devrait y avoir du sang et des trous sur ces capuches. Or là, rien. Dans l’ensemble les vêtements des victimes sont en bon état, ce qui pose là aussi question.

Il faut ajouter que la date réelle de prise de vue par le satellite Maxar est remise en cause par l’équipe du blogueur Rybar.



Un satellite de Maxar a survolé Boutcha le 19 mars vers 9 h 06 du matin. Or en mesurant les ombres sur l’image avec cette date, l’heure donnée correspond à 11 h 30. Soit plus de deux heures de décalage.



L’analyse plus poussée par les volontaires de l’équipe de Rybar a amené ces derniers à la conclusion que l’image présentée comme étant filmée le 19 mars 2022, aurait en réalité été prise le 1er avril 2022 à 11 h 57 heure de Greenwich (soit 14 h 57 heure locale).



Autre tentative, cette fois en nous sortant qu’un drone ukrainien aurait filmé le 3 mars 2022 les troupes russes tirer sur un civil :

Sauf qu’il y a quelques problème de cohérence. Pour commencer le 3 mars, une vidéo filmée à Boutcha et publiée sur Telegram le jour même, montre les soldats ukrainiens hisser le drapeau ukrainien dans la ville, alors qu’il neige ! La personne qui filme dit même clairement qu’ils sont à Boutcha le 3 mars au début des vidéos. En clair le 3 mars, Boutcha est sous contrôle ukrainien !



On voit clairement sur cette vidéo que le sol est trempé. D’ailleurs si on regarde la météo de la veille et du 3 mars 2022, on voit qu’il a neigé ces deux jours. Or sur la vidéo filmée prétendument le 3 mars par le drone l’asphalte est sèche ! De plus si on regarde les jardins des maisons à droite et à gauche de la rue où se déplace l’homme, on voit que l’herbe recommence timidement à devenir verte. Or l’herbe n’a recommencé à pousser ici que ces derniers jours grâce à la hausse des températures. Le 3 mars 2022 il faisait à peine 1 à 2 °C à Boutcha et il neigeait !

Donc rien ne va dans cette vidéo. À la date annoncée la ville était sous contrôle ukrainien, et les rues auraient dû être trempées à cause des chutes de neige !

Comme on le voit les éléments amenés par les Ukrainiens et les médias occidentaux pour accréditer la thèse de la responsabilité de la Russie pour le massacre de Boutcha ne collent pas et montrent des traces évidentes de tentative de falsification de l’histoire. Comme à Timisoara, comme dans l’affaire des armes de destruction massive de Saddam Hussein, ou l’affaire des couveuses au Koweït.

Et déjà après cette affaire sous faux-drapeau, l’armée ukrainienne a fait exploser une citerne de produits chimiques à Roubejnoye, sûrement pour faire croire à une attaque chimique par la Russie, alors que l’armée russe et la milice populaire de la RPL sont en train d’encercler la ville. Le ministère russe de la Défense avait averti que l’Ukraine pourrait recourir à une telle provocation et c’est malheureusement ce qui s’est passé.



La propagande de guerre bat son plein et tant l’Ukraine que ses patrons occidentaux sont prêts à tous les mensonges pour dépeindre les soldats russes comme des bêtes assoiffées de sang, et des criminels de guerre, alors que les troupes russes font tout pour préserver la vie des civils dans ce conflit, et qu’elles distribuent des centaines de tonnes d’aide humanitaire dans les zones sous son contrôle.




Selon Bill Holter, l’effondrement économique est imminent

[Source : Business Bourse]

L’expert en métaux précieux et écrivain financier Bill Holter a déclaré à la fin de l’année dernière que les mensonges et l’impression d’argent allaient s’aggraver. Voici ce qu’Holter a anticipé :

« Le risque d’effondrement à partir de ces niveaux, le risque n’a jamais été plus élevé ou pourrait être plus élevé qu’il ne l’est actuellement. Vous avez tout qui va dans le mauvais sens. Une avancée aussi rapide de crise économique mondiale, et vous voyez une inflation énorme, des économies détruites et la Russie exigeant le paiement du pétrole et du gaz en roubles. »

Voici ce qu’Holter explique :

« C’est un des plus grands bouleversements économiques depuis 1973, lorsque le pétrole a commencé à être soutenu par le dollar américain. Il n’y a rien de plus énorme que ça. Comprenez-moi bien, Kadhafi en (Libye) a fait cela. Saddam Hussein (Irak) a parlé du dinar adossé à l’or, ou d’une monnaie adossée à l’or. Et que s’est-il passé ? Ils ont été tués, leurs pays ont été envahis et on leur a volé leur or. Cette fois, c’est différent parce que vous n’allez pas voir l’armée américaine entrer à Moscou, déposer Poutine et voler son or. D’un point de vue russe, ils vendent des produits russes, ils veulent être payés en roubles et ils veulent acheter de l’or. Ils ne provoquent pas une guerre, et ils ne provoquent pas l’Occident, mais ils ont créé une guerre monétaire entre le rouble et le dollar. Ce qui se passe avec cet arbitrage, c’est que le monde fait le sale boulot en réalisant un profit si l’or occidental est trop bon marché. C’est brillant. »

Alors, le dollar va-t-il perdre beaucoup en pouvoir d’achat ? Voici ce qu’Holter dit :

« Il est déjà en train de perdre énormément de sa valeur. Cela affectera à terme tous les marchés financiers. Cela affectera les marchés du crédit. N’oubliez pas que le dollar est une création de crédit. Il s’agit essentiellement d’un moyen naturel de détruire un schéma financier de Ponzi. Tout ce que Poutine dit, c’est qu’il veut ce qu’il y a de mieux pour la Russie. Nous allons vendre nos marchandises, nous voulons être payés dans notre devise et nous le rendons réel en le soutenant essentiellement avec de l’or. Nous voulons être payés réellement et équitablement. Dans quel monde aurait-on imaginé que c’était le rouble qui avait fait chuter le dollar ? On a bien l’impression que c’est comme ça que va se passer. »

Holter dit de se préparer à des problèmes financiers extrêmes dans un avenir pas si lointain que ça. Holter prévient :

« Je pense que nous nous dirigeons vers une calamité dans un avenir très proche. Je pense qu’à ce stade, c’est comme un tirage au sort pour nous en ce moment et peut-être qu’un jour, nous basculerons dans un monde à la “Mad Max”. Est-ce que nous bifurquerons dans cette nouvelle existence dans une semaine, deux semaines, deux mois ou plus ? Je ne sais pas. Mais tout ce que je peux affirmer, c’est que je m’attends très clairement à des périodes à venir désastreuses. Ce sera 2008, mais puissance 12 !!! »






L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam.

Le totalitarisme du WEF(([1] Forum Économique Mondial – World Economic Forum en anglais))en question

Je vous invite à écouter cette vidéo qui cherche à diffuser les dangers que représente l’équipe de Davos. Cet homme plein d’humour est incroyablement précis dans les informations qu’il diffuse. Vous pouvez activer le traducteur sur Youtube.



Le Conseil fédéral [de Suisse] a bien voulu offrir au World Economic Forum le statut d’organisation internationale.

Or des représentants de cette fondation lobbyiste n’ont de cesse de parler de hacker le corps humain, de mettre le corps humain – intérieur et extérieur – sous surveillance permanente, s’en prendre aux religions en méprisant le Dieu de la Bible, se profiler eux-mêmes comme des individus supérieurement intelligents voués à devenir des dieux, de promettre que l’humain ne possèdera plus rien, etc., etc., etc.

À un moment donné, la question suivante doit se poser : Que fait la police ? Sont-ils de simples illuminés qui parlent sans conséquences sur la sécurité publique ? Ou sont-ils soutenus par des puissances qui leur permettraient de réaliser un projet qui semble tous les jours plus inquiétant ?

De mon point de vue, je trouve que leurs propos sont moins problématiques que le fait que la police/justice ne réagisse pas. Le silence des autorités qui doivent assurer la sécurité du citoyen pourrait laisser penser qu’elles approuvent la méthode.

Méthode totalitaire annoncée il y a fort longtemps par un certain Attali.



Je vous invite à découvrir ou redécouvrir la dernière publication sur la cybernétique et le totalitarisme qu’elle promeut.

Il n’y a en effet pas 3 possibilités. Ou ce sont des farfelus inoffensifs qui auraient besoin d’aller se faire soigner, ou ils parlent en connaissance de cause, car initiés, et nous avons toutes et tous un gros problème. Chaque propos de Klaus Schwab ou de Harari rapporté depuis deux ans est une menace directe à l’intégrité corporelle de tout un chacun.

« Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Altérer l’être humain ». Ici, il bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement une partie de nous » et évoque un avenir cyborg impliquant « de curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront notre nature même ».

Il écrit : « Ces technologies fonctionneront au sein de notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de franchir les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ».

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », « d’informatique biologique » et « d’organismes conçus sur mesure ».

Il est ravi d’annoncer que « des capteurs, des commutateurs de mémoire et des circuits peuvent être encodés dans des bactéries intestinales humaines courantes », que « Smart Dust, des réseaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacune beaucoup plus petite qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone « intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement inexprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ».

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde 4IR de Schwab, donnant aux dirigeants capitalistes technocratiques du monde « la capacité de personnaliser les organismes en écrivant l’ADN ».

Le fait que le Conseil fédéral ait accordé le statut d’Organisation internationale à ces gens, avec immunité et soutien mondial de l’ensemble du réseau des ambassades, devrait amener les députés à interpeller le Conseil fédéral.

Liliane Held-Khawam

Supplément






La République en Marche visée par une plainte pour « dérives sectaires »

[Source : FranceSoir]

[Illustration : Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Barreau de Paris.]

Auteur(s): FranceSoir

Le samedi 2 avril dernier, Me Virginie de Araujo-Recchia a porté plainte contre l’association La République en Marche pour le compte des associations citoyennes BonSens.org (dont Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir, est administrateur) et AIMSIB (L’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante). Les plaignants accusent le parti politique d’Emmanuel Macron de « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ». Pour avancer cela, les associations et l’avocate s’appuient essentiellement sur les deux dernières années de gestion de crise, notamment sur les mesures liberticides, le contrôle de l’information et « l’hypnose collective ».

Voir aussi : « On se décale du réel en préservant notre système de croyances à tout prix » Jean-Dominique Michel

Presque ironiquement, cette plainte intervient seulement quelques jours après que Me de Araujo-Recchia soit sortie de garde à vue, le 24 mars dernier. Elle avait été interpellée par la DGSI dans le cadre d’une enquête liée à Rémy Daillet, et a finalement été libérée sans que « rien ne lui soit reproché ». Pendant son interrogatoire — dont elle nous a confié le contenu quelques jours plus tard — des questions telles que « Qu’est-ce que le terme complotiste ? », « Qu’est-ce que le nouvel ordre mondial ? » ou encore « Que pensez-vous de la franc-maçonnerie ? » laissaient comprendre que c’était à elle que l’on reprochait une forme de dérive.

Notons qu’en janvier 2022, elle portait déjà plainte, avec son confrère Jean-Pierre Joseph, contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août (reconduction du passe sanitaire et obligation vaccinale).

Deux mois et une interpellation plus tard, elle revient à la charge avec cette plainte contre La République en Marche. BonSens, l’AIMSIB et Me Virginie de Araujo-Recchia partagent dans un communiqué la réflexion qui les a conduites à ce résultat :

Les associations BonSens.org et Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) s’associent une nouvelle fois dans le cadre d’une plainte visant l’association LaREM pour dérives sectaires impliquant des faits d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse, de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement, de complicité de génocide.

En effet, le mandat de cinq ans accordé à LaREM a été ponctué de contestations et de manifestations massives. Des manifestations de gilets jaunes aux manifestations hebdomadaires ces derniers mois, réclamant la fin de la propagande « Covid-19 », le rétablissement de l’ordre public et la suppression des mesures attentatoires aux libertés publiques et aux droits fondamentaux proposées par les leaders LaREM et adoptées par la majorité LaREM à l’Assemblée nationale.

Durant ces deux dernières années, aucun des appels à la raison provenant d’experts mondiaux, de juristes, de victimes n’a pu infléchir l’idéologie mortifère des membres de LaREM. Bien au contraire, des consignes ont été données afin que les plateformes et médias grand public censurent et étouffent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps.

Les Français qui se sont interrogés et qui ont osé remettre en cause les dogmes et l’idéologie des membres de LaREM se sont vu incriminés, discriminés, ont fait l’objet de propos haineux, ont été censurés, ont perdu leur emploi, leur salaire, leurs liens familiaux, leurs liens sociaux, au mépris total du principe supérieur du respect de la dignité humaine.

Ainsi, ceux qui n’adhèrent pas au narratif sont « impurs »  et mis au ban de la société.

Les signes de reconnaissance des adeptes : le passe sanitaire, le QR code, le passe vaccinal, l’application téléphonique dédiée au traçage du Covid-19 (Certificate of vaccination Identification), le test RT-PCR en remplacement du diagnostic médical, la triple ou quadruple dose d’injection de substance génique expérimentale assurément sans danger nous assure-t-on malgré l’absence d’études le démontrant, le masque talisman en toutes circonstances, en somme toute une panoplie mise à disposition par l’hyper-classe transhumaniste, eugéniste, favorable au contrôle social.

Or tous ces outils censés purifier ou protéger sont de l’ordre de la croyance et n’ont absolument aucune assise scientifique.

Puis, nous avons assisté à une campagne publicitaire sans précédent de la part des membres LaREM de produits pharmaceutiques, pour lesquels nous n’avons aucun recul et qui s’avèrent présenter des risques extrêmement graves en matière de santé publique, il s’agit littéralement d’un appel au suicide collectif.

Nous assistons chaque jour depuis janvier 2020, à l’instauration de la peur, de la terreur et de la culpabilisation au sein de la population désormais traumatisée et sous hypnose collective.

Certains extraits de l’ouvrage intitulé « Le débat interdit – Langage, COVID et totalitarisme », d’Ariane BILHERAN et Vincent PAVAN, publié le 24 mars 2022, repris dans le cadre de cette plainte, en font la pleine démonstration :

« Les méthodes utilisées sont des méthodes sectaires : terreur, séquestration, exclusion, maltraitance, conflit de loyauté (obligeant les individus à faire des choix impossibles), suggestion hypnotique, censure, persécutions. (…)

La logique sacrificielle est en permanence invoquée, que ce soit pour l’exiger ou la dénier : « sacrifier les vacances du printemps pour un été radieux », « sacrifions-nous les jeunes sur l’autel du Covid-19 », « l’OMS appelle à ne pas sacrifier la santé sur l’autel du redressement économique », « le Préfet appelle à sacrifier le mois de mars », « avril sacrifié, mai libéré ? », « sauver Noël mais sacrifier le réveillon du Nouvel an ? », « le monde de la culture craint d’être sacrifié », « respecter les gestes barrières sans sacrifier ses mains ». N’est-ce pas l’esprit de sacrifice qui est également évoqué par le pouvoir au sujet de la Légion étrangère : « Rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié » ? Pourquoi exige-t-on en permanence du peuple un consentement à des sacrifices ?

Le guide du bon citoyen est précisé : c’est celui qui doit se sacrifier. En clair, l’individu n’existe dans ce discours que pour être sacrifié : il doit faire preuve de « bons comportements face au virus », on exige de lui l’obéissance – « se faire tester aux premiers symptômes ». L’acceptation de toutes ces contraintes est considérée comme du civisme, alors qu’est exigée une foi aveugle dans la parole du président. Il faut partir du principe que ce que dit le pouvoir est VRAI. Il faut partir du principe que nous devons lui faire confiance, « s’isoler au premier symptôme ». Ensuite, le message est clair : la punition pour être positif (sans nécessairement être malade), c’est l’exclusion sociale – sortir du groupe. Donc insécurité, déséquilibre et irresponsabilité priment dans ce discours, où l’axe du bien est présenté comme la doxa du pouvoir. On comprend que la protection, c’est la répression ! La protection passe par la répression émanant des décrets. L’individu est de nouveau absorbé dans la fusion avec le chef : « nous avons tous consenti » ; l’opposition et l’opinion plurielle n’existent plus, tout le monde est censé avoir « consenti ».

On peut comprendre effectivement la stigmatisation des événements religieux par une sorte d’effet concurrentiel à la nouvelle religion mondiale de la pandémie, le « covidisme », avec ses rituels.

Une secte exige l’adhésion à une foi de type religieux. On ne demande pas à l’individu d’analyser, mais de croire aveuglément. La persécution et la censure, ainsi que l’intimidation, se sont abattues sur ceux qui voulaient analyser, et non croire.

Une secte ou un culte promet toujours le retour d’un paradis perdu. C’est la même chose avec le système totalitaire. Une secte propose des objets fétiches, ici le Saint Graal était l’injection, censée nous libérer du mal.

La dérive totalitaire est de nature sectaire et prophétique. « La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé », a déclaré Hannah Arendt.

La certitude délirante collective, de type paranoïaque, s’est fondée sur des premiers principes erronés, puis une construction du discours orchestré sur la foi, sans acceptation du moindre doute. Cette foi s’est organisée, dès l’origine, sur trois sophismes, non dévoilés mais présents dans le fond idéologique des discours et des décisions politiques, et que nous exposerons ainsi :

1° L’épidémie justifie une dictature.
2° Seul un vaccin peut faire barrage à l’épidémie.
3° Un vaccin est le seul moyen qui sauvera l’humanité du grand danger qui la menace. (…)

Les citoyens acquièrent peu à peu l’habitude de devoir être autorisés pour leurs moindres faits et gestes, conditionnement néfaste s’il en est, couplé à leur infantilisation : ils sont jugés irresponsables, mésestimés ou insultés par le pouvoir, ce qui montre une classe politique cynique et particulièrement coupée des réalités.

Il s’agit désormais non de science, et encore moins de médecine, mais d’un discours aux accents religieux, avec ses litanies, et son comptage mortifère quotidien, réduisant la complexité du réel à un seul prisme de lecture. La construction d’une nouvelle langue, avec ses mots et ses expressions nouveaux, totalement déconnectée de la réalité de l’expérience, relève davantage de la croyance sectaire et religieuse – donc de la foi dans la messe dite par les médias et le politique – que de la science. »

Par conséquent, en propageant le chaos, LaREM trouble l’ordre public et seule la justice est désormais en mesure de mettre un terme à ses dérives sectaires.

En France, en effet, ce n’est pas la secte en elle-même qui entraîne des poursuites judiciaires, mais plutôt les dérives sectaires relevant de la notion d’ordre public.

En droit administratif français, l’ordre public est l’état social idéal caractérisé par « le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques », la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le droit criminel français concède à chacun le droit de nourrir les convictions religieuses, philosophiques ou morales de son choix, toutefois, il n’admet pas que, dans leur extériorisation, elles viennent heurter les exigences de l’ordre public.

Les impératifs de moralité et de santé publiques notamment ne sont pas des concepts abstraits qu’on pourrait croire uniquement tournés vers la satisfaction des besoins de la société.

Leur fonction primordiale est d’ordre humain : ils ont pour finalité d’assurer le respect des droits de l’individu à la vie, à la protection de son intégrité physique et de sa santé, à l’équilibre psychique, au plein développement de ses capacités corporelles et intellectuelles. Bref, à la dignité de la personne. Des atteintes graves peuvent être portées à ces valeurs par l’effet d’agissements ou d’attitudes dictés par des croyances ou convictions exacerbées.

Si l’impérieuse neutralité invite dans un État laïc et démocratique à ne pas stigmatiser l’extravagance de certaines pratiques religieuses, philosophiques ou morales, elle ne peut conduire à en tolérer les dérives. Aussi, lorsque l’ordre public paraît menacé, le droit criminel traduit aussitôt son hostilité par la mise en œuvre de multiples incriminations, relevant généralement du droit pénal « commun » (Loi n° 2001-504 du 12 juin 2001 tendant à renforcer la prévention et la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, dite loi About-Picard).

Un faisceau d’indices permet de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire :
– la déstabilisation mentale,
– le caractère exorbitant des exigences financières,
– la rupture avec l’environnement d’origine,
– l’existence d’atteintes à l’intégrité physique,
– l’embrigadement des enfants,
– le discours antisocial,
– les troubles à l’ordre public
– l’importance des démêlés judiciaires,
– l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
– les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.

Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes, à l’ordre public, aux lois ou aux règlements.

Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.

Il importe peu que telle dérive soit commise par un mouvement sectaire, un nouveau mouvement religieux, une religion du Livre ou par un charlatan de la santé. Dès lors qu’un certain nombre de critères sont réunis, dont le premier est la mise sous sujétion, l’action répressive de l’État a vocation à être mise en œuvre (site Miviludes).

L’action du juge, gardien des libertés, va dans le sens de la protection contre toute sujétion physique ou psychologique.

Les associations plaignantes estiment donc qu’il revient désormais au juge de se pencher sur les actions de l’association LaREM et d’évaluer leurs conséquences sur l’ordre public.




La vérité sur Bucha est peut-être trop gênante pour être découverte

[Source : arretsurinfo.ch]

Scott Ritter est un ancien officier de renseignement du Corps des Marines des États-Unis et l’auteur de « SCORPION KING : America’s Suicidal Embrace of Nuclear Weapons from FDR to Trump ». Il a servi en Union soviétique en tant qu’inspecteur chargé de la mise en œuvre du traité FNI, dans l’état-major du général Schwarzkopf pendant la guerre du Golfe, et de 1991 à 1998 en tant qu’inspecteur des armements de l’ONU.

Par Scott Ritter – 4 avril 2022 – RT.com

Il devrait être facile de découvrir ce qui est réellement arrivé aux civils massacrés dans la ville ukrainienne.

« À la guerre, la vérité est la première victime ». Cette citation a été attribuée à Eschyle, un tragédien grec du VIe siècle avant notre ère, remarqué pour son « utilisation abondante de symboles, d’allusions mythiques, d’un grand style, de jeux de mots et d’énigmes ». Il est donc tout à fait approprié que l’homme qui a été le premier à donner naissance au concept de propagande de guerre moderne voie sa citation prendre vie dans l’Ukraine d’aujourd’hui. Le gouvernement de Kiev et ses conseillers occidentaux en matière de guerre de l’information ont peut-être utilisé tous les procédés dramatiques d’Eschyle pour créer une tragédie moderne dans la ville ukrainienne de Bucha, qui illustre la notion de mensonge comme étant non seulement un sous-produit, mais aussi une arme de guerre.

La principale source des rapports sur la tragédie de Bucha est une vidéo, prise par la police nationale ukrainienne, d’un de ses convois traversant une rue de la ville. Une douzaine de cadavres jonchent la chaussée, beaucoup d’entre eux semblant avoir été ligotés. Cette vidéo est devenue virale, produisant une pandémie d’angoisse et de colère qui a balayé une grande partie du monde, attirant l’attention des chefs d’État et du chef de l’Église catholique, et entraînant un raz-de-marée de condamnation et d’indignation à l’encontre de la Russie et de son président, Vladimir Poutine. La relation de cause à effet entre la vidéo et la réaction mondiale est claire : la première ne pourrait exister sans la seconde.

L’une des premières leçons d’objectivité consiste à prendre son temps pour s’assurer que les faits ne sont pas obscurcis par l’émotion. La vidéo de Bucha est dérangeante. La vidéo a été diffusée sous sa forme actuelle, semble-t-il, dans l’intention expresse de produire un moment de stupeur et de sidération pour le spectateur. Si c’est effectivement le cas, alors ceux qui l’ont diffusée – la police nationale ukrainienne – ont réussi au-delà de leur imagination la plus folle. Ou celle de leurs conseillers, selon le cas.

Le lien entre les morts et l’armée russe a été établi immédiatement, sans aucune donnée factuelle pour l’étayer, puis repris dans toutes les catégories de médias – grand public et sociaux. Quiconque a osé remettre en question le récit convenu selon lequel « c’est la Russie qui l’a fait » a été rabroué et traité de « comploteur russe », voire pire.

Que ces conclusions soient le sous-produit d’une hystérie de masse n’a rien à voir – pourquoi chercher à être objectif lorsque le récit correspond à tous les stéréotypes qui avaient été soigneusement assemblés au préalable par les mêmes personnes qui répètent l’histoire de Bucha aujourd’hui. Le « pré-conditionnement » social d’un public qui n’est pas habitué à la pensée critique est une étape essentielle pour amener ce public à accepter comme valeur nominale tout ce qu’on lui présente, même si les faits de l’histoire mettent la crédulité à rude épreuve. Et soyons clairs : le récit ukrainien des événements de Bucha apparaît très peu crédible.

La chronologie du récit est le premier signal d’alarme indiquant que l’histoire colportée par l’Ukraine et reprise par l’Occident n’est pas ce qu’elle semble être. Il est établi que les troupes russes ont évacué Bucha le 30 mars. La police nationale ukrainienne a commencé à entrer dans Bucha le 31 mars et, le même jour, le maire de Bucha a annoncé que la ville était entièrement sous le contrôle des autorités ukrainiennes. À aucun moment, le maire ou tout autre responsable ukrainien n’a suggéré que des massacres avaient été commis par la Russie. La vidéo en question a été diffusée par les autorités ukrainiennes le 2 avril ; il n’est pas certain qu’elle ait été prise plus tôt, ou ce jour-là. Ce qui est certain, c’est que les images montrées dans la vidéo diffèrent fortement du récit initialement présenté par le maire.

Pour sa part, la Russie a démenti avec véhémence ces allégations et a demandé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations unies pour discuter de ce que le ministère russe des affaires étrangères a qualifié de « provocations criminelles par des soldats et des radicaux ukrainiens » à Bucha. La présidence du Conseil de sécurité est assurée par la Grande-Bretagne, et la mission britannique auprès de l’ONU a rejeté la demande russe, déclarant qu’une discussion sur l’Ukraine, prévue pour le mardi 4 avril, servirait de tribune pour toute discussion sur Bucha.

On pourrait penser que le Conseil de sécurité, qui s’est montré prêt par le passé à se réunir dans des délais très courts pour discuter des événements en Ukraine, chercherait à accéder à la demande de la Russie sur une question d’une telle importance. L’objectif des Britanniques, cependant, ne semble pas être la recherche rapide de la vérité et de la justice, mais plutôt de gagner du temps pour permettre aux retombées politiques du massacre présumé de Bucha de se développer davantage.

Un exemple de cette tactique se manifeste dans la réaction du président américain Joe Biden. « Vous avez vu ce qui s’est passé à Bucha », a-t-il expliqué dans des commentaires aux journalistes, ajoutant que le président russe Vladimir Poutine « est un criminel de guerre ». Joe Biden a profité de la crise de Bucha pour plaider en faveur de la livraison de davantage d’armements à l’Ukraine. « Nous devons continuer à fournir à l’Ukraine les armes dont elle a besoin pour poursuivre le combat », a-t-il déclaré. « Et nous devons rassembler tous les détails pour que cela puisse être un véritable – avoir un procès pour crimes de guerre ».

Tout cela de la part du président d’un pays qui a refusé de reconnaître la Cour pénale internationale. Pour des raisons qui devraient être évidentes pour toute personne prête à faire preuve d’un peu d’esprit critique.

Heureusement pour le président Biden et le gouvernement ukrainien, le procureur général britannique de la Cour, Karim Khan, a annoncé début mars 2022 qu’il avait ouvert une enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité présumés commis en Ukraine. Compte tenu de l’importance des allégations de Bucha, on peut imaginer que Khan a dépêché une équipe de médecins légistes pour prendre le contrôle de la scène du crime et superviser les autopsies des victimes afin d’établir l’heure et le mécanisme du décès, et de déterminer si les victimes sont mortes là où elles auraient été trouvées ou si leurs corps ont été déplacés d’un autre endroit.

Khan serait également habilité à mener des entretiens avec la police nationale ukrainienne, qui a toujours entretenu des relations étroites avec les membres de l’extrême droite ukrainienne, notamment le tristement célèbre bataillon Azov. Il serait particulièrement intéressant d’enquêter sur les ordres donnés à la police concernant le traitement des civils ukrainiens réputés avoir collaboré avec l’armée russe pendant son occupation de Bucha.

Les résultats d’une telle enquête seraient plus que probablement en contradiction avec le discours du gouvernement ukrainien, relayé en Occident par des médias et des politiciens complaisants. C’est la principale raison pour laquelle Khan n’est pas actuellement sur le terrain à Bucha. On peut supposer que si et quand Khan aura finalement accès aux preuves concernant les meurtres de Bucha, celles-ci auront été manipulées par la police nationale ukrainienne à un point tel qu’il sera pratiquement impossible de réfuter les allégations.

La vérité sur ce qui s’est passé à Bucha est là, attendant d’être découverte. Malheureusement, cette vérité ne semble pas convenir à ceux qui sont en mesure de la poursuivre agressivement par le biais d’une enquête médico-légale sur place. S’il s’avère finalement que la police nationale ukrainienne a assassiné des civils ukrainiens pour avoir prétendument collaboré avec les Russes pendant leur brève occupation de Bucha, et que les forces du droit international sont mises en œuvre contre les véritables auteurs de ce crime, toute véritable poursuite de la justice devra inclure les gouvernements américain et britannique en tant que co-conspirateurs délibérés du crime reproché.

Scott Ritter

Source: https://www.rt.com/russia/553293-bucha-war-crimes-truth/

(Traduction Arrêt sur info)


https://twitter.com/blf_tv/status/1511606715032162306?s=11

Commentaire d’une syrienne sur la manipulation par les médias :

Faux Charniers attribués au régime de Damas et images empruntées d’attaques chimiques, soit fabriquées, soit réalisées vraiment par les « modérés » et attribués au régime, associations False Flag « casques blancs » et Observatoire syrien de droit de l’homme basé à Londres et payés par les services secrets de sa majesté, parmi d’autres !
Puis tribunal de Lahaye connu pour son intégrité qui a jugé coupables 2 généraux libanais emprisonnés pendant deux ans pour être libérés plus tard : innocents !!!




Où est passé le patrimoine d’Emmanuel Macron ?

[Source : Sud Radio]

Avec Jean-Baptiste Rivoire, journaliste d’investigation, fondateur du média Off Investigation.




L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Dr Laura Sanger, Ph. D. : Khazarie, Dynastie des Rothschild, Nouvel Ordre Mondial, Ukraine et la mise en Œuvre de l’Agenda Nephilim

Je vous présente ci-dessous la traduction d’un article du Dr Laura Sanger, Ph. D. concernant les anciens Khazars, en lien avec la dynastie des Rothschild, le Nouvel Ordre Mondial et la situation actuelle en Ukraine. Laura Sanger est psychologue clinicienne agréée et propriétaire d’une petite entreprise. Elle a vécu dans l’Illinois et en Californie, mais habite l’Utah. Elle a obtenu un B.A. en psychologie de l’Université de Californie à San Diego. Elle a travaillé au Veterans Administration Hospital de La Jolla, Los Angeles, Westwood et Salt Lake City. Elle a obtenu une maîtrise en théologie et un doctorat en psychologie clinique du Fuller Theological Seminary. Elle a pratiqué comme psychologue clinicienne pendant 15 ans, se spécialisant dans les maladies mentales chroniques, les dépendances, les troubles de la personnalité et le traitement des adolescents. Elle travaille actuellement avec des équipes de football en tant que consultante en psychologie du sport.

Le 22 mars, elle a rejoint le podcast “Blurry Creatures”, animé par Nate Henry et Luke Rodgers, pour donner sa première discussion publique sur les Khazars et ce qu’elle croit être un foyer d’élevage d’hôtes Nephilim. Ce sujet controversé est étroitement lié aux événements géopolitiques et aux événements actuels qui dominent le cycle de l’actualité. Qui sont les Khazars ? Les guerres et les conflits modernes peuvent-ils remonter à l’histoire ancienne et aux racines des Nephilim ? Comment le projet d’élevage Khazarien est-il lié à l’agenda hybride pour dominer l’humanité et asservir l’humanité ?

Les Rothschild, qui sont des hôtes Nephilim, et leur mafia Khazariane ont pris pied dans les nations du monde entier depuis le milieu des années 1700. Les tentacules de la Maison Rothschild atteignent la politique monétaire de 85% des pays du monde, mais la Russie s’est libérée de celles-ci en 2006.

Le terme « Hôtes Nephilim » fut inventé par le Dr Sanger dans son livre “The Roots of the Federal Reserve: Tracing the Nephilim from Noah to the US Dollar” (Les racines de la Réserve fédérale : retracer les Nephilim de Noé au dollar américain). À la base, le programme des Nephilim a pour objectif de nous dépouiller de notre humanité. Laura Sanger identifie quatre traits de Nephilim : violent sans remords ; se livrant à la dégradation sexuelle; malhonnête dans les transactions commerciales ; et, trafiquants d’êtres humains et asservissement d’autrui. Selon Sanger, les différences entre les Nephilim, les hôtes Nephilim et les personnes diabolisées sont :

  • Les Nephilim sont des hybrides, à la fois humains et esprits.
  • Les hôtes Nephilim sont des humains qui s’associent aux forces spirituelles des ténèbres pour mener à bien le programme des Nephilim.
  • Les personnes diabolisées sont des personnes qui ont des démons qui résident en elles mais qui n’essaient pas intentionnellement de mettre en œuvre le programme des Nephilim.

« Donc, je propose que tous les hôtes Nephilim soient diabolisés, mais toutes les personnes diabolisées ne sont pas des hôtes Nephilim », a déclaré le Dr Sanger. Elle ajoute : « Avec ce qui se passe entre la Russie et l’Ukraine, comprendre l’histoire de la Khazarie apportera, espérons-le, plus de perspective à ce conflit ».

Afin de compléter ce que le Dr Laura Sanger écrit ci-dessous, je vous invite aussi à lire l’article de Rhode Wilson publié le 4 avril dernier sur le site Web de The Exposé.



[Voir aussi :
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare
et
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]

Les racines Khazariennes en Ukraine

par Dr Laura Sanger, Ph. D.

Le Kaghan (le roi) “au retour de la chasse” (c’est le cadavre d’un homme qu’il tient par les cheveux).

L’Ukraine est-elle un terreau fertile pour les hôtes Nephilim depuis des millénaires ? Pourquoi les livres d’histoire sont-ils curieusement muets sur la Khazarie ? Découvrons la vérité qui a été cachée dans les sables du temps et faisons la lumière sur le conflit géopolitique actuel entre la Russie et l’Ukraine.

Avant de nous plonger dans une histoire intrigante, je dois d’abord fournir un peu de base. Si vous n’avez pas eu l’occasion de lire mon livre “The Roots of the Federal Reserve” ou d’écouter l’épisode 7 de l’émission “Impact of the Nephilim Agenda Today: Part 1”, vous ne connaissez peut-être pas le terme « Hôte Nephilim ». C’est un terme que j’ai inventé au chapitre 13 de mon livre. Les hôtes Nephilim sont des individus qui se sont associés aux forces spirituelles des ténèbres pour mener à bien le programme des Nephilim. Quel est l’agenda des Nephilim, dites-vous ? Je suis contente que vous ayez demandé.

L’agenda des Nephilim a été déclenché à l’époque de Noé. C’est le plan de souiller le génome humain par la propagation d’une race hybride, dont le but est de renverser le royaume de Dieu. Nous sommes au milieu d’une guerre non conventionnelle, une guerre aux proportions bibliques entre le bien contre le mal. Les origines du programme des Nephilim se trouvent dans la guerre des semences de Genèse 3. Après la chute, Yahweh a déclaré la guerre entre la semence d’Eve (l’humanité) et la semence de Satan. Un jour, la semence d’Eve écraserait Satan; c’était une déclaration prophétique du Messie. La stratégie de Satan était de contaminer la semence de la femme en altérant le code génétique des humains. C’est alors que les « fils de Dieu » déchus sont devenus partie intégrante de la stratégie de Satan, ils ont choisi de quitter leur demeure céleste, d’envahir le royaume terrestre, de descendre sur le mont Hermon, de convoiter les filles des hommes, de s’accoupler avec elles et de souiller le génome humain en donnant naissance aux Nephilim, une race hybride de géants. Ce récit est tiré de Genèse 6 et du texte extra-biblique du Livre d’Enoch.

Étant donné la nature éthérée des Nephilim, j’ai pensé qu’il était important de développer un ensemble de critères (proposés) qui feraient progresser notre capacité à discerner la présence de traits de Nephilim chez les individus. Dans le chapitre 13 de mon livre, j’identifie 4 traits physiques et 19 caractéristiques comportementales des Nephilim et de leur progéniture géante. Nous ne devons pas nous tromper en pensant que les Nephilim ne parcouraient la terre qu’aux jours de l’antiquité. Il y a des hôtes Nephilim vivants aujourd’hui. Beaucoup d’entre eux sont les « titans » de la gouvernance mondiale.

Les hôtes Nephilim ont l’intention d’asservir les masses par le contrôle, la domination et l’intimidation. Ne vous méprenez pas, l’agenda Nephilim et l’agenda mondialiste servent le même objectif final – la domination totale de l’humanité; c’est une tyrannie de premier ordre.

En retraçant l’agenda des Nephilim, j’ai découvert qu’à l’ère commune, l’agenda des Nephilim a été perpétué à travers les Khazars. À la lumière du conflit entre la Russie et l’Ukraine, le moment est venu de discuter de l’histoire de la Khazarie. Les pièces du puzzle commenceront à se connecter au fur et à mesure que nous comprendrons le rôle des Edomites dans l’histoire de la Khazarie.

Royaume Khazar

Le sentier des Edomites

La transformation d’Esaü en Edom a été importante dans l’histoire du monde. Quand Esaü a volontairement échangé son droit de naissance contre un ragoût de lentilles rouges, il a choisi d’être ROUGE. Ce choix avait une ramification substantielle sur sa lignée générationnelle. Esaü s’est marqué ROUGE (Edom). Quelque chose de bien plus profond qu’un simple désir de soupe aux lentilles était à l’œuvre ici. Ésaü a scellé une transaction, qui restreindrait son allégeance à une semence particulière, la semence de Satan. Pour une meilleure compréhension, regardez l’épisode 10 de l’émission sur Youtube “Impact de l’agenda Nephilim aujourd’hui : Partie 4”.

En suivant la piste des Edomites, j’ai découvert qu’il y avait des traits de Nephilim parmi eux. Les Horites se sont mêlés aux géants et les Edomites se sont mêlés aux Horites, ce qui a rendu possible la transmission des gènes Nephilim parmi les Edomites (voir la figure ci-dessous). Je couvre cela plus en détail dans l’épisode 10. Il y a trois exemples bibliques d’Edomites qui ont montré des traits de Nephilim : Doeg, Haman et Hérode. Les traits de caractère affichés par ces trois hommes édomites étaient la tromperie, la haine, la rage, la violence, le meurtre et le génocide, qui sont tous des identifiants des hôtes Nephilim. Dans la lignée Edomite se trouvaient les Nephilim.

Graphique de la connexion Nephilim à la Réserve fédérale. Créé par le docteur Laura Sanger, Ph.D.

Il existe plusieurs migrations Edomites qui nous fournissent des indices sur le lien entre les Edomites et les Khazars. Tout d’abord, les Edomites ont commencé à migrer vers le nord pendant la captivité babylonienne vers 586 avant J.-C. Lorsque le roi Nebucadnetsar a emmené les Judéens en captivité, les Edomites ont applaudi. Fidèles à leur caractère, ils ont profité de la calamité des Juifs en migrant vers le nord et en s’installant en Juda. Ils sont restés en Juda pendant plusieurs siècles.

Au 1er siècle avant J.-C, les villes iduméennes (Idumée est le terme grec pour Edom) de Marissa et Dora ont été conquises par Jean Hyrcanus, un chef de file de la révolte des Maccabées. Hyrcanus a donné aux Iduméens un ultimatum — se convertir au judaïsme ou quitter la région. Les Iduméens se sont convertis parce qu’ils voulaient rester en Judée. Cette conversion massive a conduit à des mariages mixtes entre les Iduméens et les Judéens. Les Iduméens ont pris le pouvoir sous les Romains et ont reçu la supervision gouvernementale de la Judée à travers la lignée d’Hérode. Étant donné le mélange des Iduméens avec les Judéens, des historiens tels que Josèphe, ont qualifié les Iduméens de Judéens. Il n’y avait aucune distinction entre les deux.

La deuxième migration notable des Edomites (Iduméens) a eu lieu juste avant la chute de Jérusalem en 70 après J.-C. Il y a eu un grand exode de Juifs de Judée vers la région du Caucase ; parmi ces Juifs de la diaspora se trouvaient un mélange de Judéens et d’Édomites. Ils s’installèrent en Khazarie.

Le site de la forteresse khazare de Sarkel, découvert par Mikhaïl Artamonov dans les années 1930.

Les Khazars

Les Khazars étaient un peuple asiatique violent et guerrier qui a migré vers l’extrémité nord de la mer Caspienne au 1er siècle avant J.-C. Les Khazars ont rapidement amassé près de 1 000 000 de miles carrés en conquérant les sociétés agraires de la région du Caucase. Le royaume khazar englobait ce qui est aujourd’hui l’Ukraine et certaines parties de l’Europe de l’Est. Comme je l’ai mentionné, les livres d’histoire sont curieusement silencieux sur les Khazars, nous devons donc nous appuyer sur deux experts, Benjamin Freedman et Matthew Raphael Johnson. Je suis reconnaissante pour leur contribution à expliquer les origines des Khazars et leur impact sur l’histoire du monde.

Benjamin Freedman était un homme d’affaires juif prospère de New York au début des années 1900. Il était très bien connecté avec les dirigeants politiques de son temps. Il avait une perspective sans précédent sur les Khazars et la communauté juive moderne parce qu’il était un agent sioniste qui s’est éloigné du sionisme en 1945. Dans la langue vernaculaire d’aujourd’hui, il serait considéré comme un lanceur d’alerte. Il écrit : 

« Au 1er siècle avant J.-C, les Khazars avaient envahi l’Europe de l’Est depuis leur patrie en Asie… Ils n’étaient pas des “Sémites”. Ils étaient une nation mongoloïde asiatique… En une période relativement courte, les Khazars ont établi le royaume le plus grand et le plus puissant d’Europe, et probablement le plus riche aussi. Les Khazars étaient une nation païenne… Les viles formes d’excès sexuels auxquelles se livraient les Khazars en tant que forme de culte religieux produisaient un degré de dégénérescence morale que le roi des Khazars ne pouvait pas supporter. Au VIIe siècle, le roi Bulan… a décidé d’abolir la pratique du culte phallique… et a choisi la future religion d’État comme… le “talmudisme”, et maintenant connue et pratiquée sous le nom de “judaïsme”. »

Voici un autre exemple de conversion forcée au judaïsme, comme les Iduméens, les Khazars ont été contraints d’assimiler le judaïsme dans leur vie quotidienne.

Sceau découvert lors des fouilles sur les sites khazars. Plutôt que d’avoir été fabriqués par des Juifs, ceux-ci semblent être des disques solaires chamaniques.

L’autre expert, Matthew Raphael Johnson, ancien professeur dans les domaines de l’histoire et des sciences politiques à la Penn State University et à la Mount St. Mary’s University, s’est spécialisé dans l’histoire russe et ukrainienne, ce qui lui a permis de bien connaître l’histoire de la Khazarie. Il déclare : 

« La théorie Khazar suggère qu’il n’y a aucun lien entre les Israélites et les Juifs. Pourtant, même s’il y en avait, la religion du Juif moderne n’a aucun rapport avec la foi israélite, qui est condamnée avec véhémence dans le Talmud… En adoptant l’éthique du Talmud, ils ont adopté la mentalité des Pharisiens, dont l’arrogance servait de première fondation du Talmud. »

Johnson suggère qu’il existe un lien entre les pharisiens et le Talmud. Cela mérite d’être mieux compris. Louis Finklestein, un éminent juif américain du XXe siècle et érudit talmudique, explique le lien entre les pharisiens et le Talmud : 

« Le pharisaïsme est devenu le talmudisme, le talmudisme est devenu le rabbinisme médiéval et le rabbinisme médiéval est devenu le rabbinisme moderne. Quand le Juif… étudie le Talmud, il répète en fait les arguments utilisés dans les académies palestiniennes. »

Les juifs khazars adhéraient aux pratiques religieuses pharisaïques. Ils ont suivi le Talmud babylonien qui est ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Talmud. Le Talmud est composé de deux parties: la Mishna (la loi orale) et la Guemara (interprétation et commentaire de la Mishna). On croyait que la loi orale avait été donnée à Moïse sur le mont Sinaï au moment où il reçut la loi écrite. On pense qu’il a été transmis à Josué, puis aux prophètes, puis aux rabbins qui l’ont transcrit vers 200 après JC.

Avec la conversion forcée des Khazars, il y eut un nouveau mélange avec les Judéens et les Edomites. Cela nous laisse avec la question de savoir qui sont les vrais Israélites ? Qui sont les vrais juifs ? C’est une question très controversée et à laquelle il est difficile de répondre. Je ne répondrai pas nécessairement à cette question, mais je veux apporter certaines choses à considérer.

CF Parker, dans “A Short Study of the Esau Edom in Jewry”, était dans la lignée de la plupart des historiens juifs lorsqu’il a conclu qu’il existe deux catégories de Juifs modernes dans le monde : les Ashkénazes et les Séfarades. Mon parcours d’investigation dans l’écriture de “The Roots of the Federal Reserve” s’est concentré sur les Juifs ashkénazes parce que leur piste a conduit à la Réserve fédérale des États-Unis. CF Parker a suggéré que l’influence édomite au sein des juifs ashkénazes est peut-être minime, mais ne doit pas être négligée. « La communauté juive ashkénaze est donc composée de trois éléments dont les proportions ne sont pas exactement connues : (a) ceux d’origine judaïque ; (b) ceux d’origine iduméenne; (c) les prosélytes d’autres origines. » Ces prosélytes d’autres origines décrivent les Khazars. Cela signifie que deux des trois groupes qui composent les Juifs ashkénazes ne sont pas d’ascendance judaïque. C’est révélateur ! Mais encore une fois, nous ne connaissons pas les proportions de chaque groupe qui comprend les Juifs ashkénazes.

Il y a un débat de longue date concernant les origines des Juifs ashkénazes. De nombreux universitaires et historiens affirment que les Juifs ashkénazes sont originaires d’Allemagne. Mais des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que la Khazarie est la terre dans laquelle les Juifs ashkénazes trouvent leurs racines. Par exemple, un rabbin du 12ème siècle a noté dans son récit de voyage que le royaume de Khazarie vient des descendants de Meshach, fils de Gomer, petit-fils de Japhet, arrière-petit-fils de Noé. Ceci est également confirmé dans une lettre du roi khazar Joseph qui a rapporté que les Khazars sont de la lignée de Japhet. Notamment, cette lignée a également produit Magog, Togarmah et Ashkenaz. Le Talmud fait référence à une ville près de la mer Noire appelée Ashkenaz, mais ce terme a également été utilisé plus largement pour décrire le royaume Khazar. D’un autre intérêt est un passage du livre d’Ezéchiel qui décrit les pratiques commerciales de Meshach et de Togarmah.

« Javan, Tubal et Méschec trafiquaient avec toi; Ils donnaient des esclaves et des ustensiles d’airain en échange de tes marchandises. Ceux de la maison de Togarma pourvoyaient tes marchés de chevaux, de cavaliers et de mulets. » 

(Ézéchiel 27:13-14)

Dans ce passage, nous découvrons que les ancêtres des Khazars étaient des marchands d’esclaves et des guerriers qui utilisaient des chevaux au combat. Cela a été confirmé par les écrits du rabbin Saadia Gaon du 10ème siècle. Il a décrit les Khazars comme étant des guerriers coriaces qui montaient à cheval; ils étaient fortement engagés dans la traite des esclaves et exécutaient périodiquement leurs propres rois. Johnson fournit une confirmation supplémentaire dans son essai “The Regime: Usury, Khazaria and the American Mass”. Il nous donne une fenêtre intéressante sur les pratiques commerciales qui ont façonné les politiques économiques de l’empire Khazar.

« Dans l’histoire russe, cette [usure] était le rôle de la Khazarie. Faire payer des péages aux marchands de passage était leur principale source de revenus. Sur le plan intérieur, la couche supérieure de la société, principalement juive, a extrait l’hommage de leurs peuples conquis. L’empire Khazar avait un petit mais puissant groupe de banquiers juifs à Kiev dès le 10ème siècle.

La Khazarie existait en tant qu’État multinational dirigé par une oligarchie de convertis juifs. Peu d’historiens aborderont cette question, et pour cause… En contrôlant la « Grande Route de la Soie », les Juifs Khazars se sont pleinement emparés du commerce entre l’Est et l’Ouest, entre le Nord et le Sud, c’est-à-dire toutes les routes commerciales passant par les montagnes du Caucase. C’était le but principal de leur migration vers la région… Le contrôle total des routes caravanières passant par le Khanat Khazar a permis aux Juifs d’établir un monopole commercial, où ils ont commencé à contrôler les prix des produits importés et locaux. En conséquence, les consommateurs ont été escroqués.

Selon le témoignage de voyageurs médiévaux, la principale source de revenus du Khanat Khazar, à l’exception de l’usure, était la traite des esclaves. Des raids réguliers sur les terres voisines (surtout slaves) ont donné aux Khazars un grand nombre d’esclaves qui ont été vendus dans le monde entier… Le commerce en général et la traite des esclaves en particulier, a toujours été la source traditionnelle de revenus pour les entrepreneurs juifs et une source de super-profits, ce qui a permis de s’enrichir rapidement, et de renforcer encore son pouvoir parasitaire. »

Hommage des Slaves aux Khazars, miniature dans la Chronique de Radzivilov , XVe siècle.

De plus, dans les chroniques géorgiennes et arméniennes, on trouve une description des Khazars. C’étaient « des hommes sauvages avec des visages horribles et des manières de bêtes sauvages, se nourrissant de sang. » Maintenant, si nous rassemblons tous ces morceaux, cela nous donne une image de la corruption de longue date dans le pays Ukraine. C’est un terreau fertile pour les hôtes Nephilim depuis le 1er siècle avant J.-C. D’après le récit de Johnson et Freedman sur les Khazars, nous voyons certaines des caractéristiques comportementales des hôtes Nephilim : violents sans remords, engagés dans la dégradation sexuelle, malhonnêtes dans les transactions commerciales, trafiquants d’êtres humains et autres esclaves.

Finalement, le royaume khazar a été conquis par les fils de Gengis Kahn au début du XIIIe siècle. Cela a provoqué une diaspora des Khazars, qui étaient des Juifs ashkénazes, en Europe de l’Est. Il est important de noter que le règne des Khazars ne s’est pas terminé, il s’est étendu.

Les Rothschild sont des juifs ashkénazes et ont été parmi les hôtes Nephilim les plus influents de l’ère commune. Les Rothschild et leur mafia Khazariane ont pris pied dans les nations du monde entier depuis le milieu des années 1700. Les tentacules de la Maison Rothschild atteignent la politique monétaire de 85% des pays du monde, notre pays ne fait pas exception. Vous serez peut-être surpris d’apprendre que la Russie s’est libérée des tentacules des Rothschild.

L’histoire de la Russie a été décrite comme « l’un des retournements de situation les plus spectaculaires de l’histoire économique récente ». Lorsque Poutine est devenu Premier ministre en 1999, la Russie devait 16,6 milliards de dollars au Système monétaire international (FMI). À l’époque, la Russie disposait d’un peu moins de 8 milliards de dollars de réserves de change. En d’autres termes, la Russie était en faillite ! Mais Poutine a travaillé de manière agressive pour rembourser la dette envers le FMI en capitalisant sur la hausse des prix du pétrole. Comme nous le savons, l’une des principales exportations de la Russie est le pétrole. Cette marchandise noire a aidé à libérer la Russie des chaînes de l’esclavage. En 2006, la dette de la Russie envers le FMI (une banque contrôlée par Rothschild) a été remboursée. Poutine a réussi à sortir la Russie de l’emprise des Rothschild.

Pour cet exploit héroïque, Poutine a depuis été qualifié de méchant. Les hôtes Nephilim sont habiles dans les tactiques de diffamation et la plupart du monde occidental a bu le « Kool-Aid ». Je ne dis pas que Poutine est un saint, mais nous devons nous rappeler qu’il a tenu tête aux hôtes Nephilim en 2006 et qu’il tient tête aux hôtes Nephilim qui gouvernent l’Ukraine aujourd’hui.

Écrit par Laura Sanger, Ph.D.



France — Élection présidentielle : alerte fraude

[Source : nice-provence.info]

Par Rédaction Nice Provence Info

Prenez le temps (52 minutes) de suivre cette vidéo qui ébranle la foi en la fiabilité des élections et par conséquent en notre démocratie. Ne désespérez pas pour autant. « N’abdiquez pas ! » comme nous le conseille Jean Lassale dans cette vidéo.
Notre système vermoulu ne tient que par la peinture. Bientôt il s’effondrera sous le coup d’une pichenette.



« Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. »

Guillaume de Nassau, prince d’Orange (1533 – 1584)




Boutcha – Déclaration du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie

[Source : r.ambrusfrance.com ou france.mid.ru]

Ambassade de la Fédération de Russie en France

Les séquences audiovisuelles publiées par le régime de Kiev, témoignant de « crimes » prétendument commis par des militaires russes dans la ville de Boutcha, région de Kiev, ne sont qu’une nouvelle provocation.

Pendant le temps que cette commune était contrôlée par les Forces armées russes, aucun civil n’a été affecté par la violence. Les militaires russes ont livré et distribué 452 tonnes d’aide humanitaire aux civils de la région de Kiev.

Tant que la ville se trouvait sous le contrôle des Forces armées russes, et surtout après, jusqu’aujourd’hui, les civils de Boutcha pouvaient se déplacer librement dans la ville ainsi qu’utiliser les communications mobiles.

Les sorties de la ville de Boutcha n’étaient pas bloquées. Tous les résidents locaux avaient la possibilité de quitter la commune en prenant la sortie vers le nord, notamment en Biélorussie. En même temps, les militaires ukrainiens poursuivaient les bombardements des banlieues sud de la ville, y compris des quartiers résidentiels, à l’arme lourde, recourant également à l’aide de chars et de lance-roquettes multuples.

Nous voudrions souligner que toutes les unités russes ont quitté Boutcha le 30 mars, le lendemain des négociations en présentiel entre la Russie et l’Ukraine en Turquie.
Qui plus est, le 31 mars, le maire de Boutcha Anatoli Fedorouk avait confirmé dans son message vidéo qu’il n’y avait aucun militaire russe dans la ville. Pourtant, il n’avait point mentionné qu’il y eût des corps de civils ligotés et fusillés dans la rue.

Il n’est donc pas surprenant que tous les prétendus « témoignages des crimes » de Boutcha ne soient apparus qu’au quatrième jour, avec l’arrivée dans la ville des agents du Service de sécurité d’Ukraine (SBU) et de la télévision ukrainienne.

Il est particulièrement préoccupant que tous les corps qui ont été montrés par le régime de Kiev ne soient pas devenus rigides après au moins quatre jours, n’aient pas de lividités cadavériques et que le sang dans les plaies n’ait pas coagulé.

Tout cela confirme incontestablement que les photos et les vidéos ukrainiennes de Boutcha ne sont qu’une énième mise en scène conçue pour les médias occidentaux, comme cela avait déjà été le cas pour la maternité de Marioupol et dans bien d’autres villes.

Commentaire – Ministère des Affaires étrangèresde la Fédération de Russie :

La Fédération de Russie a demandé de tenir, le 4 avril 2022, une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) portant sur la provocation émanant des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

Pourtant, le Royaume-Uni qui préside le CSNU en ce moment n’a pas donné son accord pour la tenue de cette réunion.

Aujourd’hui, la Russie exigera à nouveau que le CSNU soit réuni en raison des provocations criminelles des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

[Voir aussi :
Lors du « massacre » de Bucha en Ukraine, un cadavre ressuscite !]




Vaccination Covid-19 : le crime parfait

[Source : Le Mouton Enragé]


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Lors du « massacre » de Bucha en Ukraine, un cadavre ressuscite !

[Source : lemediaen442.fr]

Sur les réseaux sociaux, c’est l’effervescence ! La page officielle du ministère de la Défense de l’Ukraine a publié sur sa page Twitter une vidéo qui laisserait supposer des exécutions sommaires et autres violations graves perpétrées par les forces russes. Cette vidéo se passe dans une rue où le véhicule slalome entre des cadavres à même le sol. Human Rights Watch y va de son commentaire « Ukraine : Crimes de guerre présumés dans les zones contrôlées par la Russie. »

Mais voilà ! la manipulation du ministère de la Défense est grossière et facilement démontable. Dans la vidéo du 2 avril ci-dessous le gouvernement russe à relevé sur son compte telegram une anomalie, un cadavre se met à bouger son bras droit au passage des militaires ukrainiens afin qu’il ne passe pas sous les roues du véhicule (6′), l’acteur au sol ne souhaitant pas être réellement blessé par ceux qui le paient pour jouer ce rôle. Nous sommes face à une campagne médiatique grossièrement mensongère, planifiée par les autorités ukrainiennes, afin de faire endosser à la Russie des crimes de guerre imaginaires.

[Voir aussi :
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream
Réinformation sur l’Ukraine
7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Halte au délire occidental sur cette prétendue attaque russe contre la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée !
Ce que personne ne vous a dit sur l’Ukraine et les journalistes – Époustouflant !]

Autre interrogation, les troupes russes ont quitté Bucha le 30 mars 2022. Pourquoi avoir attendu quatre jours pour faire ces révélations ? Problème d’acteurs à disposition ? La maquilleuse était en congé maladie ? Le zoom de l’appareil était défectueux ? C’est ce que Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a souligné : « Nous tenons à souligner en particulier que toutes les unités russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, au lendemain de la série de pourparlers en personne entre la Russie et l’Ukraine en TurquieLe 31 mars, le maire de Bucha, Anatoly Fedoruk, dans son message vidéo a confirmé qu’il n’y avait pas de militaires russes dans la ville, mais n’a pas mentionné d’ habitants locaux abattus dans les rues avec les mains liées. Par conséquent, il n’est pas surprenant que toutes les prétendues “preuves de crimes” à Bucha ne soient apparues que le quatrième jour, lorsque des officiers du SBU et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés dans la ville. »

Le 31 mars, le maire de Bucha déclare (vidéo ci-dessous mise en ligne le 3 avril, mais datant du 31 mars) : « Regardez comme Bucha est paisible après l’invasion de la Russie. Dieu merci, nous sommes tous vivants et en bonne santé. Nous allons tout reconstruire ! »

Dans ce climat de fakenews, nous rappelons à nos lecteurs que les treize soldats ukrainiens annoncés morts sur Snake Island ont en réalité été faits prisonniers par les Russes. La propagande mensongère est à son maximum, la mise en avant de faux cadavres en devient une abomination et reflète encore une fois jusqu’où peuvent aller les soldats ukrainiens relayée servilement par les médias occidentaux.

Le Média en 4-4-2


Nous reproduisons la traduction du communiqué du ministère russe de la Défense qui réfute les accusations du régime de Kiev dans le meurtre présumé de civils dans le village de Bucha, dans la région de Kiev :

Toutes les photographies et vidéos publiées par le régime de Kiev, qui auraient témoigné d’une sorte de « crimes » commis par des militaires russes dans la ville de Bucha, dans la région de Kiev, sont une autre provocation.

Pendant la période où cette colonie était sous le contrôle des forces armées russes, pas un seul résident local n’a subi d’actions violentes. Dans les colonies de la région de Kiev, le personnel militaire russe a livré et délivré 452 tonnes d’aide humanitaire aux civils.

Pendant tout le temps où la ville était sous le contrôle des forces armées russes, et plus encore après, jusqu’à aujourd’hui, à Bucha, les résidents locaux se déplaçaient librement dans la ville et utilisaient les communications cellulaires.

Le départ de la ville de Bucha n’a pas été bloqué. Tous les résidents locaux ont eu la possibilité de quitter librement la colonie en direction du nord, y compris vers la République de Biélorussie. Dans le même temps, la périphérie sud de la ville, y compris les zones résidentielles, a été visée 24 heures sur 24 par les troupes ukrainiennes à partir d’artillerie de gros calibre, de chars et de systèmes de lance-roquettes multiples.

Nous tenons à souligner en particulier que toutes les unités russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, au lendemain de la série de pourparlers entre les représentants de la Russie et de l’Ukraine en Turquie.

De plus, le 31 mars, le maire de la ville de Bucha, Anatoly Fedoruk, a confirmé dans son message vidéo qu’il n’y avait pas de militaires russes dans la ville, mais n’a même pas mentionné d’habitants locaux abattus dans les rues les mains liées.

Par conséquent, il n’est pas surprenant que toutes les prétendues «preuves de crimes» à Bucha ne soient apparues que le 4e jour, lorsque des officiers du SBU et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés dans la ville.

Il est particulièrement préoccupant de constater que tous les corps des personnes dont les images ont été publiées par le régime de Kiev, après au moins quatre jours, ne se sont pas raidis, n’ont pas de taches cadavériques caractéristiques et il y a du sang qui coagule dans les plaies.

Tout cela confirme irréfutablement que les photographies et les séquences vidéo de Bucha sont une autre production du régime de Kiev pour les médias occidentaux, comme ce fut le cas à Marioupol avec la maternité, ainsi que dans d’autres villes.




Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »

Née en Roumanie communiste, réfugiée politique dans une France encore libérale en 1961, je regarde avec stupeur nos compatriotes les plus âgés — et pas que — se préparer à voter pour un Macron qu’ils s’imaginent être un libéral sur le plan politique.

Mais en réalité l’admiration de son mentor, Jacques Attali pour Marx auquel il a consacré un pavé et les propos de Klaus Schwab ne laissent planer aucun doute : Macron nous poussera dans un communisme 2.0 assisté par le pouvoir discrétionnaire de l’IA !

J’ai écrit à la mairie de ma commune en ce sens et je vous invite à diffuser partout cette mise en garde.

Je suis désolée de vous écrire si tardivement mais l’idée ne m’est venue qu’aujourd’hui.

Voulons-nous d’une France « à la soviétique » ?

Merci de relayer, développer amender ce message à votre façon pour qu’il soit vu du plus grand nombre possible.

Nadia L.


[Source : anguillesousroche.com]

Les humains sont désormais des « animaux piratables », selon un conseiller de Klaus Schwab, qui a lancé un avertissement effrayant : les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates.

Le Dr Yuval Noah Harari, contributeur officiel du FEM, a été enregistré en train de prononcer un discours dans lequel il explique ce que Klaus Schwab veut dire lorsqu’il affirme que « c’est vous qui êtes changé ».

[Voir aussi :
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Ce que nous prépare la science: resterons-nous encore des humains?
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle]

Selon le Dr Harari, Schwab fait référence à l’humanité et à l’évolution soudaine que les élites réservent au reste d’entre nous. « Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu [pirater des millions de personnes], mais personne ne comprenait assez bien la biologie », déclare Harari au début de la vidéo.

« Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et certains gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes », poursuit-il, avant de lâcher une menace effrayante :

« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes désormais des animaux piratables. »

Regardez :

https://youtu.be/q2OM9xfK0rA

Mais selon le Dr Harari, cette fusion de la vie humaine avec la technologie ne profitera pas à l’homme ou à la femme moyen pour qu’il ou elle puisse améliorer son propre avenir, mais qu’une poignée d’« élites » ne se contentera pas de « construire des dictatures numériques » pour elles-mêmes, mais « gagnera le pouvoir de réingénier l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir. »

Si les élites parviennent à réorganiser l’humanité, il faudra décider si les données de notre ADN, de notre cerveau, de notre corps et de notre vie « m’appartiennent, ou appartiennent à une société, ou au gouvernement, ou, peut-être, à la collectivité humaine ».

Bien sûr, Bill Gates est impliqué.

Selon Harari, la technologie du cloud, comme la plateforme d’IBM ou celle de Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.

« Les humains sont désormais des animaux piratables », déclare le Dr Harari à un autre moment de la vidéo. « Toute l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, c’est mon libre arbitre, c’est fini. »

« Le libre arbitre, c’est fini », souligne-t-il.

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. »

« En cette période de crise, vous devez suivre la science », soutient le Dr Harari. « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID] est l’occasion de faire aussi de bonnes réformes qu’en temps normal les gens n’accepteront jamais. Mais en temps de crise, vous voyez que nous n’avons aucune chance, alors faisons-le. »

Traduction approximative de la vidéo :

…de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire mais personne ne comprenait assez bien la biologie et personne n’avait assez de puissance de calcul dans les données pour pirater des millions de personnes ni la gestapo ni le kgb n’ont pu le faire… mais bientôt au moins quelques sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes. Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes maintenant des animaux piratables. Les données pourraient permettre aux élites humaines de faire quelque chose d’encore plus radical que de construire des dictatures numériques. En piratant les organismes, les élites pourraient obtenir le pouvoir de réingénier le futur de la vie elle-même, car une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi l’ingénier. Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années. Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … Mais notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente. Ainsi, les données sur mon ADN, mon cerveau, mon corps, ma vie, m’appartiennent-elles ? ou à une société ou au gouvernement ou peut-être à le collectif humain ? Les humains sont maintenant des animaux piratables, vous savez, toute l’idée que les humains ont, vous le savez, ils ont cette âme ou cet esprit et ils ont le libre arbitre et personne ne sait ce qui se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit dans l’élection ou que ce soit dans le supermarché, c’est mon libre arbitre … c’est terminé le libre arbitre, c’est terminé. Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à une échelle massive. Oui, je veux dire, tout est numérisé, tout est surveillé en ce temps de crise, vous devez suivre la science, on dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre.




Mollesse russe et nécessaire destruction du complexe euro-américain

[Source : Le Saker Francophone]

Par Nicolas Bonnal

Nous nous rapprochons de la Fin, entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge, et notre cauchemar euro-américain est à son comble : Leyen, Breton, Attal ou l’infecte Wargon en pleine campagne présidentielle annoncent la confiscation des maisons (vivre à la campagne sera illégal), le camp de concentration électronique, le marquage numérique et vaccinal, l’expropriation et la pénurie pour tous (litre de machin à 2.30 euros tout de même)… La destruction de cet hitlérien complexe atlantique et oligarchique serait le seul moyen de vivre et de vivre libre. Dans quelques années, peut-être même quelques mois, il sera trop tard. Ils veulent de la pénurie, du contrôle, de l’extermination : on les aura. Je viens de voir qu’il est impossible de retourner dans des pays non-européens ou j’ai vécu (notamment en Amérique du sud) : là-bas aussi, Davos et l’OMS ont gagné. On est enfermés, et Debord le disait déjà : « dans un monde unifié, on ne peut s’exiler ».

Paul Craig [Roberts] sait tout cela parfaitement et il s’énerve une nouvelle fois contre Poutine et la Russie, qui ne détruisent pas ce complexe alors qu’ils pourraient le faire. On est face à un champion qui se laisse marcher sur les pieds, alors on s’énerve – d’autant qu’ils vont NOUS LIQUIDER. Les politiques ont été payés et sélectionnés pour ça.
Pour PCR [Paul Craig Roberts] :

« les sanctions russes contre l’Occident peuvent gravement nuire à l’Occident. Pourquoi la Russie n’utilise-t-elle pas ce pouvoir ? »

Et de donner les raisons ; d’une part la Russie reste trop bien élevée (c’est ce que dit Custine déjà : les russes sont trop polis) :

La première raison est que la Russie veut prouver qu’elle est un partenaire commercial fiable qui remplit ses contrats et n’utilise pas les relations commerciales comme une arme. Mais à quoi cela sert-il à la Russie alors que les États-Unis et l’Europe ne sont pas des partenaires commerciaux fiables et utilisent le commerce comme une arme ? Comme la Russie est le seul partenaire fiable dans l’accord, la Russie est prise pour un tour.

Ensuite Craig Roberts rappelle ce qu’on sait tous : la Russie est en partie contrôlée par les atlantistes et c’est comme pour les avoirs gelés par la piraterie occidentale. Craig Roberts :

L’autre raison erronée est que les économistes et la banque centrale russes, soumis au lavage de cerveau des économistes néolibéraux américains, pensent que la Russie ne peut pas se développer sans devises étrangères. La banque centrale pense même qu’elle ne peut créer de roubles pour financer des projets d’investissement que si les roubles sont adossés à des devises. Cela a amené la banque centrale à emprunter de l’argent dont elle n’a pas besoin et sur lequel elle paie des intérêts. En d’autres termes, la politique de la banque centrale russe est absurde et sert les intérêts occidentaux aux dépens de la Russie.

La Russie n’a pas encore compris son génie autarcique ; et elle n’a pas sauté le pas (on sent qu’elle va devoir le faire) :

Les Russes pourraient fermer l’industrie occidentale si la Russie cessait d’exporter de l’énergie et des minerais, mais elle a peur de le faire à cause de la perte de devises. En revanche, les États-Unis n’ont rien dont la Russie a besoin. Biden a proposé une interdiction des exportations américaines de produits de luxe vers la Russie, ce qui ne gêne que quelques oligarques et leurs maîtresses.

La Russie n’a pas besoin de devises étrangères. Elle n’a pas besoin d’importer de l’énergie et des minéraux. La Russie regorge d’ingénierie et de science et peut fabriquer tout ce dont elle a besoin.

Craig Roberts ajoute :

La banque centrale peut financer tous les projets internes. Mais comme les Américains ont réussi à laver le cerveau des économistes russes, les Russes ne peuvent pas utiliser l’arme puissante qu’ils ont sous la main pour mettre l’Occident à genoux en implorant grâce. De plus, les économistes russes n’ont pas assez de bon sens pour exiger le paiement en roubles de leur énergie et de leurs minerais. Cela renforcerait leur propre monnaie plutôt que les monnaies de leurs ennemis. Pourquoi la banque centrale russe renonce-t-elle à l’opportunité d’utiliser les exportations russes pour stabiliser la monnaie russe ?

La conclusion est que dans le jeu des sanctions, les Russes ont toutes les cartes en main mais ne savent pas comment les jouer.

Explication :

La raison de l’impuissance auto-imposée de la Russie est qu’une grande partie de la classe intellectuelle et dirigeante russe a subi un lavage de cerveau par le Forum économique mondial et est attachée au mondialisme.

On a vu aussi comment les moscovites se sont rués angoissés chez Ikea avant la fermeture de cette horrible enseigne. Le monde marchand esquinte tout le monde.

Puis Craig Roberts en vient à Biden et aux occidentaux :

L’idiot mal avisé de la Maison Blanche se vante que le gouvernement américain « va rendre plus difficile pour la Russie de faire des affaires avec les États-Unis ». Cela rend également plus difficile pour les États-Unis et leurs États fantoches de faire des affaires avec la Russie. L’Occident n’a rien dont la Russie a besoin, mais l’Occident ne peut pas survivre sans l’énergie et les minerais russes. Pendant de nombreuses années, les Américains n’ont pas eu accès à l’espace et aux expériences en apesanteur sans que les Russes les transportent jusqu’à la station spatiale.

Rappelons que nos marcheurs sur la lune ne disposent pas de moteurs soixante ans après pour y aller.

Au final la sottise américaine sera le déclencheur de la libération russe :

Washington va aider davantage la Russie en interdisant les investissements occidentaux dans tous les secteurs économiques russes. En d’autres termes, les idiots d’Américains vont faire pour la Russie ce que la Russie aurait dû faire pour elle-même il y a des années.




15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami « pour des raisons de santé »

[Source : echelledejacob]



« Cette semaine, 15 joueurs de tennis ont abandonné le tournoi de Miami “pour des raisons de santé” — des athlètes ont quitté le terrain en larmes pendant le match en raison de symptômes douloureux soudains dans la région du cœur et des poumons ou ont refusé de poursuivre les duels sur les conseils des médecins qui les surveillaient…

Un événement tout à fait fortuit et qui n’a rien à voir avec le fait que tous ces athlètes sont triplement vaccinés, et que la protéine Spike, qui entraîne des changements dans les tissus musculaires cardiaques, a des effets tangibles sur les personnes ayant une activité physique accrue (ces mêmes athlètes !) en premier lieu… »


[Source : thelibertydaily.com]

Personne ne montre l’évidence. Tous les joueurs doivent être « entièrement vaccinés » pour pouvoir concourir. Comme nous le faisons remarquer depuis plusieurs mois, la plupart des grands sportifs sont frappés par des problèmes médicaux « inexplicables » qui apparaissent chez des athlètes jeunes et en bonne santé, et nous avons notamment signalé la chute de trois cyclistes au cours du seul mois de mars.

Les amis, c’est le coup monté. Il n’y a pas d’autre possibilité viable, surtout si l’on considère que même le CDC et d’autres agences ont reconnu que les « vaccins » Covid provoquent une augmentation des problèmes cardiaques chez les jeunes, notamment des myocardites, des péricardites et des crises cardiaques.

Il n’y a jamais eu autant de manipulation et de propagande visant à dissimuler la vérité que pour ces injections. Les dirigeants de tout le pays et du monde entier ont tellement investi dans les vaccins que l’on peut se demander qui tire les ficelles. Une partie de ces pressions est personnelle : tout politicien qui dévoile la vérité sur les vaccins sera évincé de son poste plus rapidement que la sortie de Will Smith du club des élites d’Hollywood. Il en va de même pour les journalistes. Les médias d’entreprise sont tout aussi investis et peut-être même plus complices de la diffusion des mensonges.

Mais cela pourrait être pire. Comme pour beaucoup de choses dont nous avons été témoins ces trois dernières années, il semble qu’il y ait un effort coordonné pour supprimer la vérité. Le théâtre de la panique pandémique est toujours en action, malgré l’impulsion bizarre donnée en février par les démocrates pour lever la plupart des obligations en matière de masques et de vaccins. On parle déjà des 5e et 6e vaccins, alors que le 4e vaccin est en cours de déploiement aux États-Unis.

Tout cela fait-il partie du programme de la Grande Réinitialisation ? S’agit-il de contrôle ? De dépeuplement ? La réponse à ces trois questions est très probablement « Oui ».

Ces injections sont dangereuses. Des athlètes du monde entier tombent. Les gens ordinaires subissent d’horribles réactions indésirables. Des dizaines, voire des centaines de milliers de personnes en meurent. Cela pourrait même être des millions ; les données sont tellement dissimulées. Pendant ce temps, les politiciens et les médias d’entreprise font semblant de ne rien voir, comme s’il n’y avait rien.





Jours 35 et 36 en Ukraine

[Source : lesakerfrancophone.fr]

35e jour de l’opération spéciale russe en Ukraine – un « spécial négationnistes » !

Par The Saker – Le 31 mars 2022 – Source The Saker’s Blog

Combien d’entre vous se souviennent du flot incessant d’avertissements selon lesquels « Poutine travaille pour Schwab » ou « Poutine est de mèche avec Netanyahou », il va « vendre le Donbass » et il « bluffe » au sujet des sanctions.

Puis vint l’ultimatum. Ils l’ont négligé.

Puis vint l’opération militaire spéciale (SMO). Ils l’ont négligée.

Puis vint la nouvelle selon laquelle la Russie vendrait du gaz aux États hostiles uniquement en roubles. négligée.

Vous voyez, pour eux, il n’y a que deux options :

  • Poutine est un agent de Davos/Bilderberger/CFR/WEF/etc.
  • Poutine bluffe

Alors laissez-moi vous demander à tous : avec huit ans d’expérience à se tromper à chaque fois, pourquoi écouter ces clowns ?

Je veux dire, sérieusement, non seulement ils ont tort, mais ils utilisent tous les points de discussion des PSYOPs américaines. Certains le font au nom de la liberté, de la démocratie et de leur amour pour l’Ukraine pure et sans nazis qu’ils soutiennent tant, d’autres le font au nom de la Sainte Russie et de leur désir de renverser Poutine pour le remplacer par… … quelqu’un de mieux.

Après avoir passé des ANNÉES à déboulonner leurs bêtises, je me demande maintenant, avec Poutine qui dit cela : [Voir la vidéo originale sur Rumble, NdT]

Vont-ils finalement admettre qu’ils avaient tort ?

Pourquoi pas ? Parce que pour eux, TOUTE victoire, même juste une victoire perçue, pour la Russie n’est pas une victoire pour la Russie, mais une victoire pour ce « méchant Poutine » qu’ils détestent de tout leur cœur. En outre, ils préfèrent de loin que des nazis de bonne foi l’emportent sur la Russie. Pour l’Empire du Mensonge, les Nazis sont des salauds, mais ce sont « nos salauds ». Rien de nouveau ici.

La Russie a battu les sanctions économiques initiales exactement dans le délai prévu par Poutine. Mais les opposants ont choisi de le nier ou de le rejeter.

Aujourd’hui, le rouble est revenu à sa position d’avant le 24 février, mais ils ne considèrent pas cela comme pertinent.

Ensuite, il y a ceux qui croient encore que les nazis sont en train de gagner. Sur tous les fronts. Eh bien, voici la carte d’aujourd’hui et vous décidez par vous-même qui gagne et qui perd :

Spécialement pour les surdoués de l’alternative, voici une répartition de ce qui se passe selon Scott Ritter :

  1. La guerre des grandes flèches – une introduction. Pour tous ceux qui se grattent la tête avec confusion, ou qui dépoussièrent leurs uniformes de cérémonie pour le défilé de la victoire ukrainienne à Kiev, à cause des nouvelles sur le « changement stratégique » de la Russie, vous pourriez vouloir vous familiariser à nouveau avec les concepts militaires de base.
  2. La guerre de manœuvre est un bon point de départ. Comprenez que la Russie a commencé son « opération militaire spéciale » avec un grave déficit en effectifs – 200 000 attaquants pour quelque 600 000 défenseurs (ou plus). Un conflit classique d’attrition n’était pas envisageable. La victoire russe a nécessité une manœuvre.
  3. La guerre de manœuvre est plus psychologique que physique et se concentre davantage sur le niveau opérationnel que sur le niveau tactique. La manœuvre est un mouvement relationnel – comment vous déployez et déplacez vos forces par rapport à votre adversaire. La manœuvre russe dans la première phase de son opération soutient cela.
  4. Les Russes avaient besoin de façonner le champ de bataille à leur avantage. Pour ce faire, ils devaient contrôler la façon dont l’Ukraine employait ses forces numériquement supérieures, tout en répartissant leur propre puissance de combat, plus petite, pour atteindre au mieux cet objectif.
  5. Stratégiquement, pour faciliter la capacité de manœuvrer entre les fronts sud, centre et nord, la Russie avait besoin de sécuriser un pont terrestre entre la Crimée et la Russie. La prise de la ville côtière de Marioupol était essentielle à cet effort. La Russie a accompli cette tâche.
  6. Pendant que cette opération complexe se déroulait, la Russie devait empêcher l’Ukraine de manœuvrer ses forces numériquement supérieures de manière à perturber l’opération de Marioupol. Pour ce faire, elle a eu recours à plusieurs opérations de soutien stratégique : feintes, opérations de fixation et attaque en profondeur.
  7. Le concept de feinte est simple : une force militaire est perçue comme se préparant à attaquer un endroit donné, ou mène effectivement une attaque, dans le but de tromper un adversaire et de l’amener à engager des ressources en réponse aux actions perçues ou réelles.
  8. L’utilisation de la feinte a joué un rôle majeur dans l’opération Tempête du désert, où les forces amphibies des Marines ont menacé la côte koweïtienne, obligeant l’Irak à se défendre contre une attaque qui n’a jamais eu lieu, et où la 1ère division de cavalerie a réellement attaqué Wadi Al Batin pour coincer la Garde républicaine.
  9. Les Russes ont fait un usage intensif de feintes en Ukraine, avec des forces amphibies au large d’Odessa gelant les forces ukrainiennes sur place, et une attaque majeure de feinte vers Kiev obligeant l’Ukraine à renforcer ses forces sur place. L’Ukraine n’a jamais été en mesure de renforcer ses forces à l’est.
  10. Les opérations de fixation étaient également cruciales. L’Ukraine avait rassemblé quelque 60 000 à 100 000 soldats à l’est, en face du Donbass. La Russie a mené une vaste attaque de fixation destinée à maintenir ces forces pleinement engagées et incapables de manœuvrer par rapport aux autres opérations russes.
  11. Au cours de l’opération Tempête du désert, deux divisions de Marines ont reçu l’ordre de mener des attaques de fixation similaires contre les forces irakiennes déployées le long de la frontière entre le Koweït et l’Arabie saoudite, immobilisant ainsi un nombre important d’hommes et de matériels qui ne pouvaient être utilisés pour contrer l’attaque principale des États-Unis à l’ouest.
  12. L’attaque de fixation russe a immobilisé la principale concentration de forces ukrainiennes à l’est et l’a éloignée de Marioupol, qui a été investie et réduite. Les opérations de soutien menées depuis la Crimée contre Kherson ont permis d’élargir le pont terrestre russe. Cette phase est maintenant terminée.
  13. La Russie s’est également engagée dans une campagne d’attaque stratégique en profondeur visant à perturber et à détruire la logistique, le commandement et le contrôle, la puissance aérienne et l’appui-feu à longue portée de l’Ukraine. L’Ukraine est à court de carburant et de munitions, ne peut pas coordonner ses manœuvres et ne dispose pas d’une force aérienne significative.
  14. La Russie est en train de redéployer certaines de ses principales unités, qui étaient engagées dans des opérations de feintes dans le nord de Kiev, afin qu’elles puissent soutenir la phase suivante de l’opération, à savoir la libération du Donbass et la destruction de la principale force ukrainienne à l’est.
  15. Il s’agit d’une guerre de manœuvre classique. La Russie va maintenant tenir l’Ukraine au nord et au sud pendant que ses forces principales, renforcées par les unités du nord, les Marines et les forces libérées par la prise de Marioupol, cherchent à envelopper et à détruire 60 000 forces ukrainiennes à l’est.
  16. C’est la guerre des grandes flèches à son meilleur, quelque chose que les Américains connaissaient mais ont oublié dans les déserts et les montagnes d’Afghanistan et d’Irak. Cela explique également comment 200 000 Russes ont pu vaincre 600 000 Ukrainiens. Ainsi se termine l’abécédaire de la guerre de manœuvre, à la russe.

Maintenant, rien de tout cela n’est très avancé ou exotique. Et si un Marine américain peut le comprendre, n’importe qui d’autre doté d’une éducation de base et de bon sens peut le faire aussi. À moins, bien sûr, que vous n’ayez un programme idéologique qui vous empêche d’accepter la réalité.

Je passerai peut-être encore plus tard, c’est vraiment une journée riche en événements.

Andrei

PS : et, oui, les Russes continueront à négocier et à parler avec tout le monde. Il faut s’y habituer !

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone


[Source : lesakerfrancophone.fr]

36e jour de l’opération spéciale russe en Ukraine – un regard sur les militaires ukrainiens

Par The Saker – Le 1er avril 2022 – Source The Saker’s Blog

Aujourd’hui, je souhaite commenter un sujet que je n’ai pas encore abordé : la qualité des forces armées ukrainiennes.

Cette nuit, deux hélicoptères ukrainiens volant à très basse altitude et à grande vitesse ont traversé la frontière russo-ukrainienne et, en seulement six minutes de vol, se sont retrouvés à côté d’une installation de stockage de carburant près de la ville russe de Belgorod. Ils ont tous deux tiré, l’un a raté son coup, mais le second a parfaitement atteint son but et l’ensemble de l’installation de stockage de carburant a pris feu. Ce n’est pas grave, l’incendie a été circonscrit, mais c’est tout de même très embarrassant.

Day 36 of the Russian SMO in the Ukraine – a look at Ukrainian military

Autre cas : avant-hier soir, un groupe de 5 hélicoptères ukrainiens a décollé de Nikolaev, a volé à 7 mètres au-dessus des vagues et a atterri à Marioupol. Leur mission était d’évacuer les dirigeants de la force Azov qui se cachaient encore dans l’installation industrielle Azovstal. Après leur décollage, deux hélicoptères ont été abattus, mais trois autres se sont envolés, et il est possible que trois hélicoptères aient amerri dans les eaux au large de la côte (ce qui n’est pas clair à l’heure actuelle).

Pourquoi ces deux événements me semblent-ils très révélateurs ?

Parce que cela montre que les soldats ukrainiens ont BEAUCOUP de courage TRÈS RÉEL. De plus, dans ces deux opérations, la préparation de ces missions a fait l’objet d’une planification minutieuse. Ils ne sont donc pas seulement courageux, ils sont intelligents.

Oui, le Ukie Volkssturm est une blague, mais pas l’ensemble de l’armée ukrainienne et certainement pas les nazis du « bataillon » Azov (ce n’est pas vraiment un bataillon, mais plutôt un régiment ou une petite brigade, mais répartis dans des secteurs clés des défenses ukrainiennes). Pourquoi est-il si important de réaliser cela ?

Parce qu’une ÉNORME bataille se prépare dans le Donbass.

Petit rappel :

Bien que personne ne connaisse la taille réelle de la force ukrainienne encerclée dans le Donbass, la plupart des observateurs situent cette force à environ 60 à 80 000 hommes. Ils sont TRÈS bien armés, grâce à 7 années de livraison massive d’armes par l’Empire du Mensonge. Leurs défenses sont très solides, puisqu’ils les préparent également depuis sept ans. En outre, les Ukrainiens essaieraient de faire venir une autre force importante d’Ukraine centrale pour renforcer leurs forces dans le Donbass ou pour l’aider à s’échapper de leur chaudron.

D’autre part, personne ne sait vraiment combien de forces russes et de la LDNR sont concentrées autour du Donbass. Des rapports font état d’« immenses » colonnes de forces russes se dirigeant vers le Donbass, y compris certaines des forces russes qui ont été déployées près de Kiev pour coincer les forces ukrainiennes loin du Donbass.

La même feinte a été utilisée par la flotte de la mer Noire au large des côtes d’Odessa.

Il y a deux façons de contrôler une route : vous pouvez vous tenir sur la route, placer un barrage routier, peut-être poser des mines et, d’une manière générale, être physiquement sur cette route. Ou vous pouvez le faire à distance, sans marcher sur la route mais en étant capable de tirer (armes légères, RPG, artillerie, CAS) sur tout véhicule circulant sur cette route. L’« encerclement » russe des forces ukrainiennes dans le Donbass en deux petits chaudrons qui sont eux-mêmes enfermés dans un plus grand chaudron est un mélange de ces deux techniques. En d’autres termes, les Ukrainiens ont encore conservé une certaine capacité à se déplacer sur le terrain. Mais seulement à très haut risque. N’oubliez pas que le Donbass est un terrain plutôt plat et que les Russes ont la suprématie aérienne. Mais, avec suffisamment de chance, un immense courage et de la détermination, quelques véhicules blindés ou voitures pourraient essayer de sortir, ou des renforts pourraient entrer. Examinons ces deux options :

Sortir : pour quelques véhicules, et avec beaucoup de chance, cela pourrait encore être faisable. Mais pour l’écrasante majorité des forces ukrainiennes dans le Donbass, ce n’est pas une option. Non seulement elles manquent de carburant, mais toute force importante attirerait l’attention des Russes (ce qui n’est pas le cas d’une voiture de 4 passagers roulant à pleine vitesse dans l’obscurité), ce qui entraînerait des frappes immédiates.

Déplacement vers l’intérieur : ici, les Ukrainiens auraient encore du carburant (ou ils n’essaieraient même pas, ce qu’ils font apparemment), mais le problème est qu’il est impossible de cacher une force importante aux Russes qui pourraient alors utiliser leur artillerie à longue portée et leur appui aérien rapproché pour détruire cette force. Je suis personnellement très dubitatif quant aux chances d’une sous-unité ukrainienne de parvenir jusqu’au Donbass.

Et pourtant.

La propagande ukrainienne est plus que ridicule, mais nous ne devons PAS supposer que si les propagandistes ukrainiens sont des clowns, les soldats ukrainiens le sont aussi. Le fait est que les Ukrainiens n’ont jamais eu l’initiative, et qu’ils ne l’ont toujours pas, et que toutes leurs contre-attaques, y compris l’attaque aérienne sur Belgorod, n’ont eu qu’un effet limité et local. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne se battraient pas très fort pour leur vie, même encerclés, même sans couverture aérienne, sans possibilité de rotation des forces et sans suffisamment de carburant pour s’engager dans une guerre de manœuvre.

Voici à quoi ressemble la carte de la zone d’opérations aujourd’hui :

  • Le cercle jaune représente à peu près la zone où se jouera l’issue de cette bataille.
  • La petite flèche noire représente l’effort probable des Ukrainiens pour envoyer des renforts.
  • La grande flèche noire représente le mouvement des forces russes qui s’éloignent de Kiev et se dirigent vers le Donbass.

En parlant de cartes : si elles montrent plus ou moins la réalité militaire sur le terrain, elles ne montrent pas les réalités politiques de la même manière. La vérité est qu’il y a beaucoup de villes qui sont bloquées/encerclées par les forces russes, mais qui sont toujours dirigées par les « anciennes » autorités, nazies. Oui, les Russes pourraient entrer et dénazifier ces villes manu militari, mais cela prendrait du temps, ferait des victimes des deux côtés et ruinerait l’infrastructure civile. Et les Russes ne veulent certainement pas que, disons, Kharkov devienne une deuxième Marioupol.

Aparté : certains d’entre vous ont dû entendre ce canard sur les Russes « à court de munitions », non ? Eh bien, les résidents locaux près des positions ukrainiennes dans le Donbass rapportent que depuis trois jours, l’artillerie russe n’a cessé de bombarder les positions ukrainiennes. En réalité, quiconque a étudié l’armée soviétique, puis russe, sait qu’à l’exception de certains systèmes très modernes qui viennent d’être déployés, la Russie dispose d’énormes stocks de munitions. En fait, lorsque les Russes préparent une offensive militaire, les dépenses en munitions, POL, et toute autre forme de logistique nécessaire sont soigneusement calculées. Si ce n’est pas le cas, l’ordre d’attaquer ne sera pas donné. Et, à quelques exceptions près, le type de matériel et de fournitures que les Russes utilisent en Ukraine est à la fois moderne et abondant. D’ailleurs, certains signes indiquent que les forces ukrainiennes sont à court de munitions, la plupart de leurs bombardements sont dirigés vers les villes de la LDNR et font chaque jour des dizaines de morts et de blessés parmi les civils.

Une option possible serait de prévenir les autorités nazies que si l’armée russe n’envahira pas leur ville, elle peut utiliser des forces et des moyens spéciaux pour cibler « uniquement » ces autorités nazies. Oui, les nazis tendront des pièges, comme, par exemple, placer le téléphone portable d’un dirigeant nazi juste au-dessus d’un jardin d’enfants, de sorte que les services de renseignement russes devront effectuer des préparatifs et une planification minutieux, ou simplement proférer la menace et attendre que les nazis paniquent et se demandent où le missile promis sera dirigé.

Tout cela signifie ce qui suit :

  • Les Russes doivent prendre les Ukrainiens beaucoup plus au sérieux et si cela signifie avoir des avions d’alerte précoce et des intercepteurs en patrouille aérienne de combat 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, alors c’est ce que les Russes doivent faire. Une paire de MiG-31BM en CAP constante à haute altitude au-dessus de l’Ukraine centrale serait un bon début.
  • Bien que l’issue ne fasse aucun doute, les Russes doivent être très prudents et supposer que les Ukrainiens se battront avec compétence et courage.
  • Je n’aime pas faire des prédictions, et encore moins des prédictions temporelles, mais je pense que nous devons nous préparer à une bataille majeure de plusieurs semaines, voire d’un mois.
  • Il faut partir du principe que les PSYOP de l’Empire du mensonge vont passer en mode d’attaque totale, et comme il sera très difficile de comprendre ce qui se passe, nous devons nous préparer à une attaque majeure de nos esprits.
  • Une fois que la force ukrainienne dans le Donbass sera vaincue, cela signifiera essentiellement la fin de la deuxième phase de cette opération militaire spéciale (OMS) et les meilleurs Ukrainiens capables de combattre auront disparu. Une troisième phase commencera, probablement par une attaque sur les régions de Nikolaev et d’Odessa.

Cependant, nous devons nous rappeler que toutes les guerres sont de nature politique et que, tandis que le « cadran de la douleur » militaire est monté assez haut pour les Ukrainiens, les PSYOPs américaines continuent de dire aux Ukrainiens qu’ils sont en train de gagner et que bientôt les premiers chars ukrainiens entreront à Moscou. La chute de facto de Marioupol (comme en témoignent les tentatives désespérées d’évacuer les dirigeants d’Azov par hélicoptère) est déjà un coup dur pour le récit ukrainien. Mais ce coup est dérisoire par rapport à ce qui se passera lorsque les meilleures forces dont dispose l’Ukraine disparaîtront tout simplement des cartes du Donbass. À ce moment-là, aucune quantité d’air chaud, de grandes déclarations ou autres mensonges ne feront la différence – une telle défaite est impossible à dissimuler, elle fera la une des journaux.

En outre, nous devons garder une autre chose toujours présente à l’esprit : si, dans le combat réel, les Russes sont confrontés à des Ukrainiens, dans la guerre elle-même, la Russie ne se bat pas contre les nazis de Kiev, mais contre les États-Unis, l’OTAN et l’UE et leurs États vassaux. Il est également certain que l’administration « Biden » ne souhaite pas la paix mais, au contraire, qu’elle veut que cette guerre dure le plus longtemps possible et qu’elle détruise autant que possible la population et l’infrastructure civile ukrainiennes. Et, bien sûr, les Russes ne négocient pas avec les nazis, ils négocient avec l’oncle Shmuel via les nazis. Grande différence. En ce moment, certains Ukrainiens pourraient être prêts à regarder la réalité en face et à se rendre, juste pour sauver des vies et l’infrastructure ukrainienne. Mais ils savent que les nazis les tueront ou kidnapperont les membres de leur famille (comme cela est arrivé à un maire ukrainien). Et ces nazis ne reçoivent d’ordres que de nombreux « conseillers » occidentaux à Kiev qui leur disent « battez-vous jusqu’au dernier soldat, puis nous vous évacuerons ».

On pourrait dire que les Ukronazis purs et durs agissent comme les commissaires politiques pendant la guerre civile russe.

Les Russes ont combattu lors de la première phase avec une force délibérément inférieure à la force ukrainienne adverse. Mais contre une force d’élite ukrainienne profondément retranchée dans des défenses lourdement fortifiées, la Russie devra combiner deux choses : plus d’hommes et plus de puissance de feu. Et, de l’avis général, c’est exactement ce à quoi ils se préparent.

L’empire du mensonge est tellement désespéré maintenant, que les PSYOP américains prétendent que les généraux russes ont peur de dire à Poutine « l’horrible vérité » et que Shoïgu prépare un coup d’état contre Poutine. Pour l’instant, les Ukronazis disent que les Russes sont en fuite, mais même le Pentagone américain admet que les forces qui se sont éloignées de Kiev ne font que se regrouper.

Rappelez-vous qu’en guerre de manœuvre, vous ne  » tenez pas le terrain « , pas plus qu’en guerre navale, et c’est ce que la première phase de cette opération spéciale visait à faire. Mais dans le Donbass, la tenue du terrain va devenir beaucoup plus importante et comme les deux camps sont très compétents et courageux, ne vous attendez PAS à de grands mouvements sur la carte. Au contraire, attendez-vous à plusieurs semaines d’un très sévère « broyage » des défenses ukrainiennes, suivi de mouvements lents et délibérés, principalement sur de courtes distances – de quelques centaines de mètres à quelques clics.

J’espère que ce qui précède sera utile lorsque la deuxième phase sera pleinement lancée.

Une dernière chose : l’aide militaire occidentale à l’Ukraine. La plus grande partie se trouve en Pologne. Il est vrai que l’on trouve BEAUCOUP de matériel occidental à Marioupol ou dans le Donbass, mais ce matériel a été apporté il y a longtemps. Il suffit de regarder la carte, de voir où se trouve la frontière polono-ukrainienne, puis de regarder où se trouve le cercle jaune. Pour faire la différence, les systèmes d’armes occidentaux doivent traverser toute l’Ukraine et pénétrer dans une zone hautement contestée et dangereuse. Comment une telle livraison peut-elle être effectuée ? Trois options :

  • Route
  • Le train
  • Par les airs

Dans les trois cas, si la force est minuscule, disons quelques voitures remplies de MANPADs, il y a une chance de réussir, bien qu’elle soit minime, et une telle « livraison » serait extrêmement dangereuse. Mais les Ukrainiens ont maintenant prouvé qu’ils pouvaient être très forts et très intelligents. Mais ces minuscules renforts ne feront aucune différence. Une force plus importante le pourrait, mais elle serait instantanément détectée et attaquée par les armes à distance, l’appui aérien rapproché et l’artillerie à longue portée des Russes. Donc toute cette histoire d’envoi d’armes aux Ukrainiens n’est qu’un ramassis de conneries. Ce ne sont que des fake news sans intérêt.

Jusqu’à présent, les Russes n’ont pas considéré une telle possibilité comme importante, d’où le fait qu’ils n’ont fait sauter aucun pont, ni miné à distance aucune route, ni détruit aucune voie ferrée (à ma connaissance). Mais si le risque d’un renforcement significatif de l’Ukraine occidentale devient une menace réelle, vous pouvez être assuré que les Russes feront tout ce qui précède, d’autant plus qu’il y a très peu de villes et de civils dans certaines parties de cette voie vers l’Est.

Jusqu’à présent, la politique russe a consisté à laisser les forces (secrètes) de l’OTAN se rassembler dans une zone de rassemblement, puis à les frapper très fort. Il s’agit d’une stratégie très efficace que les forces de l’OTAN n’ont trouvé aucun moyen de contrer (ne serait-ce que parce que les défenses aériennes de l’OTAN sont une blague, même contre les missiles transsoniques et subsoniques et les drones).

Enfin, les Ukrainiens n’ont plus d’armée de l’air, ni de marine, mais ils ont prouvé qu’ils pouvaient encore utiliser des hélicoptères volant très bas et très vite, surtout la nuit lorsque les opérateurs de la défense aérienne locale peuvent les confondre avec un hélicoptère russe (les tirs amis sont toujours un risque majeur en temps de guerre). De plus un hélicoptère est une cible difficile, non seulement ils volent très bas, mais ils peuvent voler à la fois rapidement (par exemple pour éviter un MANPAD) ou très lentement, pour se cacher des chasseurs et des intercepteurs. Un hélicoptère se déplaçant lentement et volant à basse altitude est une cible difficile pour le radar et le système de recherche et de suivi infrarouge des avions de combat. Un terrain vallonné ou montagneux rend la détection encore plus difficile.

Les hélicoptères d’attaque russes sont tous dotés de capacités air-air, à la fois de canons et de missiles, et peuvent donc être utilisés très efficacement contre les hélicoptères ukrainiens (qui ont une génération complète de retard sur les hélicoptères russes modernes), mais il faut qu’ils soient prêts et qu’ils volent sous couverture aérienne. C’est donc faisable, mais cela prend du temps.

Conclusion

La phase 1, la guerre de manœuvre pure, est terminée et a été un succès militaire.

Politiquement, c’était presque un échec, non seulement les PSYOPS de l’Empire du Mensonge ont totalement écrasé les efforts de contre-propagande russes plutôt maladroits et primitifs, mais les Russes n’ont pas non plus réalisé qu’ils ne pouvaient pas compter sur les autorités civiles locales pour faire simplement leur travail sous un nouveau drapeau.

En d’autres termes, la Russie n’a pas réussi à dénazifier correctement les villes situées au cœur de l’arrière-garde russe. Cette erreur de calcul va devoir être corrigée à la dure : avec plus d’hommes et plus de puissance de feu.

La phase deux de cette guerre sera la liquidation du chaudron du Donbass et elle décidera de l’issue de cette guerre (même si cette issue n’a jamais fait de doute).

Sur une note personnelle, j’ajouterai seulement que le mois dernier m’a convaincu que la Russie ne devrait PAS occuper de façon permanente plus de l’Ukraine que la LDNR « complète » plus toute la côte ukrainienne de la mer Noire. Mais la Russie ne peut pas non plus laisser l’Ukraine comme une boîte de Pétri pour les toxines nazies. Il me semble donc que la solution optimale serait un éclatement du pays en plusieurs États successeurs : neutres, dotés uniquement de forces de police et d’armes légères et comprenant clairement que la Russie a les moyens d’intervenir militairement à tout moment si les États successeurs tentent de violer leur statut de pays neutre, non armé et dénazifié.

Cela se produira-t-il ?

Je ne sais pas, Poutine m’a déjà surpris deux fois avec des opérations très risquées que j’aurais déconseillées (la Syrie et cette « grande » opération sépciale au lieu d’une « petite » libération de « seulement » la LDNR). Considérant que la Russie n’a utilisé qu’une petite fraction de ses forces armées, il m’est impossible de prédire ce que Poutine et l’état-major russe décideront à l’issue de la deuxième phase.

Enfin, je vais prendre les deux prochains jours de congé, sauf évolution majeure, bien sûr.

Donc jusqu’à lundi, si Dieu le veut.

Andrei

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




BIG ORDER : Des ordres professionnels à la solde de cartels ?

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

« Il est rare que des gens du même métier se trouvent réunis […] sans que la conversation finisse par quelque conspiration contre le public, ou par quelque machination pour faire hausser les prix. »

Adam Smith, père des sciences économiques, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations

« Cartel : Entente regroupant des entreprises ayant des activités proches en vue de maîtriser la concurrence. »

Le Petit Robert

« La plus grande malice du diable est de faire croire qu’il n’existe pas. »

Baudelaire

La crise politique covidienne a exalté le côté obscur, totalitaire des ordres professionnels, dont la raison d’être officielle est la protection du public.

Combien de professionnels québécois ont été réprimandés, sanctionnés ou ont perdu leur titre pour avoir osé questionner les mesures gouvernementales et critiqué la couverture médiatique, laquelle viole quotidiennement et sans vergogne les valeurs les plus fondamentales du journalisme depuis 2020 ?

Plus d’un, mais le premier était déjà de trop.

Au cours des deux dernières années, l’auteure de ces lignes a discuté avec de nombreux professionnels de différents domaines.

Un constat s’est imposé au fil des discussions : les ordres professionnels semblent davantage voués à la protection d’entités puissantes et influentes qu’à la protection du public. Leurs actions portent à croire qu’ils veulent plutôt protéger, d’une part, leur raison d’être, et de l’autre, des parts de marché pour les joueurs dominants.

L’anecdote classique ressemble à ce qui suit :

Le syndic débarque à l’improviste chez un professionnel indépendant – qui n’a reçu aucune plainte –, inspecte ses dossiers et accumule des déficiences insignifiantes pour fabriquer ce qui finit par ressembler à une grosse preuve. On l’oblige à passer des examens de compétences impossibles à réussir, on le limite et on exige qu’il retourne sur les bancs d’école six mois, puis un an, puis deux.

Ces petits joueurs, qui osent concurrencer les gros avec leurs biens et services souvent moins coûteux et d’aussi bonne, sinon de meilleure qualité, se retrouvent ainsi dans ce que certains qualifient de « couloir de la mort » et, lentement mais sûrement, ils sont exclus du marché au profit des gros.

Dessin coiffant l’article de Jos Public, « Les portes tournantes de la corruption et de la collusion« , L’aut’ journal, 21 octobre 2015.

« Il y a de la collusion », « les abus de pouvoir des ordres profitent à des genres de cartels », admettent des victimes du bout des lèvres, malgré la confidentialité des échanges.

Y a-t-il des conflits d’intérêts parmi les membres des conseils d’administration des ordres? « Sans doute », dit l’un. « C’est sûr », affirme un autre sans détour, citant l’exemple d’un président qui aurait fait modifier un règlement, légalisant ainsi une transaction commerciale qui lui aurait rapporté des millions.

« L’Inquisition »

Le harcèlement, l’intimidation et l’acharnement des syndics sont comparés à « l’Inquisition ». Ils mènent à l’épuisement professionnel et trop souvent au suicide.

« Ils n’ont pas de code de déontologie, personne ne les surveille. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, même s’ils n’ont pas les compétences pour le faire, » raconte une victime.

Les témoignages récoltés par l’auteure rejoignent ce que l’on pouvait lire dans un article de QMI de janvier 2019, Des professionnels en détresse plus nombreux qu’on peut le penser, où des médecins dénoncent « le harcèlement qu’ils vivent ou qu’ils ont vécu de la part du syndic du Collège des médecins, [qui les] poursuivait à répétition pour des “technicalités”, comme leur écriture illisible ou de la paperasserie administrative remise en retard ».

L’article mentionne le médecin Albert Benhaim, auteur du livre L’exécution : le combat d’un médecin contre le harcèlement moral, qui tient un discours pratiquement identique à celui des autres victimes des syndics qui se sont confiés à l’auteure.

Le résumé de son livre sur le site Les libraires se lit comme suit :

« Albert Benhaim – qui n’a fait l’objet d’aucune plainte disciplinaire en près de 30 ans d’exercice de la médecine – raconte sa longue descente aux enfers, décrivant comment le Collège des médecins n’a reculé devant aucune manoeuvre déloyale ou abus de pouvoir pour l’exécuter professionnellement et moralement, et le briser financièrement. Du même souffle, il dénonce l’absence d’imputabilité des syndics d’ordres professionnels qui n’ont presque aucun compte à rendre de leurs actes à qui que ce soit » (soulignement ajouté).

Dans un article de Droit-inc, « Non à la toute-puissance des syndics », le Dr Benhaim témoigne :

«“J’étais terrifié, intimidé, j’ai vécu des moments très pénibles, avec de la difficulté à dormir. J’étais extrêmement irritable, angoissé, avec une perte de poids”, affirme Dr. Benhaim, qui s’est qui plus est auto-diagnostiqué d’une leucémie […]

Depuis un mois que son livre est en librairies, Dr. Benhaim affirme crouler sous les appels de professionnels membres d’un ordre (il y en a 46 au total au Québec).

“Ils me racontent leurs déboires, des situations abominables dans lesquelles il y a abus de pouvoir des syndics ou des inspecteurs à l’intérieur des syndics.”

Parmi eux, beaucoup de médecins, des opticiens, des psychologues mais aussi… des avocats!

“J’ai reçu des appels de Toronto, Halifax, Vancouver… Personne ne parle, tout le monde a peur! Bien des médecins se font poursuivre en discipline ou intimider, mais c’est l’omerta! […]

Selon lui, les victimes du système de justice professionnelle au Québec, en vertu duquel les syndics d’ordres professionnels n’ont aucun compte à rendre de leurs actes à qui que ce soit, sont de plus en plus nombreuses et n’osent pas prendre la parole.

“Les syndics n’ont pas de boss, tout ce qu’ils font est confidentiel, ils ont l’immunité et cela entraîne des dérives” » (soulignement ajouté).

Pour ne citer qu’une dérive récente, rappelons que Me Gloriane Blais, qui s’est attaquée ouvertement au système judiciaire dans une cause contre une société d’État et aux injections à la mode dans une autre cause, a été radiée du Barreau le 10 mars dernier après avoir refusé de passer un examen psychiatrique.

Vous trouverez une foule de témoignages, d’articles et de mémoires sur les abus des différents ordres sur le site de l’Union des professionnels du Québec.

BIG ORDER

Depuis 2020, les ordres s’attaquent fréquemment à la liberté d’expression de leurs membres. Le Conseil interprofessionnel du Québec, « la voix collective des ordres » a même mandaté un grand cabinet d’avocats pour rappeler aux professionnels que la liberté d’expression n’est pas absolue et que certains propos peuvent porter « atteinte à la dignité de [leur] profession ».

Vous ne direz rien et vous serez heureux?

Dans ce document intitulé Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19 : Quelle liberté d’expression pour les professionnels?, on apprend par exemple, qu’un chiropraticien a été radié 3 mois pour sa conduite « très grave » : il a invoqué « des théories conspirationnistes ».

Mais qui décide qu’un propos donné est une « théorie conspirationniste »?

Les accusations du genre proviennent généralement de personnes ayant des connaissances limitées sur le sujet en question et une vision du monde tout aussi restreinte, ce qui les porte à croire que certaines réalités sont des théories du complot.

Ceux qui connaissent le sujet peuvent cependant l’expliquer par la corruption, les conflits d’intérêts, la capture règlementaire, la collusion, les portes tournantes et, bien entendu, le crime organisé, que toute personne qui tient à la vie n’ose pas dénoncer.

Ces phénomènes sont bien réels, factuels.

Il est tout à fait rationnel de penser, par exemple, que les grands médias et la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis subissent d’une quelconque manière l’influence indue des pharmaceutiques :

À voir cette infime partie de l’iceberg, il est naïf de croire que les pharmas n’exercent aucune influence sur les instances qui les règlementent et sur les grands médias. Ces jeux d’influence et de domination sont nombreux et omniprésents, peu importe le domaine et la société.

Ce ne sont pas des théories, mais bien des réalités : l’homme est un loup pour l’homme.

En ce qui a trait aux ordres professionnels du Québec, si l’on se fie aux témoignages, il y a lieu de croire qu’ils sont, au mieux, influencés, au pire, contrôlés par de puissants groupes plaçant leurs propres intérêts devant ceux du public.

Réalité économique ou théorie du complot ?

La citation en début de texte du père des sciences économiques, Adam Smith, exprime en peu de mots des phénomènes sociaux immémoriaux que les grands médias, détenus par des conglomérats de moins en moins nombreux, eux-mêmes détenus par d’importants fonds d’investissements et/ou des oligarques, préfèrent sans surprise tourner en dérision.   

Cependant ce phénomène de monopoles et de chasses gardées a été dénoncé le plus sérieusement du monde par Widrow Wilson, 28e président des États-Unis, dans son livre The New Freedom – A Call For The Emancipation Of The Generous Energies Of A People (La nouvelle liberté – Un appel à l’émancipation des énergies généreuses d’un peuple) :

« Depuis que je suis entré en politique, c’est surtout en privé que les hommes m’ont confié leurs opinions. Certains des plus grands hommes aux États-Unis, dans le domaine du commerce et de la fabrication, ont peur de quelqu’un, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il y a quelque part un pouvoir si organisé, si subtil, si vigilant, si imbriqué, si complet, si omniprésent, qu’ils feraient mieux de ne pas le dénoncer tout haut.

wilson

Ils savent que l’Amérique n’est pas un lieu dont on peut dire, comme c’était le cas autrefois, qu’un homme peut choisir sa vocation et la poursuivre autant que ses capacités le lui permettent, car aujourd’hui, s’il entre dans certains domaines, des organismes utiliseront contre lui des moyens pour l’empêcher de bâtir une entreprise dont ils ne veulent pas. Ces organismes feront en sorte que l’herbe soit coupée sous ses pieds et que les marchés lui soient fermés […]

L’entreprise américaine n’est pas libre. L’homme qui n’a qu’un petit capital a de plus en plus de difficulté à entrer dans un domaine et de plus en plus de difficulté à concurrencer les gros. Pourquoi? Parce que les lois de ce pays n’empêchent pas les forts d’écraser les faibles. Voilà pourquoi. Et parce que les forts ont écrasé les faibles, les forts dominent l’industrie et la vie économique du pays. Personne ne peut nier que les secteurs d’activité sont de plus en plus étroits et rigides. »

Personne ne peut nier non plus que ces deux dernières années, les forts ont écrasé les faibles, souvent avec l’aide des ordres professionnels, dont les abus de pouvoir ne datent pas de 2020.

Pour bien des victimes, les ordres sont comme « la Gestapo », « l’Inquisition », une « mafia » – parfois même « LA mafia » – que l’on craint de dénoncer.

« L’omerta règne », confie une victime qui souhaite préserver son anonymat.

Or, la parole libère.

Afin de briser cette omerta, l’auteure (Julie Lévesque) invite les professionnels à s’exprimer, anonymement ou non, dans le cadre d’une série de reportages sur les ordres professionnels.

Vous avez vécu une forme de harcèlement ou d’intimidation de la part de votre ordre? On vous a limité, sanctionné ou radié pour des raisons douteuses? Un proche s’est suicidé sous la pression de son ordre? Vous avez été témoin de collusion, de traitement de faveur chez les syndics et/ou les ordres professionnels?

J’aimerais connaître votre histoire. Vous pouvez me joindre à cette adresse : lykopis9@protonmail.com.

***

Mon travail vous est utile ou vous fait simplement du bien et vous souhaitez m’encourager? Vos dons me permettent de continuer et chaque dollar est apprécié et bien investi 

Par virement bancaire (réponse : tribunal) tribunaldelinfaux@gmail.com 

Par PayPal : https://www.paypal.com/paypalme/tribunaldelinfaux

Merci à tous ceux qui ont déjà donné, vous m’encouragez à vous en donner plus!




Ukraine — Bataille du Donbass, nouvel ordre économique mondial

[Source : Centre d’Analyse Politico-Stratégique@STRATPOL]






Humour — Sébastien Recchia appelle Vladimir Poutine et demande l’asile politique

[Source : lemediaen442.fr]

Dans sa série « Restez couchés », Sébastien Recchia avait téléphoné au président Macron, pour lui faire part de ses remarques faussement naïves et très personnelles, quoique partagées par la plupart des Français. Après l’arrestation arbitraire de sa femme avocate, Virginie Araujo-Recchia, il (ou plutôt son personnage) décide maintenant de chercher la démocratie et l’asile politique du côté d’un autre président, Poutine. Et il lui téléphone !

Pour suivre Sébastien Recchia sur sa chaîne Telegram.
Pour les vidéos archivées, c’est sur Odysee.




Al Jazeera filme par hasard des soldats ukrainiens utilisant des ambulances de la Croix-Rouge pour se déplacer

[Source : lemediaen442.fr]

Dans la vidéo ci-dessous, la chaîne de télévision Al Jazeera a accidentellement filmé des hommes armés en tenue de camouflage qui sortent d’une ambulance de la Croix Rouge. Ambulance qui est normalement destinée aux blessés, femmes, enfants et hommes civils. C’est une tactique qui est normalement utilisée par les groupuscules extrémistes les plus brutaux qui ne respectent pas les règles de la guerre.


Une tactique qui n’étonne qu’à moitié quand l’on considère la façon dont les forces armées ukrainiennes et les bataillons nationaux — comme Azov — installent leurs positions dans des bâtiments résidentiels, des écoles et des hôpitaux afin de se cacher derrière les civils, comme boucliers humains.

C’est lors d’une émission en direct de Mykolaïv — ville du sud de l’Ukraine — qu’un journaliste a surpris la scène. La caméra fait un léger et discret balayage sur sa droite et on peut y voir tout un bataillon ukrainien sortir avec ses armes de la camionnette de La Croix Rouge. La discrétion de ces soldats n’est évidemment pas passée inaperçue.

Le Premier vice-ministre de l’Information de la RPD Daniil Bezsonov en a conclu sur sa chaîne Telegram :

« Grâce à ces images aléatoires, nous avons appris qu’ils utilisent en fait des véhicules médicaux comme moyen de transport. »

Malheureusement ce sont les blessés qui vont en subir les conséquences, puisque l’armée russe va devoir maintenant arrêter les véhicules de La Croix Rouge, afin de vérifier que des soldats d’Azov ou des armes ne circulent pas. Tout cela se fera au détriment des victimes de la guerre qui doivent d’urgence se faire soigner :

« Il est inacceptable d’utiliser des ambulances pour transporter des soldats de l’AFU (Forces armées de l’Ukraine) qui sont clairement en bonne santé. Ceci est inacceptable, que ce soit d’un point de vue éthique ou du point de vue des accords internationaux, par exemple les accords sur les activités du Comité international de la Croix-Rouge », a déclaré Anatoly Wasserman, député à la Douma d’État de la Russie.




La fin du Nouvel Ordre Mondial avant la délivrance finale. Mise à jour

[Source : ravdynovisz.tv]

COURS de rav Haim Dynovisz AVEC MONSIEUR ABABOU – LA FIN DU MONDE AVANT LA DELIVRANCE FINALE – 24 MARS 2022



[Voir aussi :
Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France
Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française]

[Source : GuyBoulianne]

[NDLR : dans cette nouvelle vidéo, une bonne partie du contenu de la première est reprise.]






Le suicide est dans le pré !

[Source : laminutedericardo.com]






Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales

[Source : trtworld.com]

La semaine dernière, McKinsey and Co. a accepté de verser 574 millions de dollars aux autorités américaines dans le cadre d’un règlement pour son rôle dans la crise des opioïdes, qui a tué des centaines de milliers d’Américains. 

Le géant mondial du conseil a travaillé avec des sociétés pharmaceutiques telles que Purdue Pharma, qui a gagné des milliards en poussant son analgésique OxyContin sur le marché. 

Les procureurs ont découvert que McKinsey a conseillé ses clients pharmaceutiques sur la manière de vendre agressivement les médicaments qui créent une dépendance. Dans certains cas, McKinsey a suggéré que les opioïdes soient commercialisés par des médecins qui étaient plus susceptibles de les prescrire. 

« Ils n’ont jamais payé une pénalité aussi importante. Peu d’entreprises ont déjà payé une pénalité aussi importante, pour quoi que ce soit. En ce qui concerne l’examen, McKinsey est clairement confronté à plus qu’auparavant », Duff McDonald, auteur de The Firm : The Story of McKinsey and Its Secret Influence on American Business, a déclaré à TRT World.

McKinsey, qui se targue d’avoir une longue histoire d’aide aux entreprises pour sortir des crises, a fait l’objet de multiples controverses ces dernières années. 

En 2019, le New York Times et ProPublica ont publié une série d’articles mettant en lumière la manière dont McKinsey contournait les règles pour obtenir des contrats gouvernementaux et privilégiait les profits à l’éthique.

La société privée Mckinsey est présente dans le secteur du conseil depuis plus de 90 ans. Elle est connue pour recruter des talents issus des meilleures universités et un passage dans cette société est souvent synonyme de carrière prospère pour les diplômés en commerce. 

Discrète sur son travail et ses clients, son armée de 2 000 associés et de milliers d’autres employés conseille les entreprises et les gouvernements sur la meilleure façon d’exécuter les projets.

[Voir aussi :
L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey
McKinsey Gate — Suite
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?]

Mais il lui est arrivé de s’attirer des ennuis pour le travail qu’elle accomplit. En voici quelques exemples. 

L’acolyte anti-immigrés de Donald Trump 

Peu après son entrée en fonction, début 2017, l’ancien président américain Donald Trump a exposé son plan pour contrôler le flux d’immigrants. 

Il a vanté la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique, a appliqué des restrictions en matière de visas pour les pays musulmans et a introduit des politiques qui ont conduit à la séparation des enfants de leurs parents immigrés. 

Washington a été sévèrement critiqué pour sa mauvaise gestion des migrants dans les centres de détention de l’ICE.

Washington a été sévèrement critiqué pour sa mauvaise gestion des migrants dans les centres de détention de l’ICE. (Archives AP)

McKinsey, qui a commencé à travailler avec l’agence américaine de l’immigration et des douanes (ICE) avant l’élection de Trump, a fait l’objet d’un examen minutieux après que des groupes de défense des droits ont exprimé des inquiétudes quant aux mauvais traitements infligés aux migrants dans les centres de détention de l’ICE. 

Le cabinet de conseil a reçu 20 millions de dollars pour ses services, qui consistaient notamment à conseiller l’ICE sur la meilleure façon de gérer ses centres de détention de manière rentable. 

Il a proposé des réductions budgétaires. Par exemple, il a recommandé à l’ICE de faire des économies sur la nourriture servie aux détenus ou d’envoyer les migrants dans des centres situés dans des zones rurales afin de réduire les dépenses. 

Ces recommandations ont même mis les responsables de l’ICE mal à l’aise, selon un rapport de ProPublica. 

McKinsey a rompu son contrat avec l’ICE après qu’un article du New York Times a révélé ce lien en 2018. 

Le scandale de l’Afrique du Sud 

Au cours des dernières années, McKinsey a accepté de payer plus de 100 millions de dollars au gouvernement sud-africain en compensation de son implication dans un vaste scandale de corruption.

Le cabinet de conseil a surfacturé Eskom, un service public d’électricité, et a travaillé avec un sous-traitant lié aux frères Gupta qui ont financé l’ancien président sud-africain Jacob Zuma. 

L’ancien président sud-africain Jacob Zuma est accusé de corruption pour des transactions qui ont également mis en lumière le rôle de McKinsey.

L’ancien président sud-africain Jacob Zuma est accusé de corruption dans le cadre de transactions qui ont également mis en lumière le rôle de McKinsey. (AP)

Zuma, qui a été contraint de démissionner en 2018, fait face à des accusations de corruption. 

McKinsey a gagné des millions de dollars en honoraires de conseil en s’associant à la société Gupta qui est accusée d’avoir soudoyé des fonctionnaires pour obtenir des contrats. 

Si son contrat avec Eskom s’était concrétisé, il aurait représenté les plus gros honoraires de McKinsey en Afrique, soit 700 millions de dollars, pour ses services visant à trouver des moyens de mettre fin aux pannes d’électricité récurrentes. 

Le désastre de Swissair 

Jusque dans les années 1990, Swiss Air était l’une des meilleures compagnies aériennes du monde, connue pour sa ponctualité et la qualité de son service – aussi fiable qu’une montre suisse. 

Lorsqu’elle a cherché à se développer, McKinsey, son conseiller de longue date, a élaboré un plan d’affaires qui a conduit la compagnie aérienne autrefois fière au bord de la faillite. 

Au lieu de se concentrer sur son activité principale, le transport de passagers, la compagnie a développé son activité de restauration et d’autres services au sol. Swissair étant elle-même un transporteur de taille moyenne, contrairement à Lufthansa, et souhaitant réaliser des économies d’échelle, elle a commencé à prendre des participations dans des compagnies aériennes régionales. 

La seule condition pour ses investissements dans ces petites compagnies aériennes en difficulté, telles que les compagnies françaises Air Littoral, AOM et Air Liberte, la compagnie nationale belge Sabena et LOT Polish Airlines, était qu’elles utilisent les services au sol de Swissair. 

Il s’agissait essentiellement d’acheter des clients. Mais la stratégie de McKinsey n’a pas fonctionné comme prévu et ces compagnies aériennes ont non seulement perdu de l’argent, mais ont également obligé Swissair à injecter des centaines de millions de dollars pour les maintenir à flot. 

En fin de compte, Swissair n’a pas seulement abandonné la stratégie, mais a également montré la porte à McKinsey. 

Le désastre d’Enron 

McKinsey a gagné des dizaines de millions pour les services de conseil vendus à Enron, le négociant en énergie qui s’est effondré en 2001 après une fraude comptable massive. 

Jeff Skilling, qui était à la tête de la transformation d’Enron d’une société de négoce d’énergie en un mastodonte qui traitait tout, du gaz naturel au haut débit, était un ancien employé de McKinsey. 

Après l’effondrement d’Enron, qui a ébranlé les marchés boursiers américains, McKinsey s’est dégagé de toute responsabilité, affirmant qu’il n’était pas un conseiller en matière de finances et d’information. 

Mais jusqu’à la fin, elle a fait la promotion du modèle économique d’Enron, en particulier de ses pratiques comptables hors bilan, et a encouragé les autres à suivre son exemple. 

Selon l’un des articles de son magazine McKinsey Quarterly, « le déploiement de fonds hors bilan utilisant des fonds d’investissement institutionnels a favorisé les compétences d'[Enron] en matière de titrisation et lui a permis d’accéder à des capitaux à des taux inférieurs à ceux des grandes compagnies pétrolières ».

Un partenaire de McKinsey a même écrit un livre intitulé « Creative Destruction » dans lequel il vante le modèle économique d’Enron. 

Mais même après toutes ces controverses, les dirigeants d’entreprise et les responsables gouvernementaux continuent d’affluer chez McKinsey pour obtenir des conseils. 

« McKinsey vend clairement quelque chose que ses clients pensent valoir la peine d’acheter », a déclaré M. McDonald. 





Vaccin et identifiant numérique

[Source : @Roms17]



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Biden approuve les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie pour les mineurs transgenres

[Source : anguillesousroche.com]

L’administration Biden a publié une série de documents encourageant la chirurgie de changement de sexe et les traitements hormonaux pour les mineurs.

Jeudi, le bureau des affaires démographiques du ministère de la santé et des services sociaux a publié un document intitulé « Gender Affirming Care and Young People ».

Encourageant la chirurgie de réassignation sexuelle, les bloqueurs de puberté, l’hormonothérapie pour les enfants transgenres, la Maison Blanche a même publié une vidéo dans laquelle Joe Biden s’exprime sur le sujet.

Le président a déclaré aux parents de mineurs transgenres que « l’affirmation de l’identité de votre enfant est l’une des choses les plus puissantes que vous puissiez faire pour assurer sa sécurité ».

Fox News rapporte : Le même jour, le National Child Traumatic Stress Network de la Substance Abuse and Mental Health Services Administration – un autre sous-ensemble du HHS – a publié un document parallèle intitulé « Gender-Affirming Care Is Trauma-Informed Care ».

Les documents du HHS décrivent ce qu’il appelle des traitements appropriés pour les adolescents transgenres, notamment : 

« La chirurgie du ‘haut’ – pour créer une forme de poitrine typiquement masculine ou améliorer les seins ; » et « La chirurgie du ‘bas’ – chirurgie des organes génitaux ou reproducteurs, féminisation du visage ou autres procédures ».

« Il a été démontré que les pratiques médicales et psychosociales en matière de soins de santé visant à l’affirmation du genre permettent de réduire les taux de résultats négatifs en matière de santé mentale, de renforcer l’estime de soi et d’améliorer la qualité de vie globale des jeunes transgenres et de ceux dont le genre est différent », indique le communiqué de l’OPA.

Le document du NCTSN est beaucoup plus long que le bref aperçu fourni par l’OPA, mais il réitère le même processus de réflexion et la même explication pour les mineurs recevant des modifications de leurs organes génitaux.

« Pour les enfants et les adolescents transgenres et non binaires, des soins précoces d’affirmation du genre sont cruciaux pour la santé et le bien-être général, car ils permettent à l’enfant ou à l’adolescent de se concentrer sur les transitions sociales et peuvent augmenter leur confiance tout en naviguant dans le système de santé », écrit le NCTSN dans son communiqué. « Il peut inclure des interventions fondées sur des données probantes, telles que les bloqueurs de puberté et les hormones d’affirmation du genre. »

Le document du NCTSN fait tout son possible pour assurer au public que l’utilisation de méthodes d’affirmation du genre, telles que la chirurgie et le remplacement des hormones, ne sont pas de la maltraitance des enfants – très probablement en réponse à la récente décision politique au Texas qui a rendu ces traitements illégaux.

« Fournir des soins d’affirmation du genre ne constitue ni un mauvais traitement des enfants ni une faute professionnelle. Le système de protection de l’enfance aux États-Unis, chargé ‘d’améliorer la santé et le bien-être général des enfants et des familles de notre nation’, ne devrait pas être utilisé pour refuser des soins ou séparer des familles qui s’efforcent de prendre les meilleures décisions pour le bien-être de leurs enfants. Il n’existe pas de recherches scientifiquement fondées montrant les effets négatifs de la fourniture de soins conformes au genre », a ajouté le NCTSN.




Réaction de L’Union juive française pour la paix, suite aux propos de Macron affirmant que « l’antisionisme est l’ennemi de la République »

[Source : oumma.com]

Le 19 mars 2012, Mohammed Merah a commis l’irréparable. De sang-froid, il a abattu un homme et trois enfants, parce que Juifs. Trois militaires ont également perdu la vie sous la main du terroriste.

Ces actes barbares, nous les avons condamnés et nous continuons à les condamner. 10 ans plus tard, à l’occasion de l’hommage officiel rendu aux victimes, Emmanuel Macron a cru bon d’inviter son homologue israélien Isaac Herzog à l’école Ozar Hatorah, lieu de la tuerie antisémite.

La commémoration a pris, cette année, une tournure particulièrement politique et l’invitation du président d’Israël comme « porte-parole légitime des juifs du monde entier » constitue une assimilation des Français juifs à l’État d’Israël, ce qui ne peut qu’augmenter l’antisémitisme en France.

Déjà, au dîner du CRIF, le 24 février dernier, le Premier ministre Jean Castex, représentant officiellement Macron, a déclaré que la position de la France tend désormais à reconnaître Jérusalem comme « capitale éternelle du peuple juif », en contradiction avec sa position officielle qui ne reconnait pas Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël, au mépris du droit international et en balayant ainsi d’un revers de main les revendications palestiniennes sur la partie orientale de la ville.

À Toulouse, ce dimanche, Emmanuel Macron en a profité pour radicaliser son offensive contre la solidarité avec la Palestine d’une part, en rappelant que le gouvernement avait fait dissoudre, le 9 mars dernier, le collectif toulousain Palestine Vaincra qu’il a honteusement traité d’antisémite, et d’autre part contre les Juifs critiquant la politique israélienne, en entretenant savamment la confusion entre antisionisme et antisémitisme.

Dès 2017, s’inscrivant dans les pas de Manuel Valls, il surprenait en déclarant que l’antisionisme était « la forme réinventée de l’antisémitisme ». Aujourd’hui, il déclare tout de go et sans sourciller que « l’antisémitisme et l’antisionisme [sont] des ennemis de la République ».

Ces propos sont une véritable déclaration de guerre contre les militants antiracistes et les soutiens de la Palestine. Ce faisant, Macron érige une opinion politique enracinée dans les luttes pour l’égalité – l’antisionisme – au rang de menace existentielle pour le pays, et il le fait le jour même de la commémoration des victimes d’un attentat antisémite.

Non, l’antisionisme, et plus largement la solidarité avec la Palestine, n’entre pas en contradiction avec les valeurs de la République qui incluent, selon nous :

LIBERTÉ pour les Palestiniens ; que justice leur soit rendue afin qu’ils puissent vivre en paix ;

ÉGALITÉ des droits pour tous, ici et là-bas entre Méditerranée et Jourdain ;

FRATERNITÉ avec tous les peuples opprimés, en particulier le peuple palestinien.

C’est au contraire le soutien indéfectible aux violations des droits les plus fondamentaux des Palestiniens et du droit international, commises par le régime israélien qui trahit ces valeurs.

Nous sommes scandalisés par les propos d’Emmanuel Macron qui dénaturent et affaiblissent la lutte contre l’antisémitisme en renforçant les amalgames entre Juifs et sionistes.

L’UJFP, association juive antisioniste qui a participé le 19 mars comme l’an passé à la commémoration de la tuerie1, organisée par les syndicats, les associations, les groupes politiques qui refusent l’instrumentalisation de ce drame par le CRIF et consorts, continuera à combattre ces amalgames et à mener sa lutte pour l’égalité des droits en Palestine et contre l’apartheid israélien.

La Coordination nationale de l’UJFP,
le 22 mars 2022