France – Forêts rasées et remplacées par des plantations adaptées aux usages industriels

[Source : @OD1]

Extrait de l’émission de France 5 : Sur le front
La face cachée des forêts françaises
france-5 — Environnement
52 min 16 s
Français

Le gouvernement s’est engagé à planter un milliard d’arbres pour favoriser la biodiversité et lutter contre les incendies. Hugo Clément et l’équipe de « Sur le front » ont enquêté au cœur des forêts françaises et découvert la réalité de ces chantiers de plantation. Bien souvent, il ne s’agit pas d’agrandir la forêt ou de transformer une terre à l’abandon en bois. Les arbres plantés remplacent simplement des arbres coupés. Des exploitants forestiers profitent de subventions pour lancer des projets de coupes rases. Le bois abattu est ensuite souvent broyé et brûlé dans des centrales électriques.

Présenté par : Hugo Clément
Maison de production : Winter Productions/France Télévisions
Diffusé le 26/02/2024 à 21 h 5 Disponible jusqu’au 04/07/2024
https://www.france.tv/france-5/sur-le-front/5707482-la-face-cachee-des-forets-francaises.html?fbclid=IwAR05VH3vgwrzcYnoBlSyWsBwx9rr6_3C9PzhLgrhArE7a1v-xmMzrI-H0uY





[Source : Tatiana Ventôse]

🌱 S O U R C E S   E T   A U T R E S   L I E N S   D ‘ I N T É R Ê T 🌱




Les voitures électriques vendues en Europe sont rentables pour… les Chinois

— Ils mentent sur le bénéfice écologique, l’ADEME précise qu’elle naît avec un déficit écologique considérable avec la fabrication de la batterie, il faut 5 ans avant que cette voiture électrique arrive au même bilan carbone qu’une voiture thermique. Pour les plus grosses voitures, c’est jamais.

— Elle est en moyenne 45 % plus chère, voire + 75 % pour les véhicules de base, type Clio, les plus vendues. L’économie faite avec le plein électrique, il faut 10 à 20 ans pour l’amortir.

— On a offert aux Chinois, le marché automobile européen, leurs voitures sont 20 % moins cher et tout aussi fiables avec des garanties de 8 ans… 80 % des batteries dans le monde sont chinoises.




Sortir de la Caverne

[Source : Reaction19WebTV via PG]

Table Ronde avec Astrid Stuckelberger et Chloé Frammery.




Question terrifiante posée aux « escrologistes » poseurs d’éoliennes




Une voiture électrique sans batteries !

[Source : @complogate]

Électrique et sans batterie, le véhicule du futur est fin prêt au salon Top Marques de Monaco.

En bonne place au salon Top Marques, l’entreprise NanoFlowcell, qui travaille depuis 25 ans sur sa voiture électrique sans batterie, va commercialiser son bijou de technologie dans les mois à venir.

Le constructeur NanoFlowcell s’installe aux États-Unis avec l’intention de construire localement sa série QUANT E de véhicules électriques.

Présenté à Genève en 2015, le modèle QUANTiNO est désormais prêt pour la production et promet de bousculer l’offre sur le marché des voitures électriques.

Nous n’avions plus de visibilité sur ce que l’entreprise NanoFlowcell avait fait au cours des 7 dernières années, mais il semble que l’entreprise a beaucoup travaillé pour commercialiser enfin son concept révolutionnaire puisque ces EV n’utilisent pas de batteries.

Au lieu de ce lourd et coûteux composant électronique, NanoFlowcell a en effet développé la technologie bi-ION qui utilise un électrolyte chargé positivement et un chargé négativement, lesquels se rencontrent dans une membrane sélective d’ions, générant de l’électricité.

« Avec la loi sur la réduction de l’inflation, les États-Unis ont réalisé le plus gros investissement dans l’énergie propre de leur histoire et les implications potentielles pour les énergies renouvelables sont considérables », a ajouté le directeur général et directeur de la technologie de la société, Nunzio La Vecchia. « Nous ne solliciterons pas d’investissements gouvernementaux pour nanoFlowcell USA afin d’étendre nos installations de fabrication et notre infrastructure aux États-Unis ; le cas échéant, nous conclurons des partenariats stratégiques pour construire et développer la fabrication et l’infrastructure, et pour intégrer les technologies nanoFlowcell dans tous les secteurs de l’économie. »

Pour marquer l’expansion de la marque aux États-Unis, ainsi que son 25e anniversaire, une version spéciale du modèle QUANTiNO a été présentée, baptisée Twenty-Five. Il prend la forme d’un coupé 2+2 à toit amovible et arbore un moteur électrique à chaque roue, développant une puissance combinée de 320 ch.

La solution d’électrolyte bi-ION du véhicule est stockée dans deux réservoirs de 125 litres et permet de parcourir 2 000 km avec le réservoir plein. Le recharger nécessitera cependant la construction d’une infrastructure de ravitaillement dédiée à la solution bi-ION de nanoFlowcell :

[Source : https://www.nanoflowcell.com/info-center/flow-magazine/just-fuelling]

C’était une volonté de Top Marques cette année : verdir le salon. Un souhait mis en application tant Top Marques fait la part belle, pour sa 19e édition, aux véhicules les plus propres possibles.




[Source : https://www.nanoflowcell.com/info-center/flow-magazine/likely-the-best-electric-car-in-the-world]

« Probablement la meilleure voiture électrique du monde ! »

La QUANTiNO twentyfive représente l’aboutissement de la R&D automobile de nanoFlowcell Holdings plc. Cette voiture électrique démontre à la fois le pouvoir d’innovation de nanoFlowcell en tant qu’entreprise de recherche et de développement et la perfection de la technologie des véhicules électriques. QUANTiNO twentyfive est un regard sur l’avenir de la mobilité électrique qui est entièrement compatible avec l’environnement, puissante et efficace.

Monsieur La Vecchia, à première vue, vous pourriez penser que la QUANTiNO 48 VOLT et le QUANTiNO twentyfive sont des jumeaux ?!

Mais si vous y regardez de plus près, vous vous rendrez compte que nous avons entièrement repensé le QUANTiNO twentyfive. Je ne parle pas seulement du toit amovible du roadster. La voiture intègre 25 ans de recherche en matière d’innovation ainsi que l’expérience acquise au cours de sept années d’amélioration continue des performances et de plus de 500 000 kilomètres d’essai avec la QUANTiNO 48 VOLT.

Les principales modifications de la QUANTiNO twentyfive par rapport à la QUANTiNO 48 VOLT sont la transmission intégrale plus puissante basée sur quatre moteurs basse tension de 60 kW, une électronique de puissance plus efficace, une nanoFlowcell® améliorée avec le condensateur électrolytique ainsi qu’un design prêt pour la série (à l’extérieur et à l’intérieur). Le QUANTiNO twentyfive est notre nouvelle norme. Il n’y a rien dans ce véhicule que je puisse faire différemment et donc mieux.

Vous avez dit un jour que tout le monde pouvait construire des voitures électriques, mais que seule nanoFlowcell Holdings pouvait construire un QUANTiNO twentyfive ?

Je le maintiens plus que jamais. Le QUANTiNO twentyfive est un véhicule unique en son genre, sans aucun « me-too » de la mobilité électrique. Le système d’entraînement de QUANTiNO twentyfive ne comprend aucune pièce réutilisable, tout simplement parce qu’il n’y en avait absolument aucune que nous pouvions utiliser. Les autres fabricants utilisent généralement des kits de véhicules électriques existants et des modèles de batteries disponibles dans l’industrie. En revanche, nous avons dû développer nous-mêmes non seulement le carburant bi-ION®, mais aussi chaque vis de notre nanoFlowcell® 48 VOLT E-Drive.

Cela a commencé par la cellule d’écoulement, puis les moteurs électriques à basse tension et leur électronique de puissance. Par conséquent, nous avons également dû harmoniser et calibrer tous ces composants individuellement. Pourquoi avons-nous fait tout cela ? Nous ne cherchons pas à construire simplement une autre voiture électrique. Nous voulons créer une véritable alternative qui distingue clairement la QUANTiNO twentyfive des concepts de voitures électriques existants sur le marché.

Qu’est-ce qui est si important pour vous pour que vous disiez que QUANTiNO twentyfive doit être différent des autres voitures électriques ? Existe-t-il des différences significatives entre les véhicules électriques, hormis le design ?

La popularité des véhicules électriques ne cesse de croître, tout comme leur part de marché. De nouveaux constructeurs entrent sur le marché, tandis que les constructeurs automobiles établis investissent massivement dans leur propre portefeuille de véhicules électriques. L’ensemble de l’industrie automobile est en pleine transformation, mais n’a aucune idée de la direction qu’elle prend. C’est pourquoi je ne suis pas surpris que de nombreux constructeurs ne suivent pas une voie claire dans cette situation et que tout se ressemble, à l’exception du design.

Jusqu’à présent, tous les concepts de VE n’ont pas réussi à remplir la triade constituée par la compatibilité environnementale, la praticité au quotidien (en termes d’autonomie et de confort) et la sécurité inhérente. Nous sommes le seul constructeur à y être parvenu sans discordance grâce au nanoFlowcell® 48 VOLT E-Drive des QUANTiNO et QUANT. C’est précisément parce que nous avons décidé, il y a plus de 10 ans, de poursuivre notre propre voie de développement indépendant plutôt que de suivre le courant dominant.

C’est pourquoi le QUANTiNO twentyfive n’a pas d’équivalent sur le marché. La QUANTiNO twentyfive est capable de fournir en permanence la puissance attendue d’une voiture de sport, peut être ravitaillée en carburant à une pompe à essence, fonctionne avec une technologie basse tension à sécurité tactile et peut parcourir jusqu’à 2 000 kilomètres en mode purement électrique ! QUANTiNO twentyfive est une technologie propre sans compromis et 100 % compatible avec l’environnement. En effet, QUANTiNO twentyfive est la première voiture électrique à fonctionner entièrement sans batterie ! Pour moi, il s’agit là d’arguments de vente uniques et pertinents.

QUANTiNO twentyfive est une technologie propre sans compromis et 100 % compatible avec l’environnement !

Pourquoi nanoFlowcell Holdings a-t-elle réussi, plutôt qu’un constructeur automobile bien établi ?

Je ne peux parler qu’en notre nom. Malgré nos 25 ans d’existence, nous sommes encore une entreprise de R&D relativement jeune. Cela signifie que nous ne partageons pas l’héritage habituel de la tradition ou du passif. Nous sortons des sentiers battus et personne ne nous dit de ne pas le faire. Nous avons pu développer notre idée d’un véhicule électrique parfait sans aucune limite et sans avoir à tenir compte d’une gamme de modèles existants. C’est pratiquement impossible pour un fabricant établi. En tant qu’entreprise de recherche et de développement, notre objectif n’était pas d’améliorer ce qui existe déjà, mais plutôt de créer quelque chose de totalement nouveau. Notre approche n’est pas dictée par les opportunités du marché et les chiffres de vente. Nous suivons le principe « la forme suit la fonction » et ne nous limitons pas à des caractéristiques de conception lorsque nous développons nos véhicules électriques. Au contraire, nous transformons leur ADN technique lui-même.

Oui, nous avons été ridiculisés lorsque nous avons utilisé une cellule d’écoulement pour l’énergie de propulsion, puis en combinaison avec la technologie des moteurs à basse tension. Aucune de ces technologies n’existait dans le monde de la production de véhicules électriques, et encore moins dans les kits d’assemblage industriels. Et la mentalité conservatrice pense que l’impossible ne peut pas être fait. Nous avons ignoré les critiques et avons constamment appris de nouvelles choses en développant nos véhicules QUANT et QUANTiNO. Avec le QUANTiNO twentyfive, nous reprenons les bons aspects du QUANTiNO 48 VOLT, nous les améliorons et nous développons la voiture électrique parfaite. Sans compromettre la sécurité inhérente au véhicule, la praticité au quotidien, les performances et surtout pas l’autonomie.


[Source : https://www.nanoflowcell.com/info-center/flow-magazine/one-who-can-do-what-no-other-can-do]

Les principales innovations techniques du QUANTiNO twentyfive visent toutes à améliorer le confort de conduite, la sécurité et les performances.

Le nouveau nanoFlowcell® 48 VOLT E-Drive est encore plus efficace et les moteurs innovants à basse tension avec électronique de puissance intégrée sont encore plus puissants. Le système entièrement électrique nanoFlowcell® 48 VOLT E-Drive permet au roadster de passer de 0 à 100 km/h en 2,5 secondes environ grâce à quatre moteurs électriques basse tension multiphasés de conception nouvelle.

La seule technologie de charge intelligente pour les véhicules électriques est le ravitaillement en carburant !

Moteurs électriques basse tension multiphasés innovants

Le NFC résout également le problème des courants élevés dans les entraînements électriques basse tension axés sur la performance, tels que le système d’entraînement QUANTiNO twentyfive. Bien que la puissance de chaque moteur ait été réduite par rapport au QUANTiNO 48 VOLT (1 x 80 kW), la puissance totale de la voiture de sport électronique à traction intégrale avec quatre moteurs de 60 kW a été triplée.

Les deux réservoirs d’électrolyte bi-ION® de 125 litres sont installés dans le QUANTiNO twentyfive sous forme de réservoirs de plancher compacts. Ils permettent au véhicule de transporter encore plus d’énergie sous forme d’électrolytes que le QUANTiNO 48 VOLT. En outre, le centre de gravité bas a une influence positive sur le comportement du véhicule.

Contrairement aux véhicules électriques conventionnels qui doivent recharger leurs batteries à des stations de recharge, la pile à flux nanoFlowcell® du QUANTiNO twentyfive est ravitaillée à des pompes à essence, comme les véhicules à moteur à combustion. Contrairement aux carburants conventionnels, le carburant bi-ION du QUANTiNO twentyfive est respectueux de l’environnement, non toxique et ininflammable.


[NDLR : il reste cependant une question potentiellement importante. Que deviennent les électrolytes une fois qu’ils ont épuisé leur potentiel énergétique ? Comme le principe n’est pas une combustion, mais un échange d’ions, il reste probablement ensuite des solutions salines électriquement neutres, mais de quelle composition chimique ? Et que doit-on en faire ?]




SPIEF 24 – L’ordre mondial multipolaire converge vers Saint-Pétersbourg pour passer les tests PCR et discuter du développement durable

[Source : off-guardian.org]

Par Riley Waggaman

C’est en train de se produire. Encore une fois. Cela arrive chaque année, malheureusement.

Je fais bien sûr référence au Forum économique international de Saint-Pétersbourg, qui réunit chaque année les esprits les plus antimondialistes du monde.

Comme le veut la tradition, vous ne serez pas autorisé à entrer sur le site sans un test PCR négatif. Le SPIEF1 a publié une vidéo utile si vous avez des questions sur votre statut viral :

RAPPEL : Votre carte d’identité numérique SPIEF ne sera pas activée tant que vous n’aurez pas obtenu un résultat négatif au test de dépistage du virus !

Vous devrez également acheter un billet.
Les billets coûtent 19 860 dollars.

RAPPEL : LES CALL-GIRLS NE SONT PAS INCLUSES DANS LE PRIX DU BILLET. LES CALL_GIRLS SONT VENDUES SÉPARÉMENT !

Source : riamo.ru

Examinons maintenant ce qui sera discuté lors de cette nouba multipolaire des personnes concernées par les valeurs traditionnelles.

L’un des principaux points à l’ordre du jour est la « transition vers une économie mondiale multipolaire », c’est-à-dire la création d’un « système mondial de régulation du carbone » qui ouvrira la voie à un « développement durable » à long terme :

Les stratégies de développement des chaînes de production et d’approvisionnement sont en cours d’élaboration en tenant compte des objectifs mondiaux de l’Accord de Paris et des plans nationaux de réduction des émissions et d’adaptation au changement climatique. La concordance des approches et le rythme de la réglementation du carbone entre les États membres de l’EAEU2, de l’OCS et des BRICS permettront de construire un système mondial de réglementation du carbone basé sur une transition énergétique équitable, incluant les technologies de transition, et de respecter les principes du système commercial multilatéral et de la neutralité technologique. Pour l’EAEU, la convergence des approches en matière de régulation climatique est une priorité à long terme. (…) Les mécanismes de tarification du carbone basés sur le marché aideront-ils à atteindre les objectifs climatiques dans les pays de l’OCS, de l’EAEU et des BRICS, et quel est le juste prix du carbone ?

Combien devrait coûter un morceau de carbone des BRICS ? Cinq roubles numériques ? Peut-être dix ? Si vous venez à Saint-Pétersbourg, vous pourrez discuter de ce sujet important avec certains des plus grands connaisseurs du carbone au monde, notamment Ruslan Edelgeriyev, représentant présidentiel spécial de la Russie pour les questions climatiques, et Tatiana Zavyalova, première vice-présidente de Sberbank pour l’ESG3.

Un autre groupe discutera du « financement de la transition » et d’autres activités durables qui prouvent, au-delà de tout doute raisonnable, que « les pays des BRICS soutiennent activement le mouvement de réduction des émissions dans les secteurs traditionnellement à forte intensité de carbone » :

Une option possible pour atteindre les objectifs climatiques est de promouvoir les pratiques de financement de la transition qui aident à diriger les flux de trésorerie vers des projets de modernisation des industries et des entreprises à fortes émissions de gaz à effet de serre. Aujourd’hui, les pays des BRICS soutiennent activement le mouvement de réduction des émissions dans les secteurs traditionnellement à forte intensité de carbone : en septembre 2021, la Russie a adopté la Taxonomie des projets d’adaptation (transition), tandis que la Chine dispose déjà de sept taxonomies régionales de projets de transition. Les approches générales ont été proposées sur la base de l’initiative de la Chine et lors du G20.

Davos s’enfuit, terrorisé !

À propos : quelle est la région russe qui a sauvé le plus d’ours polaires ? Découvrez-le au SPIEF 24 !

Les experts discuteront également des raisons pour lesquelles il n’y a pas lieu de craindre le « développement rapide » des technologies biométriques en Russie :

Le marché mondial des technologies biométriques se développe rapidement, et la Russie figure parmi ses leaders. De plus en plus de services utilisant la biométrie apparaissent dans le pays, et il devient plus facile et plus accessible pour les Russes de recevoir des services gouvernementaux et commerciaux. Mais les gens se méfient de cette nouvelle technologie. Certains craignent les escrocs, d’autres les fuites. Pour d’autres encore, elle est synonyme de contrôle total par l’État. Ces stéréotypes freinent son développement. Mais qu’est-ce que la biométrie ? Avons-nous besoin de cette technologie et y a-t-il des raisons de la craindre ?

source : forumspb.com

Arrêtez les stéréotypes blessants ! LAISSEZ LA BIOMÉTRIE TRANQUILLE, ESPÈCE DE BIGOT.

La « transformation numérique » de la Russie fera l’objet d’une attention particulière au SPIEF 24. En effet, les acteurs concernés devront travailler ensemble s’ils espèrent numériser la quasi-totalité des services « socialement importants » d’ici à 2030 :

Source : forumspb.com

Des spécialistes de l’ensemble des pays du Sud s’engageront également dans des conversations intellectuellement stimulantes sur des mots à la mode dépourvus de sens et copier-coller des communiqués de presse de Davos :

Source : forumspb.com

En fin de compte, la conférence vise à contribuer à l’instauration d’un ordre mondial extrêmement durable fondé sur les crédits carbone, les étiquettes biométriques pour le bétail et les prostituées hors de prix.

…mais est-ce que SPIEF a des chiots ??

Échec et mat.

Riley Waggaman est un écrivain et journaliste américain qui vit en Russie depuis près de dix ans. Il a contribué à de nombreux sites web, dont Anti-Empire, Russian Faith, Brownstone Institute, Unlimited Hangout et Geopolitics & Empire. Il a travaillé pour Press TV, Russia Insider et RT avant de se lancer en solo. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter ou Telegram.





Une guerre mondiale de l’énergie a commencé

[Source : portail-ie.fr]

Propos recueillis par Mathéo Quenault

La guerre de l’énergie est une notion qui s’est répandue dans le paysage audiovisuel. Pour Fabien Bouglé, l’énergie sera l’élément au centre de la troisième guerre mondiale.

Portail de l’IE (PIE) : Vous avez écrit deux ouvrages consacrés à la thématique énergétique, le premier sur les éoliennes et le second sur le nucléaire. Quels éléments marquants vous ont poussé à vous intéresser au secteur énergétique puis à critiquer vivement l’énergie éolienne ?

Fabien Bouglé (FB) : Il y a 15 ans, alors que je procédais à la restauration d’une maison en Normandie j’ai découvert par hasard l’existence d’un projet de 13 éoliennes dont les plus proches étaient à 800 m. Cet évènement m’a profondément interrogé et m’a conduit à enquêter plus en détail sur la filière éolienne et par extension sur l’ensemble de la filière énergétique. Dans le cadre de ce projet, j’ai pu constater que les éoliennes étaient entachées de prises illégales d’intérêt. Juriste et ancien officier de réserve de gendarmerie, j’ai constaté que cette situation était systématique : les élus installaient les éoliennes sur leurs parcelles ou celles de leur famille tout en participant aux délibérations municipales sur le sujet. Alors que j’étais en relation avec le SCPC (Service central de prévention de la corruption du Ministère de la Justice), celui-ci a émis en 2014 dans son rapport d’activité une alerte sur la multiplication des atteintes à la probité dans le domaine de l’éolien.

Plus tard, dans le cadre du projet d’installation de 66 éoliennes entre les îles d’Yeu et Noirmoutier, j’ai dévoilé les tarifs de rachat de l’électricité provenant des éoliennes en mer qui avaient un niveau de subvention à 220 € le MWh alors que prix spot du marché était à l’époque à 45 €. La différence entre ces deux niveaux de prix se chiffrait au total à 40 milliards d’euros de subvention. Ces révélations ont contraint le gouvernement à renégocier les tarifs de rachat et le Président Emmanuel Macron avait annoncé en juin 2018 une baisse du tarif de rachat de 220 € à 180 € le MWh raccordement compris.

En 2019, le député Julien Aubert [député LR du Vaucluse de 2012 à 2022, NDLR] — que j’avais alerté sur le sujet — a obtenu du groupe LR l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur les éoliennes et les énergies intermittentes. La publication de ses travaux était une occasion parfaitement adaptée pour sortir un livre reprenant l’ensemble des informations occultées sur les éoliennes. Nous avons donc convenu avec les Éditions du Rocher de sortir mon premier manuscrit Éolienne : la face noire de la transition écologique en octobre 2019. L’objectif de cet ouvrage était de faire le tour d’horizon de la question des éoliennes tant du point de vue de l’écologie que celui des finances ou encore de la Mafia. Mais lors de conférences que je donnais en France, j’avais très souvent des questions sur le nucléaire. Je me suis alors aperçu qu’il y avait un vrai problème de biais cognitifs et d’informations biaisées sur le nucléaire. Pendant la crise sanitaire, j’ai profité du temps disponible pour rédiger mon second ouvrage intitulé Nucléaire : les vérités cachées qui vise à mettre en lumière les vertus de cette source d’électricité sans occulter la question des déchets radioactifs. C’est la suite de mon premier livre, car on ne peut pas parler du sujet du mix électrique basé sur des éoliennes censées remplacer le nucléaire si l’on ne comprenait pas en même temps la question du nucléaire.

PIE : Vous opposez l’énergie éolienne et l’énergie nucléaire, pourquoi ? Qu’est-ce qui les rend incompatibles selon vous ?

FB : Il y a plusieurs raisons à cela. Ces raisons sont d’ordre technique, économique et géopolitique.

Pour ce qui est de la raison technique, la France, avec le Plan Messmer en 1974, a choisi d’investir massivement dans le nucléaire afin de diminuer notre dépendance aux énergies fossiles. On construit dès lors un mix électrique basé sur les centrales nucléaires qui vont offrir une électricité massive, abondante et lors des pics de consommation on se sert des centrales hydrauliques et en dernier recours des centrales fossiles. Avec ce mix électrique, la production est très stable. Alors que les éoliennes, étant intermittentes, sont source de deux problèmes importants. Premièrement, les unités de production sont de 2 Mégawatts (contre 900 à 1650 Mégawatts pour une centrale nucléaire), qui vont être disséminées sur tout le territoire. Ceci oblige le réseau électrique à se répartir sur le territoire avec une multitude de lignes à haute tension. Ainsi, les éoliennes nécessitent de modifier en profondeur le réseau électrique.

D’après Xavier Piechaczyk, le président de RTE, le développement du renouvelable coûtera 100 milliards d’euros rien que pour l’adaptation du réseau électrique. Ce coût est notamment dû à l’enfouissement de certaines lignes à haute tension ainsi qu’à la création de nouvelles lignes. C’est justement afin de financer ces infrastructures que les Français voient encore augmenter leur facture de 10 %. Outre l’augmentation du prix de marché de l’électricité, cette hausse est due également à l’augmentation du TURPE [Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité] qui est prélevé au consommateur sur leurs factures pour financer ces raccordements. Il est important de se souvenir que c’est Xavier Piechaczyk qui avait été l’un des artisans de la loi sur la baisse de la part du nucléaire à 50 %. Il avait pour directeur de cabinet adjoint Pauline Le Bertre, ancienne déléguée générale de France Énergie Éolienne, la structure qui sert de lobby aux exploitants éoliens.

D’autre part, il est obligatoire d’avoir des systèmes d’équilibrage, car la production des éoliennes dépend du vent dont la puissance est très variable. En plus de la problématique de réseau, s’ajoute celle de l’intermittence qui nécessite des centrales fossiles au gaz ou au charbon pour venir compléter la production des éoliennes lorsqu’elles ne tournent pas en raison d’une absence de vent.

Du point de vue économique, la France est l’un des leaders mondiaux du nucléaire qui est sa troisième filière industrielle. On parle ici de 220 000 emplois directs et indirects et de 400 000 emplois en incluant les emplois induits. Le nucléaire permet à la France de bénéficier d’une électricité à bas coût ce qui facilite la compétitivité de nos entreprises et de nos industries tout en assurant aux Français une facture électrique peu élevée.

L’installation de l’éolien dans notre mix électrique ne bénéficie pas à l’économie française. Aucune des éoliennes n’est fabriquée en France : 65 % des éoliennes installées en France sont allemandes et 30 % sont danoises. En outre, 45 % des sociétés d’exploitation électrique de ces éoliennes sont allemandes. Alors que le nucléaire est pour l’essentiel français, le remplacement du nucléaire français par une filière éolienne allemande creuse le déficit commercial de la France et modifie la gouvernance de notre système énergétique. Nous avons donc une situation où l’on détruit une filière économique dans laquelle la France se classe parmi les leaders au profit d’une filière dans laquelle on ne dispose d’aucun acteur.

Du point de vue géopolitique, la volonté de développer l’éolien cache l’objectif des Allemands de s’approprier la souveraineté énergétique en Europe en imposant son modèle d’énergies intermittentes au travers de l’Energiewende. Au début des années 2000, Gerhard Schröder promulgue la loi EEG de déploiement des énergies intermittentes (éoliennes et solaire). Pour pallier l’intermittence des éoliennes, l’Allemagne cherche alors à faciliter son approvisionnement en gaz russe pour minimiser sa consommation de charbon. C’est pourquoi elle tenait si fermement à la construction des gazoducs Nord Stream 1 et 2 afin de devenir le hub de distribution du gaz russe en Europe. L’objectif allemand était de contrôler le marché des éoliennes en Europe tout en s’assurant la maîtrise européenne du gaz russe. Pour ce faire et imposer son modèle économique, Berlin va d’une part propager son idéologie avec une infiltration des institutions européennes dans le domaine énergétique et s’assurer d’autre part de la destruction économique, géopolitique et intellectuelle du nucléaire français au travers d’opérations de guerre informationnelle déployées en France depuis 25 ans.

PIE : D’après vous, quelles sont les conséquences de cette incompatibilité sur la stratégie énergétique française ?

FB : Au vu des points évoqués précédemment, il n’est pas possible de faire du en même temps entre le nucléaire et l’énergie éolienne. Il est important de se rendre compte que l’éolien est un outil de guerre contre le nucléaire français. Nous sommes dans une situation de guerre économique entre deux modèles concurrents et incompatibles, l’Energiewende allemand et le nucléaire français.

Ces modèles étant incompatibles, nous sommes obligés d’en choisir un et d’en écarter un autre. Ce choix nécessite une lucidité de nos politiques sur les points évoqués précédemment ainsi que sur la situation actuelle qui ne peut être envisagée que comme une guerre énergétique. Cette incompatibilité se traduit par une hostilité de pays européens comme l’Allemagne ou l’Autriche. Récemment notre ministre de l’Énergie Agnès Pannier-Runacher, a été exclue des discussions sur les énergies renouvelables lors de la première rencontre du « club des renouvelables ». En effet, aux yeux des pays hostiles au nucléaire, la demande de la France d’intégrer le nucléaire dans la loi sur les énergies renouvelables est une action anti-renouvelable de la part de l’Hexagone.

Malheureusement, le concept de « couple franco-allemand », encore dans l’esprit de nos dirigeants, entraîne un manque de lucidité face à la situation que nous traversons aujourd’hui. Il est difficile pour ces derniers d’admettre et de reconnaître l’attitude belliqueuse, voire prédatrice, de l’Allemagne envers la France.

PIE : Le prix de l’énergie n’a jamais été aussi haut. Les entreprises énergétiques dans le monde enregistrent, telles que TotalEnergies, des niveaux de rentabilité exceptionnels et pourtant EDF dévoile de son côté un bilan calamiteux. Comment expliquez-vous cela ?

FB : Cela est dû au fait de l’explosion du prix des énergies fossiles depuis 2021, surtout celui du gaz qui s’explique par plusieurs raisons. En premier lieu, l’augmentation importante de la demande par la Chine. La deuxième raison est qu’il y a eu cette année-là une baisse historique de la vitesse des vents en Europe depuis 43 ans. Selon l’Institut Copernicus de la Commission Européenne, cette baisse a causé une réduction de la production de l’électricité par les éoliennes en Europe occidentale. Cette baisse a logiquement dû être compensée par une plus grande importation d’énergie fossile (charbon pétrole et gaz) ce qui a contribué à l’augmentation de la demande et donc in fine du prix du gaz. L’augmentation du prix du gaz a ensuite été accentuée par la guerre en Ukraine, les sanctions énergétiques de la Russie et le sabotage de Nord Stream qui a rendu l’accès au gaz plus difficile (et donc plus coûteux) aux pays européens. Tous ces éléments font que les gaziers comme Engie ou TotalEnergies ont engrangé des revenus considérables. La guerre économique de l’Europe contre la Russie a eu pour conséquence une augmentation de la facture de gaz de l’Europe qui est passée de 120 milliards de dollars en 2021 à 400 milliards de dollars en 2022.

De son côté, EDF est une entreprise d’électricité et la conjoncture n’était pas du tout la même. En effet, en 2022, le tarif spot moyen de l’électricité a augmenté du fait de l’augmentation du prix du gaz, car au sein de l’UE, le prix de l’électricité est indexé sur l’unité de production la plus chère. Cela aurait pu être plus profitable pour EDF, mais l’autorité de sûreté nucléaire (ASN), a estimé que les corrosions observées pourraient poser des problèmes de sécurité dans l’hypothèse où les réacteurs seraient arrêtés. Cela a conduit à l’arrêt d’un nombre très important de réacteurs nucléaires causant la perte de près de 80 TWh de production électrique. Cette baisse de production a ainsi entraîné un manque à gagner considérable alors que le prix spot était très élevé en 2022 (275 euros le MWh).

Ajouté à cela, l’Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique (ARENH) oblige EDF à vendre une partie importante de son électricité (120 TWh, soit ¼ de la production) à un prix cassé (à 42 € le MWh) à des concurrents ce qui crée aussi un manque à gagner. En revanche, lorsque c’est EDF qui achète de l’électricité d’origine éolienne, il lui est interdit de la revendre au prix spot du marché. Elle doit seulement se contenter d’une petite marge.

L’ensemble de ces mécanismes : l’ARENH, la non-disponibilité de certains réacteurs nucléaires et l’impossibilité de revendre sur le marché la production d’éolienne subventionnée font qu’EDF a perdu énormément d’argent et l’a conduit à avoir un déficit de 17,9 milliards en 2022 et une dette historique de 65 milliards d’euros. Cette fragilisation d’EDF faisait partie du plan de l’Allemagne, comme l’a dit Henri Proglio, l’ancien PDG d’EDF lors de la commission d’enquête parlementaire : « L’obsession des Allemands depuis 30 ans, c’est la désintégration d’EDF. Ils ont réussi ! »

PIE : À quelles autres stratégies était lié le dénigrement du nucléaire ?

FB : Il est important de signaler que le dénigrement du nucléaire s’est accompagné de la valorisation de l’éolien. Il y avait l’intention de discréditer le nucléaire afin de créer un appel d’air pour l’éolien en prenant bien soin de ne pas mentionner que l’installation d’éoliennes s’accompagne de l’utilisation d’énergies fossiles telles que le gaz ou le charbon. Cet oubli volontaire avait pour objectif de masquer l’absurdité écologique de l’énergie éolienne.

PIE : Quelles formes cette guerre de l’information a-t-elle prises ?

FB : Cette guerre de l’information s’est traduite par une utilisation massive des catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima. Et ce, bien que les centrales françaises soient très différentes et beaucoup plus avancées et sécurisées que les centrales soviétiques de l’époque et aussi localisées à des emplacements bien éloignés de failles sismiques comparables à celles que l’on peut trouver au Japon. Dans un esprit de malhonnêteté et de tromperie, certains acteurs voulaient que la population associe l’eau sortant des tours aéroréfrigérantes à une pollution alors qu’il s’agit simplement du système de refroidissement du condenseur qui ne diffuse aucune sorte de pollution.

Ces attaques informationnelles sont couplées à des opérations de terrain comme Greenpeace qui lançait des drones sur des centrales nucléaires ou encore des opérations d’intrusion. L’ensemble de ces actions ont contribué à créer un climat anxiogène autour du nucléaire. Corrélativement, ces acteurs proposent des alternatives avec l’éolien. On ne peut pas comprendre les opérations de ces 20 dernières années de dénigrement du nucléaire sans comprendre que ces actions sont la double face d’une même opération. Politiquement, cela a commencé avec le gouvernement de la gauche plurielle, lorsque Lionel Jospin doit s’allier aux Verts, antinucléaires, qui viennent d’émerger politiquement. Il ne pouvait pas avoir de majorité s’il n’avait pas leur appui. C’est à ce moment-là qu’intervient la double opération : on ferme Superphénix qui permettait de produire de l’électricité avec les déchets des autres centrales, on dénigre politiquement le nucléaire, on renonce à construire de nouveaux réacteurs et enfin on assiste en 2001 au subventionnement d’éoliennes en France avec l’arrêt Cochet. Il y a un phénomène de double détente avec la destruction du nucléaire politiquement et médiatiquement couplé à la valorisation de l’éolien, présenté par Greenpeace comme idyllique. Sur le site de l’officine antinucléaire, les éoliennes sont présentées comme « un bouquet de fleurs pour la transition énergétique ».

PIE : Dans cette guerre, quels ont été les relais ? Qui sont les alliés et les ennemis du nucléaire français sous les angles sociétaux, politiques et économiques ?

FB : Dans les années 90 et 2000, il y a un essor important d’associations et d’ONG environnementales comme WWF et Greenpeace qui ont une grande notoriété. Ils sont le ressort des ONG antinucléaires qui jouissent d’une bonne cote de popularité. Ce sont elles qui ont été les principaux relais de l’idéologie antinucléaire, et ce, en étant financées par des organisations mondiales pro-éoliennes. C’est-à-dire qu’elle s’attaque au nucléaire tout en recevant de l’argent d’organisations mondiales ainsi que de fabricants d’éoliennes comme l’entreprise danoise Vestas premier fabricant mondial.

Ici, les ennemis du nucléaire français sous l’angle sociétal sont principalement les ONG comme WWF, Greenpeace et les Amis de la Terre qui d’ailleurs sont toutes financées par la fondation Rockefeller créée par les géants du pétrolier Esso puis Exxon.

Sous l’angle politique, il s’agit des partis tels que EELV en France, les Grünen en Allemagne, très liés aux ONG mentionnées plus haut. S’y ajoutent les fondations allemandes comme Henrich Boll ou Rosa Luxembourg qui viennent financer d’autres structures que les ONG comme Sortir du Nucléaire ou Réseaux Action Climat nébuleuse regroupant WWF et Greenpeace. L’organisation antinucléaire et pro éolienne Négawatt en France est financée par les gaziers et les promoteurs éoliens. On peut aussi citer l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) qui est devenue le lieu d’infiltration des mouvements antinucléaires et pro-éoliens au sein de nos institutions.

Un autre opérateur de cette guerre énergétique est l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (OFATE) qui est un lobby allemand dont le siège est à Berlin, au siège du ministère fédéral de l’Économie allemande et qui dispose d’un bureau au ministère français de l’Écologie à la Direction Générale de l’Énergie et du Climat, c’est-à-dire la direction chargée de la politique énergétique de la France. Greenpeace et WWF sont membres de cet organisme installé dans nos ministères. Il y a clairement une infiltration toujours en cours de nos institutions par la filière éolienne et le mouvement antinucléaire. Pour finir avec l’angle politique on peut citer des personnalités françaises, deux anciennes ministres de l’écologie : Corinne Lepage qui a tout fait pour faire fermer Superphénix et Dominique Voynet, qui de son propre aveu a menti et manipulé son gouvernement pour faire en sorte que le nucléaire ne soit pas retenu au titre des énergies d’avenir de l’Union européenne, l’ancêtre de l’actuelle taxonomie.

Sous l’angle économique, les principaux adversaires du nucléaire français sont clairement les fabricants d’éoliennes ainsi que les gaziers et pétroliers.

PIE : Vous publiez en septembre un ouvrage sur la guerre de l’énergie. Quelle valeur ajoutée apportez-vous au traitement de cette thématique, que ne traitent pas déjà les ouvrages existants ?

FB : Je dirai que jamais dans l’histoire de l’humanité l’énergie n’avait été autant au cœur d’une guerre mondiale. Selon moi, l’énergie est aujourd’hui l’enjeu, la cause et l’arme de cette guerre. Ma position est que la troisième guerre mondiale est une guerre de l’énergie, car on l’utilise pour mener la guerre, mais on fait cette guerre aussi pour s’assurer le contrôle des systèmes énergétiques. La Première Guerre mondiale était une guerre territoriale, la seconde une guerre idéologique, la troisième est une guerre énergétique.

Aujourd’hui la guerre est hybride, asymétrique, militaire, informatique, biologique, alimentaire… En somme, elle est multiface. Selon moi, la guerre en Ukraine représente la partie militaire d’une guerre beaucoup plus importante qui est la guerre mondiale de l’énergie. Car le contrôle de l’énergie domine tout. Le pays qui contrôle l’énergie contrôle politiquement et économiquement les pays qui en ont besoin. Nous assistons donc à la première guerre mondiale de l’énergie. Par le passé, il y a déjà eu des batailles de l’énergie (guerre en Irak…), mais ce n’étaient pas des guerres au retentissement international. Nous assistons véritablement à un conflit mondial d’une nouvelle intensité.

Avec ce livre, je souhaite apporter un nouvel éclairage qui place la guerre de l’énergie au cœur du nouveau conflit mondial, mais aussi alerter les pouvoirs publics qui semblent dépassés par le sujet. Comme les autres, il a pour objectif d’apporter des clés de lecture et des aides à la compréhension des évènements à destination des citoyens comme des gouvernants ; c’est bien là sa spécificité. Plusieurs livres s’intéressent à la guerre de l’énergie au Moyen-Orient ou dans d’autres régions du monde, mais je souhaite aborder la guerre de l’énergie comme un phénomène désormais global qui donne lieu à ce nouveau conflit mondial. C’est pour cela que je parle de troisième guerre mondiale de l’énergie qui selon moi a éclaté au grand jour avec le sabotage de Nord Stream le 26 septembre 2022. C’est l’élément déclencheur qui est symboliquement très puissant. On pourrait comparer cet évènement à l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand à l’aube de la Première Guerre mondiale. Ce n’est pas une déclaration de guerre à proprement parler, mais une officialisation de la guerre. Ainsi le 26 septembre prochain marquera le premier anniversaire de l’officialisation de la guerre mondiale de l’énergie. C’est donc ce moment précis que j’ai choisi pour la sortie de ce nouveau livre.

PIE : Comment cette guerre se caractérise-t-elle en France et en Europe ?

FB : Elle se caractérisera de plusieurs façons. Elle sera à la fois intraeuropéenne et extraeuropéenne. Nous avons d’abord une confrontation énergétique violente entre un Empire américain et un Empire russe et dont la guerre en Ukraine est la face émergée de l’iceberg. Cette guerre place l’Europe en situation de faiblesse dans la mesure où elle est très dépendante de ces fournisseurs d’énergies. Cette vassalisation énergétique de l’Europe conduit à une autre confrontation avec un affrontement entre l’énergie nucléaire, soutenue par la France et ses alliés, et le couple gaz/charbon-éolien, soutenu par l’Allemagne et ses alliés.

PIE : Dans ce contexte, quelles sont les suites pour la France et l’Europe ?

FB : Pour comprendre les problématiques énergétiques de notre pays, il faut revenir aux fondamentaux historiques qui ont construit notre histoire depuis 70 ans. Les apprentissages de l’Histoire doivent guider notre réflexion et en particulier la place qu’a occupée l’atome dans la création de la Communauté Européenne en 1957. L’industrie nucléaire a été au cœur de la création de l’Union européenne avec la signature du traité Euratom signé le même jour que le traité de Rome créant la CEE. Remettre en cause la place de l’énergie atomique en Europe, c’est remettre en cause la construction européenne mise en place pour assurer la paix. Le développement du nucléaire constitue donc une nécessité vitale pour la paix en Europe et dans le Monde. C’est dans ce sens que dans le prochain ouvrage, sont proposées certaines pistes pour une réforme du système énergétique européen.

Pour aller plus loin :


Les États-Unis et la Russie cherchent à éliminer le nucléaire français

EDF est le bras armé de l’économie française




La facture de la supercherie écologique arrive, et elle est salée

[Source : h16free.com]

Par Hashtable

Saperlipopette, la transition écologique, qui devait transformer nos sociétés en utopies vertes et riantes est en train de muter en zombie dont l’odeur de putréfaction devient difficile à camoufler : même la titraille journalistique la plus putassière ne parvient pas à évacuer les problèmes de plus en plus énormes provoqués par les décisions débiles que cette transition vers la misère nous impose.

Pourtant, tout avait été bien proprement décidé, correctement à l’abri de tout processus démocratique et de consultation régulière du peuple qui, un peu lourdaud, aurait pu tout faire dérailler : d’une part, parce qu’ils polluaient vraiment trop (mais si, puisqu’on vous le dit), il était clair qu’on devait se passer complètement des véhicules à moteurs thermiques d’ici 2030 quitte à basculer tout le monde à l’électrique, et d’autre part on allait simultanément se débarrasser de ce nucléaire qui apportait décidément trop de solutions à tous nos problèmes.

[NDLR Jusqu’à maintenant, le nucléaire n’a pas résolu le problème des déchets radioactifs.]

Bien sûr, il allait falloir s’arranger quelque peu avec la réalité et les faits tangibles. Par exemple, en sous-estimant un peu (juste un peu) les émissions de dioxyde de carbone ou de méthane des mines de charbon, on arriverait à faire passer l’Allemagne pour presque vertueuse au point de justifier la fermeture de ses centrales nucléaires, quitte à présenter aussi cette dernière forme de production énergétique sous son jour le plus négatif possible.

Manque de pot, les grosses bidouilles et, pour tout dire, les mensonges patentés ont été récemment éventés : une enquête menée par un journal d’investigation allemand montre que les Verts ont triché sur les données permettant d’accompagner la sortie allemande du nucléaire et les hauts fonctionnaires du ministère (des Verts, pour l’essentiel) ont ainsi ignoré les avis des experts consultés, notamment lorsque ceux-ci préconisaient un report de l’arrêt du nucléaire tant il était prévisible que le conflit russo-ukrainien allait provoquer des soucis pour la consommation énergétique allemande.

En somme, les équipes des Verts en charge du nucléaire ont trompé l’opinion publique, lui ont consciemment menti pour parvenir à se débarrasser de la seule source d’énergie réellement décarbonée dont l’Allemagne disposait alors.

Pendant ce temps et alors que le prix de l’électricité européenne subissait indirectement les conséquences des mensonges écologiques des Verts allemands, on apprend qu’en ce qui concerne le remplacement de l’ensemble des véhicules à moteur thermique en Europe d’ici 2030, aucune étude d’impact n’a été faite.

C’est assez gênant puisque de telles études auraient assez facilement montré que ni les constructeurs automobiles, ni les infrastructures ne sont prêts pour un tel bouleversement. Du côté des consommateurs, le prix moyen des véhicules électriques impose de fortes subventions étatiques… Qu’il est devenu impossible de financer alors que les coûts énergétiques (et donc tous les autres coûts) se sont envolés et que l’inflation continue d’être trop musclée.

Cette fin des subventions, relativement abrupte, impose immédiatement un retour sur terre des lubies écolos concernant ces véhicules qui, dès lors, ne se vendent plus.

De façon logique, on se retrouve à présent avec des stocks conséquents de ces véhicules neufs, majoritairement produits en Chine, qui s’entassent aux ports d’arrivée pendant plusieurs mois (voire un an et demi actuellement). Stocks qui, au passage, constituent un sérieux risque écologique si l’un de ces engins, bourrés de lithium, venait à prendre feu malencontreusement.

Tout ceci démontre encore une fois que lorsque des décisions politiques sont prises non pour des raisons pragmatiques, mais pour des raisons idéologiques, le résultat est toujours une catastrophe économique. Et dans le cas qui nous occupe, cela se double d’une catastrophe écologique (ô ironie), depuis les éoliennes et le photovoltaïque qui dénaturent les paysages, polluent durablement et impactent très négativement la faune et la flore, jusqu’à cette quantité invraisemblable de voitures aux batteries polluantes et difficiles, voire impossibles à recycler, dont on ne saura bientôt que foutre.

On se retrouve avec des mines de lignites polluantes, des centrales nucléaires fiables et sûres qui ont été stupidement fermées, du gaz et donc de l’électricité hors de prix, et des dizaines de milliers de véhicules invendables représentant à la fin des milliards d’euros de capital investi n’importe comment.

Tout ceci parce qu’on vous a menti, parce qu’on vous a baratiné et que l’on continue de le faire. Car oui, cette catastrophe économique et écologique se double de la révélation que tout était basé sur des mensonges.

Il faut le dire tel quel : l’écologie actuelle est un mensonge, une litanie de contrevérités et d’affabulations, de mystifications plus ou moins grossières et de mauvaise science aux chiffres honteusement torturés pour leur faire cracher tout et leur contraire, sans vergogne.

Tout cela a été dénoncé depuis des lustres par les rares qui ont conservé leur esprit, et ça continue de l’être pour ceux qui veulent les entendre.

Ainsi, le fait que les champs d’éoliennes (et les énergies irrégulières en général) favorisent le gaz russe avait été mentionné depuis longtemps. Cela vous est caché par les médias et les écolos qui vous mentent.

Le fait que le nucléaire est une énergie fiable, extrêmement dense et qui permet de couvrir nos besoins pour des centaines d’années avec une excellente sécurité était aussi un fait connu qui a été soigneusement tu, caché, et couvert des mensonges de politiciens et d’écologistes parfaitement véreux.

Le fait que les variations de température ne sont pas dues à l’activité humaine est largement connu pour ceux qui se donnent la peine de chercher. Cela aussi vous est caché par les médias et les écolos qui vous mentent. Le fait que grâce à la modeste augmentation récente du taux de dioxyde de carbone dans l’air, la Terre reverdisse et que la nature aille en réalité de mieux en mieux vous est consciencieusement caché par ces hypocrites.

Dites-vous bien que si ces gens vous ont menti, sciemment, pour ces sujets, ils vous ont menti pour le reste aussi. Ils n’ont pas hésité à vous mentir pour vous imposer des contraintes toujours plus fortes, ils vous ont menti sur le virus, ils vous ont menti sur le climat et ils vous mentent encore sur leurs buts : obtenir le pouvoir pour eux, la soumission pour vous.

Ces mensonges ont maintenant des coûts pour la société qu’on ne peut plus cacher. L’addition arrive, et elle va être très douloureuse.




Selon un député allemand, fin des maisons et véhicules privés en vue, sauf pour les élites

Incroyable discours de Thomas Ehrhorn député AfD au parlement allemand.

Extrait :

… Cela signifie concrètement que si l’on s’en tient à l’exigence maximale de la norme Euro 7, c’est-à-dire que chaque véhicule devant être immatriculé à partir du milieu de l’année 2025 devra être conforme à la norme Euro 7 et non uniquement les nouvelles séries produites. Cela conduira inévitablement à l’effondrement d’une grande partie de la production automobile en 2025.

Il me vient à l’esprit qu’en 2025 nous avons des élections et je suppose que beaucoup d’entre vous ne seront plus ici après cette échéance. De ce fait, cette situation est plutôt positive. Il faut en particulier bien comprendre une chose, à savoir que les durcissements de plus en plus absurdes des valeurs limites ne concernent ni le climat ni la protection de la santé (mort due soi-disant aux particules fines).

Il ne s’agit pas non plus de remplacer 50 millions de voitures à moteur à combustion par 50 millions de véhicules électriques. Non, il s’agit de rendre, à moyen terme, la mobilité privée si chère qu’elle ne sera plus disponible que pour une élite triée sur le volet. Cela signifie donc que la plupart des citoyens devant leur écran d’ordinateur n’en feront malheureusement plus partie.

Il est important de le comprendre. Car dans les plans d’avenir des Verts, socialistes et communistes, qui donnent actuellement le ton ici, il n’est prévu ni de maison privée ni de voiture privée. Le vieil homme blanc, qui crée de la richesse par son travail et son éducation, qui accumule de la propriété privée et qui, peut-être, roule à 180 km/h dans un SUV, c’est un véritable cauchemar et il est détesté.

C’est le portrait de l’ennemi de l’idéologie de gauche. Nationaliser, exproprier, redistribuer, ce sont les objectifs de tous ceux qui gouvernent ce pays en le détruisant sous nos yeux. Et quand les citoyens l’auront compris, mesdames et messieurs du gouvernement, vous aurez un sérieux problème. Merci beaucoup.

Traduction : Christine.

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1783206340619379095




Comment le Japon produit du bois de manière durable depuis 700 ans sans couper d’arbres

[Source : timesofindia.indiatimes.com]

L’héritage de la production durable de bois au Japon

(Image : GreenQueen)

Par TOI Lifestyle Desk

L’héritage de 700 ans du Japon en matière de production durable de bois est un exemple d’harmonie avec la nature. Grâce à des techniques telles que le Daisugi, mis au point au XIVe siècle, les Japonais préservent les forêts tout en récoltant le bois. Cette tradition garantit un approvisionnement continu en bois de haute qualité, préservant les écosystèmes pour les générations futures et témoignant de l’engagement du Japon en faveur de la gestion de l’environnement.

Une taille sélective pour la qualité

(Image : GreenQueen)

Le Daisugi, une ancienne méthode de sylviculture japonaise, est apparu au XIVe siècle à Kitayama en raison de la pénurie de jeunes arbres. L’élagage sélectif des cèdres permettait d’obtenir des bois de charpente droits et sans nœuds. Née d’une nécessité, cette méthode a évolué pour devenir une pratique durable, incarnant la tradition japonaise d’innovation en matière de gestion des ressources depuis plus de sept siècles. Dans le Daisugi, les cèdres sont plantés et taillés d’une manière particulière afin d’encourager la croissance de bois droits et sans nœuds. Cette taille sélective consiste à couper à la main les pousses tous les deux ans, en ne laissant que les branches supérieures intactes.

Long cycle de récolte

(Image : GreenQueen)

Long cycle de récolte : La récolte des arbres daisugi dure environ 20 ans. Pendant cette période, les arbres sont soigneusement entretenus afin de garantir une croissance optimale et la qualité du bois.

Croissance abondante des pousses

(Image : GreenQueen)

Les vieux arbres daisugi, ou « arbres de réserve », peuvent produire jusqu’à une centaine de pousses à la fois, ce qui garantit un approvisionnement durable et abondant en bois pour les générations futures.

Réponse aux tendances architecturales

(Image : Instagram/unownedspaces)

Le Daisugi a été développé non seulement en raison de la rareté des matières premières, mais aussi en réponse aux tendances architecturales. Au XIVe siècle, la popularité de l’architecture sukiya-zukuri, caractérisée par des formes linéaires et stylisées, a accru la demande de bois de haute qualité.

Meubles sukiya-zukuri

(Image : Getty Images)

Sukiya-zukuri, un terme qui se traduit par « construit selon le goût de chacun », est un style d’architecture japonaise qui met l’accent sur la simplicité, la beauté naturelle et l’harmonie avec l’environnement. Ce style architectural s’applique également aux meubles, qui se caractérisent par leur élégance discrète et leur conception fonctionnelle. Les meubles Sukiya-zukuri se caractérisent souvent par des lignes épurées et une approche minimaliste, utilisant des matériaux naturels comme le bois et le bambou pour créer des pièces à la fois belles et pratiques. Le mobilier est conçu pour compléter les sols en tatami et les portes coulissantes que l’on trouve couramment dans les intérieurs japonais traditionnels, et il comprend souvent des éléments intégrés comme le tokonoma, une alcôve où l’on peut exposer des œuvres d’art ou des fleurs. La beauté du mobilier sukiya-zukuri réside dans sa capacité à créer un espace serein et contemplatif, où chaque pièce a sa raison d’être et contribue à l’esthétique globale du wabi-sabi, l’appréciation de l’imperfection et de l’éphémère.

Utilisation traditionnelle du bois de cèdre

(Image : Canva)

Traditionnellement, ce type de cèdre était utilisé pour les alcôves tokonoma dans les maisons de thé et comme piliers principaux pour l’exposition d’objets artistiques pendant la période Muromachi. Bien que son utilisation dans les alcôves traditionnelles soit en déclin, ce bois très prisé trouve encore des applications dans tous les domaines, des baguettes aux meubles.

Répondre à la demande par l’innovation

(Image : Instagram/unownedspaces)

Avec la demande croissante de bois dans l’architecture, daisugi a fourni une solution pour produire plus de bois dans une période plus courte tout en maintenant la qualité et la durabilité.

Des qualités de bois exceptionnelles

(Image : GreenQueen)

Le bois produit par la technique daisugi possède des qualités remarquables. Il est 140 % plus flexible que le cèdre standard, 200 % plus dense et plus résistant, et exceptionnellement durable.

Pratiques forestières durables

(Image : Instagram/unownedspaces)

Daisugi illustre les pratiques forestières durables en utilisant des méthodes d’élagage sélectif qui favorisent la régénération des arbres et la santé de la forêt à long terme.

Importance culturelle et historique

(Image : GreenQueen)

Le Daisugi contribue non seulement à la préservation des forêts, mais revêt également une importance culturelle et historique en tant que technique forestière japonaise traditionnelle transmise de génération en génération.

L’héritage de l’innovation

(Image : Instagram/unownedspaces)

L’héritage du daisugi met en valeur l’ingéniosité des anciennes pratiques forestières japonaises, soulignant l’importance des approches durables dans la gestion des ressources pour les générations futures.

Pratiques forestières durables dans le monde entier

(Image : Canva)

Dans le monde entier, diverses cultures ont développé des pratiques forestières durables, proches de la technique japonaise Daisugi. En Europe, par exemple, des méthodes telles que le taillis et l’écimage sont utilisées depuis des siècles. Le taillis consiste à couper périodiquement les arbres jusqu’à leur base pour favoriser les nouvelles pousses, tandis que l’écimage est similaire, mais consiste à couper plus haut sur le tronc. Ces pratiques permettent une récolte continue des mêmes arbres, garantissant ainsi un approvisionnement durable en bois. En outre, dans les régions tropicales, les pratiques agroforestières combinent l’agriculture et la sylviculture pour créer des systèmes d’utilisation des terres plus diversifiés, plus productifs et plus durables. Ces méthodes ne fournissent pas seulement du bois et d’autres produits forestiers, mais contribuent également à la conservation de la biodiversité, au piégeage du carbone et à l’amélioration de la santé des sols.




Comment les Rockefeller ont mis la main sur l’écologie et le green business

[Source ; Cercle Aristote – Pierre Yves Rougeyron]

Nous avons tous entendu parler des grandes compagnies pétrolières et de leur rôle présumé dans la politique de lutte contre le changement climatique. Mais vous seriez surpris si vous saviez ce qui se passe en coulisses. Jacob Nordangård est un chercheur indépendant et un auteur suédois qui a étudié et écrit sur la complexité de la politique mondiale, la gouvernance mondiale, la création de problèmes et de solutions. Dans cette conférence, il donne des informations sur l’influence des Rockefeller dans la recherche et les politiques climatiques.




Le Pacte mondial des maires et les villes de 15 minutes

[Source : favoris-alcyonpleiades via etresouverain.com]

L’avocate canadienne Lisa Miron parle des villes de 15 minutes et de la progression rapide du coup d’État contre la démocratie au niveau municipal.

Elle parle d’une organisation appelée « Global Covenant of Mayors » — il y a 13 000 villes dans le monde qui suivent les ordres d’un gouvernement de l’ombre — et ces maires suivent des ordres qui ont à voir avec le « changement climatique ». Ils dressent des inventaires de CO2.

Et ils ont découvert que la solution qu’ils entendent mettre en œuvre d’ici 2030 est celle des « interventions sur la consommation ». L’objectif est de 0 kg de viande par personne et par an. Elle dit qu’ils résoudront le problème du changement climatique en nous affamant.

[Voir aussi (en anglais) :

https://www.globalcovenantofmayors.org/our-cities
Liste des villes françaises impliquées pour l’instant :
Acigné
Agglomération Seine-Eure
Aix-Marseille Metropole
Ambazac
Amiens
Amiens Métropole
Angers Loire Métropole
Annecy
Annemasse Les Voirons
Ay-Champagne
Bayonne
Besançon
Betton
Béziers
Bordeaux
Bordeaux Metropole
Bougival
Bourg-La-Reine
Bourgbarré
Bourges Plus
Brécé
Brest Métropole
Bruz
Caen
Capesterre De Marie-Galante
Carrieres-sous-Poissy
Castelnau-Le-Lez
Celles
Cesson-Sévigné
Chalon-Sur-Saône
Chambéry Métropole
Changé
Chantepie
Chartres-De-Bretagne
Châtellerault
Chavagne
Chelles
Chevaigné
Cintré
Clermont-Ferrand
Cluses
Colmar
Communauté D’Agglomération De La Rochelle Et Ville De La Rochelle
Communauté D’Agglomération De Nevers
Communauté d’Agglomération de Niort
Communauté D’Agglomération Du Muretain
Communauté D’Agglomération Du Pays Châtelleraudais
Communauté D’Agglomération Pau Béarn Pyrénéés
Communauté De Communes Au Pays De La Roche Aux Fées
Communauté De Communes Carmausin-Ségala-Carmausin
Communauté De Communes Centre Tarn
Communauté De Communes Cordais Et Causse
Communauté De Communes De La Vallée De Chamonix-Mont-Blanc
Communauté De Communes De Marie-Galante
Communauté De Communes Monts-D’Alban Et Villefranchois
Communauté De Communes Pays Des Sorgues Monts De Vaucluse
Communauté De Communes Val 81
Communauté De Haute Provence
Communauté Urbaine De Strasbourg
Communauté Urbaine Toulouse Métropole
Corps Nuds
Côtes d’Armor, 11 communes en action(s)
Coudekerque-Branche
Coulaines
Dieppe Maritime
Dijon
Dunkerque Grand Littoral
Echirolles
Epinal
Forbach
Fréjus
Gévezé
Grand Angouleme
Grand Besancon
GRAND CHATELLERAULT
Grand Dole
Grand Lyon
Grand Paris Seine Ouest
Grand-Bourg De Marie-Galante
Grand-Montauban Communauté d’Agglomération
Grande-Synthe
Grenoble
Grenoble-Alpes-Metropole (La Métro)
Guipel
Hennebont
Illkirch-Graffenstaden
Ivry Sur Seine
L’Haÿ-Les-Roses
L’Hermitage
La Bastidonne
La Chapelle-Thouarault
La Couronne
La Mézière
La Rochelle – Communauté D’Agglomération Et Ville
Lambersart
Langouet
Langrolay-sur-Rance
Le Gouray
Le Havre
Le Perray-en-Yvelines
Le Rheu
Le Verger
Léhon
Les Mureaux
Lille
Lille Métropole
Lons-Le-Saunier
Loos-En-Gohelle
Loperhet
Lorient
Lorient Agglomération
Lyon
Marseille
Melesse
Merville
Métropole du Grand Paris
Metz
Montgermont
Montmélian
Montpellier
MONTPELLIER MEDITERRANEE METROPOLE
Montreuil
Montreuil-Le-Gast
Mordelles
Mulhouse Alsace Agglomération
Mundolsheim
Mûrs-Erigné
Nantes Metropole
Nice
Nice Côte D’Azur
Nouvoitou
Noyal-Châtillon Sur Seiche
Oberschaeffolsheim
Orgères
Orléans Métropole
Pacé
Parc Naturel Régional Du Haut-Jura
Paris
Parthenay De Bretagne
PAYS DE L’ALBIGEOIS ET DES BASTIDES
Pays De Montbéliard Agglomération
Pessac
Plaine Commune
Plaintel
Plélan-le-Petit
Plémet
Pleslin-Trigavou
Plessala
Plouasne
Plouër Sur Rance
Plumaugat
Poissy
Pont-Péan
Prin-Deyrançon
Quetigny
Quimper
Quimper Communaute
Rennes
Rennes Métropole
Roubaix
Rouen
Saint Etienne Métropole
Saint Germain-en-Laye
Saint Jacques De La Lande
Saint Samson Sur Rance
Saint-Brieuc Armor Agglomération
Saint-Erblon
Saint-Germain-sur-Ille
Saint-Gilles
Saint-Gondran
Saint-Grégoire
Saint-Juvat
Saint-Louis De Marie-Galante
Saint-Médard-Sur-Ille
Saint-Symphorien
Salies
Saulnes
Schiltigheim
Seclin
Sénart
Sète
Sèvres
Strasbourg
Taden
Thionville
Thorigné-Fouillard
Toulouse
Trébédan
Tregueux
Trémereuc
Vezin-Le-Coquet
Vignoc
Ville De Tours
Villers-sur-Mer
Villeurbanne
Vouneuil Sur Vienne
Liste des villes canadiennes impliquées pour l’instant :
Annapolis Royal
Baie-Saint-Paul
Beaconsfield
Boucherville
Brampton
Bridgewater- Ns
Burlington
Caledon
Calgary
Candiac
Canmore
Canton de Lochaber-Partie-Ouest
Cape Breton Regional Municipality
Chatham-Kent
Commission de services régionaux Nord-Ouest
Communauté rurale de Haut-Madawaska
Courtenay
District of Saanich
Durham
Edmonton
Fredericton
Gatineau
Guelph
Halifax
Halton Hills
Hamilton
Kingston
Kitchener
La Sarre
Laval
London- On
Longueuil
Mississauga
Moncton
Montréal
Mount Pearl
Nanaimo
New Glasglow
North Vancouver
Oakville
Orangeville
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Villes intelligentes ou politiciens corrompus ?

]






Le climat comme arme sanitaire

Le Climat, c’est la Santé !

[Source : bam.news]
Par Réginald De Potesta De Waleffe

Après une tentative désastreuse de gérer la « crise COVID » et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte : Le Climat !
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Depuis « l’Appel à une action d’urgence pour limiter l’augmentation de la température mondiale, restaurer la biodiversité et protéger la santé »1, publié le 4 septembre 2021 dans les pages du Lancet, et le nouveau « narratif » publié ce mois‑ci avec le soutien de la Fondation Rockefeller (dès sa fondation en 1913, la Fondation Rockefeller2 est directement à l’origine de l’ordre sanitaire international avec l’Organisation d’Hygiène à la SDN3) : « Act on Climate — Our Lives Depend on It. A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health »4 prépare les esprits à faire du climat la probable septième Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI), auparavant réservée aux pandémies : coronavirus (2020), Ebola (2018 et 2014), Zika (2016), poliomyélite (2014) et H1N1 (2009).


Tels sont les critères d’une USPPI : une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue, avec des implications sanitaires dépassant les frontières, et qui nécessite une action internationale immédiate5. L’urgence climatique coche toutes les cases pour le Parlement européen qui la déclare en 20196, ou pour l’Archipel du Vanuatu en 20227, sauf que la mer ne monte pas assez vite et le plan d’évacuation8 d’urgence négocié avec l’Australie tombe à l’eau9.

Qu’à cela ne tienne, la situation est pire (sic) que toutes les urgences précédentes10 ! En outre, dès avril 2020, l’OMS et de nombreux commentateurs n’ont cessé d’établir des parallèles entre la crise climatique et ladite pandémie de coronavirus11, comme en atteste le nom du partenariat que la Fondation Rockefeller a noué avec l’OMS : « Partenariat contre les pandémies globales à l’ère du changement climatique »… tout un programme.

Et ça tombe vraiment bien, car aucune maladie ne semble plus pouvoir être étrangère aux conséquences directes de nos émissions de CO212, un peu comme si toutes les affections respiratoires étaient étiquetées « COVID », mais cette fois‑ci, en « climat ». La boucle est bouclée. La santé de tous dépend de tous. Les animaux vecteurs de maladies se déplacent, les vagues de chaleur, incendies, inondations impactent l’eau, le cheptel et les cultures et donc directement la santé humaine. Ce refrain est repris en chœur par les acteurs de la gouvernance mondiale, l’OMS1314, l’ONU15, le Forum Économique Mondial16, les lobbies et les ONG écologistes. Ces dernières sont considérées, à tort, comme l’émanation d’une volonté populaire, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins qu’un racket aux bons sentiments financé largement par les fortunés « sauveurs de l’humanité » comme Rockefeller, Getty, Gates ou Soros pour n’en citer que quelques-uns1718, plutôt que par les contributions des petits donateurs.

La lutte contre le réchauffement climatique anthropique (RCA) n’est plus une menace pour les générations futures, mais passe pour la réalité aux conséquences directes sur la santé des écosystèmes (sic). Les populations les plus défavorisées en sont les premières victimes et « nous ne pouvons laisser personne de côté » (Leave no one behind).19 À votre bon cœur messieurs‑dames, si ce n’est pas pour vous, faites‑le au moins pour les autres… Cela ne vous rappelle rien ? La couverture de santé universelle est d’ailleurs inscrite au programme, avec identité numérique à la clé. C’est pour votre sécurité et si l’on s’y met tous, tout se passera bien, d’ailleurs on s’occupe de tout, vous avez déjà bien assez à faire avec l’inflation, le terrorisme, le retour de la guerre froide, les punaises de lit (quand ce ne sont pas les effets indésirables20 des injections et leur composition…).

Les dernières marches avant le Sommet

1. La COP28 : La Santé d’abord21

La prochaine COP débute ce 30 novembre. Elle est consacrée cette fois à l’avancée du plan d’action et mettra l’accent sur la » santé climatique ». C’est le moment choisi par l’OMS pour affirmer ses prérogatives et d’en faire une COP Santé. Quelques jours avant l’ouverture de la 28e conférence des parties, l’OMS a publié son cadre opérationnel pour construire des systèmes de santé résilients au changement climatique et à faibles émissions de carbone22 concomitamment avec un épais rapport du Lancet en faveur d’une réponse climatique centrée sur la santé23 en guise de caution scientifique.

Risques climatiques pour la santé et les systèmes de santé (source : OMS nov. 2023)

2. Recommandation du Cadre Sendai pour la COP2824

Le processus de Sendai concerne la réduction des risques de catastrophes, avec cinq priorités :

  • Comprendre les risques de catastrophes, tout enregistrer, tout voir, tout modéliser ;
  • Renforcer la gouvernance des risques de catastrophes pour mieux les gérer ;
  • Intervenir en temps réel sur tous les paramètres opérables ;
  • Investir dans la réduction des risques de catastrophes aux fins de la résilience ;
  • Renforcer l’état de préparation aux catastrophes pour intervenir de manière efficace et pour « mieux reconstruire » (Build Back Better) durant la phase de relèvement, de remise en état et de reconstruction.

Les négociations pourraient rendre ce cadre d’action mobilisable même en l’absence de catastrophe, et donc par prévention d’un désastre majeur, comme pourrait en être accusé à tout hasard le dioxyde de carbone, ce fertilisant vital et source unique d’oxygène issu de la photosynthèse. Un bilan carbone imposé à tous les agents économiques permettrait une quantification rigoureuse et le contrôle de ces émissions.

Les discussions se poursuivent à Dubaï jusqu’au 12 décembre.

3. Nouvelle « Convention et Accords de l’OMS » (CA+) prévu le 24 mai 2024. « Santé pour la paix et paix pour la santé »

Le premier Règlement Sanitaire International (RSI) a été établi en 1951. Révisé en 1969, 1981 et 2005, le travail d’une nouvelle mouture a débuté sur le thème « Santé pour la paix et paix pour la santé » qui tire les enseignements de la période COVID.

Les négociations doivent aboutir à un nouveau traité « pandémies » et une réforme du Règlement Sanitaire International (RSI) établi en 2005. L’OMS aspire à des pouvoirs étendus et coercitifs pour remplir les missions qu’elle s’est données. Sauver la paix et le climat sont ses nouveaux défis.

Le projet de texte25 et ses amendements26 donnent à l’OMS le pouvoir de s’auto‑saisir dès lors que sont concernés les sujets suivants : la santé animale, la protection des écosystèmes, la santé humaine (le triptyque « One Health ») et le niveau de CO2. Et le discours climatique catastrophiste officiel couvre d’une manière très opportune ces quatre sujets.

À cela s’ajoute un financement permanent, le droit de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie, le droit de procéder à des confinements, d’activer le passeport vaccinal, d’accroître la surveillance des populations, de censurer, d’autoriser des traitements (d’en discriminer d’autres), de rendre obligatoires et d’organiser des vaccinations éventuelles, de sélectionner les fabricants autorisés, d’imposer une gestion centralisée éclipsant l’autonomie des États membres, souveraineté des États aussi éclipsée par la signature possible d’une partie prenante supérieure (par la définition extensive de partie par le nouveau traité). Ainsi, dans l’éventualité où l’Union européenne serait partie signataire, la Commission européenne, de plus en plus autoritaire (cf. la prolongation de 10 ans des glyphosates) pourrait faire appliquer le nouveau traité aux États membres.

L’opposition à ces développements regroupe les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil qui ne voient pas d’un bon œil le tournant unilatéral des hautes instances de l’OMS. Tout récemment le nouveau Premier ministre slovaque s’est formellement opposé à ce nouveau traité, l’accusant de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique27. Nous saurons après la prochaine réunion de l’Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) qui se déroule du 4 au 6 décembre s’il y a un « consensus mondial » suffisant pour la ratification aux deux tiers, ce dont il est encore raisonnable de douter, quoique beaucoup d’efforts ont dû être fournis pour huiler les rouages de ces négociations.

Outre l’opposition de certains pays, des citoyens et des organisations se mobilisent. Alertée par la disparition des dernières versions du traité de la « pleine considération pour la dignité, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes », CitizenGO, a pu rassembler non moins de 333 500 signatures d’opposants au CA+ de l’OMS en 8 jours à peine.28

Senta Depuydt (Children’s Health Defense) suit ce dossier de très près. Elle appelle à une sortie de l’OMS. Une présentation détaillée qui vaut le détour est disponible sur son site Substack29.

4. Préparation du Sommet pour le Futur en septembre 202430

Un autre processus pourrait également aboutir à une prise de contrôle centralisée au nom d’une urgence planétaire.31

La désignation de menaces systémiques globales s’est toujours accompagnée d’appels à une réponse internationale où les antagonismes et les souverainetés étatiques doivent s’effacer au nom du bien commun et partant, nous conduire à une gouvernance globale : notre agenda commun !

En 2012, dans la foulée de Rio+20, trente-deux scientifiques signent une tribune dans Science : L’urgence planétaire appelle une gestion globale et une gouvernance mondiale. Elle passe par la réforme en profondeur des institutions nationales et internationales32.

Pour faciliter cette transformation et éviter la catastrophe, la Global Challenges Foundation est fondée en 2013. Elle publie un rapport33 qui liste douze menaces fatales pour l’humanité et appelle à une coopération renforcée. Elle fonde un prix de 5 millions de dollars pour l’élaboration d’un plan pour une O.N.U. 2.0. : “The New Shape Prize is the first ever attempt to invite the whole world to come up with the best possible innovative ideas of how we can find a New World Order”, Johan Rockström, Davos 2018.


En 2015, Futur Earth34 établit les bases de l’architecture de cette nouvelle gouvernance globale. La même année, la Commission on Global Security, Justice & Governance produit un rapport35 sur la crise de la gouvernance mondiale. Ses recommandations pour relever les défis majeurs (défaillance des États, prévention des conflits, réchauffement climatique, sécurité de la cyberéconomie…) passe par un dialogue global et, ô surprise, une réforme des institutions internationales.

Quelques mois plus tard, l’Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU) dresse l’Agenda 2030 et les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la rosette arc‑en‑ciel orne la boutonnière des Young Global Leaders. L’année 2015 est couronnée par les Accords de Paris de la COP21 et le cap du Net Zero pour 2050 grâce aux marchés d’échanges du carbone, le nouvel étalon de la consommation limitée par votre Pass Carbone.


En novembre 2018, Emmanuel Macron préside la fondation du Forum de Paris sur la Paix36. Les lauréats du New Shape Prize y présentent leurs travaux. La liste des fondateurs et partenaires laisse rêveur : UNESCO, U.E., FMI, World Bank, Rockefeller Foundation, Bill & Melinda Gates Foundation, Carnegie Foundation, Open Society, Microsoft, Amazon, TikTok… Ses travaux sont focalisés sur l’amélioration de… la gouvernance mondiale.

En 2019, l’ONU appelle un plan d’action sur 10 ans pour répondre aux ODD.

En 2020, l’OMS déclare l’USPPI COVID et dans la foulée Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, publie son livre où il appelle un Grand Reset pour lequel le COVID présente « une fenêtre d’opportunité que nous ne pouvons pas rater »37, une répétition générale donc ?

En réponse, les 16 et 17 septembre 2020, le Forum de la Gouvernance Mondiale se tient en virtuel, COVID oblige, avec ce mot d’ordre : « Dessiner une feuille de route pour le futur que nous voulons, pour les Nations Unies dont nous avons besoin ». À cette occasion est constituée une Commission sur la Gouvernance Climatique, soutenue entre autres par la Fondation Rockefeller38, et chargée d’émettre des suggestions de réformes au système global. Ces commissionnaires se voient aussi confier la tâche d’émettre des propositions pour concrétiser la gouvernance mondiale au Sommet pour le Futur. En cas de déclaration d’état d’urgence, ils suggèrent la mise en œuvre d’une plateforme dédiée pour répondre de manière concertée à un choc global.

« Six limites planétaires sur neuf ont été dépassées »39.

Lors de l’AGNU de septembre dernier, la Commission a produit un rapport pour gouverner l’urgence planétaire40 et déclarer que 6 limites planétaires sur 9 qui ont été scientifiquement identifiées sont dépassées (les neuf limites planétaires sont le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, les changements d’utilisation des sols, l’acidification des océans, l’utilisation mondiale de l’eau, l’appauvrissement de la couche d’ozone, l’introduction d’entités nouvelles dans l’environnement — pollution chimique — et l’augmentation des aérosols dans l’atmosphère)41 ! Elle déplore tant l’absence d’initiative au sommet que le manque de réactivité de la société civile qu’elle appelle à se mobiliser pour exiger les évolutions nécessaires. Dès lors, elle recommande que l’AGNU déclare à l’occasion du Sommet pour le Futur une urgence planétaire et convoque une plateforme d’urgence pour coordonner une action concrète42 : L’établissement d’un tableau de bord général pour surveiller les neuf limites planétaires, ses fonctions vitales, ses paramètres et tous nos faits et gestes en temps réel pour assister la gestion du système Terre. Un rapport intermédiaire sera présenté à la COP28.

L’U.L.B. organise une journée d’étude complète et une conférence en soirée sur le sujet des urgences planétaires ce mercredi 13 décembre43.

The Digital World Brain “Neural techniques that invalidate free will”, Jacob Nordangård, octobre 202344

Le plan est déjà prêt

A Big Plan for a Small Planet a été élaboré par la Global Commons Alliance portée par le Club de Rome, le Forum Économique Mondial, le Rockefeller Philanthropy Advisors, la Global Challenges Foundation parmi 70 autres organisations contrôlées par de riches donateurs. Il s’agit d’accélérer le changement de système pour préserver le bien commun (sic)… et voler toutes vos libertés. La formule est simple,une commission planétaire qui établit des objectifs basés sur la science, qui informe les instances qui déclenchent les changements systémiques idoines, lesquels sont évalués en temps réel grâce à l’internet des objets et des corps par la fée intelligence artificielle (sic)45.

« The warming of the climate is no longer merely, or primarily, an environmental issue. It is an energy issue; a business issue; an investor issue; a moral issue; a security issue; an agricultural issue; a coastal issue; a religious issue; an urban issue; in short, a global issue that touches every conceivable facet of human existence. It is a matter of universal concern that cuts across party lines, religious affiliations, class divisions, and demographic distinctions. Therein lies our current opportunity. »

Annual report Rockefeller Brothers Fund 200546

Il faut prendre l’Agenda annoncé au sérieux. Pour empêcher les catastrophes qui nous menacent, il nous faudrait tout mesurer, tout contrôler, tout piloter. Le narratif nous emmène tout droit vers l’état d’urgence : limites planétaires, pandémies, climat et guerres, rien ne va plus. Depuis l’entrée en scène médiatique de Greta Thunberg et son intronisation47 au World Economic Forum de Klaus Schwab, l’urgence climatique et sa litanie de catastrophes inondent les médias officiels. La société tout entière est appelée à entrer en transition comme on entre en religion48. Il ne s’agirait en fait que d’entériner un état de fait.

On nous répète inlassablement que les conséquences du réchauffement seront pires que celles du COVID49. Ce qu’il faut comprendre de cette phrase, c’est que les mesures que l’on s’apprête à prendre seront pires que celles de la précédente USPPI COVID. Progressivement, les droits humains s’effacent du cadre des négociations de la gouvernance des risques.

Les aspirations à une gouvernance mondiale ne sont pas des phénomènes récents, mais plutôt le résultat de décennies d’efforts orchestrés par de riches fanatiques désireux d’accroître leur contrôle sur les populations. Ces derniers engrangent patiemment les bénéfices d’une emprise croissante sur les institutions internationales tout en imprégnant tous les pans de la société de leur idéologie. Leur influence est majeure dans le financement des universités et des fonds de recherche. Cela façonne ainsi le récit propagé par les médias sous leur influence et leur permet, à coup d’ingénierie sociale, d’imposer leur vision d’un monde angoissant et au bord de l’effondrement. Cette soif de contrôle pourrait bien atteindre un tournant décisif avec les développements de la cybernétique où la biologie fusionne avec le monde digital dans un grand tout hyperconnecté. L’identité électronique50, la géolocalisation, le bilan carbone convergent vers l’établissement d’un modèle intrusif et liberticide, omniscient quant à chacun de nos faits et gestes. Ce cauchemar totalitaire imposera une biopolitique au nom du bien commun. Toutefois, derrière cette rhétorique altruiste se profile une menace réelle pour l’humanité. Même si on assiste à une forte montée du scepticisme climatique51 et qu’il reste encore quelques étapes importantes à franchir avant l’adoption d’un tel cadre supranational, il ne faudrait pas négliger les moyens considérables et la détermination implacable des intérêts qui le soutiennent, que ce soit au nom d’une menace réelle, imaginaire ou fabriquée.

« Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise,
ils créeront des crises pour violer vos droits ».

Samuel Stemmer

Réginald de Potesta de Waleffe
Pour BAM!





Des nouvelles de la France occupée

[Source : Brochu TV]

[Sujets abordés : élections en Russie ; bombardement de Gaza ; guerre en Ukraine ; les médias ; le mondialisme technocratique et son Intelligence artificielle ; le transhumanisme totalitaire ; l’écologisme antinaturel et ses éoliennes ; la pédophilie ; la drogue et les meurs dissolues dans le monde politique français ; l’envoi de troupes françaises en Ukraine ; etc.. ]




La plupart des plus beaux endroits des États-Unis ont été transformés en toilettes à ciel ouvert

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michael Snyder – 17 mars 2024

Il fut un temps où l’Amérique était un endroit magnifique. En tant que nation, nous bénéficions d’une grande beauté naturelle et les villes brillantes et propres que nous avons construites d’un bout à l’autre du pays faisaient autrefois l’envie du monde entier. Mais aujourd’hui, bon nombre des plus beaux endroits d’Amérique ont été littéralement transformés en toilettes à ciel ouvert. Permettez-moi de vous donner un exemple de ce dont je parle. Il y a quelques dizaines d’années, les plages californiennes étaient si spectaculaires que les touristes venaient du monde entier pour les découvrir. Aujourd’hui, les plages d’une partie du sud de la Californie ressemblent à des « toilettes portables » et ont été fermées pendant 700 jours d’affilée en raison des milliards de litres d’eaux usées non traitées qui se déversent dans l’océan Pacifique…

Les habitants d’une petite ville côtière de Californie ont déclaré qu’ils étaient « coincés dans des toilettes portables » après 700 jours consécutifs de fermeture des plages.

Depuis quatre ans, les habitants d’Imperial City, une petite ville située à 20 minutes de route de San Diego, sont exposés quotidiennement aux embruns et aux particules d’aérosol émanant de l’océan pollué.

Au cours des cinq dernières années, plus de 100 milliards1 de gallons d’eaux usées non traitées ont coulé dans le fleuve Tijuana, au Mexique, et se sont déversés dans l’océan Pacifique, pour finalement atteindre la ville côtière.

Pourquoi le gouverneur de Californie Gavin Newsom ne fait-il rien à ce sujet ? Pourquoi l’administration Biden ne fait-elle rien à ce sujet ? Un habitant de la région affirme que l’odeur des déchets humains est si forte la nuit qu’elle réveille les gens

Selon une étude de l’université d’État de San Diego, les métaux lourds, les produits chimiques toxiques et les bactéries détectés dans l’eau sont libérés dans l’air et persistent dans les sols.

Je suis plus frustré que jamais depuis que nous avons découvert que le produit se retrouve dans l’air. Il ne s’agit donc pas seulement de l’eau », a déclaré un habitant.

Dans des lettres de membres de la communauté appelant à une action, un résident a déclaré que l’odeur était « semblable à celle d’une toilette portable », si forte qu’elle le réveillait la nuit.

Pouvez-vous imaginer l’impact cumulé de toutes ces eaux usées si on les laisse continuer à s’écouler ainsi année après année ? Mais c’est peut-être ce que mérite le sud de la Californie. Les émissions de télévision et les films créés dans le sud de la Californie exportent notre « culture des toilettes » dans le monde entier, et le sud de la Californie est désormais littéralement transformé en toilettes.

Pendant ce temps, les conditions se détériorent rapidement sur la côte est également. Lorsque j’ai visité la ville de New York il y a un peu plus de vingt ans, tout était très propre et je me sentais en sécurité partout où je marchais. Mais maintenant, la circonscription d’Alexandria Ocasio-Cortez « est décrite comme ressemblant à un pays du tiers-monde »….

La circonscription d’Alexandria Ocasio-Cortez est décrite comme ressemblant à un pays du tiers-monde, après l’émergence d’une vidéo montrant des rues couvertes d’ordures et envahies par des migrants.

Les images prises par Ramses Frias, un habitant du Queens, montrent deux rues dans les quartiers de Corona, Jackson Heights et Elmhurst.

La vidéo montre les rues de la région débordant d’ordures, tandis que les migrants installent des marchés aux puces improvisés où ils vendent des vêtements.

L’avenue Roosevelt est également connue comme le « marché des amoureux », avec des vidéos virales montrant de présumés travailleurs du sexe dans les rues du quartier.

Bien sûr, il n’y a pas que sa circonscription qui se dégrade rapidement. Dans un procès de 15 millions de dollars récemment intenté, il est allégué qu’un établissement Burger King de la Grosse Pomme2 a été transformé en un « bazar de la drogue en plein air »…

Un Burger King de New York a fait l’objet d’une action en justice de 15 millions de dollars à la suite d’allégations selon lesquelles le fast-food se serait transformé en « bazar de la drogue à ciel ouvert ».

Le restaurant, situé au 106 Fulton Street dans le Financial District, a été attaqué en justice par Kevin Kaufman, 69 ans, résident de longue date et cinéaste, qui a qualifié la rue de « quartier en crise ».

Selon l’action en justice, obtenue par le New York Post, M. Kaufman a ciblé cet emplacement et le bureau de coopération de Burger King, les accusant d’avoir violé la loi de l’État sur les nuisances privées.

L’anarchie est monnaie courante sur le site : des photos de toxicomanes et des vidéos de bagarres sont publiées en ligne.

Une fois de plus, nous voyons le mot « anarchie » utilisé pour décrire ce qui se passe dans nos plus grandes villes. Combien de fois, au cours des derniers mois, ai-je mis en garde contre le fait que ce pays devenait « sans foi ni loi » ? En fait, dans un article que j’ai rédigé et qui était l’un des articles vedettes de Zero Hedge dimanche, j’ai déclaré que « l’Amérique devient un peu plus anarchique chaque jour qui passe ». À Oakland, la criminalité a tellement empiré que certains propriétaires d’entreprises menacent ouvertement de ne pas payer d’impôts…

Un nombre croissant de propriétaires d’entreprises de la région de la Baie déclarent ne plus vouloir payer d’impôts après qu’une série de cambriolages et de vols leur a donné l’impression que la ville n’en faisait pas assez pour les protéger.

Les commerces d’Oakland, en Californie, ont été victimes de vols et d’attaques au cours des derniers mois.

« Nous avons peur pour nos vies », a déclaré Nestor Sanchez, gérant de Cybelle’s Pizza, selon un reportage de KTVU.

Au cours des dernières années, des milliers et des milliers d’entreprises ont quitté nos grandes villes ou ont fermé définitivement leurs portes. Dans certains cas, des pâtés de maisons entiers ont été barricadés. Nous apprenons maintenant que des centaines de magasins Family Dollar vont être fermés, ce qui va créer encore plus de bâtiments vides…

Family Dollar, la chaîne de magasins discount en difficulté qui s’adresse à des clients à faibles revenus, principalement dans les villes, a annoncé mercredi qu’elle allait fermer près de 1 000 magasins.

Des années de mauvaise gestion et de mauvaises conditions dans les magasins ont nui à la marque Family Dollar. Family Dollar, qui appartient à Dollar Tree, a récemment été condamné à une amende de plus de 40 millions de dollars pour une infestation de rats dans un entrepôt qui a contraint des centaines de magasins à fermer temporairement.

L’inflation élevée depuis des décennies a durement frappé les consommateurs, et le recul général de la consommation a eu un impact sur les clients de Family Dollar et sur les bénéfices de la chaîne, exacerbant ainsi sa lutte avec des concurrents discounters tels que Dollar General, Walmart et d’autres.

En outre, la réduction des prestations du programme d’aide à la nutrition (Supplemental Nutrition Assistance Program, ou SNAP) a laissé aux familles en difficulté jusqu’à 250 dollars de moins par mois. Les magasins discount et les entreprises de biens de consommation disent avoir ressenti l’impact de cette perte.

Pendant ce temps, chaque mois, des centaines de milliers de personnes extrêmement désespérées affluent à notre frontière méridionale. Selon Axios, « plus de 8 millions de demandeurs d’asile et d’autres migrants vivront aux États-Unis dans un vide juridique d’ici la fin du mois de septembre ». Le décor est planté pour des troubles civils d’une ampleur absolument épique, et nous sommes à quelques mois de la saison électorale la plus tumultueuse de toute notre histoire.

Ce n’est pas pour rien que j’ai intitulé mon dernier livre « Chaos », car c’est exactement ce que nous allons vivre. Les personnes qui dirigent ce pays le ruinent systématiquement. Tout ce que nos ancêtres ont construit avec tant d’acharnement est en train de s’effondrer, ce qui devrait nous attrister profondément.


1 1 gallon = 3,785 411 784 litres

2 Surnom de New York




Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

[Source : Bertrand SCHOLLER]

Par Bertrand Scholler

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire.

Ne pas oublier les armes de destructions massives en Irak et les couveuses au Koweït, on cherche encore les deux, mais plus d’un million de civils irakiens sont morts, mais le pétrole n’est pas perdu pour tout le Monde.

Les Casques Blancs en Syrie étaient les meilleurs amis de Fabius, le nouveau pote de Macron, ils étaient toujours les premiers sur les sites d’attaques chimiques… dont on attend toujours les preuves.

S’ils étaient plongeurs, eux auraient peut-être trouvé les coupables de Nord Stream, contrairement aux Danois et Suédois, qui se sont déclarés bredouilles. Les Allemands en récession ont arrêté l’enquête faute de budget.

Maidan… c’était évidemment un moment populaire, une histoire de petits pains et de madeleines Allbright…

Biden a été le Président le mieux élu de l’histoire des USA, mais il ne s’en souvient plus, son fils non plus ; il pense justement être le votre président de quelqu’un, mais on ignore de qui. Il n’est pas le seul à être diminué là-bas, par l’âge, et chez nous en Europe par l’incompétence, la bêtise et la fatuité.

Le Covid, vous savez ce truc qui a provoqué l’arrêt de la planète, c’est un pangolin, le vaccin devait sauver, car c’était un acte d’amour… et le PCR, ce truc si intrusif, c’était pour chercher à la base du cerveau, un virus ou sa trace, alors qu’une seule goutte (dans la salive) pourrait tuer un cluster entier (oups le mot anglais que tout le Monde a appris… mieux que Love) comme, par exemple, les passagers de tout un paquebot… au large du Japon.

La Russie est désignée pour avoir commencé une guerre en févr. 2022, car tout le Monde a oublié les accords de Minsk, car des civils russophones au Donbass y étaient sous les bombes depuis 2014.

Que dire de Butcha… c’était évidement les Russes et leur esprit illogique à se tirer une balle dans la paix qu’ils recherchaient depuis si longtemps et croyaient avoir trouvé enfin, eux si content et naïf, d’avoir signer un accord avec annexes, avec les Ukrainiens… c’était compter sans Macron qui voulait cette guerre longue et que les Russes passent pour des bouchers.

Et aussi… le 7/10 ce sont des centaines de mecs en sandales et parapentes qui ont déjoué la sécurité du pays le mieux protégé du monde, en sortant armes de canifs et de Kalashnikov (de collection) de leur ghetto sous blocus et surveillé par des drones, des espions et des informateurs… pour aller couper des bébés et les cuire dans des fours, mais aussi je ne sais pas quoi encore//évidement ça rappelle le 11/09 et tout le monde l’a dit et répète… le 7/10 c’est le nouveau 11/09 (les Égyptiens n’ont qu’à bien se tenir… Netanyahu fera l’enquête après avoir fini ce que la CIJ rappelle un génocide).

Puis dans le complot… on a monté d’un cran avec Navalny… qui cette fois a vraiment été tiré, mais comme la mort a eu lieu ça ne peut pas être les Russes ; ils ratent à chaque fois avec les poisons… Si c’était… une grande compagnie pharma, la CIA et une future veuve éplorée à Munich qui devient l’alliée numéro 1 de l’Ukraine de Zelensky et d’Israël de Netanyahu (l’un, car on repense à lui… et l’autre, car on l’oublie) ?

Que penser de ce qu’a démontré #AaronBushnell, qui en s’immolant a prouvé que tout est mensonges et manipulations, doubles langages et doubles standards… Que n’était-il pas un LGBT+ iranien réfugié en France et qui s’immole devant l’embrassade d’Iran ou un trans ukrainien qui fait de même devant l’ambassade russe à Paris ?

AARON BUSHNELL a montré que ce ne sont que faux semblants et inversions accusatoires.
LES MORTS NE SE VALENT PAS.
LES MARTYRS NON PLUS.
Mais à Gaza ils l’ont compris dans leur chair.

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

Et tout commence avec les sorciers de Babylone.
Les Khazars puis… bientôt dans une capsule.




Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État

[Source : Off Investigation]

Entre Niort et La Rochelle, s’étend sur 100 000 hectares le parc naturel du Marais poitevin, deuxième zone humide de France. Depuis quelques années, il est asséché et pollué par des cultures intensives de céréales irriguées par des « mégabassines » massivement subventionnées par les pouvoirs publics. Pour Off investigation et Reporterre, la réalisatrice Clarisse Feletin a rencontré les principaux acteurs de cette guerre de l’eau et confronté les pouvoirs publics à leurs responsabilités. Elle en a tiré ce documentaire de 55 minutes, second épisode de la saison 2 de notre série « Emmanuel, un homme d’affaires à l’Élysée ».




Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara TRUTH NEWS

Le dernier COMBAT de l’Humanité contre les Élites technocratiques et transhumanistes / SOUTENONS NOS AGRICULTEURS, ÉLEVEURS, PÊCHEURS !

Introduction

https://www.kla.tv/28044

Déjà deux grands pays agricoles qui, face à l’UE et aux gouvernements traîtres de leur pays, ont décidé de monter un parti politique INDÉPENDANT des Agriculteurs Eleveurs.

IRLANDE :

https://www.farmersalliance.ie/

PAYS-BAS

https://www.theguardian.com/environment/2022/nov/18/dutch-pro-farming-party-fires-up-the-anti-establishment-vote

https://www.lifesitenews.com/opinion/the-dutch-farmers-have-created-their-own-political-party-and-its-doing-well-in-the-polls/

ÉCOSSE : ras-le-bol des Agriculteurs éleveurs !

https://expose-news.com/2024/01/25/scottish-farmers-protest-weve-had-enough/

Les IRLANDAIS et NÉERLANDAIS ONT BIEN COMPRIS que le but n’est pas seulement pour leurs gouvernements via l’UE de promouvoir l’importation de produits dévalorisant les leurs, ou de les asphyxier de RÉGLEMENTATIONS et de TAXES et NORMES ou d’augmenter le prix du Gaz oil.

LES INDIENS SE REBIFFENT AUSSI ( Février 2024 ) :

https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/xqux0xq

En fait cela VA BIEN AU-DELÀ : sous prétexte d’« agenda VERT » et « préserver des espèces », sous prétexte d’arrêter le azote « des bouses de vaches », d’amoindrir « le méthane et le CO2 émis par le bétail », les Élites du WEF/ONU/OMS/UE/AGENDA 21 VEULENT SUPPRIMER L’AGRICULTURE et l’ÉLEVAGE TRADITIONNELS.

DOCUMENTAIRE :

https://www.theepochtimes.com/epochtv/nofarmersnofood-5390883

Le prétexte du CO2

Toutes ces absurdités de pollution CO2 ou méthane par ces pauvres bêtes ou par l’agriculture sont évidemment des faits manipulés et sans rapport aucun avec un « global warming » ou « des gaz à effets de serre » dont NI L’HOMME, NI LES ÉLEVAGES, NI LES CULTURES ne sont RESPONSABLES. Ni au Néolithique ni au 21e siècle.

Étant donné que le « méchant CO2 » de AL GORE EST UNE MONUMENTALE ARNAQUE (DOCUMENTÉE) inventée au CLUB DE ROME dès 1972 pour RÉDUIRE LA CROISSANCE, DÉPOPULER, BRIMER, CONTRÔLER l’AGRICULTURE, SAISIR LES TERRES ET PARQUER au final le bétail HUMAIN :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/ LIMIT TO GROWTH — CLUB DE ROME — 1972

Des variations de températures et du CO2 existent depuis des millénaires et sont dus à des influences de la planète Terre et du système solaire sur le climat de la Terre, pendant des milliers d’années et cela est documenté et prouvé.

https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui

Les causes de variation du climat « dues à l’activité humaine », même celle de L ’ère industrielle, sont négligeables, en tant que valeurs de CO2 en plus ou en moins.

De plus, le CO2 est BON POUR LES PLANTES ET LA PLANÈTE.

Seuls BILL GATES et ses adeptes disent le contraire. Sans preuve. Comme le GIEC.

Bill Gates qui rachète des milliers d’hectares de terres agricoles, de prairies, tandis que les exploitants conduits à la ruine ou au suicide s’en vont.

Pendant ce temps, la réalité agricole

Pendant ce temps les traités de Libre Échange avec l’autre bout du monde sont établis, prouvant l’hypocrisie de l UE et de son « Agenda Vert ».

Pendant ce temps des milliers de poulets ukrainiens ou de pays lointains gavés d’hormones et d’antibiotiques sont déversés sur le marché français, sans étiquette sur les conditions d’élevage, sans informations au Consommateur, ruinant la filière volaille française.

Pendant ce temps l’Agro-industrie ou la Grande Distribution achète un kilo de patates 40 cm et le revend 3, 90 euros ou plus en supermarché..

Idem pour le LAIT les ŒUFS la VIANDE les FRUITS, etc.

Pollution électromagnétique et électrique

Pendant ce temps et pendant cet enfumage « Green Agenda » des centaines d’éleveurs perdent leurs veaux, vaches, poulets, œufs à cause des ANTENNES RELAIS 4G/5G, des ÉOLIENNES et lignes haute tension, tout le VIVANT étant hypersensible à la pollution électromagnétique.

Tous les pollinisateurs et Oiseaux disparaissent à cause de cette pollution EMF intense de micro-ondes sur tout l’environnement, cela est prouvé par plus de 10 000 études scientifiques :

https://www.5gspaceappeal.org/

La seule pollution réelle du 21e siècle est : CHIMIQUE, NANOTECHNOLOGIQUE, ONDES EMF et PLASTIQUE, elle ne vient pas de « gaz à effet de serre »

IRLANDAIS ET NÉERLANDAIS sont en avance sur les « agriculteurs français »

Car ils ont BIEN COMPRIS que le VRAI BUT c’est de les CHASSER de leurs terres et REPRENDRE LES TERRES pour l’AGENDA 21 / 2030 du WEF ONU (dans l’AGENDA 21, c’est BUT des ÉLITES)

Que l’alimentation échappe à l’humanité, aux paysans, aux fermiers, et soit sous total contrôle de LOBBIES, DE SCIENTISTES comme BILL GATES et dirigeants auto proclamés de la planète comme SCHWAB et son WEF, comme l’OMS et L’ONU… Pour passer de l’alimentation traditionnelle à des aliments modifiés par la Biotechnologie, la génétique, l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels.

L’invasion numérique

L’agriculture doit selon eux être renouvelée en « SMART FARMING » par le Numérique, la robotisation avec des Algorythmes à la Production au moyen de l’Intelligence artificielle, des drones, du traçage numérique via 5G, des « bio-sensors » dans les animaux, des colliers 5G au cou des vaches, etc..

Évidemment les petits producteurs et éleveurs locaux ou traditionnels doivent être éliminés d’office et ce sont les grands ou les très grands qui vont avoir droit à ce « Smart Farming », à ce « Great Reset des pommes de terre et des vaches » (mon image).

Altération biologique par les vaccins et les OGM

En ce qui concerne les vaccins pour les élevages :

ONU ET OMS ont mis en place un programme récent et DANGEREUX pour les GÉNOMES NATURELS, nommé « ONE HEALTH » qui lie la santé humaine directement à la santé animale, avec un programme mondial de « vaxins » biotechnologiques ou à « ARNm » pour tout le monde (tous les animaux, poulets, humains, poissons, poussins, tomates, salades, etc.)

https://www.woah.org/fr/ce-que-nous-faisons/initiatives-mondiales/une-seule-sante/

« Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. » 

(Source)

Suppression du naturel pour imposer l’artificiel

L’OMS prévient et prétend que l’alimentation, les fermes, les cultures sont néfastes pour l’humanité et la planète !!

Et je vais vous dire ce qui est prévu pour vous et vos enfants, si nous laissons faire et si les agriculteurs et fermiers et pêcheurs disparaissent ou sont empêchés de produire de bonnes choses ou obligés pour les restants d’OBÉIR a des NORMES technocratiques sans fin qui leur feront rendre la Clef des Champs.

D’abord il y a aura une FAMINE MONDIALE OU en tout cas de très sévères RESTRICTIONS ET PÉNURIES pour que ces élites diaboliques puissent faire « le Great Reset des Pommes de terre et des vaches » (c’est une image) et que votre droit à s’alimenter soit sous contrôle d’un ID numérique polyvalent (Identité, Energie, transports, santé et vaccins, « compte bancaire » de monnaie numérique, Alimentation)

Bien sûr la « SOLUTION » « SOLEIL VERT » ARRIVERA DU WEF de l’UE, de TOUS LES GOUVERNEMENTS AUX ORDRES et de l’OMS :

  • Manger des insectes !
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/01/16/lunion-europeenne-veut-vous-faire-manger-des-vers-et-des-insectes-pour-sauver-la-planete/

  • De la viande de chanvre ou de compost
  • De la viande artificielle de BILL GATES poussée en labo ou imprimée en 3D
    Le marché en pleine expansion de la viande artificielle est également dominé par un très petit nombre de géants de l’agroalimentaire qui, eux aussi, sont détenus par BlackRock et Vanguard.
  • Des légumes OGM, aseptisés et VACCINÉS
    Oui vous avez bien lu, VACCINÉS et ainsi soi-disant résistant au « Climate change ».
  • Des FRUITS « VACCINÉS »
  • Du LAIT OGM
    Bien sûr de vaches « VACCINÉES » à ARNm
  • Du lait VÉGÉTAL aussi toxique que l’autre avec des plantes OGM à la base (soja OGM, Riz transgénique, etc.)

Rarement, très rarement, vous aurez droit à du poisson d’élevage ou du vrai poulet ou du bœuf VACCINÉS à VACCINS ARNm pour « votre sécurité », les achats étant décotés de vos points sur votre PASS CARBONE.

GRAPHÈNE, PEG et QUANTUM DOTS sont déjà présents dans toute l’alimentation industrielle : rien que cela produit une altération, une corruption évidente de la biologie (voire des ADN), celle des animaux, de L’HOMME et même des plantes, des poissons, des crevettes, des pommes, des salades, des légumes, etc.

Un quota de protéines animales à ne pas dépasser, sera attribué à chacun, associé à ton pass CARBONE.

Objectif : dépopulation et contrôle

Ainsi le « monde d’après » PSYCHOPATHIQUE du « WEF & CO » compte bien contrôler une population dépendante, sans accès a la nourriture à l’ancienne, une population pucée, vaccinée, hybridée, parquée dans des Smart Cities ou « villes 15 min » sous 5G/ 6G, avec un pass carbone, un ID Numérique et un réseau nano intracorporel graphène/quantum dots/ Luciferase et donc neuromodulable par les ondes, pour le lier au CLOUD et à l’IA à jamais où votre ID Numérique vous permettra ou pas d’acheter votre ration alimentaire.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/19/liran-lance-le-rationnement-alimentaire-couple-a-un-systeme-didentification-biometrique/

Un Transhumain robotisé et obéissant, ne « possédant rien, mais étant heureux », sous le SOMA multiforme du BRAVE NEW WORLD 2.0

« Qui contrôle l’ALIMENTATION
et les terres contrôle le MONDE »

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines.

MANIFESTO « UNABOMBER 2030 »

Chers Paysans, fermiers, éleveurs nous vous soutenons, mais allez vous enfin dire le FOND du PROBLÈME ? Qui est que le WEF veut VOS terres, qu’ils veulent contrôler tous les peuples en contrôlant l’alimentation et la propriété privée (et les annihiler pour leur « monde d’après »), parquer l’Humain dans des villes 15 min sous 5G, dans un monde tout numérique, une vie quasi virtuelle et sans âme, sans plus de contact entre l’Homme et la Nature…

Un de leurs buts premiers pour cela étant d’arriver à exproprier les paysans fermiers, éleveurs, en les poussant au désespoir par la coercition, les taxes, les normes, la misère financière puis les exproprier et récupérer les terres quasiment pour rien. Ce que fait BILL GATES de manière exponentielle. Cet agenda a commencé il y a des décades.

Ils font actuellement semblant de favoriser le BIO, mais ce n’est qu’un stade 1, pour « normer » plus et pourrir la vie et les revenus des non-bios et vice versa.

Mais sachez que favoriser le bio et l’autonomie alimentaire d’un pays d’une région ou d’une famille n’est PAS LEUR AGENDA.

A la place, ils souhaitent une alimentation sous contrôle, au mieux OGM et Production en agrochimique, mais ils veulent AUSSI et FONT déjà de nouveaux vaccins sur les élevages qui se retrouvent vaccinés avec QUOI ? Avec les nouveaux vaccins à ARN m de type vaxin covid (graphène, poisons, métaux, etc.. )

PROGRAMME ONE HEALTH ONU/OMS

Au stade suivant, ils veulent proposer une alimentation de plus en plus synthétique de LABO, viande, légumes et fruits OGM « vaccinés », tout cela soi-disant « antiCO2 », les aliments étant sous Patentes et Propriété des Industriels.

Bien sûr toutes semences naturelles et reproductives qui sont déjà attaquées de tous bords seraient interdites, hors la loi.

Pour cela une bonne « famine pandémique » qui bien sûr serait mise sur le dos du « climate Change » et non sur l’extermination systématique des exploitations par leurs politiques, offrirait le motif et c’est LEUR AGENDA

Quand on voit que ces ÉLITES osent dire que « produire ses propres légumes potagers, produit 5 fois plus de CO2 que l’industrie agricole », TOUT EST DIT !!

ILS MENTENT BIEN SÛR. Y en a-t-il qui sont assez stupides pour les croire ? OUI, des jeunes biberonnés au smartphone, addicts au smartphone et aux vidéos sans intérêt, avec un QI en constante baisse, ne connaissant plus rien de la vie, de la Nature, du monde réel et… C’ETAIT LE BUT.

Solution ?

Comment faire tomber un système aussi puissant ? Je ne sais pas.

Au moins dénoncer et faire savoir

Mais déjà il faut le dire haut et fort, en LE nommant précisément, pas juste parler des normes ou du fait que la vie est dure.

Elle est dure parce qu’une pieuvre au-dessus de tous les gouvernements et même de L’UE dicte un agenda génocidaire, transhumaniste et inhumain de dépopulation, ennemi de TOUT ce qui fait de nous des humains.

Ce même Agenda au final et contrairement à leurs dires de façades et aussi contre la Nature. La Nature originelle que nous aimons et qui nous soutient et nous nourrit, ils n’en veulent pas, car elle ne peut être ni patentée ni contrôlée, ni exportée sur Mars.. Ils la modifient donc de toutes les manières possibles.

Leur délire transhumaniste d’Homme augmenté par la technologie est réel, la Nature augmentée ou « Transnature » envahie de biologie synthétique et de nanobots est leur rêve absolu (voir AVATAR)

« Alors qu’une série d’incendies détruit soudainement des usines de transformation alimentaire, de viande et d’engrais, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir, un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. …

L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … »

La base d’action des Élites du Club de Rome et leurs successeurs transhumanistes :

La base trompeuse est AGENDA 21 ou AGENDA 2030 un vaste MENSONGE de longue date et très organisé déployé globalement et localement, avec des déclarations alarmistes sur le « global warming », le « climate change », Agenda qui prétend ne vouloir que du bien à la nature et à l’humanité, mais c’est tout l’opposé.

Qui ne parle pas bien sûr des Armes climatiques servant à perturber le climat, stations HAARP, profusion de chemtrails, armes à énergie dirigée ou DEW weapons, canons à micro-ondes, pulsage d’ondes ELF très basses fréquences dans l’atmosphère et l’Ionosphère, satellites 5G en basse orbite (Starlink, One web, One Earth, etc.) tours 5G décimatoires du vivant = ces armes sont si puissantes qu’elles servent à faire à la demande : Ouragans amplifiés, incendies, griller des forets ou des villes ciblées au choix (Californie, Australie, Maui, USA, Canada, monde) activer des tremblements de terre, des tsunamis, des inondations, des précipitations massives ou créer des sécheresses artificielles terribles, faire neiger au Sahara ou en Inde, créer de la neige artificielle, des tornades, etc.

L’Agenda 21 / 2030

L’Agenda 21 / 2030 for « sustainable development » [développement durable] est l’outil parfait de manipulation mentale pour faire faire à l’Humanité ce que l’on veut qu’elle fasse. En fait c’est le Great Reset promu par Schwab, ONU et FEM travaillant en partenariat.

C’est contre l’HUMANITÉ et contre les animaux d’élevage, voués au massacre vaccinal et à une drastique réduction du nombre de bêtes sous prétexte d’« azote, de méthane, de CO2 » produit par les vaches ou les poules !

Présentation EN FRANÇAIS de « Agenda 21 » par ROSA KOIRE.

VISIONNER :



AGENDA 21 AGENDA 2030 : LE BUT

Dans AGENDA 21/ 2030 les ZONES préservées de NATURE sans AUCUNE ACTIVITÉ HUMAINE sont prévues constituer 70, voire 80 % de la surface des terres de la Terre

Un pourcentage des terres serait autorise avec « activité humaine » sous contrôle TRÈS strict

Un autre petit pourcentage des terres serait ULTRA peuplé : ce sont les zones URBAINES CONCENTRÉES et en fait concentrationnaires ou 98 % de la population mondiale doit être poussée à vivre dans un environnement terrible de tout numérique, basé SUR UN ID NUMÉRIQUE avec passeport carbone, passeport vaccinal, alimentation, monnaie numérique, déplacements 15 MN maxi, avec 5G / 6G à tous les coins de rue et dans les domiciles.

Je précise que ce n’est pas que pour les USA, c’est global.

le CO2 et le « climate change » servant AUSSI DE PRÉTEXTE à cet agenda URBAIN de « VILLES INTELLIGENTES » [SMART CITIES] SOUS CONTRÔLE NUMÉRIQUE et ANTENNES 5G/6G + AI

L’addiction des gens des jeunes des enfants au smart phone, au WIFI et l’acceptation du tout numérique, de la monnaie numérique, d’un ID Numérique, de la 5G de la 6G est la BASE ET LE SEUL MOYEN POUR EUX D’INSTAURER CE « GREAT RESET » GLOBAL et LOCAL.
C’est ainsi que le smart phone a été mis dans les mains de la population mondiale, ce n’était pas pour vous libérer, même s’il est très utile au départ, ainsi que l’Internet (voué à être sous contrôle total), mais au final pour vous enfermer.

J’espère que les agriculteurs ont bien conscience qu’ils sont ou vont être manipulés par les syndicats, les gouvernements et certains meneurs, ne rien lâcher, dénoncer le WEF haut et fort, faire tomber Bruxelles

N’obéir à personne. C’est le dernier combat : la liberté, l’humanité et la Nature OU le Transhumanisme, la fin de l’humain et de l’animal naturel et de notre civilisation millénaire, quelque soit le pays et l’ethnie.

Par contre que ces paysans arrêtent de dire qu’ils veulent avoir droit a plus de pesticides à cause de la « concurrence » déloyale étrangère, car c’est contre eux, contre nous, contre les pollinisateurs et contre la terre et le Vivant au final.

Qu’ils COMMENCENT aussi par se rendre compte que les « vaccins » pour leurs bêtes deviennent à présent des armes biologiques destructrices de même TYPE que les vax covid, institués et imposés globalement par le programme ONE Health de OMS ONU qui est déjà en cours !

Qu’ils arrêtent de les « VACCINER » avant que tout déraille au niveau génétique.

Qu’ils vendent au peuple de la nourriture saine, produisant peut-être un peu moins, mais à UN prix PLUS élevé pour eux à la vente, qui les fera VIVRE et sera bien au-dessous de ceux de la grande distribution.

Comment ? Sans les gros intermédiaires Leclerc et compagnie, sans Nestlé, Danone, Lidle, Carrefour, Auchan et sans UE et sans syndicats. 

Sans intermédiaires, que le peuple leur achète leur production, dans les villages, les villes, sur les routes, partout.

Une révolution pacifique globale aussi majeure ne peut avoir lieu que par une conscience aiguë des buts réels du WEF dont l’UE n’est qu’un des petits exécutants, agenda qui avance par stades, masqués, sauf pour ceux qui étudient avec acuité leurs documents et plans.

Lire aussi : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/06/09/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/

extrait :

La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est en cours — s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.

L’histoire en un coup d’œil :

  • La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
  • Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine.
  • L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
  • Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
  • À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.

Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. »

AUTRE ARTICLE RELIÉ : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/11/maladie-guerre-et-famine-le-troisieme-cavalier-du-mondialisme-approche-au-galop/

Autre très bon article : https://nouveau-monde.ca/larme-alimentaire-cest-ce-qui-relie-les-protestations-paysannes-lagenda-2030-et-lattaque-contre-lalimentation/

Theara TRUTH NEWS, 27 janvier 2024

Manifesto « Unabomber 2030 » par Theara
FRANCE

Article de Theara, directement RELIÉ à celui-ci :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/

Plus de nombreux autres articles de Theara sur le Great Reset, L’Agriculture et l’Élevage et le Transhumanisme, sur Pro Fide Catholica :

https://profidecatholica.com/?s=Theara+

À suivre : partie 2. (https://lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/2024/02/04/le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches-partie-2/
ou « UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité)




Les chimères totalitaires de la transition écologique pour « sauver la planète »

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine

Depuis près de 20 ans nous sommes submergés par une propagande écologique qui prétend que la planète serait en danger à cause des émissions de CO2 et que nous, français, pourrions la sauver en acceptant toutes sortes de restrictions de nos libertés fondamentales dans notre vie quotidienne. Il s’agit d’une chimère totalitaire au service de lobbys financiers motivés par la volonté d’augmenter leurs bénéfices et d’instaurer une société de contrôle à la chinoise.

[Voir aussi :
Sauver la planète ?]

La planète ne risque rien de l’Homme, mais l’Humanité peut craindre beaucoup des écologistes

Quoique nous fassions la planète nous survivra plusieurs milliards d’années. Ce n’est pas l’Humanité qui menace l’existence de la terre, mais seulement l’évolution du soleil qui l’absorbera lorsqu’il se transformera en géante rouge (dans environ 5 milliards d’années). Même si la folie de certains de nos dirigeants aboutissait à une guerre nucléaire massive, détruisant toute vie humaine, la planète Terre ne serait pas menacée. La vie végétale et certaines espèces animales survivraient comme lors des cataclysmes précédents dont le plus célèbre a entraîné la disparition des dinosaures. Prétendre que l’existence de la planète Terre serait mise en danger par l’activité humaine ne constitue qu’un énorme mensonge, dont seule la répétition permanente dans tous les médias depuis de nombreuses années, confère un semblant de vraisemblance.

Cette propagande écologique massive constitue en réalité le moyen de faire accepter aux crédules des restrictions absurdes de nos libertés fondamentales, comme l’a été, en son temps, la peur du covid, et de nous forcer à réaliser des dépenses très discutables (subventions pour éoliennes, achat de voiture électrique, travaux d’isolation et de transformation de nos chauffages, destruction de l’agriculture à taille humaine au profit de l’agroalimentaire industriel, etc.) pour le bénéfice des lobbys qui les soutiennent.

La destruction de notre qualité de vie ne peut pas diminuer les émissions mondiales de CO2 !

La France émet moins de 1 % du CO2 mondial. Ni la Chine, ni l’Inde, ni les pays pauvres ne veulent réellement réduire leurs émissions, préférant améliorer la vie de leur population que de faire plaisir au GIEC, comme le démontre l’absence d’objectif chiffré et de date de sortie du pétrole dans le récent accord de la COP 28 à Dubaï. Le Global Carbon Project présenté à la COP28 de Dubaï constate d’ailleurs une fois de plus son échec «les émissions de dioxyde de carbone dans le monde ont encore augmenté cette année… avec une hausse de 1,1 % par rapport à 2022, et de 1,4 % par rapport à 20191en particulier en Chine et en Inde ». Et comme la France ne compte qu’un peu plus de 67 millions d’habitants et les autres des milliards, les émissions continueront d’augmenter, quels que soient nos efforts.

Tout ce que les écologistes et notre gouvernement imposent à la population n’aura donc strictement aucun impact positif sur la situation mondiale. En revanche les contraintes de moindre émission entraînent la destruction de notre industrie et de notre agriculture qui imposent des importations d’autres continents, aggravent la déforestation et la pollution par le transport maritime responsable à lui seul de 3 fois plus d’émissions carbone que notre pays. Les mesures contraignantes dont nous souffrons ne constituent en réalité qu’une exportation de la pollution, et globalement l’aggravent au niveau mondial. Nos efforts peuvent être vertueux et exemplaires, ils seront totalement inefficaces, voire contre-productifs au niveau planétaire. S’ils se soumettent aux diktats écologiques, les Français ne sauveront pas la planète, mais vivront de plus en plus mal.

La voiture électrique n’est ni propre ni durable, et son obligation socialement discriminatoire

La motorisation électrique des voitures exige des batteries de plus en plus nombreuses, puissantes et lourdes utilisant beaucoup de métaux rares (comme le cobalt), souvent extraits par des enfants et raffinés à l’aide d’énergies fossiles polluantes. Leur recyclage est difficile et actuellement très polluant. De plus, la fabrication des voitures électriques émet aussi beaucoup de CO2. Si l’on tient compte de l’ensemble du cycle de vie (de la fabrication au traitement des voitures en fin de vie), la comparaison des émissions de CO2 des voitures électriques et thermiques donne des résultats variables selon les études, et un scénario de l’ADEME donne même l’avantage à la voiture thermique2.

Le Jury de Déontologie Publicitaire a conclu que la voiture électrique ne peut pas être considérée comme « écologique »3 ou « propre »4 et le réseau Sortir du nucléaire5 6 estime que ce qu’il appelle « atomobile » ne peut être considéré comme durable.

La circulation des voitures électriques est moins bruyante et moins polluante que ses homologues thermiques, mais pose aussi le problème non résolu de la concomitance des recharges lors du retour au domicile après le travail et de la nécessaire adaptation de la production et du réseau de distribution électrique. Si l’objectif de 75 % des véhicules électrifiés était réalisé, leur recharge en même temps, vers 19 heures, nécessiterait une puissance supplémentaire de 90 GW, soit presque le double de la demande de pointe actuelle !

Les mesures de promotion de la voiture électrique, extrêmement coûteuses pour nos impôts, ont été décidées avec une pseudo-justification climatique sans bilan carbone global objectif. Les politiques l’utilisent pour attirer les votes de la partie de la population trompée par la propagande écologique permanente, comme en leur temps celle pour les pseudo vaccins covid présentés comme sûrs et efficaces. D’ailleurs de nombreux pays voisins ont décidé d’arrêter cette incitation trop coûteuse d’intérêt trop incertain.

Mais leur prix toujours trop élevé, leur autonomie réduite, le trop long temps nécessaire pour recharger le véhicule et l’instauration de taxes sur les véhicules électriques comme en Australie, en Norvège, au Danemark, et bientôt en Suisse et en Belgique, freinent dès maintenant les ventes7. Actuellement seulement 9 % des Français interrogés choisiraient une voiture électrique comme prochain véhicule8 9 et cette petite minorité se caractérise par son statut de citadin socialement privilégié.

L’interdiction des voitures thermiques décrétée par les verts se heurte progressivement au réel. Les sénateurs s’inquiètent des conséquences sociologiques sur les classes moyennes menacées par le blocage des salaires et l’inflation10, et de nombreuses villes comme Marseille11 ou Paris12 doivent retarder leurs politiques de circulation discriminatoire envers les pauvres.

Les mesures écologiques aggravent dramatiquement la crise du logement

La crise du logement témoigne de l’augmentation des demandes et de l’effondrement de l’offre avec actuellement plus de 2,6 millions de ménages en attente de logements sociaux.13 Cette crise est en grande partie la conséquence des mesures voulues par les écologistes.

Les écologistes ont constamment favorisé et défendu l’immigration qui accroît les besoins de logements bon marché. Comme la natalité des Français de souche n’assure plus le renouvellement de la population autochtone, l’accroissement annuel de la population métropolitaine par environ 200000 migrants, constitue en effet le principal responsable de l’augmentation de la demande de logement.

Les interdictions écologiques réduisent dramatiquement l’offre de logements bon marché. L’interdiction de louer les logements énergivores, décidée par la loi Climat et résilience promulguée le 22 août 2021 interdit, à terme, la location de plus de 5,2 millions de logements classés F ou G au diagnostic de performances énergétiques dont tous les spécialistes14 15, y compris les ministres3

Bruno Lemaire16 et Christophe Béchu reconnaissent l’absence de fiabilité17 et ce dernier vient, le 31/1/24, d’annoncer sa refonte prochaine.

Cette interdiction visant à obliger les propriétaires à réaliser des travaux très coûteux pour des résultats énergétiques incertains, a été suivie par le retrait de la location de la grande majorité des 500000 logements classés G. Et si dans quelques années on persiste dans cette folie, c’est plus de 4 millions supplémentaires de logements qui seront interdits à la location. Cette politique écologique, purement punitive, multiplie les taxes et les interdictions et n’en prévoit jamais les conséquences souvent contraires aux objectifs affichés. Les mesures écologiques augmentant sensiblement les coûts de construction et d’entretien découragent les éventuels investisseurs privés.

Pour diminuer la crise, il faut inciter les investisseurs potentiels à préférer l’immobilier locatif aux placements boursiers alors que l’augmentation des coûts de la construction, de la fiscalité sur le bâti, le blocage des loyers, l’interdiction de louer les logements mal isolés et l’exigence de travaux très coûteux concourent à les décourager.

Vouloir fournir des logements bien isolés à des prix abordables est une excellente intention, mais tarir l’investissement privé par un ensemble de mesures qui pénalisent les propriétaires et retirer du marché plusieurs centaines de milliers de logements bon marché aboutit à priver de logements ceux qu’il faut protéger. L’effondrement de l’offre de logements locatifs est la conséquence directe d’une politique guidée par l’idéologie écologique. Mais peut-être que certains écologistes extrémistes veulent multiplier le nombre de SDF, car leur bilan carbone est excellent…

Croire que ces mesures coercitives sur les logements en France pourraient améliorer la situation climatique mondiale est totalement utopique. La France émet moins de 1 % des émissions mondiales de gaz carbonique dont 19 % attribués aux logements (soit 0,0019 du total mondial) et comme l’isolement des logements n’est pas forcément suivi de la baisse de consommation des énergies de chauffage18, ces mesures coûteuses ne pourront jamais obtenir le moindre effet mesurable au niveau mondial.

Au total, la crise du logement dont souffrent trop de jeunes Français dans les zones en tension n’est pas due aux locations temporaires ou aux résidences secondaires comme les médias le prétendent trop complaisamment, mais au dogmatisme écologique qui ignore le réel, augmente la demande en facilitant l’immigration et diminue l’offre en décourageant les investisseurs privés et en empêchant la location de nombreux petits logements. Si les politiques actuelles d’immigration et de fiscalité immobilière et du DPE ne changent pas fortement, la crise du logement va continuer à s’aggraver.

Les éoliennes, scandale financier et désastre écologique19

malheureusement promu par les pouvoirs publics qui multiplient les avantages en faveur des promoteurs : garantie des recettes sur 15 ans, priorité d’accès au réseau électrique, difficultés accrues des recours des citoyens, impuissance des préfets et des élus pour en interdire les implantations dommageables.

Scandale financier : en 9 ans les taxes sur notre facture d’électricité doivent financer 41 milliards d’euros pour les éoliennes. L’opérateur national EDF est contraint par la loi de racheter pendant 15 ans aux propriétaires 91 euros le kWh le courant produit par leurs éoliennes, soit près de 3 fois le coût marginal du kWh produit par les centrales nucléaires (33 euros le kWh) et ce sont les abonnés qui paient les dividendes des actionnaires des parcs éoliens. Cette filière ne crée que très peu d’emplois en France, car tous les éléments de ces engins métalliques sont fabriqués à l’étranger, ce qui de plus nous rend dépendants.

Scandale écologique : la dévastation de nos paysages — ces engins métalliques qui peuvent atteindre désormais 200 m de hauteur nécessitent environ 2 500 m3 de béton — suscite auprès des populations un rejet croissant et plus de 2000 associations se sont créées pour les combattre ! Dans un rayon de quelques kilomètres d’éoliennes, les habitations perdent entre 30 et 40 % de leur valeur. Ces éoliennes constituent un danger pour les chauves-souris et les oiseaux. La Ligue pour la protection des oiseaux, selon une étude publiée en 2017, estime que chaque éolienne tue en moyenne sept oiseaux par an. Leur démantèlement dont le prix est estimé à 450 000 euros risque de coûter cher aux communes dans 15 ou 20 ans, quand les promoteurs auront disparu.

En mer, la construction, le raccordement et l’exploitation de parcs éoliens représentent une menace pour les mammifères marins, les oiseaux et les communautés du fond marin. Pour fixer l’éolienne dans le sol océanique, on utilise dans la très grande majorité des cas (>80 %) un énorme pieu de 500 à 1000 tonnes d’acier enfoncé dans le sol marin pour résister aux courants et aux vents. Il faut ensuite installer des liaisons électriques sous-marines pour ramener l’énergie produite au poste de raccordement installé sur terre, ainsi qu’une base logistique, une infrastructure marine et terrestre qui bouleversent les milieux naturels à long terme. Le bruit des travaux et du fonctionnement des pales menace les baleines, dauphins et phoques, mais aussi les poissons.

En 2022, en France l’éolien a fourni 38 Terawattheures (TWH) soit 8 % de la consommation électrique (445TWH) et 2,5 % de la consommation totale d’énergie (1532TWH).

« La Ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili prétend que la majorité des français est en faveur des éoliennes. La vérité est que la majorité des Français ne dispose pas des informations pour se faire un avis éclairé sur le sujet » déclare Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France. «Sacrifier la biodiversité marine, notre meilleure alliée contre le changement climatique au prétexte de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre est un non-sens total ».

Les obligations écologiques tuent l’agriculture française

Les manifestations récentes des paysans et les informations diffusées à cette occasion montre jusqu’à quel point la folie écologiste peut aller.

Multiplication sans fin des normes : code rural, code de l’urbanisme, code de l’environnement, code du patrimoine, code de la santé publique, arrêtés locaux ou encore règles liées aux aides européennes de la Politique agricole commune (PAC) régissent l’entretien ou l’abattage des haies : 14 normes pour tailler une haie.

Exigences bureaucratiques de plus en plus chronophages. Pour obtenir le permis d’abattage d’un arbre, il faut généralement fournir : une copie de l’acte ou titre de propriété, des indications sur l’essence, la taille et l’âge de l’arbre, sa hauteur ainsi que la circonférence du tronc, un plan d’implantation des arbres à abattre avec photos datées et signées, la localisation des arbres ou de l’arbre sur un plan, des prises de vue d’ensemble de loin et des photos montrant les éventuels détails de l’arbre si nécessaire et un descriptif sur la santé générale de l’arbre à abattre… La vie d’agriculteur français comporte neuf à dix heures passées chaque semaine à gérer la paperasse administrative.

Multiplication incessante des contrôles parfois agressifs : contrairement à beaucoup de policiers municipaux qui ne sont pas armés, les 1 700 inspecteurs de l’Office français de la biodiversité (la police de l’environnement) créée en 2021 font leur contrôle avec un gros pistolet à la ceinture. Souvent peu informés de la réalité du terrain, sur dénonciation du voisinage ou de façon inopinée, ils n’hésitent pas à engager des poursuites au moindre écart : taille de haies à la mauvaise saison, destruction involontaire d’un abri de castor, tout peut devenir un motif de sanctions20 prononcées parfois à l’issue d’une enquête militante, soumise à des procureurs ignorants, s’appuyant au besoin sur de faux rapports d’expertise. Ainsi, en avril 2021, selon Le Point21, un pomiculteur grenoblois s’était vu accusé de pulvériser massivement un pesticide dangereux et d’avoir tué des insectes. Après le passage en garde à vue, une unique photographie et l’expertise étaient venues confirmer les accusations des agents de l’OFB. Mais cette expertise réputée objective était, en réalité, menée par un vétérinaire idéologue écologiste qui ne s’était même pas rendu sur les lieux. L’agriculteur s’était retrouvé condamné à 50.000 euros d’amende !

Chaque jour, des agriculteurs endettés et surcontrôlés qui croulent sous les normes et les formulaires se donnent la mort (529 en 2016). Chaque année, des centaines d’exploitations mettent la clef sous la porte faute de moyens et de reconnaissance. La folie écologiste organise la mort de l’agriculture paysanne pour laisser le marché aux géants mondiaux de l’industrie agroalimentaire.

Les protestations des agriculteurs et la menace d’une déroute des partis verts aux européennes proches ont contraint l’UE à réduire l’objectif de réduction des émissions agricoles de l’initiative « Net Zéro22 », de supprimer la demande de réduction de près d’un tiers des émissions d’azote, de méthane liées à l’agriculture, celle de réduire de moitié l’utilisation des pesticides et la recommandation invitant à manger moins de viande… La lutte paye !

La population de l’UE réalise peu à peu que la propagande de l’écolo-anxiété et le totalitarisme vert sont des outils de manipulation et de coercition, des prétextes pour réduire les droits et les libertés, bien plus que de réduire les pollutions23. D’ailleurs depuis le début du siècle, les plus de 6000 milliards de dollars consacrés à cette politique ont été inefficaces, puisque les émissions de CO2 ont augmenté de 50 % durant cette période pour une augmentation de température moyenne de 0,15° 24.

Certains partis politiques se rendent compte de l’inutilité et du coût extravagants des programmes de décarbonation. En Grande-Bretagne25, à quelques mois des prochaines élections, les travaillistes abandonnent les dépenses en faveur du climat et le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a supprimé le bonus à l’achat des véhicules électriques et a abandonné une taxe sur les chaudières à gaz.

En France, les annonces gouvernementales récentes sur la refonte du DPE, la fin programmée des incitations financières pour les voitures électriques et le recul des dates de mise en place des zones à faible émission témoignent de la prise de conscience de l’impopularité, des coûts monstrueux et de l’inutilité de ces mesures sur le climat de la planète.

Les chimères écologiques liberticides nous ont déjà trop coûté sans réel bénéfice mesurable. L’écologie oui, mais raisonnable et purement incitative, basée sur le respect des citoyens, de leur intelligence et de leurs droits fondamentaux.

Rappelons de surcroît que le rôle de l’Homme dans le discret réchauffement climatique est incertain, et que le CO2 est indispensable à la vie végétale, base de la vie sur terre, comme nous l’avons développé ailleurs.

Nos libertés sont plus importantes et plus bénéfiques que des interdictions basées sur des simulations biaisées destinées, comme au temps du covid, à créer la peur pour permettre à certains d’augmenter colossalement leurs bénéfices.





Sauver la planète ?

Par Joseph Stroberg

La conjugaison de la peur de mourir et d’une certaine connaissance des limitations de notre environnement terrestre a conduit un nombre croissant d’êtres humains à se lancer dans une cause idéologique, celle de la sauvegarde de notre planète. Cette cause qui sert parfaitement les mondialistes, comme excellent prétexte pour instaurer leur totalitarisme planétaire avec l’agenda 21 et ses différents corollaires, est largement stimulée par des activistes écologiques et par des scientistes du climat. Abusant de sophismes et d’incohérences manifestes, ces derniers ont fini de facto par créer un nouveau dogme de la religion technoscientiste et humaniste moderne, celui de l’effet de serre climatique1. Si leurs motifs peuvent sembler nobles, ils engendrent trop souvent des actions fanatiques et pourraient conduire au suicide de l’Humanité elle-même.

Depuis un peu plus de deux siècles, avec des prémisses légèrement antérieures à la Révolution française, l’Humanité a connu deux tendances évolutives, ou plus probablement « involutives » parallèles et liées dans une certaine mesure. La première est la destruction progressive et croissante des grandes religions (plus particulièrement du christianisme), à partir de leur état déjà relativement éloigné de leurs conditions et caractéristiques originelles. La seconde est la naissance de la science matérialiste moderne, progressivement remplacée à grande échelle par le scientisme. Celui-ci se fait passer pour de la « science », alors que le véritable esprit scientifique (caractérisé par le doute sain, l’observation, l’investigation et l’expérimentation) se trouve de plus en plus rarement, mais se voit au contraire remplacé par une collection grandissante de rituels procéduraux (appelés par exemple « protocoles » en médecine), de dogmes incontestables, de textes bibliques (« études » publiées dans les revues à comité de lecture, et manuels de référence) et de grands prêtres, d’idoles, de saints, de dieux…

Comme il semble qu’une des caractéristiques de l’Homme soit le besoin d’un système de croyances ou au moins de se faire une représentation interne, une image du monde, à défaut de pouvoir l’appréhender en totalité et de manière objective (ceci du fait même de ses capacités mentales et sens limités), la destruction des grandes religions ne pouvait alors que favoriser l’expansion du matérialisme scientiste technologique que l’on observe de nos jours à l’échelle planétaire. Cette nouvelle religion est mondiale, toute puissante, suivie par les grands de ce monde aussi bien que par la masse des peuples. Ses gourous, ses cardinaux et ses inquisiteurs sévissent autant dans les médias que dans les diverses chapelles scientistes (climatologie, virologie, épidémiologie, écologie, etc.). Les peuples la suivent par leurs multiples écrans ou interfaces avec le nouveau paradis divin : le monde virtuel informatique, l’univers artificiel des robots et du transhumanisme.

Une des croyances de cette nouvelle religion est que l’Homme est mauvais, qu’il pollue la Terre, qu’il se multiplie comme des lapins, et qu’il vaut mieux l’enfermer dans des cages (les villes 15 minutes qui se profilent à l’horizon), le stériliser et diminuer sa population grâce aux vaxins. Il faut lui retirer son libre arbitre en le soumettant à l’Intelligence artificielle programmée par les nouveaux dieux. Il faut pour cela le transformer en machine, réduire au maximum la taille de sa cage, la qualité et la quantité de sa nourriture et de ses ressources, son intelligence propre… Pendant ce temps, les dieux milliardaires pourront continuer à utiliser leurs yachts et leurs jets hyperpollueurs, habiter dans leurs nombreux châteaux, chasser animaux (et êtres humains) dans leurs immenses parcs naturels et forêts réservés, manger des aliments sains, biologiques, sans OGM et sans insectes…

Les activistes écologiques qui sont prêts à sacrifier leur train de vie et à vivre le martyre2 réalisent-ils que pendant ce temps et grâce à eux, les nouveaux dieux pourront créer leur paradis terrestre, alors que les masses soumises subiront un pseudoparadis artificiel à coup de graphène vaxinal et de drogues diverses généreusement dispensées par la sorcellerie pharmaceutique ? Réalisent-ils que par peur de la mort, ils vont droit au suicide ? Sont-ils conscients de l’incohérence de leur approche ?

Au lieu d’élever la conscience de l’Humanité pour notamment stimuler le sens de la responsabilité individuelle dans la vie collective, les nouveaux dieux et leurs idiots utiles ont stimulé les pires tendances humaines (l’égoïsme, la luxure, l’avarice, la gourmandise, la vanité, l’orgueil…) pour subordonner la vie individuelle à un prétendu intérêt collectif qui n’est en définitive que celui des milliardaires. Ils l’ont réalisé par la destruction progressive de la famille, des valeurs traditionnelles, de l’instruction scolaire, puis des nations.

Si la planète est un être vivant que l’on voudrait « sauver », est-il pour autant besoin de le faire en sacrifiant l’Humanité ? Est-ce même cohérent ? Cette idée que l’Homme serait un virus pour la Terre, un méchant microbe tout juste bon à la détruire provient directement de l’hypothèse pourtant scientifiquement réfutée de l’existence de méchants germes (bactéries et virus) tout juste bons à rendre malades et à tuer les êtres humains, les animaux et même les plantes. Pourtant, dans le même temps, la nature démontre tout autre chose : notre corps lui-même vit en symbiose avec des milliards de bactéries (dans son microbiome) et lesdits « virus » sont des composants cellulaires endogènes3 habituellement conséquences des agressions diverses subies par les cellules, selon les découvertes scientifiques d’avant-garde en biologie, rejoignant en cela celles d’Antoine Béchamp ; et d’autre part, les plantes elles-mêmes vivent en symbiose avec des champignons et des bactéries4. Sans ces symbioses, ni les plantes ni les êtres humains ne pourraient survivre. Ce sont elles qui permettent notamment l’assimilation de certains nutriments indispensables à l’organisme. L’Homme apporte des aliments aux bactéries et en retour ces dernières lui permettent d’assimiler des nutriments dans les intestins et de se purifier de toxines. Il existe également une telle collaboration dans les règnes végétal et animal. Dans cette même optique, l’Homme peut parfaitement vivre en symbiose avec la Terre.

Les élites milliardaires ont préféré donner vie aux fraudes pasteuriennes et à sa perception négative de la vie, plutôt qu’au paradigme de Béchamp qui lui avait eu une démarche réellement scientifique et honnête. De nos jours, toutes les erreurs et les errements qui en découlent sur le plan de la santé humaine, animale, végétale et planétaire sont propagés du fait de la mainmise des nouveaux dieux sur les systèmes « éducatifs » et médiatiques mondiaux, facultés de médecine et universités incluses. Et comme il ne faut surtout pas les remettre en question, les grands-prêtres et les inquisiteurs écartent les gêneurs par le discrédit (« complotistes », « antivax », « extrémistes de droite », « antisémites », « négationistes »…) et par l’interdiction des thèses et des pratiques alternatives (spécialement en médecine et dans le domaine du climat).

Un « Nouveau Monde » qui ne soit pas en fait le « Nouvel Ordre Mondial » sera possible, non pas par le sacrifice inutile de l’Humanité, mais par sa participation pleine et active à sa création, ce qui impliquera probablement de faire tomber les pseudodieux de l’Olympe, ceci en leur enlevant tout pouvoir de nuisance et en n’écoutant plus leur chant de sirènes. S’il est souhaitable de modérer grandement l’esprit consommateur, hédoniste, gaspilleur et infantile moderne, ceci gagne à se faire non pas par la coercition, le mensonge, la manipulation et des prétextes, mais par l’enseignement, en particulier par l’exemple. Ainsi, ce sont les dirigeants (théoriquement au service des peuples) et les divers guides de l’Humanité qui doivent commencer par réduire leur propre train de vie, cesser d’habiter dans des palaces, de voyager dans des jets privés, de chercher la jouissance de multiples biens matériels… Et les peuples gagneraient de leur côté à ne se doter de chefs ou de guides que parmi les plus humbles, les réellement humbles, pas ceux qui disent à longueur de temps « en toute humilité, je… ». L’humilité se mesure dans les gestes et les actes, pas dans les paroles, surtout lorsque celles-ci sont prononcées par des « langues fourchues ».

Vivante, la Terre peut survivre à la disparition de l’Humanité (de nombreuses espèces animales et végétales sont plus résistantes que l’Homme). Sur une Terre inerte, l’Humanité n’aurait qu’à se préoccuper de sa propre survie. Ce n’est donc pas tant de la survie de la planète dont l’être humain gagne à se préoccuper, mais de celle de l’Humanité, attendu que sa disparition découlerait de celle de sa conscience par sa transformation en machine. Un transhumain robotique perdrait sa conscience propre, deviendrait coupé du plan des âmes, perdrait la vie éternelle spirituelle et trouverait un enfer matériel multimillénaire, survivant dans la matière aussi longtemps que son corps mécanisé le permettrait. Quasi immortalité infernale et contrainte ici-bas, ou liberté éternelle dans l’au-delà ? Que souhaitons-nous pour nous-mêmes et pour nos descendants ?






Pas d’agriculteurs, pas de nourriture saine — La fin programmée des paysans

[Source : @Vivresainement]

Les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans les épiceries du monde entier, et certains dirigeants mondiaux affirment que cela est dû au changement climatique. Leur solution est l’Agenda 21, le plan directeur centenaire des Nations unies pour l’humanité et le XXIe siècle, qui est divisé en plans quinquennaux plus courts. Le plan actuel est l’Agenda 2030, qui vise à « transformer notre monde pour un développement durable », selon les Nations unies.

L’Agenda 2030 est actuellement mis en œuvre dans le monde entier. Aux États-Unis, il est mis en œuvre sous la forme de l’agenda 30×30 de l’administration Biden, un plan visant à rendre complètement inexploitables 30 % des terres américaines d’ici à 2030, ce qui a pour conséquence d’obliger les petits agriculteurs et les éleveurs à quitter leurs terres. Dans d’autres pays comme les Pays-Bas, les agriculteurs néerlandais sont contraints de cesser leur activité en raison des « politiques vertes » du gouvernement qui limitent les émissions d’azote. Au Sri Lanka, les agriculteurs luttent pour leur survie en raison de l’interdiction par le gouvernement des engrais synthétiques.

Alors que nous assistons à une guerre mondiale contre les agriculteurs, le Forum économique mondial et les Nations unies incitent les gens à manger des insectes comme solution pour réduire le changement climatique, la faim dans le monde et sauver la planète. Pourquoi les dirigeants mondiaux et même les célébrités font-ils soudainement la promotion des insectes comestibles ? Le gouvernement doit-il contrôler notre alimentation ? À quoi ressemblerait un monde sans agriculteurs ?

« Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : Mangerez-vous des insectes ? » est un documentaire original d’EpochTV qui expose les intentions cachées derrière les « politiques vertes » mondiales, les histoires inédites d’agriculteurs contraints de cesser leur activité, les perturbations que cela aura sur notre approvisionnement alimentaire, et pourquoi les insectes comestibles sont soudainement mis en avant en tant que « solution verte mondiale ».

Roman Balmakov, animateur de l’émission « Facts Matter »1 sur EpochTV, s’est rendu dans plus de 25 pays et a interviewé plus de 50 agriculteurs, scientifiques et experts aux États-Unis, aux Pays-Bas et au Sri Lanka pour découvrir la vérité derrière cet agenda mondial et enquêter sur la crise alimentaire mondiale à venir, qui est ignorée par les médias du monde entier.

L’histoire a tendance à rimer. Dans les années 1950, le dirigeant communiste chinois Mao Zedong a vendu au public le « Grand Bond en avant » sous la bannière du progrès, mais ses politiques ont conduit à la plus grande famine provoquée par l’homme dans l’histoire, avec plus de 50 millions de personnes mourant de faim. Les « politiques vertes » de l’ONU semblent présenter les caractéristiques d’un nouveau « bond en avant vert ». Elles peuvent sembler bonnes sur le papier, mais dans la pratique, elles sapent notre sécurité alimentaire, nos droits de propriété, nos droits à l’eau et représentent une menace existentielle pour nos libertés en tant que citoyens libres. Une citation célèbre dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle le peuple ».

Il est important que chacun regarde ce documentaire, non seulement pour savoir ce qu’il y a dans son assiette, mais aussi pour avoir les connaissances nécessaires pour prévenir une autre famine provoquée par l’homme à l’avenir et protéger ses libertés.

Source




1 « Les faits comptent », ou « L’importance des faits »




Davos tue l’agriculture pour financer la guerre

[Source : Chaîne officielle TVL]

Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. À l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. Les paysans ayant toujours été à leurs yeux une variable d’ajustement. Mais comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). La guerre en Ukraine et ses milliards de débouchés n’attendent pas. Par ailleurs, la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. Jean-François Auzolle revient en détail sur la PAC, le rôle de la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… (Des informations complémentaires seront mises en ligne sur lefalotier.fr à compter du 21 février)

[NDLR : concernant le Glyphosate,
voir https://www.mnhn.fr/fr/actualites/le-glyphosate-est-il-nefaste,
https://www.linternaute.com/actualite/societe/3925110-a-quel-point-le-glyphosate-est-il-dangereux-ce-que-dit-vraiment-la-science/,
https://theconversation.com/impacts-du-glyphosate-sur-la-sante-et-lenvironnement-ce-que-dit-la-science-75946,
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/pesticides-pourquoi-les-effets-du-glyphosate-sur-la-sante-sont-ils-encore-controverses-3703305]




Toulouse : une association retire 5 tonnes de déchets des berges de la Garonne en trois jours

[Source : epochtimes.fr]

[illustration : Parmi les nombreux déchets retirés des berges de la Garonne se trouvaient plus de 250 pneus. (Facebook/Champ d’actions)]

Par Nathalie Dieul

Les berges de la Garonne sont une véritable décharge sauvage, a constaté l’association Champs d’actions. En particulier sur l’île d’Empalot, derrière le casino Barrière de Toulouse, où quelques centaines de bénévoles ont récemment ramassé plus de 5 tonnes de déchets pour réhabiliter cette belle zone humide.

Plus de 250 pneus, plus de 80 seringues et bien d’autres déchets. « Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une telle décharge à Toulouse », explique à Actu Toulouse Florence Ducrocquetz, présidente de l’association. Habituellement, lors de ses activités, Champs d’actions récolte environ 600 kg de détritus, bien loin des résultats de cet événement mené sur deux fins de semaine, les 6, 7 et 14 janvier. « On a halluciné en voyant la quantité de déchets qu’il y avait », a ajouté la présidente.

Ces sept dernières années, l’association s’est donné pour mission de nettoyer les berges de la Garonne. Tout a commencé lors d’une simple promenade aux alentours de Gagnac-sur-Garonne. En découvrant une grande quantité de déchets, les fondatrices de Champs d’actions ont voulu « nettoyer ce petit îlot », puis « repartir tranquillement à notre vie », racontent-elles sur le site Internet de l’association. Mais c’était sans compter sur l’omniprésence des déchets ainsi que sur « le nombre croissant de personnes, d’entreprises et de structures prêtes à nous accompagner ».

C’est ainsi que Champs d’actions est née. « Nous sommes aujourd’hui plus de 20 000 personnes à être venues protéger notre fleuve », explique l’association qui a organisé près de 500 journées de ramassage depuis sa fondation, permettant de retirer plus de 350 tonnes de détritus de la Garonne.

« L’une des plus belles zones humides de Toulouse »

En apprenant l’existence d’une grande décharge sur l’île d’Empalot tout près du casino Barrière, « l’une des plus belles zones humides de Toulouse », Champs d’actions a décidé de mener une grande sortie pour éviter que ces déchets toulousains ne finissent dans l’océan. Début janvier, en annonçant les prochains événements, l’association lançait pour motiver ses troupes : « Si vous ne deviez participer qu’à une seule sortie en 2024, ce serait celle des 6 et 7 janvier 2024 ! »

C’est sur l’île d’Empalot derrière le casino Barrière de Toulouse que se trouve
la décharge sauvage nettoyée par Champs d’actions.
(Capture d’écran/Google Maps)

Deux journées intenses étaient prévues, de 10 h à 16 h. Au terme de la seconde journée, l’association annonçait avoir reçu l’aide de plus de 190 bras pour aider et qu’il allait falloir une troisième journée pour terminer le nettoyage, le dimanche suivant.

« Ce qui nous fait le plus de bien en tant qu’association, c’est de savoir que si on nous signale une décharge sauvage de malade sur les berges, en quelques jours, vous êtes des centaines à répondre présents et qu’ensemble, on est capable de régler le problème en quelques grosses heures de charbonnage et d’organisation », se réjouit Champs d’action.

« Un impressionnant dépôt sauvage »

Au total, plus de cinq tonnes de détritus en tout genre ont été sortis de la zone humide pendant ces trois jours. Il y avait plus de 250 pneus, des plastiques de toutes sortes, des produits toxiques, des piles, des ampoules, un minitel, des télévisions, des sacs d’amiante enterrés, etc. Plus de 80 seringues ont aussi été ramassées, ce qui constitue en soi un phénomène inquiétant puisque d’habitude, c’est seulement une dizaine de seringues qui sont récupérées lors d’une telle opération.

« Les berges sont un impressionnant dépôt sauvage », remarque Florence Ducrocquetz, qui s’inquiète en particulier de la pollution par les nanoparticules provenant de la dégradation des plastiques sur les berges de la Garonne. En effet, celles-ci se retrouvent dans l’eau bue par les habitants de la Ville rose.

« Chaque fois qu’on ingurgite des nanoparticules, les molécules organiques s’accumulent dans le corps et sont source de risques de cancer », souligne la présidente de l’association.




Les experts du Forum économique mondial déclarent les potagers des citoyens, responsables du désastre climatique

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

Les jardiniers amateurs sont-ils devenus les Voldemort du changement climatique, semant le chaos avec leurs radis et leurs salades ? À en croire les prétendus « experts » du Forum économique mondial (WEF), ses derniers semblent le penser sérieusement, affirmant que les potagers personnels sont la véritable menace qui pèse sur notre planète. Rien que ça !

[Voir aussi :
Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture
et
France — Le gouvernement veut-il interdire l’usage de l’eau de pluie dans les habitations et potagers ?]

Les potagers citoyens, nouveaux coupables du changement climatique ? Selon le WEF, cultiver sa nourriture génère une empreinte carbone alarmante.

Selon une étude récente du WEF, la simple action de faire pousser sa propre nourriture à la maison est apparemment devenue aussi diabolique que d’utiliser l’avion privé de Bill Gates à prix d’EuroMillions pour parcourir des milliers de kilomètres afin de raconter des conneries entourer de connards.

Les chercheurs, financés par le WEF de l’Université du Michigan, ont découvert que les aliments cultivés localement sont les ennemis publics numéro un de l’environnement, surpassant même la notoriété de Monsanto.

Les fanatiques mondialistes du climat, déjà déçus que les arbres ne participent pas aux forums internationaux, appellent maintenant les gouvernements à interdire aux citoyens de cultiver leur propre nourriture. Apparemment, il est temps de dire adieu à vos modestes plants de basilic sur le balcon et aux trois salades de mamie Simone, car ils sont désormais responsables de la fonte des glaces, des ouragans et des tsunamis.

Selon l’étude, les citoyens bien intentionnés et leurs petits jardins génèrent presque cinq fois plus d’empreinte carbone que les fermes traditionnelles. Oui, vous avez bien entendu, vos fraises maison sont maintenant des agents du réchauffement climatique, c’est comme planter des piles dans votre jardin.

Jake Hawes, le brillant esprit derrière cette découverte — qui a touché un peu de pognon au passage —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs. Apparemment, les plates-bandes surélevées et les cabanes à outils sont devenues des repaires secrets des émissions de carbone, conspirant silencieusement contre notre planète.

L’étude a également mis en garde contre des composts mal gérés et d’autres intrants synthétiques, comme si nos bacs à compost étaient des laboratoires clandestins de destruction environnementale. Faut-il s’attendre à ce que les forces de l’ordre débarquent chez vous pour vérifier la qualité de votre compost ?

En conclusion, chers jardiniers en herbe, il est temps de renoncer à votre rêve de devenir le prochain fermier écoresponsable. Laissez les experts du WEF et leurs calculs hilarants vous guider vers un avenir où les tomates sont cultivées par des professionnels et où les fraises ne sont que des souvenirs lointains d’une époque où vous pouviez avoir votre propre coin de paradis vert. Ou alors, dites-leur d’aller se faire foutre ! C’est vous qui voyez !


Pour équilibrer cette mauvaise nouvelle, un peu d’humour :




Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith — Le 2 février 2024 — Source Alt-Market

Au début de l’année 2020, au milieu des confinements Covid, les états bleus dirigés par des gouverneurs gauchistes ont poursuivi les obligations avec un préjudice extrême. Dans les États rouges comme le Montana, après le premier ou le deuxième mois, la plupart d’entre nous ont simplement ignoré les restrictions et ont continué à vivre comme d’habitude. Il était clair que la Covid-19 n’était pas la menace que les autorités fédérales faisaient peser sur lui. Cependant, dans des États comme le Michigan, l’étau s’est resserré de plus en plus sous l’impulsion de dirigeants véreux comme Gretchen Whitmer.

Gretchen Whitmer a profité de l’occasion pour imposer des restrictions étranges au public, notamment en interdisant aux grandes surfaces de vendre des graines et des produits de jardinage à leurs clients. « Si vous n’achetez pas de nourriture, de médicaments ou d’autres produits essentiels, vous ne devriez pas aller au magasin », a déclaré Gretchen Whitmer lors de l’annonce de son décret. La gouverneure gauchiste n’avait rien contre l’achat de billets de loterie et d’alcool, mais pas contre celui d’outils de jardinage et de semences.

Elle n’a jamais donné de raison logique pour expliquer pourquoi elle ciblait les produits de jardinage, mais la plupart des membres de la communauté des survivalistes ont très bien compris de quoi il s’agissait : Il s’agissait d’un bêta-test en vue de restrictions plus importantes en matière d’indépendance alimentaire. Tout au long de l’année 2020, les médias se sont largement répandus en discours attaquant tous ceux qui stockaient des produits de première nécessité en les qualifiant de « thésauriseurs », et maintenant ils s’en prenaient à ceux qui planifiaient à l’avance et essayaient de cultiver leur propre nourriture. L’establishment ne veut PAS que les gens stockent ou produisent des réserves alimentaires personnelles.

Une autre perspective ouvertement discutée par les globalistes était l’idée que les mesures de confinement étaient « utiles », au-delà de l’arrêt de la propagation de la Covid-19 (les mesures de confinement étaient en fait inutiles pour arrêter la propagation de la Covid-19). Ils ont suggéré que ces mesures pourraient être efficaces pour prévenir les émissions mondiales de carbone et sauver le monde du « changement climatique ». L’idée de l’enfermement climatique a commencé à se répandre.

Depuis, les grands médias ont menti sur l’existence de ce programme de confinement climatique, mais il est facile de trouver et de lire des articles et des livres blancs vantant les vertus de l’arrêt de la planète au nom du changement climatique. Les globalistes et leurs défenseurs universitaires voulaient des confinements PERMANENTS, ou des fermetures tournantes tous les deux mois, interrompant la plupart des activités humaines et des déplacements en dehors de la production de base.

J’ai soutenu par le passé que ce que Whitmer faisait dans le Michigan faisait partie de cet agenda — que son interdiction de l’approvisionnement des jardins faisait partie d’un objectif plus large qui n’avait rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le fait d’empêcher les gens de se préparer. Les contrôles Covid n’étaient qu’un précurseur des contrôles sur le carbone.

La semaine dernière, nous en avons eu la confirmation avec une étude de l’université du Michigan qui affirme que les aliments cultivés à la maison produisent cinq fois plus d’émissions de carbone que les méthodes d’agriculture industrielle. En d’autres termes, les jardins privés pourraient être considérés comme une menace pour l’environnement. Le Telegraph et d’autres plateformes commerciales se sont emparés de l’affaire, et je pense qu’il y a de quoi s’inquiéter.

L’étude comprend l’analyse de divers jardins, depuis les parcelles familiales individuelles jusqu’aux parcelles urbaines et communautaires, et affirme que les « infrastructures de jardinage » pour les parcelles individuelles (telles que les plates-bandes surélevées) contribuent à une pollution par le carbone bien plus importante que l’agriculture à grande échelle. L’étude semble ignorer le fait que les plates-formes surélevées sont plus efficaces et permettent de cultiver plus d’aliments dans un espace plus restreint, mais je doute qu’ils se soucient vraiment de prendre ce genre de choses en considération.

Le commun des mortels pourrait s’en étonner et penser que le contraire est vrai : la culture d’aliments à domicile ne serait-elle pas MEILLEURE pour l’environnement ? Ce n’est pas le cas si votre financement repose sur l’idée que l’approvisionnement indépendant en nourriture est mauvais pour la planète. L’étude est financée par un grand nombre de groupes internationaux, dont le programme Horizon de l’Union européenne, dont l’un des objectifs est de créer « 100 villes intelligentes et neutres sur le plan climatique d’ici à 2030 ». Ces 100 villes sont censées servir de modèles phares pour la prise de contrôle de toutes les villes d’ici 2050.

Ces groupes disposent de milliards de dollars et concentrent la majeure partie de cette puissance de feu monétaire sur la recherche (propagande) en matière de changement climatique. Est-ce que je pense que l’étude du Michigan est truquée en faveur d’un résultat prédéterminé ? Probablement. Lorsque ces études sont financées par des intérêts globalistes, leurs résultats semblent toujours favoriser les objectifs globalistes. L’étude elle-même n’affirme pas nécessairement que les gens devraient cesser de jardiner, mais elle pousse l’idée que les contrôles carbone sont nécessaires, même au niveau individuel.

Le rapport du Michigan peut sembler une note de bas de page sans importance. Cependant, comme nous l’avons vu l’année dernière avec une étude de la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC) sur les appareils à gaz naturel, ces petites études obscures sont souvent utilisées pour justifier des interventions gouvernementales à grande échelle dans la vie quotidienne des gens. L’étude de la CPSC a suscité des mois de débats de la part des Démocrates américains, qui ont demandé l’interdiction des appareils à gaz, y compris les cuisinières, parce qu’ils PEUVENT avoir des effets secondaires sur la santé, en particulier chez les enfants (il s’est avéré que l’étude ne reposait sur aucune base concrète pour cette affirmation).

Les gauchistes et les globalistes ne se soucient pas de protéger votre santé ; ils se préoccupent de la manière dont ces études peuvent être utilisées pour semer la peur et accroître ainsi leur pouvoir. En d’autres termes, si l’on peut truquer la science, on peut truquer les lois.

Nous avons vu quelque chose de similaire dans une étude de l’ONU en 2006 qui affirmait que la production de viande contribuait à près de 20 % de toutes les émissions de carbone et était pire pour l’environnement que les transports. L’étude a été révélée en 2010 comme étant « viciée » (frauduleuse), mais pendant des années, les médias et les organisations globalistes ont utilisé ses fausses conclusions comme tremplin pour exiger des limitations et des interdictions de la production de viande au nom de la sauvegarde du climat.

Si vous pensez que la guerre contre l’agriculture qui fait rage actuellement en Europe ne concerne que les exploitations industrielles, détrompez-vous. L’establishment va tenter d’utiliser le mensonge du changement climatique provoqué par l’homme pour dicter TOUTE la production alimentaire, jusqu’à votre modeste jardin. Et ils ne limiteront pas leurs efforts à l’UE ; ils s’en prendront aux exploitations agricoles américaines avec les mêmes restrictions.

C’est là tout l’intérêt des programmes globalistes « net zero » et des villes de 15 minutes : ils reposent sur l’idée que toute activité humaine doit être surveillée et gérée. Ils disent que c’est pour le bien de la planète, mais les systèmes qu’ils veulent mettre en place entre 2030 et 2050 ressemblent à un nouveau féodalisme numérique, une société où les bureaucraties suivent, tracent et micro-gèrent chaque aspect de votre vie. Les élites en profiteront largement sans jamais prouver que les émissions de carbone représentent un danger pour qui que ce soit.

Pourquoi cette focalisation obsessionnelle sur l’alimentation ? Parce que si les gens ont leur propre nourriture, ils seront peut-être plus enclins à se rebeller contre de nouvelles obligations. C’est aussi simple que cela. La finalité est évidente : contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le monde. Faites-le au nom de la sauvegarde de la planète et beaucoup de gens vous remercieront même si vous les affamez.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




Philippe De Villiers et la crise de civilisation

[Source : Philippe de Villiers]


[Source : Confédération paysanne]

Ce chant a été écrit collectivement par des paysannes et paysans de la Confédération paysanne de Drôme et du Var. A l’initiative de Vincent Delmas, maraîcher et éleveur dans la Drôme, ce projet est issu d’un atelier d’écriture collectif de paysannes et paysans dans ce département. Avec la participation du chanteur HK, de Mathilde Dupuch et Saïd Zarouri. Direction artistique et arrangement à trois voix de David Bardy.




Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





Dioxyde de carbone — Le gaz de la vie

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

— Le dioxyde de carbone (CO2) est généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et accusé à tort de perturber le climat de la planète.

— Le CO2 est un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler. Une augmentation de 100 % du CO2, de 400 ppm à 800 ppm, diminuerait le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %, ce qui se traduirait par une augmentation de 0,7 degré C de la température moyenne de la Terre.

— Une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’incidence sur les températures mondiales. Pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, on suppose qu’il y a des rétroactions positives massives. Or, la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives, de sorte qu’il est probable que l’augmentation de 0,7 degré Celsius soit surestimée dès le départ.

— Il n’existe pas de température unique pour la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Chaque kilomètre d’altitude entraîne un refroidissement moyen de 6,6 degrés Celsius.

— L’augmentation des niveaux de CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Le CO2 réduit également les besoins en eau des plantes, ce qui diminue les risques liés à la sécheresse.

La vidéo ci-dessus, « CO2, le gaz de la vie », présente une conférence donnée lors de la réunion de la vieille garde du Sommet dans le New Jersey, le 3 octobre 2023, par William Happer, PhD, professeur émérite de physique à l’Université de Princeton et ancien conseiller scientifique des administrations Bush et Trump.

Le sujet : le dioxyde de carbone (CO2), généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et un polluant qui perturbe le climat planétaire. Comme l’explique M. Happer dans cette conférence, le CO2 est en fait un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler.

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
et les autres articles du dossier Climat.]

Le CO2 n’est pas un polluant

Actuellement, la concentration de CO2 dans l’atmosphère à quelques milliers de pieds d’altitude est d’environ 430 parties par million (ppm). Plus près du sol, les concentrations varient considérablement, à la fois en fonction du lieu et de l’heure de la journée. En effet, les relevés au niveau du sol sont influencés par la photosynthèse et la respiration des insectes, entre autres.

Dans la salle où M. Happer donnait sa conférence, la concentration de CO2 était de 1 800 ppm, ce qui s’explique par le fait qu’un grand groupe de personnes respire dans un espace clos. Les systèmes de climatisation sont équipés de compteurs de CO2 qui activent des ventilateurs pour amener l’air extérieur à l’intérieur lorsque les niveaux sont trop élevés.

La question de savoir ce qui est trop élevé est importante, étant donné que les promoteurs du Great Reset défendent un programme vert qui exige le démantèlement de l’infrastructure énergétique et de l’agriculture au nom de la lutte contre le changement climatique, qui menace manifestement notre qualité de vie et notre approvisionnement en nourriture. À terme, il pourrait même menacer l’existence de l’Homme.

Le fait est que le CO2 n’est pas le « méchant » que l’on croit, et que le programme « net zéro » est totalement inapproprié si le maintien de la vie sur Terre fait partie de l’équation.

« Le CO2 est un élément essentiel et naturel de la vie », explique M. Happer. « C’est le gaz de la vie. Après tout, nous sommes faits de carbone, principalement de carbone, et nous expirons beaucoup de CO2 par jour rien qu’en vivant. Chacun d’entre nous expire environ 2 livres [environ un kilogramme] de CO2 par jour. Si l’on multiplie ce chiffre par 8 milliards de personnes et 365 jours par an, on constate que le simple fait de vivre représente une part non négligeable du budget CO2 de la Terre.

Néanmoins, nous vivons une croisade contre ce qu’on appelle le CO2 polluant. On parle de pollution par le carbone. Mais chacun d’entre nous pollue la Terre en respirant, donc si vous voulez arrêter de polluer… apparemment, Dieu veut que nous nous suicidions…

Nous faisons toutes sortes de choses folles à cause de ce prétendu polluant… De plus en plus de belles prairies sont couvertes de panneaux solaires noirs. Cela ne fonctionne pas très bien ; cela ne fonctionne pas du tout la nuit. Cela ne fonctionne pas par temps nuageux. Cela ne fonctionne pas très bien au milieu de l’hiver à cause de l’angle du soleil.

Mais nous le faisons quand même. Si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le recommande vivement. Il a été publié pour la première fois en 1841, sous le titre « Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds » (Illusions populaires extraordinaires et folie des foules). Il est tout aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était à l’époque…

Je suis physicien. Je suis fier de dire que personne ne peut me qualifier de climatologue, mais j’en sais beaucoup sur le climat et j’ai été coauteur de l’un des premiers livres sur les effets du dioxyde de carbone il y a 41 ans. Il s’agissait d’une étude réalisée par le groupe Jason, dont j’étais membre. J’en ai été le président pendant un certain temps et il y avait de très bonnes personnes au sein de ce groupe. »

Impact à long terme de l’augmentation du CO2 atmosphérique

La question clé en matière de réchauffement climatique est la suivante : de combien la Terre se réchauffe-t-elle si l’on double la concentration de CO2 dans l’atmosphère ? C’est ce qu’on appelle la question de la sensibilité du climat. On estime qu’un doublement du CO2 entraînerait une augmentation de 3 degrés centigrades de la température mondiale.

« Ce n’était pas basé sur des calculs rigoureux », explique M. Happer. « C’était le résultat d’une réflexion de groupe. C’est ce que tout le monde pensait, et c’est donc ce que nous pensions. Pour ma défense, l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas prêté beaucoup d’attention à cela [est que] je travaillais à ce moment-là sur quelque chose qui me semblait beaucoup plus important. Permettez-moi de vous en parler, afin que vous compreniez pourquoi je pense être qualifié pour pontifier sur ce sujet.

C’était le début de l’Initiative de défense stratégique, de la Guerre des étoiles… Le président Reagan… voulait trouver un moyen de défendre les États-Unis afin d’éviter ce pacte de suicide collectif, et nous avons notamment envisagé d’utiliser des lasers puissants pour brûler les missiles en approche…

Mais voilà le problème. Si vous prenez le laser d’un mégawatt au sol et que vous l’envoyez vers le missile, le temps qu’il atteigne le missile, le faisceau, au lieu de concentrer toute la puissance sur le missile, se brise en centaines de sous-faisceaux — des taches — et c’est quelque chose qui était bien connu des astronomes. Le même problème se pose lorsque l’on observe des étoiles et des galaxies lointaines.

Les astronomes savaient comment résoudre ce problème… Si l’on peut mesurer le degré de courbure de cette onde, on peut la faire rebondir sur un miroir courbé dans la direction opposée, et lorsque l’onde rebondit, elle est absolument plate. C’est ce qu’on appelle l’optique adaptative, qui fonctionne à merveille. Lorsque vous focalisez le faisceau corrigé, vous obtenez un seul point au lieu de centaines de [faisceaux].

Le problème, c’est que si vous regardez le ciel nocturne, il n’y a que quatre ou cinq étoiles qui sont assez lumineuses pour avoir suffisamment de photons pour mesurer la distorsion de l’onde. Nous avons donc organisé une réunion confidentielle au cours de l’été 1982. Un certain nombre d’officiers de l’armée de l’air y ont expliqué le problème. Par chance, je savais comment le résoudre.

On peut fabriquer une étoile artificielle n’importe où dans le ciel en faisant briller un laser réglé sur la fréquence du sodium sur la couche de sodium au-dessus de nos têtes, à 90 ou 100 kilomètres. »

Bien que l’armée de l’air ait d’abord douté de l’existence d’une couche de sodium dans l’atmosphère, elle a fini par construire le laser à sodium proposé par Happer, et si vous vous rendez aujourd’hui dans n’importe quel télescope terrestre, vous en verrez généralement un ou deux. Quoi qu’il en soit, cette histoire visait simplement à vous convaincre que Happer sait de quoi il parle lorsqu’il s’agit des constituants atmosphériques et des phénomènes qui y sont liés.

Le CO2 n’a pas d’impact perceptible sur les températures terrestres

Selon les alarmistes du climat, l’augmentation du CO2 entraînera un réchauffement de la planète qui menacera toute vie sur terre. En réalité, le CO2 « n’a qu’un effet très limité sur le climat », explique M. Happer.

Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de température unique sur la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Pour chaque kilomètre d’altitude, on observe un refroidissement moyen de 6,6 degrés C. C’est ce que l’on appelle le taux de déchéance [ou gradient thermique]. Ce refroidissement se poursuit jusqu’à la troposphère, où il s’arrête.

Le refroidissement est dû au fait que l’air chaud monte et que l’air froid descend. « C’est la convection qui provoque cette chute rapide des températures — 6,5 degrés par kilomètre », explique M. Happer. Il explique ensuite le graphique suivant, qui détaille le rayonnement thermique de la Terre vers l’espace, en supposant une température de surface de 15,5 degrés C. Les gaz à effet de serre représentent la zone située sous la courbe noire dentelée.

Selon M. Happer, ce chiffre ne représente que 70 % de ce qu’il serait en l’absence de gaz à effet de serre, ce qui est illustré par la courbe bleue lisse, car lorsque le soleil réchauffe la terre, les gaz à effet de serre — principalement la vapeur d’eau — empêchent le refroidissement.

La partie la plus importante de ce graphique est la ligne rouge dentelée, représentée ici avec une flèche rouge pointant vers elle. Cette ligne rouge montre l’effet qu’aurait un doublement (une augmentation de 100 %) du CO2 sur la température à la surface de la Terre. Comme vous pouvez le constater, cet effet est négligeable. Il diminue le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %.

Comme le note Happer :

« Il faut bien l’admettre. Nous sommes loin de doubler [le CO2] aujourd’hui. Cela prendra beaucoup de temps, [et] cela n’entraîne qu’un changement de 1 %. Le CO2 est donc un très mauvais gaz à effet de serre. Ce n’est pas un gaz à effet de serre efficace. »

Si l’on supprime TOUT le CO2, on obtient la courbe verte en dents de scie. Comme vous pouvez le constater, les lignes dentelées verte et noire sont parallèles, à l’exception d’un point. L’effet est énorme si l’on passe de zéro CO2 à 400 ppm (flèche verte). Mais il est à nouveau négligeable lorsque l’on passe de 400 ppm à 800 ppm (flèche noire). Comme l’explique Happer :

« Tout l’effet se produit dès la première petite quantité de CO2 ajoutée… Il est donc tout à fait exact qu’un doublement du CO2 n’entraîne qu’une diminution de 1 % du rayonnement. Le GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] obtient la même réponse, ce qui ne prête pas vraiment à controverse, même s’il ne vous montrera jamais la courbe et ne vous dira jamais qu’il s’agit de 1 %. Cela perturberait la narration…

Il s’agit donc de rayonnement vers l’espace. Comment transformer cela en température ? Ils craignent un réchauffement intolérable de la surface de la Terre où nous vivons, ou d’autres parties de l’atmosphère.

Là encore, il est important de faire le calcul de premier ordre… et il indique que le réchauffement dû au doublement du CO2 est… inférieur à un degré… 0,7 [degré] C. Très faible. On ne peut vraiment pas le sentir. »

Pourquoi, alors, s’alarmer de l’augmentation du CO2 ?

Inutile de préciser qu’il s’agit là d’un énorme problème pour la communauté des climatologues, car une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’impact sur le climat.

Ainsi, pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, le GIEC « suppose d’énormes rétroactions positives », explique M. Happer. Le CO2 n’étant pas un gaz à effet de serre puissant, le minuscule réchauffement direct qu’il provoque est [supposé] amplifié par des facteurs allant de quatre à six pour donner l’impression qu’il a un impact perceptible.

« J’aime à dire qu’il s’agit d’une discrimination positive pour le CO2 », explique M. Happer.

« Il n’est pas très bon pour le réchauffement, mais si vous supposez qu’il y a beaucoup de rétroaction, vous pouvez continuer à recevoir de l’argent. Le problème, c’est que la plupart des personnes ayant des connaissances en chimie physique et en physique savent que la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives. »

« Le réchauffement de 0,7 degré C obtenu lorsque l’on double le CO2 est probablement surestimé, car il existe probablement des rétroactions négatives dans le système climatique très complexe dans lequel nous vivons. »

William Happer, Ph.D.

C’est ce qu’on appelle le principe de Chatelier, du nom du chimiste français qui a découvert que « lorsqu’un système simple en équilibre thermodynamique est soumis à un changement de concentration, de température, de volume ou de pression… le système passe à un nouvel équilibre et… le changement s’oppose en partie au changement appliqué ».

Ainsi, le réchauffement de 0,7 degré Celsius obtenu en doublant le CO2 est « probablement surestimé », affirme M. Happer, « parce qu’il y a probablement des rétroactions négatives dans ce système climatique très compliqué dans lequel nous vivons. L’atmosphère, les océans, tout est non linéaire. »

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que le fait que nous soyons à 400 ppm de CO2 ou à 800 ppm n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit d’influer sur la température de la Terre. En bref, l’hystérie climatique n’est que cela. Elle ne repose sur aucune menace réelle. Ce n’est que si nous parvenions à atteindre le zéro absolu en matière de CO2 qu’il y aurait un changement, mais cela signifierait également que nous exterminerions tous les êtres vivants de la planète. Ce n’est rien d’autre qu’un programme de suicide.

Plus de CO2 rendra la planète plus verte

Comme l’explique M. Happer, une augmentation du CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Si nous voulons des forêts luxuriantes et des récoltes abondantes, la réduction du CO2 est donc la dernière chose à faire.

« Toutes les plantes poussent mieux avec plus de CO2 [dans l’air] », explique-t-il. «Aujourd’hui, les plantes manquent cruellement de CO2. Nous savons que les plantes ont besoin de nombreux nutriments essentiels. Elles ont besoin d’azote, de phosphore, de potassium et surtout d’eau. Mais elles ont également besoin de CO2, et comme beaucoup d’autres nutriments, le CO2 est aujourd’hui en pénurie.»

Le CO2 profite aux plantes en réduisant leurs besoins en eau, ce qui diminue les risques de sécheresse. Des niveaux plus élevés de CO2 réduisent également la photorespiration nocive. Selon M. Happer, les plantes de type C3 perdent environ 25 % de leur potentiel de photosynthèse en raison de l’augmentation de la photorespiration. Pour plus d’informations sur le rôle du CO2 dans la croissance des plantes et la photosynthèse, veuillez visionner la vidéo. La discussion commence vers la quarantième minute.

Mensonges, ignorance, stupidité ou autre chose ?

En conclusion, M. Happer s’efforce d’expliquer ce qui motive l’hystérie climatique :

« Malgré les arguments incontestables selon lesquels il n’y a pas d’urgence climatique — le CO2 est bon pour la Terre — la campagne visant à bannir le CO2, “net zéro”, a connu un grand succès. Comment cela est-il possible ? Je suis vraiment dépassé par les événements, car je parle maintenant de la nature humaine. Je suis très doué pour les instruments et la résolution d’équations différentielles, mais je ne suis pas très doué pour comprendre les êtres humains.

Mais voici quelques-uns des moteurs : les nobles mensonges, les mensonges politiques, l’ignorance, la stupidité, la cupidité. Les nobles mensonges remontent à Platon, qui en parle dans “La République”. En politique, un noble mensonge est un mythe ou une contre-vérité, souvent, mais pas invariablement, de nature religieuse, sciemment propagé par une élite pour maintenir l’harmonie sociale ou faire avancer un programme.

Et ici, l’agenda est clair. Si l’on peut d’une manière ou d’une autre unir l’humanité pour lutter contre une menace extérieure, par exemple la pollution par le CO2, alors nous ne nous battrons plus les uns contre les autres. Il n’y aura pas de guerres. Je pense donc que de nombreuses personnes sincères ont adhéré à la thèse du CO2 en partie pour cette raison. On peut d’ailleurs lire cela dans les premiers écrits du Club de Rome.

Il y a ensuite les mensonges politiques. Voici l’une de mes citations préférées de H. L. Menken : Le but de la politique pratique est de maintenir la population dans l’inquiétude (et donc de la pousser à se mettre à l’abri) en la menaçant d’une série infinie de hobgobelins, tous imaginaires ».

L’ignorance, bien sûr, est très répandue et repose en grande partie sur une connaissance incomplète ou une compréhension erronée des faits. Et qu’en est-il de la stupidité ? Dietrich Bonhoeffer, l’un des rares ecclésiastiques allemands à s’être opposé à Hitler et à avoir payé de sa vie son désaccord public, a écrit un jour sur la stupidité humaine :

« Contre la stupidité, nous n’avons aucune défense. Ni la protestation ni la force ne peuvent la toucher. Le raisonnement ne sert à rien. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent simplement ne pas être crus — en fait, l’imbécile peut contrer en les critiquant, et s’ils sont indéniables, ils peuvent simplement être écartés comme des exceptions insignifiantes.

L’imbécile, à la différence du scélérat, est donc parfaitement satisfait de lui-même. En fait, il peut facilement devenir dangereux, car il suffit de peu de choses pour le rendre agressif. C’est pourquoi il faut être plus prudent qu’avec un malin. »

M. Happer a lui-même fait l’expérience du danger que représente le fait de s’opposer à la stupidité. « Je reçois régulièrement des appels téléphoniques me menaçant de mort, ainsi que ma femme et mes enfants », dit-il. « Alors, de quel genre de mouvement s’agit-il ? Enfin, la cupidité. A.S. Pouchkine a dit un jour : “S’il y a un abreuvoir, il y aura des cochons”. Et c’est dans le domaine de la science du climat que l’on gagne actuellement le plus d’argent, à condition que votre travail contribue à renforcer le discours sur le réchauffement climatique et la nécessité de réduire à zéro les émissions nettes de gaz à effet de serre. »

Quels que soient les facteurs, les personnes responsables du monde entier doivent s’opposer à la fausse théorie du changement climatique et au programme « zéro émission », qui n’aboutira à rien en termes de normalisation des températures, mais qui érodera rapidement la qualité de vie et la durabilité de la production alimentaire, et qui fera passer la richesse dans les mains de quelques-uns.




La baisse de production pétrolière prévue pour se poursuivre

Voir la vidéo




Les climatosceptiques en augmentation — Davos tremble et veut la censure

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Le changement climatique perd des adeptes]

Par Francesca de Villasmundo

Un sondage a révélé un scepticisme considérable parmi le jeune public à l’égard de l’alarmisme climatique, une évolution qui a suscité une inquiétude et une colère au sein de l’appareil mondialiste : pour les partisans d’une action climatique urgente « il est déjà trop tard », l’agriculture pollue, il n’y a plus de combustibles fossiles, etc. : bref, le programme de dépeuplement sous prétexte de « lutter contre le CO2 ».

Un tiers des adolescents rejettent les discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente

Le blog bien informé Blondet et friends révèle cette étude alarmante pour les Khmers verts, enfants idéologiques des Khmers rouges de triste mémoire, ils ont juste changé de couler, mais prônent la même société de surveillance, de contrôle et de privation que les marxistes pur jus.

« L’étude, explique Maurizio Blondet, a été publiée le 16 janvier par leCenter for Countering Digital Hate(CCDH), une organisation de gauche poursuivie en justice par Elon Musk pour avoir lancé une “campagne de peur” visant à éloigner les annonceurs de X, anciennement Twitter.

L’étude révèle une augmentation significative entre 2018 et 2023 du contenu YouTube exprimant l’un des trois points de vue suivants : “les solutions climatiques ne fonctionneront pas”, “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”ou “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”.

Les chercheurs ont également découvert qu’environ un tiers des adolescents (l’audience prédominante sur YouTube) ont des opinions telles que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”ou considèrent “le changement climatique comme un canular pour contrôler et opprimer les gens”.

Les résultats, que le CCDH qualifie d’alarmants et de “surprenants”, suggèrent qu’il existe un rejet croissant des discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente.

Le groupe dit trouver cette tendance inquiétante et exhorte les grandes plateformes technologiques comme YouTube à censurer les contenus qui “contredisent le consensus scientifique faisant autorité”sur le changement climatique. »

Les Khmers verts fustigent un « nouveau négationnisme climatique »

« Les chercheurs du CCDH ont collecté les transcriptions de plus de 12 000 vidéos publiées sur 96 chaînes YouTube entre 2018 et 2023, puis ont analysé le contenu des récits sur le changement climatique. Par exemple, le contenu exprimant l’opinion selon laquelle “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”est passé de 23 % à 35 %, tandis que le discours selon lequel “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”est passé de 4 % à 6 %. Ce changement, qualifié de “nouveau déni”, constitue désormais la majorité (70 %) des contenus climatosceptiques sur YouTube.

« L’étude révèle également que 33 % des adolescents pensent que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”et 30 % pensent que “on ne peut pas faire confiance à la science du climat et au mouvement climatique”. “La propagation du nouveau déni climatique pourrait avoir un impact catastrophique sur l’action climatique”, a déclaré le CCDH dans un communiqué dans lequel le groupe appelle Google, propriétaire de YouTube, à intensifier sa politique de démonétisation et d’affaiblissement des contenus climatosceptiques.

« Charlie Cray, stratège principal chezGreenpeace USA, a fait une déclaration similaire dans une déclaration concernant l’étude : “Les négationnistes du climat ont désormais accès à un large public mondial via les plateformes numériques. Les laisser saper progressivement le soutien du public à l’action climatique, en particulier auprès des jeunes téléspectateurs, pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur l’avenir de notre planète”. »

Faut-il être étonné si à Davos cette année, le sujet de la censure des réseaux sociaux et plateformes internet est revenu plusieurs fois sur la table ? Que l’information autre que celle estampillée correcte circule, c’est la nouvelle grande peur des bien-pensants…

Cette étude conforte les plus de 1 600 scientifiques et professionnels qui ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique ».

Pourtant, rappelle fort à propos Blondet and Friends :

« En fait, plus de 1 600 scientifiques et professionnels informés ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a “pas d’urgence climatique”, arguant que les modèles erronés et la rhétorique alarmiste ont étouffé la réalité scientifique au nom de l’argent et du pouvoir. Les signataires comprennent des lauréats du prix Nobel, des physiciens théoriciens, des météorologues, des professeurs et des scientifiques environnementaux du monde entier. Le changement climatique, ou “l’urgence climatique”, comme de nombreux militants insistent pour l’appeler, est devenu un cri de ralliement mondialiste de plus en plus fort ces dernières années ».

Et ce « terrorisme climatique » comme il est dénommé dans l’article ci-dessus, a été « explicitement repris à Davos » souligne Blondet : « l’ancien vice-président Al Gore a mis en garde contre les “bombes à pluie” et les océans “en ébullition” dans un discours émouvant sur le changement climatique lors d’une réunion des élites mondiales au Forum économique mondial en Suisse l’année dernière. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a prononcé un discours tout aussi alarmiste lors de l’événement, affirmant que “nous flirtons avec un désastre climatique” et que “chaque semaine apporte avec elle une nouvelle histoire d’horreur climatique”. »

Mais cette année, révèle le journaliste Blondet :

« la directive était encore plus extrême : l’agriculture et la pêche doivent être considérées comme des crimes environnementaux, car ce sont des formes d’écocide. C’est ce qu’a déclaré Jojo Mehta, fondateur deStop Ecocide Now, à qui le Forum économique mondial a donné la parole. Au cours de son discours, l’activiste a évoqué l’idée de considérer comme des crimes les effets secondaires écologiques dérivant d’activités telles que l’agriculture, la pêche et la production d’énergie. Il espère en outre la création d’une nouvelle catégorie pénale internationale d’écocide »pour prévenir les « dégâts massifs et la destruction de la nature ». Alors que les catastrophes telles que les marées noires et les fusions nucléaires ont jusqu’à présent été considérées comme des formes d’écocide, Mehta suggère d’étendre ce crime également aux fonctions nécessaires de l’humanité également. »

Quand on vous dit que les ayatollahs du climat sont des communistes travestis, leurs délires messianistes d’un meilleur des mondes « vertueux » sans agriculture, ni pêche, ni énergie, préludes à la dépopulation de la terre, et confinant à la haine de l’humanité, vous le prouvent.




Sauvons nos agriculteurs dont l’UE et les écologistes veulent la disparition

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien

Sous prétexte de sauver la planète (qui survivra à l’espèce humaine quoiqu’il arrive), les écologistes et l’UE créent sans cesse des normes et des interdictions qui, peu à peu, détruisent notre agriculture tandis que les prétextes de la guerre en Ukraine et du financement de la transition écologique entraînent une augmentation des taxes de toutes sortes, dont celle du prix du diésel, poussant un nombre croissant d’agriculteurs à la ruine et au suicide.

Une politique agricole commune devenue désastreuse

La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elleprotégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la communauté européenne devenue ensuite l’Union européenne est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18 % pour la France).

Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221 : un poulet sur deux, 56 % de la viande ovine, 28 % des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt Amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent « la montée en gamme » entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio particulièrement exposé dans ce contexte a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70 % des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

La dérive totalitaire et fiscale des écologistes

Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieu par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques aggravant d’autant la crise du logement.

Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

Récemment Bruno Le Maire, a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

Les agriculteurs des pays voisins se battent pour survivre

Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19 % le 1er janvier 2024.

Les manifestations « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et les routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

Les autorités pour discréditer le mouvement actuellement très populaire prétendent « craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite. »

Des agriculteurs français ont également rejoint le cortège

Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré : « C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg ». Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

« On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement. »

Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

« L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin ! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire ».

Thierry Coué peste6 contre « l’empilement de textes » français ou européens, les « injonctions contradictoires », ou le « manque de bon sens ». Les témoignages concordants s’accumulent7 8 9.

Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

Frexit !