Des nouvelles de la France occupée

[Source : Brochu TV]

[Sujets abordés : élections en Russie ; bombardement de Gaza ; guerre en Ukraine ; les médias ; le mondialisme technocratique et son Intelligence artificielle ; le transhumanisme totalitaire ; l’écologisme antinaturel et ses éoliennes ; la pédophilie ; la drogue et les meurs dissolues dans le monde politique français ; l’envoi de troupes françaises en Ukraine ; etc.. ]




La plupart des plus beaux endroits des États-Unis ont été transformés en toilettes à ciel ouvert

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michael Snyder – 17 mars 2024

Il fut un temps où l’Amérique était un endroit magnifique. En tant que nation, nous bénéficions d’une grande beauté naturelle et les villes brillantes et propres que nous avons construites d’un bout à l’autre du pays faisaient autrefois l’envie du monde entier. Mais aujourd’hui, bon nombre des plus beaux endroits d’Amérique ont été littéralement transformés en toilettes à ciel ouvert. Permettez-moi de vous donner un exemple de ce dont je parle. Il y a quelques dizaines d’années, les plages californiennes étaient si spectaculaires que les touristes venaient du monde entier pour les découvrir. Aujourd’hui, les plages d’une partie du sud de la Californie ressemblent à des « toilettes portables » et ont été fermées pendant 700 jours d’affilée en raison des milliards de litres d’eaux usées non traitées qui se déversent dans l’océan Pacifique…

Les habitants d’une petite ville côtière de Californie ont déclaré qu’ils étaient « coincés dans des toilettes portables » après 700 jours consécutifs de fermeture des plages.

Depuis quatre ans, les habitants d’Imperial City, une petite ville située à 20 minutes de route de San Diego, sont exposés quotidiennement aux embruns et aux particules d’aérosol émanant de l’océan pollué.

Au cours des cinq dernières années, plus de 100 milliards1 de gallons d’eaux usées non traitées ont coulé dans le fleuve Tijuana, au Mexique, et se sont déversés dans l’océan Pacifique, pour finalement atteindre la ville côtière.

Pourquoi le gouverneur de Californie Gavin Newsom ne fait-il rien à ce sujet ? Pourquoi l’administration Biden ne fait-elle rien à ce sujet ? Un habitant de la région affirme que l’odeur des déchets humains est si forte la nuit qu’elle réveille les gens

Selon une étude de l’université d’État de San Diego, les métaux lourds, les produits chimiques toxiques et les bactéries détectés dans l’eau sont libérés dans l’air et persistent dans les sols.

Je suis plus frustré que jamais depuis que nous avons découvert que le produit se retrouve dans l’air. Il ne s’agit donc pas seulement de l’eau », a déclaré un habitant.

Dans des lettres de membres de la communauté appelant à une action, un résident a déclaré que l’odeur était « semblable à celle d’une toilette portable », si forte qu’elle le réveillait la nuit.

Pouvez-vous imaginer l’impact cumulé de toutes ces eaux usées si on les laisse continuer à s’écouler ainsi année après année ? Mais c’est peut-être ce que mérite le sud de la Californie. Les émissions de télévision et les films créés dans le sud de la Californie exportent notre « culture des toilettes » dans le monde entier, et le sud de la Californie est désormais littéralement transformé en toilettes.

Pendant ce temps, les conditions se détériorent rapidement sur la côte est également. Lorsque j’ai visité la ville de New York il y a un peu plus de vingt ans, tout était très propre et je me sentais en sécurité partout où je marchais. Mais maintenant, la circonscription d’Alexandria Ocasio-Cortez « est décrite comme ressemblant à un pays du tiers-monde »….

La circonscription d’Alexandria Ocasio-Cortez est décrite comme ressemblant à un pays du tiers-monde, après l’émergence d’une vidéo montrant des rues couvertes d’ordures et envahies par des migrants.

Les images prises par Ramses Frias, un habitant du Queens, montrent deux rues dans les quartiers de Corona, Jackson Heights et Elmhurst.

La vidéo montre les rues de la région débordant d’ordures, tandis que les migrants installent des marchés aux puces improvisés où ils vendent des vêtements.

L’avenue Roosevelt est également connue comme le « marché des amoureux », avec des vidéos virales montrant de présumés travailleurs du sexe dans les rues du quartier.

Bien sûr, il n’y a pas que sa circonscription qui se dégrade rapidement. Dans un procès de 15 millions de dollars récemment intenté, il est allégué qu’un établissement Burger King de la Grosse Pomme2 a été transformé en un « bazar de la drogue en plein air »…

Un Burger King de New York a fait l’objet d’une action en justice de 15 millions de dollars à la suite d’allégations selon lesquelles le fast-food se serait transformé en « bazar de la drogue à ciel ouvert ».

Le restaurant, situé au 106 Fulton Street dans le Financial District, a été attaqué en justice par Kevin Kaufman, 69 ans, résident de longue date et cinéaste, qui a qualifié la rue de « quartier en crise ».

Selon l’action en justice, obtenue par le New York Post, M. Kaufman a ciblé cet emplacement et le bureau de coopération de Burger King, les accusant d’avoir violé la loi de l’État sur les nuisances privées.

L’anarchie est monnaie courante sur le site : des photos de toxicomanes et des vidéos de bagarres sont publiées en ligne.

Une fois de plus, nous voyons le mot « anarchie » utilisé pour décrire ce qui se passe dans nos plus grandes villes. Combien de fois, au cours des derniers mois, ai-je mis en garde contre le fait que ce pays devenait « sans foi ni loi » ? En fait, dans un article que j’ai rédigé et qui était l’un des articles vedettes de Zero Hedge dimanche, j’ai déclaré que « l’Amérique devient un peu plus anarchique chaque jour qui passe ». À Oakland, la criminalité a tellement empiré que certains propriétaires d’entreprises menacent ouvertement de ne pas payer d’impôts…

Un nombre croissant de propriétaires d’entreprises de la région de la Baie déclarent ne plus vouloir payer d’impôts après qu’une série de cambriolages et de vols leur a donné l’impression que la ville n’en faisait pas assez pour les protéger.

Les commerces d’Oakland, en Californie, ont été victimes de vols et d’attaques au cours des derniers mois.

« Nous avons peur pour nos vies », a déclaré Nestor Sanchez, gérant de Cybelle’s Pizza, selon un reportage de KTVU.

Au cours des dernières années, des milliers et des milliers d’entreprises ont quitté nos grandes villes ou ont fermé définitivement leurs portes. Dans certains cas, des pâtés de maisons entiers ont été barricadés. Nous apprenons maintenant que des centaines de magasins Family Dollar vont être fermés, ce qui va créer encore plus de bâtiments vides…

Family Dollar, la chaîne de magasins discount en difficulté qui s’adresse à des clients à faibles revenus, principalement dans les villes, a annoncé mercredi qu’elle allait fermer près de 1 000 magasins.

Des années de mauvaise gestion et de mauvaises conditions dans les magasins ont nui à la marque Family Dollar. Family Dollar, qui appartient à Dollar Tree, a récemment été condamné à une amende de plus de 40 millions de dollars pour une infestation de rats dans un entrepôt qui a contraint des centaines de magasins à fermer temporairement.

L’inflation élevée depuis des décennies a durement frappé les consommateurs, et le recul général de la consommation a eu un impact sur les clients de Family Dollar et sur les bénéfices de la chaîne, exacerbant ainsi sa lutte avec des concurrents discounters tels que Dollar General, Walmart et d’autres.

En outre, la réduction des prestations du programme d’aide à la nutrition (Supplemental Nutrition Assistance Program, ou SNAP) a laissé aux familles en difficulté jusqu’à 250 dollars de moins par mois. Les magasins discount et les entreprises de biens de consommation disent avoir ressenti l’impact de cette perte.

Pendant ce temps, chaque mois, des centaines de milliers de personnes extrêmement désespérées affluent à notre frontière méridionale. Selon Axios, « plus de 8 millions de demandeurs d’asile et d’autres migrants vivront aux États-Unis dans un vide juridique d’ici la fin du mois de septembre ». Le décor est planté pour des troubles civils d’une ampleur absolument épique, et nous sommes à quelques mois de la saison électorale la plus tumultueuse de toute notre histoire.

Ce n’est pas pour rien que j’ai intitulé mon dernier livre « Chaos », car c’est exactement ce que nous allons vivre. Les personnes qui dirigent ce pays le ruinent systématiquement. Tout ce que nos ancêtres ont construit avec tant d’acharnement est en train de s’effondrer, ce qui devrait nous attrister profondément.


1 1 gallon = 3,785 411 784 litres

2 Surnom de New York




Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

[Source : Bertrand SCHOLLER]

Par Bertrand Scholler

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire.

Ne pas oublier les armes de destructions massives en Irak et les couveuses au Koweït, on cherche encore les deux, mais plus d’un million de civils irakiens sont morts, mais le pétrole n’est pas perdu pour tout le Monde.

Les Casques Blancs en Syrie étaient les meilleurs amis de Fabius, le nouveau pote de Macron, ils étaient toujours les premiers sur les sites d’attaques chimiques… dont on attend toujours les preuves.

S’ils étaient plongeurs, eux auraient peut-être trouvé les coupables de Nord Stream, contrairement aux Danois et Suédois, qui se sont déclarés bredouilles. Les Allemands en récession ont arrêté l’enquête faute de budget.

Maidan… c’était évidemment un moment populaire, une histoire de petits pains et de madeleines Allbright…

Biden a été le Président le mieux élu de l’histoire des USA, mais il ne s’en souvient plus, son fils non plus ; il pense justement être le votre président de quelqu’un, mais on ignore de qui. Il n’est pas le seul à être diminué là-bas, par l’âge, et chez nous en Europe par l’incompétence, la bêtise et la fatuité.

Le Covid, vous savez ce truc qui a provoqué l’arrêt de la planète, c’est un pangolin, le vaccin devait sauver, car c’était un acte d’amour… et le PCR, ce truc si intrusif, c’était pour chercher à la base du cerveau, un virus ou sa trace, alors qu’une seule goutte (dans la salive) pourrait tuer un cluster entier (oups le mot anglais que tout le Monde a appris… mieux que Love) comme, par exemple, les passagers de tout un paquebot… au large du Japon.

La Russie est désignée pour avoir commencé une guerre en févr. 2022, car tout le Monde a oublié les accords de Minsk, car des civils russophones au Donbass y étaient sous les bombes depuis 2014.

Que dire de Butcha… c’était évidement les Russes et leur esprit illogique à se tirer une balle dans la paix qu’ils recherchaient depuis si longtemps et croyaient avoir trouvé enfin, eux si content et naïf, d’avoir signer un accord avec annexes, avec les Ukrainiens… c’était compter sans Macron qui voulait cette guerre longue et que les Russes passent pour des bouchers.

Et aussi… le 7/10 ce sont des centaines de mecs en sandales et parapentes qui ont déjoué la sécurité du pays le mieux protégé du monde, en sortant armes de canifs et de Kalashnikov (de collection) de leur ghetto sous blocus et surveillé par des drones, des espions et des informateurs… pour aller couper des bébés et les cuire dans des fours, mais aussi je ne sais pas quoi encore//évidement ça rappelle le 11/09 et tout le monde l’a dit et répète… le 7/10 c’est le nouveau 11/09 (les Égyptiens n’ont qu’à bien se tenir… Netanyahu fera l’enquête après avoir fini ce que la CIJ rappelle un génocide).

Puis dans le complot… on a monté d’un cran avec Navalny… qui cette fois a vraiment été tiré, mais comme la mort a eu lieu ça ne peut pas être les Russes ; ils ratent à chaque fois avec les poisons… Si c’était… une grande compagnie pharma, la CIA et une future veuve éplorée à Munich qui devient l’alliée numéro 1 de l’Ukraine de Zelensky et d’Israël de Netanyahu (l’un, car on repense à lui… et l’autre, car on l’oublie) ?

Que penser de ce qu’a démontré #AaronBushnell, qui en s’immolant a prouvé que tout est mensonges et manipulations, doubles langages et doubles standards… Que n’était-il pas un LGBT+ iranien réfugié en France et qui s’immole devant l’embrassade d’Iran ou un trans ukrainien qui fait de même devant l’ambassade russe à Paris ?

AARON BUSHNELL a montré que ce ne sont que faux semblants et inversions accusatoires.
LES MORTS NE SE VALENT PAS.
LES MARTYRS NON PLUS.
Mais à Gaza ils l’ont compris dans leur chair.

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

Et tout commence avec les sorciers de Babylone.
Les Khazars puis… bientôt dans une capsule.




Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État

[Source : Off Investigation]

Entre Niort et La Rochelle, s’étend sur 100 000 hectares le parc naturel du Marais poitevin, deuxième zone humide de France. Depuis quelques années, il est asséché et pollué par des cultures intensives de céréales irriguées par des « mégabassines » massivement subventionnées par les pouvoirs publics. Pour Off investigation et Reporterre, la réalisatrice Clarisse Feletin a rencontré les principaux acteurs de cette guerre de l’eau et confronté les pouvoirs publics à leurs responsabilités. Elle en a tiré ce documentaire de 55 minutes, second épisode de la saison 2 de notre série « Emmanuel, un homme d’affaires à l’Élysée ».




Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara TRUTH NEWS

Le dernier COMBAT de l’Humanité contre les Élites technocratiques et transhumanistes / SOUTENONS NOS AGRICULTEURS, ÉLEVEURS, PÊCHEURS !

Introduction

https://www.kla.tv/28044

Déjà deux grands pays agricoles qui, face à l’UE et aux gouvernements traîtres de leur pays, ont décidé de monter un parti politique INDÉPENDANT des Agriculteurs Eleveurs.

IRLANDE :

https://www.farmersalliance.ie/

PAYS-BAS

https://www.theguardian.com/environment/2022/nov/18/dutch-pro-farming-party-fires-up-the-anti-establishment-vote

https://www.lifesitenews.com/opinion/the-dutch-farmers-have-created-their-own-political-party-and-its-doing-well-in-the-polls/

ÉCOSSE : ras-le-bol des Agriculteurs éleveurs !

https://expose-news.com/2024/01/25/scottish-farmers-protest-weve-had-enough/

Les IRLANDAIS et NÉERLANDAIS ONT BIEN COMPRIS que le but n’est pas seulement pour leurs gouvernements via l’UE de promouvoir l’importation de produits dévalorisant les leurs, ou de les asphyxier de RÉGLEMENTATIONS et de TAXES et NORMES ou d’augmenter le prix du Gaz oil.

LES INDIENS SE REBIFFENT AUSSI ( Février 2024 ) :

https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/xqux0xq

En fait cela VA BIEN AU-DELÀ : sous prétexte d’« agenda VERT » et « préserver des espèces », sous prétexte d’arrêter le azote « des bouses de vaches », d’amoindrir « le méthane et le CO2 émis par le bétail », les Élites du WEF/ONU/OMS/UE/AGENDA 21 VEULENT SUPPRIMER L’AGRICULTURE et l’ÉLEVAGE TRADITIONNELS.

DOCUMENTAIRE :

https://www.theepochtimes.com/epochtv/nofarmersnofood-5390883

Le prétexte du CO2

Toutes ces absurdités de pollution CO2 ou méthane par ces pauvres bêtes ou par l’agriculture sont évidemment des faits manipulés et sans rapport aucun avec un « global warming » ou « des gaz à effets de serre » dont NI L’HOMME, NI LES ÉLEVAGES, NI LES CULTURES ne sont RESPONSABLES. Ni au Néolithique ni au 21e siècle.

Étant donné que le « méchant CO2 » de AL GORE EST UNE MONUMENTALE ARNAQUE (DOCUMENTÉE) inventée au CLUB DE ROME dès 1972 pour RÉDUIRE LA CROISSANCE, DÉPOPULER, BRIMER, CONTRÔLER l’AGRICULTURE, SAISIR LES TERRES ET PARQUER au final le bétail HUMAIN :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/ LIMIT TO GROWTH — CLUB DE ROME — 1972

Des variations de températures et du CO2 existent depuis des millénaires et sont dus à des influences de la planète Terre et du système solaire sur le climat de la Terre, pendant des milliers d’années et cela est documenté et prouvé.

https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui

Les causes de variation du climat « dues à l’activité humaine », même celle de L ’ère industrielle, sont négligeables, en tant que valeurs de CO2 en plus ou en moins.

De plus, le CO2 est BON POUR LES PLANTES ET LA PLANÈTE.

Seuls BILL GATES et ses adeptes disent le contraire. Sans preuve. Comme le GIEC.

Bill Gates qui rachète des milliers d’hectares de terres agricoles, de prairies, tandis que les exploitants conduits à la ruine ou au suicide s’en vont.

Pendant ce temps, la réalité agricole

Pendant ce temps les traités de Libre Échange avec l’autre bout du monde sont établis, prouvant l’hypocrisie de l UE et de son « Agenda Vert ».

Pendant ce temps des milliers de poulets ukrainiens ou de pays lointains gavés d’hormones et d’antibiotiques sont déversés sur le marché français, sans étiquette sur les conditions d’élevage, sans informations au Consommateur, ruinant la filière volaille française.

Pendant ce temps l’Agro-industrie ou la Grande Distribution achète un kilo de patates 40 cm et le revend 3, 90 euros ou plus en supermarché..

Idem pour le LAIT les ŒUFS la VIANDE les FRUITS, etc.

Pollution électromagnétique et électrique

Pendant ce temps et pendant cet enfumage « Green Agenda » des centaines d’éleveurs perdent leurs veaux, vaches, poulets, œufs à cause des ANTENNES RELAIS 4G/5G, des ÉOLIENNES et lignes haute tension, tout le VIVANT étant hypersensible à la pollution électromagnétique.

Tous les pollinisateurs et Oiseaux disparaissent à cause de cette pollution EMF intense de micro-ondes sur tout l’environnement, cela est prouvé par plus de 10 000 études scientifiques :

https://www.5gspaceappeal.org/

La seule pollution réelle du 21e siècle est : CHIMIQUE, NANOTECHNOLOGIQUE, ONDES EMF et PLASTIQUE, elle ne vient pas de « gaz à effet de serre »

IRLANDAIS ET NÉERLANDAIS sont en avance sur les « agriculteurs français »

Car ils ont BIEN COMPRIS que le VRAI BUT c’est de les CHASSER de leurs terres et REPRENDRE LES TERRES pour l’AGENDA 21 / 2030 du WEF ONU (dans l’AGENDA 21, c’est BUT des ÉLITES)

Que l’alimentation échappe à l’humanité, aux paysans, aux fermiers, et soit sous total contrôle de LOBBIES, DE SCIENTISTES comme BILL GATES et dirigeants auto proclamés de la planète comme SCHWAB et son WEF, comme l’OMS et L’ONU… Pour passer de l’alimentation traditionnelle à des aliments modifiés par la Biotechnologie, la génétique, l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels.

L’invasion numérique

L’agriculture doit selon eux être renouvelée en « SMART FARMING » par le Numérique, la robotisation avec des Algorythmes à la Production au moyen de l’Intelligence artificielle, des drones, du traçage numérique via 5G, des « bio-sensors » dans les animaux, des colliers 5G au cou des vaches, etc..

Évidemment les petits producteurs et éleveurs locaux ou traditionnels doivent être éliminés d’office et ce sont les grands ou les très grands qui vont avoir droit à ce « Smart Farming », à ce « Great Reset des pommes de terre et des vaches » (mon image).

Altération biologique par les vaccins et les OGM

En ce qui concerne les vaccins pour les élevages :

ONU ET OMS ont mis en place un programme récent et DANGEREUX pour les GÉNOMES NATURELS, nommé « ONE HEALTH » qui lie la santé humaine directement à la santé animale, avec un programme mondial de « vaxins » biotechnologiques ou à « ARNm » pour tout le monde (tous les animaux, poulets, humains, poissons, poussins, tomates, salades, etc.)

https://www.woah.org/fr/ce-que-nous-faisons/initiatives-mondiales/une-seule-sante/

« Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. » 

(Source)

Suppression du naturel pour imposer l’artificiel

L’OMS prévient et prétend que l’alimentation, les fermes, les cultures sont néfastes pour l’humanité et la planète !!

Et je vais vous dire ce qui est prévu pour vous et vos enfants, si nous laissons faire et si les agriculteurs et fermiers et pêcheurs disparaissent ou sont empêchés de produire de bonnes choses ou obligés pour les restants d’OBÉIR a des NORMES technocratiques sans fin qui leur feront rendre la Clef des Champs.

D’abord il y a aura une FAMINE MONDIALE OU en tout cas de très sévères RESTRICTIONS ET PÉNURIES pour que ces élites diaboliques puissent faire « le Great Reset des Pommes de terre et des vaches » (c’est une image) et que votre droit à s’alimenter soit sous contrôle d’un ID numérique polyvalent (Identité, Energie, transports, santé et vaccins, « compte bancaire » de monnaie numérique, Alimentation)

Bien sûr la « SOLUTION » « SOLEIL VERT » ARRIVERA DU WEF de l’UE, de TOUS LES GOUVERNEMENTS AUX ORDRES et de l’OMS :

  • Manger des insectes !
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/01/16/lunion-europeenne-veut-vous-faire-manger-des-vers-et-des-insectes-pour-sauver-la-planete/

  • De la viande de chanvre ou de compost
  • De la viande artificielle de BILL GATES poussée en labo ou imprimée en 3D
    Le marché en pleine expansion de la viande artificielle est également dominé par un très petit nombre de géants de l’agroalimentaire qui, eux aussi, sont détenus par BlackRock et Vanguard.
  • Des légumes OGM, aseptisés et VACCINÉS
    Oui vous avez bien lu, VACCINÉS et ainsi soi-disant résistant au « Climate change ».
  • Des FRUITS « VACCINÉS »
  • Du LAIT OGM
    Bien sûr de vaches « VACCINÉES » à ARNm
  • Du lait VÉGÉTAL aussi toxique que l’autre avec des plantes OGM à la base (soja OGM, Riz transgénique, etc.)

Rarement, très rarement, vous aurez droit à du poisson d’élevage ou du vrai poulet ou du bœuf VACCINÉS à VACCINS ARNm pour « votre sécurité », les achats étant décotés de vos points sur votre PASS CARBONE.

GRAPHÈNE, PEG et QUANTUM DOTS sont déjà présents dans toute l’alimentation industrielle : rien que cela produit une altération, une corruption évidente de la biologie (voire des ADN), celle des animaux, de L’HOMME et même des plantes, des poissons, des crevettes, des pommes, des salades, des légumes, etc.

Un quota de protéines animales à ne pas dépasser, sera attribué à chacun, associé à ton pass CARBONE.

Objectif : dépopulation et contrôle

Ainsi le « monde d’après » PSYCHOPATHIQUE du « WEF & CO » compte bien contrôler une population dépendante, sans accès a la nourriture à l’ancienne, une population pucée, vaccinée, hybridée, parquée dans des Smart Cities ou « villes 15 min » sous 5G/ 6G, avec un pass carbone, un ID Numérique et un réseau nano intracorporel graphène/quantum dots/ Luciferase et donc neuromodulable par les ondes, pour le lier au CLOUD et à l’IA à jamais où votre ID Numérique vous permettra ou pas d’acheter votre ration alimentaire.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/19/liran-lance-le-rationnement-alimentaire-couple-a-un-systeme-didentification-biometrique/

Un Transhumain robotisé et obéissant, ne « possédant rien, mais étant heureux », sous le SOMA multiforme du BRAVE NEW WORLD 2.0

« Qui contrôle l’ALIMENTATION
et les terres contrôle le MONDE »

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines.

MANIFESTO « UNABOMBER 2030 »

Chers Paysans, fermiers, éleveurs nous vous soutenons, mais allez vous enfin dire le FOND du PROBLÈME ? Qui est que le WEF veut VOS terres, qu’ils veulent contrôler tous les peuples en contrôlant l’alimentation et la propriété privée (et les annihiler pour leur « monde d’après »), parquer l’Humain dans des villes 15 min sous 5G, dans un monde tout numérique, une vie quasi virtuelle et sans âme, sans plus de contact entre l’Homme et la Nature…

Un de leurs buts premiers pour cela étant d’arriver à exproprier les paysans fermiers, éleveurs, en les poussant au désespoir par la coercition, les taxes, les normes, la misère financière puis les exproprier et récupérer les terres quasiment pour rien. Ce que fait BILL GATES de manière exponentielle. Cet agenda a commencé il y a des décades.

Ils font actuellement semblant de favoriser le BIO, mais ce n’est qu’un stade 1, pour « normer » plus et pourrir la vie et les revenus des non-bios et vice versa.

Mais sachez que favoriser le bio et l’autonomie alimentaire d’un pays d’une région ou d’une famille n’est PAS LEUR AGENDA.

A la place, ils souhaitent une alimentation sous contrôle, au mieux OGM et Production en agrochimique, mais ils veulent AUSSI et FONT déjà de nouveaux vaccins sur les élevages qui se retrouvent vaccinés avec QUOI ? Avec les nouveaux vaccins à ARN m de type vaxin covid (graphène, poisons, métaux, etc.. )

PROGRAMME ONE HEALTH ONU/OMS

Au stade suivant, ils veulent proposer une alimentation de plus en plus synthétique de LABO, viande, légumes et fruits OGM « vaccinés », tout cela soi-disant « antiCO2 », les aliments étant sous Patentes et Propriété des Industriels.

Bien sûr toutes semences naturelles et reproductives qui sont déjà attaquées de tous bords seraient interdites, hors la loi.

Pour cela une bonne « famine pandémique » qui bien sûr serait mise sur le dos du « climate Change » et non sur l’extermination systématique des exploitations par leurs politiques, offrirait le motif et c’est LEUR AGENDA

Quand on voit que ces ÉLITES osent dire que « produire ses propres légumes potagers, produit 5 fois plus de CO2 que l’industrie agricole », TOUT EST DIT !!

ILS MENTENT BIEN SÛR. Y en a-t-il qui sont assez stupides pour les croire ? OUI, des jeunes biberonnés au smartphone, addicts au smartphone et aux vidéos sans intérêt, avec un QI en constante baisse, ne connaissant plus rien de la vie, de la Nature, du monde réel et… C’ETAIT LE BUT.

Solution ?

Comment faire tomber un système aussi puissant ? Je ne sais pas.

Au moins dénoncer et faire savoir

Mais déjà il faut le dire haut et fort, en LE nommant précisément, pas juste parler des normes ou du fait que la vie est dure.

Elle est dure parce qu’une pieuvre au-dessus de tous les gouvernements et même de L’UE dicte un agenda génocidaire, transhumaniste et inhumain de dépopulation, ennemi de TOUT ce qui fait de nous des humains.

Ce même Agenda au final et contrairement à leurs dires de façades et aussi contre la Nature. La Nature originelle que nous aimons et qui nous soutient et nous nourrit, ils n’en veulent pas, car elle ne peut être ni patentée ni contrôlée, ni exportée sur Mars.. Ils la modifient donc de toutes les manières possibles.

Leur délire transhumaniste d’Homme augmenté par la technologie est réel, la Nature augmentée ou « Transnature » envahie de biologie synthétique et de nanobots est leur rêve absolu (voir AVATAR)

« Alors qu’une série d’incendies détruit soudainement des usines de transformation alimentaire, de viande et d’engrais, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir, un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. …

L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … »

La base d’action des Élites du Club de Rome et leurs successeurs transhumanistes :

La base trompeuse est AGENDA 21 ou AGENDA 2030 un vaste MENSONGE de longue date et très organisé déployé globalement et localement, avec des déclarations alarmistes sur le « global warming », le « climate change », Agenda qui prétend ne vouloir que du bien à la nature et à l’humanité, mais c’est tout l’opposé.

Qui ne parle pas bien sûr des Armes climatiques servant à perturber le climat, stations HAARP, profusion de chemtrails, armes à énergie dirigée ou DEW weapons, canons à micro-ondes, pulsage d’ondes ELF très basses fréquences dans l’atmosphère et l’Ionosphère, satellites 5G en basse orbite (Starlink, One web, One Earth, etc.) tours 5G décimatoires du vivant = ces armes sont si puissantes qu’elles servent à faire à la demande : Ouragans amplifiés, incendies, griller des forets ou des villes ciblées au choix (Californie, Australie, Maui, USA, Canada, monde) activer des tremblements de terre, des tsunamis, des inondations, des précipitations massives ou créer des sécheresses artificielles terribles, faire neiger au Sahara ou en Inde, créer de la neige artificielle, des tornades, etc.

L’Agenda 21 / 2030

L’Agenda 21 / 2030 for « sustainable development » [développement durable] est l’outil parfait de manipulation mentale pour faire faire à l’Humanité ce que l’on veut qu’elle fasse. En fait c’est le Great Reset promu par Schwab, ONU et FEM travaillant en partenariat.

C’est contre l’HUMANITÉ et contre les animaux d’élevage, voués au massacre vaccinal et à une drastique réduction du nombre de bêtes sous prétexte d’« azote, de méthane, de CO2 » produit par les vaches ou les poules !

Présentation EN FRANÇAIS de « Agenda 21 » par ROSA KOIRE.

VISIONNER :



AGENDA 21 AGENDA 2030 : LE BUT

Dans AGENDA 21/ 2030 les ZONES préservées de NATURE sans AUCUNE ACTIVITÉ HUMAINE sont prévues constituer 70, voire 80 % de la surface des terres de la Terre

Un pourcentage des terres serait autorise avec « activité humaine » sous contrôle TRÈS strict

Un autre petit pourcentage des terres serait ULTRA peuplé : ce sont les zones URBAINES CONCENTRÉES et en fait concentrationnaires ou 98 % de la population mondiale doit être poussée à vivre dans un environnement terrible de tout numérique, basé SUR UN ID NUMÉRIQUE avec passeport carbone, passeport vaccinal, alimentation, monnaie numérique, déplacements 15 MN maxi, avec 5G / 6G à tous les coins de rue et dans les domiciles.

Je précise que ce n’est pas que pour les USA, c’est global.

le CO2 et le « climate change » servant AUSSI DE PRÉTEXTE à cet agenda URBAIN de « VILLES INTELLIGENTES » [SMART CITIES] SOUS CONTRÔLE NUMÉRIQUE et ANTENNES 5G/6G + AI

L’addiction des gens des jeunes des enfants au smart phone, au WIFI et l’acceptation du tout numérique, de la monnaie numérique, d’un ID Numérique, de la 5G de la 6G est la BASE ET LE SEUL MOYEN POUR EUX D’INSTAURER CE « GREAT RESET » GLOBAL et LOCAL.
C’est ainsi que le smart phone a été mis dans les mains de la population mondiale, ce n’était pas pour vous libérer, même s’il est très utile au départ, ainsi que l’Internet (voué à être sous contrôle total), mais au final pour vous enfermer.

J’espère que les agriculteurs ont bien conscience qu’ils sont ou vont être manipulés par les syndicats, les gouvernements et certains meneurs, ne rien lâcher, dénoncer le WEF haut et fort, faire tomber Bruxelles

N’obéir à personne. C’est le dernier combat : la liberté, l’humanité et la Nature OU le Transhumanisme, la fin de l’humain et de l’animal naturel et de notre civilisation millénaire, quelque soit le pays et l’ethnie.

Par contre que ces paysans arrêtent de dire qu’ils veulent avoir droit a plus de pesticides à cause de la « concurrence » déloyale étrangère, car c’est contre eux, contre nous, contre les pollinisateurs et contre la terre et le Vivant au final.

Qu’ils COMMENCENT aussi par se rendre compte que les « vaccins » pour leurs bêtes deviennent à présent des armes biologiques destructrices de même TYPE que les vax covid, institués et imposés globalement par le programme ONE Health de OMS ONU qui est déjà en cours !

Qu’ils arrêtent de les « VACCINER » avant que tout déraille au niveau génétique.

Qu’ils vendent au peuple de la nourriture saine, produisant peut-être un peu moins, mais à UN prix PLUS élevé pour eux à la vente, qui les fera VIVRE et sera bien au-dessous de ceux de la grande distribution.

Comment ? Sans les gros intermédiaires Leclerc et compagnie, sans Nestlé, Danone, Lidle, Carrefour, Auchan et sans UE et sans syndicats. 

Sans intermédiaires, que le peuple leur achète leur production, dans les villages, les villes, sur les routes, partout.

Une révolution pacifique globale aussi majeure ne peut avoir lieu que par une conscience aiguë des buts réels du WEF dont l’UE n’est qu’un des petits exécutants, agenda qui avance par stades, masqués, sauf pour ceux qui étudient avec acuité leurs documents et plans.

Lire aussi : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/06/09/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/

extrait :

La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est en cours — s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.

L’histoire en un coup d’œil :

  • La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
  • Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine.
  • L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
  • Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
  • À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.

Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. »

AUTRE ARTICLE RELIÉ : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/11/maladie-guerre-et-famine-le-troisieme-cavalier-du-mondialisme-approche-au-galop/

Autre très bon article : https://nouveau-monde.ca/larme-alimentaire-cest-ce-qui-relie-les-protestations-paysannes-lagenda-2030-et-lattaque-contre-lalimentation/

Theara TRUTH NEWS, 27 janvier 2024

Manifesto « Unabomber 2030 » par Theara
FRANCE

Article de Theara, directement RELIÉ à celui-ci :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/

Plus de nombreux autres articles de Theara sur le Great Reset, L’Agriculture et l’Élevage et le Transhumanisme, sur Pro Fide Catholica :

https://profidecatholica.com/?s=Theara+

À suivre : partie 2. (https://lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/2024/02/04/le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches-partie-2/
ou « UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité)




Les chimères totalitaires de la transition écologique pour « sauver la planète »

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine

Depuis près de 20 ans nous sommes submergés par une propagande écologique qui prétend que la planète serait en danger à cause des émissions de CO2 et que nous, français, pourrions la sauver en acceptant toutes sortes de restrictions de nos libertés fondamentales dans notre vie quotidienne. Il s’agit d’une chimère totalitaire au service de lobbys financiers motivés par la volonté d’augmenter leurs bénéfices et d’instaurer une société de contrôle à la chinoise.

[Voir aussi :
Sauver la planète ?]

La planète ne risque rien de l’Homme, mais l’Humanité peut craindre beaucoup des écologistes

Quoique nous fassions la planète nous survivra plusieurs milliards d’années. Ce n’est pas l’Humanité qui menace l’existence de la terre, mais seulement l’évolution du soleil qui l’absorbera lorsqu’il se transformera en géante rouge (dans environ 5 milliards d’années). Même si la folie de certains de nos dirigeants aboutissait à une guerre nucléaire massive, détruisant toute vie humaine, la planète Terre ne serait pas menacée. La vie végétale et certaines espèces animales survivraient comme lors des cataclysmes précédents dont le plus célèbre a entraîné la disparition des dinosaures. Prétendre que l’existence de la planète Terre serait mise en danger par l’activité humaine ne constitue qu’un énorme mensonge, dont seule la répétition permanente dans tous les médias depuis de nombreuses années, confère un semblant de vraisemblance.

Cette propagande écologique massive constitue en réalité le moyen de faire accepter aux crédules des restrictions absurdes de nos libertés fondamentales, comme l’a été, en son temps, la peur du covid, et de nous forcer à réaliser des dépenses très discutables (subventions pour éoliennes, achat de voiture électrique, travaux d’isolation et de transformation de nos chauffages, destruction de l’agriculture à taille humaine au profit de l’agroalimentaire industriel, etc.) pour le bénéfice des lobbys qui les soutiennent.

La destruction de notre qualité de vie ne peut pas diminuer les émissions mondiales de CO2 !

La France émet moins de 1 % du CO2 mondial. Ni la Chine, ni l’Inde, ni les pays pauvres ne veulent réellement réduire leurs émissions, préférant améliorer la vie de leur population que de faire plaisir au GIEC, comme le démontre l’absence d’objectif chiffré et de date de sortie du pétrole dans le récent accord de la COP 28 à Dubaï. Le Global Carbon Project présenté à la COP28 de Dubaï constate d’ailleurs une fois de plus son échec «les émissions de dioxyde de carbone dans le monde ont encore augmenté cette année… avec une hausse de 1,1 % par rapport à 2022, et de 1,4 % par rapport à 20191en particulier en Chine et en Inde ». Et comme la France ne compte qu’un peu plus de 67 millions d’habitants et les autres des milliards, les émissions continueront d’augmenter, quels que soient nos efforts.

Tout ce que les écologistes et notre gouvernement imposent à la population n’aura donc strictement aucun impact positif sur la situation mondiale. En revanche les contraintes de moindre émission entraînent la destruction de notre industrie et de notre agriculture qui imposent des importations d’autres continents, aggravent la déforestation et la pollution par le transport maritime responsable à lui seul de 3 fois plus d’émissions carbone que notre pays. Les mesures contraignantes dont nous souffrons ne constituent en réalité qu’une exportation de la pollution, et globalement l’aggravent au niveau mondial. Nos efforts peuvent être vertueux et exemplaires, ils seront totalement inefficaces, voire contre-productifs au niveau planétaire. S’ils se soumettent aux diktats écologiques, les Français ne sauveront pas la planète, mais vivront de plus en plus mal.

La voiture électrique n’est ni propre ni durable, et son obligation socialement discriminatoire

La motorisation électrique des voitures exige des batteries de plus en plus nombreuses, puissantes et lourdes utilisant beaucoup de métaux rares (comme le cobalt), souvent extraits par des enfants et raffinés à l’aide d’énergies fossiles polluantes. Leur recyclage est difficile et actuellement très polluant. De plus, la fabrication des voitures électriques émet aussi beaucoup de CO2. Si l’on tient compte de l’ensemble du cycle de vie (de la fabrication au traitement des voitures en fin de vie), la comparaison des émissions de CO2 des voitures électriques et thermiques donne des résultats variables selon les études, et un scénario de l’ADEME donne même l’avantage à la voiture thermique2.

Le Jury de Déontologie Publicitaire a conclu que la voiture électrique ne peut pas être considérée comme « écologique »3 ou « propre »4 et le réseau Sortir du nucléaire5 6 estime que ce qu’il appelle « atomobile » ne peut être considéré comme durable.

La circulation des voitures électriques est moins bruyante et moins polluante que ses homologues thermiques, mais pose aussi le problème non résolu de la concomitance des recharges lors du retour au domicile après le travail et de la nécessaire adaptation de la production et du réseau de distribution électrique. Si l’objectif de 75 % des véhicules électrifiés était réalisé, leur recharge en même temps, vers 19 heures, nécessiterait une puissance supplémentaire de 90 GW, soit presque le double de la demande de pointe actuelle !

Les mesures de promotion de la voiture électrique, extrêmement coûteuses pour nos impôts, ont été décidées avec une pseudo-justification climatique sans bilan carbone global objectif. Les politiques l’utilisent pour attirer les votes de la partie de la population trompée par la propagande écologique permanente, comme en leur temps celle pour les pseudo vaccins covid présentés comme sûrs et efficaces. D’ailleurs de nombreux pays voisins ont décidé d’arrêter cette incitation trop coûteuse d’intérêt trop incertain.

Mais leur prix toujours trop élevé, leur autonomie réduite, le trop long temps nécessaire pour recharger le véhicule et l’instauration de taxes sur les véhicules électriques comme en Australie, en Norvège, au Danemark, et bientôt en Suisse et en Belgique, freinent dès maintenant les ventes7. Actuellement seulement 9 % des Français interrogés choisiraient une voiture électrique comme prochain véhicule8 9 et cette petite minorité se caractérise par son statut de citadin socialement privilégié.

L’interdiction des voitures thermiques décrétée par les verts se heurte progressivement au réel. Les sénateurs s’inquiètent des conséquences sociologiques sur les classes moyennes menacées par le blocage des salaires et l’inflation10, et de nombreuses villes comme Marseille11 ou Paris12 doivent retarder leurs politiques de circulation discriminatoire envers les pauvres.

Les mesures écologiques aggravent dramatiquement la crise du logement

La crise du logement témoigne de l’augmentation des demandes et de l’effondrement de l’offre avec actuellement plus de 2,6 millions de ménages en attente de logements sociaux.13 Cette crise est en grande partie la conséquence des mesures voulues par les écologistes.

Les écologistes ont constamment favorisé et défendu l’immigration qui accroît les besoins de logements bon marché. Comme la natalité des Français de souche n’assure plus le renouvellement de la population autochtone, l’accroissement annuel de la population métropolitaine par environ 200000 migrants, constitue en effet le principal responsable de l’augmentation de la demande de logement.

Les interdictions écologiques réduisent dramatiquement l’offre de logements bon marché. L’interdiction de louer les logements énergivores, décidée par la loi Climat et résilience promulguée le 22 août 2021 interdit, à terme, la location de plus de 5,2 millions de logements classés F ou G au diagnostic de performances énergétiques dont tous les spécialistes14 15, y compris les ministres3

Bruno Lemaire16 et Christophe Béchu reconnaissent l’absence de fiabilité17 et ce dernier vient, le 31/1/24, d’annoncer sa refonte prochaine.

Cette interdiction visant à obliger les propriétaires à réaliser des travaux très coûteux pour des résultats énergétiques incertains, a été suivie par le retrait de la location de la grande majorité des 500000 logements classés G. Et si dans quelques années on persiste dans cette folie, c’est plus de 4 millions supplémentaires de logements qui seront interdits à la location. Cette politique écologique, purement punitive, multiplie les taxes et les interdictions et n’en prévoit jamais les conséquences souvent contraires aux objectifs affichés. Les mesures écologiques augmentant sensiblement les coûts de construction et d’entretien découragent les éventuels investisseurs privés.

Pour diminuer la crise, il faut inciter les investisseurs potentiels à préférer l’immobilier locatif aux placements boursiers alors que l’augmentation des coûts de la construction, de la fiscalité sur le bâti, le blocage des loyers, l’interdiction de louer les logements mal isolés et l’exigence de travaux très coûteux concourent à les décourager.

Vouloir fournir des logements bien isolés à des prix abordables est une excellente intention, mais tarir l’investissement privé par un ensemble de mesures qui pénalisent les propriétaires et retirer du marché plusieurs centaines de milliers de logements bon marché aboutit à priver de logements ceux qu’il faut protéger. L’effondrement de l’offre de logements locatifs est la conséquence directe d’une politique guidée par l’idéologie écologique. Mais peut-être que certains écologistes extrémistes veulent multiplier le nombre de SDF, car leur bilan carbone est excellent…

Croire que ces mesures coercitives sur les logements en France pourraient améliorer la situation climatique mondiale est totalement utopique. La France émet moins de 1 % des émissions mondiales de gaz carbonique dont 19 % attribués aux logements (soit 0,0019 du total mondial) et comme l’isolement des logements n’est pas forcément suivi de la baisse de consommation des énergies de chauffage18, ces mesures coûteuses ne pourront jamais obtenir le moindre effet mesurable au niveau mondial.

Au total, la crise du logement dont souffrent trop de jeunes Français dans les zones en tension n’est pas due aux locations temporaires ou aux résidences secondaires comme les médias le prétendent trop complaisamment, mais au dogmatisme écologique qui ignore le réel, augmente la demande en facilitant l’immigration et diminue l’offre en décourageant les investisseurs privés et en empêchant la location de nombreux petits logements. Si les politiques actuelles d’immigration et de fiscalité immobilière et du DPE ne changent pas fortement, la crise du logement va continuer à s’aggraver.

Les éoliennes, scandale financier et désastre écologique19

malheureusement promu par les pouvoirs publics qui multiplient les avantages en faveur des promoteurs : garantie des recettes sur 15 ans, priorité d’accès au réseau électrique, difficultés accrues des recours des citoyens, impuissance des préfets et des élus pour en interdire les implantations dommageables.

Scandale financier : en 9 ans les taxes sur notre facture d’électricité doivent financer 41 milliards d’euros pour les éoliennes. L’opérateur national EDF est contraint par la loi de racheter pendant 15 ans aux propriétaires 91 euros le kWh le courant produit par leurs éoliennes, soit près de 3 fois le coût marginal du kWh produit par les centrales nucléaires (33 euros le kWh) et ce sont les abonnés qui paient les dividendes des actionnaires des parcs éoliens. Cette filière ne crée que très peu d’emplois en France, car tous les éléments de ces engins métalliques sont fabriqués à l’étranger, ce qui de plus nous rend dépendants.

Scandale écologique : la dévastation de nos paysages — ces engins métalliques qui peuvent atteindre désormais 200 m de hauteur nécessitent environ 2 500 m3 de béton — suscite auprès des populations un rejet croissant et plus de 2000 associations se sont créées pour les combattre ! Dans un rayon de quelques kilomètres d’éoliennes, les habitations perdent entre 30 et 40 % de leur valeur. Ces éoliennes constituent un danger pour les chauves-souris et les oiseaux. La Ligue pour la protection des oiseaux, selon une étude publiée en 2017, estime que chaque éolienne tue en moyenne sept oiseaux par an. Leur démantèlement dont le prix est estimé à 450 000 euros risque de coûter cher aux communes dans 15 ou 20 ans, quand les promoteurs auront disparu.

En mer, la construction, le raccordement et l’exploitation de parcs éoliens représentent une menace pour les mammifères marins, les oiseaux et les communautés du fond marin. Pour fixer l’éolienne dans le sol océanique, on utilise dans la très grande majorité des cas (>80 %) un énorme pieu de 500 à 1000 tonnes d’acier enfoncé dans le sol marin pour résister aux courants et aux vents. Il faut ensuite installer des liaisons électriques sous-marines pour ramener l’énergie produite au poste de raccordement installé sur terre, ainsi qu’une base logistique, une infrastructure marine et terrestre qui bouleversent les milieux naturels à long terme. Le bruit des travaux et du fonctionnement des pales menace les baleines, dauphins et phoques, mais aussi les poissons.

En 2022, en France l’éolien a fourni 38 Terawattheures (TWH) soit 8 % de la consommation électrique (445TWH) et 2,5 % de la consommation totale d’énergie (1532TWH).

« La Ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili prétend que la majorité des français est en faveur des éoliennes. La vérité est que la majorité des Français ne dispose pas des informations pour se faire un avis éclairé sur le sujet » déclare Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France. «Sacrifier la biodiversité marine, notre meilleure alliée contre le changement climatique au prétexte de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre est un non-sens total ».

Les obligations écologiques tuent l’agriculture française

Les manifestations récentes des paysans et les informations diffusées à cette occasion montre jusqu’à quel point la folie écologiste peut aller.

Multiplication sans fin des normes : code rural, code de l’urbanisme, code de l’environnement, code du patrimoine, code de la santé publique, arrêtés locaux ou encore règles liées aux aides européennes de la Politique agricole commune (PAC) régissent l’entretien ou l’abattage des haies : 14 normes pour tailler une haie.

Exigences bureaucratiques de plus en plus chronophages. Pour obtenir le permis d’abattage d’un arbre, il faut généralement fournir : une copie de l’acte ou titre de propriété, des indications sur l’essence, la taille et l’âge de l’arbre, sa hauteur ainsi que la circonférence du tronc, un plan d’implantation des arbres à abattre avec photos datées et signées, la localisation des arbres ou de l’arbre sur un plan, des prises de vue d’ensemble de loin et des photos montrant les éventuels détails de l’arbre si nécessaire et un descriptif sur la santé générale de l’arbre à abattre… La vie d’agriculteur français comporte neuf à dix heures passées chaque semaine à gérer la paperasse administrative.

Multiplication incessante des contrôles parfois agressifs : contrairement à beaucoup de policiers municipaux qui ne sont pas armés, les 1 700 inspecteurs de l’Office français de la biodiversité (la police de l’environnement) créée en 2021 font leur contrôle avec un gros pistolet à la ceinture. Souvent peu informés de la réalité du terrain, sur dénonciation du voisinage ou de façon inopinée, ils n’hésitent pas à engager des poursuites au moindre écart : taille de haies à la mauvaise saison, destruction involontaire d’un abri de castor, tout peut devenir un motif de sanctions20 prononcées parfois à l’issue d’une enquête militante, soumise à des procureurs ignorants, s’appuyant au besoin sur de faux rapports d’expertise. Ainsi, en avril 2021, selon Le Point21, un pomiculteur grenoblois s’était vu accusé de pulvériser massivement un pesticide dangereux et d’avoir tué des insectes. Après le passage en garde à vue, une unique photographie et l’expertise étaient venues confirmer les accusations des agents de l’OFB. Mais cette expertise réputée objective était, en réalité, menée par un vétérinaire idéologue écologiste qui ne s’était même pas rendu sur les lieux. L’agriculteur s’était retrouvé condamné à 50.000 euros d’amende !

Chaque jour, des agriculteurs endettés et surcontrôlés qui croulent sous les normes et les formulaires se donnent la mort (529 en 2016). Chaque année, des centaines d’exploitations mettent la clef sous la porte faute de moyens et de reconnaissance. La folie écologiste organise la mort de l’agriculture paysanne pour laisser le marché aux géants mondiaux de l’industrie agroalimentaire.

Les protestations des agriculteurs et la menace d’une déroute des partis verts aux européennes proches ont contraint l’UE à réduire l’objectif de réduction des émissions agricoles de l’initiative « Net Zéro22 », de supprimer la demande de réduction de près d’un tiers des émissions d’azote, de méthane liées à l’agriculture, celle de réduire de moitié l’utilisation des pesticides et la recommandation invitant à manger moins de viande… La lutte paye !

La population de l’UE réalise peu à peu que la propagande de l’écolo-anxiété et le totalitarisme vert sont des outils de manipulation et de coercition, des prétextes pour réduire les droits et les libertés, bien plus que de réduire les pollutions23. D’ailleurs depuis le début du siècle, les plus de 6000 milliards de dollars consacrés à cette politique ont été inefficaces, puisque les émissions de CO2 ont augmenté de 50 % durant cette période pour une augmentation de température moyenne de 0,15° 24.

Certains partis politiques se rendent compte de l’inutilité et du coût extravagants des programmes de décarbonation. En Grande-Bretagne25, à quelques mois des prochaines élections, les travaillistes abandonnent les dépenses en faveur du climat et le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a supprimé le bonus à l’achat des véhicules électriques et a abandonné une taxe sur les chaudières à gaz.

En France, les annonces gouvernementales récentes sur la refonte du DPE, la fin programmée des incitations financières pour les voitures électriques et le recul des dates de mise en place des zones à faible émission témoignent de la prise de conscience de l’impopularité, des coûts monstrueux et de l’inutilité de ces mesures sur le climat de la planète.

Les chimères écologiques liberticides nous ont déjà trop coûté sans réel bénéfice mesurable. L’écologie oui, mais raisonnable et purement incitative, basée sur le respect des citoyens, de leur intelligence et de leurs droits fondamentaux.

Rappelons de surcroît que le rôle de l’Homme dans le discret réchauffement climatique est incertain, et que le CO2 est indispensable à la vie végétale, base de la vie sur terre, comme nous l’avons développé ailleurs.

Nos libertés sont plus importantes et plus bénéfiques que des interdictions basées sur des simulations biaisées destinées, comme au temps du covid, à créer la peur pour permettre à certains d’augmenter colossalement leurs bénéfices.





Sauver la planète ?

Par Joseph Stroberg

La conjugaison de la peur de mourir et d’une certaine connaissance des limitations de notre environnement terrestre a conduit un nombre croissant d’êtres humains à se lancer dans une cause idéologique, celle de la sauvegarde de notre planète. Cette cause qui sert parfaitement les mondialistes, comme excellent prétexte pour instaurer leur totalitarisme planétaire avec l’agenda 21 et ses différents corollaires, est largement stimulée par des activistes écologiques et par des scientistes du climat. Abusant de sophismes et d’incohérences manifestes, ces derniers ont fini de facto par créer un nouveau dogme de la religion technoscientiste et humaniste moderne, celui de l’effet de serre climatique(([1] Voir La Physique du Climat.)). Si leurs motifs peuvent sembler nobles, ils engendrent trop souvent des actions fanatiques et pourraient conduire au suicide de l’Humanité elle-même.

Depuis un peu plus de deux siècles, avec des prémisses légèrement antérieures à la Révolution française, l’Humanité a connu deux tendances évolutives, ou plus probablement « involutives » parallèles et liées dans une certaine mesure. La première est la destruction progressive et croissante des grandes religions (plus particulièrement du christianisme), à partir de leur état déjà relativement éloigné de leurs conditions et caractéristiques originelles. La seconde est la naissance de la science matérialiste moderne, progressivement remplacée à grande échelle par le scientisme. Celui-ci se fait passer pour de la « science », alors que le véritable esprit scientifique (caractérisé par le doute sain, l’observation, l’investigation et l’expérimentation) se trouve de plus en plus rarement, mais se voit au contraire remplacé par une collection grandissante de rituels procéduraux (appelés par exemple « protocoles » en médecine), de dogmes incontestables, de textes bibliques (« études » publiées dans les revues à comité de lecture, et manuels de référence) et de grands prêtres, d’idoles, de saints, de dieux…

Comme il semble qu’une des caractéristiques de l’Homme soit le besoin d’un système de croyances ou au moins de se faire une représentation interne, une image du monde, à défaut de pouvoir l’appréhender en totalité et de manière objective (ceci du fait même de ses capacités mentales et sens limités), la destruction des grandes religions ne pouvait alors que favoriser l’expansion du matérialisme scientiste technologique que l’on observe de nos jours à l’échelle planétaire. Cette nouvelle religion est mondiale, toute puissante, suivie par les grands de ce monde aussi bien que par la masse des peuples. Ses gourous, ses cardinaux et ses inquisiteurs sévissent autant dans les médias que dans les diverses chapelles scientistes (climatologie, virologie, épidémiologie, écologie, etc.). Les peuples la suivent par leurs multiples écrans ou interfaces avec le nouveau paradis divin : le monde virtuel informatique, l’univers artificiel des robots et du transhumanisme.

Une des croyances de cette nouvelle religion est que l’Homme est mauvais, qu’il pollue la Terre, qu’il se multiplie comme des lapins, et qu’il vaut mieux l’enfermer dans des cages (les villes 15 minutes qui se profilent à l’horizon), le stériliser et diminuer sa population grâce aux vaxins. Il faut lui retirer son libre arbitre en le soumettant à l’Intelligence artificielle programmée par les nouveaux dieux. Il faut pour cela le transformer en machine, réduire au maximum la taille de sa cage, la qualité et la quantité de sa nourriture et de ses ressources, son intelligence propre… Pendant ce temps, les dieux milliardaires pourront continuer à utiliser leurs yachts et leurs jets hyperpollueurs, habiter dans leurs nombreux châteaux, chasser animaux (et êtres humains) dans leurs immenses parcs naturels et forêts réservés, manger des aliments sains, biologiques, sans OGM et sans insectes…

Les activistes écologiques qui sont prêts à sacrifier leur train de vie et à vivre le martyre(([2] voir par exemple https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/hauts-de-seine/120-jours-en-autonomie-dans-un-appartement-de-boulogne-billancourt-on-veut-un-mode-de-vie-respectueux-de-la-planete-2924808.html)) réalisent-ils que pendant ce temps et grâce à eux, les nouveaux dieux pourront créer leur paradis terrestre, alors que les masses soumises subiront un pseudoparadis artificiel à coup de graphène vaxinal et de drogues diverses généreusement dispensées par la sorcellerie pharmaceutique ? Réalisent-ils que par peur de la mort, ils vont droit au suicide ? Sont-ils conscients de l’incohérence de leur approche ?

Au lieu d’élever la conscience de l’Humanité pour notamment stimuler le sens de la responsabilité individuelle dans la vie collective, les nouveaux dieux et leurs idiots utiles ont stimulé les pires tendances humaines (l’égoïsme, la luxure, l’avarice, la gourmandise, la vanité, l’orgueil…) pour subordonner la vie individuelle à un prétendu intérêt collectif qui n’est en définitive que celui des milliardaires. Ils l’ont réalisé par la destruction progressive de la famille, des valeurs traditionnelles, de l’instruction scolaire, puis des nations.

Si la planète est un être vivant que l’on voudrait « sauver », est-il pour autant besoin de le faire en sacrifiant l’Humanité ? Est-ce même cohérent ? Cette idée que l’Homme serait un virus pour la Terre, un méchant microbe tout juste bon à la détruire provient directement de l’hypothèse pourtant scientifiquement réfutée de l’existence de méchants germes (bactéries et virus) tout juste bons à rendre malades et à tuer les êtres humains, les animaux et même les plantes. Pourtant, dans le même temps, la nature démontre tout autre chose : notre corps lui-même vit en symbiose avec des milliards de bactéries (dans son microbiome) et lesdits « virus » sont des composants cellulaires endogènes(([3] Voir notamment :
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
La théorie des exosomes contre celle des virus
La légende du vaccin
Sortir de la caverne
La fraude qu’est la virologie expliquée en 19 minutes)) habituellement conséquences des agressions diverses subies par les cellules, selon les découvertes scientifiques d’avant-garde en biologie, rejoignant en cela celles d’Antoine Béchamp ; et d’autre part, les plantes elles-mêmes vivent en symbiose avec des champignons et des bactéries(([4] Voir Le langage secret des arbres)). Sans ces symbioses, ni les plantes ni les êtres humains ne pourraient survivre. Ce sont elles qui permettent notamment l’assimilation de certains nutriments indispensables à l’organisme. L’Homme apporte des aliments aux bactéries et en retour ces dernières lui permettent d’assimiler des nutriments dans les intestins et de se purifier de toxines. Il existe également une telle collaboration dans les règnes végétal et animal. Dans cette même optique, l’Homme peut parfaitement vivre en symbiose avec la Terre.

Les élites milliardaires ont préféré donner vie aux fraudes pasteuriennes et à sa perception négative de la vie, plutôt qu’au paradigme de Béchamp qui lui avait eu une démarche réellement scientifique et honnête. De nos jours, toutes les erreurs et les errements qui en découlent sur le plan de la santé humaine, animale, végétale et planétaire sont propagés du fait de la mainmise des nouveaux dieux sur les systèmes « éducatifs » et médiatiques mondiaux, facultés de médecine et universités incluses. Et comme il ne faut surtout pas les remettre en question, les grands-prêtres et les inquisiteurs écartent les gêneurs par le discrédit (« complotistes », « antivax », « extrémistes de droite », « antisémites », « négationistes »…) et par l’interdiction des thèses et des pratiques alternatives (spécialement en médecine et dans le domaine du climat).

Un « Nouveau Monde » qui ne soit pas en fait le « Nouvel Ordre Mondial » sera possible, non pas par le sacrifice inutile de l’Humanité, mais par sa participation pleine et active à sa création, ce qui impliquera probablement de faire tomber les pseudodieux de l’Olympe, ceci en leur enlevant tout pouvoir de nuisance et en n’écoutant plus leur chant de sirènes. S’il est souhaitable de modérer grandement l’esprit consommateur, hédoniste, gaspilleur et infantile moderne, ceci gagne à se faire non pas par la coercition, le mensonge, la manipulation et des prétextes, mais par l’enseignement, en particulier par l’exemple. Ainsi, ce sont les dirigeants (théoriquement au service des peuples) et les divers guides de l’Humanité qui doivent commencer par réduire leur propre train de vie, cesser d’habiter dans des palaces, de voyager dans des jets privés, de chercher la jouissance de multiples biens matériels… Et les peuples gagneraient de leur côté à ne se doter de chefs ou de guides que parmi les plus humbles, les réellement humbles, pas ceux qui disent à longueur de temps « en toute humilité, je… ». L’humilité se mesure dans les gestes et les actes, pas dans les paroles, surtout lorsque celles-ci sont prononcées par des « langues fourchues ».

Vivante, la Terre peut survivre à la disparition de l’Humanité (de nombreuses espèces animales et végétales sont plus résistantes que l’Homme). Sur une Terre inerte, l’Humanité n’aurait qu’à se préoccuper de sa propre survie. Ce n’est donc pas tant de la survie de la planète dont l’être humain gagne à se préoccuper, mais de celle de l’Humanité, attendu que sa disparition découlerait de celle de sa conscience par sa transformation en machine. Un transhumain robotique perdrait sa conscience propre, deviendrait coupé du plan des âmes, perdrait la vie éternelle spirituelle et trouverait un enfer matériel multimillénaire, survivant dans la matière aussi longtemps que son corps mécanisé le permettrait. Quasi immortalité infernale et contrainte ici-bas, ou liberté éternelle dans l’au-delà ? Que souhaitons-nous pour nous-mêmes et pour nos descendants ?





Pas d’agriculteurs, pas de nourriture saine — La fin programmée des paysans

[Source : @Vivresainement]

Les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans les épiceries du monde entier, et certains dirigeants mondiaux affirment que cela est dû au changement climatique. Leur solution est l’Agenda 21, le plan directeur centenaire des Nations unies pour l’humanité et le XXIe siècle, qui est divisé en plans quinquennaux plus courts. Le plan actuel est l’Agenda 2030, qui vise à « transformer notre monde pour un développement durable », selon les Nations unies.

L’Agenda 2030 est actuellement mis en œuvre dans le monde entier. Aux États-Unis, il est mis en œuvre sous la forme de l’agenda 30×30 de l’administration Biden, un plan visant à rendre complètement inexploitables 30 % des terres américaines d’ici à 2030, ce qui a pour conséquence d’obliger les petits agriculteurs et les éleveurs à quitter leurs terres. Dans d’autres pays comme les Pays-Bas, les agriculteurs néerlandais sont contraints de cesser leur activité en raison des « politiques vertes » du gouvernement qui limitent les émissions d’azote. Au Sri Lanka, les agriculteurs luttent pour leur survie en raison de l’interdiction par le gouvernement des engrais synthétiques.

Alors que nous assistons à une guerre mondiale contre les agriculteurs, le Forum économique mondial et les Nations unies incitent les gens à manger des insectes comme solution pour réduire le changement climatique, la faim dans le monde et sauver la planète. Pourquoi les dirigeants mondiaux et même les célébrités font-ils soudainement la promotion des insectes comestibles ? Le gouvernement doit-il contrôler notre alimentation ? À quoi ressemblerait un monde sans agriculteurs ?

« Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : Mangerez-vous des insectes ? » est un documentaire original d’EpochTV qui expose les intentions cachées derrière les « politiques vertes » mondiales, les histoires inédites d’agriculteurs contraints de cesser leur activité, les perturbations que cela aura sur notre approvisionnement alimentaire, et pourquoi les insectes comestibles sont soudainement mis en avant en tant que « solution verte mondiale ».

Roman Balmakov, animateur de l’émission « Facts Matter »1 sur EpochTV, s’est rendu dans plus de 25 pays et a interviewé plus de 50 agriculteurs, scientifiques et experts aux États-Unis, aux Pays-Bas et au Sri Lanka pour découvrir la vérité derrière cet agenda mondial et enquêter sur la crise alimentaire mondiale à venir, qui est ignorée par les médias du monde entier.

L’histoire a tendance à rimer. Dans les années 1950, le dirigeant communiste chinois Mao Zedong a vendu au public le « Grand Bond en avant » sous la bannière du progrès, mais ses politiques ont conduit à la plus grande famine provoquée par l’homme dans l’histoire, avec plus de 50 millions de personnes mourant de faim. Les « politiques vertes » de l’ONU semblent présenter les caractéristiques d’un nouveau « bond en avant vert ». Elles peuvent sembler bonnes sur le papier, mais dans la pratique, elles sapent notre sécurité alimentaire, nos droits de propriété, nos droits à l’eau et représentent une menace existentielle pour nos libertés en tant que citoyens libres. Une citation célèbre dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle le peuple ».

Il est important que chacun regarde ce documentaire, non seulement pour savoir ce qu’il y a dans son assiette, mais aussi pour avoir les connaissances nécessaires pour prévenir une autre famine provoquée par l’homme à l’avenir et protéger ses libertés.

Source




1 « Les faits comptent », ou « L’importance des faits »




Davos tue l’agriculture pour financer la guerre

[Source : Chaîne officielle TVL]

Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. À l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. Les paysans ayant toujours été à leurs yeux une variable d’ajustement. Mais comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). La guerre en Ukraine et ses milliards de débouchés n’attendent pas. Par ailleurs, la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. Jean-François Auzolle revient en détail sur la PAC, le rôle de la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… (Des informations complémentaires seront mises en ligne sur lefalotier.fr à compter du 21 février)

[NDLR : concernant le Glyphosate,
voir https://www.mnhn.fr/fr/actualites/le-glyphosate-est-il-nefaste,
https://www.linternaute.com/actualite/societe/3925110-a-quel-point-le-glyphosate-est-il-dangereux-ce-que-dit-vraiment-la-science/,
https://theconversation.com/impacts-du-glyphosate-sur-la-sante-et-lenvironnement-ce-que-dit-la-science-75946,
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/pesticides-pourquoi-les-effets-du-glyphosate-sur-la-sante-sont-ils-encore-controverses-3703305]




Toulouse : une association retire 5 tonnes de déchets des berges de la Garonne en trois jours

[Source : epochtimes.fr]

[illustration : Parmi les nombreux déchets retirés des berges de la Garonne se trouvaient plus de 250 pneus. (Facebook/Champ d’actions)]

Par Nathalie Dieul

Les berges de la Garonne sont une véritable décharge sauvage, a constaté l’association Champs d’actions. En particulier sur l’île d’Empalot, derrière le casino Barrière de Toulouse, où quelques centaines de bénévoles ont récemment ramassé plus de 5 tonnes de déchets pour réhabiliter cette belle zone humide.

Plus de 250 pneus, plus de 80 seringues et bien d’autres déchets. « Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une telle décharge à Toulouse », explique à Actu Toulouse Florence Ducrocquetz, présidente de l’association. Habituellement, lors de ses activités, Champs d’actions récolte environ 600 kg de détritus, bien loin des résultats de cet événement mené sur deux fins de semaine, les 6, 7 et 14 janvier. « On a halluciné en voyant la quantité de déchets qu’il y avait », a ajouté la présidente.

Ces sept dernières années, l’association s’est donné pour mission de nettoyer les berges de la Garonne. Tout a commencé lors d’une simple promenade aux alentours de Gagnac-sur-Garonne. En découvrant une grande quantité de déchets, les fondatrices de Champs d’actions ont voulu « nettoyer ce petit îlot », puis « repartir tranquillement à notre vie », racontent-elles sur le site Internet de l’association. Mais c’était sans compter sur l’omniprésence des déchets ainsi que sur « le nombre croissant de personnes, d’entreprises et de structures prêtes à nous accompagner ».

C’est ainsi que Champs d’actions est née. « Nous sommes aujourd’hui plus de 20 000 personnes à être venues protéger notre fleuve », explique l’association qui a organisé près de 500 journées de ramassage depuis sa fondation, permettant de retirer plus de 350 tonnes de détritus de la Garonne.

« L’une des plus belles zones humides de Toulouse »

En apprenant l’existence d’une grande décharge sur l’île d’Empalot tout près du casino Barrière, « l’une des plus belles zones humides de Toulouse », Champs d’actions a décidé de mener une grande sortie pour éviter que ces déchets toulousains ne finissent dans l’océan. Début janvier, en annonçant les prochains événements, l’association lançait pour motiver ses troupes : « Si vous ne deviez participer qu’à une seule sortie en 2024, ce serait celle des 6 et 7 janvier 2024 ! »

C’est sur l’île d’Empalot derrière le casino Barrière de Toulouse que se trouve
la décharge sauvage nettoyée par Champs d’actions.
(Capture d’écran/Google Maps)

Deux journées intenses étaient prévues, de 10 h à 16 h. Au terme de la seconde journée, l’association annonçait avoir reçu l’aide de plus de 190 bras pour aider et qu’il allait falloir une troisième journée pour terminer le nettoyage, le dimanche suivant.

« Ce qui nous fait le plus de bien en tant qu’association, c’est de savoir que si on nous signale une décharge sauvage de malade sur les berges, en quelques jours, vous êtes des centaines à répondre présents et qu’ensemble, on est capable de régler le problème en quelques grosses heures de charbonnage et d’organisation », se réjouit Champs d’action.

« Un impressionnant dépôt sauvage »

Au total, plus de cinq tonnes de détritus en tout genre ont été sortis de la zone humide pendant ces trois jours. Il y avait plus de 250 pneus, des plastiques de toutes sortes, des produits toxiques, des piles, des ampoules, un minitel, des télévisions, des sacs d’amiante enterrés, etc. Plus de 80 seringues ont aussi été ramassées, ce qui constitue en soi un phénomène inquiétant puisque d’habitude, c’est seulement une dizaine de seringues qui sont récupérées lors d’une telle opération.

« Les berges sont un impressionnant dépôt sauvage », remarque Florence Ducrocquetz, qui s’inquiète en particulier de la pollution par les nanoparticules provenant de la dégradation des plastiques sur les berges de la Garonne. En effet, celles-ci se retrouvent dans l’eau bue par les habitants de la Ville rose.

« Chaque fois qu’on ingurgite des nanoparticules, les molécules organiques s’accumulent dans le corps et sont source de risques de cancer », souligne la présidente de l’association.




Les experts du Forum économique mondial déclarent les potagers des citoyens, responsables du désastre climatique

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

Les jardiniers amateurs sont-ils devenus les Voldemort du changement climatique, semant le chaos avec leurs radis et leurs salades ? À en croire les prétendus « experts » du Forum économique mondial (WEF), ses derniers semblent le penser sérieusement, affirmant que les potagers personnels sont la véritable menace qui pèse sur notre planète. Rien que ça !

[Voir aussi :
Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture
et
France — Le gouvernement veut-il interdire l’usage de l’eau de pluie dans les habitations et potagers ?]

Les potagers citoyens, nouveaux coupables du changement climatique ? Selon le WEF, cultiver sa nourriture génère une empreinte carbone alarmante.

Selon une étude récente du WEF, la simple action de faire pousser sa propre nourriture à la maison est apparemment devenue aussi diabolique que d’utiliser l’avion privé de Bill Gates à prix d’EuroMillions pour parcourir des milliers de kilomètres afin de raconter des conneries entourer de connards.

Les chercheurs, financés par le WEF de l’Université du Michigan, ont découvert que les aliments cultivés localement sont les ennemis publics numéro un de l’environnement, surpassant même la notoriété de Monsanto.

Les fanatiques mondialistes du climat, déjà déçus que les arbres ne participent pas aux forums internationaux, appellent maintenant les gouvernements à interdire aux citoyens de cultiver leur propre nourriture. Apparemment, il est temps de dire adieu à vos modestes plants de basilic sur le balcon et aux trois salades de mamie Simone, car ils sont désormais responsables de la fonte des glaces, des ouragans et des tsunamis.

Selon l’étude, les citoyens bien intentionnés et leurs petits jardins génèrent presque cinq fois plus d’empreinte carbone que les fermes traditionnelles. Oui, vous avez bien entendu, vos fraises maison sont maintenant des agents du réchauffement climatique, c’est comme planter des piles dans votre jardin.

Jake Hawes, le brillant esprit derrière cette découverte — qui a touché un peu de pognon au passage —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs. Apparemment, les plates-bandes surélevées et les cabanes à outils sont devenues des repaires secrets des émissions de carbone, conspirant silencieusement contre notre planète.

L’étude a également mis en garde contre des composts mal gérés et d’autres intrants synthétiques, comme si nos bacs à compost étaient des laboratoires clandestins de destruction environnementale. Faut-il s’attendre à ce que les forces de l’ordre débarquent chez vous pour vérifier la qualité de votre compost ?

En conclusion, chers jardiniers en herbe, il est temps de renoncer à votre rêve de devenir le prochain fermier écoresponsable. Laissez les experts du WEF et leurs calculs hilarants vous guider vers un avenir où les tomates sont cultivées par des professionnels et où les fraises ne sont que des souvenirs lointains d’une époque où vous pouviez avoir votre propre coin de paradis vert. Ou alors, dites-leur d’aller se faire foutre ! C’est vous qui voyez !


Pour équilibrer cette mauvaise nouvelle, un peu d’humour :




Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith — Le 2 février 2024 — Source Alt-Market

Au début de l’année 2020, au milieu des confinements Covid, les états bleus dirigés par des gouverneurs gauchistes ont poursuivi les obligations avec un préjudice extrême. Dans les États rouges comme le Montana, après le premier ou le deuxième mois, la plupart d’entre nous ont simplement ignoré les restrictions et ont continué à vivre comme d’habitude. Il était clair que la Covid-19 n’était pas la menace que les autorités fédérales faisaient peser sur lui. Cependant, dans des États comme le Michigan, l’étau s’est resserré de plus en plus sous l’impulsion de dirigeants véreux comme Gretchen Whitmer.

Gretchen Whitmer a profité de l’occasion pour imposer des restrictions étranges au public, notamment en interdisant aux grandes surfaces de vendre des graines et des produits de jardinage à leurs clients. « Si vous n’achetez pas de nourriture, de médicaments ou d’autres produits essentiels, vous ne devriez pas aller au magasin », a déclaré Gretchen Whitmer lors de l’annonce de son décret. La gouverneure gauchiste n’avait rien contre l’achat de billets de loterie et d’alcool, mais pas contre celui d’outils de jardinage et de semences.

Elle n’a jamais donné de raison logique pour expliquer pourquoi elle ciblait les produits de jardinage, mais la plupart des membres de la communauté des survivalistes ont très bien compris de quoi il s’agissait : Il s’agissait d’un bêta-test en vue de restrictions plus importantes en matière d’indépendance alimentaire. Tout au long de l’année 2020, les médias se sont largement répandus en discours attaquant tous ceux qui stockaient des produits de première nécessité en les qualifiant de « thésauriseurs », et maintenant ils s’en prenaient à ceux qui planifiaient à l’avance et essayaient de cultiver leur propre nourriture. L’establishment ne veut PAS que les gens stockent ou produisent des réserves alimentaires personnelles.

Une autre perspective ouvertement discutée par les globalistes était l’idée que les mesures de confinement étaient « utiles », au-delà de l’arrêt de la propagation de la Covid-19 (les mesures de confinement étaient en fait inutiles pour arrêter la propagation de la Covid-19). Ils ont suggéré que ces mesures pourraient être efficaces pour prévenir les émissions mondiales de carbone et sauver le monde du « changement climatique ». L’idée de l’enfermement climatique a commencé à se répandre.

Depuis, les grands médias ont menti sur l’existence de ce programme de confinement climatique, mais il est facile de trouver et de lire des articles et des livres blancs vantant les vertus de l’arrêt de la planète au nom du changement climatique. Les globalistes et leurs défenseurs universitaires voulaient des confinements PERMANENTS, ou des fermetures tournantes tous les deux mois, interrompant la plupart des activités humaines et des déplacements en dehors de la production de base.

J’ai soutenu par le passé que ce que Whitmer faisait dans le Michigan faisait partie de cet agenda — que son interdiction de l’approvisionnement des jardins faisait partie d’un objectif plus large qui n’avait rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le fait d’empêcher les gens de se préparer. Les contrôles Covid n’étaient qu’un précurseur des contrôles sur le carbone.

La semaine dernière, nous en avons eu la confirmation avec une étude de l’université du Michigan qui affirme que les aliments cultivés à la maison produisent cinq fois plus d’émissions de carbone que les méthodes d’agriculture industrielle. En d’autres termes, les jardins privés pourraient être considérés comme une menace pour l’environnement. Le Telegraph et d’autres plateformes commerciales se sont emparés de l’affaire, et je pense qu’il y a de quoi s’inquiéter.

L’étude comprend l’analyse de divers jardins, depuis les parcelles familiales individuelles jusqu’aux parcelles urbaines et communautaires, et affirme que les « infrastructures de jardinage » pour les parcelles individuelles (telles que les plates-bandes surélevées) contribuent à une pollution par le carbone bien plus importante que l’agriculture à grande échelle. L’étude semble ignorer le fait que les plates-formes surélevées sont plus efficaces et permettent de cultiver plus d’aliments dans un espace plus restreint, mais je doute qu’ils se soucient vraiment de prendre ce genre de choses en considération.

Le commun des mortels pourrait s’en étonner et penser que le contraire est vrai : la culture d’aliments à domicile ne serait-elle pas MEILLEURE pour l’environnement ? Ce n’est pas le cas si votre financement repose sur l’idée que l’approvisionnement indépendant en nourriture est mauvais pour la planète. L’étude est financée par un grand nombre de groupes internationaux, dont le programme Horizon de l’Union européenne, dont l’un des objectifs est de créer « 100 villes intelligentes et neutres sur le plan climatique d’ici à 2030 ». Ces 100 villes sont censées servir de modèles phares pour la prise de contrôle de toutes les villes d’ici 2050.

Ces groupes disposent de milliards de dollars et concentrent la majeure partie de cette puissance de feu monétaire sur la recherche (propagande) en matière de changement climatique. Est-ce que je pense que l’étude du Michigan est truquée en faveur d’un résultat prédéterminé ? Probablement. Lorsque ces études sont financées par des intérêts globalistes, leurs résultats semblent toujours favoriser les objectifs globalistes. L’étude elle-même n’affirme pas nécessairement que les gens devraient cesser de jardiner, mais elle pousse l’idée que les contrôles carbone sont nécessaires, même au niveau individuel.

Le rapport du Michigan peut sembler une note de bas de page sans importance. Cependant, comme nous l’avons vu l’année dernière avec une étude de la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC) sur les appareils à gaz naturel, ces petites études obscures sont souvent utilisées pour justifier des interventions gouvernementales à grande échelle dans la vie quotidienne des gens. L’étude de la CPSC a suscité des mois de débats de la part des Démocrates américains, qui ont demandé l’interdiction des appareils à gaz, y compris les cuisinières, parce qu’ils PEUVENT avoir des effets secondaires sur la santé, en particulier chez les enfants (il s’est avéré que l’étude ne reposait sur aucune base concrète pour cette affirmation).

Les gauchistes et les globalistes ne se soucient pas de protéger votre santé ; ils se préoccupent de la manière dont ces études peuvent être utilisées pour semer la peur et accroître ainsi leur pouvoir. En d’autres termes, si l’on peut truquer la science, on peut truquer les lois.

Nous avons vu quelque chose de similaire dans une étude de l’ONU en 2006 qui affirmait que la production de viande contribuait à près de 20 % de toutes les émissions de carbone et était pire pour l’environnement que les transports. L’étude a été révélée en 2010 comme étant « viciée » (frauduleuse), mais pendant des années, les médias et les organisations globalistes ont utilisé ses fausses conclusions comme tremplin pour exiger des limitations et des interdictions de la production de viande au nom de la sauvegarde du climat.

Si vous pensez que la guerre contre l’agriculture qui fait rage actuellement en Europe ne concerne que les exploitations industrielles, détrompez-vous. L’establishment va tenter d’utiliser le mensonge du changement climatique provoqué par l’homme pour dicter TOUTE la production alimentaire, jusqu’à votre modeste jardin. Et ils ne limiteront pas leurs efforts à l’UE ; ils s’en prendront aux exploitations agricoles américaines avec les mêmes restrictions.

C’est là tout l’intérêt des programmes globalistes « net zero » et des villes de 15 minutes : ils reposent sur l’idée que toute activité humaine doit être surveillée et gérée. Ils disent que c’est pour le bien de la planète, mais les systèmes qu’ils veulent mettre en place entre 2030 et 2050 ressemblent à un nouveau féodalisme numérique, une société où les bureaucraties suivent, tracent et micro-gèrent chaque aspect de votre vie. Les élites en profiteront largement sans jamais prouver que les émissions de carbone représentent un danger pour qui que ce soit.

Pourquoi cette focalisation obsessionnelle sur l’alimentation ? Parce que si les gens ont leur propre nourriture, ils seront peut-être plus enclins à se rebeller contre de nouvelles obligations. C’est aussi simple que cela. La finalité est évidente : contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le monde. Faites-le au nom de la sauvegarde de la planète et beaucoup de gens vous remercieront même si vous les affamez.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




Philippe De Villiers et la crise de civilisation

[Source : Philippe de Villiers]


[Source : Confédération paysanne]

Ce chant a été écrit collectivement par des paysannes et paysans de la Confédération paysanne de Drôme et du Var. A l’initiative de Vincent Delmas, maraîcher et éleveur dans la Drôme, ce projet est issu d’un atelier d’écriture collectif de paysannes et paysans dans ce département. Avec la participation du chanteur HK, de Mathilde Dupuch et Saïd Zarouri. Direction artistique et arrangement à trois voix de David Bardy.




Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





Dioxyde de carbone — Le gaz de la vie

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

— Le dioxyde de carbone (CO2) est généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et accusé à tort de perturber le climat de la planète.

— Le CO2 est un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler. Une augmentation de 100 % du CO2, de 400 ppm à 800 ppm, diminuerait le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %, ce qui se traduirait par une augmentation de 0,7 degré C de la température moyenne de la Terre.

— Une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’incidence sur les températures mondiales. Pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, on suppose qu’il y a des rétroactions positives massives. Or, la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives, de sorte qu’il est probable que l’augmentation de 0,7 degré Celsius soit surestimée dès le départ.

— Il n’existe pas de température unique pour la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Chaque kilomètre d’altitude entraîne un refroidissement moyen de 6,6 degrés Celsius.

— L’augmentation des niveaux de CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Le CO2 réduit également les besoins en eau des plantes, ce qui diminue les risques liés à la sécheresse.

La vidéo ci-dessus, « CO2, le gaz de la vie », présente une conférence donnée lors de la réunion de la vieille garde du Sommet dans le New Jersey, le 3 octobre 2023, par William Happer, PhD, professeur émérite de physique à l’Université de Princeton et ancien conseiller scientifique des administrations Bush et Trump.

Le sujet : le dioxyde de carbone (CO2), généralement considéré à tort comme un déchet nocif de la respiration et un polluant qui perturbe le climat planétaire. Comme l’explique M. Happer dans cette conférence, le CO2 est en fait un gaz essentiel à la vie. En outre, son impact sur les températures terrestres est négligeable et le restera même si sa concentration actuelle dans l’atmosphère devait doubler.

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
et les autres articles du dossier Climat.]

Le CO2 n’est pas un polluant

Actuellement, la concentration de CO2 dans l’atmosphère à quelques milliers de pieds d’altitude est d’environ 430 parties par million (ppm). Plus près du sol, les concentrations varient considérablement, à la fois en fonction du lieu et de l’heure de la journée. En effet, les relevés au niveau du sol sont influencés par la photosynthèse et la respiration des insectes, entre autres.

Dans la salle où M. Happer donnait sa conférence, la concentration de CO2 était de 1 800 ppm, ce qui s’explique par le fait qu’un grand groupe de personnes respire dans un espace clos. Les systèmes de climatisation sont équipés de compteurs de CO2 qui activent des ventilateurs pour amener l’air extérieur à l’intérieur lorsque les niveaux sont trop élevés.

La question de savoir ce qui est trop élevé est importante, étant donné que les promoteurs du Great Reset défendent un programme vert qui exige le démantèlement de l’infrastructure énergétique et de l’agriculture au nom de la lutte contre le changement climatique, qui menace manifestement notre qualité de vie et notre approvisionnement en nourriture. À terme, il pourrait même menacer l’existence de l’Homme.

Le fait est que le CO2 n’est pas le « méchant » que l’on croit, et que le programme « net zéro » est totalement inapproprié si le maintien de la vie sur Terre fait partie de l’équation.

« Le CO2 est un élément essentiel et naturel de la vie », explique M. Happer. « C’est le gaz de la vie. Après tout, nous sommes faits de carbone, principalement de carbone, et nous expirons beaucoup de CO2 par jour rien qu’en vivant. Chacun d’entre nous expire environ 2 livres [environ un kilogramme] de CO2 par jour. Si l’on multiplie ce chiffre par 8 milliards de personnes et 365 jours par an, on constate que le simple fait de vivre représente une part non négligeable du budget CO2 de la Terre.

Néanmoins, nous vivons une croisade contre ce qu’on appelle le CO2 polluant. On parle de pollution par le carbone. Mais chacun d’entre nous pollue la Terre en respirant, donc si vous voulez arrêter de polluer… apparemment, Dieu veut que nous nous suicidions…

Nous faisons toutes sortes de choses folles à cause de ce prétendu polluant… De plus en plus de belles prairies sont couvertes de panneaux solaires noirs. Cela ne fonctionne pas très bien ; cela ne fonctionne pas du tout la nuit. Cela ne fonctionne pas par temps nuageux. Cela ne fonctionne pas très bien au milieu de l’hiver à cause de l’angle du soleil.

Mais nous le faisons quand même. Si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le recommande vivement. Il a été publié pour la première fois en 1841, sous le titre « Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds » (Illusions populaires extraordinaires et folie des foules). Il est tout aussi pertinent aujourd’hui qu’il l’était à l’époque…

Je suis physicien. Je suis fier de dire que personne ne peut me qualifier de climatologue, mais j’en sais beaucoup sur le climat et j’ai été coauteur de l’un des premiers livres sur les effets du dioxyde de carbone il y a 41 ans. Il s’agissait d’une étude réalisée par le groupe Jason, dont j’étais membre. J’en ai été le président pendant un certain temps et il y avait de très bonnes personnes au sein de ce groupe. »

Impact à long terme de l’augmentation du CO2 atmosphérique

La question clé en matière de réchauffement climatique est la suivante : de combien la Terre se réchauffe-t-elle si l’on double la concentration de CO2 dans l’atmosphère ? C’est ce qu’on appelle la question de la sensibilité du climat. On estime qu’un doublement du CO2 entraînerait une augmentation de 3 degrés centigrades de la température mondiale.

« Ce n’était pas basé sur des calculs rigoureux », explique M. Happer. « C’était le résultat d’une réflexion de groupe. C’est ce que tout le monde pensait, et c’est donc ce que nous pensions. Pour ma défense, l’une des raisons pour lesquelles je n’ai pas prêté beaucoup d’attention à cela [est que] je travaillais à ce moment-là sur quelque chose qui me semblait beaucoup plus important. Permettez-moi de vous en parler, afin que vous compreniez pourquoi je pense être qualifié pour pontifier sur ce sujet.

C’était le début de l’Initiative de défense stratégique, de la Guerre des étoiles… Le président Reagan… voulait trouver un moyen de défendre les États-Unis afin d’éviter ce pacte de suicide collectif, et nous avons notamment envisagé d’utiliser des lasers puissants pour brûler les missiles en approche…

Mais voilà le problème. Si vous prenez le laser d’un mégawatt au sol et que vous l’envoyez vers le missile, le temps qu’il atteigne le missile, le faisceau, au lieu de concentrer toute la puissance sur le missile, se brise en centaines de sous-faisceaux — des taches — et c’est quelque chose qui était bien connu des astronomes. Le même problème se pose lorsque l’on observe des étoiles et des galaxies lointaines.

Les astronomes savaient comment résoudre ce problème… Si l’on peut mesurer le degré de courbure de cette onde, on peut la faire rebondir sur un miroir courbé dans la direction opposée, et lorsque l’onde rebondit, elle est absolument plate. C’est ce qu’on appelle l’optique adaptative, qui fonctionne à merveille. Lorsque vous focalisez le faisceau corrigé, vous obtenez un seul point au lieu de centaines de [faisceaux].

Le problème, c’est que si vous regardez le ciel nocturne, il n’y a que quatre ou cinq étoiles qui sont assez lumineuses pour avoir suffisamment de photons pour mesurer la distorsion de l’onde. Nous avons donc organisé une réunion confidentielle au cours de l’été 1982. Un certain nombre d’officiers de l’armée de l’air y ont expliqué le problème. Par chance, je savais comment le résoudre.

On peut fabriquer une étoile artificielle n’importe où dans le ciel en faisant briller un laser réglé sur la fréquence du sodium sur la couche de sodium au-dessus de nos têtes, à 90 ou 100 kilomètres. »

Bien que l’armée de l’air ait d’abord douté de l’existence d’une couche de sodium dans l’atmosphère, elle a fini par construire le laser à sodium proposé par Happer, et si vous vous rendez aujourd’hui dans n’importe quel télescope terrestre, vous en verrez généralement un ou deux. Quoi qu’il en soit, cette histoire visait simplement à vous convaincre que Happer sait de quoi il parle lorsqu’il s’agit des constituants atmosphériques et des phénomènes qui y sont liés.

Le CO2 n’a pas d’impact perceptible sur les températures terrestres

Selon les alarmistes du climat, l’augmentation du CO2 entraînera un réchauffement de la planète qui menacera toute vie sur terre. En réalité, le CO2 « n’a qu’un effet très limité sur le climat », explique M. Happer.

Il faut garder à l’esprit qu’il n’existe pas de température unique sur la Terre. Elle varie en fonction du lieu et de l’altitude. Pour chaque kilomètre d’altitude, on observe un refroidissement moyen de 6,6 degrés C. C’est ce que l’on appelle le taux de déchéance [ou gradient thermique]. Ce refroidissement se poursuit jusqu’à la troposphère, où il s’arrête.

Le refroidissement est dû au fait que l’air chaud monte et que l’air froid descend. « C’est la convection qui provoque cette chute rapide des températures — 6,5 degrés par kilomètre », explique M. Happer. Il explique ensuite le graphique suivant, qui détaille le rayonnement thermique de la Terre vers l’espace, en supposant une température de surface de 15,5 degrés C. Les gaz à effet de serre représentent la zone située sous la courbe noire dentelée.

Selon M. Happer, ce chiffre ne représente que 70 % de ce qu’il serait en l’absence de gaz à effet de serre, ce qui est illustré par la courbe bleue lisse, car lorsque le soleil réchauffe la terre, les gaz à effet de serre — principalement la vapeur d’eau — empêchent le refroidissement.

La partie la plus importante de ce graphique est la ligne rouge dentelée, représentée ici avec une flèche rouge pointant vers elle. Cette ligne rouge montre l’effet qu’aurait un doublement (une augmentation de 100 %) du CO2 sur la température à la surface de la Terre. Comme vous pouvez le constater, cet effet est négligeable. Il diminue le rayonnement vers l’espace de seulement 1,1 %.

Comme le note Happer :

« Il faut bien l’admettre. Nous sommes loin de doubler [le CO2] aujourd’hui. Cela prendra beaucoup de temps, [et] cela n’entraîne qu’un changement de 1 %. Le CO2 est donc un très mauvais gaz à effet de serre. Ce n’est pas un gaz à effet de serre efficace. »

Si l’on supprime TOUT le CO2, on obtient la courbe verte en dents de scie. Comme vous pouvez le constater, les lignes dentelées verte et noire sont parallèles, à l’exception d’un point. L’effet est énorme si l’on passe de zéro CO2 à 400 ppm (flèche verte). Mais il est à nouveau négligeable lorsque l’on passe de 400 ppm à 800 ppm (flèche noire). Comme l’explique Happer :

« Tout l’effet se produit dès la première petite quantité de CO2 ajoutée… Il est donc tout à fait exact qu’un doublement du CO2 n’entraîne qu’une diminution de 1 % du rayonnement. Le GIEC [Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat] obtient la même réponse, ce qui ne prête pas vraiment à controverse, même s’il ne vous montrera jamais la courbe et ne vous dira jamais qu’il s’agit de 1 %. Cela perturberait la narration…

Il s’agit donc de rayonnement vers l’espace. Comment transformer cela en température ? Ils craignent un réchauffement intolérable de la surface de la Terre où nous vivons, ou d’autres parties de l’atmosphère.

Là encore, il est important de faire le calcul de premier ordre… et il indique que le réchauffement dû au doublement du CO2 est… inférieur à un degré… 0,7 [degré] C. Très faible. On ne peut vraiment pas le sentir. »

Pourquoi, alors, s’alarmer de l’augmentation du CO2 ?

Inutile de préciser qu’il s’agit là d’un énorme problème pour la communauté des climatologues, car une différence de 0,7 degré C signifie qu’il n’y a pas d’urgence climatique et que, quoi que nous fassions pour réduire les émissions de CO2, cela n’aura pas d’impact sur le climat.

Ainsi, pour créer une situation d’urgence là où il n’y en a pas, le GIEC « suppose d’énormes rétroactions positives », explique M. Happer. Le CO2 n’étant pas un gaz à effet de serre puissant, le minuscule réchauffement direct qu’il provoque est [supposé] amplifié par des facteurs allant de quatre à six pour donner l’impression qu’il a un impact perceptible.

« J’aime à dire qu’il s’agit d’une discrimination positive pour le CO2 », explique M. Happer.

« Il n’est pas très bon pour le réchauffement, mais si vous supposez qu’il y a beaucoup de rétroaction, vous pouvez continuer à recevoir de l’argent. Le problème, c’est que la plupart des personnes ayant des connaissances en chimie physique et en physique savent que la plupart des rétroactions naturelles sont négatives, et non positives. »

« Le réchauffement de 0,7 degré C obtenu lorsque l’on double le CO2 est probablement surestimé, car il existe probablement des rétroactions négatives dans le système climatique très complexe dans lequel nous vivons. »

William Happer, Ph.D.

C’est ce qu’on appelle le principe de Chatelier, du nom du chimiste français qui a découvert que « lorsqu’un système simple en équilibre thermodynamique est soumis à un changement de concentration, de température, de volume ou de pression… le système passe à un nouvel équilibre et… le changement s’oppose en partie au changement appliqué ».

Ainsi, le réchauffement de 0,7 degré Celsius obtenu en doublant le CO2 est « probablement surestimé », affirme M. Happer, « parce qu’il y a probablement des rétroactions négatives dans ce système climatique très compliqué dans lequel nous vivons. L’atmosphère, les océans, tout est non linéaire. »

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que le fait que nous soyons à 400 ppm de CO2 ou à 800 ppm n’a pas d’importance lorsqu’il s’agit d’influer sur la température de la Terre. En bref, l’hystérie climatique n’est que cela. Elle ne repose sur aucune menace réelle. Ce n’est que si nous parvenions à atteindre le zéro absolu en matière de CO2 qu’il y aurait un changement, mais cela signifierait également que nous exterminerions tous les êtres vivants de la planète. Ce n’est rien d’autre qu’un programme de suicide.

Plus de CO2 rendra la planète plus verte

Comme l’explique M. Happer, une augmentation du CO2 rendra la planète plus verte et plus accueillante pour les plantes. Plus il y a de CO2, plus les plantes et les arbres poussent bien. Si nous voulons des forêts luxuriantes et des récoltes abondantes, la réduction du CO2 est donc la dernière chose à faire.

« Toutes les plantes poussent mieux avec plus de CO2 [dans l’air] », explique-t-il. «Aujourd’hui, les plantes manquent cruellement de CO2. Nous savons que les plantes ont besoin de nombreux nutriments essentiels. Elles ont besoin d’azote, de phosphore, de potassium et surtout d’eau. Mais elles ont également besoin de CO2, et comme beaucoup d’autres nutriments, le CO2 est aujourd’hui en pénurie.»

Le CO2 profite aux plantes en réduisant leurs besoins en eau, ce qui diminue les risques de sécheresse. Des niveaux plus élevés de CO2 réduisent également la photorespiration nocive. Selon M. Happer, les plantes de type C3 perdent environ 25 % de leur potentiel de photosynthèse en raison de l’augmentation de la photorespiration. Pour plus d’informations sur le rôle du CO2 dans la croissance des plantes et la photosynthèse, veuillez visionner la vidéo. La discussion commence vers la quarantième minute.

Mensonges, ignorance, stupidité ou autre chose ?

En conclusion, M. Happer s’efforce d’expliquer ce qui motive l’hystérie climatique :

« Malgré les arguments incontestables selon lesquels il n’y a pas d’urgence climatique — le CO2 est bon pour la Terre — la campagne visant à bannir le CO2, “net zéro”, a connu un grand succès. Comment cela est-il possible ? Je suis vraiment dépassé par les événements, car je parle maintenant de la nature humaine. Je suis très doué pour les instruments et la résolution d’équations différentielles, mais je ne suis pas très doué pour comprendre les êtres humains.

Mais voici quelques-uns des moteurs : les nobles mensonges, les mensonges politiques, l’ignorance, la stupidité, la cupidité. Les nobles mensonges remontent à Platon, qui en parle dans “La République”. En politique, un noble mensonge est un mythe ou une contre-vérité, souvent, mais pas invariablement, de nature religieuse, sciemment propagé par une élite pour maintenir l’harmonie sociale ou faire avancer un programme.

Et ici, l’agenda est clair. Si l’on peut d’une manière ou d’une autre unir l’humanité pour lutter contre une menace extérieure, par exemple la pollution par le CO2, alors nous ne nous battrons plus les uns contre les autres. Il n’y aura pas de guerres. Je pense donc que de nombreuses personnes sincères ont adhéré à la thèse du CO2 en partie pour cette raison. On peut d’ailleurs lire cela dans les premiers écrits du Club de Rome.

Il y a ensuite les mensonges politiques. Voici l’une de mes citations préférées de H. L. Menken : Le but de la politique pratique est de maintenir la population dans l’inquiétude (et donc de la pousser à se mettre à l’abri) en la menaçant d’une série infinie de hobgobelins, tous imaginaires ».

L’ignorance, bien sûr, est très répandue et repose en grande partie sur une connaissance incomplète ou une compréhension erronée des faits. Et qu’en est-il de la stupidité ? Dietrich Bonhoeffer, l’un des rares ecclésiastiques allemands à s’être opposé à Hitler et à avoir payé de sa vie son désaccord public, a écrit un jour sur la stupidité humaine :

« Contre la stupidité, nous n’avons aucune défense. Ni la protestation ni la force ne peuvent la toucher. Le raisonnement ne sert à rien. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent simplement ne pas être crus — en fait, l’imbécile peut contrer en les critiquant, et s’ils sont indéniables, ils peuvent simplement être écartés comme des exceptions insignifiantes.

L’imbécile, à la différence du scélérat, est donc parfaitement satisfait de lui-même. En fait, il peut facilement devenir dangereux, car il suffit de peu de choses pour le rendre agressif. C’est pourquoi il faut être plus prudent qu’avec un malin. »

M. Happer a lui-même fait l’expérience du danger que représente le fait de s’opposer à la stupidité. « Je reçois régulièrement des appels téléphoniques me menaçant de mort, ainsi que ma femme et mes enfants », dit-il. « Alors, de quel genre de mouvement s’agit-il ? Enfin, la cupidité. A.S. Pouchkine a dit un jour : “S’il y a un abreuvoir, il y aura des cochons”. Et c’est dans le domaine de la science du climat que l’on gagne actuellement le plus d’argent, à condition que votre travail contribue à renforcer le discours sur le réchauffement climatique et la nécessité de réduire à zéro les émissions nettes de gaz à effet de serre. »

Quels que soient les facteurs, les personnes responsables du monde entier doivent s’opposer à la fausse théorie du changement climatique et au programme « zéro émission », qui n’aboutira à rien en termes de normalisation des températures, mais qui érodera rapidement la qualité de vie et la durabilité de la production alimentaire, et qui fera passer la richesse dans les mains de quelques-uns.




La baisse de production pétrolière prévue pour se poursuivre

Voir la vidéo




Les climatosceptiques en augmentation — Davos tremble et veut la censure

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Le changement climatique perd des adeptes]

Par Francesca de Villasmundo

Un sondage a révélé un scepticisme considérable parmi le jeune public à l’égard de l’alarmisme climatique, une évolution qui a suscité une inquiétude et une colère au sein de l’appareil mondialiste : pour les partisans d’une action climatique urgente « il est déjà trop tard », l’agriculture pollue, il n’y a plus de combustibles fossiles, etc. : bref, le programme de dépeuplement sous prétexte de « lutter contre le CO2 ».

Un tiers des adolescents rejettent les discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente

Le blog bien informé Blondet et friends révèle cette étude alarmante pour les Khmers verts, enfants idéologiques des Khmers rouges de triste mémoire, ils ont juste changé de couler, mais prônent la même société de surveillance, de contrôle et de privation que les marxistes pur jus.

« L’étude, explique Maurizio Blondet, a été publiée le 16 janvier par leCenter for Countering Digital Hate(CCDH), une organisation de gauche poursuivie en justice par Elon Musk pour avoir lancé une “campagne de peur” visant à éloigner les annonceurs de X, anciennement Twitter.

L’étude révèle une augmentation significative entre 2018 et 2023 du contenu YouTube exprimant l’un des trois points de vue suivants : “les solutions climatiques ne fonctionneront pas”, “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”ou “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”.

Les chercheurs ont également découvert qu’environ un tiers des adolescents (l’audience prédominante sur YouTube) ont des opinions telles que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”ou considèrent “le changement climatique comme un canular pour contrôler et opprimer les gens”.

Les résultats, que le CCDH qualifie d’alarmants et de “surprenants”, suggèrent qu’il existe un rejet croissant des discours sur le climat qui mettent l’accent sur une catastrophe mondiale imminente.

Le groupe dit trouver cette tendance inquiétante et exhorte les grandes plateformes technologiques comme YouTube à censurer les contenus qui “contredisent le consensus scientifique faisant autorité”sur le changement climatique. »

Les Khmers verts fustigent un « nouveau négationnisme climatique »

« Les chercheurs du CCDH ont collecté les transcriptions de plus de 12 000 vidéos publiées sur 96 chaînes YouTube entre 2018 et 2023, puis ont analysé le contenu des récits sur le changement climatique. Par exemple, le contenu exprimant l’opinion selon laquelle “la science du climat et le mouvement climatique ne sont pas fiables”est passé de 23 % à 35 %, tandis que le discours selon lequel “les impacts du réchauffement climatique sont bénéfiques ou inoffensifs”est passé de 4 % à 6 %. Ce changement, qualifié de “nouveau déni”, constitue désormais la majorité (70 %) des contenus climatosceptiques sur YouTube.

« L’étude révèle également que 33 % des adolescents pensent que “les politiques climatiques causent plus de mal que de bien”et 30 % pensent que “on ne peut pas faire confiance à la science du climat et au mouvement climatique”. “La propagation du nouveau déni climatique pourrait avoir un impact catastrophique sur l’action climatique”, a déclaré le CCDH dans un communiqué dans lequel le groupe appelle Google, propriétaire de YouTube, à intensifier sa politique de démonétisation et d’affaiblissement des contenus climatosceptiques.

« Charlie Cray, stratège principal chezGreenpeace USA, a fait une déclaration similaire dans une déclaration concernant l’étude : “Les négationnistes du climat ont désormais accès à un large public mondial via les plateformes numériques. Les laisser saper progressivement le soutien du public à l’action climatique, en particulier auprès des jeunes téléspectateurs, pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur l’avenir de notre planète”. »

Faut-il être étonné si à Davos cette année, le sujet de la censure des réseaux sociaux et plateformes internet est revenu plusieurs fois sur la table ? Que l’information autre que celle estampillée correcte circule, c’est la nouvelle grande peur des bien-pensants…

Cette étude conforte les plus de 1 600 scientifiques et professionnels qui ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a « pas d’urgence climatique ».

Pourtant, rappelle fort à propos Blondet and Friends :

« En fait, plus de 1 600 scientifiques et professionnels informés ont récemment signé un engagement déclarant qu’il n’y a “pas d’urgence climatique”, arguant que les modèles erronés et la rhétorique alarmiste ont étouffé la réalité scientifique au nom de l’argent et du pouvoir. Les signataires comprennent des lauréats du prix Nobel, des physiciens théoriciens, des météorologues, des professeurs et des scientifiques environnementaux du monde entier. Le changement climatique, ou “l’urgence climatique”, comme de nombreux militants insistent pour l’appeler, est devenu un cri de ralliement mondialiste de plus en plus fort ces dernières années ».

Et ce « terrorisme climatique » comme il est dénommé dans l’article ci-dessus, a été « explicitement repris à Davos » souligne Blondet : « l’ancien vice-président Al Gore a mis en garde contre les “bombes à pluie” et les océans “en ébullition” dans un discours émouvant sur le changement climatique lors d’une réunion des élites mondiales au Forum économique mondial en Suisse l’année dernière. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a prononcé un discours tout aussi alarmiste lors de l’événement, affirmant que “nous flirtons avec un désastre climatique” et que “chaque semaine apporte avec elle une nouvelle histoire d’horreur climatique”. »

Mais cette année, révèle le journaliste Blondet :

« la directive était encore plus extrême : l’agriculture et la pêche doivent être considérées comme des crimes environnementaux, car ce sont des formes d’écocide. C’est ce qu’a déclaré Jojo Mehta, fondateur deStop Ecocide Now, à qui le Forum économique mondial a donné la parole. Au cours de son discours, l’activiste a évoqué l’idée de considérer comme des crimes les effets secondaires écologiques dérivant d’activités telles que l’agriculture, la pêche et la production d’énergie. Il espère en outre la création d’une nouvelle catégorie pénale internationale d’écocide »pour prévenir les « dégâts massifs et la destruction de la nature ». Alors que les catastrophes telles que les marées noires et les fusions nucléaires ont jusqu’à présent été considérées comme des formes d’écocide, Mehta suggère d’étendre ce crime également aux fonctions nécessaires de l’humanité également. »

Quand on vous dit que les ayatollahs du climat sont des communistes travestis, leurs délires messianistes d’un meilleur des mondes « vertueux » sans agriculture, ni pêche, ni énergie, préludes à la dépopulation de la terre, et confinant à la haine de l’humanité, vous le prouvent.




Sauvons nos agriculteurs dont l’UE et les écologistes veulent la disparition

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien

Sous prétexte de sauver la planète (qui survivra à l’espèce humaine quoiqu’il arrive), les écologistes et l’UE créent sans cesse des normes et des interdictions qui, peu à peu, détruisent notre agriculture tandis que les prétextes de la guerre en Ukraine et du financement de la transition écologique entraînent une augmentation des taxes de toutes sortes, dont celle du prix du diésel, poussant un nombre croissant d’agriculteurs à la ruine et au suicide.

Une politique agricole commune devenue désastreuse

La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elleprotégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la communauté européenne devenue ensuite l’Union européenne est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18 % pour la France).

Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221 : un poulet sur deux, 56 % de la viande ovine, 28 % des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt Amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent « la montée en gamme » entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio particulièrement exposé dans ce contexte a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70 % des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

La dérive totalitaire et fiscale des écologistes

Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieu par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques aggravant d’autant la crise du logement.

Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

Récemment Bruno Le Maire, a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

Les agriculteurs des pays voisins se battent pour survivre

Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19 % le 1er janvier 2024.

Les manifestations « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et les routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

Les autorités pour discréditer le mouvement actuellement très populaire prétendent « craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite. »

Des agriculteurs français ont également rejoint le cortège

Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré : « C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg ». Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

« On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement. »

Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

« L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin ! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire ».

Thierry Coué peste6 contre « l’empilement de textes » français ou européens, les « injonctions contradictoires », ou le « manque de bon sens ». Les témoignages concordants s’accumulent7 8 9.

Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

Frexit !





La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

[Source : institutdeslibertes.org]

Par Jean-Jacques Netter

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65 % du PIB américain contre 91 % il y a dix ans. Si on continue à ce rythme-là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les Français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio : incarne le camp du « bien » avec ses mots vertueux : écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs : vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal : pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climatosceptiques, et des qualificatifs négatifs : polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ L’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes. 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Les climatosceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatoscepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

L’alliance écologistes-gauche ne fonctionne plus… Aux Pays-Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut. Ce totalitarisme mou teinté d’anticapitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe… Les énergies fossiles ont intensifié la violence, dit-elle !

Le nucléaire français a été démantelé

En France l’État a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’État actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’État régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60 Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md $ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Électricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25 % de sa production (100 TWh) au prix de 42 €/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh.

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5 Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50 % depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB et le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien, on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia… Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45 % du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France…

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45 % de son mix énergétique.

La Chine possède 72 % de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35 % à ceux de l’Europe et de 20 % à ceux des États-Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montrent la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59.5 Md$. Chevron a racheté Hess pour 53 Md $

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon.

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100 MW d’éolien ou de solaire ne permet selon JP Morgan de débrancher que 10 à 30 MW de thermique…

Auteur : Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de la bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.




Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques

[Source : aubedigitale.com]

Un grand expert en climatologie tire la sonnette d’alarme : Le dioxyde de carbone n’est pas à l’origine du « réchauffement de la planète »

L’un des plus grands experts mondiaux du climat s’est exprimé pour avertir le public que l’affirmation du programme vert mondialiste selon laquelle le dioxyde de carbone est à l’origine du « réchauffement de la planète » est « totalement fausse ».

Ces dernières années, des bureaucrates non élus, des élites du monde des affaires et leurs alliés au sein des gouvernements mondiaux et des médias ont promu le programme de « décarbonisation ».

Ce programme, défendu par le Forum Économique Mondial (FÉM) et les Nations unies (ONU), prétend que le dioxyde de carbone est à l’origine de la soi-disant « crise climatique ».

La solution à cette supposée « crise » consiste pour les gouvernements du monde à se conformer aux objectifs « Net Zéro » du FEM afin de respecter « l’Agenda 2030 » et « l’Agenda 2050. »

Le plan du FEM cherche à éliminer les « émissions d’origine humaine » telles que le dioxyde de carbone pour « sauver la planète. »

Cependant, les critiques soutiennent que la « décarbonisation » n’est qu’un euphémisme pour l’agenda anti-humain du FEM.

Bien entendu, la principale source de dioxyde de carbone sur Terre est l’homme et ses activités, telles que la combustion de combustibles fossiles.

L’homme moyen exhale environ 1 kg de dioxyde de carbone par jour.

Si l’on multiplie ce chiffre par une population mondiale de 8,1 milliards de personnes respirant 365,25 jours par an, on obtient une production annuelle de CO2 de 3,4 milliards de tonnes.

Toutefois, les experts s’empressent de souligner que ce chiffre n’a pas de sens puisque la respiration humaine fait partie d’un « cycle fermé » dans lequel notre production de dioxyde de carbone est compensée par le dioxyde de carbone absorbé par le blé, le maïs, le céleri et les fruits de l’Ougli que nous mangeons.

Néanmoins, l’agenda anti-carbone cible directement les humains et les activités humaines.

La réponse, selon le FEM, est que le grand public doit réduire drastiquement sa qualité de vie tout en remettant d’importantes sommes d’argent à l’élite mondiale.

Selon Willie Soon, expert en climatologie, le carbone n’a rien à voir avec les changements climatiques.

Soon dénonce aujourd’hui le programme des écologistes et avertit le public que les affirmations anti-carbone ne sont que des mensonges.

L’expert explique que les changements climatiques sont des phénomènes naturels qui se produisent depuis des milliards d’années et qu’ils n’ont rien à voir avec l’activité humaine.

Il ajoute que l’humanité devrait regarder au-delà de la Terre pour en trouver la source.

Soon, membre invité du comité consultatif scientifique du Centre pour l’énergie, le climat et l’environnement de la Heritage Foundation, affirme que c’est la rotation de la Terre autour du Soleil qui influe sur la température de la planète, et non le dioxyde de carbone comme le prétendent les élites du pouvoir mondial.

Par exemple, les glaciers « ont fondu parce que le Soleil a commencé à devenir… plus brillant et a fourni plus d’énergie solaire au système climatique », selon M. Soon.

Tout au long de sa carrière, M. Soon, ancien chercheur au Centre d’astrophysique de Harvard et à l’Institut Smithsonian, explique qu’il a cherché à établir les faits entourant les changements climatiques parce que « la science n’est pas une question de croyance ».

« La science est une affaire de données », affirme-t-il.

Les mondialistes prétendent que « l’augmentation du dioxyde de carbone est le principal facteur […] qui affecte le changement climatique, ce qui est totalement faux », affirme Soon.

« C’est une vision tellement déformée que je pense qu’elle doit être corrigée. »

REGARDEZ :

Soon explique le faux programme anti-carbone lors d’une interview sur « The Daily Signal Podcast » pour la deuxième partie d’une série en trois parties sur le « changement climatique ».

Il explique pourquoi le soleil est la source du changement climatique et comment il affecte les cycles de réchauffement et de refroidissement de la Terre.

Les bureaucrates « wokes » et les élites du monde des affaires ne peuvent pas changer ces cycles, note-t-il.

ÉCOUTEZ :






Mythes et légendes de l’écologie

[Source : @TVL]

Mathématicien, enseignant chercheur en mathématiques, Benoît Rittaud montre que la science sert désormais d’outil de censure au profit d’une idéologie qui, sous couvert de sauver la planète, installe ses rituels, ses légendes et ses prescriptions toujours plus exigeantes au cœur de notre société. Dans « Mythes et légendes écologistes », le scientifique démontre que la mythologie écologiste postmoderne n’a rien d’une vision naïve et bien intentionnée. Pour Benoît Rittaud, derrière son sympathique imaginaire de façade, se cache en réalité un projet totalitaire qui combat l’aspiration même à un monde plus prospère et plus libre.
Dans un entretien sans concessions, Benoît Rittaud évoque la mascarade de la Cop28 et revendique son statut « d’environnementaliste raisonnable » refusant de verser dans le catastrophisme global émanant d’un cartel de recherche qui interdit la dissidence et ne tolère pas la nuance.

[Le site des climato-réalistes de Benoît Rittaud :
https://www.climato-realistes.fr]






Des scientifiques « wokes » accusent la respiration humaine d’être à l’origine du changement climatique

[Source : aubedigitale.com]

Par David Lindfield

Un groupe de scientifiques « wokes » a affirmé que la respiration humaine contribuait au « changement climatique ».

La lutte des mondialistes contre la prétendue « crise climatique » devait toujours se résumer à restreindre l’activité biologique humaine de base, essentielle.

L’agenda a toujours été une guerre contre l’humanité elle-même.

En 2010, Bill Gates, cofondateur de Microsoft, l’a admis lors d’un Ted Talk.

Les commentaires anti-humains de Gates ont été accueillis par une cacophonie d’applaudissements flagorneurs de la part de son public lobotomisé.

« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants », a déclaré Gates.

« Nous nous dirigeons vers neuf milliards d’individus. »

« Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 pour cent…

« Nous émettons beaucoup de dioxyde de carbone chaque année — plus de 26 milliards de tonnes », a expliqué Gates.

« D’une manière ou d’une autre, nous devons apporter des changements qui ramèneront ce chiffre à zéro… »

« Cette équation comporte quatre facteurs, un peu de multiplication… »

« Il y a donc un facteur à gauche, le CO2, que l’on veut ramener à zéro, et ce facteur sera basé sur le nombre de personnes, les services que chaque personne utilise en moyenne, l’énergie, en moyenne, pour chaque service, et le CO2 émis par unité d’énergie. »

« Examinons donc chacun de ces éléments et voyons comment nous pouvons les ramener à zéro. »

« Il est probable que l’un de ces chiffres devra s’approcher de zéro. »

Puis le public se met à rire.

REGARDEZ :

En ajoutant le qualificatif « l’un de ces nombres » et en ne le précisant pas, M. Gates a maintenu un déni plausible sur ce qu’il voulait dire exactement.

Mais nous savons ce que lui et ses collègues transhumains voulaient dire.

Selon le Daily Mail, les scientifiques avertissent désormais que les gens provoquent un « changement climatique » par le simple fait de respirer.

La nouvelle étude a été menée par Nicholas Cowan, physicien de l’atmosphère au Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg.

L’étude affirme que les gaz contenus dans l’air expiré par les poumons humains alimentent le réchauffement de la planète.

Selon les scientifiques, le méthane et l’oxyde nitreux présents dans l’air expiré représentent 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.

Et ce chiffre ne tient même pas compte des gaz que nous rejetons en rotant et en pétant.

Les soi-disant « émissions » proviennent également de notre peau sans que nous nous en rendions compte, prévient la science « woke ».

« L’haleine humaine peut contenir de faibles concentrations élevées de méthane (CH4) et d’oxyde nitreux (N2O), qui contribuent tous deux au réchauffement de la planète », préviennent le Dr Cowan et son équipe.

« Nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions d’origine humaine sont négligeables ».

La manière dont les humains sont censés faire preuve de prudence lorsqu’il s’agit de respirer n’est toutefois pas claire.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Les billets de banque bientôt éliminés pour cause d’empreinte carbone ?

[Source : jovanovic.com]

HARO SUR LES BILLETS DE BANQUE QUI ONT UNE EMPREINTE CARBONE

Par Pierre Jovanovic

du 18 au 24 décembre 2023

Celle-là je ne l’ai pas vue venir, et pourtant, je suis vraiment informé :

« L’utilisation des billets de banque a un impact sur l’environnement équivalent à 8 km en voiture ou à 0,01 % de l’impact environnemental total moyen de la consommation d’un Européen. C’est ce qui ressort d’une étude de la Banque Centrale Européenne. »

!!!!!!!!!!!!!!!! ??????????? !!!!!!!!!!!!

Prendre les citoyens pour des imbéciles à un tel niveau relève clairement des Jeux Olympiques, restez assis :

« Pour l’étude, l’impact environnemental du cycle de vie complet des billets a été examiné, y compris l’extraction des matières premières, la fabrication, la distribution et la circulation jusqu’à la destruction finale des billets.

La plus grande charge environnementale provient de la consommation d’énergie des distributeurs automatiques de billets, suivie par le traitement des billets dans les banques centrales, le transport, la production de papier à partir de coton durable et le processus de vérification des billets en magasin.

L’euro est la monnaie de 346 millions d’Européens dans 20 pays. L’utilisation des pièces de monnaie et des transactions électroniques, qui passent par des connexions Internet et des centres de données, n’a pas été étudiée dans le rapport. La BCE souhaite réduire davantage l’impact environnemental des billets de banque en recyclant plus de matériaux provenant de billets usagés et s’attend à des distributeurs automatiques de billets encore plus économes en énergie. »

Le message est on ne peut plus clair ! lire ici De Telegraaf, merci à nos lecteurs.




SolarBall : l’invention d’un étudiant qui purifie l’eau sale sans électricité

[Source : observelemonde.com]

Une invention révolutionnaire qui a changé tout ce que l’on savait sur la purification de l’eau par évaporation, la SolarBall. Cette sphère est capable de purifier l’eau sale sans avoir besoin d’utiliser d’électricité. Elle a été créée par un étudiant.

La SolarBall pour purifier l’eau sale

La création du SolarBall a été rendue possible par un jeune étudiant australien nommé Jonathan Liow de l’Université Monash de Melbourne. Le garçon a dévoilé son invention pour la première fois en 2008, lors du concours international de design James Dyson.

L’invention a attiré l’attention du monde entier, apparaissant dans divers titres et chaînes de télévision. Cependant, l’impact n’était pas seulement dû à l’invention elle-même, mais aussi aux motivations qui l’ont motivée.

Dans plusieurs interviews, Liow a déclaré que l’inspiration pour le SolarBall était le besoin urgent d’eau potable au Cambodge. Il s’est dit ému par le contraste frappant entre les privilèges qu’il a vécus et le sort de ceux qui, au Cambodge, n’ont pas accès à ce besoin fondamental.

En voyageant dans cette région, Liow a pu se rendre compte des conditions de vie difficiles. Il s’est rendu compte que même si l’eau potable ne résolvait pas tous les problèmes, elle pourrait certainement faire une différence significative. Poussé par ce besoin, il a créé le SolarBall.

Le mécanisme de la sphère solaire

Bien qu’il existe des appareils similaires destinés à la purification de l’eau, le SolarBall a été méticuleusement conçu pour répondre à un besoin spécifique. Sa simplicité, combinée à son efficacité, le rend idéal pour ceux qui font face à une pénurie d’eau.

Cet outil innovant peut produire jusqu’à 3 litres d’eau purifiée. Les utilisateurs n’ont qu’à verser de l’eau dans le SolarBall et à le placer à la lumière directe du soleil. La combinaison de l’eau non potable et de l’ensoleillement intense qui prévaut dans ces régions facilite la transformation.

Démontrant son potentiel d’impact significatif sur la santé, le SolarBall ne se limite pas au Cambodge. Liow a envisagé une application plus large et l’a donc conçue pour qu’elle soit aussi adaptable et universelle que possible. La combinaison de couleurs neutres et d’un design polyvalent garantit son adéquation à diverses cultures et routines quotidiennes.

Le succès de cet appareil est évident parmi ceux qui l’ont utilisé et ont vu ses effets transformateurs.

Jonathan Liow voulait laisser un impact durable sur l’histoire, c’est pourquoi il a développé le SolarBall, un appareil capable de fonctionner dans les circonstances les plus extrêmes et de résoudre un problème qui pourrait tous nous affecter dans un avenir pas si lointain. Cela signifie-t-il la fin de la lutte pour l’eau potable dans ces régions ? La réponse reste incertaine, mais elle marque sans aucun doute une étape importante vers cet objectif.

Source : https://www.solarfeeds.com/mag/wiki/solarball/




Le président de la Cop28 estime que les demandes d’élimination progressive des combustibles fossiles ne reposent sur aucune donnée scientifique

[Source : theguardian.com]

[Illustration : Anadolu/Getty Images]

Exclusif : Sultan Al Jaber, des Émirats arabes unis, affirme que l’élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz ramènerait le monde « dans les cavernes ».

Par Damian Carrington et Ben Stockton

Le président de la Cop28, Sultan Al Jaber, a déclaré qu’il n’existait « aucune science » indiquant qu’une élimination progressive des combustibles fossiles était nécessaire pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, ont révélé le Guardian et le Centre for Climate Reporting.

M. Al Jaber a également déclaré qu’une élimination progressive des combustibles fossiles ne permettrait pas un développement durable, « à moins de vouloir ramener le monde dans les cavernes ».

Ces commentaires sont « incroyablement préoccupants » et « frôlent le déni climatique », ont déclaré les scientifiques, et ils sont en contradiction avec la position du secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

M. Al Jaber a fait ces commentaires dans des réponses malveillantes aux questions de Mary Robinson, présidente du groupe des « Elders » et ancienne envoyée spéciale des Nations unies pour le changement climatique, lors d’un événement en ligne en direct le 21 novembre. En plus de diriger la Cop28 à Dubaï, M. Al Jaber est également directeur général de la compagnie pétrolière publique des Émirats arabes unis, Adnoc, ce que de nombreux observateurs considèrent comme un grave conflit d’intérêts.

Plus de 100 pays soutiennent déjà l’élimination progressive des combustibles fossiles. La question de savoir si l’accord final de la Cop28 prévoit cette élimination ou utilise des termes plus faibles tels que « réduction progressive » est l’une des questions les plus âprement discutées lors du sommet et pourrait être le facteur déterminant de son succès. Des réductions profondes et rapides sont nécessaires pour ramener les émissions de combustibles fossiles à zéro et limiter l’aggravation rapide des effets sur le climat.

Al Jaber s’est entretenu avec Mme Robinson lors d’un événement organisé par She Changes Climate. Mme Robinson a déclaré : « Nous sommes dans une crise absolue qui touche les femmes et les enfants plus que quiconque… et c’est parce que nous ne nous sommes pas encore engagés à éliminer progressivement les combustibles fossiles. C’est la seule décision que la Cop28 peut prendre et, à bien des égards, parce que vous êtes à la tête d’Adnoc, vous pourriez en fait la prendre avec plus de crédibilité ».

M. Al Jaber a ajouté :

« J’ai accepté de venir à cette réunion pour avoir une conversation sobre et mature. Je n’adhère en aucun cas à une discussion alarmiste. Il n’y a pas de données scientifiques, ni de scénario, qui disent que l’élimination progressive des combustibles fossiles permettra d’atteindre 1,5 °C. »

M. Robinson l’a encore mis au défi : « J’ai lu que votre entreprise investissait dans beaucoup plus de combustibles fossiles à l’avenir ». Al Jaber a répondu : « Vous lisez vos propres médias, qui sont biaisés et erronés. Je vous dis que je suis l’homme de la situation ».

Al Jaber a ensuite déclaré :

« Aidez-moi, s’il vous plaît, montrez-moi la feuille de route pour une élimination progressive des combustibles fossiles qui permettra un développement socio-économique durable, à moins que vous ne vouliez ramener le monde dans les cavernes ».

« Je ne pense pas que vous puissiez aider à résoudre le problème du climat en pointant du doigt ou en contribuant à la polarisation et à la division qui existent déjà dans le monde. Montrez-moi les solutions. Arrêtez de pointer du doigt. Arrêtez ça », a déclaré M. Al Jaber.

M. Guterres a déclaré aux délégués de la Cop28 vendredi : « La science est claire : la limite de 1,5 °C n’est possible que si nous arrêtons de brûler tous les combustibles fossiles. Il ne s’agit pas de réduire, ni d’atténuer. Il s’agit d’une élimination progressive, avec un calendrier précis ».

Bill Hare, directeur général de Climate Analytics, a déclaré : « Il s’agit d’un échange extraordinaire, révélateur, inquiétant et belliqueux. Nous renvoyer dans les cavernes » est le plus vieux trope de l’industrie des combustibles fossiles : cela frise le déni du climat.

« Al Jaber demande une feuille de route à 1,5 °C. Quiconque s’en soucie peut trouver cette feuille de route dans le dernier scénario d’émissions nettes nulles de l’Agence internationale de l’énergie, qui stipule qu’il ne peut y avoir aucun nouveau développement des combustibles fossiles. La science est absolument claire [et] cela signifie absolument une élimination progressive d’ici le milieu du siècle, ce qui améliorera la vie de toute l’humanité ».

[Note de Joseph : Il ne s’agit pas de science, mais d’idéologie ou de religion ici, car la science est caractérisée notamment par le doute permanent, par la possibilité de réfutation des hypothèses et des modélisations et par la possibilité d’un débat argumenté sur les différents points de vue défendus. De plus, une théorie solide doit être cohérente, sans contradictions logiques internes, et s’appuyer sur la démarche scientifique observationnelle et expérimentale. Or les bases de l’hypothèse d’une modification climatique anthropique qui serait due à des gaz à supposé « effet de serre » ou « forçage radiatif » sont contestées, mais les diverses réfutations ne sont pas prises en compte par le GIEC.
Voir notamment :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
Les principes du raisonnement. Partie 3. Logique et climatologie
La modélisation informatique du climat relève-t-elle de science ?
Climats sous influence : des modèles pas vraiment top
La nouvelle « crosse de hockey » du réchauffement climatique vient d’exploser en plein vol
La religion du carbone]

Le professeur Sir David King, président du Climate Crisis Advisory Group et ancien conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni, a déclaré : « Il est extrêmement préoccupant et surprenant d’entendre le président de la Cop28 défendre l’utilisation des combustibles fossiles. Il est indéniable que pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, nous devons tous réduire rapidement nos émissions de carbone et abandonner progressivement l’utilisation des combustibles fossiles d’ici à 2035 au plus tard. L’alternative est un avenir ingérable pour l’humanité ».

Friederike Otto, de l’Imperial College London, au Royaume-Uni, a déclaré : « La science du changement climatique est claire depuis des décennies : nous devons cesser de brûler des combustibles fossiles. Si nous ne parvenons pas à éliminer progressivement les combustibles fossiles lors de la Cop28, plusieurs millions de personnes vulnérables supplémentaires se retrouveront dans la ligne de mire du changement climatique. Ce serait un terrible héritage pour la Cop28 ».

[Note de Joseph : il y a un fait qui semble échapper aux alarmistes climatiques, c’est que la quantité de CO2 continue sa croissance sans ralentir, voire plutôt en accélérant, mais que dans le même temps, depuis une vingtaine d’années, la température moyenne évaluée n’évolue pratiquement plus. Normalement lorsqu’une cause est la principale responsable d’un effet donné, comme ici le CO2 qui serait le principal coupable des changements climatiques, les variations des effets doivent être directement corrélées à celles des causes et avoir en gros les mêmes pentes : si la cause augmente fortement, l’effet doit aussi fortement augmenter. Or, ce n’est pas le cas ici — la température moyenne stagne tandis que le CO2 continue d’augmenter nettement.]

M. Otto a également rejeté l’affirmation selon laquelle les combustibles fossiles étaient nécessaires au développement des pays les plus pauvres, en déclarant que le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat [le GIEC] « montre que les objectifs de développement durable des Nations unies ne sont pas réalisables si l’on poursuit les économies actuelles à fortes émissions basées sur les combustibles fossiles. Le passage à un monde sans énergie fossile présente d’énormes avantages connexes ».

Un porte-parole de la Cop28 a déclaré :

« Les scénarios 1,5 °C de l’AIE et du GIEC indiquent clairement que les combustibles fossiles devront jouer un rôle dans le futur système énergétique, même si ce rôle est moindre. Le président de la Cop a cité les données scientifiques et les principaux experts en matière de climat. »

[Voir aussi :
Sans pétrole, pas d’électricité !]

« Il a clairement indiqué que l’industrie pétrolière et gazière devait s’attaquer aux émissions de portée 1 et 2 [provenant de ses activités], qu’elle devait investir dans les énergies et les technologies propres pour s’attaquer aux émissions de portée 3 [provenant de la combustion des carburants], et que l’ensemble de l’industrie devait s’aligner pour maintenir l’objectif de 1,5 °C à portée de main. »

« Une fois de plus, il s’agit clairement d’un effort continu pour saper les réalisations tangibles de la présidence de la Cop et d’une fausse représentation de notre position et de nos succès à ce jour. »

Le porte-parole a déclaré que la présidence avait rendu opérationnel le fonds pour les pertes et dommages avec plus de 700 millions de dollars, lancé un véhicule climatique du marché privé de 30 milliards de dollars, et amené 51 compagnies pétrolières à convenir d’objectifs de décarbonisation et 119 pays à signer une promesse de tripler les énergies renouvelables. « Ce n’est que le début », a déclaré le porte-parole.

M. Al Jaber est également à la tête de Masdar, la société émiratie spécialisée dans les énergies renouvelables, mais sa nomination en tant que président de la Cop28 a suscité la controverse. Peu avant le sommet, des documents ayant fait l’objet d’une fuite ont montré que les Émirats arabes unis avaient prévu d’utiliser les réunions sur le climat avec les gouvernements pour promouvoir des accords pétroliers et gaziers. M. Al Jaber a nié avoir vu ou utilisé les points de discussion contenus dans ces documents. Selon une analyse indépendante, Adnoc a également les plus grands projets d’expansion dans le domaine du pétrole et du gaz qui n’ont aucune incidence sur les émissions nettes.

La question de l’élimination progressive ou de la réduction progressive est compliquée par le fait que les termes n’ont pas de définitions convenues et par le rôle très incertain des technologies visant à « réduire » les émissions, telles que le captage et le stockage du carbone. « Pour que les objectifs de l’accord de Paris restent d’actualité, il faudra une élimination complète des combustibles fossiles, et non une vague réduction progressive reposant sur des technologies qui n’ont pas fait leurs preuves », a déclaré M. Otto.

Plus de 100 pays d’Afrique, d’Europe, du Pacifique et des Caraïbes soutiennent l’abandon progressif des combustibles fossiles. Les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole et de gaz, sont également favorables à une élimination progressive. D’autres, comme la Russie, l’Arabie saoudite et la Chine, rejettent cet appel. Les deux options sont sur la table de la Cop28, ainsi que des propositions visant à ne mentionner que le charbon ou à ne rien dire du tout sur les combustibles fossiles.

[Note de Joseph : pendant que le GIEC et les alarmistes climatiques se focalisent sur le CO2 (indispensable aux végétaux) et le méthane, ils négligent les effets plus ou moins hautement polluants de l’industrie du Charbon et de la pétrochimie. Ceux-ci sont bien plus préjudiciables à la vie organique.]

La Cop26, qui s’est tenue à Glasgow en 2021, a accepté pour la première fois de « réduire progressivement » l’utilisation du charbon, mais cette proposition a été édulcorée à la dernière minute, ce qui a fait fondre en larmes le président de la Cop26, Alok Sharma.

Lors de sa conversation avec M. Robinson, M. Al Jaber a également déclaré :

« Selon moi, la réduction et l’élimination progressives des combustibles fossiles sont inévitables. C’est essentiel. Mais nous devons être vraiment sérieux et pragmatiques à ce sujet ».

« Attendez. Permettez-moi d’expliquer », a-t-il déclaré. « Le monde continuera à avoir besoin de sources d’énergie. Nous [les Émirats arabes unis] sommes les seuls au monde aujourd’hui à avoir décarbonisé les ressources pétrolières et gazières. Nous avons la plus faible intensité de carbone ».

Il s’agit des émissions provenant de l’énergie utilisée pour extraire les combustibles fossiles, et non des émissions bien plus importantes provenant de la combustion des combustibles. Il n’existe pas de pétrole et de gaz « à faible teneur en carbone » ou « à plus faible teneur en carbone », a déclaré M. Otto.

De nombreux commentateurs ont déclaré que les révélations négatives ou embarrassantes concernant Al Jaber et Adnoc augmentent la pression exercée sur lui pour qu’il conclue un accord solide dans le cadre de la Cop28. Le Guardian a récemment rapporté que les champs pétroliers et gaziers des Émirats arabes unis, gérés par l’État, brûlaient du gaz presque quotidiennement alors qu’ils s’étaient engagés, il y a 20 ans, à appliquer une politique de zéro brûlage systématique.

Le Guardian a précédemment rapporté qu’Adnoc avait pu lire les courriels envoyés et reçus par le bureau de la Cop28 jusqu’à ce que le Guardian soulève la question en juin, et que les Émirats arabes unis n’avaient pas non plus déclaré les émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, produites par leur industrie pétrolière.

Harjeet Singh, du Réseau Action Climat, a déclaré : « La Cop28 doit prendre une décision sur l’élimination progressive des combustibles fossiles d’une manière juste et équitable, sans aucune faille ou échappatoire permettant à l’industrie de continuer à se développer et à exacerber la crise climatique. »




Le roi Charles demande 5 000 milliards de dollars par an pour faire avancer l’agenda « Net Zero » du FEM

[Source : aubedigitale.com]

Le roi Charles de Grande-Bretagne a exigé que les contribuables du monde entier déboursent 5 000 milliards de dollars chaque année pour faire avancer le programme mondialiste « Net Zéro ».

[NDLR 5 000 milliards de dollars par an, c’est deux fois plus que le PIB annuel de la France qui est déjà super endettée !]

Le « Net Zéro » est une liste d’objectifs irréalistes établie par le Forum économique mondial (FEM), avec le soutien de l’Organisation des Nations unies (ONU), qui cherche à faire avancer un programme collectiviste mondialiste.

Sous couvert d’environnementalisme, les objectifs irréalisables du « Net Zero » conduiraient la société à la faillite et rendraient le public dépendant d’une élite corporatiste non élue.

Hier, le roi Charles III a prononcé un discours lors de la cérémonie d’ouverture de la COP28.

Il a déclaré qu’« ils » avaient besoin de 4,5 à 5 000 milliards de dollars par an pour conduire la transformation nécessaire en raison du « changement climatique ».

La Conférence des Nations Unies sur le changement climatique 2023 ou Conférence des Parties de la CCNUCC (COP28) se tiendra au cours des deux prochaines semaines à Dubaï, aux Émirats arabes unis.

Elle est annoncée comme le « Sommet mondial de l’action pour le climat » et constitue le premier « bilan mondial » destiné à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord de Paris.

Le roi Charles III a prononcé un discours lors de la cérémonie d’ouverture vendredi.

« Il y a 28 ans, j’ai été très touché d’être invité à prendre la parole lors de l’ouverture de la COP21 à Paris, qui a bien sûr abouti à l’accord de Paris », a déclaré Charles III lors de la COP28.

L’accord de Paris adopté en décembre 2015 lors de la conférence sur le climat COP21 stipule que l’augmentation de la température moyenne mondiale doit être maintenue bien en dessous de 2 °C par rapport aux « niveaux préindustriels » et que les efforts sont poursuivis pour limiter l’augmentation de la température à 1,5 °C par rapport aux « niveaux préindustriels ».

Cependant, comme l’a découvert en 2017 Fritz Vahrenholt, ancien responsable des énergies renouvelables et directeur de la German Wildlife Foundation, un examen plus approfondi du texte du traité révèle que l’expression « niveaux préindustriels » n’est définie nulle part dans ce document historique de l’ONU.

Bjorn Lomborg est président du Centre du consensus de Copenhague.

Il est également l’auteur de « Fausse alerte : comment la panique du changement climatique nous coûte des milliards, nuit aux pauvres et ne permet pas de réparer la planète ».

Dans une vidéo de 2017, Lomborg a expliqué combien il en coûterait pour atteindre les objectifs « Net Zero » du FEM, tels qu’ils sont énoncés dans l’Accord de Paris sur le climat.

Selon les estimations de l’époque, cela coûterait aux contribuables entre 1 et 2 000 milliards de dollars par an.

Les défenseurs du climat affirment que ces dépenses sans précédent permettront de « sauver la planète ».

Cependant, comme les lecteurs réguliers de Slay News le savent, le FEM, l’ONU et d’autres organisations mondialistes et élites corporatives n’ont aucun intérêt à sauver la planète.

Le plan ne fera qu’appauvrir les membres du grand public et les rendre plus dépendants des politiciens et des « environnementalistes », qui deviendront au contraire plus riches et plus puissants.

En 2015, Lomborg avait déjà expliqué que l’Accord de Paris, s’il était pleinement mis en œuvre, ferait baisser les températures de la planète de 0,05 degré Fahrenheit (℉).

Un degré Celsius (℃) équivaut à 33,8℉.

0,05℉ est si petit qu’il ne peut être mesuré en ℃.

[NDLR 0,05℉ correspond à un peu moins de 0,03℃]

Alors pourquoi Charles fait-il avancer l’agenda climatique ?

Ce qu’il a dit ensuite apporte une pièce du puzzle.

L’accord de Paris, a déclaré Charles III, est « un moment historique d’espoir et d’optimisme où les nations mettent de côté leurs différences pour le bien commun. »

Le « bien commun » et le « plus grand bien » sont des concepts néfastes.

Ils représentent le collectivisme par opposition à l’individualisme.

Le collectivisme est le fondement de la politique de gauche et se retrouve dans la trame des mouvements socialistes, communistes et fascistes.

Le collectivisme est essentiellement utilisé comme un outil de contrôle social.

« Je prie de tout mon cœur pour que la COP28 soit un nouveau tournant décisif vers une véritable action transformationnelle à un moment où, comme les scientifiques nous le signalent depuis si longtemps, nous assistons à des points de basculement alarmants », a déclaré le roi à l’auditoire de la COP28.

En ce qui concerne les « points de basculement », les alarmistes du changement climatique pontifient à ce sujet depuis des décennies.

Depuis 2001, au moins sept conférences sur le climat ont été présentées comme la « dernière chance » d’arrêter le réchauffement de la planète.

Toutes se sont révélées fausses.

Philip Stott est professeur émérite de biogéographie à la School of Oriental and African Studies de l’université de Londres.

Il a également été rédacteur en chef du Journal of Biogeography.

Stott publie un blog intitulé « EnviroSpin Watch » pour surveiller la couverture médiatique britannique des questions environnementales et de la science.

En 2011, Stott a résumé le phénomène du point de basculement :

« En substance, la Terre reçoit régulièrement un avertissement de survie de 10 ans depuis une cinquantaine d’années. »

« Nous avons été condamnés en série. »

« Notre période post-moderne d’angoisse face au changement climatique remonte probablement à la fin des années 1960, si ce n’est plus tôt. »

« J’ai passé une grande partie de ma vie à essayer de mettre en garde contre les menaces existentielles auxquelles nous sommes confrontés en raison du réchauffement de la planète, du changement climatique et de la biodiversité », a déclaré Charles III.

« Toutes ces décennies plus tard et malgré toute l’attention portée, il y a aujourd’hui 30 % de dioxyde de carbone en plus dans l’atmosphère qu’à l’époque, et même près de 40 % de plus. »

Le dioxyde de carbone (CO2) est l’élément constitutif de toute vie sur Terre.

Le CO2, également appelé « engrais naturel », n’a cessé d’enrichir l’atmosphère terrestre, passant de 320 parties par million en 1970 à 365 parties en 2000 et à plus de 412 parties aujourd’hui.

Le CO2 est un élixir de vie, qui nourrit les plantes depuis l’origine du monde et rend possible pratiquement toute vie sur Terre.

Nous devrions le célébrer, et non le diaboliser.

En 2015, le Dr Patrick Moore a donné une conférence au cours de laquelle il a déclaré :

« On enseigne à nos enfants et à nos publics que le CO2 est un polluant toxique qui détruira la vie et mettra la civilisation à genoux. »

« Ce soir, j’espère renverser cette dangereuse propagande d’origine humaine. »

« Ce soir, je vais démontrer que les émissions humaines de CO2 ont déjà sauvé la vie sur notre planète d’une fin très prématurée ».

Charles III décrit ensuite autant d’effets catastrophiques du « changement climatique » que le temps le permet.

« Les dangers ne sont plus des risques lointains. Je les ai vus dans tout le Commonwealth et au-delà », affirme-t-il en énumérant sans vergogne les catastrophes « causées par le changement climatique ».

Sa liste comprend des vies et des moyens de subsistance détruits, des cyclones répétés, des inondations sans précédent, des sécheresses, de graves incendies de forêt, et l’hémisphère nord qui connaît « les températures moyennes mondiales les plus chaudes jamais enregistrées ».

« Nous sortons le monde naturel de normes et de limites équilibrées et l’emmenons sur des territoires dangereux et inexplorés », a déclaré Charles III.

« Nous menons une vaste et effrayante expérience consistant à modifier toutes les conditions écologiques d’un seul coup, à un rythme qui dépasse de loin la capacité de la nature à y faire face », a-t-il ajouté dans son discours alarmiste.

Le plan du roi consiste à réunir « les organisations philanthropiques publiques et privées et les ONG afin qu’elles jouent toutes un rôle dans l’action climatique », car « les finances publiques ne suffiront jamais à elles seules ».

Charles poursuit en proposant des plans pour un « système financier » mondialisé afin de faire avancer le programme qu’il propose.

Le monde a besoin d’un « système financier international combiné à l’utilisation innovante d’outils de réduction des risques tels que les garanties de risque de première perte », a-t-il déclaré.

« Nous pourrions ainsi mobiliser les billions de dollars dont nous avons besoin — de l’ordre de quatre et demi à cinq billions par an — pour mener à bien la transformation dont nous avons besoin ».

REGARDEZ :

[NDLR Utiliser un VPN pour regarder depuis le Canada et les autres pays bloqués.]

Nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Charles III réclame des sommes aussi considérables pour lutter contre la soi-disant « crise climatique ».

Cependant, il est clair que la « transformation » vers un « avenir durable » dont parle Charles III est un avenir où nous ne possédons rien et où ils possèdent et contrôlent tout.

Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, appelle ce plan « la Grande Réinitialisation ».

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Pas de poissons rouges ni de chiens, mais une grande messe à Dubaï : bienvenue dans l’univers délirant des écologistes

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Anthony Tremblay

La COP28, ce grand rassemblement mondialiste en faveur de « l’écologie » se tient cette année à Dubaï. Elle est probablement à tous les niveaux parmi les plus grands cancres de l’environnement mondial. Mais bon, cela n’empêche pas la bien-pensance mondialisée de s’y rassembler pour formuler des vœux pieux et serrer le contrôle sur la population. Pendant ce temps, un penseur français de l’écologie nous dit que les animaux de compagnie polluent… Il fallait y penser ! Nous allons voir ça ensemble.

Dubaï ressemble un peu à un de ces films dystopiques comme Blade Runner. C’est une ville conçue pour les joies des plus riches de la planète. Mais de l’autre côté du décor, il y a toute une population de travailleurs migrants sous-payés et exploités au point qu’il en meurt des milliers chaque année. Cette année, la COP28 se tient dans cet endroit parmi les plus grands consommateurs d’eau au monde, et ce dans une région désertique.

Bien évidemment, nous avons droit aux mêmes discours sur la transition énergétique, aux émissions carbone. Alors qu’on traite du climat comme d’habitude, nous ne parlons jamais d’environnement. Par exemple sur le fait que Dubaï manque de sable pour produire des îles artificielles ou ses gratte-ciel. Cela peut paraître surprenant, mais l’humanité manquera bientôt de sable. Le sable de Dubaï est importé d’Australie, car le sable du désert est trop fin pour faire du béton. Mais de ces enjeux, qui en parle ?

Autre exemple : la pollution monstrueuse des bateaux de croisière ou de transport. Un bateau de croisière par exemple dans le port de Québec pollue davantage à lui tout seul que l’ensemble du parc automobile de la ville. Pour cela, nos gouvernants n’en ont que faire. Que dire des avions privés qui atterrissent à Dubai pour la COP28 ou le Forum économique mondial à Davos en Suisse ? C’est à vous citoyens de vous serrer la ceinture !

Cela permet d’amener sur la table un chercheur et penseur du « réchauffement » climatique qui a fait parler de lui pour de mauvaises raisons. Jean-Marc Jancovici, qui est un conférencier vedette en France, y est allé de plusieurs positions controversées pour combattre le « réchauffement » climatique. Il propose que chaque individu ait uniquement le droit à quatre voyages en avion dans sa vie. Il y a de ça quelques années, avant la pandémie, on voulait faire sentir coupable ceux qui aiment voyager. Des animateurs vedettes de Radio-Canada ont traité du sujet le plus sérieusement du monde alors qu’eux-mêmes voyagent plusieurs fois par année pour des championnats sportifs, des retraites de yoga ou des vacances de luxe en Polynésie ou à Bali.

Jean-Marc Jancovici, qui n’en est pas à ses premières controverses, affirme maintenant que posséder un poisson rouge, un chat ou un chien augmentera votre bilan carbone ! Le poisson rouge, car il faut éclairer et chauffer l’eau de son aquarium, consomme autant d’énergie qu’un réfrigérateur. Quant aux chats et aux chiens, ceux-ci feraient augmenter de 10 % le bilan carbone d’un individu. Car il faut bien nourrir les copains, et on ose même parfois les gâter avec de la viande !

Heureusement selon lui, pas besoin d’abandonner Paco sur le bord de la route. Plus l’animal est petit, mieux c’est. Car selon Jancovici, avoir un animal plus gros vous incitera également à avoir une plus grosse voiture ! Et qu’abandonner des chats dans la nature sont une véritable hécatombe pour la faune qui sera décimée par minou ! Si vous tenez absolument à avoir un ami sous votre toit, assurez-vous de ne pas lui donner de viande !

Mais plus sérieusement, c’est justement des propositions écologistes comme ça qui deviennent plus tard des politiques autoritaires qui donnent envie aux gens de décrocher. Nous n’avons aucune leçon en matière d’écologie ou d’environnement à recevoir de Dubaï. Nous savons tous très bien que le seul but de nos gouvernants dans ces grandes messes, c’est d’augmenter le fardeau fiscal et de toujours réduire davantage nos libertés. Quant à nos animaux, profitons-en, avant que nos politiciens décident d’en interdire la vente ou l’adoption.




Les démasqués

Présentation du livre de Claude Janvier

Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?

Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.

Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !

Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs complotistes sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…

En parcourant ce livre, chacun se forgera sa propre opinion sur l’implication, ou non, de cette caste méprisable qui continue de susciter la polémique en France et ailleurs. Cependant, il est indéniable que des preuves de sa culpabilité existent. Il était nécessaire de les rassembler et de les révéler. Les voici…

Pour se procurer le livre :

https://www.cultura.com/p-les-demasques-qui-dirige-reellement-le-monde-9789938913545.html




Bitcoin : la cryptomonnaie consomme plus d’électricité que le Pakistan

[Source : reporterre.net]

« Si le Bitcoin était un pays, sa consommation d’énergie serait classée au vingt-septième rang mondial. » Entre 2020 et 2021, le réseau mondial de minage de cette cryptomonnaie a consommé 173,42 térawattheures d’électricité, soit plus que le Pakistan et ses 231 millions d’habitants. C’est ce que révèle, le 24 octobre, une étude menée par des scientifiques des Nations unies.

Ce minage consiste à résoudre des casses-tête mathématiques pour sécuriser (crypter) la monnaie. Une tâche nécessitant de puissants ordinateurs énergivores. « Pour compenser cette empreinte, il faudrait planter 3,9 milliards d’arbres, soit une superficie presque égale à celle des Pays-Bas […] ou 7 % de la forêt amazonienne », détaille le professeur Kaveh Madani, directeur de l’étude.

Des quantités d’eau astronomiques

Au-delà de l’empreinte carbone considérable, ces activités ont des effets inquiétants sur l’eau et la terre. En deux ans, la quantité d’eau utilisée pour le minage — pour refroidir les ordinateurs — est similaire à celle nécessaire pour remplir… plus de 660 000 piscines olympiques. Autrement dit, de quoi répondre aux besoins domestiques actuels en eau de plus de 300 millions de personnes dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne.

Ces monnaies numériques ont déjà gagné la confiance des plus grands investisseurs, qu’il s’agisse de multinationales, de millionnaires, de criminels ou de blanchisseurs d’argent, précise l’étude. Elles auraient même le potentiel d’écraser les monnaies les plus fortes au monde. Parmi les grandes nations consommatrices de Bitcoin, la Chine se classe de loin sur la première marche du podium. Les États-Unis, le Kazakhstan, la Russie, la Malaisie, le Canada, l’Allemagne, l’Iran, l’Irlande et Singapour complètent le top 10.




Religieuses contre écologistes : 1-0

Bras de fer entre religieuses et militants écologistes sur le chantier d’un centre catholique, à Saint-Pierre-de-Colombier en Ardèche

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Église de Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche). (Capture d’écran Google Maps.)]

Par Emmanuelle Bourdy

Fermement décidées à défendre leur projet de construction d’un grand centre religieux catholique à Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche), les religieuses ont affronté les militants écologistes venus stopper les travaux, ce lundi 16 octobre. Elles ont notamment tenté de mettre ces opposants dehors et ont formé une chaîne humaine autour des engins de chantier.

Après une première action menée le 12 octobre dernier, une trentaine de militants écologistes ont de nouveau manifesté leur désapprobation concernant le chantier d’extension de centre religieux sur le Site Notre-Dame des Neiges, à Saint Pierre de Colombier. Ayant connu bien des déboires depuis 2018, le chantier a effectivement été le témoin d’un moment d’agitation, ce lundi 16 octobre. Des membres du collectif écologique Les Amis de la Bourges s’étaient rendus sur place, bien décidés à stopper toute reprise des travaux, rapporte France 3 Auvergne-Rhône-Alpes. Mais les religieuses de la Famille missionnaire ont résisté, avec les moyens du bord.

Un plaquage réussi !

Le chantier, que l’État avait fait stopper en octobre 2020, avait repris à la fin de l’année dernière. Ce lundi 16 octobre, après avoir réussi à franchir les barrières de sécurité, une trentaine de militants écologistes se sont introduits sur cette propriété privée en toute illégalité. Mais les religieuses se sont mises en travers de leur route.

Les deux camps se sont affrontés vers 8 heures du matin et quelques heurts ont même éclaté. Sur une vidéo dévoilée par France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, on peut voir une religieuse intercepter un militant en train de courir avec deux tuyaux dans les mains. Celui-ci jette ensuite les tuyaux en demandant à l’un de ses acolytes de les casser, ce qu’il exécute aussitôt. La religieuse, toujours agrippée au militant, réussie à le faire tomber à terre tout en chutant elle aussi, entraînée par le mouvement. Après environ une heure d’affrontements, la situation s’est enfin calmée. Une dizaine d’agents des forces de l’ordre sont également intervenus sur le site, précisent nos confrères.

Les religieux forment un cercle autour d’une tractopelle, tout en chantant

Le co-président de l’association pour l’avenir de la vallée de la Bourges, Sylvain Hérenguel, a expliqué à France 3 qu’il « ne s’attendait pas à ça ». Il aurait voulu que les religieuses « soient un peu raisonnables pour l’ordre public ». Mentionnant que ces religieux « ont décidé de passer à la violence », il a précisé avoir été pris à partie trois fois par cinq personnes qui ont voulu le mettre dehors. « Là, ils ont décidé de protéger le chantier par leurs actes et leur corps », a-t-il poursuivi. Afin de protéger le chantier, les religieux ont en effet encerclé une tractopelle en se tenant la main, tout en entonnant des chants religieux.

Ce mercredi 11 octobre, l’association de Sylvain Herenguel a déposé plainte, souhaitant « défendre des terres agricoles qui pourraient servir aux générations futures », a souligné le militant. En avril dernier, TF1 rapportait que, selon ces opposants, ce projet était « démesuré » et allait détruire la vallée, la construction d’une basilique de 3500 places et 50 mètres de haut étant prévue, avec une passerelle permettant de passer au-dessus de la rivière comme on peut le voir sur le site de Famille missionnaire de Notre-Dame (FMND), le tout pour la somme totale de 18 millions d’euros.

Découverte d’une plante protégée sur le site

Par ailleurs en mai dernier, une plante protégée du nom de reseda de jacquin a été découverte sur ce site et les opposants assurent que la communauté religieuse n’a pas demandé les dérogations nécessaires avant de reprendre le chantier. L’Office français de la biodiversité a effectivement confirmé la présence de cette petite plante parfumée sur le site. Les militants craignent aussi les nuisances générées par l’afflux de pèlerins et pensent que le site va ainsi se détériorer.

Mais pour le père Bernard Pinède — qui est le supérieur de la FMND — il s’agit du « projet de Dieu ». Dans un communiqué paru sur le site de la FMND ce vendredi 13 octobre, il est indiqué qu’une petite dizaine d’opposants ont pénétré sur ce chantier la veille, « violant la propriété privée, et empêchant par la force et la violence la poursuite des travaux ». « Deux personnes se sont enchaînées à une pelleteuse. Plusieurs sont restées sur les lieux en toute impunité durant toute la journée », est-il précisé. « Plusieurs plaintes ont été déposées contre ces activistes qui utilisent des méthodes en totale opposition aux lois de la République », est-il encore mentionné dans ce communiqué.

La FMND a également rappelé « sa totale détermination à poursuivre les travaux dans la légalité et à faire valoir ses droits pour cela », remerciant au passage les forces de l’ordre « qui ont assuré le maintien de la paix, mais aussi les artisans, les élus et les habitants de la vallée qui sont nombreux à lui apporter son soutien ».

Une réunion, organisée par la préfète, devrait se tenir ce jeudi 19 octobre. Elle réunira les différentes parties du projet.




Les « droits de l’océan », une nouvelle religion fait son apparition à l’ONU

[Source : epochtimes.fr]

Des idéologues écologistes ont été chargés de promouvoir un plan visant à accorder des « droits » à « l’océan » lors de la récente réunion de l’Assemblée générale des Nations unies à New York.

Par Wesley J. Smith

L’« ordre mondial international » est de plus en plus radical dans son engagement environnemental et anti-humain quant aux politiques qu’il promeut. Dans la grande cause du « sauvetage de la planète », les préceptes scientifiques et les analyses empiriques sont mis de côté au profit d’un mysticisme religieux néo-terrestre.

Dernier exemple en date. Des idéologues écologistes ont été invités à promouvoir un plan visant à accorder des « droits » à « l’Océan » (au singulier, avec un O majuscule) lors de la réunion de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) 2023 qui vient de s’achever à New York.

Les « droits de l’océan », Wesley ? Ils plaisantent ? J’aimerais bien. Les « droits de l’océan » sont un sous-ensemble du mouvement des « droits de la nature » qui élève la « Nature » (avec un N majuscule) au-dessus de la prospérité humaine et adopte une approche quasi religieuse de la gestion du monde de la nature.

Le mouvement des « droits de la nature » frise le paganisme. Ainsi, la constitution de l’Équateur stipule : « La nature ou Pachamama, où la vie se reproduit et existe, a le droit d’exister, de persister, de maintenir et de régénérer ses cycles vitaux, sa structure, ses fonctions et ses processus d’évolution. »

Pachamama est la déesse inca de la Terre, et le déploiement du terme n’est pas accidentel. En effet, le mouvement Pachamama (si l’on peut dire) a récemment gagné du terrain, parfois dans des endroits surprenants. Par exemple, des idoles de Pachamama ont été incluses, à la grande controverse, dans des messes catholiques internationales à haute visibilité.

Les droits des océans sont imprégnés de la même émotion mystique, comme l’indique un document intitulé « Nous sommes l’océan et l’océan est nous », présenté à l’Assemblée générale des Nations unies. Ce document encourage ce qu’il appelle une « vision écocentrique du monde » et doit servir de base à une future « Déclaration universelle des droits de l’océan », qui sera promulguée à l’ONU d’ici à 2030.

« L’océan est une entité vivante, et non une ressource… avec des droits inhérents », déclare le texte. En outre, « l’océan est notre ancêtre et notre parent, il est chargé d’histoire, en constante évolution, et constitue un lieu de valeur culturelle et spirituelle, doté d’une autorité, d’une force vitale, d’une identité et d’une valeur intrinsèque ».

Cette affirmation est profondément dépourvue d’empirisme. Certes, les océans sont essentiels au maintien de la vie sur Terre. Mais ce ne sont pas des entités vivantes. Ils constituent certes un environnement pour les organismes, grands et petits, tout comme l’atmosphère (et après, les « droits de l’air » ?). Mais les océans n’ont pas d’« identité ». Ils n’ont pas d’« autorité » parce qu’ils n’ont pas de conscience. Ils ne sont pas « notre famille ». Les océans sont de vastes entités géologiques, mais ils ne sont pas animés au sens propre du terme.

De plus, la définition de « l’océan » dans la présentation de l’Assemblée générale des Nations unies est plus que vaste :

« Nous reconnaissons l’océan comme un système naturel, biologique et physique dynamique, fluide et interconnecté » qui comprend « toutes les mers, les eaux intérieures, les mers territoriales, les zones économiques exclusives, la haute mer, les plateaux continentaux, les fonds marins et le sous-sol, avec des échanges constants entre les systèmes terrestres et atmosphériques ».

Cette définition est si large qu’elle pourrait inclure les rivières qui se jettent dans les océans (« eaux intérieures ») et les zones terrestres qui ont un impact sur les océans (« échanges entre les systèmes terrestres et atmosphériques »). À bien y penser, les « systèmes atmosphériques » pourraient ouvrir la voie aux « droits de l’air ».

Comment les « droits » de l’océan seraient-ils appliqués ? Faisons le tour de la question : « Tous les peuples ont le droit et la responsabilité de veiller à ce que les intérêts et les besoins de l’océan soient représentés dans les décisions et les différends qui affectent la santé de l’océan ». En outre, l’océan aurait « le droit d’être représenté et de s’exprimer au sein d’un système de gouvernance internationale multinationale ».

En d’autres termes, les idéologues des droits de l’océan auraient une grande influence sur l’adoption de lois et la promulgation de règlements visant à promouvoir les droits de l’océan, et des avocats écologistes radicaux représenteraient certainement « l’océan » devant les tribunaux internationaux et nationaux.

Les droits des océans engloberaient explicitement la prospérité humaine en appliquant ce que l’on appelle le principe de précaution à la question de savoir quelles sont les utilisations acceptables des ressources océaniques.

« En cas d’incertitude ou de divergence dans l’évaluation de l’impact d’une activité anthropique concernant l’océan, le document stipule que le principe “en cas de doute, privilégiez l’océan” doit être appliqué ».

Il y a toujours un doute. En d’autres termes, la plupart des ressources océaniques seraient définitivement interdites à l’exploitation humaine ou nécessiteraient un processus d’autorisation si coûteux et si long — contrôlé par les idéologues des droits de l’océan — que peu d’entreprises se donneraient la peine de tenter l’expérience.

Tout cela nous amène à nous demander pourquoi l’octroi de « droits » sur les océans est devenu un sujet d’actualité. Ce n’est pas comme si la protection des mers n’avait pas déjà reçu une haute priorité à l’ONU. Soixante-sept pays viennent de signer une proposition de traité international — connu sous le nom de « 30-30 » — qui, s’il est mis en œuvre, rendrait 30 % des océans inaccessibles à la plupart des activités humaines d’ici à 2030.

Mais il n’y a jamais assez de restrictions pour les radicaux de l’environnement. Les « droits de l’océan » reflètent la profonde misanthropie qui a contaminé le mouvement écologiste dans son ensemble, la conviction que nous ne sommes qu’une « espèce vivant dans la nature » et qu’il faut empêcher les ennemis de la planète d’exploiter les richesses de la Terre.

Concentrons-nous un instant sur les conséquences économiques désastreuses d’un régime de « droits sur les océans ». Toutes les activités d’extraction minière et énergétique en eaux profondes seraient, au minimum, interdites. L’industrie du transport maritime serait soumise à des réglementations étouffantes. Les flottes de pêche seraient mises en sommeil. Les ports ne pourraient pas être construits ou agrandis. Même les activités terrestres qui pourraient être considérées comme susceptibles d’avoir un impact négatif indirect sur l’océan pourraient être réprimées. Le préjudice causé à la prospérité humaine par les droits de l’océan serait impossible à quantifier.

Nous devrions promulguer des lois qui nous obligent à traiter les environnements océaniques avec les égards qui s’imposent. La pollution des océans par le plastique, par exemple, est tout à fait inacceptable et il faut y remédier. Mais il est possible d’y parvenir sans porter atteinte à la singularité humaine ni accorder à des idéologues proches de la carte blanche le contrôle des pratiques qui ont un impact sur les mers.

Hélas, cet environnementalisme de bon sens n’est plus à la mode. Les mouvements pour les droits de l’océan et de la nature sont les symptômes d’un anti-humanisme viral qui sacrifierait la prospérité humaine sur l’autel de la déesse de la terre, Pachamama.