Contraventions COVID : ressources (au Québec)

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Voici des ressources pour ceux et celles qui ont reçu des contraventions en lien avec les mesures sanitaires.

Vous trouverez :

A- L’avis juridique de Me Dominic Desjarlais, l’avocat de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple.

En résumé, vous pouvez demander une remise pro forma de l’audition (reporter à une date ultérieure) afin de faire des démarches pour vous trouver un avocat ou produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure.

B- Autres ressources et liens utiles.

A- RÉSUMÉ DE L’AVIS JURIDIQUE DE ME DOMINIC DESJARLAIS

1. Contester la contravention

Pour contester une contravention, vous avez 30 jours. Demandez la divulgation de la preuve.

Exemple :

« Bonjour,

J’ai reçu le constat d’infraction 100400 5000******.

Je souhaite plaider non coupable.

Veuillez s’il-vous-plaît me transmettre la divulgation de la preuve.

Merci de confirmer la réception de ce courriel.

Cordialement,

VOTRE NOM »

Voici l’information du Bureau des amendes:

« Vous voulez plaider non coupable et contester votre constat d’infraction

Vous pouvez enregistrer votre plaidoyer de non-culpabilité :

Par courriel à l’adresse amendes@justice.gouv.qc.ca , en indiquant votre nom, votre numéro de constat d’infraction et votre choix de plaidoyer.

Par la poste à l’adresse apparaissant sur votre constat ou par télécopieur au 418 644-8486, en utilisant le coupon-réponse de votre constat d’infraction ou de la correspondance reçue.

Vous serez alors avisé par la cour du Québec de la date prévue pour la tenue du procès. »

2. Si vous recevez un avis d’audition, présentez-vous à l’endroit, la date et l’heure indiquée.

– Si vous ne pouvez pas vous présenter :

  • Contactez la partie poursuivante (le Bureau des infractions et des amendes du Ministère de la Justice, toutes les informations sont sur la 2e page du constat). Cliquez ici pour le site web, les coordonnées et la FAQ.
  • Demandez de reporter l’audition en expliquant votre motif.
  • Confirmez par écrit toute remise de l’audition.

– Si vous n’arrivez pas à communiquer avec la partie poursuivante :

  • Présentez-vous devant le tribunal à la date et l’heure convenues, sinon un jugement par défaut pourrait être prononcé contre vous.

3. Lorsque vous vous présentez devant le tribunal pour une première date d’audition, dites si vous êtes prêt à procéder ou non. Vous pouvez demander une remise pro forma.

  • Représentation :
  • Représenté par un avocat : Si vous souhaitez être représenté par un avocat, notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander une remise d’audition afin de faire des démarches en ce sens. Vous pouvez demander un délai de 60 à 90 jours.
  • Représenté seul : Si vous souhaitez vous représenter seul et souhaitez attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander de reporter le dossier en indiquant le délai nécessaire pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du Code de procédure civile, requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

4. La suite dépendra des démarches entreprises. Une date d’audition devra éventuellement être fixée une fois que toutes les parties seront prêtes à procéder.


B- AUTRES LIENS UTILES

Extrait pertinent :

« À cet égard, la Cour suprême du Canada a établi le principe judiciaire voulant qu’il faille impérativement une habilitation législative expresse pour imposer ou créer, par règlement ou une taxe, des infractions et des pénalités. En d’autres termes, il faut que la loi prévoie expressément le pouvoir d’adopter des sanctions pénales. Or la LSP ne le prévoit pas dans le chapitre XIV relativement aux sanctions pénales (articles 138 à 142). Son pouvoir de réglementation de l’article 136 ne saurait non plus lui permettre.

Ainsi, rien dans la Loi sur la santé publique n’autorise le gouvernement à adopter des mesures conférant des pouvoirs discrétionnaires aux policiers ou à imposer des sanctions pénales. »

Extrait pertinent :

« Le décret dispose ensuite qu’il est « interdit à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’y admettre une personne qui ne porte pas un couvre-visage ou de tolérer qu’une personne qui ne porte pas un couvre-visage s’y trouve ». Des exceptions sont toutefois prévues pour une personne qui :

2. déclare que sa condition médicale l’en empêche […]

2.2 Le droit à l’égalité Selon les circonstances, certains enjeux liés au caractère discriminatoire de l’obligation prévue au décret pourraient par ailleurs être soulevés. Ainsi, la Commission avait souligné dans la FAQCOVID-19 présentée sur son site Internet que l’obligation du port du masque pourrait, par exemple, constituer un fardeau important pour des personnes en situation de handicap.

En l’espèce, précisons que le décret prévoit cependant une exception, permettant à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’admettre ou de tolérer la présence d’une personne ne portant pas de couvre-visage si cette personne « déclare que sa condition médicale l’en empêche ».

Aux termes du décret, il ne repose donc pas sur l’exploitant du lieu public ou sur le commerçant de vérifier le bien-fondé de cette déclaration. De fait, toute démarche intrusive menée par le responsable du lieu public concerné, visant à vérifier si la personne en situation de handicap qui invoque l’exception présente réellement une condition médicale qui l’empêche de porter un couvre-visage, serait susceptible de porter atteinte au droit au respect de sa vie privée (article 5 de la Charte) ainsi qu’au droit d’avoir accès aux moyens de transport ou aux lieux publics et au droit de conclure, en pleine égalité, un acte juridique ayant pour objet des biens ou des services ordinairement offerts au public sans discrimination, en lien avec un handicap (articles 10, 12 et 15).

La Commission retient néanmoins que l’exception relative à la condition médicale prévue au décret doit viser à permettre l’exercice, en pleine égalité, des droits des personnes en situation de handicap dont la condition les empêche effectivement de porter le masque. Pour ce faire, la mise en œuvre de l’obligation pourrait nécessiter, pour les exploitants des lieux publics visés, une recherche d’accommodement afin de ne pas porter atteinte indument au droit des personnes en situation de handicap d’exercer leurs droits et libertés en toute égalité – que ce handicap soit visible ou non. » (Soulignements ajoutés)

  • Tweet du Gouvernement du Québec à propos du billet médical, 3 août 2020 :

« Une personne exemptée doit seulement déclarer : « j’ai une condition médicale qui m’empêche de porter le masque ». Elle n’a pas à nommer la condition ou à présenter un billet médical. Nous travaillons à transmettre l’information le mieux possible. Merci pour votre commentaire! » (Soulignements ajoutés)

  • Vidéo de Me Dominic Desjarlais et Stéphane Blais (juillet 2021) : Le point sur le juridique

Sur Rumble :

https://rumble.com/vkvbou-crise-sanitaire-au-qubec-le-point-juridique.html



Sur Facebook :



  • Vidéo de Lily Monier, vers 4 minutes elle parle des contraventions :



  • Avis juridique (intégral) de Me Dominic Desjarlais :

Extraits pertinents de l’avis juridique de Me Dominic Desjarlais :

« Tout d’abord, si une personne veut contester un constat d’infraction qu’elle a reçu, elle doit transmettre un plaidoyer de non-culpabilité par la poste à l’adresse indiquée sur ce constat sur le constat et ce, dans les 30 jours de la réception du constat.

Par la suite, lorsqu’une personne reçoit un avis d’audition elle doit se présenter à l’endroit la date et l’heure indiquée dans l’avis d’audition.

Si une personne ne peut se présenter pour un motif quelconque à la date indiquée dans l’avis d’audition, il est important qu’elle contacte dès que possible avant cette date la partie poursuivante afin de demander le report de l’audition en expliquant son motif et de confirmer par écrit avec le poursuivant toute remise de l’audition convenue.

Si une telle communication n’est pas possible avec le poursuivant il est important que la personne se présente devant le tribunal à la date et à l’heure indiquée dans l’avis d’audition, à défaut de quoi un jugement par défaut pourrait être prononcée contre elle.

Lorsqu’une personne se présente devant le tribunal pour une première date d’audition elle doit indiquer au tribunal si elle est prête à procéder ou non.

Il se peut qu’une personne qui se présente devant le tribunal pour la première fois désire être représenté par un avocat pour la suite du dossier notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et de la mesure en vertu de laquelle elle a reçu un constat d’infraction auquel cas elle doit alors en informer le tribunal et demander une remise pro forma de l’audition à une date ultérieure afin d’effectuer les démarches nécessaires pour se trouver un avocat. Elle doit alors indiquer le délai raisonnable dont elle aurait besoin pour se trouver un avocat qui la représenterait dans le dossier selon notre expérience un délai minimal de 60 ou même de 90 jours pourrait être demandé pour ce faire.

Par ailleurs si une personne désire se représenter seule il se peut qu’elle ne soit pas prête à procéder lors de la première date d’audition: par exemple dans le cas des infractions aux mesures COVID-19 une personne pourrait vouloir attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret en vertu duquel l’infraction dont elle est accusée a été édictée et/ou attaquer la constitutionnalité de la mesure (port du masque, couvre-feu, etc.) à laquelle elle est accusée d’avoir contrevenu. Dans un tel cas, la personne pourrait demander le report du dossier pro forma à une date ultérieure en indiquant le délai dont elle estime avoir besoin pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du code de procédure civile qui est requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

Quant à la suite possible d’un dossier donné cela dépendra des démarches qui pourraient être/seront entreprises. Ultimement une date d’audition de la cause au mérite devra éventuellement être fixée dans le cours du dossier une fois que toutes les parties auront déclaré être prête à procéder. »

BONNE CHANCE À TOUS!

Et n’oubliez jamais ceci :




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
brighteon.com/hrreport


source : https://www.naturalnews.com





Nouvelle étude: Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

J’ai reçu aujourd’hui même,— par courriel —, une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.

Lundi le 9 août 2021

Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,

Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.

L’article est accessible au lien suivant: https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.

Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.

N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.

Contacts presse :
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com – +33 6 52 66 67 02
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com




Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020

Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :

  • Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
  • Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
  • Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.

La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.

Pas de mortalité inhabituelle sur la décennie 2010-2021

Tout d’abord, le COVID-19 n’a pas généré de mortalité inhabituelle sur la dernière décennie au Canada. Au regard de la mortalité toutes causes confondues analysée depuis 2010 au Canada, aucune différence statistique n’est observée pour la saison 2020. La charge de mortalité suit la tendance normale depuis dix ans.

Les réponses gouvernementales - 01

Une anomalie de mortalité : le « pic-covid » de mars-mai 2020

Cependant, en comparant les données de mortalité par province sur la période 2010-2021, on observe une première anomalie :

  • Un « pic-covid », arrivé tardivement dans la saison hivernale et jamais vu au Canada depuis au moins une décennie, centré sur la fin du mois d’avril 2020. Ce pic est extrêmement intense dans certaines provinces comme le Québec et l’Ontario, et complètement absent dans d’autres (Alberta et Saskatchewan par exemple).
Les réponses gouvernementales - 02

Les auteurs démontrent que le « pic-covid » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris au Canada, ne peut pas être un événement épidémiologique qui serait survenu de façon naturelle, en l’absence d’une perturbation non pathogène.

Ce « pic-covid » est artificiel car :

  • Dans les juridictions où il est présent, il apparaît de manière synchrone juste après la déclaration de pandémie par l’OMS.
  • Il s’est produit brusquement (temps de base au point d’inflexion d’environ 3 semaines) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin avril).
  • Il est extrêmement hétérogène : absent dans de nombreuses juridictions (7 des 10 provinces canadiennes n’ont pas de « pic-covid »), son amplitude varie considérablement d’une juridiction à l’autre où il est présent (faible en Colombie Britannique, large au Québec).

Les auteurs suggèrent que les mécanismes à l’origine du « pic-covid » impliquent :

  • La réponse médicale : des protocoles de traitement et de soins palliatifs, adoptés au début de la pandémie proclamée et médiatisée.
  • La réponse gouvernementale : mesures de santé publique, protocoles institutionnels (en particulier écoles, maisons de soins et hôpitaux), bouleversements économiques, confinements, couvre-feux, quarantaine, isolement social, etc.
  • Des politiques de refus de traitement médical, telles que le refus d’admettre les personnes âgées en soins hospitaliers, ou les transferts de patients hors de l’hôpital.

Selon les calculs des auteurs, ces mesures ont provoqué environ 12 000 décès au Canada entre mars et mai 2020. Cependant, même en incluant le « pic-covid », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui permet d’affirmer qu’il n’y a eu aucune pandémie à cette saison.

Une autre anomalie de mortalité : la saison estivale 2020

D’autre part, en comparant les données de mortalité par âge et par sexe sur la période 2010-2021, on observe d’autres anomalies :

  • Une sous-mortalité pour la classe d’âge des 85 ans et plus à l’été 2020 comparé à la tendance estivale observée de 2013 à 2019.
  • Une surmortalité pour la classe d’âge des 44 ans et moins (et dans une moindre mesure la classe d’âge des 45-64 ans) essentiellement pour les hommes de mai à décembre 2020.
Les réponses gouvernementales - 03

Les auteurs avancent que le déclin de mortalité observé chez les 85+ à l’été 2020 est le résultat d’une accélération de la mortalité de cette classe d’âge dans le « pic-covid », classe d’âge beaucoup plus fragile, la plus sensible aux causes de mortalité hivernale et la plus susceptible de succomber à des perturbations fondamentales de la société, de ses institutions et du système de santé.

D’autre part, selon les calculs des auteurs, les mesures gouvernementales mises en place après la déclaration de la pandémie ont provoqué environ 2 000 décès excédentaires chez les jeunes canadiens (classe d’âge inférieure à 45 ans), principalement des hommes, à l’été 2020. Ces décès ne peuvent être imputables au COVID-19 sachant que cette classe d’âge est peu touchée par la maladie et que la transmission virale est faible à la saison estivale.

Les réponses gouvernementales - 04

Pour conclure, la médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée de façon objective. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques supposément mises en place pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les politiques « sanitaires » mises en place après le 11 mars 2020 et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité

Par ailleurs, la non-médiatisation de la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les jeunes hommes (moins de 45 ans) entre mai et décembre 2020 au Canada interpelle. Ce phénomène est pourtant bien plus préoccupant pour la santé des canadiens que le COVID-19 et devrait être considéré comme une catastrophe nationale de santé publique de portée historique.

Contacts presse : 
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ;
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com ;
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com.




Louis Fouché s’est-il couché ?

[Source : Jean Robin]






Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive

[Source : AIMSIB]

Cette histoire d’aimantation post-vaccination Covid tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis des mois, parfaitement niés par les médias officiels et ce de manière franchement dérisoire. Un jour Amar Goudjil, Trésorier de EFVV-Luxembourg décide d’évaluer ce prétendu phénomène au-dessus des zones d’injections de 100 vaccinés et de les comparer à 100 non vaccinés, voici son récit. Puis le Dr Julien Devilleger, cardiologue en Charente (France), assisté de Jessy Duthil, infirmière, réitèrent l’opération sur 75 vaccinés et 30 non-vaccinés. Aucune des deux équipes n’a prétendu se livrer à une enquête épidémiologique digne de ce nom, il s’agissait juste de lever le doute sur une possible légende urbaine. Au final c’est une surprise terrible qui devait attendre nos trois investigateurs, immédiatement transmise au Conseil de l’Ordre des Médecins. Et comme il ne se passe toujours rien à ce jour alors, vaccinés ou non, pour tous un énorme scandale approche… Bonne lecture.

[Voir aussi :
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

 

1- ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Introduction

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination.
Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.
En commun accord avec Jean-Pierre Eudier, notre président, et Toni Fernandes, notre coordinateur au Grand-duché du Luxembourg, il a donc été décidé de mener une enquête de terrain sur ce phénomène.
Cette enquête, à caractère purement statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme supposé et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :
1- Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
2- Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
3- Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui provoque cet effet ?
Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à Monsieur Amar GOUDJIL, trésorier de l’association et membre chargé de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête

À des fins de réalisation accélérée, il a été décidé :
 D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
 Que ce panel serait divisé en 2 groupes. Le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
 Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
 Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
 Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
 Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.
 Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seules les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation

 L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association puis il présente l’enquête.
« Bonjour Madame ou Monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar GOUDJIL, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « C’est une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinées présentent des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir quelle est la réalité observée ».
 L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer, de leur gré, à l’enquête.
« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».
 L’enquêteur explique ensuite aux interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qui adhère, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenues prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison du fait qu’ils ont été vaccinés.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
 Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule.
 L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
 L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021

 Seuls 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
 La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.

 Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté.
Sur ces 29 mêmes individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.
Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

 Dans ce groupe dit des vaccinés domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
– 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
– 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
– 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
– 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
– 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
– 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
– 1 reçu les 2 injections du laboratoire Moderna

 Deux des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de l’épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation.

 Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.

Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhèrent plus vite et tient mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.

 Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhéraient également.

Conclusion

Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation qui relève uniquement de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise avec des appareils beaucoup plus précis.

Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience extrêmement déstabilisante. Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.

Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter. Une dame a même pleuré en me disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte parce que son employeur l’y a obligée au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.

 Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, par conviction ou par peur de la maladie mais souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.

 Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant, après coup, qu’ils sont pris en otages. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles ne serait-ce que du point de vue de la balance bénéfices-risques. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage».
Ce sont exactement ces termes qui revenaient souvent.
Il conviendrait, là encore, de mener une enquête psychosociale sur les motivations réelles qui ont mené les individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

L’enquête est prématurément arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.

L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive. Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses, se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses. Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement mesurable. Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable. L’acte de vaccination étant un acte irréversible.

A la question, « Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? », la réponse est affirmative et oui, effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, « Qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ? », nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garant de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui ont pris la décision lourde, en amont, de vacciner les populations.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules paramagnétiques (« nanocarriers » ou « magnetic beads ») sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, il y a fort à parier que nous pourrions entendre parler très rapidement d’une catastrophe sanitaire sans précédent. C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction sur les sujets vaccinés et c’est aux garants de la santé des citoyens de ce pays de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par Amar GOUDJIL
pour European Forum for Vaccine Vigilance, Mamer, le 06 juin 2021.

  

2-Etude SECRET 16’

Introduction et résumé

Depuis plusieurs mois, des internautes ont tenté de mettre en évidence un magnétisme qui serait lié au vaccin (« Magnet challenge »), avec des objets fantaisistes (téléphones, clés, ciseaux, « cuillère-code »…) collés sur des zones diverses de l’anatomie : bras, front, torse, dos…entre autres !
Une seule étude observationnelle (cf supra) a été menée de façon sérieuse au Luxembourg, retrouvant une aimantation chez 29/30 personnes vaccinées ayant participé au test, mais aucune aimantation chez les 30 personnes non vaccinées participant au test à l’aimant. D’autres expériences de terrain retrouvaient des résultats comparables ou au contraire ne mettaient pas en évidence d’aimantation chez les vaccinés, mais la population étudiée concernait des groupes de quelques personnes.
L’étude observationnelle « Secret 16 », réalisée par un cardiologue et une infirmière de Charente (France) a pour objectif d’étudier l’aimantation d’une pièce d’un euro chez 75 patients vaccinés contre la Covid, en comparaison à un groupe témoin de 30 personnes non vaccinées.
Elle retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la pièce chez les vaccinés (35/75) par rapport au non-vaccinés (2/30), p=0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p=0,0014.

Population et méthodes

Opérateurs : Dr Julien DEVILLEGER, cardiologue et Jessy Duthil, infirmière libérale (Charente, France) du 11 juin au 27 juillet 2021
Statistiques : Test de Fisher (logiciel Biostat TGV)
Méthode de recherche d’aimantation:
-Pièce tenue entre le pouce et l’index, avec majeur plié (en sécurité).
-Personne debout, bras ballants, peau sèche, pilosité non développée aux bras, crème nettoyée à l’eau, puis peau séchée, sueur absorbée par serviette sèche à usage unique.
-Pièce tenue à 20 centimètres sous le moignon de l’épaule, en effleurant la peau, sans appuyer, et en glissant de bas en haut jusqu’à 3 travers de doigts environ sous le moignon de l’épaule.
-Technique à réaliser 2 fois de suite, en cas d’aimantation avec alternance bras gauche/bras droit.
-Aimantation si pièce tenue au – 10 secondes

Résultats

Groupe non vacciné Covid, 2/30 personnes ont eu une adhérence de la pièce>10 secondes (1)
Groupe vacciné Covid, 35/75 ont démontré une aimantation de la pièce au site d’injection, et 10 ont eu une aimantation bilatérale (2)

A noter qu’en cas d’aimantation bilatérale, la zone aimantable était large d’environ 10-15 centimètres du côté vacciné, et environ la moitié au niveau de l’autre bras.

Détail en fonction des vaccins :
-12/33 Pfizer (1/3 avec une dose) aimantaient la pièce
-17/28 Astra Zeneca (2 doses)
-4/10 Moderna (2 doses)
-1/2 Johnson&Johnson
-1/2 mi-Astra, mi-Pfizer, 100% bâtard

3. Discussion et remarques

Cette étude montre une différence statistiquement significative d’aimantation chez vaccinés (43,3% vs 6,7% p=0,0014)
Cette aimantation semble plus fréquente pour les vaccinés Astra (60,7% vs 38,7%), mais sans significativité statistique (p=0,37), en raison de la taille de l’échantillon.
Elle est beaucoup plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra (28,6%) qu’avec les autres vaccins (3,5%), p=0,016.

Il a été rapidement que les 1ers vaccinés Pfizer n’aimantaient pas, contrairement aux Pfizer récents.

Même si la recherche de magnétisme post-vaccinal est simple, il est important de faire cette recherche dans des conditions rigoureuses, pour éviter les fausses aimantations (crème, sébum+++). La moitié des patients testés par Le Dr J. Devilleger l’ont été sans connaître au préalable le statut vaccinal et en cas de vaccination, sans en connaître le côté. Sur 27 patients qui aimantaient, il a trouvé 25 fois le bon côté, et 2 fois, il s’est trompé ( cas des aimantation bilatérale).

Autres expériences :
-aimant en ferrite : ne marche pas, n’a servi que pour montrer que la pièce d’un euro est aimantable.
-aimant en néodyme : Très difficiles à décoller, un aimant s’est cassé en 2, ces produits sont de manipulation dangereuse
-lecteur RFID : 0/12 sur vaccinés (5 aimantaient), alors que le lecteur fonctionne sur chien pucé.
-lampe UV : RAS
-magnétomètre (Phyphox) : pas de variation significative du champ magnétique

4- Conclusion

Ces résultats confirment ceux retrouvés par l’étude du Luxembourg, avec une différence très significative d’aimantation entre vaccinés et non-vaccinés, et cette dernière est plus fréquente et surtout plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra.
Tous les vaccins utilisés semblent concernés par ce phénomène.

Cela doit nous interroger sur la composition des vaccins utilisés, afin de mieux apprécier les éventuels risques d’interactions magnétiques, notamment en cas d’IRM programmée (dernières IRM 7 Teslas+++).

Dr Julien Devilleger
Jessy Duthil
Juillet 2021

Deux témoignages, trois interrogations

 

1- Et si ce produit était constitué d’un dérivé de graphène?

L’hypothèse a été soulevée par  les espagnols de Quinta Columna (3) après que le Pr Pablo Campra (Univ. Almeria, Esp) ait affirmé dans un rapport préliminaire avoir isolé des quantités imposantes d’oxyde de graphène dans un flacon de Comirnaty©. (4)(5)

il y montre une similarité des images en microscopie électronique entre un échantillon du vaccin Cominarty© de Pfizer et des images d’oxyde de graphène tirées d’une publication de 2009.  Cette utilisation demeure parfaitement possible car déjà très sérieusement évaluée à plusieurs reprises comme par exemple ici:

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

ou encore là, s’agissant d’un dépôt de brevet:

https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en

On redit que les travaux de Campra n’ont été réalisés que sur un seul flacon issu d’un seul façonnier (Pfizer) et des doutes ont rapidement été soulevés quant à la provenance peu traçable de cet échantillon d’analyse.

Mais cette mise en évidence d’oxyde de graphène est également évoquée par le Dr Martin Monteverde pour certains vaccins anti-grippaux (d’où peut-être l’aimantation des non-vaccinés Covid), pour le vaccin Pfizer et AstraZeneca et une équipe Argentine aurait réalisé la même mise en évidence pour un échantillon issu de chez Moderna (6)

  2- Et si ça n’était pas de l’oxyde de graphène?

Voici l’opinion du Pr Marc Henry, Professeur de Chimie à l’Université de Strasbourg et spécialiste de physique quantique appliquée aux matériaux complexes, que nous remercions une nouvelle fois pour avoir accepté d’apporter son éclairage à ce nouveau débat: (7)

 » Bonjour Vincent,
Le graphène et l’oxyde de graphène sont deux nanomatériaux très différents. Beaucoup de gens font la confusion entre ces deux notions. Il faut donc être très clair là-dessus. Vous voulez sûrement plaisanter quand vous me demandez quelques lignes sur un sujet de recherche les plus brûlants de ce début de XXIe siècle. Il y a énormément d’articles publiés dont beaucoup sont en relation avec la COVID-19. Impossible donc de vous résumer une littérature aussi vaste et foisonnante. Néanmoins, pour vous aider, j’ai traduit partiellement deux articles de revue de 2020 qui sont très bien faits (8). Pour plus de détails, je vous conseille de lire les deux publications en entier. L’une parle du spécifiquement du graphène et l’autre spécifiquement de l’oxyde de graphène qui en dérive, tous deux en relation avec la COVID-19. Impossible de faire plus court si vous voulez vraiment avoir une vue la plus large possible de ce qui a été fait et de ce qui reste à faire. Vous pouvez donc partir de cette base, scientifiquement très solide, pour …/… sortir quelque chose de plus court, en relation directe avec la position que vous souhaitez défendre sur ce sujet à l’AIMSIB. Notez bien, que malgré ce gigantesque travail de recherche, il n’y a encore eu aucune application clinique et encore moins d’applications grand public. Ceux qui fantasment sur l’idée que ces deux nanomatériaux seraient présents dans les vaccins font donc preuve d’une grande ignorance du sujet. Si de tels nanomatériaux étaient vraiment introduits dans des vaccins commerciaux, cela serait criminel. Je vois donc mal des sociétés pharmaceutiques courir un tel risque, alors qu’il existe des tas d’autres adjuvants tout aussi efficaces. Si les médecins n’ont encore jamais entendu parler de ces deux nanomatériaux, c’est tout à fait normal. Car, avant qu’un résultat en provenance d’un laboratoire de recherche perce dans le commerce, il faut souvent attendre des dizaines d’années. Ici, le sujet est beaucoup trop récent pour en être à ce stade. Pour ce qui concerne le magnétisme des vaccins, il existe d’autres nanomatériaux (les SPIONS) que l’on utilise déjà depuis des années dans des produits commerciaux. Il vaudrait donc mieux regarder de ce côté-là puisque l’oxyde de graphène ne possède aucune propriété magnétique. Seul le graphène peut être magnétisé et encore, très difficilement. En revanche, les SPIONS sont naturellement magnétiques, peu toxiques et peuvent être facilement greffés sur des protéines elles-mêmes magnétiques comme la ferritine, par exemple.
Bien à Vous »

3- Graphène ou pas graphène, quel produit non divulgué dans les notices peut autant aimanter chez certains vaccinés?

On rappelle que depuis le scandale dénommé Pfizerleak (9) on sait que les Etats qui ont commandé des vaccins chez les industriels n’ont aucun moyen de cesser leurs achats sauf à pouvoir démontrer  la non conformité des produits mis sur le marché.

La présence de molécules non décrites dans les RCP de ces produits ne suffit-elle pas à déclencher une impitoyable enquête sanitaire à l’échelle internationale et interrompre par respect du principe de précaution le plus élémentaire la distribution de ces lots suspects? A l’heure où l’on se prépare à vacciner de manière obligatoire une frange très réticente de la population, n’est-ce pas de leur droit le plus strict que de connaître parfaitement la liste exacte des produits qui composent ces assemblages dits vaccinaux? 

Réclamons de toutes nos forces une enquête immédiate sur la constitution réelle de ces produits vaccinaux, possiblement certains de leurs composés n’ont jamais reçu la moindre autorisation d’utilisation en médecine humaine.  

Notes et sources:

(1) 1 femme gardant une peau moite après 10 minutes de séchage (mais test non renouvelé) avait une adhérence bilatérale, un homme ayant une tuméfaction au bras liée à injections répétées de Victoza avait une adhérence au dessus de la tuméfaction).
(2) injection datant de – de 15 jours chez 9 patients, et 2 mois pour 1 patiente), dont 8 vaccinés Astra. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients. 4 patients ont eu une recherche sur peau jugée trop moite (malgré séchages par serviette sèche), et la recherche à domicile par le conjoint du patient (après explication de la technique), a confirmé l’aimantation chez 3 patients.
(brevet)
(3) https://www.laquintacolumna.net/
(4) version espagnole https://www.docdroid.net/TOPBZJY/microscopia-de-vial-corminaty-dr-campra-firma-e-1-horizontal-pdf
(5) Version anglaise https://www.docdroid.net/Ov1M99x/official-interim-report-in-english-university-of-almeria-pdf#page=2
(6) https://www.orwell.city/2021/07/absorption-signal.html
(7) https://www.aimsib.org/2020/01/26/homeopathie-medecine-science-et-ignorance-lavis-du-professeur-marc-henry/
(8) Traduction partielle de l’article concerant le graphène :
Srivastava AK, Dwivedi N, Dhand C, et al. « Potential of graphene-based materials to combat COVID-19: properties, perspectives, and prospects. » Mater Today Chem. 2020;18:100385. doi:10.1016/j.mtchem.2020.100385
Qu’est-ce que le graphène ?
Le graphène est un nanomatériau formé une monocouche d’atomes de carbone d’hybridation sp2 liés disposés selon un motif hexagonal. Le graphène monocouche (GMC) présente des propriétés exceptionnelles. Dans le GMC, les bandes π et π* se touchent au point de Dirac, ce qui en fait un matériau à bande interdite nulle, et au point de Dirac, les électrons du GMC se comportent comme des fermions sans masse. Le GMC présente une mobilité élevée des porteurs qui peut atteindre environ 105-106 cm2V-1s-1, soit deux à trois ordres de magnitude de plus que le silicium ; une résistance mécanique élevée d’environ 130 GPa, plusieurs fois supérieure à celle de l’acier ; des conductivités électrique et thermique supérieures à celles du cuivre et du diamant, respectivement ; une transmission élevée d’environ 97,7 % ; un excellent pouvoir lubrifiant ; des propriétés antimicrobiennes à large spectre, etc.
Applications
Le graphène et les matériaux dérivés du graphène (MDG) pour les applications de soins de santé est l’un des domaines de la science et de la technologie qui connaît la plus forte croissance. En particulier, le graphène et les MRG se sont révélés prometteurs pour combattre les maladies virales via le développement d’excellents dispositifs de diagnostic, et pour contrôler la propagation des infections grâce au développement de divers composants et revêtements. Dans cet article, nous avons compilé la littérature et discuté de l’utilisation du graphène et des MRG dans les revêtements antiviraux, les composants de protection et les dispositifs de diagnostic pour lutter contre les maladies virales, notamment le COVID-19. Nous avons discuté en détail des diverses propriétés fonctionnelles du graphène, des MDG et de leurs composants. Plus précisément, le graphène, les GRM et leurs composites avec des métaux et des polymères pourraient être utilisés pour le développement :
(i) de revêtements antimicrobiens et antiviraux pour empêcher la propagation de l’infection à partir de surfaces très touchées
(ii) de biocapteurs électrochimiques, FET, piézoélectriques et basés sur la technologie CRISPR pour un diagnostic rapide et sensible
(iii) des biocapteurs basés sur les technologies électrochimique, FET, piézoélectrique et CRISPR pour un diagnostic précoce, rapide et sensible des virus, y compris le SRAS-CoV-2,
(iv) divers EPI et autres systèmes de soins de santé basés sur la technologie d’impression 3D
(v) des nanomousses à pores contrôlés et plus petits pour un masque facial amélioré, (v) des substrats SPR pour un diagnostic sensible des biomolécules et des virus.
Bien que le graphène, les MDG et leurs composites aient montré d’excellentes propriétés fonctionnelles pour les applications de santé, les composants médicaux, les dispositifs, etc. n’ont pas encore atteint le stade des essais cliniques. Cela indique que le chemin du graphène et des MDG pour les applications de santé est encore long. En effet, l’un des sujets les plus critiques de la recherche actuelle et future sur le graphène et les MRG pourrait être l’avancement des travaux jusqu’au stade des essais cliniques, puis le développement de produits en termes d’appareils de diagnostic commerciaux, de composants de protection, de revêtements de surface, etc. Il est intéressant de noter que, même dans le scénario COVID-19 actuel, de nombreux équipements/composants de protection à base de graphène ont été développés, tels que des masques faciaux, des composants imprimés en 3D, des biocapteurs et des revêtements de surface, et certaines de ces technologies devraient être converties en produits commerciaux dans un avenir proche. Dans l’ensemble, bien que le chemin à parcourir pour que le graphène et les GRM atteignent le niveau du produit semble long, les progrès récents dans la science et la technologie de ces matériaux pour les applications médicales pourraient aider à atteindre l’objectif de commercialisation bientôt.
Traduction partielle de l’article concernant l’oxyde de graphène (GO)
Wanjun Caoa, Lin Hea, Weidong Caob, Xiaobing Huanga, Kun Jiac, Jingying Daia, « Recent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant », Acta Biomaterialia 112 (2020) 14–28.
Qu’est ce que l’oxyde de graphène ?
Le GO est une structure cristalline typiquement bidimensionnelle avec des groupes fonctionnels oxygène et une couche atomique unique. Cette couche est composée d’atomes de carbone sp2 et sp3 disposés dans une grille hexagonale comme son squelette binaire, ce qui confère au GO une grande surface et une nature hydrophobe. Les groupes oxygénés tels que les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy sont répartis sur les plans de base et les bords du squelette. En général, il est dérivé du graphite par diverses stratégies d’oxydation. Bien que le GO dérivé de différentes méthodes de synthèse soit fondamentalement cohérent, il est susceptible de présenter quelques différences dans certains aspects ou propriétés tels que les dimensions latérales et le nombre de groupes fonctionnels oxygénés. Les groupes contenant de l’oxygène comprennent les groupes hydroxyle, les groupes carbonyle et les groupes époxy, dont l’introduction rend le GO soluble dans l’eau. Cependant, le plus important de ces groupes est le groupe carboxyle, car il constitue la base de la synthèse du GO fonctionnalisé (FGO). Le réseau aromatique constitue également la base de la modification du GO par empilement π-π ou interaction hydrophobe. Ces éléments sont détaillés dans la troisième partie. Après modification avec des biomatériaux hydrophiles, la solubilité et la stabilité dans les solutions biologiques sont améliorées. En outre, le FGO obtenu présente une biocompatibilité supérieure et une meilleure capacité de libération que le GO nu. Le rGO est considéré comme le produit de réduction du GO, souvent obtenu en traitant le GO avec des agents réducteurs tels que l’hydrate d’hydrazine au cours des dernières décennies. Cependant, ces agents réducteurs sont toxiques et nocifs pour le corps humain. Récemment, diverses stratégies de réduction verte ont été appliquées avec succès pour la réduction du GO, telles que la réduction par extrait de plante, la réduction par acide aminé, la réduction électrochimique et la réduction photocatalytique. La réduction du GO vise à restaurer le réseau graphitique en éliminant les groupes fonctionnels de l’oxygène. Après traitement avec différentes stratégies de réduction, on obtient différentes espèces de rGO avec différents rapports d’atomes de carbone et d’oxygène (C/O), qui sont augmentés par rapport au GO correspondant (le groupe hydroxyle phénolique, le groupe époxy ou le groupe carboxyle, etc. sont complètement ou partiellement éliminés). Par conséquent, contrairement au GO, le rGO tend à être modifié par des substances aromatiques ou des copolymères aliphatiques via l’empilement π -π et l’interaction de van der Waals. En outre, la structure et la surface du rGO peuvent également être différentes selon les méthodes de synthèse. Par exemple, une étude récente a observé que contrairement à la forme de feuille de GO, le rGO est une particule circulaire dont la largeur est manifestement plus grande que la hauteur, ce qui attribue une hydrophobie accrue.
Applications
Le GO peut adsorber une grande variété d’antigènes et présente un grand potentiel en tant que support en raison de sa grande surface, de son squelette aromatique hydrophobe à six chaînons et de ses groupes fonctionnels oxygène facilement modifiables. Il présente également une activité adjuvante pour activer le système immunitaire par les voies médiées par les TLR. Cependant, il présente une solubilité et une stabilité médiocres en raison de son agrégation rapide dans les liquides biologiques. On a observé que le GO et le rGO provoquent de nombreux effets indésirables, notamment l’hémolyse, l’apoptose cellulaire, les lésions de l’ADN et les lésions pathologiques des poumons et du foie. Par conséquent, les problèmes liés à sa biocompatibilité, à sa biodégradation et à sa toxicité limitent son application dans les vaccins.
De nombreuses stratégies de modification du GO par divers matériaux ont été développées au cours des dernières décennies, dans le but d’augmenter la biocompatibilité et la stabilité du GO tout en conservant le potentiel du GO en tant que support et adjuvant. Il est important de noter que les FGOs dérivés de la modification fonctionnalisée du GO montrent une plus grande capacité de délivrance d’antigènes et d’activation immunitaire que le GO vierge, comme le montre le tableau 1. La plupart de ces modifications sont cruciales pour moduler l’interaction des FGO avec les antigènes et les cellules immunitaires, ce qui contribue à l’amélioration des fonctions des FGO. Par exemple, dans le système rGO-dextrane, le rGO offre une surface unique pour charger l’antigène et interagir avec le dextrane, tandis que le dextrane se lie au récepteur d’hydrates de carbone à la surface des DCs pour promouvoir l’interaction du rGO avec les DCs. Dans le système GO-PEG-PEI, sur la base de la surface unique du GO pour interagir avec les DCs, le PEG peut améliorer la biocompatibilité du système, et le PEI chargé positivement favorise les interactions du GO avec l’Ure B et les DCs chargés négativement. Par conséquent, les FGO sont des candidats prometteurs pour une application biomédicale dans le domaine des vaccins. Au cours des dernières décennies, de nombreux types de FGO ont été conçus pour d’autres applications biomédicales, comme les films rGO fonctionnalisés par des anticorps pour la détection de l’aflatoxine et les GO fonctionnalisés par des molécules ciblées pour l’administration de médicaments anti-tumoraux. Cependant, les études sur les FGO pour l’application vaccinale n’en sont qu’à leurs débuts, et elles doivent encore faire face à des problèmes et des défis sur la voie de l’application clinique. Aucune étude n’a encore confirmé la biosécurité des OGF dans le corps humain. Des essais cliniques et davantage d’études précliniques in vivo sont nécessaires pour fournir des informations sur la biocompatibilité, la biodégradation, la biodistribution et la toxicité des FGO. En ce qui concerne les études réalisées à ce jour, la plupart d’entre elles n’ont examiné que le rôle unique des FGO en tant qu’adjuvants ou transporteurs. En outre, les chercheurs ont étudié la capacité des FGO à charger et à délivrer seulement quelques types d’antigènes et d’adjuvants, tels que l’OVA et les ODN CpG. Des antigènes plus spécifiques pour la thérapie des cancers ou des maladies infectieuses devraient également être étudiés plus avant dans le système d’administration de vaccins basé sur les FGO. En outre, il n’est pas clair si les différentes voies d’immunisation des vaccins à base de FGOs affectent les résultats biologiques, ce qui est également important pour l’application des vaccins à base de FGOs. Cette question doit être étudiée de manière plus approfondie. Les mécanismes impliqués dans l’activité adjuvante des FGO ne sont pas encore totalement compris, ce qui doit être clarifié par des recherches sur les voies associées à l’activation immunitaire.
En résumé, les FGO présentent un grand potentiel en tant que vecteurs et adjuvants de vaccins. La combinaison de l’antigène et des FGO en tant que formulation de vaccin est une stratégie importante et prometteuse pour l’immunothérapie de diverses maladies.
PEG = Polyethylene glycol
PEI = Polyethylenimine
DCs = Cellules dendritiques
OVA = Ovalbumine
ODNs = Oligodeoxynucleotides
CpG = Unmethylated cystein-guanine motifs
Ure B = Urease-B
(9) https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer




GRÈVE DES SOIGNANTS À BELCAIRE

[Source : SMAER]

Du plateau de Sault dans l’Aude, le Dr. Patrick Giusti, nous fait part du combat de sa maison médicale contre le totalitarisme de la politique de santé gouvernementale.




René Chiche: « Le pass sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! »

[Source : putsch.media]

[Extraits (lire l’article entier sur putsch.media]

(crédit photo René Chiche)

René Chiche, professeur de philosophie, auteur du livre « La désinstruction nationale » a accordé un très long entretien à Putsch. Il évoque le pass sanitaire, la démocratie, Emmanuel Macron, l’état de droit, la désinformation de certains grands médias ainsi que l’éducation nationale sous Jean-Michel Blanquer dans une analyse au vitriol qui permet de mieux appréhender la situation dans laquelle la France se retrouve aujourd’hui, et surtout avec un point de vue très discordant. Un entretien passionnant.

PROPOS RECUEILLIS PAR NICOLAS VIDAL

Quel regard portez-vous sur ce Pass sanitaire et la façon dont il est imposé aux Français ?

Plus de trois semaines après son allocution le 12 juillet dernier, je suis encore sidéré qu’un président de la République se soit permis de dire droit dans les yeux aux Français que désormais, le poids des restrictions pèserait sur une partie d’entre eux. Cette déclaration est extrêmement grave dans la bouche d’un homme dont le premier devoir est d’assurer l’unité de la nation et d’œuvrer à la paix civile. Car, indépendamment de tout ce que l’on peut dire pour justifier ce « laissez-passer sanitaire » (il faut appeler les choses par leur vrai nom !), la façon de le présenter ne va pas du tout, et la suite n’a fait que l’illustrer : on a clairement désigné à la vindicte une partie de la population. Pire : on a sciemment donné à une mesure censée être sanitaire une toute autre portée, suggérant que se faire vacciner était une forme de civisme et que les personnes non-vaccinées étaient de mauvais citoyens, des égoïstes, quand ce n’était pas tout simplement des ignares ou des égarés puisque, si j’en crois les dernières sorties d’Emmanuel Macron dans Paris-Match, il n’hésite plus à qualifier les opposants au laissez-passer vaccinal d’ennemis de la démocratie ou de débiles mentaux « en perte de sens » (sic) !

(…)

En résumé, le passeport sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! (…) Le virus circule autant et surtout il se moque du taux de vaccination de la population car sa circulation dépend d’autres facteurs sur lesquels on n’a finalement que peu de prise, sauf à cloîtrer indéfiniment chez elle la population mondiale !

(…)la crise sanitaire est en réalité une crise des systèmes de santé, et il est évident qu’une sous-capacité, par exemple dans les services de réanimation (…), devient tout de suite une catastrophe en cas de pic épidémique, mais avec la grippe aussi bien que la covid. (…) Il me semble évident que si l’on ne surveille pas attentivement la maladie dans sa phase initiale, on augmente le nombre de chance de voir survenir des cas graves. (…) la médecine, contrairement à la statistique, ne porte que sur l’individu, la première règle à laquelle s’astreint l’homme de l’art étant de connaître l’histoire du patient afin de ne pas lui nuire. Je crois qu’on touche ici au cœur de la « crise » actuelle, où je vois d’abord une tentative pour l’administration de se mêler de médecine et, concrètement, d’en entraver la pratique, exactement comme elle le fait en matière d’éducation.

Comment avez-vous réagi à ces déclarations de Jean-Michel Blanquer sur la « mise à l’isolement » des élèves cas contacts/positifs non vaccinés ? Est-on en train de toucher à un fondement de l’éducation nationale ?

(…) on sait désormais que lorsqu’un membre de ce gouvernement ou de cette majorité annonce qu’il va faire beau demain, il faut se munir de son parapluie. Oui, Jean-Michel Blanquer instaure un « passeport sanitaire » qui ne dit pas son nom dans les écoles, et ce sans aucun fondement légal puisque la loi instaurant ledit passeport ne mentionne pas les établissements scolaires.

(…) Avec une telle mesure, on assiste dans le domaine de l’éducation à ce qu’on voit par ailleurs : sous prétexte d’une crise sanitaire dont j’ai déjà dit qu’elle était surtout une crise hospitalière, on tourne le dos à des principes fondamentaux comme si les circonstances suffisaient à le justifier. Cela permet surtout de constater que ceux qui invoquent à longueur de journée et d’année les « valeurs de la République » ne savent pas ce qu’est un principe et n’en ont aucun. Pendant la seconde guerre mondiale, des Français ont sacrifié leur vie parce qu’ils avaient des principes, et désormais, on sacrifie des principes pour sauver des vies. C’est une inversion terrible et qui donne à penser.

Jean-Michel Blanquer semble empiler les approximations notamment sur le processus de contamination et le vaccin ou encore sur la proportion d’enseignants aujourd’hui vaccinés. Pourquoi selon vous ?

J’ai cru en Jean-Michel Blanquer lors de son arrivée rue de Grenelle, mais très rapidement, je l’ai vu à l’œuvre et ai cessé de le prendre au sérieux. Il est capable de dire tout et son contraire, et d’aligner d’énormes mensonges avec la candeur d’un enfant de chœur, que ce soit à propos de la vaccination, de la contamination ou de tous les autres sujets (je suis bien placé pour le dire en tant que professeur mais aussi membre du Conseil supérieur de l’éducation où je représente comme vice-président du syndicat Action & Démocratie la CFE-CGC). (…)

(…) Il ne faut pas oublier que nous avons à faire à des gens qui prétendent gouverner au nom de la science ! Cette prétention est évidemment grotesque quand on sait que la science, c’est le doute, la précaution contre soi-même érigée en méthode, la prudence, alors qu’on fait présentement de la science l’usage inverse, l’argument d’autorité qui interdit toute critique et renvoie les doutes légitimes à l’obscurantisme, pour ne pas dire au « complotisme » !

Est-on arrivé aux limites de l’État de droit avec une décrédibilisation de plus en plus grande chez de nombreux Français pour les parlementaires et le Conseil d’État ?

(…): si des élus se croient légitimes quand ils obtiennent un mandat avec 10% du corps électoral, je ne vois pas ce qui les empêche de se dire légitimes avec moins encore ! Mais là, il s’agit de la limite de la démocratie, non de l’État de droit.

(…) il est clair que, la désinstruction nationale aidant, notre époque est celle d’une crise de la démocratie. Enfin non, le mot « crise » étant un mot bon à tout faire, je préfère parler plus exactement d’un effacement de la démocratie, dont certains éléments formels demeurent et permettent de maintenir l’illusion que nous sommes en démocratie alors que ce qui décrit plus exactement notre régime actuel, c’est la notion de despotisme technocratique.

(…) L’autre aspect de votre question concerne l’État de droit, et là, je ne parlerais pas de discrédit mais, plus gravement, d’une liquidation en douceur. Je précise que le contraire de l’État de droit, c’est l’état de nature, c’est-à-dire le pur jeu des forces. Et en effet, on est en droit, c’est le cas de le dire, de s’inquiéter quand on lit certains avis ou certaines décisions des juges du Conseil d’État qui se permettent d’écarter des objections sérieuses à l’aide de sophismes grossiers et qui me font dire de cette instance qu’elle réalise la proposition de Pascal selon laquelle, n’ayant pas pu faire en sorte que la justice soit forte, on a fait en sorte que la force soit juste.

Le Conseil d’État n’est qu’une annexe de l’exécutif, quand il n’en est pas tout simplement l’antichambre.(…)

Enfin, comment jugez-vous le traitement de certains grands médias sur les fortes mobilisations de Français qui s’opposent au Pass sanitaire depuis le 14 juillet dernier ?

Eh bien parlons donc de l’industrie de la désinformation. J’avoue que le spectacle offert chaque jour par les chaînes de bavardage en continu est impressionnant et, à part ceux qui s’y pressent ou ne vivent que de ça, je suis persuadé que personne ne les prend au sérieux, ou alors il faudrait prendre au sérieux les conversations des tontons et tatas autour du gigot du dimanche.

Mais ce spectacle présente un intérêt tout de même pour qui veut s’instruire, car on y observe un usage de la langue qui permet de comprendre bien des choses. J’en parle abondamment dans le petit livre sur la désinstruction que j’ai écrit voici deux ans, et il me sera difficile de résumer cela en deux lignes, mais pour dire l’essentiel, les mots ne sont plus utilisés comme des signes mais comme des signaux destinés à faire réagir au lieu de faire réfléchir. Les ficelles de la désinformation sont à la fois grossières, pour qui n’en est pas dupe, et subtiles. Par exemple, puisque vous faites allusion aux manifestations contre le passeport sanitaire, je suis tombé par hasard sur un journal télévisé où la speakerine (car à ce niveau, je ne peux pas l’appeler journaliste même si elle a probablement une carte de presse) évoquait les « antivax » et enchaînait en parlant de ce que « les Français » en pensaient : du coup, je me suis demandé quelle était la nationalité des « antivax ». On fait avec ce mot absolument ridicule ce qu’on a fait avec « les gilets jaunes » : en désignant de la sorte des Français qui ne sont pas d’accord avec les politiques conduites par le gouvernement, on les met insidieusement au ban de la communauté nationale, on en fait une espèce singulière, et l’on suggère ainsi à son auditoire les pires choses à leur sujet. (…) Si je devais faire un cours sur la manipulation à l’ère de la démocratie moderne, j’aurais l’embarras du choix pour l’illustrer. Pas un seul média n’y échappe, comme si les écoles de journalisme formataient les jeunes gens de la même manière, toutes choses égales par ailleurs, que l’école nationale d’administration formate les futurs gouvernants. Mais, comme je l’ai dit précédemment, ceci est très grave dans la mesure où l’existence d’une opinion publique instruite est une des conditions de possibilité d’un régime républicain, et le niveau des médias en dit long à ce sujet. Je parle bien du niveau, et pas seulement du fait qu’ils désinforment plus souvent qu’ils n’informent, au point qu’il m’était arrivé de dire, quand le documentaire Hold-up a fait jaser et que l’on a crié au « complotisme », que même si je le trouvais plutôt médiocre, il m’apparaissait beaucoup moins nuisible à la santé mentale des Français que le journal télévisé de TF1 !

Nous avons des médias tétanisés et qui n’osent plus critiquer le pouvoir, ce qui condamne des gens qui ont des choses à dire, et même parfois (ce qui est tout de même un comble !) des scientifiques de grande valeur, à ne pouvoir s’exprimer que dans des médias alternatifs et bien entendu réputés « complotistes » ou au service de puissances étrangères (…)

La désinstruction nationale, René Chiche, les éditions Ovadia




À Béziers, la police municipale ne contrôlera pas le passe sanitaire sur les terrasses des cafés

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Robert Ménard, maire de Béziers. (Photo : PASCAL GUYOT/AFP via Getty Images)]

Par LÉONARD PLANTAIN

Bien que favorable à la vaccination pour tous, Robert Ménard, le maire de Béziers, n’a pas l’intention de demander à sa police municipale de contrôler le passe sanitaire sur les terrasses.

Robert Ménard a été clair : à Béziers, les policiers municipaux n’iront pas sur les terrasses des cafés et restaurants pour vérifier que les clients assis ont bien leur passe sanitaire. Hostile à ces contrôles, le maire de Béziers n’a donc pas l’intention de demander à ses équipes de faire ce travail supplémentaire à compter de ce lundi 9 août, a rapporté France Bleu.

Par ailleurs, à la fin du mois de juillet, le syndicat de défense des policiers municipaux (S.D.P.M) s’opposait déjà fermement à cette mesure du projet de loi, qui devrait être validée par le Conseil constitutionnel. En effet, le S.D.P.M a estimé « que les forces de l’ordre ont d’autres tâches prioritaires à effectuer que de s’immiscer dans les données médicales des administrés, qui relèvent de la vie privée ».

« La délinquance et le risque terroriste n’ont pas baissé en France », a également souligné le représentant du S.D.P.M sur son site internet.

De son côté, le maire de Béziers, farouche défenseur de la vaccination obligatoire, a jugé que cette nouvelle mesure était inapplicable : « Je suis favorable au passe sanitaire, mais je pense que sur les terrasses cela n’a pas de sens », a conclu Robert Ménard.




Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.




Passe sanitaire : un ancien militaire porte plainte contre Jean Castex et Olivier Véran

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Le Premier ministre français Jean Castex (d), à côté du ministre français de la Santé Olivier Véran.
(GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Un habitant du Cotentin âgé de 72 ans a décidé de porter plainte contre le Premier ministre Jean Castex et contre le ministre de la Santé Olivier Véran. Il dénonce la mise en place du passe sanitaire.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur »

Une plainte a été déposée par Philippe A., un habitant de Cherbourg (Manche), contre Jean Castex et Olivier Véran. Cet officier supérieur retraité du Service de Santé des Armées a adressé un courrier à François Molins, le procureur général près la cour de cassation et à Rémy Heitz, procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris, ainsi que le relate France Bleu. Il leur a demandé d’ouvrir une enquête et de saisir la Cour de Justice de la République. Par ailleurs, l’ancien officier s’est adjoint les conseils d’un juriste pour déposer plainte et a pris un avocat. Dans sa plainte, le septuagénaire a pointé plusieurs violations des droits de l’homme.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur où les convulsions politiques cédant à la panique, cherchent à dresser les Français les uns contre les autres, dans la recherche de boucs émissaires pour faire oublier les carences de leurs gestions respectives passées, notamment en matière de santé », a martelé Philippe A., ainsi que le relate Actu.fr. Concernant cette gestion du gouvernement, il a précisément pointé du doigt la fermeture des hôpitaux auprès de France Bleu.

Ce passe sanitaire est illégal et discriminatoire !

Le plaignant, qui a étudié de nombreux textes de loi, ouvre cette procédure avec une volonté « apolitique »« Il y a dans ce passe sanitaire une contrariété vis-à-vis de la constitution, des droits de l’homme, vis-à-vis des personnes qui vont contrôler le passe sanitaire et qui auront donc accès à des données médicales nous concernant », s’est indigné Philippe A. au micro de France Bleu.

L’ancien militaire dénonce effectivement le fait d’être contraint de justifier de son état de santé auprès de « personnes physiques ou morales privées, non détentrices de la fonction publique et non habilitées officiellement à accéder à [ses] données médicales ».

Il explique encore à Actu.fr : « Je ne suis pas en mesure de fournir un passe sanitaire assujetti, soit à une injection dont la compatibilité avec mon affection n’est pas avérée, soit à une entrave permanente de mes déplacements soumis à des tests caducs et scientifiquement contestés. » Il ajoute que de ce fait, il est « de manière discriminatoire, interdit d’accès pour des raisons de santé », dans de nombreux lieux où le passe sanitaire est demandé. « Je me vois privé de manière discriminatoire de mes déplacements familiaux territoriaux par le non-accès aux services publics (trains, avions, cars) », a poursuivi l’officier retraité.

Une dictature d’obligations et un apartheid sanitaire !

« Je subis de fait au nom de la Liberté, une dictature d’obligations, au nom de l’Égalité, un apartheid sanitaire, et au nom de la Fraternité, un déclassement social égaré dans les tiroirs de la distanciation », s’exaspère encore Philippe dans un extrait de sa plainte.

« Il est nécessaire aujourd’hui de redonner, dans la sérénité, aux scientifiques et médicaux pratiquant, la maîtrise et les moyens de la gestion de crise tout en permettant aux personnels de santé de terrain la liberté de remèdes et de soins à la hauteur de la confiance que leur ont toujours porté leurs patients », réclame enfin cet habitant du Cotentin.




Israël. Covid-19 : « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

[Source : breizh-info.com]

En Israël, pays pionnier en matière de vaccination, de plus en plus d’hospitalisations de contaminés au Covid-19 concernent des personnes entièrement vaccinées. De plus, les services de santé publique constatent une baisse d’efficacité des vaccins dans le temps. La perspective d’un nouveau confinement n’est pas exclue par les autorités.

Israël : « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

De nouvelles informations provenant d’Israël concernant la situation sanitaire viennent de remettre en cause le consensus autour des actuels vaccins à ARN messager que l’exécutif et une large partie de la presse tentent actuellement d’imposer en France.

Interviewé sur une chaîne de télévision israélienne le 5 août, le docteur Kobi Haviv, directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, indique que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont vaccinés. Par ailleurs, il indique que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées ».

https://www.youtube.com/embed/FvnHkp14Ne4

Quant à la prolongation de la protection des vaccinés dans le temps, celle-ci « diminue » et Kobi Haviv déclare : « Comme nous l’avons mentionné plus tôt, l’efficacité du vaccin est vraiment en baisse ».

« L’efficacité du vaccin est d’environ 40 % »

Dans ce pays pionnier en matière de vaccination où désormais plus de 64 % de la population totale a reçu au moins une dose de vaccin (et près de 60 % ayant reçu les deux doses), le ton a radicalement changé depuis quelques jours et l’heure n’est plus au retour à la « vie d’avant » tandis que le gouvernement israélien n’hésite plus à évoquer la possibilité d’un confinement ferme d’une durée de six à huit semaines dans un futur proche. Un gouvernement qui incite désormais les plus de 12 ans à se vacciner tandis que les plus de 60 ans sont invités à se faire administrer une troisième dose.

En ce qui concerne les inquiétudes émises par le docteur Kobi Haviv vis-à-vis de la baisse d’efficacité des vaccins, elles sont aussi partagées par Sharon Alroy-Preis, la directrice des services de santé publique d’Israël. Sur la chaîne américaine CBS News, elle a déclaré le 1er août que les infections chez les personnes vaccinées en janvier sont deux fois plus importantes que chez celles vaccinées en mars. Elle a ajouté par ailleurs que ces infections étaient particulièrement problématiques pour les personnes de 60 ans et plus.

D’autre part, Sharon Alroy-Preis a indiqué que la moitié des infections au Covid-19 recensés actuellement dans le pays concernaient des personnes entièrement vaccinées 

« Auparavant, nous pensions que les personnes entièrement vaccinées étaient protégées, mais nous constatons maintenant que l’efficacité du vaccin est d’environ 40 %. »

La directrice des services de santé publique d’Israël a aussi souligné que les responsables de la santé publique commençaient à voir des signes de maladie plus grave parmi ces personnes entièrement vaccinées. Un constat qui, s’il devait se confirmer dans le temps, viendrait remettre en cause l’affirmation indiquant que le vaccin protège largement des formes graves du coronavirus.

https://www.youtube.com/embed/z38NWVXky2Q

Actuellement, compte tenu des restrictions mises en œuvre par le gouvernement israélien, les voyageurs en provenance de France, les États-Unis ou encore d’Italie sont mis en quarantaine à leur arrivée en Israël, qu’ils soient vaccinés ou non.

Crédit photo : Capture YouTube (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La science discréditée par la finance pour régner sur le monde

[Source : reseauinternational.net]

par Jean Goychman.

L’opinion publique sort de la léthargie profonde dans laquelle elle était immergée depuis des décennies. L’Américain Mark Twain, grand observateur de la nature humaine, disait : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés ».

Les récentes manifestations et surtout leur montée en puissance partout en France nous indiquent que cette prise de conscience se produit et qu’elle marquera un tournant de notre Histoire.

Pour autant, la victoire est loin d’être acquise et le chemin qui y conduit sera encore long.

Qui est au cœur de ce bouleversement mondial ?

Si on en croit les médias « mainstream », tous les événements que nous subissons depuis près de 2 ans sont purement fortuits et quiconque y verrait un quelconque déterminisme, sans même parler d’un plan concerté, ne pourrait être qu’un affreux complotiste, ennemi de l’Humanité et fomenteur de troubles. Pourtant, la quasi-parfaite unanimité du propos devient d’autant plus suspecte que ce sont toujours les mêmes arguments qui nous sont présentés, un peu comme si « tous ces détaillants se fournissaient chez le même grossiste », pour paraphraser le regretté Philippe Seguin.

Considérés comme des moyens d’information au service de leurs lecteurs, les médias se sont progressivement mués en véritables instruments de propagande. Certes, cela n’est pas tout à fait nouveau, mais soulève néanmoins la question : « pour le compte de qui agissent-ils vraiment ? » Nous avons assisté à la dépersonnalisation progressive des éditorialistes et il n’en reste que très peu (et c’est tout à leur honneur) qui osent encore braver la doxa de la bien-pensance universalisée.

La première opération de prise de contrôle d’un média par la finance est probablement celle relatée par Carol Quigley. Dans son livre « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » (éditions Le retour aux sources) celui-relatait, dans le chapitre 6, intitulé « The Times » que le groupe de Milner avait utilisé le Times pour propager ses idées depuis 1905. Après avoir pris la direction de la ligne éditoriale dès 1912, ce groupe en fit l’acquisition en 1922.

C’est en 1906 que les banquiers à l’origine de la création de la FED avaient commencé à prendre le contrôle d’un certain nombre de journaux américains. Ceux-ci, après la crise de 1907, réclamèrent la mise en place d’une banque centrale, dont le peuple américain ne voulait pas.

Depuis cette époque, nombreux furent les médias qui, au travers d’une prise de participation majoritaire de leur capital, durent ainsi aliéner leur liberté de parole ou d’écrit aux « amicales pressions » de leurs administrateurs.

Un pouvoir sans limite

Après avoir convaincu (partiellement) le peuple américain de la nécessité de créer une banque centrale (sans utiliser le terme) la Réserve fédérale, couramment désignée sous le nom de FED, fut créée le 23 décembre 1913 à 23 h 30, au terme d’une séance particulièrement animée, car certains sénateurs et représentants avaient perçu ce qui se cachait derrière l’apparence. En réalité, la FED était une banque privée dont le capital était détenu par d’autres banques privées qui formaient une sorte de « cartel ». En ayant obtenu le pouvoir d’imprimer les dollars, la FED avait de facto pris le contrôle de la monnaie américaine, alors même que la Constitution donnait ce droit exclusif au peuple américain (Article 1er, section 8 §5)

Il ne manquait plus que la dernière étape pour libérer complètement ce pouvoir et celle-ci fut franchie en 1971 lorsque le dollar perdit sa convertibilité en or. Le dollar, devenu monnaie « fiduciaire » pouvait alors être créé à partir de rien et financer sans limites les dettes publiques américaines, comme le faisaient les autres banques centrales bâties sur le même modèle. Or, le dollar n’était pas une monnaie comme les autres, car il possédait un autre attribut : il était également, depuis les accords de Bretton Woods de 1944, la monnaie dite « de réserve internationale » avec laquelle s’effectuaient les transactions internationales, et en particulier le commerce du pétrole. Il est évident que ce double statut « brouillait » les cartes et que cela permettait à la finance américaine (et aux banques internationales qui contrôlaient Wall Street) de s’enrichir également sans limites car il fallait créer de plus en plus de dollars pour satisfaire la demande mondiale. Et comme ces dollars ne pouvaient être créés que sur demande du Trésor américain, ils généraient également des intérêts en proportion…

C’est donc toute la planète, ou presque, qui s’est trouvé sous la coupe de la monnaie américaine. Ajoutez à cela les deux autres piliers de la finance mondiale qui sont le FMI et la Banque Mondiale et vous obtenez le système financier qui dirige la planète.

Il est curieux de constater qu’en aout 2019, les principales banques centrales décidèrent de « tuer le dollar » et que certains y voient l’acte initiateur du « Great Reset » pour lequel , aux dire même de Klaus Schwab, celle-ci fut une sorte de bénédiction.

Les conséquences de cette mainmise

On prête à Nathan Rothschild, dès 1815 la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ! » Cette prophétie semble s’être réalisée car ce pouvoir exorbitant est aujourd’hui concentré dans les mains d’une infime minorité qui peuvent pratiquement tout se payer.

Ils ont compris tout de suite que la faiblesse des démocraties résidait dans la facilité à convaincre, voire à égarer, les opinions publiques et que, pour cela, il fallait contrôler les différents moyens d’informations. Lorsqu’on dispose d’une telle « manne céleste », les choses deviennent faciles.

Et parmi les moyens de contrôle de ces opinions, il y en avait un qui présentait d’énormes avantages, qui était de pouvoir inspirer des grandes peurs collectives. Ce climat de peur s’est progressivement installé depuis quelques décennies.

Les grandes peurs successives

Ne citons que pour mémoire que la « grande peur de l’an Mille » qui devait voir la fin du monde, et passons au XXe siècle. En 1938, Orson  Welles avait réalisé une émission de radio qui commentait l’attaque de New-York inspirée de « La guerre des mondes » écrite par HG Wells.

[Ndlr : il semble bien que la prétendue grande peur de l’an Mille relève davantage de légende urbaine que de fait historique (voir par exemple Jean Delumeau: «La peur de l’an mille n’est qu’une légende» – L’Express (lexpress.fr) et Sylvain Gouguenheim, Les Fausses Terreurs de l’an mil – Persée (persee.fr)).
Concernant, l’émission de radio d’Orson Welles, voir L’arnaque de la fausse panique de “La Guerre des Mondes” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]

Une opération similaire a eu lieu en France en 1946 et avait pour thème la désintégration incontrôlée des atomes, qui généra également une certaine panique. En fait, ces expériences montraient très clairement le pouvoir de persuasion sur une foule que possédaient les « mass-médias »

Mais c’est surtout à la fin des années 60 que les grandes peurs planétaires sont apparues. Elles trouvaient probablement leur origine dans le « Rapport de la Montagne de Fer ». Souvenez-vous du trou de la couche d’ozone, ou encore des « pluies acides ». D’une façon générale, il fallait accréditer l’idée que l’Homme détruit la planète sur laquelle il vit. Cette base allait constituer le soubassement d’un dogme religieux qui s’est progressivement transformé en véritable religion.

La Croyance nécessite l’appui de la Science

Alors que, depuis plusieurs siècles, les religions, de par leur coté dogmatique, avaient toujours observé une certaine méfiance au sujet de la science, et notamment de ce côté « prédictif » qui empiète sur le pouvoir divinatoire de Dieu, la grande force de ceux qui utilisent ces peurs est justement de leur donner un aspect scientifique destiné à établir la véracité des causes des phénomènes mis en jeu. Et peu importe si les étapes nécessaires pour passer de l’observation à la formulation d’une hypothèse qui devra être suivie d’une expérience « cruciale », pièce maîtresse qui, seule, permettra de valider une théorie, ne sont pas respectées, l’essentiel est que les gens croient, du moins dans leur immense majorité, à cette théorie. Pour cela, l’apparence scientifique, voire la signature de sommités réputées, relayées par des médias unanimes sont les instruments essentiels de persuasion. Dans les temps jadis, un événement relaté dans un journal ne pouvait-être que vrai. Et cela était très souvent le cas car les rédacteurs ne voulaient en aucun cas, par déontologie, divulguer de fausses nouvelles. Seuls étaient admis les écarts ne modifiant pas le sens général de l’information transmise. Nous n’en sommes plus là et aujourd’hui, ce n’est plus la réalité qui est le critère, mais ce que les gens pensent être la réalité. Nous sommes rentrés insensiblement dans l’ère du « story telling ».

Le monde des trois peurs

Trois menaces nous surplombent aujourd’hui, et alternent dans l’actualité. Il y a le terrorisme international, le réchauffement climatique et la pandémie. La première se caractérise par un énorme choc dans l’opinion dû à l’horreur des méthodes employées et la sidération de voir des gens perdre la vie sans d’autre justification que d’inspirer la terreur. Il y a cependant eu un certain nombre de retombées financières, notamment dans le domaine de la surveillance et de la sécurité, notamment dans les transports, mais cela n’est guère évoqué.

Ensuite, il y a le réchauffement climatique. De quoi s’agit-il exactement ? On nous prédit un réchauffement catastrophique qui va tout bouleverser à la surface de la planète. La fonte des glaces va engloutir les terres émergées et faire disparaître, à terme, toute vie sur terre…

La cause ? La concentration en dioxyde de carbone est passée de 3 particules pour dix mille à 4 en quelques décennies. Même si les molécules de ce gaz peuvent réémettre une partie de l’énergie qu’elles captent, (effet de serre) cela reste quand même très limité et il est impossible que ce seul phénomène, à l’exclusion de tous les autres, soit à l’origine de ce qui est appelé le « dérèglement climatique ». D’autant plus que l’enfer prévu semble plus que modéré car, d’après les relevés satellites, la température moyenne de la planète ne s’est élevée que d’environ 1°C depuis un peu plus d’un siècle et semble même ne plus augmenter du tout depuis une quinzaine d’années.

Enfin, il y a la pandémie du virus SARS-CoV-2. Qu’en retiendra l’Histoire ? Probablement le nombre de décès qui lui sont imputables, comme cela s’est toujours fait pour les grandes épidémies. Je vous laisse le soin d’aller chercher les chiffres, et vous conviendrez que, rapportée à la population actuelle de la Terre, cette épidémie est, du moins jusqu’à présent, une des moins tueuses qui soit.

Cependant, la dramatisation extrême de la communication planétaire fait que la crainte qu’elle inspire est telle que les peuples sont prêts à accepter toutes les privations de leur liberté au nom de leur survie, qui ne semble pourtant pas vraiment menacée.

Le bilan de tout cela

Parti d’une simple idée qui consistait à créer de la fausse monnaie à laquelle on donnait l’apparence de la vraie, celle qui possède une réalité économique et dont la création ne peut se faire qu’en raison des richesses créées par l’Homme, l’oligarchie financière qui a entrepris de diriger le monde il y a environ 150 ans touche pratiquement au but.

Les étapes successives se sont déroulées sous nos yeux et quiconque s’interrogeait sur le bien-fondé de celles-ci se voyait immédiatement ostracisé et interdit de parole, voire de pensée.

Il y eut pourtant de nombreux avertissements, y compris venant de personnalités pouvant influencer le cours mondial des choses (de Gaulle, Eisenhower, Kennedy, Philippe de Villiers, pour parler des politiques, mais également des historiens, comme Carol Quigley, Pierre Hillard, Peter Dale Scott et tant d’autres, sans parler des témoignages écrits de nombre de journalistes et d’éditorialistes, rien n’y fait. Les gens refusèrent de voir ce qui, pourtant, était devant leurs yeux.

Redonnons un court instant la parole à Nathan Rothschild, publiée par Stephen Mittford Goodson, dans son livre « L‘histoire des banques centrales » page 64 (éditions Omnia Veritas) :

« La minorité qui comprend le système sera si intéressée par ses profits ou si dépendante de ses faveurs qu’il n’y aura jamais d’opposition de la part de cette classe sociale ».

Reste à savoir si le « Great Reset » qui semble déjà entrer dans une phase active, marquera la victoire définitive de cette élite mondialiste ou si les peuples, dans un sursaut salvateur, sauront retrouver le chemin de la liberté que cette minorité entend leur confisquer.




Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Un citoyen canadien demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées

Le patriote Patrick King s’est représenté lui-même devant le tribunal après avoir été condamné à une amende de 1 200 dollars pour avoir protesté contre l’arnaque du Covid-19. Il a assigné la ministre provinciale de la santé à prouver l’existence du soi-disant virus, et ils ont été forcés d’admettre qu’ils n’avaient aucune preuve. Le virus n’a jamais été isolé, et le gouvernement n’avait donc aucun fondement juridique pour imposer les restrictions sévères qu’il a imposées à la société. Depuis que cette confession choquante a été révélée, la province a annulé toutes les restrictions sur le Covid et traite désormais officiellement le Covid-19 comme une simple grippe !

Le Dr Deena Hinshaw, de l’Alberta, s’excuse pour la  » confusion, la peur ou la colère  » suscitées par la levée des mesures COVID-19

Par Kieran Leavitt

EDMONTON – La Dre Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l’Alberta, s’est excusée de la « confusion, de la peur ou de la colère » qui ont entouré la décision de la province d’éliminer la mise en quarantaine obligatoire des personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif, la recherche des contacts et les masques dans les écoles et les autobus.

« J’ai entendu dire que le message que les gens ont reçu de mes paroles était que je pense que le COVID est terminé et que les gens sont laissés à eux-mêmes pour y faire face », a-t-elle écrit dans une chronique publiée mercredi dans plusieurs médias.

« Ce n’était pas le message que je voulais faire passer », a-t-elle ajouté.

« Nous n’éliminerons pas le COVID, ce qui signifie que nous devons apprendre à vivre avec ».

Cette chronique survient une semaine après qu’elle a annoncé la levée des mesures de santé publique qui étaient en place pendant la majeure partie de la pandémie et au milieu de critiques intenses pour avoir agi ainsi. Le premier ministre Jason Kenney et le ministre de la Santé Tyler Shandro ont déclaré que la décision de lever les restrictions faisait suite aux recommandations de Mme Hinshaw.

Cela signifie également un nouveau changement dans son image publique. Au début de la pandémie, les gens partageaient des fanarts de Mme Hinshaw en ligne – l’une des images les plus remarquables la représentait dans une armure – et admiraient son comportement calme et froid en tant que visage de la réponse de l’Alberta au COVID-19.

La semaine dernière, le hashtag #FireHinshaw [Virez Hinshaw] s’est répandu.

En effet, elle venait d’annoncer qu’à partir de la mi-août, l’Alberta n’exigerait plus que les personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif s’isolent, mais qu’elle leur recommanderait fortement de le faire. Les traceurs de contact ne diront plus non plus aux contacts proches qui a pu être exposé (certaines mesures seront toutefois maintenues pour divers milieux à haut risque).



Transcription FR : https://pastebin.com/AY0z4mMX

“En Alberta, aujourd’hui, le port du masque obligatoire prend fin. Les enfants ne devront plus porter de masque lorsqu’ils retourneront à l’école, la quarantaine obligatoire va prendre fin, le traçage des contacts, les tests pour les symptômes légers, tout cela est terminé. Ils vont maintenant reconnaître le covid comme une grippe légère et la traiter comme telle. La liberté a gagné en Alberta, prouvant que se battre fonctionne”.

Le 5 décembre 2020, le citoyen canadien Patrick King a été reconnu coupable d’avoir enfreint un ordre du médecin en chef de la santé de l’Alberta (Deena Hinshaw), l’ordre étant “en réponse à la pandémie de Covid-19” et l’infraction concernant spécifiquement le fait de se trouver dans un rassemblement de plus de 10 personnes. King a été condamné à une amende de 1 200 $.

King a fait appel. Lors de sa comparution devant le tribunal le 4 mai, il a exposé les informations dont il aurait besoin pour préparer une défense adéquate et plausible. Il s’agit notamment de la preuve de l’isolement du virus SARS-CoV-2.

Le mercredi 14 juillet, M. King a assigné le CMOH (Médecin en chef du Canada) en vertu de l’article 699 du Code criminel, lui demandant d’apporter “tous les livres blancs décrivant l’isolement du virus SARS-CoV-2, directement à partir d’un échantillon prélevé sur un patient malade”, car “ces livres blancs auraient fait partie intégrante de l’élaboration des statuts établis en vertu de la ” Loi sur la santé publique ” ici en Alberta”.

Trois jours plus tard, King a été informé que son action en justice avait été annulée ; il a donc dû la faire reporter.

King a ensuite été assigné par les avocats de Deena Henshaw à comparaître à une audience en chambre. Lors de cette audience, un avocat de Deena Henshaw a déclaré : “M. King a demandé des preuves que nous ne pouvons pas fournir”.

Lorsque l’affaire est portée devant le tribunal, le samedi 24 juillet, elle a pris de l’ampleur, étant reformulée comme suit : “Sa Majesté la Reine contre Patrick James King”, et des procureurs généraux d’Ottawa y assistent. Une fois de plus, King fait état, et le tribunal prend acte, de l’incapacité du CMOH à fournir les preuves qu’il avait demandées.

L’enjeu de la contestation de King est que les politiques de santé liées au Covid élaborées et mises en œuvre par le gouvernement provincial de l’Alberta et son CMOH reposent sur l’existence d’un agent infectieux spécifique, alors qu’ils ne peuvent pas produire de preuves de l’existence d’un tel agent.

Les conséquences de ce précédent juridique sont sûrement énormes. Elles impliquent, comme l’a dit Peters, “la fin du covid”.

Dans son interview, King fait référence à l’affaire Rook contre Alberta, “où ils ont convoqué tous ceux qui avaient violé l’une de ces règles Covid … ils attendent la décision concernant des milliers et des milliers de contraventions et de convocations …” Ces affaires seront probablement rejetées.

Maintenant que King connaît la bonne méthode d’approche, il tient à faire passer le mot : “Ce qu’ils doivent faire, c’est contester la loi sur la santé publique, car alors le juge n’a pas d’autre recours que d’assigner les fonctionnaires qui sont responsables de tout cela.”

DOCUMENTATION LÉGALE :

Letter to Patrick James King (Service)
LAW relied on by the Applicant
Affidavit of Krisztina Grech Sworn July 16 2021
Originating Application

Vidéo et articles originaux :

https://www.redvoicemedia.com/2021/08/freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta/
https://adriandignam.com/covid-is-dead-alberta-court-strikes-down-public-health-policy-for-lack-of-scientific-evidence/
https://rumble.com/vkorz0-freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta.html

En savoir plus


[Voir aussi :
LIBÉREZ LE MÉDECIN QUI EST EN VOUS
Prendre sa santé en main
Épidémies et contagions
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Une infirmière et un chirurgien posent une bombe sur le plateau de BFM Alpes : « On se demande où sont les patients Covid ? »

[Source : Sott.net]

« Le plan blanc, on se pose actuellement la question : comment se fait-il qu’il a été déclenché, parce que dans nos services, nous avons toutes les pathologies liées au tourisme (…) mais on se demande où sont les patients Covid ? »



Même constat à la Réunion : service Covid cherche patients ?






« Les médecins ne sont plus autorisés à remettre en question le récit politique » Charles Hoffe

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Médecin généraliste, le docteur Charles Hoffe exerce dans petite ville au milieu de la campagne canadienne et compte tenu du lieu géographique où se trouve, il pratique également la médecine d’urgence. En mars 2021, tandis que la campagne de vaccination en est à son troisième mois, il prend connaissance de rapports inquiétants qui affluent depuis l’Europe et les Etats-Unis concernant des problèmes graves que certains patients rencontrent suite aux injections. Conscient qu’il s’agit d’un vaccin expérimental dont les conséquences à long terme sont inconnues, il soulève des questions éthiques qui gênent le milieu médical et rappelle que lorsque surviennent des accidents graves, la déontologie médicale exige la fin de l’expérience. Charles Hoffe communique ses préoccupations à ses collègues par e-mail et reçoit un avertissement de la part des autorités sanitaires locales lui expliquant qu’il est interdit de dire quoi que ce soit de négatif aux sujets de ces vaccins, même s’ils doivent provoquer des accidents.

Lorsqu’il constate de graves problèmes chez ses patients vaccinés notamment des atteintes neurologiques et pulmonaires, il en informe le responsable provincial de la santé publique auprès duquel il plaide l’arrêt de la campagne de vaccination. Il explique à une infirmière qu’une personne qui a contracté le Covid est naturellement immunisée par l’infection et n’a pas besoin de faire le vaccin. Cette prise de position lui  vaut d’être accusé de détourner les gens de la vaccination, de perdre son poste d’urgentiste tandis que le collège des médecins et chirurgiens lance une enquête contre lui et l’avertit qu’il n’a pas le droit de contredire le récit officiel en matière de santé publique.



Après avoir perdu un patient et constaté des atteintes corporelles définitives chez 15 autres patients (soit 1% de sa patientèle), il lance une recherche pour essayer de comprendre ce qui peut provoquer ces accidents à la vaccination, afin de savoir comment  les prendre en charge au mieux. Il rejoint l’association « Doctors for Covid Ethics » principalement basée en Europe mais également présente dans le monde entier. Aidé de médecins et de scientifiques, il entreprend de rechercher la cause de ses effets secondaires graves. Il fait pratiquer un test sanguin appelé D-dimère sur les personnes qui ont reçu un vaccin dans les 7 jours et ceci afin de détecter une éventuelle activation de la coagulation et se rend compte que 62% des tests révèlent la présence de caillots.

Le docteur Hoffe revient sur les déclarations mensongères des laboratoires qui ont présenté ces vaccins à la FDA et à l’ensemble des autorités régulatrices en assurant que la substance n’entrait pas dans la circulation sanguine. Or il est prouvé avec une certitude absolue que 25% seulement reste dans le bras tandis que 75% entre dans la circulation sanguine et y reste pendant des semaines.

Il soulève la difficulté à faire reconnaître les effets secondaires graves par les autorités régionales. Il explique remplir de longs formulaires qu’il envoie à l’officier médical de santé de la région et constate que son courrier lui est à chaque fois renvoyé ; les autorités ne cherchent jamais à pousser les investigations ou à dialoguer avec lui, préférant conclure à une simple coïncidence.

Charles Hoffe note également que les médias mainstream, contrôlés par le gouvernement qui leur alloue des subventions, refusent de rapporter sa parole et se conforment à ce que les autorités leur dictent. Il trouve néanmoins la possibilité de s’exprimer dans les médias alternatifs et invite les gens à éteindre la télévision et à s’informer sur ces nouveaux médias s’ils veulent connaître la vérité sur ce qu’il appelle « un crime contre l’humanité ».

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Auteur(s): FranceSoir




« Penser que l’on va revivre normalement est une arnaque », Michel Rosenzweig

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Philosophe, psychanalyste, Michel Rosenzweig est bien connu des lecteurs de France Soir pour ses écrits : un Entretien essentiel nous a permis de mieux comprendre son analyse de la crise.



Au début de la crise sanitaire, celui qui a participé au reportage Hold-up l’avoue ; il était inquiet et alarmiste. En juillet, après le déconfinement et avec des courbes épidémiques plates, il entre dans un nouveau processus de pensée. Il a alors la sensation d’être comme un canari dans une mine, cet oiseau que les mineurs emmenaient avec eux lorsqu’ils descendaient sous terre pour extraire le charbon. Très sensible aux émanations de gaz toxiques, impossibles à détecter pour les hommes ne bénéficiant pas d’équipements modernes, le petit oiseau jaune servait d’outil de référence : lorsqu’il mourait ou s’évanouissait, les mineurs sortaient de la mine afin d’éviter une explosion ou une intoxication imminente.

Dans cet Entretien essentiel, il nous partage les convictions qu’il a acquis au cours de son parcours en tant que canari : la gravité épidémique construite par des discours, le déni des traitements : pourquoi a-t-on décrété tout d’un coup que l’hydroxychloroquine était une molécule toxique ? Le dévoiement de la science et de la médecine, le silence du monde intellectuel… 

Un an après, Michel Rosensweig nous confie sa conclusion de canarie : « l’atmosphère devient irrespirable. ». Le narratif officiel ayant fait sécession du réel, il est urgent d’en construire un nouveau.

Auteur(s): FranceSoir




Conseil Constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ?

[Source : economiematin.fr]

Article initialement publié le 28 juillet 2021, republié à l’occasion de la validation du Pass sanitaire par le Conseil constitutionnel le 5 août 2021.

Alors que la loi prévoyant l’extension du pass-sanitaire vient d’être adoptée par la commission mixte paritaire du Sénat et de l’Assemblé nationale, celle-ci doit être étudiée par le Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec les grands principes fondamentaux de la République établis par la constitution. L’institution qui est composé de 9 membres et est présidée par Laurent Fabius – l’ancien premier Ministre de François Mitterrand – vient de préciser qu’elle rendrait sa décision d’ici le 5 août.

Cette loi qui a été largement pilotée et décidée par la Présidence de la République et le gouvernement à l’initiative de ces mesures est considérée par de nombreux français comme portant atteintes aux libertés fondamentales et ils attendent avec impatience que statue cette instance indépendante garante de notre Constitution.

Dans cette affaire, le point troublant est le rôle du cabinet de conseil et de lobbying américain Mc Kinzey qui, selon des informations déjà dévoilées en janvier par le site Politico, a été engagé comme consultant par la Présidence de la République pour le déploiement en France de la politique vaccinale dans le cadre de la lutte contre le covid. Ce cabinet est donc rémunéré pour que ses « experts » accompagnent les fonctionnaires chargés de la politique vaccinale pour définir le cadre de la logistique et « soutenir la coordination opérationnelle du groupe de travail ». Selon le Point, cette prestation est payée 2 millions d’euros par mois.

Le député Olivier Marleix, par ailleurs auteur du livre « Les liquidateurs », avait dénoncé sur Twitter cette situation « Absolument sidérant ! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là-dedans ? On a un ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de La Défense armée en gestion de crise… pour peu qu’on sache les mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US ».

On peut effectivement s’interroger sur la présence d’un cabinet de conseil et de lobbying comme structure d’accompagnement de l’Elysée mais on ne peut qu’être sidéré lorsque l’on apprend sur le propre site Internet de la compagnie que celle-ci se range parmi les leaders dans le conseil des sociétés pharmaceutiques :

«  Notre cabinet s’est imposé comme le leader mondial du conseil dans le secteur biopharma au sens large, avec plus de 3 750 missions effectuées au cours des cinq dernières années, auprès de grands laboratoires pharmaceutiques, mais aussi d’acteurs des biotechs, de laboratoires de taille moyenne, d’industriels des dispositifs médicaux, de génériqueurs… Nous avons ainsi contribué au développement de huit des dix principales marques de médicaments sur ordonnance et à la conduite de huit des dix plus grosses opérations de fusion-acquisition du secteur ».

Le site français de l’entreprise précise également avoir accompagné « 18 des 20 plus gros laboratoires pharmaceutiques ».

Dès lors il apparait clairement que le cabinet de conseil qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial.

Encore plus troublant, l’un des directeurs associés du cabinet Mc Kinzey en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, chargé de censurer ou non la loi qui établit le pass-vaccinal et qui donc contribue au déploiement « logistiques de la vaccination en France ».

A ce stade il est difficile de savoir si Victor Fabius est impliqué ou non dans le dossier de la vaccination et du pass-vaccinal. Il n’en demeure pas moins qu’en tant qu’associé, il participe financièrement aux succès financiers du cabinet à ce titre.




L’Homme peut-il penser par lui-même?

Par Joseph Stroberg

Selon un certain Sébastian Dieguez de l’Université de Fribourg, l’Homme ne pourrait pas penser par lui-même et l’idée selon laquelle il pourrait penser par lui-même aurait soi-disant été démolie depuis le philosophe Kant :

Alors, en supposant que l’Homme ne puisse pas penser par lui-même, qui le fait à sa place ? D’autres hommes ? Non, puisqu’aucun ne pourrait penser par lui-même ? D’autres êtres, ailleurs ? Des extraterrestres qui lui dicteraient ses pensées ? Des démons invisibles qui feraient de même ? Et pourquoi pas, Dieu lui-même, alors indépendamment de ceux qui croiraient en son existence ? À vous de choisir !

Ce qui relève de faits est que l’Homme possède un cerveau et que celui-ci est utilisé dans le processus de formulation des idées et des pensées sous forme de mots organisés en phrases dans un but de communication orale ou écrite. Cela ne donne cependant pas d’indications sur ce qui serait la cause originelle des idées et des pensées ni si le cerveau serait le seul composant participant à leur formulation ou à leur éventuelle captation. La science matérialiste suppose que les pensées viennent du cerveau lui-même et de sa constitution neuronale. Cependant, il le fait en fonction des informations sensorielles provenant aussi bien de l’extérieur que du corps même de l’Homme. Dans cette optique, si ces informations peuvent l’influencer, c’est quand même alors le cerveau qui est le maître d’œuvre des pensées qui seraient ensuite organisées et créées à partir de là. Et donc, dans l’approche de la science matérialiste, l’Homme peut très bien penser par lui-même.

Selon une perspective plus religieuse ou spirituelle, voire ésotérique, les pensées de l’Homme peuvent lui être communiquées au moins partiellement par certaines entités (angéliques, démoniaques et/ou extraterrestres…) et/ou par sa propre nature profonde (Esprit, Âme, Essence…). Dans ce dernier cas, sa nature profonde fait partie de lui et dans ce cas, même si le point de vue est à l’opposé de celui de la science matérialiste, il conduit pareillement à la conclusion que l’Homme peut très bien penser par lui-même.

La seule approche qui prétend empêcher l’Homme de penser par lui-même est celle où ses pensées ne proviendraient que d’entités tierces, indépendantes de sa propre nature, mais donc angéliques, démoniaques, ou encore extraterrestres, par exemple. C’est une perspective qui cherche à enlever à l’Homme toute possibilité de souveraineté et d’émancipation pour le maintenir au contraire dans un état de dépendance ou de soumission. Il est bien évident qu’elle sera favorisée par les amateurs, les pourvoyeurs et les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Subsidiairement, on peut en déduire que ce Sébastian Dieguez ne travaille probablement pas pour l’Humanité (que ce soit volontaire ou non), mais pour l’élite qui cherche à l’asservir.




La solution c’est VOUS !

[Source : zonefr.com]

Par Patrick Jaulent

La solution c’est VOUS !

La solution, l’angle, l’avantage que tout le monde recherche pour vaincre cette tyrannie est là depuis le début. Les gens sont toujours à la recherche de réponses, de solutions, de lois ou de quelqu’un pour montrer la voie, alors que la réalité est que la solution a toujours été simple. Cela ne nécessite même pas de pensée critique, d’analyse ou de recherche. Elle n’exige qu’une boussole morale et de l’intégrité.

La solution, c’est VOUS !

Ce combat pour notre liberté est un combat en nous-mêmes. Les écrans de fumée font croire à tout le monde que c’est une bataille de « nous contre eux« , mais quand vous tirez sur ce fil jusqu’à ce que vous ne puissiez plus tirer, et que vous vous regardez dans le miroir, au cœur de cela, c’est une question de résolution en soi.

C’est lâcher tout bruit extérieur, vous dire quoi faire, comment le faire et en quoi croire. C’est aller à la racine de ce qui vous empêche de vous défendre, de fixer des limites, de parler librement et d’honorer les libertés données par Dieu qui ont l’impression d’être dépouillées, parce que vous êtes incapable de désobéir aux tyrans.

Les règles ont été établies, et on vous a toujours dit de suivre les règles. Mais que se passe-t-il si les règles vont à l’encontre de votre droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur ? Que se passe-t-il si ceux qui créent les règles ne vous ont pas dans leur meilleur intérêt ? Les suivez-vous aveuglément, même si vous savez que vous vous soumettez à la destruction même de votre gagne-pain ?

Le problème n’est pas ce que les autres vous disent, comment ils vous regardent ou ce qu’ils exigent de vous – le problème réside dans la façon dont vous choisissez d’y réagir.

Si votre préoccupation générale concerne ce que les autres pensent de vous, alors vous pouvez être prêt à sacrifier vos libertés, votre moralité et votre intégrité. Prendre un chemin différent et se démarquer dans la foule terrifie souvent les gens, même si c’est la bonne chose à faire. Ceux qui commettent les écrans de fumée le savent très bien et l’utilisent à leur avantage tout en instillant la peur, la culpabilité et la honte. Une fois qu’ils ont injecté ce cocktail, il est difficile pour beaucoup de gens d’en sortir et de le voir pour ce qu’il est – la manipulation.

Lorsque vous savez que vous faites ce qui est juste, ce qui est juste et ce qui est compatissant, vous ne vous souciez plus de ce que les autres pensent, de la façon dont ils vous perçoivent ou de la façon dont ils peuvent vous regarder, parce que ce sont leurs propres peurs qui causent ces réactions.

Certains sont remplis à ras bord de colère contre ce virus, le pass sanitaire, le vaccin, l’économie et la corruption à chaque coin de rue, tout en ressentant un sentiment d’impuissance.

Encore une fois, la solution, c’est VOUS.

Cet événement de virus n’est pas un combat que nous menons contre le gouvernement, ni un combat que nous menons dans les rues, c’est une bataille interne qui doit être gagnée pour que tous marchent la tête haute, leur boussole morale indiquant la voie, tout en disant NON à tout cela.

Qu’est-ce que c’est que tout cela ? Qu’est-ce qui mettrait fin à cela rapidement ?

Ouvrez votre entreprise, gagnez votre vie et nourrissez votre famille. Si vous ne souhaitez pas porter de masque, ne le faites pas. Sortez dans la nature et n’hibernez pas chez vous. Recevez-vous des appels ou frappez-vous à votre porte de la part d’un « traceur de contacts » ? Vous n’avez pas à répondre ou à répondre, et vous n’avez certainement pas à les laisser entrer dans votre maison sans mandat. Atteindront-ils un point où ils essaieront de vous intimider en vous faisant une amende si vous ne le faites pas ? Très probablement. Ne payez pas l’amende. Vont-ils vous arrêter et vous emmener en prison pour ne pas l’avoir payé ? Peu probable, mais ils en sélectionneraient sûrement quelques-uns pour en faire un exemple. Voulez-vous réconforter vos peurs ou voulez-vous vivre votre vie dans la dignité ?

N’y pensez pas trop ou ne compliquez pas trop les choses. Ne restez pas assis et n’attendez pas d’être secouru, car si l’on ne peut pas défendre ses propres libertés et ne compter que sur les autres, nous serons tous coincés dans la même chaîne temporelle que celle dans laquelle nous nous trouvons en ce moment.

Les gens doivent libérer les « dirigeants » et reconnaître que vous « gouvernez » en fin de compte votre propre vie. Nos choix créent le monde dans lequel nous vivons et regardent où nous en sommes.

Vous pouvez vous asseoir et évaluer les répercussions de chaque action légitime que vous prenez, et essayer de « peser », ou vous pouvez réellement faire quelque chose à ce sujet en faisant ce que vous savez être juste, indépendamment des répercussions. C’est vivre votre vérité.

Si tout le monde se retirait en raison de répercussions potentielles, il n’y aurait jamais de mouvement vers l’avant, mais si la majorité se levait, cela éliminerait les répercussions pour tous parce qu’ils n’ont pas la main-d’œuvre pour contrôler les masses. 

Vous ne craignez pas le résultat, et vous savez que vous serez capable de naviguer aussi longtemps que vous vivez par votre boussole morale, parce que l’alternative est la soumission et l’auto-sabotage, et vous n’avez aucune intention de vendre votre âme.

Si tout le monde, ou même 1/3 de la population s’honorait et honorait sa famille en défendant ses libertés, il n’y aurait pas besoin de protestations, d’arguments ou d’essayer de réveiller les gens.

Dites non à la tyrannie. Dites non aux dirigeants. Et très certainement dire non à tous ceux qui menacent vous et les droits constitutionnels de votre famille, les libertés et la survie.

N’arrêtez jamais d’avoir de la compassion pour l’humanité, votre prochain ou même la personne qui vous agace au travail, car leurs libertés comptent tout autant que les vôtres. Permettre aux tyrans de vous gouverner en évinçant un voisin, est leur stratégie : celle de diviser pour régner. Les vax contre les antivax !

Ils prétendent avoir beaucoup plus de pouvoir sur vous qu’ils n’en ont vraiment, et ils font la propagande de chaque incident qu’ils peuvent, pour s’assurer que la peur s’imprègne vraiment dans vos pores. Bien sûr, ils convaincront certains membres des forces de l’ordre de frapper à votre porte, de vous intimider ou peut-être même de vous arrêter pour créer un spectacle et plus de peur. Ces membres opèrent à partir de l’obéissance et de leur propre niveau de peur, tout comme vous.

Comment pouvez-vous les tenir responsables si vous ne défiez pas vous-même les règles ?

En disant NON, et en avançant dans votre vie, la tête haute, allez-vous responsabiliser les autres autour de vous ? Absolument! I

ll y a une mentalité de mouton et des études ont prouvé maintes et maintes fois, qu’il suffit d’une seule personne. Pensez-vous une minute que les gens veulent se promener avec des masques ? Personne n’en a envie. Bien sûr, il peut y en avoir qui le font, mais seulement par peur.

Parfois, les gens ont besoin du courage de faire ce qu’ils pensent être juste dans leur cœur, et parfois ce courage vient de l’observation du courage d’une autre personne. Imaginez l’effet d’entraînement de l’autonomisation, en ouvrant simplement la voie.

Cela se résume vraiment à ça dans les termes les plus simples. Il y a plus de 66 millions d’habitants en France.

Nous sommes plus nombreux que les tyrans !

Nous savons que nous avons raison et nous savons qu’ils essaient de nous priver de nos libertés. Devinez quoi ?

Ils ne peuvent pas y arriver. Pas dans nos esprits, pas dans notre âme, et pas dans le monde physique. Nous avons gravé cela dans le marbre, dans notre esprit et dans notre cœur, et nous suivons cette boussole morale et nous nous tenons debout et fiers pour nous-mêmes, notre famille et notre pays.

C’est aussi simple que cela. Ils ne vous possèdent pas, ils veulent juste que vous pensiez qu’ils vous possèdent. Aimez-vous. Aimez votre famille. Aimez votre prochain. Vous n’avez pas été mis sur cette terre pour être un paillasson – vous avez été mis ici pour faire des choses profondes, alors honorez-vous et laissez ceux qui vous entourent s’honorer, et ensemble, nous serons plus forts.

S’il n’y a jamais eu un moment pour se regarder dans le miroir, pour rassembler le courage et pour être courageux, c’est maintenant. »
 

Patrick Jaulent
PhD Stanford University (texte écrit après la pizza du soir)


[Voir aussi : La clef de la libération
Note sur les problèmes et les opportunités]




France : passe sanitaire validé par Conseil Constitutionnel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Passe sanitaire vacciné (validé) bien sûr par Fabius et le conseil constitutionnel ; il va donc falloir une révolution. Mais attention : car leur France QR avec sa masse de vaccinés, de soumis, de bobos, de « jeunes filles », de retraités et de technophiles, ce n’est pas le modèle de la Liberté : c’est le coq hérétique. Je suis le seul à le dire [Ndlr : peut-être pas tout à fait. Voir notamment :
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID,
Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité,
Note sur les manifestations sous le règne du NOM,
Garçon, la carte s’il vous plaît !,
Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?], et je le maintiens. Pass sanitaire pour les touristes étrangers vaccinés… La France passe sous administration étrangère (Rothschild, McKinsey, KPMG, Pfizer, Microsoft and Co.), est privatisée, fascisée, et ses ressortissants sont des actifs financiers à plumer (souvent volontaires). Les bourreaux volontaires ? Richard Boutry craque et incrimine les loges et la dictature maçonnique. J’ai parlé il y a un an de dressage maçonnique (strategika.fr). Richard prie la vierge Marie, on va tous en avoir besoin avec nos chaînes à QR code.

Pourquoi les ouvriers se révoltaient et pas nous :

« Il faut remarquer encore que cette insurrection formidable ne fut pas l’entreprise d’un certain nombre de conspirateurs, mais le soulèvement de toute une population contre une autre. Les femmes y prirent autant de part que les hommes. Tandis que les premiers combattaient, les autres préparaient et apportaient les munitions ; et, quand on dut enfin se rendre, elles furent les dernières à s’y résoudre. Quant à la science stratégique que fit voir cette multitude, le naturel belliqueux des Français, la longue expérience des insurrections et surtout l’éducation militaire, que reçoivent tour à tour la plupart des hommes du peuple suffisent pour l’expliquer. La moitié des ouvriers de Paris ont servi dans nos armées et ils reprennent toujours volontiers les armes. Les anciens soldats abondent en général dans les émeutes. »

(Tocqueville, Souvenirs, p. 176)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-passe-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-valides-par-le-conseil-constitutionnel-20210805

Le passe sanitaire et la vaccination des soignants validés par le Conseil constitutionnel

Les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail ont en revanche été censurées.

Le projet de loi visant à contrer la flambée de l’épidémie de Covid-19, avec l’extension controversée du passe sanitaire, a été approuvé jeudi 5 août par le Conseil Constitutionnel, à l’exception de la mesure d’isolement obligatoire. L’avis des Sages, très attendu, a été rendu en fin d’après-midi et conditionne la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement.

« Le législateur a poursuivi l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé », notent les Sages à propos du passe et de la vaccination des soignants. Les juges constitutionnels ont toutefois estimé que l’isolement obligatoire des malades de 10 jours n’était ni «nécessaire, adapté et proportionné» en ce qu’il constitue une mesure privative de liberté « sans décision individuelle fondée sur une appréciation de l’autorité administrative ou judiciaire ».

L’extension du passe sanitaire aux centres commerciaux validée

Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux «au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination» à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant «l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres», selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

La rupture du contrat de travail censurée

Les dispositions de la loi sanitaire prévoyant qu’un CDD ou contrat d’intérim puisse être rompu «avant son terme» par l’employeur faute de passe sanitaire, ont, en revanche, été censurées. Le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. «En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi», indique ainsi le Conseil constitutionnel.

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-mais-retoque-lisolement-obligatoire-20210805_LLLIRNBY3RBDDFUQ62MALZHPZM/

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-gouvernement-annonce-la-creation-dun-pass-sanitaire-pour-touristes-etrangers-vaccines-20210805_G7MGM6BNIRCFDIOBYFSM6FIZII/

https://www.nouvelobs.com/pass-sanitaire/20210805.OBS47243/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-mais-censure-l-isolement-obligatoire.html

Richard Boutry :

« Il faut mettre fin à la dictature de la Franc-Maçonnerie en Politique et Médecine »

Vidéo extraite de :




Qu’est-ce que la « Tradition primordiale » ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

par Pierre-Émile Blairon

Avant toute chose, je tiens à préciser que la dictature qui se met en place en France et dans le monde et que beaucoup ne font que découvrir maintenant, ne constitue pas une surprise pour ceux qui connaissent le système des cycles et qui savent que nous sommes à la fin de l’Âge de Fer, le dernier âge avant le rétablissement des valeurs traditionnelles, avant le Grand retournement ; savoir ce qu’est la cyclologie et la Tradition primordiale qui sont les fondements de la spiritualité indo-européenne permet une vision cohérente de tout ce qui se passe actuellement.

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Cette dictature constitue simplement l’un des éléments qui caractérisent une fin de cycle ; une fin de cycle s’appelle le Kali-Yuga en Inde, l’Âge de Fer chez les anciens Grecs ; elle est composée de la réunion de plusieurs événements, certains provoqués par les hommes : par exemple, le dépeuplement des campagnes au profit des villes mondiales, comme l’avait bien montré Oswald Spengler dans Le Déclin de l’Occident ; ça peut être aussi une dégénérescence physique globale, là, il suffit de se promener dans les villes européennes pour s’en rendre compte, ça peut être un suicide collectif ou catégoriel, comme pour les paysans en France, etc., d’autres catastrophes sont naturelles, dans ce cas, le plus souvent des inondations, selon les études de Mircéa Eliade sur les déluges originels, mais ça peut être aussi d’énormes incendies, des tremblements de terre, des ouragans, etc., et, bien sûr, nous pouvons avoir un condensé des deux quand les hommes manipulent la nature et provoquent ces catastrophes qui ne sont donc plus naturelles.Mon nouveau livre, L’iceberg, qui vient de paraître il y a quelques jours, est constitué pour moitié de la recension des articles que j’ai écrits sur l’avènement prévisible de cette dictature avec l’invention de cette pseudo-pandémie ; le premier de ces articles en mai 2020 s’appelait tout simplement : les apprentis-dictateurs.

Ce nouveau livre est le dixième paru sous ma signature, hors livres collectifs et hors traductions étrangères.

L’Iceberg est le troisième volet d’une trilogie exclusivement consacrée à la connaissance de la Tradition primordiale et à la cyclologie.

La Tradition primordiale et la cyclologie

La signification de l’expression Tradition primordiale a été largement expliquée par René Guénon et Julius Evola qui considèrent qu’il s’agit d’un principe originel permanent et immuable qui a fondé toutes les traditions du monde sur toute la surface de la Terre ; ces traditions se réfèrent, consciemment ou non, à la Tradition primordiale et en sont une émanation ; sur le plan plus concret, la Tradition primordiale est représentée par un continent mythique, Hyperborée, lui aussi originel, enfoui désormais sous les glaces du Pôle arctique qui a essaimé son savoir sur la totalité du globe et a laissé de nombreuses traces, notamment architecturales.

Cosmos - Tradition primordiale

Dans tous mes livres, je m’efforce de montrer que la Tradition primordiale est le lien qui réunit les trois mondes, comme déjà nos ancêtres les Gaulois l’avaient pressenti(([1] Les Gaulois estimaient qu’il existait trois mondes : celui d’en haut, celui d’en bas, et le monde des hommes. ; le principe de l’analogie et celui de la concordance constitue les principales caractéristiques de l’ésotérisme.)): le cosmos, l’Homme et la nature. Ceci permet de montrer que le concept de Tradition primordiale n’est pas une croyance, une théorie intellectuelle, ou une idée d’ordre philosophique mais qu’elle constitue l’origine concrète de ce qui est à la fois visible et invisible.Il existe en effet un rapport constant, sur le plan concret, mathématique, entre le cosmos, l‘homme et la nature ; l’Homme se situe originellement à l’intersection de ces trois mondes en tant que régulateur de la nature, et non pas en tant que prédateur.

La cyclologie est une simple mise en forme conceptuelle élaborée à partir de l’observation par les anciens du fonctionnement de la nature et du cosmos ; tout ce qui vit fonctionne d’une manière cyclique : les jours, les semaines, les mois, les années se suivent selon le même processus, la Terre tourne autour du Soleil, le Soleil se lève chaque matin, les fleurs repoussent au printemps, les marées sont dépendantes des mouvements lunaires et les femmes aussi. Le cycle basique : naissance, vie, mort, renaissance, vaut pour tout ce qui existe sur Terre, y compris les civilisations.

Le principe du cycle est toujours en involution comme tout ce qui vit sur Terre : on va toujours de la naissance à la mort, jamais de la mort à la naissance, ce qui serait une évolution, mais l’évolution appartient à l’au-delà ; sur Terre, tous les mouvements cycliques procèdent de l’involution ; c’est pourquoi le principe du « Progrès » n’existe pas, excepté d’ordre technique, matériel ; le progressisme est une utopie, une invention humaine.

Pour les hommes qui ont compris le fonctionnement cyclique du temps, revenir en arrière n’est pas retourner vers le passé, c’est, au contraire, retourner à la source, retrouver une nouvelle jeunesse en s’y abreuvant. Re-venir, c’est se donner un nouvel à‑venir. Le passé n’est pas un port où se réfugier et mourir, c’est un phare qui nous guide vers l’aventure du futur.

Rappelons une des règles fondamentales de la logique traditionnelle : plus une manifestation apparaît tardivement, plus elle est éloignée de la source originelle et, donc, plus elle est spirituellement dégradée. L’apparition de la civilisation américaine est un bon exemple de ce principe, laquelle est devenue civilisation sans passer par le stade culturel (parce que dépourvue de passé) selon la hiérarchie spenglérienne ; c’est sans surprise que l’on a vu apparaître à la fin du XIXe siècle à New-York et à Chicago les premiers gratte-ciels de l’Histoire qui sont des marqueurs du titanisme moderne.

Un autre exemple de cette règle nous est donné par Julius Evola à propos des « sauvages » (c’est le terme qu’il emploie, le politiquement correct n’existait pas encore à son époque) :

Les grands âges

« Dans la plupart des cas, les sauvages, tant sur le plan de la race au sens biologique que sur le plan de la culture, sont des résidus crépusculaires de cycles d’une humanité si ancienne que, souvent, d’elle-même, le nom et le souvenir ont été perdus. Les sauvages ne représentent donc pas le commencement, mais la fin d’un cycle ; non la jeunesse, mais la sénilité extrême. Ce sont d’ultimes ramifications en voie de dégénérescence, donc l’exact contraire des « primitifs » au sens de peuples originels. »Un grand cycle, à la fois chez les Indiens et chez les Grecs, comprend quatre âges qui vont du meilleur au pire.

Chez les anciens Grecs, l’Âge d’or est suivi par l’Âge d’argent, puis par l’Âge de bronze et se termine par l’Âge de fer ; l’Âge d’or est représenté par un métal incorruptible, brillant comme le soleil, alors que le fer disparaît en rouillant.

Un autre exemple pour montrer ce qu’est le système cyclique : la montre. Si vous avez une montre classique, ronde, avec trois aiguilles, vous verrez que le cycle commence au zénith, les trois aiguilles en haut, sur le 12, elles sont triomphantes, puis ça se gâte, en descendant l’arc de cercle ver le 6 ; les trois aiguilles ont alors la tête en bas, les valeurs de l’Âge d’or sont alors inversées ; nous sommes au nadir, les trois aiguilles se rejoignant forment alors le 666, le temps de l’Apocalypse chez les chrétiens, le temps du Grand retournement ; le temps de remonter : c’est l’Apocalypse, mais aussi la Révélation, et la remontée vers un nouvel Âge d’or.

La trilogie

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Le premier ouvrage de cette trilogie, La roue et le sablier, paru en 2015, donne une photographie du monde européen en ce début du XXIe siècle, tel qu’il en ressortait après des millénaires d’une histoire européenne toujours en train de se faire, et qui continuera à se faire : cet ouvrage explique les bases de la spiritualité indo-européenne.

Le titre de ce livre est tout à fait symbolique : le monde, comme la Terre elle-même, tourne comme une roue à la fois sur le plan spatial et sur le plan temporel. Au centre, au moyeu de la roue, est lové le dieu qui fait tourner la roue ; le moyeu est l’élément immobile de la roue qui tourne autour de lui et dont il constitue le pivot, impassible, permanent ; c’est le principe de la Tradition primordiale, principe transcendant, immuable, pérenne ; la roue représente la succession des cycles temporels ; il y a aussi un autre déplacement, plus symbolique dans le concept de la roue : plus on monte vers le moyeu, plus on monte vers la spiritualité, plus on descend les rayons de la roue et plus on descend vers la matérialité, vers le cercle métallique extérieur qui délimite la roue, qui l’enferme et qui est en contact direct avec le sol, la matière.

Sablier

Le deuxième terme de ce titre La Roue et le Sablier, le sablier, donc, m’a été inspiré par Georges Dumézil et le concept indo-européen des trois fonctions qu’il a redécouvert. Les trois fonctions sont :
• pour la première, celle des conducteurs, pouvoir sacerdotal et royal,
• la deuxième, celle des protecteurs : armée et police, qui sont là pour protéger le peuple et les frontières,
• la troisième, celle des producteurs, qui nourrissent, habillent, abritent les citoyens
En temps de Kali-Yuga, le sablier est retourné, la fonction productrice est au sommet, mais elle ne produit plus rien, on ne fait plus travailler que l’argent, la classe des conducteurs est en bas, désavoué, niée, condamnée à se taire ; et, au centre, au goulet du sablier, l’armée ou la police deviennent des milices au service du pouvoir d’en haut.Le projet de La Roue et le sablier était de faire la recension des valeurs qui avaient fait la force et le génie de notre Europe afin de les préserver dans la tourmente de l’Âge sombre, celle que nous vivons, pour qu’elles servent à nouveau de base au cycle futur, d’où le sous-titre de cet ouvrage : Bagages pour franchir le gué.

Enfin, je constate dans ce livre l’émergence d’une caste prométhéenne oligarchique et ploutocratique entièrement tournée vers la matière, atteinte par l’hubris, une vanité démesurée, dont le rêve est de remplacer Dieu ou les dieux, d’asservir le monde en transformant les hommes en robots ou en esclaves, et, surtout, de devenir matériellement immortelle ; le titre du livre du représentant de cette caste en France, le transhumaniste Laurent Alexandre, résume bien ce dernier projet : La Mort de la mort.

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Cette secte n’est pas née d’hier, il faut faire remonter ses origines au moins au mythe de Prométhée : le Titan Prométhée vole le feu aux dieux pour le donner aux hommes, ses créatures ; ce n’est pas tout , lors du partage d’un bœuf, il tente de rouler les dieux en leur donnant les plus bas morceaux ; le psychothérapeute Paul Diel dit de Prométhée que c’est un dieu à mètis, un roublard, un menteur qui veut essayer de posséder Zeus, de lui jouer un tour » ; alors qu’ Evola traite ce même Titan de « tordu », c’est le mot exact qu’il emploieDiel ajoute : « Zeus crée l’homme en tant qu’être spirituel, capable du choix juste, animé de l’élan évolutif, du désir essentiel ; le Titan crée l’homme en tant qu’être matériel, capable du choix faux, attaché à la Terre-mère, à la matière. »
« Les hommes, en tant que créatures de Prométhée, formés de boue et animés par le feu volé, réalisent la révolte du Titan et ne pourront que se pervertir. Guidés par la vanité de l’intellect révolté, fiers de leurs capacités d’invention et de leurs créations ingénieuses, les hommes s’imagineront être pareils aux dieux. La perversion des sentiments qui en résulte poussera les hommes à se disputer haineusement les biens matériels et fera ainsi régner la destruction »Le livre Chroniques d’une fin de cycle est le deuxième volet de cette trilogie ; il est paru fin 2019 ; il est essentiellement consacré à la manière dont cette caste mondiale désormais au pouvoir s’y prend pour saper les traditions des peuples et couper les hommes de leurs racines pour en faire des robots déboussolés, sans aucun repère.

Les enfers parodisiaques, c’est le sous-titre de ce livre qui rassemble une série d’articles qui décortique sur tous les sujets le fonctionnement du pouvoir mondial en place et dénonce ses mensonges ; une parodie de tous les instants que Guénon appelait « La Contre-Tradition ». La Contre-Tradition a l’apparence de la Tradition mais c’est un leurre ; une manifestation des forces négatives ; le diable sous l’apparence du pape, par exemple ; l’art, l’architecture, la mode, la langue, la gastronomie, etc. tous ces domaines sont touchés par cette volonté d’éradication ; 37 articles en tout qui montrent comment toutes les valeurs qui constituaient la base stable d’une société sont exactement inversées ou systématiquement détruites ; c’est le règne de la quantité, de la matérialité, de l’argent, du mensonge.

L’Iceberg, mon nouveau livre donc, reprend, dans le premier chapitre, sept articles de fond parus dans différents sites en 2020, articles consacrés à la manipulation mondiale sous couvert sanitaire qui a marqué toute cette année passée.

La secte maléfique est passée à l’offensive plus tôt que prévu en inventant cette pseudo-pandémie pour soumettre et robotiser la population mondiale.

Iceberg

Mon livre se veut de nature ésotérique et symbolique, le symbole étant le langage des dieux, donc un langage sacré, mais on va voir que ce langage s’applique tout aussi bien à des faits très concrets. Le titre et le sous-titre résument entièrement le livre.
J’ai choisi ce titre, L’Iceberg, pour plusieurs raisons symboliques.
D’abord comme tout ce qui est accessible à nos sens, on n’en voit que la partie apparente qui ne constitue que le dixième de la réalité, en tout cas pour l’iceberg, parce qu’il est l’exacte représentation d’un cycle hyperboréen, c’est-à-dire européen, dans sa totalité.Ensuite l’iceberg est une montagne de glace ; la montagne, lieu éminemment sacré chez les anciens Européens. Ceux-ci pensaient, comme pour l’arbre sacré Yggdrasyl, que cette élévation était un chemin vers les dieux, l’axe et le centre du monde.
La montagne est l’attribut symbolique par excellence de la Tradition primordiale parce qu’elle exprime l’immuabilité et la stabilité.
Puis l’iceberg représente le cycle : il est même emblématique de ce qu’est un cycle cosmique dans sa totalité, de sa naissance à sa fin, en parfaite involution, comme c’est le destin de tout ce qui vit sur la Terre
Enfin la couleur blanche, sacerdotale, symbole de pureté, et la glace des origines – l’Hyperborée, la civilisation primordiale, enfouie sous la banquise – mais aussi la lente dégradation (la fonte de la glace) et sa dérive finale, mot pris dans ses deux acceptions, physique et psychique, autrement dit le nomadisme, toutes conditions caractéristiques du Kali-Yuga.

De plus, l’iceberg peut se retourner comme un glaçon dans un verre et donc opérer le Grand retournement qui se manifeste à la fin du cycle ultime.

Naufrage Titanic

Le titre de ce livre m’a été inspiré, à l’origine, par un événement devenu mythique qui a marqué tous les esprits du XXe siècle : la collision d’un iceberg avec un bateau qui s’appelait le Titanic ; c’était en 1912, exactement le 15 avril 1912.

Rien ne pouvait être plus allégorique des deux forces qui s’affrontent en cette fin de cycle et qui a donné le sous-titre de ce livre : La Tradition primordiale contre le Titanisme.

Je fais remarquer au début de l’ouvrage que ce sont les forces traditionnelles qui battront les forces négatives, car c’est bien l’iceberg qui a coulé le Titanic et non l’inverse. Je vois dans cet événement une prémonition, d’autant plus que le naufrage du Titanic avait été exactement décrit par un roman prophétique : en 1898, donc 14 ans avant le naufrage du Titanic, Morgan Robertson, un écrivain new-yorkais, faisait paraître un roman qui s’intitulait The wreck of the Titan (Le naufrage du Titan). Ce livre racontait le naufrage d’un navire dénommé Titan qui coule en avril à la suite d’une collision avec un iceberg et il annonçait toutes les caractéristiques techniques du Titanic et les circonstances dans lesquelles il coulerait, incluant le nombre presque exact des disparus.

Notre-Dame-Paris-embrasée

Une autre catastrophe, dont on ne sait toujours pas si elle est d’origine criminelle ou pas, aura le même impact émotionnel sur les populations, un peu plus d’un siècle plus tard, c’est l’incendie de Notre-Dame de-Paris ; elle se produira le… 15 avril 2019, le même jour que le naufrage du Titanic. C’est peut-être une coïncidence, peut-être pas.

Je montre, dans ce livre, que les manifestations d’ordre sacré, symboles et nombres, peuvent être aussi vérifiées concrètement. Par exemple, 1 618, le nombre d’or, si bien nommé parce qu’il est la traduction mathématique de l’harmonie, la divine proportion, dans le domaine architectural ou musical notamment, mais aussi chez l’être humain : on constate que le rapport de la taille d’une personne avec la hauteur de son nombril est proche du nombre d’or. Il est aussi présent dans beaucoup d’éléments naturels, notamment d’ordre végétal : on le retrouve dans la logique d’agencement des parastiches du tournesol (les parastiches sont les réseaux de spirales qui constituent le cœur de la fleur de tournesol). Cette logique est transmise mathématiquement par la « suite de Fibonacci », qui est une extension des principes qui règlent l’application du « nombre d’or ». Fibonacci, savant médiéval qui a donné son nom à sa découverte, l’a ainsi énoncé : chacun des termes de la suite est égal à la somme des deux précédents : 1.1.2.3.5.8.13.21.34.55.89.144… Cette suite se retrouve aussi dans les écailles de pommes de pin, d’ananas, les coquilles d’escargot, dans les étamines de fleurs de magnolias, les cœurs de chardons ou d’artichauts…

Vibrations humaines

Autre exemple qui tend à prouver le lien réel qui existe entre les trois mondes précédemment cités : le nombre 25 920, qui est un nombre cosmique, donc sacré, est aussi présent dans plusieurs manifestations concrètes et même humaines : c’est d’abord le temps que dure l’Âge d’or selon la tradition indienne, mais ce nombre a aussi des applications plus courantes : faisons le calcul d’une journée, mais, cette fois, pour faire un mois : 60 secondes x 60 minutes = 3 600 x 24 heures = 86 400 secondes. En un mois, moyenne de 30 jours : 86 400 x 30 = 2 592 000 secondes.
On pourrait penser qu’il s’agit d’un hasard si je donne un autre calcul à faire : la vitesse de la lumière est de 300 000 km par seconde, comme il y a 86400 secondes en un jour, la lumière parcourt donc 25 920 millions de kilomètres par jour.
Encore une coïncidence ? La vitesse de la Terre autour du Soleil est de 30 km par seconde. Elle couvre donc 2 592 000 km par jour.
La Terre tourne sur elle-même et elle tourne autour du Soleil, mais un troisième mouvement l’anime, ce mouvement est connu par l’expression « précession des équinoxes ». L’axe de la Terre n’est pas fixe, il tourne lui-même selon un mouvement qu’on pourrait comparer à celui d’une toupie en bout de course ; le mouvement du pôle terrestre est cependant régulier et ne va pas s’arrêter, du moins pas avant quelques milliards d’années.
Ce mouvement met, vous l’avez deviné, 25 920 ans pour dessiner une révolution complète.
Ce nombre cosmique est pleinement analogique et prouve que l’Homme est un être cosmique, si l’on considère que le nombre moyen de respirations de l’être humain est de 18 par minute, soit, pour une journée : 25 920.

Sur le plan zodiacal, nous allons entrer dans l’ère du Verseau, qui succède à celle des Poissons. Chacune de ces ères compte 2 160 années. On définit approximativement l’ère des Poissons comme ayant commencé avec la naissance du Christ, voire quelques dizaines d’années auparavant, avec la naissance de Mithra dont le Christ est une sorte de calque. La totalité du cycle zodiacal compte 12 ères de 2 160 années chacune, soit… 25 920 ans.

L’iceberg est, par excellence, un symbole ésotérique qui cache 90 % de son essence, de sa vérité, les 10 % restants accessibles aux sens humains, ne constituant que la partie exotérique et superficielle de l’iceberg. « Le visible n’est que la trace de l’invisible », disait Léon Bloy. L’iceberg s’apparente alors à l’être humain, dont on ne voit que le corps physique mais qui est pourtant composé en outre de plusieurs corps dits subtils, invisibles pour le commun des mortels, qui manque de subtilité

L’iceberg, en tant que concept ou symbole, représente aussi la rupture provoquée par les hommes entre histoire et préhistoire, entre science profane et science sacrée, histoire et sciences des hommes versus histoire et science des dieux. L’immense partie immergée, donc cachée aux regards profanes, représente le monde des dieux, et sa partie émergée, celle que l’homme moderne peut appréhender avec ses sens atrophiés, le monde de l’humanité profane.

René Guénon avait posé les frontières entre ces deux mondes et, donc, aussi, entre l’intuition intellectuelle et la connaissance profane : « Cette perception directe de la vérité, cette intuition intellectuelle et supra-rationnelle dont les modernes semblent avoir perdu jusqu’à la simple notion, c’est véritablement la « connaissance du cœur ».

Julius Evola avait bien compris la nature de cette rupture lorsqu’il distinguait la Voie des Pères introduite par le Titan Prométhée qui donne le Pouvoir à l’Homme qui se survit à lui-même par la lignée, et la Voie des Dieux, ou Voie olympienne, où l’Homme admet et respecte la supériorité divine tout en s’efforçant d’atteindre à nouveau ce statut perdu.

Les transhumanistes pourront y consacrer tous les milliards du monde, ils pourront décortiquer le corps de tous les humains, le recomposer en pièces métalliques, ils n’accèderont jamais au mystère élucidé par les penseurs et les poètes, ils ne découvriront jamais le principe de régénération déclenché par la petite étincelle qui les anime car elle est de nature divine. La fin de mon livre explique ce combat final qui, donc, ne se fera pas sur un champ de bataille dans le sang, le bruit et la fureur, mais dans le silence des labos, qui est aussi celui des agneaux, ou… des moutons.

Pierre-Émile Blairon

Commandes aux Éditions du Lore :
Pour commander L’Iceberg
Pour commander Chroniques d’une fin de cycle


Notes :




Derrière la collapsologie (ou étude de l’effondrement des civilisation)

[Source reseauinternational.net]

Un exemple probable de fausse opposition idéologique : le collaptionisme

Par Tasio Retortillo Merino.

Un matin récent, dans le contexte d’une publication que j’avais posté sur les manipulations sémantiques opérées par les idéologues de la Droite mercantilo-industrielle, quelqu’un m’avait conseillé de m’intéresser à un auteur du nom de Pablo Servigne. Je voudrais commenter ici l’article de wikipedia qui lui est consacré. Dans un premier moment, ma réaction est plutôt enthousiaste : je vois des expressions comme « critique du darwinisme social, anti-productivisme, critique de l’idéologie de la croissance économique » qui correspondent à des idées que je juge très saines et pertinentes pour améliorer notre existence sur Terre. Puis on me dit qu’elles ont été regroupées sous le terme de « collapsologie » pour que cette connotation peu vendeuse évite qu’on ne puisse les travestir en des notions creuses favorisant telle ou telle niche commerciale. OK, je reprends ma lecture à froid quelques heures après.

À titre anecdotique, nous apprenons d’entrée que ce monsieur, l’un des fondateurs de la collapsologie, donc, a joué un rôle crucial dans la mise au point des programmes de la politique écologiste officielle. Pour de la contre-culture et du contre-pouvoir, ça commençait un peu mal. Mais j’avais encore bon espoir de me tromper, les choses n’étant pas noires ou blanches.

« Il est invité par l’ancien eurodéputé Yves Cochet à rédiger un rapport pour le groupe des Verts/Alliance libre européenne au Parlement européen sur l’avenir de l’agriculture en Europe. Ce rapport qui évoque la possibilité d’un effondrement imminent des systèmes alimentaires industriels en Europe, a été présenté publiquement au Parlement européen de Bruxelles le 17 octobre 2013 ».

Ainsi rentrais-je dans le vif du sujet, les idées pures et dures, de cette « collapsologie » : sur mes gardes, mais sans envies particulières de faire encore l’étalage de ma méfiance.

La première chose qui m’interpelle c’est leur concept de « résilience ». La « résilience » nous disent-ils, c’est l’attitude qui permet de changer la société. Ha : boycott = résilience ? Mais si tu regardes « résilience », tu te topes avec une notion de la psychologie clinique en rapport avec les traumatismes. Après, il ne faut pas s’étonner que les gens aient peur de boycotter les merdes que la publicité leur fait désirer, s’ils doivent pour cela se considérer comme traumatisés… C’est peut-être une grille interprétative féconde en psychologie sociale, mais pas forcément positive en politique… Et puis, une notion de la psychologie, en dehors du cadre de la psychologie, ça devient de la moraline, et il ne faut pas s’étonner que ça énerve certaines personnes. Peur, énervement… je commençais déjà à me poser la question de savoir si l’on veut ici nous rapprocher du changement par l’auto-responsabilisation, ou plutôt nous en éloigner.

Ensuite viennent quelques points qui derrière des apparence de modération ne font en fait que répandre certaines bases de l’idéologie dominante dont :

– un monde binaire, dans le cadre du (mal nommé) manichéisme existentiel servant à diviser les esprits : « Toutefois, Gauthier Chapelle et Pablo Servigne ne nient pas l’existence de la compétition qui est aussi indispensable pour poser des limites, un territoire ou lors de la reproduction ». Histoire de ne surtout pas s’attaquer à la source de l’individualisme, et encore moins de cautionner des « extrémismes » du genre « tout est amour », on ne sait jamais, des fois que le nombre de religieux sincères ou de hippies de bonne foi augmente ; ou qu’un grand nombre se mette à découvrir le mysticisme pour lequel nous sommes tous Un et toute compétition illusoire et irrationnelle. Parce que ça, ce serait un réel danger pour la civilisation mercantilo-industrielle.

– l’utilitarisme anglo-saxon : « Les deux montrent enfin que l’altruisme et l’entraide sont des éléments de cohésion sociale qui se développent spontanément chez les humains. Par exemple, les situations de catastrophes naturelles sont des évènements générant des comportements d’entraide, d’auto-organisation et de calme ». La coopération existe et est dominante, MAIS attention c’est parce qu’elle est utile à notre survie biologique. Histoire que l’on ne découvre pas trop le pouvoir de la gratuité. Pour une critique du darwinisme social, ça semble plutôt cuit.

L’article termine en présentant très sommairement deux critiques (supposément les défenseurs du système dominant) de la collapsologie. Malgré une exposition rapide et bâclée dans l’article de wikipedia, les deux critiques sont pertinentes.

La première dit que « bien qu’ils puissent s’appuyer au départ sur des données recueillies sérieusement, ces discours paraissent davantage relever du prophétisme que de la science ». En effet si la météorologie (qui est la discipline scientifique écologique – dans le sens scientifique du terme – la plus simple) se trompe souvent sur des prévisions portant sur quelques jours, imaginez quel sera le niveau de certitude en ce qui concerne des hypothèses concernant l’état global d’une planète entière avec tous ses aspects, dans dans des dizaines ou centaines d’années.

La seconde critique « officielle » s’exprime ainsi : « Alternatives économiques estime également que Servigne est trop ignorant de l’état actuel de la recherche en sciences sociales et qu’il établit de nombreux parallèles discutables comme celui entre l’effondrement d’une société et la disparition d’un être vivant ». En effet si la comparaison prétends à plus qu’une métaphore ou une analogie facilitant la compréhension de certains aspects communs entre les deux, elle ne me semble alors pas pertinente.

J’ai voulu ne pas en rester à des impressions, et suis parti sur la page de la notion centrale autour de laquelle gravite cette histoire de collapsologie : « l’effondrement environnemental » : 
wikipedia.orgRisques_d’effondrements_environnementaux_et_sociaux

Là nous apprenons que : « Alors que les effondrements de civilisations du passé ont été géographiquement limités à celles-ci, les analyses actuelles envisagent un bouleversement systémique qui pourrait être mondial. Elles n’envisagent pas nécessairement la fin de l’humanité mais plutôt celle de la société industrielle ».

Donc, en fait, ce qui est ici réalisé, c’est l’assimilation de la fin de la société industrielle à un événement absolu (car se produisant partout) et violent (car je remarque que le mot le plus récurrent est ici « effondrement » et qu’un effondrement doux que je sache ça n’a pas trop d’autre sens que poétique). Si l’on glisse dans les esprits que la fin de l’industrie, c’est absolument violent, il ne faut pas, là encore, s’étonner que les gens soient rétifs au changement.

Voilà que ça se concrétise un peu plus loin, dans la définition de l’effondrement en question : « un processus à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, mobilité, sécurité) ne sont plus fournis à une majorité de la population par des services encadrés par la loi ».

Enfin, ça fait plus que devenir concret, ça empire : non seulement la fin de l’industrie est un événement absolument violent, mais la raison de sa violence résiderait dans le prétendu fait que, sans l’industrie, et bien nous n’aurions pas de services publics et pas de loi : ce serait le chaos. Pris dans l’autre sens, ça présuppose que toute notre organisation collective est causée par et dépend de l’industrie. Mais c’est grave ça quand-même, comme manipulation.

Je continue cet article et je constate que les « collapsologues » semblent également se faire l’écho de certaines thèses sinistrement reliées à la matrice intellectuelle de la Droite et de sa justification idéologique des inégalités socio-économiques :

– la théorie de la surexploitation de matières premières critiques. Si l’on exploite trop, c’est qu’il n’y a pas assez de ressources pour tout le monde. Cela nous fait sentir privilégiés malgré nous, et c’est dans la nature humaine de vouloir conserver ses privilèges par peur du manque. La vérité que l’on veut ainsi noyer depuis longtemps, c’est que l’on n’exploite pas trop, mais mal. Nous sommes dans le cas où l’on exploite les ressources d’une façon qui permette de générer des fortunes privées colossales à partir du rationnement artificiel et criminel de ressources qui pourraient en fait s’avérer bien plus vastes que ce qui est sous-entendu ici. Mais l’abondance ne génère pas de conflits sociaux jouant sur la peur de manquer, qui à leur tour font stagner les inégalités ayant des causes politiques et économiques en focalisant l’attention sur des prétendues causes matérielles, physiques.

– ensuite Malthus, encore lui : « La croissance démographique, si elle se poursuivait de façon exponentielle, entraînerait une surpopulation. Cette surpopulation était déjà redoutée par Thomas Malthus au XVIIIe siècle, qui la théorisa notamment en prônant la restriction démographique. D’après l’Institut national d’Études démographiques, la population mondiale devrait atteindre un maximum à 10,9 milliards d’habitants un peu après 2100 ».

Cela fait littéralement des siècles que la gouvernance mercantile mondialiste de Droite nous paralyse avec cet argument qui fonctionne de la même manière que le précédent, en jouant sur la peur de manquer afin d’intimider notre capacité de développer notre responsabilité individuelle, alors qu’un tel développement constitue le but affiché des discours de la collapsologie. Au passage, de mémoire, j’ai en tête certaines spéculations d’après lesquelles la Terre, si les ressources sont gérées honnêtement et intelligemment, pourrait accueillir 50 millions d’humains ayant un niveau de vie agréable.

Encore un peu plus loin mes craintes se retrouvent finalement fondées : « Les phénomènes sous-jacents, qui selon ces théories pourraient conduire à un effondrement civilisationnel, s’appuient sur diverses études scientifiques et dont la réalité et la gravité est prise en considération par de nombreux organismes publics, parmi lesquels le Club de Rome, le GIEC, des autorités militaires internationales, la Banque mondiale et le Forum de Davos ».

Là à la limite le rideau tombe et l’on pourrait arrêter le commentaire. On nous dit clairement qui est derrière la collapsologie. Notez que toutes mes remarques précédentes ont été faites avant de tomber là-dessus. Je ne veux pas dire par là que je suis très intelligent, mais plutôt que le style et l’odeur des manipulations de la Droite mercantile se répète ; la répétition étant la marque d’un plan.

Cette phénoménale entreprise de création de confusion intellectuelle déborde bien-sur des auteurs qui ont crée le néologisme « collapsologie », et les précède. D’autre part, il se peut tout à fait que certains penseurs adhèrent à ces idées avec une bonne foi exemplaire, sans se rendre compte des implications concernant l’origine et la forme particulière de leur diffusion.


[Voir aussi :
Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe
L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là
L’effondrement politique qui vient
Note sur l’effondrement des civilisations
L’effondrement de l’empire américain
La guerre psychologique derrière l’effondrement économique
Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?]




L’empire chinois (eurasien) encercle l’empire américain (île lointaine entre deux océans)

[Source : Les 7 du quebec]

Par Pepe Escobar

Encore une fois Pepe Escobar voit plus loin que ses confrères. Là ou d’autres anticipent les manoeuvres de l’impérialisme Yankee pour encercler l’empire du milieu de l’Eurasie (le centre du monde disaient les empereurs chinois),  Pepe voit très bien les manigances du nouvel empire chinois (Chine-Russie-Iran-« Allemagne »(?)) pour encercler le vieil empire américain décadent, isolé sur son ile d’Amérique du Nord entre deux océans tourmentés. Lisez cette analyse d’un ami de la Chine impériale et vous comprendrez mieux que les choses changent dans ce monde en perpétuelle crise économique – politique – sociale – commerciale – militaire – diplomatique et pourquoi pas « sanitaire ». Ne soyez pas surpris que la crise pandémique du COVID ne soit même pas évoquée par le scribe. L’empire chinois, qui prépare sa guerre de conquête depuis des années, a évacué cet exercice militaire – sanitaire – depuis des mois, alors que l’Empire du chaos s’y empêtre chaque jour d’avantage… C’est l’avantage que procure un État totalitaire expérimenté, déjà bien implanté, versus un État totalitaire à consolider… n’est-ce pas messieurs Biden, Macron, Johnson, Trudeau et les autres !?… 
Robert Bibeau. Éditeur. 


Requiem pour un empire : une préquelle

Par Pepe Escobar

L’inexorable pourriture impériale se poursuivra, une affaire vulgaire sans aucun pathétique dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung.

31 juillet 2021 –  » Asia Times ‘ —- Agressé par une dissonance cognitive à tous les niveaux, l’ Empire du Chaos  se comporte désormais comme un détenu maniaco-dépressif, pourri jusqu’à l’âme – un destin plus rempli d’effroi que d’avoir à faire face à une révolte de les satrapies.

Seuls les zombies en état de mort cérébrale croient maintenant en sa mission universelle autoproclamée en tant que nouvelle Rome et nouvelle Jérusalem. Il n’y a pas de culture, d’économie ou de géographie unificatrices qui tissent le noyau à travers un «paysage politique aride, desséché, étouffant sous le soleil cuivré de la ratiocination apollinienne, dépourvu de passion, très masculin et vide d’empathie humaine».

Clueless Cold Warriors rêvent encore de l’époque où l’axe Allemagne-Japon menaçait de gouverner l’Eurasie et le Commonwealth mordait la poussière – offrant ainsi à Washington, craignant d’être contraint à l’île, l’occasion unique de profiter de la Seconde Guerre mondiale pour ériger lui-même en tant que Paradigme Mondial Suprême et sauveur du « monde libre ».

Et puis il y a eu les années 90 unilatérales, lorsque la Shining City on the Hill, une fois de plus autoproclamée, se prélassait dans des célébrations vulgaires de «fin de l’histoire» – tout comme des néoconservateurs toxiques, engendrés dans l’entre-deux-guerres via la cabale gnostique du trotskysme new-yorkais. , ont tracé leur prise de pouvoir.

Aujourd’hui, ce n’est plus l’Allemagne-Japon mais le spectre d’une entente Russie-Chine-Allemagne qui terrorise l’Hégémon comme le trio eurasien capable d’envoyer la domination mondiale américaine aux poubelles de l’Histoire.

Entrez dans la « stratégie » américaine. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est un prodige d’étroitesse d’esprit, n’aspirant même pas au statut d’exercice – infructueux – d’ironie ou de désespoir, cédant comme il l’est à la fondation piétonne Carnegie, avec son QG à Think Tank Row entre Dupont et Thomas Circle le long du Massachusetts. Avenue à Washington

Faire en sorte que la politique étrangère des États-Unis fonctionne mieux pour la classe moyenne est une sorte de rapport bipartite guidant l’administration actuelle et désorientée de Crash Test Dummy. L’un des 11 écrivains impliqués n’est autre que le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan. L’idée qu’une stratégie impériale mondiale et – dans ce cas – une classe moyenne profondément appauvrie et enragée partagent les mêmes intérêts n’est même pas qualifiée de mauvaise blague.

Avec des « penseurs » comme ceux-ci, l’Hégémon n’a même pas besoin de « menaces » eurasiennes.

Vous voulez parler à M. Kinzhal ?

Pendant ce temps, dans un scénario digne de Desolation Row de Dylan réécrit par The Three Stooges, les proverbiales chihuahuas atlantistes délirent que le Pentagone a ordonné la partition de l’OTAN : l’Europe occidentale contiendra la Chine et l’Europe orientale contiendra la Russie.

Pourtant, ce qui se passe réellement dans ces couloirs de la puissance européenne qui comptent vraiment – ​​non, bébé, ce n’est pas Varsovie – c’est que non seulement Berlin et Paris refusent de s’opposer à Pékin, mais réfléchissent à comment se rapprocher de Moscou sans enrager l’Hégémon.

Voilà pour les micro-ondes, Divide and Rule Kissingerian. L’une des rares choses que le célèbre criminel de guerre a vraiment compris, c’est lorsqu’il a noté, après l’implosion de l’URSS, que sans l’Europe « les États-Unis deviendraient une île lointaine sur le littoral de l’Eurasie»: ils habiteraient « dans la solitude, un statut mineur ».

La vie est un frein lorsque le déjeuner gratuit (mondial) est terminé et en plus de cela, vous devez faire face non seulement à l’émergence d’un « concurrent de pairs » en Eurasie (copyright Zbig « Grand échiquier » Brzezinski) mais aussi à un partenariat stratégique global. Vous craignez que la Chine ne mange votre déjeuner – et votre dîner, et votre dernier verre – mais vous avez toujours besoin de Moscou comme ennemi désigné de choix, car c’est ce qui légitime l’OTAN.

Appelez les trois Stooges ! Envoyons les Européens patrouiller en mer de Chine méridionale ! Allons chercher ces nullités baltes et des Polonais pathétiques pour faire respecter le nouveau rideau de fer ! Et déployons la russophobe Britannia Rules the Waves sur les deux fronts !

Contrôler l’Europe – ou faire faillite. D’où le Brave New NATO World : le fardeau de l’homme blanc revisité – contre la Russie-Chine.

Jusqu’à présent, la Russie-Chine avait fait preuve d’une patience taoïste infinie face à ces clowns. Plus maintenant.

Les acteurs clés du Heartland ont clairement vu à travers le brouillard de la propagande impériale ; la route sera longue et sinueuse, mais l’horizon finira par dévoiler une alliance Allemagne-Russie-Chine-Iran rééquilibrant l’échiquier mondial.

C’est le cauchemar ultime de la Nuit impériale des morts-vivants – d’où ces humbles émissaires américains se précipitant frénétiquement autour de plusieurs latitudes essayant de maintenir les satrapies en ligne.

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’étang, la Chine et la Russie construisent des sous-marins comme s’il n’y avait pas de lendemain équipés de missiles à la pointe de la technologie – et les Su-57 invitent les sages à une conversation étroite avec un hypersonique M. Kinzhal.

Sergueï Lavrov, tel un grand seigneur aristocratique , a pris la peine d’éclairer les clowns avec une distinction nette et érudite  entre l’état de droit et leur auto-défini « ordre international fondé sur des règles ».

C’est trop pour leur QI collectif. Ce qu’ils enregistreront peut-être, c’est que le traité russo-chinois de bon voisinage, d’amitié et de coopération, initialement signé le 16 juillet 2001, vient d’être prolongé de cinq ans par les présidents Poutine et Xi.

Alors que l’Empire du Chaos est progressivement et inexorablement expulsé du Heartland, la Russie et la Chine gèrent conjointement les affaires d’Asie centrale.

Lors de la conférence sur la connectivité en Asie centrale et du Sud à Tachkent , Lavrov a expliqué comment la Russie dirige « le Grand partenariat eurasien, un cadre unificateur et intégrateur entre les océans Atlantique et Pacifique qui est aussi libre pour la circulation des biens, des capitaux, du travail et des services. que possible et qui est ouvert à tous les pays du continent commun de l’Eurasie et aux syndicats d’intégration créés ici.

Ensuite, il y a la stratégie de sécurité nationale russe mise à jour , qui décrit clairement que la construction d’un partenariat avec les États-Unis et la réalisation d’une coopération gagnant-gagnant avec l’UE est une lutte difficile : « Les contradictions entre la Russie et l’Occident sont sérieuses et difficiles à résoudre. En revanche, la coopération stratégique avec la Chine et l’Inde sera élargie.

Un séisme géopolitique

Pourtant, la percée géopolitique déterminante au cours de la deuxième année des années folles pourrait bien être la Chine disant à l’Empire : « ça suffit ».

Tout a commencé il y a plus de deux mois à Anchorage, (la nouvelle phase du plan global du moins. NDÉ) lorsque le redoutable Yang Jiechi a préparé une soupe aux ailerons de requin  avec la délégation américaine impuissante. La pièce de résistance est arrivée cette semaine à Tianjin, où le vice-ministre des Affaires étrangères Xie Feng et son patron Wang Yi ont réduit la médiocre bureaucrate impériale Wendy Sherman au statut de boulette rassis.

Cette analyse fulgurante d’un groupe de réflexion chinois a passé en revue toutes les questions clés. Voici les faits saillants.

– Les Américains voulaient s’assurer que des « garde-fous et frontières » soient établis pour éviter une détérioration des relations américano-chinoises afin de « gérer » la relation de manière responsable. Cela n’a pas fonctionné, car leur approche était « terrible ».

– « Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Xie Feng a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré que la triade américaine «concurrence, coopération et confrontation» est un « bandeau sur les yeux » pour contenir et réprimer la Chine. La confrontation et le confinement sont essentiels, la coopération est opportune et la compétition est un piège à discours. Les États-Unis exigent la coopération lorsqu’ils ont besoin de la Chine, mais dans les domaines où ils pensent avoir un avantage, ils découplent et coupent les approvisionnements, les blocages et les sanctions, et sont prêts à affronter et confronter la Chine afin de la contenir.

– Xie Feng « a également présenté deux listes à la partie américaine, une liste de 16 éléments demandant à la partie américaine de corriger ses mauvaises politiques et paroles et actes envers la Chine, et une liste de 10 cas prioritaires préoccupant la Chine (…) si ces -Les problèmes de la Chine causés par le penchant des États-Unis ne sont pas résolus, de quoi peut-on parler entre la Chine et les États-Unis?»

– Et puis, le sorbet pour accompagner le cheesecake : les trois lignes de fond de Wang Yi à Washington. En un mot:

  1. « Les États-Unis ne doivent pas contester, dénigrer ou même tenter de subvertir la voie et le système socialistes aux caractéristiques chinoises. La route et le système de la Chine sont le choix de l’histoire et le choix du peuple, et ils concernent le bien-être à long terme de 1,4 milliard de Chinois et le destin futur de la nation chinoise, qui est l’intérêt central auquel la Chine doit adhérer.
  2. « Les États-Unis ne doivent pas essayer d’entraver ou même d’interrompre le processus de développement de la Chine. Le peuple chinois a certainement le droit à une vie meilleure, et la Chine a aussi le droit à la modernisation, qui n’est pas le monopole des États-Unis et implique la conscience fondamentale de l’humanité et de la justice internationale. La Chine exhorte la partie américaine à lever rapidement toutes les sanctions unilatérales, les tarifs douaniers élevés, la juridiction à bras long et le blocus scientifique et technologique imposé à la Chine. »
  3. « Les États-Unis ne doivent pas empiéter sur la souveraineté nationale de la Chine, et encore moins saper l’intégrité territoriale de la Chine. Les enjeux liés au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong ne concernent jamais les droits de l’homme ou la démocratie, mais plutôt les principaux droits et torts de la lutte contre « l’indépendance du Xinjiang », « l’indépendance du Tibet » et « l’indépendance de Hong Kong ». Aucun pays ne permettra que sa sécurité souveraine soit compromise. Quant à la question de Taïwan, c’est une priorité absolue (…) Si « l’indépendance de Taïwan » ose provoquer, la Chine a le droit de prendre tous les moyens nécessaires pour l’arrêter.

L’Empire du Chaos enregistrera-t-il tout ce qui précède ? Bien sûr que non. Ainsi se poursuivra l’inexorable pourriture impériale, une affaire vulgaire sans aucun pathos dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung, suscitant à peine un regard des dieux, « où ils sourient en secret, regardant les terres incultes / Fléau et famine, peste et tremblement de terre, abîmes rugissants et sables ardents, / Combats retentissants et villes en flammes, et navires coulant, et priant mains », comme Tennyson l’a immortalisé.

Pourtant, ce qui compte vraiment, dans notre royaume de realpolitik, c’est que Pékin ne s’en soucie même pas. Le point a été fait : « Les Chinois en ont depuis longtemps assez de l’arrogance américaine, et le temps où les États-Unis ont essayé d’intimider les Chinois est révolu.

Maintenant , c’est le début d’un nouveau monde géopolitique – et un prequel à un requiem impérial. De nombreuses suites suivront.


Pepe Escobar – Analyste géopolitique indépendant, écrivain et journaliste




LIBÉREZ LE MÉDECIN QUI EST EN VOUS

[Source : Lisez!]

Auteur du livre : Sauveur BOUKRIS

Soyez l’acteur de votre santé plutôt qu’un objet de la médecine. La médecine est devenue trop scientifique et technologique. Elle oublie que, derrière les dogmes, des malades existent, c’est-à-dire des personnes avec leur histoire, leurs croyances, leurs désirs. Le Dr Sauveur Boukris livre ici une méthode inédite pour retrouver du pouvoir d’agir sur son corps et envisager sa guérison.

Cet ouvrage est libérateur, il va vous faire du bien. Il va vous permettre de résister aux diktats médicaux en améliorant vos capacités critiques. De nombreux tests d’évaluation vous apprendront à poser un diagnostic par vous-même pour devenir en quelque sorte votre propre médecin, c’est-à-dire un individu qui prend sa santé en main et non pas seulement une victime qui subit la maladie. Vous n’êtes pas la maladie.

Vous apprendrez à réécouter votre corps, à prévenir et à mettre en œuvre des stratégies contre la douleur, à faire face à une maladie chronique et surtout à refuser la tyrannie de certains praticiens. Ce livre souhaite vous accompagner sur le chemin d’une guérison plus rapide, en vous mettant à armes égales avec votre médecin.


[Voir aussi :
Prendre sa santé en main
Épidémies et contagions]




Whitney Webb descend Google, Epstein, Gates et toute la Silicon Valley lors d’une interview avec l’avocat Reiner Fuellmich

[Source Quantumleap]

Whitney Webb est une journaliste d’investigation américaine. Elle est régulièrement censurée sur tous les médias sociaux puisqu’elle s’intéresse particulièrement à Google, Jeffrey Epstein, Bill Gates ainsi qu’à tout l’élite de la Silicon Valley et leur volonté de développer la surveillance des masses en réduisant les libertés. Elle témoigne ici auprès de l’équipe de l’avocat allemand Me Reiner Fuellmich en assurant avoir tous les documents et preuves en sa possession.

Elle évoque ici la folle mégalomanie de Jeffrey Epstein, l’obsession de la Silicon Valley dont Google pour remplacer la médecine de ville telle que nous la connaissons en application numérique surveillée, le VAX attack, l’Astrazeneca, le Welcome Trust, Cyberpolygon, le Forum de Davos et bien d’autres sujets.






Avertissement urgent à tous les médecins vaccinateurs

[Source : @dequodeurs_sans_censure]

[Transféré de l’avocate Beate Bahner]
‼️‼️Avertissement aux médecins ‼️‼️

En tant qu’avocat spécialisé en droit médical et auteur de livres spécialisés, je dois une fois de plus lancer un avertissement urgent à tous les médecins vaccinateurs :

🟥 La vaccination Corona chez les adolescents n’est pas indiquée. C’est parce qu’elle n’a aucun avantage, puisqu’il a été démontré que les enfants et les adolescents ne tombent pas gravement malades et ne meurent certainement pas à cause d’elle.

🟥 Le risque des vaccinations est considérable, comme le montrent les rapports d’effets secondaires parfois graves dans le monde entier.  Si le risque de la vaccination l’emporte clairement sur le bénéfice, alors la vaccination ne doit pas être effectuée – le « traitement » est clairement contre-indiqué !

🟥 Un traitement qui n’est pas indiqué ne doit jamais être effectué par le médecin – même avec le consentement des deux parents !

🟥 A fortiori, les adolescents ne peuvent pas donner un consentement effectif à la vaccination, car celle-ci n’est pas un traitement de routine (comme une prise de sang, un appareil dentaire ou par exemple un traitement contre l’acné). Il faudrait toujours le consentement des deux parents, compte tenu des risques considérables ! Mais même cela serait inefficace, car la vaccination ne présente aucun avantage, mais des risques multiples et inconnus. Les parents ne doivent jamais exposer leurs enfants à ces risques !

🟥 En l’absence d’études à long terme, les adolescents sont encore moins capables d’évaluer les dangers et les risques que les adultes ou même les médecins, qui doivent pourtant connaître ces dangers ! Les adolescents ne peuvent donc pas consentir efficacement à cette vaccination – quel que soit leur âge, car ils ne peuvent pas saisir les implications de cette décision.

🟥 Conséquence : les médecins ne sont pas autorisés à vacciner les enfants et les adolescents. Selon la jurisprudence constante de la Cour fédérale de justice, cela doit être considéré comme une atteinte à l’intégrité physique au sens du droit pénal. Les médecins sont également personnellement responsables, en vertu du droit civil, des dommages et intérêts et de l’indemnisation du préjudice moral en cas de complications et de dommages liés à la vaccination !

🟥 Même si les deux parents étaient effectivement informés de tous les aspects aussi soigneusement que l’ordonnance sur la vaccination contre le coronavirus l’impose aux médecins ! En effet, la Cour fédérale de justice a fixé des exigences très strictes en matière d’information, notamment dans le cas de méthodes de traitement nouvelles et non reconnues.

‼️‼️La vaccination des enfants et des adolescents est donc un territoire à haut risque absolu pour tous les médecins vaccinateurs. ‼️‼️

Les médecins responsables et honnêtes attendront au moins cinq ans que des études significatives à long terme soient disponibles.

Beate Bahner, spécialiste du droit médical, auteur de cinq ouvrages de référence en matière de droit médical, membre de Lawyers for Enlightenment
https://t.me/dequodeurs_sans_censure/48472




Vers la grève générale contre le pass sanitaire et la casse des moyens santé

[Source : mediapart.fr]

Le mouvement s’amplifie et s’accélère dans la santé. Un mouvement identique pourrait se déclencher aussi chez les territoriaux où de premiers appels à la grève sont lancés, et chez les pompiers où la colère gronde.

Appel à la grève illimitée contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale à partir du 5 août dans les hôpitaux de Marseille, après déjà Montélimar, Lyon, Bastia, Poitiers, Nord Franche-Comté, Lille, la Martinique, le Lot… le droit de retrait aux Urgences de l’hôpital Tenon à Paris… plusieurs EHPAD ou centres de santé également en grève…

Les grèves se multiplient dans les hôpitaux contre l’obligation vaccinale et le pass sanitaire


FO CHU de Lille

GRÈVE GÉNÉRALE -CHU DE LILLE -JEUDI 05 AOÛT 2021 – DEVANT LE BÂTIMENT ICP (cardio)…

NE PAS OUBLIER !!!

GRÈVE GÉNÉRALE AU CHU DE LILLE

JEUDI 05 Août 2021
DEVANT L’ICP (hôpital cardio)
A partir de 13h00

Manifestation contre l’obligation de vaccination et contre les sanctions possibles envers les soignants et non soignants qui refusent de se faire vacciner …

Ce n’est absolument pas une grève contre le pass-sanitaire.

Chacun est libre de se faire vacciner ou non.


ET ENCORE UN HÔPITAL QUI REJOINT LA LUTTE CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET LE PASS SANITAIRE

Vaccination : préavis de grève illimité au centre hospitalier Jura Sud dès le 5 août

C’est sur sa page Facebook que la CGT du Jura a annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.

« Ça bouge avec la CGT de l’hôpital de Lons-le-Saunier sur la vaccination obligatoire et le pass-sanitaire. Vaccination OUI, mais seulement sur la base du volontariat. » Les mots sont clairs. C’est sur la page Facebook de l’Union départementale de la CGT du Jura que les élus du syndicat CGT du centre hospitalier Jura Sud ont annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.  



« Nous déposons ce jour, un préavis de grève illimitée pour tous les professionnels de santé à compter du jeudi 5 août, à minuit. » 

Parmi les revendications, « l’opposition au pass-sanitaire qui fait le jeu de la discrimination, l’opposition à l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé », ou encore « la reconnaissance en maladie professionnelle de la SARS-Cov2 ». 

A noter, que le 24 juillet dernier, près de 500 personnes ont manifesté dans les rues de Lons-le-Saunier, contre le pass-sanitaire.


LE GOUVERNEMENT S’ACHARNE A DÉTRUIRE LA SANTÉ PUBLIQUE

LE CARACTÈRE POLICIER DE SA CAMPAGNE CONTRE LES NON VACCINÉS EST JUSTE DESTINÉE A LE CACHER

LES MANIFESTATIONS ANTI PASS SANITAIRE DU 31 JUILLET DOIVENT ÊTRE AUSSI DES MANIFESTATIONS POUR PLUS DE MOYENS ET DES EMBAUCHES POUR LA SANTÉ PUBLIQUE

(CIU = Collectif Inter Urgences)


QUAND LES SOIGNANTS DEMANDAIENT PLUS DE MOYENS ET D’EFFECTIFS, MACRON LEUR ENVOYAIT LES FLICS

ET MAINTENANT IL LES MONTRE DU DOIGT POUR CACHER QU’IL N’A RIEN FAIT

Marion D. Infirmière, street medic, réclamait des moyens pour l’hôpital il y a quelques temps. Elle fut rouée de coups…


La France a été mauvaise dans la recherche contre le Covid, selon la Cour des Comptes

Un rapport de la Cour des comptes étrille le manque de moyens alloués à la recherche française ainsi que l’absence d’un « chef de file » pour coordonner la gestion de crise.

CORONAVIRUS – Les financements accordés à la recherche publique en France pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ont été “nettement en retrait” par rapport à d’autres pays et “trop dispersés pour répondre aux enjeux de la crise” notamment sur la recherche de vaccin, estime ce jeudi 29 juillet la Cour des comptes.

Cette situation découle de “défauts structurels” que la mobilisation en urgence de tous les acteurs n’a pas suffi à pallier, ainsi que de l’absence d’un “chef de file” clair, analyse l’organisme de contrôle dans un “audit flash”, mené en quatre mois.

Entre janvier 2020 et mars 2021, “le montant total des ressources affectées à la recherche publique française sur la Covid-19 s’élève à 530,17 millions d’euros, fonds européens compris, ou à 502,48 millions d’euros sans ces fonds”, calcule la Cour des comptes.

Cette estimation a été obtenue en additionnant tous les “crédits d’intervention” (donc hors rémunération des chercheurs titulaires) attribués aux organismes de recherche, aux universités et aux centres hospitaliers universitaires, de sources publiques et privées. Du fait du calendrier particulier de cet audit, elle a pris en compte les crédits alloués et non les dépenses effectivement exécutées.


VERAN EST-IL VRAIMENT MÉDECIN ?

https://twitter.com/__iron_man_/status/1420330925993385988



Des restaurateurs ni « anti-vaccins » ni « complotistes » refusent de contrôler leurs clients

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Un restaurateur vérifie les laissez-passer sanitaires Covid-19.
(PASCAL POCHARD-CASABIANCA/AFP via Getty Images)]

Par Emmanuelle Bourdy

Une dizaine de restaurateurs de la Manche publient une tribune pour dénoncer l’obligation de contrôler le passe sanitaire de leurs clients. Ils estiment en effet que ce n’est pas leur tâche.

Si le 5 août 2021 le Conseil constitutionnel donne son feu vert sur l’extension du passe sanitaire dans les restaurants, alors celui-ci sera obligatoire à compter du 9 août prochain. Les restaurants, déjà durement touchés par les fermetures successives depuis le printemps 2020, devront alors contrôler leurs clients à l’entrée de leur établissement, sans quoi, ils s’exposent à des sanctions pouvant aller jusqu’à la fermeture administrative de leur établissement.

« Nous ne sommes pas anti vaccins, nous ne sommes pas complotistes, nous sommes témoins de l’histoire, respectueux de l’État de droit dans lequel nous nous trouvons et c’est pour cela que, républicainement, respectueusement et fermement, nous ne pouvons accepter cette injonction », ont déclaré les dix restaurateurs du Cotentin dans leur tribune. Leur but est d’interpeller les services publics.

« Ce n’est pas notre métier »

« Nous ne pouvons nous substituer aux agents de la paix qui sont les seuls habilités à pouvoir contrôler les citoyens », ont encore avancé les dix restaurateurs. « On n’a déjà pas suffisamment de personnel et on demande à nos salariés d’être dédiés à une autre tâche que celle prévue dans leurs contrats. C’est très compliqué pour nous », s’irrite Christophe Iskenderian qui gère Le Baligan à Siouville-Hague, ainsi que le rapporte France 3 Normandie. Le restaurateur a d’ores et déjà sollicité l’aide des députés et sénateurs de sa circonscription.



« Notre métier c’est de rassembler et d’accompagner les gens dans un bon moment », confie encore à France 3 le restaurateur de Siouville-Hague, qui refuse de choisir ses clients et estime en outre que ces contrôles sont aux antipodes des valeurs de sa profession. « Ce qui me gêne c’est de contrôler des citoyens. Ce n’est pas notre métier de contrôler et de diviser la société en deux. Tant sur le fond que sur la forme, nous sommes réticents à cette mesure, elle est choquante parce qu’elle n’a pas été concertée », renchérit-il.

Difficile en plein service !

Ainsi que le relatait La Voix du Nord le 20 juillet dernier, Franck Trouet, porte-parole du syndicat des indépendants de l’hôtellerie-restauration, le GNI, avait indiqué : « Nous sommes prêts à mettre à disposition de nos clients les moyens matériels de scanner le QR Code attestant qu’ils sont en possession d’un passe sanitaire en règle mais en plein service, quand il y a plein d’allées et venues, nous ne sommes en pas en mesure de faire des contrôles ». Selon lui, cette tâche « appartient à la police », car légalement, « nous n’avons pas le droit de demander une pièce d’identité à nos clients », avait-il rappelé. « C’est le principe même de la responsabilité que nous contestons », avait-il encore soulevé.

« Avec cette mesure, notre métier est en tension. Un salarié qui va être à l’entrée pour contrôler les passes sanitaires va être soustrait de ces tâches principales qui est l’accompagnement des convives pendant le temps qu’ils passent dans nos restaurants », détaille le patron du restaurant Le Baligan. « Il y a aussi cette idée de diviser les gens et de générer des tensions à l’entrée de notre établissement. De mettre nos salariés dans des situations qu’ils ne pourront pas gérer », conclut-il pour France 3.




Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’épidémie du nouveau coronavirus 2019 ou de la maladie à coronavirus (COVID-19) est revendiquée comme une menace pour le monde entier depuis début 2020. Les scientifiques travaillent jour et nuit pour comprendre l’origine du COVID-19. Peut-être avez-vous déjà entendu la nouvelle que le génome suspecté du SARS-CoV-2 a été publié[1] ? Comment exactement les scientifiques ont-ils identifié le génome complet du SARS-CoV-2 ?

Cet article explique, de manière purement technique, comment ils ont fait cela. Sans aucun doute, vous vous rendrez compte que cette méthode ne convient ni pour déterminer l’origine de l’acide nucléique d’un échantillon ni pour déterminer un génome exact. Divers algorithmes sont utilisés, dont les calculs tentent de proposer une construction fictive basée sur des spécifications, qui à son tour sert de modèle pour tous les processus ultérieurs. Cependant, chaque séquençage individuel conduit à des résultats différents du séquençage précédent ; ces écarts sont souvent vendus comme des mutations[2], et ce sont simplement des incohérences dans le calcul par les outils d’analyse du génome.

Du fait qu’une structure prétendument virale n’a jamais été isolée en culture pure et que la caractérisation biochimique a été réalisée directement à partir de celle-ci, tout séquençage est basé sur un mélange de matériel génétique dont l’origine ne peut être déterminée et sont toutes des constructions assistées par ordinateur à considérer comme de la pure spéculation.

[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Comme un petit mais non moins important détail, qui vous fait parfaitement comprendre que la manipulation technique de l’alignement/assemblage (comme expliqué dans l’article) est purement fictive et manipulatrice :

70% des virologues ne précisent pas quelle technique d’assemblage ils utilisent !

Et le fait tacite est que 100% des virologues ne divulguent pas quel pourcentage du génome «viral» calculé a été modifié jusqu’à ce qu’il ait été publié en tant que génome fini.

Avec les données du génome, qui par le chinois Fan Wu et. al[1] ont été publiés et mis à disposition en téléchargement, il ne s’agit en aucun cas de données brutes, mais plutôt de données préalablement étoffées ! 80% des séquences humaines ont disparu et surtout : Tout ce qui était publié ailleurs comme « viral » a été filtré ! Cela rend encore plus difficile la compréhension de la prétendue découverte d’un nouveau virus pathogène, puisque des expériences témoins sont également recherchées en vain dans les publications publiées.

Mais nous arrivons maintenant à l’analyse technique du génome.

Génome

Le génome est l’ensemble du matériel génétique, y compris tous les gènes d’un organisme. Le génome contient toutes les informations sur un organisme qui sont nécessaires à sa structure et à son maintien.

Les virus qui causent des maladies sont définis par le fait que leur séquence (génome) est unique et ne se produit pas dans des organismes sains.

Pour pouvoir détecter et déterminer la présence du matériel génétique d’un virus, ce virus doit être isolé et disponible à l’état pur conformément aux lois de la pensée et à la logique qui précède toute science comme règle fondamentale, afin que les propres séquences de gènes de la cellule ne soient pas interprétées à tort comme des composants d’un virus.

La séquence d’une substance génétique ne peut être déterminée que si elle se présente sous la forme d’un ADN.

Séquençage

Comment lire les informations présentes dans le génome ? C’est là qu’intervient le séquençage.

Le séquençage est utilisé pour déterminer la séquence de gènes individuels, de chromosomes entiers ou de génomes entiers d’un organisme.

Fig 1. A PacBio sequencing machine. PacBio is a third-generation sequencing technology which produces long reads. Image by KENNETH RODRIGUES from Pixabay (CC0)

Des dispositifs spéciaux appelés machines de séquençage sont utilisés pour extraire de courtes séquences aléatoires du génome qui nous intéresse. Les technologies de séquençage actuelles ne peuvent pas lire le génome entier à la fois. De petits morceaux d’une longueur moyenne comprise entre 50 et 300 bases (séquençage de nouvelle génération / lectures courtes) ou 10 000 à 20 000 bases (séquençage de troisième génération / lectures longues) sont lus, selon la technologie utilisée. Ces courtes pièces sont appelées lectures.

La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées en le divisant dans le sens de la longueur dans un champ électrique. Les pièces courtes voyagent plus rapidement, les pièces plus longues plus lentement. En même temps, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique à examiner, des morceaux de matériel génétique de différentes longueurs avec une longueur connue sont ajoutés. Cette technique standard fiable pour détecter et déterminer la longueur du matériel génétique est connue sous le nom d’« électrophorèse sur gel ».

Si la concentration d’un certain matériel génétique est trop faible pour qu’il ne puisse pas être détecté avec la technique de “l’électrophorèse sur gel”, cela peut être fait à volonté en utilisant la technique de réplication illimitée de l’ADN, appelée amplification en chaîne par polymérase PCR. De cette manière, un ADN indétectable peut être rendu visible par électrophorèse sur gel. C’est une condition préalable pour rendre la substance génétique accessible à d’autres investigations, en particulier pour la détermination ultérieure et décisive de sa longueur et de sa séquence. Cette méthode est également connue sous le nom de PCR en abrégé.

Si vous recherchez des informations plus détaillées sur le fonctionnement exact du séquençage du génome viral à partir d’échantillons cliniques, consultez l’article suivant.

  1. A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples: Application to coronavirus OC43
  2. Specific Capture and Whole-Genome Sequencing of Viruses from Clinical Samples

Assemblage du génome

Une fois qu’il y a de petits morceaux du génome, nous devons les combiner en fonction de leurs informations de chevauchement et construire le génome complet. Ce processus est appelé assemblage et est comparable à la résolution d’un puzzle. Des outils logiciels spéciaux, appelés assembleurs, sont utilisés pour assembler ces lectures en fonction de leur chevauchement. Ceci est utilisé pour générer des chaînes continues, appelées contigs. Ces contigs peuvent être le génome entier lui-même ou juste une fraction de celui-ci (comme le montre la figure 2). Il est important de noter que la source du matériel utilisé est sans importance.

Les virologues chinois n’ont pas effectué d’expériences témoins pour écarter la possibilité que même avec un ARN humain/microbien provenant d’un lavage de poumon d’une personne saine, une personne atteinte d’une autre maladie pulmonaire, une personne qui a été testée négative au SRAS-CoV-2.., ou à partir de cet ARN provenant d’échantillons de réserve de l’époque où le virus SRAS-CoV-2 était encore inconnu, exactement la même addition du génome d’un virus à partir de courts fragments d’ARN soit possible !

Fig. 2 Séquençage et assemblage

Les assembleurs sont divisés en deux catégories,

Assembleurs de novo : assemblent sans utiliser de génomes de référence (par exemple : SPAdesSGAMEGAHITVelvetCanu et Flye).

Assembleurs guidés par des références : assemblent en assignant des séquences à des génomes de référence.

Deux grands types d’assembleurs

On trouve deux grands types d’assembleurs dans la littérature bioinformatique. Le premier type est la méthode des consensualités d’implantation par recouvrement (OLC). Dans la méthode OLC, tous les chevauchements entre les lectures sont d’abord déterminés. Ensuite, toutes les lectures et tous les chevauchements sont organisés sous la forme d’un graphique. Enfin, nous identifions la “séquence de consensus”. SGA est un outil populaire basé sur la méthode OLC.

Le deuxième type d’assembleur est la méthode du graphe de-Bruijn (DBG)[3]. Au lieu d’utiliser les lectures complètes telles quelles, la méthode DBG décompose les lectures en fragments encore plus courts appelés k-mers (de longueur k) et crée ensuite un graphe de-Bruijn en utilisant tous les k-mers. Enfin, les séquences génomiques sont déduites sur la base du graphe de-Bruijn. SPAdes est un assembleur populaire basé sur la méthode DBG.

Qu’est-ce qui peut mal tourner dans l’assemblage du génome ?

Les génomes contiennent des motifs d’acides nucléiques qui apparaissent de nombreuses fois dans le génome. Ces structures sont appelées répétitions. Ces répétitions peuvent compliquer le processus d’assemblage et entraîner des ambiguïtés.

Nous ne pouvons pas garantir que le séquenceur puisse produire des lectures couvrant l’ensemble du génome. Il se peut que le séquenceur omette certaines parties du génome et qu’aucune lecture ne couvre cette région. Cela affectera le processus d’assemblage et ces régions omises ne seront pas présentes dans l’assemblage final.

Les assembleurs de génomes doivent relever ces défis et essayer de minimiser les erreurs causées lors de l’assemblage.

Comment les assemblages sont-ils évalués ?

L’évaluation des assemblages est très importante car nous devons décider si l’assemblage résultant répond aux normes. L’un des outils d’évaluation des assemblages les plus connus et les plus utilisés est QUAST. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des critères utilisés pour évaluer les assemblages.

N50 : longueur minimale des contigs nécessaire pour couvrir 50% de la longueur totale de l’assemblage.

L50 : nombre de contigs plus longs que N50

NG50 : longueur minimale des contigs requise pour couvrir 50 % de la longueur du génome de référence.

LG50 : nombre de contigs plus longs que NG50

NA50 : longueur minimale des blocs alignés nécessaire pour couvrir 50 % de la longueur totale de l’ensemble.

LA50 : nombre de contigs plus longs que NA50

Pourcentage du génome (%) : pourcentage de bases qui correspondent au génome de référence.

Se salir les mains

Commençons par les expériences. Je vais utiliser l’assembleur SPAdes pour assembler des lectures obtenues à partir d’échantillons de patients séquencés. SPAdes utilise des lectures de séquençage de nouvelle génération. Vous pouvez également télécharger QUAST gratuitement. Vous pouvez obtenir le code et les programmes binaires sur les pages d’accueil correspondantes et exécuter ces outils.

Entrez les commandes suivantes et vérifiez que les outils fonctionnent correctement.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py -h
<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py -h
[Ndlr : ils s’agit ici de lignes de commande informatiques sous systèmes Linux ou Unix.
Les logiciels Spades et quast utilisés ont apparemment été créés en langage Python.]

Télécharger les données

Je suppose que vous savez comment télécharger les données du National Center for Biotechnology Information (NBCI). Sinon, vous pouvez vous référer à ce lien.

Les lectures pour nos expériences peuvent être téléchargées à partir de NCBI en utilisant le numéro d’accession NCBI SRX7636886. Vous pouvez télécharger l’exécution SRR10971381, qui contient des lectures provenant d’une exécution MiniSeq d’Illumina. Assurez-vous de télécharger les données au format FASTQ. Vous pouvez trouver le fichier téléchargé sous le nom de “sra_data.fastq.gz”. Vous pouvez extraire le fichier FASTQ avec gunzip.

Après l’extraction, vous pouvez exécuter la commande bash suivante pour compter le nombre de lectures dans notre jeu de données. Vous verrez qu’il y a 56 565 928 lectures.

grep ‚^@‘ sra_data.fastq | wc -l
[Ndlr : autre ligne de commande sous Linux ou Unix.]

Vous pouvez télécharger le génome complet SARS Cov-2[1] disponible publiquement sur le NCBI avec le numéro d’accession GenBank MN908947 (N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas des véritables données brutes). Vous verrez un fichier au format FASTA. Ce sera notre génome de référence. Notez qu’il a été renommé “MN908947.fasta”.

Assembler

Assemblons les données provenant de l’échantillon COVID-19. Exécutez la commande suivante pour assembler les lectures avec SPAdes. Vous pouvez transmettre le fichier .gz compressé directement à SPAdes.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py –12 sra_data.fastq.gz -o Output -t 8

Nous avons utilisé l’assembleur général SPAdes comme démonstration pour cet article. Cependant, étant donné que le jeu de données de lecture est constitué de données RNA-Seq, il est préférable d’utiliser l’option “-rna” dans SPAdes.

Dans le dossier de sortie, vous verrez un fichier appelé “contigs.fasta” qui contient nos contigs assemblés.

Évaluation des résultats de l’assemblage

Exécutez QUAST pour les assemblages avec la commande suivante.

<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py Output/contigs.fasta-l SPAdes_assembly -r MN908947.fasta -o quastResult

Visualisation du résultat de l’évaluation

Lorsque QUAST a terminé, vous pouvez aller dans le dossier “quastResult” et voir les résultats de l’évaluation. Vous pouvez visualiser le rapport QUAST en ouvrant le fichier report.html dans votre navigateur web. Vous verrez un rapport similaire à celui de la figure 3. Vous pouvez cliquer sur “Rapport avancé” pour obtenir plus d’informations comme NG50 et LG50.

Fig. 3 : Rapport QUAST

Vous pouvez examiner les valeurs des différents critères de notation tels que la proportion de génome NG50, NA50, les mauvais assemblages et le nombre de contigs. Vous pouvez également visualiser l’alignement des contigs sur le génome de référence à l’aide du navigateur de contigs Icarus (cliquez sur “View in Icarus contig browser”), comme le montre la figure 4.

Fig. 4 : Rapport QUAST

Dans le navigateur de contigs d’Icarus, nous pouvons voir que le contig nommé “NODE_1” correspond très étroitement au génome de référence de COVID-19. Son contenu génomique est de 99,99 % (comme le montre la figure 3). En outre, la longueur totale alignée de 29 900 paires de bases est très proche de la longueur du génome de référence, qui est de 29 903 paires de bases.

Visualisation du graphique d’assemblage

Il existe un outil appelé Bandage qui vous permet de visualiser le graphique d’assemblage. Vous pouvez télécharger les exécutables précompilés depuis leur page d’accueil et exécuter l’outil. Vous pouvez charger le fichier graphique ” assembly_graph_with_scaffolds.gfa ” situé dans le dossier de sortie de SPAdes (allez dans Fichier → Charger le graphique → sélectionnez le fichier .gfa dans Sortie et ouvrez-le) dans Bandage et cliquez sur ” Draw graph ” pour visualiser comme indiqué dans la Figure 5. Notez que le long segment incurvé de couleur verte au milieu de la première rangée de segments de la figure 5 correspond à NODE_1 de notre assemblage SPAdes.

Fig. 5 : Partie du graphique d’assemblage SPAdes du jeu de données de lecture COVID-19 visualisée à l’aide de Bandage.

Exemple pratique de towardsdatascience

Comment ont-ils découvert le génome du SARS-CoV-2 ?

Maintenant que le génome de référence du SARS-CoV-2 est disponible, nous pouvons évaluer notre assemblage. Cependant, au départ, il n’existait pas de génome de référence exact pour le SARS-CoV-2, alors qu’ont fait les scientifiques pour le découvrir ? Comme expliqué dans cet article, l’analyse des génomes viraux relève de la métagénomique et il existe de nombreuses techniques pour y parvenir. Ils ont analysé la couverture des contigs (le nombre moyen de lectures couvrant chaque position de base dans un contig) et l’ont comparée à l’isolat de coronavirus (CoV) analogue au SRAS de la chauve-souris – bat SL-CoVZC45 (numéro d’accession GenBank MG772933)[3] [6]. Les résultats ont montré que le contig le plus long assemblé avait une couverture “élevée” (à partir de notre assemblage, vous pouvez voir que NODE_1 a également une couverture élevée) et était très étroitement lié à la chauve-souris SL-CoVZC45.

Les virologues chinois soulignent même explicitement que le brin de génome construit présente jusqu’à 90 % de similitude avec les brins de génome des coronavirus inoffensifs et revendiqués des chauves-souris, connus depuis des décennies.

Cette similitude de 90 % résulte du fait que c’est exactement un tel “génome” d’un “corona virus” de chauve-souris inoffensif qui a été utilisé comme modèle pour aligner les nombreuses séquences génétiques très courtes. Il convient toutefois de noter que ce génome de chauve-souris, comme tous les “génomes” de “virus” pathogènes, n’a été que calculé, c’est-à-dire assemblé mentalement à partir de séquences génétiques endogènes très courtes et/ou de fragments de gènes de nombreux microbes, qui n’ont en réalité jamais été trouvés en tant que brin héréditaire entier et n’apparaissent nulle part dans la littérature scientifique comme un “génome viral” complet.

L’étude du 24.01.2020 indique sous la rubrique Discussion :

“Notre étude ne répond pas aux postulats de Koch”.

Il est important de savoir ici que l’on ne connaît pas le pourcentage du génome “viral” calculé qui a été modifié avant d’être publié comme génome complet.

La publication de Fan Wu et al, dans Nature, Vol 579 du 3.2.2020, dans laquelle le génome (brin complet du génome) du SARS-CoV-2 a été présenté pour la première fois et avancé pour devenir le modèle de tous les alignements ultérieurs, a montré que la totalité de l’ARN obtenu à partir du lavage bronchique (BALF) d’un patient avait clairement été utilisée, sans aucun isolement ou enrichissement préalable des structures virales ou des acides nucléiques.

Dans cette publication, le professeur Zhang décrit comment il a calculé un génome de 29 903 nucléotides sur la base de courts segments de gènes d’une longueur de seulement 21 et 25 nucléotides (ce sont les paramètres par défaut des programmes d’alignement Megahit et Trinity utilisés) en utilisant une séquence donnée d’un génome (le virus inoffensif du coronavirus de chauve-souris) selon sept méthodes différentes et très élaborées, y compris des méthodes statistiques.

Cet ARN a ensuite été converti en ADNc et des molécules d’une longueur de seulement 150 nucléotides ont été séquencées afin de construire le génome complet d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides par simple calcul.

Il suppose – sans le dire explicitement – que les courtes séquences à partir desquelles il additionne la proposition de séquence du génome du virus SARS-CoV-2 sont de nature virale car il exclut les séquences plus longues qui résultent de la superposition (= contigs) des courtes pièces 21 et 25 et qui présentent des similitudes avec les séquences humaines issues de l’addition ultérieure au génome viral.

En termes simples, cela signifie que :

Comme les séquences humaines qui nous sont “connues” ont été calculées/supprimées du mélange de matériel génétique, les séquences restantes, nées de la réflexion irrationnelle des virologues (qui a été récompensée en 1954 par l’attribution du prix Nobel à John Franklin Enders pour une spéculation)[7], sont supposées être précisément de nature virale.

Le pourcentage de l’ensemble du génome présentant des lacunes (de 1 % à la quasi-totalité ? ??) n’est pas indiqué.

Conséquence logique :

Ce qui a été créé artificiellement ici en toutes sortes d’étapes, toutes sous des “hypothèses” simplement crues, jamais vérifiées, n’a absolument RIEN à voir avec la réalité ! La méthode de séquençage ne peut ni dire de quelle source supposée provient le génome généré par de nombreuses étapes de calcul, ni affirmer qu’il est de nature purement virale. Il s’agit tout au plus d’un outil permettant de générer un nouveau brin de génome fictif construit à partir de nombreuses séquences génétiques très courtes, au moyen de divers algorithmes et de programmes dits de “gap-filling” (comblement des lacunes dans la construction du génome). Il est plus qu’effronté de prétendre que cette construction (du génome), qui a été faite à partir d’un échantillon via lavage bronchoalvéolaire d’un patient sans isoler une certaine structure, est virale juste parce que le patient a présenté des symptômes.

Les bioinformaticiens ne se soucient pas de la source de la séquence du gène.

Lorsque l’idée des brins génétiques des virus de la grippe a été conçue pour la première fois, des embryons de poulet ont été mécaniquement blessés et empoisonnés, et un modèle a été laborieusement créé à la main à partir des courtes séquences d’acide nucléique des tissus en décomposition. Aujourd’hui, cette tâche est effectuée par des programmes informatiques alimentés par les séquences que les virologues qualifient de “virales”. L’origine réelle de ces séquences est sans importance pour les bioinformaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par “alignement”. Erwin Chargaff avait d’ailleurs prévenu de cette évolution dès 1976 dans son livre “Das Feuer des Herakli” [L’incendie d’Herakli].

Sources :

[1] F. Wu, S. Zhao, B. Yu et al. A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3

[2] Die behauptete SARS-CoV-2-Mutation aus England ist eine Mogelpackung

[3] Zhenyu Li et al. Comparison of the two major classes of assembly algorithms: overlap–layout–consensus and de-bruijn-graph, Briefings in Functional Genomics, Volume 11, Issue 1, January 2012, Pages 25–37. https://doi.org/10.1093/bfgp/elr035

[4] Jang-il Sohn and Jin-Wu Nam. The present and future of de novo whole-genome assembly. Briefings in Bioinformatics, Volume 19, Issue 1, January 2018, Pages 23–40. https://doi.org/10.1093/bib/bbw096

[5] S. Heerema and C. Dekker. Graphene nanodevices for DNA sequencing. Nature Nanotech 11, 127–136 (2016). https://doi.org/10.1038/nnano.2015.307

[6]Fan Wu: A new coronavirus associated with human respiratory disease in China

[7] Machtwerk – Einstieg in die Widerlegung der Virusbehauptung

Vous trouverez ci-dessous une liste de nos articles les plus importants [en allemand] :

https://telegra.ph/Corona-Fakten-Liste-der-wichtigsten-Artikel-09-08

Article original : https://www.samueleckert.net/durch-die-genom-analyse-werden-fiktive-viren-erschaffen/




Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Comment la science devient une religion

[Source : Aube Digitale]

Par Sheldon Richman

Le slogan populaire d’aujourd’hui est « Croyez en la science ». Il est souvent utilisé comme une arme contre les personnes qui rejettent non pas la science en principe mais plutôt l’une ou l’autre proposition scientifique de premier plan, qu’il s’agisse du vaccin contre le COVID-19, du changement climatique, de la nutrition (alimentation pauvre en graisses ou pauvre en glucides), pour n’en citer que quelques-unes. Mon objectif n’est pas de défendre ou de nier une position scientifique particulière, mais de remettre en question le modèle de la science sur lequel semblent se baser les plus fervents partisans de la science. Leur modèle fait que la science semble presque identique à ce qu’ils entendent par, et attaquent comme, la religion. Si c’est le cas, nous ne devrions pas les écouter lorsqu’ils nous font la leçon sur la nécessité de tenir compte de la science.

Le problème le plus évident avec le rappel à l’ordre de « croire en la science » est qu’il n’est d’aucune aide lorsque des scientifiques de renom – c’est-à-dire des experts de bonne foi – se trouvent des deux côtés (ou de tous les côtés) d’une question empirique donnée. Les parties dominantes de l’intelligentsia préféreraient peut-être que nous ne le sachions pas, mais il existe des experts dissidents sur de nombreuses questions scientifiques que certains déclarent allègrement « réglées » par un « consensus », c’est-à-dire au-delà de tout débat. C’est le cas de la nature précise et des conséquences probables du changement climatique et de certains aspects du coronavirus et de son vaccin. Sans preuve réelle, les francs-tireurs accrédités sont souvent accusés d’avoir été corrompus par l’industrie, avec la foi tacite que les scientifiques qui expriment la position établie sont purs et incorruptibles. C’est comme si la quête de fonds publics ne pouvait pas en soi biaiser la recherche scientifique. En outre, personne, pas même les scientifiques, n’est à l’abri de la pensée de groupe et du biais de confirmation.

Ainsi, le chœur des « adeptes de la science » n’accorde aucune attention aux francs-tireurs accrédités, sauf si c’est pour les diffamer. Apparemment, selon le modèle de science des croyants, la vérité descend d’un Mont Sinaï séculaire (Mont Science ?) grâce à un ensemble de scientifiques oints, et ces déclarations ne doivent pas être remises en question. Les dissidents peuvent être ignorés car ils ne font pas partie des élus. Comment les élus ont-ils atteint leur position élevée ? Souvent, mais pas toujours, c’est par le biais du processus politique : par exemple, la nomination dans une agence gouvernementale ou l’octroi de subventions prestigieuses. Il se peut qu’un scientifique ait simplement gagné l’adoration de l’intelligentsia progressiste parce que ses vues s’alignent facilement sur un programme politique particulier.

Mais ce n’est pas de la science ; c’est de la religion, ou du moins c’est le stéréotype de religion auquel les « adeptes de la science » s’opposent au nom de la lumière. Il en résulte des dogmes et, en fait, des accusations d’hérésie.

Dans la vraie science, il n’y a pas d’élus ni de monts de la science. La vraie science est un processus brutal d’hypothèses, de tests publics, de tentatives de réplication, de formation de théories, de dissension et de contestation, de réfutation (peut-être), de révision (peut-être) et de confirmation (peut-être). C’est un processus sans fin, comme il doit l’être. Qui sait ce qui nous attend au prochain tournant ? Aucune question empirique ne peut être déclarée réglée par consensus une fois pour toutes, même si, avec le temps, une théorie a résisté à suffisamment de défis compétents pour justifier un haut degré de confiance. (Dans un monde où les ressources sont rares, y compris le temps, toutes les questions ne peuvent être approfondies, il faut donc faire des choix). Le pouvoir institutionnel de déclarer que les questions sont réglées par consensus ouvre la porte à toutes sortes de méfaits qui violent l’esprit de la science et peuvent nuire au public, financièrement et autrement.

Ce qui est étrange, c’est que les « défenseurs de la science » montrent parfois qu’ils comprennent correctement la science. Certains athées célèbres, par exemple, utilisent un modèle correct de la science lorsqu’ils insistent auprès des religieux sur le fait que nous ne pourrons jamais atteindre la « vérité absolue », ce qui signifie que l’infaillibilité est hors de portée. Mais ils oublient vite ce principe lorsqu’il s’agit de leurs propositions scientifiques favorites. Ils ressemblent alors soudainement aux personnes qu’ils attaquaient l’heure précédente.

Un autre problème avec les « défenseurs de la science » dogmatiques est qu’ils supposent qu’une politique gouvernementale appropriée, qui est une question normative, découle directement de « la science », qui est une question positive. Si l’on connaît la science, alors on sait ce que chacun doit faire – c’est du moins ce que pensent les dogmatiques scientifiques. C’est comme si les scientifiques étaient exceptionnellement qualifiés, en vertu de leur expertise, pour prescrire la meilleure réponse en matière de politique publique.

Mais c’est tout à fait faux. La politique publique est une affaire de jugement moral, de compromis et de recours justifié à la coercition. Les spécialistes des sciences naturelles ne sont ni les seuls à connaître ces questions ni les seuls à pouvoir prendre les bonnes décisions pour tout le monde. Lorsque les scientifiques médicaux ont conseillé de verrouiller l’activité économique en raison de la pandémie, ils ne s’exprimaient pas en tant que scientifiques mais en tant que moralistes (sous des habits de scientifiques). Quelles sont leurs qualifications particulières pour ce rôle ? Comment ces scientifiques auraient-ils pu prendre en compte toutes les conséquences graves d’un verrouillage – psychologiques, domestiques, sociales, économiques, etc. – pour les divers êtres humains qui seraient soumis à cette politique ? Qu’est-ce qui qualifie les spécialistes des sciences naturelles pour décider que les personnes qui ont besoin d’un dépistage du cancer ou d’une maladie cardiaque doivent attendre indéfiniment alors que les personnes atteintes d’une maladie officiellement désignée n’ont pas à attendre ? (Les politiciens émettent les interdictions formelles, mais leurs conseillers scientifiques fournissent une crédibilité apparente).

Voici la distinction pertinente : si nous devons favoriser la science, nous devons rejeter le scientisme, cette croyance erronée selon laquelle les seules questions qui méritent d’être posées sont celles qui se prêtent aux méthodes des sciences naturelles et que, par conséquent, toutes les questions doivent être soit reformulées de manière appropriée, soit rejetées comme du charabia. F. A. Hayek, dans « La contre-révolution de la science », définit le scientisme comme « l’imitation servile de la méthode et du langage de la science ».

J’aime la façon dont le philosophe Gilbert Ryle l’a exprimé dans « The Concept of Mind » :

« Les physiciens auront peut-être un jour trouvé les réponses à toutes les questions physiques, mais toutes les questions ne sont pas des questions physiques. Les lois qu’ils ont trouvées et qu’ils trouveront peuvent, dans un sens du verbe métaphorique, régir tout ce qui se passe, mais elles n’ordonnent pas tout ce qui se passe. En fait, elles n’ordonnent rien de ce qui se passe. Les lois de la nature ne sont pas des fatalités ».

« Comment devrions-nous vivre ? » ne fait pas partie des questions auxquelles les spécialistes des sciences naturelles sont spécialement qualifiés pour répondre, mais elle mérite certainement d’être posée. De même, « Quels sont les risques que vous ou moi devrions prendre ou éviter ? ». Il y a un monde de différence entre l’affirmation d’un expert médical : « Le vaccin X est généralement sûr et efficace » et « La vaccination devrait être obligatoire ». (L’un des grands critiques du scientisme était Thomas Szasz, M.D., qui a consacré sa vie à lutter contre la croisade de la profession médicale, et en particulier de la psychiatrie, visant à refondre les questions morales en questions médicales et à contrôler ainsi les gens au nom de la science désintéressée).

La plupart des gens ne sont pas qualifiés pour juger la plupart des conclusions scientifiques, mais ils sont qualifiés pour vivre leur vie raisonnablement. Je suis hautement convaincu que la terre est une sphère et qu’une molécule d’eau est composée de deux parties d’hydrogène et d’une partie d’oxygène. Mais je ne sais pas comment confirmer ces propositions. Nous devons donc tous nous fier aux autorités scientifiques et médicales, non pas au sens du pouvoir, mais au sens de l’expertise et de la réputation. (Même les autorités d’un domaine se fient aux autorités d’autres domaines).

Mais nous devons aussi nous rappeler que les affirmations empiriques de ces autorités sont défendables, c’est-à-dire qu’elles sont en principe ouvertes à la contestation [aux contre-arguments] et peut-être à la réfutation, c’est-à-dire au processus scientifique. Hormis les axiomes indispensables et auto-validés de la logique, toutes les affirmations sont ouvertes dans ce sens. C’est ce processus qui nous permet de découvrir la vérité. Comme l’a fait remarquer John Stuart Mill dans son ouvrage intitulé « On Liberty », même un dissident qui a une opinion manifestement erronée sur une question peut savoir quelque chose d’important sur cette même question qui a été négligé. C’est à nos risques et périls que nous faisons taire les gens ou que nous les traitons d’hérétiques. C’est du dogme, pas de la science.


source : https://libertarianinstitute.org

traduit par Aube Digitale




Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels

[Sources : NS2017, ripostelaique.com et profession-gendarme.com)]

Par Colonel Jacques Amiot

C’est la déclaration de guerre de Macron du 12 juillet qui a provoqué ma vive réaction.

Elle correspond en effet à une quasi-obligation vaccinale, ce qui n’était pas du tout annoncé par le pouvoir qui a menti une fois de plus.

Je refuse absolument l’injection, pour moi et mes proches, d’un produit en cours d’expérimentation pour lequel personne ne peut assurer qu’il ne comporte pas de graves dangers à moyen et long terme ; d’autant, qu’à court terme, il y a des décès et des effets indésirables lourds, certainement sous-évalués.

À l’évidence, on se rend compte que la volonté d’imposer la vaccination était en fait prévue depuis début 2020, et que c’est la raison qui a poussé le pouvoir à refuser aux médecins généralistes les possibilités de soins précoces. S’il avait admis qu’il y avait des possibilités de soins, il n’aurait pas pu imposer le vaccin ; ce qu’il tente sournoisement de faire actuellement.

Ce refus de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients a provoqué de nombreux décès, abouti à l’engorgement des hôpitaux, provoqué l’effondrement de l’économie et ses séquelles. Je confirme donc que c’est une décision criminelle.  

Besançon le 28 juillet 2021

Monsieur le Président de la République,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre de la santé,

Quoi qu’il puisse m’en coûter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas).

Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux. Depuis cette époque vous avez des dizaines de milliers de morts sur la conscience car beaucoup de nos concitoyens auraient pu être traités et sauvés.

Je vous défie de me prouver le contraire, car, partout dans le monde, des médicaments ont prouvé leur efficacité. Début 2020 on a aussi découvert que la Chloroquine, largement utilisée depuis plus de 70 ans notamment en Afrique, était mystérieusement devenue un produit dangereux.
Le seul but de cette décision totalement illogique et condamnable a été de pouvoir imposer un « vaccin » en tentant de justifier qu’il n’y avait pas d’autres solutions.
La vérité finira par éclater ; vous ne pourrez pas encore la cacher bien longtemps.

Depuis plus d’un an le général Delawarde fait des recherches minutieuses et publie des analyses approfondies par lesquelles il a démontré que les pays qui pratiquent les traitements précoces ont proportionnellement beaucoup moins de décès que la France ; bien tardivement l’Institut Pasteur vient d’ailleurs de confirmer l’intérêt de l’Ivermectine. Le général a également démontré que la « pandémie » était très largement surfaite et qu’elle pouvait être gérée de manière beaucoup moins destructrice. D’autres maladies sont beaucoup plus meurtrières mais on en parle très peu.

Vous êtes des criminels, car, toujours en raison de ce refus de soins, les hôpitaux ont été engorgés, des opérations et des soins urgents ont été repoussés avec pour conséquences de nombreux décès ; sans parler de « l’assassinat » de personnes âgées par le Rivotril par manque de moyens en raison de votre incurie.

Vous êtes des criminels, car, toujours pour cette raison, vous avez provoqué l’effondrement de l’économie avec pour conséquence un chômage de masse, des suicides…
Messieurs de l’exécutif je ne suis pas anti vaccin ; depuis des années, avec mon épouse, nous nous faisons vacciner contre la grippe et je ne critique pas ceux qui se font « vacciner », car c’est leur choix qui, souvent, a été largement provoqué par la propagande de médias aux ordres.
Il ne faut pas s’étonner de cette attitude de nombreux médias car beaucoup sont la propriété de ceux qui vous ont propulsé au pouvoir par effraction, avec l’aide efficace de la justice, qui a bien opportunément disqualifié monsieur Fillon.

Il est par contre monstrueux de vouloir injecter de force aux Français des produits, toujours en cours d’expérimentation et dont on ne connait absolument pas les effets notamment à moyen-long terme. Les Français, à vos yeux, ne sont rien d’autres que des cobayes soumis au bon vouloir de puissants laboratoires pharmaceutiques.
Manifestement vous accomplissez scrupuleusement la feuille de route prévue depuis longtemps par les mondialistes dont le seul souci est d’imposer un « vaccin » afin d’engranger des milliards de dollars.

Pour imposer cette feuille de route vous avez constamment menti aux français et gouverné par la peur, des cas, des hospitalisions, des décès largement surévalués.
Les mesures que vous avez décidées le 12 juillet sont le fruit de l’imagination de psychopathes tyranniques. Nous faisons partie des cinq pays du monde à être rentré dans une tyrannie plus que draconienne. Qu’est devenue la patrie des droits de l’homme ?
Par plusieurs lectures j’ai compris que pour imposer une gouvernance mondiale les mondialistes devaient préalablement éliminer les nations souveraines ; j’avais encore un léger doute, mais je n’en ai plus.

Messieurs Klaus Schwab, Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Anthony Faucy, et beaucoup d’autres ne s’en cachent pas ; pour s’en convaincre il suffit de retrouver les déclarations et écrits de ces oligarques qui se prennent déjà pour les maitres du monde.
Avec eux vous participez donc activement à la destruction de la France, et actuellement vous nous préparez le coup du variant Delta, certainement pas plus létal que les précédents, de manière à soumettre encore un peu plus le peuple.

Le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État démontrent que l’on ne peut rien attendre d’eux ; ils sont complices.
Nous avons bien compris que vous voulez culpabiliser les non « vaccinés » et, surtout, que votre principal but est de dresser les Français les uns contre les autres. J’espère qu’ils auront l’intelligence de ne pas tomber dans ce piège maléfique ; sans quoi tout peut arriver.
Pour moi il ne s’agit pas uniquement de liberté de choix, mais, surtout, de préserver mon intégrité physique et celle de mes proches. Affirmer que les « vaccins » ne présentent pas de risques graves relève de la « voyance » et non de la science.

À vos places je ne serais pas tranquille, car l’histoire a montré que les tyrans et leurs collaborateurs finissent en général très mal. Je comprends que des Français, peut-être naïfs et crédules pour certains, veuillent devenir députés (c’est une bonne place) ; je comprends que des journalistes veuillent préserver leur emploi, mais beaucoup devraient se méfier de ne pas trop collaborer avec un pouvoir devenu tyrannique, car ils risquent d’en payer le prix fort. On surveille, on note.
Je ne vous salue pas, car un militaire ne salue pas des criminels.

Colonel Jacques Amiot

Colonel Amiot
Lieutenant-colonel de l’Armée de l’Air



Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

[Source : courriel]

EXPLICATIONS PRÉALABLES :

À la suite de la réception par des parents d’élèves ou d’étudiants de lettres envoyées par les autorités scolaires ou universitaires évoquant une prétendue obligation « vaccinale » ou plus exactement une prétendue obligation d’injection de « substances géniques en essais cliniques », une équipe d’Avocats et de Juristes vous propose ce modèle de courrier de réponse à ces « menaces » non fondées juridiquement.

Important : N’anticipez pas, attendez d’être « menacés » à ce sujet par l’établissement scolaire ou universitaire avant d’envoyer ce courrier.

Cette lettre est à adresser à tout directeur d’établissement scolaire ou Président d’Université ou Recteur d’Académie qui imposerait aux étudiants/lycéens/collégiens/écoliers la vaccination Covid19 pour la rentrée scolaire 2021/2022).

Il ne vous reste plus qu’à adapter le courrier en utilisant les mentions adaptées parmi celles proposées et séparées d’un « / ».

Le modèle est établi sur base du droit français. Toutefois, les parents dans les pays limitrophes et francophones (Belgique, Luxembourg, Suisse) peuvent s’en inspirer et conserver en tout ou en partie les références aux dispositions du droit de l’Union européenne (Belgique, Luxembourg) et du droit supranational (Conseil de l’Europe et conventions internationales).


Vous pouvez bien entendu soumettre ce document à votre avocat ou à des associations constituées, pour l’adapter à votre droit interne.

Si une réunion est organisée dans l’établissement scolaire, n’hésitez pas à demander à un représentant du corps médical (notamment les médecins des associations « Reinfo Covid », « Laissons les médecins prescrire », etc.) de vous accompagner pour donner une caution scientifique.

La fin du document contient (en police de caractères rouge pour l’instant) un paragraphe spécifique pour les situations où l’élève suit une filière professionnelle orientée vers l’aide à la personne. Supprimez bien sûr ce paragraphe s’il ne correspond pas à votre situation spécifique.

Enfin, si vous êtes majeur et que vous écrivez ce courrier pour vous-même (étudiants de 18 ans et +), il vous suffira de modifier la formulation en conséquence.

Dans la mesure du possible, il est conseillé que les DEUX titulaires de l’autorité parentale signent ce document lorsque l’élève est mineur.

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ……………………………………

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

(Signatures)