La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Grande-Bretagne — Selon la chambre des Lords, les preuves sont insuffisantes pour rendre la vaccination obligatoire chez les soignants

[Source : REINFOCOVID]

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords.

La chambre des Lords est la chambre haute du parlement britannique dont le rôle s’apparente à celui du Sénat français.

Un article, paru dans le British Medical Journal, rapporte les échanges entre l’équivalent du Ministère de la Santé et la Chambre des Lords.

Les points importants de ce débat politique britannique sont les suivants :

  • Les plans du gouvernement n’ont pas fait l’objet d’une réflexion approfondie selon la chambre ;
  • 126 000 soignants quitteraient leur emploi si la vaccination devenait obligatoire, selon la chambre ;
  • Le gouvernement ne propose pas de plan d’impact de cette perte de soignants ;
  • Cette obligation vaccinale des soignants engendrerait un surcoût de 270 millions de livres sterling.

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords

Traduction de l’article

https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf

Un comité de la Chambre des Lords a soulevé plusieurs préoccupations concernant la proposition de loi visant à rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 pour l’ensemble du personnel soignant en Angleterre, particulièrement de savoir si le bénéfice de la vaccination des 8 % des soignants non vaccinés était proportionnée et comment le système de soin ferait face à la perte des 5,4 % qui ne veulent pas être vaccinés.

Le Secondary Legislation Scrutiny Committee a déclaré que les plans du gouvernement n’avaient pas fait l’objet d’une réflexion approfondie, empêchant la chambre des Lords d’examiner la proposition de loi.

Le 9 novembre, le ministre anglais de la santé et de l’aide sociale, Sajid Javid, a annoncé que tous les membres du personnel travaillant dans des établissements de santé et d’aide sociale réglementés par le gouvernement britannique seraient tenus de se faire vacciner d’ici le 1er avril. « Nous devons éviter les dommages évitables et protéger les patients du système de soins, nos collègues du système de soins et le système de soins lui-même.

Mais dans un rapport publié le 30 novembre, la commission a déclaré que l’avantage d’augmenter la couverture vaccinale du personnel “peut être marginal” et que le gouvernement n’a pas publié de plans d’urgence sur la façon dont il ferait face à la perte de personnel qui ne veut pas du vaccin.

Le rapport indique que sur les 208 000 membres du personnel du Système de Santé National qui ne sont pas actuellement vaccinés, 54 000 (26 %) se feraient vacciner en vertu de la loi et 126 000 (61%) quitteraient leur emploi.

“Étant donné que l’on s’attend à ce que la législation entraîne des coûts supplémentaires de recrutement et de formation de 270 millions de livres sterling et des perturbations majeures de l’offre de soins à la fin de la période de grâce, des preuves très solides devraient être fournies pour soutenir ce choix politique.

Le DHSC [Department for Health and Social Care] (NDLR : équivalent du ministère de la Santé) n’a pas fourni de telles preuves”, a-t-elle déclaré.

La commission a également critiqué le ministère pour ne pas avoir inclus dans la législation des détails pratiques sur comment des expressions telles que “face à face” ou “autrement engagé” seraient appliquées, renvoyant à la place à des directives qui seront produites à l’avenir.

Le président de la commission, Robin Hodgson, a déclaré : “Nous sommes tout à fait favorables à des niveaux élevés de vaccination, mais le DHSC est responsable de ses décisions devant le Parlement et doit nous donner une idée claire sur les effets de ces réglementations, sur de l’effet de l’inaction et de toute autre solution envisagée, afin que le Parlement comprenne pleinement toutes les conséquences de ce que le DHSC lui demande d’accepter.

Ceci est particulièrement important lorsque le Système National de Santé est déjà soumis à une telle pression.

“Le DHSC n’a fourni aucune déclaration cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener, et cela nuit à la capacité de la Chambre à entreprendre un examen efficace de la législation proposée.”

Références

Référence : https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf  BMJ 2021;375:n2957 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.n2957




France — réforme du Lycée, la formation en mathématiques en question

[Source : Société Mathématique de France (emath.fr)]

[Photo : © Getty Images]

La réforme du lycée conduit à une réduction inquiétante de l’enseignement des mathématiques au lycée, en contradiction avec les défis scientifiques et technologiques à venir.

Les sociétés de mathématiques(([1] ADIREM, APMEP, CFEM, SFdS, SMAI, SMF)) alertent sur l’impact négatif de la réforme du lycée sur l’enseignement des mathématiques en première et terminale.

La note d’information de novembre 2021 de la DEPP(([2] Note d’Information, n° 21.37. , fig. 2)) montre que la réforme du lycée a conduit à l’économie par le ministère de l’éducation nationale de près de 36 000 heures d’enseignement en premières et terminales des séries générales et technologiques entre 2018 et 2020. Cette diminution concerne essentiellement les mathématiques et la technologie qui perdent environ 20% des heures auparavant dispensées aux élèves.(([2] Note d’Information, n° 21.37. , fig. 2)) Derrière cette observation, l’absence de mathématiques dans le tronc commun est indéniable : moins de 7% des heures de l’enseignement scientifique général est assuré par des professeurs de mathématiques.

Comme mise en évidence par les dernières enquêtes internationales TIMMS 2019 et PISA 2015, (([3] Note d’Information, n° 19.08. et n° 20.46 fig 2)) la faiblesse des compétences mathématiques des élèves et collégiens français aurait pourtant mérité mieux qu’une stratégie d’abandon de la formation mathématique au lycée, qui, comme d’habitude en France, pénalise encore davantage les classes défavorisées.(([4] Note d’Information, n° 21.22.))

De plus, cette diminution de la formation mathématique et technologique va à l’encontre des besoins croissants de la société concernant les secteurs de l’innovation, de la technologie, de l’ingénierie, nécessitant par exemple de la modélisation numérique et statistique.(([5] OCDE Regard sur l’éducation 2020, p.97))(([6] Étude pour le Parlement Européen, Encourager les études en Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques, 2015
https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/STUD/2015/542199/IPOL_STU(2015)542199_EN.pdf)) Ignorant les alertes répétées de la communauté mathématique sur ce sujet, les politiques choisissent donc l’affaiblissement du vivier des étudiants capables de faire face à ces besoins(([7] SMF, nouveaux profils des étudiants en sciences, avec le filtre des mathématiques, 2021)) et aggravent le déficit actuel de qualification dans les disciplines mathématiques, scientifiques, techniques.

Il serait temps que les pouvoirs politiques prennent conscience de l’importance des problèmes de formation des élèves et des enseignants en mathématiques et proposent, contrairement à l’abandon, des investissements significatifs à tous les niveaux, élèves, enseignants, formateurs. Ces investissements sont indispensables pour retrouver un niveau de compétences satisfaisant pour l’ensemble de la population, tant pour le socle commun de tous que pour les futurs techniciens, ingénieurs, scientifiques dont la société aura besoin pour relever les défis immenses de l’avenir de notre société.

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Immobilier (France) — vers la fin des petits propriétaires

[Source : Le Grenier de l’éco]




Une bête féroce appelée le « Gardien de la paix et de la sécurité internationales » a été installée sur la place des visiteurs des Nations Unies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

« Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu dans la lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans les chambres sera prêché sur les toits. »

(Luc 12:2-3)

À l’heure actuelle où les statues de personnages historiques sont abattues, une statue avec des implications bibliques et qui ressemble à une « bête » de la fin des temps du livre de l’Apocalypse a été érigée devant le siège des Nations Unies à New York. La statue, intitulée le « Gardien de la paix et de la sécurité internationales », est située sur la place des visiteurs à l’extérieur du siège de l’organisation internationale. Le 9 novembre dernier, l’ONU a tweeté une photo de la statue : « Un gardien de la paix et de la sécurité internationales est assis sur la place des visiteurs à l’extérieur du siège de l’ONU. Le gardien est une fusion de jaguar et d’aigle et offert par le gouvernement d’Oaxaca, au Mexique. Il est créé par les artistes Jacobo et Maria Angeles. »

D’innombrables critiques sur les réseaux sociaux disent que la statue ressemble à la « bête » dont le prophète Daniel a parlé dans l’Ancien Testament. Son rêve mettait en scène quatre bêtes – un lion avec des ailes, un ours avec des crocs, un léopard à quatre ailes. La quatrième bête avait dix cornes.

Pour lire la suite :

Une bête féroce appelée le « Gardien de la paix et de la sécurité internationales » a été installée sur la place des visiteurs des Nations Unies – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant




Vaccination universelle ? Émile Zola et le conditionnement moderne

Par Nicolas Bonnal

Tout le monde se vaccine même quand Delfraissy explique que cela ne sert pas. Essayons d’expliquer pourquoi, même si notre conception de l’humanité doit en prendre un coup. Il est temps de remettre le troupeau vacciné à sa place. 10 % de rebelles, c’est déjà beaucoup.

À partir de 1780, l’humanité est entrée dans un cycle qui sera le dernier, avant la liquidation ou la transformation des privilégiés de notre espèce (le transhumanisme). La Révolution française marque l’apparition de l’homme métronome, du libre citoyen aveugle et dominé par les forces de l’idée et des constitutions. Comme l’écrit Augustin Cochin, le plus grand observateur de l’histoire du phénomène révolutionnaire :

« Avec le régime nouveau, les hommes disparaissent, et s’ouvre en morale même l’ère des forces inconscientes et de la mécanique humaine. »

Cochin explique aussi pourquoi nous partons toujours perdants face à la masse progressiste et ses imprécations :

« L’anarchie donne des leçons de discipline au parti de l’ordre en déroute. En devenant patriote, la masse des Français semble s’être donné un unique et invisible système nerveux, que le moindre incident fait tressaillir à l’unisson et qui fait d’elle un seul grand corps. »

La destruction du système nerveux, c’est bien la clé. La destruction créatrice… Aux forces de l’idée correspondent les forces du marché renforcées par une autre révolution irrésistible, l’industrielle. Le marché repose sur la vente aux masses. Comment faire pour nous faire acheter ? Un auteur finalement assez peu connu, Émile Zola, décrit dans son roman sur le développement darwinien des grands magasins l’émergence de la nouvelle puissante totalitaire du grand commerce, ce chancre du monde, comme dira Céline à New York.

Zola admire la puissance mécanique du Bonheur des Dames et de la machinerie commerciale :

« Il y avait là le ronflement continu de la machine à l’œuvre, un enfournement de clientes, entassées devant les rayons, étourdies sous les marchandises, puis jetées à la caisse. Et cela réglé, organisé avec une rigueur mécanique, tout un peuple de femmes passant dans la force et la logique des engrenages. »

Le but est d’attirer, de faire vendre, de briser les résistances de l’individu : Zola n’a pas attendu les centres commerciaux du Qatar et de Shanghai, et le cours en bourse d’Apple ou LVMH pour écrire :

« En décuplant la vente, en démocratisant le luxe, ils devenaient un terrible agent de dépense, ravageaient les ménages, travaillaient au coup de folie de la mode, toujours plus chère. »

Zola compare la conquête de la cliente à la séduction sexuelle. Même la modeste héroïne Denise est conquise par la luisante toute-puissance du magasin et de ses marchandises : « le Bonheur des Dames achevait de la prendre tout entière. » Elle en tombe amoureuse du patron !

Bouret, le maître de céans, est d’ailleurs comparé à un cavaleur.

« Et, quand il lui avait vidé la poche et détraqué les nerfs, il était plein du secret mépris de l’homme auquel une maîtresse vient de faire la bêtise de se donner… On la connaissait pour sa rage de dépense, sans force devant la tentation, d’une honnêteté stricte, incapable de céder à un amant, mais tout de suite lâche et la chair vaincue, devant le moindre bout de chiffon. »

Cinquante ans plus tard, le théoricien de la propagande soviétique Tchakhotine parla dans un livre surévalué de sexuel viol des foules. À la même époque, le neveu de Freud, Bernays, encourage les femmes à fumer en public avec le succès que l’on sait (au nom bien sûr de leur libération : aujourd’hui pourtant on les somme de ne plus fumer au bureau ou ailleurs…). Mais Zola, excellent observateur de son temps, décrit les bonnes et simples recettes pour le conditionnement de la clientèle. C’est que cette masse (fuge turbam [fuir la foule], disait Sénèque) ne rêve que d’être étourdie, hypnotisée et manipulée :

« La grande puissance était surtout la publicité. Mouret en arrivait à dépenser par an trois cent mille francs de catalogues, d’annonces et d’affiches… Il professait que la femme est sans force contre la réclame, qu’elle finit fatalement par aller au bruit. »

[Voir aussi :
Une brève histoire de la propagande
Comment on manipule pour avoir le consentement
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

On sait bien maintenant que l’abrutissement du troupeau vient par la musique de fond, par le bruit, par la noise, comme on disait en vieux français. Donc Bouret veut du bruit en bon expérimentateur de la psychologie des foules chère à Le Bon.

« Partout, il exigeait du bruit, de la foule, de la vie ; car la vie, disait-il, attire la vie, enfante et pullule. De cette loi, il tirait toutes sortes d’applications. D’abord, on devait s’écraser pour entrer, il fallait que, de la rue, on crût à une émeute. »

Zola joue encore sur une autre métaphore, celle de la religion, que l’on file à propos du sport omniprésent dans nos médias achetés et nos cerveaux conditionnés, mais il l’applique plus subtilement au commerce — comme on le fera plus tard à la politique, qui est une autre forme du commerce. Zemmour ? Macron ? Pécresse ? Faites votre choix, gentilles brebis !

« Sous la grâce même de sa galanterie, Mouret vendait de la femme à la livre : il lui élevait un temple, la faisait encenser par une légion de commis, créait le rite d’un culte nouveau ; il ne pensait qu’à elle, cherchait sans relâche à imaginer des séductions plus grande… »

Zola en écrivant cela ne pense même pas au serpent de la Bible. Dans sa cervelle médiocre de laïque, le conditionnement du cerveau est le même pour la religion ou pour l’achat de chiffons — ce n’est d’ailleurs pas faux quand on pense au succès planétaire des évangélistes. La « cathédrale du commerce » a simplement pris la place de l’ancienne ! Il va, parlant toujours de Mouret, jusqu’à conclure dans cette envolée presque épique :

« Sa création apportait une religion nouvelle, les églises que désertait peu à peu la foi chancelante étaient remplacées par son bazar, dans les âmes inoccupées désormais. La femme venait passer chez lui les heures vides, les heures frissonnantes et inquiètes qu’elle vivait jadis au fond des chapelles : dépense nécessaire de passion nerveuse, lutte renaissante d’un dieu contre le mari, culte sans cesse renouvelé du corps, avec l’au-delà divin de la beauté. »

Lutte d’un nouveau dieu contre le mari ? Avec son style vulgaire, l’auteur de J’accuse voit que le divorce viendra avec le commerce. La famille détruite ou recomposée est plus rentable, tout simplement. Car la femme libérée, disait un homme d’affaires américain, paiera enfin des impôts.

https://beq.ebooksgratuits.com/vents/zola-11.pdf




Guidés par un meilleur berger ?




PCB : remerciements aux 12.700 médecins qui ont défendu la vérité contre la corona-psychose

Par Méthode OSBMr et Timothée OSBMr

vidéo:



Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), qui défend les piliers fondamentaux du christianisme, attire l’attention sur une déclaration alarmante. Au nom de tous les chrétiens sincères, nous exprimons nos remerciements aux 12.700 médecins et scientifiques pour avoir défendu la vérité contre le système de mensonges qui exploite la médecine.

Leur alliance internationale a publié une déclaration s’opposant à la politique sur les coronavirus et accusant les décideurs politiques de crimes contre l’humanité. Les médecins sont empêchés de fournir des traitements vitaux à leurs patients, et le débat scientifique ouvert est supprimé, voire puni.

Ce document indique que la négligence du traitement a entraîné des maladies et des décès inutiles. Ce sommet des médecins et des scientifiques s’est tenu à Rome, du 12 au 14 septembre. La discussion portait sur la pandémie de Covid.

Nous citons brièvement la Déclaration : 

« Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession médicale telle que nous la connaissons se trouve à un carrefour, nous sommes obligés de déclarer ce qui suit :

Les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement de type « taille unique », entraînant des maladies et des décès inutiles.

Des milliers de médecins sont empêchés de soigner leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique… Cela entraîne des centaines de milliers de décès de patients inutiles.

Ce n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

Par conséquent, il est maintenant résolu que : les médecins doivent avoir la liberté de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte possible du permis d’exercer leur profession. Les interférences d’entités et d’organisations gouvernementales nous empêchent encore plus de soigner les patients dans le besoin. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de causer des maladies et des décès inutiles. »

Le Patriarcat Catholique Byzantin défend les lois de Dieu et les vérités fondamentales de la foi qui sont nécessaires au salut. Les hérésies doctrinales actuelles provoquent une décadence des principes moraux, entraînant l’autodestruction de l’Église et de l’ensemble de la société humaine. Les États chrétiens légalisent la politique du genre, l’anti-éducation, la démoralisation délibérée, le vol des enfants par les services sociaux… En fin de compte, il s’agit d’abus moraux et psychologiques commis sur les enfants ; par exemple, rien qu’en Norvège, 70 à 100 enfants volés de la sorte se suicident chaque année.

Ces crimes sont enveloppés de phrases positives sur les droits des femmes et des enfants et sur le soi-disant droit des minorités sexuelles LGBTQ à adopter ces enfants volés. En fait, ce sont des crimes commis contre Dieu et l’humanité. La responsabilité de ces crimes incombe au Vatican apostat, dont l’apostasie a commencé avec Vatican II et culmine à présent, sous le pseudo-pape Bergoglio.

Celui qu’on appelle François abolit illégalement les commandements de Dieu, et introduit la diabolisation de l’Église. Il a intronisé le démon Pachamama au Vatican, et promeut le mariage des sodomites. De plus, il préconise avec arrogance et démagogie la vaccination expérimentale criminelle à ARNm.

Aujourd’hui, nous apprécions donc profondément cette Déclaration signée par plus de douze mille sept cents médecins. Elle condamne les hommes politiques, mais aussi les prélats de Judas, pour leur perte de conscience, leur trahison de la foi et leurs crimes contre l’humanité. Ils sont devenus responsables de la mort physique de beaucoup de personnes, mais aussi de la mort spirituelle des âmes égarées. Le Vatican apostat n’est plus le pilier de la vérité et de la conscience de l’humanité. Ce Vatican bergoglien est devenu un pilier de mensonges, et une force motrice dans l’auto-génocide de l’humanité.

En cette période de trahison et d’apostasie les plus profondes commises à l’encontre de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, le Patriarcat Catholique Byzantin défend le véritable enseignement et les principes moraux. Au nom de tous les chrétiens sincères, nous donnons une reconnaissance publique à tous les médecins qui se sont opposés au système de mensonge et de mort derrière lequel se trouve l’ange de lumière, Lucifer, ou Satan. Rappelons que la victoire finale sur le diable et ses serviteurs appartient à Dieu, notre Seigneur et Sauveur. Ceux qui se battent pour la vérité recevront de Lui la couronne de la victoire éternelle. Cette couronne attend aussi les braves médecins qui se sont dressés afin de défendre la vie contre la mort.

+ Méthode OSBMr          + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires du Patriarcat Catholique Byzantin




Table ronde russe sur le crime Covid-19 planifié

[Source : https://www.bitchute.com/alcyonpleiades-fr/]






Le scandale Ivermectine

Par Jean-Loup Izambert

(…) suite à l’enquête Le virus et le président réalisée avec l’écrivain-enquêteur Claude Janvier, [la présente] sera suivie d’une nouvelle à paraître en février 2022 – du moins nous l’espérons – sur la désinformation entretenue sur la covid-19 par l’OMS, les dirigeants de l’Union dite « européenne » et tout particulièrement les Français.

Jean-Loup Izambert

Extrait :




« Le délire scientiste » croqué par Patrice Gibertie

[Source : francesoir.fr]

Statistiques biaisées, études frauduleuses, grande panique… Patrice Gibertie, professeur agrégé d’histoire, aujourd’hui à la retraite, n’a pas sa langue dans sa poche. Il chronique régulièrement toute la gestion sanitaire sur son blog ; le voici sur notre plateau, pour revenir sur 18 mois de crise et partager son analyse.



Le délire scientiste

[Note de Joseph :
on découvrira peut-être à plus grande échelle dans un avenir plus ou moins proche que la science a, pour une grande part, muté sous l’emprise des élites paranoïaque ou psychopathes à l’origine du Nouvel Ordre Mondial. Elle s’est ainsi corrompue en « scientisme » qui présente toutes les caractéristiques d’une religion, et qui plus est d’extension mondiale. Elle a de plus adopté les caractéristiques de ses promoteurs corrupteurs et est donc devenue elle-même de nature paranoïaque, encourageant notamment les théories les plus délirantes qui n’ont jamais réellement passé l’épreuve des faits et d’une démarche scientifique rigoureuse, comme la théorie virale pourtant quasi universellement considérée comme vraie.
Ainsi, celle-ci a fortement tendance à incarner les traits de cette maladie psychologique qu’est la paranoïa :
 – l’orgueil s’y retrouve dans sa propension à prétendre expliquer (puis guérir) un grand nombre de maladies sans pourtant s’être donné la peine d’examiner d’autres explications, mais en rejetant avec condescendance manifeste toute théorie alternative ;
 – la méfiance y est particulièrement présente et extrême envers l’ennemi qu’elle s’est inventé, le « virus » ;
 – et enfin, la fausseté de jugement qui provient d’un manque d’ancrage à la réalité en y substituant un récit fabriqué, perceptible dans l’incohérence de la théorie, sa non-application de la démarche scientifique, son usage de syllogismes et de sophismes au lieu de la logique. Voir à ce propos Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial.

On retrouve la même tendance paranoïaque avec la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique :
 – l’orgueil s’y retrouve dans l’idée que l’Homme disposerait déjà du pouvoir de dépasser le Soleil dans son impact sur le climat et dans le dénigrement de toute théorie alternative comme relevant de « négationnisme » ;
 – la méfiance est dirigée cette fois contre le CO2 qui serait produit par l’Homme lui-même et contre le méthane provenant des vaches ;
 – et le délire, dans la non-prise en compte de plusieurs facteurs, dont :
     – le Soleil comme cause première du climat, en raison du fait qu’il est la source principale de chaleur de la Terre,
     – les observations historiques et préhistoriques du climat,
     – la vapeur d’eau et les nuages dans les modèles,
     – et surtout le fait qu’un modèle climatique ne représente lui-même qu’un ensemble d’hypothèses qui ne peuvent se substituer à l’expérience et à l’observation directe du climat ni même à sa simulation expérimentale en laboratoire.

À noter que ces théories délirantes, comme la paranoïa, trouvent une cause fondamentale dans la peur de la mort, par les virus dans le premier exemple, et par l’Homme lui-même ou les vaches qu’il élève dans le cas du climat.

Voir aussi : Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie]

Au commencement de la crise, Patrice Gibertie observe et cherche à comprendre cette situation nouvelle. Il écoute les professeurs Raoult et Perrone, qui à cette époque n’étaient pas encore censurés par les médias. Soucieux de soigner et de guérir leurs patients avec des traitements précoces, leur calme leur avait valu d’être classés parmi les médecins rassuristes avant d’être censurés et traités de complotistes.

C’est à la lecture d’articles scientifiques que le doute s’installe sur la narration officielle. Notant les différences qui existent entre le récit des médias qui alimentent la peur, et la littérature scientifique ou le vécu des malades, l’historien repense à des situations analogues et à ce que disait son professeur Jean Delumeau lorsqu’il parlait de « théologie de la peur » pour évoquer la démonologie du 15ème et 16ème siècle, une époque où, au nom de cette théologie, on pourchassait les sorcières et les croyances.

« Je vois très bien Gilbert Deray et quelques autres en grand inquisiteur de la démonologie », déclare Patrice Gibertie pour qui le délire scientiste, loin d’avoir disparu, ressurgit régulièrement. Prenant en exemple l’époque de la fin du 19ème siècle, il rappelle la dérive hygiéniste qui a suivi la révolution pasteurienne et l’apparition des premiers vaccins.

C’est l’époque où le médecin allemand Robert Koch, découvreur du bacille de la tuberculose, se lance quelques années plus tard dans une expérience plus aventureuse et échoue avec la tuberculine, traitement extrait du bacille, qui s’est révélé fatal pour les personnes qui avaient reçu l’injection.

Quelles statistiques pour quelle analyse ?

S’en tenant à son domaine de compétence, Patrice Gibertie ne va pas chercher les statistiques de l’Académie de médecine, mais décide d’analyser les chiffres de la surmortalité. Des chiffres qui révèlent que si l’année 2020 n’a pas été particulièrement létale, l’année 2021 en revanche montre une surmortalité pour des catégories d’âges qui ne sont pas frappées par le Covid et qui correspondent aux périodes de vaccination.

Il effectue également des analyses à partir des cartes de géographie pour comparer des pays ou des régions proches. Prenant l’exemple du continent africain, il observe des différence de dynamique épidémique et de mortalité entre les pays qui soignent leur population avec de l’ivermectine pour traiter la cécité des rivières ou onchocercose et des pays voisins qui ne prescrivent pas cette molécule.

Voir aussi : Pr Femi Babalola (Nigeria) : « ils jouent avec la politique, pas vraiment concernés par les patients »

De l’analyse ces études observationnelles, Patrice Gibertie dit ne pas trouver de corrélation entre le taux de vaccination et le taux de contamination, tandis que les contaminés peuvent être vaccinés ou non-vaccinés. En revanche, il existe une corrélation entre un taux de mortalité faible, des crises de durée courte et l’usage des traitements précoces.

Les études frauduleuses

« Nous sommes confrontés à une maladie nouvelle et peu létale. Comment serait-il possible de faire des études sérieuses randomisées en double aveugle ? Ce n’est pas possible, car il faudrait des dizaines de milliers de personnes » déclare l’historien qui observe des biais dans de très nombreuses études.

Voir aussi : Matthieu Million, au plus près du patient à l’IHU : recherche, éthique du soin, école du réel

Des biais saisonniers ou démographiques, comme c’est le cas pour les études israéliennes qui portent sur l’efficacité des vaccin, aux niveaux d’exigence différents selon que les études portent sur des molécules anciennes et peu coûteuses ou des nouveaux médicaments, l’historien analyse toutes les dérives. Des dérives qui le conduisent à considérer la démarche des sciences humaines et les analyses sur la surmortalité comme plus sûre et plus pertinente que certaines études scientifiques.

Enfin, se projetant dans l’avenir, il pense que les historiens de demain regarderont notre époque comme l’histoire d’une grande peur comme l’humanité en a connue, une grande peur liée à la méconnaissance et aux tentations totalitaires.




Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires

[Source : ourworldindata.org]

Pays Indice* Date**
Allemagne  84.26 Dec 5, 2021
Grèce  80.09 Dec 6, 2021
Dominique  79.63 Dec 3, 2021
Brunei  79.63 Dec 6, 2021
Autriche  73.15 Dec 3, 2021
Australie  72.69 Dec 6, 2021
Laos  71.30 Dec 6, 2021
Italie  71.30 Dec 3, 2021
Canada  69.91 Dec 3, 2021
Suriname  69.44 Dec 5, 2021
France  66.67 Dec 3, 2021
Belize  65.74 Dec 2, 2021
Nouvelle-Zélande  65.28 Dec 6, 2021
Pérou  63.89 Dec 5, 2021
Slovaquie  62.96 Dec 6, 2021
Érythrée  62.04 Dec 6, 2021
Iran  61.57 Dec 4, 2021
Trinité-et-Tobago  61.11 Dec 5, 2021
Eswatini  61.11 Dec 6, 2021
Indonésie  60.65 Dec 6, 2021
Russie  60.65 Dec 3, 2021
Cambodge  60.65 Dec 4, 2021
Chine  59.72 Dec 6, 2021
Guinée  59.26 Dec 6, 2021
Roumanie  58.33 Dec 5, 2021
Équateur  57.87 Dec 6, 2021
Ukraine  57.41 Dec 3, 2021
Israël  56.48 Dec 3, 2021
Panama  56.48 Dec 7, 2021
Pays-Bas  56.48 Dec 3, 2021
Bénin  55.56 Dec 6, 2021
Turkménistan  55.56 Dec 4, 2021
Népal  54.17 Dec 6, 2021
Belgique  53.70 Dec 6, 2021
Bhoutan  53.24 Dec 8, 2021
Lesotho  52.78 Dec 6, 2021
Emirats Arabes Unis  51.85 Dec 6, 2021
Inde  51.39 Dec 7, 2021
Mauritanie  50.00 Dec 6, 2021
Suisse  50.00 Dec 4, 2021
Costa Rica  49.07 Dec 6, 2021
Gabon  49.07 Dec 6, 2021
Oman  49.07 Dec 7, 2021
Zimbabwe  49.07 Dec 6, 2021
Mozambique  48.15 Dec 6, 2021
Andorre  48.15 Dec 6, 2021
Tonga  47.22 Dec 5, 2021
Bulgarie  47.22 Dec 7, 2021
Japon  47.22 Dec 3, 2021
Royaume-Uni  46.76 Dec 3, 2021
Luxembourg  46.30 Dec 6, 2021
Guatemala  45.37 Dec 6, 2021
Afrique du Sud  45.37 Dec 5, 2021
Danemark  44.44 Dec 6, 2021
Mali  44.44 Dec 6, 2021
Irlande  44.44 Dec 4, 2021
Bangladesh  44.44 Dec 6, 2021
Ouzbékistan  44.44 Dec 7, 2021
Singapour  44.44 Dec 2, 2021
Chili  43.98 Dec 6, 2021
Espagne  43.98 Dec 3, 2021
Éthiopie  43.52 Dec 6, 2021
Malte  43.52 Dec 6, 2021
Lettonie  43.52 Dec 6, 2021
Égypte  43.52 Dec 6, 2021
Portugal  43.52 Dec 3, 2021
Kosovo  42.59 Dec 6, 2021
Argentine  42.59 Dec 3, 2021
Timor  42.13 Dec 5, 2021
Aruba 41.67
Corée du Sud  41.67 Dec 6, 2021
Liberia  40.74 Dec 6, 2021
Thaïlande  40.28 Dec 6, 2021
Islande  38.89 Dec 6, 2021
Libye  38.89 Dec 5, 2021
Saint-Marin  37.96 Dec 6, 2021
Croatie  37.04 Dec 6, 2021
Mongolie  37.04 Dec 6, 2021
Norvège  34.72 Dec 3, 2021
Guam  34.26 Dec 5, 2021
Jordanie  34.26 Dec 4, 2021
Philippines  33.33 Dec 3, 2021
Finlande  32.87 Dec 6, 2021
Moldavie  32.41 Dec 8, 2021
Bahreïn 32.41
Pakistan  31.94 Dec 6, 2021
Liban  31.48 Dec 5, 2021
Mexique  31.48 Dec 6, 2021
Groenland  30.56 Dec 6, 2021
Congo  29.63 Dec 5, 2021
Tadjikistan  29.63 Dec 6, 2021
Sierra Leone  29.63 Dec 6, 2021
Afghanistan  27.78 Dec 6, 2021
Palestine  25.00 Dec 5, 2021
Namibie  25.00 Dec 8, 2021
Tchad  22.22 Dec 5, 2021
Kiribati  22.22 Dec 6, 2021
Cameroun  22.22 Dec 6, 2021
Cuba  21.30 Dec 3, 2021
Sénégal  21.30 Dec 6, 2021
Suède  19.44 Dec 4, 2021
Bélarus  19.44 Dec 5, 2021
Côte d’Ivoire  17.59 Dec 5, 2021
Botswana  13.89 Dec 6, 2021
Soudan  13.89 Dec 6, 2021
Burundi  8.33 Dec 6, 2021
Tanzanie  8.33 Dec 6, 2021
République Dominicaine
Tchécoslovaquie
Chypre
République démocratique du Congo
Colombie
Hongrie
Honduras
Sri Lanka
Myanmar
Hong Kong
Haïti
République Centrafricaine
Bermudes
Îles Salomon
Taiwan
Fidji
Guyane
Ghana
Gambie
Géorgie
Djibouti
Estonie
Koweït
Liechtenstein
Maurice
Monaco
Vanuatu
Qatar
Seychelles
Venezuela
Îles Féroé
Vierges américaines (îles)
Sud-Soudan
El Salvador
Macao
Kirghizistan
Kenya
Kazakhstan
Jamaïque
Irak
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Nigeria
Niger
Nicaragua
Maroc
Malaisie
Malawi
Madagascar
Lituanie
Pologne
Bahamas
Barbade
Bolivie
Bosnie et Herzégovine
Brésil
Burkina Faso
Cap-Vert
Zambie
Yémen
Etats-Unis d’Amérique
Albanie
Algérie
Angola
Azerbaïdjan
Uruguay
Ouganda
Turquie
Tunisie
Togo
Syrie
Somalie
Slovénie
Vietnam
Serbie
Arabie Saoudite
Rwanda
Puerto Rico
Paraguay
*Plus l’indice est proche de 100 et plus les mesures sont restrictives
**Date des données sur lesquelles sont basées l’indice



Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire

[Source : reporterre.net]

Par Celia Izoard

Envie de partager votre vie entière avec un groupe privé, partenaire du gouvernement ? C’est l’idée du « portefeuille d’identité numérique », sur les rails en Europe. Selon notre chroniqueuse, avec ce contrôle étouffant, la liberté disparaît.

Celia Izoard, journaliste, coauteure de La Liberté dans le coma : Essai sur l’identification électronique et les motifs de s’y opposer (Groupe Marcuse, La Lenteur, réed. 2019). Elle a retraduit et préfacé 1984de George Orwell (Agone, 2021). Elle est aussi chroniqueuse pour Reporterre.


Lucie, jeune étudiante, sort de son lit. Au petit-déjeuner, sur son smartphone, un message du gouvernement lui signale qu’elle doit faire son rappel de vaccination. Arrivée à la fac où elle va passer un partiel, elle positionne le smartphone face à son visage pour activer la reconnaissance biométrique, ce qui génère un QR code que l’examinatrice souriante flashe pour l’identifier. Un peu plus tard, consultation chez le médecin : du même geste fluide, Lucie scanne son visage et lui tend un QR code qu’il reconnaît avec son écran avant d’ouvrir son dossier médical. Puis, dans le taxi qui la ramène chez elle, elle commande un passeport, là aussi en s’identifiant par reconnaissance faciale, puis loue une voiture en Australie en prévision d’un voyage. Le soir venu, à la porte d’un bar où elle rejoint ses amis, elle tend aimablement son smartphone au vigile qui flashe un QR code prouvant qu’elle a l’âge d’entrer.

Vous venez de voir une publicité du groupe Thalès pour son Digital Identity Wallet : un « portefeuille d’identité numérique », c’est-à-dire une sorte de passe sanitaire étendu à toutes les démarches de la vie quotidienne, assorti d’un dispositif de reconnaissance biométrique pour empêcher la fraude. On pourrait y voir une version du film Bienvenue à Gattaca [1] auquel il ne manquerait que le profilage génétique ; un cauchemar totalitaire dans lequel toute relation de confiance et de solidarité est rendue impossible par des procédures de validation contrôlées par une administration écrasante. Eh bien, pas du tout.

Le Digital Identity Wallet est « le meilleur ami de Lucie », nous dit Thalès, car c’est un outil de liberté qui protège sa vie privée. Il « offre aux citoyens un contrôle total sur leurs données personnelles, avec la liberté de décider quelles informations ils partagent, quand et avec qui ils souhaitent les partager ». Par exemple, à l’entrée du bar, Lucie a pu générer un QR code qui ne révèle que son âge, et aucune autre information personnelle. En d’autres termes, elle partage sa vie entière avec le groupe Thalès et ses partenaires (dont le gouvernement), mais elle ne lâchera rien au vigile.

QR code : toujours sous l’œil de l’État

Ce produit qui nous concerne tous très intimement a valu à Thalès le prix 2019 de « l’entreprise de l’année » par le cabinet Frost & Sullivan, qui relève avec appréciation l’une de ses originalités : « En cas de suspension d’un droit de l’individu pour quelque raison que ce soit, le gouvernement peut l’invalider en temps réel sur la plateforme » [2]. On peut donc désactiver à distance les moyens de paiement, la couverture santé ou le permis de conduire d’un citoyen. Une fonctionnalité dans l’air du temps : la même mesure était préconisée par les sénateurs de la commission prospective en juin 2021 dans la description de leur futur dispositif de crise sanitaire où, « dans un cas extrême, les données médicales d’un individu positif pourraient être croisées avec ses données de géolocalisation, et en cas de violation de sa quarantaine, conduire à une information des forces de l’ordre, ou, par exemple, à une désactivation de ses moyens de paiement. » [3]

Le portefeuille d’identité numérique sur les rails en Europe

On pense à d’autres cas extrêmes : par exemple pour neutraliser les militants susceptibles de se déplacer le jour d’une action pour le climat ou d’un appel à la grève. C’est d’autant plus facilement imaginable qu’en mai 2021, Thalès a fusionné avec l’entreprise Atos pour créer Athea, le champion européen du traitement de données massives et de l’intelligence artificielle pour les secteurs de la défense, du renseignement et de la sécurité intérieure.

Par pure coïncidence, il se trouve qu’en juin 2021, la Commission européenne a acté par la voix de Thierry Breton, commissaire au Marché intérieur, la création d’un Digital Identity Wallet pour tous les Européens. D’ici septembre 2022, les États membres devront en avoir établi les procédures techniques pour lancer des expériences pilotes. Non seulement cette création porte le même nom que le produit de Thalès, mais elle repose, tout aussi étrangement, sur le même argumentaire : « Le portefeuille d’identité numérique permettra aux citoyens de choisir quelles informations d’identité ils partagent avec des tiers, et d’en garder le contrôle [4]. »

Pour l’illustrer, la Commission a choisi un exemple : « Myra fait la queue devant une boîte de nuit et le vigile lui demande ses papiers. Au lieu de présenter sa carte d’identité, elle utilise son portefeuille d’identité numérique européen. Comme Myra peut choisir d’utiliser son portefeuille uniquement pour confirmer son âge, elle n’a pas eu besoin de partager d’autres informations personnelles avec le vigile. » Tiens ! Ça ne vous rappelle pas la soirée de l’autre fois, au bar, avec Lucie ?

Le fait que Thierry Breton ait quitté son poste de PDG du groupe Atos en 2019 pour devenir commissaire européen n’a probablement aucun rapport avec cette troublante coïncidence. On ne voit pas pourquoi il aurait avantagé ni Atos ni Thalès, principal groupe industriel français de sécurité. Et rien de tout ceci ne rappelle la récente enquête de Mediapart dans laquelle on apprend qu’une taupe de Thalès aurait infiltré l’ONU avec la complicité du gouvernement français pour orienter et décrocher les marchés d’équipement électronique des missions de l’organisation internationale.

Mais ce n’est peut-être pas le plus important. L’important est que nous soyons en train d’oublier ce que signifie la liberté. Une armée d’analystes et de communicants au service des grandes entreprises et des administrations s’y emploie chaque jour, en nous persuadant que la liberté est un sujet très technique qui concerne les modalités de stockage de nos données personnelles, et que dans ce domaine, Thalès est plus sûr que Facebook.

Scanner son visage pour aller au bar

Tout comme le « sentiment de la nature » perdure alors que la biodiversité s’effondre, le « sentiment de liberté » demeure, on peut l’éprouver entre deux portiques, mais cela n’enlève rien au fait que la liberté elle-même soit en train de disparaître. Après quelques mois, Lucie ne prête probablement plus attention au fait d’avoir dû scanner son visage pour aller au bar, elle pense à la soirée avec les amis. Elle ne voit pas les nouvelles bornes d’identification, pas plus que nous ne voyons les antennes relais quand nous traversons le paysage. Nous oublions que le monde pourrait être très différent, et qu’il l’a été. Il y a trente ans, presque personne n’avait de téléphone portable. « J’ai vécu à une époque, écrit George Bernanos en 1944 [5où n’importe quel honnête homme pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille. »

Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ?
Combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines. 
Flickr / CC BY-SA 2.0 / Cory Doctorow

Dans un an ou deux, quand dégainer un passe sera devenu un geste instinctif, on y adjoindra sans doute un portefeuille d’identité numérique biométrique pour parfaire le contrôle.

Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ? D’abord, combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines, qui débouche nécessairement sur l’identification électronique. Créer des espaces alternatifs qui s’y soustraient (pour s’entraîner à la liberté). Quant à moi, le passe sanitaire m’a convaincue de ne plus avoir de smartphone. C’est une manière à la fois dérisoire et utile de ralentir la machine. Thalès, pour défendre son Digital Identity Wallet, argue que « 90 % des utilisateurs ont leur smartphone à portée de la main à tout moment ». Ce chiffre ne correspond pas au taux d’équipement en France, qui est de 84 %. En tous cas, il deviendrait beaucoup plus compliqué pour l’État et les entreprises d’imposer la biométrie, les QR code et tout ce qui s’ensuit si un bon quart de la population ne disposait pas de cet objet.




PCB : « L’expansion de la science, aujourd’hui, est une voie qui mène à l’autodestruction de l’humanité »

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)



Le Patriarcat Catholique Byzantin exerce le ministère apostolique et prophétique. Son devoir est d’exprimer la position de Dieu Lui-même sur les dernières connaissances scientifiques.

Citation des médias : 

« Les chercheurs de Columbia Engineering ont construit le plus petit système de puce au monde, consommant un volume total de moins de 0,1 mm3. Ce système n’est visible qu’au microscope. L’équipe a utilisé des ultrasons pour alimenter et communiquer sans fil avec l’appareil. »

(https://www.engineering.columbia.edu/press-releases/shepard-injectable-chips-monitor-body-processes,
Application of a sub–0.1-mm3 implantable mote for in vivo real-time wireless temperature sensingApplication of a sub–0.1-mm3 implantable mote for in vivo real-time wire…This paper presents a sub–0.1-mm3, fully integrated, injectable ultrasonic wireless device for biomedical temper…)

Commentaire : Les inventeurs justifient cette micropuce injectable par une utilisation en santé. Malheureusement, les soins de santé d’aujourd’hui ne se préoccupent pas de la santé des personnes, comme l’a montré la pseudo-pandémie actuelle, mais poursuivent plutôt la vaccination et le génocide. La puce est le moyen le plus efficace d’asservir mentalement l’humanité. La Bible met en garde de toute urgence contre la réception d’une puce, parlant de la menace du lac de feu !

La question morale et éthique, la question du salut de l’âme, est donc ici une priorité. En conséquence, la science doit être corrigée et protégée contre les abus visant l’auto-génocide de l’humanité. L’utilisation de la recherche scientifique doit être précisément définie par la législation. On ne peut pas être aveuglé par une justification positive d’un avantage apparent sans entendre une voix d’avertissement indiquant un terrible danger d’abus de masse.

L’idéologie qui est actuellement au pouvoir vise à réduire l’humanité de six milliards de personnes. Les phrases concernant les avantages des puces électroniques dans les soins de santé et la vaccination expérimentale, constituent une fraude mondiale. Il est plus que clair que cette puce ne servira pas non plus pour la santé, mais au contraire, pour l’asservissement de l’humanité et son auto-génocide. Dans quelles mains la vaccination expérimentale se trouve-t-elle ? Elle se trouve entre les mains d’élites satanistes qui ne cachent pas le plan d’asservissement de masse des personnes dans des camps électroniques, et leur annihilation ultérieure.

D’un point de vue religieux et spirituel, la puce est un instrument utilisé pour jeter les âmes en masse dans la damnation éternelle, dans l’étang de feu. L’ensemble de ce programme criminel doit être mis en lumière, et l’abus des puces électroniques clairement exposé. Les armes de destruction massive sont utilisées pour la destruction physique, tandis que le puçage est également destiné à la destruction éternelle des âmes. Comment ? La puce prive une personne de la chose la plus importante, à savoir sa volonté et sa liberté. Cela fait d’elle un robot biologique entièrement contrôlable. C’est un crime contre l’humanité, et une rébellion contre Dieu.

Citation des médias : 

« Ce système de puce a été testé sur des souris de laboratoire. Il a été utilisé pour la neurostimulation. Jusqu’à sept de ces systèmes ont été injectés dans le tissu musculaire de la souris à la fois. »

Commentaire : Ce système de puce a été utilisé pour la neurostimulation chez la souris. Cela signifie qu’il devient un outil pour l’asservissement intérieur de l’âme chez l’être humain. Une personne cesse d’avoir la liberté de pensée, d’émotion, de mouvement. Si sept de ces micropuces ont été injectées dans un petit muscle d’une souris en même temps, les personnes peuvent être pucées au cours de toute procédure médicale, par ex. avec une injection chez le dentiste, à leur insu. Il est anormalement facile d’en abuser.

Le Patriarcat alerte donc les avocats, les politiques, les experts militaires, les travailleurs culturels, les militants civiques et toutes les personnes de bonne volonté pour qu’ils soient conscients des graves dangers des puces électroniques ainsi que de leur responsabilité, et afin d’y répondre de manière adéquate. Une protection législative et autre doit être fournie. L’abus doit être sanctionné par les peines les plus sévères tant qu’il en est temps.

Les criminels qui dirigent à présent un gouvernement fantôme tout autour du monde, préparent l’esclavage et le génocide de l’humanité. Cela a été accompli par des confinements et l’application massive de vaccins expérimentaux et mortellement dangereux. Si ces satanistes de l’élite ne sont pas traduits devant un tribunal international dans les plus brefs délais, ils puceront l’humanité sous couvert de soins de santé, et la mèneront ainsi non seulement à la destruction temporelle, mais aussi éternelle !

Le rapport sur la micropuce a déjà été publié dans la presse grand public, donc une sérieuse question se pose de savoir si cette micropuce n’a pas été utilisée secrètement dans le vaccin expérimental contre le Covid-19 beaucoup plus tôt.

Le système de la fausse idéologie contemporaine a paralysé la raison et la conscience, et a nourri la source du mal dans le cœur humain, appelée péché originel. Si les contraintes morales et les lois de Dieu sont écartées, cette source de mal paralyse l’esprit et soumet le côté physique aux instincts les plus bas. L’homme devient esclave du mensonge et du mal. Toutes les guerres, toutes les atrocités, tous les crimes et meurtres les plus odieux, venaient de cette source empoisonnée du mal chez l’être humain. À un certain stade, l’homme devient un médium de Satan, c’est-à-dire une personne possédée par un démon. Et cette possession démoniaque mondiale est aujourd’hui le but du diable et de ses serviteurs qui ont usurpé le pouvoir sur l’humanité.

Personne ne peut vaincre ce système criminel et diabolique par le pouvoir humain. Il faut donc se tourner vers Dieu, confesser avec repentance ses péchés, surtout si  vous n’avez pas cherché la vérité, écouté et cru aux mensonges, et été systématiquement trompé par les grands médias. Vous devez à présent trouver au moins une heure par jour pour votre âme et la communion avec Dieu dans la prière intérieure. Dieu sauvera alors Sa nation ! Par conséquent, faites la promesse à Dieu aujourd’hui de consacrer une heure par jour à la prière !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires


PCB : Critique du transhumanisme

Le transhumanisme (TH) est une idéologie qui prétend que l’homme (au sens biologique du terme) a déjà atteint le sommet de l’évolution, et pourtant il est mauvais. Il dit donc qu’il est nécessaire d’améliorer ses « capacités mentales et physiques, d’éliminer la souffrance, la maladie, le vieillissement et même la mort » grâce aux nano et bio technologies, aux technologies de l’information et aux technologies cognitives (technologies NBIC).

Commentaire : L’idéologie du TH révèle qu’il n’est pas seulement évolutionniste, mais aussi utopique. Dans le domaine de la technologie, le développement a progressé, mais l’homme lui-même reste également pécheur et mortel. Il peut devenir comme un ange ou un démon, selon sa pensée et la façon dont il agit en fonction de celle-ci – faisant le bien ou le mal. L’homme a le libre-arbitre. S’il devient accro à l’alcool, à la perversion sexuelle, aux drogues ou aux sectes destructrices, il n’est plus libre mais est devenu un esclave. S’il reçoit une puce, il est complètement privé de son libre arbitre, il cesse d’être un humain et devient un robot biologique, un transhumain et finalement un soi-disant surhomme – un démon incarné.

THLes transhumanistes appellent cette soi-disant version améliorée de l’homme un post-humain ou un surhomme.

Commentaire : Nous avons déjà rencontré cela dans l’idéologie fasciste de Nietzsche sur le surhomme. Aujourd’hui, nous savons quels fruits cela a porté. L’idéologie du TH peut donc être qualifiée d’idéologie néo-fasciste.

THOn dit que ce post-humain sera plus intelligent que n’importe quel génie humain, et qu’il aura une bien meilleure mémoire.

Commentaire : le TH ignore la véritable nature de l’homme. L’homme n’est pas seulement doté de la raison ou de la mémoire, mais aussi de la conscience. L’intelligence en elle-même, placée de plus sous la domination d’un homme mauvais et sans conscience, est très dangereuse. Nous avons des criminels très intelligents, dont l’intelligence a littéralement fait d’eux des meurtriers de masse. Et, last but not least, des êtres immatériels ayant un degré d’intelligence plus élevé sont appelés des démons.

THLe corps post-humain ne sera pas sensible aux maladies et ne sera pas altéré par le vieillissement. Selon ce point de vue, les post-humains pourront même abandonner leur propre corps et vivre (seulement leur cerveau) dans des réseaux informatiques géants ultra-rapides.

Commentaire : Sur la question de la souffrance, de la maladie et de la mort, ainsi que sur la question de la vie éternelle, le christianisme possède un enseignement clair qui fournit une réponse adéquate et complète. Ici, la raison trouve la vérité, et le désir profond du cœur humain d’atteindre le bonheur véritable et éternel est accompli. Un chrétien connaît le sens et le but de la vie humaine. Par conséquent, il cherche à vaincre le mal en lui-même et sert Dieu en gardant Ses commandements. Il garde ainsi aussi le deuxième commandement de l’amour du prochain. La règle morale de base est : « Tout ce que vous voulez que les autres vous fassent, faites-le aussi ». (cf. Mt 7,12)

THLes transhumanistes croient qu’un post-humain existera, ayant un corps tellement modifié qu’il ne sera plus appelé un être humain, mais plutôt une machine humaine.

Commentaire : Quel idéal corrompu et bas ! Transformer une personne en une espèce d’appareil ! Il est difficile d’identifier exactement si un tel post-humain sera un robot biologique, un démon incarné, ou les deux.

TH : En plus de l’intelligence artificielle (qui introduit une puce à régulation externe), il est également prévu d’apporter des modifications au corps humain en y introduisant des nanotechnologies ou des biotechnologies étrangères (produits génétiquement modifiés ou transgènes), ou des produits psychopharmacologiques (médicaments), qui s’appuieraient sur les technologies informatiques.

Commentaire : Ces changements planifiés et irréversibles, qui doivent être obtenus en interférant avec le corps humain, sont des crimes de masse contre l’humanité ! Aujourd’hui, le moyen d’y parvenir passe principalement par la vaccination à ARN messager.

TH : Atteindre l’immortalité implique deux méthodes. La première fait appel à la biotechnologie – les cellules souches, le clonage, la cryogénisation (congélation des corps pour une renaissance future). L’autre méthode d’immortalité utilise l’information et la nanotechnologie dans le but de ce qu’on appelle le « transfert d’esprit », dans lequel le cerveau humain est complètement copié sur un ordinateur afin de créer des doublons humains.

Commentaire : Les méthodes du  TH pour atteindre la soi-disant immortalité sont vraiment ridicules. Seul Dieu, le Créateur de l’homme, peut ressusciter l’homme et lui donner la vie éternelle dans un bonheur parfait. Il est le Créateur du monde, de tout ce qui est visible et invisible (Credo). La cryogénisation et toutes les autres technologies permettant d’atteindre l’immortalité, sont une grande tromperie.

TH : Le processus même de transformation d’humain à post-humain sera développé selon le schéma humain/transhumain/post-humain. Un transhumain est défini comme un être humain de passage, une créature qui évolue vers le stade de post-humain : un descendant de l’homme modifié à un point tel, qu’il n’est plus humain.

Commentaire : Ces pensées malsaines, ces tentatives et ces efforts visant à « modifier » l’être humain à un point tel qu’il ne soit plus un humain, constituent des crimes contre l’humanité qui poussent au génocide mondial.

TH : L’agenda post-humain :

1) Vivre éternellement,

2) Vivre aux dépens des autres,

3) Ne pas avoir d’enfants.

Commentaire : Vivre aux dépens des autres est un égoïsme amoral. Ne pas avoir d’enfants signifie une fin douloureuse au bonheur familial et à la vie humaine sur notre planète. Un post-humain sans conscience, devenu médium du mal, vivra éternellement en enfer !

TH : Transhumanisme et vaccination : Le but de la vaccination est un changement massif des caractéristiques génétiques de la planète entière, ainsi que le puçage (digitalisation de l’homme).

Commentaire : Nous vivons actuellement cette pression de masse par la vaccination forcée à ARN messager. La résistance signifie un héroïsme proche du martyre et de la mort.

TH : Aujourd’hui, le TH est délibérément idéalisé à travers le cinéma.

Commentaire : Des films sont promus, présentant de manière positive et populaire à la fois le TH et les phénomènes destructeurs connexes tels que le genre et l’idéologie réductionniste.

Il y a une pression systématique et sournoise visant à abolir l’institution de la famille, l’institution de l’éducation et de la médecine, et à abolir l’État. En essence, le transhumanisme poursuit un contrôle mondial de tous les peuples.

THIntelligence artificielle : L’objectif primordial du TH consiste à créer une intelligence artificielle qui devrait surpasser le cerveau humain.

Commentaire : Cette intelligence artificielle, placée entre les mains de personnes sans conscience, entre les mains des médiums du diable, conduira l’individu et l’humanité à un auto-génocide à la fois temporel et éternel.

THTranshumanisme et société numérique : effort qui vise à changer une personne en un être numérique, et vice-versa, à changer un robot en une personne.

Commentaire : Ce sont vraiment des inspirations démoniaques ! Cette utopie détourne complètement l’attention de la réalité et du sens de la vie humaine. Le but de la vie humaine est la vie éternelle. Le moyen pour y parvenir est la foi dans le Créateur et dans le Sauveur, et une vie menée selon une conscience claire, c’est-à-dire dans le respect des commandements de Dieu, dont le plus grand est l’amour de Dieu et du prochain.

Dernières pensées :

Il existe un plan visant à créer une éducation numérique, une médecine numérique, une économie numérique. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout ce qui existe sera aboli, et ce sera le début de l’ère du transhumanisme. Avec l’introduction du terme « numérique », tout semble exister virtuellement mais, au fond, tout est aboli.

Le vrai christianisme, la moralité et les institutions sociales traditionnelles, telles que l’institution de la famille, l’école, l’université, la médecine et, finalement, l’État lui-même, sont considérés comme étant les principaux obstacles à l’introduction de l’idéologie du TH.

Un autre obstacle à l’introduction du transhumanisme sont les gens eux-mêmes, il faut donc les réduire en nombre. Par conséquent, des théories à propos de la surpopulation de la planète se forment, et toutes les mesures visant à réduire (tuer) la population sont justifiées.

Le transhumanisme puise sa spiritualité démoniaque dans l’idéologie du New Age.

Tant les idéologues du transhumanisme que les enseignants de la nouvelle ère défendent l’idée de l’auto-déification.

Julian Huxley met l’accent sur le soi-disant développement spirituel – en fait, il s’agit d’une  méditation négative à travers laquelle le contact est établi avec des démons. Il dit : « L’homme ou la femme ordinaire peut maîtriser la technique de la danse ou du tennis, alors pourquoi pas la (pseudo) extase mystique ou la (pseudo) paix spirituelle ? Huxley était un membre permanent de l’ordre maçonnique.

Terence McKenna (1946-2000) conseillait à ses disciples d’utiliser régulièrement diverses drogues psychédéliques pour traverser sans préjugés la période d’un changement induit dans la conscience humaine pendant le saut évolutif et psychologique. Il décéda à l’âge de 54 ans, bien qu’il ait cherché à atteindre l’immortalité terrestre.

Tentatives visant à créer des surhumains dans l’Allemagne fasciste :

Des milliers d’expériences furent menées, dont les victimes n’étaient pas seulement des hommes – des prisonniers, mais aussi des femmes et même des enfants. Au cours d’une expérience, Mengele essaya de changer la couleur des yeux de 36 enfants. Il leur injecta du colorant dans les yeux, ce qui entraîna une cécité et une douleur insupportable. Après cette expérience, Mengele envoya ces enfants à la chambre à gaz. Le procès de Nuremberg a condamné toutes ces tentatives.

Commentaire : Aujourd’hui, des crimes de masse contre l’humanité sont officiellement programmés ! La vaccination forcée par ARN messager y joue un rôle clé. Les chambres à gaz seront remplacées par des crématoires officiels et par des charniers. Le transhumanisme (TH) est une idéologie sataniste, et qui conduit à l’auto-génocide de l’humanité. Le TH doit être radicalement condamné par le public du monde entier, avant de pouvoir porter ses fruits désastreux !

Élaboré par

+ Méthode,

+ Timothée,




La Pologne rejoint les pays rendant obligatoires les « vaccins » contre le COVID-19

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Le pays à majorité catholique « suit les traces de l’Allemagne et de l’Autriche » et impose le « vaccin » anti-Covid à différentes catégories professionnelles, notamment aux soignants, aux pompiers, aux policiers, aux militaires et aux enseignants, a annoncé le ministre polonais de la Santé.

Le ministre de la Santé, Adam Niedzielski, a déclaré mardi lors d’une conférence de presse que tous les enseignants, les professionnels de la santé et les professions « en première ligne », y compris les policiers et les pompiers, devaient être « complètement vaccinés » d’ici le 1er mars pour conserver leur emploi. L’obligation s’appliquera également aux militaires.

Le ministre de la Santé a ajouté qu’à partir du 15 décembre, les églises, les hôtels, les restaurants et les théâtres devront réduire leur capacité d’accueil à 30 %. Les transports publics seront limités à 75 % de leur capacité et les discothèques seront entièrement fermées.

Les écoles polonaises passeront également à l’apprentissage en ligne.

Le pouvoir en Pologne envisage même de permettre aux employeurs d’accéder aux résultats des tests COVID-19 des travailleurs. Niedzielski a déclaré mardi que « l’employeur – conformément à cette nouvelle approche – aura le droit d’attendre que le résultat du test soit présenté par l’employé – précisément afin de créer un environnement de travail sûr ».

Toute personne qui partage une maison avec une personne testée positive au COVID-19 sera soumise à des tests obligatoires à partir de la semaine prochaine, quel que soit son statut COVID.

Bien que plus de la moitié des Polonais soient « complètement vaccinés », la Pologne, comme de nombreux pays européens, signale des niveaux de cas presque record, comparables à la même période l’année dernière, avant même le début du déploiement du vaccin.

« Il n’y a aucun signe d’une nette tendance à la baisse », a déclaré Niedzielski, ajoutant qu’ »il y a un risque que la mutation Omicron apparaisse ». « Ces deux facteurs nous obligent à prendre des mesures décisives », a-t-il déclaré.

Pourtant, aucun décès dans le monde n’a encore été attribué à Omicron, en date de vendredi. Les premiers rapports indiquent que le variant est moins grave que les autres formes de coronavirus.

Le mois dernier, l’Autriche est devenue le premier pays occidental à imposer le « vaccin » anti-Covid à tous les citoyens âgés de 14 ans et plus. La Grèce a annoncé mardi dernier des plans pour une obligation similaire pour les seniors.

[Note de Joseph : plus le temps passe et plus le caractère prophétique de l’Apocalypse semble se démontrer, auquel cas rien n’empêchera la finalisation du règne de la Bête — le Nouvel Ordre Mondial — puis sa rapide destruction lors d’un événement d’ordre surnaturel ou aliénigène. En dehors de cela, aucune solution ne paraît pour l’instant fonctionner.]




La meilleure arme de la Russie n’est pas une arme

[Source : LA CAUSE DU PEUPLE]

Par Dmitry Orlov

Une prise de conscience finalement très saine, mais entre-temps très désagréable, est en train de naître progressivement en Occident – une prise de conscience tout simplement choquante, qui modifie fondamentalement leur image du monde : plus l’ouragan des transformations de l’empire qui fait rage là-bas est fort, plus la Russie devient attrayante pour des centaines de millions d’Européens et d’Américains. Quelle est l’arme la plus puissante de la Russie ? Est-elle nucléaire ? Est-elle hypersonique (ou « hydrosonique », comme le dit Trump) ? Cybermagique, peut-être ? Non, l’arme la plus puissante de la Russie, ce sont ses valeurs. Et elles deviennent chaque jour plus fortes et plus dangereuses, en proportion directe de l’intensification du feu du multiculturalisme et du politiquement correct qui fait rage en Europe et en Amérique.

Un article récent de The National Interest a résumé divers auteurs américains qui affirment que le Kremlin développe progressivement sa stratégie de soft power et l’utilise pour combattre avec succès l’Occident, le diviser et le miner de l’intérieur. Quelle est la cause de leur hystérie paranoïaque ? Se pourrait-il qu’ils aient accidentellement découvert qui est leur véritable ennemi, et qu’il s’agisse… d’eux-mêmes ?

La manière la plus simple et la plus efficace de mettre hors jeu un adversaire géopolitique est de lui imposer un système de valeurs qui divisera sa société et conduira la partie la plus active de sa population à occuper les bâtiments publics, à ériger des barricades et à soutenir un prétendant au trône qui recevra immédiatement le soutien et la reconnaissance des ennemis du pays. C’est ainsi que se sont déroulées toutes les révolutions de couleur de la fin du 20e et du début du 21e siècle : diffuser de la propagande, recruter des activistes, les aider à s’organiser, leur fournir un soutien financier clandestin, puis à un moment donné, cette masse humaine, confiante dans sa force et sa droiture, franchit les barrières policières et entre dans l’histoire en renversant un petit tyran faux-démocrate, ouvrant la voie à l’installation du prochain petit tyran faux-démocrate, le pays devenant de plus en plus faible, pauvre et désordonné à chaque itération. Le processus commence par la conversion d’une partie importante de la population cible aux « valeurs humaines universelles » par le biais d’un prosélytisme séculaire de la « seule vraie foi démocratique ».

Dans la mesure où l’on peut appeler cela un jeu, l’Occident y avait une longueur d’avance. Les outils pour combattre « l’empire du mal » ont été affinés pendant un demi-siècle. Au cours de la guerre froide, des stations de radio, des fondations, des journaux et des magazines, des partis et des communautés, des maisons d’édition et des chaînes de télévision ont été créés. Presque tous ont ensuite été réaffectés de la lutte contre l’URSS à la lutte contre la Russie. L’effondrement de l’URSS, pensait-on bêtement, n’était qu’un premier pas vers la destruction de la Russie et la ruée vers son pétrole brut, son gaz naturel, ses minerais métalliques, ses terres agricoles fertiles et ses autres trésors naturels. Et puis, juste à temps, de nouvelles formes d’influence basées sur Internet sont apparues, entièrement contrôlées depuis l’Amérique. Pendant un certain temps, la combinaison d’une énorme avance en savoir faire et de technologies Internet servant d’armes semblait irrattrapable.

Mais quelque chose de miraculeux s’est alors produit.

Pendant longtemps, l’URSS a lutté avec acharnement pour propager les idées socialistes aux États-Unis et en Europe occidentale, mais en vain. Aux États-Unis, depuis leur création en tant que colonie pirate par excellence, des siècles de conditionnement à penser que les bonnes personnes sont bonnes parce qu’elles ont de bonnes quantités de primes et de butins dans leurs coffres ont rendu les gens insensibles aux valeurs socialistes. Pendant ce temps, l’Europe – dans sa moitié occidentale après la défaite du nazisme et dans sa partie orientale après la disparition du communisme soviétique – a été réduite à des satrapies où la propagande américaine règne en maître et dépeint sans cesse la Russie comme arriérée, corrompue, despotique et généralement mauvaise. Les émissions de Russia Today et les efforts des trolls russes sur Internet ne parviendraient jamais à reprogrammer la conscience d’un Occidental. Mais soudain, la Russie a reçu la récompense suprême, lui conférant un attrait, un charme et une influence dont personne n’aurait pu rêver.

Ce qui a soudainement transformé la situation, c’est la folie de masse dans laquelle l’Occident a été plongé. Cette folie collective a détruit une grande partie de ce qui est infiniment cher à une partie très importante, voire écrasante, de la civilisation occidentale. Ces « conservateurs » conditionnels – les gens normaux qui ne veulent pas être forcés d’avoir honte de leur couleur de peau, de leur hétérosexualité, du respect de la religion, de la moralité généralement acceptée, etc. sont maintenant humiliés, discriminés et persécutés par la toute nouvelle génération de gauchistes toxiques.

Voici une belle citation d’un article du Daily Beast : « …Le Kremlin a l’intention d’attirer les convertis occidentaux avec… le sectarisme – faisant de la Russie le pays de l’incorrection politique ultime, la capitale mondiale de l’anti-Wokisme. » Peu importe l’affirmation fallacieuse selon laquelle le Kremlin a l’intention de rendre la Russie attrayante ; cela revient à reprocher à une candidate à un concours de beauté d’être belle. Peu importe l’allégation fallacieuse de sectarisme lorsqu’il s’agit de s’opposer à la dysphorie de genre et aux autres symptômes psychiatriques de l’Occident ; il existe une contre-attestation parfaitement valable d’un trouble psychiatrique à l’échelle de la société qui est largement étayée par la science biologique. L’important, c’est que le monde a basculé dans son miroir : les États-Unis ne sont plus « le pays de la liberté et la patrie des braves », c’est désormais la Russie, aux yeux des Américains eux-mêmes ! Ce n’est plus Ivan qui soupire d’envie en rêvant des blue-jeans américains, du Coca-Cola et du rock-and-roll ; c’est John qui est follement jaloux de l’absence de racisme noir contre blanc, de programmes scolaires abrutissants, d’accusations risibles mais mortelles de harcèlement sexuel et d’un arc-en-ciel de toilettes publiques.

La Russie elle-même n’aurait jamais pu atteindre un tel niveau d’attractivité en utilisant simplement sa machine de propagande (une chaîne et demie de télévision). Elle est apparue d’elle-même lorsque les Européens et les Américains traditionnels (c’est-à-dire les chrétiens blancs hétérosexuels) ont commencé à comparer le Bedlam environnant avec le naturel et l’ordre de la Russie. Et c’est alors qu’est né spontanément en eux un sentiment très simple : au diable les griefs du passé, c’est l’avenir que nous devons rendre vivable pour nous-mêmes et nos enfants. Dans le passé, la Russie était un adversaire, mais ce passé a pris fin il y a trente ans, et dans le présent, la Russie est en sécurité, en sûreté et plus heureuse que jamais, tandis que nous brûlons en enfer et ne savons pas quoi faire. Mais au moins, nous pouvons citer la Russie comme exemple positif.

Il faut également comprendre qu’il n’y a pas d’autres candidats pour ce rôle. Il n’y a pas de folie LGBT, de manie du harcèlement sexuel ou de racisme inversé violent en Corée du Nord, ou en Iran, ou en Arabie Saoudite, ou en Chine, mais ces exemples sont tous beaucoup trop exotiques et viennent avec leur propre bagage toxique. Ce dont l’homme hétérosexuel conservateur chrétien occidental persécuté a besoin, c’est d’un pays européen normal, peuplé de Blancs, où il fait bon vivre, mais sans aucune des choses qu’il déteste. Quelles autres options y a-t-il ? Ce n’est pas une compétition s’il n’y a qu’un seul concurrent.

Et c’est ainsi que nous en sommes arrivés au point où la Russie – très sérieusement et sans aucune ironie ni fanfaronnade – est devenue la lumière du monde, la ville illuminée située sur la colline, un phare d’espoir, un bastion de droiture et d’esprit libre et le symbole d’un monde vraiment libre. Il s’agit d’une transformation presque magique : elle a pu gagner ce statut exalté sans même jouer le jeu. Elle a fait le strict minimum pour défendre sa position et empêcher une petite faction de traîtres et d’imbéciles contrôlés par l’étranger de détruire le pays. Leur monde est resté un monde sain d’hommes courageux et masculins, de femmes séduisantes et féminines et de leurs enfants supérieurs à la moyenne et sans confusion de genre. Dans leur monde, les récompenses et les privilèges sont basés sur le mérite, les politiciens et les hommes d’affaires corrompus passent des années en prison, et le respect de l’éthique traditionnelle et de la foi religieuse est obligatoire. Dans leur monde, toute l’histoire leur appartient définitivement : rien ne sera jamais oublié, falsifié ou effacé – plus de mille ans d’histoire, y compris la vie sous la Horde d’or, le servage, les grandes victoires de l’Empire russe, la terreur révolutionnaire, la collectivisation, les purges de Staline, la défaite du nazisme, la destruction du colonialisme occidental en Afrique et en Asie, la conquête de l’espace, l’humiliation nationale des régimes fantoches de Gorbatchev et d’Eltsine et la renaissance de la Russie sous Poutine.

C’est un monde auquel de plus en plus d’Occidentaux veulent échapper, laissant derrière eux un paysage marqué par le vandalisme gauchiste et la repentance forcée pour le crime d’être d’une certaine race ou d’oser exhaler du dioxyde de carbone. Ils ne veulent pas se soumettre à l’inquisition impie qui distribue des punitions à ceux qui ne sont pas enthousiastes et ne soutiennent pas la perversité sexuelle, la dysphorie de genre, la destruction des familles traditionnelles et le lavage de cerveau des jeunes. Même s’ils ne peuvent pas s’échapper, ils peuvent se consoler en sachant qu’une réalité alternative plus normale et moins endommagée existe, et ils peuvent secrètement sympathiser avec elle.

Ce qui rend cette transformation particulièrement remarquable, c’est qu’il y a dix ans, le soft power de la Russie existait à peine. À l’époque, une petite mais bruyante opposition manifestait dans le centre de Moscou en scandant « Il nous faut une autre Russie ». Mais aujourd’hui, des centaines de millions de Français, d’Allemands, d’Américains et d’autres Occidentaux scandent ce qui revient à dire « Nous avons besoin d’un autre Occident ». À la grande horreur de leurs élites politiques, ils regardent la Russie – le pays du politiquement incorrect extrême – avec nostalgie, plaisir et espoir. Ces gens s’organisent en partis, réunissant des personnes partageant les mêmes idées en bien plus grand nombre que l’Internationale communiste n’a jamais pu le faire. Dans de nombreux pays, ils exercent déjà une influence très importante sur l’agenda politique. Plus la pandémie de folie d’épouvante fera rage, plus leur influence sera grande. Lorsque cette conflagration de folie de masse s’éteindra enfin, c’est la Russie qui disposera du stock de semences civilisationnelles avec lequel elle pourra fertiliser à nouveau le paysage culturel dévasté de l’Occident.

En attendant, ce siècle s’annonce déjà comme un siècle russe. Ce niveau de puissance douce dépasse les rêves les plus fous de quiconque ; c’est la maîtrise du judo de Poutine portée à son énième niveau. Au judo, on dirige la force de l’adversaire contre lui ; ici, l’adversaire dirige sa propre force contre lui-même, tandis que le maître du judo se contente d’observer avec recul, en approuvant d’un signe de tête. Dans chaque pays que les libéraux tentent de reformater à leur goût, la Russie gagne automatiquement des millions de fans, ce qui fait que toute éventuelle confrontation géopolitique avec la Russie passe au second plan devant la force neutralisante d’une grande communauté de valeurs traditionnelles. En restant passive et en ne risquant rien, la Russie a gagné une myriade de moyens pour retourner la situation géopolitique à son avantage.

Pendant très longtemps, l’Occident a monopolisé le discours dominant, mais maintenant la Russie en a pris le contrôle. Inutile de dire que cela ne plaît pas à ceux qui ont été habitués à une domination incontestée. Ils réagissent de manière hystérique : en lançant des accusations et des insultes sans fondement, en mettant en scène des provocations, en imposant des sanctions édentées mais autodestructrices… Ils sont prêts à tout pour retarder le moment où ils seront obligés d’admettre l’horrible vérité : ils se sont enfermés dans un asile de fous en enfer et ils ne peuvent plus en sortir. En attendant, tout ce que la Russie a à faire, c’est d’attendre patiemment que les feux de l’enfer les consument et s’éteignent d’eux-mêmes, car c’est toujours ainsi que cela se passe. La Russie doit ignorer leur agitation désespérée et leur menace d’Armageddon.

[Librement inspiré d’un texte de SKonst d’Aftershock publié sous le titre « Страна крайней политической некорректности»: как Россия обрела «мягкую силу» во всём мире]

Par Dmitry Orlov – Le 1er décembre 2021 – Source Club Orlov




Une nouvelle menace plane sur Notre-Dame de Paris : ce que l’incendie a épargné, le diocèse veut le détruire

[Source : La Tribune de l’Art (latribunedelart.com)]

Le 15 avril 2019, le monde découvrait, stupéfait et bouleversé, les images de Notre-Dame en feu. Alors que les décombres fumaient encore, des millions de personnes, de toutes nationalités, se sont spontanément mobilisés pour rassembler l’argent nécessaire à la restauration du monument. Près d’un milliard d’euros ont été ainsi réunis. Ces dons étaient autant de déclarations d’amour à la cathédrale Notre-Dame. Ils témoignaient ainsi de la confiance dans notre capacité à faire revivre ce sublime patrimoine artistique et spirituel.

Mais aujourd’hui, cette résurrection est gravement compromise par un projet d’aménagement de l’intérieur du monument. Le diocèse de Paris veut en effet profiter du chantier de restauration pour transformer l’intérieur de Notre-Dame en un projet qui en dénature entièrement le décor et l’espace liturgique. Il estime ainsi que les destructions de l’incendie sont l’occasion de transformer l’appréhension du monument par le visiteur, alors même que celui-ci s’est limité à la toiture et à la flèche et n’a rien détruit de patrimonial à l’intérieur.

Ces propositions de modifications affectent le mobilier, l’éclairage et la circulation. Les auteurs de ce projet cherchent à mettre en place un autre parcours, une autre expérience du monument, alors même que Notre-Dame offre déjà un parcours, qu’elle est déjà un discours. Pour ne prendre qu’un exemple, l’organisation conçue par Viollet-le-Duc repose sur un principe de gradation des espaces qui existait déjà à la fin du moyen-âge et qu’il a restauré. Les premières chapelles ont un décor sommaire pour permettre une montée progressive vers la splendeur du chœur. Et ainsi de suite. Tout fut savamment pensé et arbitré.

Or ce qu’imagine aujourd’hui le diocèse réduit à néant la conception patiemment élaborée par Viollet-le-Duc. Le projet prévoit l’installation de bancs amovibles, d’un éclairage changeant en fonction des saisons, de projections vidéo sur les murs, etc., autrement dit les mêmes « dispositifs de médiation » à la mode (et donc déjà terriblement démodés) que l’on trouve dans tous les projets culturels « immersifs » où bien souvent la niaiserie le dispute au kitsch.

Ce tragique incendie nous offre pourtant une chance exceptionnelle, une occasion absolument unique : la restauration du décor de Viollet-le-Duc. Nous sommes en effet en mesure de faire renaître un décor d’ensemble cohérent et d’une grande perfection formelle. L’architecte génial, soucieux de prolonger et d’achever le travail des bâtisseurs du moyen-âge, avait conçu une œuvre d’art totale, faisant se correspondre architecture et décor, peinture et sculpture, ébénisterie et orfèvrerie, vitraux et luminaires. Guidé par une vision très précise d’un idéal artistique et spirituel, il avait élaboré et mis en œuvre la cathédrale des cathédrales.

Respectons l’œuvre de Viollet-le-Duc, respectons le travail des artistes et des artisans qui ont œuvré pour nous offrir ce joyau, respectons tout simplement les principes patrimoniaux d’un monument historique. Ce chantier de restauration doit nous permettre de retrouver l’authenticité du lieu et de son expérience, en replaçant les bonnes œuvres aux bons endroits, dans une harmonie et une cohérence d’ensemble.

La France fera l’admiration de tous pour avoir su mener une restauration qui restituera au monde un monument sublime. Nos architectes, nos restaurateurs et tous les métiers d’art auront ainsi, selon les mots du président de la République, rendu Notre-Dame plus belle qu’avant l’incendie, c’est-à-dire aussi sublime qu’elle nous avait été léguée.

Jean-Claude Allard, Général (2S)
Pierre Arizzoli-Clémentel, directeur général honoraire du château et du domaine de Versailles et des Trianons, ancien chargé de mission pour l’histoire de l’art à l’Académie de France à Rome, Villa Médicis.
Gérard Audinet, conservateur général du Patrimoine
Pascal Avot, conseil en communication
Françoise Baligand, conservateur en chef honoraire du patrimoine en charge de la conservation du patrimoine religieux de la ville de Douai
Stéphane Bern, animateur de télévision, défenseur du patrimoine
Bernard Berthod, conservateur du Musée de Fourvière, consulteur émérite de la Commission pontificale pour les Biens culturels de l’Eglise
Sami Biasoni, Docteur en philosophie, Essayiste
Guillaume Bigot, Directeur Général, IPAG Business School
Françoise Boudon, historienne de l’architecture
Marion Boudon-Machuel, professeure en histoire de l’art moderne, Université de Tours/CESR
Michel Bouleau, magistrat administratif honoraire
Christophe Boutin, Professeur de droit public à l’Université de Caen
Jean-François Braunstein, Professeur de philosophie à l’Université Paris 1 Sorbonne
Jean-Marie Brohm, professeur émérite de sociologie à l’université Montpellier 3
Belinda Cannone, écrivain
Maria Teresa Caracciolo, chargée de recherche honoraire au CNRS, université de Lille 3, présidente de l’association des Cahiers d’Histoire de l’Art
Sébastien Celeri, architecte du patrimoine
Jean-Loup Champion, historien de l’art, éditeur, sculpteur
Élie Chouraqui, cinéaste
Maurice Culot, architecte, auteur, éditeur de livres d’architecture, Lauréat 2019 du prix d’architecture américain Driehaus
Sara Daniel, journaliste, écrivain
Antoine Daudré-Vignier, architecte D.P.L.G
Sophie Defrance, conservateur pour les collections romanes, Londres, British Library
Jérôme Delaplanche, historien de l’art
Damien Delgrossi, attaché de conservation du patrimoine
Marie-Hélène Desjardins, conservateur en chef du patrimoine en retraite
Albert Doja, professeur d’anthropologie, Université de Lille
Jean Dupèbe, professeur émérite des universités
Annick Duraffour, agrégée de Lettres modernes
Valérie Expert, journaliste
Michel Fichant, professeur émérite, Paris Sorbonne
Alain Finkielkraut, philosophe, membre de l’Académie française
Jean-Charles Fitoussi, cinéaste
Jacques Foucart, conservateur général honoraire du patrimoine (Musée du Louvre, département des Peintures)
Elisabeth Foucart-Walter, conservateur général honoraire du patrimoine (Musée du Louvre, département des Peintures)
Angéline Foucray, doreur ornemaniste
Renée Fregosi, philosophe et politologue
Véronique Gerard Powell, maître de conférences honoraire, Sorbonne Université
Jean Giot, professeur émérite, Université de Namur
Monique Gosselin-Noat, professeur émérite, Université Paris-Ouest-Nanterre
Thibaut Gress, ancien élève de l’École Normale Supérieure, agrégé et docteur en philosophie, professeur en CPGE.
Yana Grinshpun, MCF Sciences du Langage Paris III
Philippe Gumplowicz, professeur de musicologie
François Hagnéré, Historien de l’art et de l’architecture
Françoise Hamon, professeur émérite d’histoire du patrimoine, Paris-Sorbonne
Philippe Hamon, professeur émérite Sorbonne Nouvelle
Hubert Heckmann, maître de conférences en littérature française du Moyen Âge à l’Université de Rouen
Philippe d’Iribarne, directeur de recherche, CNRS
Pierre Jacky, historien de l’art
Jean-David Jumeau-Lafond, docteur en histoire de l’art
Benoît Kanabus, docteur en philosophie, maître de conférences en droit privé et essayiste
Maya Khadra, enseignante, journaliste
Jean-Pierre Krief, réalisateur
Georges Kuzmanovic, président de République souveraine
Françoise Laborde, journaliste, essayiste
Claire de Lalande, Conservateur du patrimoine au musée Dobrée, Grand patrimoine de Loire-Atlantique
Hélène de Lauzun, ancienne élève de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, agrégée et docteur en histoire.
Thomas Lévy-Lasne, peintre
Anne-Marie Le Pourhiet, Professeur de droit public à l’Université Rennes 1
Bérénice Levet, docteur en philosophie, essayiste
Alain Lompech, critique musical et journaliste
Fadila Maaroufi, directrice de l’Observatoire des fondamentalismes (Bruxelles)
Antonin Macé de Lépinay, inspecteur des collections, Mobilier national
Pierre Manent, philosophe
Aurélien Marcq, haut fonctionnaire
J. Patrice Marandel, conservateur en chef honoraire, Los Angeles County Museum of Art
Daniel Marchesseau, conservateur général honoraire du patrimoine
Isabelle de Mecquenem, professeur de philosophie
Alain Mérot, professeur émérite d’histoire de l’art moderne, Sorbonne-Université
Naïma M’Faddel, essayiste, conseillère en politique de la ville, chevalier de l’ordre national du mérite
Dominique Millet-Gérard, professeur émérite à la Sorbonne
Anne-Elisabeth Moutet, journaliste
Matthieu Noli, écrivain
Pierre Nora, historien, membre de l’Académie française
Hala Oukili, journaliste
Bernard Paqueteau, maître de conférence en sociologie et diplomate en secteur d’actions culturelles, retraité
Rémi Pellet, professeur de droit, Université de Paris
Jean-Marie Pérouse de Montclos, directeur de recherche au CNRS
Pascal Prévost, chirurgien des hôpitaux (en retraite)
Benjamin Randow, romancier
Olivier de Rohan-Chabot, président de la Sauvegarde de l’Art français
Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française
François Roudaut, professeur des universités
Catherine Rouvier, Docteur d’Etat en Droit Public, Avocat ,Maître de conférences des Universités
Clotilde Roy, historienne de l’art
Didier Rykner, directeur de la rédaction de La Tribune de l’Art
Xavier-Laurent Salvador, maitre de conférence HDR en linguistique médiévale
Marc Scherer, conservateur d’État des bibliothèques
Damien Serieyx, éditeur
Claire-Mélanie Sinnhuber, compositeur
Bruno Sire, président honoraire université Toulouse Capitole
Jeremy Stubbs, journaliste essayiste et conférencier
Jean Szlamowicz, linguiste, professeur des universités
Wiktor Stoczkowski, directeur d’études à l’EHESS
Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS
Pierre Téqui, historien de l’art
André Tiran, professeur émérite, Université Lumière Lyon-2
Gennaro Toscano, professeur des universités
Dominique Triaire, professeur émérite des universités (littérature française)
Caroline Valentin, avocat, essayiste et éditorialiste
Sophie Valles, auteur
Pierre Vermeren, professeur d’histoire à Paris1
André Versaille, Ecrivain, documentariste
Marin de Viry, écrivain
Ibn Warraq, auteur




Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie

[Source : Step out The Matrix]

Ariane Bilheran présente notamment les 5 points qui permettent à un individu de résister à l’emprise paranoïaque et au totalitarisme :

  1. Autonomie de pensée, esprit libre ;
  2. Acceptation des limitations (dont celle de la mort physique en tant que limite temporelle) ;
  3. Capacité à différencier la vérité du mensonge et le bien du mal, à clarifier les situations et les choses ;
  4. Capacité à surmonter les traumatismes [dont le deuil], notamment par le recul, la distanciation ;
  5. Ancrage à la réalité en se fiant à l’expérience plutôt qu’aux discours.

Ils représentent l’opposé de la base du totalitarisme :

  1. L’individu n’y est rien, mais le corps collectif est tout ;
  2. Le temps y est perçu comme circulaire ou statique, voire nié et il s’y trouve une recherche d’expansion spatiale perpétuelle ainsi que d’immortalité physique (pour espérer s’affranchir des limites du temps et de l’espace) ;
  3. Il y règne le mensonge, l’arbitraire et l’injustice ;
  4. On y traumatise les individus sous le prétexte de leur bien ;
  5. Le délire y prend la place du réel et de la logique [notamment par le recours à des théories incohérentes, avec la mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité]

[Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :

  1. La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
  2. La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
  3. La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
  4. Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
  5. La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.]



[Voir aussi :
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Quand le conte de fées se transforme en cauchemar…]




France — L’institut Curie appelle la Brigade Anti-Criminalité pour empêcher une cancéreuse non vaccinée d’entrer dans ses locaux

[Source : lecourrierdesstrateges.fr (Sauf ci-dessous)]

Il y a longtemps que les centre anticancéreux, usines à cancer ou plutôt à essais thérapeutiques ont perdu leur humanité dans leurs choix, leurs décisions imposées aux patients-clients (nouvelles drogues en expérimentation, versus traitements reconnus peu chers, et peu toxiques, etc..), leur comportement autoritaire, voire totalitaire depuis plus de 20 ans (imposer rapidement à un ado atteint de cancer une rencontre avec des enfants perdus pour les préparer à la mort plutôt que tenter de le sauver, signalement des parents au juge des enfants, pour ceux qui refusent l’ukase de l’essai thérapeutique, etc. et leur enlever la tutelle, etc.. chimio imposée plutôt que chirurgie salvatrice, etc.. )

Quelques soignants à l’intérieur sauvaient l’honneur par leur gentillesse et leur compassion. La crise du coronacircus a détruit ce qu’il pouvait en rester..   D’autant plus que cancer et vax ne font pas bon ménage et que jusqu’à une période récente (les années 2000) on ne vaccinait pas les cancéreux, ne serait-ce que par inefficacité des injections !

Aujourd’hui on sait déjà que le pseudovax, modificateur génique fait flamber les cancers et même d’anciens apparemment guéris avec évolution rapide et incontrôlable et décès en quelques semaines… 

Consentement éclairé avez-vous dit ?

ALORS, REFUSER UN MALADE À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UN CENTRE SOUS PRÉTEXTE D’ABSENCE DE PASSE ? SUMMUM DU DÉLIRE AMBIANT !

Le témoignage ci-dessous n’est malheureusement pas unique, j’en reçois régulièrement de tous les coins de France (est-ce encore la France ?)… qu’en pensent les juristes ?

Réveillons-nous de ce cauchemar !

The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine”—Europe Reloaded 

Cancers et « vaccins » anti-Covid — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Cette crise est sociale pour imposer le contrôle à la chinoise, et n’a jamais été médicale (trucage des tests PCR, trucage des attributions d’étiquette Covid aux patients hospitalisés, etc.. …). Tout est clair, maintenant.

À nous les peuples de faire un choix… Il est tard, mais il reste en Europe 150 000 000 non-vax en UE, donc résistants, car avec l’extorsion de consentement… et tous ceux qui se sont fait voler leur accord par intoxication médiatique ou nécessité professionnelle, etc. et qui avec la troisième dose comprennent enfin la manipulation.. 

Nous devons y arriver pour nos enfants, petits-enfants. Nos parents nous avaient légué la sécurité sociale, pas l’organisme oppresseur actuel qui n’en a plus que le nom (usurpation d’identité !). Nous devons reconquérir le monde que nous avons laissé détruire en 30 ans et achever en quelques mois. UNISSONS-NOUS, sans oublier d’imposer aux candidats à la présidence et aux candidats députés une position claire en matière de santé dont la suppression immédiate du pass et de l’obligation vaccinale et la liberté d’information des médias (car où est le choix citoyen qui n’a que BFM ou France info comme sources d’information ?) et le respect absolu du consentement éclairé fiable, clair, et du code de Nuremberg (que veut interdire la présidente de l’UE, tout un symbole avoué !)

Une lectrice en colère


Par Éric Verhaeghe

L’institut Curie a la réputation d’un établissement de pointe qui soigne des cancers « compliqués ». Cette utilité sociale lui vaut une bonne image. Mais l’irruption de la vaccination obligatoire pousse-t-elle cette honorable institution à une inhumanité tout à fait inattendue vis-à-vis des non-vaccinés ? Nous publions aujourd’hui le témoignage-choc de Stéphanie, « soignée » à l’institut Curie, dans les conditions qu’elle nous explique.



L’interview de Stéphanie sur l’inhumanité de l’Institut Curie, nous pouvions bien entendu la “prendre” de façon très analytique, très intellectuelle, en dénonçant pour la énième fois la rupture d’égalité (d’aucuns diraient la ségrégation) dont les non-vaccinés sont victimes jusque dans les hôpitaux. Mais nous avons considéré qu’un traitement aussi froid et aussi distant ne ferait pas honneur à la leçon de vie que Stéphanie nous a donnée pendant une demi-heure en parlant de son cancer, de ses souffrances, et du tourment inutile créé par cette démente histoire de passe sanitaire dont les chiffres officiels montrent chaque jour un peu plus l’absurdité

Le COVID tue-t-il plus que le cancer ?

Mais nous avons estimé qu’un point de vue aussi abstrait ne rendait pas suffisamment compte de l’interview de Stéphanie. Pendant trente minutes, cette jeune patiente de 33 ans, qui a appris sa maladie au mois de mai, nous a donné une très impressionnante leçon de vie, de volonté, de combativité, et d’optimisme. Elle nous a parlé de tout sans tabou, et elle s’est confiée. 

Elle doit, demain, entrer à l’hôpital pour subir une ablation du sein. Nous sommes de tout coeur avec elle. Mais au lieu de lui garantir une sérénité optimale durant son combat contre la maladie, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont décidé de lui compliquer la tâche en exigeant d’elle qu’elle soit vaccinée, sous peine de devoir multiplier à l’infini les tests de dépistage. 

Comme elle le fait elle-même remarquer, cette obsession de dépister le COVID chez les non-vaccinés est une aberration, dans la mesure où les soignants qui lui demandent de se faire vacciner n’ont aucun scrupule à sortir dans la boulangerie d’à côté avec leur blouse blanche qu’ils contaminent allègrement et ramènent leurs courses sans aucun protocole particulier dans les locaux même où des cancéreux sont pris en charge. Pourquoi les non-vaccinés font-ils l’objet d’une surveillance renforcée, alors même que les vaccinés, qui peuvent être contagieux, n’ont aucune obligation de test ?

Au fond, tout se passe comme si, dans notre société, on partait du principe que le COVID est plus dangereux que le cancer… C’est la fameuse théorie selon laquelle un malade du cancer doit surtout être surveillé pour une potentielle affection au COVID….

L’inhumanité des vaccinés apparaît au grand jour

Donc, sous prétexte qu’un cancéreux n’est pas vacciné, on lui cherche des poux dans la tête. On lui demande avec une rigidité inhumaine et absurde, de fournir des tests à la pelle, sans tenir compte des conséquences de ces demandes abusives sur sa santé, y compris sa santé mentale. On rajoute du tracas à l’angoisse. 

Au point où l’honorable Institut Curie fait intervenir la brigade anti-criminalité contre une cancéreuse qui présente un test périmé depuis… quelques heures seulement. Sans tenir compte de la fatigue que procurent des déplacements longs depuis le domicile jusqu’au centre de soins, ou jusqu’aux cabinets médicaux qui prescrivent ces tests incessants. 

Dans quel gouffre moral sommes-nous tombés pour que des médecins qui ont prononcé le serment d’Hippocrate fassent intervenir une brigade anti-criminalité contre l’une de leurs patientes atteinte d’une affection grave dont la seule faute est de ne pas être vaccinée ? Est-ce cela, la médecine “inclusive”, la “protection” que l’État prétend nous apporter contre la maladie ?

Une belle leçon d’humanité

Nous voulions remercier tout spécialement Stéphanie dans le combat courageux et très digne qu’elle mène contre la maladie. Elle nous a donné une très belle leçon de vie. Nous laissons chacun se forger une doctrine sur ce sujet. Mais nous tenions tout particulièrement à la laisser s’exprimer : ses mots se passent largement, selon nous, de commentaires. 

Et nous voulions lui assurer tout notre soutien en espérant que les vaccinés reviendront à la raison, abandonneront leur aveuglement de taliban, et retrouveront la voie des bonnes vieilles valeurs de tolérance qui ont fait la beauté de ce pays. 

Et puisque nous sommes dans les voeux pieux, nous adorerions qu’ils relisent les controverses médicales sur la compatibilité entre vaccin et cancer. Car, à ce jour, il n’existe pas de consensus scientifique de bonne foi sur l’intérêt d’être vacciné quand on souffre d’un cancer. 

Ajoutons que l’association Rester libre ! mènera dès demain une action de shaming contre l’institut Curie. Adhérez pour participer !




Le couple Macron continue de massacrer le palais de l’Élysée

[Source : Contre-Info]

[Note de Joseph : si l’art est représentatif de l’époque, les choix de Macron vont bien dans le sens de la destruction du pays grandement favorisée par ses soins. Voir : Effets de l’art moderne]

Avant :

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Après :

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Ceux qui ont du mal à le croire peuvent vérifier ici.

Et une photo prise dans le « salon Cléopâtre », du nom de l’ancienne tapisserie des Gobelins qui s’y trouvait jusqu’en 2019, avant d’être remplacée par une « œuvre » d’un certain Yves Oppeinheim (coût inconnu) :

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Un autre tapis :

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Cette cheminée n’était pas assez jolie aux yeux des Macron :

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Au moins, cela correspond mieux aux orgies afro-homosexuelles dont semble friand le Président.

Pour un coût de 500 000 euros, le couple avait déjà transformé la salle des fêtes du palais en une vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…

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Ce n’est guère étonnant quand on se rappelle ces déclarations du banquier cosmopolite :

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France — vaccins obligatoires : après les soignants, à qui le tour ? Toutes les autres professions ?

[Source : CNEWS]

Par Sibylle Delaitre

Et si le vaccin contre le coronavirus était obligatoire pour travailler en France ? Avec la reprise épidémique sur fond de variant Omicron du Covid-19, la question est désormais posée.

Cela d’autant plus que cette obligation vaccinale est déjà une réalité pour les soignants.

Depuis le 15 septembre dernier, les personnels médicaux doivent en effet être pleinement vaccinés s’ils veulent continuer à exercer leur métier.

Et avec un virus qui ne faiblit pas, la réflexion autour d’une généralisation s’intensifie.

À l’étranger, les exemples quant à une obligation vaccinale de l’ensemble des salariés se multiplient aussi.

À New York, les salariés de quelque 184.000 entreprises, sociétés et commerces devront être complètement vaccinés à compter du 27 décembre.

Un exemple qui pourrait bien inspirer d’autres contrées, même en France.




Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection

Par Dimitri JACQUES

Après un vaccin Pfizer, une jeune femme de 21 ans se retrouve en Covid long avec une fatigue et des symptômes cardiaques invalidants. Malmenée par des médecins qui refusent de la croire, elle se retrouve plusieurs mois sans soins adaptés. Des témoignages similaires affluent sur les réseaux sociaux. Mais surtout, un examen attentif de la littérature scientifique peut expliquer les mécanismes de ce genre de phénomène.

Sportive et en bonne santé, Bessie travaille comme manager dans un magasin de sport situé dans une galerie commerciale, soumise au pass sanitaire pendant quelques semaines, avant que cette mesure soit rétractée. Hésitante et n’étant pas disposée à se faire tester tous les trois jours, elle choisit à contrecœur de se faire vacciner pour conserver son travail.

Elle reçoit un vaccin Pfizer, le 23 juillet dans un vaccinodrôme de Grenoble. Trois jours plus tard surviennent des diarrhées et un essoufflement. Les jours suivants verront apparaître une litanie de symptômes tout à fait inhabituels pour Bessie : palpitations, douleurs thoraciques, spasmes, fasciculations. Une fatigue s’installe, de plus en plus tenace. Le sommeil cesse d’être réparateur.

Au bout de trois jours de symptômes cardiaques devenus très inquiétants, direction les urgences. Prise de sang, électrocardiogramme. Rien. L’infirmière lui confie qu’elle voit de plus en plus de cas comme le sien. Bessie n’est donc pas un cas isolé. Ce n’est pas l’avis du médecin, qui notera sur la feuille de sortie : attaque de panique. Bessie ressort avec un anxiolytique et du Doliprane.

« Ce qui est très difficile à vivre, c’est de n’être pas prise au sérieux par des médecins, des gens qui sont censés me soigner. Ils remettent en question la réalité de mes douleurs et me considèrent comme une menteuse. Si j’ai de la température, c’est que mon thermomètre fonctionne mal. Si mon taux d’oxygène baisse, c’est que l’oxymètre fonctionne mal. »

Ce n’est pas mieux du côté du cardiologue, un praticien libéral réputé, dont Bessie et sa mère jugent néanmoins le comportement inacceptable. Au premier rendez-vous, il prescrit du magnésium et lui fait comprendre qu’elle avait seulement besoin d’être rassurée. Il refuse tout lien avec le vaccin. Le second rendez-vous se passe très mal. La maman s’est lourdement documentée entre temps, ce que beaucoup de médecins n’apprécient pas. Pourtant, des universitaires recommandent que l’expertise et les connaissances des patients soient intégrées aux bases de données sur la pandémie.(([1] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277953620306456))

Lors de son test à l’effort, Bessie se trouve à la limite malaise. Le cardiologue la prend pour une simulatrice et lui demande d’arrêter de faire semblant de mal respirer ! Malgré les poussées de fièvre à ce moment-là, il diagnostique une tachycardie liée au stress et l’invite à reprendre son travail. Des sous-entendus qui font bondir sa maman : « Je connais bien ma fille, elle est dynamique, j’ai compris que c’était sérieux. »

C’est dans la tête !

Certains scientifiques ont osé récemment une étude qui prétend que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques.(([2] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-covid-long-surtout-dans-la-tete-une-etude-fait-polemique-20211112)) Un refrain bien connu des personnes souffrant d’autres maladies, comme la borréliose de Lyme qui peut elle aussi provoquer un syndrome de fatigue chronique, des douleurs généralisées et des symptômes cardiorespiratoires. Les examens classiques, inadaptés, ne montrent rien la plupart du temps et le patient est orienté vers la psychiatrie. En France, le 17 février 2021, l’Assemblée nationale a pourtant adopté une résolution reconnaissant les symptômes prolongés de la Covid-19.

La totalité des symptômes exprimés par Bessie sont pourtant reconnus dans la littérature scientifique comme appartenant à ceux du Covid long, comme le rappelle cet article du BJM.(([3] https://www.bmj.com/content/374/bmj.n1648.abstract)) Sa famille a effectué un signalement de pharmacovigilance sur le site internet de l’ANSM. L’agence va alors les contacter par téléphone, en expliquant que la tachycardie et les douleurs thoraciques sont listées dans les effets secondaires du vaccin Pfeizer et ne méritent pas véritablement d’être recueillies à nouveau. Pour la maman, « nos interlocuteurs cherchaient à minimiser, malgré la longueur et la persistance des symptômes. »

Son Covid réactivé à cause du vaccin ?

En mars 2020, Bessie a contracté le Covid, avec des symptômes assez forts qui ont duré trois semaines, mais n’ont laissé aucune séquelle sur le plan clinique. Elle est sportive, habituellement en bonne santé, avec de rares infections saisonnières bénignes. Le vaccin a-t-il réactivé l’infection, plongeant la jeune femme dans un Covid long ? Ou bien s’agit-il d’autre chose ?

En médecine de terrain, une insuffisance mitochondriale est généralement suspectée en présence d’une fatigue persistante et de douleurs généralisées. Elle est fortement impliquée dans l’encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM/SFC). Elle peut tout aussi bien expliquer les formes traînantes du Covid.(([4] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2095882X20300839)) Il est établi que le virus Sars-Cov-2 interagit avec les mitochondries et peut en détourner les fonctions. Ce qui lui permet, entre autres, d’échapper au système immunitaire et de faciliter sa réplication.(([5] https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpcell.00224.2020))

Plus surprenant, l’apparition chez Bessie de phénomènes allergiques, avec une sensibilité aux aliments histamino-libérateurs. Elle se retrouve à devoir improviser, sans aucune aide médicale, un régime d’exclusion assez pénible, mais qui la soulage. Par ailleurs, son taux d’oxygène baisse sensiblement après un effort, mais également après les repas. Bien qu’encore difficilement expliquée, cette hypersensibilité immunitaire suite à un Covid est déjà mentionnée dans la littérature scientifique. Un syndrome d’activation mastocytaire (MCAS) est observé dans certains syndromes post-covid. Les manifestations principales sont cardio-vasculaires, gastro-intestinales, neurologiques et respiratoires.

Parmi les hypothèses avancées, le fait que les mastocytes (cellules de l’immunité en première ligne des réactions allergiques) expriment des récepteurs ACE2 qui les rendent sensibles au virus Sars-Cov-2. Les auteurs de l’étude demandent ouvertement davantage de recherche sur les liens entre syndrome post-covid, EM/SFC et MCAS.(([6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000239)) Par ailleurs, le système immunitaire peut produire des IgE (les anticorps des allergies immédiates) contre des dérivés de la protéine spike.(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/cea.14023)) Rappelons que c’est ce qui est injecté dans le vaccin.

Une atteinte cardiaque réelle ?

Bessie et sa maman veulent des réponses. Ce n’est pas la presse médicale conventionnelle qui va leur apprendre grand-chose. Une simple recherche fait ressortir une avalanche de publications toutes plus rassurantes les unes que les autres, insistant sur la rareté des atteintes cardiaques post-vaccinales chez les adolescents et jeunes adultes. Elles se rendent alors sur internet à la recherche de compagnons d’infortune. Et elles en trouvent. Les témoignages, vidéo ou écrits, se multiplient sur les réseaux sociaux. Souvent, les mêmes symptômes reviennent. De quoi faire réfléchir. Pourtant, Facebook supprime régulièrement les groupes qui recueillent ces témoignages. Qu’y a-t-il à cacher ?

Un cardiologue du Cardioparc de Moirant s’est montré beaucoup plus à l’écoute de Bessie. Il dit avoir vu plusieurs cas similaires et n’exclue que pas que le vaccin soit en cause. Il est réticent à ce qu’elle reçoive une seconde injection. Son médecin traitant, après plusieurs consultations pour des arrêts maladie d’une semaine renouvelés chaque fois, finira par admettre lui aussi la probabilité d’un lien avec le vaccin. Le diagnostic de péricardite a été écarté après une échographie cardiaque et un scanner thoracique. Une recherche insuffisante selon certains praticiens. Car les symptômes de péricardite sont bien présents : fièvre, douleurs musculaires et articulations, sueurs, douleurs thoraciques, palpitations et accélération du rythme cardiaque, difficulté respiratoire, vertiges, fatigue. Des myocardites et des péricardites ont été observées dans les syndromes post-covid. Les péricardites sont connues depuis longtemps pour être les séquelles possibles d’une infection virale. Y compris avec les herpèsvirus (CMV, EBV), que la plupart d’entre nous hébergeons naturellement, mais qui peuvent se retourner contre nous après un dérèglement immunitaire. Cela figure dans les manuels de médecine.

L’affaire Maxime Beltra

Ce rapprochement entre allergies, troubles cardiaques et vaccination n’est pas sans rappeler le cas de Maxime Beltra, une des premières victimes médiatisées en France. Le rapport d’autopsie conclut à un décès « compatible avec un choc anaphylactique secondaire à une allergie alimentaire », mais signale aussi « au niveau cardiaque, la présence d’un infiltrat lymphocytaire interstitiel sans nécrose pouvant témoigner de lésions de myocardite. » La confrontation entre opposants à la vaccination(([8] https://www.youtube.com/watch?v=JBiG2x3TI9k&t=1252s)) et fact-checkers est tout à fait stérile puisque l’un n’empêche pas l’autre. Les personnes qui présentent une allergie de type 1 majeure sont réputées suivre à la lettre leur régime d’éviction, lisent scrupuleusement les listes d’ingrédients et s’abstiennent au moindre doute. Il paraît hautement improbable que l’un d’eux s’aventure à un écart avec un aliment qu’il sait potentiellement mortel. En revanche, les myocardites et péricardites étant rares chez les jeunes, le lien de causalité juste après une vaccination est hautement probable. Une infection au Sars-Cov-2, mais également une vaccination contre ce même virus, en agissant sur la barrière intestinale, semblent pouvoir soudainement abaisser le seuil de tolérance immunitaire à certains aliments. Aucune certitude dans cette affaire, mais de nombreux doutes qui, pour n’importe quel autre médicament, aurait conduit à la suspension de l’AMM par principe de précaution.

Il est admis qu’une inflammation des tissus cardiaques trop intense ou durable peut ensuite causer une insuffisance cardiaque définitive. Les mitochondries dysfonctionnelles ne sont pas capables de répondre à l’accroissement de la demande énergétique qu’entraîne une inflammation. Le cœur est l’organe qui compte le plus de mitochondries et qui est le plus dépendant de leur bon fonctionnement. À ce jour, 155 publications scientifiques font lien entre le Covid sous toutes ses formes et les mitochondries.

La protéine spike, aussi bien celle du vaccin que celle du virus, semble pouvoir provoquer des lésions vasculaires en régulant à la baisse les récepteurs ACE2, ce qui perturbe ensuite le fonctionnement des mitochondries. Chez la souris, des dommages mitochondriaux ont déjà été observés avec la protéine spike seule, sans la présence du virus.(([9] https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902)) Des médecins nous assurent observer fréquemment une élévation significative des taux sanguins de D-dimères après une vaccination anticovid. Il s’agit de marqueurs d’une activation de la coagulation, qui peut entraîner des thromboses. Un phénomène qui ne se limite pas à la sphère cardiovasculaire et peut toucher tous les tissus. C’est une des explications possibles de l’arrêt ou des perturbations des règles qui surviennent en post-vaccinal.

Dès le mois de juin, l’agence américaine du médicament (FDA) avait reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez les jeunes de 16 à 24 ans. Les atteintes cardiovasculaires chez les jeunes sportifs en bonne santé se multiplient. Selon une agence de presse allemande,(([10] https://www.lelibrepenseur.org/longue-liste-dathletes-soudainement-decedes-ou-gravement-malades/)) 75 athlètes dans le monde ont été victimes de mort subite dans les 5 derniers mois, un chiffre sans commune mesure avec ce qui était observé dans le milieu sportif avant la campagne de vaccination anticovid. La FDA a jusqu’ici refusé d’homologuer le vaccin de Moderna pour les jeunes, pointant le risque de maladie cardiaque. Mais elle vient de donner son feu vert pour le vaccin de Pfizer, qui présente pourtant les mêmes risques.(([11] https://www.westernjournal.com/fda-wont-approve-modernas-vaccine-teens-year-cites-risk-deadly-heart-condition/)) La différence serait-elle plutôt à chercher au niveau des conflits d’intérêts ? L’ancien patron de la FDA siège à présent au conseil d’administration de Pfizer.(([12] https://planetes360.fr/lodeur-de-corruption-qui-entoure-le-feu-vert-de-la-fda-pour-les-vaccins-destines-aux-enfants/)) Curieuse civilisation qui ferme les yeux sur ce genre de pratique.

« Le plus éprouvant, ce sont les douleurs au niveau du thorax, elles arrivent sans prévenir de façon extrêmement intense et je n’ai aucune solution pour les soulager. »

Bessie vient de passer une batterie d’examens au CHU de Grenoble pour être enfin reconnue « Covid Long ». Un parcours du combattant, épuisant pour des malades déjà très fatigués, qui commence par une batterie de tests psychologiques. Elle regrette qu’aucun praticien n’ai pu écouter attentivement la totalité de ses symptômes. En attente de résultats d’examens, le diagnostic final reste à poser. En attendant, elle s’est tournée vers des médecines alternatives. L’homéopathe et le naturopathe ont légèrement soulagé certains symptômes, un magnétiseur a un peu diminué le brouillard cérébral. L’ostéopathe, qui admet lui aussi avoir reçu plusieurs cas similaires, a immédiatement reconnu un Covid long. Il lui a trouvé des ganglions, signe qu’une réponse immunitaire est toujours en cours.

Une autre conséquence est la précarité sociale et financière. La jeune femme est en arrêt maladie depuis trois mois, mais n’a rien touché les deux premiers mois, son employeur n’ayant pas transmis les documents à la CPAM. Elle perdu son appartement et est revenue vivre chez ses parents. Elle s’était fait vacciner pour ne pas perdre son emploi. Elle a perdu son emploi et sa santé. C’est cher payé pour se protéger d’une maladie dont les formes graves ne concernent pas les jeunes en bonne santé.

Références :




Karine Dubernet : « Selon Castex, les non-vaccinés attrapent le Covid et le transmettent, alors que les vaccinés, eux, attrapent le Covid et le transmettent, mais sont vaccinés ! »

[Source : PLANETES360]




Les vaccinés marqués comme du bétail

[Source : Agora TV News via Qactus]

« Chers amis vaccinés

Voilà, nous y sommes, le point de basculement.
Tout ce qui s’est passé jusqu’à présent, épidémie, confinements, restrictions, masques, privations de libertés, vaccins, variants, pass sanitaire, division de la société, n’était qu’une préparation à ce qui arrive.

Vous avez accepté le confinement de deux semaines qui a duré 7 semaines…
Vous avez accepté les masques, et même en extérieur, pensant ainsi éviter les contaminations.
Vous avez accepté le vaccin en pensant que cela allait accélérer la sortie de la crise.
Vous avez accepté le Pass sanitaire en pensant qu’il était une garantie de protection…

Maintenant, vous savez :

Les confinements sont contre-productifs et destructeurs…
Les masques sont utiles pour les personnes malades, un usage quotidien altère l’immunité naturelle… Ils ne servent à rien en extérieur.
Les deux doses ne fonctionnent pas, il en faudra une troisième, et probablement d’autres encore (Israël, selon le ministre de la Santé : “Il est possible que nous ayons besoin d’une quatrième dose de vaccin”).
Le pass sanitaire est une aberration, au-delà de la ségrégation à laquelle vous participez, les vaccinés porteurs ne sont pas testés, et les non-vaccinés sains et testés sont mis en contact avec des personnes infectieuses…

Nous sommes au point de basculement, car tout est en place pour vous faire réagir… Jusque-là vous avez accepté sans prendre réellement conscience de la suite des événements.
Vous êtes entrain de comprendre que malgré tous vos efforts, la spirale infernale continue :
La troisième dose va devenir obligatoire pour ceux qui veulent continuer à avoir une vie sociale, il y aura un nouveau variant et une nouvelle dose… Et ainsi de suite…
Vous allez devoir accepter d’injecter vos enfants avec un produit expérimental dont personne ne connaît les effets réels à long terme alors qu’ils ne risquent rien.

Vous entrez dans une société où tous vos déplacements, tous vos achats, toutes vos publications, toutes vos pensées seront contrôlées. Il n’y aura pas de retour à la vie normale tant que nous laisserons faire, tant que nous accepterons ces mesures folles qui ne permettent pas d’arrêter la propagation du virus, mais qui arrête bien nos vies. Nous avons refusé cette société, maintenant, c’est à vous de décider de votre avenir, de notre avenir à tous.
Tout cela pour un virus respiratoire pas plus dangereux qu’une grippe qui épargne 99,8 % de la population…

Vous trouvez ça “normal” ? »
À VOUS DE MÉDITER !!



[Voir aussi :
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée]




Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs

[Source : AGORA PLACE AU PEUPLE]

[Voir aussi :
Le choix laissé aux Français : la soumission ou la mort sociale
et
France, relève-toi !
et
Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné]




Projet Bluetooth Expérience X

[Source : gloria.tv]

Par Germán Sarlangue

Blog – https://gloria.tv/user/VPgx11CTuCmB3pv1bbjveivjz

Projet Bluetooth expérience X Version 1 – Révision 2
Étude rendue possible grâce au soutien financier de la LNPLV (infovaccin.fr), de EFVV (efvv.eu) et de nombreux donateurs anonymes. 30/11/2021

Résumé :

Objectivation de l’existence d’adresse MAC détectables sur la plage de fréquence Bluetooth suite à une inoculation de thérapie antigénique COVID et de test PCR de détection COVID.

Équipe :

  • Germán Sarlangue
  • Julien Devilleger
  • Philippe Trillaud
  • Steve Fouchet
  • Lidwine Taillasson
  • Grégory Catteau

Lien source :

https://ln5.sync.com/dl/195df4a10/5ab9apq6-q5vgawam-vgr3ktt9-7zr985rh


1/ Avant propos

Depuis avril 2021 des rumeurs se sont propagées sur les réseaux sociaux concernant l’apparition de signaux de type bluetooth à la suite d’une ou plusieurs injections anti-covid proposées par les compagnies pharmaceutiques :

  • Astra Zeneca
  • Pfizer
  • Johnson et Johnson
  • Moderna

De nombreuses vidéos ont circulé qui semblent mettre en évidence l’apparition de phénomènes troublants, à savoir :

  • Des phénomènes d’aimantation inexpliqués sur différents sites du corps de personnes injectées (qui ont donné lieu à une explosion des publications sur TikTok regroupées autour d’un mouvement communautaire, Le Magnet Challenge).
https://www.youtube.com/watch?v=lYi3sjRZviA

  • L’apparition d’adresses MAC Bluetooth en présence de personnes injectées et en l’absence de tout dispositif technologique susceptible d’expliquer ces apparitions.

  • L’apparition de signaux lors d’un scan effectué sur le corps d’une personne injectée par l’intermédiaire d’appareillage de détection de puce électronique animale utilisées couramment chez les vétérinaires.

Toutes ces rumeurs ont été démenties par les principaux médias et les agences de presse traditionnelles alors même que dans les réseaux alternatifs de nombreuses expérimentations empiriques effectuées par des citoyens ordinaires semblaient démontrer le contraire.

https://www.reuters.com/article/factcheck-astrazeneca-bluetooth-idUSL2N2NC2G9

https://www.20minutes.fr/sante/3067959-20210623-coronavirus-non-vaccins-permettent-etre-detecte-bluetooth-gare-videos-trompeuses

Pour autant les expériences citoyennes empiriques se multiplient :

https://henrymakow.wordpress.com/2021/09/17/le-vaccin-contient-votre-code-barres/ https://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccines-et-puce-bluetooth-mise-jour.html https://www.youtube.com/watch?v=q1VCRZNaHLE https://odysee.com/@Hemeroteca:f/DrDeBenito-mac-address–:7 https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/bluetooth-2:e

En France la première expérimentation documentée sur le sujet a fait l’objet d’un article publié dans Agoravox

( https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/operation-dent-bleue-235064)

Cependant, comme le souligne Jérôme R. responsable de la publication de l’article, même si les résultats obtenus interpellent (De nombreuses adresses MAC non identifiées apparaissent), il ne pourrait s’agir d’en tirer une conclusion hâtive.

En effet, le terrain d’expérimentation était un jardin public d’où pouvaient partir de nombreux signaux légitimes émanant d’appareils non pris en compte et son matériel de détection (Un téléphone portable Archos tournant sous Android) pourrait également être l’objet de potentielles failles dans la détection

Bien évidemment ces expériences qui ne montrent qu’un résultat final, ne se sont inscrites dans aucun protocole assumé ne permettaient en aucun cas de démontrer la fiabilité des résultats.

En parallèle, de nombreuses études ont été effectuées pour objectiver la présence d’oxyde de graphène ou de l’un de ses dérivés dans la composition du vaccin.

Il est important de comprendre que l’oxyde de graphène a fait l’objet de pléthore d’études autour de ses propriétés physico-chimiques et électromagnétiques uniques.

Des applications commerciales sont d’ores et déjà disponibles :

Parallèlement à cela des dépôts officiels de brevets visant à l’élaboration de nanotechnologies implantées dans le corps humain, telles que des nanosenseurs, ou à des dispositifs variés utilisant les rayonnements électromagnétiques permettant toute sorte d’applicatifs potentiels existent.

Enfin face au caractère secret de la composition des injections ainsi que l’impunité négociée des laboratoires pharmaceutiques quant aux éventuels effets indésirables liés aux injections, certaines études ont émergé mettant en évidence des éléments troublants :

2/ Environnement matériel et configuration technique

Pour cette expérience il a été choisi de travailler avec une antenne Ubertooth one de Great Scott Gadgets dont voici les spécifications techniques :

  • Connecteur RP-SMA (destiné à connecter l’antenne Bluetooth)
  • Module de transmission sans fil CC2400 Full duplex 2.4 GHz
  • Module RF front end CC 2591
  • Microcontrôleur LPC175x ARM Cortex-M3
  • Connection USB 2.0 Full-speed
  • Support Bluetooth and Bluetooth Low Energy
  • Ampérage approximatif de 220mA

Il permet d’envoyer et de recevoir des paquets à 2,4 GHz, qui est la fréquence du Bluetooth, mais aussi de voir le trafic Bluetooth en temps réel en mode moniteur. L’appareil est comparable à un module Bluetooth de classe 1, c’est à dire qu’il a une puissance maximale de 100 mW (20 dBm) et une portée de 100 mètres sans obstacles.

Au niveau de l’ordinateur portable notre choix s’est porté sur une machine :

Hp EliteBook 820 G3 :

  • Processeur Intel Core I7-6600U (2.6 Ghz)
  • Mémoire RAM : 16 Go DDR3
  • Carte graphique Intel HD Graphics 520
  • Disque dur 240 Go SSD.

La version Bare metal installer 2021-3 de Kali linux a été téléchargée depuis :

https://kali.download/base-images/kali-2021.3/kali-linux-2021.3-installer-amd64.iso.torrent

En fichier ISO.

Elle a été montée sur une clé USB classique de 32 Go en image disque bootable via l’applicatif Rufus
( https://rufus.ie/fr/)

Une fois l’OS Kali linux installé sur la machine, une mise à niveau de ce dernier a été effectuée :

sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade.

Aucun conflit n’ayant été détecté, la machine a été redémarrée.

Le projet Ubertooth est un projet Open Source.

L’intégralité du code est disponible sur Git.

Nous avons donc commencé par installer les différents paquets nécessaires :

sudo apt-get install cmake libusb-1.0-0-dev make gcc g++ libbluetooth-dev \
pkg-config libpcap-dev python-numpy python-pyside python-qt4

Suivi d’une mise à jour classique :

sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons ensuite procédé à l’installation de la dernière version de libbtbb.

sudo ldconfig
wget https://github.com/greatscottgadgets/libbtbb/archive/2020-12-R1.tar.gz -O libbtbb-2020-12-R1.tar.gz
tar xf libbtbb-2020-12-R1.tar.gz
cd libbtbb-2020-12-R1
mkdir build
cd build
cmake ..
make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Puis nous avons installé les outils Ubertooth :

wget https://github.com/greatscottgadgets/ubertooth/releases/download/2020-12-R1/ubertooth-2020-12-R1.tar.xz -O ubertooth-2020-12-R1.tar.xz
tar xf ubertooth-2020-12-R1.tar.xz
cd ubertooth-2020-12-R1/host
mkdir build
cd build
cmake ..
make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons ensuite procédé à l’Update du firmware d’Ubertooth One :

cd ubertooth-2020-12-R1/ubertooth-one-firmware-bin
sudo ubertooth-dfu -d bluetooth_rxtx.dfu -r
cd ../..
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Nous avons effectué le contrôle grâce à la commande :

ubertooth-util -v

Qui nous a renvoyé :

Firmware version: 2020-12-R1 (API:1.07)

Nous avons donc connecté l’antenne Bluetooth à la carte mère de l’Ubertooth one et branché ce dernier sur un port USB de la machine et lancé la commande :

ubertooth-specan-ui

Qui nous a ouvert une fenêtre :

L’appareil étant configuré et fonctionnel nous avons refermé la fenêtre et procédé à l’installation des plugins.

Nous avons commencé par installer les plugins wireshark :

sudo apt-get install wireshark wireshark-dev libwireshark-dev cmake cd libbtbb-2020-12-R1/wireshark/plugins/btbb mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=/usr/lib/x86_64-linux-gnu/wireshark/libwireshark3/plugins ..
make
sudo make install
cd libbtbb-2020-12-R1/wireshark/plugins/btbredr
mkdir build
cd build
cmake -DCMAKE_INSTALL_LIBDIR=/usr/lib/x86_64-linux-gnu/wireshark/libwireshark3/plugins .. make
sudo make install
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Puis nous avons procédé à la configuration de Kismet.

Pour ce faire nous avons commencé par supprimer toutes les configurations pré existantes :

sudo rm -rfv /usr/local/bin/kismet* /usr/local/share/kismet* /usr/local/etc/kismet*

Nous avons ensuite procédé à l’installation et à l’actualisation des paquetages nécessaires :

python -m pip install --upgrade pip
pip install libpcap
sudo apt-get install libcap-dev pkg-config \ build-essential libnl-dev libncurses-dev libpcre3-dev \ libpcap-dev libcap-dev

Afin de pouvoir procéder à l’installation de la dernière version de kismet. wget -O –

https://www.kismetwireless.net/repos/kismet-release.gpg.key | sudo apt-key add -
$ echo 'deb https://www.kismetwireless.net/repos/apt/release/kali kali main' | sudo tee /etc/apt/sources.list.d/kismet.list
wget http://www.kismetwireless.net/code/kismet-2021-08-R1.tar.gz tar xf kismet-2021-08-R1.tar.gz
sudo mv kismet-2021-08-R1 /usr/src/kismet
ln -s ../ubertooth-2021-08-R1/host/kismet/plugin-ubertooth /usr/src/kismet
cd /usr/src/kismet
sudo ./configure
sudo make && sudo make plugins
sudo make suidinstall
sudo make plugins-install
cd ~
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt install kismet-core kismet-capture-linux-bluetooth kismet-capture-linux-wifi kismet-capture-nrf-mousejack python-kismetcapturertl433 python-kismetcapturertladsb python-kismetcapturertlamr python-kismetcapturefreaklabszigbee kismet-logtools~
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt install kismet-capture-linux-bluetooth

Nous avons éteint et rallumé la machine puis procédé aux vérifications d’usage.

Lors du lancement de kismet via la commande

sudo kismet

Une fenêtre s’ouvre nous demandant de définir un login et un password.

Ce que nous avons fait.

Puis nous avons sélectionné ubertooth one dans la liste Data Sources :

Nous avons testé l’application : Cette dernière est parfaitement fonctionnelle.

Nous avons ensuite configuré Wireshark pour permettre la capture de paquets Bluetooth.

Pour ce faire nous avons configuré un pipe :

mkfifo /tmp/pipe

Puis nous avons ouvert wireshark depuis la commande :

sudo wireshark

Dans la fenêtre qui s’est ouverte nous avons cliqué sur capture -> Options-> Manage interfaces ->

Pipe -> New ou nous avons entré dans le champ « pipe » :

/tmp/pipe

Enfin sur le terminal nous avons entré la commande :

ubertooth-btle -f -c /tmp/pipe

Dans les sources nous avons choisi bluetooth et lancé la capture : parfaitement fonctionnel.

3/ Tests préliminaires

Le 16/10/2021 vers 09 h 30 nous avons procédé à des tests préliminaires dans un champ en plein air situé à proximité de la commune de Chabournay.

Les coordonnées GPS exactes du site sont les suivantes : 46°44’49.6’’N 0°13’32.0’’E.

Le point rouge marque l’endroit où a été installé le poste de détection.

Un repérage de la zone est effectué sur cartoradio :

L’endroit de l’expérimentation est indiqué par un point rouge dans un carré rouge.

Les différents sites surlignés correspondent à des antennes relais dont les caractéristiques sont accessibles ici.

3/1 Déroulé des pré-tests

L’antenne est connectée, les serveurs activés.

Le protocole se lance.

Les candidats partent du point bleu et suivent le chemin (petits points verts) en direction du poste de détection (point rouge).

Dans un certain nombre de cas des signaux Bluetooth s’activent spontanément à environ 30 mètres du poste (point violet)

Le pré-test est concluant et fonctionnel, permettant de valider le protocole de test prévu pour le lendemain.

3/2 Déroulé de l’expérience

L’expérimentation a lieu le 17/10/2021 sur la commune de Cognac La forêt.

Un repérage Cartoradio donne la topographie suivante :

Les différents sites surlignés correspondent à des antennes relais dont les caractéristiques sont accessibles ici.

Une reconnaissance des lieux nous amène à installer le matériel de détection à l’endroit indiqué sur la carte.

3/2/1 préparation technique

Les appareils de prise de vue sont soigneusement configurés et les personnels susceptibles d’intervenir dans la zone de détection sont testés les uns après les autres.

Les consignes suivantes leur ont été données :

  • Pas de téléphone portable
  • Pas de montre connectée
  • Pas d’appareillage connecté (oreillette, casque,…)

Une fois ces préalables remplis ils passent le test plusieurs fois de suite :

  • Seul et sans matériel
  • Seul avec matériel éteint
  • Seul avec matériel de prise de vue allumé.

Les caméras et le matériel de prise de son sont câblés et les systèmes de transmission sont tous désactivés.

Du fait de ces réglages deux passages additionnels sont effectués pour objectiver l’absence totale de signal détecté.

3/2/2 Déroulé de l’expérimentation

En parallèle, les postulants sont regroupés au niveau de l’aire d’accueil (A proximité de la zone de parking) et un questionnaire leur est donné à remplir.

Ils reçoivent tous les mêmes consignes et une personne vérifie physiquement l’exécution des consignes.

Ils suivent un à un le trajet identifié en violet comme « trajet des volontaires ».

Les points violets marquent les endroits où sont apparus les différents signaux.

3/2/3 Résultats obtenus

Le tableau ci-dessous donne l’ordre d’apparition des signaux.

Horaire Numéro de passage Détection de signal Code retrouvé Code retrouvé OUI Parasite ? Identification
10:16
10:21 1 Non Néant néant
10:26 2 Oui 53:cd:58:dd:53:d2 Unknown néant
10:31 3 Oui 50:76:35:50:8f:36 73:dd:d1:6d58:f9 Unknown néant
10:36 4 Non Néant néant
10:41 5 Non Néant néant
10:46 6 Non Néant néant
10:51 7 Non Néant néant
10:56 8 Non Néant néant
11:01 9 Non Néant néant
11:06 10 Non Néant néant
11:11 11 Non Néant néant
11:16 12 Non Néant néant
11:21 13 Non Néant néant
11:26 14 Non Néant néant
11:31 15 Oui 6f:12:bd:31:60:f9 Unknown néant
11:36 16 Oui 67:87:07:71:fb:ff Unknown néant
11:41 17 Non Néant néant
11:46 18 Oui f1:5e:84:4c55:30 67:87:07:71:fb:ff Unknown néant
11:51 19 Non Néant néant
11:56 20 Non Néant néant
12:01 21 Oui 57:58:87:13:a3:98 69:f4:76:99:6d:de Android
12:06 22 Non Néant néant
12:11 23 Non Néant néant
12:16 24 Non Néant néant
12:21 25 Non Néant néant
12:26 26 Non Néant néant
12:31 27 Non Néant néant
12:36 28 Non Néant néant
12:41 29 Non Néant néant
12:46 30 Non Néant néant
12:51 31 Non Néant néant
12:56 32 Non Néant néant
13:01 33 Non Néant néant
13:06 34 Non Néant néant
13:11 35 Non Néant néant
13:16 36 Oui 55:la:e4:bc:ae:d9 Unknown 69:f4:76:99:6d:de Android
13:21 37 Non Néant 69:f4:76:99:6d:de Android

3/3 Analyse brute des résultats

Les premières conclusions de l’expérimentation sont reportées dans les tableaux de synthèse suivants :

Données brutes Émission absence d’émission Doute
Nombre de personnes 37 7 30 2
Injectées 15 6 9 2
Non injectées, testées 2 1 1 0
Non injectées, non testées 20 0 20 0
Soit en pourcentage :
Pourcentages Émission absence d’émission Doute
Nombre de personnes 37 19% 81% 5%
Injectées 15 40% 60% 13%
Non injectées, testées 2 50% 50% 0%
Non injectées, non testées 20 0% 100% 0%

Cette expérimentation met donc en évidence de manière indiscutable les éléments suivants :

  • Aucune personne non injectée, non testée n’émet de signal
  • Quelques personnes injectées émettent des signaux dans environ 40 % des cas
  • Quelques personnes non injectées et testées émettent des signaux dans le 50 % des cas.

3/4 Exploration complémentaire

Au vu de ces expériences plusieurs incertitudes restent pleines et entières :

  • Le temps de mesure
  • Les interactions potentielles avec l’environnement électromagnétique
  • Les interactions sociales
  • La détectabilité de signaux émanant de personnes non injectées et testées.

Une nouvelle expérimentation a donc été entreprise le 07/11/2021 sur un lieu différent.

Ce nouveau lieu présente l’avantage de disposer de grottes troglodytes suffisamment hermétiques pour pouvoir agir comme une cage de Faraday.

3/4/1 : Déroulé de l’expérimentation

Lors de première journée les postulants ont été regroupés sous une tente d’accueil située sur la partie haute du terrain à plus de 50 mètres de l’opposée à l’entrée principale des grottes.

Les mêmes consignes leur ont été données et la même vigilance stricte a été observée quant à l’observance des consignes.

La répartition des postulants est la suivante :

  • 2 personnes non injectées non testées
  • 7 personnes non injectées et testées
  • 8 personnes injectées

Un scan a été effectué en amont à l’intérieur de la grotte qui met en évidence l’absence totale de trafic Bluetooth.

L’expérimentation se déroule en deux jours :

Jour 1

Etaient présents 16 candidats se répartissant comme suit :

  • 2 personnes non injectées non testées
  • 6 personnes non injectées et testées
  • 8 personnes injectées

Jour 2

Etait présent un candidat non injecté et testé

Durant ces deux jours, le protocole appliqué est le suivant :

Chaque candidat s’identifie en amont, sous la tente.

Il lui est attribué un numéro de passage.

Toutes les 20 minutes, un nouveau candidat se présente dans la grotte troglodyte où a été installé le matériel de scan et passe 20 minutes dans cette dernière en vue de la détection éventuelle d’un signal Bluetooth.

3/4/2 : Résultats de l’expérimentation

Jour 1 :

Les candidats se succèdent un par un.

Une seule adresse MAC est relevée :

c4:df:27:f9:45:b5

Il s’agit d’une personne doublement injectée

Jour 2 :

Un seul candidat est présent.

Il s’agit d’une personne non injectée mais muti testée par tests PCR (environ 70 tests)

Deux adresses Mac apparaissent simultanément avec des références quasi identiques :

4c:64:fd:da:fc:5f

4c:64:fd:da:fc:9f

Au vu de ces résultats, nous avons choisi de poursuivre l’expérience.

Nous avons éteint et rallumé le serveur kismet.

Les signaux captés n’apparaissent plus.

Nous sommes ensuite montés sur le plateau, sous la tente pour tester une éventuelle réactivation du signal en présence d’un environnement moins protégé.

Après 20 minutes de scan aucun nouveau signal n’apparait.

Nous avons alors demandé au candidat de se prêter à quelques exercices physiques afin de vérifier une potentielle relation entre l’énergie corporelle dégagée par le candidat et une activation de signal.

Après 20 minutes de scan aucun nouveau signal n’apparait.

Nous avons alors demandé à une personne de l’équipe de rapprocher progressivement le téléphone portable du candidat (Samsung) afin de commencer à vérifier de possibles interactions homme-portable.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable en mode éteint.

Nous avons renouvelé l’expérience avec le portable en mode avion.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable en mode éteint.

Nous avons renouvelé l’expérience avec le portable en mode normal, bluetooth éteint.

Aucune activité particulière n’est détectée avec le portable dans cette configuration.

Nous avons alors activé le bluetooth de l’appareil du candidat. Le Bluetooth est détecté, un trafic strictement normal se met en place, aucune adresse MAC suspecte n’apparait.

Nous avons ensuite amené un second téléphone portable (Également un Samsung) en mode normal, bluetooth activé.

Les appareils communiquent de manière cohérente entre eux et aucune adresse MAC additionnelle n’apparait.

Enfin, afin de récupérer des données additionnelles, nous avons continué à scanner le trafic en milieu ambiant, le candidat réintégrant l’intérieur de la maison dans laquelle était présents 6 téléphones portables dans des conditions diverses, une box internet avec 2 relais wifi.

Nous avons progressivement éteint tous les dispositifs puis nous les avons rallumés un à un.

Il est à noter que sur toutes les personnes présentes seul le candidat a été testé par PCR.

On note des trafics strictement normaux qui correspond aux échanges de données entre les différents appareils.

On note également un nombre conséquent de trames non valides et des paquets inconnus ou ininterprétables avec le logiciel Wire Shark.

Nous pouvons donc raisonnablement conclure qu’à la fois les personnes injectées et les personnes testées émettent des signaux en dehors de toute activation induite par un champs électromagnétique environnemental.

Cependant ces signaux ne semblent pas constants dans le temps et leur activation semble dépendre de conditions qui restent à définir.

(Cf conclusions et perspectives ci-dessous.)

4/ Exploitation des données brutes

4/1 Rappel du contexte

Durant ces expériences, nous avons pu constater et capturer les échanges (trames) émises par des dispositifs inconnus dans des lieux vierges de tout signaux.

Lors de ces expériences ne disposant pas du matériel nécessaire à une analyse complète, nous avons pratiqué un scan employant un mode balayage à l’aide d’un équipement Ubertooth.

Cette carte nous as permis de balayer l’ensemble des fréquences employées par le protocole Bluetooth.

BTLE dans sa version 5 dispose de 40 canaux qui ont été scannés tour à tour et à intervalle régulière.

Le protocole Bluetooth BTLE est couramment utilisé pour de nombreuses applications et nous sommes donc partis de l’exploration des modes de construction classiques s’appuyant sur cette technologie.

De nombreuses ressources existent.

A titre d’exemple :

https://www.bluetooth.com/bluetooth-resources/intro-to-bluetooth-low-energy-coded-phy/

4/2 Volume des informations récupérées

Durant la première expérience, 37 participants se sont succédé ce qui à permis la capture d’un total de 43043 trames.

Durant l’expérimentation complémentaire, 17 participants se sont succédé ce qui à permis la capture d’un total de 30120 trames.

Ce qui nous donne donc un total de 73163 trames récupérées sur 6 h 30 de scan auprès de 34 personnes. (Personnes non injectées et non testées exclues).

4/3 : Premières analyses protocolaires :

Parmi ces trames pour la plupart malformées d’après les formats de trame reconnus par le logiciel Wire Shark, ce qui indique à minima une personnalisation de la pile protocolaire, on retrouve des paquets cohérents avec le protocole Bluetooth pour des messages de type :

  • BT MeSH
  • BTLE AUX_SCAN
  • AUX_CONNECT
  • Messages inconnus (ou non reconnus et interprétés par Wire Shark)

4/3/1 : Paquets correspondant à des messages BT MeSH

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages BTLE AUX_SCAN

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages AUX_CONNECT

4/3/2 : Paquets correspondant à des messages inconnus (ou non interprétables en tant que tel par le logiciel Wire Shark)

5/ Conclusions et perspectives

Nous pouvons au vu de ces résultats affirmer qu’un pourcentage significatif des personnes injectées et, dans une moindre mesure des personnes non injectées mais testées par des tests PCR émettent des signaux alphanumériques sur la plage de fréquence correspondant à celle d’utilisation du Bluetooth.

Ce pourcentage sera à préciser par des études futures afin de mettre en évidence l’impact potentiel des facteurs suivants :

  • Marque du produit injecté
  • Profil du candidat :

    • Nombre d’injection(s)s reçue(s)
    • Date de la dernière injection

De nombreuses trames apparaissent en lien avec ces signaux qui sont ininterprétables en l’état actuel des choses par le logiciel Wire Shark.

Une des caractéristiques communes de ces trames est le faible niveau dBm.

Parmi les explications probables du caractère incomplet voire ininterprétable de ces trames des hypothèses sont à explorer :

  • Une modulation différente de celle usuellement utilisée pour les protocoles BTLE classiques
  • Un problématique d’insuffisance énergétique insuffisante pour activer un déclenchement d’action
  • Une série d’actions ordonnancée sur des sauts de channels (A l’intérieur de la gamme de fréquence Bluetooth et/ou en dehors de cette dernière).

Il existe une très nette proéminence de signaux émis en milieu ambiant par rapport aux signaux émis en milieu sans activité électromagnétique.

Des tests additionnels devront donc confirmer cette tendance et dégager les facteurs de déclenchement des signaux pour en préciser la nature et surtout la ou les fonctionnalité(s).

Ces signaux alphanumériques ne sont pas constants dans le temps et leur apparition est brève.

Il est possible qu’un ordonnancement programmé (à heure fixe ou aléatoire, en fonction d’éléments déclencheurs tels que des interactions sociales) sous-tende ces apparitions.

De nombreuses autres expériences seront sans nul doute nécessaires pour acquérir suffisamment de données afin d’identifier des redondances, des cycles, des patterns…




Autriche : Kurz, Blümel et Schallenberg se retirent

Traduction par Christine Côte

03.12.2021

Deux mois après avoir quitté son poste de chancelier, Sebastian Kurz a également annoncé jeudi sa démission du poste de président de l’ÖVP — déclenchant ainsi de grands chamboulements dans le personnel de l’ÖVP. Alexander Schallenberg a fait savoir dans la soirée qu’il quittait son poste de chancelier, tandis que quelques heures plus tard, le ministre des Finances Gernot Blümel annonçait son départ de la vie politique — sans doute les premiers résultats des intenses délibérations des dirigeants de l’ÖVP. 

Le ministre de l’Intérieur Karl Nehammer est clairement le favori pour le poste de chancelier et de président du parti.

La décision sera prise vendredi matin par le comité directeur du parti — bien que les chefs de parti régionaux, qui ont retrouvé leur pouvoir depuis le départ de Kurz en tant que chancelier, aient déjà procédé jeudi à la nomination des nouveaux membres. Il est vite apparu que le chef du gouvernement et le chef du parti seraient à nouveau dans les mêmes mains.

Et il était donc décidé pour Schallenberg — qui n’est pas vraiment ancré dans le parti — qu’il ne resterait pas chancelier très longtemps : « Ce n’est pas mon intention et cela n’a jamais été mon objectif d’assumer la fonction de président du parti fédéral du Nouveau Parti Populaire. Je suis fermement convaincu que les deux fonctions — chef du gouvernement et chef du parti fédéral ayant le plus grand nombre de voix en Autriche — devraient être rapidement réunies dans une seule main », a-t-il fait savoir par écrit en début de soirée (après une brève dernière apparition en tant que chancelier au Bundesrat). Il mettra son poste à disposition « dès que les orientations correspondantes auront été prises au sein du parti ».

Pour Schallenberg, cela ne signifie pas nécessairement qu’il quittera complètement le gouvernement. Il pourrait retourner au ministère des Affaires étrangères, ou succéder à la ministre de la Constitution  Karoline Edtstadler, si cette dernière devenait ministre de l’Intérieur.

La nouvelle équipe de l’ÖVP a immédiatement fait l’objet de spéculations dans les médias. Et le candidat à la succession — parce qu’il est un proche de Kurz, un partenaire de chat et un accusé de la WKStA — [parquet anti-corruption] a déjà annoncé son retrait dans la soirée : « J’ai décidé de quitter la politique », a annoncé le ministre des Finances Blümel via une vidéo sur les réseaux sociaux. 

C’est le député Karl Mahrer qui lui succède, du moins par intérim, à la tête de l’ÖVP viennois.

Pour justifier son départ, M. Blümel a surtout évoqué sa famille qui, en raison de son activité politique, a toujours été confrontée à des menaces de mort. À midi, Kurz avait déjà avancé des raisons familiales : lors de la naissance de son fils samedi, il avait pris conscience « de tout ce qu’il y a de beau et d’important en dehors de la politique », avait-il déclaré lors d’une conférence de presse. En outre, la flamme de la passion pour la politique s’est récemment amoindrie, a-t-il déclaré, faisant allusion aux enquêtes menées contre lui par le parquet anticorruption pour corruption, abus de confiance et faux témoignage : « Mon quotidien politique n’était récemment pas la compétition des meilleures idées, mais la défense contre les reproches, les insinuations et les procédures ».

Depuis que les enquêtes contre Kurz et son entourage sont connues, les sondages de l’ÖVP ont dégringolé. Entre-temps, la SPÖ [Parti socialiste] devance clairement le parti du chancelier. Dans cette optique, les politologues s’attendaient à ce que Nehammer ne soit pas le seul à monter en grade, mais que l’équipe de l’ÖVP soit largement remaniée. Afin de limiter les dégâts, l’ÖVP doit maintenant trouver « la voie de la démarcation par rapport à Kurz », a constaté le politologue Peter Filzmaier à l’ORF — et a rappelé que le parti fédéral de l’ÖVP faisait également l’objet d’une enquête pour corruption en tant qu’organisation. En outre, « la logique politique voudrait en tout cas » qu’un nouveau chef de gouvernement recompose son équipe, a fait remarquer le conseiller politique Thomas Hofer dans l’interview à l’ORF.

Si l’on s’en tient à la relation de confiance avec Kurz, la ministre de l’Agriculture Elisabeth Köstinger doit également s’attendre à être remplacée — car elle aussi faisait partie de ce que l’on appelle le « cercle intérieur ». 

La ministre de l’Économie Margarete Schramböck est considérée comme ébranlée depuis le flop du « Kaufhaus Österreich »*, mais son bureau a démenti dans la matinée les rumeurs de remplacement. La ministre de la Défense Klaudia Tanner pourrait — en tant qu’ancienne directrice de la Confédération des Agriculteurs de Basse-Autriche — passer au ministère de l’Agriculture, a été l’une des nombreuses spéculations sur l’avenir de l’ÖVP.L’opposition s’est montrée peu surprise par la démission de Kurz.

Pour la chef de la SP Pamela Rendi-Wagner, le départ était « une question de temps » : « Apparemment, la pression est maintenant devenue si forte qu’il en a tiré lui-même les conséquences ». Le secrétaire général de NEOS, Douglas Hoyos, a parlé d’une « mesure qui aurait dû être prise depuis longtemps ». 

Et le chef du FP Herbert Kickl [Parti libéral] a réagi avec satisfaction : « J’ai dit au début de l’année que Kurz devait partir, il est maintenant parti ». Kickl a toutefois douté que ce soient vraiment les joies de la paternité qui l’aient poussé à partir et a appelé à de nouvelles élections.

Le chef de la SPÖ du Burgenland, Hans Peter Doskozil, à qui l’on prête des ambitions pour la tête de liste de la SPÖ, a également plaidé pour de nouvelles élections au printemps.

Mais cela ne semble pas être le cas, du moins pour le moment. 

Le vice-chancelier des Verts, Werner Kogler, a en effet exprimé un « très grand » respect à Kurz pour sa démission et a loué « l’excellente base de travail » avec le ministre de l’Intérieur Karl Nehammer. En revanche, les Verts ne veulent pas remanier leur équipe gouvernementale.

– REDAKTION (source : APA)




PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

[Source : Nexus]

Dans cet entretien pour Nexus, Marc Arazi nous révèle les dessous de l’industrie de la téléphonie mobile et l’impact des ondes sur notre santé.

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]

Médecin, président et co-fondateur de l’ONG Alerte Phonegate et auteur de l’ouvrage « Phonegate » paru en 2020 aux Éditions Massot, Marc Arazi revient sur les nombreuses mesures biaisées, les enquêtes passées sous silence et l’omerta qui continue de s’exercer dans les médias mainstream. Ondes téléphoniques, 4G/5G, mensonges d’État, impact sur les tissus biologiques : Marc Arazi passe au crible tous les problèmes liés à cette industrie mondiale.

– Retrouvez Marc Arazi sur son blog : https://arazi.fr
– L’ONG Alerte Phonegate : https://www.phonegatealert.org/

https://www.youtube.com/embed/E4orXMg-gsQ

👉 Lire notre dossier « Antenne-relais de téléphonie mobile, la résistance citoyenne », dans notre numéro 137 en vente en kiosque et en ligne :

👉Lire notre dossier « Danger d’Absorption Spécifique », dans notre numéro 136 en vente ici :

👉Lire notre dossier « Stop à la 5G », dans notre numéro 124 en vente ici :  

👉Lire notre dossier « Être électrohypersensible ou vivre l’enfer des ondes » dans notre numéro 128 :

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Que savent-ils ? Les investisseurs se débarrassent de leurs actions à un rythme effréné jamais vu auparavant

[Source : Aube Digitale]

Par Michael Snyder

Pourquoi les PDG et les initiés des entreprises vendent-ils leurs actions à un rythme bien plus rapide que ce que nous avons jamais vu auparavant ? Savent-ils quelque chose que le reste d’entre nous ne sait pas ? Si les cours des actions continuent de grimper en flèche comme le suggèrent de nombreux médias grand public, ces initiés qui se débarrassent de leurs actions comme s’il n’y avait pas de lendemain vont manquer des bénéfices absolument énormes. D’un autre côté, si un effondrement colossal du marché est prévu en 2022, alors 2021 était le moment idéal pour sortir du marché. Comme je l’ai déjà dit à maintes reprises, on ne gagne de l’argent en bourse que si l’on sort à temps. Se pourrait-il que nombre des personnes les plus riches du monde aient choisi le moment absolument parfait pour appuyer sur la gâchette ?

Selon CNBC, les PDG et les initiés des entreprises ont vendu pour 69 milliards de dollars d’actions depuis le début de l’année. Il s’agit d’un nouveau record absolu, et d’une augmentation considérable de 30 % par rapport à l’année dernière…

Les PDG et les initiés des entreprises ont vendu pour 69 milliards de dollars d’actions depuis le début de l’année 2021, alors que les hausses d’impôts imminentes et les prix élevés des actions encouragent beaucoup de personnes à prendre des bénéfices.

De Satya Nadella chez Microsoft à Jeff Bezos et Elon Musk, les PDG, les fondateurs et les initiés ont encaissé leurs actions à un rythme record.

En date de lundi, les ventes par les initiés ont augmenté de 30 % par rapport à 2020 pour atteindre 69 milliards de dollars, et de 79 % par rapport à la moyenne sur 10 ans, selon InsiderScore/Verity, qui exclut les ventes des grands détenteurs institutionnels.

[Note : Ashish Singal de Jixa Analytics a regroupé toutes les ventes d’initiés, calculant qu’elles atteindront 385 milliards de dollars en 2021 – dépassant déjà largement le précédent record établi en 2013].

[Note : Sur une base mensuelle, pour le mois de novembre, nous avons franchi pour la première fois la barre des 50 milliards de dollars de ventes globales].

Il est intéressant de noter que cette vente de feu est allée crescendo au moment où l’économie américaine a atteint un tournant critique. Nous sommes au milieu de la pire crise de la chaîne d’approvisionnement de notre histoire, l’inflation a atteint des niveaux que nous n’avions pas vus depuis les années 1970, et la violence croissante dans nos rues déprime l’activité économique dans beaucoup de nos plus grandes zones urbaines.

Au cours des deux dernières années, le gouvernement fédéral a emprunté et dépensé des milliers de milliards de dollars que nous n’avions pas les moyens de dépenser. Au cours de cette même période, la Réserve fédérale a injecté des milliers de milliards de dollars frais dans le système financier. Ils ont pris ces mesures dans une tentative désespérée de ressusciter l’économie, et nous avons certainement connu un « euphorie » pendant un petit moment.

Mais aujourd’hui, toutes sortes de signes indiquent que l’économie commence à ralentir à nouveau. Par exemple, les ventes du Black Friday ont diminué de 28,3 % par rapport aux niveaux de 2019…

Le trafic dans les magasins de détail lors du Black Friday a chuté de 28,3 % par rapport aux niveaux de 2019, car les Américains ont transféré une plus grande partie de leurs dépenses en ligne et ont donné le coup d’envoi de leurs achats plus tôt dans l’année, selon les données préliminaires de Sensormatic Solutions.

Les apologistes des médias grand public voudraient nous faire croire que les ventes au détail sont en baisse parce que les ventes en ligne sont en plein essor.

Mais ce n’est pas vrai.

En fait, les ventes du Cyber Monday ont baissé pour la première fois de l’histoire

Les consommateurs se sont connectés en ligne lundi et ont dépensé 10,7 milliards de dollars, soit une baisse de 1,4 % par rapport à l’année précédente, selon les données publiées mardi par Adobe Analytics.

Cette année, c’est la première fois qu’Adobe constate un ralentissement des dépenses lors des principales journées d’achats. La société a commencé à faire des rapports sur le commerce électronique en 2012 et analyse plus de 1 000 milliards de visites sur les sites web des détaillants.

Cela m’étonne.

Le Black Friday et le Cyber Monday étaient tous deux en baisse malgré le fait que nos dirigeants ont déversé des billions et des billions de dollars sur le feu.

Entre-temps, les derniers chiffres de l’industrie manufacturière ont été décevants, et les analystes en attribuent la responsabilité à la crise actuelle de la chaîne d’approvisionnement

De larges pans de l’industrie manufacturière américaine restent paralysés par les goulets d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement et les difficultés à pourvoir les postes vacants. Bien que les problèmes de la chaîne d’approvisionnement se soient légèrement atténués en novembre pour atteindre le niveau le plus bas enregistré depuis six mois, les pénuries généralisées d’intrants ont à nouveau fortement limité la croissance de la production, à tel point que l’enquête indique jusqu’à présent que l’industrie manufacturière a freiné l’économie au cours du quatrième trimestre.

Bien sûr, les grands médias continuent d’essayer de donner une tournure positive à nos difficultés économiques.

Par exemple, CNN vient de publier un article intitulé « Pourquoi l’inflation peut en fait être bonne pour les Américains ordinaires et mauvaise pour les riches ».

Si ce qu’ils disent est vrai, pourquoi ne pas pousser l’inflation au maximum ?

Faisons en sorte que chaque maison coûte au moins un million de dollars, qu’une miche de pain coûte 20 dollars, et que l’essence soit si chère que vous en saigniez des yeux en voyant les prix à la station-service locale.

Ne serait-ce pas formidable pour tous les Américains qui travaillent dur ?

Inutile de dire que je suis juste ironique.

L’inflation détruit notre niveau de vie et chaque jour, de plus en plus d’Américains sont exclus de la classe moyenne.

Comme si nous n’avions pas déjà assez de problèmes, Omicron est arrivé aux États-Unis

Le premier cas confirmé du variant du coronavirus Omicron aux États-Unis a été identifié en Californie.

Lors d’un point presse à la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que le cas concernait une personne ayant voyagé depuis l’Afrique du Sud le 22 novembre et ayant été testée positive au Covid-19 le 29 novembre.

Comme je l’ai dit l’autre jour, il n’y a absolument aucune raison pour toute l’hystérie à laquelle nous assistons actuellement. À ce stade, il ne semble pas qu’Omicron soit plus dangereux que les autres variants qui circulent actuellement.

Mais cela ne va pas empêcher les dirigeants mondiaux de faire encore plus de dégâts sur l’économie mondiale.

Nous voyons déjà plus de restrictions de voyage et plus d’obligations, mais il n’y a même pas encore un seul cas confirmé de décès dû à Omicron.

Si les politiciens deviennent aussi irrationnels à cause d’Omicron, comment vont-ils réagir lorsque les choses deviendront vraiment folles dans les années à venir ?

Vous devriez commencer à y réfléchir.

Une grande partie des dommages économiques de ces deux dernières années ont été auto-infligés, et la douleur auto-infligée va s’amplifier.

Pendant ce temps, les PDG et les initiés vendent leurs actions à un rythme qui fait froncer les sourcils.

Tout comme vous et moi, peuvent-ils sentir ce qui se trame ?

Il y a tellement de nuages à l’horizon, et personnellement j’ai un mauvais pressentiment pour 2022.

Traduction de The Economic Collapse par Aube Digitale




Gunther Anders et le virus de la télévision

Par Nicolas Bonnal

La fin du monde a donc pu venir avec une simple boîte de Pandore : la télévision. C’est elle qui impose tout, avec le Pentagone et Madison avenue, disait Patrick McGoohan en répondant à Warner Troyer à une question sur notre feuilleton préféré [Le prisonnier]. Là, elle impose le nazisme médical (les camps en Australie sont réels), le génocide malthusien sans frontières, la peur omniprésente, le transhumain et la misère universelle. Rien que ça ? Oui, oui, rien que ça. Déjà Ovide et Virgile décrivent (je les ai commentés aussi sur ce point) le rôle sinistre de Fama qui ne désigne pas, comme le disent nos imbéciles cours de latin, la renommée, mais les news et leur rôle apocalyptique sur les consciences (voyez aussi mon texte De Platon à Cnn).

Comment disait Lucien sans la télévision on n’aurait même pas su qu’il y avait épidémie. La peste noire évoquée par les bouffons fascistes aux commandes a tué 40 % des Européens, le coronavirus 0,4 % de la population globale, et encore ; on a transformé une petite grippe bien moins mortelle que l’espagnole et tout aussi suspecte en Fin du monde pour les besoins de la cause : la Fin du monde précisément — renommée Reset. Plein d’imbéciles refusent encore de voir la réalité du complot, n’y voyant sans rire que l’incompétence. La théorie du complot devient l’insulte supérieure — et donc l’ultime stratagème — dont parle Schopenhauer à la fin de son Art d’avoir toujours raison :

« Ultime stratagème Soyez personnel, insultant, malpoli Lorsque l’on se rend compte que l’adversaire nous est supérieur et nous ôte toute raison, il faut alors devenir personnel, insultant, malpoli. Cela consiste à passer du sujet de la dispute (que l’on a perdue), au débateur lui-même en attaquant sa personne… »

La télévision (coup de génie de ces chaînes news avec l’actu en bandeau – répétition, seule figure de rhétorique importante, disait Napoléon qui s’y connaissait mieux qu’un pape jésuite en propagande) est donc la grande triomphatrice de cette fausse pandémie. Elle a maté le monde pour les oligarques fous et es gouvernements dictatoriaux et elle imposera le Reset et la dictature informatique comme à la parade. Nous aurons le grand camp de concentration électronique promis dans l’indifférence ou l’assentiment général du troupeau. Debord sur la question dans les années soixante et Gunther Anders dans les années cinquante nous avaient prévenus. La messe des téléphages imposera sa laisse électronique aux non-vaccinés qui seront de toute manière transformés en parias, les Vladimir et Estragon de la terrifiante pièce de Beckett citée et commentée par Anders.

Philosophe de formation allemande, juif libre et non libéral de noble fibre (même Adorno se moque des « juifs libéraux » dans son essai sur les médias), Anders brosse un tableau d’épouvante de cette humanité abrutie dans sa peu connue Obsolescence de l’homme écrit en 1956, quand la télé fait des ravages aux USA (c’est elle qui fera élire le catastrophique — n’en déplaise à certains — Kennedy). Le cinéma s’en rendait compte. Voyez le film « Il fait toujours beau temps » de Stanley Donen (et par là même notre ouvrage sur la comédie musicale, très bons pour les « fêtes ») et « l’Homme au complet gris » de Mervyn Le Roy qui montre la destruction de la famille américaine de l’époque (trois enfants, le chien, la caravane, le pavillon, etc.) par cette même télévision. La télévision c’est la disparition du foyer, de la vie intérieure et du noyau solidaire. Anders écrit à ce propos des lignes extraordinaires :

« Ce mode de consommation permet en réalité de dissoudre complètement la famille tout en sauvegardant l’apparence d’une vie de famille intime, voire en s’adaptant à son rythme. Le fait est qu’elle est bel et bien dissoute : car ce qui désormais règne à la maison grâce à la télévision, c’est le monde extérieur — réel ou fictif — qu’elle y retransmet. Il y règne sans partage, au point d’ôter toute valeur à la réalité du foyer et de la rendre fantomatique — non seulement la réalité des quatre murs et du mobilier, mais aussi celle de la vie commune. Quand le lointain se rapproche trop, c’est le proche qui s’éloigne ou devient confus. Quand le fantôme devient réel, c’est le réel qui devient fantomatique. Le vrai foyer s’est maintenant dégradé et a été ravalé au rang de “container” : sa fonction n’est plus que de contenir l’écran du monde extérieur. »

Or le monde extérieur c’est le virus et il va tout conditionner : je suis l’alpha et l’omicron, le principe et la Fin de votre monde.

Le livre de Gunther Anders et riche et long, on ne va se concentrer que sur cette seule question de la destruction de la famille, à l’heure où les parents (comme les profs) détruisent, vaccinent et masquent leurs enfants, sauf une poignée de louves. Il ajoute :

« La télévision a liquidé le peu de vie communautaire et d’atmosphère familiale qui subsistait dans les pays les plus standardisés. »

Rappelons que ce sont les pays les plus riches — les plus standardisés — qui se sont jetés sur les vaccins. Certains aiment citer l’occident et sa civilisation (qui a disparu depuis deux siècles — voir mes textes sur Guénon et Chateaubriand), ils sont servis ! Être un occidental signifie être un riche et vieux consommateur et téléphage abruti, strictement rien d’autre. L’homme libre n’est jamais occidental. Le moyen âge se référait à l’orient comme le psalmiste.

« Les fantômes (les envahisseurs du célèbre feuilleton) ont gagné : Sans même que cela déclenche un conflit entre le royaume du foyer et celui des fantômes, sans même que ce conflit ait besoin d’éclater, puisque le royaume des fantômes a gagné dès l’instant où l’appareil a fait son entrée dans la maison : il est venu, il a fait voir et il a vaincu. Dès que la pluie des images commence à tomber sur les murailles de cette forteresse qu’est la famille, ses murs deviennent transparents et le ciment qui unit les membres de la famille s’effrite : la vie de famille est détruite. »

La télé aussi a marqué la Fin du christianisme (Cène) :

« Ce qui ne veut pas dire que la télévision est maintenant devenue le centre de la famille. Au contraire. Ce que l’appareil représente et incarne, c’est précisément le décentrement de la famille, son excentration.

Il est la négation de la table familiale. »

Être ensemble c’est regarder la télé ensemble. On est certes réunis, dit Guy Debord, mais dans le séparé.

Simple auditeur, le téléspectateur devient un serf. Et dans une brillante note le traducteur Christophe David écrit :

« Die Horige, qui désigne le serf, est un dérivé du verbe horen, écouter. Le serf est celui qui écoute silencieusement les ordres de son maître et ne les conteste jamais. Son statut juridique est proche de celui de l’enfant. C’est donc par un calembour étymologique qu’Anders assimile au cours de ce paragraphe l’attitude infantile de l’auditeur (der Horer) à celle du serf. »

Internet qui n’est qu’une énorme télé pour 90 ou 99 % de la masse a renforcé cette aliénation. Il y a vingt ans j’avais forgé la notion de techno-serf dans mon livre sur Internet (notion qui m’a été volée). Nous y sommes.

On se consolera avec Guénon en rappelant qu’il y a longtemps que l’occident est une civilisation hallucinatoire : le mythe de Faust, l’imprimerie…

Sources :

Gunther Anders – L’obsolescence de l’homme (Ivréa)

Nicolas Bonnal – Internet nouvelle voie initiatique

Debord – La Société du Spectacle

Schopenhauer — L’art d’avoir toujours raison (Wikisource !)

http://www.dedefensa.org/article/de-platon-a-cnn-lenchainement-par-les-infos

https://www.dedefensa.org/article/divagations-et-citations-sur-les-simulacres

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/chateaubriand-et-la-conclusion-de-notre-histoire




Australie : la solidarité s’organise… Les coiffeuses offrent des coupes gratuites à tous les non-vaccinés qui n’ont plus le droit d’aller chez le coiffeur !

[Source : businessbourse.com]




L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température

[Source : lachainehumaine.com]

Par Pierre Lecot, de la chaîne « Décoder l’éco »

La mortalité hivernale est-elle vraiment un phénomène de propagation virale ?

1. L’importance de standardiser les décès pour prendre en compte l’augmentation et le vieillissement de la population

La France vieillit. Par conséquent, le nombre de morts chaque année augmente naturellement depuis 2010 (Figure 1). Cette hausse du nombre de décès n’est pas le signe que la santé des Français se dégrade, mais uniquement le résultat de l’augmentation du nombre de personnes âgées. En effet, à force de vieillir, tous les humains finissent par mourir.

Figure 1 : Décès annuels en France

Le vieillissement français s’illustre par l’évolution de la pyramide des âges de la France entre 2000 et 2020, réalisée avec les données disponibles sur Eurostat (Figure 2). En 20 ans, la génération des baby-boomers est, logiquement, passée de la tranche des moins de 55 ans à celle des plus de 65 ans. Dès lors, il est tout à fait normal que le nombre de décès en France augmente chaque année, et cela va continuer à augmenter pendant encore au moins 20 ans, jusqu’à ce que le gros de cette génération ait décédé.

Figure 2 : Pyramide des âges de la France en 2000 et 2020

Ainsi, il ne faut jamais commenter des nombres de décès bruts qui augmentent ou baissent non pas selon l’arrivée des maladies, mais toujours selon la taille de la population et selon l’âge des personnes. En effet, s’il y a plus de décès en France qu’au Luxembourg, c’est parce que les Français sont 100 fois plus nombreux que les Luxembourgeois. S’il y a plus de décès dans un EHPAD de 200 personnes que dans une école maternelle de 200 enfants, ce n’est pas parce que l’EHPAD est plus dangereux que l’école maternelle, mais uniquement parce que les résidents d’un EHPAD sont beaucoup plus vieux que les élèves d’une école maternelle. Ainsi, comparer des nombres de décès entre 2 populations ne peut pas se faire avec les seuls chiffres bruts, mais toujours en corrigeant de la taille de la population, et aussi en corrigeant de l’âge des gens. Il s’agit de standardiser les décès pour mettre la même population partout (Figure 3). Standardiser les populations pour comparer les décès est le calcul reconnu par Eurostat(([1] – https://ec.europa.eu/eurostat/documents/3859598/5926869/KS-RA-13-028-EN.PDF/e713fa79-1add-44e8-b23d-5e8fa09b3f8f)) ou l’OMS.(([2] – https://www.who.int/data/gho/indicator-metadata-registry/imr-details/78)) L’office statistique Ecossais en a détaillé les intérêts(([3] – https://www.nrscotland.gov.uk/files/statistics/age-standardised-death-rates-esp/age-standard-death-rates-background.pdf)) et compare les résultats des mortalités au regard des standardisations de 1976 et de 2013.

Figure 3 : Formule de la standardisation des décès

Pour comparer le nombre de décès en France de ces dernières années avec l’année 2020, nous avons standardisé les décès, en appliquant la population par âge de 2020 à toutes les années du passé. Il en est ressorti que l’année 2020 n’est pas du tout une année de record de mortalité (Figure 4).

Figure 4 : Décès standardisés en France selon l’année 2020

L’année 2020 est au niveau de l’année 2015. Il s’agit de la 6e année la moins mortelle de toute l’histoire de la France. Cette situation est la même quel que soit le pays en Européen considéré.(([4] – https://www.mondialisation.ca/la-mortalite-en-europe-comprendre-les-donnees-de-mortalite-europeenne-pour-prendre-les-bonnes-decisions/5657446)) Pour certains pays, comme la Norvège ou l’Islande, l’année 2020 est un record absolu de sous-mortalité. Au pire l’année 2020 présente une mortalité haute relativement à la décennie, mais plus basse que n’importe quelle année précédente comme pour la Belgique ou l’Espagne (Figure 5).

Figure 5 : Typologie des pays européens selon le rang dans l’histoire des décès standardisés de l’année 2020

2. Des cycles annuels de hausse et baisse de mortalité

L’étude des décès hebdomadaires standardisés en France depuis 2013 nous permet de visualiser les cycles de mortalité (Figure 6). Chaque année, le nombre de décès augmente en hiver et diminue en été. Cette augmentation de décès l’hiver est concomitante des maladies hivernales. Parmi elles, les infections respiratoires aiguës peuvent être attribuées à des virus comme les grippesles rhinovirus ou les coronavirus, ou à des bactéries comme les pneumocoquesles staphylocoquesHaemophilus influenzae ou d’autres.

Figure 6 : Décès hebdomadaires en France standardisés selon 2020

Il est important de faire la distinction entre l’origine et le symptôme. Jusqu’en 2019, les déclarations d’infections respiratoires hivernales faisaient mention d’un « état grippal » du patient. Ainsi, jusqu’à récemment, la surmortalité hivernale était comptabilisée comme étant causée par les virus de la grippe, justifiant notamment la politique vaccinale.

Certains hivers présentent des pics de mortalité nettement supérieurs à d’autres. L’hiver 2013-2014 a connu des pics de mortalité bien moins élevés que l’hiver 2014-2015. Cette différence fait partie des éléments expliquant les différences de décès d’une année sur l’autre. Nous avons déjà détaillé ce phénomène dans d’autres communications. Une explication serait le principe des années moissons.(([5] – https://www.youtube.com/watch?v=ufivMhlZ6Us)) Les hivers doux et peu mortels laisseraient en vie les plus fragiles de la population et ces derniers décéderaient pendant les hivers plus rudes. L’année suivante compterait mécaniquement moins de décès faute de personnes fragiles.

Une théorie concernant la hausse de mortalité hivernale est la propagation virale. Il s’agit de dire que l’hiver les virus arriveraient de l’extérieur et circuleraient dans la population. Cette théorie a été modélisée au début de 20e siècle(([6] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8les_compartimentaux_en_%C3%A9pid%C3%A9miologie)) avec les premiers modèles de propagation épidémique. Le fameux modèle SIR(([7] – https://www.addactis.com/fr/modeles-epidemiologiques-problematiques-calibrage-donnees-covid-19/)) a été construit en traduisant mathématiquement cette théorie. Il contient plusieurs paramètres qui définissent les fameux R0, Rt et Reff. Cette hypothèse de propagation virale sert de socle à un certain nombre des politiques de santé publique. Elle permet notamment de justifier la politique vaccinale antigrippe et est donc naturellement défendue par les industriels pharmaceutiques qui en sont les bénéficiaires directs. Il existe aujourd’hui bien d’autres modèles de propagation épidémique. Cependant le seul modèle médiatisé et utilisé par les gouvernements (retrouvé dans des documents fournis au Sénat(([8] – https://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/opecst/quatre_pages/OPECST_modelisation_covid_19.pdf)) ou au sein des discussions de l’assemblé(([9] – https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/comptes-rendus/ots/l15ots1920067_compte-rendu.pdf))) pour justifier les politiques coercitives est celui de la propagation exponentielle. Cette propagation exponentielle entraînera alors une augmentation exponentielle de recours à l’hôpital (la part des contaminations qui dégénère) et une augmentation exponentielle des décès (la part des formes graves qui sont fatales).

Dans tout l’éventail imaginable des principes de propagation, une démarche simple de confirmation ou d’infirmation de la théorie extrême utilisée actuellement est de la confronter à son autre extrême. La vérité n’est certainement pas contenue dans un de ces 2 points trop simplistes, mais les statistiques peuvent nous permettre d’avoir une idée duquel de ces 2 points la réalité se rapproche.

Si nous récapitulons nous avons donc l’hypothèse A suivante :

Les hausses de mortalité, notamment hivernales, sont dues à la propagation exponentielle de maladies (notamment virales) au sein de la population.

Cette hypothèse a des implications très forte sur la politique de santé :

• Les humains sont tenus responsables de l’état de santé de leurs voisins (contaminations) et légitime les pratiques de quarantaine, isolement, port du masque etc.
• Elle légitime la stratégie de lutte préventive contre les pathogènes circulant (vaccination antigrippale)

Nous allons la confronter à l’hypothèse B :

Les hausses de mortalité, notamment hivernales, sont dues aux conditions extérieures et à la dégradation de l’état de santé général.

Cette hypothèse change les priorités de la politique de santé :

• Les humains ne sont pas tenus responsables de l’état de santé de leurs voisins. Il n’y a alors aucune raison de mettre en place des politiques restrictives
• La stratégie préventive devient une stratégie de santé générale (sport, alimentation, sorties, éventuellement apports vitaminés, qualité de l’air)

On note que l’hypothèse A sert de justification aux mesures coercitives gouvernementales et légitime la privatisation de la santé par des industriels qui vendent (ou forcent l’achat par l’intermédiaires des gouvernements) des vaccins et autres produits préventifs.

L’hypothèse B ne permet pas de politiques de coercition de masse. Elle soutiendrait des politiques préventives peu onéreuses, individualisées, sans promesse de vie éternelle, mais avec des améliorations de qualité de vie.

3. Les indices à notre disposition

3.1. Les indices à notre disposition : l’absence d’exponentielle

Si on suppose que l’hypothèse A est vraie, alors des phénomènes de vagues de propagation devraient être visibles à l’échelle européenne ou au sein d’un même pays. Cependant on observe l’inverse.

Ce phénomène de hausse de mortalité hivernale est complètement simultané sur toute l’Europe (Figure 7). La standardisation des décès nous permet de représenter les différents pays et années sur un même graphique. Ici toutes les populations sont ramenées à la population française de 2020.

Figure 7 : Décès standardisés France, Portugal, Suède, selon 2020

De la Suède jusqu’au Portugal, les hausses de mortalité sont naturellement simultanées tous les hivers, et même les étés lors des épisodes caniculaires. La mortalité hivernale des pays européens n’est donc pas en lien avec un phénomène de diffusion de maladies l’hiver en Europe. Le Portugal et la Suède sont séparés par 3 000 km. Si la diffusion entre individus de maladies l’hiver était responsable de l’augmentation de la mortalité, des décalages temporels devraient être visibles, ce qui n’est pas le cas. L’augmentation des décès ne représente pas le déplacement des maladies, mais leur apparition partout à la fois. Il s’agit d’une manifestation de la dégradation cyclique de l’état de santé. Cette dégradation simultanée partout en Europe se traduit par l’apparition de symptômes attribués à des maladies hivernales et par l’augmentation des décès. Le phénomène de courbe en cloche concernant la mortalité n’est pas le résultat d’un phénomène de propagation, mais d’un phénomène d’apparition. Il est évident que les portugais ne contaminent pas les suédois, ni inversement.

Le même résultat se constate à des niveaux plus fins que les pays. En France, pour lequel nous avons des résultats départementaux, les pics de mortalité sont synchronisés. Ils sont plus ou moins visibles selon l’âge et la taille de la population.

On a ici un fort indice de rejet de l’hypothèse A. Il nous manque un élément explicatif pour nous diriger vers l’hypothèse B.

3.2. Les indices à notre disposition : l’absence d’exponentielle

Il est important de rappeler que c’est directement à cause du modèle de propagation utilisé qu’existe le discours sur l’augmentation exponentielle des malades et des décès. En effet, les équations des modèles de propagation se résolvent grâce aux fonctions exponentielles. Ainsi il ne s’agit pas d’une observation, mais directement du modèle lui-même. Ce n’est donc pas une réalité vérifiée, mais un présupposé basé sur une construction de l’esprit. En téléchargeant la série longue des décès quotidiens de l’Insee,(([10] – https://www.insee.fr/fr/statistiques/4771989?sommaire=4772633)) nous pouvons observer les variations de décès depuis 50 ans (Figure 8).

Figure 8 : Décès quotidiens français lissés sur 7 jours depuis 1968

Les données sont lissées sur 7 jours de façon à éviter le biais induit par le jour de déclaration de décès. En effet, en France, on constate peu de décès déclarés les samedis et dimanches. Cela a plus de raisons d’être dû à un moindre nombre de constats de décès par les médecins qui sont moins nombreux à être actifs ces jours-là, plutôt qu’à une réelle protection dominicale.

Ainsi en France, depuis 50 ans, les hivers sont des périodes de forte hausse de mortalité. L’année 2020 est bien visible avec la particularité d’avoir des périodes décalées, mais également la fin de l’année 1969 dont la mortalité hivernale a été attribuée à la célèbre « grippe de Hong-Kong ». Certains étés sont aussi particulièrement mortels, avec notamment la canicule de 2003 (mais également les canicules de 1975, 1976 et 1983 non représentées ici). On note ainsi que les épisodes caniculaires ne sont pas récents et sont observables depuis le début des données modernes. L’année 2003 est exceptionnelle surtout par le nombre de personnes âgées qui étaient en vie à cette période (contrairement aux années 1975,1976 et 1983).

Il est facile de vérifier si des augmentations exponentielles de mortalité ont déjà eu lieu depuis 50 ans en France. Une des propriétés de l’exponentielle est que sa dérivée est une exponentielle. Ainsi, si le nombre de décès augmente de manière exponentielle, alors le nombre de décès accélère également de manière exponentielle. Pour vérifier si un tel évènement existe, il suffit de calculer l’accélération des décès d’un jour à l’autre, en calculant la différence seconde (Figure 9).

Figure 9 : Différence seconde des décès quotidiens lissés sur 7 jours depuis 1968

Figure 10 : Différence seconde des entrées à l’hôpital
et en service de réanimation pour Covid-19

A ce stade, le modèle de propagation ne peut prétendre à une validation par l’observation. Nous sommes dans le cas où la théorie a pris possession de notre évaluation de la réalité. Il est tout à fait possible de calculer pour chaque hiver, ou même sur chaque canicule, une courbe de propagation SIR. Il suffit d’ajuster les différents paramètres pour que la courbe colle au plus près de la réalité. La folie, c’est de prétendre que d’avoir fait coller une courbe à la réalité montre qu’on a compris le phénomèneLa folie c’est d’utiliser les paramètres pour ensuite calculer le R0 et s’en servir pour imposer des décisions politiques

3.3. Les indices à notre disposition : le lien parfait entre décès et température extérieure

Météo France met à notre disposition depuis janvier 2021 des jeux de données sur les relevés météorologiques.(([11] – https://public.opendatasoft.com/explore/dataset/donnees-synop-essentielles-omm/table/?sort=date)) Des données de températures, d’humidité, de pression atmosphérique, sont disponibles en de nombreux points et jusqu’à 25 ans de profondeur. Les données de température sont les plus nombreuses et les plus fiables. Elles couvrent de nombreux espaces et territoires.

Les conditions météorologiques extérieures sont toutes liées entre elles. La température basse de l’hiver est souvent liée à un assèchement de l’air et des basses pressions atmosphériques. La température extérieure est donc vue ici comme un indicateur de relevé météorologique. Il ne s’agit pas de supposer ou conclure que la température extérieure tue les gens, mais bien de savoir si les conditions météorologiques quelles qu’elles soient ont un impact sur la mortalité.

Pour cette analyse, le taux de mortalité par âge chaque jour en France sur chaque département est apparié à la température moyenne extérieure ce même jour sur ce département.

Nous allons donc pouvoir observer le lien entre mortalité et température extérieure. Les années 2017, 2018 et 2019 sont observées ici de façon à ne pas être perturbé par la Covid-19 et les mesures prises. Les décès sont lissés sur 7 jours pour la même raison que précédemment. Ils sont décalés de 5 jours par rapport à la température en considérant que le décès n’est pas immédiat, mais suit un état de dégradation progressive appelé maladie.

Le test de corrélation de Spearman(([12] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Corr%C3%A9lation_de_Spearman)) nous permet de savoir si les taux de mortalité et les températures évoluent en même temps. Ce test compare les rangs entre les points de chaque variable. Il a l’avantage de ne pas supposer la nature de la relation entre les 2 variables. Il mesure si la relation entre les 2 variables est monotone. La corrélation d’après Spearman est parfaite lorsque le Rhô vaut 1 ou -1 (Figure 11). Il vaut 1 lorsque les maximas des deux variables sont synchronisés et vaut -1 lorsque chaque maximum de la première variable correspond à un minimum de l’autre variable.

Figure 11 : Exemple de corrélation parfaite de Spearman

A l’inverse, le Rhô vaut 0 lorsqu’il n’y a pas de relation monotone ente les 2 variables (Figure 12).

Figure 12 : Exemple d’absence de corrélation selon Spearman

Pour simplifier la lecture visuelle, la température est inversée car les décès augmentent en réalité lorsque la température diminue (sauf pendant les épisodes caniculaires, mais qui sont rares). Les coefficient Rhô seront alors tous négatifs. Ils seront d’autant plus forts qu’ils seront proches de -1.

Le test de Spearman nous indique que la relation entre température et décès est significative dès 50 ans. L’intensité du lien ne fait ensuite qu’augmenter avec l’âge. Il n’y a aucune relation entre température et mortalité avant 50 ans.

Au-delà de 85 ans, le Rhô de Spearman frise les 0,9 (Figure 13 et Figure 14). Si la température expliquait totalement la mortalité, le coefficient serait de 1. Notre 0,9 ici signifie que des personnes âgées de plus de 85 ans meurent toute l’année, mais les augmentations et baisses de mortalité s’expliquent avec les variations de température quasiment parfaitement. Le peu qui reste peut éventuellement s’expliquer comme du bruit, autrement dit, les aléas de la vie.

Figure 13 : Taux de mortalité en France des plus de 90 ans et température, lissés sur 7 jours

Note de lecture : Le taux de mortalité toutes causes est en notation « scientifique » : 8e-04 signifie 8 décès pour 10 000 habitants. La température est inversée : -10 signifie +10°C.

Figure 14 : Taux de mortalité en France des 85-89 ans et température, lissés sur 7 jours

Le Rhô décroît ensuite régulièrement en rajeunissant, tout en restant significatif (Figure 15). Cela signifie que pour les âges plus jeunes, les accidents de la vie pèsent plus par rapport à la température. En effet, plus la population est jeune et moins il y a de décès et donc plus les évènements particuliers vont avoir un impact. Mais aussi visiblement, plus on est jeune et moins on est sensible aux aléas météorologiques dont la température. Entre 65 en 85 ans, le rho est quand même supérieur à 0.5. C’est donc une très forte corrélation, avec surtout moins de décès qu’à plus de 85 ans et moins de sensibilité hivernale.

Figure 15 : Taux de mortalité en France des 65-69 ans et température, lissés sur 7 jours

Le test de Spearman reste significatif entre 50 et 60 ans (Figure 16). Cependant, le Rhô décroît fortement aux âges avant 60 ans. Signe ici d’une vraie période charnière à ces âges sur la santé.

Figure 16 : Taux de mortalité en France des 55-59 ans et température, lissés sur 7 jours

Sur toutes les tranches d’âge avant 50 ans, le test de Spearman n’est plus du tout significatif (Figure 17).

Figure 17 : taux de mortalité en France des 45-49 ans et température, lissés sur 7 jours

Nous savons dorénavant que la température explique bien la mortalité hivernale. Ce résultat est à rapprocher d’autres études, notamment biologiques. Par exemple, il a été observé que la composition cellulaire du sang varie selon la saison. Ces variations peuvent être signe de changements au sein du système immunitaire liés aux conditions météorologiques.(([13] – https://www.nature.com/articles/ncomms8000)) Nous pouvons tenter de modéliser la mortalité à partir de la température pour les âges pour lesquels cela a du sens et notamment au-dessus de 65 ans. Ici la méthode GAM (modèle additif généralisé)(([14] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_additif_g%C3%A9n%C3%A9ralis%C3%A9)) est utilisée. Elle consiste à modéliser une statistique à l’aide d’une autre, dans notre cas avec des fonctions polynomiales. L’idée est de savoir si nous pouvons prévoir la mortalité en fonction de la température extérieure.

Il faut avoir en tête qu’à partir du moment que le passage à la modélisation implique de s’écarter de la réalité. Il s’agit d’une construction de l’esprit pour tenter de coller aux relevés et pas d’une explication parfaite du lien. Par exemple, même si le modèle GAM polynomial est puissant, il suppose qu’il n’y a pas d’effet de seuil. Un effet de seuil serait dans notre cas un saut de mortalité. Par exemple, si on imagine que la mortalité n’augmente pas régulièrement, mais que passer sous une certaine température, un grand nombre de personnes meurent d’un coup, cela provoque un effet de seuil. C’est probablement ce que l’on observe dans le graphique des plus de 90 ans. Les effets de seuil entraînent que la fonction de mortalité n’est pas dérivable et ne sera donc pas parfaitement approchée par des polynômes.

De même, le fait que les humains ne meurent qu’une seule fois implique :

• Qu’une forte mortalité après une baisse de température va diminuer le nombre de décès possible
• S’il survient une deuxième baisse de température, il risque d’y avoir moins mécaniquement mois de décès.

Il y a donc des effets d’exclusion qui ne sont pas modélisés ici.

Cela n’empêche pas de travailler, mais permet d’être conscient que la vraie vie ne s’approche pas facilement par des formules mathématiques contrairement à ce qu’essayent de faire croire certaines équipes scientifiques, en économie comme en médecine, qui font du catastrophisme une marque de fabrique et/ou tentent de vendre des produits miracles.

Finalement, pour les plus de 90 ans, on obtient un coefficient de corrélation à 0.7 ce qui fait de ce modèle, rustique et plein de défauts, un très bon modèle de prédiction malgré tout (Figure 18 et Figure 19). Le coefficient de corrélation est maximal à 0,75 pour la tranche d’âge des 85-89 ans, probablement grâce à une moindre importance des effets de seuils et de moisson.

Figure 18 : Taux de mortalité en fonction de la température, données brutes et courbe de GAM

Figure 19 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température

On peut constater que la modélisation fonctionne pour tous les départements sur lesquels il y a assez de population pour stabiliser les statistiques. Ci-dessous par exemple les 3 départements les plus peuplés pour la tranche d’âge des 90 ans et plus (Figure 20, Figure 21 et Figure 22).

Figure 20 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour le Nord

Figure 21 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour Paris

Figure 22 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour les Bouches-du-Rhône

Comme nous l’avons vu avec le test de Spearman, la corrélation est d’autant plus forte que l’âge augmente également dans les départements. Il est significatif à partir de 50 ans, mais pas en-dessous. Finalement, le lien fonctionne très bien même à niveau plus fin : les variations de température expliquent les variations de mortalité à partir de 50 ans et la corrélation est d’autant plus forte que l’âge est avancé.

4. En conclusion, les statistiques rejettent l’hypothèse de propagation
et confortent l’hypothèse du changement de conditions extérieures

Nous avons vu dans la première partie que le fait que les hausses et baisses de mortalité soient simultanées partout en même temps invalide l’hypothèse de propagation des maladies hivernales. Si les maladies se propageaient, on verrait des mortalités en décalé.

Dans la deuxième partie, nous avons vu que la mortalité des plus âgés est presque parfaitement corrélée à la température extérieure. Finalement c’est le bon sens qui a raison devant la théorie même si elle s’appuie sur des jolies formules. Les gens qui n’ont pas perdu pied avec la réalité savent encore que :

  1. L’hiver, il fait froid et on tombe malade.
  2. Quand on est vieux et malade, on risque plus de mourir que quand on est jeune et en bonne santé.

Ainsi, la mortalité hivernale n’est pas due à l’arrivée d’un virus particuliermais bien à la dégradation de l’état de santé liée au changement météorologique. Cela ne signifie pas que les contaminations n’existent pas du tout, mais elles sont au mieux des épiphénomènes dans la masse qu’est l’augmentation de la mortalité hivernale. Il est donc complètement vain de faire de l’isolement des humains l’hiver une priorité de santé publique, cela ne va rien changer ni à l’augmentation de la mortalité, ni à celle des hospitalisations.

L’autre résultat, c’est que la politique vaccinale qui vise à lutter contre chaque virus un par un, n’aura mécaniquement pas le moindre impact visible sur la mortalité ou la maladie. Les virus ne sont pas les causes uniques des hausses de mortalité. Ils sont une résultante observable d’une dégradation de la santé liée aux conditions extérieures. Ces conditions rendent malades les gens avec de multiples pathologies. Vouloir attribuer ces hausses de décès à des virus particuliers, comme les grippes, arrange énormément les producteurs de vaccins antigrippaux, et les gouvernements qui les achètent, pour faire croire qu’ils s’occupent de votre santé. Au passage, cela permet de détruire l’hôpital public, tout en continuant de dépenser toujours plus d’argent, lui aussi public, mais pour le diriger vers les bonnes poches.

Maintenant que nous avons vu ce lien entre 2017 et 2020, nous allons voir ce qu’il se passe si on prolonge notre modèle en 2020 et 2021. Nous allons étudier les écarts entre les décès prévu par la température et ce que nous avons vécu.

Pierre Lecot, de la chaîne « Décoder l’éco »

Sources :




Comment faire sécession de la domination des élites : exercice n°1

[Source : Le Courrier des Stratèges]






La justice américaine oblige la FDA à divulguer les documents Pfizer. C’est explosif

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Aux États-Unis, invoquant le Freedom of Information Act, un groupe d’une trentaine de professeurs et scientifiques de prestigieuses universités comme Yale ou Harvard a demandé en septembre 2021 d’accéder aux documents sur lesquels s’est fondée l’administration américaine pour autoriser la commercialisation du vaccin Pfizer contre le Covid-19.

« La FDA a très officiellement répondu, explique le journal Alternative Santé, courant novembre, aux scientifiques regroupés dans le collectif Public Health and Medical Professionals for Transparency qu’il lui faudrait pas moins de 55 ans pour accéder à cette requête concernant l’ensemble des documents, notamment parce qu’elle ne souhaite pas monopoliser ses équipes sur une seule requête de ce type.

Invoquant un manque de moyens nécessaires pour traiter rapidement les 329 000 pages concernées (dont il faut anonymiser les données patients et les données commerciales sensibles liées au secret industriel), elle a très officiellement répondu que le dossier complet ne serait disponible qu’en 2076, au rythme de 500 pages par mois. 

Scandalisés, les avocats des requérants insistent sur le fait que cette demande aurait dû être anticipée afin « d’assurer la transparence du gouvernement » et qu’il est « difficile d’imaginer » qu’il y a des tâches plus urgentes que la divulgation de ces données.

Pour eux, si la FDA a pu analyser ces documents en seulement 108 jours pour prendre une décision aussi importante qu’autoriser ce vaccin qui a été injecté à plus de 100 millions d’américains, elle devrait pouvoir rendre disponible ces documents dans le même délai, à savoir d’ici le 3 mars 2022. »

Un bras de fer s’est alors engagé et s’est joué au tribunal entre l’association de médecins et la FDA, l’agence américaine des médicaments. Un juge fédéral du Texas devait trancher cette question du délai considéré comme raisonnable pour rendre publics ces documents si essentiels pour la santé publique. Il s’est terminé en faveur de l’association. Le tribunal est revenu avec une ordonnance de libération de 500 documents par mois.

Et les premières pages sont déjà explosives : le premier document de quelques 30 pages sur les effets indésirables, y compris les décès. 1227 décès signalés dès février dans les essais. En regardant le nombre d’effets d’indésirables enregistrés pour les 42000 participants à l’essai, c’est 3% de mortalité !

Comment est-ce possible que ce produit ait obtenu l’accord de la FDA avec de tels résultats… telle est la question…

Francesca de Villasmundo