Me Brusa publie les preuves de la mafia covidiste

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

[Photo : Me Brusa brandit ses documents.]

par Jacques Chassaing [Ndlr : avec quelques ajustements cosmétiques par Nouveau Monde]

Incroyable, mais vrai, le ministère de la Santé avoue que le vaccin ne sert à rien. Un retraité de 83 ans, vacciné contre le Covid, a saisi le Conseil d’État au motif de vouloir désormais aller partout librement, puisque vacciné. Sa requête a déclenché le mémoire ad hoc en défense du ministère de la Santé. Et là, surprise, Olivier Véran avoue l’inefficacité de la vaccination. Du lourd et même du très lourd qui a déclenché la colère du fondateur de Réaction 19 : « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

L’avocat Carlo Alberto Brusa était au bord de l’apoplexie lors de son direct sur YouTube qui restera dans les annales de la mortelle dictature politico sanitaire. 



(à partir de 50’) de la vidéo :

« le ministère de la Santé a répondu que pour le moment il est prématuré de différencier les règles entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées. 

Le ministre de la Santé énonce ses arguments sur les règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccin: « L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition de nouveaux variants ».

Autrement dit, souligne Me Brusa :

« vous avez non seulement un problème avec l’efficacité, mais en plus en ajoutant les variants, c’est encore plus compliqué. De fait, ce qui est normalement une des qualités du vaccin, disparaît totalement.

Autre affirmation du ministre de la Santé : « Les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès, en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de la réinfection post vaccinale, ou de la virulence d’un variant. »

Le sang de Me Brusa n’a fait qu’un tour :

« si tu dis que les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées…quelle est la garantie… »

Très énervé, l’avocat poursuit :

« de surcroît, le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers »

On se rappellera utilement que les propos du Dr Vincent Reliquet allaient dans ce sens dans l’article publié ici, le 10 mars 2021 : La vaccination Covid est inefficace et dangereuse pour les non vaccinés
(https://ripostelaique.com/la-vaccination-covid-est-inefficace-et-dangereuse-pour-les-non-vaccines.html)

Me Brusa répète les écrits du ministre Véran : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ». 

il  constate : 

« mais donc, ce n’est pas un vaccin. Un vaccin c’est ce qui permet d’être immunisé et de ne pas transmettre le virus aux tiers. Et là, ils nous disent exactement le contraire, donc ce n’est pas un vaccin »

L’avocat s’indigne :

« c’est le ministre qui le dit, c’est gravissime » Puis, citant encore le mémoire : « l’impact de la vaccination sur la population n’est pas encore connu ». 

Brusa est alors dans tous ses états :

« mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

La mafia du vaccin est en lien avec l’État-prison-Macron

C’est un sacré coup de pied qu’a mis Me Brusa dans la mafia internationale qui grenouille autour de l’affaire Covid, avec pour son objectif d’ inoculer n’importe quel produit dit « vaccin » pour asservir les peuples à un nouvel ordre mondial.

« vous allez voir où le fric tourne. » Au premier tableau de chasse, sont épinglés :

Georges Soros, Bill Gates, Thierry Breton, Olivier Véran, Emmanuel Macron, François Bayrou (appelé à s’expliquer sur  étrange agenda des prochains confinements prévus et programmés), Atos, BlackRock, Vanguard Group, BioNtech, ARNMessager, Pfizer, Microsoft, Winterthur, AXA…

« Monsieur Thierry Breton, le monsieur nettoyeur d’ATOS qui a détruit Bull, société française d’informatique, qui a été PDG  de la société ATOS, est le commissaire européen qui a lancé le passeport vert, passeport vaccinal. Or il y a conflit d’intérêts. ATOS, spécialisée dans le contrôle aux frontières par le numérique, gère le K1 code pour le voyage… »

(à 44’13)

« Edouard Philippe a été nommé administrateur de ATOS, son grand ami Thierry Breton nommé commissaire européen, et monsieur vaccin… la toile d’araignée se complique quand vous allez voir qui est chez ATOS : le Vanguard Group des connexions Pfizer, Glaxo… »

Me Brusa se livre alors à la démonstration de toutes les implications, actionnariats et capitaux de ces sociétés et remonte jusqu’à la Fondation Georges Soros qui détient plusieurs portefeuilles.

« aujourd’hui plusieurs fortunes mondiales sont gérées par BlackRock, par Vanguard Group et la Fondation Bill et Mélinda Gates, qui sont également actionnaires de Pfizer… qui sont aussi les actionnaires d’ATOS lesquels veulent nous imposer les fameux codes de reconnaissance. 

On continue : Glaxo n’est pas actionnaire de Pfizer, mais il y a des liens. On continue… et on va remonter jusqu’au laboratoire Wuhan. Vous en saurez plus lors du prochain numéro » 

(48’18)

Ne donnez pas votre accord pour que vos enfants soient testés

« et vous, directrices et directeurs d’école, vous n’avez pas à faire les larbins de la santé, ça ne rentre pas dans vos fonctions. Vous n’avez pas le droit de communiquer les informations personnelles de vos élèves. Il n’existe aucune disposition légale … »

(41’)

« Macron et sa gueule enfarinée »

Il a sang chaud cet Italien d’avocat lorsqu’il s’adresse au président Macron :

« il aime tellement être le Jupiter de la situation… mais avec sa gueule enfarinée, on est dans les menaces constantes… ils prennent les gens pour des cons avec les lits de réanimation. Vous avez plusieurs catégories de ces lits… mais quand on vous parle de taux d’occupation, on ne prend que les lits qui existaient à la base… Me Di Vizio l’a developpé. 

Il faut réagir parce que le but est de nous garder dans une position d’esclavage pour que la piquouze puisse être administrée. Aujourd’hui, il suffit que vous disiez non au poison! C’est à vous de dire non!»

(à 56’).

Il a aussi le tutoiement facile :

« et toi préfet, tu n’as pas besoin de faire un caca nerveux, et toi en tant que maire tu n’as pas besoin d’interdire de mesurer l’oxymétrie… »

(à 16,59’)

Quand un maire de plus participe activement à la répression Macron

On sait que l’association Réaction19 a lancé l’opération Oxymètre, qui consiste depuis plusieurs semaines à collecter les données respiratoires modifiées par le port obligatoire du masque des enfants. Les adultes sont également concernés.

Grande est la collusion avec le pouvoir de ces nombreux maires qui soutiennent la dictature sanitaire, y compris les pions de mairies fleuries des zones rurales.

Rappelons au passage qu’aucun des candidats et leurs listes soi-disant apolitiques aux dernières municipales, ne se sont levés pour dénoncer la manipulation du premier et du second tour. Il faut dire que ces maires se sont empressés de voter le mix de leur impunité avec l’impunité des criminels de l’Etat-Macron : 
https://ripostelaique.com/candidats-du-criminel-macron-le-28-juin-restez-chez-vous.html 
et https://ripostelaique.com/le-conseil-constitutionnel-confirme-limpunite-des-criminels-detat.html

Réaction19 révèle qu’un maire vient de prendre un arrêté interdisant aux parents d’élèves le recueil des données oxymétriques devant l’école. Ce fait s’ajoute à l’action des préfets, des policiers et de l’Education nationale mobilisés pour que les taux d’oxygénation du sang des enfants masqués obligatoirement ne soient pas mesurés.

Me Brusa va mettre en ligne la mise en demeure globale adressée au ministre de l’Education nationale et l’arrêté municipal de ce maire sera attaqué (à 16’).

Ce qu’il a dit, il va l’écrire 

Tous les contenus des documents allégués par Me Brusa seront bientôt disponibles sur le site de Réaction 19 (infos réservées aux 70 000 adhérents à l’association).

De plus, l’avocat va notifier le mémoire en défense précité :

«  à tous les parlementaires, à tous les médecins et Conseils de l’ordre pour qu’ils comprennent qu’ils sont en train de jouer avec la vie des gens avec un produit dangereux qui porte le nom de vaccin. Nous ne devons pas être des cobayes! Le ministre de la Santé est passé aux aveux judiciaires et juridiques de l’inefficacité de ce qui est vendu comme l’espoir de sortie, et ils le savent très bien … »

(54’)

La vidéo publique du live censurée quelques heures après, devient subitement privée : 19 h 10 le Direct : la covid 19 une maladie mentale ! des infos des infos ! (https://youtu.be/inc3NsYpla0)

Me Brusa part en province pour la cause

A partir d’aujourd’hui, Me Brusa entame des déplacement en régions pour amplifier le combat anti totalitarisme covidiste.

Outre Toulon, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages, Rennes, Quimperlé (avec la députée Martine Wonner), Aurillac, Nancy, la Saône & Loire (vraisemblablement à Mâcon), Bordeaux, Toulouse, Biarritz, le Nord (Dunkerque ou Lille ou Roubaix), Montpellier, Grenoble, Marseille, Avignon, l’avocat ira en Belgique, à la Guadeloupe, et peut-être en Martinique.

L’association Réaction19 met en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie de la COVID19 : https://reaction19.fr

Rien ne va plus pour Francis Lalanne

Petit entrefilet pour signaler que le poète militant, encerclé par les CRS dans un théâtre d’Avignon, a reçu l’assurance d’un prompt et prochain soutien de Me Brusa.

Décidément Francis Lalanne s’est lourdement trompé en imaginant l’imminence du ralliement de la police à la cause du peuple opprimé. Sans compter que le docteur Jean-Paul Hamon réclame son incarcération pour délit de bisous pour tous.
Cf https://ripostelaique.com/alexandra-henrion-caude-et-lalanne-chantent-le-temps-de-cerises.html 
et https://putsch.media/20210330/actualites/societe/video-le-dr-jean-paul-hamon-sur-francis-lalanne-pourquoi-on-le-colle-pas-au-trou-ce-mec-alors-que-des-mecs-sont-en-train-de-claquer-en-rea/

Jacques CHASSAING

IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.




Appel du Patriarcat Catholique Byzantin pour jeter les masques le 4 avril

[Source : vkpatriarhat.org]

Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !

Chrétiens, le jour de la résurrection, le 4 avril, rassemblez-vous devant les églises ! Arrêtez cette fausse pandémie !

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), qui est une voix prophétique, appelle par l’autorité de Dieu : « Chrétiens et gens de bonne volonté, le jour de la résurrection du Christ, le 4 avril 2021, rassemblez-vous devant les églises et célébrez la résurrection du Christ par des chants et des prières ! Ce sera aussi votre résurrection spirituelle face à la peur et à la mort. Jetez les masques par terre à l’extérieur des églises ! Piétinez cette marque d’esclavage et de mort programmée !



Regardez cette vidéo sur: https://prophets-voice.wistia.com/medias/qisbrgc85l   
https://rumble.com/vf3hp7-rassemblez-vous-devant-les-glises-le-4.3.html   
https://cos.tv/videos/play/26822232782967808   
https://ugetube.com/watch/HLtCuPGB2Vgw8GH   
https://gloria.tv/post/mPbJtpcnEg9A3wADx4TvWBbcY   

Téléchargement de vidéo: 122.4 MB, 1280×720 / 36.9 MB, 768×432

La fausse pandémie, les confinements et la maléfique vaccination expérimentale ne visent pas à prendre soin de votre santé. Leur objectif consiste à propager l’infection et la dépopulation génocidaire : la mort ! Dressez-vous contre l’esprit du mensonge et de mort : Satan et ses serviteurs ! Seul Dieu peut arrêter ce génocide planifié. Le jour de la résurrection, il vous demande : sortez de l’église ! C’est votre geste de foi. N’ayez pas peur de la persécution ou du martyre! Lorsque vous répondez à la demande de Dieu, Dieu interviendra ! »

OÙ ? En dehors de l’église.

QUAND ? A Pâques, le 4 avril, à 9 heures.

QUOI ? La victoire du Christ ! Chantez ! Priez ! Jetez et piétinez le masque !

POURQUOI ? Dieu veut que vous le fassiez !

Le Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !

En vous accordant une bénédiction,

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Téléchargement: Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !


Voir aussi : https://bcp-video.org/fr/le-jour-de-la-resurrection/




Florian Philippot : « Il faut rouvrir tout, tout de suite »

[Source : Sud Radio]




Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Wolf WAGNER pour FranceSoir

Suite à l’appel vidéo lancé par une policière espagnole incitant les spectateurs à enquêter sur ce qu’elle considère être « un recul inquiétant de la démocratie et des libertés » au sein de pays comme la France et l’Espagne, qu’elle qualifie de « dictatures sanitaires », l’AFP-Factuel, le service de vérification de l’Agence France Presse, lui a répondu en dénonçant les incohérences et autres fausses informations qu’elle pense déceler dans son discours. Problème : l’AFP s’appuie elle-aussi sur des informations erronées pour asseoir sa démonstration. Pire, elle ne peut l’ignorer, puisque France Soir l’en avait déjà avertie.

Sonia Vescovacci est, comme nous le rapporte le site Publico cité par l’AFP dans son article, officier du Corps national de police espagnole (CNP). Elle est également à la tête du collectif « policiers pour la liberté » (« policiàs por la libertad », la traduction en français de la description du collectif est proposée sur ce blog). Un collectif qui avait notamment appelé fin 2020 les agents des forces de l’ordre espagnoles à ne pas verbaliser les citoyens ne portant pas de masque ou ne respectant pas les restrictions sanitaires.closevolume_off

Dans sa dernière vidéo rapidement devenue virale, la policière, qui déclare avoir grandit dans la région marseillaise, se présente devant la caméra en uniforme et s’exprime dans un français à la tonalité hispanique. Elle y dénonce des « lois liberticides, absurdes et sans fondement scientifique » et appelle les citoyens et les journalistes à enquêter sur « les anomalies, les mensonges et les incohérences » existant autour de la crise actuelle, ainsi que sur cette « dictature sanitaire » qui, selon elle, fera « prochainement place à une dictature économico-techno-sanitaire ».

Considérée par les uns comme une « lanceuse d’alerte », elle est moquée et raillée par les autres. L’AFP en tête.

Dans son papier, l’Agence France Presse isole quatre points contenus dans les propos de Sonia Vescovacci qu’elle considère comme fallacieux :

– Les tests PCR sont frauduleux

– Les masques sont inutiles et toxiques

– Il existe des traitements capables de mettre fin à la pandémie

– Les vaccins sont toxiques

Une logorrhée d’arguments accessoires

Concernant ces quatre points, l’Agence France Presse va mettre en avant une logorrhée d’arguments nous renvoyant vers différents articles qu’elle a déjà écrit. Plusieurs heures de lecture vous seront ainsi nécessaires si vous souhaitiez consulter l’ensemble des papiers et autres références vers lesquels nous renvoie l’AFP.

Quelle meilleure preuve possible, pour nous convaincre que cette démonstration faite à l’encontre des arguments avancés par Sonia Vescovacci est juste, que celle de constater que l’AFP avait déjà éclaircie et largement étayée cette problématique ? Sous-entendu qu’il est particulièrement agaçant pour l’agence de presse de devoir nous informer à nouveau sur un sujet qu’elle pensait pourtant à présent entendu par chacun, tant elle avait déjà longuement écrit et « enquêté » sur le sujet.

Comment en vouloir à l’AFP de se sentir agacée de devoir se répéter quand nous le sommes nous-mêmes de lui faire à nouveau remarquer qu’elle ne cesse de toujours mettre en avant les mêmes arguments erronés ?

À l’instar de la manière d’opérer des complotistes les plus fantaisistes, obsédés par la conquête d’un auditoire qui, pour se laisser séduire, réclame de nos jours des théories aux allures de plus en plus vraisemblables, factuelles et argumentées, l’AFP pratique la technique de la « noyade de poisson ». Dit de manière plus intellectuelle, l’agence de presse verse dans le sophisme. En assénant sur un même thème des dizaines de paragraphes reposant principalement sur des préceptes factuellement vrais, l’agence de presse en profite ainsi pour faire passer des contre-vérités et pour, in fine, fuir les véritables questions posées qu’elle entendait pourtant éclaircir.

Par exemple, Sonia Vescovacci parle de « fraude aux tests PCR que l’on appelle aussi la fabrique de faux cas positifs pour ensuite justifier la mise en place de mesures pernicieuses ». Elle déclare que, selon elle, « l’inventeur de ce test, le prix nobel Kary Mullis, a bien expliqué que ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% ».

Ce que l’agence de presse résumera ainsi : « La policière fustige, dès le début de sa vidéo, « une fraude aux faux cas positifs pour les tests PCR » et assure qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise « avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% » ».

Notez comment l’AFP détourne le sens du discours de la policière. Elle qui explique que « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 » voit ses propos être mutilés en : « la policière (…) fustige qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ». La partie considérant l’efficacité d’un test en fonction de sa capacité à détecter une maladie a été retirée, vidant ainsi de son sens le propos initialement défendu par Sonia Vescovacci.

Et c’est du coup sur cette base tronquée, et donc fallacieuse, que l’AFP va contredire la policière en expliquant pourquoi il est, à juste titre, faux d’annoncer que les tests PCR ne sont pas en mesure de détecter le Sars-CoV-2. Pour autant, tout au long de son argumentaire, l’agence de presse prendra précisément bien garde à rester beaucoup plus évasive concernant la nuance existant entre « présence de virus » et « maladie ».

Pour remettre en question les propos de l’agent des forces de l’ordre espagnoles, l’AFP va brièvement rappeler avoir déjà « démystifié » l’affirmation selon laquelle Kary Mullis aurait déclaré que les tests ne permettaient pas de diagnostiquer « des virus ». L’agence de presse nous renvoie ainsi vers deux articles, l’un du journal Le Monde et le second issu de son cru. (cf le point 2.).

Dans ces papiers, il est expliqué que, contrairement à une affirmation largement relayée sur les réseaux sociaux, jamais Kary Mullis n’a dit que « les tests PCR étaient incapables de détecter des virus ». Dont acte, mais l’AFP nous emmène bien sur un chemin de recherche qui ne convient pas à l’objet du débat instigué par la policière, puisque celui-ci porte sur la détection, via ces tests PCR, de maladies, et non de virus.

Une nuance qui ne semble vraiment pas évidente aux yeux de l’AFP qui considère peut-être qu’il n’est pas possible d’être porteur d’un virus, voire d’une infime part de virus, sans pour autant être malade ? Ce qui serait bien évidemment une erreur d’analyse non-négligeable.

Toujours est-il que dans ce second papier, l’agence de presse s’épanche un peu plus sur la question de la fiabilité du test et en vient à conclure qu’il « est exact en revanche qu’il n’est pas conçu pour déterminer précisément la quantité de virus présent dans l’échantillon ».

De son côté, l’exposé du Monde se contente de retrouver l’article originel d’où est véritablement tirée la phrase partagée sur les réseaux sociaux et dont l’auteur, John Lauritsen, n’est en effet pas l’ancien prix Nobel de chimie inventeur du test PCR.

En résumé, ces conclusions de l’AFP sur l’efficacité des tests PCR sont pour le moins déconcertantes, puisque selon elle :

  • Il est inexact de déclarer que ces tests empêcheraient de détecter des virus, alors que Sonia Vescovacci parlait de maladies.
  • Cette détection est réalisée à l’aide de tests dont l’agence de presse consent à reconnaître que leur résultats ne permettent pas de quantifier la présence d’un virus, et donc implicitement de pouvoir estimer sa proportion à pouvoir rendre malade l’organisme qui le porte.

Face à cette argumentation aux aspects proches de celui d’un oxymore, nul doute que les esprits les plus cyniques auront tendance à vouloir répondre à l’Agence France Presse : Kamoulox ! 

Une conclusion particulièrement contradictoire qui n’est pas, ou plus, partagée par Reuters (texte en anglais). En effet, l’agence de presse britannique qui, comme Le Monde, avait également décidé de classer cette citation attribuée à Kary Mullis (« PCR tests cannot detect free infectious viruses at all », c’est-à-dire « Les tests PCR ne peuvent pas du tout détecter les virus libres et infectieux ») comme « fausse » a finalement décidé de se rétracter pour la qualifier de « trompeuse ».

Reuters explique, tout comme l’AFP l’avait fait avant elle, que « le contexte autour de la citation montre que Lauritsen ne dit pas que les tests PCR ne fonctionnent pas. Au lieu de cela, il précise que la PCR identifie les substances qualitativement et non quantitativement ».

« Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. »

Là où l’interprétation varie entre les deux agences de presse, c’est lorsque Reuters cite l’extrait de l’article de Lauritsen incluant la fameuse phrase polémique : « La PCR est destinée à identifier les substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle n’est pas adaptée à l’estimation des nombres. Bien qu’il y ait une fausse impression commune que les tests de charge virale comptent réellement le nombre de virus dans le sang, ces tests ne peuvent pas détecter du tout les virus libres et infectieux (…) Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. ».

Ce qui incite Reuters à conclure en notant que « même si Mullis avait fait une déclaration similaire avant sa mort en 2019 (ndla : comme par exemple ici), cette citation ne signifie pas que le test PCR est incapable de détecter la présence du SARS-CoV-2 (…) [mais] plutôt qu’il ne peut pas déterminer si l’individu testé est infectieux (ndla : « infectious » se traduit en français par « infectieux », il faut donc comprendre ici : « il ne peut pas déterminer si l’individu testé est contagieux et/ou porteur d’un virus infectieux ») ».

En résumé :

  • Avant sa mort, Mullis avait bien fait une déclaration similaire à celle de Lauritsen, ce pourquoi Reuters a requalifié la citation comme « trompeuse ».
  • Le test PCR est bien en mesure de détecter des traces de virus, mais il n’est pas capable de qualifier dans quelle proportion il s’est développé dans l’organisme sur lequel on a détecté sa présence, tout comme il n’est pas en mesure de déceler si vous êtes malade.

Soit, en définitive, une conclusion proche de ce qu’affirmait Sonia Vescovacci lorsqu’elle disait que : « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer des maladies et encore moins le covid ».

Même si l’AFP a dénaturé le sens de ses propos, l’agence de presse a, ainsi que Le Monde et Reuters, démontré de manière plus ou moins explicite et consciente que les tests PCR ne faisaient en réalité que révéler la présence, même inactive et infime, d’un virus dans un organisme, sans pour autant être en capacité de qualifier si un individu était malade.

Or, en médecine, la différence entre un individu qui abrite un virus et celui qui est malade est bel et bien de taille. Une différence si notable que nous pourrions trouver là motif à nous interroger sur la fiabilité des tests positifs au Covid quotidiennement recensés sur des personnes « asymptomatiques » et en pleine possession de leurs moyens.

« Le nombre de cycles, on s’en fiche » ?

Une nuance qui devient d’autant plus importante puisque, selon Sonia Vescovacci, ce test devient de moins en moins fiable dès lors qu’on « l’utilise couramment avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ».

La policière fait ici référence à la méthodologie utilisée lors de la recherche de virus à l’aide de ces tests. Plusieurs cycles d’amplification sont effectués sous diverses conditions. Plus vous effectuez de cycles, plus vous avez ainsi de chances de déceler la présence d’un virus. Une méthodologie expliquée dans cette vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève et reprise en exemple par l’AFP dans son article.

https://www.youtube.com/embed/_IiCS5r9gaU

À la différence des propos tenus par l’agent des forces de l’ordre espagnoles, pour l’AFP il n’est pas possible de parler de manière générique concernant ces cycles d’amplification, puisque, comme l’agence de presse le démontre, chaque type de tests PCR répond à des technologies et à des normes différentes. De plus, selon les caractéristiques du virus que vous recherchez, vos analyses se devront d’être plus ou moins approfondies. Vouloir fixer une barre universelle maximale à 25 cycles d’amplification n’aurait donc pas de sens.

C’est ce qu’explique à l’AFP Vincent Enouf, directeur adjoint du Centre national de référence des virus respiratoires de l’Institut Pasteur : « cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45. (…) En fait le nombre de cycles, on s’en fiche, tout dépend de la PCR, de la technologie que vous utilisez ».

« On s’en fiche » dans le sens où le nombre de cycles optimal à effectuer variera selon le virus et selon la technologie utilisée. Il ne peut donc pas y avoir de seuil normé.

« On s’en fiche » donc surtout en tant que référence universelle, mais s’en fiche-t-on réellement dans l’absolu ?

Quid d’un éventuel seuil, propre à chaque type de tests PCR (par exemple et au hasard 25 cycles pour l’un, 35 pour l’autre, 45 pour un troisième), qui une fois franchi rendrait caduc le résultat d’un test, tant on aurait multiplié ses cycles d’amplification au point de détecter d’infimes parties de virus qui n’impliqueraient aucune maladie chez le sujet testé ? À moins que l’AFP et Vincent Enouf ne considèrent qu’un test reste fiable quel que soit le nombre de cycles effectué ?

Il est malheureusement impossible de le déterminer après lecture du flot d’articles pourtant proposé par l’AFP sur ce sujet. En étant à la fois incapable de définir s’il existe un seuil maximal de cycles à ne pas dépasser pour chaque technologie utilisée, tout en n’ayant aucune idée du nombre de cycles d’amplification effectué dans les différents laboratoires français, l’Agence France Presse est, contrairement à ce qu’elle s’estime être en mesure d’affirmer, factuellement dans l’impossibilité de nous apporter des éléments tangibles permettant de contredire sur le fond Sonia Vescovacci quant à la potentialité que les résultats de tests PCR puissent être, d’une manière ou d’une autre, frauduleux.

En l’état, l’agence de presse s’obstine simplement à expliquer pourquoi le stade fixé à 25 cycles par la policière est en soi un non-sens et pourquoi ces tests sont bien en mesure de déceler la présence du virus. Si l’AFP a raison sur ces points, cette superposition d’arguments orchestrée autour de questions secondaires sonne davantage comme des victoires à la Pyrrhus pour sa démonstration, puisque in fine, face à un poisson refusant de se noyer, nous restons sur notre faim.

Peut-être ces tests PCR peuvent-ils être frauduleux si sujets à trop de cycles d’amplification, peut-être pas, mais ce n’est pas à la lecture de l’article de l’AFP, et de ses nombreux satellites, que nous sommes plus avancés pour le définir. Pourtant, ces-derniers entendaient bien répondre à notre attente par la négative, tout en prétendant contester la véracité des propos tenus par Sonia Vescovacci.

Une vingtaine de scientifiques, un grand média et des juges portugais ne partagent pas les mêmes conclusions que l’AFP 

Ce manque d’informations autour de la fiabilité d’un test en cas de dépassement d’un certain nombre de cycles est d’autant plus dommageable que cette question n’est quasiment jamais soulevée dans la presse, tout comme la vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève ne l’explicite pas non plus. À l’inverse, ils sont nombreux à dénoncer une aberration autour de ce sujet. C’est notamment le cas de cette vingtaine de scientifiques dont l’étude remet en cause l’utilisation des tests PCR sous leur forme actuelle.

Et ils ne sont pas les seuls. Au Portugal, des juges ont qualifié de « discutables » les résultats obtenus par ces tests, notamment concernant ces ambiguïtés touchant aux cycles d’amplification.

En Belgique, un « grand média », la RTBF, ira même jusqu’à communiquer le nombre de cycles réalisé, selon eux, dans le plat pays : « entre 30 et 35 ». Mieux, la RTBF interrogera Frédéric Cotton, responsable de l’un « des cinq plus grands labos belges ». qui admettra « [qu’]aujourd’hui, on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort ».

Frédéric Cotton ajoutera, avec un certain bon sens que l’AFP aime à occulter dans ses analyses, que « cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnésce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid. (…) N’empêche en attendant, une standardisation, les labos pourraient commencer à donner une évaluation de la quantité de virus (faible, moyenne ou forte), ce serait un progrès. ».

Un progrès qui permettrait surtout d’offrir de la transparence à l’étude scientifique et publique relative à la fiabilité de ces tests, puisque selon Frédéric Cotton, il suffit de communiquer sur la quantité de virus détectée à chaque cycle pour avoir une idée bien plus précise de la contagiosité, et donc de la charge virale d’un individu. De quoi y voir beaucoup plus clair dans la différenciation à réaliser entre les cas les plus graves et ceux les plus anodins.

Dans Hold-up, le documentaire de Pierre Barnéras, qui avait défrayé la chronique l’an dernier et dont les approximations et diverses projections subjectives avaient permis de dénaturer son travail journalistique aux yeux de l’opinion publique, figurait l’extrait d’un reportage de 8 Mont-Blancune chaine de télévision savoyarde disponible sur le cable. Dans cet extrait, un analyste était interrogé sur le nombre de cycles d’amplification effectué dans son laboratoire (à partir de 11’06 »)Ce-dernier expliquait alors devant la caméra procéder à des recherches allant jusqu’à 50 cycles, ponctuant sa phrase par « ce qui fait qu’on est très très très très sensible (sic) »

Image tirée du reportage réalisé par 8 Mont-Blanc dans un laboratoire effectuant des tests jusqu’à 50 cycles d’amplification.

Qu’importe l’avis que chacun s’est fait sur Hold-Up, ce passage est extrait d’un reportage réalisé par une rédaction de journalistes, dont le travail ne peut pas, faute de contradiction probante, être remis en question.

Si grâce à l’AFP nous sommes à présent en mesure d’affirmer que le seuil de 25 cycles ne peut pas être pris comme référence universelle maximale à ne pas dépasser pour obtenir des résultats fiables lorsque l’on cherche à détecter la présence suffisamment importante d’un virus dans un organisme, nous restons en revanche ignorants sur l’interprétation que nous pouvons faire vis à vis d’une amplification portée à 50 cycles, et ce, quelle que soit la technologie utilisée par ce laboratoire. Les seules réponses que nous ayons pour le moment émanent d’individus qui ne sont, certes, pas journalistes à l’AFP, mais qui le sont néanmoins bien à la RTBF, ou qui sont des scientifiques reconnus, quand ils ne sont pas juges au Portugal, et qui, tous, remettent en cause la fiabilité supposée implacable des tests PCR.

Quant au responsable du grand labo belge, s’il juge déjà qu’à « 30 à 35 cycles », « on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort », il serait intéressant de le questionner sur la technologie utilisée permettant, selon lui, de nécéssiter de monter jusqu’aux 50 cycles évoqués dans le reportage de 8 Mont-Blanc.

N’en déplaise à l’AFP, voici la preuve a minima que le débat scientifique et sociétal sur le sujet n’est pas tranché, et encore moins clos. La probabilité que des tests PCR puissent être frauduleux existe. Pour lever tout soupçon, il suffirait, comme le préconise Frédéric Cotton, de rendre plus transparent le calcul des résultats en donnant simplement « au médecin », et au patient, « un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés ».

Différents avis divergents auxquels chacun décidera d’octroyer plus ou moins d’importance selon l’analyse qui lui est propre, mais que l’AFP, elle, ne juge visiblement que trop peu pertinents pour devoir nous les dévoiler. On notera toutefois que le seuil de 50 cycles d’amplification se situe en dehors de la « valeur généralement comprise entre 10 et 45 » annoncée par Vincent Enouf.

De quoi à nouveau relancer nos interrogations concernant les cas asymptomatiques et en bonne santé. De la même manière, redescendre sous la barre des 5,000 cas par jour fixée par Emmanuel Macron pourrait dès lors apparaître comme particulièrement difficile à atteindre si toute personne abritant une infime part de virus, potentiellement « mort entre guillemets », était obligatoirement testée positive.

L’AFP répète systématiquement les mêmes erreurs… et les mêmes fausses informations

Autre preuve du déni de l’AFP, dès les premières lignes de son article, l’agence de presse cherche à contredire la policière espagnole qui dit s’appuyer sur les propos des « professeurs Perronne, Toussaint, Raoult et Alexandra Henrion-Caude ». Pour cela, l’agence de presse fait référence à l’un de ses précédents papiers (qui lui-même renvoyait déjà à de nombreux autres) censé(s) prouver pourquoi Hold-up était truffé d’une trentaine de fausses informations.

Or, déjà à l’époque dans sa démonstration, l’AFP s’était elle-même faite l’écho de nombreuses informations erronées, pour ne pas dire mensongères, comme nous vous le révélions dans ce non moins court article sur le sujet.

Malgré notre travail journalistique qui n’a depuis été contredit ni de près ni de loin par aucun service de vérification de la presse dominante, il est particulièrement exaspérant de constater que l’Agence France Presse persiste et signe dans sa démarche visant à cultiver des zones d’ombre, voire des passages purement fallacieux ou faux, lors de démonstrations pourtant extrêmement détaillées.

En effet, si vous allez au bout de la lecture des différents papiers proposés par l’AFP, vous constaterez qu’en ce qui concerne la partie de son article touchant aux « traitements capables de mettre fin à la pandémie », et donc à la question de l’hydroxychloroquine, elle continue d’appuyer l’ensemble de sa contre-argumentation sur 3 études scientifiques qui, contrairement à ce qu’affirme l’agence de presse, ne démontrent en réalité pas que cette molécule est inefficace pour lutter contre le Covid (ndla : Cf le point 5/ de notre papier).

Deux d’entre elles, Solidarity et Discovery, ont administré des doses de cheval à leurs patients, qui plus est sans avoir associé la molécule à aucun antibiotique, rendant ainsi caduque tout constat fiable sur le traitement proposé par le professeur Raoult. Des doses véritablement dangereuses au regard des posologies préconisées par l’Agence nationale de sécurité du médicament. La troisième étude, Hycovid, a, pour sa part, clairement eu tendance à prouver l’inverse de l’interprétation à laquelle se réfère l’AFP, puisqu’elle montrait qu’associée à l’azithromycine, l’hydroxychloroquine obtenait des effets sensiblement positifs sur les malades atteints de Covid-19. Le trop faible nombre de patients concernés et la trop courte durée de l’étude n’ayant pas permis de confirmer ces résultats.

Bis repetita sur le sujet des masques, où l’AFP contredit l’idée qu’ils puissent être inutiles et toxiques. Là encore, l’agence de presse usera de multiples arguments pour expliquer pourquoi le masque est bien utile dans certaines situations et conditions, tout en omettant de préciser dans lesquelles il ne l’est pas et en ne mentionnant pas le fait que l’Organisation mondiale de la santé, elle-même, n’est pas en mesure de prouver scientifiquement qu’il le soit. Le même procédé est utilisé concernant leur toxicité (ndla : cf les points 1/ et 2/ de notre précédent papier).

Que l’AFP puisse faire des erreurs, voire qu’elle puisse colporter plusieurs fausses informations dans ses articles, est de l’ordre du tolérable. A fortiori durant une crise où se mêlent de multiples incertitudes. Nul n’est parfait… même s’il fut un temps où cela impliquait une démission immédiate de son équipe dirigeante. En revanche, ce qui intrigue davantage sur les motivations qui animent maintenant la parution de ses articles, c’est que, même une fois alertée, l’AFP choisisse tout de même de s’obstiner à répéter des démonstrations interminables qu’elle sait pourtant biaisées, et donc fausses, le tout en promotionnant toujours la même idée directrice sans jamais chercher à opposer ses arguments aux informations contradictoires les plus pertinentes.

En bref, l’AFP ne s’embarrasse à présent plus à chercher la vérité. Elle la décrète directement et distribue ensuite ses bons points.

 

Wolf WAGNER est journaliste indépendant.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




La vraie vie du pape des pauvres

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

La pape avec sa Lamborghini

Je suis en train de réfléchir à mon prochain grand essai. En attendant, voici une petite vignette de ma vie quotidienne qui pourrait vous plaire.

Dmitry Orlov

[Ndlr : Poisson d’avril ou réalité ? Ne pas oublier non plus le rôle actif du pape François dans la promotion et l’achèvement de la construction du Nouvel Ordre Mondial.]




Canada : Une famille enfermée et condamnée à une amende de 18 000 dollars pour avoir fourni des résultats de tests Covid « périmés » de 2 heures

[Source : Aube Digitale]

Le nombre d’histoires de folles dignes d’États policiers est trop élevé pour être compté. Il suffit d’en choisir quelques-unes pour se rendre compte qu’elles sont représentatives de ce qui se passe dans l’ensemble du monde occidental.

Via Life Site News :

Une mère canadienne, qui, avec ses quatre enfants et la grand-mère des enfants, a été condamnée à une amende de 3 000 dollars après que des agents frontaliers canadiens ont refusé d’accepter les résultats de leurs tests COVID – parce que les résultats étaient périmés depuis deux heures – va contester les accusations devant les tribunaux si elles ne sont pas abandonnées par la Couronne.

“Nous avons des droits en tant que Canadiens et ces droits sont violés. Je suis prête à mener le bon combat”, a déclaré à LifeSiteNews la mère, une infirmière autorisée (RNBN) qui travaille dans le domaine des soins chroniques, à condition que son nom ne soit pas publié par crainte de représailles.

“Si les accusations ne sont pas abandonnées par la Couronne, la prochaine étape consiste à fixer une date de procès. Notre date limite est le 2 avril 2021.”

LifeSiteNews a créé une page LifeFunder pour la famille afin de l’aider à couvrir les frais.

LifeSiteNews a rapporté le mois dernier comment la mère et sa famille revenaient des États-Unis au Manitoba après avoir assisté au rendez-vous médical de la grand-mère de 79 ans et rendu visite à sa famille.

Elles ont toutes reçu des tests négatifs du Covid avant de traverser la frontière en voiture pour rentrer chez elles. En raison d’un problème de voiture, lorsqu’ils ont atteint la frontière, les tests, qui ont une fenêtre de validité de 72 heures, étaient expirés depuis deux heures. Les agents frontaliers ont non seulement rejeté les tests, mais ont également infligé à la famille l’amende maximale pour ne pas avoir “respecté un ordre concernant [sic] une mesure de traitement visant à prévenir l’introduction et la propagation d’une maladie transmissible”.

La famille a ensuite été emmenée dans une installation de quarantaine COVID gérée par le gouvernement, où elle a été contrainte de rester jusqu’à ce qu’elle puisse subir d’autres tests COVID.

La mère a raconté à LifeSiteNews cette semaine les détails de leur séjour dans l’installation de mise en quarantaine.

“Nous sommes restées à l’hôtel, 3 jours et 2 nuits. Nous avons fait nos devoirs, prié, pris des leçons de danse via Zoom, et mangé nos repas”, a-t-elle déclaré.

“Nous étions escortées à l’extérieur une fois par jour pour une promenade autour de la propriété. Une infirmière est venue dans la chambre pour un contrôle de bien-être/symptômes tous les matins. Finalement, nous avons tous reçu nos résultats négatifs à 20 heures le mercredi 17 février. Nous devions attendre que l’agent de quarantaine envoie par courriel une note de sortie pour chacun d’entre nous, ce qui s’est fait rapidement.”

“Nous étions si heureuses de pouvoir rentrer à la maison. Nous étions tellement contentes de pouvoir rentrer chez nous, mais nous nous demandions encore pourquoi nous devions aller à l’hôtel en premier lieu”, a-t-elle ajouté.

Au cours des jours suivants, des agents du gouvernement, habilités par la loi sur la quarantaine, ont appelé la famille pour s’assurer qu’elle respectait les règles relatives à la mise en quarantaine à domicile.

“Ils appelaient 6 fois par jour”, a raconté la mère, “un appel pour chaque personne”.

“Ils étaient très préoccupés par l’endroit où le non-voyageur, mon mari, vivait dans la maison. Ils n’arrêtaient pas de demander comment nous faisions pour rester séparés, même si nous avions tous deux des tests négatifs. Ils ont aussi fait une visite à domicile où nous avons dû montrer une pièce d’identité et répondre à un tas de questions à nouveau.”

La mère n’est pas restée inactive à la maison. Elle a raconté comment elle a appelé les agents frontaliers à de nombreuses reprises, demandant pourquoi ses enfants avaient reçu une amende et comment ils étaient censés la payer.

“J’ai expliqué la situation, en insistant sur le fait que je ne comprenais pas comment mon enfant de 9 ans, ou de 12 ans, etc. devait payer cette amende. Dans la semaine qui a suivi, j’ai reçu une lettre envoyée par courrier recommandé par le Service des poursuites pénales du Canada, indiquant que “la Couronne ne poursuivra pas vos enfants”.

La mère a déclaré qu’elle aurait souhaité, au moment du passage de la frontière, en savoir plus sur ses droits en tant que citoyenne canadienne. Elle aurait insisté pour que les agents respectent ses droits.

Plus personne n’a de droits.




Le «vaccin» d’AstraZeneca change-t-il de nom pour continuer en douce ?

[Source : European Medicines Agency (Agence européenne des médicaments)]

Vaxxevria (anciennement Vaccin Covid-19 AstraZeneca)
[Dans le rectangle sur fond vert :]
AUTORISÉ
Ce médicament est autorisé pour utilisation dans l’Union Européenne

Formes autorisées

(Document COVID-19 Vaccine AstraZeneca, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

Numéro AMM UE Nom (de fantaisie) Dosage Forme Voie pharmaceutique d’administration primaire Conditionnement Contenu
(Concentration)
Présentation
EU/1/21/1529/001 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 4 ml (8 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (80 doses)
EU/1/21/1529/002 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 5 ml (10 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (100 doses)

Extraits du document « Annexe I »

(Document Vaxzevria, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

[Les effets secondaires reconnus par le fabricant :]

Effets indésirables du médicament SOC MedDRA Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquent Lymphadénopathie
Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquent Diminution de l’appétit
Affections du système nerveux Très fréquent Céphalées
Peu fréquent Étourdissements
Somnolence
Affections gastro-intestinales Très fréquent Nausées
Fréquent Vomissements
Diarrhées
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Hyperhidrose
Prurit
Éruption cutanée
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquent Myalgies
Arthralgies
Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très fréquent Sensibilité au site d’injection
Douleur au site d’injection
Chaleur au site d’injection
Prurit au site d’injection
Ecchymoses au site d’injection (a)
Fatigue
Malaise
État fébrile
Frissons
Fréquent Gonflement au site d’injection
Érythème au site d’injection
Fièvre (b)
(a) : Les ecchymoses au site d’injection incluent un hématome au site d’injection (peu fréquent)
(b) : Fièvre mesurée ≥ 38°C



La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




La danse des mougeons

[Source : Exister en Liberté]




Note sur le bouchon de Suez

Par Joseph Stroberg

Incident purement fortuit ou volontaire, à qui peut-il nuire et à qui peut-il profiter ?

Quelques éléments de réflexion :

Le navire porte-containers qui bouche le Canal de Suez appartient à une compagnie taïwanaise, sachant que Taïwan est alliée des États-Unis, mais fortement hostile à la Chine communiste.

La nouvelle route de la soie développée par la Chine peut devenir d’autant plus utile et nécessaire que le flux maritime est réduit.

Depuis plusieurs années, les mondialistes semblent favoriser la Chine au détriment des États-Unis dans le but de faire s’effondrer le dollar et de faciliter ainsi le Grand Reset.

Le Grand Reset s’inscrit dans la stratégie du chaos contrôlé.

La « plandémie » Covid-19 engendre le chaos économique.

Le bouchon du canal augmente ce chaos.




Stratégie du Chaos Contrôlé

[Source : krystalstarcenter.com]

[Ndlr : L’hypothèse d’une influence non humaine derrière une telle stratégie n’enlève pas pour autant à la pertinence de l’analyse.]

Par Lisa Renee

Aujourd’hui, trop de personnes de bon cœur dans le monde accordent à leurs dirigeants et décideurs corrompus le bénéfice du doute, en invoquant l’incompétence ou la compassion pathologique lorsqu’ils tentent d’expliquer la destruction et le déclin rapidement croissant de leur culture occidentale dans les grandes villes soumises au programme du Chaos Contrôlé. La destruction systématique et méthodique des ressources naturelles et des cadres culturels civilisés, la destruction ou la dissimulation de beaux chefs-d’œuvre de l’art et de la littérature, et la décimation intentionnelle d’artefacts et d’antiquités mettant en évidence les âges précédents d’une culture humaine éclairée n’est pas un accident. Le Chaos Contrôlé est basé sur la soumission des individus à des méthodes sophistiquées de Manipulation Psychologique globale conçues pour réformer et réprimer la conscience de masse, en Façonnant de Faux Récits qui détruisent l’Unité et l’Empathie au sein de l’humanité. Les stratégies de division et de domination encouragent les divisions, les conflits et le chaos entre les groupes opposés afin d’empêcher la formation d’alliances fortes et l’unification qui pourraient remettre en cause le pouvoir du Contrôleur ou du Dirigeant. Cela s’étend aux entités négatives, telles que les groupes Lucifériens ou Sataniques, qui exercent un contrôle supplémentaire sur leurs représentants humains qui ont été socialement conçus pour mener à bien leur programme de division et de conquête de la race humaine.

Comprendre les motivations de l’élite du pouvoir en place signifie comprendre leurs croyances spirituelles et idéologiques liées à l’utilisation du chaos contrôlé contre leur opposition, qui est essentiellement d’inciter continuellement au chaos et à la division afin de contrôler le reste des habitants de la terre. Le chaos contrôlé, c’est comprendre le rôle de la théorie du chaos qui est utilisée dans la prise de décision militaire, lors de la planification de tactiques de division et de conquête visant tout groupe, toute population ou toute nation. Le Chaos contrôlé est utilisé à la fois comme une stratégie de guerre spirituelle sur le front métaphysique par des forces obscures non physiques, et comme un outil de désinformation et une tactique d’affaiblissement basé sur la propagande et visant les masses du monde physique. Il s’agit d’une stratégie globale de domination de la Terre sur tout le spectre (full spectrum domination), menée par les forces des EANs [Ndlr: Entités Aliénigènes (ou non-humaines) Négatives, à l’image des « démons » ou des « Archontes » dans certaines traditions religieuses ou culturelles, ou encore des Reptiliens dans des théories plus récentes relevant du domaine ufologique.], qui utilisent des contrôleurs humains sur le terrain qui ont eu accès à des richesses et des ressources illimitées de la planète afin de gérer le reste d’entre nous dans un Chaos Contrôlé.

En détruisant méthodiquement la cohésion et l’unité qui existent au sein de tout groupe, organisation, État ou nation ciblé, le groupe est affaibli par la division interne et le chaos, ce qui fait que des forces organisées extérieures qui utilisent des tactiques de chaos contrôlé peuvent intercepter et imposer facilement le contrôle des ressources du groupe. Dans le cadre d’une étude de cas, la destruction d’un état puissant pourrait être souhaitée par des sociétés multinationales, des syndicats du crime et des institutions qui ont l’intention d’obtenir un contrôle agressif sur les ressources financières, militaires et informationnelles de cet état. Les stratégies consisteraient notamment à saturer la propagande de la culture de la mort dans la population en renforçant les comportements destructeurs, tels que l’augmentation du dénuement et du nombre de sans-abri, la distribution gratuite de seringues d’héroïne, la promotion de la misère sexuelle pour réduire le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Lorsqu’il y a indifférence à la souffrance, à la misère et au dénuement des autres, les gens deviennent suicidaires et perdent leur volonté de vivre. Cela agit comme un mécanisme d’euthanasie générale pour faciliter une stratégie eugénique ou tuer dans la culture ciblée.

Une autre étude de cas permettant d’observer les stratégies de chaos contrôlé en action, comme l’utilisation de la modification du climat pour provoquer le chaos, est mise en évidence par l’activité récente de l’Ouragan Florence sur la côte est. Dane Wigington, de GeoengineeringWatch.org, a attiré l’attention du public sur ce sujet avec son récent article et la vidéo ci-dessous.

« L’ouragan Florence infligera-t-il le niveau de dommages catastrophiques prévu ? L’immobilisme « prévu » de Florence sera-t-il, dans une certaine mesure, parallèle au scénario de l’Ouragan Harvey ? Ou bien un changement de direction et un affaiblissement de la tempête au cours de la dernière heure diminueront-ils une partie ou une grande partie des impacts prévus ? Dans les deux cas, l’ingénierie climatique est la partie essentielle de l’équation qui n’est reconnue par aucune source officielle. Bien que la nature engendre de plus en plus d’ouragans / cyclones en raison du réchauffement rapide des mers, les opérations massives d’ingénierie climatique mondiale (et les technologies associées) sont de plus en plus capables de manipuler et de diriger de telles tempêtes. Dès le début, les météorologues savaient que l’Ouragan Florence suivrait une trajectoire presque rectiligne vers une région spécifique de la côte est des États-Unis. Comment le savaient-ils ? Parce qu’ils lisent un script qui leur est transmis de haut en bas de l’échelle. Un script qui, en fin de compte, provient de l’entrepreneur en génie climatique Raytheon, qui effectue toute la modélisation pour le National Weather Service (NWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA (les deux agences gouvernementales sont soumises à un bâillon fédéral illégal). Les guerres météorologiques continuent de s’intensifier dans le monde entier, l’Ouragan Florence n’est qu’un exemple de manipulation des ouragans et des cyclones. On prévoit que le Super-Typhon Mangkhut deviendra probablement la tempête la plus puissante depuis que l’on a commencé à tenir des registres. Mangkhut touchera les Philippines et même Hong Kong. Les grands médias Américains vont-ils même en parler ? Combien d’autres problèmes d’actualité mondiale seront omis en raison de la couverture de l’Ouragan Florence ? Cela fait-il partie de l’agenda mis en place ? Bien que d’innombrables formes d’activité humaine déciment et fassent dérailler le système climatique, les programmes de géo-ingénierie sont le plus grand facteur de perturbation du climat. La couverture continue des médias mainstream concernant les opérations illégales d’ingénérie climatique en fait des complices de ces crimes. Le reportage vidéo de 5 minutes ci-dessous fournit des informations sur l’Ouragan Florence et sur certains des programmes potentiels qui se cachent derrière la manipulation de cette tempête. L’Ouragan Florence, la Géo-Ingénierie de Destruction Massive et de Distraction (Dane Wigington) »

Instiguer et semer un chaos continu, particulièrement par le biais de catastrophes naturelles ou de situations d’urgence, dépasse la capacité de soutenir un mode de vie durable et perturbe la stabilité et la cohésion nécessaires pour rétablir l’ordre dans le désordre. Le déracinement des populations, la création de réfugiés et les migrations massives sont des outils de déstabilisation et de guerre psychologique, en prenant le contrôle de ces zones par l’incitation au chaos tout en détruisant la culture locale. Lorsque l’environnement naturel et la beauté de la terre sont détruits, tels que les arbres, les plantes et les animaux, cette décimation produit un effet de Déshumanisation et de démoralisation sur les personnes qui y vivent. Vivre dans une terre désolée et stérile à cause de la pauvreté abjecte, de la guerre et des événements cataclysmiques n’est pas très souhaitable pour faire évoluer la conscience et développer la culture locale, cela produit des valeurs primitives et de la barbarie. En conditionnant la propagande du chaos contrôlé continu comme un mode de vie semé comme la Culture de la Mort mondiale, elle atteint les objectifs des Contrôleurs de diverses manières.

  • Vivre sur le terrain de la guerre psychologique des stratégies de chaos mondial contrôlé freine la croissance de la conscience humaine, exploite les émotions négatives primitives et neutralise la volonté intérieure de créer et de se développer davantage de manière positive qui contribue à la société, personnellement et professionnellement. (invoque la peur, de la division à la confusion).
  • Il détruit le développement des liens de communication entre les personnes, augmentant la compartimentation et la déconnexion de la vision de la somme plus importante des parties mobiles, supprimant l’accès à l’information qui permet aux personnes et aux groupes de voir l’ensemble du tableau. (ignorance contre intelligence, semer la division et la confusion).
  • Elle réduit la capacité des gens ordinaires à influencer les événements dans les structures de pouvoir et de contrôle, en promouvant des valeurs barbares et primitives comme étant acceptables, tout en fermant les médias indépendants et alternatifs. (déshumanisation et démoralisation, ignorance contre intelligence).
  • Augmente la bureaucratie, répand le gaslighting par de faux récits, sème la croyance illusoire qu’il faut plus d’argent pour tout résoudre, augmente l’esclavage de la dette et favorise la corruption et les comportements criminels. (accablement et usure, démoralisation).
  • Détruit les progrès de l’enseignement supérieur et contrecarre les véritables découvertes scientifiques, élimine la possibilité de poursuivre les voies d’un développement supérieur de l’humanité vers des technologies libres et ouvertes qui élimineraient la guerre, le carburant et les économies basées sur les catastrophes. (ignorance contre intelligence, division contre confusion).
  • Cache un ciblage spirituel secret et une persécution qui vise à freiner l’expansion de la conscience, nous bombardant de négativité, tout en réprimant la vérité et les attributs Krystiques dans les personnes Eveillées, car tous les médias et les piliers de contrôle de la société sont utilisés pour nous soumettre spirituellement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. (invoquer la peur, semer la division et la confusion, la démoralisation).

Les stratégies du Chaos Contrôlé et l’incitation intentionnelle aux forces du chaos dans le monde en général sont également liées à l’Idéologie Satanique générale et à ses principes les plus élevés. Les individus qui sont des occultistes modérés ou extrêmes dans leurs différentes branches du système de croyance satanique pratiquent également les mêmes stratégies de division et de conquête afin de prendre l’avantage et d’opprimer les masses, par Manque d’Empathie et de compassion pour le sort des autres. Le Satanisme favorise la montée de maîtres manipulateurs et de personnalités sociopathes pour exploiter toute la faiblesse psychologique et émotionnelle de l’homme à des fins personnelles. Pour l’occultiste Satanique, l’attaque psychique et la Magie Noire sont conçues pour siphonner l’énergie de l’âme afin de produire une faiblesse spirituelle ainsi que la préméditation de stratégies complexes qui visent à détruire leur opposition à tout prix. C’est pourquoi de nombreux Satanistes sont des maîtres de la propagande, utilisant des tromperies complexes à des fins de manipulation psychologique pour tenter d’endoctriner le public dans diverses formes d’Idéologie Satanique de modéré à extrême au travers des médias mainstream contrôlés.

(Source: Propaganda, Hurricane Florence, Geoengineering Mass Destruction, Dane Wigington GeoengineeringWatch.org)

→ Voir Principes de base de la Guerre Psychologique.

Auteur : Lisa Renee, energeticsynthesis.com




Un passeport de liberté ou de détention…?

[Source : Voyage Forum via Profession Gendarme]

Bonjour à tous,

Avec la crise actuelle et l’arrivée à grands pas du passeport (ou « pass ») vaccinal obligatoire pour non seulement se déplacer entre les pays, mais aussi dans notre propre pays, tout l’univers du voyage risque de bientôt changer de manière très drastique. Nos différents gouvernements nous font miroiter que le passeport vaccinal en sera un de liberté. Mais est-ce vraiment le cas?

Personnellement, je n’y crois pas du tout (cliquez ici pour lire mon questionnement en septembre 2020 concernant cette crise). Nos gouvernements nous disent que, grâce à ce passeport vaccinal, nous pourrons retrouver une partie de notre vie d’avant, retourner au restaurant, revoir nos proches, voyager… Ce brin de liberté est très attirant pour bien des gens, mais une grosse partie de la population réalisera rapidement que ce passeport vaccinal et ses conditions sous-jacentes cachent en fait, entre autres, un système extrêmement sophistiqué de suivi et de surveillance gouvernementale de tous les déplacements et fréquentations de chaque citoyen (bien des dictateurs ont rêvé d’un tel système de surveillance…). Puis viendra le moment des rappels des vaccins à chaque quelques mois et de l’obligation de passer des tests covid pour diverses situations, sous peine de voir son passeport vaccinal être désactivé. Par la suite, nos gouvernements intégreront très certainement d’autres informations dans ce fameux passeport, de sorte qu’il se transformera en une identité numérique contenant bien plus que notre simple fiche vaccinale du covid. Dans un tel système, il est légitime de se demander aussi ce qu’il adviendra de ceux qui critiqueront le gouvernement: ces personnes auront-elles autant de liberté pour se déplacer et vaquer à leurs occupations dans la société que les autres personnes plus dociles et/ou apeurées? Jusqu’où les élites dirigeantes iront-elles pour garder le contrôle sur la population, sur nous: menaces de perdre notre revenu, notre emploi, notre statut, nos droits, nos libertés, nos possessions…? Ces menaces ont de toute évidence déjà commencé dans de nombreux pays par différents subterfuges. Et, tout cela est sans compter les immenses problèmes éthiques entourant le choix de se faire vacciner ou non sous de telles conditions.

Pour ma part, il est évident que nous nous dirigeons rapidement vers un système similaire au régime totalitaire chinois. Je vous invite fortement à écouter cette vidéo sur le crédit social en Chine. Souhaitons-nous vivre dans ce genre de monde? À la vue de tous les changements qu’il y a eus dans nos sociétés depuis un an (lois et mesures très liberticides et infondées, pensée unique dans les grands médias et dans le monde scientifique (du moins en apparence…), censure de tout ce qui est contraire à la version officielle médiatisée, censure ou discréditation infondée de traitements efficaces et peu coûteux, valeurs morales inversées à différents niveaux de la société, menaces de toute sorte si on critique les décisions gouvernementales, etc.), qui peut croire encore qu’il n’y a aucun risque que nous basculions, si ce n’est pas déjà fait, vers un régime totalitaire? Au nom de la sécurité médicale absolue et du risque zéro (le plus grand des leurres pour les hypocondriaques en herbe), au nom du pseudo altruisme (par exemple, se faire vacciner en pensant que c’est «pour les autres», alors que le vaccin n’empêche pas la contagion selon les données officielles des fabricants), combien de droits et libertés sommes-nous prêts à perdre? Et, une fois perdus, n’est-il pas extrêmement naïf de penser que nos gouvernements nous les redonneront un jour d’eux-mêmes?

En tant que Canadien, je suis d’autant plus inquiet lorsque je me rappelle que l’actuel premier ministre du Canada a déjà dit publiquement qu’il admire le régime dictatorial chinois…! 

Surpris

Ça explique probablement pourquoi il ne dénonce pas haut et fort et ne fait rien de concret pour contrer les camps de concentration des Ouïghours en Chine (vidéo)… 

Incertain

Je suis aussi inquiet de réaliser à quel point l’OMS semble très liée à la Chine et à quel point le directeur de cette organisation, en plus d’être soupçonné de très sérieux crimes (article1 et article2), semble apprécier lui aussi les régimes dictatoriaux (vidéo).

Les démocraties un peu partout dans le monde sont de plus en plus à l’agonie. En guise d’exemple, voici ce qui se passe en ce moment en Israël derrière le mur opaque des grands médias (ce scénario est fort probablement prévu pour les pays d’Europe et au Canada d’ici quelques mois…):
– Sonnette d’alarme sur ce qu’il se passe en Israël
– Une Israélienne lance un S.O.S

Et, à ceux qui crient derrière leur écran «complotiste!» en lisant ce message, je leur rappelle que ces fameux «complotistes» ont eu pratiquement tout bon depuis le début de cette crise. Ils ont en fait été vraiment excellents pour annoncer (dénoncer?) les événements un an ou quelques mois d’avance. Il serait peut-être temps de commencer à les écouter…

Concernant l’avenir de VoyageForum, dans la mesure où faire la promotion des voyages impliquera bientôt nécessairement de faire indirectement la promotion du vaccin, du passeport vaccinal ainsi que de tout le contrôle et la surveillance gouvernementale derrière ce passeport, je refuse catégoriquement de participer, d’alimenter ou de promouvoir une telle machination qui nous rendra encore plus esclaves de nos gouvernements et de leurs volontés. Continuer d’administrer VoyageForum dans de telles conditions impliquerait d’outrepasser mes valeurs les plus profondes, sans compter le fait que je suis totalement contre l’obligation de recevoir un vaccin entièrement expérimental et qui demeurera selon les fabricants en phase test jusqu’à la fin de 2022 (nous sommes littéralement des cobayes).

Qu’adviendra-t-il de VoyageForum? Honnêtement, je n’en ai aucune idée pour le moment et, bien franchement, cela devrait être ces temps-ci la dernière de nos préoccupations. Le temps n’est vraiment pas aux voyages, mais bien à la réflexion sur ce qui est en train de se passer dans nos sociétés et sur ce qu’on peut faire pacifiquement pour éviter le pire.

Pour départir le vrai du faux concernant cette crise, il devient aussi de plus en plus flagrant qu’il faille maintenant aller chercher l’information ailleurs que dans les grands médias (« médias mainstream »). Les principaux médias (qui prennent la majorité de leurs informations de seulement quatre agences de presse au niveau mondial), nos gouvernements, les quelques organisations mondiales ainsi que de grandes entreprises pharmaceutiques sont en effet devenus de toute évidence les différents visages d’une seule et même entité, pour ne pas dire d’une même «bête». Posons-nous sérieusement la question si cette entité, dont les ramifications financières et d’influences sont à tous les niveaux de notre société, souhaite vraiment notre bien. Est-ce que l’état providence existe toujours? C’est une question capitale sur laquelle il est très urgent que chaque personne réfléchisse.

J’en aurais tant à dire sur le sujet, mais je vais plutôt laisser parler des scientifiques et experts par l’intermédiaire de vidéos et articles ci-dessous. Cela aidera sûrement certains d’entre vous à avoir un aperçu plus juste de ce qui se passe derrière le mur de la « version officielle » des grands médias. Vous verrez que de très nombreux scientifiques, médecins et autres spécialistes sont loin d’être unanimes sur la gestion de cette crise, sur ce qui est vraiment en train de se passer à l’arrière-scène et sur les moyens pour remédier à cette crise.

Réveillons-nous, levons-nous et reprenons notre destin en main ainsi que nos droits et libertés. Mais surtout restons pacifiques et solidaires en tant que peuple (nous sommes 99,9% de la population et ils ont tellement peur que le peuple se réveille et se lève…). Prenez bien soin aussi de vous et de vos proches.
Une vidéo inspirante qui donne de l’espoir… Cultivons notre courage et unissons-nous…

Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
Bien cordialement,
François Boucher, fondateur de VoyageForum

VoyageForum.com
VoyageRéseau Inc.



Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

[Source : Visegrád Post (visegradpost.com)]

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post




Bill Gates et la fin de l’Amérique

[Source anglaise : Video Rebel’s Blog]

[Traduction : LA CAUSE DU PEUPLE]

Naomi Wolf a écrit Les dix étapes du fascisme  sous le régime Bush II dans le cadre de son livre de 2007 End of America: A Letter to a Young Patriot [Ndlr: Fin de l’Amérique : lettre à un jeune patriote]. À ce moment-là, elle a dit que nous avions déjà franchi les neuf premières étapes du fascisme. Et aussi à l’époque dans ses conférences, elle nous a promis qu’elle nous avertirait quand nous serions arrivés à l’étape 10 et au fascisme complet. Elle vient d’émettre son avertissement : Naomi Wolf croit maintenant que nous vivons tous sous le fascisme. Et elle dit que c’est la pandémie de covid qui nous a poussés par-dessus bord.

Elle a énuméré dix étapes que chaque coup d’État prend pour mettre en place une dictature. Elles sont :

1. Invoquer un terrifiant ennemi interne et externe.
2. Créer des prisons secrètes où la torture est pratiquée.
3. Développer une caste de voyous ou une force paramilitaire qui ne relève pas des citoyens.
4. Mettre en place un système de surveillance interne.
5. Infiltrer et harceler les groupes de citoyens.
6. Se livrer à la détention et à la libération arbitraires.
7. Cibler les personnes clés.
8. Contrôler la presse.
9. Qualifier la critique comme de l’espionnage et la dissidence comme une trahison.
10. Subvertir la primauté du droit.

Elle écrit maintenant son nouveau livre Step Ten [Ndlr: Étape 10] parce qu’elle croit que nous sommes dans la dernière étape, la transition vers le fascisme mondial. Nous vivons maintenant sous le fascisme parce qu’il n’y a pas d’État de droit avec les mesures d’urgence covid imposées à tous. Même le London Telegraph défend «No jab, No job» (Pas de piqûre, pas de job). Des passeports de vaccins sont en cours d’élaboration. Nous vivrons dans une société contrôlée. La Grande-Bretagne est dans une situation bien pire que l’Amérique. Je pense qu’il en est ainsi pour deux raisons, que Wolf, en tant qu’intellectuelle juive diplômée de Yale et d’Oxford et qui n’a résidé qu’à San Francisco et dans le nord-est des États-Unis, ne comprend pas.

Premièrement, l’Amérique est une nation fédéraliste. Nos gouverneurs d’État ont dit non aux verrouillages et aux masques. Le gouverneur républicain du Dakota du Sud a rejeté les confinements. De nombreux gouverneurs républicains suivent maintenant son exemple et rejettent même les obligations de masque.

Deuxièmement, nous avons un deuxième amendement qui garantit tous les autres. Le Guardian nous a dit que l’année dernière, les Américains possédaient 493 millions d’armes à feu. En raison de Covid et des émeutes du BLM et de l’ANTIFA, les ventes d’armes à feu ont augmenté. USA Today affirme que 40 millions d’armes à feu ont été légalement achetées en 2020 et 4 millions de plus en janvier 2021. Les libéraux ne semblent pas comprendre que si nous n’avions pas plus de 500 millions d’armes à feu, nous aurions perdu nos libertés depuis longtemps.

Un exemple serait le plan de l’administration Bush II pour arrêter 8 millions d’Américains figurant sur une liste principale de personnes à faire disparaître sans procès en cas d’urgence nationale. Cela signifie que si le dollar meurt à cause de la cupidité et de la stupidité des banquiers et de leurs politiciens ʺtoutous à sa mémèreʺ, ils prévoient d’arrêter 8 millions de personnes ʺdangereusesʺ car elles refusent les diktats de Wall Street, des créatures du marais de Washington DC et de Bill Gates.

Ce que Naomi Wolf ne peut pas voir, c’est que, selon cet article du Guardian, 7,1 millions d’Américains possèdent 40 armes ou plus. Que pensez-vous qu’il se passerait si quelqu’un à Washington donnait l’ordre à 20 ou même 30.000 agents fédéraux armés de faire du porte-à-porte et d’arrêter 8 millions d’Américains sans procès? Pensez-vous que quelques uns résisteraient à la torture et à la mort sans procès ? saisiraient-ils quelques unes de ces 500 millions d’armes à feu pour tirer sur des fédéraux? Ne pensez-vous pas que quelques millions d’Américains bien armés passeraient à l’offensive contre les mondialistes dès le 3ème ou 4ème jour des arrestations illégales?

Wolf omet également toute discussion sur les origines du covid en tant qu’arme biologique dans un laboratoire de l’Université de Caroline du Nord. Il a ensuite été perfectionné dans un laboratoire militaire à Wuhan en Chine avec 3,7 millions de dollars de subventions des NIH du Dr Fauci et du président Obama en 2014.

Elle dit qu’à l’étape 10, il n’y a pas de règle de droit. Pfizer et Moderna ont développé des traitements expérimentaux qui, selon la législation américaine, ne pouvaient pas être appelés vaccins. Ils sont probablement beaucoup plus dangereux que le covid. Le CDC, si vous croyez à ses mensonges, nous a dit que le port d’un masque pourrait réduire notre taux de mortalité covid à moins de 2% mais ne nous a pas dit combien d’entre nous mourraient d’infections bactériennes. Lors de l’épidémie de grippe espagnole, des millions de porteurs de masques sont morts d’infections et non de grippe. Une bien meilleure réponse serait de dire aux 70% d’Américains déficients en vitamine D de prendre des suppléments comme ils l’ont fait en Espagne. La région d’Andalousie a réduit son taux de mortalité covid de 82% avec des doses quotidiennes minimales de vitamine D-3.

Il n’est pas surprenant pour moi qu’en tant que démocrate, Wolf n’ait jamais mentionné le vol de l’élection présidentielle de 2020 comme exemple de la perte de l’état de droit. En 2016, malgré le vol par les démocrates de 8 millions de voix, l’Hillarante a quant même perdu. En 2020, ils ont probablement volé quelque 14 millions de voix et ont gagné parce qu’aucun tribunal n’a été disposé à prendre en compte les preuves documentées de vols massifs de votes. Un exemple serait celui de Milwaukee dans Wisconsin où les circonscriptions avec 1.000 électeurs ont enregistré 7.000 votes. Cela ne pourrait jamais arriver si nous avions la primauté du droit et une presse libre et responsable.

Si vous voulez savoir ce qu’est l’Amérique, jetez un œil à ses présidents

Brady Hartfield

Lorsque les menteurs guident, seuls les lâches, les complices et les esprits affaiblis suivent.

Auteur inconnu.

Cela nous indique tout ce que nous devons savoir sur la politique américaine à l’époque de Biden et Harris. Nous avons en Biden un leader corrompu, pervers, menteur, voleur et sénile. La presse et la plupart des gens sont d’accord avec cela.

Je dois souligner que je me suis opposé à de nombreuses politiques de Trump. Je me suis opposé à son sionisme et à son acceptation de l’escroquerie Covid et des vaccins. Mais il était entouré de créatures du marais et de sionistes à Washington.

Gates vs. the goon squad | The Seattle Times

Où se situe Bill Gates dans cette image?
Ces vaccins ont été jugés acceptables parce que nous étions censés être dans un état d’urgence, ce qui signifie qu’ils n’auraient jamais été mis en œuvre si nous avions encore la primauté du droit. M. Bill Gates a donné 750 millions de dollars à GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) en 1999. C’est lui qui nous a donné les vaccins qui, selon le Dr Vernon Coleman, sont des armes de destruction massive.

M. Gates croit en la réduction de la population. Les Georgia Guidestones  nous disent que nous devons réduire la population mondiale à 500 millions. Certains disent que nos grands et glorieux dirigeants permettraient à un milliard d’entre nous, simples roturiers, de continuer à vivre. Bien sûr, cela signifie que 7 milliards ou plus de gens ordinaires devraient mourir.

Vous devez comprendre maintenant que les Boss croient que vous avez été créés pour améliorer la vie des super milliardaires.

Articles Liés

J’ai évoqué le plan d’arrestation et de torture de 8 millions d’Américains. Il a été discuté dans le Huffington Post et dans l’émission de radio Democracy Now.
Fuck Up: 8 millions d’Américains sont sur la liste des disparus https://vidrebel.wordpress.com/2014/02/02/screw-up-8-million-americans-are-on-the-list-to-be -disapparue.
J’ai mentionné le fait que les responsables veulent votre mort. J’ai écrit à ce sujet ici: David Rothkopf était le directeur général de Kissinger Associates dans les années 1990. Il a écrit le livre Superclass dans lequel il a dit que le monde était dirigé par 30 familles et leurs 6000 Minions. Les trente familles sont le nouvel ordre mondial. Cet article prouve également que covid a été créé dans un laboratoire en tant qu’arme biologique
Le patron veut que vous soyez mort (mis à jour) https://vidrebel.wordpress.com/2020/06/08/the-boss-wants-you-dead/.
J’ai mentionné Bill Gates. J’ai écrit plusieurs articles sur lui dont celui-ci:
Bill Gates Prédiction 1997: Extinction 2020 par le virus pulmonaire. https://vidrebel.wordpress.com/2020/04/17/bill-gates-1997-prediction-2020-extinction-by-lung-attacking-virus/.
Je pense que Kamala Harris, qui a des liens étroits avec George Soros et Warren Buffett, est encore plus dangereuse que Joe Biden.
Kamala Harris #PedoQueen # PedoDefender https://vidrebel.wordpress.com/2021/03/09/kamala-harris-pedoqueen-pedodefender/.
J’ai également dit que le Dr Vernon Coleman a dit que ces vaccins étaient des armes biologiques. Jugez par vous-même et regardez sa vidéo.
https://brandnewtube.com/watch/covid-19-vaccines-are-weapons-of-mass-destruction-and-could-wipe-out-the-human-race_GcjtJu9dY1RcSNh.html.

Source : Naomi Wolf, The End of America and Bill Gates




Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid

[Source : Geopolintel]

L’expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres.

Dans notre cas on va expérimenter le terme complotiste inventé par des psychologues de la CIA, pour forcer les gens à rentrer dans la pensée admise et non divergente.

Le ministère de la santé a expérimenté cette technique de conformité du groupe avec le port du masque et en faisant croire qu’un test PCR positif équivaut à avoir le Covid.
L’ effet de répétition des campagnes de sensibilisation permet une autohypnose où la force du groupe prime sur l’individu. Cette technique est idéale en dictature pour forcer les gens à renier leur propre opinion plutôt que de sortir du rang.

Autre phénomène utilisé par le gouvernement Macron et le cabinet de conseil McKinsey est la « pensée de groupe » (« groupthink »). Le terme a été inventé par le psychologue américain Irving Janis. C’est une dysfonction du groupe. Il mène les dissidents à taire leur opinion, par peur d’être exclus du groupe, isolés ou ridiculisés.
La distinction entre une parole dissidente mais crédible et une théorie fantaisiste peut être subtile et être instrumentalisée pour valider la pensée du groupe.
C’est pour cela que la presse continue à interviewer le professeur Didier Raoult.
Si on ne lui donne pas la parole on laisse le champ libre aux réseaux sociaux et au complotisme.
Se faire traiter de complotiste agit surtout dans la sphère familiale, depuis le premier confinement ceux qui ne portent pas le masque sont isolés et empêchés de voir leur proches. S’il veulent retrouver une vie familiale ils se résignent à écouter les paroles infantilisantes de l’idiot de Matignon qui préconisait de placer les grands parents dans la cuisine le jour de Noël pour manger la bûche.

Le discours de la « carotte » consiste à mélanger maintien sous contrôle du virus et le retour progressif à une vie normale avec le vaccin pour nous forcer à accepter la dictature sanitaire. Le véritable objectif de l’élite mondialiste est d’écrouler notre économie mais cette pensée est complotiste.

Ceux qui sont sortis du rang doivent assumer leur dissidence pour garder leur liberté.

L’expérience de Asch

Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue (voir les expériences filmées), pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm.

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe ; Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Milgram où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

L’effet Asch

Son hypothèse de départ est la suivante : Un individu est susceptible de faire sien un jugement qu’il sait contraire au bon sens, à la réalité et cela sans que quiconque n’ait à délivrer la moindre récompense ou punition. La situation est simple et ne présente aucune ambiguïté ; tous les Sujets sont capables de fournir la réponse exacte. En effet, les sujets devaient dire quelle baguette est équivalente à la baguette de présentation. Les erreurs doivent donc être quasi inexistantes ou marginales.

Les résultats sont les suivants :
Les Sujets naïfs, influencés par les compères vont donner en moyenne 36,8 % de réponses erronées. Pour pouvoir comparer ; l’expérimentateur avait constitué ce qu’on appelle un groupe contrôle qui ne comportait pas de sujets compères ; dans cette situation les erreurs sont effectivement marginales avec seulement 2 sujets sur 37 qui montraient une ou deux erreurs sur les 18 évaluations.
Asch observe également de grandes différences entre les sujets ; sur 123, 29 ne font aucune erreur et 39 font plus de 50 % d’erreurs en présence de compères. Le processus de conformité est ici mis à jour.

Dans cette expérience, on a :
Une dépendance ou Influence informationnelle induisant le conflit cognitif.

  • Importance numérique de la majorité
  • L’unanimité de la majorité
  • Support social ou consensus de la majorité Une dépendance ou Influence normative : Il y a conflit motivationnel, dans la mesure où le maintient réel ou symbolique dans le groupe est subordonné à l’adhésion aux Normes, aux règles de ce groupe.

Surmars




La France revivra-t-elle?

Par Joseph Stroberg

Il y a plusieurs siècles et sur un plan occulte, la France était considérée comme la patrie de la Nouvelle Alliance du Christ. La royauté française recevait l’onction sacrée à Reims, comme descendant prétendument du roi David via les Mérovingiens. La France a ainsi été longtemps reconnue comme la fille aînée de l’Église, et son roi était le lieutenant du Christ (en théorie). Cependant, elle a subi de multiples invasions depuis l’époque romaine et les Celtes initiaux se sont dilués. Par analogie, la région géographique correspondante s’est retrouvée comme un corps malade dont les différents organes ne pouvaient plus fonctionner en harmonie. Les Bretons, les Bourguignons, les Normands, les Auvergnats, les Béarnais, les Provençaux, etc. représentaient autant d’organes disparates peu capables de se coordonner. La France était devenue dyspraxique.

Pour pouvoir retrouver un état fonctionnel, ce corps s’est alors doté d’un cerveau puissant : Paris, l’Île-de-France. Pour que son âme celte puisse réintégrer un jour pleinement le corps, la France est devenue une nation mentale, intellectuelle, regorgeant d’esprits forts et créatifs, artistes, inventeurs, penseurs… qui ont longtemps influencé le monde. Le problème est que la Révolution française l’a véritablement décapitée et sa voix s’est progressivement éteinte, n’étant plus qu’un écho de plus en plus lointain de ce qu’elle était originellement.

Le roi de France n’était pas le despote absolu que la propagande républicaine a voulu faire croire, mais avant tout le protecteur du peuple, même si dans la pratique tous les rois n’ont pas joué adéquatement ce rôle. Cette révolution a été le fer de lance du renversement, puis de l’inversion croissante des valeurs, des symboles et des principes immémoriaux pour aboutir à une société corrompue de la tête aux pieds. La République a prétendu se préoccuper du peuple, mais dans la pratique n’a jamais vraiment pris en compte ses intérêts vitaux, car dès le départ, elle a été sous la coupe de sociétés secrètes élitistes et de groupes aux objectifs et aux idéologies contraires. La démocratie a prétendu écouter la voix du peuple, mais dans la pratique, par le biais des systèmes représentatifs, ne lui a jamais laissé le moindre degré de souveraineté et de capacité de décision autonome. Et devant la multiplicité et la complexité croissante des lois, règles et règlements démocratiques ou républicains, les serfs du Moyen-âge se trouvaient en fait plus libres que l’individu de nos sociétés soi-disant développées. (voir La bureaucratie contre la liberté et Société libre ?).

En blessant mortellement l’Église, en décapitant la tête — le Roi, la Révolution a empêché que la France retrouve son âme. Depuis lors, celle-ci se comporte comme un mort-vivant de plus en plus zombifié. Même si le Catholicisme romain et plus récemment le Vatican se sont prétendus représenter l’Église du Christ, cette dernière est de nature nettement plus subtile que les pierres des cathédrales et des monastères. La France ne pourra pas retrouver sa grandeur et son âme sans reconnaître et retrouver son rôle chrétien fondamental, indépendamment de toute structure formelle contraignante, et sans se redonner un guide, sous forme d’un Grand Monarque ou d’autre chose, qui soit apte à la guider et à lui rendre sa lumière perdue. De manière imagée ou symbolique, la tête décapitée devra être replacée et recousue pour que le corps retrouve non seulement sa vitalité, mais aussi son âme. Le Grand Monarque fait partie des gènes de la France, à cause des grands rois qui ont marqué son histoire depuis ses origines. Elle ne pourra réellement revivre sans une figure équivalente, au moins pour le temps de sa convalescence et de sa régénération.

La crise de la Covid-19, largement aggravée, sinon créée, par une partie des élites mondiales et globalistes devrait permettre au peuple (lorsqu’il se réveillera de son coma et de l’anesthésie de l’opération subtile destinée à lui permettre de retrouver sa tête et son âme) de réaliser l’état avancé de la maladie mortelle dont il a été victime. La France ressuscitera au moment même où elle retrouvera sa conscience millénaire, son essence royale, et le sens de sa mission particulière parmi les nations en tant que fille aînée de l’Église du Christ, en tant que patrie de la Nouvelle Alliance et berceau de la Nouvelle Jérusalem. Envolée purement poétique? Ou bien réalité future possible? L’avenir que nous construisons est fortement conditionné par l’orientation de nos pensées et par l’énergie que nous leur fournissons, selon leur intensité, leur concentration, leur acuité et leur durée. Qui vivra verra.




« Demain, ça pourrait être quelqu’un d’autre » : Bernie Sanders se prononce contre l’interdiction de Trump sur Twitter

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le sénateur Bernie Sanders (Indépendant-Vermont) s’est prononcé hier contre l’interdiction de Twitter de l’ancien président Donald Trump. M. Sanders a exprimé son malaise face au rôle des grandes entreprises technologiques dans la censure des points de vue, ce qui le démarque nettement de ses collègues démocrates qui ont réclamé davantage de censure de la part des entreprises. Dans une interview accordée mardi au chroniqueur du New York Times Ezra Klein, M. Sanders a déclaré qu’il ne se sentait pas “particulièrement à l’aise” avec le bannissement malgré son opinion selon laquelle Trump est “un raciste, un sexiste, un xénophobe, un menteur pathologique, un autoritaire… un mauvais élément”. Il a déclaré : “Si vous me demandez si je me sens particulièrement à l’aise avec le fait que le président des États-Unis de l’époque ne pouvait pas exprimer ses opinions sur Twitter ? Je ne me sens pas à l’aise à ce sujet”.

J’ose espérer que Sanders adopterait le même point de vue qu’un président qui ne siège pas ou qu’un citoyen moyen. Ils devraient tous pouvoir s’exprimer librement. Sanders ne va pas jusqu’à cette position d’”originaliste de l’Internet”, mais il reconnaît au moins le danger d’une telle censure. Il a noté que “nous devons réfléchir, parce que si quelqu’un pense qu’hier c’était Donald Trump qui a été banni et demain cela pourrait être quelqu’un d’autre qui a un point de vue très différent.” Il a déclaré que c’est un risque d’avoir une “poignée de personnes à la pointe de la technologie” qui contrôlent la liberté d’expression en Amérique.

J’ai longtemps fait l’éloge de M. Sanders pour sa position de principe sur de nombreuses questions et cette opinion dissidente est très bien accueillie par les membres de la communauté de la liberté d’expression. Elle contraste fortement avec celle de ses collègues démocrates qui ont célébré l’interdiction et appelé à davantage de censure. L’une des principales voix de la censure au Sénat est le sénateur Richard Blumenthal (Démocrate-Connecticut) qui a fustigé les Big Tech pour avoir attendu si longtemps avant d’émettre de telles interdictions : “La question n’est pas de savoir pourquoi Facebook et Twitter ont agi, mais ce qui a pris tant de temps et pourquoi les autres ne l’ont pas fait”.

Comme nous l’avons déjà évoquéles démocrates ont abandonné les valeurs de longue date de la liberté d’expression en faveur de la censure des entreprises. Ils ont clairement une “zone de confort” différente de celle de Sanders. Ce qui met mal à l’aise de nombreux membres démocrates, c’est la capacité des gens à s’exprimer librement sur ces plateformes et à diffuser ce qu’ils considèrent comme de la “désinformation.”

Lorsque le PDG de Twitter, Jack Dorsey, s’est présenté devant le Sénat pour s’excuser d’avoir bloqué le reportage sur Hunter Biden avant l’élection, estimant qu’il s’agissait d’une erreur, les sénateurs l’ont pressé, lui et d’autres dirigeants des Big Tech, de renforcer la censure.

Lors de cette audition, des membres comme le sénateur Mazie Hirono (Démocrate-Hawaï) ont pressé des témoins comme Mark Zuckerberg et Jack Dorsey pour obtenir l’assurance que Trump resterait interdit de parole sur leurs plateformes : “Qu’êtes-vous tous deux prêts à faire concernant l’utilisation de vos plateformes par Donald Trump après qu’il aura cessé d’être président, sera-t-il toujours considéré comme digne d’être publié dans les journaux et pourra-t-il toujours utiliser vos plateformes pour diffuser des informations erronées ?”

Plutôt que d’aborder les dangers d’une telle censure des comptes d’actualités, le sénateur Chris Coons a pressé Dorsey d’élargir les catégories de matériel censuré pour empêcher les gens de partager toute opinion qu’il considère comme du “négationnisme climatique.” De même, le sénateur Richard Blumenthal a semblé prendre le sens inverse de Twitter, en admettant qu’il avait eu tort de censurer l’histoire de Biden. Blumenthal a déclaré qu’il était “préoccupé par le fait que vos deux entreprises sont, en fait, en train de reculer ou de se retrancher, que vous ne prenez pas de mesures contre la désinformation dangereuse.” En conséquence, il a exigé une réponse à cette question :

“Allez-vous vous engager à appliquer le même type de règles de modification robuste du contenu lors des prochaines élections, y compris la vérification des faits, l’étiquetage, la réduction de la diffusion de la désinformation et d’autres mesures, même pour les politiciens lors du second tour des élections à venir ?”

“La “modification robuste du contenu” a un certain attrait, comme un type de mise à niveau du logiciel. Ce n’est pas une modification de contenu. C’est de la censure. Si nos représentants veulent réprimer la liberté d’expression, ils devraient admettre qu’ils sont des partisans de la censure. En effet, des universitaires de premier plan ont eu l’intégrité de déclarer récemment qu’ils pensaient que “la Chine a raison” en matière de censure.

Sanders ne croit manifestement pas que “la Chine a raison”, du moins lorsqu’elle s’applique à un président en exercice. Il faut espérer que Sanders continuera à s’exprimer sur la liberté d’expression et qu’il étendra cette position de principe pour s’opposer aux pressions incessantes de Blumenthal et d’autres en faveur d’un contrôle des entreprises sur les discours sur Internet.

Traduction de Jonathan Turley par Aube Digitale




La vérité brutale #6

Par Amélie Paul



Les épisodes précédents :

#1 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-du:4

#2 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-2:3

#3 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-3:a

#4 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-4:f

#5 https://odysee.com/@ameliepaul:8/laveritebrutale5:9




Quand le Parlement Européen devient une tribune pour le terrorisme international

[Source : Algerie54]

Le parlement européen, par le biais de la présidente de la Sous-commission des droits de l’homme, Marie Arena a accordé récemment la parole à Rachid Mesli, un des fers de lance de l’organisation qatarie Al Karama, dont le président Al Nuaimi, est inscrit dans la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département américain.

Mesli plaidait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, et oublie le Qatar

En prenant la parole, devant les députés européens, le défenseur des droits de l’homme des commanditaires des assassinats d’intellectuels en Algérie, défendait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, l’incarcération arbitraire et la torture des opposants aux tenants du pouvoir à Ryad, et l’ignoble assassinat du journaliste Jamal Khashoggi.
Se versant largement dans le sélectif, lorsqu’il s’agit de la défense des droits de l’homme, Rachid Mesli, ; excellant le mensonge par omission, n’a aucun moment durant ces dernières années, défendu le poète qatari Mohammed al-Ajami, alias Ibn al-Dhib, condamné par un tribunal qatari , à la prison à perpétuité pour avoir rédigé un poème qualifié d’hostile à l’actuel Emir du Qatar Tamim Bin Hamad Al Thani , ou défendu les conditions du travail inhumaines des étrangers en charge de la réalisation d’infrastructures qui accueilleront la coupe du monde 2022 au Qatar

Mesli et Dhina, compagnons du combat terroriste

Il n’est un secret pour personne, que la doctrine du combat pour l’instauration d’un régime théocratique et anti-démocratique, lie Rachid Mesli, Mourad Dhina et autres Zitout, depuis des décennies, à commencer par la décennie noire en Algérie avec les fetwas d’élimination de journalistes, intellectuels , artistes et chercheurs. Des liens renforcés au sein de la nébuleuse de Rachad et Al Karama dirigée par Al Nuaim, les dons et la générosité financière des commanditaires du terrorisme international, aidant

Rachad et Al Karama, même objectif

Le mouvement intégriste Rachad, composé essentiellement par les anciens du FIS dissous, à l’instar de Larbi Zitout ,  Mourad Dhina, et autres Abbes Aroua et Rachid Mesli, avait rejoint l’organisation qatarie Al Qarama, créée en 2004, en terre helvétique, est considérée comme le bailleur de fonds du terrorisme international, et principal soutien des groupes terroristes en Syrie, Irak et Libye, sachant que son fondateur Abderrahmane Al Nuaimi, est inscrit sur la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département d’Etat américain.

Comme à son habitude le youtubeur algérien Rafaa n’a pas tardé à réagir à la plaidoirie accordée, à Rachid Mesli, en interpellant, Marie Arena, présidente de la Sous-commission des droits de l’homme au Parlement Européen, et a diffusé une vidéo pleine d’informations et de documents compromettants les Mesli, Dhina, Zitout, et leurs mentors financiers et idéologiques à savoir, les Abderrahmane Al Nuaimi, Al Matiri et Mossab al Souri(syrien).

Lien https://www.facebook.com/838965286151328/videos/3850505248369603






De la psychologie des adeptes du déni de conspiration

[Source : Sott.net]

Par Tim Foyle — Reporting For Beauty

Comment se fait-il que des personnes par ailleurs parfaitement intelligentes, réfléchies et rationnelles reculent devant l’idée que les psychopathes conspirent pour les manipuler et les tromper ? Et pourquoi défendent-ils avec autant de véhémence cette position sans fondement ?

L’histoire elle-même regorge de machinations commises par des menteurs, des voleurs, des tyrans et des narcissiques et décrit leurs effets dévastateurs. Les preuves de corruption et d’inouïes fourberies abondent également à l’époque moderne.

Nous savons, sans la moindre équivoque, que les hommes politiques mentent et occultent les relations qu’ils ont entre eux et que les entreprises témoignent couramment d’un mépris total pour les normes morales — en bref, nous baignons dans la corruption.

Nous savons que le jeu des chaises musicales entre les entreprises et les sphères politiques, le système de lobbying, les régulateurs corrompus, les médias et le système judiciaire signifie que les actes répréhensibles ne sont pratiquement jamais soumis à un semblant de véritable justice.

Nous savons que la presse évoque bruyamment ces questions de temps à autre, mais sans jamais les examiner avec une véritable vigueur.

Nous savons que les actes répréhensibles commis par les services de renseignement et les forces de police sont, dans des proportions stupéfiantes, monnaie courante et que, là encore, la justice n’est jamais rendue.

Nous savons que les gouvernements ne cessent d’ignorer ou de piétiner les droits des citoyens, et qu’ils abusent et maltraitent les populations de manière répétée. Rien de tout cela ne porte à controverse.

Alors, que refusent exactement les adeptes du déni de conspiration avec la ferveur, la droiture et la condescendance qui sont les leurs ? Pourquoi, contre toute évidence, en viennent-ils à défendre d’un ton narquois et méprisant le mythe en décrépitude selon lequel « les puissants » sont quelque part un peu comme nous, qu’ils ont la situation bien en main, n’ont que notre intérêt à cœur et sont scrupuleux, sages et sincères ? Que la presse est au service du peuple et de la vérité plutôt qu’à celui des escrocs ? Que les injustices successives résultent d’erreurs et d’oublis, et qu’elles ne peuvent jamais procéder de ce concept redoutable : la conspiration ?

Quelle personne raisonnable continuerait à croire à un monde à ce point illusoire ?

Le point de désaccord ici porte uniquement sur la question de la proportion. Une personne véritablement curieuse des desseins élaborés par de puissants psychopathes élargira le périmètre de ses recherches au-delà d’une entreprise ou d’une nation. Pourquoi ne le ferait-elle pas ? Une telle personne part du principe que les mécanismes observés à une petite échelle sont susceptibles d’être les mêmes à tous les niveaux du pouvoir. Mais les adeptes du déni de conspiration insistent sur le fait que c’est absurde.

Pourquoi ?

Le fait que les structures sociétales et juridiques pyramidales que l’humanité a laissé se développer sont précisément le type de hiérarchies de dominance qui avantagent indubitablement le psychopathe est cruellement évident. Un être humain doté d’un esprit de coopération normal et sain s’avère peu enclin à se lancer dans les combats nécessaires à une ascension sociale ou politique.

Alors, que s’imaginent les individus qui réfutent l’existence des conspirations ? Selon eux, que font chaque jour les 70 millions ou plus de psychopathes dans le monde, tous nés dans un « jeu » où la richesse et le pouvoir se concentrent au sommet de la pyramide, et dans lequel les attributs les plus efficaces pour atteindre la « victoire » sont la cruauté et l’amoralité ? N’ont-ils jamais joué au Monopoly ?

Les psychopathes ne choisissent pas leur conception du monde grâce à leur conscience, et sont tout simplement incapables de comprendre pourquoi les gens normaux se mettraient dans une situation aussi désavantageuse en se limitant à la conscience et à l’empathie, vertus dont l’existence échappe à la compréhension du psychopathe et qui est à la mesure de ce que serait pour l’être humain un monde qui en serait dénué.

Le psychopathe n’a besoin que d’une seule chose pour gagner : mentir publiquement tout en conspirant en privé. Quoi de plus simple ? En 2021, continuer à imaginer que le monde dans lequel nous vivons n’est pas largement déterminé par cette dynamique relève d’une naïveté téméraire qui confine à la folie. Quelle est la source d’une pulsion à ce point malencontreusement destructrice ?

L’enfant en bas âge accorde une confiance innée aux personnes qui l’entourent — une confiance qui, le plus souvent, s’avère par nature justifiée. Si ce n’était pas le cas, l’enfant ne pourrait pas survivre.

Au sein d’une société saine et équilibrée, cet instinct profond évolue au rythme du développement de la psyché. Au fur et à mesure de l’évolution chez un individu de la conscience de soi, des facultés cognitives et logiques et du scepticisme, cette instinct de confiance innée continuerait à être compris comme un besoin central de la psyché. L’évolution et le développement conscients de cette tendance enfantine serait favorisées par l’existence de systèmes de croyances partagées qui placeraient consciemment cette foi dans des valeurs et des croyances porteuse d’une signification et d’une valeur durables pour la société, l’individu ou, idéalement, les deux.

La déférence et le respect de la tradition, des forces naturelles, des ancêtres, de la raison, de la vérité, de la beauté, de la liberté, de la valeur innée de la vie, ou de l’esprit initiateur de toutes choses, peuvent tous être considérés comme des qualités indispensables au sein desquelles nous pouvons en toute conscience placer notre confiance et notre foi — tout comme celles qui découlent de systèmes de croyance plus formalisés.
Indépendamment du chemin emprunté pour évoluer et développer une foi personnelle, l’apport de sa propre conscience et de sa propre connaissance à cette élan naturel en constitue le point clé. Je pense que développer et cultiver une foi mature représente une responsabilité fondamentale dont beaucoup — ce qui est compréhensible — ne sont pas conscients.

Que se passe-t-il lorsque subsiste en nous un besoin enfantin qui n’a jamais évolué au-delà de sa fonction originelle de survie et qui consiste à faire confiance à ceux qui, dans notre environnement, sont simplement les plus puissants, les plus présents et les plus actifs ? Lorsque nous n’avons jamais vraiment exploré notre propre psyché, et n’avons jamais profondément questionné ce en quoi nous croyons vraiment et pourquoi ? Lorsque la raison pour laquelle nous accordons notre confiance à quelque chose ou à quelqu’un n’est pas remise en question ? Quand la philosophie est laissée aux philosophes ?

Je pense que la réponse est simple, et que les preuves de ce phénomène et des ravages qu’il provoque sont visibles partout autour de nous : le besoin inné de faire confiance à la mère n’évolue jamais, ne rencontre ni n’entre jamais en contact avec sa contrepartie, la raison (ou la foi mature), et reste en permanence sur son réglage infantile « par défaut ».

Alors que cette psyché immature ne dépend plus des parents pour son bien-être, la puissance motivationnelle du principe fondamental que je viens de décrire reste intact : incontesté, négligé et non développé. Et, dans un monde où la stabilité et la sécurité sont de lointains souvenirs, ces instincts de survie, plutôt que d’être bien affûtés, réfléchis, pertinents, discernés et actualisés, restent, littéralement, ceux d’un bébé. Parce que l’instinct décrète que la survie en dépend, la confiance est dès lors accordée à l’influence la plus importante, la plus bruyante, la plus présente et la plus indéniable.

Et, dans cette grande « pépinière mondiale », la force la plus omniprésente est celle des institutions interconnectées qui projettent en permanence une image de pouvoir, de calme, d’expertise, d’intérêt et de stabilité.

À mon avis, c’est ce qui permet aux adeptes du déni de conspiration de s’agripper au, et de défendre d’une manière agressive le fantasme totalement illogique selon lequel — au-delà d’un certain niveau indéfini de la hiérarchie sociétale — la corruption, la tromperie, la malveillance et le narcissisme s’évaporent mystérieusement, d’une manière ou d’une autre. Que, contrairement à la maxime, plus une personne a de pouvoir, plus elle fera inévitablement preuve d’intégrité. Ces âmes fragiles et bercées d’illusions sont intimement persuadées que, là où l’expérience personnelle et les connaissances préalables ne sauraient combler les lacunes de leur vision du monde — en d’autres termes, tous les endroits dont l’accès est interdit — papa et maman seront toujours là pour veiller à ce que leur petit trésor soit à l’aise, heureux et en sécurité pour toujours.

Il s’agit là de l’illusion fondamentale et réconfortante qui sous-tend l’état d’esprit des adeptes du déni de conspiration, le socle délabré sur lequel ils érigent un monumental édifice de justifications et à partir duquel ils peuvent de manière pompeuse ridiculiser et railler toutes les personnes dont la vision est différente.

On comprend dès lors pourquoi ces adeptes du déni de conspiration combattent la moindre suggestion selon laquelle l’archétype du soignant n’existe plus — que des psychopathes se trouvent derrière chaque accès interdit, et qu’ils nous traitent avec le plus grand mépris voire nous ignorent complètement. Ces adeptes du déni de conspiration s’en prendront à toute suggestion similaire aussi violemment que si leur survie en dépendait — ce qui, dans la composition de leur psyché inconsciente et précaire, est, d’une certaine manière, le cas.

Leur sentiment de bien-être, de sécurité, de confort, voire même d’avenir, est complètement — et de manière totalement inconsciente — investi dans ce fantasme. L’enfant en eux n’a jamais mûri et, parce qu’ils n’en sont pas conscients, si ce n’est sous la forme d’un attachement profond à leur sécurité personnelle, ils attaqueront férocement toute menace envers cet aspect inconscient et central de leur vision du monde.

Leur refrain épuisant de banalité est le suivant : « une conspiration d’une telle ampleur ne peut exister ».

La réponse simple à un tel expert autoproclamé des conspirations est évidente : quelle ampleur ?

Les plus grandes entreprises « médicales » du monde peuvent, depuis des décennies, considérer comme de simples dépenses commerciales les amendes considérables dont elles écopent pour des crimes qui vont de la dissimulation d’effets indésirables liés à aux tests de leurs produits à des meurtres multiples provoqués par des expérimentations non déclarées, en passant par des crimes environnementaux colossaux.

Sans être le moins du monde inquiétés, les gouvernements mènent sur leurs propres populations les « expériences » — les crimes — les plus viles et les plus impensables.

Les politiciens ont coutume de nous mentir ouvertement, sans conséquence.

Et ainsi de suite. À quel moment, exactement, une conspiration devient-elle à ce point considérable qu’elle constitue pour « eux » une limite, et pourquoi ? Je pense que le point de rupture se produit lorsque leur capacité cognitive faiblit et que leur instinct de survie inconscient se déclenche. Le moment même où l’intellect est submergé par l’ampleur des événements et où l’instinct se replie sur la foi familière et réconfortante qu’ils connaissent et ont cultivé depuis leur toute première tétée. La foi selon laquelle quelqu’un d’autre s’en occupe — qu’au moment où le monde devient inconnu, il suffit de placer une foi absolue dans l’existence d’une autorité humaine puissante et bienveillante pour être assuré d’une sécurité émotionnelle éternelle.

Cette dangereuse illusion pourrait bien être le facteur clé qui remet entre les mains des psychopathes la sécurité physique et l’avenir de l’humanité.

À tous ceux qui ont l’habitude de rejeter les personnes qui posent des questions, enquêtent et sont sceptiques — comme peuvent l’être les partisans de Trump, qui nient la science, sont paranoïaques et portent un chapeau en aluminium — je pose la question suivante : en quoi croyez-vous ? Où avez-vous placé votre foi et pourquoi ? Comment pouvez-vous, alors que personne ne fait confiance aux autorités, vous fier de manière absolue aux organisations degouvernance mondialenaissantes ? En quoi est-ce rationnel ?

Si vous accordez votre confiance en de telles organisations, considérez qu’à l’ère de la mondialisation, ces organisations — aussi extraordinaires puissent-elles paraître — ne sont que des émanations plus ambitieuses des versions locales auxquelles noussavonsne pas pouvoir nous fier. Elles ne sont pas nos parents et ne font preuve d’aucune loyauté envers les valeurs humaines. Il n’existeaucuneraison d’accorder une quelconque confiance à ne serait-ce qu’une seule d’entre elles.

Si vous n’avez pas développé consciemment une foi ou si vous ne vous êtes pas, dans une certaine mesure, interrogé sur les raisons pour lesquelles vos croyances sont animées d’une telle ferveur, une telle position peut sembler misanthropique, mais en vérité, c’est le contraire. L’argent des relations publiques et les mensonges mielleux sont les deux seules formules qui ont permis à ces organisations de gagner votre confiance. Le véritable pouvoir reste, comme toujours, entre les mains du peuple.

Ce n’est pas pour rien si les bouddhistes recommandent vivement de placer sa foi dans le Dharma, ou loi naturelle de la vie, plutôt que dans les personnes, et que des préceptes similaires sont courants au sein d’autres systèmes de croyance.

Le pouvoir corrompt. Et, dans le monde d’aujourd’hui, la confiance mal placée et non fondée pourrait bien être l’une des plus grandes sources de pouvoir qui soit.

Les conspirations criminelles monumentales existent. Les preuves sont accablantes. L’ampleur de celles en cours actuellement est inconnue, mais rien, dans la nouvelle ère mondiale, ne permet d’imaginer une diminution de la quête psychopathique du pouvoir ou la possession des ressources nécessaires pour y parvenir. En tout cas, pas tant que la dissidence est tournée en dérision et réduite au silence par les gardiens, les « idiots utiles » et les adeptes du déni de conspiration, lesquels, par leurs attaques incessantes contre ceux qui voudraient faire la lumière sur les malversations, sont en fait les complices directs du programme des psychopathes.

Il est de la responsabilité urgente de chaque être humain d’exposer les agendas psychopathiques peu importe où ils se manifestent — et de ne jamais attaquer ceux qui cherchent à le faire.

Plus que jamais, il est temps aujourd’hui de mettre de côté les futilités et les pulsions enfantines, et de réagir en adultes afin de protéger l’avenir des enfants qui n’ont d’autre choix que de nous confier leur vie.

Cet essai s’est concentré sur ce que je considère comme le moteur psychologique le plus profond du déni de conspiration.

Il en existe certainement d’autres, comme le désir d’être accepté ; fuir la connaissance et le combat des zones d’ombre intérieure et extérieure ; préserver une image positive et juste de soi qui constitue une version généralisée du phénomène d’« abus par procuration », dans lequel une classe sociale intéressée et vicieuse se protège en se regroupant autour du tyran ; adopter de manière subtile et inconsciente la vision psychopathique du monde (par exemple, « l’humanité est un virus pour la planète ») ; développer une addiction à l’indignation, au complexe de supériorité et aux jeux de prestige ; entretenir un intellect rabougri ou sans ambition qui octroie au maintien du statu quo sa raison d’être ; adopter un mécanisme de protection dissociatif en imaginant que les crimes et les horreurs commis à plusieurs reprises au cours de notre vie ne se produisent pas maintenant, pas « ici », et enfin la bonne vieille paresse et la lâcheté.

Je pense que, dans une certaine mesure, tous ces mécanismes reposent sur les fondements de la cause principale que j’ai décrite ici.

Source de l’article initialement publié en anglais le 6 mars 2021 : Reporting For Beauty
Traduction : Sott.net




“Brûlez vos masques !” Des manifestations massives contre le confinement font rage dans le monde entier

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Des milliers, voire des dizaines de milliers de manifestants à travers l’Europe ont défilé samedi contre la poursuite des mesures de confinement gouvernementales et autres restrictions en cas de pandémie fondées sur des données scientifiques douteuses, qui ont entraîné un chômage de masse, détruit des petites entreprises, alimenté une dépression et une maladie mentale généralisées et coûté aux contribuables des milliards de dollars pour empêcher le navire de sombrer.

Des manifestants de Londres, d’Allemagne, de France, de Suède, des Pays-Bas, d’Australie, de Belgique, du Japon, de Vienne et d’ailleurs ont participé au Rassemblement mondial pour la liberté.

Dans le centre de Londres, des milliers de militants anti-confinement ont déambulé dans Hyde Park en scandant “Debout, reprenons notre liberté !”

En Allemagne, la police a utilisé du gaz lacrymogène sur les manifestants dans la ville de Kassel, où 15 000 à 20 000 manifestants étaient présentes, selon le Daily Mail. Quelque 1 800 agents ont été placés en état d’alerte à Berlin.

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées sur le principal site de protestation sur une place du centre-ville de Kessel, serrées les unes contre les autres sans porter de masques,

a constaté un journaliste de l’AFP.

Des échauffourées ont éclaté lorsqu’un groupe de manifestants a tenté de franchir un cordon de police pour rejoindre d’autres manifestants, provoquant des bousculades et incitant les agents à utiliser du gaz lacrymogène.

Daily Mail

En photo : Des manifestants participent à une marche pour demander le respect des droits fondamentaux et la fin des mesures restrictives liées au coronavirus à Kassel, dans le centre de l’Allemagne, le 20 mars.

Des manifestants ont affronté la police en Allemagne et en Croatie samedi, tandis que de nouvelles mesures de confinement ont été introduites en France, en Pologne et en Ukraine pour lutter contre une troisième vague de coronavirus.
En photo : Des manifestants affrontent la police à Kassel, dans le centre de l’Allemagne (via le Daily Mail).

À Melbourne, en Australie, des manifestants ont scandé “Libre de parler. Libre de respirer” sont sortis par milliers.

https://twitter.com/freddie1999/status/1373272180063145986?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1373272180063145986%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.aubedigitale.com%2Fbrulez-vos-masques-des-manifestations-massives-contre-le-confinement-font-rage-dans-le-monde-entier%2F

Plus :

Aux Pays-Bas :

Au Japon :

En Autriche :

En Belgique :

C’est ce qui arrive quand on détruit des économies basées sur une science douteuse.




De qui dépend ma santé ?

[Source : Le blog de Bien-être-soi (tdg.ch)]

Par Marie-France de Meuron.

En fait, qui est le souverain de ma santé ? Qui la construit instant après instant ? Qui choisit ma nourriture, mes activités motrices, mon sommeil, mes situations affectives, sociales, professionnelles ? Nous sommes l’unique habitant de notre corps. Évidemment, nous sommes en interrelation constante avec moult facteurs extérieurs à nous. La question est : qui va nous forger ? Nos pulsions de vie, nos forces innées, nos goûts, nos aspirations, nos intuitions, nos qualités, nos missions de vie ? Le cadre extérieur va-t-il nous permettre de nous révéler à nous-mêmes, de développer nos potentiels et nos qualités ou va-t-il faire de nous des animaux dans un zoo, allant jusqu’à être rassemblés dans des lieux prédéterminés, ou animés par les pulsions imposées par divers dirigeants ? Sommes-nous destinés à vivre dans des cadres limités, réduisant nos capacités humaines, allant jusqu’à n’être plus que des zombies ou des robots obéissants aux commandes à distance ?

Après un an où les gouvernements ont décidé des mesures sanitaires globales, dépendantes de mesures de laboratoire ou de chiffres permettant des modélisations, n’est-il pas temps de revivre les poumons déployés au printemps qui s’annonce, de nous épanouir comme les primevères à la lumière, nous activant en tous lieux qui correspondent à nos dynamiques vitales ?

Ce qui m’anime aujourd’hui, c’est mon empathie pour les restaurateurs qui aspirent à revivre leurs désirs d’animer un espace de vie où il vaut la peine de se poser et de découvrir des saveurs nouvelles, dans un lieu offrant un cadre hors de nos habitudes.

Les dirigeants politiques sont partagés entre la pression du peuple – une population impatiente soutient le Conseil fédéral – et la prudence inspirée par les chiffres statistiques relayant les résultats de tests sujets à caution. Le même écartèlement se manifeste entre les médecins conformes aux dogmes scientifiques et ceux qui prennent en compte les paramètres les plus larges possibles. De ce fait, deux voies sont possibles, chacune apportant quelques nuances qui ne changent rien au fond.

N’est-il pas temps d’ouvrir une troisième voie ? Ce qu’ont fait beaucoup de professionnels indépendants, enrichis de leurs expériences médicales et de leurs consciences des êtres humains dans leurs globalités en relation avec de multiples facteurs de santé. Ces praticiens aident les individus à réveiller le médecin qui sommeille en eux et les accompagnent sur le chemin pour y parvenir du fait des multiples moyens offerts par leurs connaissances profondes de l’être humain, de diverses thérapies et des produits de la nature, cette nature qui offre bien des ressources pour se maintenir en bonne santé ou se soigner au stade précoce des maladies plutôt que d’être confinés aux mesures sanitaires qui amoindrissent notre énergie vitale sur différents plans !

Cela fait un an que notre santé est tenue en laisse par des lois, des calculs de modélisateurs, des études scientifiques dépendantes des investissements alloués. N’est-il pas temps de vivre une réelle mutation ? Nous sommes en temps de carême ; or cette période dure 40 jours alors que nos restrictions de vie dure depuis un an. À quelle résurgence est-il judicieux de nous préparer ? Vers où tourner notre attention afin de considérer l’être humain dans toute son amplitude et trouver un réel mode de vie sanitaire plutôt que de focaliser – et de contraindre la population à en faire de même – sur un microorganisme avec l’illusion de pouvoir l’éradiquer à force de tests, de masques et de vaccins ? Cela ne fait qu’affaiblir l’énergie vitale et n’apporte pas de réelles solutions puisque les virus suivent les impulsions de la vie en créant des mutants qui nous précéderont toujours. De plus, brandir l’espoir d’une solution avec un produit vaccinal est un leurre qui ne fait qu’aggraver la situation dans plusieurs dimensions.

Comme l’USAM le déclare : « La stratégie du Conseil fédéral manque d’un objectif clair, à savoir la normalisation de la vie sociale, et ne présente aucune perspective pour l’économie et la société »… Un compromis n’est pas une solution : « quelle décision prendre demain ? Poursuivre sur une ligne sanitaire stricte ou lâcher du lest ? La réponse est sans doute dans un compromis, qui manifestement ne pourra pas satisfaire les partisans d’un retour à la normale ».

Et pourtant, le verdict est tombé : Face à la dégradation de la situation épidémiologique, le Conseil fédéral n’a finalement pas adopté les mesures envisagées. Une seule carotte octroyée : Un seul assouplissement sera effectif dès lundi : les réunions privées à domicile passeront de 5 à 10 personnes maximum, enfants compris. La justification présentée montre à quel point un seul facteur compte pour la gestion globale de la santé de la population : Cet allégement a été décidé en prévision de Pâques, explique le gouvernement dans un communiqué. Mais aucune mesure transmise à la population pour renforcer son système immunitaire ! En revanche, il se dédouane avec une recommandation passe-partout : Il recommande toutefois de limiter le nombre de ménages présents et de se faire tester avant de retrouver famille et amis.

En réalité, un compromis ne peut mener qu’à une impasse comme nous la percevons maintenant. Par conséquent, il nous reste donc à réaliser une grande réinitialisation de la médecine, avec la reprise de l’enseignement – déjà à partir des facultés de médecine – de l’être humain dans sa globalité et dans toutes les interrelations entre ses différentes dimensions. Ainsi, le corps médical sera beaucoup moins fracturé et pourra se dresser face aux pouvoirs dirigeants et non se soumettre pareillement à la technoscience ou aux modélisations qui se coupent de la substance vivante et complexe qui constitue les êtres humains.


[Voir aussi :




Il est temps de se souvenir de qui nous sommes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir

Le clivage qui s’installe dans la société française depuis un an n’est pas qu’une question de politique et de vision de l’avenir, mais révèle deux conceptions de la vie de l’homme, dont la divergence impose désormais un choix.

Liberté, Égalité, Fraternité ?

N’y a-t-il plus d’intelligence dans ce pays, n’y a-t-il plus de bon sens ? L’épuisement spirituel de la population et le matérialisme forcené inculqué depuis l’après-guerre ont-ils conduit la population française à son point de non retour… ou son point de rupture ? Y a-t-il encore la place pour un sursaut salvateur ou bien la peur et la servilité l’ont-elles emporté ?

L’état d’esprit des Français laisse apparaître que désormais plusieurs réalités se côtoient dans notre pays, selon le niveau d’information et la conscience de chacun, divisant et brouillant la société, les familles, les amis…

Entre ceux qui ont plus ou moins calqué leur opinion sur le narratif uniforme matraqué  par les radios et les télévisions et ceux qui ne leur accordent plus la moindre confiance et ont cherché la vérité ailleurs, la société française, jusqu’au cœur des familles, parfois des couples, s’est divisée à l’ombre d’un minuscule virus.

Un clivage qui semble s’étendre chaque jour un peu plus, dressant les uns contre les autres et profitant à ceux qui concentrent toujours plus de pouvoir et d’argent, comme le montrent l’inexistence politique du Parlement, les salaires croissants des élus et les comptes en banques des GAFA et de Big Pharma durant cette année de misère grandissante du peuple, particulièrement des jeunes et des étudiants condamnés à la soupe populaire.

La détresse de la jeunesse est très préoccupante. Jusqu’à quand des parents vont-ils continuer à envoyer leurs enfants dans des écoles démentes où trois jetons leur sont donnés par des fonctionnaires zélés pour choisir entre respirer ou pisser ? D’où les enfants bâillonnés sortent parfois avec des saturations en oxygène autour de 83 %, soit un état d’hypoxie sévère, là où l’on doit s’inquiéter des conséquences sous les 95 % ?

Les artisans, les entrepreneurs vont-ils continuer à se laisser mourir parce que ce sont les ordres ? La peur du gendarme et de l’amende a-t-elle plus de force que l’instinct de survie pour eux et leurs familles ?  Est-ce que quelqu’un a encore un peu de lucidité et de courage dans ce pays ?

Tout le monde va-t-il continuer à croire qu’il y a une pandémie qui justifie cette folie, alors que les chiffres de l’INSEE démontrent qu’il n’y a pas plus de morts en France en 2020 que les années précédentes ? Et comme l’a précisé depuis le Pr Raoult, qu’il y en a moins en 2020 chez les moins de 65 ans qu’en 2019 ?

Le taux de mortalité du COVID tous âges confondus est de 0,05 % environ, c’est un fait. Alors s’il n’y a pas de vraie raison sanitaire à la dictature qui s’installe, n’est-il pas temps de s’interroger sur les véritables motivations d’une telle opération et sur les objectifs réels du contrôle et de l’asservissement des populations ?

C’est perdre son temps et rajouter à la confusion que de tenter de chercher des explications logiques à une politique volontairement incohérente. Il est tout aussi inutile de se perdre en conjectures sur l’incompétence des uns et les revirements des autres. Tout ceci est inspiré des techniques de manipulation mentale bien connues (voir le manuel Kubark déclassifié par la CIA). 

Alors combien de temps encore soumis et insoumis vont-ils se focaliser sur les ombres de la caverne de Platon ?

Toutes ces mesures à l’encontre de la vie ont raturé une France faite de défaillances d’entreprises et par effet domino de leurs sous-traitants, de files de jeunes sans espoir d’avenir devant l’aide alimentaire, de taux de suicides alarmants, d’une séparation physique des gens jusque dans les familles, de couvre-feux absurdes ne reposant sur aucun argument censé, de masques dangereux pour la santé, comme vient encore de le démontrer un rapport allemand sur la santé des enfants, ainsi que de confinements à répétition dont on sait a minima désormais l’inefficacité sanitaire.

Les Français trop crédules vont-ils chercher plus d’ivresse encore à boire les mensonges éhontés d’une presse collaborant à des intérêts partisans qu’ils dissimulent ? Les démonstrations ne manquent pourtant pas de l’arrogance et du mépris des castes influentes vis à vis du bas-peuple, des sans-dents, des gilets jaunes. Cette question de la croyance en la bienveillance ou la malveillance au pouvoir est cruciale. Elle est l’une des clés du sursaut possible en chacun, le coup d’arrêt fatal à la naïveté.

Il est convenu désormais que lorsqu’on évoque les coulisses de ces forces qui ont pris pouvoir sur la vie de chacun, on soit alors immédiatement traité de complotiste délirant, voire dangereux. Sans doute les présidents Eisenhower et Kennedy étaient-ils aussi des complotistes délirants. Car qui connaît le discours d’Eisenhower du 17 janvier 1961 lorsqu’il a quitté le pouvoir ? En voici un extrait particulièrement d’actualité :

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble. »

Car qui connaît le discours de J.F. Kennedy à New York le 27 avril 1961, qui demandait en vain son aide à la presse et dont voici un extrait :

« […] Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espérerait jamais vouloir égaler… C’est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant.  »

Je ne sais pour ma part quel dysfonctionnement peut expliquer qu’il y a tant de gens éduqués, pour croire ce qu’on leur dit sans rien remettre en question. Sans doute faut-il y deviner les barrières d’une programmation de souche auxquelles se greffent le carcan de leur éducation et parfois leur simple intérêt cupide. Il se confirme que l’essentiel du bon sens et de la réaction à ce qui se joue vient des couches sociales les moins éduquées, les moins formatées peut-être, alors que le modèle de la dystopie hante nombre des plus diplômés. De quoi se faire traiter de populiste en plus de complotiste.

Car est jusque-là populiste celui qui aime le peuple, lui reconnaît sa légitimité et son bon sens culturel, issu d’une longue histoire de celles qui forge et nourrit l’esprit d’une nation. Car est désormais complotiste ou conspirationniste celui qui se pose des questions et cherche la vérité au lieu d’accepter la ligne officielle qui révèle les apprentis dictateurs.

Les seuls vrais conspirateurs sont ceux qui conspirent contre les peuples. Et ils accusent ceux qui les dévoilent d’être ce qu’ils sont eux-mêmes, c’est une technique aussi vieille que l’homme.

La responsabilité de la presse aujourd’hui dans ce mécanisme de manipulation des masses est majeure. Elle est impardonnable et lorsque cette folie sera brutalement interrompue, car je crois qu’elle le sera, la presse telle qu’on l’a connue ne s’en relèvera pas. Elle disparaîtra au profit d’une presse plus citoyenne et seront confrontés à leurs responsabilités ceux qui ont fait ce qu’elle est devenue.

Certains ont fait le pari de se ranger du côté des puissants pour assurer leur intérêt personnel mais n’ont pas compris l’éphémérité du pouvoir, ni ne saisissent l’impermanence des cycles de l’histoire. Ils n’ont pas mieux perçu l’aspect eschatologique de ce que vit la planète en ce moment, ils n’ont pas la vision globale de ce qui se joue parce qu’ils sont ignorants de l’aspect spirituel de cette guerre déclarée à l’humanité. Ils n’en mesurent pas les finalités profondes et s’arrêtent à la seule perception de leur logique et de leur expérience matérialiste. Ils demeurent insensibles aux aspects plus élevés auxquels les appelle plus que jamais leur condition humaine.

Ils ont vécu dans un monde qu’ils croient inusable dans son fonctionnement, n’ayant croyance que de ce qu’ils ont appris d’un passé si bref et d’une éducation biaisée. Leur conscience se limite pour le moment à ce contexte et ils n’entendent pas encore son appel à l’ouverture et à l’expansion.

Dans ce monde d’imposture où sont adulés et portés au pinacle les indignes et où sont diffamés et persécutés les justes, toutes les valeurs sont inversées. On peut raisonnablement voir le combat planétaire actuel comme une formidable opportunité d’étendre sa conscience et reprendre individuellement et collectivement sa souveraineté en tant qu’être vivant, égal à tout être vivant, et non assujetti par force ou par délégation à des pouvoirs iniques et profondément corrompus.

Le nouveau clivage ne se résume pas seulement à mon sens au mondialisme contre le souverainisme, mais avant tout au matérialisme contre le spiritualisme, ce qui, je le précise, ne signifie pas le religieux, mais la reconnaissance pour ce qu’elle est de la dimension spirituelle de l’être, qui est un sentiment partagé par une majorité d’hommes peuplant ce monde.

Comme le disait le philosophe théologien Pierre Theillard de Chardin : « Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine ». C’est je crois cette dimension de l’homme qui est appelée à s’éveiller comme jamais en ces jours, qui pourraient aussi devenir les plus sombres si cette lumière ne jaillit pas en chacun.

Je suis de ceux qui mesurent la vraie richesse de l’humanité à la reconnaissance et au partage généreux et bienveillant de ses différences, certainement pas à leur castration dans une soupe mondialiste uniforme et insipide. Je crois en une humanité extraordinairement diverse et créative et pour autant unie dans un schéma plus grand que la somme de ses parties. C’est ce qu’il lui appartient désormais de cultiver sous tous ses climats et toutes ses particularités culturelles et ethniques, dans le respect et la conscience au sens large du Vivant.

Cela pointe la polarité opposée au monde ultra-matérialiste promu par les transhumanistes rêvant de fondre la machine et l’homme dans une vision démente de sa transcendance. Le danger n’a jamais été aussi grand de voir s’accomplir cette folie par la dictature mondiale qui se répand depuis un an dans le déni de trop de gens encore. Et c’est pourquoi dans cette phase la polarisation ne fait que croître.

Je suis intimement convaincu que c’est là le véritable enjeu de tout ce qui se joue en ce moment. Que cette crise sans précédent dans notre histoire est l’opportunité unique et brève de décider le monde que nous choisissons désormais, pas celui que nous subissons par peur, résignation ou sentiment d’impuissance depuis trop longtemps. Nous sommes les puissants, tous ensemble.

C’est cette conscience de la force d’un peuple uni dans sa quête de liberté, d’égalité et de fraternité qui effraie les injustes. C’est ce qu’ils s’acharnent à étouffer dans la confusion, la censure et la répression.

Que ce prétexte du COVID ne serve pas que le camp des censeurs ultra-matérialistes, mais qu’il serve avant tout celui de ceux qui souhaitent la conscience avant la science.

Sans doute est-il enfin temps de se souvenir de qui nous sommes. Et de reprendre les rênes de nos destinées et de notre condition au sein du creuset alchimique de nos vies, à la lumière d’une dimension de nous-mêmes plus vaste que ce qui nous a jusque-là limités.

Le jeu planétaire aujourd’hui peut se voir comme le temps de la moisson de nos expériences. Et il n’est pas trop tard pour en décider la richesse. Même sur le tard, toute conscience qui s’éveille et se tourne vers sa souveraineté est un diamant dans l’escarcelle de l’humanité.

Nous et nos enfants serons riches ou pauvres demain de ce que nous avons décidé aujourd’hui. C’est notre choix.

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir


[Voir aussi :




De l’État profond au gouvernement mondial

[Source : Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr) via reseauinternational.net]

par Valérie Bugault et Pierre Bergerault – TVL

Valérie Bugault, docteur en droit, ancien avocat fiscaliste, reconvertie dans la géopolitique juridique et économique.

Vous êtes l’auteur de plusieurs ouvrages « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie » co-écrit avec Jean Rémy, « La nouvelle entreprise », « Les raisons cachées du désordre mondial » et « Demain dès l’aube… le renouveau » tous édités chez Sigest.

1) « La géopolitique est conçue comme l’étude des stratégies d’approche, d’attaque et de défense militaire d’un État vis-à-vis d’un ou de plusieurs autres ». Cette définition est-elle toujours de mise ?

Cette notion, la « géopolitque », a évolué deux fois au cours des dernières décennies sans d’ailleurs que les analystes en soient toujours clairement conscients :

  • À partir de la seconde GM et en particulier à partir de la signature des accords de Bretton Woods, le terrain de la « géopolitique » s’est déplacé du champ de bataille militaire vers le champ de bataille économique et monétaire et
  • Depuis quelques mois, nous assistons à une seconde évolution de la « géopolitique ». Le terrain économique et financier est en effet en cours de déplacement vers le terrain juridique. Le « droit » existait auparavant mais il n’était pas perçu comme enjeu majeur. Il était perçu comme un simple moyen d’action car les finalités du droit n’étaient plus discutées depuis trop longtemps. On arrive aujourd’hui à un moment particulier de l’Histoire où le droit va devenir, il faudrait dire « redevenir », le véritable champ de bataille, supplantant le domaine monétaire et économique, pour devenir le véritable enjeu de la géopolitique moderne.

En effet, outre sa fonction d’être un moyen d’action politique, le « Droit » en tant que « système » véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Les décennies qui viennent verront la confrontation des systèmes de droit en raison du nécessaire renouveau politique.

Le « droit anglo-saxon » et le « droit continental » véhiculent une conception antagoniste de la vie en Société. Le droit britannique est, depuis le XVIe siècle, conçu comme une arme règlementaire au profit des puissants tandis que le droit continental traditionnel s’est développé, jusqu’à l’avènement du Code civil de 1804, comme un art politique : l’art d’améliorer la vie du groupe (c’est-à-dire de la Société), le moyen de pacifier les relations interpersonnelles en imposant aux « hommes de l’art » la recherche de justice.

Alors que le droit civil est le seul « Droit » à véhiculer le concept de justice, de vie en commun et in fine de civilisation, ce dernier est, malheureusement, en voie de fusion-absorption par le système britannique commercialiste.

Pour la France, et par extension pour le monde, l’enjeu majeur des prochaines décennies sera de réinitialiser notre droit civil en tant que « droit commun », lui-même développé autour du droit naturel.

2) « De façon subreptice et sournoise depuis le XVIIIe siècle, nous sommes collectivement entrés dans une ère qui interdit le libre arbitre humain au profit exclusif des puissances financières qui se sont emparées réellement et anonymement du pouvoir ». Comment ce changement de paradigme s’est-il opéré ? 

Ce changement de paradigme s’est opéré par la double prise de contrôle monétaire et politique par les puissances d’argent.

La prise de contrôle monétaire s’est faite de façon directe par la centralisation de la gestion monétaire dans les mains des banquiers au moyen de la création de « banques centrales ».

La prise de contrôle politique fut plus sournoise ; elle s’est réalisée par l’avènement et la généralisation d’un système politique axé autour du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une disparition du pouvoir politique), dans lequel la vie politique a été captée par les « partis politiques ». Or, les partis obéissent à ceux qui les financent, ce qui a permis d’établir :

  • L’omnipotence hégémonique et anonyme des puissances financières et
  • La disparition des contrepouvoirs internes, qui devraient normalement structurer la vie politique.

3) Le contrôle de l’or opéré par les banquiers changeurs du Moyen-âge se terminera, dites-vous par un gouvernement mondial dictatorial de nature technocratique entièrement dirigé par les puissances financières dominantes. Que répondre à ceux qui voient là une vision simpliste, affirmant que toutes les nations n’ont pas intérêt à se fondre dans une structure mondiale ? 

Aucun peuple, aucune Nation, n’a « intérêt » à se fondre dans une structure globale dominée par les financiers. La volonté populaire n’entre pas en ligne de compte car tout est organisé de façon opaque, par le biais du mensonge, on fait passer des choses en prétendant qu’elles sont l’inverse… Ce pouvoir hégémonique s’est toujours imposé sans demander l’avis des peuples, par la corruption, l’illusionnisme et le mensonge !

À partir du moment où la vie politique est captée par les puissances financières – ce qui est vrai de la très grande majorité des pays du monde – l’intérêt commun des dirigeants à se fondre dans une structure mondiale dominée par les financiers est de facto, par principe, établi. Seuls des incidents mineurs lié à l’existence d’intérêt personnel des uns ou des autres doivent être contournés par les globalistes afin d’établir leur projet de gouvernement mondial totalitaire.

4) Au-delà d’imposer leur empire politico-financier, vous affirmez que les tenants d’un Nouvel Ordre Mondial souhaitent édicter une religion mondiale. Quels en seraient les dogmes ?

Je ne suis pas spécialiste des religions mais il me semble que cette religion existe déjà en filigrane : culte de l’argent, concurrence de tous contre tous, métissage de tous les monothéismes en un seul magma synthétique (sur le modèle des produits financiers).

La laïcité aura été un moyen de détruire le pouvoir spirituel en Europe et non, comme on pourrait le croire, un moyen de neutralité bienveillant. Or, faire disparaître le pouvoir spirituel a eu en réalité à la fois pour cause et pour conséquence de faire disparaître tout contrepouvoir politique à la toute-puissance des financiers.

Un autre moyen de destruction du pouvoir spirituel aura été l’exacerbation des antagonismes entre les trois monothéismes. La « religion mondiale » aura été imposée par la manipulation à l’extrême des anciens monothéismes en montant les uns contre les autres. Les dominants financiers ont utilisé, une fois de plus (on ne change pas une méthode qui marche), le principe de bonne politique consistant à « diviser pour mieux régner ».

En montant les religions les unes contre les autres, ils réussissent à créer un vide spirituel dans lequel ils vont engouffrer leurs propres croyances, qu’à vrai dire je ne suis pas sûre qu’il faille appeler « religion ». En effet, lesdites croyances ressemblent plus à la domination du mal absolu qu’à une quelconque spiritualité véhiculant des principes de « vie en commun » que les religions traditionnelles portent en elles. Peut-on appeler « religion » une croyance de quelques hommes qui consiste à :

  • Estimer que la population mondiale ne doit pas dépasser 500 millions d’âmes (Georgia Guidestones) ;
  • Pirater le fonctionnement intime (génétique) du vivant (Trans humanisme) pour permettre la vie éternelle à ceux qui resteront sur cette terre ?

Alors même que toutes les religions ont, jusqu’à ce jour, respecté le droit naturel supérieur, une croyance en la toute-puissance de l’homme, censé devenir éternel, ne me semble, après réflexion, pas devoir être désigné du terme de « religion ». Cela ressemble davantage à une secte sataniste qu’à une religion stricto sensu.

5) Pourquoi voyez-vous dans le droit anglo-saxon et la City de Londres l’alpha et l’oméga de cette volonté mondialiste ?

L’émancipation en 1531 de la papauté par le roi Henri VIII d’Angleterre au moyen de la création de l’église réformé (à mi-chemin entre protestantisme et catholicisme) sous la houlette de l’archevêque de Cantorbéry, nommé par le Roi, a modifié fondamentalement la façon de concevoir le droit en Angleterre. Le droit anglais est devenu l’apanage du seul pouvoir temporel (cf. pour le catholicisme l’équivalent de 1531 est 1929 et les Accords du Latran), autrement dit, un simple instrument de puissance dans les mains du détenteur du pouvoir temporel, d’abord identifié par le Roi puis par les puissances financières.

Le développement des visées impériales britanniques, cristallisées sous Cromwell (1599-1658) par l’établissement d’un « Commonwealth républicain » [Cf. wikipedia.org/wiki/Oliver_Cromwell], a acté la suprématie du pouvoir économique et monétaire sur le pouvoir politique.

La puissance financière est à l’origine du développement de l’empire britannique et le droit fut son arme de domination. C’est précisément cette conception, très affairiste et utilitariste, du « droit » qui s’est imposée sur la scène internationale tout au long des XIXe et surtout XXe siècles. Nous sommes ici dans un contresens par rapport à ce que signifie traditionnellement la notion de « Droit », ce type de normes est un « droit » qui n’est ni « droit » ni du « Droit ».

6) Vous dites que le droit anglo-saxon aurait pris le pas sur notre droit continental mais en quoi ce droit continental est-il différent du droit anglo-saxon ?

Tous les développements juridiques sur la personne, les rapports de l’individu au groupe, à la puissance et à l’autorité ont été formalisés, conceptualisés par les grands légistes de droit canon (penseurs catholiques) tout au long du Moyen-âge et en particulier au haut Moyen-Âge avec Saint-Augustin, puis, à partir du XIe siècle avec l’évêque Fulbert (1006 – 1028), le Décret de Gratien 1140, Saint Thomas d’Aquin (1225 – 1274) au XIIIe siècle… [Cf. cairn.info/la-formation-de-la-pensee-juridique-moderne ; cours.unjf.fr/repository/coursefilearea ; books.openedition.orgjstor.org/stable]. Le droit canon ou, plus précisément, son métissage avec les apports structurels du droit romain, est à l’origine du développement de « la civilisation européenne ».

Or, le droit britannique s’est, à partir de 1531, émancipé des apports du droit développé sur le modèle ci-dessus décrit pour se fonder sur la suprématie maritime et commerciale propre à servir le développement impérial et les intérêts financiers dominants qui le supportait.

À la même époque, le droit continental est, tout au contraire, resté fondé sur un droit commun de nature civile issu de l’équilibre des forces entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Les choses ont commencé à changer sur le continent européen à partir de la Révolution française – qui a beaucoup affaibli l’Église catholique – jusqu’à 1929, date des accords du Latran, qui correspond, en Europe et pour le monde catholique, à ce que fut l’année 1531 pour l’Angleterre : la soumission définitive et radicale du pouvoir spirituel, via Mussolini, au pouvoir financier mené par la City.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, la puissance de l’empire britannique n’a fait que croître pour finalement se transférer dans l’empire américain, lequel a utilisé les mêmes armes monétaire, économique et juridique en les déployant partout dans le monde grâce à sa puissance de frappe militaire et financière.

C’est la raison pour laquelle toutes les institutions internationales ou supranationales nées au cours du siècle passé – parées pour la façade et très hypocritement de vertus humanistes ou d’une prétendue pacification du monde – n’auront finalement été que des appendices, des projections mondiales, de la puissance financière des banquiers globalistes apatrides (BRI, FMI, banque mondiale, OCDE, ONU, Union européenne, OMC, OMS…).

7) Comment se traduit concrètement cette soumission du droit continental au droit anglo-saxon ?

Cette soumission s’est réalisée, au fur et à mesure du temps, en quatre grandes étapes, qui furent des attaques en règles contre le Droit continental traditionnel :

  • La première attaque est d’ordre institutionnel, elle concerne la méthodologie du droit avec l’instauration d’un parlement dont la seule mission est de « créer » du droit, ce qui va à l’encontre de la mission traditionnelle du droit continental, qui comportait des règles simples et peu nombreuses.
  • La 2ème attaque est d’ordre conceptuel : avènement de la théorie pure du droit d’Hans Kelsen (1881 – 1973) qui impose un droit positif émancipé des principes du droit naturel [Cf. wikipedia.org/wiki/Hans_Kelsen].
  • La 3ème attaque est à nouveau d’ordre institutionnel : avènement des institutions européennes, dominées par le « principe réglementaire » issu des multinationales et véhiculé (ne l’oublions pas !) par les pouvoirs exécutifs des principales puissances économiques de l’Union. Ce système aggrave considérablement et à dessein la confusion des genres entre « règlementation professionnelle » et « Droit ».
  • La 4ème et dernière attaque est à nouveau d’ordre conceptuel : il s’agit de « moderniser le droit français », c’est-à-dire qu’il s’agit de transformer le droit civil en droit commercial (sur le modèle du droit de propriété économique) de façon à le rendre compatible avec le droit anglo-saxon, d’essence commercialiste. Il s’agit aussi de financiariser et opacifier ce nouveau « droit commun commercial ». Ce qui se traduit en termes de droit positif par toujours plus :
    • d’anonymat capitalistique et contractuel,
    • d’irresponsabilité juridique des dirigeants et décideurs réels,
    • de disparition de la corrélation entre responsabilité et pouvoir,
    • d’accaparement,

La disparition « de fait » (de facto) des libertés, inhérente à la domination économique, deviendra, par un glissement appelé (par les partisans du globalisme) « réalisme juridique », une disparition « de droit » (de jure). C’est ainsi que l’hégémonie financière se traduira fatalement, tôt ou tard, en droit positif par la suppression :

  • de la liberté d’expression,
  • de la propriété privée.

8) Vous évoquez l’intrusion de la fiducie en droit français à la fin des années 2000 grâce à une pression sur les élus de la République… En quoi consiste l’opération de la fiducie ?

Il s’est agi de permettre sur le territoire français des opérations patrimoniales faisant intervenir trois personnes différentes : le constituant, le fiduciaire et le bénéficiaire.

Techniquement, l’intervention d’une tierce personne gestionnaire, appelée trustee ou fiduciaire, permet de rendre discrètement anonyme le nom du bénéficiaire réel des opérations réalisées sous fiducie. La fiducie introduit une dose supplémentaire de confusion dans la responsabilité juridique qui incombe aux décideurs économiques. Le droit français était beaucoup plus clair sur les responsabilités lorsque les parties à un contrat d’organisation patrimoniale étaient identifiées clairement comme cédant et cessionnaire d’un bien ou d’un droit, ou comme bénéficiaire et débiteur d’une sûreté. La fiducie introduit un degré d’opacité dans la responsabilité juridique en matière de gestion patrimoniale. Ce n’est pas un hasard si les dominants financiers ont utilisé le trust et non le droit civil français pour organiser le contrôle et la circulation des capitaux dans le monde entier.

Politiquement cette intrusion répondait aux besoins de la liberté de circulation des capitaux imposée par l’ordre économique mondial, c’est-à-dire par les tenanciers des paradis fiscaux anglo-saxons. L’opération s’inscrivant, rappelons-le, dans le contexte de la disparition des paradis fiscaux à comptes numérotés, qui étaient des « corsaires juridiques » sous contrôle de certains États, au profit des paradis terrestres hébergeant des trusts anonymes. Pour être tout à fait claire, on identifie ici un plan organisé et prémédité, que l’on pourrait appeler « complot », puisque l’intervention de la fiducie, en France en 2007, a précédé les grandes manœuvres géopolitiques lancées par l’OCDE en 2009, avec Nicolas Sarkozy en tête de pont, tendant à liquider les paradis fiscaux fondés sur les comptes numérotés. « L’a-France » est, très souvent, dans le wagon de tête des félonies politico-juridiques ; mais elle n’est pas la locomotive de ces manœuvres.

L’intervention de la fiducie par la loi Marini du 19 février 2007, qui est une modification législative majeure, s’inscrit dans le contexte de la vague scélérate de « modernisation du droit français » consistant à rendre le droit civil compatible avec le droit anglo-saxon d’essence commercialiste.

Enfin, il faut remarquer la concomitance historique entre la trahison juridique que fut l’introduction, le 19 février 2007, de la « fiducie » en droit français et la trahison politique que fut la signature, le 13 décembre de la même année, du Traité de Lisbonne par les chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres de l’Union européenne. Rappelons que cette Trahison politique fut actée par les parlementaires français en 2009, lesquels ont ratifié ce traité signé en 2007 alors même que le peuple français avait rejeté, en mai 2005, la Constitution européenne, version initiale quasi identique dudit Traité. Nous avons ici, soit dit en passant, une magnifique application – un cas d’école – du fait que le principe du parlement dit représentatif existe à la seule fin de domestiquer la volonté populaire (ce que dénonçait déjà en son temps Jean-Jacques Rousseau !).

La trahison juridique n’est jamais très éloignée de la trahison politique ; ces deux « félonies » fonctionnent en osmose.

9) Drôle de découverte : La République française est, selon « société.com », site web d’informations légales sur les entreprises françaises, enregistrée à l’INSEE d’une façon similaire à une entreprise commerciale. Qu’est-ce que cela signifie ? (un numéro SIREN (100000017), numéro SIRET, réservé aux entreprises (10000001700010), un numéro de TVA intracommunautaire (FR15100000017))

Cela signifie que nous sommes anglo-saxonnisés !

Cela signifie que nos institutions civiles et politiques ont vocation à devenir, sur le modèle britannique, des institutions commerciales, ce qu’elles n’ont historiquement, politiquement et philosophiquement JAMAIS été ni dans notre pays, ni sur le continent européen, ni dans tous les pays ayant adopté notre système de droit continental.

À cet égard, je voudrais rappeler que la dénonciation, à grands cris, par le milieu des affaires, de « l’extraterritorialité du droit américain » qui veut mettre la main sur les multinationales dites françaises et le mutisme intégral de ce même milieu face à la colonisation forcée de notre droit par le droit anglo-saxon a quelque chose de grotesque qui s’apparente aux « Précieuses ridicules » de Molières.

Ce deux poids deux mesures des milieux des affaires, qui poussent des cris d’orfraie et appellent dans un cas au « patriotisme économique » alors que, dans l’autre cas, ils s’écrasent littéralement pour ne pas dire qu’ils rampent en pratiquant même la surenchère des mesures, est finalement assez comique à observer ! Les acteurs économiques, qui ont eux-mêmes trahi et vendu leur « système de droit », appellent ce dernier à la rescousse dès qu’ils sentent, sur eux-mêmes, les premiers effets de leur trahison ! Rappelons que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

L’hypocrisie endémique, liée à l’esprit de collaboration, traditionnellement très prisée des « dirigeants français », a définitivement condamné les milieux juridiques français à finir, sauf improbable sursaut, dans les poubelles de l’histoire…

10) « Les puissances financières anonymes ont juridiquement développé un système économique mondial de type monopolistique qui leur permet de capter et contrôler toutes les technologies ; technologies qui deviennent, dans leurs mains, des armes employées contre les peuples ». Au-delà de la censure qu’utilisent les GAFAM, jusqu’où ces armes peuvent être utilisées ?

Levons une ambiguïté : ce système est couramment appelé, à tort, capitaliste. À tort car il ne s’agit pas, et ne s’est jamais agi, d’une idéologie mais d’une volonté d’hégémonie politique des banquiers, ce qui est très différent.

Le terme « capitalisme » organise une confusion volontaire en parant une volonté bancaire hégémonique d’oripeaux intellectuels qui a permis de justifier :

  • le développement de l’anonymisation des décideurs ;
  • le développement subséquent de la déresponsabilisation juridique des décideurs ;
  • le développement de la dérégulation, c’est-à-dire de la disparition du « droit » remplacé par de la simple « règlementation » adossée à l’idéologie de la « liberté du Commerce ». Une fois encore la liberté du commerce ne signifie qu’une seule chose : la mise en esclavage des petites entités économiques par les grosses ;
  • la création d’énormes conglomérats économiques appuyés sur les banques et dont la seule vocation est l’accaparement des richesses ;

Le terme même de « capitalisme » est une escroquerie destinée à justifier intellectuellement, c’est-à-dire à cacher aux yeux de tous par de savantes constructions fondées sur des postulats erronés ou biaisés, l’accaparement opéré par les puissances financières. OR, l’accaparement est incompatible avec la civilisation. Toutes les civilisations de l’Histoire humaine ont lutté contre l’accaparement. Et justement, le « capitalisme » a rendu l’accaparement légal et légitime !!!

On se situe avec le prétendu « capitalisme » qualifié de « liberté » dans le même rapport d’illusionnisme et de domination qu’avec le « parlementarisme représentatif » qualifié de « démocratie » : une imposture pure et simple !

11) Les dominants financiers, dites-vous, n’ont jamais caché leur volonté et motivation génocidaires. Volonté que vous désignez sous l’appellation de « dette de sang ». Expliquez-nous ?

Plus exactement, j’ai dit que, depuis l’avènement du Club de Rome, les dominants financiers ne cachent plus leur volonté génocidaire.

Par ailleurs, il faut se souvenir qu’au-delà du génocide, il est surtout question du lien indéfectible entre développement des puissances financières et esclavagisme des masses. À titre d’exemple : l’État du Delaware aux États-Unis n’a accepté (et il fut le dernier État à le faire) de renoncer à l’esclavage que pour devenir un « paradis fiscal ». La dette est un puissant moyen de domination car, comme l’a si bien dit Napoléon : « La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ».

Une fois que vous êtes englués dans les liens de la dette, vous ne pouvez plus rien refuser à votre/vos créancier(s), surtout si ce dernier s’est arrangé pour contrôler le pouvoir législatif de façon à organiser son anonymat !

Tout cela n’a pu se produire que parce que le concept de « personne morale » (sic), organisée sur le modèle capitaliste Britannico-hollandais (en opposition au modèle de la participation ou de la cogestion), est intervenu pour cacher le nom véritable des quelques personnes physiques qui contrôlaient in fine ce système organisé par le « droit » dans un ballet très structuré de clair/obscur.

12) Pourquoi dites-vous qu’il est inutile de dénoncer un gouvernement des juges »? (sous la dépendance du pouvoir en place, en l’occurrence le pouvoir financier)

Car c’est en réalité l’intégralité de l’appareil d’État qui est au service, via le partis politiques, du pouvoir financier ! Le prétendu pouvoir des juges fait partie intégrante du pouvoir exécutif et donc de l’appareil d’État. Parler de « gouvernement des juges » c’est vraiment l’arbre qui cache la forêt ! L’imposture politique élevée au niveau de « grand art », du pur illusionnisme !

13) Pour vous, la contestation de l’actuel pouvoir français, illégitime, dictatorial et outrancier, est nécessaire et même indispensable. Que pensez-vous de la gestion gouvernementale du covid ?

Plus précisément, je dis que l’intégralité de l’appareil d’État est aux mains des puissances financières. Nos institutions politique ont organisé consciencieusement, bien que discrètement, la disparition de tout contrepouvoir interne.

L’absence de contrepouvoir interne, initiale et consubstantielle à nos institutions, a été mise en évidence par la disparition du contrepouvoir politique externe que constituait l’existence d’un « bloc de l’Est ». IL FAUT maintenant LE CONSTATER.

Or, une organisation politique sans contrepouvoir est antinomique non seulement avec une quelconque démocratie, avec la liberté individuelle et collective mais aussi et surtout avec le concept même de CIVILISATION.

Les mesures législatives et règlementaires prises, à l’occasion de la crise covidique, par les « autorités chargées de la gestion du territoire français » (il ne s’agit pas à proprement parler de personnel politique puisque les « gouvernements » ne sont plus des « entités politiques ») s’inscrivent évidemment dans cette tendance lourde de la toute puissance financière.

14) Vous jugez la contestation du pouvoir nécessaire pour ne pas nous voir imposer le fameux Great Reset ? Quelle définition donnez-vous à ce projet d’agenda proposé par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab ? (projet monétaro-politique) ; Pour faire face à cette Grande Réinitialisation, à ce gouvernement mondial, vous proposez de remettre les institutions politiques et étatiques au service de la population, vaste programme. Mais avant cela, comment amener cette population à prendre conscience de sa servitude ? (Modèle financiariste contre modèle politique)

Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du « Great Reset », est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité.

Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques signifie mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.

Les gens doivent prendre l’habitude de raisonner par eux-mêmes, de confronter leurs intérêts et ne plus se laisser manipuler par l’avalanche de « mots » dépourvus de sens que les dominants financiers leur imposent, générant volontairement une variété infinie de « maux » politiques et sociaux. Lorsque les politiques, médias ou « sachants » universitaires et autres experts de plateaux parlent de « liberté », il faut aujourd’hui comprendre « servitude ». La liberté, lorsqu’elle existe, n’a pas besoin d’être mentionnée à tout bout de champ. On ne parle des choses que lorsqu’elles ont disparu !

Il est temps d’instaurer une organisation sociétale dans laquelle tous les intérêts catégoriels traversant la Société seront politiquement représentés. Ce qui signifie qu’il est temps de se séparer de nos systèmes politiques actuels, pures impostures politiques, dans lesquels les seuls intérêts politiquement représentés sont, via les partis politiques, les intérêts financiers supérieurs. Je renvoie les auditeurs intéressés à mes travaux sur la rénovation institutionnelle (voir mon site internet et mes différents ouvrages), c’est-à-dire à ma proposition de réinitialisation de l’État telle qu’elle figure sur mon site et telle qu’elle est décrite dans mes différents articles.

15 et 16) Vous avez récemment lancé sur votre blog un cercle de réflexion que vous avez appelé « Révoludroit » pour « un droit au service des humains ». Qu’est-ce que c’est ? Vous dites qu’il faut réactualiser les fondamentaux du Droit, avec une réforme du droit civil (contrat, responsabilité, famille, respect du vivant), économique (droit de l’entreprise à nouveau compris comme une institution et réhabilitation de la monnaie) et pénal. Quelle forme devra prendre cette réforme ?

L’ambition à terme est de faire de RévoluDroit une école de droit alternative. Cette initiative a également pour vocation de préparer l’avenir institutionnel et juridique.

RévoluDroit s’adresse principalement aux juristes afin de rétablir un système de droit digne de ce nom, fondé sur un droit commun (le droit commun est civil ou n’est pas !) adossé au droit naturel, lequel doit être réévalué à l’aune de nos connaissances, scientifiques et humaines, actuelles.

Mais RévoluDroit s’adresse également à toute personne qui pourrait organiser des débats, physiques ou dématérialisés, afin de diffuser dans le public la réforme des institutions et de l’entreprise que j’ai élaborées et que je préconise hautement de mettre en œuvre. L’enjeu de cette mise en œuvre est, n’ayons pas peur de le dire, la survie de l’humanité.

Les auditeurs pourront trouver sur mon site internet, en première page, le schéma de la nécessaire réforme institutionnelle.

Quant à la, non moins nécessaire, réforme de l’entreprise, elle correspond à mon travail de thèse, vulgarisé dans mon livre « La nouvelle entreprise ». Il s’agit, in fine, de mettre en musique juridique le concept de « participation » qui, rappelons-le, trouve sa première manifestation dans la doctrine sociale de l’Église élaborée au XIXe siècle. Cette réforme est tout à fait fondamentale car elle seule permettra de rétablir l’équilibre entre les rapports de force, équilibre que l’imposture du « capitalisme » a volontairement rompu à la seule fin – et les français doivent enfin le comprendre – d’hégémonie politique des puissances financières.

Il n’y a que des perdants à ce jeu de dupe que les puissances financières dominantes appellent fallacieusement « capitalisme » et qui ne sert qu’à monter une partie de la population (ceux qui détiennent un peu d’argent) contre l’autre (ceux qui ne détiennent que leur force de travail). Finalement tout le monde appartient forcément, à un moment ou à un autre, à la catégorie des perdants du « capitalisme », y compris, et peut-être en premier lieu, les grands capitaines d’industrie qui se sont tous plus ou moins fait vampiriser par le jeu de la haute finance prédatrice.

Ce jeu, appelé « capitalisme » est un jeu de dupe pour plusieurs raisons :

  1. Il habille d’honorabilité des pratiques de pures prédations non seulement économiques mais aussi et surtout humaines avec le brevetage et la commercialisation du vivant ;
  2. Il fait passer pour « la liberté », ce qui n’est que la « liberté du commerce », qui se traduit par la simple loi du plus fort dans la savane capitalistique et financière ;
  3. Il est instable par nature: les règles du jeu sont toujours susceptibles de changer brutalement en fonction du seul intérêt, bien compris, des seules puissances financières dominantes. Les partisans des petites crypto-monnaies privées risquent, bientôt, de le découvrir à leur dépens. Car lorsque les dominants financiers décideront de mettre fin à ce qu’il faut considérer comme une expérimentation grandeur nature, toute l’armada juridique de répression de l’émission de fausse monnaie est prête à être mis en œuvre. A minima, ces cryptomonnaies ne pourront plus être converties en monnaies légales. Ce qui, d’ailleurs, peut s’avérer être à double tranchant pour le pouvoir actuel. Néanmoins, le pouvoir en place aura, fatalement, le dernier mot car il contrôle, politiquement et militairement, l’émission énergétique nécessaire au concept de cryptomonnaie.

En conclusion, j’insiste lourdement sur le fait que toutes les catégories – y compris les chefs d’entreprises (petites et moyennes) et les gens ayant fait des « économies » (plans d’épargnes, assurances-vie…) – ayant cru bénéficier de ce jeu fallacieusement appelé « capitalisme » se retrouveront immanquablement flouées à un moment où à un autre. Il est temps de le comprendre !

Il est surtout temps de changer de paradigme socio-politique, de passer de l’imposture à la réalité, de passer de la domination à la protection du vivant, de passer de l’excès de division à la réinitialisation de la vie en commun, c’est-à-dire de « retrouver le chemin de la civilisation ». Rejoignez RévoluDroit pour préparer la suite…




Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’AstraZeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare :

  • Ils sont arrivés avec une douleur aiguë;
  • Ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau;
  • De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes.

Plus tard, l’Union européenne a convoqué un sommet d’urgence sur les vaccins après que plus d’une douzaine de pays européens ont décidé de ne plus utiliser le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca en raison de graves incidents de caillots sanguins signalés dans de nombreux pays.

Un groupe du Rikshospitalet, dirigé par le responsable de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, s’est efforcé de découvrir pourquoi trois agents de santé de moins de 50 ans ont été admis pour de graves caillots sanguins après avoir pris le vaccin d’AstraZeneca.

Les experts ont travaillé sur la base d’une hypothèse selon laquelle les vaccins ont déclenché une réaction immunitaire inattendue chez les agents de santé malades, ce qui a provoqué une combinaison de caillots sanguins et une diminution des plaquettes.

Alors que nous attendons la décision de l’Agence européenne des médicaments, le principal investigateur et médecin norvégien a confirmé de manière sensationnelle que le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca a déclenché une réaction immunitaire inattendue à l’origine des rares caillots sanguins.

“En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause”, explique le chercheur.

Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée.

Parce que nous n’avons pas d’autres antécédents chez ces patients qui peuvent donner une réponse immunitaire aussi forte. Je suis pratiquement sûr que ce sont ces anticorps qui en sont la cause, et je ne vois pas d’autre raison que celle-là – c’est le vaccin qui la déclenche.

M. Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent problème. “Nous parlons d’anticorps très spécifiques”.

On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible.

Le comité des effets secondaires de l’Agence européenne des médicaments (EMA), où siège également la Norvège, se réunit jeudi au sujet de cette affaire et devrait faire une déclaration.

Une fois que l’EMA aura publié une déclaration, il appartiendra aux autorités nationales de décider de la marche à suivre pour leurs pays respectifs.


Sources : 
https://greatgameindia.com/astrazeneca-immune-response-blood-clots/
https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet
Traduction par https://cv19.fr




Poutine met son homologue américain Biden au défi d’un débat urgent en direct

[Source anglaise : RT]

Par Jonny Tickle

Le président russe Vladimir Poutine a défié son homologue américain, Joe Biden, [l’invitant] à une discussion en ligne en direct, sans délai, et a suggéré qu’ils débattent des relations bilatérales et des questions importantes pour le monde en général.
Le président a nommé la lutte contre la pandémie, la résolution des conflits régionaux et les questions de stabilité stratégique comme sujets possibles, notant qu’il serait prêt à parler à Biden vendredi ou lundi dans une discussion «ouverte».

«Je voudrais suggérer au président Biden de poursuivre notre discussion, mais à condition que nous le fassions réellement en direct, sans aucun retard, directement dans une discussion ouverte et en direct», a déclaré Poutine jeudi à la chaîne de télévision Russia 24. «Je pense que ce serait intéressant pour le peuple russe et le peuple des États-Unis et de nombreux autres pays», a-t-il ajouté.

[Ndlr: Poutine semble au courant que quelque chose de (très ?) louche a lieu aux États-Unis en ce qui concerne la présidence de Biden et qu’il pourrait y avoir des éléments faux ou simulés dans cette affaire. Si tel est le cas, les services secrets russes sont certainement capables de l’en informer.]

«Je ne pourrais repousser cela trop longtemps. Je veux aller dans la taïga [forêt] le week-end pour me reposer, mais nous pourrions le faire demain, ou disons lundi», a-t-il suggéré.

Le défi de Poutine survient un jour après que Biden ait convenu avec le présentateur d’ABC News George Stephanopoulos que le dirigeant russe était «un tueur». Le président américain a également noté qu’il avait averti le dirigeant russe que Washington réagirait fortement s’il découvrait des preuves d’ingérence dans l’élection présidentielle de 2020.

Peu de temps après la diffusion de l’interview d’ABC, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avait qualifié la déclaration de Biden de «très mauvaise» et avait accusé la Maison Blanche de ne pas prendre au sérieux «l’établissement de relations» avec Moscou.

L’ambassadeur de Russie aux États-Unis, Anatoly Antonov, a été rappelé à Moscou pour des consultations sur l’avenir des relations avec Washington.




La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle

[Source : reseauinternational.net]

Par Edy Fernandez

La contagion, problème très actuel, et question que beaucoup se posent, n’est pas le fait de germes censés être pathogènes qui viendraient nous agresser de l’extérieur, mais se produit essentiellement par transmission d’informations et entrée en résonance avec ladite information.

Dans l’univers, tout est vibratoire. Ces vibrations, ces fréquences, ces ondes sont porteuses d’informations. Nous y sommes perpétuellement soumis, traversés, impactés à notre insu. Or les facteurs de stress dans l’environnement, sources de nos maladies, sont multiples, quotidiens. Ils représentent une information, négative, de basse vibration, qui nous impacte plus ou moins selon notre état mental et physique.

Ces facteurs peuvent être aussi bien le froid et la grisaille que l’effet des ondes ou une engueulade avec notre moitié. Ou la peur, ou la guerre. Ils sont légion.

Lorsqu’une population est soumise aux mêmes facteurs de stress, aux mêmes conditions environnementales, un certain nombre de personnes vont développer des symptômes plus ou moins similaires en fonction de leur terrain individuel, de leur état de santé et de leur état psychologique. On va alors extrapoler sur une contagion de personne à personne, ce qui est (presque) totalement erroné, la contagion de personne à personne n’étant pas due à de vilaines bébêtes, mais à la transmission d’une information morbide par l’intrication quantique de l’eau et/ou l’électromagnétisme. On peut parler d’effet de mimétisme.

Les facteurs de stress dans l’environnement sont des vibrations basses. Si nous vibrons à la même hauteur que ces facteurs de stress, qui peuvent aussi être le fait des personnes que nous côtoyons, nous entrons en résonance et sommes impactés par ces informations au pouvoir plus ou moins délétère. C’est une porte ouverte. Nous sommes alors susceptibles de « tomber » malades, car le stress se transmet, de la même façon que le rire et la joie. La peur en est un exemple flagrant. On parle alors d’effet nocebo, l’inverse de l’effet placebo. La suggestibilité et la croyance à la base de ces effets sont des facteurs hautement sous-estimés, notamment par les sciences matérialistes, ils sont pourtant au cœur du problème actuel.

L’effet nocebo, un élément crucial pour comprendre les phénomènes qui nous impactent négativement, est trop largement mésestimé. Il est pourtant le fait de notre inconscient, de notre subconscient et de l’inconscient collectif, qui sous-tendent tous nos comportements. On pourrait aisément dire qu’il s’apparente à la sorcellerie. Par exemple, les informations anxiogènes quotidiennes véhiculées par médias et médecins suffisent à entrer en résonance avec ces basses vibrations qui nous rendent malades et peuvent même nous tuer, par le pouvoir de la croyance et de la suggestibilité. Il suffit de baisser en énergie et en cohérence et d’être dans l’état de réceptivité adéquat pour entrer en résonance avec ces vibrations morbides et en devenir victimes. Peur, colère, angoisse, tristesse nous mettent en état de fragilité extrême.

C’est pourquoi il est essentiel de chercher à vibrer le plus haut possible, par l’amour, la joie, la gratitude, afin d’échapper aux basses vibrations de l’environnement qui nous entraînent quasi inévitablement vers le stress et la maladie. La maladie étant toujours porteuse de messages dans l’optique d’une guérison réelle, qui n’est pas celle de l’illusion transitoire apportée par les médicaments et la chimie, car il est surtout question de prise de conscience, de changement et de cohérence de vie.

À ce sujet, il y a un excellent livre de Joe Dispenza, spécialiste reconnu de l’épigénétique, qui traite intelligemment de ces éléments mal connus et controversés. Il s’intitule : « Le placebo, c’est vous ».

N’ayant pas la prétention de détenir la vérité, qui est assurément complexe, ceci correspond juste à ce que je pense et ressens actuellement. Je m’inspire également des réflexions des Drs Alain Scohy et Tal Schaller, ainsi que d’autres. À vous de voir si tout cela vous parle.


[Voir aussi :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale]




Le Docteur Laurent Alexandre, une des stars de la crise sanitaire, attendu par le Tribunal Républicain. MàJ3

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire*

Courte vidéo (3 mn 16) Extrait d’une conférence du Docteur Laurent Alexandre, énarque, créateur de Doctissimo:

Extraits d’une intervention hallucinante faite par le Dr Laurent Alexandre le 12 février 2019 devant un parterre d’étudiants des grandes écoles, Polytechnique et CentraleSupelec. 

Âmes sensibles s’abstenir, car cela décoiffe…

Les propos :

  • Les dieux, vous : 33 s.
  • Vous maîtriserez la technologie transhumaniste et les inutiles : 41 s.
  • Les gilets jaunes, la manifestation d’un gap [Ndlr: un fossé] insupportable… : 54 s.
  • … entre les winners et les loosers : 59 s.
  • Les gilets jaunes sont là pour 100 ans [donc il faut les empêcher de contrarier nos plans rapidement] : 1 mn 13.
  • … [cette crise] c’est vous qui la « résolverez » [sic] : 1 mn 16.
  • Si vous décidez d’être transhumanistes… c’est-à-dire des dieux : 1 mn 42.
  • Je suis un horrible élitiste : 1 mn 55.
  • Je ne pense pas que le monde de demain sera simple et puisse être géré par des groupes populistes qui se réunissent sur Twitter : 2 mn 19.
  • La plupart des hommes politiques sont des « burnes » en science : 2 mn 49.
  • ce sont des « burnes » en techno : 2 mn 52.
  • ce sont des handicapés du « mulot » : 2 mn 54.

La vidéo :

https://youtu.be/nTloUhYcdcc [Vidéo censurée. Voir une autre plus bas.]

Suite à cette vidéo (et donc à la connaissance de cette conférence du 12 février 2019 faite devant des étudiants de Polytechnique et de CentraleSupelec), les Gilets Jaunes, forcement, se disent qu’il est impossible que le gouvernement français ne soit pas au courant de la tenue d’une telle conférence.

Comme les propos de cette boursouflure sont particulièrement choquants, les Gilets Jaunes s’étonnent qu’aucune mesure n’ait été prise à l’encontre de cet individu.

Les Gilets Jaunes ayant vu pendant toute la crise sanitaire ce personnage exhibé sur tous les plateaux TV, ils se demandent alors si toutes les interventions du Docteur Laurent Alexandre dans les médias mainstream lors de la crise sanitaire n’avaient pas pour but de l’amplifier pour créer de la sorte une terreur justifiant les mesures coercitives prises par le gouvernement.

Les Gilets Jaunes rappellent donc à cet illuminé (entre autres) que nous vivons en république et non pas au Far West.

Les Gilets Jaunes rappellent que par ses propos lors de la conférence du 12 février 2019 le Docteur Laurent Alexandre s’oppose complètement aux principes de la République française et qu’il tombe donc automatiquement sous le coup de la loi.


Rappel des 5 premiers articles de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

En conséquence, l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen.

Article 1er

Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Article 2

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Article 3

Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.

Article 4

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article 5

La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.

Les Gilets Jaunes de la Victoire


P.S.
À votre avis, le mouvement des Gilets Jaunes est-il le fruit du hasard ou fait-il parti d’un plan préconçu ? A votre avis que représentent certains de ces Gilets Jaunes ? Avez-vous compris que certains de ces gilets jaunes sont le résultat du Grand Œuvre, d’une mutation Alchimique ? Oui, ces gilets jaunes ont compris (plus ou moins consciemment) notre nature et ils ont fait (plus ou moins consciemment) leur rédemption. Ces gilets jaunes ont le cœur pur. Ils sont pacifiques. Ils détestent la violence. Vous les avez bien vu quand ils défendaient sous l’Arc de Triomphe la tombe du Soldat inconnu ! Vous comprenez ?  Ils veulent simplement vivre dans une société plus équitable, plus libre, plus juste. Ces Gilets Jaunes vous invitent à les suivre…, et à entamer, vous aussi, votre propre mutation, pour permettre, enfin, l’éclosion d’une authentique société fraternelle ? Vous comprenez ? Cependant le peuple est une masse hétérogène, et, quand il n’est pas éclairé, ce qui est le cas actuellement, une fraction de ce peuple peut être capable de toutes les violences. Alors ne risquez pas l’anarchie. Vous comprenez ? Quant à nous, nous misons sur l’Éducation de tous et sur le bon sensNous misons sur une Éducation véritablement Républicaine. Vous comprenez ?

[*: Article transmis par Jean]

[Version plus longue d’extraits de la conférence :]


Mise à Jour :

Ça va pas la tête !: Cerveau, immortalité et intelligence artificielle, l'imposture du transhumanisme par [Danièle Tritsch, Jean Mariani, Oriane Dioux]

L’imposture du transhumanisme :



Jean Mariani et Danièle Tritsch Neuroscientifiques

Médecin et scientifique, Jean Mariani est professeur émérite à Sorbonne Université où il a codirigé un grand laboratoire de neurosciences et où il dirige actuellement l’Institut de la Longévité. Il a exercé de nombreuses responsabilités dans la politique de recherche française en neurosciences et biologie du vieillissement et jouit d’une grande réputation internationale dans ces domaines. 

Ancienne professeure de l’université Pierre-et-Marie-Curie, Danièle Tritsch y a codirigé un grand laboratoire de neurosciences. Elle a assuré de nombreuses fonctions administratives liées à la recherche et écrit plusieurs ouvrages de vulgarisation à destination des étudiants.




Le pape estime que les choses ne seront plus jamais les mêmes dans un monde post-pandémique et a, une nouvelle fois, appelé à l’établissement d’un « Nouvel Ordre Mondial ».

[Source : anguillesousroche.com]

[Note : si le Nouvel Ordre Mondial correspond au règne de la triple Bête de l’Apocalypse, alors le pape montre ainsi pour qui il travaille en réalité.]

Dans un nouveau livre intitulé God and the World to Come (Dieu et le monde à venir), le pape François réitère ses arguments en faveur d’un Grand Reset.

L’interview d’un livre avec le journaliste Domenico Agasso devrait sortir mardi en italien.

Breitbart rapporte : Après la pandémie de coronavirus, « personne aujourd’hui ne peut se permettre de rester tranquille », déclare le pape dans un long extrait du livre publié par Vatican News« Le monde ne sera plus jamais le même. Mais c’est précisément au sein de cette calamité que nous devons saisir les signes qui peuvent s’avérer être les pierres angulaires de la reconstruction. »

« Gardons tous à l’esprit qu’il y a quelque chose de pire que cette crise : le drame de la gâcher », affirme-t-il. « Nous ne pouvons pas sortir d’une crise comme avant : soit nous en sortons meilleurs, soit nous en sortons pires. »

Nous pouvons guérir l’injustice « en construisant un nouvel ordre mondial fondé sur la solidarité, en étudiant des méthodes innovantes pour éradiquer les brimades, la pauvreté et la corruption », ajoute-t-il, « en travaillant tous ensemble, chacun pour sa part, sans déléguer ni se renvoyer la balle ».

Ce nouvel ordre mondial sera fondé sur l’éradication des inégalités et la prise en charge de l’environnement, affirme le pape.

« Nous ne pouvons plus accepter allègrement les inégalités et les perturbations de l’environnement », déclare-t-il. « La voie du salut de l’humanité passe par la création d’un nouveau modèle de développement, qui se concentre incontestablement sur la coexistence entre les peuples en harmonie avec la Création. »

Comme chemin vers une solution, François pointe vers les jeunes impliqués dans les « mouvements écologiques ».

« Si nous ne retroussons pas nos manches et ne prenons pas immédiatement soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, avec un virage économique “vert” en orientant les développements technologiques dans cette direction, tôt ou tard notre maison commune nous jettera par la fenêtre », insiste-t-il.

Le pape affirme également sa conviction que le monde a besoin d’être guéri de « la mentalité spéculative dominante » pour être rétabli « avec une “âme” » afin de réduire le fossé entre ceux qui ont accès au crédit et ceux qui n’y ont pas accès.

Les chrétiens et les personnes de bonne volonté devraient choisir les entreprises à soutenir sur la base de quatre critères, propose François, à savoir : « l’inclusion des exclus, la promotion des plus petits, le bien commun et le soin de la Création. »

À l’heure actuelle, il s’agit de reconstruire à partir des décombres, suggère le pape, une tâche qui implique ceux qui sont au gouvernement ainsi que le reste de la population.

« Il est temps d’éliminer l’injustice sociale et la marginalisation », affirme-t-il. « Si nous saisissons l’épreuve actuelle comme une opportunité, nous pourrons préparer demain sous la bannière de la fraternité humaine, à laquelle il n’y a pas d’alternative, car sans vision globale, il n’y aura d’avenir pour personne. »

Une partie du Grand Reset implique également la fin de la course aux armements, ajoute-t-il.

« Il n’est plus tolérable de continuer à fabriquer et à trafiquer des armes, en dépensant d’énormes quantités de capitaux qui devraient être utilisés pour soigner les gens et sauver des vies. »

« Contre cette discorde planétaire qui tue dans l’œuf l’avenir de l’humanité, nous avons besoin d’une action politique qui soit le fruit de l’harmonie internationale, déclare-t-il, appelant à mettre fin au « nationalisme à courte vue » et aux autres formes d’« égoïsme politique au profit de solutions multilatérales.




Hiraks, Gilets Jaunes : répressions, partis-pris médiatiques

Par Yazid Ben Hounet*

En octobre 2016, apparaissait le hirak du Rif (Maroc). J’étais alors en poste au Centre Jacques Berque, à Rabat. En 2018, quelques semaines après mon retour en France, le mouvement des gilets jaunes naissait (novembre). Trois mois plus tard (février 2019), le hirak algérien commençait. Je me suis intéressé à ces mobilisations populaires, et en particulier aux deux dernières. J’ai été attentif aux formes de répression auxquelles elles ont été confrontées, mais aussi à leurs débouchées politiques. J’ai vu aussi comment, du moins en France, certains épisodes de ces événements ont été montrés, éludés ou passés sous silence. Voici ici quelques éléments de mise en contexte et de réflexion.  

Scène de la répression des Gilets Jaunes au pays de la Déclaration des droits de l’Homme. Bilan : sur 10 mois de mouvement des gilets jaunes (novembre 2018-septembre 2019), on dénombre plus de 3000 condamnations, dont plus de 1000 à de la prison ferme, et au moins 440 avec mandats de dépôt. Il y a eu un mort directement du fait de la répression : Zineb Redouane (2 décembre 2018) ; et dix personnes décédées dans des accidents de la route liées aux manifestations. À cela s’ajoutent les 25 personnes éborgnées, les 5 mains arrachées et des centaines de blessés (plus de 2500 selon le Mur Jaune).

La mort du poissonnier, Mouhcine Fikri, le 28 octobre 2016, à Al Hoceima, a été le point de départ du hirak du Rif. Il avait été happé par une benne à ordures, alors qu’il souhaitait y récupérer sa marchandise saisie par la police. Cette mort atroce, filmée et relayée dans les médias sociaux, avait été l’élément déclencheur de la mobilisation populaire. L’historien Maâti Monjib (L’Humanité, 3 juillet 2017), resitue les causes initiales du soulèvement :

« L’une des raisons de la révolte rifaine, c’est l’injustice que représente la mort du jeune poissonnier Mouhcine Fikri dans des conditions abjectes. Une grande partie de son corps a été broyée par un camion poubelle. La population demandait tout d’abord une véritable enquête pour clarifier les causes directes et profondes de sa mort. Les manifestants ont montré du doigt dès le début du mouvement la corruption qui règne dans le secteur de la pêche et qui fut l’une des raisons indirectes de ce crime indicible. Ils ont donc demandé la tête d’Aziz Akhannouch, le ministre de tutelle et proche ami du roi Mohammed VI. Le régime a refusé ces revendications somme toute raisonnables et faciles à réaliser » (1).

C’était la première fois que le terme arabe hirak (mouvement) et l’expression hirak shaabi (mouvement populaire) étaient amplement utilisés au Maghreb. Ils étaient employés, auparavant, au Proche-Orient (Jordanie et Yémen). Bien que m’informant sur ces mobilisations, je n’ai pas senti la nécessité d’écrire sur le sujet. Je considérais le hirak du Rif comme une affaire maroco-marocaine. Par ailleurs, ma situation de chercheur affecté au Maroc, de surcroît de nationalités algérienne et française, me plaçait dans une position délicate (2). Mais surtout les chercheurs, journalistes et plus largement intellectuels marocains, à l’instar de l’historien Maâti Monjib ou du journaliste Omar Radi, étaient les mieux placés pour rendre compte de ce qui se passait au Maroc (3).

J’ai, par contre, ressenti le besoin de rédiger, dès janvier 2019, un texte sur le mouvement des gilets jaunes. Il figure sur ma page Academia depuis (4) (et a été publié plus tard en Algérie). J’avais été effaré par l’ampleur des violences en France et, en tant que chercheur et fonctionnaire, je voulais signifier, par ce texte, ma profonde condamnation de la répression étatique. J’étais aussi indigné par les procédés médiatiques de disqualification de ce mouvement, et le long silence initial sur les violences policières. Il a fallu, en effet, attendre plus de deux mois, dans la semaine du 14 janvier 2019, pour que soit mentionné sur des médias importants, mais sans le dire vraiment, ce qui a bien constitué le caractère inédit et barbare de la réponse étatique : une répression policière et judiciaire inouïe et sans précédent, sous la VèmeRépublique, d’un mouvement social (5) ! Dans les comptes Twitter de l’Observatoire des Violences Policières et du journaliste David Dufresne se succédaient en effet, à un rythme effréné, depuis la mi-novembre 2018 des témoignages accablants de ces violences (6).

J’ai également publié, en mars 2019, quelques analyses sur le hirak algérien, enthousiasmé par ce que je considérais (et considère toujours) être la deuxième révolution algérienne (7).

Près de deux ans après le début du hirak en Algérie, un premier petit bilan comparé (Maroc, France, Algérie) s’impose. Qu’en est-il des répressions et des avancées politiques ?

Bilan des répressions

Maroc — sur 10 mois du hirak (entre octobre 2016 et août 2017), plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées (chiffre précis inconnu) — près de 300 selon le journaliste Omar Radi (entretien du 12 août 2017, note de bas de l’article). On peut estimer les détenus à, au moins, 320 (plus de 500 selon le CADTM) (8), si on compte les 188 graciés en août 2018, les 107 en 2019 (juin), les 20 graciés en juillet 2020. À cela s’ajoutent les personnes encore incarcérées, dont Nasser Zefzafi (l’un des leaders de la mobilisation), condamné à 20 ans de prison (9) ;

Il faut aussi mentionner les répressions subséquentes au hirak, dont l’emprisonnement des journalistes Omar Radi (en décembre 2019, puis depuis juillet 2020), Souleimane Raissouni (depuis mai 2020) et celui de l’historien Maâti Monjib (depuis le 29 décembre 2020).

On dénombre enfin 3 morts liés à ce mouvement, du fait de la répression : Mouhcine Fikri (28 octobre 2016), Imad Al Attabi (8 août 2017) (10) et celle controversée (asthme et inhalation de gaz lacrymogène) d’AbdelHafid El Haddad (18 août 2017) (11).

Dessin d’Osama Hajjaj représentant la mort du poissonnier, Mouhcine Fikri, le 28 octobre 2016, à Al Hoceima, qui a été le point de départ du hirak du Rif, comme ce fut le cas en Tunisie, en décembre 2010 avec la mort atroce du marchand ambulant Bouazizi qui avait l’étincelle qui a emporté le régime de Ben Ali. Fikri avait été happé par une benne à ordures, alors qu’il souhaitait y récupérer sa marchandise saisie par la police. Cette mort atroce, filmée et relayée dans les médias sociaux, avait été l’élément déclencheur de la mobilisation populaire. Sur 10 mois du hirak (entre octobre 2016 et août 2017), plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées (chiffre précis inconnu) — près de 300 selon le journaliste Omar Radi. On peut estimer les détenus à, au moins, 320 (plus de 500 selon le CADTM) (8), si on compte les 188 graciés en août 2018, les 107 en 2019 (juin), les 20 graciés en juillet 2020. À cela s’ajoutent les personnes encore incarcérées, dont Nasser Zefzafi (l’un des leaders de la mobilisation), condamné à 20 ans de prison (9).

France — sur 10 mois de mouvement des gilets jaunes (novembre 2018-septembre 2019) : on dénombre plus de 3000 condamnations, dont plus de 1000 à de la prison ferme, et au moins 440 avec mandats de dépôt (12). Il y a eu un mort directement du fait de la répression : Zineb Redouane (2 décembre 2018) ; et dix personnes décédées dans des accidents de la route liées aux manifestations. À cela s’ajoutent les 25 personnes éborgnées, les 5 mains arrachées et des centaines de blessés (plus de 2500 selon le Mur Jaune) (13).

J’ai signé, il y a plus de deux ans, une pétition pour une amnistie des gilets jaunes (https://amnistiegj.fr/). Mais il ne me semble pas qu’Emmanuel Macron ait accordé la moindre grâce à leur égard.

Algérie — sur 2 ans de hirak (de février 2019 à mars 2021, dont pause pandémie) : on dénombre près de 150 détenus, selon le décompte du Comité National pour la Libération des Détenus – CNLD (14). Au 10 mars 2021, le nombre de personnes (toujours en prison) était de 32. La plupart avaient soit purgé leur peine, soit été relaxés, soit graciés. Abdelmadjid Tebboune a usé de la grâce présidentielle quelques jours après sa prise de fonction (le 6 février 2020), à l’occasion de la fête de l’indépendance (5 juillet 2020) et tout récemment, le 19 février 2021, à l’occasion de l’anniversaire du hirak (événement constitutionnalisé). Une personne est morte du fait de la répression policière : Ramzi Yettou (19 avril 2019) (15); 3 autres personnes, dont le fils de l’ancien président du gouvernement provisoire, Benyoucef Benkhedda, sont décédées en raison de crises cardiaques durant les marches et manifestations (en mars, mai et juillet 2019). Enfin, au moment de l’élection présidentielle, le 11 et 12 décembre 2019, 4 jeunes Algériens au moins ont été blessés à l’œil par des balles en caoutchouc (16).

Au final, si nous comparons ces trois mouvements, la répression (en chiffres absolus de détenus, morts et blessés graves) a été moindre en Algérie. Elle a été encore bien moins importante rapportée à l’ampleur du hirak algérien (des centaines de milliers, voire des millions de manifestants lors des premières semaines) et à sa durée. Paradoxalement, c’est la répression en Algérie qui a été davantage pointée du doigt par certaines institutions internationales (ONU, Parlement européen) et grands médias en France. J’y reviendrai par la suite.

Quant au bilan politique, force est de constater que les choses ont davantage évolué en Algérie.

Bilan politique

Au Maroc, aucun changement notable : le ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch (cité plus haut par Maâti Monjib,) est resté depuis en poste et a même vu son portefeuille ministériel s’agrandir. Quelques remaniements ministériels ont été opérés en avril 2017 (changement du Premier ministre), puis en octobre 2017, pour des raisons de politiques internes et non seulement à cause du mouvement social du Rif.

En France, la prime de fin d’année (2018) attribuée de manière aléatoire et au bon vouloir des entreprises, a été le seul petit cadeau offert aux gilets jaunes. Le grand débat, davantage dispendieux que grand, n’a débouché sur aucune avancée concrète. Exit le RIC, la hausse des minimas sociaux, la réintroduction de l’ISF, le retour aux urnes ; au profit de la répression policière et judiciaire, et de lois liberticides (loi anticasseurs, loi de sécurité globale). Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, est longtemps resté à son poste, avant de retourner tranquillement au parlement, en tant que président du groupe de la majorité présidentielle. Quant au préfet de Paris… il campe toujours à la même place.

En Algérie, la tentative de 5e mandat de la zawyia Bouteflika (17) a avorté. Les trois B (Belaiz – président du Conseil constitutionnel ; Bensalah — président du sénat ; Bedoui — Premier ministre) sont partis. Une élection présidentielle s’est tenue en décembre 2019. Un nouveau président a été élu et un nouveau gouvernement formé. L’ancien ministre de l’Intérieur — Salah-Eddine Dahmoune — a été remercié par le nouveau président Abdelmadjid Tebboune (le 19 décembre 2019), en raison notamment des répressions des 11 et 12 décembre (cf. plus haut). Plus de vingt hauts responsables de l’ère précédente, dont Ouyahia et Sellal (anciens premiers ministres), ont été jugés et condamnés depuis, ou font l’objet de mandats d’arrêt internationaux (Chakib Khelil et Abdeslam Bouchouareb notamment). Une nouvelle constitution a été élaborée et adoptée par referendum. Des élections législatives anticipées auront lieu en juin 2021. En somme, outre les nombreux jugements pour corruption, une transition constitutionnelle, marquée par des mécanismes de type démocratiques (18), a été mise en place (plutôt que l’aventure hasardeuse de la constituante) : retour aux urnes, ouverture à de nouveaux partis, mécanismes de contrôle des élections via l’ANIE, l’Autorité nationale indépendante des élections, présidée par Mohamed Chorfi. Cette structure a été créée en septembre 2019, à la suite du travail effectué par l’instance de dialogue et de médiation (dirigée par Karim Younes). Elle semble plutôt bien fonctionner puisqu’elle a permis de mieux encadrer la participation électorale et elle a publiquement affiché des taux de participation crédibles aux élections qui ont eu lieu depuis (présidentielle de décembre 2019 ; referendum de novembre 2020). Les taux affichés sont, par ailleurs, réalistes au point que les oppositions qui s’offusquaient auparavant des taux exagérés de participation (notamment pour les délégitimer) … en sont venues à se plaindre de la faible participation des électeurs, en s’appuyant sur les données de l’ANIE, pour mieux critiquer la légitimité du nouveau président et celle de la nouvelle constitution.

En articulant le bilan des répressions au bilan politique, il ressort aussi que la responsabilité politique est moins engagée s’agissant des autorités algériennes actuelles. Le président algérien et le gouvernement actuel (instauré au début de l’année 2020), ne peuvent en effet être tenus responsables des événements de l’année 2019. Seuls les ministres des Affaires étrangères et de la Justice (Sabri Boukadoum, en poste depuis le 2 avril 2019 ; Belkacem Zeghmati, en poste depuis le 1er août 2019) ont intégré le gouvernement Djerad, formé en janvier 2020.

Parti-pris des instances internationales : ONU, Parlement Européen

 S’agissant du Maroc : les instances officielles en charge des droits de l’homme, au niveau de l’ONU et du Parlement Européen, n’ont pas pris de position ou de résolution à l’égard du mouvement du Rif et de sa répression. Les autorités marocaines n’ont pas été pointées du doigt. De surcroît, ni Nasser Zefzafi, ni les journalistes comme Omar Radi, n’ont été officiellement soutenus, en dépit de la mobilisation d’ONGs et de parlementaires, et de rapports d’experts en droits de l’homme.

S’agissant de la France : le 14 février 2019, le Parlement Européen a voté une résolution sur le droit à manifester pacifiquement et l’usage proportionné de la force — et ce sans citer un État membre en particulier (19). La condamnation de l’usage des lanceurs de balles de défense ayant été refusé par la majorité. Le 6 mars 2019, Michelle Bachelet, cheffe des droits de l’homme à l’ONU, a courtoisement demandé une enquête sur les « Gilets jaunes » en France (20).

S’agissant de l’Algérie : le 16 septembre 2020, des experts des droits de l’homme de l’ONU ont condamné la peine de prison prononcée en appel à l’encontre du journaliste algérien, Khaled Drareni, et demandé sa libération (21). Le 25 novembre 2020, le Parlement européen a voté une résolution sur la détérioration de la situation des droits de l’homme en Algérie, en particulier le cas du journaliste Khaled Drareni (22), dans laquelle il « condamne fermement l’escalade des arrestations et détentions illégales et arbitraires et du harcèlement juridique dont sont victimes les journalistes, les défenseurs des droits de l’homme, les syndicalistes, les avocats, les membres de la société civile et les militants pacifiques en Algérie ». Le 5 mars 2021, l’ONU a réclamé une enquête et la fin des détentions arbitraires. Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU a également demandé, aux autorités algériennes de mettre immédiatement fin aux violences contre des manifestants pacifiques et aux arrestations arbitraires (23).

On est un peu interloqué par les exigences de l’ONU et du Parlement Européen, à l’égard des autorités algériennes, au regard de leur silence s’agissant du Maroc, de leur bienveillance envers la France, et des réalités des répressions qui ont eu lieu dans ces trois pays (cf. les bilans plus haut). On s’interroge, en outre, sur les raisons pour lesquelles, dans sa déclaration du 5 mars 2021, « le Bureau des droits de l’homme de l’ONU réclame des enquêtes “rapides, impartiales et rigoureuses” sur les allégations de torture et de mauvais traitements en détention », alors même que le parquet général d’Algérie s’est saisi de cette question dès le 7 février 2021. Cette dernière décision faisant suite à l’affaire Walid Nekkiche, relayée par la presse algérienne, concernant des allégations de torture datant de décembre 2019, au moment de son témoignage à l’occasion de son procès au début du mois de février 2021 (24). La résolution du Parlement Européen datant du 25 novembre 2020 fait également mention de ces allégations (note de bas de page 22, article D).

Il est normal que l’ONU et le Parlement Européen se saisissent des cas potentiels ou avérés de torture. Mais pourquoi ne l’ont-ils pas fait, et en particulier le Parlement Européen, s’agissant de Nasser Zefzati (Maroc) — alors même que cette institution était destinataire d’une lettre, lue publiquement par son père, au parlement européen même, à l’occasion du prix Sakharov, et dans laquelle Nasser Zefzafi témoignait des tortures subies (25)? En dépit des nombreuses allégations de torture, ni l’ONU, ni le parlement européen n’ont exigé des enquêtes « rapides, impartiales et rigoureuses » aux autorités marocaines ; rien n’a été demandé officiellement ; aucune enquête n’a été réclamée à la France s’agissant des nombreux cas d’éborgnement, de mains arrachées, qui ne sont ni plus ni moins que des actes de torture. Rappelons que la simple condamnation de l’usage des lanceurs de balles de défense avait été refusée par la majorité du Parlement Européen, le 14 février 2019.

Cette partialité des instances officielles internationales révèle et s’explique par deux phénomènes conjoints : le traitement médiatique en Europe, et plus particulièrement en France, de ces événements (hiraks et mouvement des gilets jaunes) ; les intérêts économiques et politiques.

Traitement médiatique : which side are you on (Loach, 1984)?

[Ndlr: « which side are you on » = De quel côté êtes-vous ?]

« If you’re not careful, the newspapers will have you hating the people who are being oppressed, and loving the people who are doing the oppressing » [« Si vous ne faites pas attention, les journaux vous feront haïr les gens qui sont opprimés et aimer ceux qui font l’oppression »]

 Malcolm X

Le pacifisme du hirak en Algérie, mis en avant dans les grands médias français, a aussi pour corollaire un maintien de l’ordre « relativement » correct (à l’exception des répressions à l’approche de l’élection de décembre 2019). Doit-on le rappeler ? La responsabilité du maintien de l’ordre, et avant tout de l’intégrité physique des citoyennes et citoyens, incombe, en premier lieu, à la force publique (police, gendarmerie). Le pacifisme, comme la violence, n’est pas un état naturel, mais résulte de dynamiques entre différents acteurs. Pour le dire autrement, et pour rappeler une évidence rendue étrangement opaque par certains filtres médiatiques : les Algériens ne sont ni plus ni moins pacifistes que les Français (Gilets Jaunes) ou les Marocains (hirak du Rif). Les dynamiques de répression (encadrement, « nassage » et organisation du désordre) ne sont pas les mêmes et les focales médiatiques différentes (embellissement des manifestations d’un côté ; criminalisation, disqualification ou opacité de l’autre). Le hirak en Algérie n’a pas été exempt de certains actes de vandalisme et de violence (26), des femmes revendiquant un changement vers l’égalité ont aussi été agressées par des hommes (27). Si je mentionne ces quelques éléments, ce n’est pas pour dévaloriser le hirak, mais pour signaler le hiatus que j’ai ressenti s’agissant du traitement médiatique de ces mobilisations : l’étrange embellissement du hirak algérien par les mêmes médias qui disqualifiaient, avilissaient, au même moment, le mouvement des gilets jaunes, et antérieurement, faisaient silence sur le hirak du Rif.

La méfiance vis-à-vis des grands médias français (essentiellement détenus, rappelons-le, par quelques milliardaires) (28), exacerbée par le traitement médiatique des gilets jaunes (29), doit nous amener à être attentif à la question du parti-pris — ce qui est montré, caché, embelli, avili, et dans quels intérêts. Dans son film Which side are you on? (1984), Ken Loach traitait déjà de ces questions s’agissant des mineurs grévistes du nord de l’Angleterre.

Par exemple, les mobilisations médiatiques de « l’establishment journalistique » en France, de Laurent Delahousse, Anne-Claire Coudray, Bernard de la Villardière, etc. devant l’ambassade d’Algérie (7 septembre 2020) (30), les nombreuses émissions sur Europe 1, France inter (sans parler de France 24 et TV5 monde), RSF et les grandes campagnes d’affichage en soutien au journaliste Khaled Drareni, tout cela m’a laissé assez perplexe en comparaison de ce qui a été fait, par ces mêmes personnes et structures, pour les gilets jaunes ou encore pour le journaliste Omar Radi (31). Qu’on me permette au moins de penser que la « danse du ventre » de Bernard de la Villardière devant l’ambassade d’Algérie avait davantage pour objet d’exprimer son mépris de l’Algérie et de ses autorités, qu’un sincère soutien à la liberté et à la pluralité de la presse (32).

« Djeïch, chaâb, khawa khawa » (armée, peuple : tous frères) : le slogan porté par les manifestants algériens. Sur 2 ans de hirak (de février 2019 à mars 2021, dont pause pandémie) : on dénombre près de 150 détenus, selon le décompte du Comité National pour la Libération des Détenus — CNLD. Au 10 mars 2021, le nombre de personnes (toujours en prison) était de 32. La plupart avaient soit purgé leur peine, soit été relaxés, soit graciés. Abdelmadjid Tebboune a usé de la grâce présidentielle quelques jours après sa prise de fonction (le 6 février 2020), à l’occasion de la fête de l’indépendance (5 juillet 2020) et tout récemment, le 19 février 2021, à l’occasion de l’anniversaire du hirak (événement constitutionnalisé). Une personne est morte du fait de la répression policière : Ramzi Yettou (19 avril 2019) (15); 3 autres personnes, dont le fils de l’ancien président du gouvernement provisoire, Benyoucef Benkhedda, sont décédées en raison de crises cardiaques durant les marches et manifestations (en mars, mai et juillet 2019). Enfin, au moment de l’élection présidentielle, le 11 et 12 décembre 2019, 4 jeunes Algériens au moins ont été blessés à l’œil par des balles en caoutchouc.

Frantz Fanon écrivait dans Les damnés de la terre : « Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ». Je ne m’étais pas rendu compte, lorsque j’avais lu son livre, de l’importance des mots suivants : « dans une relative opacité ». La comparaison de ces trois mobilisations (Rif, gilets jaunes, Algérie) et de leur traitement médiatique m’a rendu davantage sensible à cette question. Il n’est pas sûr d’ailleurs qu’elle soit intentionnelle de la part des journalistes et responsables médiatiques. Elle révèle néanmoins de jugements de valeur intriqués dans des faisceaux d’intérêts économiques, politiques et sociaux. La bienveillance à l’égard des autorités marocaines, y compris s’agissant de la question du Sahara Occidental, est à resituer à l’aune de ces derniers. Par exemple, le réseau des établissements scolaires d’enseignement français y est l’un des plus denses au monde. L’électricité et l’eau sont gérées dans la métropole de Rabat par une filiale de Véolia ; une autre filiale de Véolia gère les villes de Tétouan et Tanger; à Casablanca, c’est une filiale du groupe Suez ; une bonne part des riads touristiques de Marrakech, de Fès et d’Essaouira (et d’autres villes) sont détenus par des Français ou Européens ; plusieurs grandes entreprises françaises et européennes y sont installées, à des conditions favorables (dont plusieurs appartiennent en tout ou en partie aux milliardaires qui détiennent l’essentiel des médias en France — comme Drahi, Bolloré, Bouygues, Lagardère, etc.). Le Maroc est aussi un bon client des ONGs de développement et coopère doctement aux politiques européennes de gestion des migrations africaines. On saura donc bien lui passer ses écarts (fussent-il bien grands) en matière des droits de l’homme dans son territoire et dans ceux occupés du Sahara occidental… ou du moins lui trouver des circonstances atténuantes.

À moins que ce soit le fait que tous ces éléments (faisceaux d’intérêts économiques et politiques) ne s’appliquent pas à l’Algérie, qui explique l’attitude sévère de grands médias français, du Parlement Européen et de l’ONU à l’égard des autorités algériennes ?

Un dernier point de mise en contexte sur les détenus d’opinion en Algérie : c’est à partir de septembre 2019, suite à la décision d’aller vers des élections présidentielles en décembre, que des groupes (guidés par quels enjeux ?) se sont mis à diffuser des annonces pour manifester les samedis (en plus du vendredi) et qu’il y a eu des postures de radicalisation. Les interpellations se sont accélérées à cette période et les détentions également (personnes jugées notamment en vertu des articles 97 et suivants du Code pénal — attroupement non armé pouvant troubler l’ordre public). Il n’y a pas eu, à cette occasion, de loi de circonstance, comme la loi anticasseur (France), ni de procédé judiciaire inique : comme les accusations de viol pour Omar Radi (Maroc) ou la tentative d’accusation de viol pour Julian Assange (Suède). C’est, précisons-le, lors d’une manifestation ayant lieu un samedi (7 mars 2020), que le journaliste Khaled Drareni a été interpellé. La dépêche de l’AFP (08/03/2020 – 18:15:46) en faisait mention, mais cette précision a systématiquement été oblitérée dans les articles qui ont été publiés par la suite (à l’exception d’un article du Monde datant du 9 mars 2020) (33).

La peur d’une ingérence étrangère et/ou d’un scénario « printemps arabe » se transformant en « hiver macabre » ou en « printemps du désert », a pu également braquer d’autres Algériens, y compris des procureurs et des juges… On ne saurait écarter cette hypothèse quand on connaît l’histoire politique récente et moins récente. Il suffit d’évoquer les printemps arabes ou l’histoire de la Françafrique — que le grand public a pu découvrir avec le documentaire Décolonisation : du sang et des larmes (34). Il paraît même qu’un intellectuel a théorisé la mise à profit de troubles politiques internes pour déstabiliser un pays ou un État, ou pour y favoriser un régime plutôt qu’un autre. Il s’appelle Sun Tzu et son ouvrage s’appelle L’art de la guerre. Il aurait été rédigé au Vème siècle avant J.-C. et serait encore enseigné dans de nombreuses académies militaires, de relations internationales et de sciences politiques.

*Yazid Ben Hounet

Chargé de recherche au CNRS

Laboratoire d’Anthropologie Sociale

  • Ce texte n’a pas été écrit par un défenseur du « régime » algérien — processus de disqualification habituel dès lors qu’on ne crie pas avec les loups — mais par un chercheur critique, qui cite ses sources. C’est le texte d’un fils d’ouvrier algérien, venu travailler en France au début des années 70, appartenant à une famille d’ouvriers agricoles et n’ayant pas eu la chance d’aller à l’école, comme la majorité des Algériens durant la période coloniale (les bienfaits de la colonisation ?). De mon père, j’ai néanmoins reçu quelques principes fondamentaux : le profond respect de la dignité humaine, l’évitement des postures hypocrites et le sens de l’indépendance (particulièrement exacerbé, il est vrai, chez les Algériens comme lui).

« Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir… »

(Frantz Fanon)


Notes et références

  1. https://www.humanite.fr/maati-monjib-le-hirak-un-mouvement-populaire-autonome-non-separatiste-et-prodemocratique-638309
  2. Pour ne pas m’autocensurer, j’ai signé en avril 2018, avec une centaine d’autres chercheurs, une lettre ouverte sur la responsabilité française dans la non-décolonisation du Sahara Occidental (https://www.humanite.fr/la-france-une-lourde-responsabilite-dans-la-non-decolonisation-du-sahara-occidental-654034). J’avais pris soin de la signer en mentionnant seulement mon rattachement au Laboratoire d’Anthropologie Sociale, à Paris. Cela me valut tout de même une campagne de diffamation publique au Maroc.
  3. On pourra se référer entre autres au film produit par ATTAC Maroc au printemps 2017, aux analyses de Maati Monjib (juin 2017), aux informations transmises par le journaliste Omar Radi (août 2017). https://www.cadtm.org/Film-ATTAC-Maroc-Death-Over-Humiliation-Mourir-pour-ne-pas-accepter-l ; https://www.middleeasteye.net/fr/entretiens/interview-maati-monjib-le-regime-marocain-sest-specialise-dans-laffaiblissement-des ; https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/al-hoceima-apres-les-funerailles-dimad-ettabi-le-hirak-appelle-de-nouvelles
  4.  https://www.academia.edu/38172908/Les_gilets_jaunes_et_lEtat_de_Barbarie_docx
  5. On n’intègre pas ici les massacres du 19 octobre 1961 et de la station du métro de Charonne (8 février 1962), qui ont lieu durant la guerre d’Algérie et dont les actions réprimées ne relèvent pas à proprement parler du mouvement social, mais du mouvement de libération national.
  6. https://twitter.com/obs_violences?lang=frhttps://twitter.com/davduf
  7. https://aoc.media/auteur/yazid-ben-hounet/
  8. https://www.cadtm.org/spip.php?page=imprimer&id_article=16377
  9. Nasser Zefzafi a été l’un des trois finalistes du prix Sakharov (Parlement européen) pour la liberté de pensée 2018 : https://www.europarl.europa.eu/news/fr/headlines/eu-affairs/20181005STO15106/prix-sakharov-2018-les-trois-finalistes-annonces
  10. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/08/08/maroc-un-manifestant-blesse-a-al-hoceima-meurt-apres-trois-semaines-dans-le-coma_5170115_3212.html ; https://www.humanite.fr/maroc-imad-al-attabi-succombe-ses-blessures-640286
  11. https://www.h24info.ma/maroc/al-hoceima-deces-manifestant-abdelhafid-el-haddad/
  12. Information datée de septembre et novembre 2019 : https://www.bastamag.net/gilets-jaunes-champs-elysees-justice-repression-condamnations-violences-police-loi-anti-casseurs-prison ; https://www.liberation.fr/checknews/2019/11/08/un-millier-de-gilets-jaunes-condamnes-a-de-la-prison-ferme-depuis-le-debut-du-mouvement_1762173/
  13. http://lemurjaune.fr/
  14. https://www.facebook.com/comitenationalpourlaliberationdesdetenusCNLD/
  15. https://www.elwatan.com/edition/actualite/le-jeune-manifestant-est-decede-le-19-avril-dernier-amnesty-international-reclame-une-enquete-approfondie-sur-la-mort-de-ramzi-yettou-29-05-2019
  16. https://www.elwatan.com/edition/actualite/tous-solidaires-avec-les-eborgnes-de-la-revolution-19-12-2019
  17. mon texte  : https://aoc.media/opinion/2019/03/13/algerie-breve-sociologie-dune-deuxieme-revolution/https://www.academia.edu/38520068/Algerie_br%C3%A8ve_sociologie_dune_deuxieme_revolution
  18. J’avais rédigé un article en mars 2019 évoquant ce scénario de sortie de crise et de transition démocratique : https://www.lesoirdalgerie.com/contribution/ou-pourquoi-lalgerie-nest-ni-la-syrie-ni-legypte-21196.
  19. https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/02/14/le-parlement-europeen-condamne-l-usage-des-lanceurs-de-balles-de-defense-par-les-forces-de-l-ordre_5423513_3224.html
  20. https://news.un.org/fr/story/2019/03/1037951
  21. https://news.un.org/fr/story/2020/09/1077362
  22. https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/RC-9-2020-0375_FR.html
  23. https://news.un.org/fr/story/2021/03/1090972
  24. https://www.radioalgerie.dz/news/fr/article/20210207/206812.html ; https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/02/08/en-algerie-le-parquet-ouvre-une-enquete-apres-des-accusations-de-torture-d-un-etudiant_6069204_3212.html
  25. https://amazighinformatiecentrum.medium.com/lettre-de-nasser-zefzafi-parlement-europ%C3%A9en-2016-37f1fa140638
  26. https://www.tsa-algerie.com/marches-contre-le-5e-mandat-en-algerie-183-blesses-et-un-mort/
  27. https://www.elwatan.com/edition/contributions/reappropriation-de-la-revolution-algerienne-et-ou-de-lindependance-26-05-2019
  28. https://www.acrimed.org/Medias-francais-qui-possede-quoi ; https://www.monde-diplomatique.fr/cartes/PPA
  29. Ce qui explique le déploiement et l’intérêt croissant pour des médias indépendants tels que Bastamag, Streetpress, Le Media, Quartier Général et plus récemment Blast.
  30. https://information.tv5monde.com/video/khaled-drareni-laurent-delahousse-anne-claire-coudray-les-grandes-figures-de-la-television
  31. Pour ce dernier, heureusement qu’il y a eu le travail de Rosa Moussaoui (L’Humanité) et Rachia el Azzouzi (Mediapart). Mais elles n’ont que peu de visibilité en comparaison.
  32. https://www.liberation.fr/medias/2009/12/04/bernard-de-la-villardiere-en-quete-d-exclusivite_597283/
  33. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/03/09/en-algerie-garde-a-vue-prolongee-pour-deux-figures-du-hirak_6032344_3212.html
  34. https://www.france.tv/france-2/decolonisations-du-sang-et-des-larmes/



Lucien Cerise — Apartheid sanitaire et stratégie du langage pour manipuler la population

[Source : France Liberté via Les 7 du quebec]

Au Canada comme en France, aux États-Unis et en Europe on constate une recrudescence des maladies mentales parmi la population tétanisée, causée par les mesures de répression sociale : confinement, isolement, couvre-feu, apartheid sanitaire,  terrorisme pandémique et propagande alarmiste des gouvernements désemparés. Lucien Cerise explique le lien de causalité entre cette  propagande gouvernementale alarmiste et la recrudescence des pathologies mentales. (Robert Bibeau)

https://youtu.be/-gYfbzZ9Jgo

Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Il est aussi spécialiste des sciences comportementales et de l’ingénierie sociale. Il a écrit plusieurs ouvrages dont:
« Gouverner par le chaos », Max Milo
« Neuro-pirates » Kontre Kulture

  1. L’Apartheid sanitaire
    Quelles sont aujourd’hui les principales menaces sur l’intégrité humaine (au niveau physique, mental et psychique) et particulièrement dans le contexte du terrorisme viral?
  2. La linguistique et sémantique du pouvoir gouvernemental et présidentiel pour manipuler et hypnotiser l’opinion
    Dans l’histoire de la philosophie, remontant à la Grêce antique, il y a une guerre silencieuse mais mortelle entre Réalistes et Nominalistes vous pouvez nous expliquer de quoi il s’agit?



Témoignage d’une infirmière qui a réalisé des tests PCR

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

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COVID-19 — La Cour pénale internationale de La Haye a accepté la plainte pour violation du code de Nuremberg du gouvernement israélien. MàJ

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Machnes et Aryeh Suchovolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co., concernant des violations du Code de Nuremberg par le gouvernement israélien et d’autres parties. Or, la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été acceptée. Elle est maintenant en attente d’une décision.

L’avocate Ruth Machnes Suchovolsky a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée au tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchovolsky en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg. » L’avocate ajouta six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. »

Cour pénale internationale (lettre d'acceptation)
La lettre d’acception de la Cour pénale internationale, signée par Mark Dillon.

La plainte déposée auprès du tribunal se lit comme suit :

Nous nous adressons à vous au nom de l’association «Anshei Emet», une association en cours d’établissement, dont les membres sont des avocats, des médecins, des militants du public et en général, qui ont fait le choix d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (Immunisation Corona), et qui estiment que de grandes pressions, dures et illégales, sont exercées sur eux au nom du gouvernement d’Israël, des membres de la Knesset, des ministres, des hauts représentants élus du public, des chefs de villes et plus encore.

Nous souhaitons commencer par des connaissances de base sur le sujet: Le vaccin Corona est un traitement médical innovant, qui n’a obtenu que récemment l’approbation de la FDA aux États-Unis (dans le cadre d’une procédure d’urgence uniquement), une approbation qui n’est pas définitive et avec des détails sur 22 effets secondaires du vaccin. En outre, il est clair pour tous les facteurs médicaux que le sujet de l’influence à long terme du traitement n’a pas été testé scientifiquement (tests et recherches), et l’effet à long terme et la sécurité du traitement sur ses receveurs sont inconnus. Il est important de préciser que jamais jusqu’à présent n’ont été administrés dans le monde entier des immunisations par cette technologie médicale d’introduction d’un M-ARN synthétique dans le corps, et toutes les immunisations précédentes ont fonctionné d’une manière totalement différente, par l’introduction d’un ou virus affaibli et excitation naturelle du système immunitaire contre lui. Comme détaillé par un virologue senior, les risques anticipés par ce traitement médical innovant sont ci-joints en Annexe 1 à ma lettre.

« Code de Nuremberg » — Un code d’éthique médical publié sur la base des lois en vertu desquelles les criminels nazis ont été jugés pour avoir mené d’horribles expériences médicales pendant la Seconde Guerre mondiale, dans le procès des médecins connu sous le nom de procès de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a ensuite constitué la base de la législation de la Déclaration d’Helsinki ainsi que la base de la loi sur les droits des patients en Israël. Nous avons l’intention de vous présenter et de détailler comment, dans l’État d’Israël cette année, le gouvernement d’Israël avec ses ministres et ses membres de la Knesset, les chefs de villes et d’autres hauts responsables, enfreignent le code de Nuremberg de manière illégale, de manière flagrante. et extrême, et à notre regret, non seulement dans un seul aspect mais beaucoup, trop!

a) Consentement éclairé pour participer à une expérience médicale — un premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à une expérience. La personne est censée activer la liberté de choix sans l’intervention d’un facteur employant la force, la tromperie, la fraude, la menace, la sollicitation ou tout autre type de liaison ou de coercition. Lorsque les chefs du ministère de la Santé ainsi que le Premier ministre ont présenté le vaccin en Israël et ont commencé la vaccination des résidents israéliens, les vaccinés n’ont pas été informés, qu’en pratique, ils participent à une expérience médicale et que leur consentement est requis à cet effet en vertu du Code de Nuremberg, et seulement lorsqu’il est devenu évident que le Premier ministre avait effectivement signé un accord avec la société Pfizer (le fabricant), il a d’abord été publié et également déclaré par le Premier ministre, qu’il s’agissait bien d’une expérience médicale , et que c’était là l’essence de l’accord. Il s’agit en fait d’une expérience médicale génétique sur des êtres humains, réalisée sans consentement éclairé et sous une infraction grave et flagrante du Code de Nuremberg.

b) L’accord Bibi-Pfizer. Après factum, il est devenu clair que le Premier ministre d’Israël a signé un accord avec la Pfizer Company (la société de fabrication), en vertu duquel il recevra une énorme quantité de millions de portions de vaccins, et avec une préférence par rapport aux autres pays, et en contrepartie, les vaccinés (résidents d’Israël) serviront d’«expérimentateurs» pour la société pharmaceutique. Il a été convenu que la société pharmaceutique recevrait d’Israël toutes ses informations médicales et personnelles secrètes à son insu ou sans son consentement préalable. En outre, nous devons déclarer que jusqu’à ce moment, le contenu de l’accord concernant la plupart des résidents de l’État d’Israël, n’a pas été publié, ce qui est la transparence obligatoire en vertu de la loi, et il a été publié avec « black-out » / dissimulation d’un grand nombre d’informations incluses dans cet accord. Il convient de dire et de rappeler que nous ne vivons pas dans un pays de dictature, de sorte qu’à l’évidence, un tel accord doit être soumis à une transparence totale envers le large public.

c) Traitements alternatifs. En ce qui concerne le consentement éclairé pour un traitement médical, et sur la base des principes du Code de Nuremberg, il existe une obligation de détailler et de suggérer à un patient plusieurs alternatives de traitement, en détaillant également le processus médical (et tout ce qui y est inclus). comme les avantages et les inconvénients / bénéfices et risques, existant dans chaque traitement, pour lui permettre de prendre une décision personnelle intelligente concernant le traitement qu’il préfère. Comme indiqué, cela doit être fait sans exercer de pressions et librement, en tant que personne libre. Malgré tout ce qui précède, l’État d’Israël et le ministère de la Santé ne présentent pas aux citoyens israéliens les alternatives actuellement existantes pour traiter la maladie de Corona, qui se sont avérées efficaces et avec peu d’effets secondaires, et non dangereuses. Ils sollicitent les citoyens et leur font pression (tout en violant de manière flagrante le processus de consentement éclairé), dissimulent les informations concernant les vaccinations et créent une atmosphère sévère de peur et de coercition.

d) Un quatrième principe est que l’expérience sera menée pour éviter les souffrances ou les blessures physiques. On sait que le traitement a causé la mort de nombreuses personnes, des blessures et des dommages graves (y compris une incapacité et une paralysie) après l’administration du vaccin. Malgré ce fait, le gouvernement n’a pas ordonné l’ouverture d’une enquête sur la question. Il est intéressant de constater que le ministère de la Santé a ouvertement admis que 41% des policiers, des militaires, du personnel éducatif et médical, qui avaient été vaccinés, souffraient d’effets secondaires graves et mettaient leur vie en danger. Il est également étonnant qu’il n’y ait pas de rapports complets sur le nombre de morts ou de blessés, comme on peut s’y attendre dans un tel processus médical au profit du public participant à l’expérience.

e) Un cinquième principe stipule que l’expérience ne doit pas être menée lorsqu’il y a des raisons de supposer que la mort ou des blessures réelles se produiront. Concernant la violation de ce principe, voir ci-dessus. Comme indiqué, concernant les données sur les cas de décès, nous les citoyens n’entendons que de bouche à oreille sur les réseaux sociaux (par des amis, des voisins ou des proches) et non sur les médias centraux.

f) Un principe supplémentaire est que le facteur responsable de l’expérience sera prêt à l’arrêter à n’importe quel stade s’il existe une raison raisonnable de supposer que cela causera des blessures, une invalidité ou la mort du participant à l’expérience. Il a déjà été prouvé que beaucoup de gens sont morts du traitement, ont été blessés, sont devenus invalides et paralysés; cependant, le gouvernement israélien continue d’imposer cette dangereuse expérience aux citoyens israéliens.

g) Voici des publications récentes, qui démontrent les violations flagrantes et criminelles du Code de Nuremberg au nom du gouvernement, des ministres et des membres de la Knesset, des chefs de villes et des hauts fonctionnaires, ainsi que des employeurs :

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples (parmi tant d’autres) de violations du Code de Nuremberg (qui seront jointes à l’annexe 2 de ma lettre).

Exercez une pression économique :

  1. L’Association des fabricants, appuyée par un avis juridique, menace d’envoyer en congé sans solde tout salarié qui ne sera pas vacciné.
  2. Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, souhaite promulguer une loi qui empêchera l’arrivée des non-vaccinés sur un lieu de travail.
  3. Ne pas refuser les frais de chômage.

L’exercice de la pression sociale :

  1. 1. Une menace pour empêcher l’accès aux divertissements, aux loisirs et à la réception de services de la communauté.
  2. Les artistes, les leaders d’opinion et les représentants du public, qui dans tous les coins choisissent de faire de la propagande, et de manière agressive et insultante, proposent même des punitions et des sanctions. (Membre de la Knesset Ayelet Shaked, membre de la Knesset Smotrich, le ministre de la Santé Edelstein, membre de la Knesset Benet, animateur de l’émission matinale Avri Gilad, le chanteur Yoram Gaon, Judy Nir Moses et autres)
  3. Des véhicules avec des systèmes de sonorisation errant dans les rues exhortant les gens à arriver pour les vaccinations, des conversations et des avis agressifs des compagnies d’assurance maladie, et même en fixant des rendez-vous pour les vaccinations sans le souhait des assureurs, et plus encore.

Incitations interdites pour les vaccinés :

  1. Recevoir une nuit gratuite dans un hôtel, des jours de vacances, etc., offerts par les propriétaires de diverses entreprises à leurs employés.
  2. Réductions dans divers établissements commerciaux, privés et publics, ainsi qu’une carte d’avantages promue par le gouvernement.

Le Premier ministre israélien a déclaré à plusieurs reprises que les citoyens israéliens participent à cette expérience médicale innovante au profit de tous les citoyens du monde, qui, pour une raison quelconque, ne se précipitent pas pour obtenir le traitement médical susmentionné, et ils attendent avec impatience de voir les expérimentateurs israéliens. Il en est de même de l’accord signé par le gouvernement avec la société Pfizer, occulté en de nombreux endroits, soulevant des questions sur les accords conclus par le gouvernement avec la société Pfizer.

Il est souligné par la présente que les moyens actuellement activés contre les citoyens, y compris la proposition de législation contre quiconque n’a pas été vacciné, contredisent non seulement le Code de Nuremberg et l’autonomie de l’individu sur son corps, mais également la législation en vigueur en Israël, y compris la loi fondamentale sur la dignité et la liberté des personnes, la loi sur la liberté d’occupation, la loi sur les droits des patients, la loi sur l’égalité des chances au travail, l’interdiction de la discrimination dans les produits, services et la loi sur l’accès aux divertissements et aux lieux publics, et d’autres lois.

Par conséquent, et compte tenu de ce qui précède, nous adressons à votre honneur deux demandes principales :

  1. Interrompre immédiatement l’expérience médicale et l’administration de vaccins au public des citoyens israéliens.
  2. Donner instruction au Gouvernement d’entamer toutes les procédures législatives qui enfreignent le principe du consentement éclairé d’une personne pour recevoir le traitement médical décrit ci-dessus, et qui nie le statut juridique en Israël et dans la démocratie israélienne, y compris le fait d’éviter de légiférer sur le Passeport vert, remise des noms de ceux qui ne sont pas vaccinés aux autorités locales ou à toute autre législature nuisible.
  3. Agir avec la sévérité la plus requise contre toute entité publique / commerciale / professionnelle, qui viole les lois de l’État sur les sujets de l’emploi ou les autres sujets nécessaires pour empêcher la contrainte, la coercition ou la sollicitation de vacciner, ainsi que l’objet de discrimination, contre ceux qui ont fait le choix de ne pas recevoir le traitement médical innovant susmentionné.
  4. Nous vous demandons de porter à votre attention qu’une copie de ce document sera également transmise aux canaux médiatiques du monde entier car la violation du Code de Nuremberg est pertinente dans tous les pays du monde libre.
  5. Enfin, il est précisé que ce n’est que récemment qu’une décision a été prise au Parlement européen le “27/1/21”, enjoignant toutes les autorités de ne pas exercer de pression ou de sollicitation sur les personnes pour qu’elles prennent le vaccin Corona de quelque manière que ce soit. Par conséquent, tout ce qui est bon pour les États européens avancés l’est certainement aussi pour Israël — et l’équilibre est évident.

Représentation légale et élection de domicile
Les candidats seront représentés aux fins de cette procédure par

Avec respect

Cour pénale internationale (signatures)

Par conséquent, toute correspondance ultérieure ne doit être envoyée qu’aux adresses postales et / ou électroniques indiquées ci-dessus. Toute notification au sens du Statut de la Cour adressée de cette manière sera considérée comme valable.
UNE FOIS DÉPOSÉ ET TRAITÉ



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