240 témoignages d’exclus de la société française depuis 500 jours

[Source : lemediaen442.fr]

Brutalement, des milliers de personnels de santé et de pompiers ont été suspendus sans revenus ni aide sociale. 500 jours plus tard, rien n’a changé. Ils restent abandonnés des syndicats qui auraient pu les défendre et de leurs collègues qui auraient pu se montrer solidaires. La cassure est très profonde. Ce gouvernement les a exclus, humiliés, salis et pire, pour certains d’entre eux, il les a détruits !

Marius Jacob a compilé plus de 240 témoignages de personnes suspendues, tout comme lui…

« À la mémoire du sergent-chef Max, sapeur-pompier professionnel dans le Var, suspendu le 15 septembre 2021 suite à l’obligation vaccinale. Il a fait le choix de rejoindre les anges du ciel à tout jamais le 17 septembre 2021. Il laisse derrière lui, sa femme, elle aussi suspendue, et leur fils de 3 ans qui pense souvent à son « PAPA-ANGE ». Nos pensées vous accompagnent

Pour cette triste date d’anniversaire, Yoyo leur rend un hommage à travers un zapping :




Lien entre 5G et Covid-19

[Source : @Roms17]

[NDLR À un moment, il apparaît « bouse de taureau » dans la transcription en français, mais il s’agit d’une traduction littérale de « bull dung » synonyme de « bullshit » et qui signifie dans le contexte plutôt « connerie ».]

[Note de Joseph : dans la vidéo suivante est évoqué le caractère éventuellement choquant que la 5G puisse induire des virus comme réponse cellulaire. Cependant, Stefan Lanka a pu scientifiquement démontrer que les « virus » sont en réalité des composants cellulaires par ailleurs connus (isolés et caractérisés) produits par des cellules agressées (et elles peuvent l’être par des ondes pulsées telles que la 5 G, la 4 G ou le Wi-Fi), alors que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a pu être réellement isolé et caractérisé à partir de tissus biologiques soi-disant infectés.
Voir au moins :
À quel point les virus sont-ils morts ? dans le dossier Vaccins et virus.
Et pour ce qui concerne la 5G comme cause possible et probable de la 5G :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G dans le dossier 5G et ondes pulsées.]






Vandana Shiva expose l’agenda des milliardaires dans son dernier livre

[Source : cogiito.com]

Dans son dernier livre, « Oneness vs. the 1%: Shattering Illusions, Seeding Freedom », Vandana Shiva, Ph.D., affirme que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes confrontés. aujourd’hui.

L’histoire en bref :

Dans « Oneness vs. the 1% : Shattering Illusions, Seeding Freedom », Vandana Shiva, Ph.D., soutient que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes actuellement confrontés.

La richesse et les efforts « philanthropiques » de Bill Gates, par exemple, lui ont permis d’acquérir une influence sans précédent sur les politiques agricoles et sanitaires mondiales qui menacent la sécurité alimentaire et la santé humaine.

La pandémie de COVID-19 a catalysé un transfert massif de richesses vers les riches.

[Voir aussi :
Vandana Shiva : « Avec le coronavirus, Bill Gates met en place son agenda sur la santé »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva]


Alors que les lockdowns mondiaux ont décimé les petites entreprises et laissé beaucoup d’entre elles en difficulté financière, les riches mondialistes ont amassé d’immenses profits, et les lockdowns ont empêché la mobilisation publique contre les géants de la technologie et du commerce de détail.

Pour faciliter le transfert des richesses, l’élite fait pression pour éliminer les lois sur le travail et l’environnement, ainsi que les droits de l’homme et les droits des agriculteurs.

Dans cette interview, Vandana Shiva, Ph.D., militante pour la justice sociale et contre les OGM (organismes génétiquement modifiés), parle de son livre « Oneness vs. the 1% », qu’elle a coécrit avec son fils, dans lequel elle soutient que l’élite ultra-riche est responsable de la majorité des crises environnementales, financières et sanitaires auxquelles nous sommes actuellement confrontés.

En réalité, il s’agit des 0,001 % – le petit nombre de milliardaires et de centimilliardaires qui sont devenus ultra-riches au cours des 30 dernières années environ. La plupart d’entre eux n’existaient pas avant la mondialisation. Le 1% n’est qu’une métaphore utile pour l’élite dirigeante que l’éditeur a pensé plus facile à communiquer.

L’un des principaux acteurs est, sans surprise, Bill Gates, dont la richesse et les efforts « philanthropiques » lui ont valu une influence sans précédent sur les politiques agricoles et sanitaires mondiales qui menacent la sécurité alimentaire et la santé humaine.

Elle déclare :

« J’étais à Paris pour le sommet sur le climat, et je participe à ce sommet des Nations unies depuis le sommet de la Terre en 92. Je me suis occupée de la convention sur la biodiversité, de la rédaction de clauses, notamment de l’article 19.1, qui exigeait essentiellement la biosécurité et l’évaluation des OGM. »

« J’ai donc été très surpris de voir que, pour la première fois, les milliardaires étaient sur la scène avec les chefs d’État. »

Le transfert de richesse en cours

L’une des « solutions » au changement climatique proposées par ce club de milliardaires était la géo-ingénierie, qui en réalité n’est pas une solution du tout.

Comme l’a noté Shiva, si le climat change déjà pour le pire, en manipulant les températures, en déviant la lumière du soleil, en déversant des remplissages de fer dans l’océan et des produits chimiques dans le ciel, et en créant des volcans artificiels, vous ne faites que créer des problèmes supplémentaires sans résoudre le problème initial.

À la fin de la mise à jour d’août 2020 du livre, elle aborde également le COVID-19, et la façon dont cette pandémie artificielle a catalysé le transfert de richesse vers les riches. Alors que les blocages mondiaux ont décimé les petites entreprises et laissé de nombreuses personnes en difficulté financière, les riches ont amassé des profits fantastiques.

Elle déclare :

« La crise de 2008 était très clairement liée à la déréglementation de l’économie financière. Il était question de garanties, de titres, de regroupement des risques, puis le système s’est totalement effondré parce qu’il s’agissait en fait d’un commerce de fictions. Mais j’ai travaillé sur l’économie, car j’ai commencé à travailler sur les graines en 1987. …

… les entreprises … voulaient posséder et breveter la vie. C’est ainsi qu’a commencé mon voyage sur les OGM. Mais elles voulaient aussi changer les lois commerciales. Ils voulaient posséder les semences comme leur création …

Ils voulaient un traité sur la propriété intellectuelle dans le GATT (Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce). J’ai entendu cela pour la première fois lors d’une réunion [des Nations unies] en 1987...

C’est alors que j’ai décidé :

a) de conserver les semences,

b) de suivre le GATT et l’OMC (Organisation mondiale du commerce) et le mouvement antimondialisation en est issu, ainsi que le Forum international sur la mondialisation.

Nous avons fermé l’OMC à Seattle, ce qui montre le pouvoir du peuple. Nous ne tolérerons pas ce mensonge selon lequel les semences sont une invention de Monsanto.

J’ai travaillé avec notre Parlement indien, j’ai travaillé avec notre gouvernement pour rédiger des lois… L’article 3(d) de notre loi sur les brevets dit que les semences ne sont pas des inventions. C’est ce qui a empêché Monsanto d’arnaquer les agriculteurs indiens encore plus qu’ils ne l’ont fait. Ils ont été poursuivis en justice pour avoir perçu illégalement des “redevances technologiques”…

Fondamentalement, ce que nous avons aujourd’hui, c’est ce transfert de richesse … Le comportement de Monsanto est en fait aussi celui de Big Tech. Est-ce qu’ils produisent quelque chose ? Non. Ils ne font que percevoir des loyers sur des plateformes numériques. Ce sont des collecteurs de loyers. …

J’ai vu la question des semences avec Monsanto. J’ai dit :

Voilà qu’ils perçoivent des loyers sur des semences, qu’ils n’ont pas fabriquées. Alors nous ne les laisserons pas en être les propriétaires. En effet, qu’il s’agisse d’Amazon ou de Gates, ce sont essentiellement des collecteurs de loyers.

Ce qu’ils ont fait avec cette pandémie, c’est littéralement créer une économie coercitive, qui dépend d’eux et de leur collecte de loyer. »

La vidéo de huit minutes ci-dessous fournit un résumé qui donne à réfléchir sur le transfert massif de richesse qui s’est produit en 2020 grâce aux lockdowns de la pandémie, au cours desquels les petites entreprises ont été contraintes de fermer tandis que les multinationales géantes ont été autorisées à rester ouvertes et à monopoliser ainsi le marché.

Le résultat final est le plus grand transfert de richesse de l’histoire moderne.

La fin de la démocratie

Shiva poursuit en examinant comment l’Inde s’est mobilisée contre l’empiètement de Walmart, qui menaçait de détruire les commerces locaux. Les fermetures de COVID-19 ont cependant empêché le même type de mobilisation contre les géants de la technologie et du commerce de détail.

Alors que les commerces locaux du monde entier ont dû fermer leurs portes pendant des mois, le pouvoir d’Amazon.com a explosé. Amazon empiète même sur les fournisseurs d’épicerie.

Elle poursuit :

« Je viens de lire un article, selon lequel les super riches des États-Unis se sont transférés 50 000 milliards de dollars [au cours des 30 dernières années ; la période de mondialisation]. …

Pendant qu’ils vous volent votre emploi, ils vous soutirent encore [de l’argent] pour ce programme logiciel forcé sur les paiements numériques, pour des programmes logiciels sur … l’éducation numérique.

Les enfants indiens pauvres, qui pourraient se permettre une éducation universelle, ne peuvent maintenant pas se permettre une éducation parce que leurs parents n’ont pas de smartphones. Nous assistons donc à une imposition artificielle d’une économie. Une économie saine se développe comme une évolution avec des choix, avec la justice, avec l’équité. …

… Les véritables économies diraient : “Voici ce que j’apporte. Et ma [monnaie] numérique est-elle meilleure que votre argent ? Choisissez-la. Ma vaccination forcée est-elle meilleure que votre immunité ? Faites votre choix.”

À la minute où le choix est retiré de la vie des gens, les démocraties s’arrêtent. Lorsque le choix est retiré de nos conditions d’être, de nos conditions de vie, alors la vie est menacée. …

… qu’est-ce que la mondialisation sinon la déréglementation du commerce ? Elle fait tomber toutes les lois mises en place par les sociétés démocratiques pour la protection de l’environnement, la protection de la santé, le droit à l’éducation, les droits des travailleurs. C’est cela qui est visé. »

En Inde, ils ont récemment éliminé toutes les lois du travail, et ils essaient de supprimer la loi sur les droits des agriculteurs, ainsi que les lois environnementales. C’est ce qui permet le transfert de la richesse, dit Shiva.

Le jeu final

Comme l’explique Shiva, toutes ces entreprises sont essentiellement des collecteurs de loyers. Facebook transforme nos esprits en matière première qui est ensuite capitalisée.

« Gates est particulièrement vicieux car, à travers la Fondation Gates, il prétend faire de la philanthropie », dit-elle.

Mais chaque fois qu’il entreprend une action philanthropique, il crée de nouvelles colonies dont il peut tirer de nouveaux loyers et faire de nouveaux investissements. « C’est pourquoi, quel que soit le montant de ses dons, il devient de plus en plus riche », explique Shiva. « Un véritable donateur s’appauvrirait. »

[Voir aussi
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste]

Dans son livre, elle explique comment, sans Gates, il n’y aurait pas d’édition de gènes commerciale, par exemple, qui est le nouvel OGM. Il a créé une société appelée Editas Medicine Inc. pour faciliter le brevetage de ces nouvelles plantes résistantes au climat, avec lesquelles ils visent à créer de nouveaux médicaments.

« Il va faire de la biofortification pour résoudre le problème de la nutrition. Il est particulièrement vicieux », dit-elle.

Quant à savoir quel pourrait être l’objectif final, Shiva déclare :

« La première chose est, bien sûr, qu’ils veulent utiliser leurs outils de production d’argent pour faire plus d’argent. Il s’agit donc d’une dictature de l’équilibre technologique. C’est pourquoi les gens devraient prêter beaucoup plus d’attention à l’imposition violente de la numérisation.

Beaucoup de mes amis, qui n’ont jamais étudié les racines de ces systèmes violents, qui n’ont jamais compris que les produits agrochimiques venaient des camps de concentration d’Hitler et que l’industrie agrochimique est le cartel du poison responsable du génocide.

Ils continuent ce génocide.

… les technologies en tant qu’outils de domination et d’exploitation ne sont pas neutres. Beaucoup de progressistes pensent :

Plus de numérisation, moins de démocratie.

Comment une économie de surveillance peut-elle être un élargissement de votre liberté ?

Vous devez avoir les systèmes en place, les réglementations en place, les choix en place pour être en mesure de faire de ces technologies un serviteur et non votre maître. »

La fusion mondiale

Ils veulent également fusionner toutes ces différentes industries ensemble – agriculture, technologie et finance. Shiva raconte comment, en 2016, l’Inde a interdit tout argent liquide et rendu les transactions numériques obligatoires.

En peu de temps, “90 % des personnes pauvres ont perdu leurs économies, leurs revenus”, dit-elle, alors que les petites économies locales se sont évaporées. Pendant ce temps, les riches élites contrôlent également l’économie mondiale via leurs fonds d’actifs.

Elle poursuit :

« Les sociétés ne se possèdent plus elles-mêmes. Même les sociétés sont la propriété des milliardaires. Les mêmes BlackRocks, les mêmes Vanguards contrôlent toutes les grandes entreprises, de Coca-Cola à McDonald’s, en passant par Bayer et Monsanto. Regardez n’importe quoi dans le monde, c’est l’argent des milliardaires et leurs fonds de gestion d’actifs. »

« L’année dernière, BlackRock a augmenté sa richesse de 1 000 milliards de dollars à 7 000 milliards de dollars,ce qui signifie que les milliardaires ont augmenté leur richesse. Pendant le verrouillage, ils ont envahi encore plus profondément l’Amazonie et se sont enrichis.

Donc, ces fonds de gestion d’actifs d’investissement sont la richesse des milliardaires, et elle augmente. Elle fusionne avec la technologie de l’information et les barons de la technologie, et elle fusionne avec la biotechnologie et l’industrie chimique. »

« C’est pourquoi ils parlent de la numérisation de l’agriculture – l’agriculture sans agriculteurs et, pire, la nourriture sans nourriture. L’une des grandes poussées de Gates et de la Silicon Valley concerne les faux aliments. »

Comme l’a noté Shiva, alors que Big Biotech prétend que les OGM vont sauver votre santé et protéger la planète, ces plantes chargées de pesticides font en fait tout le contraire.

Nous sommes les laissés-pour-compte

Il y a aussi la question de la justice sociale. Elle cite Gandhi, qui a dit que si vous avez des doutes sur ce qu’il convient de faire, « visualisez le visage de la personne la plus vulnérable et faites ce qui est bon pour elle ». Si vous pensez que cela leur fera plus de mal, ne le faites pas.

Shiva dit :

« Ils veulent délibérément se débarrasser de grandes parties de l’humanité. D’abord par la faim, puis par la maladie. …

… ils veulent une économie numérique, ils veulent une économie malade. Sinon, vous ne passeriez pas tout votre temps sur Big Pharma ; vous passeriez votre temps à vous assurer que le petit agriculteur ne soit pas détruit. …

… à l’échelle planétaire, nous voyons ces hommes irresponsables, avides, indifférents, insensibles, amener le monde, et l’humanité, au bord du gouffre. C’est pourquoi nous devons agir et trouver des moyens créatifs. …

… Tous ces barons de la technologie qui ont pris le contrôle de l’économie, en se cachant derrière le virus, se lancent tous dans les sciences de la vie… Google a une nouvelle division des sciences de la vie… ce sera la défaite finale de Mère Nature.

Au moment où le monde se réveille aux règles de la nature et aux corps sains, aux écosystèmes sains, à une planète éco-saine, ils poursuivent la franchise coloniale de la défaite de Mère Nature. »

La grande réinitialisation économique

Aucune de ces choses ne sort de nulle part. Elles ont été soigneusement planifiées pendant plusieurs décennies. Nous voyons maintenant des preuves claires qu’une « grande réinitialisation économique » est en cours, qui fera tout basculer vers les monnaies numériques.

Comme l’a noté Shiva, la révolution industrielle a modifié notre état d’esprit en nous amenant à considérer la nature comme morte. Le résultat a été la destruction écologique et la fragmentation de la société. La réinitialisation économique à venir fait essentiellement partie d’un effort visant à manipuler davantage et à faire évoluer notre cadre mental vers quelque chose de totalement contre nature.

Shiva dit :

« En Inde, ils ont attaqué et attaquent encore le bio et ont créé quelque chose appelé l’agriculture naturelle à budget zéro. … Ce qu’ils font essentiellement, c’est accorder de gros prêts à l’État, qui accorde ensuite de gros prêts aux agriculteurs. Pendant ce temps, Gates exploite les données agricoles.

Il fait en sorte que des personnes soient placées chez les agriculteurs pour exploiter les données. Puis ils créent des algorithmes pour revendre ces données. Mais tout cela est maintenant réduit au carbone dans le sol :

Vous obtiendrez zéro % pour ce que vous cultivez. Vous ne pourrez satisfaire aucun de vos besoins en nourriture et en fourrage, mais nous vous autoriserons à négocier sur le marché mondial le carbone présent dans votre sol, et c’est ce qui vous permettra de rester en vie. Cette financiarisation de la nature n’est qu’un aspect.

Le deuxième aspect de la grande réinitialisation est de refaire l’économie pour faire croire que ceux qui sont maintenant jetables – les personnes jetables – l’ont mérité. Ils ont créé le langage de la compétition. …

Lorsque j’écrivais mon épilogue, je venais de recevoir le brevet de Microsoft, qui réduit essentiellement les êtres humains à des utilisateurs/consommateurs […] notre activité cérébrale exploitée de diverses manières. De nos jours, tout le monde veut avoir des vêtements intelligents. Je devrais appeler ça des logiciels espions.

Ces données passent par des algorithmes… Ces algorithmes décideront de ce que nous valons. Puis des bitcoins nous seront attribués.

Mais chaque enfant qui naît est né digne. Chaque membre de la société a les mêmes droits humains. Donc, ils défont tout ce que nous avons mis en place sur l’humanité, sur les droits de l’homme, sur la démocratie. C’est là que nous devons être vigilants.

Je pense que toute la question de la pandémie et du confinement leur a été utile pour deux raisons. Premièrement, ils pouvaient faire en sorte que tout le monde ait peur. Deuxièmement, ils pouvaient distraire tout le monde pendant qu’ils prenaient le contrôle de l’économie, ils prenaient le contrôle de nos esprits. Ils ont essentiellement transféré toutes les richesses restantes à eux-mêmes. »

Plus d’informations

Pour en savoir plus, veuillez écouter l’interview dans son intégralité et ne manquez pas de vous procurer un exemplaire de « Oneness vs. the 1% : Shattering Illusions, Seeding Freedom ». Vous pouvez également trouver plus de détails sur le travail de Shiva sur Navdanya.org.

Shiva déclare :

« J’ai personnellement le sentiment que cet assaut arrive à un moment où, en Inde et dans le monde, il y a une nouvelle montée de conscience de la planète et de ses systèmes vivants, de notre santé et de nos systèmes vivants, et du lien entre notre santé et la santé de la planète.

À ce stade … il faut beaucoup de violence brutale pour imposer. Dans la mesure où ils peuvent garder le virus comme bouclier derrière lequel se cacher, ils le feront.

Je suis d’accord avec Shiva quand elle dit que plutôt que de laisser les discours de peur du COVID-19 prendre le contrôle de nos vies, nous devons regarder les infrastructures de la vie, de l’humanité, de la démocratie, de l’économie et de la fiscalité, « et commencer à réfléchir à qui nous les enlève. »

Elle ajoute :

« Vous devez protéger ce que vous chérissez. La liberté et la vie sont ce qui est pris en ce moment. …

Nous devons résister à la peur et nous devons résister à la haine. Nous sommes des êtres pensants ; utilisons les esprits qui nous ont été donnés, reconstruisons la communauté.

Encore une fois, je ne pense pas que la distance d’un mètre soit un accident… Pourquoi utilise-t-on les mots “distance sociale” plutôt que “distance physique” ? Six pieds est une mesure physique. … Ils veulent maintenant nous faire oublier qu’être un être humain signifie être en communauté. Ils veulent que nous soyons des utilisateurs de gadgets.

Nous devons être une communauté. Nous devons nous rappeler que nous sommes liés au reste de la vie sur Terre et à la société. C’est pourquoi nous devons être totalement innovants dans la façon dont nous reconstruisons des économies régénératrices. …

Je pense que nous avons perdu beaucoup de temps en pensant que le seul problème était l’énergie, comment l’énergie est produite. Nous avons perdu deux décennies sur la façon dont la nourriture est produite.

Je crois vraiment que si les gens commencent à prendre conscience que manger de la bonne nourriture est la plus importante stratégie pour la santé, et que cultiver la nourriture de la bonne manière est la plus importante partie de la régénération de la planète. … Cela permettra de reconstruire la communauté. …

… Je ne pense pas que nous ayons le luxe d’être désespérés. … l’espoir est quelque chose que vous devez cultiver au quotidien. Cultiver l’espoir, c’est cultiver la résistance. Cultiver l’espoir, c’est cultiver la stratégie. …

… Je pense que nous devons commencer à faire des devoirs pour dire : “Comment devrait être le flux fiscal ? Comment notre argent va-t-il rendre les milliardaires plus riches ? Comment peuvent-ils continuer à nous soutirer de l’argent ?”

Comment notre argent public est-il la nouvelle subvention pour créer l’infrastructure de la cupidité, plutôt que d’être les ressources publiques pour créer l’infrastructure de la vie, des soins et de la solidarité ? …

Ce sont des questions fondamentales. … Qui sommes-nous en tant qu’êtres humains ? Comment vivrons-nous à l’avenir ? Quel est l’avenir que nous créerons longtemps après que les barons voleurs auront disparu, car ils étaient là dans les années 1930 et nous avons appris à nous en débarrasser. … S’il y a un projet que nous devrions avoir… ce sont des stratégies pour se débarrasser des barons voleurs, quoi qu’il en coûte. …

… Où va la richesse ? Qu’est-ce qui dans notre cadre juridique actuel peut arrêter cette hémorragie de l’argent public pour remonter vers les milliardaires ? »

Publié à l’origine par Mercola.

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux de Children’s Health Defense.




Le PDG de Pfizer rase les murs à Davos

[Source : Quantum Leap Traduction]






La Justice impérialiste s’effrite

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

En temps de paix autant qu’en temps de guerre, la domination occidentale sur le reste du monde, autant que celle des États-Unis sur leurs alliés, passe par l’instrumentation du Droit. Ainsi, les Tribunaux internationaux ne cherchent aucunement à rendre la justice, mais à confirmer l’ordre du monde et à châtier ceux qui le contestent. Le Droit états-unien et le Droit européen servent aussi à contraindre le reste du monde à respecter les politiques de Washington et de Bruxelles. Ce système commence à pâlir.

Depuis la dissolution de l’Union soviétique, les Occidentaux utilisent les tribunaux internationaux et la Justice états-unienne pour imposer leur loi. Ils font condamner ceux qu’ils combattent et ne jugent jamais leurs propres criminels. Cette conception de la justice est devenue l’exemple absolu de leur politique du « deux poids, deux mesures ». Pourtant, l’affaiblissement de la domination occidentale depuis la victoire de la Russie en Syrie et plus encore depuis la guerre en Ukraine commence à avoir des répercussions sur ce système.

LA FIN DE LA DOMINATION OCCIDENTALE A DÉBUTÉ EN 2016

Le 5 mai 2016, le président Vladimir Poutine proclamait la victoire de la civilisation sur la barbarie, c’est-à-dire de la Syrie et de la Russie sur les jihadistes armés et soutenus par l’Occident. Il organisait un concert symphonique télévisé dans les ruines de Palmyre, la cité antique où la reine Zénobie avait fait cohabiter toutes les religions en harmonie. Symboliquement, ce concert de l’orchestre de Mariinski de Saint-Pétersbourg était intitulé : « Prière pour la paix ». M. Poutine s’y exprimait en vidéoconférence.

Les peuples occidentaux n’ont pas compris ce qui se passait, car ils n’avaient pas conscience que les jihadistes n’étaient que des marionnettes de leurs services secrets. À leurs yeux, et surtout depuis les attentats du 11 septembre, ils étaient leurs ennemis. Ils ne comprenaient pas que les dégâts des jihadistes chez eux et dans le reste du monde n’avaient pas du tout la même ampleur. À titre d’exemple, les attentats du 11 septembre 2001 — attribués contre toute logique aux jihadistes — ont fait 2 977 morts, tandis que Daesh a tué des centaines de milliers d’Arabes et d’Africains.

LA FIN DE L’INSTRUMENTATION DE LA JUSTICE INTERNATIONALE

Le procès qui avait débuté à La Haye, en 2011, d’un dirigeant africain renversé par les Occidentaux changeait d’ambiance après le concert de Palmyre. Rappelons les faits : en 2000, Laurent Gbagbo était élu président de Côte d’Ivoire. L’homme est le candidat des États-Unis. Il instaure d’abord un régime autoritaire favorisant certaines ethnies au détriment d’autres. Puis, il se rend compte qu’il ne fait que s’enrichir grâce à son allié et décide de servir son pays. Immédiatement, les États-Unis et la France encouragent une rébellion contre lui en arguant des erreurs qu’ils lui ont fait commettre. En définitive, après intervention des Nations unies, l’armée française renverse le président Gbagbo, en 2011, et installe le président Alassane Ouattara, un ami personnel du président français Nicolas Sarkozy. Gbagbo déchu est arrêté pour être jugé par la Cour pénale internationale pour « génocide ». Cependant celle-ci voyant le vent tourner à l’international ne parviendra jamais à établir les faits. Elle acquitte Laurent Gbagbo, en 2019, puis en appel en 2020. Depuis, nous voyons la présence française en Afrique reculer inexorablement.

La Cour pénale internationale, contrairement au projet de ses fondateurs, était devenue un instrument de domination ne condamnant que des nationalistes africains. Jamais, elle n’a enquêté sur les crimes des présidents états-uniens, des Premiers ministres britanniques, ni des présidents français. Son caractère partial au service de l’impérialisme s’était manifesté lorsque son procureur, Luis Moreno Ocampo, prétendit mensongèrement détenir Saïf al-Islam Kadhafi afin de décourager les Libyens de résister à la guerre illégale de l’OTAN.

LE DÉBUT D’UNE JUSTICE INTERNATIONALE ÉGALE POUR TOUS

Identiquement, le 30 décembre 2022, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution demandant à la Cour internationale de Justice, le tribunal interne de l’ONU, de juger l’occupation israélienne de la Palestine. Il s’agit d’un spectaculaire renversement de majorité puisque cette occupation dure depuis… 75 ans. À n’en pas douter, la Cour condamnera Israël, contraignant les 195 États membres des Nations unies à en tirer les conséquences.

Les États occidentaux tentent aujourd’hui de constituer un nouveau tribunal puisque ceux qui existent leur échappent. Ses promoteurs entendent « condamner Vladimir Poutine pour les crimes russes en Ukraine ». Il s’agit donc de faire oublier la responsabilité de la chancelière allemande Angela Merkel et du président français François Hollande qui ont cosigné les Accords de Minsk, sans jamais avoir l’intention de les appliquer, laissant assassiner 20 000 Ukrainiens. Il s’agit aussi de nier que, en vertu de la responsabilité de protéger, le président russe Vladimir Poutine soit intervenu militairement pour faire appliquer ces Accords, validés par la résolution 2202 du Conseil de Sécurité.

Toute opération militaire fait des victimes. Souvent injustement. C’est le propre des guerres, ce qui les différencie des actions de police. Le problème n’est pas de juger ceux qui font des guerres, mais de prévenir les recours à la guerre.
La Justice pénale internationale ne doit pas punir ceux qui doivent tuer pour défendre leur patrie, mais ceux qui créent artificiellement des conflits et ceux qui tuent sans raison. Ce n’est pas du tout pareil.

LA FIN DE L’INSTRUMENTATION DE LA JUSTICE OCCIDENTALE

Les États-Unis et l’Union européenne ont inventé une extra-territorialité de leurs lois locales. En totale contradiction avec la Charte des Nations unies, ils violent la souveraineté des autres États au nom de leur Droit national.

Depuis 1942, les États-Unis ont adopté quantité de lois extraterritoriales : Trading with the Enemy Act (1942), Foreign Corrupt Practices Act (1977), Cuban Liberty and Democratic Solidarity Act (dit Helms-Burton) (1996), Iran and Libya Sanctions Act (dit Amato-Kennedy) (1996), USA PATRIOT Act (2001), Public Company Accounting Reform and Investor Protection Act (dit Sarbanes-Oxley ou SarbOx) (2002), Foreign Account Tax Compliance Act (FACTA) (2010), CLOUD Act (2018).

Ce dispositif associe en permanence la Justice US et les services secrets US. Selon la DGSI (contre-espionnage français) : « L’extra-territorialité se traduit par une grande variété de lois et mécanismes juridiques conférant aux autorités américaines la capacité de soumettre des entreprises étrangères à leurs standards, mais également de capter leurs savoir-faire, d’entraver les efforts de développement des concurrents des entreprises états-uniennes, de contrôler ou surveiller des sociétés étrangères gênantes ou convoitées, et ce faisant de générer des revenus financiers importants »(([1] « Espionnage : les modes opératoires des États-Unis », Le Figaro, 13 novembre 2018.)).

Ce dispositif dissuade les entreprises étrangères travaillant aux USA ou utilisant n’importe où des dollars états-uniens de contrevenir à la politique de Washington. En outre, il légalise la guerre économique, mensongèrement qualifiée de « sanctions », alors que ces dispositions violent la Charte des Nations unies, car elles ne sont pas validées par le Conseil de Sécurité. Il est assez fort pour, par exemple, isoler totalement un État et affamer sa population, ce fut le cas en Iraq avec Bill Clinton, c’est aujourd’hui le cas en Syrie avec Joe Biden.

Suivant l’exemple états-unien, l’Union européenne se dote progressivement de ses propres lois extraterritoriales. En 2014, la Cour de Justice de l’Union européenne (dite Cour du Luxembourg) a jugé la maison-mère outre-Atlantique d’un moteur de recherche espagnol coupable de la violation des lois européennes par sa filiale.

Ce modèle occidental est en train lui aussi de voler en éclats. La guerre économique livrée par l’Occident à l’Iran, à l’occasion de l’agression occidentale en Syrie par jihadistes interposés, et à la Russie, à l’occasion de la mise en œuvre de la résolution 2202 par Moscou, est trop vaste pour être appliquée.

Des pétroliers n’hésitent plus à charger en mer du pétrole iranien ou russe par transbordement. Tout le monde le sait, mais feint de l’ignorer. Si le Pentagone n’hésite pas à faire couler des navires au large de la Syrie, il n’ose pas le faire au large de l’Union européenne après avoir saboté les pipe-lines Nord Stream 1 et Nord Stream 2. Cette fois, les contrevenants ne sont plus des « ennemis », mais des « alliés ». Ces guerres économiques ne sont impopulaires en Occident que lorsque les Occidentaux commencent à en payer le prix exorbitant.




Quand Laurent Alexandre décrivait le projet d’Elon Musk de greffer des implants dans les cerveaux de nos enfants

[Source : medias-presse.info]

Ceux qui se laissent aujourd’hui subjuguer par Elon Musk sous prétexte qu’il semble avoir mis fin à la censure sur Twitter feraient bien d’écouter la description que faisait Laurent Alexandre du projet Neuralink d’Elon Musk. C’était au Global Positive Forum à Paris en 2017. Il y soulignait que, conformément aux plans d’Elon Musk, la plupart des gens finiront par accepter que l’on greffe des implants dans les cerveaux de nos enfants et petits-enfants.

[Voir aussi :
Le grand jeu : Elon Musk et Twitter]




Vaccins Covid, révélations massives

[Source : Vivre sainement]






Comment nous sommes manipulés, comment nous en protéger

[Source : covidhub.ch via Profession Gendarme]

Les deux scientifiques exposent les méthodes du « piratage » de l’être humain annoncé par Yuval Noah Harari. « Il faut les connaître avant de pouvoir les désactiver. »

Cette conférence-dialogue débute par l’extrait d’une déclaration limpide de Yuval Noah Harari, historien, auteur du best-seller Sapiens et maintenant conseiller de Klaus Schwab, le président du Forum économique mondial.

Harari affirme que l’humain serait «piratable», par l’insertion de puces «sous la peau»… Au vu des évènements de la crise covid, il est permis de se poser la question: les humains ont-ils été piratés? Quelles sont ces techniques de piratage et surtout comment s’en protéger ?

Bientôt tous connectables ?

Lucien Cerise (diplômé en philosophie et sciences humaines, spécialisé dans le langage et l’épistémologie) et Philippe Bobola (physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, spécialisé notamment en nanotechnologies) ont exposé les mécanismes souvent ignorés qui nous transforment en objets connectables.

Ces outils permettent de manipuler et programmer les perceptions et les comportements, qu’ils soient individuels ou collectifs. S’y ajoutent les méthodes subtiles pour nous les faire accepter.

Désamorcer la programmation de l’esprit

La vérité libère, expliquent-ils. Ou du moins, elle rend possible de comprendre à qui et à quoi nous avons affaire, première étape nécessaire pour reprendre le contrôle de nos destinées.

C’est avec ces deux éminents spécialistes que nous naviguons dans les eaux troubles du contrôle mental et de la programmation de l’esprit. Ces méthodes qui, disent-ils, font partie des armes secrètes des États, doivent absolument être exposées à la connaissance du public pour pouvoir désactiver leur potentiel destructeur et rendre aux humains leur libre arbitre.

[Voir aussi :
Comment fonctionne le contrôle mental réel
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Le contrôle mental au temps du Covid
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Les 4 niveaux de contrôle comportemental autoritaire et la valeur de votre esprit unique
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
https://www.medias-presse.info/controle-mental-a-distance-regardez-cette-experience-filmee-en-1964/169418/]




2022 : un cycle de trois ans s’achève

[Source : olivierdemeulenaere]

Par Massimo Mazzucco

Ce qui se termine le 31 décembre n’est pas l’année habituelle de 12 mois, mais une période de temps compacte et unie de trois ans. Pour être précis, de janvier 2020 (date de l’ « arrivée » du covid dans le monde) à aujourd’hui.

Ces trois années ont été extrêmement difficiles, et seuls les esprits les plus forts et les plus équilibrés ont réussi à ne pas perdre complètement le sens de l’orientation.

Grâce à la panique qui a été créée, des résultats ont été obtenus qui auraient été impensables il y a seulement 10 ans :

1 – Des centaines de millions de personnes ont été contraintes d’introduire dans leur corps une substance expérimentale, les séduisant, d’une part, avec l’illusion d’une immunité qui n’a jamais existé, et les faisant chanter, d’autre part, avec la privation du droit au travail.

2 – Ces millions de personnes ont été contraintes d’accepter ce chantage sans qu’aucune entité ne soit responsable des éventuels effets indésirables : les entreprises pharmaceutiques qui produisent la substance expérimentale ne sont pas responsables, les agences du médicament qui l’autorisent ne sont pas responsables, et les médecins qui l’injectent ne sont certainement pas responsables. D’autre part – comble de la perversion – le citoyen DOIT également signer un papier dans lequel il assume, personnellement, la responsabilité de tout dommage subi.

3 – Grâce à cette obligation – imposée de manière lâche et fictive – tous les principes consacrant l’inviolabilité du corps humain et le droit au consentement LIBRE et éclairé ont été définitivement démolis (Constitution italienne, Traité d’Oviedo, Charte de l’Union Européenne, Déclaration des droits de l’homme, etc.) À partir d’aujourd’hui, l’État est maître de nos corps.

4 – Grâce à la complicité des hauts dirigeants européens, une escroquerie colossale a été perpétrée contre les citoyens de l’Union : plus de 90 milliards d’euros (manifestement surévalués) ont été versés à Pfizer pour nous fournir un sérum sans la moindre garantie quant à son efficacité, et sans que personne au sein de l’UE elle-même ne soit tenu responsable de ces actes. Les fameuses « conversations » entre Bourla et Von der Leyen n’ont jamais été rendues publiques, et les accords d’achat eux-mêmes restent secrets, ou ne sont que partiellement montrés au public, sous une forme scandaleusement obscure. Et lorsque Bourla lui-même refuse avec mépris de venir témoigner à Bruxelles, et que les dirigeants européens « oublient » curieusement de se scandaliser de ce refus, ils finissent par dénoncer implicitement leur collusion avec Big Pharma. Après le scandale du Qatargate, qui a révélé la corruption pour donner une meilleure image d’un État du Golfe, on ne peut qu’imaginer combien d’argent les sociétés pharmaceutiques ont investi pour corrompre tous les fonctionnaires européens impliqués dans le processus d’approbation et d’achat des sérums expérimentaux.

5 – Les syndicats italiens ont finalement jeté le masque, se révélant n’être qu’un outil aux mains du pouvoir : quand des millions de travailleurs sont empêchés de gagner leur vie s’ils n’acceptent pas de se faire vacciner, et que les  » dirigeants syndicaux  » sont d’accord et ne protestent pas contre cette abomination constitutionnelle, il est clair qu’ils ne sont que de misérables kapos aux mains du gouvernement. Ils reçoivent des salaires en or pour trahir leurs propres camarades qu’ils sont censés représenter.

6 – L’idée de pouvoir discriminer à tout moment les « bons » et les « mauvais » citoyens, sur la base de critères totalement aléatoires décidés par le gouvernement de temps à autre, a été écartée. Aujourd’hui, l’instrument s’appelle greenpass, demain il s’appellera autrement, mais peu importe : ce qui compte, c’est que l’État a sanctifié son droit de discriminer les citoyens sur la base de leur comportement, violant ainsi un autre des principes les plus sacro-saints de la constitution (art. 3). Cela ouvre bien sûr la porte à mille abus que nous devrons subir à l’avenir, dans lesquels nous devrons soit nous soumettre à la volonté des gouvernements, soit renoncer à une partie de nos libertés. Si ce n’est même l’indépendance économique, avec la menace du gel des comptes courants pour les citoyens « rebelles ».

7 – L’Etat a établi le principe de l’auto-absolution, lorsqu’il contrôle et détermine les décisions mêmes d’un tribunal qui est censé le juger. (Il s’agit des conclusions de la Cour constitutionnelle du 9 décembre dernier sur la vaccination obligatoire, dont nous attendons toujours de lire l’arrêt définitif). Lorsque parmi les juges, vous trouvez des personnes qui ont fait partie du même gouvernement que celui qui est jugé, il est très difficile de parler encore de séparation des pouvoirs.

Tout cela a été possible grâce à la complicité de 3 catégories de personnes : les journalistes, les médecins et les gens ordinaires.

JOURNALISTES – (à quelques très rares exceptions près) ce sont eux qui sont principalement responsables de cette dévastation civile. Si la classe des journalistes avait fait front contre ces violations flagrantes des droits individuels, rien de ce qui s’est passé n’aurait pu se produire. Au lieu de cela, lâches et obéissants, les journalistes italiens ont renoncé à leur mission de gardiens du pouvoir et se sont laissés utiliser pour valider la moindre tergiversation du gouvernement, afin de conserver leurs salaires et leurs emplois. Lorsqu’un Premier ministre prononce un anathème tel que « si tu ne vaccines pas, tu meurs », et qu’aucun journaliste n’ose s’y opposer, on a clairement affaire à une catégorie de mauviettes qui n’ont plus rien à faire dans la profession qu’elles ont choisie. Les journalistes sont une catégorie de travailleurs qui ont trahi toutes les autres catégories de travailleurs, par lâcheté et par intérêt personnel. Aucun processus révisionniste ne pourra jamais supprimer la responsabilité qu’ils portent sur leurs épaules pour les ravages sociaux qui ont résulté de leur comportement lâche et complaisant. Aucun journaliste ne pourra jamais dire « Je ne savais pas ».

MÉDECINS – De même, l’ensemble de la profession médicale (à quelques exceptions héroïques près) a choisi de soutenir une campagne d’inoculations fondée sur des preuves scientifiques clairement insuffisantes, voire inexistantes. Ils ont vendu aux patients une certitude de santé qu’ils ne pouvaient pas donner, sans offrir la moindre garantie personnelle en retour. Et puis il y a ceux qui sont passés à la télévision tous les jours : chaque « virostar » qui a personnellement garanti la sécurité des vaccins – sans disposer des données scientifiques ou de l’autorité pour le faire – est maintenant responsable des dizaines de milliers de décès et de réactions indésirables graves qui se sont produits dans tout le pays. Et si le silence des médias sur cette tragédie leur permet de se laver la conscience, il existe heureusement une cour bien plus élevée qui les jugera comme il se doit le moment venu. Profitez de vos Porsches et de vos villas en bord de mer tant que vous le pouvez encore.

PERSONNES NORMALES – Malheureusement, dans tout cela, des personnes normales, non préparées à discerner une tromperie d’une telle ampleur, se sont laissées emporter dans une guerre de haine qui a fait des victimes parmi leurs concitoyens et dans leurs propres familles. Au lieu de réagir de manière unie contre les abus de pouvoir, la majorité des gens se sont transformés en bourreaux de leurs semblables, devenant les outils dociles de ceux qui voulaient nous séparer pour mieux nous contrôler. Je n’impute pas de faute particulière à cette catégorie, parce que, contrairement aux médecins et aux journalistes, ils vivent dans l’ignorance et sont des proies faciles pour la propagande. Mais cela ne me laisse pas une seule goutte de sympathie pour eux.

C’est le tableau, tragique et déprimant, de ce qui s’est passé au cours des trois dernières années.

Et pourtant.

Et pourtant, malgré ce tableau, je vois une note positive, extrêmement encourageante : il y a plusieurs millions d’Italiens qui n’ont pas cédé au chantage, qui ont tenu bon, allant dans de nombreux cas jusqu’à perdre leur emploi, pour ne pas s’incliner. Ces personnes ont perdu une grande partie, voire la totalité, de leurs amitiés et, dans de nombreux cas, ont vu leurs liens familiaux se désintégrer en l’espace de quelques semaines.

Mais ils n’ont pas cédé. Pour eux, les principes sacro-saints et inviolables de la liberté individuelle demeurent. Pour chaque demi-douzaine de journalistes qui ont gardé leur cul au chaud en faisant comme si de rien n’était, il y a un millier de citoyens qui se sont exposés aux éléments de la vie pour ne pas renoncer à défendre les valeurs de la dignité humaine.

Je ne sais pas comment quantifier précisément ces personnes (5 millions ? 10 ? 15 ?) mais je sais avec certitude qu’elles sont plus que suffisantes en nombre pour ne pas être submergées lors d’une future opération de démolition sociale – que ce soit par une nouvelle « pandémie » ou par d’autres opérations similaires.

Ceux « qui ont compris » ne reviennent jamais. Vous ne pouvez pas ramener dans l’ignorance ceux qui ont atteint une certaine conscience. Ces quelques millions de personnes constituent désormais un bloc absolument insurmontable pour ceux qui veulent mettre en œuvre le programme de déshumanisation de la société.

Ce sera une bataille très difficile, car le pouvoir en place n’acceptera pas qu’il reste une trop grande poche de rebelles en son sein, et tentera par tous les moyens de nous faire plier.

Mais nous serons là, unis et solidaires comme jamais auparavant, parce que nous ne sommes pas unis par une simple croyance momentanée en une association, mais par la connaissance que nous sommes des êtres humains dotés de droits inaliénables, qu’aucun gouvernement ne nous a jamais « donnés » et qu’aucun gouvernement ne pourra jamais nous retirer.

Venez nous chercher, si vous en avez le courage.

Massimo Mazzucco, le 30 décembre 2022

Via Résistance 71 et JBL1960

Source :

https://luogocomune.net/28-opinione/6146-si-chiude-un-ciclo-di-tre-anni


Massimo Mazzucco est le réalisateur de l’excellent documentaire, sans doute le meilleur sur le sujet, “American Moon”, démontrant l’escroquerie des missions lunaires Apollo [Voir American Moon : a-t-on vraiment marché sur la lune en 1969 ?] et avant cela d’un documentaire de plus de 4 heures : “11 septembre, le nouveau Pearl Harbor”, démontrant le faux-drapeau et les faiblesses narratives de la version officielle sur les attentats. Il fait partie de longue date de la résistance italienne au Nouvel Ordre Mondial.




L’ordre mondial a déjà basculé en 2022

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

C’est une constante de l’Histoire : les changements sont rares, mais soudains. Ceux qui en font les frais sont généralement les derniers à les voir venir. Ils ne les perçoivent que trop tard. Contrairement à l’image statique qui règne en Occident, les relations internationales ont été bouleversées en 2022, principalement au détriment des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France, souvent au profit de la Chine et de la Russie. Les yeux rivés sur l’Ukraine, les Occidentaux ne perçoivent pas la redistribution des cartes.

Il est rare que les relations internationales soient bouleversées comme elles l’ont été en 2022. Et ce n’est pas fini. Le processus qui a débuté ne s’arrêtera pas, même si des événements viennent le perturber et éventuellement l’interrompre quelques années. La domination de l’Occident, c’est-à-dire à la fois des États-Unis et des anciennes puissances coloniales européennes (principalement le Royaume-Uni, la France et l’Espagne) et asiatique (le Japon), touche à sa fin. Plus personne n’obéit à un chef, y compris les États qui restent vassaux de Washington. Chacun commence désormais à penser par lui-même. Nous ne sommes pas encore dans le monde multipolaire que la Russie et la Chine tentent de faire émerger, mais nous le voyons se construire.

Tout a commencé avec l’opération militaire russe pour faire appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité et protéger la population ukrainienne dans son ensemble de son gouvernement « nationaliste intégral ». Certes, cet événement n’est pas du tout celui qui est perçu aux États-Unis, dans l’Union européenne, en Australie et au Japon. Les Occidentaux sont persuadés que la Russie a envahi l’Ukraine pour en changer les frontières par la force. Pourtant ce n’est ni ce qu’a annoncé le président Vladimir Poutine, ni ce que l’armée russe a fait, ni la manière dont les événements se sont déroulés.

Laissons de côté la question de savoir qui a tort et qui a raison. Tout dépend de savoir si l’on a conscience de la guerre civile qui déchirait l’Ukraine depuis la déposition de son président démocratiquement élu, Viktor Ianoukovytch, en 2014. Les Occidentaux oubliant les 20 000 morts de cette guerre ne peuvent pas envisager que les Russes ont voulu stopper ce massacre. Comme ils ignorent les accords de Minsk, dont pourtant l’Allemagne et la France s’étaient portées garantes aux côtés de la Russie, ils ne peuvent envisager que la Russie ait mis en pratique la « responsabilité de protéger » que les Nations unies ont proclamé en 2005.

Pourtant l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel(([1] « Hatten Sie gedacht, ich komme mit Pferdeschwanz ?« , Tina Hildebrandt und Giovanni di Lorenzo, Die Zeit, 7. Dezember 2022.)) et l’ancien président français François Hollande(([2] « Hollande : ‘There will only be a way out of the conflict when Russia fails on the ground’ », Theo Prouvost, The Kyiv Independant, December 28, 2022.)) ont tous deux publiquement affirmé qu’ils avaient signé les Accords de Minsk, non pas pour mettre fin à la guerre civile, mais au contraire pour gagner du temps et armer l’Ukraine. Ces deux personnalités se félicitent d’avoir piégé la Russie tout en l’accusant de porter seule la responsabilité de la guerre actuelle. Il n’est pas surprenant que ces deux anciens gouvernants s’enorgueillissent de leur duplicité devant leurs opinions publiques, toutefois leurs propos entendus dans d’autres régions du monde sonnent différemment. Pour la majorité de l’Humanité, les Occidentaux se montrent sous leur vrai jour : ils tentent toujours de diviser le reste du monde et de piéger ceux qui veulent être indépendants ; ils parlent de paix, mais fomentent des guerres.

Il est faux d’imaginer que le plus fort veut toujours imposer sa volonté aux autres. Cette attitude occidentale n’est que rarement partagée par les autres humains. La coopération a fait ses preuves bien plus que l’exploitation et les révolutions qu’elle suscite. C’est le message que les Chinois ont tenté de propager en évoquant des relations « gagnant-gagnant ». Il ne s’agissait pas pour eux de parler de relations commerciales équitables, mais de faire référence à la manière dont gouvernaient les empereurs de Chine : lorsqu’un empereur promulguait un décret, il devait veiller a être suivi par les gouverneurs de chaque province, y compris par ceux qui n’étaient pas concernés par cette décision. Il montrait à ces derniers qu’il ne les avaient pas oubliés en leur offrant à chacun un présent.

En dix mois, le reste du monde, c’est-à-dire son écrasante majorité, a ouvert les yeux. Si, le 13 octobre, ils étaient 143 États à suivre la narration occidentale et à condamner l’« agression » russe(([3] « Ukraine : UN General Assembly demands Russia reverse course on ‘attempted illegal annexation’ », UN News, October 13, 2022.)), ils ne seraient plus majoritaires à l’Assemblée générale des Nations unies à voter ainsi aujourd’hui. Le vote, le 30 décembre, d’une résolution demandant au tribunal interne de l’Onu, la Cour internationale de Justice, de déclarer l’occupation des Territoires palestiniens par Israël d’« occupation » en est la preuve. L’Assemblée générale ne se résigne plus devant le désordre occidental du monde.

11 États africains, jusque là dans l’orbite de la France, ont fait appel à l’armée russe ou à une société militaire privée russe pour assurer leur sécurité. Ils ne croient plus dans la sincérité de la France et des États-Unis. D’autres encore sont conscients que la protection occidentale contre les jihadistes va de pair avec le soutien occulte des Occidentaux aux jihadistes. Ils s’inquiètent publiquement du transfert massif d’armes destinées à l’Ukraine vers les jihadistes du Sahel ou vers Boko Haram(([4] « Buhari : les armes utilisées en Ukraine pénètrent dans les pays du bassin du lac Tchad », Tass, Alwihda Info, 8 Décembre 2022. « Le Sahel menacé par le djihadisme : une nouvelle Syrie », Leslie Varenne, Mondafrique, 15 décembre 2022.)) au point que le département US de la Défense a désigné une mission de suivi pour vérifier ce que deviennent les armes destinées à l’Ukraine ; une manière comme une autre pour enterrer le problème et prévenir une immixtion du Congrès dans ces sombres manigances.

Au Moyen-Orient, la Turquie, membre de l’Otan, joue un jeu subtil à mi-chemin entre son allié US et son partenaire russe. Ankara a compris depuis longtemps qu’il n’intégrerait jamais l’Union européenne et, plus récemment, qu’il n’était pas plus attendu pour restaurer son empire sur les Arabes. Il se tourne donc vers les États européens (comme les Bulgares, les Hongrois et les Kosovars) et asiatiques (comme l’Azerbaïdjan, le Turkménistan, l’Ouzbekistan, le Kazakhstan et le Kirgizistan) de culture turque (et non pas de langue turque comme les Ouigours chinois). Du coup, Ankara se réconcilie avec Damas et se prépare à quitter l’Ouest pour l’Est.

L’arrivée de la Chine dans le Golfe, à l’occasion du sommet de Riyad, a renversé la table dans cette région du monde. Les États arabes ont vu que Beijing était raisonnable, qu’il les aidait à faire la paix avec leurs voisins perses. Pourtant l’Iran est un allié millénaire de la Chine, mais celle-ci le défend sans lui laisser passer ses excès. Ils ont mesuré la différence avec les Occidentaux qui, au contraire, n’ont eu de cesse depuis 1979 de les diviser et de les opposer.

L’Inde et l’Iran mettent les bouchées doubles avec la Russie pour édifier un couloir de transport qui leur permette d’échanger malgré la guerre économique occidentale (présentée en Occident comme des « sanctions », bien que celles-ci soient illégales en Droit international). Déjà Mumbai est relié au Sud de la Russie et bientôt à Moscou et à Saint-Petersbourg. Cela rend la Russie et la Chine complémentaires. Beijing construit en Eurasie des routes de l’Est à l’Ouest, Moscou selon les longitudes.

La Chine, pour qui cette guerre est une catastrophe qui perturbe ses plans de construction des routes de la soie, n’a jamais adhéré à la narration occidentale. Elle est une ancienne victime de la Russie qui, au XIX° siècle, a participé à l’occupation de Tianjin et de Wuhan (Hankou), mais elle sait que les Occidentaux feront tout pour les exploiter toutes les deux. Elle se remémore son occupation passée pour avoir conscience que son destin est lié à celui de la Russie. Elle ne comprend pas grand chose aux affaires ukrainiennes, mais sait que sa vision de l’organisation des relations internationales ne pourra voir le jour que si la Russie triomphe. Elle n’a donc aucune envie de se battre aux côtés de la Russie, mais interviendra si celle-ci est menacée.

Cette réorientation du monde est très visible dans les institutions gouvernementales. Les Occidentaux ont humilié la Russie au Conseil de l’Europe jusqu’à ce que Moscou le quitte. À leur grande surprise, la Russie ne s’en tient pas là. Elle quitte un à un tous les accords conclus au sein du Conseil de l’Europe, dans toutes sortes de domaines, du Sport à la Culture. Les Occidentaux réalisent soudain qu’ils se sont privés d’un partenaire généreux et cultivé.

Elle devrait se poursuivre dans toutes les autres organisations intergouvernementales, à commencer par les Nations unies. C’est une vieille histoire des relations occidentalo-russes qui remonte à l’exclusion de Moscou de la Société des Nations, en 1939. À l’époque, les Soviétiques inquiets d’une possible attaque nazie contre Léningrad (Saint-Petersbourg) demandèrent à la Finlande de pouvoir louer le port d’Hanko, cependant les négociations trainant en longueur, ils envahirent la Finlande, non pas pour l’annexer, mais pour placer leur marine à Hanko. Ce précédent est enseigné aujourd’hui comme un exemple de l’impérialisme russe alors que le président finlandais Urho Kekkonen a lui-même reconnu que l’attitude des Soviétiques était « compréhensible ».

Revenons aux Nations unies. Exclure la Russie ne pourrait être possible qu’après avoir fait adopter une réforme de la Charte par l’Assemblée générale. C’était possible en octobre, mais plus aujourd’hui. Ce projet s’accompagne d’une réinterprétation de l’histoire et de la nature de l’Onu.

On assure qu’adhérer à l’Organisation interdit la guerre. C’est une absurdité. Adhérer à l’Onu oblige à « maintenir la paix et la sécurité internationales », mais les hommes étant ce qu’ils sont, autorise à faire usage de la force dans certaines conditions. Parfois même, cette autorisation devient une obligation en vertu de la « responsabilité de protéger ». C’est très exactement ce que fait la Russie pour les populations du Donbass et de la Novorussia. Notez bien que Moscou n’est pas aveugle et a fait marche arrière en ce qui concerne la rive droite (partie Nord) de la ville de Kershon. L’état-major russe s’est replié derrière une frontière naturelle, le fleuve Dniepr, considérant impossible de défendre l’autre partie de la ville face aux armées occidentales et ceci alors que la population de l’ensemble de la ville avait demandé par référendum son adhésion à la Fédération de Russie. Il n’y a jamais eu de défaite russe à Kershon, mais cela n’empêche pas les Occidentaux de parler de sa « reconquête » par le régime Zelensky.

Surtout, on obscurcit le fonctionnement de l’Onu en remettant en question le directoire du Conseil de Sécurité. Lorsque l’Organisation a été fondée, il s’agissait de reconnaître l’égalité entre chaque État au sein de l’Assemblée générale et de donner aux grandes puissances de l’époque la capacité de prévenir des conflits au sein du Conseil de Sécurité. Celui-ci n’est pas le lieu de la démocratie, mais du consensus : aucune décision ne peut y être prise sans l’accord de chacun de ses cinq membres permanents. On feint de s’étonner de ne pas pouvoir y condamner la Russie, mais s’est-on étonné de ne pas y avoir condamné les États-Unis, le Royaume-Uni et parfois la France pour leurs guerres illégales au Kosovo, en Afghanistan, en Iraq et en Libye ? Sans droit de veto, l’Onu deviendra une assemblée absolument inefficace. Pourtant cette idée fait son chemin en Occident.

Au demeurant, il serait absurde de penser que la Chine, première puissance commerciale du monde, restera dans une Onu dont la Russie, première puissance militaire mondiale, aurait été exclue. Beijing ne jouera pas la caution à une opération contre son allié, tant il est persuadé que sa mort sera le prélude de la sienne. C’est pourquoi les Russes et les Chinois préparent d’autres institutions qu’ils ne manifesteront que si l’Onu est dénaturée, si elle se transforme en une assemblée monochrome et perd ainsi sa capacité de prévenir des conflits.

Nous percevons que la seule issue possible est que les Occidentaux acceptent de n’être que ce qu’ils sont. Mais, pour le moment, ils n’en sont pas capables. Ils déforment la réalité en espèrent maintenir leurs siècles d’hégémonie. Ce jeu est terminé à la fois parce qu’ils sont fatigués et surtout parce que le reste du monde s’est transformé.





Louis Fouché : « Si on continue comme ça, on va en crever »

[Source : Epoch Times France]

Louis Fouché est médecin anesthésiste-réanimateur, diplômé en éthique de la santé, conférencier, et auteur.

Dans son dernier livre Agonie et renouveau du système de santé, publié aux éditions Exuvie et préfacé par le professeur Didier Raoult, il brosse le tableau d’un système de santé au bord de l’effondrement, incapable de répondre aux besoins des malades et aux aspirations des soignants.

Ayant refusé de se plier à l’obligation vaccinale, Louis Fouché ne peut plus exercer son métier d’anesthésiste-réanimateur depuis plusieurs mois.

« Énormément de professions sont touchées par cette obligation. Non seulement des médecins, mais aussi des pompiers, des secrétaires, des gens qui font le ménage, des aide-soignants, des infirmiers, des ostéopathes, des kinés, des chiropracteurs, etc. […] Ils n’ont droit ni au chômage ni aux congés payés, ni à quoi que ce soit », souligne le praticien.

« Il y a une omerta, mais la députée européenne Michèle Rivasi a dit au Parlement européen qu’il y avait 130 000 professionnels suspendus, tous métiers confondus. »

Selon lui, la suspension des professionnels concernés et le refus de les réintégrer s’inscrit dans le cadre d’un « plan de destruction volontaire du système de santé » de la part de l’État.

« Ça n’a rien à voir avec une question sanitaire, c’est un plan social à pas cher. On peut foutre dehors 130 000 personnes, sans allocations chômage, sans se salir les mains, sur un prétexte pseudo moral », explique-t-il.

« Nous sommes en train de détruire le système de santé, pour réattribuer le monopole du marché des soins aux multinationales […]. Les décideurs publics en matière de Santé sont devenus les agents directs de l’industrie du médicament et des plateformes numériques », poursuit-il.

D’après Louis Fouché, « ce que nous vivons aujourd’hui est le spasme final, l’agonie » d’un système de santé « déjà très largement malade », qui dysfonctionnait depuis plusieurs années.

« Le système de santé doit produire des soins, industriellement, avec efficience. Les soignants y deviennent des rouages d’une logique techno-industrielle et numérique. […] Un bon interne et un bon médecin ne sont plus humains, responsables, bienveillants. Ils sont efficaces, et dociles aux protocoles », souligne le praticien.

Devenue un marché comme un autre, la Santé a ainsi été soumise « à une technocratie managériale » qui « a doucement fait glisser le soin vers “l’extraordinaire banalité du mal”. »

« Notre système de santé valorise les remboursements d’actes invasifs ou liés à des laboratoires pharmaceutiques. On aboutit à une espèce de folie, on en arrive à des soins qui sont complètement aberrants », ajoute-t-il.

Bien que les constats dressés soient amers, Louis Fouché estime que le délitement du système de santé constitue une opportunité pour un renouveau du soin.

« Les artisans de la destruction du système de santé sont en train de nous aider à élaguer les contours d’une institution désirable. […]. Ils convoquent chacun à savoir quel monde il veut arpenter et vivre », observe le quadragénaire.

« Il est absolument impératif que fleurissent partout des propositions de soin différentes, plus humaines, plus attentives, low-tech, préventives, peu coûteuses. […] Il faut travailler à permettre que tous ceux qui veulent quitter le système puissent le faire », ajoute-t-il.

Et Louis Fouché de conclure : « Soit on va vers une médecine transhumaniste administrée par les majors de la data comme Amazon, Google, Facebook, Microsoft, et on sera dans une santé automatique pour les gens riches. Pour les pauvres, tant pis pour vous. Soit on se réempart de la santé nous-mêmes, et c’est déjà en train d’arriver. »

Retrouvez l’analyse intégrale de Louis Fouché dans la vidéo.

00:00 — Introduction
02:02 — Comment faire le deuil d’un métier qui a exigé des années d’études et de sacrifice au service des malades ?
09:25 — Quelle est la proportion de soignants ayant « triché » pour continuer à exercer leur métier ?
17:35 — Les soignants suspendus accepteraient-ils de retourner à l’hôpital s’ils étaient réintégrés ?
24:25 — La tarification à l’acte en vigueur dans les hôpitaux peut-elle avoir des conséquences néfastes pour la santé des malades ?
27:56 — En quoi l’effondrement du système de santé est-il inéluctable ?
35:14 — En quoi les pratiques des acteurs de l’industrie pharmaceutique sont-elles similaires à celles des mafias ?
45:35 — En quoi la prise de conscience de notre responsabilité individuelle dans le désordre du monde est-elle un préalable indispensable à la construction d’une société plus désirable ?
55:41 — Quel peut être le rôle des médecines traditionnelles dans ce renouveau de la santé et du soin ? Que peuvent-elles nous enseigner sur la façon dont nous envisageons la santé, la maladie, la souffrance ou la mort ?
1:09:14:12 — Conclusion




Libération d’Ana Belén Montes

[Source : voltairenet.org]

L’ancienne responsable du service Amérique latine à la Defense Intelligence Agency, Ana Belén Montes, a été libérée après 21 ans de réclusion.

Elle s’était insurgée contre le traitement des Cubains par Washington et, violant la loi, avait transmis les plans du Pentagone à La Havane durant 16 ans. Elle était la plus haute fonctionnaire US a connaître les rapports et les plans des différentes agences concernant Cuba. Son expertise était telle qu’elle fut surnommée la « Reine de Cuba » et fut décorée par le directeur de la CIA, George Tenet (photo).

Elle a agi ainsi par pure conscience morale, sans attendre quoi que ce soit en retour.

Lors de son procès, elle a déclaré :

« Votre Honneur, je me suis engagé dans l’activité qui m’a amené devant vous parce que j’ai obéi à ma conscience plutôt qu’à la loi. La politique de notre gouvernement envers Cuba est cruelle et injuste, profondément hostile ; Je me sens moralement obligée d’aider l’île à se défendre contre nos efforts pour lui imposer nos valeurs et notre système politique.
Nous avons fait preuve d’intolérance et de mépris envers Cuba pendant quatre décennies. Nous n’avons jamais respecté le droit de Cuba de faire son propre chemin vers ses propres idéaux d’égalité et de justice. Je ne comprends pas comment nous continuons à essayer de dicter la manière dont Cuba devrait sélectionner ses dirigeants, ceux qui ne peuvent pas l’être, et quelles lois sont les plus appropriées pour cette nation. Pourquoi ne laissons-nous pas Cuba suivre sa propre voie intérieure, comme le font les États-Unis depuis plus de deux siècles ?
Ma façon de répondre à notre politique cubaine était peut-être moralement répréhensible. Peut-être que le droit de Cuba d’exister sans coercition politique et économique ne justifie pas de donner à l’île des informations classifiées pour l’aider à se défendre. Je peux seulement dire que j’ai fait ce que je pensais être juste pour contrer une grave injustice.
Mon plus grand souhait serait de voir émerger une relation amicale entre les États-Unis et Cuba. J’espère que mon cas encouragera d’une certaine manière notre gouvernement à abandonner son hostilité envers Cuba et à travailler avec La Havane dans un esprit de tolérance, de respect mutuel et de compréhension.
Aujourd’hui, nous voyons plus clairement que jamais que l’intolérance et la haine, de la part d’individus ou de gouvernements, ne font que propager la douleur et la souffrance. J’espère que les États-Unis développeront une politique envers Cuba fondée sur l’amour du prochain, une politique qui reconnaît que Cuba, comme toute autre nation, veut être traitée avec dignité et non avec mépris. »

Elle a été arrêtée en 2001, et condamnée pour espionnage. Elle a été placée dans un hôpital psychiatrique militaire, en cellule d’isolement. Ses relations sociales étaient limitées à ses promenades, aux côtés de personnes violentes et d’assassins. Elle n’avait pas accès aux journaux, ni à la télévision. Ses conditions de détention étaient cruelles et dégradantes.




♫ Nouveau Monde ♫

[Source : Kla.tv]

Le nouveau monde se développe MAINTENANT et ICI, au milieu de l’ancien – si seulement nous n’abandonnons pas, si seulement nous considérons notre vie comme un entraînement. On n’a perdu que si on reste couché. (…) Chanson positive et motivante de Jonny et Sally.

Quand le destin te frappe de plein fouet,
c’est ta chance, si tu n’abandonnes pas.
La chose primordiale, c’est quand ton ego est brisé,
Ensemble, nous pouvons le supporter, mais seuls, nous ne le pouvons pas.
Ce n’est jamais compliqué, écoute la voix dans ton ventre,
si quelque chose ne va pas, passe à un autre niveau.
La vie est ton entraînement, alors n’abandonne jamais,
la peur commence dans la tête, mais le courage aussi.

Nous pouvons exulter, oui danser, chanter.
Car la victoire nous est destinée, celui qui croit est vainqueur.
Nous nous accrochons, même si nous tombons dix fois,
un nouveau courage nous pousse, car la fin sera bonne.
Le nouveau monde naît ici et maintenant,
Nous nous apprécions et nous nous aimons.
J’ai besoin de toi comme tu as besoin de moi,
ensemble comme une lumière qui brise les ténèbres.
Nous avons l’espoir, l’amour, la paix, à l’infini.
Nous avons un avenir, plein de joie, plein de liberté, que personne ne nous volera.

Quand le destin te frappe de plein fouet,facile
c’est ta chance, si tu n’abandonnes pas.
La chose primordiale, c’est quand ton ego est brisé,
Ensemble, nous pouvons le supporter, mais seuls, nous ne le pouvons pas.
Ce n’est jamais compliqué, écoute la voix dans ton ventre,
si quelque chose ne va pas, passe à un autre niveau.
La vie est ton entraînement, alors n’abandonne jamais,
la peur commence dans la tête, mais le courage aussi.

Nous pouvons exulter, oui danser, chanter.
Car la victoire nous est destinée, celui qui croit est vainqueur.
Nous nous accrochons, même si nous tombons dix fois,
un nouveau courage nous pousse, car la fin sera bonne.
Le nouveau monde naît ici et maintenant,
Nous nous apprécions et nous nous aimons.
J’ai besoin de toi comme tu as besoin de moi,
ensemble comme une lumière qui brise les ténèbres.
Nous avons l’espoir, l’amour, la paix, à l’infini.
Nous avons un avenir, plein de joie, plein de liberté, que personne ne nous volera.

L’amour, la paix, l’amour, la paix, l’amour, la paix.
Le nouveau monde.
L’amour, la paix.

Le nouveau monde naît ici et maintenant,
Nous nous apprécions et nous nous aimons.
J’ai besoin de toi comme tu as besoin de moi,
ensemble comme une lumière qui brise les ténèbres.
Nous avons l’espoir, l’amour, la paix, à l’infini.
Nous avons un avenir, plein de joie, plein de liberté, que personne ne nous volera.

de jf. se

Sources / Liens : https://www.youtube.com/channel/UCBEX2vch6E0xqh927yuWkQQ




Soyons dignes de Soljenitsyne, dénonçons l’énorme machine totalitaire du mensonge

[Source : RL]

Par Bernard GERMAIN

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge. »

Ainsi s’exprimait Alexandre Soljenitsyne, célèbre opposant au régime stalinien de l’URSS.

Sa vie fut un exemple, du début à la fin.

Décoré pendant la Seconde Guerre mondiale pour son courage et sa bravoure au combat, il commit, après la fin du conflit, « l’erreur » de critiquer Staline dans une correspondance personnelle et fut condamné pour « activité contre-révolutionnaire » à huit ans de détention dans un camp de travail.

Libéré en 1953, il fut placé en relégation dans un village du Kazakhstan et ne put rentrer en Russie qu’en 1959, après avoir été réhabilité par la Cour Suprême.

Il publia en 1962 Une journée d’Ivan Denissovitch, racontant le quotidien des camps.

Ce livre fit l’effet d’une bombe car c’était le premier ouvrage révélant l’existence de ces camps dans la « patrie du socialisme ».

Malgré la « déstalinisation », il continua d’écrire, notamment sous la forme de « samizdats » (écrits interdits distribués sous le manteau en URSS).

Auteur des célèbres ouvrages Le pavillon des cancéreux et L’archipel du goulag, il reçu en 1970 le Prix Nobel de Littérature.

Déchu de sa nationalité par le régime, il fut obligé de s’exiler pendant 20 ans. D’abord en Europe, mais principalement aux USA, dans le Vermont.

Gorbatchev le réhabilita en 1994, lui permettant de revenir terminer sa vie dans sa patrie.

Il nous a quittés en 2008, laissant derrière lui l’image d’un homme droit et inflexible, inlassable combattant de la liberté et remarquable écrivain qui contribua à faire connaître et à dénoncer le système concentrationnaire de l’Union soviétique.

Certains lecteurs se demanderont peut-être pourquoi je parle de cela ?

La réponse est toute simple : parce que nous vivons dans une société où existe à nouveau « une énorme machine totalitaire du mensonge ».

Chaque jour nous en apporte la preuve :

  • L’essentiel de la presse est dans les mains de quelques milliardaires, tel Xavier Niel – mondialiste convaincu – qui ne cessent d’intoxiquer les citoyens avec les thèses issues de Davos dont l’objectif est indiscutablement de détruire nos nations européennes.
  • Cette même presse est aux ordres des thèses immigrationnistes, depuis les accords de Marrakech (2018), sommée qu’elle est d’avoir un discours pro-immigration sous peine de perdre ses subventions (nos impôts) qui sont les conditions de sa survie, car elle n’a plus que très peu de lecteurs.
  • L’essentiel des médias participent également à diffuser les mensonges d’État, comme c’est le cas avec la crise de l’énergie que nous vivons actuellement, dont les véritables raisons ainsi que les responsables sont soigneusement cachés à la population.
  • Enfin, ils dissimulent également toutes les agressions dont sont victimes nos concitoyens, jour après jour, sur l’ensemble du territoire. Il y a quelques temps, on nous endormait avec le « sentiment d’insécurité ». Mais l’extension du problème à l’ensemble du territoire national, en relation avec une immigration totalement incontrôlée, oblige à nier tout simplement l’existence de ces agressions qui se soldent par des morts et des blessés chaque jour qui passe. Ou à observer un silence absolu sur le sujet.

Quant aux partis politiques, aucun ne dénonce ces faits (sauf ceux « d’extrême droite », comme ils disent).

Enfin, les individus qui dénoncent courageusement cette situation du pays et les affres qu’il subit sont impitoyablement dénoncés, salis, traînés en justice et même violentés pour certains.

L’objectif est limpide : faire taire les opposants par tous les moyens.

Le dernier exemple en date étant Michel Houellebecq qui a osé dire tout haut ce que les Français pensent tout bas : ils souhaitent le départ des immigrés, notamment musulmans.

Pour avoir osé dire cela, plainte a été déposée contre Michel Houellebecq par la Grande Mosquée de Paris, à laquelle d’autres bien-pensants ne manqueront pas de venir s’ajouter.

Lorsque la curée s’annonce, la meute arrive…

Et si tout cela ne suffit pas, et que les Français descendent collectivement dans la rue pour protester, le régime allié à l’extrême gauche envoie ses milices antifas et autres black-blocs afin de terroriser ceux qui auront eu le courage de manifester.

Lorsque nous mettons tous ces éléments bout à bout, on ne peut qu’aboutir à la conclusion qu’une « énorme machine totalitaire du mensonge » existe bel et bien dans notre pays.

Il faut être aveugle ou complice pour le nier.

On me rétorquera peut-être qu’il n’y a pas de camp de travail ou de concentration dans notre beau pays de France et que mon propos est donc outrancier.

J’objecterai qu’il y en a déjà eu et qu’aucune garantie n’existe que cela ne se verra plus.

Par ailleurs, on peut briser la vie de quelqu’un en le tuant socialement.

Combien « d’opposants » ont déjà perdu ainsi travail, famille et réputation ?

Parmi les complices d’aujourd’hui, on retrouve ceux qui, hier, condamnaient Alexandre Soljenitsyne qui osa dénoncer la « patrie du socialisme » et sa « machine totalitaire du mensonge ».

Ceux-là sont d’ailleurs bien silencieux sur leurs positions d’hier.

Cela n’empêche nullement, aujourd’hui, les mêmes de nous dénoncer et vouloir nous détruire.

Alors faisons comme Soljenitsyne.

Même si nous sommes « petits » et avec « peu de force »… dénonçons inlassablement le système des bien-pensants, ainsi que leurs exactions, et « faisons en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge ».

Au reste, les mois qui viennent pourraient bien montrer que nous sommes nombreux à refuser d’être « des points de passage du mensonge ».

Les bien-pensants et les complices sont en droit de s’inquiéter…




Dmitri Anatolievitch Medvedev plaint les peuples de l’UE victimes d’un IVe Reich

[Source : RL]

Par Valérie Bérenger

Il n’est pas tendre Dmitri Anatolievitch Medvedev, c’est le moins que l’on puisse dire. Ni tendre, ni patient. En tout cas beaucoup moins que Vladimir Poutine. Il est vrai que l’Occident lui a donné toutes les raisons valables pour ne pas l’être. Pourtant, voici quelques années, alors qu’il dirigeait la Fédération de Russie, il était enclin à s’entendre avec l’Occident. Il n’avait alors pas encore compris à quel point la confiance qu’il mettait dans ses interlocuteurs allait être trahie.

En effet, en 2010, lors de la réunion du Conseil Russie-OTAN à Lisbonne, à laquelle il participait en tant que président de la Fédération de Russie, les membres de l’alliance n’ont eu aucun mal à le convaincre que la Russie et eux ne se menaçaient pas mutuellement. Dmitri Anatolievitch Medvedev a cru alors que l’Occident et la Russie étaient prêts à travailler ensemble à la sécurité globale de la région euro-atlantique. Grave erreur !

Mais les Russes sont comme ça. Ils font confiance. Jusqu’à ce qu’ils comprennent qu’ils se sont fait blouser. Une fois… mais pas deux. Car, contrairement aux Occidentaux, ils ont de la mémoire et prennent en compte les événements historiques et les trahisons qui en ont découlé.

Suivez la chaîne Telegram de Boris Karpov : https://t.me/boriskarpovblog

Aujourd’hui vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, président du parti politique panrusse « United Russia », cet homme brillant et perspicace a eu en cette fin d’année une pensée miséricordieuse pour les peuples de l’Union Européenne en disant : « On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. »

Que voilà un homme lucide que l’on ne peut que remercier de vouloir différencier les fous génocidaires de l’Occident et les peuples qui en subissent le joug chaque jour un peu plus.

Pourtant pour Dmitri Anatolievitch Medvedev :

« Les illusions sont finies, aujourd’hui nous sommes séparés du monde occidental par bien plus que ce qui nous unit. (…) Il est tout à fait clair que dans la relation des États indépendants et souverains avec le monde anglo-saxon dans la configuration actuelle, on ne peut parler de confiance, d’espoir en la décence des partenaires, de leur fidélité en leur parole et même en leurs principes magnifiquement énoncés. Mais, hélas, maintenant nous n’avons personne avec qui parler et négocier en Occident. Il n’existe rien dans ce domaine, et il n’y a pas besoin de le faire. Ce sont les événements de l’année écoulée qui ont annulé la possibilité même d’un dialogue confidentiel et respectueux avec les représentants de ce « pôle » mondial. Il ne reste que l’étonnement : ces gens se considèrent-ils sérieusement comme des leaders mondiaux, revendiquent-ils quelque chose de global, rêvent-ils de dicter leur volonté aux autres ? Sur quelle base, s’ils se discréditent, signent-ils leur impuissance, mentent, s’enlisent-ils dans les problèmes ? ».

Fort d’une lucidité que nombre de dirigeants européens devraient cultiver, il a publié récemment sur son compte Twitter anglophone dix prédictions que la presse mainstream française et européenne a qualifié « d’apocalyptiques » pour l’année 2023. « Tout le monde fait des pronostics en ce moment, affirme-t-il dans son tweet qui a été lu plus de 28 millions de fois. Beaucoup émettent des hypothèses futuristes, comme s’il fallait trouver les plus folles, voire les plus absurdes ».

[Voir Prédictions apocalyptiques de Medvedev pour 2023]

Parmi ces affirmations, notons que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5 000 dollars pour 1 000 mètres cubes ; le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. Mais le plus logique de ce discours est l’argument qui prétend que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Ce qui n’aurait rien de surprenant lorsque l’on sait que la Pologne a déjà revendiqué auprès de Kiev ses territoires historiques.

Dmitri Anatolievitch Medvedev n’hésite pas à évoquer la création du IVReich, qui « englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie, les États baltes, la République de Kiev et d’autres parias ».
Il soutient également qu’une guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. « L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods. »

Cerise sur le gâteau, il termine ses prédictions en souhaitant de « joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant ».

Nous pouvons supposer que les « joyeux porcelets grognant » sont les alliés – ou plutôt vassaux – de Washington, l’UE en tête. Saluons néanmoins l’humour dont fait preuve l’ancien président russe.

Si vous étudiez la géopolitique actuelle, vous vous rendrez compte que ces « prédictions » ne sont pas aussi vides de sens que l’on veut bien vous le dire. Le prix du pétrole à 150 dollars n’aurait rien d’étonnant. En 2013, l’institution américaine Bank of America Merrill Lynch indiquait dans une note s’attendre à ce que le baril de pétrole progresse à 140 dollars au cours de l’année ce qui amènerait, dans le cas où l’écart de prix demeurerait le même à un baril de pétrole Brent à 160 dollars. En janvier 2022 les prix du gaz en Europe dépassaient déjà 1 100 dollars pour 1 000 m3. Or, les stocks vont se vider très vite et sans le gaz russe il n’est pas du tout impossible de voir une nouvelle fois les prix s’envoler pour être multipliés par deux ou par trois, voire bien plus.

Lorsque, dans un article publié dans le magazine russe  Rossiyskaya Gazeta, Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme que :

« Le taux d’inflation aux États-Unis et dans la zone euro franchit littéralement le « plancher » des prévisions pessimistes : il est respectivement de 8 à 10 %, avec une croissance du PIB de 2 %. Sans parler de divers imbéciles d’Europe de l’Est ou des États baltes, où l’inflation a grimpé en flèche au-delà de 20 %.».

Il est en fait très en dessous de la vérité concernant la zone euro.

Il suffit pour en être persuadé de se rendre dans n’importe quelle grande surface alimentaire en France et s’apercevoir que certaines références ont vu leur prix multiplié par deux. Le prix d’une simple bouteille de gaz butane a pris en quelques mois +25 %, passant de 29,90 € à 39,90 €.

Quant au IVe Reich, soyons lucides, c’est une réalité. Il suffit de voir les symboles arborés par les combattants ukrainiens et certains mercenaires de l’UE ou des USA qui les ont rejoints pour être – hélas – fixé sur la question. Et la question qu’il pose avec une certaine logique trouve sa réponse dans les événements actuels :

« Qu’attendre de certains pays européens, qui à un moment donné ont donné naissance au national-socialisme et au fascisme ? Ce sont eux qui sont aujourd’hui responsables du renouveau de l’idéologie nazie. Apparemment, les douleurs fantômes de la grandeur perdue dans la classe politique de ces pays ne peuvent être supprimées par les médicaments du temps. Et bien que les forces dirigeantes se disent gauchistes ou chrétiennes, elles sont en fait les véritables héritières de la cause au Parti national-socialiste (NSDAP) et du Partito Nazionale Fascista (PNF). Et tôt ou tard, ils répondront de ceux qui ont été nourris de leurs propres mains. »

En cette fin d’année 2022, face à cette tragédie, quid de l’avenir du monde dit civilisé ?

Entre mensonges et trahisons de la part du monde occidental, la Russie n’a pas eu d’autre choix que de lancer son opération militaire spéciale. Angela Merkel a elle-même avoué que les accords de Minsk n’avaient eu pour but que de permettre à l’Ukraine de se préparer à une guerre et à l’Otan de l’armer. Ce que le clan occidental n’a pas encore compris – et gageons qu’ils ne le comprendront jamais – c’est que pour la Russie tout entière cette opération est une question de SURVIE. Il ne s’agit pas seulement de venir au secours des républiques du Donbass mais également de la souveraineté et de la survie du monde russe.

La faute à qui ? Fin 2021 l’Alliance de l’Atlantique Nord a refusé tout net de garantir à la Russie que l’Ukraine ne rejoindrait pas l’OTAN malgré toutes les promesses faites et non tenues depuis 20 ans. Kiev, de son côté, annonçait sa volonté de relancer un arsenal nucléaire visant sans conteste à détruire la Russie.

Il est navrant de constater que les leçons de la Seconde Guerre mondiale ont été complètement oubliées. Que la générosité et la grandeur de la Russie, qui a éreintée les armées allemandes au prix d’un lourd tribu, ont été effacées d’un simple coup de crayon au profit d’une hégémonie américaine nuisible qui n’a aucune justification.

Comment ne pas donner raison à cet homme lorsqu’il affirme :

« Au service de ses « maîtres » et en raison de sa stupidité, le régime de Kiev cherche désespérément à « interdire » non seulement tout contact de ses citoyens et entreprises avec la Russie, mais aussi tout « esprit russe », toute culture russe – même celle qui est devenue à juste titre un classique mondial. En Ukraine, les monuments aux écrivains et aux généraux russes sont démolis, et les rues Pouchkine portent le nom de l’ordure Bandera. Ils interdisent la langue russe dans les écoles et à la maison, ils mettent les livres russes au pilori. Que scénario familier – il ne manque plus que les camps de concentration et la Nuit de cristal. Gogol, Boulgakov, Malevitch, Akhmatova, Vernadski et même Lessia Ukrainka ou Taras Chevchenko doivent se retourner dans leurs tombes. Tout cela s’accompagne de convulsions hystériques de propagande et d’appels à « punir » la Russie obstinée par tous les moyens. »

La russophobie totalement irrationnelle a atteint cette année dans l’UE un niveau hallucinant. Après le Covid, les enfermements, l’isolement, la mise en esclavage des peuples, les injections inutiles et mortelles dont on découvre chaque jour la nuisance et la gravité des effets secondaires, les mensonges à répétition, l’autoritarisme des dictatures larvées qui s’est fait jour, c’est une nouvelle forme de lèpre qui vient nous envahir.

Ainsi, après l’effondrement idéologique et philosophique global du monde occidental, son remplacement est assuré par une perversité démoniaque et souterraine qui s’est répandue comme la peste noire en son temps, vitesse grand V. Ce monde est devenu fou et il est grand temps pour nous de sonner la fin de la récréation.

Continuant sur une logique imperturbable Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme avec une générosité que l’Occident ne mérite certainement pas :

« On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. Leurs slogans enflammés sur la solidarité avec l’Ukraine ne réchaufferont pas leurs maisons et ne rempliront pas le réservoir d’essence de leurs voitures. Toutes les « sanctions infernales », blocus et autres restrictions sont supportées par ceux qui doivent maintenant payer des factures insensées de services publics ou de carburant. Accueillir des réfugiés ukrainiens et leur donner du travail, endurer crise après crise par la faute de leurs propres politiciens qui ignorent la question : pourquoi tout ce supplice ? Qui est le plus mal loti à la fin ? Pourquoi, comme d’habitude, seule l’Amérique est-elle relativement gagnante ? Leurs citoyens comprennent que la pauvreté et l’incertitude sont des phénomènes à long terme. Et ce n’est pas une partie de plaisir : des reportages sur les manifestations de rue apparaissent quotidiennement sur les fils d’actualité en Europe. »

Tout est dit ! Les peuples européens payent et continueront de payer au centuple la facture que l’Amérique présente. Alors en cette fin d’année la seule question qui se pose est : voulons-nous continuer à servir d’esclaves aux USA où voulons-nous retrouver notre liberté et notre libre-arbitre et vivre mieux ?

Car, si les Russes savent être généreux, les Américains ne le sont pas. Gageons qu’ils nous sacrifieront jusqu’aux derniers vivants exactement comme ils le font avec les Ukrainiens. Si nous voulons retrouver notre liberté, notre fierté et notre pays tel que nous l’avons connu, il nous faut nous débarrasser une fois pour toutes de l’hégémonie américaine et, avec elle, de celle de l’UE pour nous rapprocher, comme le voulait le Général de Gaulle, du seul allié fiable que nous pourrions avoir : la Russie.

Ce n’est plus pour la France et les Français une question seulement économique ou politique, en 2023 il en ira de notre survie !




Restez couchés, le clan des être humains

[Source : Brunolelosq]






Selon Me Virginie Araujo, les injections anticovid ont violé la dignité humaine

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Rappelons que cette avocate, qui s’est opposée d’emblée à la tragédie de la gestion du coronavirus-Covid en France, a payé un lourd tribut à l’oligopole : arrestation matinale devant ses enfants suivie d’une garde à vue humiliante et puante de 60 heures. 

Heureusement, Virginie a pour mari Sébastien1, un homme qui force l’admiration, à l’instar d’un certain Christophe Dettinger qui a pris la défense et la protection d’une femme jetée à terre et frappée par des forces de l’ordre.

Là s’arrête la comparaison, car Maître Virginie de Araujo-Recchia et son époux connaissent les rouages du droit. 

À Lisbonne, récemment, lors d’une rencontre internationale, organisée par Ariane Bilheran et Vincent Pavan2 (Réinfo Liberté), elle a apporté une importante contribution sur le plus grand scandale en cours de la gestion manipulée du coronavirus-Covid.

En tant qu’avocate en France, elle a fait le point juridique des actions engagées pour le compte de particuliers et d’associations.

Actions aussi en tant qu’avocate internationale auprès de la Cour Pénale de l’opinion publique Le Grand Jury.

Extraits des points d’argumentation développés par l’avocate :

  • c’est un coup d’État mondial de l’oligopole d’organisations supranationales pour installer le contrôle social dans chaque nation ;
  • manipulation mentale de la population par diverses mesures non démocratiques ;
  • atteintes aux libertés publiques et droits fondamentaux inaliénables ;
  • actions contraires aux principes de la médecine ;
  • port des masques inutiles ;
  • confinements forcés ayant entraîné des suicides et des états dépressifs ;
  • des tests non fiables ;
  • obligation et incitation à des produits expérimentaux (substances géniques appelées vaccins) portant atteinte à la vie des citoyens ;
  • décès, souffrances dues aux nombreux effets indésirables menant à des handicaps ;
  • autres traitements à preuve scientifique d’efficacité ont été écartés et décrédibilisés par une collusion entre gouvernements, groupes pharmaceutiques et médias ;
  • les premiers décès suite aux injections de substances géniques Covid-19 auraient dû entraîner la cessation immédiate de l’expérimentation à grande échelle.

Me Virginie Araujo-Recchia se livre alors à la démonstration de la négation des lois non écrites de la nature humaine et de l’inversion de la hiérarchie des normes juridiques. 

Elle développe le principe du respect de la dignité humaine qui exige de sauvegarder la personne humaine contre toute forme d’asservissement ou de dégradation. La personne doit rester maître de son corps et d’elle-même.

« par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre de personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine. 

Le principe de la résistance à l’oppression appartient aux lois non écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale et suprême… il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression »

Et de rappeler Cicéron et Antigone, de Sophocle.

L’avocate énumère ensuite les très concrètes actions et leurs fondements juridiques à l’encontre de tous ceux qui ont organisé et orchestré la peur et la répression autour du Covid. Les juridictions judiciaires et administratives sont visées, jusqu’au Conseil constitutionnel. Un feu d’artifice de responsabilités attribuées !

Virginie de A-R poursuit :

« la sénatrice Éliane Assassi évoque un manque de transparence évident ».

Le logo du ministère des Solidarités et de la Santé était le même que celui de McKinsey pour les besoins de la gestion orientée du Covid. 

En fait, ce sont des copiés-collés qui ont été adaptés à chaque pays.

« D’après nos informations, des dizaines de consultants de McKinsey étaient à l’Agence de Santé publique. McKinsey y est couramment appelé La Firme. »

McKinsey est tentaculaire et relié aux laboratoires pharmaceutiques et certaines  fondations lucratives :  

« ce qui expliquerait  pourquoi certains États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles. Un article, paru dans Vox, explique comment McKinsey s’est introduit dans le monde de la Santé publique mondiale ».

Il est aussi question de United, de la Fondation Gates.

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. »

Au total, 43 minutes d’arguments indispensables à connaître pour le combat contre le totalitarisme qui se verrouille en France :


(1)

(2)

« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » 



France — Comment l’Électricité de France a été sabotée

[Source : lcp.fr]

« UN POISON », « UNE MONSTRUOSITÉ », « ABSURDE » : LE RÉQUISITOIRE DE TROIS ANCIENS PDG D’EDF CONTRE L’ARENH

Par Maxence Kagni

Auditionnés à l’Assemblée nationale par la commission d’enquête « visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France », trois anciens PDG d’EDF, Pierre Gadonneix (2004-2009), Henri Proglio (2009-2014) et Jean-Bernard Lévy (2014-2022), ont tiré à boulets rouges sur le mécanisme de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (Arenh) mis en place dans le cadre du marché européen de l’électricité. 

Ils n’ont pas de mots assez durs : une « pilule empoisonné » selon l’un, « surréaliste » pour l’autre, tandis que le troisième évoque un « mécanisme pernicieux ». Tour à tour auditionnés, ces derniers jours, par les députés de la commission d’enquête « visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France », trois anciens PDG d’EDF ont vivement mis en cause le mécanisme de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (Arenh), qui régente le marché de l’électricité en France.

Devant les députés, Pierre Gadonneix (2004-2009), Henri Proglio (2009-2014) et Jean-Bernard Lévy (2014-2022) ont dénoncé ce dispositif introduit par la loi « portant nouvelle organisation du marché de l’électricité » (NOME) de 2010, en vigueur depuis juillet 2011. Cette loi a permis l’ouverture à la concurrence du marché de la production d’électricité, conformément à une directive européenne. L’Arenh impose à EDF de vendre à ses concurrents son électricité nucléaire, à un prix fixé par avance, à savoir 42 euros le mégawatt-heure.

UNE LOI QUI A FAIT « LA FORTUNE DE TRADERS »

Auditionné le 8 décembre, Pierre Gadonneix a été le premier à remettre en cause un mécanisme qu’il juge « monstrueux » et « absurde » : « Quand j’en ai entendu parler, là j’ai hurlé », a déclaré l’ancien PDG d’EDF, en poste de 2004 à 2009. L’ancien patron de l’entreprise publique ne comprend pas pourquoi EDF doit « subventionner ses concurrents. »

C’EST QUELQUE CHOSE QU’ON N’AURAIT JAMAIS DÛ ACCEPTER.

PIERRE GADONNEIX

Une position semblable à celle de son successeur, Henri Proglio, qui était auditionné le mardi 13 décembre. « Le principe même pour un industriel d’accepter de céder sa propre production à ses concurrents virtuels, qui n’ont aucune obligation de production eux-mêmes, c’est quand même surréaliste », a déclaré l’ancien PDG. Pour lui, l’Arenh a « fait la fortune de traders ».

UN TARIF « FIXÉ PAR VOIE AUTORITAIRE »

Henri Proglio dénonce également le prix du mégawatt-heure, « fixé par voie autoritaire ». L’ancien patron dit s’être « battu sans relâche pour obtenir 42 euros » alors que les pouvoirs publics envisageaient un prix plus bas.

Un chiffre qui n’a pas évolué depuis 2011, note Jean-Bernard Lévy, qui vient de quitter ses fonction de PDG d’EDF. Lors de son audition, mercredi 14 décembre, il a qualifié l’Arenh de « poison ». Jean-Bernard Lévy regrette que le prix fixé soit « manifestement sous-évalué ». Pire encore, quand le prix du mégawatt-heure sur le marché de gros européen est passé sous les 42 euros, « dans les derniers mois de l’année 2015 », les concurrents d’EDF ont cessé de lui acheter de l’électricité, puisqu’ils pouvaient « acheter sur le marché à un prix inférieur ». Résultat, en 2016 et 2017, EDF s’est retrouvé « avec des recettes très inférieures » : « EDF est en somme une deuxième fois victime de l’Arenh », explique Jean-Bernard Lévy.

« Ce manque à gagner [a] contraint EDF à un plan de restructuration sévère qui, de fait, [a été] imposé par les agences de notation qui [ont dégradé] à trois reprises la dette d’EDF », ajoute encore Jean-Bernard Lévy. C’est à ce moment-là que l’État a décidé de venir en aide à l’entreprise, en renonçant « pour la première fois aux dividendes d’EDF payés cash » et en souscrivant « à hauteur de 3 milliards d’euros à une augmentation de capital ».

C’EST LA PREMIÈRE FOIS QUE LE CONTRIBUABLE VIENT SORTIR L’ENTREPRISE NATIONALE D’UNE SITUATION CRÉÉE PAR UNE MAUVAISE LOI.

JEAN-BERNARD LÉVY

Les problèmes financiers ont ensuite eu d’autres conséquences : « La situation [de l’entreprise] s’est dégradée parce que l’histoire de l’Arenh, cette pilule empoisonnée, a très sérieusement remis en cause le business model d’EDF, qui n’avait plus les moyens de faire des investissements non immédiatement rentables », a expliqué Pierre Gadonneix.

Jean-Bernard Lévy juge quant à lui que l’Arenh, « un mécanisme pernicieux », « va croissant sur l’endettement d’EDF au rythme d’environ 3 à 4 milliards d’euros chaque année ». Un chiffre corroboré par un rapport parlementaire de 2021. Résultat, l’ancien PDG affirme qu’il n’a pas eu « les moyens financiers » nécessaires pour investir sur les énergies renouvelables « sur le rythme [qu’il] aurait voulu ». 

Selon Jean-Bernard Lévy, le mécanisme a une autre conséquence néfaste : « Des concurrents d’EDF, l’Arenh fait des rentiers », explique l’ancien patron de l’entreprise, qui ajoute que « tous les risques sont portés par EDF ». Cela n’a pas incité les concurrents de l’entreprise publique française « à créer des capacités de production propres » : « L’Arenh a donc mis un frein au développement d’une capacité énergétique souveraine sur notre sol par les opérateurs alternatifs. »

« L’OBSESSION ALLEMANDE »

Pierre Gadonneix et Henri Proglio rendent l’Union européenne et l’Allemagne responsable de la situation. « Le pouvoir politique allemand était très conscient que la France avait un avantage particulier avec les prix de l’électricité bas », a par exemple déclaré Pierre Gadonneix, qui a dénoncé une « collusion bruxelloise et allemande » visant à protéger l’industrie allemande. Pour lui, « Bruxelles a introduit des pilules empoisonnées pour empêcher EDF de s’imposer sur le marché ». L’Arenh en serait une.

« Comment voulez-vous que ce pays qui a fondé sa richesse, son efficacité, sa crédibilité, sur son industrie accepte que la France dispose d’un outil compétitif aussi puissant qu’EDF à sa porte ? », a de son côté demandé Henri Proglio. 

L’OBSESSION ALLEMANDE DEPUIS 30 ANS C’EST LA DÉSINTÉGRATION D’EDF. ILS ONT RÉUSSI.

HENRI PROGLIO

La prédominance allemande a même eu d’autres conséquences négatives, selon Henri Proglio : « Le prix de marché a été indexé sur le gaz (…) parce que les Allemands utilisent le gaz. » « Toute [réglementation] européenne est une réglementation allemande », a estimé l’ancien PDG d’EDF devant les députés de la commission d’enquête, qui poursuivront leurs auditions en début d’année prochaine. 




Assaut du Capitole : Trump menacé de poursuites pénales

[Source : BV]

Par Frédéric Lassez

Bien entendu, comme les médias nous le répètent à longueur de journée, il ne faut pas croire aux théories complotistes. Qui imaginerait, en effet, que nos chers politiques, dont l’Histoire a sans cesse démontré la vertu et la probité sans failles, pourraient recourir à de basses manœuvres pour éliminer leurs adversaires ? Absurde.

La vie politique américaine en est un exemple édifiant. Avec une exception notable : Donald Trump. À croire ses opposants et les médias, ce trublion populiste ne cesse de mettre en danger la démocratie et ses valeurs. Par chance, il s’est toujours trouvé de zélés serviteurs de la vérité et de la justice pour faire barrage à ses sombres desseins. Le premier et le plus scandaleux étant son fricotage poutinien, en 2016, pour venir à bout de Hillary Clinton, son adversaire de l’époque à la présidentielle.

Le candidat républicain n’avait alors pas hésité à vendre son âme au diable russe mais, heureusement, le complot avait été dévoilé grâce à un rapport de 35 pages opportunément publié quelques jours avant l’investiture de Trump. Des « révélations » sur ses liens avec le Kremlin mais aussi des détails croustillants comprenant l’évocation d’une « sextape ». Afin d’exercer des pressions sur lui, les services secrets russes n’avaient pas hésité, d’après le dossier, à filmer clandestinement, en 2013, les parties de jambes en l’air du milliardaire avec des prostituées dans une chambre d’hôtel de Moscou. La bonne vieille technique du kompromat (« dossier compromettant »). Pas de doute, Trump n’était qu’une marionnette manipulée par Poutine.

Après plusieurs années d’enquête, le procureur spécial Robert Mueller était malheureusement arrivé à la conclusion inverse : rien ne permettait d’établir que des membres de la campagne de Trump avaient conspiré ou s’étaient coordonnés avec le gouvernement russe. Comme l’avait reconnu CNN en 2021, le dossier bidon à l’origine de ces « révélations » avait été fabriqué par un ancien agent du MI6 anglais, Christopher Steele, à l’instigation de membres du Parti démocrate. Ce « Russiagate » n’allait pas pour autant empêcher les médias, qui avaient copieusement truffé leurs colonnes de « fake news », de continuer par la suite à entretenir le soupçon et la légende noire de Trump.

Et il faut dire qu’ils ne manquent pas de matière car, depuis cette époque, Trump a bien du mal à quitter la rubrique des « affaires ». Parmi les dernières enquêtes en date, un « raid » du FBI dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, à la recherche de dossiers classifiés illégalement conservés, une autre sur ses déclarations de revenus ou encore la demande d’une enquête concernant sa gestion de la pandémie de coronavirus. Mais c’est surtout la dernière élection présidentielle de 2020, avec la controverse sur d’éventuelles fraudes lors du vote par correspondance et surtout l’assaut du Capitole par une foule en colère, qui a replacé Trump au centre de la vie judiciaire américaine.

La presse française s’en fait régulièrement l’écho afin d’entretenir la thèse (complotiste ?) de la menace fasciste persistante d’un bord à l’autre de l’Atlantique. Évoquant le travail de la commission chargée d’enquêter sur l’assaut du Capitole mise en place en janvier 2021, le journal Le Monde affirmait, récemment, que les « menaces les plus graves pour la démocratie américaine » provenaient d’une « d’une extrême droite suprémaciste dont Donald Trump [avait] banalisé les ressorts rhétoriques ». Les « milices » qui avaient assailli le Capitole en étaient la preuve.

Or, si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission qui, après dix-huit mois d’enquête, vient de recommander au ministère de la Justice américain d’engager des poursuites pénales contre lui. Car pour la commission, pas de doute, « la cause centrale du 6 janvier était un homme, l’ancien président Donald Trump ».

La vice-présidente de la commission, Liz Cheney, considérée comme une républicaine anti-Trump, ajoute ce commentaire : « Aucun homme qui se comporterait de cette façon à ce moment-là ne pourra plus jamais occuper un poste d’autorité dans notre pays. » « Il est inapte à toute fonction », complétait-elle.

De là à imaginer qu’il s’agissait du véritable objectif de cette enquête et à en déduire que les opposants à Trump sont prêts à tout pour l’empêcher de se présenter en 2024, il faudrait vraiment être complotiste !

[Voir aussi : La république américaine en danger de mort]




Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux

[Source : voltairenet.org]

America First Legal Foundation a obtenu, par voie juridique, des documents internes de l’agence fédérale de Santé publique, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta(([1] « AFL Releases More CDC Documents Revealing Bizarre “Equity” Agenda in COVID-19 Vaccination and Slides Discussing the Policy Objective of Injecting Children Even When “Parent Is Not Present” », America First Legal Foundation, December 15, 2022.)). Parmi ceux-ci, certains attestent que le CDC avait accès à un portail secret de Google chargé de centraliser les notifications de nouvelles s’écartant du discours officiel sur la Covid-19.

America First Legal Foundation est présidé par l’ancien speechwriter du président Donald Trump. Son conseil d’administration comprend de hauts responsables de la Maison-Blanche du président Trump. Son budget annuel est de plus de 6 millions de dollars. Cette fondation fait partie, selon le Washington Post(([2] « How a Trump-allied group fighting ‘anti-white bigotry’ beats Biden in court. America First Legal was founded last year by Stephen Miller, the architect of Trump’s immigrant family separation policy », Beth Reinhard & Josh Dawsey, Washington Post, December 12, 2022.)), de l’administration en attente de Donald Trump s’il gagne la prochaine élection présidentielle.

Le portail secret de Google est situé en Indonésie et géré par l’association islamiste de Fact Checking, Mafindo(([3] Site officiel de Mafindo.)). Il centralise la censure sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello. Cette association est financée par l’État indonésien.

Le choix des informations considérées « vraies » ou « fausses » est opéré par la Kaiser Family Foundation (KFF)(([4] Site officiel de la Kaiser Family Foundation.)). Contrairement à ce que son nom inique, KFF n’est pas une fondation familiale, mais une société californienne dont le directeur du Los Angeles Times est administrateur. Elle diffuse gratuitement aux journalistes des notes sur les discours hygénistes à tenir. On ignore qui finance cette organisation.

Ce dispositif a notamment permis d’imposer plusieurs allégations mensongères telles que :
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients.
→ Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux.

Cette campagne d’intoxication s’est particulièrement concentrée sur les adolescents noirs pour les convaincre de ces inepties.

Les documents obtenus par l’America First Legal Foundation attestent que l’ensemble de ce dispositif est contrôlé par l’administration Biden depuis la Maison-Blanche.





L’ECHIQUIER MONDIAL – G20, la fin d’un monde ?

[Source : RT France]

Xavier Moreau et John Laughland, chargé de conférences en sciences politiques, font le bilan du dernier sommet du G20 qui s’est tenu les 15 et 16 novembre à Bali.






Les sales enjeux financiers de la guerre en Ukraine

[Source : Ligne Droite]




Chine — Machine arrière sur la politique sanitaire pour éviter la révolution ?

[Source : Le Grenier de l’éco] (Il y a neuf jours)

« Dans cette vidéo je vous parle de ce qu’il se passe en Chine à savoir les plus grosses protestations depuis les affrontements de la place Tian’amen et le bain de sang répressif qui avait suivi. Potentiellement, ce qui se passe en Chine peut déstabiliser le pouvoir en place, car là, la population ne comprend plus pourquoi elle est à ce point maltraitée par ses propres dirigeants. »

Charles Sannat


[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Finalement contrairement à ce que titrait le Canard Enchaîné avec cet humour légendaire du palmipède, sur Xi Jinping qui ne ferait jamais « ma Chine arrière » et bien si !

Le président chinois est sans doute moins prétentieux que le grand timonier français et dispose finalement d’un sens de la survie.

C’est heureux pour le peuple chinois qui n’en pouvait plus des délires du 0 Covid.

La Chine annonce un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid-19 d’après le journal le Monde !

« La Chine abandonne son approche stricte de lutte contre le coronavirus après des manifestations historiques de colère à travers le pays. Alors que le quotidien de centaines de millions de Chinois continue d’être marqué par les contraintes sanitaires, la Chine a annoncé mercredi 7 décembre un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid, autorisant certains cas positifs à effectuer leur quarantaine à domicile.

Selon les nouvelles consignes « les personnes infectées asymptomatiques et les cas légers qui peuvent être isolés à domicile le seront de manière générale ». C’est un changement radical par rapport à la norme en vigueur depuis presque trois ans, qui exigeait que tout cas positif soit emmené dans un centre de quarantaine. Il ne sera plus nécessaire d’afficher un code de santé vert sur son téléphone pour accéder à la majorité des bâtiments publics.

Par ailleurs, le pays va « réduire davantage la portée des tests à l’acide nucléique et en réduire la fréquence », alors qu’il demandait jusque-là aux habitants de se tester plusieurs fois par semaine pour pouvoir accéder à tout lieu public. L’annonce de mercredi comprend aussi la limitation de l’ampleur du confinement aux étages d’appartements touchés et aux immeubles individuels, plutôt qu’à des quartiers.

Autre nouveauté : il sera désormais possible de voyager d’une province chinoise à l’autre sans avoir à présenter un test PCR négatif de moins de quarante-huit heures, et aucun test ne sera non plus exigé à l’arrivée. »

Il y a pourtant de plus en plus de cas de Covid en Chine… et ils ne manqueront pas de croître puisque nous en sommes déjà chez nous à la 9ème vague, alors les Chinois ont du retard de variants à rattraper !

Il suffira au gouvernement de Pékin de ne plus compter les cas et tout se passera bien.

Avec la coupe du monde retransmise en Chine où le parti faisait rajouter des masques informatiquement sur chaque visage, cela ne passait plus et la population en Chine comprenait bien que le monde entier vit désormais non masqué. La bonne nouvelle c’est que même en Chine la liberté avance. En Iran aussi.

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Source Le Monde.fr ici




L’anthropologue Jean-Dominique Michel parle du totalitarisme et de l’influence de Bill Gates sur les États

[Source : Le Courrier des Stratèges]

Interview de Jean-Dominique Michel sur la folie covidienne… L’occasion d’évoquer de nombreux sujets, comme le rôle de Bill Gates ou de la Chine dans la définition de la politique occidentale.




La radiotélévision suisse RTS parle pour la première fois des dommages causés par les vaccins ?!

[Source : Kla.tv]

Le lundi 14 novembre 2022, a eu lieu en Suisse une conférence de presse qui devait être le point de départ d’un bilan de ce qui s’est passé lors de la crise du Covid.
L’avocat Philipp Kruse a annoncé que lui et ses collaborateurs juridiques avaient déposé le 14 juillet 2022 une plainte pénale de 300 pages contre Swissmedic, l’autorité suisse d’autorisation et de surveillance des produits thérapeutiques, et contre cinq médecins vaccinateurs. Cette plainte pénale a été présentée au public lors de la conférence de presse. A cette occasion, des victimes de la vaccination ont fait part de leurs souffrances et des experts internationaux ont évoqué les problèmes et questions en suspens concernant la « vaccination ».

Le soir du 14 novembre, même la radiotélévision suisse RTS a rendu compte de la conférence de presse de manière étonnamment objective dans l’édition principale du journal télévisé. Les personnes concernées et les avocats qui les représentaient ont pu s’exprimer en détail à la télévision suisse, sans que rien ne soit immédiatement objecté à leurs déclarations.
Thi Mai-Trang Jost est une victime de la vaccination et elle est représentée par la plainte pénale. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant et se plaint de fortes conséquences qu’elle attribue à la « vaccination » : « Avant, j’étais vivante, je pouvais marcher, peindre. Aujourd’hui, j’ai besoin d’aide. » Elle ne peut plus marcher ni se tenir debout correctement, ses articulations sont enflées et tout son corps lui fait mal. Elle souhaite maintenant sensibiliser le public aux effets secondaires des vaccins et le réveiller.
Concernant la plainte pénale, Mme Jost déclare que son objectif est que Swissmedic assume sa responsabilité. Elle reproche à l’autorité d’avoir sciemment mis des personnes dans cette situation.

Au journal télévisé, on pose alors à Daniel Theis, rédacteur scientifique de la RTS, la question légitime de savoir ce que la vaccination a apporté et si les avantages justifient les effets secondaires. Il a répondu que les données avaient montré que la vaccination Covid était la solution pour sortir de la crise, mais qu’il manquait des données pour tirer d’autres conclusions, notamment sur l’utilité des rappels pour les plus jeunes. Au vu des centaines de milliers de déclarations de dommages liés à la vaccination dans le monde, cette réponse semble quelque peu étrange.
On peut également se demander pourquoi la RTS n’a pas posé bien plus tôt de telles questions critiques au Conseil fédéral suisse et à ses offices compétents, ainsi qu’à la Task Force Covid-19. Au lieu de cela, la RTS a toujours été, avec la plupart des médias de masse, le porte-parole de la politique du Covid avec ses mesures disproportionnées et sa propagande en faveur de la vaccination. On attend avec impatience de voir comment le paysage médiatique va évoluer et se résoudre à s’excuser auprès de la population pour les dommages causés.

Le lien suivant vous permet de visionner la conférence de presse d’environ deux heures dans son intégralité
https://www.youtube.com/watch?v=AJCGCe8bkis

Et le lien suivant permet de télécharger la plainte pénale complète et d’autres documents à ce sujet :
https://plaintecorona.ch/ [dont https://plaintecorona.ch/plainte-penale/]

de brm.

Sources / Liens :

Dokumente rund um die Strafanzeige gegen Swissmedic
https://coronaanzeige.ch/strafanzeige/

Medienkonferenz: Strafanzeige gegen Swissmedic
https://www.youtube.com/watch?v=AJCGCe8bkis

Tagesschau des Schweizer Fernsehens SRF vom 14.11.2022
https://www.srf.ch/news/schweiz/folgen-der-covid-impfung-darum-geht-es-bei-der-strafanzeige-gegen-swissmedic

Schweizer Hausarzt: „Das hat es in der Geschichte der Medizin noch nie gegeben“
https://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/204606/

Rechtsanwalt Kruse fordert Strafverfahren gegen Swissmedic
https://transition-news.org/medienkonferenz-in-zurich-prasentation-der-strafanzeige-gegen-swissmedic

Brisant: Das Schweizer Fernsehen berichtet erstmals offen über Impfschäden!
https://www.legitim.ch/post/brisant-das-schweizer-fernsehen-berichtet-erstmals-offen-%C3%BCber-impfsch%C3%A4den

Swissmedic könnte ein Fall für die Staatsanwaltschaft werden
https://transition-news.org/david-steigt-gegen-goliath-in-den-ring-16105




« Covid-19 : Fraudes et corruption » — Une arnaque au comptage

[Source : Kairos Presse]

Conférence de Pierre Chaillot, statisticien, auteur de la chaîne « Décoder l’éco »

[Voir aussi :
Le mythe de la contamination épidémique]




Hospitalisation, décès et vaccination anti-covid : « Le ministère de la Santé ne dit rien »




Zelensky piégé par Moscou et Washington

[Source : voltairenet.org]

L’évolution du rapport de forces sur le champ de bataille ukrainien et l’épisode tragique du G20 de Bali marquent un retournement de situation. Si les Occidentaux croient toujours vaincre prochainement Moscou, les États-Unis ont déjà débuté des négociations secrètes avec la Russie. Ils s’apprêtent à lâcher l’Ukraine et à faire porter le chapeau au seul Volodymyr Zelensky. Comme en Afghanistan, le réveil sera brutal.

Par Thierry Meyssan

Le président ukrainien s’adressant au G20.

Discutant , il y a une dizaine de jours à Bruxelles, avec un chef de file des députés européens que l’on dit ouvert d’esprit, je l’écoutais me dire que le conflit ukrainien était certes complexe, mais que la chose la plus évidente était que la Russie avait envahi ce pays. Je lui répondis en observant que le droit international faisait obligation à l’Allemagne, à la France et à la Russie d’appliquer la résolution 2202, ce que Moscou, seul, avait fait. Je poursuivais en lui rappelant la responsabilité de protéger les populations en cas de défaillance de leur propre gouvernement. Il me coupa la parole et me demanda : « Si mon gouvernement se plaint du sort de ses ressortissants en Russie et attaque ce pays, vous trouverez cela normal ? ». Oui, lui répondis-je, si vous avez une résolution du Conseil de sécurité. En avez-vous une ? Décontenancé, il changea de sujet. Trois fois, je lui demandais si nous pouvions aborder la question des « nationalistes intégraux » ukrainiens. Trois fois, il refusa. Nous nous séparâmes avec courtoisie.

La question de la responsabilité de protéger aurait dû être nuancée. Ce principe n’autorise pas à une guerre, mais à une opération de police, menée avec des moyens militaires. C’est pourquoi le Kremlin veille à ne pas désigner ce conflit comme une « guerre », mais comme une « opération militaire spéciale ». Les deux manières de parler désignent les mêmes faits, mais « opération militaire spéciale » limite le conflit. Dès l’entrée de ses troupes en Ukraine, le président russe, Vladimir Poutine, a précisé qu’il n’entendait pas annexer ce territoire, mais uniquement libérer les populations persécutées par les « nazis » ukrainiens. Dans un long article précédent, j’ai indiqué que, si l’expression « nazis » est juste au sens historique, elle ne correspond pas à la manière dont ces gens se désignent. Ils utilisent l’expression : « nationalistes intégraux ». Rappelons que l’Ukraine est le seul État au monde à disposer d’une Constitution explicitement raciste.

Le fait d’observer que le droit international donne raison à la Russie ne signifie pas qu’on lui donne un blanc-seing. Chacun doit critiquer la manière dont elle applique le droit. Les Occidentaux trouvent toujours la Russie « asiatique », « sauvage » et « brutale », même s’ils se sont montrés eux-mêmes bien plus destructeurs en de nombreuses occasions.

RENVERSEMENT DE SITUATION

Les points de vue russe et occidentaux ayant été précisés, force est de constater que plusieurs évènements ont suscité une évolution occidentale.
 Nous entrons dans l’hiver, une saison rude en Europe centrale. La population russe a conscience, depuis l’invasion napoléonienne, qu’elle ne peut pas défendre un pays aussi grand. Aussi a-t-elle appris à utiliser précisément l’immensité de son territoire et les saisons pour vaincre ceux qui l’attaquaient. Avec l’hiver, le front est figé pour plusieurs mois. Chacun peut constater que, contrairement au discours selon lequel les Russes sont vaincus, l’armée russe a libéré le Donbass et une partie de la Novorussia.
 Avant que l’hiver ne tombe, le Kremlin a replié la population libérée qui habitait au Nord du Dniepr, puis a retiré son armée, abandonnant la partie de Kershon située sur la rive Nord du Dniepr. Pour la première fois, une frontière naturelle, le fleuve Dniepr, marque une frontière entre les territoires contrôlés par Kiev et ceux contrôlés par Moscou. Or, durant l’entre-deux-guerres, c’est l’absence de frontières naturelles qui a fait tomber tous les pouvoirs successifs en Ukraine. Désormais, la Russie est en position de tenir.
 Depuis le début du conflit, l’Ukraine peut compter sur l’aide illimitée des États-Unis et de leurs alliés. Or, les élections de mi-mandat aux USA ont enlevé la majorité de l’administration Biden à la Chambre des Représentants. Désormais, le soutien de Washington sera limité. Identiquement, l’Union européenne trouve aussi ses limites. Ses populations ne comprennent pas la hausse des coûts de l’énergie, la fermeture de certaines usines et l’impossibilité de se chauffer normalement.
 Enfin, dans certains cercles de pouvoir, après avoir admiré les talents de communiquant de l’acteur Volodymyr Zelensky, on commence à s’interroger sur les rumeurs concernant sa soudaine fortune. En huit mois de guerre, il serait devenu milliardaire. L’imputation est invérifiable, mais le scandale des Pandora Papers (2021), la rend crédible. Est-il nécessaire de se saigner aux quatre veines pour ne pas voir arriver les dons en Ukraine, mais disparaître dans des sociétés off shore ?

Les Anglo-Saxons (c’est-à-dire Londres et Washington) souhaitaient transformer le G20 de Bali en sommet anti-Russe. Ils avaient d’abord fait pression pour que Moscou soit exclu du Groupe comme ils y sont parvenus au G8. Mais si la Russie avait été absente, la Chine, de très loin le premier exportateur mondial, ne serait pas venue. Aussi, c’est le Français Emmanuel Macron qui a été chargé de convaincre les autres invités de signer une déclaration sanglante contre la Russie. Durant deux jours, les agences de presse occidentales ont assuré que l’affaire était dans le sac. Mais, en définitive, la déclaration finale, si elle résume le point de vue occidental, ferme le débat en ces mots : « Il y avait d’autres points de vue et différentes évaluations de la situation et des sanctions. Reconnaissant que le G20 n’est pas le forum pour résoudre les problèmes de sécurité, nous savons que les problèmes de sécurité peuvent avoir des conséquences importantes pour l’économie mondiale ». En d’autres termes, pour la première fois, les Occidentaux ne sont pas parvenus à imposer leur vision du monde au reste de la planète.

Le piège

Pire : les Occidentaux ont imposé une intervention vidéo de Volodymyr Zelensky comme ils l’avaient fait, le 24 août et le 27 septembre, au Conseil de sécurité des Nations unies. Or, alors que la Russie avait vainement tenté de s’y opposer en septembre à New York, elle l’a accepté en novembre à Bali. Au Conseil de sécurité, la France, qui détenait la présidence, avait violé le règlement intérieur pour donner la parole à un chef d’État par vidéo. Au contraire, au G20, l’Indonésie tenait une position absolument neutre et ne risquait pas d’accepter de lui donner la parole sans autorisation russe. Il s’agissait à l’évidence d’un piège. Le président Zelensky, qui ne connaît pas le fonctionnement de ces instances, y est tombé.

Après avoir caricaturé l’action de Moscou, il a appelé à l’exclure du… « G19 ». En d’autres termes, le petit Ukrainien a donné, au nom des Anglo-Saxons, un ordre aux chefs d’État, Premiers ministres et ministres des Affaires étrangères des 20 plus grandes puissances mondiales et n’a pas été entendu. En réalité, le litige entre ces dirigeants ne portait pas sur l’Ukraine, mais sur leur soumission ou pas à l’« ordre mondial américain ». Tous les participants latino-américains, africains et quatre asiatiques ont dit que cette domination était finie ; que désormais le monde est multipolaire.

Les Occidentaux ont dû sentir le sol trembler sous leurs pieds. Ils n’ont pas été les seuls. Volodymyr Zelensky a vu, pour la première fois, que ses parrains, jusqu’ici maîtres absolus du monde, le laissaient tomber sans hésiter pour maintenir quelques temps encore leur position.

Il est probable que Washington a été de mèche avec Moscou. Les États-Unis constatent qu’à l’échelle du monde, les choses tournent à leur désavantage. Ils n’auront aucune hésitation à faire porter le chapeau au régime ukrainien. William Burns, directeur de la CIA et opposant à la ligne straussienne, a déjà rencontré Sergueï Narychkine, le directeur du SVR, en Turquie. Ces entretiens font suite à ceux du straussien Jacob Sullivan, le conseiller national de Sécurité US, avec plusieurs officiels russes. Or, Washington n’a rien à négocier en Ukraine. Deux mois avant le conflit en Ukraine, j’expliquais que le fond du problème n’avait aucun rapport avec ce pays, pas plus qu’avec l’Otan. Il porte essentiellement sur la fin du monde unipolaire.

Aussi ne faut-il pas s’étonner que, quelques jours après la gifle du G20, Volodymyr Zelensky ait contredit, pour la première fois en public, ses parrains états-uniens. Il a accusé la Russie d’avoir lancé un missile sur la Pologne et a maintenu ses propos lorsque le Pentagone a indiqué qu’il avait tort, c’était un contre-missile ukrainien. Il s’agissait pour lui de continuer à agir dans la droite ligne du Traité de Varsovie, conclu le 22 avril 1920, par les nationalistes intégraux de Symon Petlioura avec le régime de Piłsudski ; de pousser la Pologne à entrer en guerre contre la Russie. C’est la seconde fois que Washington faisait sonner une clochette à ses oreilles. Il ne l’a pas entendue.

Probablement, ces contradictions ne vont plus se manifester en public. Les positions occidentales vont s’assouplir. L’Ukraine est prévenue : dans les prochains mois, elle va devoir négocier avec la Russie. Le président Zelensky peut prévoir dès à présent sa fuite car ses compatriotes meurtris ne lui pardonneront pas de les avoir dupés.




Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

[Source : geopolitique-profonde.com]

L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

  • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
  • De favoriser leur taux de croissance,
  • D’augmenter leur rendement,
  • D’améliorer leur teneur en nutriments.

Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

« Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

« La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

« Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

L’utilisation des herbicides en augmentation constante

Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

Culture pulvérisée aux herbicides

La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

  • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
  • À l’obésité,
  • À la dépression,
  • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
  • À l’autisme,
  • À la maladie d’Alzheimer,
  • À la maladie de Parkinson,
  • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
  • À la sclérose en plaques, au cancer
  • À l’infertilité
  • Aux anomalies du développement.

Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

« Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

« Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




Guerre des monnaies, guerre des Empires : USA contre Chine

[Source : Institut des Libertés]

Dans l’émission de cette semaine, revenons sur la guerre des monnaies entre le Dollar et le Renminbi qui se livrent une guerre non seulement monétaire, mais aussi politique. L’usage de la monnaie témoigne de la puissance dominante des États qui sont ou non capables d’imposer leurs règles.
Il y a quelques années, les importations de la Chine en provenance de Russie s’élevaient à environ 4 milliards de dollars par mois, principalement en renminbi. Depuis février 2022, le plus grand exportateur de matières premières du monde (la Russie) et le plus grand importateur de matières premières du monde (la Chine) sont passés du dollar US au renminbi. Ce phénomène est très important, car dans une certaine mesure il équivaut à un changement de système d’exploitation.

Aujourd’hui, une des grandes questions que les investisseurs doivent se poser est de savoir si dans deux, cinq ou dix ans une plus grande partie des échanges sera en renminbi. Et si davantage de biens vendus par la Chine au reste du monde sont facturés en renminbi plutôt qu’en dollars américains.




Effondrement de l’Union Européenne

[Source : Trouble Fait]

Rarement dans l’histoire on aura vu un suicide collectif de cette ampleur et on pourrait admirer sa brillante exécution, s’il n’était pas involontaire. Un système douteux, des dirigeants débiles, de l’ego mal placé, une irresponsabilité générale… Tous ces ingrédients ont conduit à pourrir l’approvisionnement énergétique de l’Europe et à multiplier le prix de celle qui nous reste par 10, pour le plus grand plaisir des intermédiaires.

Les conséquences économiques en cascade réveillent le risque d’un éclatement de l’Euro plus concret que jamais. Alors nos gestionnaires de l’année, arborant des visages pâles et des caleçons marrons, retirent discrètement leurs sanctions en espérant désenclencher le bouton d’autodestruction, sur lequel ils ont si vaillamment tambouriné ces derniers mois.

00:00 Intro
00:53 L’effondrement économique de l’UE
14:28 Des critiques contre les sanctions
17:53 La disparition des sanctions
29:42 L’inévitable récession de 2023
37:00 Le risque d’éclatement de l’Euro
49:07 Conclusion.


[Source : Alexandre Goldfarb]




Les politiques « sanitaires » ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel.

La présentation qui suit est de la bombe !

Elle émane d’un mathématicien-chercheur de haut vol, mon excellent collègue du Conseil scientifique indépendant, Vincent Pavan. Depuis les débuts de cette « crise sanitaire », Vincent démonte impitoyablement toutes les falsifications mathématiques dont les instances systémiquement corrompues font un usage hélas aujourd’hui généralisé.

En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :

a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public -privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…

b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98 % des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.

Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique [NDLR qui servent à fabriquer l’explosif nitroglycérine] !

Il suffit donc que quelques doctes phraseurs mathématiques pondent des formules absconses pour que les sots se mettent à faire des révérences à grands coups de chapeau comme les courtisans à Versailles !

J’ai souvenir d’un échange avec le Pr Didier Pittet avant un bref débat télévisé :

« Je vous donne raison, me concéda-t-il, sur votre critique des modélisations… à l’exception toutefois de celles du Pr Ferguson, qui sont remarquables… »

Le pauvre homme ! Il se trouve que ce sont les plus frauduleuses de toutes ! Il en est ainsi : étant parfaitement incapable (je ne le suis bien sûr pas plus que lui) d’y comprendre que pouic, l’apologiste intéressé de Macron et de sa politique indigne trouvait cette modélisation maousse.

C’est dire s’il est précieux de voir soudain l’intervention d’un mathématicien-chercheur qui, lui, peut décortiquer, comprendre, et évaluer la pertinence des modélisations et des équations proposées.

Le bilan est sévère : on savait, à force d’échecs et de prédictions lamentablement erronées, que l’art de la prévision épidémiologique était fortement dévoyé au sein de la science corrompue.

Seuls quelques rares spécialistes intègres (comme Laurent Toubiana en France, qui annonça à l’avance avec une stupéfiante précision la courbe épidémique de mars-avril 2020) tirent leur épingle du jeu.

Les autres, les Ferguson, Flahault, Cauchemez, Fontanet et autres, sont bien trop compromis avec les intérêts véreux pour proposer autre chose que de fraudes grossières.

Leurs modélisations n’ont plus rien à voir depuis longtemps avec la science, mais avec un pur travail de propagande. Ferguson et Flahault passent leur temps à annoncer les scénarios les plus alarmistes, systématiquement faux, avec pour priorité, semble-t-il, de faite paniquer la population de sorte à pouvoir réclamer à tout prix, mais contre toute bonne science des mesures abusives et destructrices. Ils ont pour particularité complémentaire d’être des multirécidivistes de ce type d’inconduite scientifique grave.

Dans tous les domaines, quand des « experts » se trompent et créent des dommages majeurs à répétition, on les vire !

Pas dans celui-ci : malgré leur bilan catastrophique, on continue de prêter crédit aux élucubrations des deux tristes sires. S’il n’en allait que de questions purement intellectuelles, on s’en taperait le coquillon. Mais las ! le problème est que leur parole entraîne des conséquences immanquablement graves et terriblement destructrices sur la population, au mépris de toute science et de toute éthique en santé publique (laquelle prohibe de tels comportements).

Cauchemez et Fontanet, eux, ont produit de la science frauduleuse pour répondre à la demande du politique. Emmanuel Macron ayant besoin de justifier l’injustifiable (imposer une politique prétendument sanitaire en réalité terroriste), il commanda aux deux compères des « études » pour montrer le bien-fondé de cette ignominie. Lesquels compères s’exécutèrent.

Tout ceci, hélas, donne sens à l’appel solennel du British Medical Journal au mois de novembre 2020 :

« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également.

La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent. »

Cette politisation, répression et corruption de la science sont cela même à quoi se livrent les Ferguson, Flahault, Pittet, Hurst, Trono Cauchemez, Fontanet, Delfraissy et tant d’autres, à vrai dire le milieu tout entier qui s’est laissé curariser par les intérêts corrompus !

Si nous n’avions Vincent Pavan pour plonger au cœur de leurs falsifications, nous aurions mis des années à les repérer. En ce qui le concerne, il aura fallu 9 mois d’effort pour « craquer le code » de l’escroquerie et la révéler.

Faut-il rappeler au passage que Sébastien Cauchemez sévit à l’Institut Pasteur, et Arnaud Fontanet au Collège de France ?! Des milieux qui eux aussi ont versé dans l’indignité — tout comme la plupart des universités et autres académies de médecine.

Pour ces tristes sires, comme pour Ferguson et Flahault, la révocation est la seule issue qui fasse sens.

Au reste, les colloques de Lisbonne et Marseille ont confirmé (si besoin était hélas) l’état actuel de pourriture du monde de la production scientifique.

Lorsque l’on tolère que les « plus prestigieuses revues » publient crapulerie sur crapulerie (le NEJM comme le Lancet et le JAMA nous offrent un festival de poissons pourris, littéralement, depuis trois ans) il n’y a guère à espérer. Surtout quand ensuite des potentats immoraux comme Flahault, le Conseil scientifique en France, la « Task force » en Suisse et tant d’autres font la promotion active du poisson pourri pour maltraiter et empoisonner un peu plus les masses.

Au moins Jean-François Delfraissy en France, certes avec un à-propos douteux, admet-il depuis qu’il n’est plus en fonction avoir lourdement failli, plaidant que le Conseil scientifique avait été « instrumentalisé » par le gouvernement.

Ça ne nous avait pas échappé, mais on voir mal ce qui l’obligeait malgré tout à se compromettre dans la pire politique sanitaire de l’époque moderne — les scandales sont en cours d’émergence et emporteront beaucoup de « sommités compromises » au passage.

À défaut donc de trouver un minimum d’honnêteté intellectuelle et de sens des responsabilités au sein des instances de santé ou chez les privilégiés qui s’y ébattent tout en faisant subir des horreurs à la populace, il reste la voie de la justice, que Vincent Pavan a saisie. Le parquet ne donne pas a priori des gages d’indépendance et de sens de la justice exagérés, les exemples de passe-droits et d’inégalités de traitement sont trop nombreux pour nous laisser grande illusion. Alors que la plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence, etc. contre Cauchemez et Fontanet avait été classée, elle a été relancée depuis par la constitution en partie civile des plaignants.

L’affaire est trop grave pour que nous lâchions.

Si nous voulons que justice soit rendue et que les champs de la recherche scientifique et de la santé publique soient assainis, nous devons dégager les acteurs ou les complices de la fraude, qui ont œuvré au service d’intérêts corrompus en trahissant la population.

Nous y veillerons.


Covid-19 : Corruption mathématique et épidémiologique

Par Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université Aix-Marseille



Retour sur la grippe H1N1 de 2009

Il est nécessaire de commencer par un rappel de la fraude mathématique lors de la fausse épidémie de H1N1 en 2009-2010, et qui a servi de répétition générale pour le Covid-19.

En 2009, l’OMS déclare l’état de pandémie en se basant sur les simulations mathématiques de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, ce qui conduit à la promotion de faux médicaments comme ce fut le cas du Tamiflu (vendu pour des milliards d’Euros de commandes par la société Roche alors que celle-ci savait pertinemment que le remède n’était pas indiqué) et à l’obsession d’imposer une vaccination, hâtive et insuffisamment testée, à large échelle.

À l’époque, la mauvaise gestion de la crise H1N1 avait donné lieu à un certain nombre d’enquêtes parlementaires, en France et dans d’autres pays. Ces enquêtes avaient abouti à des conclusions qui permettaient de comprendre ce qu’il fallait éviter à tout prix de reproduire à l’avenir.

Or ces avertissements n’ont pas été suivis en 2020, dont notamment les points particuliers d’une enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des mathématiques en situation épidémique. Ce rapport dressait un état lucide des erreurs à ne plus commettre en mettant en lumière les points suivants, je cite :

« L’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante. »

« Les auteurs des modèles n’ont pas envisagé l’hypothèse selon laquelle le virus H1N1 pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière. »

« Les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur effective. »

• Les autorités de santé et les experts devaient pourtant déjà savoir en 2010 que les prédictions épidémiologistes ne valent rien, car il est épistémologiquement impossible d’appliquer au vivant des modèles mathématiques.

Après la décision d’interroger de manière critique le choix universitaire, les autorités nationales de santé font l’inverse en engageant en 2013, au sein de l’Institut Pasteur, Simon Cauchemez, un ancien élève de N. Ferguson dont la mission est de créer un Institut d’épidémiologie mathématique.

Le loup est ainsi introduit dans la bergerie !

Les mathématiques durant le covid19

C’est à nouveau l’Imperial College qui sort en mars 2020 le Rapport 9 basé sur les simulations de Neil Ferguson et qui prédit 500 000 morts en Angleterre et 2 millions de morts aux USA si rien n’est fait. Or la seule mesure proposée dans ce rapport est le confinement en attendant le vaccin. Neil Ferguson annonce que ce vaccin pourrait mettre 18 mois à arriver(([1] D’habitude il faut 10 ans pour développer un vaccin.)) et que des mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque, le couvre-feu, etc. sont des mesures à mettre en place en attendant qu’il soit disponible.

  • Ce Rapport 9 qui est un rapport interne n’a jamais été relu par les pairs et certainement pas les simulations qui y ont été faites.
  • Ce Rapport 9, qui n’est pas un article scientifique va servir à dicter la politique mondiale et celle de l’OMS !

D’où proviennent les simulations de Neil Ferguson ? Elles sont issues d’un code essentiellement non reproductible avec plus de 930 paramètres.

Dans un premier temps N. Ferguson refusa de transmettre le code utilisé pour la simulation. Il le fera finalement six mois plus tard sous la pression des médias anglais et de la justice.

Il ne livrera toutefois que des parties du code qui ne sont pas les originels. Les ingénieurs en mathématique ne pourront rien faire ressortir de ce code à 930 paramètres.

Il faut savoir que les modèles en physique mathématique n’utilisent pas plus de deux ou trois paramètres dans une équation. Pour vous donner un exemple, l’équation de Boltzmann qui explique toute la mathématique des fluides et toute la thermodynamique, et qui est celle avec laquelle je travaille, ne comporte qu’un seul paramètre.

En mathématique, les conclusions ne valent que ce que valent les hypothèses et il est impossible de prendre au sérieux un code qui comprend 930 paramètres, sachant qu’il faut des milliards d’années pour tester uniquement deux valeurs par paramètre.

Ces simulations sont arbitraires et n’ont rien à voir avec la réalité.

Neil Ferguson va transmettre ce rapport à l’OMS ainsi qu’aux gouvernements occidentaux.

En France, c’est Simon Cauchemez, nommé en 2013 pour créer l’Institut d’épidémiologie mathématique au sein de l’Institut Pasteur, qui sera nommé au Conseil scientifique(([2] Le Conseil scientifique étant l’organe qui conseille le président E. Macron dès le début de la crise.)). Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le président déclare le confinement.

Le rapport 9 indique clairement que les INP (interventions non pharmaceutiques) sont la seule solution en attendant les vaccins.

Exemple de INP : confinements, couvre-feu, fermeture des écoles, commerces et/ou restaurants, mesures de « distanciation », masques.

Ces mesures sont reconnues dans la littérature comme n’ayant aucune utilité avérée et donc à éviter, les lourds dommages qu’elles occasionnent étant en revanche certains.

Les meilleures équipes et épidémiologistes (Ioannidis et Bhattacharya à Stanford, Kulldorff à Harvard, S. Gupta à Oxford, Risch à Yale, Hennegan au Center for Evidence-Based Medicine, Toubiana et Perronne en France) ne cesseront de dénoncer la destructivité et le caractère antiscientifique de leur imposition.

Évaluant l’impact des INP en août 2022, Schippers, Ioannidis et Joffe (in Frontiers in Pubvlic Health) confirmeront l’absence d’utilité des INP selon les meilleures méta-analyses, alors que les études concluant l’inverse sont d’un très faible niveau de preuve scientifique et fortement biaisées. Les auteurs soulignent les effets catastrophiques des INP pour la population, avec l’émergence d’une pensée unique ne supportant plus la contradiction et s’imposant par des processus de manipulation psychologique exploitant une mauvaise compréhension de la science. Il en aura résulté la stigmatisation de catégories entières de la population (réticentes aux mesures agressives, avec une aggravation systémique des inégalités notamment socio-économiques, éducatives, ethniques et de genre, conduisant à un véritable traumatisme collectif. Les auteurs soulignent que les processus de gestion des urgences (GU) et d’intelligence collective ont été lourdement défaillants.

Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite pourtant les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.

Dans la stratégie du Rapport 9, appliqué dès mars 2020, ressort un point très important :

« Les confinements ont vocation à être répétés dans le temps jusqu’à la mise à disposition des vaccins ».

• Dès lors, les intéressés savent en mars 2020 qu’il y aura des confinements successifs, à l’encontre de toutes les recommandations et connaissances en santé publique. Le rôle du Conseil Scientifique sera de prouver l’efficacité du premier confinement et des mesures afin de convaincre la population de leur maintien dans la durée.

• Le narratif des autorités ne cessera de parler de « diminution de l’épidémie » après chaque mesure imposée et inversement, afin de maintenir la population dans la croyance en l’efficacité des mesures. L’enjeu est de taille puisque les mesures de confinement, de distanciation et de couvre-feu ont coûté 10 points du PIB soit 250 milliards d’euros. Ceci sans compter le bilan humain, puisque la fermeture de lieux tels que les restaurants a poussé au suicide certains propriétaires en situation de précarité. Il était alors indispensable pour les autorités de maintenir « coûte que coûte » le narratif d’efficacité des mesures.

Pour ce faire, Couchemez et Fontanet, tous les deux membres du Conseil scientifique vont publier en ligne en mai 2020, dans la revue Science, un article censé démontrer l’efficacité des mesures de confinement.

Cet article publié sous le titre « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » est l’une des plus grandes fraudes scientifiques du XXIe siècle. Cela est d’autant plus grave puisque cet article a eu une portée politique mondiale.

De quelle manière l’étude sur l’efficacité du confinement a été truquée

Depuis le début du XXe siècle, on assiste à une succession d’articles qui sont des fraudes scientifiques en particulier dans le domaine de l’épidémiologie.

En 1916, Ronald Ross a ainsi modélisé la transmission du paludisme par les moustiques. Il en a tiré le concept R0 (nombre de cas secondaires), qui est censé être un paramètre permettant de contrôler la diffusion des épidémies. Ce modèle se fondait sur l’idée que si on souhaitait lutter contre la malaria et le paludisme, on n’avait pas besoin de tuer tous les moustiques, car en deçà d’un certain seuil, la diffusion du paludisme disparaissait.

Le modèle de Ross a été utilisé dans le cadre d’un grand programme d’éradication de la malaria entre 1955 et 1969 dans les pays africains et on en a conclu que :

  • Le modèle n’a rien à voir avec la réalité.
  • L’épidémiologie mathématique ne fait pas sens.

Un autre article va servir toute l’épidémiologie mathématique, et en particulier celle qui va être utilisée en 2020, en France, par le Conseil scientifique. Il s’agit de l’article de Kermack & Mc Kendrick, publié en 1927 et portant sur la transmission des maladies respiratoires contagieuses.

De cet article vont être tirés deux indicateurs fondamentaux qui ont pollué le débat médiatique en 2020.

Premier indicateur : Le nombre basic de reproduction (nombre de cas secondaires qu’une personne est capable de contaminer).

Second indicateur : La théorie de l’immunité collective (si plus de 60 % de la population est immunisée, le virus n’est plus contagieux).

Cette théorie est injustifiable d’un point de vue mathématique. Néanmoins elle est utilisée aujourd’hui pour justifier la vaccination et en particulier celle des enfants.

Le narratif consistant à dire que si plus de 70 % des gens sont immunisés de façon artificielle ou naturelle, le virus cessera de se propager PARCE QUE les équations mathématiques le disent.

• C’est sur la base de ces théories frauduleuses que les décisions politiques en santé publique sont prises avec des effets catastrophiques.

L’article publié dans la revue Science et la justification du confinement

L’article « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » a été publié en ligne le 11 mai 2020 alors qu’il a été soumis le 20 avril 2020. Il se passe trois semaines entre la remise du papier à la revue et sa mise en ligne.

Ceci est pour le moins étonnant puisqu’il faut à un mathématicien honnête entre un et deux ans pour écrire un article et tout autant pour une relecture par les pairs.

–  problème de rapidité avec laquelle l’article a été écrit ;

–  problème de rapidité avec laquelle il a été accepté pour publication (on en déduit qu’il n’a pas été relu par les pairs et que sa publication a été négociée en urgence avec l’éditeur).

Le 21 avril 2020, tous les médias français relayent ce pré-print comme étant la référence permettant de prouver l’efficacité du confinement, alors même que le confinement n’est pas terminé.

Les auteurs vont transmettre une partie des codes qui leur ont permis de réaliser la simulation permettant de démontrer l’efficacité du confinement. Cependant il s’avère que ces codes n’ont pas été écrits par leurs auteurs.

En effet, quand on regarde le profil des auteurs et que l’on voit le codage, on s’aperçoit de l’impossibilité pour ces auteurs d’avoir écrit ce code, et ce pour la bonne raison que ce qui est codé ne correspond pas à ce qui ressort dans l’article : à savoir que le confinement a permis de réduire de 77 % la diffusion du virus de manière instantanée !

Ceci est la preuve manifeste que des cabinets fantômes, probablement payés par Big Pharma, ont réalisé cette étude mathématique frauduleuse.

Première arnaque : les modèles mathématiques en épidémiologie sont un non-sens épistémologique qui a été démontré à maintes reprises et confirmé par les autorités.

Seconde arnaque : les auteurs savent qu’ils sont obligés de trafiquer les courbes (tableaux ci-dessous) parce qu’elles sous-estiment largement la réalité. En effet, l’hypothèse de réduction de 77 % est totalement fausse.

Quand on fait tourner les codes mathématiques, on s’aperçoit qu’ils ont maquillé les courbes obtenues pour faire croire qu’elles correspondaient à la réalité.

Ils savent qu’il n’y a pas eu de décroissance exponentielle du nombre de cas à partir du 17 mars 2020, et il faudra attendre fin mai 2020 pour observer un taux de contamination qui était celui du 17 mars.

• Quand ils publient l’article, les auteurs savent que son contenu est mensonger. Cependant ils le font de manière sophistiquée de manière à décourager les mathématiciens. J’ai mis 9 mois pour traquer toutes les erreurs. J’ai écrit à la revue Science en motivant ma demande de rétracter l’article suite à la fraude mathématique. À ce jour, je n’ai toujours pas eu de réponse. Je compte les poursuivre pénalement quand bien même la procédure sera longue.

La justification des passes sanitaire et vaccinal

Pour rappel, il y a eu deux décisions antidémocratiques majeures qui ont bouleversé la population : les confinements et le passe sanitaire. Le passe sanitaire étant une discrimination entre les personnes vaccinées (libres de faire ce qu’elles souhaitent et même de transmettre le virus) et les personnes non vaccinées (interdites des lieux sociaux, de prendre le train, etc.).

On savait alors très bien que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de sa transmission et il fallait à nouveau faire illusion. Il a alors été demandé à Cauchemez de faire un modèle prédictif sur la transmission du virus sur une population vaccinée et non vaccinée.

Une fois de plus les mêmes techniques frauduleuses seront utilisées.

Le 28 juin 2021 est publié un pré-print de Cauchemez qui n’a aucune valeur scientifique (et même s’il était irréprochable, nous savons que les modèles mathématiques en épidémiologie sont insensés), qui n’a pas été relu par les pairs et qui pourtant a été diffusé dans les sphères décisionnaires et les médias.

Ce document dit que sur la base de modèles mathématiques, les non-vaccinés sont 12 fois plus contagieux que les autres. On ne sait pas du tout comment ils arrivent à ce chiffre, mais qu’à cela ne tienne !

  • Ce document pré-print est un festival de non-sens « scientifiques ». Les modèles mathématiques sont spéculatifs. Ils sont basés sur des théories mathématiques qu’on sait fausses. Il y a à nouveau plus de 300 paramètres dans le modèle. Les équations sont illisibles. Il y a des problèmes d’homogénéité (c’est comme si d’un côté on avait des choux et de l’autre des bananes). Les résultats sont donnés sans aucune méthode de calcul, etc.
  • Il est le seul document sur lequel le gouvernement se basera pour justifier le passe sanitaire puis vaccinal ! Et ce pour la simple et bonne raison qu’il n’y a jamais eu d’études dans le passé sur le sujet. Il n’y a eu aucune donnée expérimentale sur laquelle appuyer un raisonnement.
  • Sauf action de la justice, personne n’aura jamais les codes, or c’est sur cette base que les passes sanitaires puis vaccinaux ont été justifiés, avec toutes les conséquences économiques et humaines que nous connaissons, dont notamment la « suspension » de 15 000 soignants.

La conclusion parfaitement fallacieuse est que le confinement des non-vaccinés et d’eux seuls peut permettre de stopper la diffusion de l’épidémie.

  • Une plainte a été déposée au parquet de Paris fin août 2021 pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence, etc.
  • Le 6 septembre 2021, la version pré-print disparaît du site web, pour être remplacée par une autre version dans laquelle « 12 fois plus contagieux » est remplacé par « 4 fois plus contagieux ».
  • Personne ne sait comment ni pourquoi.
  • L’association RéinfoLiberté obtient un soutien populaire majeur pour aider au financement de la plainte.
  • L’Institut Pasteur a remis le pré-print initial sur son site et un complément de plainte a été déposé à la suite des changements dans les conclusions de l’article.

Le devenir de la plainte

Pour l’instant, il est difficile d’attendre une collaboration loyale de la part des autorités judiciaires.

  • Mi-novembre 2021 : le parquet de Paris annonce qu’il étudie cette plainte.
  • Janvier 2022 : un nouveau complément de plainte est déposé.
  • 1er trimestre 2022 : le pôle de santé publique de Paris classe l’affaire.
  • Actuellement : continuation de la plainte avec mise en place d’une constitution de partie civile.

Toutefois, les dénonciations mathématiques et les diverses actions judiciaires ne sont pas restées sans effet puisqu’à partir de décembre 2021, toutes les études de l’Institut Pasteur mentionnent en début de texte l’avertissement suivant :

« Ces scénarios sont faits sur la base de données incomplètes et d’hypothèses incertaines. La propagation du virus Sars-Cov-2 est difficile à anticiper ; et la dynamique de l’épidémie peut changer rapidement. Les trajectoires décrites dépendent des hypothèses faites ; si les hypothèses ne se réalisent pas, la dynamique observée pourra être différente des projections. »

Une nouvelle plainte a été déposée suite à l’introduction de cet avertissement. En effet, la question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire.

« Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés. »

(cf. présentation de Pierre Chaillot, « Covid-19 histoire d’une fraude statistique — une arnaque au comptage », Colloques Corruption et fraude au cours de la crise Covid, Lisbonne et Marseille, 2022)

Et toutes les décisions prises en France l’ont été sur la base de prédictions mathématiques qui n’ont fait qu’engendrer la peur.

À la vue de l’insertion de cet avertissement, il est clair qu’ils cherchent à se couvrir en cas de procédure pénale.

Un personnage trouble : Cédric Villani

Cédric Villani, qui est à la fois scientifique et député, a eu l’honneur d’être le vice-président puis le président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques)

Il s’agit de la plus haute instance parlementaire française dont le rôle est de conseiller sur les choix scientifiques et technologiques.

En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani était la personne la mieux placée pour faire obstacle à la fraude mathématique du Conseil scientifique, qui elle-même provenait des simulations crapuleuses de Neil Ferguson et de l’Imperial College.

D’autant plus qu’il est, tout comme moi, spécialiste des phénomènes de transports or le virus est un phénomène de transport qu’on appelle le transport collision (les gens se déplacent et quand ils se rencontrent, ils peuvent éventuellement changer d’état viral).

L’article pseudo-mathématique qui est mentionné sur la diapositive suivante, et qui a été approuvé par C. Villani en mai 2020, démontre sa compromission dans la diffusion de fausses informations mathématiques à l’égard du gouvernement pour prendre des décisions sur les confinements. Cela explique pourquoi il n’a jamais souhaité me rencontrer malgré mes nombreuses relances.

• En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani a fait preuve d’un défaut de vigilance et souhaite clairement échapper à ses responsabilités.

Autres articles avec fraude en mathématiques

Un article pseudo-mathématique par Roux, Massonneau, Crepey, déposé le 27 avril 2020(([3] medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.22.20075705v1.full.pdf)) alors que le confinement était encore en cours :

  • Affirme sur la base d’un « modèle mathématique » que le confinement a sauvé… 61 739 vies !
  • Il s’agit à nouveau d’un pré-print qui n’a jamais été publié ni relu par les pairs, mais a reçu une large médiatisation.
  • Il a été dénoncé publiquement par le Pr Jean-François Toussaint comme irrecevable.
  • J’ai démontré qu’il s’agissait aussi d’une pure escroquerie mathématique.

Cet article est pourtant cité dans une note présentée par l’OPECST comme preuve de l’efficacité des confinements et approuvée en mai 2020 par Cédric Villani.

L’étude Comcor

Le 15 décembre 2020, le Premier ministre Castex annonce que sur la base d’une étude scientifique du Pr A. Fontanet (Conseil scientifique), les bars et restaurants sont des lieux à risque pour la transmission du Sars-CoV-2.

Cette « étude scientifique » est une étude statistique type comparaison « malades/non-malades » sur les habitudes des personnes ayant ou non eu le Covid.

Cette étude est une étude dont il est facile de montrer qu’elle est totalement truquée.

Elle pourtant été acceptée pour publication dans le « Lancet Regional Health » le 16 novembre 2021.

Action judiciaire : cette étude a fait l’objet d’un dépôt de plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence. Ayant été rejetée par le parquet, elle actuellement l’objet de la mise en place d’une constitution de partie civile (CPC).

Le 18 janvier 2022, le Conseil d’analyse économique publie une note… d’épidémiologie.

  • L’étude prétend que le passe sanitaire a permis de gagner des points de vaccination et donc… de sauver des vies.
  • Le pré-print n’est toujours pas publié, 9 mois après avoir été soumis.
  • À partir d’une méthode mathématique totalement arbitraire, les auteurs estiment que 4000 vies ont été épargnées.
  • En réalité, on peut démontrer mathématiquement, à partir de la méthode retenue par les auteurs, que le passe sanitaire a en réalité coûté… entre 1500 et 7000 vies.

L’article a été dénoncé publiquement par mes soins comme étant une fraude le 14 février 2022 lors d’une séance publique du Conseil scientifique indépendant.

Conclusions

  • En France (et dans tous les pays occidentaux), TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques.
  • SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer.
  • Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes.
  • Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires.




Des documents australiens prouvent que les vax anticovid ne servent à rien si ce n’est à rendre encore plus malade

[Source : pgibertie.com]

LES DOCUMENTS INTERACTIFS DU GOUVERNEMENT AUSTRALIEN PROUVENT QUE LES MULTIDOSES REPRESENTENT 99 % DES HOSPITALISÉS (sur six mois)

Par pgibertie

800 cas de covid dans un paquebot de croisière, le Majestic Princess ! Tous les passagers sont isolés à Sydney !… La compagnie n’acceptait que des vaccinés covid !

La croisière se covide au moment où l’on apprend le pire pour les injectés dans la province de Sydney.

Cette analyse est une preuve supplémentaire de la catastrophe médicale cauchemardesque que nous avons entre les mains, le résultat fanatique des ignorants les avertissements de vrais experts :

https://bit.ly/3ujYTQG

Chacun peut facilement vérifier ce qui s’est passé durant l’hiver australien qui est terminé. Quelle que soit la catégorie d’âge en ce moment 100 % des hospitalisés avec Covid sont vaccinés. Sur les six derniers mois, on se retrouve à 99 % de vax.

Rapporté au nombre d’hospitalisations en fonction du statut vaccinal, pour un million de 4 doses et plus on compte de 90 à236 hospitalisés par million de vaccinés quatre doses. On compte de 0 à 1 hospitalisé par million de non vax.

Ces stats sont celles de la province de Sydney qui compte 8,5 millions d’habitants :

LES EXPLICATIONS

Ils se contentent de constater une augmentation temporaire des anticorps pendant quelques semaines après les boosters, pour crier victoire… Et pourtant nous savons maintenant que la protection contre les formes graves ne passe pas essentiellement par les anticorps.

Cette dernière étude de chercheurs de l’Université de Cambridge laisse plus que perplexe. Ils constatent en effet, chez les plus de 70 ans boostés, une augmentation des lymphocytes B circulants « atypiques », une altération des réponses des lymphocytes T à la fameuse spike. Les chercheurs concluent à une neutralisation plus faible, comprenez donc au risque d’une maladie plus grave pour les plus fragiles…

Les plus fragiles ont une sensibilité accrue au Covid après les boosters, une dose de plus c’est une dose de trop qui aggrave la maladie

ET POUR COMPLÉTER :

Les « vaccins » Covid provoquent des myocardites et des péricardites, mais pas les infections Covid. Énorme étude de plus de 500 000 participants. On nous a encore menti. Combien de fois les experts nous ont-ils dit que la myocardite post Covid était pire ?

https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9025013/




COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE

[Source : businessbourse.com]

Pourquoi les chercheurs et les journalistes ont-ils autant traîné pour poser les bonnes questions ? Vous aurez bientôt tous les détails, c’est affligeant !!!

« À une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

George Orwell

Alors que nous approchons de la troisième année de la « crise de Covid », l’histoire de Covid autrefois inattaquable — rapportée et répétée par les politiciens, les mandarins de la santé publique et tous les médias grand public — a été remplacée par des contradictions et des incohérences.

L’histoire originale de Covid, racontée par des « experts » de la santé et des représentants du gouvernement, a parlé d’un agent pathogène particulièrement virulent qui a assiégé la planète en 2020 et s’est propagé très rapidement, terrorisant, infectant et tuant des gens en masse.

C’était l’histoire d’un « événement de niveau pandémique » au cours duquel les gens ont été invités à rester chez eux, des secteurs entiers de la société ont été contraints de fermer et les humains ont été invités à faire tout leur possible pour éviter tout contact les uns avec les autres.

C’était une histoire d’écoles fermées, d’entreprises fermées, d’églises fermées et d’hôpitaux complètement débordés.

Dans les chapitres suivants, l’histoire de Covid est passée de vérités à toute épreuve, « Suivez la science », à des définitions en constante évolution, « La science évolue ». D’innombrables aspects du récit « officiel » ont changé du jour au lendemain. Peu à peu, l’histoire est devenue pleine de pages de statistiques douteuses et d’intrigues toujours changeantes.
Que penser de toutes ces contradictions et mutations ministérielles ?

Bientôt, la seule certitude dans le récit de Covid est devenue son incertitude.

Tenter de donner un sens à l’énigme Covid a rapidement nécessité de naviguer dans un labyrinthe complexe de tromperies, de manipulations, d’obscurcissements et de dissimulations. Séparer les faits de la fiction devenait chaque jour plus difficile.

Alors que la plupart ont persisté avec le scénario médiatique et les décrets gouvernementaux, certains ont commencé à remarquer les nombreuses anomalies et ont commencé à poser des questions.

La question la plus criante était simplement : « Pourquoi personne n’a-t-il été autorisé à poser des questions ? » Une fois cette boîte de Pandore a été ouverte, un flot de questions a fusé.

Pourquoi les médias ne posaient-ils aucune question ? Pourquoi tous les pays riches fonctionnent-ils tous de manière très coordonnée ?

Avons-nous été alertés de cet « événement de niveau pandémique » par nos observations et expériences directes ?

Étions-nous entourés de personnes malades, dans nos maisons, nos quartiers et nos lieux de travail, qui succombaient à un virus à propagation rapide et dangereux ?

Si nous étions vraiment dans une pandémie aux proportions bibliques, y aurait-il autant de discussions sur les détails épidémiologiques ?

« Si vous devez être persuadé, rappelé à l’ordre, mis sous pression, incité, contraint, intimidé, abusé socialement, culpabilisé, menacé, puni et criminalisé. Si tout cela est considéré comme nécessaire pour obtenir votre conformité, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt ».

Ian Watson

Pour vendre la « Covid Story », une campagne de marketing de masse dotée de sa propre nomenclature a été lancée. Le battement de tambour constant du cri de bataille de Covid est devenu incontournable, ressemblant à de la propagande de qualité militaire plutôt qu’à des messages de santé publique.

  • Ces mots d’ordre et cris de ralliement Covid étaient-ils destinés à servir la santé publique ou étaient-ils simplement conçus pour être obéis ? D’où viennent ces idées et ces phrases ?
  • Pourquoi les médias et le gouvernement ont-ils attisé sans relâche la peur et l’anxiété du public ?
  • Pourquoi des millions ont-ils été dépensés pour des équipes de gestion comportementale ?
  • Comment l’expression « la nouvelle normalité » est-elle apparue dans les premières semaines de la pandémie ?
  • Une manipulation psychologique soutenue a-t-elle été utilisée pour créer la peur et contraindre le public ?
  • Les symptômes de Covid étaient-ils vraiment uniques ou étions-nous conditionnés à croire qu’il y avait une nouvelle maladie ?
  • Les statistiques sur les décès de Covid ont-elles été manipulées pour créer la perception d’une crise ?
  • Les confinements étaient-ils une question de protection ou de contrôle social ?
  • Les confinements ont-ils réduit les décès ou provoqué une augmentation de la mortalité ?
  • Y a-t-il jamais eu des preuves de « propagation asymptomatique » ou cela a-t-il été exagéré pour effrayer le public ?
  • Comment est-on passé de « deux semaines pour aplatir la courbe » à des « lois d’urgence permanentes » ?

« Les hôpitaux et les médecins s’enrichissent d’une population de masse malade. »

L’une des premières méthodes de la campagne Covid utilisée pour alerter le public de la prochaine tempête de maladies graves était centrée sur la conviction que les hôpitaux allaient être submergés par une cascade de personnes infectées par le Covid.

« Deux semaines pour aplatir la courbe » est devenu un cri de ralliement national.

Le public a été inondé d’histoires de couloirs d’hôpitaux débordés et d’unités de soins intensifs submergées. Des hôpitaux de fortune ont été rapidement construits pour accueillir les infectés excédentaires. Les médias inconditionnels ont amplifié ces histoires créant un climat de panique et d’hystérie généralisé.

Était-ce vrai ?

  • Les hôpitaux américains étaient-ils vraiment débordés ? Que disent les données ?
  • Les hôpitaux de NYC ont-ils été débordés au printemps 2020 ?
  • L’hôpital d’Elmhurst, « l’épicentre de l’épicentre », débordait-il au printemps 2020 ?
  • Les unités de soins intensifs étaient-elles submergées de patients ?
  • Les hôpitaux américains étaient-ils plus occupés en 2020 qu’ils ne l’étaient en 2019 ?
  • Les hôpitaux sont-ils régulièrement débordés pendant la saison du rhume et de la grippe ?

« La peur est un marché. Instiller la peur chez les gens a aussi des avantages. Pas seulement en termes de consommation de drogue. Les personnes anxieuses sont plus faciles à gouverner. »

Au fur et à mesure que la pandémie s’accélérait, le « bilan des morts de Covid » est devenu un marqueur quotidien martelé par les mégaphones des médias corrompus et les tableaux de bord de la mortalité.

Des récits horribles de la « première vague » de décès de Covid ont été diffusés sur tous les canaux médiatiques au même rythme. Des histoires poignantes de morgues débordantes et de camions réfrigérés remplis de cadavres de Covid ont saturé les nouvelles du soir. Alors qu’une explication plus simple pour ces camions était facilement disponible, un média docile et complice s’est bouché les oreilles et a continué à fabriquer l’hystérie de masse.

Là encore, toutes les questions susceptibles de semer le scepticisme ont été tenues à l’écart du débat public.

Mais cette marche de la mort annoncée était-elle vérifiable ou était-ce encore une autre caractéristique de la campagne sur la peur du Covid ?

  • Le nombre de décès et les certificats de décès de Covid étaient-ils exacts ou les décès de Covid ont-ils été artificiellement gonflés ?
  • Quel était l’âge moyen des décès de Covid et comment cela se compare-t-il à l’espérance de vie normale ?
  • Quel pourcentage de décès de Covid provenaient de personnes qui avaient déjà plusieurs comorbidités ?
  • Les photos de cercueils de Bergame, en Italie, en mars 2020, utilisées pour terrifier le monde, étaient-elles authentiques ?
  • Pourquoi CNN a-t-elle rapporté qu’un garçon géorgien de 7 ans est mort de Covid lorsqu’il s’est noyé dans une baignoire après une crise ?
  • Combien de décès de Covid dus à des « blessures intentionnelles et non intentionnelles, empoisonnements et autres événements indésirables » ont été placés dans le décompte des décès du CDC COVID ?
  • Pourquoi 14 369 décès par blessures, 1 265 décès dus à des chutes, des décès par noyade et des suicides ont-ils été répertoriés dans le décompte des décès de Covid-19 ?
  • Pourquoi le CDC a-t-il changé les méthodes d’enregistrement exclusivement pour les décès de Covid et cela a-t-il gonflé le nombre de décès de Covid ?

« L’une des leçons les plus tristes de l’histoire est la suivante : si nous avons été dupés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de la tromperie. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. »

Alors que le prétendu naufrage de la « première vague » s’est calmé et que le nombre de corps n’a pas atteint les totaux prévus, le récit a brusquement changé.

« The Covid Death » a été remplacé par « The Covid Case » comme principal vecteur de peur. Ce qui définissait un « cas Covid » semblait généralement à gagner. Les définitions de « cas » allaient de toute personne « suspectée d’avoir Covid » à celles qui étaient « positives », comme établi par les tests PCR.

Nulle part dans les médias, on ne pouvait trouver un journaliste curieux qui remettrait en question ce que cela signifiait d’être un « cas probable ». Même lorsque la PCR est devenue une caractéristique courante de la vie quotidienne, la validité de son utilisation en tant qu’outil de diagnostic n’a jamais été examinée par aucune source grand public.
Ces comptages de cas et les méthodes utilisées étaient-ils fondés sur une base scientifique solide ?

  • Le Covid-19 était-il un nouveau virus ?
  • Comment le processus d’examen par les pairs de la publication critique sur les tests PCR Covid n’a-t-il duré qu’une journée ?
  • Les résultats du test PCR Covid étaient-ils exacts ?
  • Le nombre de cas et les diagnostics de Covid étaient-ils exacts ?
  • Les tests PCR ont-ils été utilisés de manière trompeuse pour inventer des « cas » Covid ?
  • Pourquoi la définition d’un « cas » Covid a-t-elle été modifiée ?

« La grande industrie pharmaceutique a besoin de personnes malades pour prospérer. Les patients, et non les personnes en bonne santé, sont leurs clients. Si tout le monde était guéri d’une maladie ou d’une maladie particulière, les sociétés pharmaceutiques perdraient 100 % de leurs bénéfices sur les produits qu’elles vendent pour cette maladie. Cela signifie que c’est parce que la médecine moderne est si étroitement liée à la culture des profits financiers, c’est une industrie de la maladie plus qu’une industrie de la santé. »

Une fois qu’il a été fermement établi dans l’esprit du public qu’une menace pathogène se cachait juste devant leur porte, un barrage incessant de messages, d’éclairage au gaz et de coercition a éclaté sous tous les angles.

Le monde entier a été informé à plusieurs reprises que le seul salut pour l’espèce humaine était un produit médical expérimental génétiquement modifié, concocté à « Warp Speed » par des sociétés pharmaceutiques géantes. Ceci, seulement ce médicament pourrait sauver l’humanité de la catastrophe.

Comme de nombreuses autres facettes de l’histoire de Covid, l’histoire de Big Pharma et de leurs potions magiques s’est révélée après un examen plus approfondi. Plusieurs questions se sont posées :

  • Si Big Pharma est vraiment dans le domaine de la santé publique, quel est son bilan historique en matière de protection de la santé publique ?
  • Quels sont les antécédents de Pfizer en matière de fraude et de corruption ?
  • Est-ce que Big Pharma a recueilli tous les processus de la FDA et a vérifié s’ils étaient réglementaires ou orientés politiquement ?
  • Big Pharma contrôle-t-il le CDC ?
  • Big Pharma influence-t-il les essais cliniques ?
  • Les essais cliniques de Pfizer pour les vaccins Covid ont-ils été correctement menés ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle tenté de dissimuler les données des essais du vaccin Covid pendant 75 ans ? Qu’ont révélé les données de l’essai ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle refusé de rendre publique sa surveillance de la sécurité des vaccins ?
  • Comment le CDC a-t-il décidé que les essais cliniques de Pfizer s’avéraient un vaccin « sûr et efficace » ?

« Je suis pour la vérité, peu importe qui la dit. Je suis pour la justice, peu importe qui est pour ou contre. Je suis un être humain, avant tout, et en tant que tel, je suis pour qui et quoi que ce soit qui profite à l’humanité dans son ensemble. »

Malcolm X

Lorsque le déploiement à très grande échelle des vaccins expérimentaux contre le Covid a été lancé, une campagne obligatoire faisant taire toutes les voix qui osaient remettre en cause l’impératif vaccinal a été mise en place. Même ainsi, certaines voix d’appréhension se sont glissées entre les mailles du filet. Beaucoup de ces voix étaient parmi les praticiens médicaux les plus renommés dans leur domaine.

Pourquoi leurs voix n’ont-elles pas été autorisées dans les conversations grand public ?

  • Pourquoi des milliers de médecins dissidents ont-ils été censurés et réduits au silence ?
  • Pourquoi les médecins qui ont parlé du traitement précoce ont-ils été vilipendés et censurés ?
  • Les vaccins Covid étaient-ils nécessaires, efficaces ou sûrs ?
  • Les vaccins Covid arrêteraient-ils les hospitalisations ou les décès ?
  • Les preuves de préjudices et d’événements indésirables graves des essais cliniques ont-elles été dissimulées ?
  • Pourquoi les médias ont-ils gardé le silence sur les dangers potentiels du vaccin Covid ?
  • Les gens ont-ils reçu un consentement éclairé approprié pour les vaccins Covid ?
  • Que disaient plusieurs études dès 2020 sur les vaccins Covid et les lésions microvasculaires ?
  • Pourquoi des scientifiques indépendants n’ont-ils pas été autorisés à examiner les flacons de vaccin à ARNm ?
  • Y avait-il un lien entre l’inflammation cardiaque et les vaccins Covid ?
  • Pourquoi les enfants ont-ils été ciblés pour la vaccination alors qu’on savait qu’ils étaient à risque zéro de la maladie en question ?
  • Y avait-il des médecins qui appelaient à l’arrêt du programme de vaccination contre le Covid ?

Alors que les employés des hôpitaux étaient idolâtrés comme des héros, des rapports ont commencé à fuir laissant entendre que ce qui s’était réellement passé à l’intérieur de ces établissements médicaux était contraire au récit soutenu des médias. Au fur et à mesure que de plus en plus d’histoires faisaient surface, les soupçons se sont intensifiés selon lesquels cela faisait également partie de la mythologie de Covid.

Des questions concernant les traitements dans les hôpitaux et les maisons de retraite ont émergé et des allégations d’intérêts financiers se sont matérialisées.

  • Les hôpitaux ont-ils été incités à fabriquer des patients Covid ?
  • Quels étaient les protocoles de traitement de l’hôpital Covid ?
  • Les hôpitaux ont-ils été incités à mettre les patients Covid sous ventilateurs et à utiliser le Remdesivir ?
  • Ces incitations et protocoles ont-ils mis les gens en danger ?

« Le silence face au mal est en soi un mal. »

Dietrich Bonhoeffer

Dans les premiers chapitres de l’histoire de Covid, peut-être qu’aucun autre scénario n’a piégé notre imagination et tiré sur nos cordes sensibles comme le schibboleth « Sauver grand-mère ». On nous a dit que « Covid-19 » ciblait les personnes âgées et les malades et de multiples rapports du monde entier ont révélé un schéma cohérent de la façon dont les situations horribles se sont déroulées dans les établissements de soins de longue durée.

Au fur et à mesure que de plus amples informations sur cette pièce du puzzle sordide de Covid faisaient surface, de plus en plus de questions se sont posées.

Des milliers de personnes âgées sont-elles décédées à cause du Covid ou à cause de la gestion de leur traitement de fin de vie a-t-elle été retirée les mettant activement dans une situation qui a assuré leur mort ?

  • Qu’est-ce qu’ils voulaient dire quand ils ont dit « prendre soin des personnes âgées ? »
  • Comment ont-ils « pris soin des personnes âgées au Canada ? » Au Royaume-Uni ? En France ? Dans le Maryland ? Dans le Massachusetts ? À Washington DC ? Au Mississippi ? À New York ? Dans le New Jersey ? Au Minnesota ? Dans l’Indiana ? En Louisiane ? Au Michigan ? À Rhode Island ?
  • Les conditions pour des taux de mortalité élevés dans les foyers de soins ont-elles été créées exprès ?

« Je vis à l’ère de la gestion, dans un monde d’“administrateurs”. Le plus grand mal ne se fait plus maintenant dans ces sordides “tanières du crime” que Dickens aimait à peindre. Il ne se fait même pas dans les camps de concentration et de travail. Dans ceux-ci nous voyons son résultat final. Mais il est conçu et ordonné (ému, secondés, portés et minutés) dans des bureaux propres, tapissés, chauffés et bien éclairés, par des hommes tranquilles au col blanc, aux ongles coupés et aux joues bien rasées, qui n’ont pas besoin d’élever la voix. »

CS Lewis

Toutes les histoires complexes nécessitent un casting de personnages et la Chronique de Covid n’était pas différente. Neil Ferguson et Christian Drosten ont joué des rôles de soutien importants dans les coulisses tandis que d’autres, comme Anthony Fauci et Bill Gates, ont occupé le devant de la scène. Au fur et à mesure que nous avancions dans le récit de Covid, nous avons « appris à connaître » ces personnalités à travers les portraits peints par des médias uniformément déférents.

Ces images de notre casting de personnages de Covid étaient-elles des représentations exactes ? Que savions-nous vraiment d’eux ?

  • Que prédisaient les modèles informatiques originaux de Neil Ferguson sur les décès de Covid et quel était son bilan bien documenté ?
  • Comment ses prédictions calamiteuses et inexactes ont-elles joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Qui est Christian Drosten et comment a-t-il développé le désormais célèbre test Covid PCR ?
  • Qui est le vrai Anthony Fauci ?
  • Quel rôle Anthony Fauci a-t-il joué dans la crise du VIH/sida ?
  • Étant donné que Bill Gates n’a aucune formation médicale, pourquoi a-t-il joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Comment Bill Gates a-t-il su en 2019 que les vaccins seraient « l’un des meilleurs achats » en 2020 ?
  • Comment Bill Gates a-t-il utilisé les investissements médicaux pour transformer 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars ?
  • Pourquoi la Fondation Bill et Melinda Gates a -t-elle investi 55 millions de dollars dans les actions de BioNTech en août 2019 ?

« Ils n’ont pas vu que la mondialisation n’était qu’une tactique pour arracher le pouvoir des États-nations aux conglomérats internationaux. Une fois que le pouvoir a été siphonné au peuple et que le contrôle démocratique a été contourné, la capacité d’affirmer la gouvernance mondiale sans aucune retenue démocratique était disponible. »

James Tunney

Enfin, pour comprendre la totalité de l’histoire de Covid, il est nécessaire de comprendre comment l’industrie de la santé publique est inextricablement liée aux marchés financiers mondiaux et fonctionne en fonction des exigences de ces conglomérats financiers. Les pandémies fabriquées sont désormais considérées comme l’une des plus grandes opportunités d’investissement pour accroître la richesse des milliardaires et consolider leur pouvoir.

L’industrie médicale n’est plus un système dont l’objectif principal est de servir la santé et le bien-être du public. C’est un système dont la fonction principale est d’être un instrument financier pour les investisseurs. Les politiques actuelles qui définissent l’industrie médicale sont conçues pour servir des agendas socio-économiques et politiques qui profitent à ces mêmes élites financières.

L’ensemble de la « crise de Covid » était-il une véritable urgence sanitaire ou était-ce un programme ancré dans la peur d’enrichir les poches de Big Pharma et de leurs investisseurs riches ?
Là encore, les médias grand public restent consciencieusement silencieux, refusant de poser les questions les plus élémentaires :

  • À qui appartient Big Pharma ?
  • Est-ce une coïncidence si l’urgence de santé publique de Covid a créé plus de 500 nouveaux milliardaires et coïncidé avec l’un des plus grands transferts de richesse vers le haut de l’histoire de l’humanité ?
  • Pourquoi les grandes banques ont-elles été renflouées à l’époque de Covid alors que les petites entreprises ont été laminées ?
  • Comment les travailleurs du monde entier ont-ils perdu 3,7 billions de dollars pendant la pandémie tandis que les milliardaires du monde entier ont gagné 3,9 billions de dollars pendant la pandémie ?
  • Est-il possible de « suivre la science » si la science est contrôlée par l’argent ?
  • Qu’a dit le chef du FMI sur le sort de l’économie mondiale et des vaccins ?
  • Qu’est-ce que la Grande Réinitialisation ?
  • Que sont les monnaies numériques des banques centrales ?

Après une plongée plus profonde dans l’histoire du Covid, on se demande si même un seul volet de l’histoire résiste à l’examen. Trois ans plus tard et les débris de la fusillade des politiques de Covid continuent de s’accumuler. Chaque jour qui passe, de plus en plus de trous apparaissent dans le récit officiel et de plus en plus d’admissions sont révélées alors que les responsables se précipitent pour éviter de rendre des comptes.

Alors que la poussière retombe à la suite du carnage de Covid, nous nous posons une dernière question :

« Est-ce que l’intégralité de l’histoire du Covid était un mensonge ? »

Source : zerohede




Dernier acte, dernière scène

[Source : regischamagne.fr]

Par Régis Chamagne

Après plus de huit mois d’Opération Militaire Spéciale (OMS), tout le monde évoque une guerre existentielle, pour les uns et les autres. Enfin ! La stratégie de Vladimir Poutine est donc payante. Et les résultats d’une stratégie se jugent à l’aune de ses objectifs.

Les objectifs

Il suffisait d’écouter les discours successifs de Vladimir Poutine depuis le début, ainsi que les interventions de Sergueï Lavrov et de Dmitri Medvedev, pour savoir que l’OMS [NDLR à ne pas confondre ici avec l’Organisation Mondiale de la Santé] n’avait pas pour objectif de simplement ramener les territoires du Donbass au sein de la Fédération de Russie, mais bien de promouvoir un nouveau paradigme géopolitique, un Nouvel Ordre Mondial si vous voulez.

[Voir :
Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple
Vladimir Poutine officialise l’annexion de quatre territoires ukrainiens
Selon Vladimir Poutine, la domination sans partage de l’occident sur les affaires mondiales touche à sa fin
Discours de Vladimir Poutine lors du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) 2022
Discours du Président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, du 21 septembre 2022]

Aujourd’hui, tout le monde finit par s’y accorder et surtout par le dire ouvertement, tel, récemment, le général Mark A. Milley, chef d’état-major des armées US. Il n’y a plus d’ambiguïté pour personne. Cette guerre est bel et bien une guerre existentielle.

La stratégie

Si la Russie avait opéré une guerre éclair, et elle en a les moyens, cela n’aurait rien changé fondamentalement aux règles du jeu des relations internationales, de la même façon qu’après le retour de la Crimée dans la Fédération de Russie. La classe médiatico-politicienne occidentale aurait poussé des hurlements d’orfraie pour dénoncer une vile agression du méchant ours russe contre un gentil pays souverain. On en serait resté là, pour un certain temps encore.

En choisissant une guerre d’usure, la Russie a décidé d’user les pays du Bloc Altantico-Occidental (BAO), sur les plans militaire, économique, et bientôt culturel.

Sur le plan militaire, à force de livrer des armes au régime de Zélenski, dont une bonne partie s’en vont directement dans des réseaux mafieux, les pays du BAO se sont épuisés. Ils n’ont plus suffisamment de ressources. Le virage vers une stratégie du faible au fort centrée sur des opérations de terrorisme, que j’évoque dans mon précédent article, en est un indicateur consistant. Aujourd’hui, l’évocation répétée d’une possible montée au nucléaire par les dirigeants et les médias occidentaux en dit long. Ils ne leur reste plus que cela, le nucléaire ; ils arrivent au bout du bout. Mais sur cette question, les classes dirigeantes occidentales n’ont pas encore saisi que la Russie dispose d’une forme de dissuasion intermédiaire, non nucléaire, contre laquelle ils ne peuvent rien : les missiles hypersoniques. Il suffirait d’une bordée de missiles hypersoniques pour pulvériser le pentagone et le centre de commandement de l’OTAN, même sans charge militaire, c’est-à-dire sans explosif à l’intérieur. La simple énergie cinétique de ces missiles serait suffisante [l’énergie cinétique est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse. Ainsi un missile Kinzhal qui est trois fois plus lourd et douze fois plus rapide qu’un Tomawak possède une énergie cinétique 432 fois supérieure]. Espérons toutefois que les militaires du pentagone, qui eux, savent de quoi il s’agit, tempéreront les ardeurs bellicistes et suicidaires des fous-furieux de Washington.

Sur le plan économique, l’effet boomerang des sanctions étasuniennes et européennes se met à produire des résultats au détriment des populations occidentales. Cette fois-ci, on ne peut pas dire que c’est la faute du méchant Poutine, mais plutôt à cause de la sublime intelligence autoproclamée et dévastatrice de nos propres dirigeants et experts en tout genre. Et cela ne fait que commencer. L’hiver sera rude !

Sur le plan culturel, il va s’agir du retour à la réalité pour nos propagandistes de plateau qui vivent dans un monde virtuel et idéologique fait de fantasmes et d’injonctions et qui formatent l’opinion, quoique de moins en moins. Avec la fin de cette Sainte Inquisition médiatico-politicienne qui a tenté d’imposer son nouvel ordre moral appelé « politiquement correct » en vouant aux gémonies tous les sceptiques, tous les curieux [Les mêmes ont jadis brûlé les sorcières], le nouvel obscurantisme qui s’est mis en place depuis trois décennies au moins va laisser la place à un nouveau réalisme en attendant le moment du GRAND DEBRIEFING. Je n’entrerai pas dans le détail de tout ce que contient le « politiquement correct », chacun y trouvera ce qu’il cherche.

Dernier acte, dernière scène

Le général Hiver arrive, et ce général est russe. Napoléon et Hitler l’on appris à leurs dépends, mais un peu tard. Ainsi, pour mettre l’OTAN à genoux et reconquérir la Novorussia, la Russie s’apprête à lancer l’offensive décisive, avec le soutien du général Hiver. Rappelons que la Novorussia inclut toute la côte de la mer noire et qu’elle va jusqu’à la frontière de la Transnistrie. Elle avait été conquise sous Catherine-II au cours des guerres contre l’empire ottoman, entre 1768 et 1774. Elle fut donnée à l’Ukraine par Lénine en 1920, mais restait au sein de l’URSS… jusqu’à l’éclatement de celle-ci.

Les manœuvres préparatoires à l’offensive décisive ont lieu : mobilisation, entraînement et déploiement de 300 000 réservistes, bombardements stratégiques sur les arrières (système électrique, centres opérationnels et logistiques militaires, nœuds de communication…), nomination d’un nouveau commandant de théâtre, le général Sergueï Sourovikine qui a fait ses preuves en Syrie.

On peut même inclure dans ces manœuvres préparatoires la destruction du meilleur de l’armée de Kiev au cours des huit mois de guerre, mais il est vrai que cela a été grandement facilité par la stupidité et le cynisme des chefs militaires de l’OTAN à la manœuvre et de Zélenski lui-même.

Cette offensive aura lieu sur tous les fronts, avec probablement une manœuvre de déception et un emploi ad’hoc de la guerre électronique. Dans ce domaine on en sait peu, sinon que la Russie a atteint un très haut niveau en la matière, probablement le plus haut. Mais en matière de guerre électronique, il faut être prudent. Quand on a utilisé une certaine forme de brouillage, si l’adversaire en a les moyens, et l’OTAN les a, il peut écouter, enregistrer et analyser les signaux afin de développer des contre-mesures. Ainsi, l’usage de la guerre électronique doit être adapté (ce qui est nécessaire mais pas plus), ciblé et intelligent. Il est fort probable que pour l’offensive décisive, la Russie va employer des moyens qu’elle n’a pas encore utilisé.

Un monde s’effondre, un autre naît

Nous assistons peut-être à la fin d’un cycle de quatre siècles. Dans son ouvrage « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » Carroll Quigley, s’appuyant sur d’importantes archives et grâce à un travail de bénédictin, explique comment les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Elle a émergé dans un monde déjà préparé par un système financier et bancaire qui s’était développé depuis la fin du XIVe siècle afin, au départ, de financer les expéditions vers les Amériques. Ce long processus est très bien expliqué par Paul Grignon dans un film d’animation de 52 minutes « L’argent dette ». C’est ce monde là qui est en train de disparaître, et avec lui la toute puissance du dollar et la fin de la domination anglo-américaine sur le monde, en particulier dans le domaine monétaire. La mission des portes-avions américains était d’imposer le dollar au reste du monde. C’est fini !

On peut même se poser des questions sur l’avenir de la monarchie britannique.

En parallèle, depuis 2017 véritablement, se construit à l’Est une volonté de développer de nouvelles relations internationales fondées sur la souveraineté des nations, et donc sur la garantie de sécurité pour toutes les nations.

Les chemins que prennent l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) et les BRICS illustrent l’attrait de plus en plus grand des pays autres que ceux du BAO, c’est-à-dire plus de 80 % de l’humanité, pour ces organisations et ce qu’elles proposent. La dernière réunion de Samarcande en est une illustration magistrale. Les exemples de cet attrait sont nombreux et plus ou moins furtifs. Du reste, moins ils deviennent furtifs, mieux ils illustrent la bascule en train de se produire. Pour ne citer qu’un exemple, l’attitude du roi d’Arabie Saoudite envers le président des États-Unis en dit long ; cela n’aurait jamais pu avoir lieu il y a dix ans. En Afrique, en Amérique latine, au proche et moyen Orient, en Asie du sud-est, tous les peuples attendent leur libération. Il y a moult signaux faibles partout dans le monde, et depuis longtemps déjà. Si on les perçoit, on n’est alors pas surpris quand ils deviennent des signaux fort puis des actes. La fin est inéluctable, quelque soit le chemin suivi.

L’hiver sera rude pour nous, mais possiblement, l’été prochain sera lumineux.

Régis Chamagne

NB : j’écris peu sur mon blog. Certains me le reprochent. Mais j’ai choisi d’écrire sous l’angle du changement de paradigme géopolitique. Cela demande du temps de réflexion afin de présenter mes analyses de la façon la plus intelligible possible, et surtout, j’écris quand c’est utile, pour ne pas trop me répéter. Ainsi je ne commente pas les opérations militaires au niveau tactique ni même opératif ; certains le font excellemment bien et c’est tant mieux.