France — Fréjus : soignants suspendus, venez témoigner

[Source : nice-provence.info]

Fréjus : soignants suspendus, venez témoigner

Catherine Bouissou - Livre - Achève soignants

Catherine Boussou, auteure du livre « On achève bien les soignants », participera au ciné-débat annoncé ce mardi 29 novembre 2022 à 20 heures au cinema Le Vox à Fréjus lors de la projection du film « Suspendus. Des soignants entre deux mondes ».



Tarif : 6 € et 5 € pour Var Estérel et Aretem 83.

Venez nombreux. Venez témoigner. Venez les soutenir.




Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19

[Source : aimsib.org]

Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.  

Par Emma Kahn et Hélène Banoun

(Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)

Résumé :
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.
Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.
Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.
Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Introduction

Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prionL’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Principe des vaccins utilisés dans les pays occidentaux

Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier (2) : il prévoyait des effets délétères de l’infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2. Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n’est l’unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-2 (3)(4)(5)(6)(7), donc les EIs des vaccins vont être en rapport avec la toxicité de la spike. (8)

  • Les plus utilisés sont les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna qui injectent le code modifié de la protéine spike de surface du virus et transforment ainsi le vacciné en usine à spike toxique.
  • Les vaccins à adénovirus modifié injectent de l’ADN qui est aussi le code de la spike (Astra Zeneca, Janssen)
  • Les vaccins inactivés type Valneva contiennent la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé chimiquement et donc contiennent la spike ainsi qu’un adjuvant jamais expérimenté.
  • Les vaccins dits classiques sont constitués de la protéine spike injectée avec un adjuvant (qui est en général nouveau ou ayant prouvé sa toxicité) : Novavax, Sanofi, Hipra, …

Donc théoriquement, on injecte une quantité fixe de spike avec ces vaccins « classiques » et on devrait avoir moins d’EI qu’avec l’usine à spike constituée par les vaccins ARN ou ADN mais en fait les mêmes EIs sont détectés et semble-t-il en même quantité, ceci pourrait être dû aux adjuvants qui stimulent exagérément la réaction immunitaire à cette spike déjà capable de déréguler le système Immunitaire ; il se peut qu’intervienne ici le mécanisme des anticorps anti-idiotypes.

En plus de la toxicité de la spike, il faut aussi signaler les phénomènes de facilitation de l’infection par le vaccin qui sont bien connus et ont été soulignés dès le début 2020 par les experts officiels : ils sont spécialement documentés pour les vaccins anti-coronavirus chez les animaux (au cours d’essai clinique et en utilisation commerciale ; et en post-commercialisation chez l’homme pour d’autres virus, par exemple le vaccin contre la dengue).

Les EIs du vaccin reproduisent les pathologies associées à la COVID-19

Risques toxiques comparés de la spike virale et de la spike vaccinale

Les promoteurs de la vaccination ont tendance à exagérer la pathogénicité du virus pour accroître le bénéfice risque du vaccin : ils oublient que toutes les personnes qui rencontrent le virus ne développent pas de COVID-19 sévère, loin de là, et que, par contre, tous les vaccinés sont susceptibles de fabriquer de grandes quantités de spike toxique à l’intérieur de tout l’organisme, voir la conférence des pathologistes allemands, les Prs Arne Burkhardt et Walter Lang (9). Lors d’une infection COVID-19, les effets systémiques du SARS-CoV-2 ne se manifestent qu’en cas de maladie symptomatique sévère et pas chez les personnes infectées légèrement : celles-ci éliminent le virus au niveau des voies respiratoires supérieures grâce à leur immunité innée et ne permettent pas au virus de se multiplier dans l’organisme et donc d’y répandre la spike toxique.(10)

Pourquoi les enfants et beaucoup d’adultes ne sont pas atteints par la COVID-19 ? Le rôle de la réponse immunitaire de l’hôte y est prépondérante. (11) Il faut aussi insister sur les différences d’exposition à la spike toxique selon la gravité de l’infection COVD-19, d’une part, et en comparaison avec la vaccination, d’autre part. Et en effet chez les personnes infectées mais n’ayant pas développé de Covid-19 sévère, on n’observe pas les pathologies associées à la COVID-19. Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement.

Une étude de cohorte prospective et longitudinale a permis de suivre les jeunes membres des Forces armées suisses (FAS). Elle a permis de quantifier l’impact de l’infection par le SRAS-CoV-2 sur la santé cardiovasculaire, pulmonaire, neurologique, rénale, ophtalmologique, reproductive masculine, psychologique et générale, en plus des paramètres de laboratoire. Il n’y avait pas de différences significatives dans les scores du questionnaire psychosocial, les résultats ophtalmologiques, la qualité ou la motilité des spermatozoïdes entre les témoins et les personnes infectées plus de 6 mois auparavant par le SRAS-CoV-2.
Conclusions : Les personnes jeunes, auparavant en bonne santé, se remettent largement d’une infection légère et l’impact multi-système de l’infection est moindre que celui observé chez les patients plus âgés ou hospitalisés. Ces résultats peuvent être extrapolés au personnel de santé et à d’autres jeunes adultes en activité. (12)

Malgré les altérations de la substance blanche du cerveau observées dans une autre étude, une infection légère à modérée par le SRAS-CoV-2 n’était pas associée à une dégradation des fonctions cognitives au cours de la première année suivant la guérison. (13)

ACE et le SRA

Le récepteur ACE2 constitue l’un des maillons du système rénine angiotensine (SRA), un système hormonal essentiel à notre organisme. Le SARS2 suractive le SRA. Le SRA est considéré comme l’un des principaux régulateurs de la physiologie cardiovasculaire en contrôlant l’homéostasie du sodium, le remodelage cardiovasculaire, le maintien du tonus vasculaire et la régulation de la pression artérielle.

En occupant ACE2, le virus de la Covid l’empêcherait de jouer correctement son rôle de régulateur de l’angiotensine 2, un peptide (courte chaine d’acide aminés) qui arriverait ainsi trop massivement sur le récepteur suivant du SRA, AT1R, et pourrait donc susciter des réactions en chaine impactant de nombreux organes, notamment au niveau inflammatoire. La suractivation du SRA provoque également l’induction de signalisations profibrotiques, proapoptotiques et pro-inflammatoires dans les poumons et d’autres organes. Ce mécanisme se caractérise par une tempête massive de cytokines, une hypercoagulation, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et de multiples lésions organiques ultérieures.

Le récepteur ACE2 est essentiel pour l’expression des transporteurs d’acides aminés dans l’intestin : il module l’immunité innée et influence la composition du microbiote intestinal.(14) Dans cet article de 2020, JM Sabatier et ses coauteurs avaient ainsi prévu les maladies liées à la Covid et que l’on retrouve en tant qu’EI des vaccins :
– Hypertension artérielle
– Athérosclérose
– Dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque
– Hypertrophie cardiaque
– Fibrose cardiaque
– Maladie rénale chronique
– Fibrose pulmonaire idiopathique
– Hypertension artérielle pulmonaire
– Lésions pulmonaires aiguës
– Diabète de type 2 / résistance à l’insuline intolérance au glucose / action sur le métabolisme du glucose
– Anosmie / perte d’odorat
– Agueusie / perte de goût
– Inflammation auto-immune du système nerveux central
– Diarrhée
– Glaucome / action sur l’humeur aqueuse
– Thrombose / coagulopathie
– Lésions cutanées / dermatite
– Rétinopathie diabétique / action sur l’humeur aqueuse
– Dysfonctionnement du métabolisme lipidique
– Dysfonctionnement de l’immunité / différenciation et activation des cellules immunitaires
– Maladies auto-immunes (par exemples, sclérose-en-plaques, poly-neuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-Fisher)
– Cancer
– Fibrose hépatique / hypertension portale / cirrhose
– Lésion testiculaire

Mise en garde contre l’ADE

Comme je l’écrivais en mai 2020 (15), tous les experts s’accordaient déjà en 2020 :
–  » Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».
– « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves ».

L’ADE est un cas particulier de ce qui peut se produire lorsque des taux faibles et non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors d’une réinfection, des anticorps en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps se fixent alors au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée du virus dans la cellule et augmentant par la suite l’infectivité du virus.

On ne peut pas différencier une manifestation d’ADE d’une infection virale sans ADE. Donc, quand des maladies ou de décès se produisent dans un court délai après vaccination, on ne peut pas exclure le vaccin comme cause proximale. L’ADE a été démontré dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003 sur les animaux. Les données publiées concernant les vaccins anti-COVID-19 montrent la facilitation et l’aggravation de l’infection juste après l’injection, aussi bien sur les essais cliniques que dans les études observationnelles post-commercialisation et ceci avec tous les types de vaccins (ARN, adenovirus, virus inactivé et vaccin recombinant).

Le mécanisme biologique de l’ADE après infection par le virus a été démontré : les anticorps facilitants sont trouvés chez les patients atteints de COVID-19 graves. (16) Avec l’évolution du virus et l’apparition successive des variants du SARS-CoV-2, les épitopes facilitants sont conservés et les épitopes neutralisants mutent et permettent l’échappement des variants aux anticorps neutralisants, ceci renforçant la possibilité d’ADE après infection ou vaccination contre la souche originelle. (17) Les vaccins ARNm induisent des anticorps plus fortement capables d’interagir par leur fragments Fc que ceux induits par l’infection naturelle : ces anticorps vaccinaux seraient susceptibles de provoquer l’ADE. (18)

Il a été montré, par ailleurs, que les sérums de patients vaccinés par le vaccin Pfizer perdent leur activité neutralisante et acquièrent des propriétés facilitant l’infection avec des variants Delta. (19)
Très récemment, un nouvel article japonais montre que certains sérums provenant de personnes vaccinées avec le vaccin à ARNm ciblant la protéine S ont présenté un potentiel d’ADE contre l’infection par la souche originale. Tous les sérums examinés, y compris les sérums présentant une activité neutralisante contre la souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2, n’ont présenté aucune activité neutralisante contre Omicron. Au contraire, une certaine activité ADE a été observée dans certains sérums. (20) Un article de S Seneff et G Nigh détaillait en 2021 les autres mécanismes biologiques pouvant expliquer les effets indésirables des vaccins à ARNm (21), voir l’analyse en français (22)

L’ARNm des vaccins a été modifié par rapport à celui du virus : il est plus résistant à la dégradation, il code pour une protéine spike modifiée (stabilisée en conformation de pré-fusion ce qui va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; cette stabilisation repose sur une mutation proline mais cette proline augmente sa capacité de liaison à l’ACE2), l’expression de la protéine est augmentée par la proportion augmentée de nucléotides CG dans l’ARN par rapport à un ARN viral classique.

Anaphylaxie et auto-immunité

Le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG).
Certaines protéines virales possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3. Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système ; d’autres protéines pourraient être associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques. L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid mais les asymptomatiques infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné et éliminent le virus sans produire beaucoup d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection IM. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent, de ce fait, faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires.

Des maladies auto-immunes ont aussi été annoncées par d’autres études sur le mimétisme moléculaire : il existe des similitudes entre les protéines du virus SARS-CoV-2 et les protéines humaines. Par exemple, 29 pentapeptides sont communs entre la spike et la protéine cardiaque Titin, dont les altérations sont liées à la mort subite par arrêt cardiaque. (23)

Des auto-anticorps ont été trouvés chez les patients Covid (anti-nucléaires, anti-coagulant du lupus, anti-IFN, anti-MDA5 associés à la dermatomyosite amyopathique. (24) Le mimétisme moléculaire avec les protéines de choc thermique pourrait expliquer les syndromes de Guillain-Barré (25). Il existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et certaines protéines neuronales humaines qui font craindre des maladies auto-immunes. (26)

Il existe un mimétisme peptidique massif entre l’homme et la souris, c’est-à-dire des organismes qui subissent des conséquences pathologiques à la suite d’une infection par la COVID-19. Au contraire, aucun peptide commun ou un nombre très faible de peptides communs sont présents chez les mammifères qui n’ont pas de séquelles pathologiques majeures une fois infectés par la COVID-19 (27).

Pour anticiper les EIs des vaccins, il fallait aussi s’intéresser à la biodistribution des LNP (nanoparticules lipidiques) vectrices de l’ARNm des vaccins. D’après Seneff et Nigh, on savait par des études sur un vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement. D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. (Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé).

Le Dr Robert W. Malone avait expliqué que cette bio-distribution faisait craindre des problèmes de fertilité et de maladies du sang (28).

Ovaires
Deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux, la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

Testicules
L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules. Le vaccin Pfizer diminue la concentration et la mobilité des spermatozoïdes dans le sperme (29) et, contrairement à la conclusion des auteurs, si on se réfère aux résultats du tableau 2 de cette publication, il est clair que cette réduction n’est pas transitoire pour tous les hommes : elle persiste 7 mois après la vaccination.

Nouvel article de 2022 de JM Sabatier sur l’effet de la spike sur la fertilité (30) :

L’ACE2 est impliquée dans la régulation des systèmes reproducteurs masculin et féminin, ce qui suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 et le dysfonctionnement associé du SRA pourraient affecter la reproduction.

Les patients Covid sévères ont des taux d’hormones sexuelles modifiés. Concernant la reproduction chez l’homme, le SRA et l’ACE2 régulent la stéroïdogeneèse, la production de testostérone et la spermatogenèse dans le testicule. L’ACE2 est largement exprimée dans l’ovaire, l’utérus, le vagin et le placenta. L’ACE2 contrôle le développement folliculaire et l’ovulation, ainsi que l’angiogenèse et la dégénérescence lutéale, de même que les altérations du tissu endométrial et le développement de l’embryon. L’ensemble de ces résultats suggère que le système reproducteur féminin, qui exprime l’ACE2, est vulnérable à l’infection par le SRAS-CoV-2, et que la fertilité pourrait donc être affectée. L’expression dynamique du SRA dans les cellules stromales et épithéliales de l’endomètre au cours du cycle pourrait expliquer les modifications du cycle menstruel observées pendant l’infection par le SRAS-CoV-2. La spike vaccinale pourrait reproduire ces altérations du métabolisme reproducteur.

Interaction de la spike avec les récepteurs aux œstrogènes

Des données de bioinformatique ainsi que l’étude de hamsters infectés ont montré que la spike se lie au récepteur des œstrogènes. Les œstrogènes sont responsables de la maturation et du fonctionnement du système reproducteur féminin mais jouent aussi un rôle immunitaire, en particulier dans les voies de signalement utilisées par les macrophages (intervenant dans l’immunité innée anti-infectieuse).

Ceci pourrait aussi expliquer la prédominance de la maladie COVID-19 chez les hommes et l’effet protecteur rapporté d’un traitement anti-oestrogénique sur la prévalence de COVID-19 chez les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ou du sein. (31)

Covid et grossesse, rappel

Aucune des complications obstétriques, n’a montré de différence statistiquement significative entre les femmes enceintes SARS-CoV-2-positives et SARS-CoV-2-négatives admises à l’accouchement. notamment l’anémie, le diabète gestationnel, l’hypertension gravidique, la cholestase intrahépatique, l’hémorragie ante-partum et l’hémorragie post-partum. (32)

À propos de la question de la vaccination des femmes enceintes contre la Covid-19, des chercheurs néo-zélandais ont réinterprété les données d’un article du CDC et montré que l’incidence cumulée des avortements spontanés chez les femmes vaccinées avant 20 semaines de gestation est 7 à 8 fois supérieure à la moyenne habituellement observée, mais ils ont dû retirer leur article sous la pression (33).

Moelle osseuse : leucémies, anémies

Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes.

Purpura thrombopénique
Les LNPs se concentrent dans la rate qui est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (purpura thrombopénie idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm vaccinal dans la rate peut générer des cellules B produisant IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes -cellules souches des plaquettes- par autophagie). Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

Maladies à prion

S Seneff alertait également sur le lien possible avec les maladies neurodégénératives dues au prion, ce sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines.

La S contient 5 motifs GxxxG (glycine) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4. La S vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin, il peut y avoir des fragments d’ARNm induisant la synthèse d’une S incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

L’EMA avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves. (34)

Diabète

Le mécanisme biologique par lequel la spike interagit avec le métabolisme glucidique a été étudié. (35)
Les trois principaux mécanismes qui influencent la manifestation de la maladie COVID-19 chez les diabétiques sont les suivants :

  • (a) l’entrée du virus par les récepteurs ACE-2
  • (b) l’action par la Dipeptidyl-peptidase-4, et
  • (c) l’élévation de la concentration de glucose dans les voies respiratoires par une glycémie élevée.

L’ACE-2 est exprimé dans les cellules épithéliales alvéolaires, le cœur, les épithéliums rénaux-tubulaires et intestinaux et le pancréas. La S-Glycoprotéine à la surface du SRAS-CoV-2 se lie à cette ACE-2 et subit un changement de conformation. Cela permet sa digestion protéolytique par les protéases des cellules hôtes TMPRSS2 et Furin, ce qui entraîne l’internalisation du virus. L’entrée du virus dans les cellules déclenche une réponse inflammatoire des cellules T auxiliaires et, parfois, une « tempête de cytokines », entraînant des lésions organiques.

Le vaccin Covid exacerbe l’hyperglycémie chez les diabétiques, d’après une étude de cas et ce serait dû à l’inflammation induite par le vaccin. (36)

Le vaccin provoque des modifications métaboliques chez des sujets sains et jeunes ne se manifestant pas cliniquement : « La vaccination a influencé divers indicateurs de santé dont ceux liés au diabète, au dysfonctionnement rénal, au métabolisme du cholestérol, aux problèmes de coagulation, au déséquilibre électrolytique, de la même manière que si les volontaires avaient subi une infection.  »  [Liu et al., 2021, p. 9], des altérations cohérentes de l’hémoglobine A1c, des taux sériques de sodium et de potassium, des profils de coagulation et des fonctions rénales ont été notées chez des volontaires sains après la vaccination avec un vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2. Des changements similaires avaient également été signalés chez les patients atteints de l’infection COVID-19, suggérant que la vaccination imitait une infection.  » ([Liu et al., 2021, p. 1] (37)

Manifestations gastro-intestinales, neurologiques, hépatiques

Les récepteurs de l’ACE2 sont surexprimés dans la paroi intestinale, ce qui entraîne une forte perméabilité intestinale aux agents pathogènes étrangers. Une interconnexion entre les poumons, le cerveau et le tractus gastro-intestinal lors d’un COVID-19 sévère a été mentionnée. (38) De nombreux chercheurs ont fait état de troubles intestinaux et neuraux induits par le SRAS-CoV-2. Certains symptômes, notamment les vomissements et les nausées, pourraient être des signes de troubles du système digestif ou du système nerveux. Le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes du système nerveux central et périphérique, tels que l’hyposmie/anosmie, les céphalées, les nausées, les vomissements et les symptômes psychiatriques et psychologiques, chez un pourcentage élevé de patients atteints de COVID-19.

Effet de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur les cellules endothéliales et la barrière hémato-encéphalique

La spike du SRAS-CoV-2 stimule une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau qui peut avoir un effet négatif sur l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et perturber sa fonction. L’altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique augmente considérablement la possibilité d’une invasion neurologique par ce virus, offrant une explication au risque de dommages neurologiques chez les patients atteints de COVID-19. L’une des raisons des complications neurologiques observées chez les patients atteints du COVID-19 est une interaction de la protéine spike ou, plus précisément, du domaine de liaison du récepteur de la protéine spike S1 (SARS-CoV-2 S1 RBD), avec des protéines amyloïdogènes dans le cerveau. Il a récemment été démontré par docking moléculaire que ce domaine peut interagir avec le peptide β-amyloïde, l’α-synucléine, la protéine tau et la protéine prion.

Cancer et spike

Il existe des similitudes cliniques et moléculaires entre le cancer et le COVID-19 : les quatre principales voies de signalisation à l’intersection du COVID-19 et du cancer sont la signalisation des cytokines, de l’interféron de type I (IFN-I), du récepteur des androgènes (AR) et des points de contrôle immunitaire. (39)

Interaction de spike avec les systèmes de réparation de l’ADN humain :
La sous-unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA, selon une analyse bioinformatique pour étudier l’interaction de la protéine de la sous-unité S2 du SARS-nCoV-2 avec les protéines suppresseuses de tumeurs p53 et BRCA-1/2. (40)

Angiogenèse
D’après des autopsies de patients décédés de COVID-19 sévère, la spike favoriserait l’angiogenèse (la prolifération de vaisseaux sanguins). Cette angiogenèse est indispensable à l’oxygénation et à la prolifération des tumeurs malignes. (41)

Analyse de quelques publications d’effets indésirables dûs au vaccin

Cancer

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué : (42)
– Âge – L’âge moyen des échantillons a chuté, avec une augmentation du nombre d’échantillons de personnes âgées de 30 à 50 ans.
– Taille – Habituellement, il était rare de trouver une tumeur de 3 cm. Dans ce nouvel environnement, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois de 12 cm, elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait un sein entier.
– Tumeurs multiples se développent en même temps dans les 2 seins et même dans plusieurs organes. On avait des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons quelques mois après avoir été vacciné.
– Récidive – Il y a eu une augmentation du nombre de patients qui sont en rémission de leur cancer depuis de nombreuses années, ayant soudainement une récidive agressive de leur cancer peu de temps après la vaccination.

Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées (43), un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également (44)

Dérèglement immunitaire induit par le vaccin

1) Suppression immunitaire non spécifique

Dans la maladie- COVID-19, une importante lymphopénie est trouvée chez de nombreux patients atteints de Covid sévère. Avec une perte pouvant aller jusqu’à 80% des cellules T du sang, concomitante avec une prolifération intense du pool de CD8+, cellules T. (45) On a noté une réactivation d’herpès post vaccination Pfizer en Israël chez des patients avec une maladie inflammatoire rhumatologique (cf Seneff et Nigh). Au printemps 2022, la varicelle (due aussi au virus herpès-zona) a connu un pic jamais atteint en France (46).

  • Les vaccins ARNm induisent la production d’anticorps anti-IFN I (anti-interféron). L’interféron participe à l’activité anti-virale du système immunitaire (47)
  • Les vaccins ARNm induisent une chute du taux de lymphocytes cytotoxiques CD8 (48)
  • Dérèglement de l’immunité adaptative (génération aléatoire des parties variables des Ig)

Un article gênant a été retiré (sous le prétexte d’une expérience mal conduite).

Il montrait que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative. La protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, au site des lésions. Ce serait un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et occasionner des EIs potentiels des vaccins à base de spike pleine longueur. (49)

  • Décès par tempête cytokinique après vaccination. (50) Dans 4 cas de décès suivant une seconde dose de vaccin Covid à ARNm, le sang des victimes a été prélevé dans les 24h après la mort et a montré une augmentation de l’expression des gènes liés à l’hyperinflammation : les victimes seraient décédées d’une tempête cytokinique. La fonction immunitaire avait été sensibilisée par la première vaccination et la seconde a pu provoquer un SIRS (Syndrome de réponse inflammatoire systémique)
  • Dérèglement immunitaire induit par les nanoparticules lipidiques (LNPs). Le composant synthétique lipidique et ionisable des LNPs est hautement inflammatoire. Il est connu que certains vaccins et infections peuvent affecter à long terme la réponse innée en augmentant ou diminuant l’activation des cellules effectrices. Une étude sur les souris montre que les LNP d’un vaccin ARNm inhibent les réponses anticorps et augmentent la réponse innée. Le composant lipidique des LNPs Pfizer a une demi-vie de 20 à 30 jours in vivo. L’exposition primaire à des LNPs vides d’ARNm ou codant pour une protéine quelconque inhibe la réponse anticorps lors d’une seconde injection de LNPs vectrices d’un ARNm codant pour l’hémagglutinine du virus grippal. Les niveaux d’anticorps, ainsi que le nombre de centres germinaux de cellules B, sont diminués par cette première sensibilisation. Par contre, la pré-exposition à des LNPs portant un ARNm de protéine sans intérêt augmentent la protection contre une infection grippale ou à Candida chez les souris : les LNPs-ARNm augmenteraient la réponse innée ?

On ne sait pas dans quelle mesure les vaccinations réitérées peuvent aggraver cette dégradation de l’immunité immune. Les données sont contradictoires. Le dérèglement non spécifique de l’immunité induit par les LNP-ARNm est transmissible à la progéniture des souris, sans doute par un phénomène épi-génétique. (51)

2) Dérèglement immunitaire spécifique

Ce sont les conséquences de l’immunosuppression et de l’ADE (elles sont alors immédiates : Covid post injection). On retrouve de nombreux exemples (essai cliniques et études observationnelles post commercialisation)

  • Suppression immunitaire spécifique par le vaccin : en 2021, il avait été montré qu’après une infection par le variant alpha chez un vacciné, la prévalence d’anticorps anti-N détectable est inférieure à celle des non vaccinés. Pour le variant delta, on n’observait pas cette réduction de prévalence mais les taux d’anti-N étaient réduits chez les vaccinés 1 ou 2 doses infectés par les variants alpha et delta par rapport aux taux d’anti-N observés chez les non vaccinés convalescents. (52) Déjà en 2021, Allen et al. avaient noté que chez les vaccinés, après une infection Covid, les taux d’ac anti-N étaient soit nuls, soit inférieurs à ceux des non vaccinés ; cependant cette étude ne concernait que 23 infections post-vaccinales. (53) En octobre 2021, un rapport du gouvernement du Royaume Uni avait aussi noté cette diminution d’anti-N chez les vaccinés infectés. (54)

Les chercheurs du gouvernement britannique affirmaient (p. 23) que leurs tests sérologiques sous-estimaient le nombre de personnes ayant une infection antérieure en raison des « observations récentes des données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Pour info, les « experts » avaient traité de désinformateurs ceux qui avaient remarqué ces données en prétendant que l’absence d’anti-N était due à l’absence de réplication du virus (55) voir ci-dessous, essai Moderna. À nouveau en 2022, une publication d’avril 2022 du NIH et de Moderna vient confirmer ces données dans l’essai clinique Moderna donc avec la souche de Wuhan. (56)

La réponse est orientée vers la spike chez les vaccinés et moins vers la N qui est pourtant moins susceptible de muter et confère une bonne immunité. Les spikes des variants successifs, s’éloignant de plus en plus de la spike originelle de Wuhan sur laquelle sont fondés les vaccins, il aurait été fort utile que les vaccinés développent des anti-N aux mêmes taux (ou plus) que les non-vaccinés. Il se produit l’inverse.

Les auteurs ont analysé « les données de 1 789 participants (1 298 receveurs du placebo et 491 receveurs du vaccin) atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la phase en aveugle (jusqu’en mars 2021). Parmi les participants présentant une maladie de type Covid-19 confirmée par PCR, une séroconversion vers des anticorps anti-N au cours d’un suivi médian de 53 jours après le diagnostic est survenue chez 21/52 (40 %) des personnes ayant reçu le vaccin mRNA-1273 contre 605/648 (93 %) des personnes ayant reçu le placebo (p < 0,001). » Les participants infectés après avoir été vaccinés par le Moderna sont plus de 2 fois moins susceptibles de présenter une réponse anti-N que les non vaccinés. Et ceci n’est pas dû à une moindre réplication du virus chez les vaccinés car à charge virale équivalente, les vaccinés produisent moins d’anti-N.

Chez les personnes infectées avant d’avoir été vaccinées, les taux d’anti-N étaient comparables à ceux des non vaccinés. La protéine N peut générer une réponse cellulaire T robuste, elle est bien conservée et ne se recombine pas fréquemment. L’immunité anti-N est probablement importante. On ne sait pas si les tendances sont les mêmes avec l’omicron ou avec d’autres vaccins COVID.

Le vaccin pourrait empêcher l’acquisition d’une immunité contre la protéine nucléocapside du virus.

L’implication de cette étude serait que plus on vaccine, plus on efface l’immunité naturelle, de sorte que non seulement on attrape toujours le virus, mais qu’on continuera à l’attraper parce qu’on ne peut jamais atteindre une immunité complète, comme on pourrait le faire avec une infection naturelle, sans avoir été inoculé par une thérapie génique qui pousse l’organisme à réagir de manière inappropriée. Il s’agit d’une injection qui empêche l’immunité collective !

La réduction de la capacité à produire des anti-N a été observée après la dose 2 seulement, et non après la dose 1. Que se passe-t-il donc après les doses 3 et 4 ? L’émoussement est-il maintenu, accru ?
Il semble bien que plus on injecte la thérapie génique à ARNm aux gens, plus le virus circule et plus ils sont infectés. Toutes les données provenant du Royaume-Uni (57) semblent indiquer que plus on vaccine, plus on est infecté (les non vaccinés sont plus testés que les vaccinés, sans doute car les employeurs exigent plus de tests chez eux).

Les vaccinés sont plus à risque d’être testés positifs alors qu’ils sont moins testés !
Figure tirée de : https://www.walgreens.com/businesssolutions/covid-19-index.jsp (Walgreens est une entreprise qui vend des tests Covid).

Les dernières données de Walgreens concernent les résultats de 66 000 tests effectués dans tout le pays pendant la semaine du 17 avril 2022. Bien que les personnes non vaccinées aient été soumises au plus grand nombre de tests de toutes les cohortes (probablement en raison des obligations de test des employeurs), elles représentent la plus faible part des résultats positifs hebdomadaires. Il semble que la situation s’aggrave à mesure que l’on augmente les doses et la durée d’exposition à la dose !
Article des CDC de 2022 : Dosage des anticorps-anti-N (dus à infection et pas vaccination) :

Les vaccinés séroconvertissent moins : c’est sans doute dû au péché originel antigénique et non à une quelconque protection. (58)

Quelques exemples d’effets indésirables trouvés dans les publications scientifiques

  • Hépatites : réactivation de virus HBC (59)
  • Hépatite auto-immune, nbx cas, Modification paramètres hépatiques
  • Anémie (60)
  • Aggravation diabète (61)
  • Apparition diabète type 1
  • Myopathie immune nécrosante (62)
  • Thrombose coronarienne (63)
  • AVC (64)
  • Vascularite rénale auto-immune (65)
  • Vascularite nécrosante (66)
  • Thrombose cérébrale veineuse (67)
  • Guillain Barré
  • Hépatite auto-immune
  • Hypertension artérielle
  • Suppression de moëlle osseuse
  • Pemphigoïde bulleux
  • polyneuropathie
  • Altération du sperme
  • Thrombocytopénie (68)
  • Encephalite, épilepsie (69)
  • Myocardites
  • Zona (70)
  • Manifestations oculaires, auditives, neurologiques
  • SEP
  • Venous sinus thrombosis
  • Thyroïdite subaigüe , auto-immune
  • Réaction amyloïde, CJD
  • Défaut du contrôle de la coagulation chez patients sous anti-coagulants AVK
  • Inflammation généralisée

Comparaison des EIG entre vaccins anti-Covid et anti-grippaux : Les risques absolus les plus importants ont été observés pour les réactions allergiques, constitutionnelles, dermatologiques, gastro-intestinales, neurologiques et les douleurs localisées et non localisées. Les risques relatifs les plus importants entre COVID-19 et les vaccins antigrippaux ont été observés pour les réactions allergiques, l’arythmie, les événements cardiovasculaires généraux, la coagulation, les hémorragies, les réactions gastro-intestinales, oculaires, des organes sexuels et la thrombose. (71)

Hélène Banoun
Octobre 2022




A. Houpert et M. Wonner victimes de la chasse aux sorcières. Faire taire les parlementaires est une insulte à leurs électeurs et à la démocratie

Par le Dr Nicole Delépine

Après le sénateur Alain Houpert sanctionné de 18 mois d’interdiction d’exercice, dont neuf avec sursis1, c’est l’ex-députée Martine Wonner qui est scandaleusement suspendue par le conseil de l’ordre du Bas-Rhin2.

Les conséquences de ces décisions vont au-delà du cas personnel de nos représentants, d’autant plus que les conseillers ordinaux qui condamnent les médecins qui parlent ou qui soignent ne font pas la chasse aux conflits d’intérêts non déclarés alors que la loi transparence-santé les en a chargés.

Les Français rejettent les politiques comme en témoigne le taux d’abstention aux dernières élections. Comment pourraient-ils encore croire au jeu représentatif quand ceux qui détournent leurs mandats comme les conseillers de l’ordre des médecins bâillonnent ouvertement les élus courageux qui informent et font leur travail ?

On avait bien compris les jeux d’influence, le politiquement correct, le pas de vague, les discussions de couloir et les pressions pour limiter l’expression de parole des opposants au sein des groupes. Mais réprimer ouvertement la libre expression d’un parlementaire est un pas supplémentaire qui ouvrira peut-être quelques consciences supplémentaires de la marche vers le totalitarisme qui s’installe et dont la seule limite est évidemment le peuple.

🔴🇫🇷 L’ex-députée Martine Wonner, a été suspendue un an par le conseil de l’ordre des médecins.

L’ex-députée du Bas-Rhin entre 2017 et 2022 Martine Wonner, psychiatre de profession a été suspendue vendredi 25 novembre par le conseil de l’ordre des médecins du Grand Est pour une durée d’un an. Elle va faire appel de cette sanction.

L’ancienne députée avait affirmé que le masque « ne servait strictement à rien » et que les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Martine Wonner, qui compte faire appel de cette suspension, a jugé vendredi cette décision « scandaleuse ».3

Que peut conclure un lecteur de cet article de la radio progouvernementale ? La députée s’est opposée au port du masque : on savait déjà qu’elle avait raison, mais la confirmation, par de multiples études internationales de l’inutilité de l’obligation généralisée du port du masque a démontré son rôle de lanceur d’alerte précoce et qu’on aurait dû l’écouter et la remercier.4 5 6

Martine Wonner, fine psychiatre avait compris avant beaucoup d’autres la signification sociétale du port du masque :

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».7

Que ne l’a-t-on pas écouté au lieu de l’humilier dans l’hémicycle comme s’est permis l’ex-ministre Véran ? L’inefficacité antivirale et les innombrables effets pervers du masque, connus d’emblée, se sont malheureusement confirmés dans la pratique. 8

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

LE PORT DU MASQUE, UNE CATASTROPHE POUR UNE GÉNÉRATION

Quant aux conséquences majeures chez les plus jeunes, elles ont été envisagées d’emblée et confirmées dans la réalité 9 :

« Selon un rapport officiel, les mesures de confinement, y compris le port de masques par les adultes, ont laissé une génération de bébés et d’enfants en bas âge avec des difficultés d’élocution et de socialisation.

Les inspecteurs travaillant pour l’Ofsted ont constaté que le fait que les enfants en bas âge soient entourés d’adultes portant des masques pendant de longues périodes au cours des deux dernières années a nui à leurs capacités d’apprentissage et de communication.

Ceux qui atteignent l’âge de deux ans “auront été entourés d’adultes portant des masques pendant toute leur vie et n’auront donc pas pu voir les mouvements des lèvres ou les formes de la bouche aussi régulièrement”, selon le rapport.

Certains prestataires ont signalé que des retards dans le développement de la parole et du langage des enfants les empêchaient de se socialiser avec d’autres enfants aussi facilement qu’ils l’auraient souhaité auparavant”, ajoute le rapport.

En raison de ces restrictions, les tout-petits ont également du mal à ramper, à utiliser les toilettes de manière autonome et à se faire des amis.

Les retards d’apprentissage ont également fait régresser certains enfants au point qu’ils avaient besoin d’aide pour des tâches de base comme mettre leur manteau ou se moucher ».

Une autre étude, menée en Allemagne, a révélé que la capacité de lecture des enfants s’est effondrée par rapport à l’époque pré-COVID, en raison des politiques de fermeture des écoles.

L’orthophoniste Jaclyn Theek a déclaré :

« Le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des demandes de consultation de bébés et de jeunes enfants. Ils ne tentent pas de parler et ne communiquent pas du tout avec leur famille », a-t-elle déclaré, ajoutant que les symptômes de l’autisme sont également en forte hausse.

A speech therapist says her clinic has seen a « 364% increase in patient referrals of babies and toddlers.» « It’s very important kids do see your face to learn, so they’re watching your mouth. » What the hell have we done?! End this cruel insanity10.

Peut-on reprocher à une parlementaire, psychiatre de surcroit d’avoir averti ses collègues de faits avérés par de très nombreuses études et de l’avoir fait dans le cadre de son activité parlementaire pour laquelle elle a été élue ?

« Selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents, les récentes politiques de confinements et de masques imposés par la nation vont créer une génération d’enfants présentant un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales. »

Son devoir n’était-il pas justement d’alerter comme elle l’a fait ?

« Le Dr Mark McDonald a cité une étude réalisée le 11 août par l’Université Brown (PDF), selon laquelle « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie », lors d’un entretien avec l’animatrice Cindy Drukier dans l’épisode du 25 décembre de l’émission The Nation Speaks“ dNTD. NTD est un média frère de The Epoch Times.

Les masques, les « écoles Zoom » et les confinements ont conduit à « une privation générale de contact social, [à] ne pas pouvoir voir les visages, à être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a effectivement causé des dommages au cerveau des jeunes », a-t-il déclaré.

Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions liées à la pandémie et la« peur que nous inspirons aux enfants » ont entraîné une aggravation des problèmes psychologiques.

Heneghan a cité son étude du 2 octobre, qui conclut que« huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou de tout symptôme psychologique ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».11

Même Facebook a reconnu son erreur concernant les masques12. Il y aurait beaucoup à dire sur la censure par fb des informations exactes.13

Errare humanum est, perseverare diabolicum

Tous ces faits avérés et ces drames ne peuvent être ignorés des « juges » de Mme le dr Wonner, ni de France info. Comment osent-ils après deux et demi de recul ? L’erreur est humaine, mais persévérer est diabolique.

LES PSEUDOVACCINS ENTRAÎNENT DES FAUSSES COUCHES, DES TURBOCANCERS ET UNE BAISSE DE L’IMMUNITÉ et DES MORTS

Le second reproche cité par France info serait le suivant :

Les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Eh bien oui, malheureusement Mme le DR Wonner avait raison de le dire. Elle avait simplement consulté les publications du VAERS agence américaine dépendante de la FDA chargée de collecter les effets secondaires qui ont révélé très tôt l’augmentation considérable des fausses couches chez les femmes enceintes malencontreusement vaccinées. Les données d’EUDRAVIGILANCE ont malheureusement confirmé et on se demande comment la direction générale de la santé se permet encore de conseiller l’injection génique aux femmes enceintes après l’accumulation mondiale de données cohérentes sur les risques des pseudovaccins.14 15

LES TURBOCANCERS

Les cancers se sont malheureusement multipliés chez les injectés avec le nombre de rappels : non seulement le réveil de cancers en rémission longue depuis plusieurs années, parfois plus de quinze ans, mais aussi l’apparition de cancers chez des jeunes comme des lymphomes, des cancers du pancréas en particulier. La particularité de tous ces cancers, récidivés ou nouvellement apparus, est leur évolution très rapide et leur insensibilité aux traitements proposés. Ils sont qualifiés de « turbocancers ». La découverte de ces complications terribles au temps où les cancérologues se permettent d’exiger l’injection pour prendre en charge le patient date de plus d’un an déjà et se confirme mois après mois par de nouvelles publications. Comment les médecins juges du Conseil de l’ordre peuvent-ils reprocher cette mise en garde de notre clairvoyante députée ?

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué, plus gros, plus rapides, plus récidivants16. « Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées, un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également », selon l’article de l’AIMSIB qui correspond aux observations de très nombreux médecins.

L’IMMUNODÉPRESSION ET SON TRAIN DE CONSÉQUENCES AUGMENTENT AVEC LE NOMBRE DES INJECTIONS

Quant au SIDA il s’agit du syndrome de déficience immunitaire acquise, donc de perte de l’immunité, suivant une ou plusieurs injections géniques dont la réalité est malheureusement avérée par la pratique clinique et les publications.17

« Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non. La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins. De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement. »

En résumé, les inquiétudes et avertissements de Mme Wonner étaient largement justifiés et on s’étonne que les conseillers ordinaux dûment informés ? Ne serait-ce que par sa longue audition aient pu prendre une telle décision. Quel est leur degré de liberté ? Comment acceptent-ils de se transformer en simples inquisiteurs chargés de condamner les hérétiques qui mettent en doute le dogme gouvernemental ?

Au-delà de la véracité et de l’importance des déclarations de Mme la Députée, le sujet récurrent est celui de la LIBERTÉ, et singulièrement de la liberté d’expression tant bafouée et menacée par les projets de la Milivudes, via une ancienne scientologiste, tentant de faire dénoncer les opposants traités de complotistes.

La liberté d’expression18

Elle fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute.

Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0, on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre « droit de savoir. »

« De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix. »

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. « Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception, » a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socioreligieuses de son environnement. »

Cette liberté d’expression est de plus en plus mise en cause, des condamnations de l’ordre des médecins aux convocations par des commissariats de soignants vaccino prudents.
Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son interview récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker2

Il est intolérable que cet ordre des médecins (créé par vichy et dont les premières mesures ont constitué à exclure les médecins juifs et à demander aux médecins de dénoncer les résistants blessés par balle) ose poursuivre des médecins pour l’expression d’opinions scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée unique.

Cette suppression de la liberté d’expression touche les autres professions comme l’attaque du professeur de philosophie René Chiche ou du mathématicien Vincent Pavan suspendu de ses fonctions et privé de la moitié de son salaire l’ont prouvé récemment.19

Surtout, ne croyez pas le gouvernement qui tente à nouveau de nous faire peur avec une pseudo nouvelle vague.

Reprise de la propagande mensongère fondée sur un nombre stratosphérique de « cas » obtenus à partir du test PCR qui n’est pas fait pour le dépistage selon son inventeur Karry Mullis lui-même et, qui chez les asymptomatiques est faux dans 97 % des cas.20

France-Désinfo martèle : « L’épidémie repart à la hausse avec 40 000 “cas” quotidiens. » Sauf que… les « cas » ne sont pas des « malades » ! Et seuls les nombres de malades et de morts permettent de mesurer l’évolution d’une épidémie.

La vérité est ici : https://covid.irsan.eu. Il y a eu 29 « malades » pour 100 000 habitants pour cette semaine ! Il n’y a donc aucun redémarrage de l’épidémie de covid !





Incidence non négligeable des myocardites après 3e dose de vax anti-COVID-19

[Source : cardio-online.fr]

Auteur :
Guillaume Le Pessec
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Rouen

Théo Pezel

Relecteur :
Théo Pezel
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Paris

Albert Hagège

Sous la supervision de :
Albert Hagège
Président du Comité Éditorial de Cardio-online
Nancy

En direct de l’ESC Congress 2022

D’après la présentation de Christian Eugen Mueller (Basel, Switzerland) : « Myocardial Inflammation/Myocarditis After COVID-19 mRNA Booster Vaccination« 

L’essentiel

  • Il n’existait avant cette étude aucune donnée prospective sur les lésions myocardiques post vaccinales lors de la vaccination par un vaccin à ARNm. Seules les myocardites les plus graves hospitalisées ont été rapportées, touchant majoritairement les hommes de moins de 18 ans.
  • L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives.
  • Les lésions myocardiques touchent plus les femmes contrairement à ce qui est décrit dans les études précédentes.
  • La possibilité de doses répétées de vaccin afin de maintenir la couverture vaccinale efficace doit mener à une grande prudence concernant de possibles lésions myocardiques à répétition et leurs impacts sur d’éventuelles complications cardio-vasculaires.

Introduction

Nous savons qu’il existe des effets secondaires potentiellement graves au vaccin ARNm contre le COVID 19 tels que des myocardites.

Dans les données rétrospectives la principale complication cardiaque est la myocardite, qui reste rare avec une incidence de 0.0035 % et touche principalement les hommes jeunes de moins de 18 ans.

Néanmoins il existe un biais de sélection car seuls les cas graves, nécessitant une hospitalisation sont reportés.

L’incidence réelle des lésions myocardiques serait donc probablement beaucoup plus élevée dans la population générale. De plus, du fait de la nécessité de doses répétées et du grand nombre de personnes à vacciner, même rare cette complication n’est pas anecdotique.

Cette étude avait pour but d’évaluer l’incidence réelle des lésions myocardiques lors des vaccinations par un vaccin ARNm dans le COVID 19 de manière prospective et d’évaluer d’éventuelles mesures de prévention et de protection à appliquer chez les patients présentant ces lésions myocardiques asymptomatiques. 

Méthodologie et résultats

Cette étude était prospective monocentrique avec un bras contrôle. La population étudiée était composée d’employés du CHU de Basel en Suisse, ayant reçu une dose de vaccin ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna.

Le critère de jugement principal était la survenue d’une lésion myocardique, définie par une élévation de la troponinémie au-dessus de la norme, dosée à J3 post vaccination.

En cas d’élévation, un nouveau dosage était réalisé à J4 avec possibilité de réaliser de plus amples explorations cardiologiques. De plus, les patients présentant des lésions myocardiques étaient contre-indiqués à l’effort, et ce jusqu’à la décroissance de la troponinémie. Dans tous les cas le suivi était poursuivi jusqu’à J30.

Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la population totale avec des patients ayant été admis pour douleur thoracique sans qu’aucune cause cardiaque ne soit retrouvée. L’appareillement était réalisé sur l’âge, le sexe et les antécédents de coronaropathie et de maladie athéromateuse périphérique.

Le second critère de jugement secondaire était la survenue de MACE à 30 jours (mort d’origine cardiovasculaire, hospitalisation pour insuffisance cardiaque, arythmie ventriculaire et infarctus du myocarde).

Au total, 835 patients ont été inclus, dont 777 ayant bénéficié du dosage de troponinémie à J3, parmi ces patients 40 avait une troponinémie augmentée. Chez 18 d’entre eux il a été identifié d’autres causes que le vaccin pouvant expliquer l’élévation de troponinémie, et chez les 22 restants aucune autre cause que le vaccin était mis en cause. La population étudiée était majoritairement composée de femmes (69 %), la moyenne d’âge était de 37 ans et les patients recevaient très majoritairement leur 3ème dose 92 %. Moins de 2 % d’entre eux avaient des antécédents cardiovasculaires.

Les résultats de l’étude retrouvent que 2,8 % de la population vaccinée présentait des lésions myocardiques, 3,7 % chez les femmes et 0,8 % chez les hommes (Figure 1).

Figure 1.

Cela est une surprise à la vue de la population décrite dans les myocardites hospitalisées. Lors de la comparaison de la population avec des lésions myocardiques versus la population sans lésion myocardique, le seul facteur de risque retrouvé était le sexe féminin (p=0.03).

La comparaison avec le groupe contrôle ne retrouvait pas de différence significative en dehors des antécédents d’infarctus du myocarde et de maladie athéromateuse périphérique.

De plus on peut noter, que la troponinémie dans la population vaccinée semble plus élevée que dans le groupe contrôle sans que le test statistique n’ait été réalisé (Figure 2).

Figure 2.

Conclusion

L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.

Aucun MACE n’a été rapporté dans la population étudiée à 30 jours, néanmoins du fait de la réalisation de doses répétées, il est intéressant de se demander si cela ne pourrait pas entrainer des séquelles à long terme (insuffisance cardiaque, arythmie). Pour cela un essai randomisé avec un suivi au long cours serait nécessaire.

Les limites évoquées sont la réalisation de la troponinémie à J3, avec une élévation peu importante de la troponinémie, avec possiblement une sous-estimation de l’incidence des lésions précoces à J1 potentiellement déjà normalisées à J3. De plus, devant la faible atteinte myocardique celle-ci ne parait pas possible à détecter en IRM cardiaque. Une autre limite serait l’absence d’inclusion de patient de moins de 18 ans dans la population étudiée.




Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…

Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?

On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :

« la réintégration des soignants non vaccinés au Covid-19 reste à ce stade en suspens. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le ministre Braun a assuré qu’il rendrait son avis dans les mois à venir. Mais il prévient : cette situation pose deux problèmes, l’un sanitaire, l’autre d’“éthique professionnelle”.

« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »

Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».

Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.

Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.

Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».

Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2

Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.

Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.

Le ministre a dit :

« On meurt tous les jours en France du covid ».

D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.

Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?

On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :

« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :

Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :

Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana

Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?

Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4

Mais Christine Cotton affirme :

« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5

Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?

On peut lire la définition du Larousse :

Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6

Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :

« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.

On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”, 8

Quels sont les principes de l’éthique médicale ?

L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :

1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.

2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”

3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.

4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”

Qui doit respecter une éthique médicale ?

L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.

L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)

La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »

En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..

Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.

Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .

Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.

L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.9 10

Des pages entières, et de nombreux livres 11 12 13 14 15 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.

LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS

Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.



Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?

Voici les informations en direct du parlement européen :

Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !

Par Médecine du Sens Canal Info

« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »

Plus de 240 témoignages dans ce film :



Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues

Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé

La lettre ICI
L’argumentaire scientifique ICI
Annexe « Obligation vaccinale en Europe » ICI
Annexe « Évaluation vaccins bivalents » ICI

Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni

Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.

C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17

Des sénateurs s’engagent >

Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18

« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.

Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».

Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :

15 sept 2021 – 20 Nov 2022

« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »

Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.

« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.

Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.

Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.

Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.

J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.

À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.

Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.

J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »

Betty Infirmière 19


1 Covid-19 : la réintégration des soignants non vaccinés pose un problème d’« éthique professionnelle », selon Braun Par Dinah Cohen Publié le 20 novembre 2022 à 14 h 45 le figaro

2 https://youtu.be/mfOBQiw3b8w 19 nov. 2022
En direct de la table ronde « Justice pour les suspendus : Réintégrons les intégrés ! » du réseau « On sans pass » avec la sénatrice Laurence Muller-Bronn

3 Spike Protein Syndrome. News | ImunoMedica Clinic (imuno-medica.ro) «  il a été largement identifié ce que le Dr Thomas Levy appelle le “syndrome de la protéine Spike”, une pathologie causée par la propagation de la protéine Spike dans tout le corps, soit à la suite de la maladie COVID-19, soit à la suite de la vaccination COVID. Les symptômes sont principalement des réactions auto-immunes et peuvent inclure : insuffisance cardiaque, lésions cardiaques, crise cardiaque, myocardite ; hypertension pulmonaire, thromboembolie et thrombose pulmonaire, lésions du tissu pulmonaire, fibrose pulmonaire possible ; augmentation des événements thromboemboliques veineux et artériels ; Diabète ; les complications neurologiques, y compris l’encéphalopathie, les convulsions, les maux de tête et les maladies neuromusculaires, ainsi que l’hypercoagulabilité et les accidents vasculaires cérébraux ; dysbiose intestinale, maladie inflammatoire de l’intestin et intestin perméable ; lésions rénales ; altération de la capacité de reproduction masculine ; lésions cutanées ; maladies auto-immunes générales, anémie hémolytique auto-immune ; dommages au foie. »

4 @MullerBronnL @noel_sylviane @SGoyChavent https://t.co/KvjloMKU1w

5 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/24/20210921-cada21v210-covid-diapo3-2021.pdf

6 Komplette Liste auf larousse.fr

7 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2835237-ethique-medicale-definition-exemple-pour-qui-principe/

8 décrit le Pr Régis Aubry, Président la Plateforme national de recherche sur la fin de vie et membre du Comité Consultatif National d’Éthique.

9 EN 2020 LA COVID A BIEN MOINS TUÉ QUE LE DÉFAUT DE SOINS ET LE RIVOTRIL, en 2021 et 2022 arrive le SURMORTALITE VACCINALE, toutes les preuves statistiques d’une pandémie médicamenteuse | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

10 L’académie de médecine a introduit cette notion d’éthique « En conséquence, l’objectif du maintien de leur suspension ne peut être que l’expression d’une volonté politique. Il faut à cet égard écouter l’Académie de Médecine qui considère que, “le refus de se faire vacciner est incompatible avec le métier de soignant”, mais surtout que “réintégrer les soignants non vaccinés serait une faute” et “compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre (les membres de l’équipe soignante) et avec les malades” (avis du 19 juillet 2022). Pour les opposants à la réintégration des personnels non vaccinés, on ne pourrait laisser des personnes soigner alors qu’elles ne croient pas en la science, mettant en doute l’efficacité des vaccins ou encore, parce qu’il serait normal d’exiger de ceux qui prennent soin des autres qu’ils prennent soin d’eux-mêmes. Certains vont jusqu’à dire qu’en refusant de se faire vacciner, ces personnels auraient démontré qu’ils n’adhéraient pas aux valeurs du soin. » « Le refus de réintégrer les soignants non vaccinés trahit une conception scientiste et puritaine de notre droit » (marianne.net)

On peut s’étonner que l’académie transforme la « science » en une croyance !

11 Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Poche 6 janvier 2021, Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! Livre grand format, 31 mars 2021, Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu — Livre grand format, 2 novembre 2022

12 Laurent Toubiana, covid 19 — Une autre vision de l’épidémie : Les vérités d’un épidémiologiste

13 Jean-Loup Isambert, Le scandale Ivermectine, Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid19 22 octobre 2021

14 Didier Raoult Epidémies : vrais dangers et fausses alertes 26 mars 2020 (Michel Lafon), Carnets de guerre — Covid-19 —, 11 février 2021, Au-delà de l’affaire de la chloroquine Broché – Livre grand format, 14 octobre 2021

15 Nicole Delépine et Gérard Delépine : Autopsie d’un confinement aveugle, paru le 15 septembre 2020 ; Les enfants sacrifiés du covid, paru le 24 janvier 2022 et tellement d’autres auteurs et livres importants que nous n’avons pas la place de citer.

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18 Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux | FranceSoir

19

https://t.me/LaVeriteCensureeoff




Le Great Reset cible les enfants. La mode trans lancée

[Source : LHK]

Le président Biden s’exprime sur les enfants trans.

C’est la RTBF-Info belge qui rapportait en 2018 cette vidéo tournée dans une classe avec un titre alléchant : Les enfants aussi aiment les drag queens. Vidéo qui n’a fait que quelques milliers de vues :

« Depuis 2011, les besoins, enjeux et protocoles de soins destinés aux jeunes trans sont largement documentés et il ressort des travaux récents que ces jeunes sont plus à risque de suicide, discrimination, dépression, que leurs pairs. Or, la compréhension des facteurs causaux a changé, il devient évident que les expériences négatives liées à la discrimination sont responsables de ces difficultés psychiques et relationnelles. Lorsque les enfants sont acceptés et soutenus dans leur genre trans, ils ne diffèrent pas des autres enfants. Les structures de soins adaptées offrant un accompagnement respectueux et acceptant la différence de genre sont nécessaires. Trois axes d’intervention sont identifiés : les traitements hormonaux de retard de puberté, voire de puberté croisée, l’accompagnement des familles et la lutte contre le harcèlement scolaire. »

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2018/revue-medicale-suisse-621/un-futur-pour-les-enfants-et-les-jeunes-transgenres-que-savons-nous-sur-les-besoins-et-les-solutions

Le vernis scientifique est indispensable au programme de l’élite globaliste. Il est tout de suite suivi par des statistiques qui valent ce qu’elles valent :

Curieusement, la Suisse, très active en matière de bricolage de l’humain et de la législation qui l’accompagne, ne figure pas dans ce tableau.

[Voir aussi :
Biden approuve les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie pour les mineurs transgenres
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]]

La Suisse, toujours première de classe s’est préparée dès 2007.

En quoi consistent les traitements hormonaux ? À quel âge commence-t-on le traitement ? Comment s’assure- t- on du bienfondé du diagnostic ? Quel recul a-t-on sur la santé psychologique des enfants traités ?…

Une fondation, Agnodice, qui s’occupe en Suisse de transgenres et de non binaires de moins de 18 ans a été créée dès 2007.

https://agnodice.ch/wp-content/uploads/2021/08/Position_Agnodice_2021_Therapie_transaffirmative_vs-AMQG.pdf
But: la fondation a pour but de promouvoir en Suisse une société considérant la pluralité des genres et de leurs expressions comme une richesse relevant de la diversité humaine: une société qui réponde aux besoins spécifiques des personnes trans, non-binaires ou en questionnement de genre et qui leur offre l’intégralité des droits, responsabilités et opportunités reconnus aux personnes cisgenres. Pour réaliser ce but, la fondation s’efforce notamment de: – Proposer éducation et formation – Faciliter l’accès des personnes concernées aux meilleurs services – Répondre aux demandes des médecins, soignant.x.es, psychothérapeutes, enseignant.x.es, juristes et autres professionnel.x.les – Contribuer au soutien psychologique des personnes concernées et de leurs proches – Protéger la vie privée et professionnelle des personnes concernées – Prévenir et lutter contre l’exclusion sociale, l’exploitation sexuelle et les autres vulnérabilités susceptibles d’affecter les personnes concernées.

Le site de Agnodice a le mérite de jouer la transparence. Et il y est question d’hormonothérapie remboursée par les assurances (l’équivalent de la Sécu française):

Il s’agit d’administrer les hormones sexuelles afin de déclencher la puberté et les changements physiques correspondant au genre désiré. Cette hormonothérapie est précédée d’un bilan sanguin complet et peut prendre différentes formes. Elle est à discuter avec l’endocrinologue ou l’endocrinologue pédiatre. Les effets commencent à se faire ressentir après 2-3 mois et se développent sur plusieurs années. Ce traitement doit être suivi durant toute la vie. Les différentes étapes de ce traitement sont remboursées par l’assurance de base. Si vous rencontrez des problèmes de remboursement, n’hésitez pas à nous contacter rapidement.https://agnodice.ch/portail-enfants-adolescents-proches/vos-droits-suisse/prise-charge-medicale/

Et à qui s’adresse cette fondation? A tous finalement puisque l’âge de leur public-cible est 0 an. Cela va jusqu’à 18 ans. Ca passe forcément par le système scolaire!

https://agnodice.ch/bienvenue/fondation/pour-qui/

La Théorie du genre n’existe pas! Parole de Najat Vallaud-Belkacem.

De l’autre côté de la frontière, on joue la montre politique en jouant sur les mots. Souvenez-vous de M Peillon en 2014.

Les parents d’élèves qui ont osé manifesté sont traités d’intégristes et proches de l’extrême-droite. https://www.lexpress.fr/education/peillon-pas-de-theorie-du-genre-mais-une-education-a-l-egalite-a-l-ecole_1318058.html 2014

Puis en 2016, le pape François met les pieds dans le plat de l’Education française. Selon lui, les manuels scolaires de l’Education nationale française étaient truffés de Théorie du genre.

Le pape François avait déclaré que les manuels scolaires français promouvaient la théorie du genre. La classe politique française lui répond.https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Montée au créneau de la ministre de l’éducation de l’époque qui s’est dit choquée de pareille affirmation.

Au micro de France Inter, Najat Vallaud-Belkacem, « s’est dite « en colère » contre « la parole légère et infondée » du pape François, qui accusait dimanche les manuels scolaires français de propager la théorie du genre. »https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Puis on s’en prend à ceux qui ont envie d’en savoir plus sur l’éducation reçue par les enfants.

« Je n’imaginais pas que le pape François se laisserait embarquer par des intégristes et leur folie mensongère. Ca me met en colère »Najat Vallaud-Belkacem, octobre 2016

La ministre de l’Education a par ailleurs invité le pape à se renseigner d’avantage sur le sujet. « Je conseille au pape de venir à la rencontre d’enseignants de l’école française et de feuilleter les manuels scolaires ». Dire que le Vatican est mal informé… Bon bref, le public est sommé de laisser tomber le sujet.

« Il faut cesser avec ces inepties », a conclu la ministre de l’Education, réaffirmant que « ce sujet n’existe pas ». 

Soutien total de sa collègue Mme Kosciusko-Morizet :

« Les manuels scolaires je les regarde de près, j’ai deux petits garçons qui ont 11 ans et 7 ans (…) et je n’ai jamais rien trouvé qui ressemble à la théorie du genre ».

Ceux qui veulent voir dans ces thèmes des sujets droite-gauche sont mal informées ou ne veulent pas s’informer. Il y a la Haute finance internationale . Point.

Je retiendrai cette phrase de l’ancienne responsable politique:« Les innovations liées aux transitions énergétique et numérique sont là. Mais elles exigent de nouvelles infrastructures pour répondre aux attentes croissantes de proximité et d’autonomie. Nous devons les anticiper dès maintenant pour rendre possible leur déploiement à grande échelle » https://www.lesechos.fr/finance-marches/ma/nkm-se-lance-dans-le-capital-investissement-1314528
Un manifeste à découvrir
https://comitecedif.wordpress.com/qui-sommes-nous/

Et que veut la haute finance internationale pour vos enfants?

Une action planétaire frappe le secteur des jouets. Influencer l’enfant devient un objectif clairement affiché sous des allures d’innocentes poupées

https://www.santeplusmag.com/les-poupees-transgenres-arrivent-desormais-dans-les-magasin-de-jouets/
https://www.femina.fr/article/barbie-sort-sa-premiere-poupee-transgenre-a-l-effigie-de-l-actrice-laverne-cox?fbclid=IwAR3w5SoshDrawolAYpPzti3OWZJ7FdcA8-TIs-YisEwxEzDLpkrM5GXerbc
https://blogs.lexpress.fr/chica-de-paris/2014/12/22/une-poupee-trans-fait-polemique-en-argentine/

Repenser le genre par National geographic

Version Atlantico.

Des enfants de 3 ans sont recrutés pour étudier la santé des transgenres! 3 ans! Le petit garçon qui enfile les escarpins de sa maman ou le collier de sa grande soeur sont ciblés par ce genre de « scientifiques ».

Depuis 2013,
Kristina Olson , psychologue à l’Université de Washington, mène
une vaste étude à long terme pour suivre la santé et le bien-être des enfants transgenres, ceux qui s’identifient comme un sexe différent de celui qui leur a été attribué. naissance.
Depuis le lancement de l’étude, Olson a également entendu parler des parents d’enfants non conformes au genre, qui défient systématiquement les stéréotypes de genre mais n’ont pas fait la transition sociale.
Il peut s’agir de garçons qui aiment porter des robes ou de filles qui jouent avec des camions, mais qui n’ont pas, par exemple, changé les pronoms qu’ils utilisent.
Ces parents ont demandé si leurs enfants pouvaient participer à l’étude.
Olson a accepté.
Au bout d’un moment, elle s’est rendu compte qu’elle avait recruté par inadvertance un groupe important de 85 participants non conformes au genre, âgés de 3 à 12 ans. Et alors qu’elle restait en contact avec les familles au fil des ans, elle a appris que certains de ces enfants avaient fini par faire la transition.
« Suffisamment d’entre eux le faisaient pour que nous ayons cette occasion unique de revoir nos données pour voir si les enfants qui ont fait la transition étaient différents de ceux qui ne l’ont pas fait », dit Olson. https://www.theatlantic.com/science/archive/2019/01/young-trans-children-know-who-they-are/580366/

Promotion active du concept transgenre par les transhumanistes globalistes

McKinsey

https://www.weforum.org/agenda/2021/11/diversity-inclusion-transgender-workplace/

World economic Forum

Jacques Attali vous explique ce thème du great reset

La convergence de ces trois tendances est claire: nous allons inexorablement vers une humanité unisexe, sinon qu’une moitié aura des ovocytes et l’autre des spermatozoïdes, qu’ils mettront en commun pour faire naitre des enfants, seul ou à plusieurs, sans relation physique, et sans même que nul ne les porte. Sans même que nul ne les conçoive si on se laisse aller au vertige du clonage. https://www.slate.fr/story/67709/humanite-unisexe-biologie-immortalite

LHK

Rappel utile

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/17/un-lobbying-pro-pedophilie-qui-fait-fi-de-la-legislation-une-tolerance-problematique-dossier-vincent-held/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Bonus

https://video.wordpress.com/embed/MJjCO6ew?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1

AJOUT

https://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php?fbclid=IwAR1x7EG3PDpKBL33BE7sadanIWgKkk74dyRYqUINpJipy7nRwUDB2_DzT-M

Qu’est-ce que le genre, ce drôle de mot pratiqué des seuls grammairiens ? Il est un complexe outil intellectuel à double face. D’un côté, une grille de lecture pertinente qui questionne les rôles que la société impose à chaque sexe, le plus souvent au détriment des femmes. De l’autre, il abrite une réflexion militante… D’après elle, l’identité sexuelle ne saurait se résumer à notre sexe de naissance ni se restreindre à notre rôle sexuel social. Chacun doit devenir libre de son identité, se choisir, se déterminer, expérimenter… Et basta, l’humanité est arbitrairement divisée en masculin ou féminin.

Les « études de genre », terme traduit de l’anglais gender studies, ne sont pas récentes. Explorées par la fameuse universitaire américaine Judith Butler dans les années 70, elles naissent sous la plume et le bistouri d’un sexologue et psychologue néo-zélandais, John Money. C’est lui qui, en 1955, définit le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisira d’habiter, hors de notre réalité corporelle. Or le personnage est controversé. Spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins, il y étudie les enfants naissant intersexués et s’interroge sur le sexe auquel ils pourraient appartenir. Lequel doit primer ? Celui mal défini que la nature leur a donné ? Celui dans lequel les parents choisiront de les éduquer ? Il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John Money, se rendit responsable.

« Lavage de cerveau »

En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n’a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l’occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l’éducation peut émanciper. Il convainc les parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire – ni à son frère – qu’il est né garçon. Le médecin administre à l’enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.




Appel National à témoignages et hommages aux victimes des injections géniques expérimentales

[Source : Dépêches Citoyennes]

Par Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue Nationale pour la Liberté de Vaccination






Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn envoient une lettre au ministre François Braun pour exiger la réintégration des soignants suspendus

[Source : dissidentofficiel.com]

Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, qui sont intervenues de nombreuses fois au Sénat en faveur de la réintégration des soignants et autres personnels suspendus, réitèrent leur appel en adressant cette fois-ci une lettre directement au ministre de la Santé actuel, François Braun. Le moins que l’on puisse dire en lisant celle-ci est que leurs arguments sont franchement imparables, au point que le ministre n’aura pas le choix d’ignorer le message s’il souhaite persister dans le choix funeste de son prédécesseur Olivier Véran. Malheureusement, le fait que les personnes possédant de hautes responsabilités ne soient jamais confrontées frontalement sur leurs arguments est un problème. Cela ne nous empêche pas toutefois d’apprécier la mobilisation et la continuation du combat pour les libertés par les quelques figures du débat public qui ne cèdent pas à la tyrannie.

C’est le cas des deux sénatrices, qui dans cette lettre, fournissent des arguments très forts en faveur de la réintégration des soignants et des pompiers suspendus. Leur lettre a d’ailleurs été cosignée par plusieurs autres sénateurs de tous bords politiques.




Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

https://t.me/DrDelepine

Un nouveau drame appelle notre vigilance : les malheurs de Chloé « TRANSGENRISME »

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.1 2

[Voir aussi :
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

L’histoire de Chloé3

« Dès l’âge de neuf ans, Chloé Chole a commencé à “se questionner sur son genre”. À douze ans, elle dit à ses parents qu’elle veut “changer de sexe”. Ne sachant pas quoi faire, ces derniers sollicitent une aide médicale.

Un traitement “radical”

À aucun moment les médecins ne repoussent son “désir de transition”. De 13 à 17 ans, Chloé Cole subit un “traitement radical”, hors autorisation de mise sur le marché et “insuffisamment étudié”, comprenant des bloqueurs de la puberté, un traitement par hormones sexuelles croisées et une double mastectomie.

Devenue adulte, elle regrette d’avoir subi “un traitement médical expérimental et irréversible”. “J’ai pris une décision d’adulte quand j’étais enfant” déclare-t-elle ».

Elle va poursuivre l’hôpital et les professionnels qui « ont effectué, supervisé et, ou, conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale ». Elle demande des dommages-intérêts punitifs. Les adultes m’ont mis en danger.

De fait ils ont manipulé les parents par le mythe du suicide qui menace et qui « serait évité » par ce long parcours médical, radical, irréversible qui pourtant mène plus souvent à l’issue fatale que l’inverse. En effet une étude canadienne montre que le taux de tentatives de suicide est de 3 % chez les hétérosexuels, 15 à 25 % chez les gays, lesbiennes et bi, mais dépasse les 45 % chez les trans comme l’illustre le graphique qui suit.

Chloé se bat pour elle, mais surtout pour tous les autres : « Je veux tenir responsables les adultes qui m’ont mis en danger, parce que ce qui m’est arrivé est horrible, mais cela n’est pas arrivé qu’à moi », insiste la jeune femme. « Cela arrive aux enfants partout aux Etats-Unis, partout en Occident, et cela se répand dans le monde entier »

LE TEMPS DES PROCÈS EST ARRIVÉ

Les procès apparaissent en Californie, en Angleterre et des cliniques jusqu’ici fort rentables sont obligées de fermer.

Comment en sont-ils arrivés là dans les pays anglo-saxons, et comment éviter chez nous les mêmes déviances ?. Aujourd’hui en France allons-nous tenter une nouvelle fois de copier, et reproduire les délires d’outre-Atlantique, d’outre-Manche ou scandinaves, alors même que ces pays commencent à en prendre conscience des dangers que leur permissivité fait courir aux adolescents mal dans leur peau. En France toujours deux décennies de retard…

Un rapport de janvier 2022 remis au ministre Véran montre que le nombre de personnes se disant trans ou en parcours de transition représente 0,013 % de la population (8952 personnes parmi plus de 67 millions de Français). Mais la publicité redondante à la télévision, la formation des petits à l’école à leur soi-disant libre choix entraînent des conséquences…

D’après les données de l’Assurance maladie :

« Les demandes de prise en charge de chirurgie mammaire et pelvienne de réassignation ont quant à elles été multipliées par quatre entre 2012 et 2020, avec respectivement 113 et 462 demandes ».

Par ailleurs :

« Le nombre de séjours en établissements de médecine, chirurgie et obstétrique pour transsexualisme a été multiplié par trois entre 2011 et 2020, passant de 536 à 1 615. »

On se demande pourquoi actuellement un feuilleton ou film récent se croit obliger d’insérer un trans dans le scénario, pourquoi le ministre de l’Éducation nationale semble vouloir traiter ces domaines en priorité et pourquoi de multiples articles de journaux pleurent sur ces pauvres soi-disant « victimes de leur sexe » alors qu’ils le deviendront à coup sûr par l’utilisation généralisée de leur drame privé ;

Pourquoi les dirigeants politiques se croient-ils obligés d’afficher la caractéristique trans de tel ou tel ministre alors que cela ne devrait relever que de leur domaine privé.4

Ils ou elles (iel ?) deviendront victimes à coup sûr si elles sombrent dans ce parcours du combattant qui les rendra à jamais dépendants du système médical (par ailleurs défaillant)…

Pour combien de « satisfaits » ? Et pour combien de temps ? L’idée n’est pas de refuser à quelques rares adultes cette reconnaissance et ces actes médicaux, mais d’informer, avertir enfants et adultes de la terrifiante manipulation qui mène des enfants en bonne santé, mais qui se posent avec plus d’acuité que la moyenne leur devenir sexuel à plonger dans ce parcours médical, ce petit monde fermé dans lequel ils trouvent au début une communauté accueillante, mais qui se transforme selon leurs confidences progressivement en un enfermement pour la plupart.

L’argent : cherchez l’argent, toujours

Malheureusement la soi-disant humanité dont on multiplie les faux sens télévisés en mettant in fine sur le trottoir ou dans la drogue des êtres humains, « migrants » désinformés sur les conditions de vie occidentales, et dépouillés de leurs économies pour payer les passeurs, cette soi-disant humanité est la même qui pousse des enfants à la mutilation, pour satisfaire des prédateurs avides d’argent ou de « belles » interventions de modelage d’un pénis chez une femme ou d’un vagin chez un homme… Appât du gain et distraction de la routine de l’appendicite ou du cancer du côlon d’un chirurgien blasé ou les deux ou encore envie de notoriété ? En tous cas le sort de « l’objet » à remodeler, du patient devenu objet n’a probablement pas grand-chose à voir avec la compassion pour l’enfant ou l’adulte angoissé par sa sexualité, du moins dans la majorité des cas…

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons5.

On se demande pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets 6 ou des autorités administratives comme le Défenseur des droits ou le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ?

Les rapports censés orienter les choix de la HAS en matière de recommandations sont confiés à des personnes, tout sauf indépendantes et objectives.7 Plaidant pour leur paroisse et ne tenant aucun compte de l’expérience acquise par les pays pionniers des traitements de transition médicale, et qui justement en reviennent comme la Suède.8

Depuis une vingtaine d’années, la folie du « genre » avait atteint le monde anglo-saxon et scandinave, nous épargnant relativement (en dehors des séries…). Mais récemment la mode « de changer de sexe » dès l’école primaire s’est installée officiellement en imposant aux enseignants d’accepter que l’élève choisisse un nouveau prénom sans l’accord de ses parents.

Le ministre de l’Éducation prétend que l’éducation sexuelle est une priorité dans un pays où les jeunes ne savent plus ni écrire, ni compter, ni calculer même à l’entrée de prépas réputées…

Nous devons nous préoccuper de cette nouvelle dérive pour savoir comment aborder ces sujets délicats, sans braquer, avec nos jeunes, proches, amis, familles, soumis à la pensée unique des réseaux sociaux colonisés par des « militants » d’un seul discours renchéri par France info et co…

Ainsi trop d’adolescents, en recherche d’eux-mêmes se trouvent embarqués dans un parcours de genre, tout malaise étant interprété comme une « dysphorie »9 pourtant rarissime. Les médecins consultés choisis pour leurs « compétences » autoproclamées sont le plus souvent des militants de la transition et orientent systématiquement d’emblée les enfants vers ce type de réponse, oubliant toutes les autres causes de mal être de cette tranche d’âge pour peut traiter moins brutalement.

Un marché juteux et trop de victimes embarquées sans réel diagnostic, sans précaution

Ce serait le règne de l’autodiagnostic ! Une enfant de quatre ans qui se dit garçon a forcément raison et il faut aller dans son sens, c’est ce qu’on explique aux parents perdus et pas préparés à ce genre de déviance, et les enfants de quatorze ans peuvent imposer leur « transition » dans le secret, sans en informer leurs parents.

ON FAIT VOTER AUX DÉPUTÉS LA DÉPATHOLOGISATION DE LA TRANS-IDENTITÉ

Comme si on pouvait choisir son sexe ! Le sexe est une constance biologique déterminée lors de la fécondation par la loterie du mélange des gênes X et Y des parents. Cette reproduction sexuée apporte un avantage biologique à l’espèce qui l’adopte et pour cette raison se retrouve chez toutes les espèces vivantes évoluées. Prétendre qu’on pourrait choisir son sexe ou que celui-ci est uniquement la conséquence d’un apprentissage social est un mensonge éhonté véhiculé parmi les députés, mais surtout les jeunes en souffrance et leurs parents qui ne peuvent plus donner de nécessaires « limites » aux jeunes sans se sentir ou être traités de parents indignes. On ne pourra jamais changer que l’apparence, mais jamais le sexe chromosomique ! Le changement de sexe promis aux jeunes gens est une imposture.

Société de la folie. Essayons de sortir du délire ambiant !

De la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne10 qui ont répété à l’envi que « la transidentité n’était pas une maladie » et « que chacun devait être libre de choisir son identité de genre, sans se laisser imposer “un modèle hétéronormé binaire”11. » Cette revendication n’est pas propre à la France. La dernière version de la classification internationale des maladies éditée par l’OMS (CIM 11) vient de transférer « l’incongruence de genre » du chapitre des affections psychiatriques vers celui de la santé sexuelle.

Alors que les soins à la vue de tous sont de plus en plus compromis par le délabrement continu de notre système de santé, la disparition des médecins de famille, la fermeture récurrente des urgences hospitalières et des blocs opératoires repoussant aux calendes grecques une intervention urgente, l’objectif du gouvernement et de ses instances telles la HAS est de créer un HOMME NOUVEAU avec tous les moyens y compris financiers détournés de la sécurité sociale.

Ainsi pour ces avocats d’un nouveau monde rêvé par Huxley et exposé par Laurent Alexandre, le sexe n’existe plus, c’est un fantasme que vous pensez voir à l’échographie prénatale et à la naissance et seul le GENRE existe… Et c’est bien sûr la sécurité sociale, la solidarité nationale qui doit assumer vos fantasmes ou plutôt vos pseudo-fantasmes bien utilisés par les lobbies fournisseurs de clients à la filière transhumaniste.

Ainsi est affirmé le droit à réquisitionner la médecine et la solidarité nationale afin de transformer et mutiler son corps pour le faire correspondre à ses fantasmes :

« Nous passons à un modèle dans lequel la personne détermine librement et elle-même son genre ainsi que le recours à tel ou tel traitement (…) ». « Il s’agit là aussi de mettre en œuvre des moyens du champ médical non pas pour soigner une pathologie, mais pour concrétiser le droit à disposer de soi-même »

Ainsi alors que le choix revient en totalité à la personne, c’est la société qui doit rembourser à 100 % les frais induits chez un être humain considéré comme normal, non malade, mais classé en affection de longue durée pour remboursement total des interventions et autres traitements médicaux.

Il semble bien que le médecin généraliste soit sommé « d’établir un protocole de soins de transition médicale à la demande de son patient non malade (ne pas confondre, sous peine de sanction pour discrimination), c’est-à-dire de lui prescrire les produits hormonaux réclamés et lui fournir des ordonnances nécessaires à la chirurgie. Pourra-t-il s’y refuser ? Avec la loi du 31 janvier 2022, rien n’est moins sûr ».

En résumé un diagnostic établi par la personne (considérée comme non malade, y compris mineure) sans confirmation médicale et un accès AUTOMATIQUE A LA TRANSITION MÉDICALE ET/OU CHIRUGICALE. !

Un drame social et financier,12 mais surtout individuel d’une personne en souffrance, en mal être13 en raison de ce qu’elle pense suite à ses lectures internet, ses participations à des forums influencés par les lobbies très riches, et la confirmation ou l’acceptation quasi automatique des médecins consultés qui appartiennent automatiquement aux lobbies, puisque la personne est orientée vers les « spécialistes ».

Imaginez un instant : je décrète avoir un cancer des ovaires et me fais enlever les gonades et prescrire un traitement hormonal sans avis médical et avec obligation pour le corps médical de me prescrire ces traitements qui seront automatiquement remboursés.

On peut décliner ce modèle pour se sentir avoir une sclérose en plaques et exiger les traitements ou un lymphome… Cela paraît exagéré, mais c’est exactement cela qui se passe en matière de changement de sexe et de son effroyable parcours qui transforme définitivement la personne en malade chronique, tant les traitements hormonaux à vie et la surveillance des sites opératoires s’imposent à vie, sans même parler de ceux, nombreux, qui feront le chemin inverse (détransition et rebelote pour les hormones inverses et les interventions…).

La prudence minimale enterrée

Des vies perturbées, gâchées au nom d’une pseudo liberté et de décisions privées de la plus élémentaire prudence ne respectant même plus, dans le cadre particulier du changement de sexe, des dispositions protectrices du Code civil et du code de santé publique interdisant les interventions mutilantes14 et les prescriptions hors AMM.

Notre société avide de copier les délires new-yorkais ou californiens est entrée dans un nouveau monde, « le meilleur des mondes » d’Huxley15, où au nom d’une pseudo liberté individuelle accrue, on soumet en réalité les esclaves du net et de la propagande télévisuelle via Netflix et autres, à un avenir lourd de drames personnels via les traitements médicaux lourds et les mutilations irréversibles menant trop souvent au suicide.

CHANGEMENT DE PARADIGME IMPOSÉ PAR NOS GOUVERNANTS

Voici la justification de la détermination du gouvernement à imposer ces pratiques qu’on pourrait aussi considérer comme barbares vers un changement de paradigme :

« Les nombreux échanges réalisés par la mission, les évolutions du contexte international (CIM 11) l’ont convaincue qu’un changement de paradigme dans les parcours de soins des personnes trans est à la fois nécessaire, attendu et possible.

Les changements doivent reposer sur des principes éthiques et politiques : dépathologisation de la transidentité, autodétermination des personnes seules à même de définir leur identité de genre, non-discrimination, égalité géographique et sociale d’accès aux soins. Les travaux à venir de la HAS doivent par ailleurs contribuer à intégrer l’état des connaissances, dans les pratiques de soins »16.

Donc la HAS n’aura aucun autre choix que mettre en pratique l’avis du ministre.

On a, dans le même temps, privé les parents de toute autorité, par conditionnement social et menaces pénales pour une fessée, donnant ainsi la toute-puissance sur les cerveaux de nos petits à une école qui n’enseigne plus le français ni le calcul, mais la sexualité, priorité avouée de notre actuel ministre de « l’éducation nationale »17.

Le rapport de janvier 2022 18 qui sert de base à la réflexion de la HAS sur les recommandations qui seront publiées en septembre 2023 est orienté par les lobbies qui l’ont rédigé et fait cruellement la place centrale au modèle « trans-affirmatif » immédiat, y compris pour les mineurs. Est-ce l’avenir que vous voulez pour vos enfants ? Et pourtant la maturité cérébrale ne serait acquise qu’à 24 ans…

Ces rapports préliminaires de janvier 2022 ainsi que le rapport de la HAS de septembre 2022 sur les futures recommandations ne font guère référence aux drames vécus par ces victimes de la mode et des médecins et seulement de façon insuffisante. La note de cadrage de la HAS de septembre 2022 19 avoue qu’elle a peu d’informations sur les « détransitions ». C’est pourtant un point fondamental, ainsi que la comparaison des suicides dans les tranches d’âge comparables et celles des sujets trans ou en parcours de transition.

Rappelons enfin la « définition du parcours de transition », d’après le rapport de l’IGAS 2022.

Les parcours de transition se déclinent en transition sociale, administrative, et médicale.

La transition sociale est le fait de vivre dans son environnement dans un genre social autre que son genre de naissance (de fait sexe de naissance !).

La transition administrative porte sur la modification du prénom et/ou de la mention de sexe à l’état civil.

« La transition médicale concerne l’ensemble des soins médicaux liés à la transition de genre (hormonothérapie, chirurgies). »

Les parcours de transition médicale désignent les parcours au sein du système de santé d’une personne transgenre, visant à d’obtenir les modifications corporelles souhaitées, à l’aide de soins délivrés par des médecins (hormonothérapie, épilation laser) et/ou chirurgiens (plasties de la poitrine, chirurgie pelvienne, etc.) et/ou d’autres professionnels de santé (orthophonie pour féminisation de la voix).

Ces parcours de transition devraient reconnaître l’autodétermination des personnes, permettre un choix éclairé en améliorant l’accès à l’information, rendre possibles des parcours de transition médicale diversifiés dans leur contenu et leurs modalités, faisant une plus grande place à la médecine de 1er recours et au travail en réseau, dépsychiatriser l’entrée dans les parcours, tout en permettant un accompagnement en santé mentale si nécessaire. La doxa officielle ne veut surtout pas « psychiatriser » alors que tous professionnels et proches conviennent que ces personnes ont besoin de soutien psychologique et souvent psychiatrique.

Dans ce rapport de l’IGAS, on note encore que la prévalence de cette dite dysphorie de genre chez les mineurs n’est pas établie.

« Selon une revue systématique de la littérature, à ce jour, la prévalence de la dysphorie de genre chez l’adolescent (âgés de 12 à 18 ans) ne peut pas être établie. Il y a des preuves d’une augmentation de la fréquence de consultation des adolescents pour traitement ces dernières années et les adolescents de sexe féminin à la naissance sont maintenant majoritaires ».

Enfin les troubles associés sont tout de même reconnus par l’IGAS. D’après une revue générale, la vulnérabilité des jeunes transgenres inclut les risques suicidaires, la dépression, l’anxiété, et l’auto-agressivité, ainsi qu’une persécution à l’école autant chez les garçons que chez les filles. » On aimerait des statistiques !

IL EST CLAIR QUE CES SUJETS MÉRITERONT APPROFONDISSEMENT ET SURVEILLANCE POPULAIRE

En effet dans notre société, est passée subrepticement la légalisation de l’avortement devenu infanticide puisqu’autorisée jusqu’à l’âge de neuf mois en août 2021 au sein de la loi dite de bioéthique, sans prise de conscience populaire qui s’étonne aujourd’hui de cette possibilité en Californie, sans savoir que la disposition existe en France.

Est passée également l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal dans la même loi passée en catimini.

Peut-on citer également l’expérimentation à grande échelle d’une substance génique expérimentale, appelée fallacieusement vaccin, pour tromper les foules, mais évitée chez les animaux en raison de trop de mortalité dans les premiers essais ?

Alors laisserons — nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement lucratif…

Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.


1 13.11.22 https://m.epochtimes.fr/une-adolescente-ex-trans-poursuit-les-medecins-qui-lont-mutilee-alors-quelle-etait-mineure-2158461.html

2 https://www.foxnews.com/media/detransitioned-teen-hold-gender-affirming-surgeons-accountable

3 Transition de genre chez une mineure : des médecins poursuivis. Publié le 15 novembre 2022, revue de presse génétique.

4 Voir par exemple une ministre de Biden dont l’objectivité sera questionnable en ce domaine

Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé

Cette pédiatre devient ainsi la personne transgenre la plus haut placée au sein du gouvernement américain, une première historique. Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé — Allo Docteurs

5 « Seulement les adultes ? Bonnes pratiques en matière de la reconnaissance légale du genre pour les jeunes ; un rapport sur l’état actuel des lois et du plaidoyer des ONG dans huit pays d’Europe, en mettant l’accent sur les droits de jeunes » : https://www.iglyo.com/wp-content/uploads/2019/11/IGLYO_v3-1.pdf

6 Cf par exemple le site de l’association lyonnaise Chrysalide dont les publications sont subventionnées par le ministère des Solidarités et de la Santé, la région Aura, la Métropole de Lyon, alors qu’elles sont très contestables : https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/

7 Voir article La fragile protection des enfants face aux lobbies trans-affirmatifs,

Publié le 25 mars 2022, revue Gènéthique

8 https://www.socialstyrelsen.se/om-socialstyrelsen/pressrum/press/uppdaterade-rekommendationer-for-hormonbehandling-vid-konsdysfori-hos-unga/

9 Le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux — 5e édition) publié en 2015 en version française, définit la dysphorie de genre par : A : la non-congruence marquée entre le genre vécu/exprimé par la personne et le genre assigné, d’une durée minimale de 6 mois et B : le trouble est accompagné d’une détresse cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

10 Article 225-4-13 du Code pénal : « Les pratiques, comportements ou propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ».

11 M. Bastien Lachaud, Compte-rendu de la deuxième séance du 5 octobre 2021

 L’ensemble du parcours médico-chirurgical est financé par l’assurance maladie au titre de la prise en charge d’une affection de longue durée (ALD)

12 « Les soins de transition peuvent, contrairement à ce qu’on observe dans d’autres pays, être pris en charge par la sécurité sociale, pour certains à 100 % en cas d’accès à l’ALD (affection de longue durée). Le nombre de bénéficiaires de l’ALD au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre a fortement augmenté depuis 10 ans, tout en restant relativement modeste : 9 000 personnes sont concernées en 2020 dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013 selon la CNAM). 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans. En 2019, le nombre de demandes et d’avis favorables d’ALD concernant des hommes trans (FtM) a rejoint celui des femmes trans (MtF) » rapport au ministre 2022 ibid 9

13 A-t-on encore le droit de le dire ou de l’écrire sans être accusé de discrimination ?

14 Female to Male (FtM) désigne une femme qui devient homme ; Male to Female (MtF), un homme qui devient femme.

La chirurgie d’affirmation de genre recouvre des interventions de féminisation (création d’un néo-vagin, augmentation mammaire, féminisation du visage…) ; la chirurgie de masculinisation recouvre des interventions des organes génitaux (hystérectomie, métaoidioplastie, phalloplastie…) ou de la poitrine, mastectomie.

15 Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d’anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système.

16 Rapport ibid11 page 6 objectifs imposés : « L’enjeu prioritaire est de renouveler l’organisation des parcours de transition, avec pour principes clefs l’autodétermination, le consentement éclairé, la reconnaissance de la diversité des parcours, une place renforcée des professionnels de santé de premier recours, un travail en réseau et un repositionnement du rôle de la psychiatrie. »

17 Les mesures devraient a priori concerner tous les niveaux scolaires. Elles viseront à lutter contre les « stéréotypes de genre » ainsi que les LGBT-phobies et les violences sexuelles et sexistes.

18 Remis au ministre début 22 rapport_sante_des_personnes_trans_2022.pdf (solidarites-sante.gouv.fr) répond à une saisine du ministre des Affaires sociales et de la Santé faite à deux acteurs de terrain de la prise en charge des personnes, le Dr Hervé Picard, médecin généraliste et médecin de santé publique et Simon Jutant de l’association ACCEPTESS-T, avec l’appui de Geneviève Gueydan de l’IGAS. « Ce rapport intervient un moment qui laisse espérer des progrès possibles ; si la situation et les parcours de soins des personnes trans ont été, et restent encore trop, marqués du sceau de la pathologisation de la transidentité et de sa stigmatisation, des évolutions majeures du contexte peuvent en effet contribuer à de profonds changements. »

19 Parcours de transition des personnes transgenres (has-sante.fr) note de cadrage de la HAS de septembre 2022 en préparation des recommandations prévues pour sept 2023.




Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique

[Source : anna-bellas.com]

Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique… VOILÀ COMMENT ils nous prennent pour des cons !!!

Alors que le groupe éco-zélote Just Stop Oil continue d’enfreindre la loi et de semer la pagaille, il est peut-être temps de chercher à savoir qui tire les ficelles de ce mouvement et d’autres faux mouvements populaires. Un simple coup d’œil suffit pour se rendre compte que les personnes qui se cachent derrière ne sont pas des citoyens ordinaires, mais un groupe de milliardaires américains très influents.

Dans une série en quatre parties publiée par The Conservative Woman, Stephen McMurray démontre comment la psychologie et l’argent — et non les faits — sont à la base du récit alarmiste sur le climat au Royaume-Uni. Outre les groupes de psychologues « indépendants », ces tactiques psychologiques sont déployées par le gouvernement britannique sur la base d’un document produit par la commission de l’environnement et du climat. Le célèbre duo de faux narratifs Covid, Chris Whitty et Patrick Valance, fait partie de ce comité.

Stephen McMurray est membre du Free Speech Union. Ce qui suit est un bref résumé des articles de McMurray, vous pouvez lire les quatre articles dans leur intégralité en suivant les liens fournis :

Partie 1 — Argent et idéologie ICI.
Partie 2 — Margaret Klein Salamon ICI.
Partie 3 — La psychologie pour influencer la population ICI.
Partie 4 — Tactiques coercitives de Covid réutilisées pour le récit de la crise climatique ICI.

Selon le site web de Just Stop Oil, leur principale source de financement est le Climate Emergency Fund. Le Climate Emergency Fund fournit « un moyen sûr et légal pour les donateurs de soutenir les protestations perturbatrices ». Les trois membres fondateurs de ce groupe — Aileen Getty de la famille pétrolière Getty, Rory Kennedy, fille du sénateur Robert Kennedy et le philanthrope Trevor Neilson — financent également Extinction Rebellion.

L’attention s’est surtout portée sur les Getty, mais c’est Trevor Neilson qui a le parcours le plus intéressant. Après l’université, il a travaillé comme stagiaire à la Maison-Blanche lorsque Bill Clinton était président. Plus tard, il a travaillé pour la toute nouvelle Fondation Bill et Melinda Gates en tant que directeur de la communication et a également été le porte-parole personnel des Gates. M. Neilson a également été membre de la Clinton Global Initiative, du Council of Foreign Relations et de l’un des Young Global Leaders du Forum économique mondial.

En 2002, elle a cofondé DATA (Debt, AIDS, Trade, Africa) avec Bill Gates, Bono et George Soros.
En 2006, elle a fondé le Global Philanthropy Group, qui a contribué à la création de Make It Right avec Brad Pitt.
En 2015, Neilson a créé des investissements (désormais appelés Net Zero) avec Howard Warren Buffett, petit-fils du milliardaire Warren Buffett, qui siégeait au conseil d’administration de la Fondation Gates. Net Zero est une société d’investissement spécialisée dans les énergies renouvelables.
Parmi les membres actuels du conseil consultatif du Fonds d’urgence pour le climat, on retrouve les thèmes et idéologies habituels qui n’ont rien à voir avec le climat, mais qui sont chaleureusement accueillis par les fanatiques de la crise climatique.

Stephen Kretzmann a fondé Oil Change, une organisation qui milite pour la fin de la production de pétrole. Il est un partisan du mouvement marxiste Black Lives Matter.
Bich Ngoc Cao. Elle fait partie du conseil d’administration du site d’information de gauche Mother Jones. Elle fait également partie du conseil des commissaires de la bibliothèque de la ville de Los Angeles.
Bill McKibben compare les problèmes climatiques au racisme et utilise la mort de George Floyd pour étayer son propos.

Margaret Klein Salamon est psychologue clinique et a donc été impliquée auprès de personnes vulnérables souffrant de niveaux élevés de stress et d’anxiété. Dans son rôle dans l’activisme climatique, elle semble utiliser son expérience pour effrayer les personnes vulnérables. Elle est la fondatrice de Climate Awakening qui est « un projet visant à libérer le pouvoir des émotions liées au climat par le biais de conversations évolutives en petits groupes. » Il est clair que ce site est utilisé pour dire aux enfants qu’ils devraient être terrifiés par la crise climatique et pour s’assurer qu’ils répandent cette terreur à d’autres enfants. Il est méprisable pour une psychologue clinique d’utiliser de cette manière des enfants qui peuvent être dans un état de trouble mental. Elle donne ensuite des instructions à ces enfants pour qu’ils répandent la peur à d’autres et qu’ils fassent la promotion de l’agenda des alarmistes climatiques. C’est totalement contraire à l’éthique. McMurray consacre l’intégralité de la deuxième partie à l’utilisation abusive de la psychologie par Salamon.

Si vous pensez que Margaret Klein Salamon est une curiosité parmi les psychologues, détrompez-vous. De nombreux psychologues sont maintenant montés dans le train de la crise climatique. Il existe une organisation appelée l’Alliance pour la psychologie du climat. Comme Salamon, elle souhaite utiliser son expertise dans le domaine de la psychologie pour inciter les gens à croire à sa vision du monde sur la catastrophe climatique imminente. Ce groupe affirme ouvertement que les « faits » ne persuadent pas vraiment les gens de la réalité de la crise climatique et qu’il doit utiliser la psychologie pour nous pousser à devenir de vrais croyants :

Il est désormais largement admis que les faits et les informations sur le risque de changement climatique, pris isolément, ne favorisent pas le changement. Il est de plus en plus admis que le mouvement pour le changement climatique pourrait être enrichi par l’intégration de perspectives psychologiques plus profondes. Mais la psychologie positiviste dominante fait souvent partie du problème, surtout lorsqu’elle réduit l’être humain à un objet à mesurer, à contrôler et à mettre au service de la machine à profit qui menace aujourd’hui notre avenir collectif.

The problem with psychology, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Ils disent même que l’anxiété climatique est une bonne chose :

Ainsi, au fond, l’anxiété climatique est une bonne chose, car elle est nécessaire pour réveiller les gens. Mais une forte anxiété n’est pas agréable, et s’il n’y a pas assez d’action climatique et de soutien psychosocial, de nombreuses formes d’anxiété climatique deviennent problématiques et il y aura aussi beaucoup de dépression climatique.

Climate Anxiety — What You Need to Know, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Par conséquent, il est bénéfique de causer une grande détresse aux membres du public en leur disant que le monde est sur le point de disparaître, à condition qu’il y ait suffisamment de psychologues (qui les ont traumatisés en premier lieu) pour les aider à faire face en les faisant participer à l’action climatique où ils peuvent eux aussi traumatiser d’autres personnes et continuer la chaîne. Quelle façon ingénieuse d’aider à détruire la vie des gens tout en faisant beaucoup d’argent dans le processus.

Ces groupes ne ciblent pas seulement les individus, mais aussi les entreprises. Une organisation appelée Climate Psychologists propose des cours de conseil aux entreprises.

Plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité… Notre plateforme RH propose des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser le bien-être sur le lieu de travail et l’action axée sur les objectifs.

Ce que nous faisons, Climate Psychologists, consulté le 13 novembre 2022.

Le texte ci-dessus est la formulation actuelle qui a été modifiée depuis que McMurray a écrit son article. Comme l’a noté McMurray, le site Web indiquait précédemment :

Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité. Nos psychologues du climat proposent des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser la maîtrise et la réactivité en période d’incertitude… Découvrez le pouvoir des « Nudges éthiques », qui ont des effets positifs sur votre équipe et votre entreprise, au bureau et dans le monde.

Remarquez qu’ils ne se contentent pas d’offrir un soutien aux employés traumatisés par la « crise climatique », mais qu’ils utilisent des programmes de changement de comportement et des « nudges » éthiques. Ils expliquent aux employeurs comment manipuler subtilement l’esprit de leurs employés pour qu’ils croient à l’urgence climatique. Cela rappelle beaucoup l’équipe SPI-B du gouvernement, qui utilisait la psychologie pour terrifier les gens et leur faire accepter le verrouillage de Covid.

Le mois dernier, la commission de l’environnement et du changement climatique de la Chambre des Lords a publié un rapport intitulé « In our hands: behaviour change for climate and environmental goals ».

Il s’agit d’un document sinistre dans lequel le gouvernement déclare ouvertement que tous les aspects de notre vie doivent être gérés pour atténuer l’impact du changement climatique et que des techniques de contrôle mental, très similaires à celles utilisées pour forcer le public à acquiescer aux verrouillages Covid, doivent être utilisées contre la population.

Chris Whitty — l’un des principaux instigateurs de la politique désastreuse de Covid — fait partie du comité qui a produit le document et un autre collaborateur de Covid, Sir Patrick Vallance, était témoin.

Dans son résumé d’ouverture, le comité indique clairement que chaque département gouvernemental devra utiliser la psychologie comme une arme contre le public pour s’assurer que nous nous comportons conformément aux exigences des alarmistes climatiques.

Plus loin dans le document, il est précisé que non seulement tous les ministères seront ciblés, mais aussi le secteur privé, même s’il n’est pas dans leur intérêt financier de le faire.

Pour souligner à quel point ils veulent contrôler les menus détails de la vie quotidienne, l’un des points clés de la commission est le suivant :

Des politiques prioritaires de changement de comportement sont nécessaires dans les domaines des déplacements, du chauffage, de l’alimentation et de la consommation pour permettre au public d’adopter et d’utiliser des technologies et des produits verts et de réduire la consommation à forte intensité de carbone.

Chambre des Lords : Commission de l’environnement et du changement climatique, Key Messages, 12 octobre 2022, pg. 5

Par conséquent, on vous dira ce que vous pouvez manger, où vous êtes autorisé à aller et comment vous pouvez vous y rendre. Un autre point clé indique clairement qu’ils vous taxeront et légiféreront pour vous faire respecter.

Et, comme le souligne le rapport, ce ne sont pas seulement les entreprises qu’ils essaient d’utiliser pour vous faire changer de comportement. Ils veulent également utiliser les organisations caritatives et les institutions religieuses pour contrôler l’esprit des masses.

Il est évident que les alarmistes climatiques, avec le soutien de milliardaires, de psychologues et du gouvernement, mènent une guerre contre l’esprit des gens afin d’instaurer la dystopie de la Grande Réinitialisation. Ils ont le pouvoir et l’argent de leur côté, mais il est clair que, du fait qu’ils doivent recourir à des techniques de contrôle de l’esprit, ils n’ont pas la vérité. Comme George Orwell est réputé l’avoir dit : « À l’époque de la tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».

Il est temps que nous devenions tous des révolutionnaires, car la vérité est que ce n’est pas la crise climatique qui constitue la plus grande menace pour notre bien-être, mais les alarmistes de la crise climatique qui veulent supprimer les derniers vestiges de notre liberté et nous plonger dans un âge sombre sans fin.




France — Le ministre de l’Éducation fait de la sexualité à l’école une de ses priorités

[Source : LLP]

 Par Aguellid

Clairement, voici encore une fois la démonstration de la dérive idéologique grave des élites politiques qui veulent sexualiser l’être humain à partir de l’enfance ! La sexualité est une question privée qui n’a rien à faire à l’école, cette dernière devrait se cantonner à sa mission première, l’instruction : lecture, écriture et calcul. L’État n’a absolument pas le droit de rentrer dans l’intimité des familles d’autant que la sexualité peut être liée à la spiritualité.

Alors que ces mêmes autorités ne font absolument rien contre le fléau de la pornographie qui est en train de détruire des générations entières de jeunes ; alors que ces mêmes autorités ne donnent pas les moyens à la justice de faire son travail ; ces mêmes autorités qui votent des lois absurdes qui ne punissent pas à la hauteur de la gravité des crimes sexuels leurs auteurs… comment peuvent-elles aujourd’hui oser parler d’éducation au « consentement » comme si c’était la solution aux centaines de milliers d’agressions sexuelles annuelles en France !

En réalité la situation est simple à comprendre. Moins il y a d’instruction à l’école, plus il y aura de la danse, de la musique, de la sexualité… c’est-à-dire des sujets et des matières annexes ou privés qui sont de la responsabilité des familles et non pas de l’État qui décide aujourd’hui absolument de tout jusqu’aux programmes scolaires dans le moindre détail.


https://twitter.com/frederic7186_2/status/1590438424087265281



Brésil : la fraude ne passe pas

[Source : E&R]

  • Publié le : jeudi 3 novembre 2022
  • Modifié le : samedi 5 novembre 2022

Alors que Jair Bolsonaro vient d’appeler ses partisans à « débloquer les routes », les manifestations de grande importance se multiplient et s’intensifient dans le pays à tel point que des dizaines de milliers de citoyens appellent à la « résistance civile » et demandent une intervention fédérale et l’organisation de nouvelles élections sous contrôle de l’armée.

Alexis Cossette – Brésil : la fraude, jusqu’où ?



Élection brésilienne :
l’analyse du mouvement national-révolutionnaire Nova Resistência [1]

Avec la victoire du libéralisme de gauche sur le libéralisme de droite, il convient aux forces nationales-populaires antilibérales de construire une alternative patriotique au globalisme, sans tomber dans le pseudo nationalisme philo atlantiste et sioniste.

Un pays divisé

Terminée les élections de 2022, les plus féroces de notre histoire, la majorité a décidé pour le retour de Luiz Inacio da Silva contre l’actuel président Jair Bolsonaro. Il est difficile de dire que « le peuple brésilien » s’est décidé pour Lula vu précisément à quelle point le vote fut approximatif. L’évidence de l’extrême polarisation est, vraiment, la fracture qui a fissuré le Brésil.

Une telle polarisation exige une extrême précaution, notamment dans l’analyse. Lula et Bolsonaro disposaient, chacun, d’un socle de partisans convaincus de l’ordre d’approximativement 30 millions chacun. Ce qui signifie que la véritable lutte a été menée autour de cette grande masse de personnes du quotidien et dépolitisées de la classe du travail et de la classe moyenne qui votent assez basiquement en fonction de leur affect et des préoccupations plus immédiates.

Bolsonaro, et tout l’indique, a été battu à cause du néolibéralisme économique de Paulo Guedes, que nous avons dénoncé depuis le début. Paulo Guedes, comme nous l’avions dénoncé, était le banquier de Georges Soros, d’une manière telle qu’il était incongru qu’un prétendu « conservateur » puisse donner toute l’économie nationale a un agent du meilleur promoteur des dogmes globalistes de la planète. Le résultat de cette donation a été la privatisation et la liquidation de la CEITEC, en plus de la fragilisation graduelle de Pétrobras.

Les électeurs de Bolsonaro ont voté en dépit de Guedes et de son néolibéralisme, car comme il l’a été signalé par de nombreuses recherches, même les soutiens de Bolsonaro soutiennent le maintien des entreprises stratégiques, comme étatiques tout comme le rôle de l’Etat dans la garantie de justice sociale. Dans les dernières semaines de la campagne, qui plus est, les déclarations pro-privations et anti-humaines de Guedes, pointant notamment pour la non augmentation du salaire minimum et des pensions de retraite, ont même été interprétées comme des actes de sabotage contre la campagne de Bolsonaro. C’était peut-être un sabotage non intentionnel, mais seulement le visage d’un néo libéralisme nu avec son unique recette d’austérité pour la majorité et la concentration des richesses pour l’élite. Bolsonaro pensait qu’il pouvait remplacer le travail avec un portefeuille signé par MEI (micro entrepreneur) et Uber. Il pensait qu’il faisait sens que l’un des plus grands producteurs de pétrole du monde forçait les automobilistes à le payer au prix international. Il pensait que la solution contre la corruption et l’inefficacité était de dévaloriser et vendre les entreprises étatiques. Il ne s’est jamais réellement inquiété pour l’amélioration de la vie des gens du quotidien. Et dans un scénario polarisé, chacune de ces erreurs a fait la différence.

Le rôle du philo-atlantisme et du néo-conservatisme, bien comme l’olavisme et le sionisme, éléments qui ont fait vaciller le Brésil dans ses discussions et ses positionnements externes (malgré quelques avancées inconstantes cette année) même quand l’alignement avec l’axe de résistance contre l’OTAN était nécessaire, ont aussi eu leur rôle en amenant Bolsonaro à l’échec. Même le discours conservateur n’a pas été suffisamment convainquant, déjà que Bolsonaro n’a pas réussi à démontrer, dans la pratique, qu’il avait fait reculer le progressisme post moderne, de facto, durant son gouvernement.

Le Front élargi avec le PSDB, STF et les EUA

Lula, de son coté, n’a pas tant à célébrer. Sa victoire est pyrrhique. En premier lieu, il devra gérer avec un congrès plus Bolsonariste et libéral-conservateur que le précédent. Sa gouvernabilité sera exiguë. Mais ce qui attache les mains de Lula ce n’est pas tellement le Bolsonarisme (qui survivra a Bolsonaro), mais ses propres alliés.

Tous savent que Lula a été prisonnier par l’action de guerre hybride appelée « Operation Lava Jato », par des juristes qui étaient des instruments des États-Unis pour casser les grandes entreprises brésiliennes. Mais qui envoie en prison peut aussi demander la libération. Lula a été libéré non pas par « pression populaire » et n’a pas eu ses condamnations annulées par la « voix des rues », mais par des accords faits en coulisses par des personnes qui voyaient un Lula castré comme une option plus sûre qu’un Bolsonaro instable.

C’est comme ça que née le « Front Elargi ». Ses apologistes pamphlétaires peuvent la maquiller comme étant une « défense de la démocratie » et une « défense de la civilisation » contre « l’autocratie » et la « barbarie » (discours typique du racisme impérialiste des centre du pouvoir atlantiste), mais il s’agissait de mettre tout le poids de la synarchie pour garantir la victoire de Lula et balayer Bolsonaro du pouvoir.

De cette manière, Lula n’a pas seulement attiré dans son orbite toute la gauche (et il a fait en sorte d’infiltrer et détruire le centre gauche travailliste), comme il a été forcé d’accepter son vieux rival du PSDB (ayant comme vice-président le « délinquant du gouter » et « terreur des professeurs » Geraldo Alckmin, bien appuyé des privatistes et néolibéraux Fernando Henrique Cardoso, Arminio Fraga, Persio Arida, etc, tous des Chicago Boys et des Sorosiens.) occupant la scène durant sa campagne.

En ce sens, il s’est traité du triomphe (momentané, nous le croyons) de la peste uspienne (de l’université de Sao Paulo), avant-garde de la tradition « Luzia » (progressiste, libéral, internationaliste) qui a monopolisé la politique nrésilienne, depuis, au moins, la fin de l’époque militaire.

Tout les grands médias, centralisé autour du groupe Globo et le groupe Folha, ont aussi donné leur appui à Lula, avec une couverture médiatique radicalement partiale et biaisée, précisément dans la ligne de « défense de la démocratie » contre « les avancées de l’extrême droite ». Les fakes news contre l’adversaire ont abondé, le tout appuyé par des « fact chekers » que personne n’a « checker » pour voir à quels intérêts ils servaient.

Il n’est pas nécessaire de dire que toutes les ONG, sans exceptions, ont soutenu la campagne Pétiste.

De l’Open Society qui finance de nombreux candidats de gauche à GreenPeace et le Climate Reality Project, de Al Gore, en passant par toute les ONG pseudo indigénistes et de défense des « droits de l’homme ». De cette ligne est venu l’appui du « beautiful people » Hollywoodien, de Leonardo DiCaprio et Mark Hammil, en passant par les acteurs des films Marvel et bien d’autres.

Nationalement, a cet appui a correspondu l’appui de la classe « artistique » brésilienne, de la « bourgeoisie bohème » de la Zone Sud de Rio de Janeiro, avec tellement de noms qu’il serait impossible de tous les citer. Les plus important, pourtant, furent les soutiens donnés par les banques, par le pouvoir judiciaire et par les puissances atlantistes.

Le PT a été le parti qui a reçu le plus de donations des banques, avec une mention spéciale pour la banque Itau. Les banques se souviennent avec nostalgie de la période du PT au pouvoir, époque ou ils ont eu les meilleurs bénéfices de leurs histoires dans notre pays.

La magistrature a aussi été centrale dans cette compétition électorale. Avec un pouvoir qui s’est vu construire il y’a au moins 20 ans, se positionnant petit a petit en dehors et part dessus l’ordre juridique brésilien, occupant le rôle de l’ancien « pouvoir modérateur » de l’époque impériale et dépassant ses prérogatives de décider passivement et avec une base légale sur les controverses concrètes pour passer à légiférer et faire des interprétations légales contre la lettre et l’esprit de la loi, la magistrature (spécialement dans sa coupole le STF et dans le TSE) a agi constamment en faveur de ce « Front Elargi ».

De facto, en considérant les pouvoirs de décision exceptionnels auto-attribuées par le STF dans notre pays, le Brésil pourrait être considérée comme une Juristocratie, plus qu’une démocratie. Mais le projet de pouvoir de cette Juristocratie est associé, précisément, à celui de la technocratie mondialiste, vu que le STF voit comme sa mission d’imposer la religion des droits de l’homme contre les valeurs traditionnelles nationales et la législation internationale contre la souveraineté nationale.

De facto, nombre de ces personnalités ont visité le Brésil pour souligner à quel point les urnes électroniques brésiliennes étaient sûres. (Dont le software, Oracle, a été créé par le collaborateur de la CIA et de la NSA Larry Ellison). De facto, le directeur même de la CIA William Burns a dit que l’on pouvait avoir confiance e nos urnes électroniques. Certainement, il doit les connaitre profondément pour être si catégorique.

Il n’est pas surprenant, pour autant, qu’au sommet du « Front Elargie » se trouvent les États-Unis d’Amérique, de Joe Biden à Bernie Sanders, en passant par des figures comme Victoria Nuland, Lloyd Austin et Anthony Blinken, tous se sont interessés aux élections Brésiliennes et ont éxposé leur préférence pour Lula et leur rejet pour Bolsonaro, spécialement à partir du moment ou Bolsonaro a décidé de tenter de suivre un chemin plus « impartial » en politique internationale à partir du début de l’opération militaire.

De Facto, de nombreuses personnes ont visité le Brésil pour souligner ô combien les urnes brésiliennes étaient sures (dont le Software, Oracle, a été créé par le collaborateur de la CIA et de la NSA Lary Ellison). De facto, le propre directeur de la CIA William Burns a dit que nous pouvions avoir confiance en nos urnes électroniques. Certainement, il doit les connaitre profondément pour être tant catégorique.

Aux États-Unis se sont ajoutés les appuis de la France de Macron, de l’Allemagne de Scholz, le Chili de Boric, et la Colombie de Petro, principalement. Les coïncidences sont évidentes : il s’agit de la constellation des pays les plus avancés dans le projet post libéral globaliste, les nations qui lutent pour sauver l’ordre que la Russie et la Chine sont en cours de d’enterrer. Ce sont précisément, les gouvernements qui défendent l’indemnisation de l’Amazonie, la « gestion intégrée de la pandémie », etc.

Quel prix le Brésil de Lula devra t’il payer pour tous ces appuis ? De plus, dans quelle mesure ne sera-t-il pas l’otage de toutes ces forces ?

Construire la résistance national-révolutionnaire

Dans la lutte entre le mal et le mal, seul le mal peut vaincre. La victoire de la coalition libéral- progressiste sur les libéraux-conservateurs, pourtant, n’élimine pas les contradictions de l’époque. Au contraire, elle se voient exacerbées. Ce n’est pas la lutte des classes (quelconque communiste pamphlétaire du pétisme devrait expliquer que la lutte des classes est celle dans laquelle Faria Lima est contre cette supposée « avant-garde du prolétariat ») ici, mais l’affrontement entre le Brésil profond et le Brésil cosmopolite, entre le peuple et l’élite, entre la souveraineté et le globalisme.

Le premier élément de contradiction, pourtant, ne possède pas encore une représentation suffisamment forte pour aller luter contre l’’ennemi de forme claire, ouverte et directe. Une partie des aspirations populaires, pourtant, ont trouvé une valve d’échappement dans la figure exécrable de Jaïr Bolsonaro, parodie de contre – hégémonie.

Bolsonaro et sa coupole sont une partie du problème, mais les bolsonaristes honnêtes doivent faire partie d’une quelconque solution. Cela signifie qu’il est nécessaire de dialoguer avec les bolsonarises populaires, qui répudient le néolibéralisme, les fantaisies Olavete, l’anticommunisme délirant, le philo-atlantise dans la politique internationale et le culte sioniste.

Simultanément, cependant, nous savons d’avance que le Front Elargi de Lula va trahir les principales attentes des travailleurs et socialistes honnêtes pour garantir la gouvernabilité pro banque et pro technocratie de son gouvernement. En ce sens, il sera aussi nécessaire dialoguer avec tout les travaillistes et socialistes qui comprennent la centralité de la question nationale, qui aiment le Brésil et son histoire et qui répudient l’agenda LGBT, le transhumanisme et le transnationalisme des dirigeants de gauche.

Le rôle de la Nova Resistencia, formation politique nationale-révolutionnaire qui a toujours lié la défense de la souveraineté et des valeurs traditionnelles et la lutte pour la justice sociale, et de construire le pont entre tous ces secteurs authentiquement populaires, sans ouvrir la main d’aucune de ces positions, agissant comme une avant-garde contre les défis internes et externes que le peuple Brésilien aura à affronter dans les quatre prochaines années.

Liberté ! Justice ! Révolution !

Notes

[1] La Nova Resistência (La Nouvelle résistance) se présente comme :

« Un réseau international d’activistes, composé de nationaux-révolutionnaires, eurasistes, nationaux-bolchéviques, nationalistes de gauche, anticapitalistes de droite et adeptes de la quatrième théorie politique, qui défend une résistance large et à plusieurs niveaux contre les politiques économiques néo-libérales, à l’impérialisme atlantiste, à l’agenda mondialiste, et au lobby sioniste dans les médias et dans les gouvernements. Nous sommes un jeune mouvement, un noyau d’activisme et d’action révolutionnaire. »




France — Soignants suspendus : Maître Marian vous dit comment réagir à une convocation au commissariat

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Nous avons alerté, hier, sur les convocations de soignants suspendus par la police, pour des motifs douteux qui ressemblent plus à de l’intimidation et de la recherche de renseignements qu’à l’exercice d’une bonne justice. Pour vous épauler dans la solitude de ces moments difficiles, Maître Maud Marian, pénaliste habituée à ce genre d’exercice, vous donne quelques conseils de « survie » à suivre précieusement.

https://www.youtube.com/embed/tRpKtUuxi38

Nous avons révélé hier qu’une discrète campagne se déroulait depuis plusieurs semaines, au cours de laquelle la police convoque des soignants suspendus à la manière dont la police chinoise demande aux dissidents de “passer prendre le thé” au commissariat. 

Le Courrier des Stratèges a demandé à Maud Marian quelques conseils “d’urgence” pour faire face à cette situation délicate. 

Face à la dégradation des libertés publiques, l’association Rester libre ! va accélérer la mise en place de sa caisse de protection juridique et va proposer une liste d’avocats pénalistes à ses adhérents. Le Courrier vous informera prochainement de l’évolution de ce dossier. 

En outre, nous complèterons prochainement notre dossier sur la garde à vue en publiant un plan-type de continuité de l’activité en cas d’arrestation. Tout indique que les institutions se raidissent (ma conviction personnelle est que ces dossiers sont suivis par un cabinet noir proche de l’Elysée), et rien n’exclut qu’une répression féroce ne survienne dans les prochaines semaines. 

Mobilisez-vous !




Il est temps de s’unir pour sauver la liberté d’expression, enseignants, soignants, médecins, avocats, journalistes, citoyens !

Par N Delépine https://t.me/DrDelepine

Et regardons cette affiche gouvernementale parue en août 2014

Qu’est-ce qui a mal tourné ?

Soutenons de toutes nos forces le professeur de philosophie René Chiche, comme nous soutenons les médecins poursuivis, des plus célèbres Perronne, Wonner ou Raoult, aux inconnus seulement vénérés par leurs patients qu’ils ont sauvé malgré l’interdiction de les soigner du gouvernement et du ministre Véran. Ils sont poursuivis par l’Ordre, convoqués discrètement parfois au commissariat par dénonciation de l’assurance maladie de leurs ordonnances d’antibiotiques, zinc ou hydroxychloroquine.12 Écoutez le récit du cardiologue Julien Devilleger.

Sinon, j’aimais beaucoup l’humour grinçant de Rene Chiche :

@rene_chiche

« En soutenant Israël, j’ai perdu cinquante abonnés ici. En soutenant Raoult, j’en ai encore perdu cent cinquante. En soutenant Platon, je vais probablement en perdre dix mille. Peu importe, je continuerai à dire ce qui me semble juste et à répondre aux objections significatives. 6:06 PM · 22 mai 2021·Twitter »

@rene_chiche En réponse à @jchribuisson

« Déconfinement » est laid.
Comme vacances apprenantes.
Comme distanciation sociale.
Comme gestes barrières.
Comme impacter.
Comme cellezéceux. 2:48 PM · 12 mai 2020

Mon amie, agrégée de mathématiques pures et enseignante par l’amour des jeunes et des mathématiques qu’elle tente de réconcilier, Melle Karen Brandin a attiré notre attention sur l’attaque indigne dont est victime le professeur agrégé de philosophie Mr René Chiche dans son bel article La parole en danger — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca).

Elle a régulièrement publié des tribunes sur France soir3 ou nouveau-monde.ca et tenté d’éveiller les parents sur le danger de la destruction de l’enseignement des mathématiques qui s’est aggravé encore récemment, sur l’indifférence des jeunes à la perte de la langue si importante tant en littérature qu’en mathématiques et dans la vie courante, pour savoir exprimer ses émotions, son absence conduisant inéluctablement à la sauvagerie et à la violence montante dont nous sommes tous témoins.4 Ici elle attire notre attention sur l’infâme attaque d’un enseignant de philosophie pour « opinions » différentes des autorités, semble-t-il.

« Par Karen Brandin

Ils sont médecins, parlementaires, avocats ou bien encore enseignants, et s’ils ne meurent pas tous, tous sont frappés, visés depuis quelques mois au sein d’un régime malheureusement plus vraiment d’exception, un régime pudiquement qualifié de démocratie dégradée, par des procédures-bâillons et autres mesures vexatoires destinées à sanctionner à grand renfort de blâmes iniques, leurs voix simplement engagées et courageuses, mais décrétées dans le “monde d’après”, indésirables, car discordantes. Des voix douces ou fortes, que l’on tente tour à tour de nous les présenter comme irresponsables puis comme carrément “menaçantes” pour notre sécurité, car fleurant bon la dérive sectaire. Bref, voici quelques mois que ces femmes et ces hommes, du simple fait d’une parole libre, se retrouvent marqués du sceau de la lettre écarlate de l’indignité. Et pendant que la libre expression brûle, on regarde ailleurs. 

C’est parce que l’on a attiré mon attention sur la toute récente procédure disciplinaire visant un prof agrégé de philosophie, R. Chiche et certaines réactions de satisfaction qu’ont manifesté sur les réseaux sociaux de courageux… anonymes, que j’ai décidé d’écrire ce simple billet de (mauvaise) humeur. Puissent ces quelques lignes faire office de modeste tremplin et inspirer dans un élan de solidarité nécessaire des collègues aguerris, prompts à produire une tribune de soutien bien plus aboutie à destination de l’ensemble de ces professionnels, héros ordinaires et de ce fait, extraordinaires. »

Je fus effondrée à la lecture de cet article, puis de quelques tweets du professeur 5 et de ses détracteurs. Me permettra-t-on de faire écho à Karen ou bien me dira-t-on comme au professeur Chiche pour la médecine, que la philosophie ne me concerne pas ? Triste époque dans laquelle des éditorialistes incultes, au moins dans certains domaines qu’ils commentent, successivement virologues de pointe puis géopoliticiens ou spécialistes du climat, ont tous les droits, mais où le citoyen choqué de la « désinstruction nationale »6 n’aurait pas le droit de tenter de défendre les enfants !

Espérons que d’écho en écho, des universitaires, des professeurs, des chercheurs arrivent à attirer les regards du peuple, des élus, de l’Assemblée nationale et du Sénat, pour que cessent ces chasses aux sorcières.

René Chiche attira d’abord mon attention par sa défense de la classe de philosophie tellement importante dans la scolarité de TOUS les lycéens. Mais il échoua, isolé probablement soit sur le fond, soit par le sinistre « pas de vagues » tout puissant à l’éducation nationale.

On a déjà dû lui en vouloir beaucoup avec son livre terrible paru en 2019 :

« Professeur, j’hérite en Terminale d’élèves qui ne maîtrisent pas l’accord du participe passé, peinent à déchiffrer une phrase complexe et manient leur propre langue comme s’il s’agissait d’une langue étrangère, usant du “donc” et du “parce que” à la façon d’un joueur cherchant à deviner les numéros gagnants d’une loterie. En lisant leurs copies, j’ai trop souvent l’impression de me trouver devant des enfants malnutris, voire dénutris, à qui il faut d’abord donner une bouillie protéinée parce qu’ils ne sont pas en état d’avaler une nourriture plus consistante. Combien sont-ils en ce cas ? Beaucoup trop. (….) »

MAIS LA CATASTROPHE ALLAIT S’AGGRAVER avec le confinement, les cours en distanciel, en visio, les jeux vidéo remplaçant les discussions entre profs et élèves, l’arrêt de la vie avec ce confinement aveugle et criminel.7

Les enfants furent sacrifiés par la casse de l’Éducation Nationale et de l’Université, progressivement, en douceur, discrètement depuis les années post soixante-huitardes, comme le démontra René chiche ou avant lui Jean-claude Michéa et quelques autres8. Ce dernier nous avait prévenu, dans L’enseignement de l’ignorance : “ce ne serait plus cette vigilance que l’on attendrait du corps enseignant à l’avenir, mais une soumission résignée, faute d’une soumission heureuse“.

Au nom d’une pseudo égalité, la civilisation woke nous envahit de plein fouet et détruit trois mille ans d’histoire. Les lecteurs de Voltaire, Molière, Racine, Hugo, Stendhal et tous les autres disparaissent bientôt dans les caves des résistants devenus antisémites, extrême droite, homophobes et toutes sortes de phobes… Il est temps de réagir avec force.

Les enfants furent en plus dramatiquement sacrifiés par la pseudo-crise covid et le sont encore par les menaces d’injections géniques mortelles, malgré les aveux de Pfizer sur l’efficacité zéro pour éviter la transmission ! Ce qui n’empêche pas une collaboratrice du ministre de la Santé de proclamer sur sud radio il y a quelques jours que le vax protégerait des formes graves et qu’en conséquence les non-vax ne devraient pas être réintégrés… Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… comme aurait dit Goebbels…

Et certains doyens n’hésitent pas à prévoir de saboter encore cet hiver l’enseignement normal en présence des étudiants au savoureux et délirant prétexte d’économiser le chauffage en raison de la guerre en Ukraine..

ALORS QUELLE FUT LA FAUTE DE NOTRE PHILOSOPHE ? En parcourant twitter (seulement visible, mais encore interdit de commentaires pour moi) je découvrais quelques remarques :

Ce doit être très vilain de vouloir défendre un lycée d’exception qui permettait à de jeunes sportifs ou artistes de mener parallèlement leurs doubles études par des horaires aménagés. Mais cela doit choquer le wokisme parisien ambiant qui consacre des millions à des associations douteuses, mais laisse détruire ou fait détruire ce haut lieu de l’enseignement public. Un jeune violoniste ne serait pas à égalité avec un voyou qui traîne dans ce même quartier ? Quelle honte ? Qui va-t-on aider ? Profitons-en pour signer et faire connaître cette pétition. 9

@rene_chiche

L’éducation nationale engage une procédure disciplinaire contre moi pour des « propos inappropriés tenus sur Twitter envers des personnalités publiques, sur la politique sanitaire du gouvernement et sur la guerre de la Russie contre l’Ukraine » ! ‬

Le délit d’opinion est-il rétabli ? 05/11/2022

@rene_chiche‬

Je suis allé consulter mon dossier au rectorat pour prendre connaissance des éléments sur la base desquels l’administration engageait une procédure disciplinaire à mon encontre. Comme j’ai trouvé qu’il était vide, j’y ai déposé mon livre sur la désinstruction nationale. À suivre. 08/11/2022

@rene_chiche‬

Je suis sidéré par la sanction injuste qui vise en la personne d’@alainhoupert‬ un parlementaire dans l’exercice de sa fonction, fonction qu’il incarne qui plus est avec honneur et droiture. Tout mon respect et mon soutien ferme à vous, cher Monsieur. 08/11/2022

@rene_chiche‬

Je n’ose même plus dire que j’aime le pied de cochon de peur d’enfreindre mon devoir de réserve et de loyauté. Oh, et puis tant pis ! Voilà qui est fait ! 09/11/2022 00:15

René Chiche

Je ne suis pas surpris qu’un régime politique qui a supprimé la classe de philosophie diligente des poursuites contre un professeur de philosophie qui fait son travail. Non, je ne suis pas surpris, mais cela m’inquiète. Et cela devrait nous inquiéter tous, à vrai dire. 10/11/2022 22:25

@rene_chiche‬‬

Si défendre la transmission, c’est être conservateur, je suis conservateur. Si défendre l’égalité, c’est être de gauche, je suis de gauche. Si prendre au sérieux les dégâts causés par l’homme sur le vivant, c’est être écologiste, je suis écologiste. Etc. Vive l’intelligence ! 11/11/2022 14:21

Voici quelques exemples dont on pourrait écrire un livre, comme de nombreuses autres réflexions intelligentes de twittos récoltées sur twitter ou ailleurs, tant il est vrai que le réveil de l’importance cruciale de la liberté, de la liberté d’expression, de la liberté de chanter, de publier, de rêver, de critiquer commence à réapparaître aux yeux de beaucoup de nos concitoyens. Ces libertés sont inscrites depuis plus de deux siècles dans nos constitutions que nous avons tous cru qu’elles étaient gravées dans le marbre, indestructibles et que les signes de maladie de notre liberté n’étaient que ceux d’une virose passagère…. Mais non la liberté n’est pas une pile Wonder et elle s’use très vite si on ne la protège pas de toutes nos forces

Nous avons comme d’autres rappelé ces notions fondamentales qui semblent oubliées aujourd’hui et tenté de les défendre y compris en justice10

La liberté d’expression11

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.



Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0 on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

« La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la “libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre “droit de savoir.” De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix.

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. “Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception,” a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova. »

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socio-religieuses de son environnement. »

C’est bien ce que tente de faire René Chiche et que tant d’autres ont oublié. Défendons-le comme tous les citoyens libres de leurs opinions et prêts à les défendre.


1 Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son ITW récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker

2 l est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

3 Profs, parents, élèves, unissez-vous ! | FranceSoir juin 2021

4 19/06/2022 Karen Brandin

L’objectif de cette tribune est triple. Il s’agit tout d’abord d’une bouteille à la mer comme un encouragement solidaire à l’attention, puisqu’ils existent même s’ils semblent en voie d’extinction, de la poignée d’enseignants de l’éducation nationale que l’on pourrait qualifier de « résistants ». Ces profs exigeants, rigoureux et sincères qui aspirent simplement à pouvoir dispenser un enseignement digne, de qualité, celui dont ils ont parfois eu la chance de bénéficier ou tout simplement, celui dont ils rêvaient. Que mon statut d’indépendante, sa précarité sans doute, mais aussi la liberté de parole qu’il autorise comme celle de transmettre suivant mes convictions, permette de traduire tout haut ces souffrances qui s’expriment tout bas, trop bas.

Je veux parler « de » et « à » ces profs ordinaires, jeunes ou vieux, mais devenus extraordinaires par la force des choses, car ils ont su conserver chevillés au corps, le devoir, la passion et le désir de transmettre « à leur tour » ou » en retour ».

Ces mêmes profs qui, ces dernières années (décennies), ont été consciencieusement empêchés dans leur mission, voire dissuadés tant ils ont été stigmatisés, parfois même accusés d’être élitistes ou bien encore réactionnaires. (…) Mathématiques au lycée  : un sauvetage en trompe-l’œil — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

5 Que je ne suis plus depuis longtemps ayant été éjectée de twitter… j’espère que l’ère Elon Musk me permettra de retrouver les échanges utiles d’autrefois… c’est ainsi que j’avais découvert René Chiche et sa défense de la classe sacrifiée de philosophie.

6 Voir l’excellent livre de René Chiche

7 Autopsie d’un confinement aveugle n et g Delépine, Fauves éditions, sept 2020

8 Citons par exemple dès 2005 La fabrique du crétin : La mort programmée de l’école Broché — 22 août 2005

de Jean-Paul Brighelli (Auteur), Bernard Lecherbonnier (Préface)

présentation d’Amazon Nos enfants ne savent plus lire, ni compter, ni penser. Le constat est terrible, et ses causes moins obscures qu’on ne veut bien le dire. Un enchaînement de bonnes intentions mal maîtrisées et de calculs intéressés a délité en une trentaine d’années ce qui fut l’un des meilleurs systèmes éducatifs au monde. Faut-il incriminer les politiques, les profs, les parents, les syndicats, les programmes ? En tout cas, la Nouvelle Pédagogie a fait ses « preuves » : l’école a cessé d’être le moteur d’un ascenseur social défaillant. Ceux qui sont nés dans la rue, désormais, y restent. Dès lors, que faire ?

9 Jaumelina SALARIS  Petition à M Pap Ndiaye (ministre de l’Éducation nationale)  NON à la fermeture du Lycée général Brassens, Paris XIXe par la Région Île-de-France. Mme Pécresse, Mr Pap Ndiaye, M Kerrerro, Mme Hidalgo

Nous avons appris que le lycée Brassens serait fermé brutalement dès la rentrée scolaire de septembre 2023 sans aucune concertation préalable. 

Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France, nous nous opposons à cette décision.

Le lycée Brassens doit continuer à accueillir les élèves à horaires aménagés se destinant à des carrières artistiques et culturelles en musique, danse et chant. Leurs projets en dépendent, les efforts qu’ils fournissent depuis longtemps pour mener de front leur scolarité et une pratique artistique de haut niveau le justifie. 

Les classes à horaires aménagés des lycées parisiens permettent aux élèves sélectionnés au niveau régional, national, voire international de suivre une carrière artistique rigoureuse et déjà professionnalisée grâce à un aménagement du temps scolaire en demi-journées. Ce sont des élèves motivés et travailleurs. Le lycée Brassens jouit d’une excellente réputation. Il brille par sa mixité scolaire, sa capacité à faire cohabiter des élèves d’origines et de milieux divers, par les projets qu’il porte. 

La fermeture du Lycée Brassens aurait pour conséquences :

– La remise en cause, pour les élèves, de leur premier vœu d’affectation et leur choix de lycée validés par le Rectorat.

– La remise en cause de leur scolarité en horaires aménagés dans un autre lycée parisien.

– Une année scolaire marquée par l’incertitude quant à la poursuite de leur activité artistique intensive, quant à la possibilité de poursuivre leurs spécialités pour le baccalauréat.

– Une augmentation du nombre d’élèves dans les classes des établissements où ils seront affectés.

– La perte d’un septième lycée parisien en septembre 2023 puisqu’il est prévu que 6 autres lycées de la capitale fermeront leurs portes à la rentrée prochaine.

– La réaffectation dans différents établissements parisiens des personnels qui y travaillent.

Nous, élèves, parents d’élèves, enseignants, habitants de la région Île-de-France vous demandons de revenir sur votre décision prise sans concertation de fermer le lycée Brassens dès la prochaine rentrée scolaire. Les élèves du Lycée Brassens ont le droit d’étudier en toute sérénité et de travailler à l’obtention de leur diplôme du Baccalauréat. La communauté éducative doit pouvoir assurer le suivi des élèves jusqu’à la fin du cycle terminal. Les élèves affectés par le Rectorat au Lycée Brassens après avoir réussi leurs examens d’entrée au CRR, au CMA 12, au CNSM et à La Maîtrise populaire de l’Opéra-Comique doivent pouvoir poursuivre leur scolarité en horaires aménagés dans leur établissement d’affectation.

10 [VIDEO] Debriefing Me Ludot : Dr Delepine, son référé sur la liberté d’expression des médecins | FranceSoir

11 Liberté d’expression et d’opinion et censures internationales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




Communication entre organismes vivants par biophotons

Par François Germain

https://www.biotron.fr/communication-entre-organismes-vivants-par-biophotons-p306230.html

Voici l’histoire de la découverte des rayonnements électromagnétiques cohérents dans les organismes vivants…

https://www.biotron.fr/l-adn-electromagnetique-et-la-communication-entre-cellules-p297884.html

Le biophoton est un photon (corpuscule d’énergie électromagnétique) d’origine biologique n’étant pas issu de produits d’une réaction enzymatique spécifique. Autrement dit, c’est l’émission spontanée de lumière d’intensité ultra faible émanant de tous les systèmes vivants1.

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton

Biophotons = Photons émis par la matière biologique

https://luc-bodin.fr/evolution/nos-cellules-emettrices-de-lumiere-des-biophotons-pour-communiquer/

Dr Luc Bodin. Oct 27, 2020.

Les cellules du corps humain captent l’énergie lumineuse du soleil constituée de photons, produisant comme chacun sait, un effet bronzant sur notre peau.

Mais ce qui est moins connu est que ces mêmes cellules émettent une énergie lumineuse par leur ADN. Le rayonnement émis présente des doses 1.018 fois plus faibles que ceux des rayons solaires, mais il est tout de même observable. C’est ce que le biochimiste allemand Fritz Albert Popp, dans les années 1970, qui l’a mis en évidence, appelant les photons émis par le corps des « biophotons » (photons émis par la matière biologique).

Les expériences de Kaznacheev

L’incroyable découverte du Pr Luc Montagnier

http://www.orbs.fr/wp-content/uploads/2014/07/Luc-Montagnier-les-ondes-et-la-me%CC%81decine-Extrait-de-Orbs0-www.orbs_.fr-.pdf

Le Prix Nobel de physiologie ou de médecine 2008 affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques ! Il nous explique que sa découverte pourrait bien être un moyen révolutionnaire de détection et de traitement des maladies chroniques.

Depuis les années 2000, il s’intéresse aussi aux ondes. Et pas à n’importe quelles ondes. Celles émises par des bactéries, des virus, des fragments d’ADN… Car ces parcelles du vivant rayonnent. Elles sont capables d’émettre des signaux électromagnétiques.

Derrière cette découverte, une autre découverte. Celle de la capacité de l’eau à conserver cette information électromagnétique et à la restituer sous certaines conditions de dilution et de résonance électromagnétique. Le Pr Luc Montagnier poursuit les travaux initiés par l’équipe de Jacques Benveniste, en 1988, sur la mémoire de l’eau.

Méditation et phytothérapie ont un impact sur l’émission de biophotons

https://www.epochtimes.fr/les-biophotons-12797.html

The Epoch Times, le 10 mai 2016.

Le corps humain émet des biophotons d’une visibilité 1000 fois plus faible que la sensibilité de notre œil nu. Les biophotons émis par le corps humain peuvent être libérés par l’intention mentale et moduler les processus au sein de la communication cellule-cellule et ADN.

La recherche a trouvé une différence de stress oxydatif entre les personnes méditant régulièrement et ceux qui ne méditent pas.

Biophoton — État des connaissances en 2019

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton#Etat_des_connaissances_en_2019

Biophotons, méditation et guérison

https://triompherducancer.wordpress.com/2018/06/30/biophotons-meditation-et-guerison/

Triomphe du cancer, le 30 juin 2018.

Pour les personnes atteintes du cancer ou d’une maladie dégénérative, il convient de savoir que «les cellules endommagées émettent beaucoup plus de biophotons que des cellules saines» ce qui fait dire à certains chercheurs que cela pourrait être interprété comme un signalde détresse. Il est commun en effet chez les gens atteints du cancer d’avoir un faible taux de globules blancs. Ce phénomène d’instabilité qui pousse l’organisme à produire plus de biophotons est appelé stress oxydatif.

En sachant cela, on peut se demander si l’on peut arrêter la déperdition des biophotons par le seul pouvoir de l’esprit ou de la méditation.

C’est ce que confirment les travaux du biophysicien néerlandais Roeland Van Wijk(([1] Effect of meditation on ultraweak photon emission from hands and forehead. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16086532/
2005 Apr; 12. Eduard PA Van Wijk 1, John Ackermann , Roeland Van Wijk.)) qui ont démontré que les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. Les travaux effectués en ce sens par M. Van Wijk ont révélé que « les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. 35 % de moins en moyenne que dans le groupe témoin ». Pour les malades, la méditation permet donc deréduire la surproduction de biophotons associée au stress oxydatif.

Santé : quand la méditation booste l’immunité

https://www.lesechos.fr/weekend/perso/sante-quand-la-meditation-booste-limmunite-1380794

Les Échos, le 21 janvier 2022.

Une récente étude expérimentale menée à l’université de Floride (PNAS, décembre 2021) : Quelque 106 femmes et hommes, de 40 ans en moyenne, ont été soumis à une retraite de méditation intensive. Résultat, à partir d’analyses sanguines pré et post « cure », pas moins de 220 gènes directement associés à la réponse immunitaire ont été positivement stimulés, remarquent les chercheurs : la quasi-totalité (68) de ceux liés à la production d’interféron, protéine clé impliquée dans la défense de l’organisme (cancers, sclérose en plaques, Covid).

D’où l’intérêt de s’intéresser au petit ouvrage Méditer avec le Dr Steven Laureys, (Odile Jacob, janvier 2022). Ce neurologue de réputation mondiale qui ne se veut « ni maître zen ni donneur de leçons » propose un remarquable carnet de méditation, fruit de sa pratique.

Méditer avec le Dr Steven Laureys

https://www.odilejacob.fr/catalogue/sante-vie-pratique/forme-et-sante/mediter-avec-le-dr-steven-laureys_9782738157713.php
https://www.odilejacob.fr/feuilleter.php?ean=9782738157737

Éditions Odile Jacob. Date de parution : 12 janvier 2022.

MÉDITATION & SANTÉ : 3 BIENFAITS DE LA MÉDITATION SUR LE CORPS

https://facmedecine.umontpellier.fr/2020/communication/meditation-sante-3-bienfaits-de-la-meditation/

Faculté de Médecine. Montpellier – Nîmes, le 11 mai 2020.





Débarrasser le corps du graphène

[Source : anna-bellas.com]

[NDLR Les liens renvoient à des pages en anglais.]

Un guide sur la façon d’éliminer de votre corps le graphène, la substance transmise par les vaccinés du COVID aux non-vaccinés…

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

La mauvaise nouvelle pour ceux qui ont jusqu’à présent refusé de recevoir une seule dose de l’injection de Covid-19 est que certains médecins pensent que le graphène est transmis des vaccinés au Covid-19 aux non-vaccinés.

Mais la bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de votre corps et de rétablir votre santé.

Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser plusieurs méthodes différentes simultanément pour obtenir le meilleur effet. Notamment, des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps, et le contrôle des CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique. Il est produit naturellement par le foie et participe à de nombreux processus de l’organisme, notamment la construction et la réparation des tissus, la fabrication des substances chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme, et le système immunitaire. Nous disposons d’une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous permet d’avoir un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans l’organisme, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans l’organisme dépasse la quantité de glutathion, elle provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut se développer rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. Autrement dit, les CEM bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent radicalement dans l’organisme. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes présentant des conditions préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas affecté ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences CEM spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie. En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes ses « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Des patients Covid intubés en soins intensifs ont guéri en quelques heures lorsqu’ils ont été traités avec du glutathion et de la NAC, exemple de Ricardo Delgado

« Nous avons assisté à des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et des radiations 5G ultérieures dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette tache diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisqu’elle serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection pneumococcique, n’est-ce pas ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique. Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe – ou même par voie orale – ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les gens commencent en quelques heures à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un complément qui amène l’organisme à produire du glutathion, elle est connue comme le précurseur du glutathion et amène l’organisme à sécréter du glutathion de manière endogène, comme c’est le cas lorsque vous faites du sport de manière intense. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par l’organisme pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages. Vous pouvez obtenir la NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.

Le zinc, associé à la NAC, est un antioxydant essentiel utilisé pour dégrader l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado affirme qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après inoculation. Il s’agit de personnes ayant reçu deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et qui, après avoir pris ces suppléments, ne présentent plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

[Voir aussi :
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre]

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, veuillez consulter ce LIEN.

Comprendre le lien entre les CEM, la 5G, l’oxyde de graphène, les hydrogels et Covid

L’oxyde de graphène est activé par les CEM, en particulier les fréquences qui font partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce que l’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences envoyées aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui présente des qualités et des applications substantielles. Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreux domaines, dans notre alimentation, dans notre eau, et injectés dans nos corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui s’accrochent à votre ADN et peuvent être contrôlés par des capteurs 5G. Ils permettent de collecter et de manipuler l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent de suivre et de tracer les êtres humains. Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par les pairs qui traitent des hydrogels conducteurs. Nous avons rassemblé une courte liste d’études relatives comme documentation de secours.

Résumé des caractéristiques des hydrogels et de la nanotechnologie des points quantiques – Cliquez pour télécharger

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.

Caractéristiques des hydrogels conducteurs : auto-récupérabilité, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, auto-guérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’ils font certaines choses lorsqu’ils sont touchés par la 5G (ou d’autres fréquences, d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnements CEM provenant des téléphones cellulaires (ou téléphones mobiles), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses régions se mettent également à la 5G et des enquêtes ont été menées pour montrer la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une région. Pour se protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions pour y parvenir : ne vivez pas dans une ville où il y a beaucoup de tours si vous pouvez l’éviter, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection contre les CEM, tels que les appareils à énergie orgonique, qui aident à transformer les rayonnements CEM pour en atténuer les effets nocifs.

Énergie Orgone, protection contre les CEM et oxyde de graphène

Puisque l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous voulez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’ils n’activent pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les CEM. Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des récipients constitués de couches alternées d’acier et de matériau organique non conducteur étaient capables de capter une « énergie cosmique » saine provenant de l’environnement. Il a appelé cette énergie « orgone ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de conserver des échantillons de sang plus longtemps, de faire germer des semis de plantes plus saines et de soulager la douleur des patients qui s’y asseyaient.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite fait d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal, le tout enrobé de résine époxy. Le résultat final est un harmonisateur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, des routeurs Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux domestiques. Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études réalisées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents prélèvements sanguins d’oxyde de graphène EMF

L’étude la plus frappante à la lumière des récentes découvertes sur l’oxyde de graphène se trouve dans le  « test sanguin de Reich  » réalisé par le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgone sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie orgonale. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une période plus longue (c’était comme la fontaine de jouvence du sang).

Lorsqu’un globule rouge est défectueux et commence à mourir, il peut développer ce que l’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections en forme de pics de différentes longueurs dépassent de la cellule. Les images ci-dessous montrent à quoi ressemble la mort d’un globule rouge.

http://wilhelmreich.gr/en/research/microscopic-research/reich-blood-test-blood-disintegration/

Les diapositives ci-dessus montrent la désintégration bionique de la matière vivante et non vivante. La cellule saine possède une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich appelait l’énergie « orgone ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des protubérances pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections de Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations membranaires. Selon l’ouvrage A Laboratory Guide to Clinical Haematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes est le résultat de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui entraînent un déséquilibre entre le contenu en cholestérol et en lipides de la membrane affectent la capacité des GR à se déformer, ce qui se traduit par une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises lors d’une récente analyse de sang [mise à jour le 1er octobre 2021] effectuée par le Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement par les radiations CEM, l’empoisonnement par l’oxyde de graphène. Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines « l’effet corona » et « l’effet protéine de pointe ».

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

Ce comportement est identique à celui des cellules sanguines mourantes dans l’expérience du test sanguin de Reich. Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Le test sanguin de Reich a permis de faire une découverte frappante : les dispositifs d’énergie orgoniques ralentissent et arrêtent la dégradation des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs d’énergie orgoniques protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin de Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de dégradation des cellules est de 5 %. L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de décomposition est de 50 %. Il est clair que l’énergie d’orgone contribue à préserver la force vitale et la santé du sang.

[Article source en anglais :]



La croix gammée, en pendentif ou en boucle d’oreille ?

[Source : regischamagne.fr]

Par Régis Chamagne

Lors d’un vote à l’Assemblée générale de l’ONU, le gouvernement français assume vouloir protéger la mémoire nazie. S’il le fait, c’est très probablement au nom des droits de l’Homme et pour la victoire du camp du Bien en Ukraine.

Les faits

La Russie a soumis, ce vendredi 4 novembre, un projet de résolution devant l’Assemblée générale de l’ONU, qui condamne la glorification du nazisme. Elle l’a fait chaque année, systématiquement, depuis 2012. Cette année, 52 pays, ceux du bloc atlantico-occidental (sauf Israël qui sauve l’honneur, tout de même), ont voté contre cette proposition. Ils arguent que la Russie se servirait de cette résolution pour justifier son opération militaire spéciale, dont l’un des objectifs stratégiques présentés dès le début par Vladimir Poutine est de dénazifier l’Ukraine.

Ah bon !? Alors comme ça, la Russie avait l’intention d’attaquer l’Ukraine dès 2012 ? Alors qu’à cette époque le coup d’État d’Euromaïdan n’avait pas eu lieu, que l’Ukraine était liée à la Russie par des accords économiques et de sécurité. C’est du reste en novembre 2013 que l’UE a mis le couteau sous la gorge du président ukrainien Viktor Ianoukovitch : « Si vous voulez avoir un accord avec nous, cassez complètement celui avec la Russie ! » S’en est suivi le coup d’État de 2014 piloté par les USA, en période de trêve olympique…

Et depuis 2014 ! Nul n’avait remarqué que le mouvement politique paramilitaire Pravi Sektor se revendiquait néonazi ? Nul n’avait remarqué que le parti politique Svoboda était nazi ? Comme en témoigne son logo sur lequel je reviendrai.

Et depuis que les formateurs otaniens s’occupent de l’armée de Kiev, ils n’avaient jamais remarqué les tatouages en forme de croix gammée sur la peau de certains ? En particulier ceux des bataillons Azov, Aidar et les autres. C’est le moment d’évoquer leurs insignes, qui sont le même que le logo du parti Svoboda, c’est-à-dire une reprise intégrale (un copier-coller si vous voulez) de l’insigne de la division SS « Das Reich ». Celle-là même qui commit des atrocités à Montauban, Limoges, Tulle… et le massacre du village d’Oradour-sur-Glanes. Si vous en voulez la preuve, allez à Oradour-sur-Glanes. Pour entrer sur le site du village historique, vous passez par un petit musée dans lequel est contée l’histoire de cette division qui exécuta bien des atrocités en Ukraine (Ah ?) avant de s’illustrer tristement en France.

Alors, toutes les arguties pour justifier ce vote ignoble, dégueulasse, honteux, ne tiennent pas la route un quart de seconde. Les grands principes de l’humanité sont passés après les calculs putrides et stupides de petits politicaillons merdeux, qui, je l’espère, finiront dans les poubelles puantes de l’Histoire.

Cela dit, pour qui est à l’écoute des signaux faibles, ce n’est pas tout à fait une surprise.

Des signaux précurseurs

Dans un précédent article, à propos des mesures gouvernementales prises à l’occasion de la crise du Covid, j’avais écrit : « Le code de Nuremberg a été élaboré au cours du procès des médecins nazis à Nuremberg afin que les horreurs commises par les nazis sur le corps humain ne se reproduisent plus. J’en déduis logiquement que toute décision, politique ou autre, qui contrevient au code de Nuremberg est d’essence nazie. » C’est bien ce qui s’est passé. Les mesures gouvernementales étaient bien d’essence nazie. Dans un article suivant, écrit à quatre mains avec Mathias Masclet, nous revenions plus fondamentalement sur le fait que les bonnes intentions hygiénistes et sanitaires avaient produit les pires atrocités. Toujours de bonnes intentions pour justifier des saloperies. Aujourd’hui, ce sont les droits de l’Homme, la démocratie…

Tiens ! la démocratie ? Mais la démocratie n’est-elle pas indéfectiblement liée à la liberté d’expression ? Alors qu’en est-il de la censure pratiquée par les gouvernements occidentaux à l’encontre des médias dissidents ? Ainsi, la Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, qui lors de son discours du 23 septembre devant l’Assemblée générale de l’ONU, a appelé à une censure à l’échelle mondiale. Qu’est-ce que la censure sinon le fait de considérer que la liberté d’expression est un délit, et pourquoi pas un crime. J’évoque du bout des lèvres la répression sanglante du mouvement des Gilets Jaunes, qui à l’instar de la censure, relève de l’État totalitaire en général, et non spécifiquement de l’idéologie nazie. Ajoutons pour finir que tout cela, répression, censure, protection de la mémoire nazie, nous est présenté enrobé d’une novlangue que radio Paris et sa propagandastaffel maîtrise à la perfection.

80 ans, le temps de l’oubli

Dans nos pays l’espérance de vie est environ de 80 ans. C’est-à-dire qu’en 80 ans la population de nos pays s’est presque entièrement renouvelée, à l’exception de la bordure marginale droite de la courbe de Gauss : les heureux dont la longévité dépasse l’espérance de vie. Si bien que 80 ans, c’est le temps de l’oubli. Pas l’oubli de la mémoire qui, elle, est écrite dans les livres d’histoire, mais l’oubli des corps qui ont vécu pendant ce temps, l’oubli de ce que nos anciens ont pu vivre dans leur chair et dans leur âme. C’est le temps de la relativité. Par exemple, les politiciens occidentaux évoquent actuellement la possibilité d’une confrontation nucléaire avec une légèreté hallucinante. Aucun n’était à Hiroshima ni à Nagasaki. Mais une chose pourrait compenser cela : la conscience. Au moins s’ils en avaient une. Malheureusement, ils nous montrent qu’ils n’en ont pas.

Le gouvernement a oublié les Juifs, et les autres (résistants, opposants politiques, homosexuels…), qui ont été raflés en France sous l’occupation et ne sont jamais revenus des camps. Il chie sur leur mémoire et sur leurs descendants. Mais, dans le cercle restreint des Joe, Ursula, Manu et les autres, cela serait « tendance ». Tout cela devient relatif. Un bon prétexte, élaboré par un cabinet de conseil grassement rémunéré fera l’affaire.

NON ! Il n’y a pas de prétexte qui vaille. Il y a une hiérarchie dans les formes de pensée et d’action. Les grands principes de l’humanité seront toujours au-dessus des valeurs d’une époque qui, elles, sont éphémères, et a fortiori, au-dessus des calculs politiques de cette époque.

En fait, ce n’est pas seulement l’Ukraine qu’il faut dénazifier, c’est tout l’Occident.




L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, pas la Démocratie ou le Gouvernement International

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

(Source de l’image : iStock)

Traduction du texte original: The Antidote to Tyranny is Liberty, Not Democracy or International Government

Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat.

Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident.

Très fréquemment, les politiciens européens et américains opposent les nations « démocratiques » à celles qui sont « autoritaires » : les premières sont la bonté même tandis que les secondes menaceraient l’existence même de la planète. Pourtant, après plus de deux ans de masques et de vaccins obligatoires après des mois de limitation des déplacements en raison du COVID-19, toutes mesures imposées aux populations occidentales par un exécutif ou un appareil administratif unilatéral – sans recours au législatif ou à un référendum public – il est difficile d’affirmer que les nations dites démocratiques sont débarrassées de leurs impulsions autoritaires.

Lorsque les présidents et les premiers ministres invoquent « l’état d’urgence » pour élaborer et appliquer leurs propres lois, les citoyens ne doivent pas se montrer surpris de la réserve inépuisable d' »urgences » dont ces dirigeants disposent en vue d’autres actions unilatérales. En cas de doute, il suffit de se reporter à la répression musclée des « Convois de la Liberté » (Freedom Convoy) au Canada : le Premier ministre canadien Justin Trudeau a confisqué les comptes bancaires de tous les camionneurs qui manifestaient pacifiquement contre l’obligation vaccinale. Certains ont même été arrêtés sans égard pour le respect des procédures légales ou le droit à la liberté d’expression. L’« état d’urgence » proclamée par Trudeau a primé sur les droits personnels des citoyens canadiens.

La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. Si un membre de la minorité se retrouve esclave de l’État ou condamné à mort simplement parce que la majorité en a décidé ainsi, il ne chantera pas les louanges de la démocratie alors que son cou est serré dans un nœud coulant.

Les principes du fédéralisme (les pouvoirs du gouvernement souverain sont divisés entre une autorité centrale et ses parties constituantes locales) et de la séparation des pouvoirs (les fonctions judiciaires, législatives et exécutives du gouvernement sont réparties entre des branches distinctes et indépendantes) constituent des freins solides à la concentration de pouvoir et aux abus qui en découlent.

Cependant, dans les pays occidentaux, ce sont les droits naturels qui existent indépendamment et au-dessus de l’autorité constitutionnelle qui protègent le mieux contre l’injustice d’un gouvernement (démocratique ou non). Ces droits naturels – inviolables si l’on en croit la Déclaration d’Indépendance des États-Unis – protègent la liberté d’expression. Nul gouvernement ne peut censurer tel discours qui lui déplait. Si la propriété privée avait été considérée comme un droit inhérent à chaque individu, Trudeau n’aurait pu s’en prendre si facilement aux comptes bancaires des manifestants au nom d’une situation qu’il avait lui-même déclarée « urgente ». Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun.

Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». Si les chefs de gouvernement convainquent les citoyens que les droits personnels n’existent pas, ou qu’ils ne devraient pas exister, alors des gouvernements autoritaires représentant diverses nuances de communisme ou de fascisme ne manqueront pas de toquer à la porte.

L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique. Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ».

Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux.

La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens.

N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ?

« Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de  » menaces  » pour la démocratie.

Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Lorsque la République romaine est devenue l’Empire romain, ses institutions internationales sont-elles devenues intrinsèquement plus fiables ? Lorsque le Saint Empire romain a uni une grande partie de l’Europe, ses empereurs ont-ils semblé moins autoritaires ? Et si le parti nazi d’Hitler avait réussi à conquérir toute l’Europe, son « Union européenne » aurait-elle été plus légitime que les gouvernements nationaux de Pologne, de Belgique ou de France ?

Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme.

Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu.

JB Shurk écrit sur la politique et la société.




L’Arnaque à l’Energie Verte

Les bénéfices « verts » sont corrélés à la réduction des libertés

Par J.B. Shurk

Traduction du texte original : The Green Energy Profiteering Scam

[Illustration :
Les véhicules électriques sont-ils aussi puissants que leurs homologues à moteur thermique ? L’éolien et le solaire peuvent-ils vraiment fournir aux nations une énergie électrique fiable et sans coupures de courant ? Les plastiques, le mazout et la plupart des matériaux synthétiques qui équipent une maison peuvent-ils être fabriqués comme par magie sans pétrole ? Photo : une voiture électrique à une borne de recharge à Berlin, en Allemagne. (Photo de Carsten Koall/Getty Images)]

Sur les marchés libres, les marchandises achetées et vendues possèdent une valeur perçue. Lorsqu’un acheteur et un vendeur fixent ensemble le prix d’un produit, il se produit une « communion des esprits ». La valeur d’une matière première naturelle est proportionnelle à sa rareté. Plus elle est abondante et facile d’accès, moins elle a de valeur. Un marchand de cailloux ne peut pas gagner sa vie tant son produit est abondamment et librement réparti sur le sol. En revanche, l’or ou de l’argent, les diamants ou les rubis, « roches » difficiles à trouver, valent une petite fortune.

Il existe cependant, deux manières de transformer des cailloux en or ! Un vendeur peu scrupuleux peut les peindre en doré, prétendre que ces banals cailloux sont rares, et tromper un client sans méfiance. Par la fraude, le vendeur peut détourner la valeur perçue d’une marchandise et saper la « communion des esprits » entre lui-même et le client trompé. Ses pierres n’avaient rien de « précieux », mais elles lui ont procuré un profit mal acquis. Toutefois, au fil du temps, ce type de fraude ne dure pas. Des clients plus exigeants comprennent la ruse, et l’information atteint l’oreille de tous les acheteurs potentiels. Le vendeur peu scrupuleux aura intérêt alors à aller gruger les résidents d’une autre ville car les personnes déjà filoutées auront à cœur de mettre fin à son gagne-pain, voire pire encore. Frauder fait encourir de graves risques personnels.

Une autre technique de valorisation des cailloux, beaucoup plus sure, existe. Le vendeur peut aller trouver le roi et lui demander un droit exclusif de stockage et de commercialisation des cailloux. Si par extraordinaire, une telle licence lui était accordée — à savoir que de banals cailloux ne pourraient être possédés que s’ils portent la marque du vendeur — alors une ressource naturelle abondante deviendrait rare du jour au lendemain. Un bien gratuit deviendrait un bien réglementé et son prix serait fixé par le vendeur et la chancellerie du royaume. Certes, certaines personnalités jouissant d’un statut spécial ou d’une proximité officielle avec le roi profiteraient toujours de cailloux à prix zéro. Mais pour tous les autres, une mécanique classique de l’offre et de la demande serait imposée. Même si le prix officiel d’un caillou restait bas, sa valeur sur les marchés secondaires sera entièrement déterminée par la rareté des pierres estampillées par les vendeurs.

Quelle peut être la valeur de minéraux que l’on est obligé d’acheter sous licence ? Lorsqu’un roi et un vendeur conspirent pour ne mettre sur le marché qu’une petite fraction des roches disponibles, leur « indisponibilité » artificielle les rend extrêmement précieuses. Cette rareté légalement organisée génère peu de risques personnels. Le monopole sur les produits à forte demande se transforme en autorisation pour imprimer de l’argent.

À ce stade du raisonnement, il est facile de comprendre pourquoi tant d’investisseurs aiment l’intervention gouvernementale sur les marchés de l’énergie.

Les gouvernements ont le pouvoir de créer une valeur artificielle en votant des lois qui bloquent l’accès au marché de toute personne qui ne financerait pas d’abord un privilège. L’un de ces schémas consiste à cibler une matière première essentielle à toute production industrielle et commerciale — l’énergie — et à la réglementer de bout en bout. Lorsque des sources abondantes d’hydrocarbures sont fortement réglementées, les actifs à base d’hydrocarbures approuvés par le gouvernement prennent de la valeur. Lorsque les gouvernements limitent le forage et l’extraction des hydrocarbures, ils fabriquent de la rareté. Lorsque les gouvernements limitent l’utilisation du pétrole, du charbon et du gaz naturel, la large utilité industrielle de ces énergies leur assure une demande de plus en plus élevée. Lorsque les entreprises sont contraintes de limiter leur « empreinte carbone » ou d’acheter des « crédits carbone » (des cailloux ordinaires) auprès de fournisseurs « verts » agréés, les copains du gouvernement engrangent des bénéfices (et le trésor public aussi).

Certains particuliers et entreprises fortunés peuvent continuer de prospérer en dépit d’un prix artificiellement élevé des hydrocarbures, mais les jeunes pousses et les petites entreprises seront éjectées du marché. Ceux qui sont postés au sommet de la pyramide des richesses pourront y demeurer parce que les ressources énergétiques bon marché qu’ils ont utilisées pour amasser des fortunes sont désormais refusées à leurs compétiteurs.

Une guerre contre les « combustibles fossiles » est une superbe tactique pour protéger une part de marché. Cette cause idéologique profite également aux recettes publiques, ainsi qu’aux finances des « associations à but non lucratif » spécialisées dans la défense de l’environnement et autres intérêts spéciaux qui se nourrissent aux auges du gouvernement en échange de la promotion du jeu « vert ».

Les voitures électriques sont-elles aussi puissantes que leurs homologues à moteur thermique ? L’éolien et le solaire peuvent-ils vraiment fournir aux nations des réseaux électriques fiables et sans coupures de courant ? Les plastiques, le mazout et la plupart des matériaux synthétiques qui équipent une maison peuvent-ils être fabriqués comme par magie sans pétrole ?

La population mondiale pourra-t-elle éviter la famine et les privations si les agriculteurs sont contraints de revoir leurs méthodes de production végétale et animale afin de se conformer à des lois « vertes » qui limitent l’utilisation ou la libération de dioxyde de carbone, de méthane, d’azote et de phosphate — toutes molécules et [tous] composés essentiels à l’agriculture de base et aux engrais à haut rendement ?

Les auteurs de ces initiatives « vertes » finiront par ressembler trait pour trait à ces escrocs qui peignent des cailloux en doré — ou en vert brillant — et les vendent en les faisant passer pour des minéraux très rares.

N’est-ce pas là le rôle des normes qui composent la Responsabilité Sociale et Environnementale (RSE) imposées aux marchés ? La RSE n’est-elle pas un effort concerté pour plier les marchés commerciaux à des objectifs extrêmement politiques ? Ne s’agit-il pas de récompenser des entreprises et des investissements qui se plient à des croyances idéologiques au détriment de celles qui cherchent surtout à générer des bénéfices ?

Lorsque les conseils d’administration et les investisseurs survalorisent certaines actions et certains actifs, simplement parce qu’ils sont peints en « vert » brillant, alors ils faussent le fonctionnement des marchés libres. La surévaluation par la RSE transforme des fantasmes erronés, mais « politiquement corrects » en or. Les marchés qui tendent vers une « rencontre des esprits » objective et transparente subissent un détournement idéologique. Il y a une fraude tacite, mais indubitable.

Même des adversaires aussi irréductibles que la Russie et les États-Unis se sont mis d’accord pour limiter l’usage des hydrocarbures et « passer au vert ». Jusque-là, l’idée que quelqu’un puisse tirer profit du vent ou du soleil aurait semblé aussi absurde qu’un commerce de cailloux librement disponibles. D’un autre côté, faire fortune avec de l’eau en bouteille aussi semblait absurde.

L’environnementalisme imposé par le gouvernement a créé une classe de milliardaires « verts ». Partout et chaque fois que les gouvernements ont exigé que les citoyens achètent certains biens ou subissent les conséquences juridiques de leurs choix, les producteurs de ces biens ont connu des réussites scandaleuses.

Qui ignorait auparavant l’existence de ce minable capitalisme de connivence a sans doute compris une chose ou deux en voyant comment les commandes mondiales de vaccins ont accru les bénéfices de l’industrie pharmaceutique, tandis que les clauses d’indemnisation accordées par le gouvernement exonéraient ces mêmes fabricants de vaccins de toute indemnisation des patients victimes d’effets secondaires imprévus

Quand les gouvernements subventionnent des secteurs industriels entiers, forcent le consommateur à acheter les produits de ces industries et protègent ces industries des conséquences juridiques des dommages causés par leurs produits, font affluer l’argent dans les poches des actionnaires.

Lorsque les rois ordonnent de remplacer les moteurs à essence par des batteries au lithium, les fabricants de véhicules électriques sont en position d’imprimer de l’argent. Tout comme un fournisseur de cailloux qui se place sous protection royale. Ceux qui ont pris le train « vert » en marche et ont investi tôt dans des technologies qui sont présentées comme allant remplacer inéluctablement les machines traditionnelles fonctionnant aux hydrocarbures ont engrangé d’immenses fortunes. La principale force motrice de la révolution « verte » n’a pas été une préoccupation environnementale, mais cette bonne vieille cupidité.

La mutation « verte » s’est donc avérée très lucrative, mais ce gain peut-il durer ? C’est là où la réglementation des hydrocarbures et les contraintes liées au crédit carbone confinent au magique. Si les fournisseurs « verts » préférés du gouvernement exigent de s’enrichir davantage, il suffit aux politiciens d’augmenter la douleur énergétique des autres. Moins les entreprises et les citoyens seront « autorisés » à consommer des énergies fossiles, plus ils seront prêts à payer pour obtenir des « crédits ». Par le biais de mandats d’autogestion, les gouvernements créent des actifs « verts » qui s’apprécient artificiellement. Le ciel est la limite !

À terme, n’aboutit-on pas à la confiscation totale de la richesse et des fruits du travail de chacun ? Si les gens ordinaires ne peuvent pas renoncer à leur consommation d’hydrocarbures aussi facilement que les agents de l’État l’exigent, alors ils devront alors se passer d’automobiles, de technologies modernes, de confort ordinaire, de climatisation et même de chauffage.

Aucun coût personnel, n’est semble-t-il trop élevé pour répondre aux exigences du Nouvel Ordre Mondial Vert (et faire en sorte que les producteurs de « vert » et leurs amis du gouvernement fassent affaire ensemble). Les profits « verts » ne peuvent augmenter que si les libertés sont revues à la baisse.

Tout ceci ne colle-t-il pas remarquablement à une autre philosophie politique fondée sur l’abolition de la propriété privée ? Qu’est-ce que ce vieil adage un peu apocryphe attribué à Vladimir Lénine ? « Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons ». Aujourd’hui, les capitalistes « verts » s’enrichissent en raréfiant la nourriture et le carburant, applaudis par les pères-la-vertu « verts » qui se congratulent de cette suppression de la concurrence, tandis que les citoyens occidentaux de plus en plus appauvris plongent dans le dénuement.

Une chose est sûre : quelle que soit la « sagesse » politiquement correcte qui prévaut en Occident et la « folie des foules » écologistes, si la base d’hydrocarbures de l’économie mondiale devait être échangée contre des cailloux « verts » sans valeur, ni les capitalistes riches ni les citoyens pauvres ne survivraient très longtemps.

JB Shurk écrit sur la politique et la société.




Le Dr. Stéphane Gayet se révolte contre sa radiation de l’Ordre des Médecins dans un tweet qui énerve les covidolâtres

[Source : dissidentofficiel.com]

Ce samedi 5 novembre, le Dr Stéphane Gayet a été l’auteur d’un tweet à la logique imparable et qui montre à quel point est illégitime sa radiation de l’Ordre des Médecins. Ce message publié par le médecin a certainement énervé à la fois les partisans aveugles des directives sanitaires pendant la pandémie, mais également les représentants d’industrie pharmaceutique et encore plus les médecins de plateaux qui ne déclarent pas leurs conflits d’intérêts. Normal puisqu’il met l’emphase sur comment les traitements médicamenteux qu’il a prescrits ne lui ont rien apporté financièrement, ce qui n’est pas le cas de tout le monde…

Retrouvez le tweet de Stéphane Gayet, aimé déjà plus de 16 000 fois seulement 24 heures après sa publication :

Retrouvez quelques réactions de soutien d’internautes au Dr Gayet :





Attention aux accusations de dérives sectaires contre les éveillés : la menace de la Miviludes

Par Nicole Delépine

De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2

J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !

Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.

Il est urgent d’informer tout le monde de cette nouvelle dérive du pouvoir, jeunes y compris qui doivent sortir de leur isolement transitoirement protecteur, et de s’opposer de toutes nos forces au système de délation digne des régimes de Vichy, de l’Union soviétique ou le nazi. Relisons Orwell et battons-nous.

Si nous alertons suffisamment contre cette nouvelle attaque de la liberté d’expression, ils reculeront d’autant plus que la Miviludes s’est souvent fait critiquer, a été parfois condamnée en justice et ne jouit pas d’une bonne réputation.



RETOUR SUR SCÈNE DE LA MIVILUDES

La MIVILUDES est la « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ? En clair c’est donc une arme du pouvoir exécutif pour imposer ses choix contre ses opposants.

L’argument d’urgence serait l’augmentation des signalements :

« les confinements répétés et l’angoisse du décompte des morts ont perturbé de nombreux Français. Pour le plus grand bonheur de personnes malintentionnées. En 2021, les saisines de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) ont atteint des sommets. Elles se dénombrent à 4 020 ».3

Notons que vu le nombre de personnes affectées profondément par ces confinements absurdes et injustifiés4, le sommet n’est pas l’Everest dans un pays de 67 millions d’habitants et l’explosion fait pschitt…

Le journal 20 MN ose écrire :

« La pandémie a charrié dans son sillage son lot de complotistes et d’antivax. Un terreau fertile pour le développement de solutions alternatives » qui n’ont aucun fondement scientifique ».

Nous espérons pour eux qu’ils sont bien payés pour tous répéter le même crédo. N’ont-ils pas appris à lire les publications des agences officielles de la FDA, de la MHRA ou de l’EMA qui additionnent plus de 70 000 morts reconnus liés aux injections expérimentales pour une pseudo grippe qui tue en 32 mois a tué moins de 0,000 825 de la population mondiale et essentiellement les personnes âgées dans les pays les plus vaccinés.

Combien de ces donneurs d’alerte sont-ils traités d’« antivax », alors qu’ils sont seulement dubitatifs envers ces injections expérimentales qui ne sont pas des vaccins, et même parfois très provax (comme le Pr Perronne) ont-ils sauvé de vies en les faisant échapper à ces toxiques ? Évidemment le projet des sept milliards d’injectés en a pris un coup et les fidèles de Schwab tentent d’y remédier. Trop tard ! Et comme disait notre avant-dernier prix Nobel de médecine (2008) le Pr Montagnier, les non injectés sauveront l’Humanité.

« Sonia Backès, secrétaire d’État en charge de la citoyenneté, annonce que le gouvernement va organiser des “assises des dérives sectaires et du complotisme”. Objectif : améliorer les signalements à la Miviludes du voisin, du collègue de travail, etc. qui sombrerait dans ces dérives sectaires ou le complotisme…

Nous voilà dans l’ordre moral et politique, dans le contrôle de tous par tous, dans le retour de l’inquisition, dans un fascisme qui ne dit pas son nom »5.

Orwell était visionnaire et les évadés des régimes des pays de l’Est tremblent…

Mme Backès essaie-t-elle de régler ses problèmes personnels, puisqu’elle rappelle candidement que sa mère était membre de la scientologie.6 Trop proche des présumés coupables du futur de la dénonciation, elle devrait comme dans tout bon policier être éloignée de l’enquête pour absence d’objectivité liée à ses antécédents. Les dires de la secrétaire d’État sont particulièrement inquiétants, choquants :

« Dérives sectaires : les saisines de la Miviludes atteignent un nouveau record ! »

Au lendemain de la publication du rapport de la Miviludes, qui fait état de 4 020 signalements en 2021 (+33,6 % par rapport à 2020), S. Backès regrette que « tout ne soit pas signalé ». « Beaucoup de choses passent sous les radars, et on ne sait pas exactement combien de personnes sont réellement concernées » par les dérives sectaires, poursuit-elle. Le dernier chiffre connu date désormais de « quelques années » et fait état de « 500 000 personnes touchées », selon la secrétaire d’État.

« S. Backès s’est dite particulièrement inquiète des “dérives liées à la santé”. “On parle de gens qui se décrètent naturopathes et qui vendent des soins alternatifs aux soins traditionnels et vérifiés”.

Nous aussi sommes inquiets de la disparition de la médecine traditionnelle, individuelle et de la dictature des protocoles qui suppriment tout recours aux traitements éprouvés pour imposer des molécules chères, inefficaces et souvent toxiques. » 7

Il est bien triste que Mme Backès ne souligne pas le sectarisme des médias et du pouvoir qui ont vendu pour vérité révélée les mensonges du Lancet sur la chloroquine de mai 2020 dont l’auteur principal était une actrice porno reconvertie8 9 10. La démonstration du mensonge organisé sur lequel le ministre Véran s’était appuyé pour interdire la chloroquine n’a pas conduit ce dernier à supprimer son ukase mortifère.

Donc où sont les données « vérifiées » de la médecine traditionnelle devenue menteuse, trompeuse, manipulatrice et a de fait perdu la confiance des patients ? Justement les données officielles répandues sur les médias à longueur de journée sans avis contradictoire ne furent jamais vérifiées, telle la soi-disant contamination des grands-parents par les enfants, la soi-disant efficacité des pseudovax, etc. Les résultats affluent (y compris de Pfizer), qui démentent ce que le discours quotidien a martelé dans les têtes des téléspectateurs…

« “La difficulté survient lorsqu’il y a emprise mentale et mise en danger”, poursuit-elle, déplorant par ailleurs les conséquences financières liées à ces dérives. “Derrière, il y a incitation à acheter l’appareil qui fait des jus de légumes, puis la vidéo de ces gourous 2.0 finit par devenir payante”, précise S. Backès, dont la mère a appartenu à la secte de l’Église de la scientologie. “Je sais comment ça se passe, je sais comment on y rentre, je sais comment ils maintiennent les gens sous emprise et je sais toute la difficulté d’en sortir”, explique-t-elle… »

Oui, mais qui a eu emprise de fait sur des milliards de personnes dans le monde, manipulées par les gouvernements qui appliquent les recommandations de l’OMS ? 11 Oui, il y a eu manipulation, emprise, mais à grande échelle et avec des conséquences monstrueuses, au regard desquelles les appareils de jus de légumes sont peanuts. Au 2 novembre 2022, d’après l’OMS, 12 861 382 558 doses de vaccin ont été administrées pour un coût d’environ 250 milliards de dollars, sans effet bénéfique prouvé sur l’épidémie et associés à de très nombreux effets secondaires dont des décès et des handicaps durables, selon les données publiées par les agences officielles (VAERS pour la FDA, EudraVigilance pour l’EMA, MHRA pour les Anglais, etc..)

Qui regarde la lune et qui regarde le doigt qui la montre ?

Des Assises organisées début 2023

Dans ce contexte, des « Assises des dérives sectaires et du complotisme » seront organisées « début 2023 » autour des acteurs de la lutte contre ces phénomènes. Le but, précise Sonia Backès, c’est de réaliser « un état des lieux » et d’aboutir « à un plan d’action très clair ». Parmi les pistes envisagées, la secrétaire d’État dit vouloir simplifier les procédures de signalement, qui consistent actuellement à « remplir un formulaire sur le site de la Miviludes ». Si elle fait parallèlement l’état des lieux des résultats de la politique sanitaire, cela ne sera pas triste…

« Est-ce que c’est suffisant ? Je ne crois pas », ajoute-t-elle. « On a besoin d’une plus grande proximité, de sensibiliser les gens qui sont autour de nous, les gendarmes, les services de proximité pour signaler plus facilement », indique Sonia Backès, qui n’exclut pas de faire évoluer l’arsenal législatif autour des dérives sectaires.

C’est grave, car qui déciderait le cas échéant de définir un « avis » comme dérive sectaire ? Tous ceux qui ont dit que le confinement était inutile se sont révélés avoir eu raison, comme pour l’inefficacité des pseudovax et leurs dangers.12

De fait, nous sommes des milliers, voire des millions à pouvoir signaler à cette dame les énormes dérives sectaires des journaux, des médias et des politiques qui nous ont si bien manipulés que des milliards d’entre nous ont accepté la piqûre infernale, dont on ne connaît pas encore aujourd’hui la totalité des composants, ni la réelle finalité des piquouseurs. On pourrait l’informer déjà par plein de mails ou de lettres avant qu’elle ne coure le danger de séances publiques qui démontreront ces manipulations perverses que peut-être elle ignore.

Alors pourquoi cette réapparition brutale d’une instance contestée et quasiment disparue en octobre 2022 ?



La Miviludes, le complotisme et les dérives sectaires (référence à son rapport annuel 2021)

La Miviludes est-elle réellement indépendante ?

https://www.association-sante-naturelle.info/revelation-pourquoi-la-miviludes-sacharne-contre-la-sante-naturelle/

« LA MIVILUDES EST-ELLE INFORMÉE DE NOTRE PLAINTE QUI VISE LES DÉRIVES SECTAIRES “D’EN HAUT” ?

Est-ce que cela ne vaut que pour les “complotistes” (terme soudainement devenu à la mode, sur toutes les lèvres pour pouvoir discréditer ceux qui osent réfléchir) et non pas pour les comploteurs ? La pensée complexe est-elle désormais interdite ?

Puis ce serait bien entendu à cause des “complotistes” que la population présente un niveau de troubles dépressifs extrêmement élevé depuis le début de la crise, notamment de graves poussées suicidaires chez les jeunes.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont déclaré des confinements forcés pour toute la population. Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont forcé les enfants et les adultes à porter des masques, que même le COVARS a du mal à justifier aujourd’hui.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont refusé le soin et interdit les traitements efficaces.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont utilisé une politique de stigmatisation des non injectés pour forcer à se soumettre à une expérience médicale. Tout cela serait bien entendu l’œuvre des “complotistes”. »

L’inversion accusatoire est parfaitement pratiquée :

Putsch média se penche aussi sur cet inquiétant projet de la lutte contre « les dérives sectaires et le complotisme et ce plan d’action. Comment on agit ? »13 selon la secrétaire d’État

« Sonia Backes fait référence à deux choses qui semblent très distinctes. D’une part, l’emprise sectaire qui représente aujourd’hui, d’après la Secrétaire d’État, un enjeu majeur de santé publique et de lutte contre le séparatisme”.

D’autre part, il semble beaucoup plus difficile d’appréhender avec objectivité la notion de complotisme, arme fatale du gouvernement, et de certains grands médias et de sachants pour dénigrer de nombreux acteurs de la santé, de la société civile ainsi que certains médias indépendants, jugés complotistes pendant la crise sanitaire ».

Sonia Backes s’appuie sur ce rapport de la Miviludes 14pour lancer cette idée des « Assises des dérives sectaires et du complotisme ».

Pour le président de la Miviludes, Christian Gravel, le « complotisme » ressemble à cette novlangue qui veut sans l’avouer clairement accuser ceux qui ont dénoncé le caractère véritablement « sectaire » des décisions de l’OMS et le forum de Schwab, appliquées aveuglément par la France.

RESTER LIBRE EST UN CHOIX ET UN COMBAT DE TOUS LES INSTANTS

Notons que contrairement à ce qu’ont raconté tous les médias et trop de citoyens soumis, nous aurions pu, comme la Suède, garder notre liberté de penser et donc de choix et de résistance aux mesures délirantes, tels le confinement, la fermeture des écoles et le masque, et l’injection quasi forcée, et avec des résultats sanitaires meilleurs que les nôtres.

Le rapport de la Miviludes analyse donc la crise en ces termes :

« La crise sanitaire a constitué un catalyseur à travers une prolifération de nouveaux acteurs, plus discrets, maîtrisant le web et ses codes, sachant contrôler les esprits, en exploitant les peurs, la perte de repères, la recherche de solutions simples face à des questionnements existentiels, par définition complexes. Les délinquants experts en manipulation savent, pertinemment, instrumentaliser les vicissitudes de nos concitoyens. »

« la crise engendrée par la COVID-19 a déstabilisé de nombreuses personnes en perte de repères dans une société complexe, interconnectée où l’information côtoie la désinformation. La MIVILUDES s’est retrouvée confrontée à des saisines, reflet d’une véritable crise sociale teintée d’isolement, de questionnements, de colères et de craintes ».

L’opposition entre information et désinformation précise l’objectif de ce rapport15 : le complotisme, « notion voisine » du sectarisme. Ce rapport pointe les réseaux sociaux comme principaux accélérateurs de ces « dérives sectaires ».

LE COMPLOTISME VU PAR LA MIVILUDES

« Le complotisme est un mode de pensée antisystème qui s’appuie sur des arguments non falsifiables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent être ni prouvés ni récusés, ou sur une vérité partielle, soumise à une interprétation rationnelle, mais erronée (…) »

La revanche contre les élites comme argument de base !

« Les théories complotistes constituent un discours de revanche contre les élites et contre le système socio-économique dans lequel l’individu vit. Plus celui-ci est indigné de sa situation, plus il trouvera un écho à sa colère dans le complotisme. Si le système est perçu comme injuste, la théorie venant le discréditer sera accueillie positivement. Plus généralement, le manque de confiance dans les élites dirigeantes et le sentiment d’une prétendue opacité de la vie publique ébranlent fortement la confiance de l’individu envers les institutions. Celles-ci sont alors considérées comme immorales et illégitimes ».

Ainsi sans trembler semble-t-il, les rédacteurs de ce rapport nient tout simplement l’opacité de la vie publique, qualifiée de « prétendue » à l’heure où la confiance en les médias en France a chuté derrière des pays supposés dictatoriaux et que la censure est non seulement effective, mais revendiquée par les médias et les grands réseaux comme Facebook, twitter et YouTube.

Ce déni de réalité, caractéristique de la coupure entre pseudoélites au pouvoir, et le peuple est la base de la césure actuelle et de l’aveuglement des dirigeants, coupure illustrée par l’énorme taux d’abstention aux élections.

EN FAIT POUR LA MIVILUDES, LE COMPLOTISME C’EST REFUSER LES UKASES ET LES AFFIRMATIONS SANS PREUVE DU POUVOIR ET DE SES RELAIS.

Ce rapport ne trace aucune frontière bien définie entre la liberté de pensée et les dérives sectaires. Il fait bien le parallèle avec les reproches faits aux médecins poursuivis devant les conseils de l’ordre régionaux. Et les condamnations tombent comme celles du Dr Gayet radié16, et aussi celles des enseignants-chercheurs comme Vincent Pavan, auteur du livre passionnant et instructif, « le débat interdit »17, privé de salaire pendant un an par son université (entre autres nombreuses victimes).18

LA LIBERTÉ DE PENSER ET DE PARLER, D’INFORMER AU CŒUR DU DÉBAT19

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, l’article 9 de la convention européenne des droits de l’homme assurent de ces droits de base constitutionnels bafoués sans vergogne depuis bientôt trois ans. La liberté d’expression

fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelles découvertes scientifiques. Pour ces raisons la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

LA MILIVUDES A DE LOURDS ANTÉCÉDENTS

Rappelons quelques exemples :

UNE VICTOIRE DES KINÉSITHÉRAPEUTES EN 2017

« Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance (ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF) et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du guide “Santé et dérives sectaires” publié en 2012 par la MIVILUDES, la cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017 l’arrêt suivant : “Les informations concernant la fasciathérapie ne doivent plus figurer dans le guide ‘Santé et dérives sectaires’ publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (MIVILUDES) en avril 2012.”20 (…)

« La justice reconnaît ainsi clairement que la MIVILUDES a commis une erreur d’appréciation et de jugement concernant la fasciathérapie et qu’elle a ainsi porté atteinte aux praticiens exerçant cette approche. FasciaFrance se réjouit donc de cette décision qui rétablit l’honneur des centaines de professionnels de santé qui exercent quotidiennement la fasciathérapie dans le respect de leur métier et de la confiance des patients. »

UNE NOUVELLE CONDAMNATION DE LA MIVILUDES EN 2018 POUR SA PROPAGANDE CONTRE LA SANTÉ NATURELLE 21

Le 13 juillet 2018,La Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français, pour sa propagande contre la santé naturelle.

« En 2017, la Justice l’avait déjà condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie — une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes. Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la “médecine anthroposophique”… et mal lui en a pris ! Car cette médecine naturelle n’a rien de clandestine. Pratiquée par des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.

Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique. Contrairement à la médecine officielle, elle n’est pas purement “biomédicale”. Elle prend en compte toutes les dimensions de l’être humain : biologique, bien sûr, mais aussi psychologique et même spirituelle. Pour la Milivudes, cela suffit à la rendre suspecte… et à la classer dans sa liste officielle des thérapies “à risque de dérive sectaire”.

Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques “spirituelles” comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !

Car il est très important de connaître ses ennemis. Dans ma dernière lettre, je vous ai parlé des Big Business, ces multinationales qui contribuent à ruiner notre santé : Big Pharma, Big Agra, Big Food et Big Chemical. Mais ces Big Business ne pourraient rien sans de solides complicités chez les décideurs politiques et administratifs.

La Miviludes en est un cas d’école… tout simplement ahurissant. Le “naturel”, voilà l’ennemi de la Miviludes

Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier 2018 !

Tout ce qui est naturel peut cacher des dérives sectaires”. Voilà, mot pour mot, ce qu’a dit sur Europe 1 le précédent président de la Miviludes, George Fenech22. Au moins, les choses sont claires.

Voilà pourquoi la Miviludes qualifie de “méthode à risque de dérive sectaire” des pratiques comme :

L’EMDR, une technique psychologique validée scientifiquement par l’INSERM et recommandée par des grands médecins comme le regretté David Servan-Schreiber ;

La gemmothérapie, un remède traditionnel issu des “plantes médicinales” ;

La sophrologie, une simple méthode de relaxation ;

Et même la médecine ayurvédique, pratiquée en Inde depuis des millénaires et reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé pour ses bienfaits !

Et le plus révoltant, c’est l’aveuglement de la Miviludes face aux vraies menaces.

Les “salons zen” et les cours de yoga, voilà l’ennemi de la Miviludes

Voici le gros titre du journal Le Monde, le jour où la Miviludes a rendu son rapport :

La santé et le bien-être, des domaines particulièrement sujets au risque de dérives sectaires”. Dès l’introduction du rapport, le président Serge Blisko insiste sur “la nécessaire défense de la pensée rationnelle”, notamment face aux “dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs”.

J’ai lu le rapport en intégralité, et il contient un nombre de bêtises invraisemblable :

Ainsi, en lien avec la question de l’exploitation animale et du véganisme se développe une forme d’extrémisme, comme dans le domaine de l’écologie le mouvement de deep ecology, qui peuvent mettre en danger les adeptes et particulièrement les enfants.”

Attention donc, aux “écolo” et aux végans »… et attention aussi aux très dangereux « Salons ZEN » :

« La promotion des nouvelles pratiques alimentaires se fait largement par Internet et les réseaux sociaux, mais aussi dans les salons bio-zen. (…) Ces salons ouvrent aussi leur espace à de véritables charlatans et à des méthodes dangereuses pour la santé dès lors qu’elles sont mises en œuvre par des personnes qui n’ont pas de connaissances médicales sérieuses ».

Autre menace dans le viseur de la Miviludes, les psychothérapeutes (…).

Alors bien sûr, les charlatans et les gens sans scrupule, cela existe, dans la médecine naturelle comme ailleurs… mais cela n’en fait pas des dérives sectaires pour autant !

Pour la Miviludes, pourtant, même le yoga et de méditation sont terriblement suspects !

« Aujourd’hui, la mode pour la méditation et le yoga et la demande qu’elle crée s’élargit à de nouvelles catégories de personnes, ouvrant des opportunités à des individus sans formation et sans scrupule. » Et des énormités comme celle-là, il y en a sur des pages et des pages.

(…) Guillaume Chopin, Association Santé Naturelle »

Même Libération en 2019 évoque la disparition de la Milivudes :

Sectes : la Miviludes va-t-elle disparaître ?

DES TENSIONS

Depuis le printemps 2020, la Mission est intégrée au Comité interministériel de Prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) au sein du ministère de l’intérieur.

« Matignon confirme que la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires sera rattachée début 2020 au ministère de l’Intérieur. Pour les acteurs du secteur, cela revient à faire disparaître la Miviludes. »

DU VENT DANS LES VOILES

France Inter citait un acteur associatif : « Depuis quelques semaines presque plus personne ne répond. C’est l’omerta, mais les choses sont déjà pratiquement faites. La Miviludes va être purement et simplement dissoute au sein du ministère de l’Intérieur ». Une information confirmée à la radio par un membre de cabinet ministériel. La Miviludes devrait être fusionnée avec le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), selon la radio.

Recommandations de la Cour des comptes

Contacté par Check News, le ministère de l’Intérieur confirme que la Miviludes sera bien rattachée, début 2020, au ministère de l’Intérieur. Mais refuse de parler de « disparition ».

En plus de son rattachement à l’Intérieur, la Miviludes sera bien fusionnée avec le secrétariat général du comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (SG CIPDR) : « les champs d’intervention de ces deux organismes ne se recouvrent pas totalement, mais ils ont pour important point commun la lutte contre les nouvelles formes de radicalité et certains phénomènes d’emprise et d’enfermement », selon Matignon.

C’est donc sans surprise que les conseillers de la Miviludes ont appris leur « fusion » avec le SG-CIPDR lundi 30 septembre ».

Mais en 2021 la ministre Schiappa nomme une présidente et renforce les moyens, le confinement ayant aggravé les dérives selon elle.23 06/04/2021

Elle déplore que « de nouveaux gourous » se servent du Covid pour accroître leur influence.

« Vous avez de nouveaux gourous qui se servent de la pandémie pour prêcher des mesures soi-disant de bien-être, mais qui sont des mesures de sujétion psychologique, voire de captation d’argent ou de biens », a dénoncé Marlène Schiappa sur Franceinfo. Elle estime que « plus de 500 nouveaux petits groupes sectaires ont proliféré à la faveur du confinement ». Les dérives sectaires touchent 140 000 personnes, dont 90 000 enfants.

Je multiplie par dix les moyens de la Miviludes : ils sont maintenant d’un montant de 1 million d’euros pour accompagner notamment les associations ». Une magistrate, Hanène Romdhane, a été nommée à la tête de la Miviludes. « Sa nomination a notamment pour but de donner une suite judiciaire à l’ensemble des signalements effectués auprès de la Miviludes : 3 000 rien que sur l’année 2020 dont 40 % dans le domaine de la santé », selon le communiqué.

MAIS EN JUIN 2022

Miviludes : la lutte contre les dérives sectaires a disparu de l’organigramme du gouvernement

Déjà menacée de disparition fin 2019, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires n’est mentionnée nulle part dans les attributions des différents ministères publiées aujourd’hui au journal officiel 24 :

« C’est une suppression de fait. »

OCTOBRE 2022 — Le syndrome Renaissance ?

La MIVILUDES disparaît quasiment, absorbée dans un ministère non précisé et en octobre, branle-bas de combat la secrétaire d’État anciennement liée via sa famille à la scientologie annonce des grandes décisions. Que s’est-il passé à OK Coral ?

Et vous qu’en pensez-vous ? Comme Annette ?

@Annette_LEXA

« je sais pas vous, mais moi, j’ai le sentiment d’être contrainte de vivre dans une secte géante depuis 2 ans 1/2. Si on prend les critères de la #MIVILUDES, le gouvernement actuel coche toutes les cases ».

En tous cas ? les internautes ont rapidement réagi avec une longue liste de #balancetoncomplotiste dont je vous livre quelques exemples :

PLUS NOUS INFORMERONS DE CE PROJET TOTALITAIRE, MOINS ILS POURRONT LE METTRE EN PLACE

D’autant que bien des Français se demandent ce que deviendront les délateurs des soi-disant complotistes qui finalement auront eu raison : le pseudovax ne protège pas de la contamination, a des effets secondaires importants, etc.

INFORMONS !





Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Par Nicole Delépine (son site)
lundi 6 avril 2020

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [1][2][3][4]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore :

« Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

[1] Avis 106 de 2009 sur “Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[2] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[3] Contribution du 13 mars 2020 sur les Enjeux éthiques face à une pandémie 

[4] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

Décret Rivotril : compassion, euthanasie[1] ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Le traitement du Pr Raoult potentiellement efficace, serait dangereux pour ceux qui sont trop vieux pour bénéficier de soins actifs en cas de Covid ! Mais pas le Rivotril qui les endormira à jamais ! Sortez vos ainés des EHPAD et hôpitaux en urgence.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 :

« C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

Un nouveau procès de Nuremberg se profile

Les médecins français et soignants de 2020 sauront-ils mieux résister aux injonctions du pouvoir totalitaire qui se met en place que leurs confrères allemands des années 30, qui appliquèrent la loi hitlérienne visant à euthanasier les handicapés, les fous, etc. ?

Comment un soignant peut-il accepter de condamner à une mort rapide un patient avec lequel il converse avec empathie apparente, sous l’ordre de deux médecins différents joints par téléphone qui n’ont pas examiné le malade de chair, d’os et d’âme ?[2] C’est à ces extrêmes qu’on voudrait conduire médecins et infirmiers qui, à coup sûr, contraints dans le feu de l’action et la pression du groupe, accepteront pour certains, mais ne s’en remettront jamais à long terme… [3]

Nos aïeux en EHPAD semblent avoir été sournoisement condamnés à mort par une série convergente de circulaires gouvernementales

Une épidémie volontairement non contrôlée : pourvu que ça dure…

Pas de fermeture des frontières, pas de masques ni gels, ni respirateurs en nombre suffisant, pas d’ouvertures de lits ni embauche de personnel, plan blanc bloquant l’activité des cliniques privées depuis près de trois semaines, mais dont les lits restent vides !

« En même temps » une mise en scène théâtrale permet au président de jouer au chef de guerre salvateur (transfert en hélicoptère coûtant plusieurs centaines de milliers € alors que le transport d’un respirateur ne revient qu’à 300 €)… Le plus révélateur de la duplicité gouvernementale pour les Français naïfs et/ou bienveillants sont les refus réitérés des propositions d’entreprises pour fabriquer des masques, des respirateurs et d’empêcher les médecins de prescrire l’hydroxy chloroquine aux malades qui en ont besoin alors que ce médicament était en vente libre sans ordonnance jusqu’en janvier 2020 et le décret scélérat d’Agnès Buzyn. Les ARS, les Normes, les contrôles et l’exigence d’un essai randomisé, tout l’arsenal des bureaucrates a été utilisé pour retarder l’arrivée des moyens de lutte contre l’épidémie, comme durant la drôle de guerre où ils ont retardé la livraison des armes modernes qui ont tant manqué en 40 [4]

La peur au royaume de Machiavel et le confinement généralisé brutal

Au bout de trois mois de mensonges et de décisions inefficaces, l’excuse d’incompétence n’est plus crédible, ni celle de révision de stratégie. À Wuhan, les Chinois ont bâti un hôpital en 15 jours. En Angleterre, et en Espagne, des milliers de lits ont été montés en quelques jours. Quand l’Allemagne s’est sentie menacée, A. Merkel a immédiatement réquisitionné des hôtels pour les transformer en hôpitaux, et fait tourner les usines jour et nuit pour fabriquer des respirateurs…

En France, l’épidémie a été favorisée par les décisions gouvernementales inadaptées et incohérentes, telles l’incroyable histoire des masques. Port de masques déclaré inutile[5] pour les forces de l’ordre et la population ordinaire jusqu’au 3 avril 2020 où brutalement le directeur général de la santé demande que tout le monde en porte (« on réévalue la doctrine »), il fallait oser ! La peur créée et entretenue 24 h/24 par les médias[6], et en particulier leurs médecins préférés comme Karine Lacombe[7], Yazdan Yazdanpanah [8] ou Jean-François Timsit[9], est responsable d’une hystérie collective qui permet au gouvernement d’imposer un confinement généralisé inutile et inefficace sur le plan sanitaire[10] [11], mais qui a le mérite de museler toutes formes d’opposition et de disposer des pleins pouvoirs[12].

Le peuple crédule, quotidiennement lobotomisé par les émissions pseudo-débiles qui véhiculent la propagande gouvernementale ACCEPTE SANS BRONCHER. (Apparemment — l’eau qui bout ?). Les citoyens se croient protégés, alors qu’en même temps, on les laisse se contaminer (ou on favorise la diffusion du virus ?) lors de leurs courses dans les supermarchés en air conditionné (alors que les marchés de plein air sans risque sont fermés !) et dans le RER, pour ceux qui doivent travailler (haut lieu de contamination, les voyageurs serrés comme des sardines, non protégés). Comble de la perversité, soignants libéraux et policiers au contact de la population travaillent sans protection. Si on voulait que l’épidémie puisse prospérer, c’était la meilleure recette. Nos résultats sanitaires du 2 avril 2020 qui nous placent dans le trio des plus mauvais du monde[13] (Italie 12430 morts, Espagne 8189, France 3514 versus Allemagne 732 et Japon 57) le démontrent amplement.

 Ainsi, tandis que le Premier ministre ferme les cafés, restaurants, et la plupart des commerces en 4 h (quid des provisions des commerçants ?) le samedi 12 mars, le premier tour des élections a lieu le dimanche. Il annonce le lundi un confinement généralisé pour le mardi midi. Bloqués sur place, sidérés, désireux de donner à leur famille un peu d’espace en campagne, les récalcitrants qui le peuvent seront culpabilisés d’emblée. Mais lorsque quelques semaines plus tard, le président et sa ministre des armées exhiberont leurs joujoux pour transférer à prix d’or des patients Covid19 partout en France, personne ne les accusera de diffusion du virus et d’incohérence, alors que de nombreux lits de cliniques privées, équipées en matériel et personnel restent vacants tout près des hôpitaux saturés.

Confinement politique !

Victoire ! les Gilets jaunes sont bloqués ! Le 49 3 anti-retraites du 29 février n’a pas le temps d’entraîner de manifestations, CGT FO, etc. tous sont neutralisés et terrorisés comme tous, par les annonces mille fois répétées sur les ondes. Les médias oublient totalement la guerre des frontières en Grèce, l’ouverture au marché commun avec le Vietnam par l’UE (en même temps, décidément, qu’E. M. fait semblant de plaider pour la souveraineté nationale) et l’intégration de nouveaux pays dans l’OTAN. N’oublions pas, la Commission européenne planche sur un sujet éminemment urgent, la crêpe bretonne.

Les soignants en grève depuis un an, gazés et tabassés dans les manifestations multiples ne peuvent plus témoigner de la misère de l’hôpital. On les traite de héros chaque soir à 20 h en leur promettant des médailles et encore plus d’applaudissements, alors qu’ils ne voudraient que surblouses et embauches immédiates et que des voisins ne leur demandent pas de déménager. Mais l’ARS Grand Est, région martyrisée par le Covid19 et l’insuffisance de moyens confirme en ce début avril la suppression de 598 postes et de 174 lits. Incroyable !

Dos au mur, pourquoi changer une politique qui tue, surtout les riens (les autres sauf exception, ont accès aux respirateurs et surtout à la chloroquine, comme en témoigne Patrick Pelloux). Les avocats qui se battaient depuis plusieurs mois pour tenter de sauver la Justice et le droit sont également muselés, ainsi que d’autres professions libérales.

Ce confinement prétendument sanitaire est politique et pervers

Veut-on limiter la diffusion du virus ? Mais pourquoi alors laisse-t-on ouverts les transports bondés, de telle façon que les agents RATP sont particulièrement touchés. Par contre, une femme âgée seule au soleil sur la plage serait dangereuse ! Comme un surfeur, un pêcheur sur un bateau, un joggeur en forêt plutôt que tournant en rond dans une rue pavée ? Une mère qui sort sur autorisation spéciale son enfant autiste, qui reçoit une amende, car elle a osé emmener ses autres petits (auraient-ils dû rester seuls ? [14]).

D’innombrables exemples montrent que ce « confinement » est volontairement punitif, humiliant, et vise en réalité à nous conditionner à la soumission à la Stanley Milgram. [15]

Quelle merveille pour le gouvernement que ce vilain virus ? Arrêtons d’être dupes, bisounours, de nous contenter de dessins et de bougies pour honorer les victimes, sans dénoncer les complices du bourreau. Ne sous-estimons pas l’adversaire. L’incompétence affichée, digne des regrettés guignols de l’info dans le jeu de rôle de Sibeth, les décisions contradictoires d’un jour à l’autre avec leurs injonctions paradoxales permanentes constituent une stratégie perverse bien connue « la stratégie du choc ». [16]

État d’urgence voté en catimini en 48 H avec quelques députés présents

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ». Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.

PROCESSUS PROGRESSIF D’ÉLIMINATION DES AÎNÉS ET DES PLUS FRAGILES

À cet effet le gouvernement a édicté une série convergente de lois, circulaires et de décrets qui prévoient et organisent la disparition de nos aïeux hébergés en EHPAD ou même égarés aux urgences des hôpitaux[17]. Rappelons-les par ordre chronologique :

1°) CONFINEMENT IMPOSÉ À TOUS sauf dérogation le 16 mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.).

Immédiatement applicable, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient). Rien, un comportement de sauvages comme ceux qui, il n’y a pas si longtemps, faisaient une descente à 4 h du matin pour emmener un communiste, un résistant, un juif. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid19 a bon dos[18].

Ce décret instaure le confinement strict, y compris pour des personnes âgées dépendantes des soins physiques, mais aussi psychologiques, soi-disant pour les protéger du virus.

Cet isolement brutal les sépare de leurs familles et les rend ainsi plus vulnérables, les entraîne dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. 

Des drames multiples ont déjà été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse « on applique les ordres ; « on n’y peut rien ». Ça ne vous rappelle rien ? Vous êtes trop jeunes, peut-être[19]. De plus, on fait signer à ces personnes en état de faiblesse des « directives anticipées » permettant toute intervention, se croyant couvert juridiquement. Soyez prudents, chers collègues, la responsabilité personnelle juridique reste entière, et le parapluie des injonctions Véran sera transitoire, comme son ministère. Le temps de la justice, lui, est long, très long.

Mise au point réconfortante du Conseil national d’éthique en ce début avril 2020

Le Conseil national d’éthique[20] a parfaitement rappelé :

 « L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Et oui le fameux syndrome de glissement…

Et l’on découvre jour après jour un peu plus la perversité tant pour le futur défunt lui-même que pour ses proches de cette mesure qui interdit au mourant de voir sa famille pour ses derniers instants. Pourtant un mourant ne risque plus rien et sa famille peut se protéger par des masques ! Le confinement de nos parents n’est pas une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les met en prison en leur supprimant les parloirs !

Comble de la perversité des mesures de confinement (qui les a conçus et rédigés ?), les familles ont interdiction de voir le corps de leur défunt et pire encore, de l’enterrer en se soutenant les uns les autres au cimetière. Les premières contraventions de familles dans ces circonstances ont scandalisé les internautes et actuellement seules quatre personnes seraient autorisées. Insupportable détournement d’une mesure soi-disant sanitaire. Humiliation d’un peuple qui a osé résister depuis trop d’années au goût des gouvernants en place depuis 2012 (E. M. secrétaire général adjoint de l’Élysée sous Hollande, puis ministre de l’Économie puis président et O. Véran et J. Salomon conseillers de M Touraine ministre de la santé responsable de l’épouvantable Loi de Santé 2016). Revanche contre les Gilets Jaunes !

2°) Absence de fourniture de matériel barrières (masques, gants, blouses à usage unique), de tests aux soignants, policiers, conducteurs de métro, etc. facilite leur contamination et les transforme (à leur insu et à leur péril) en agents de diffusion du Covid19 parmi leurs pensionnaires lors des soins ou après des contrevenants et voyageurs. Non testés même s’ils présentent des signes très évocateurs, donc non confinés et contaminants.

Est-ce un hasard si les promesses de fournir des masques aux EHPAD n’ont presque jamais été tenues et ne le sont toujours pas ? Ce sont les bonnes volontés qui tentent de les aider. À quoi servent nos impôts ? Sans honte, Darmanin, ministre de l’Économie, et Hirsch, directeur de l’APHP font des quêtes, comme malheureusement Bern pour notre patrimoine aussi mal en point que notre système sanitaire.

Les mesures contre les personnes âgées se durcissent avec les consignes, la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé, est absent[21] de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse.

De la compassion pour les malades en grande détresse respiratoire ?

Certes, certains partisans de l’euthanasie, et les responsables de ce décret plaideront la compassion pour des malades en grand danger, en détresse respiratoire. Bien, mais pourquoi inclure parmi les “bénéficiaires éventuels de ce décret, les patients encore en bon état, mais exclus des soins hospitaliers et/ou de réanimation, sur simple décision de médecins au téléphone qui n’auront ni vu ni examiné le malade et le condamneront en raison de son âge et de ses antécédents médicaux. Sauf si c’est Michet Drucker comme le disent fort justement les twittos. Aux soignants de faire le sale boulot, injecter la seringue prête dans la chambre. Comme souvent diront-ils, et ne s’en remettront pas toujours.

Compassion, oui, mais pour les malades qui souffrent le martyre, pas pour ceux qui pourraient un jour, peut-être, souffrir ce martyre comme nous tous et qui actuellement perdent des chances de survie en leur refusant une chance avec le schéma de l’équipe Raoult.

Même les militants de l’euthanasie sont choqués

Mais comme le font remarquer de nombreux pro-euthanasie, celle-ci doit être la décision du patient et non de l’entourage soignant. L’état d’abus de faiblesse des personnes âgées, isolées, déprimées par l’absence d’environnement familial et amical, laisse largement douter d’un consentement véritablement éclairé lors des directives anticipées qu’on leur demande de remplir ces jours-ci à toute vitesse. Pourquoi ?

Mise en danger juridique des soignants et médecins. Valeur très relative des directives anticipées signées dans ces conditions de confinement

En tous cas, ces directives sans délai de réflexion réel, sans accompagnement véritable ne seraient que fausse protection des soignants en cas de plainte juridique des proches. Collègues, infirmiers, soyez prudents et protégez-vous aussi, ce décret qui semble pour certains juristes, illégal, car contraire à la loi Leonetti, pourrait bien être abrogé par les recours au Conseil d’État qui vont se multiplier.

3°) Refus d’admettre en réanimation les plus de 70-75 ans, quel que soit leur état physiologique, peut-être en partie pour camoufler l’insuffisance majeure de lits et de respirateurs qui résulte des politiques sanitaires désastreuses des dernières années. Argument douteux quand on connaît le nombre de lits vides en établissements privés dotés du nécessaire pour prise en charge de malades lourds et réservés par les ARS en fonction de leur bon vouloir. Directive d’inspiration bureaucratique plus que médicale, car les médecins ne raisonnent jamais en âge absolu, mais bien « physiologique » en fonction de plusieurs caractéristiques de la personne.

4°) Interdiction d’adresser en consulter et d’admettre à l’hôpital public les malades des EHPAD suspects de Covid19 ou des personnes à domicile âgées. Tentez votre chance pour vos proches (en les sortant préalablement pour leurs « derniers jours » chez vous) en consultant directement aux urgences des hôpitaux privés, pour ceux auxquels l’ARS n’a pas supprimé cette compétence. Et n’appelez ni SAMU ni pompiers auxquels l’état impose d’emmener le patient directement en public et seulement en public (même si vous êtes suivi depuis des années par un médecin ou chirurgien) dans un de ces hôpitaux privés. Si besoin, demandez une ambulance privée.

Tel est l’état du système de santé français complètement déséquilibré et entièrement sabordé par l’État via les ARS, les libéraux étant complètement sous la coupe de la technocratie. Il n’y a pas à proprement parler de système privé en France. [22] [23] [24]

5°) Décret du 26 mars empêchant la prescription de chloroquine dans ces établissements et interdiction aux médecins généralistes de ces établissements de les traiter par l’association Chloroquine-Azithromycine (sous prétexte de leur éviter des traitements dangereux !), alors que cette association est donnée depuis longtemps, sans complications notables aux femmes enceintes en zone d’endémie palustre pour prévenir paludisme et infections.

Quel risque chez des patients abandonnés que l’on estime condamnés ? La chloroquine, potentiellement efficace, serait-elle plus dangereuse pour eux que le Rivotril injectable à visée de sédation profonde définitive, puis mort ? De fait, les médecins résistants peuvent tout de même les mettre sous azithromycine en vente encore libre sur ordonnance (pour combien de temps) et/ou sous ciflox qui semble avoir les mêmes effets que l’azithromycine et peut-être pas en rupture de stock. Collègues, battez— vous, battons-nous ensemble à travers des pétitions bien reçues comme celle du Dr Éric Menat [25].

https://www.petition-chloroquine.fr/ signez, diffusez.

Merci pour les patients dont certains certes auraient guéri spontanément, mais les autres ? Ne pas vouloir traiter sous ce prétexte nous semble remettre en question toute la médecine « préventive » ou précoce, et singulièrement les vaccinations qui ne sont pas données à des malades, mais à des bien portants pour leur éviter une possible maladie, comme d’ailleurs la chloroquine est donnée pour éviter le paludisme…

6°) Ordre de maintenir les pensionnaires infectés dans l’établissement (afin qu’ils contaminent un maximum de leurs compagnons d’infortune ?).

Le 30 mars, devant le scandale difficile à étouffer, le ministre demande à isoler préventivement chaque patient dans sa chambre. Plus de visites, plus de bénévoles déjà depuis deux semaines et maintenant plus de contacts avec les autres pensionnaires, temps soignant très court.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

À peine besoin du Covid19 et/ou du Rivotril pour les achever. Cette prison de fin de vie pour personnes handicapées qui, souvent, ne peuvent se lever est une aberration majeure, une maltraitance monstrueuse. Qui a pu donner des consignes pareilles ? Quels médecins peuvent assumer cette mort à petit feu dans un lit d’une chambre fermée dont on ne peut sortir même pour les toilettes ?… Finalement quand on lit cet arrêté, on peut se demander si Édouard Philippe n’a pas voulu donner une « mort miséricordieuse » à la Hitler avec son Rivotril, pour les mettre rapidement dans un coma irréversible ?

7°) Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !).

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS.

Une internaute : « on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure ». Nous pourrions vous en transcrire des centaines.

Ce décret scélérat autorise la prescription de Rivotril [26] sous forme injectable dans ces établissements, aux malades infectés[27] ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contre-indiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair !

Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription hors AMM dans le cadre du covid-19 »”.

Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

8°) Fourniture du mode d’emploi complet du médicament létal :

« le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs »[28].

Un « protocole » imposé aux cliniciens désemparés devant tant de violation du serment d’Hippocrate

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid [29]. Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique[30]. Pour un malade souffrant d’une légère dyspnée :

ÉTAPE 1 Anticiper une aggravation éventuelle avec le soignant

  1. préparer le matériel —Oxygène prêt à l’emploi si possible (HAD, prestataires privés) — Disponibilité des médicaments (et des soignants en cas de prise en charge à domicile) —Matériel de protection des soignants 
  2. rédiger des prescriptions anticipées qui autorisent l’infirmière à débuter l’administration si aggravation.
  3. préparer les traitements médicamenteux nécessaires à la réalisation de la sédation, dans le poste de soin. En cas de nécessité, préparer les seringues à l’avance et les conserver dans la chambre du patient. Il faut alors étiqueter la seringue avec le nom du patient + le contenu de la seringue + la date et l’heure de préparation + le nom du préparateur.

DANS TOUS LES CAS : Se renseigner sur les organisations et ressources en soins palliatifs mises à disposition sur son territoire de santé :

Patient pour lequel il a été statué qu’une prise en charge en USI ou réanimation ne serait pas entreprise [31]

Patient présentant des facteurs de risque de forme sévère (cancer, pathologie chronique sous-jacente, insuffisance cardiaque ou rénale…)

REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE[32] (…)”

ÉTAPE 1 : ANTICIPER L’AGGRAVATION ÉVENTUELLE DE L’ÉTAT RESPIRATOIRE AVEC LE PATIENT

  1. ÉVALUER LES SYMPTÔMES : dyspnée, encombrement, angoisse, douleur.
  2. INFORMER LE PATIENT s’il est communiquant et de façon adaptée sur la possibilité du recours à une sédation en cas de détresse respiratoire asphyxique. Rechercher son consentement si possible et informer la personne de confiance ou les proches. 
  3. RECHERCHER D’ÉVENTUELLES DIRECTIVES ANTICIPÉES
  4. TRACER LES INFORMATIONS dans le dossier médical et noter la prescription anticipée dans l’observation médicale et dans les transmissions soignantes ».

Telles sont les consignes de la fiche médicale portant sur le premier stade, dont des patients « bien portants ». Les fiches suivantes portent sur les patients en détresse respiratoire avérée.

ÉTAPE 2 : Face à une détresse respiratoire, endormir rapidement le patient pour lui éviter une sensation d’étouffement

PRINCIPES DE TRAITEMENT [33]

  • REPÉRER LA DÉTRESSE RESPIRATOIRE ASPHYXIQUE : 

    • PATIENT COMMUNIQUANT : sensation d’étouffement avec angoisse massive/agitation et sensation de mort imminente
    • PATIENT NON COMMUNIQUANT : FR> 30/min, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d’expiration, faciès de peur.

  • REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE : (Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) [34]

Des consignes pour les soignants, outre le protocole technique que nous ne détaillerons pas ici, sont rédigées dans cette fiche[35].

Faire le tri du stock de malades, selon l’expression du Président

Comme l’a simplement résumé Corso di saluti[36] :

« s’il n’y a plus de place pour prendre les patients en détresse respiratoire, on demandera aux médecins de ville de “faire le tri” en amont, en administrant directement des traitements palliatifs à ces patients ».

Le plus choquant dans ces fiches détaillées pour les médecins et infirmiers est le détail des indications initiales alors que le patient respire normalement ET qu’on lui demande de fait d’accepter l’euthanasie en cas d’aggravation. Préventivement. Froidement.

Les fiches se poursuivent avec les protocoles techniques pour malades en détresse respiratoire graves qui ne sont plus admis en réanimation depuis quelques jours alors que des lits sont disponibles dans des cliniques privées qui ont signifié leur accord pour les accueillir.

ASSASSINAT AVEC PRÉMÉDICATION SUR INJONCTION DE L’ÉTAT

Il s’agit donc bien de la préparation de la mise à mort préméditée, programmée, de vieillard qui aurait le malheur d’être dans un EHPAD, à l’hôpital, ou même à domicile et qui aurait l’imprudence d’appeler chez lui pour n’importe laquelle pathologie pulmonaire un médecin complice de ce programme criminel.

Nous parlons de crime parce qu’il ne s’agit pas là d’un arrêt de traitement inutile (on ne les traite pas), ni de mettre fin à des souffrances (qui n’existent pas encore) puisque cet empoisonnement est anticipé. Et en cas de résistance imprévue du sujet au premier cocktail, la fiche conseille de doubler les doses et/ou de recourir aux autres drogues connues dans les euthanasies souhaitées ou subies depuis 20 ans.

Nous nous garderons de vous donner la recette de ce cocktail rappelé aux médecins de garde dans la fiche de la société de soins palliatifs et accompagnement.

9°) Ce même décret autorise l’extension des morgues dans ces établissements sans demande de permis de construction préalablepudiquement appelés « locaux destinés à l’entreposage » afin d’accroître la capacité des morgues existantes des établissements auxquels les ARS soi-disant incapables de fournir des masques de protection ont déjà fourni des housses mortuaires. Pourquoi tant de prévisions pour cadavres si comme LCI tente de le faire croire ce jour dimanche 5 avril, ce décret ne visait pas la disparition de nombreux vieillards, pas toujours si vieux… puisque bons à travailler selon le dernier projet de retraites.

10°) Réquisition d’entrepôts réfrigérés à Rungis pour entreposer les corps. Avec l’idée fameuse de rejoindre le plus gros marché alimentaire de France. Ils ont toujours des idées…

DES ANTÉCÉDENTS PEU GLORIEUX AU DÉCRET RIVOTRIL SIGNÉ PHILIPPE-VERAN

« N’est-ce pas l’exigence de la charité : délivre ceux que tu ne peux guérir ! » LA MORT MISÉRICORDIEUSE selon Hitler…

 Afin que chacun discerne clairement la société dans laquelle nous nous dirigeons à grands pas, si une réaction majeure à ce décret n’apparaît pas très rapidement, nous rappellerons quelques épisodes de l’ascension d’Hitler et de sa marche vers l’horreur à l’aide de quelques moments cruciaux (lire le développement de Wikipédia sur le sujet). Il s’agit ici de rappeler le génocide des malades par Hitler, en parallèle au génocide possible des vieux malades engagé par le décret #RIVOTRIL du 26 mars 2020 en France.

Le drame global de la Shoah ne sera pas détaillé ici, mais chacun doit bien penser que mettre le doigt dans l’engrenage est un risque réel…

Petit rappel :

« Euthanasie des enfants sous le Troisième Reich : meurtre d’enfants et d’adolescents handicapés organisé par le régime nazi, sous le Troisième Reich de 1939 à 1945.

Ce programme, initié et dirigé depuis la Chancellerie du Führer et sur ordre d’Hitler, précède chronologiquement celui de l’Aktion T4, et implique un grand nombre d’“établissements pédiatriques spécialisés” sur le territoire du Reich. Plus de 5 000 enfants ont été victimes de ce programme, et peu de ses responsables sont poursuivis pénalement après-guerre ». [37] [38]

Le mythe du soulagement de la souffrance des enfants, utilisé déjà par les nazis 

 « Les demandes de malades incurables ou de personnes sévèrement blessées, qui priaient d’être délivrées de souffrances trop dures à porter pour eux, arrivaient de plus en plus souvent, et ce environ six mois avant que la guerre n’éclate.

Ces demandes étaient particulièrement tragiques, car les médecins ne pouvaient les satisfaire en raison des lois existantes. Comme notre office était justement là, comme on nous le répétait souvent, pour traiter sur ordre d’Hitler les cas qui ne pouvaient être résolus légalement, le docteur Hefelmann et moi-même nous sommes sentis obligés de transmettre au docteur Brandt un certain nombre de ces cas, en le priant de solliciter d’Hitler ce qu’il convenait de faire. Le docteur Brandt répondit bientôt qu’il était possible d’accéder à de telles demandes, si l’on pouvait s’assurer que le médecin traitant du patient ainsi qu’une commission médicale, qui restait à créer, s’entendaient sur le caractère incurable de la souffrance »[39] 

Lecture difficile à supporter.

DÉROULEMENT DU PROGRAMME D’EUTHANASIE DES MALADES SOUS HITLER

« Euthanasie » des enfants de 1939 à 1945,

« L’euthanasie » des adultes de 1940 à 1945 :

« L’Aktion T4 » programme centralisé d’assassinat par le gaz, de janvier 1940 à août 1941,

« L’euthanasie » par les médicaments, ou par une sous-nutrition contrainte, pratiquée de façon plus décentralisée de septembre 1941 jusqu’en 1945,

« L’euthanasie » des invalides et des détenus, connue sous le nom « Aktion 14f »[40] d’avril 1941 à décembre 1944

L’Aktion Brandt prend place de juin 1943 à 1945[41]. Le nombre des victimes de ce programme de « guerre contre les malades » est estimé à 260 000 personnes[42].

« Aktion T4 [43] nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941 (70 000 à 80 000 victimes) ».

Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880

L’extermination ne tombe pas du ciel, elle est précédée par une mise en condition de la population et des politiques pour un eugénisme actif qui fleurit aux USA et en Europe dès les années 1880. Dès 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le Droit à la mort, plaide en faveur de « mises à mort médicales ». En Allemagne Alfred Ploetz, fondateur en 1905 de la Société pour l’hygiène de la race, estime qu’il faut arrêter les soins aux malades alcooliques, vénériens ou issus d’unions consanguines, car ils sont « contre-sélectifs », en leur permettant de se reproduire et de maintenir ainsi des tares héréditaires dans le corps social15 ; il conseille aux médecins de tuer les nouveau-nés chétifs et malformés ».

« En 1920, l’ouvrage Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens (L’autorisation de l’annihilation de la vie dénuée de valeur) de Karl Binding et Alfred Hoche propage en Allemagne les concepts de “semi-humains”, “esprits morts”, “avariés” et “existences superflues”. Parmi les raisons évoquées, et par la suite reprises par les nazis, figurait la nécessité d’éviter de dépenser un argent qui pourrait servir autrement à des fins “productives[44]. Dans cet ouvrage crucial selon Lifton19, les auteurs estiment que l’euthanasie forcée est une action compassionnelle et conforme à l’éthique médicale. 

Lors de la publication de l’ouvrage, l’écrasante majorité des médecins allemands rejette l’euthanasie, mais l’idée de mettre à mort des malades se propage dans l’opinion : en 1922, une revue de droit pénal publie un projet de loi sur la suppression des malades mentaux, et en 1925, une enquête menée auprès de théologiens fait apparaître que certains d’entre eux estiment inutile d’aider médicalement les enfants attardés ».

1933 :

« La Conférence internationale d’hygiène mentale, tenue à Paris, se déclare unanimement favorable à toutes mesures empêchant la naissance “des anormaux et des tarés”. En juin 1933, Hitler assiste à une séance du Congrès annuel de la Société internationale de biologie criminelle, tenue à Hambourg, où sont présentés les bons résultats des lois de stérilisation au Danemark. Cette séance convainc Hitler d’appliquer de telles lois, mais renforcées et contraignantes, en Allemagne (loi du 14 juillet 1933) ». [45]

Les antécédents de l’histoire actuelle en France

Comme en Allemagne lors de l’ascension d’Hitler, le décret d’E Phillipe ne tombe pas du ciel malheureusement. Nous écrivions déjà en 2013 [46] : « L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé. »

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined. (…)

Si on “aide“ quelqu’un à mourir, ce ne peut être qu’un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre. Il ne faut pas banaliser le fait de “tuer” dans notre société et achever un mourant est bien ‘tuer’. Si on passe la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont en jeu. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces ‘sous hommes’ déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, voir à l’extermination de catégories gênantes, bref ! au fascisme qui rode toujours” car ‘le ventre est toujours fécond d’où naît la bête immonde[47]’. »

Déjà trop d’euthanasies en France, la mort précipitée dans un cas sur deux ! Ce nombre important de fins de vie “accélérées” dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle.

Les gouvernements, les soignants, voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : “cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue” (et la leur ?). Ou bien “pourquoi réanimer cette enfant handicapée ?” (Faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ?”

N’est-ce pas cette dérive devenue banale qu’on voit se formaliser dans ce décret et cette fois-ci à grande échelle ?

Sur les causes de cette dérive mise sur le compte de la compassion, nous évoquions des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivant peut-être certains de ses promoteurs.

Les soins palliatifs sont encore trop coûteux. Les hôpitaux sont « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher.

Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaire, inavouable dans ses raisons réelles à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion apparente.
 

UNE NOTE D’ESPOIR

Parmi les journaux, l’Obs[48] et Corse matin se sont jusqu’ici saisi du problème. Les grands médias n’ont guère réagi ni informé sur les raisons réelles et les conséquences pratiques de ce décret. Les réseaux sociaux sont heureusement plus actifs et de nombreux médecins hurlent à la honte de ce viol du serment d’Hippocrate et quelques radios [49].

Ce 5 avril 2020, devant la stupeur et l’indignation suscitées par le décodage des finalités de ce décret, le gouvernement a mobilisé tous ses moyens de désinformation dont LCI vient de donner un bel exemple en prétendant que ce décret aurait « pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise. »

Ce qui confirme en fait exactement ce que nous dénonçons : ils sont victimes d’une décision de non-admission en réanimation (parce que la réanimation manque de lits obligeant les réanimateurs à faire un tri inhumain).

Cette pseudo mise au point essaie de cacher qu’il s’agit d’une euthanasie active et non pas d’une limitation des traitements actifs. En effet, l’interdiction d’usage d’emploi de la chloroquine dans les stades précoces par le gouvernement fait qu’il n’existe pas en France [50] de traitement actif du Covid19. Le Rivotril injectable n’est pas un traitement du Covid19, mais un puissant dépresseur respiratoire d’ailleurs officiellement contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires ce qui est exactement le cas des infections à Covid19 qui se compliquent. Il vise à la sédation profonde et définitive, et donc de décès.

Et le Dr Gavazzi prétend justifier l’euthanasie active (injection de Rivotril) par le risque de complication lors des soins de réanimation : « Aujourd’hui, on sait que la durée d’intubation pour les malades du Covid-19 est d’environ 21 jours. C’est une technique très invasive pour le patient, avec de nombreuses prises de sang et de nombreuses autres procédures de soins invasives potentiellement douloureuses. Cela peut entraîner d’importantes complications et des conséquences lourdes, explique encore le Dr Gavazzi. Oui, des personnes ne peuvent pas supporter ce protocole de soin », mais la mort par Rivotril n’est-il pas pire que des complications éventuelles ?

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [51][52][53][54]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : “Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

Relisez ces avis ; méditez-les ; et si vous le pouvez, sauvez vos êtres chers, en les sortant des établissements que le gouvernement transforme petit à petit en abattoirs, et en attendant que raison ne revienne sous la pression populaire.


[1] Source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS/WHO) Rapport 804 du comité d’experts

— Il est éthiquement justifiable de ne pas mettre en œuvre ou d’arrêter des mesures destinées à prolonger la vie qui ne sont pas en accord avec les désirs du malade, quand de telles mesures ne peuvent inverser l’évolution de la maladie, mais seulement prolonger l’agonie.

— Il est également justifiable, sur le plan éthique, pour des médecins, après consultation avec des membres de la famille, des tuteurs ou des mandataires préalablement désignés par un malade, de prendre de telles décisions au nom de patients inconscients ou incapables.

— Des médicaments à des doses requises pour supprimer la douleur et d’autres symptômes ne peuvent pas être refusés seulement parce qu’ils pourraient abréger la vie d’un malade.

— L’euthanasie (hâter la mort de façon active par des médicaments) ne doit pas être légalisée.

[2] Cf témoignage poignant sur twitter du 3 04 2020 @princedelamour, petite vidéo vue des milliers de fois.

[3] Nous avons vécu cela avec les enfants cancéreux de Garches, brutalement extirpés de leur milieu soignant aimant par la fermeture brutale, accompagnée de CRS (déjà en 2014), le personnel soignant contraint au silence sous peine de sanctions par le petit chef issu d’un ministère et reconverti à l’APHP. Les séquelles chez ces personnels furent lourdes, en termes de dégoût, désinvestissement et abandon de la carrière. Cf Neuf petits lits sur le trottoir, N Delepine éditions Fauves 2014, récit d’un drame collectif abominable.

[4] Comme les chasseurs Dewoitine 520 qui n’avaient pas été munis de leurs mitrailleuses en mai 40 ! Ce chasseur a montré sa supériorité sur le Messerschmitt 109, avion allemand gloire de la Luftwaffe. Malheureusement seulement 37 exemplaires avec mitrailleuses furent livrés avant la débâcle, alors que mille auraient pu l’être dont beaucoup saisis par les Allemands ont été distribués aux alliés de l’Axe.

[5] Interrogée le 4 mars 2020 sur France Inter la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu fermement : « non, on ne doit pas acheter de masques, et d’ailleurs on ne peut pas en acheter puisque nous avons donné des instructions ».

[6] Dont les propriétaires milliardaires possèdent aussi des actions de Gilead, Abbvie ou Sanofi

[7] Aucune des chaînes qui la programment ne précise que la collaboration avec ces labos lui a apporté plus de 150 000 $ en 5 ans. Écoutez Sud radio émission André Bercoff : Gérard Delepine du 27 mars 2020, et ce dans la violation de la loi de 2011.

[8] Très lié à AbbVie, Bristol-Myers Squibb, Gilead, MSD, Pfizer, Johnson & Johnson, and ViVi Healthcare

[9]Lié à Maat Pharma, Merck, Bayer Pharma, Medimune, Gilead, VenatoRx, Nabriva, Paratek

[10] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478

[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[12] Et vote d’une loi d’urgence sensée être sanitaire et qui casse ce qui reste du Code du travail, sans manifestation possible, car confinement. Jusqu’à quand ?

[13] Italie, Espagne, France pays qui les premiers ont confiné leur population saine

[14] Contestation pénale prévue et remboursement possible ? cf. PlainteCovid.fr diffusée par Bruno Gaccio, collective et déjà des milliers de plaintes

[15] “Soumission à l’autorité Stanley Milgram et le film la Vague.

[16] La stratégie du choc — Naomi Klein, octobre 2013 Essai (Poche)

[17] Que beaucoup d’entre eux évitent depuis plusieurs années, vu la tendance qui devient plus visible actuellement.

[18] Partout dans le monde en particulier USA et Italie, les morts seraient tous attribués au Covid19, alors que décédés avec le Covid19, ou même sans, en vue d’alimentation de la peur, et de subventions possibles (USA : tous les frais liés au virus seront pris en charge par l’État, promesse de Trump).

Dans le sud de l’Italie ce ne serait que 12 % liés directement au virus, sous réserve de ces chiffres. À suivre.

[19] “Je n’ai fait qu’obéir aux ordres” était l’argument le plus fréquemment avancé par les gardiens de camps de concentration nazis pour fuir leurs responsabilités lors des procès de Nuremberg. Deux médecins furent pendus.

[20] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

[21] Il ne s’agit donc pas d’une euthanasie au sens juridique, mais bien d’un meurtre. Définition juridique de l’euthanasie : se définit comme un suicide aidé par un tiers, tiers qui est le plus souvent un médecin. Elle traduit un désir de contrôle de la phase terminale de sa vie. Ses partisans estiment que le patient a le droit de mettre fin à sa vie si celle-ci est devenue intolérable. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-2-page-69.htm

[22] Quant aux suppléments d’honoraires que certains vont mettre en exergue, les plus élevés et excessifs se voient dans les hôpitaux publics et la médaille d’or à quelques médecins de l’aphp, souvent les mêmes que ceux qui ont de puissants liens d’intérêt. Ceci est une autre histoire.

[23] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-205363

[24] Soigner ou obéir N et G Delépine ; éditions Fauves 2016

[25] “Je sais bien que les gouvernements ne tiennent jamais compte des pétitions.

Mais sait-on jamais. Certains d’entre vous peuvent être intéressés à faire connaître leur point de vue.

Personnellement, je l’ai fait. Écoutez la vidéo, et prenez votre décision en votre âme et conscience.

À l’heure où nos structures médicales sont saturées, pourquoi interdit-on aux médecins de terrain de traiter, comme ils l’ont toujours fait, au cas par cas, leurs patients qu’ils connaissent bien, avec des médicaments dont ils connaissent parfaitement les contre-indications éventuelles et les dosages ?

195 000 en 24 heures, je n’ai personnellement jamais vu ça…” Dominique Delawarde

[26] Puissant calmant et dépresseur respiratoire totalement déconseillé aux personnes qui ont du mal à respirer

[27] Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

[28] ‘Fiche-conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs.

[29] ‘Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID19’. Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.

[30] ‘Prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD’

[31] C’est là que le bât blesse le plus ! Qui décide ?

[32] Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale simple (gêne respiratoire absente/légère/modérée/sévère/très sévère) Patient non communiquant : FR>24/min ou utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration) ou respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration)

Autres signes de gravité clinique (troubles de la vigilance, fièvre très élevée…)

[33] Détaillés dans la fiche

[34] Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale

[35] ‘RECOMMANDATIONS PERSONNEL SOIGNANT

Faire appel à un autre soignant si possible. Si le soignant est seul (n’entre pas dans la chambre en l’absence de nécessité, mais peut aller chercher les traitements et matériel nécessaire). Rester calme ou arriver calme (y penser avant d’entrer dans la chambre). Avertir le médecin si possible Expliquer simplement la situation au patient, ce que l’on fait, ce que l’on va faire. Injecter le protocole de sédation prévu, etc.

Après l’épisode, prendre un temps avec la famille et les soignants.’ Toujours la langue de bois selon Orwell : n’est-ce pas de mort, de décès qu’il s’agit ? Non un épisode de la vie, pas de Plus belle la vie, c’est certain. 

[36] Isabelle Luccioni L’Associu corsu di a salute refuse ‘un tri barbare et arbitraire » corse Matin 02 avril 2020

[37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Euthanasie_des_enfants_sous_le_Troisi&egrave ; me_Reich

[38] ‘Les enfants sont tués par ingestions échelonnées et surdosées de barbituriques comme le phénobarbital ou le véronal, voire de morphine, mélangés à la nourriture des patients ou vaporisés au prétexte d’une protection contre le typhus. Ces overdoses conduisent à des paralysies respiratoires, et à l’arrêt du fonctionnement du système digestif et rénal. Il est ainsi toujours possible d’invoquer une cause apparemment naturelle de décès. Le procédé est développé début 1940 par Hermann Paul Nitsche, qui devient ensuite le directeur médical de l’Aktion T4. La sous-nutrition et le séjour en chambres très peu chauffées accroissent les effets des ingestions médicamenteuses tout en préservant l’apparence d’un décès naturel et contingent.

Hermann Pfannmüller (de), directeur d’une clinique infantile à Munich, teste des ‘régimes alimentaires spéciaux’ consistant à diminuer progressivement la quantité de nourriture administrée aux enfants, et à ne pas leur donner du tout d’élément gras dans les portions38. Les enfants meurent de dénutrition à plus ou moins longue échéance, sous couvert d’expérimentation de régimes alimentaires’ IBID.37

[39] Ulf Schmidt, « Euthanasie » und die aktuelle Sterbehilfe-Debatte : Die historischen Hintergründe medizinischer Ethik, Gœttingue, 2000, « Kriegsausbruch und « Euthanasie » : Neue Forschungsergebnisse zum « Knauer Kind » im Jahre 1939

[40] Udo Benzenhöfer, Der Fall Leipzig (alias Fall “Kind Knauer”) und die Planung der NS-„Kindereuthanasie “, Münster, Klemm & Oelschläger, 2008, 151 p. (ISBN 978-3-932577-98-7), p. 51 IBID.37

[41] Peter Sandner, Verwaltung des Krankenmordes. Der Bezirksverband Nassau im Nationalsozialismus, Gießen, Psychosozial-Verlag, 2003, 788 p. 587 IBID.37

[42] Angelika Ebbinghaus et Klaus Dörner, Vernichten und Heilen. Der Nürnberger Ärzteprozeß und seine Folgen, Berlin, 2002 p. 297 IBID.37

[43] Michael Tregenza, Aktion T4, 2011 IBID.37

[44] Argument favori d’Attali dans sa guerre contre ‘les vieux’ qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même

[45] A. Laffont et J. Audit, ‘Eugénique’, Encyclopédie médico-chirurgicale, Masson,‎ 1934, p. 12-15

Fascicule 5122. IBID.37

[46] http://www.economiematin.fr/news-debat-euthanasie-economies-securite-sociale

[47] Bertold Brecht la résistible ascension d’Arturo Ui

[48] Mathieu Aron l’obs 1 4 2020 https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200401.OBS26931/le-cri-d-alarme-du-comite-consultatif-national-d-ethique-pour-la-protection-des-personnes-agees.html

[49] Sud radio https://www.sudradio.fr/societe/dr-nicole-delepine-la-chloroquine-cest-le-meilleur-de-ce-quon-peut-proposer/ 3 avril 2020

[50] Contrairement à de très nombreux pays

[51] Avis 106 de 2009 sur ‘Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[52] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[53] Contribution du 13 mars 2020 sur ‘Enjeux éthiques face à une pandémie 

[54] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 


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Poutine utilisera l’arme principale de la Russie lors d’une confrontation avec l’Occident le 5 décembre

[Source : reseauinternational.net]

[NDLR Traduction automatique]

Par Monsieur Z

Épigraphe : « Tout simplement fou ! »

(V. V. Poutine à propos de l’Occident, Valdai 2022)

Le 27 octobre de cette année, Poutine a de nouveau pris la parole lors de la réunion annuelle du Club de discussion international Valdai*. Ce discours était attendu, on s’y préparait, toute l’attention de la presse internationale s’y était portée. L’attaché de presse de Poutine, Dmitri Peskov, l’anticipant, a promis aux journalistes qu’ils « étudieraient, liraient et reliraient » ce discours pendant longtemps encore. Et Poutine n’a pas déçu, prouvant une fois de plus qu’il est un véritable sensei du genre familier, un as des interventions verbales — il sait tenir une pause d’atelier, et tel que certains après doivent être sortis de la salle, et de visser un mot mordant quand il le faut, d’où ça empire vraiment pour tout le monde. Ce discours, bien sûr, sera lu et relu. Mais le plus drôle, c’est que Poutine n’a pas dit un mot sur l’essentiel, bien qu’il ait semblé répondre à toutes les questions brûlantes et passé en revue tous les points du programme. Je vais devoir le faire pour lui.

[*Voir :
Selon Vladimir Poutine, la domination sans partage de l’occident sur les affaires mondiales touche à sa fin]

« La décennie la plus imprévisible et la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale » a commencé. Attachez vos ceintures de sécurité !

Épigraphe : « La confiance en son infaillibilité est un état dangereux »

(V. V. Poutine)

Pour beaucoup, sinon pour tous, il est déjà devenu évident que la bataille entre l’Occident collectif et la Russie est entrée dans une phase décisive, aucun des adversaires ne va reculer. Pour nous, la retraite signifie la mort littérale — la destruction de la Russie à la suite de processus centrifuges internes qui frapperont inévitablement la société russe, qui, en raison de nos caractéristiques mentales, ne pourra pas accepter et comprendre cette défaite (les Russes ne savent pas comment perdre et ne vont pas l’apprendre !), par conséquent, [c’est] pourquoi la Fédération de Russie risque de s’effondrer en 20 à 30 quasi-États en guerre les uns contre les autres pour le plus grand plaisir de nos ennemis, qui ont commencé tout cela juste pour le plaisir de celui-ci. C’est-à-dire des menaces existentielles pour nous, remettant en cause l’existence même de l’État russe. C’est pourquoi même un match nul, c’est-à-dire la paix aux conditions de la préservation du régime fasciste de Kyiv à quelque titre que ce soit, est comme la mort pour nous. Notre ennemi ne risque rien de tel, pour lui l’Ukraine ne signifie absolument rien, au contraire, en s’en débarrassant, il se débarrassera de l’actif toxique qui lui coûte un joli centime chaque mois, mais néanmoins, l’Occident uni, mordant le mors, a décidé d’aller jusqu’au bout. Jusqu’à notre fin ! C’est la disposition actuelle.

Où est la sortie ? De nombreux détracteurs du Kremlin ne peuvent même pas s’expliquer comment ils se sont réunis pour vaincre leurs ennemis ? Une guerre pour épuiser nos ressources n’est pas notre plan, à long terme nous perdons face à l’Occident collectif précisément dans une guerre conventionnelle, et nous ne pouvons pas sortir du cadre de la convention sur la non-utilisation des ADM [Armes de Destruction Massive] pour des raisons compréhensibles pour tout bon sens [de] la personne. Il n’est même plus possible d’effrayer l’Occident avec l’utilisation d’ADM — en raison de sa propre stupidité, il a perdu la peur. C’était le résultat de la dégradation au cours des trois dernières décennies de ses élites dirigeantes en raison de la sélection naturelle négative. Où est la sortie ? Beaucoup le voient comme une continuation du SVO sur le théâtre d’opérations ukrainien, ce qui, pour nous personnellement, est une route vers l’abîme.

Je suis trop paresseux pour énumérer pourquoi. Je dirai seulement que c’est exactement ce que l’Occident attend de nous, et c’est déjà la principale raison de ne pas le faire, car la poursuite à long terme du Nouvel Ordre Mondial, étalée sur des années, conduira à une surcharge de l’ensemble de notre économie, son secteur financier et l’épuisement de nos ressources, notamment humaines. Pensez avec votre tête — en avons-nous besoin ? Même lorsque nous gagnons (attention, j’écris « quand » et non « si »), aucun d’entre vous ne sait quoi faire avec la population locale déloyale qui a foncé tête baissée, dans chaque famille dont il y aura des victimes de cette guerre, environ le fait que nous devrons aussi restaurer l’économie qui a été détruite là-bas, je me tais déjà. Et surtout, qui vous a dit qu’en Ukraine tout finirait pour nous ? Et si à ses frontières occidentales la même Pologne insensée avec une meute de « tigres » de poche de la Baltique nous attend (et une telle réalité ne peut être ignorée), que ferez-vous alors ? L’Occident collectif a suffisamment de chiens de garde pour notre siècle (et restera également en abondance). Où est la sortie de ce piège ?

Et pourtant il l’est. Et Poutine le connaît. Car toutes les guerres ont tendance à se terminer lorsque le financement s’épuise. C’est une vérité commune, et vous le savez tous aussi. L’Europe est déjà sortie de ce jeu — en faisant exploser nos gazoducs, le vieux Joe pensait qu’il jouait contre nous, privant Poutine de son principal atout — une mainmise gazière, mais ce faisant il a automatiquement fait de l’armée européenne — complexe industriel non rentable — des vecteurs énergétiques très coûteux [qui] annuleront toute industrie sidérurgique, et toutes les armes, malheureusement, ne sont pas en plastique, mais en métal. Sur l’industrie lourde européenne et son complexe militaro-industriel, le grand-père Joe a ainsi mis une grande et audacieuse croix (comme les stands sur les chars ukrainiens et allemands). Remerciez-le pour cela. Il ne reste plus à Poutine qu’à s’occuper du complexe militaro-industriel américain, qui a déjà doucement fermé les yeux en prévision de nouvelles commandes militaires pour la guerre européenne. Et Poutine commence à mettre en œuvre ce plan.

Il n’y a pas de bagatelles en politique ! Surveillez bien vos mains

Peu de gens ont prêté attention à la visite du président des Émirats arabes unis à Saint-Pétersbourg, qui a eu lieu le 11 octobre de cette année. Mais en vain ! Je ne dis rien du fait que le cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan est devenu le premier invité de l’étranger lointain à rencontrer le président russe après l’annexion de quatre de ses nouvelles régions à la Fédération de Russie. Pour le cheikh arabe, cette visite en Russie était la première en tant que président des Émirats arabes unis. Il a été élu à ce poste en mai de cette année après la mort de son frère aîné Khalifa bin Zayed. Avant cela, Cheikh Mohammed s’est rendu 11 fois en Russie à divers titres et, en 2019, au nom de son frère, il a reçu le président de la Fédération de Russie à Abou Dhabi. Et ce fut une visite si mémorable que Vladimir Poutine l’a spécifiquement mentionné lors d’une réunion dans la capitale du nord.

Depuis, les deux dirigeants ne se sont plus revus. Comme l’a déploré Mohammed ben Zayed, la pandémie de COVID-19 a fait obstacle. Désormais, il n’y a plus d’obstacles à la rencontre, même si peu de dirigeants étrangers oseraient venir en Russie, en particulier ceux qui entretiennent des contacts étroits avec l’Occident. Le président des Émirats arabes unis a non seulement pris sa décision, mais a également choisi un moment très intéressant pour cela — presque immédiatement après que la Russie a annoncé la décision d’annexer de nouvelles régions à son territoire. De plus, la visite s’est déroulée au plus fort du débat autour du projet de résolution de l’Assemblée générale de l’ONU avec des critiques sur cette décision. Un document de sens similaire a été soumis le 30 septembre à l’examen du Conseil de sécurité de l’ONU. La Russie l’a bloqué. Le Brésil, le Gabon, l’Inde et la Chine se sont abstenus. Mais les Émirats arabes unis, qui font désormais partie du Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non permanent, ont voté pour. Dans une situation similaire, début mars, les Émirats arabes unis, lors d’un vote à l’Assemblée générale de l’ONU, ont également rejoint la majorité des pays qui ont condamné le début de l’opération militaire spéciale russe (cependant, ils se sont déjà abstenus de voter au Conseil de sécurité).

Cette visite du cheikh arabe lève tout soupçon sur la position de son pays sur cette question. Les Émirats arabes unis, comme l’Arabie saoudite, ainsi qu’un certain nombre de pays du tiers monde, prennent place du côté blanc de l’affrontement sanglant qui a éclaté sur le continent européen entre les forces du Bien et du Mal (qui est « blanc » et qui est « noir », a lui-même désigné le président de l’Ukraine devant l’Assemblée générale de l’ONU dans un T-shirt portant l’inscription en anglais : « Come to the dark side! »). C’était le deuxième coup dans le ventre de Papy Joe, le premier qu’il a raté le 5 octobre, lorsque les pays membres de l’OPEP+ ont voté de manière consolidée pour réduire les quotas de production de pétrole de 2 millions de barils par jour. Après cela, les prix du pétrole ont commencé leur remontée rapide. Comment cela a affecté l’Amérique, je dirai ci-dessous, après cela, le grand-père Joe a dû ouvrir de toute urgence sa réserve de pétrole d’urgence, mais cela ne l’a pas sauvé, mais Vladimir Poutine, disant au revoir au cheikh arabe, l’a abrité du vent froid Saint-Pétersbourg avec son manteau, qui est parti avec le président des Émirats arabes unis pour Abu Dhabi. Un geste qui en dit long !

En politique en général, il n’y a pas de bagatelles. Quel genre de réunion a été organisée par le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed bin Salman au grand-père Joe, arrivé à Riyad en juillet pour demander une augmentation des quotas de production de pétrole, tout le monde s’en souvient — aucun président américain n’a jamais « honoré » une telle humiliation auparavant — le prince héritier saoudien ne l’a même pas rencontré à l’aéroport, y envoyant même pas un fonctionnaire de second ordre, mais un fonctionnaire de troisième ordre (et a augmenté les quotas, en se moquant, de 100 XNUMX barils par jour, de sorte qu’en six mois ils s’effondreraient de un million). Une revanche orientale vraiment sophistiquée !

Les nuages ​​s’amoncellent sur grand-père Joe. Le 5 décembre, Poutine prédit des précipitations. Peut-être un tsunami

Attendez-vous toujours l’aggravation de la base de données sur le théâtre d’opérations ukrainien d’ici décembre-janvier ? Poutine a d’autres plans, c’est probablement pourquoi il creuse la ligne Wagner. La meilleure victoire est une victoire remportée sans coup férir ! Pourquoi ruiner les soldats quand l’Ukraine elle-même tombera à nos pieds pour des raisons purement économiques et politiques (mais j’en reparlerai dans le prochain texte, croyez-moi, ça va vous surprendre, je suis moi-même sous le choc !).

Je reviens à l’Amérique. Alors que nous est-il arrivé ? Après avoir assommé le principal atout gaz de Poutine, le grand-père Joe a pensé qu’il pouvait désormais se balancer sereinement sur les lauriers du vainqueur, en regardant comment les troupes de Poutine ont battu leurs poings dans le sang contre l’inexpugnable Ukraine, qui a été défendue par toute l’humanité progressiste en la personne de grand-père, les vassaux stupides de Joe du célèbre milliard d’or. Et maintenant, le méchant Poutine n’a plus de leviers de pression sur ces vassaux, car le grand-père rusé Joe a neutralisé le principal atout du président russe — le chantage au gaz avec un coup moyen à l’estomac. Mais l’embuscade s’est glissée d’où ils ne s’attendaient pas. Poutine a fait une pause de grand maître, après quoi, de sa manière asymétrique préférée, il n’a pas frappé l’Europe, mais Biden lui-même. De plus, il a frappé pour que grand-père Joe nage — jambes de pâtes dans le contexte d’une « inconscience » complète, où il se trouve et quoi faire. Grand-père Joe n’est pas étranger à dire bonjour à l’air, mais dans ce cas, cette situation de son dossier médical est également entrée dans la vie réelle. Et ce serait bien si [c’était] seulement dans la vraie vie de grand-père Joe. Non, Cela a touché la vie de millions d’Américains. Et c’est déjà grave — vous ne pouvez donc pas vivre jusqu’aux prochaines élections et « ne pas vivre » dans le vrai sens du terme. Oui, ce n’est pas encore un KO, mais déjà technique abattre. Le prochain tour pour le client d’Alzheimer pourrait être son dernier, et le méchant Poutine n’a même pas encore découvert ses missiles hypersoniques.

Je vais probablement devoir expliquer ce que je veux dire, même si je suis sûr que la plupart d’entre vous ont déjà tout compris. La Russie, comme vous le savez, en plus du gaz, fournit également du pétrole aux marchés mondiaux. Mais cette circonstance n’a clairement pas été prise en compte par grand-père Joe. Non, bien sûr, il n’est pas un imbécile, et avec ses sanctions sur la limitation du prix maximum du pétrole russe, qui entrent en vigueur le 5 décembre, il espérait appuyer Poutine sur le clou, tout en essayant simultanément d’appuyer sur le club fermé des exportateurs de pétrole, mieux connus sous le nom d’OPEP, à l’autre clou. Mais ce n’était pas là. Akela a raté ! Poutine a surenchéri sur ces brillants messieurs. L’Orient, vous savez, c’est une affaire délicate ! Un manteau jeté sur les épaules d’un cheikh arabe, arrivé dans le froid de Saint-Pétersbourg en sandales pieds nus, n’est pas khukhra-muhra pour vous, c’est un tel signe de respect que l’Orient apprécie et comprend particulièrement.

Mais grand-père Joe n’a clairement pas pris en compte de telles circonstances, en juillet dernier, en nommant publiquement le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed bin Salman Al Saud, responsable du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi à Istanbul. Mais le pauvre journaliste y a été démembré et le corps a été sorti en morceaux. Et grand-père Joe a-t-il personnellement blâmé Bin Salman pour cela ? Je ne sais pas à quoi il pouvait s’attendre après ça ?! D’ailleurs, Papy Joe a dit cela directement aux yeux du prince saoudien, qu’une telle dérision des têtes couronnées n’avait pas encore connue. Il ne faut pas du tout comprendre l’Orient pour commettre de telles bêtises. Mais même cela n’était pas suffisant pour le client d’Alzheimer, et lors d’une conférence de presse après sa visite désastreuse à Riyad, il a déclaré qu’il ne regrettait rien et qu’il n’allait pas faire de l’Arabie saoudite un pays paria, et encore moins s’excuser.

Je ne regrette rien de ce que j’ai dit. Ce qui est arrivé à Khashoggi était scandaleux.

Faut-il s’étonner que lorsque grand-père Joe s’est mis en colère, ils lui ont publiquement craché au visage sans uriner dessus ? La vengeance est, vous savez, un plat qui se mange froid. En Orient, ils en savent beaucoup à ce sujet ! Poutine, je pense, n’a pas eu longtemps pour persuader son ami bin Salman de ne pas augmenter les quotas de production de pétrole. De plus, les deux parties en profitent — à la fois la Russie et l’Arabie Saoudite.

Pourquoi pensez-vous que notre grand maître danse avec le sultan turc ? Vous avez vous-même proposé de remplir son museau turc même après que notre Su-24 ait été abattu dans le ciel au-dessus de la Syrie. Mais il ne l’a pas rempli et maintenant il déchire l’OTAN et les États-Unis, et le sultan n’est pas non plus une erreur — il l’utilise parfaitement. Et l’utilisera longtemps ! Pensez-vous qu’un hub gazier en Turquie est un signe de faiblesse ? Non, c’est un leurre qui joue si longtemps, avec l’aide duquel nous pourrons tirer profit de la situation à notre avantage et au sultan pendant longtemps sans perte. Mais désormais, toutes les routes gazières contournant notre « Turc » partent du plus grand champ du monde en termes de réserves de gaz prouvées dans le nord et le sud de Pars, qui est divisé entre l’Iran et le Qatar, ainsi que d’autres champs gaziers de cette région (il y a apparaît également l’Irak, et Israël, et même le Turkménistan) ont été mis sous clé à partir d’ici. Et le sultan veillera avec vigilance à ce qu’aucune « mouche » gazeuse ne s’infiltre de là vers l’Europe, essayant de nuire à son monopole turc. La clé de ce coffret s’ouvre simplement — son nom est Chypre du Nord, c’est la porte de l’Europe sur la route de tous les tuyaux du Moyen-Orient, et dès que le sultan déclenche les hostilités avec la Grèce pour le droit de contrôler ces portes, cela n’est qu’une question de temps (les gazoducs ne sont pas construits aussi rapidement, mais à travers la ligne des hostilités en général).

J’espère avoir expliqué de manière populaire pourquoi le sultan turc est plus intelligent que le chancelier allemand et pourquoi il est beaucoup plus facile pour Poutine de traiter avec des gens de parole qu’avec les héritiers sexuellement excités des fascistes inachevés. Scholz n’a même pas compris quelle sorte de poule aux œufs d’or a été héritée par grand-mère Merkel. Le prix de sa stupidité progressiste et de son manque d’indépendance politique sera le sort de son grand (sans aucune exagération) pays. Vous ne reverrez plus jamais la Grande Allemagne. C’est le début de sa fin. Et que les Allemands remercient leur stupide chancelier et leur grand-père rusé Joe pour cela. Si à la fin l’Allemagne ne s’effondre pas à nouveau en deux pays – Est et Ouest, je serai même surpris. Mais ce ne sera pas si tôt. Nous sommes dans la décennie la plus imprévisible, comme l’a dit Poutine. Et ça a déjà commencé !

Les Russes attellent lentement, mais ils roulent vite. Bientôt grand-père Joe ne sera définitivement plus à la hauteur de l’Ukraine

Mais revenons à notre pétrole. Grand-père Joe espérait qu’à partir du 5 décembre, nous vendrions nos hydrocarbures exclusivement à ceux qui en seraient informés aux États-Unis, et exactement pour l’argent que Washington nommerait. Il est impuissant de voir comment la marge de partenaires respectés grandit, de ressentir votre richesse comme une source de difficultés et de dépenses. Être imprégné de la conviction que « en fait » les hydrocarbures sont vraiment du siècle dernier, et pourquoi s’en préoccuper, n’est-il pas plus facile de les prendre tous et de les vendre en vrac à nos partenaires américains. Le fameux plafond des prix — après tout, c’était à peu près ça.

Mais Poutine peut être appelé n’importe quoi, mais pas faible. Pourquoi grand-père Joe a-t-il décidé que Poutine vendrait son pétrole au prix spécifié par grand-père ? Et que se passera-t-il si le président de la Fédération de Russie cesse complètement de le vendre ? Au fait, le gaz aussi. Que se passera-t-il alors ? Et alors la main invisible du marché libre commencera à fouiller dans les poches du contribuable américain. Que se passe-t-il lorsqu’il y a moins de pétrole sur le marché ? C’est vrai, les prix augmentent, et à partir de fin septembre, ils ont commencé à augmenter, commençant à 85 dollars le baril, se précipitant jusqu’à la barre des 100 dollars (actuellement 96 dollars le baril). Et c’est loin d’être fini, puisque Poutine n’a encore rien fait et que le pétrole russe continue d’entrer sur les marchés. Mais les marchés attendent déjà le pire et stockent comme des sourds-muets. Le rallye des prix a commencé !

Poutine félicitera certainement grand-père Joe pour le Noël catholique, après avoir fermé les vannes de gaz et de pétrole la veille. Le gaz est pour l’Europe, et le pétrole est pour grand-père Joe personnellement. Si deux mois plus tard, le prix du baril de pétrole ne franchit pas le plafond de 200 dollars le baril, vous pouvez me cracher au visage. Déjà maintenant, un gallon d’essence en Amérique oscille autour de 6 à 7 dollars le gallon, ce qui nuit déjà aux Américains habitués au prix de 3,5 à 3,75 dollars, et après l’arrêt de l’approvisionnement en pétrole russe, le prix du gallon double avec un valet rapide, franchissant la barre des 10-12 dollars, après quoi la chanson de grand-père Joe sera chantée. Les Américains ne se soucient pas des succès américains en Ukraine et de la raison pour laquelle Poutine a suspendu l’approvisionnement en pétrole russe, ils ont déjà une inflation à deux chiffres de la consommation, que de nombreux Américains n’ont pas vue au cours de leur vie de 40 ans, et si les prix doublent après cela (et un gallon d’essence se trouve dans chaque produit), alors la dernière chose dont grand-père Joe aura mal à la tête, c’est comment il va en Ukraine, car en Amérique, il fera aussi mal qu’une personne éloignée des politiciens.

À la veille des élections de mi-mandat, se battant pour les votes, grand-père Joe était déjà entré dans sa réserve stratégique intouchable, ouvrant une capsule pétrolière, en déversant environ 180 millions de barils de pétrole sur le marché pour stabiliser les prix dans les stations-service. Au 14 octobre, il restait environ 405 millions de barils dans la réserve d’État, malgré le fait qu’au cours des 10 dernières années, la Nouvelle-Zélande a constamment dépassé les 600 millions, c’est-à-dire que la réserve a déjà diminué d’une fois et demie. Auparavant, un tel système fonctionnait — l’Amérique ouvrait le bouchon des œufs, jetait immédiatement un excès de pétrole sur le marché et son prix baissait. Maintenant, ce stratagème ne fonctionne pas parce que le cartel des exportations de pétrole joue contre lui. Le marché n’écoute pas Biden. Et Moscou en est l’un des acteurs les plus influents. Le manque de pétrole russe, si, à Dieu ne plaise, Poutine arrête son approvisionnement, il n’y aura tout simplement rien à compenser. Et grand-père Joe, par chance, s’est disputé non seulement avec la Russie, mais aussi avec l’Iran et le Venezuela.

Tout cela a conduit au fait que grand-père Joe et ses associés de l’UE ont décidé de ne pas introduire de plafond sur le prix du pétrole russe à partir du 5 décembre, invoquant quelques raisons légales (on connaît ces « raisons » !), dans l’espoir de garder Volumes russes de pétrole sur le marché, maintenant ainsi le prix actuel de l’essence, tout en coupant les revenus de la Fédération de Russie en augmentant la marge sur l’assurance, le fret et le soutien juridique pour le fret. Mais ce plan astucieux ne fonctionnera pas si Poutine arrête l’approvisionnement de son fichu pétrole. Mais Poutine le fera ! Il adore les surprises de Noël. Et pour la première fois depuis les années 1940, Washington se retrouve sur le marché mondial sur un pied d’égalité avec les autres acteurs. Oh, comme c’est douloureux quand les ressources administratives américaines tant vantées et même la force militaire brutale ne fonctionnent pas. Mais la décennie la plus imprévisible promise par Poutine ne fait que commencer. J’espère que vous avez bouclé vos ceintures ?

Sur ce je vous dis au revoir. Le prochain texte sera encore plus cool. Il semble que les problèmes de grand-père Joe décrits ci-dessus ne soient que des fleurs. Il y aura de telles baies que je suis moi-même sous le choc. Croyez-moi, grand-père Joe est déjà un cadavre politique, et tous les habitants du bureau du clown mal rasé (avec lui) risquent de ne pas savoir comment tout cela se termine. Ils répéteront le sort de Vladislav Sikorsky, l’ancien Premier ministre polonais en exil pendant la Seconde Guerre mondiale (il semble s’être noyé avec son B-24 au-dessus de Gibraltar dans des circonstances peu claires, quand Staline était d’accord avec Churchill, les clowns de Kyiv aussi en savent trop pour les laisser Direct).

C’est tout pour le moment. Ne sautez pas le texte suivant.
Votre Monsieur Z

Photos utilisées : kremlin.ru

Source : Reporter




Homo Collabo, pacsé avec Hommo Economicus ?

  • À tous les apprentis collabos.
  • Commençons par ceux qui n’ont rien dans le ciboulot
  • Auxquels on ne peut vraiment pas en vouloir
  • De se complaire dans la sphère des ignares
  • Il y a ceux qui en ont sous le calot
  • Prétextant fièrement leur QI, ils se comportent en fieffés idiots
  • Il y a ceux que l’on mène à l’abattoir comme des moutons de panurge
  • Qui ne réalisent pas que pour leur sauvetage cela urge
  • Il y a ceux qui y croient
  • Qu’importe pour eux le résultat
  • Il y a ceux qui font croire qu’ils croient
  • Et qui leurs arrières imaginent pouvoir protéger en toute mauvaise foi
  • Il y a les élites mondialistes démoniaquement criminelles
  • Qui agissent car déjà sur Terre ils exigent, pour eux seuls, la félicité du ciel
  • Il y a ceux bloqués à des degrés d’irréflexion intermédiaires
  • Restos et supermarchés ouverts donc aucun mouron à se faire
  • Il y a ceux qui se contentent de téter à la télé
  • Et qui ne veulent se frotter à d’autres vérités
  • Ils y a ceux qui sont inféodés à la blouse blanche
  • À laquelle, pour mal vivre et trop tôt mourir ils donnent carte blanche
  • Il y a ceux qui ne peuvent imaginer l’abject de la gouvernementale déraison
  • Même si mille fois les évènements confirment leur déplorable soumission
  • Il y a ceux qui paniquent parce qu’ils sont ainsi fait
  • Qu’il y ait une cause ou parce que tout les effraie
  • Ils y a ceux qui obéissent aux instances supérieures sans se poser de questions
  • Au procès de Nuremberg tous les nazis l’ont confessé, sans exception
  • Il y a ceux qui disent s’en foutre mais qui n’en pensent pas moins
  • D’autant qu’au fond d’eux ils pressentent que l’avenir est plus qu’incertain
  • Il y a ceux, beaucoup trop nombreux, qui profitent de la situation
  • Pour se comporter en petits couillons sadiques en mal de considération
  • Il y a ceux qui ont oublié humanisme, probité et gratitude
  • En écartant de leur route tout ce qui ne répond pas à leurs certitudes
  • Il y a ceux qui ne jurent que par la supercherie des élections
  • Fonctionnant uniquement avec les neurones sur la couture du pantalon
  • Il y a ceux, dupés par des vrais faux positifs qui ont cru sacrifier à la bonne cause
  • Se faisant injecter des poisons innommables jusqu’à l’overdose
  • Il y a ceux qui toutes ces agressions organiques ont très mal digéré
  • Victimes des effets secondaires qui tuent ou amochent salement du gugusse la santé
  • Et il y a les autres, la petite minorité d’autres, qui fait face à l’énormité de l’irrationnel
  • Ceux qui sentent au fond de leurs tripes que l’humanité est en péril mortel
  • Essayant de tendre la main à tous ces collabos dont beaucoup s’ignorent
  • Avec eux le sursaut indispensable pour la vie de chacun serait bien plus fort
  • Cette petite frange de la société que l’on traite de complotistes fêlés
  • Qui se bat seule pour un monde beaucoup plus altruiste engendrer
  • Contre l’infinie bêtise humaine et des monceaux indécents de fric
  • Amoncelés par quelques rebuts humains à l’esprit satanique
  • Nous sommes au milieu du gué et pour certains bien désemparés
  • Comme l’histoire n’est jamais totalement écrite, évitons de désespérer.
  • Dans l’épreuve les âmes fortes se fortifient
  • Avec tous ceux qui ne sont pas ou plus aveugles restons combattifs et unis !
  • Apprentis collabos, il n’est pas trop tard pour nous rejoindre
  • Reconnaître avoir été trompé est une vertu, et non des moindres.

Brounahans l’Alsaco 10/2022




France — La gestion criminelle de la crise Covid exposée sur une chaîne mainstream






Business de l’avortement (la face cachée de l’iceberg)

[Source : CitoiCitoyen]

Les fœtus humains pour exhausteurs de goût, pour les aliments et les boissons…!?
Les fœtus humains pour des vaccins !?




[Source : iatranshumanisme.com]

Le Figaro — États-Unis : le planning familial accusé de trafic d’organes de fœtus

Une responsable du Planning familial américain reconnaît en caméra cachée revendre des morceaux de fœtus (sous-titrage anglais).

Au bout de trois ans d’enquête, le Center for Medical Progress dévoile les pratiques réelles de la Planned Parenthood Federation (PPF), équivalent américain du planning familial.

Cette vidéo, filmée en caméra cachée lors d’un repas d’affaires, est hélas éloquente : on y voit Deborah Nucatola, directrice des services médicaux, détailler la revente de « pièces » d’embryons humains, non pas incinérés tels des « déchets médicaux », mais bel et bien revendus comme des organes humains. Un trafic d’organes de fœtus issus d’avortements tardifs, ni plus ni moins. Dans cette vidéo, le Dr Deborah Nucatola décrit en détail comment le Planned Parenthood vend des parties du corps de fœtus avortés et reconnaît avoir recours à l’avortement par naissance partielle, pour mieux récupérer des organes et des corps intacts, et ainsi être en mesure de répondre à la demande. Sa description de ses actes médicaux glace le sang : « Nous sommes très bons pour récupérer le cœur, les poumons, les reins intacts », explique-t-elle. La procédure décrite, de guidage par ultra-son pour manipuler le fœtus, est par ailleurs considérée comme illégale aux États-Unis.

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«Beaucoup de gens veulent des cœurs. Hier, on m’a demandé des poumons. Certains d’entre eux veulent des extrémités. Ça, c’est facile. Je ne sais pas ce qu’ils en font, je suppose qu’ils veulent du muscle.»

Le médecin donne également des précisions sur le prix de vente de ces organes qui s’écouleraient de « 30 à 100 dollars le spécimen ». Aux États-Unis, le commerce de tissus fœtaux humains constitue un crime fédéral punissable de 10 ans de prison et de 500 000 dollars d’amende. S’ajoute également l’homicide, car le fait de tuer des bébés « intacts » ayant survécu aux avortements par naissance partielle est placé au même niveau que le meurtre.

Les réactions des autorités ont été immédiates, notamment de la part du gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal qui demande l’ouverture d’une enquête conjointe du FBI et du département de la santé et des hôpitaux sur les pratiques du planning familial.

[Voir la suite sur :] Le Figaro

Le Dr Gatter est montrée, dans cette nouvelle vidéo, en pleine négociation sur le prix des organes vendus…




Les aveux à peine croyables du conseiller de Zelensky sur la guerre avec la Russie

[Source : FranceSoir]

[Illustration : Volodomyr Zelensky, président de l’Ukraine.
 Sergei Supinsky / AFP]

TRIBUNE – Dans une interview donnée en 2019, Olekseï Arestovitch, futur conseiller du président Zelensky, expliquait pourquoi il fallait une guerre avec la Russie, comment et quand elle allait se dérouler.

Par Jean Neige, pour FranceSoir

On se pince pour être sûr que l’on ne rêve pasComment est-il possible pour un dirigeant ukrainien de vouloir une guerre ouverte avec un pays aussi puissant que la Russie, quitte à ce que l’Ukraine soit dévastée ? C’est pourtant ce que préconisait Arestovitch, dans une interview donnée le 18 février 2019, quelques mois avant que Zelensky ne soit élu.

L’interview complète est consultable ici.

 « Le prix à payer pour rejoindre l’OTAN est un grand conflit avec la Russie »

Selon Arestovitch, l’Ukraine était un pays trop grand, trop exposé, avec trop de voisins ayant des revendications sur son territoire, pour pouvoir choisir le chemin de la neutralité. Il fallait donc choisir entre la Russie et l’OTAN. Comme l’Ukraine avait déjà essayé la Russie, il fallait maintenant tenter l’OTAN. Toujours selon lui, si l’Ukraine ne rentrait pas dans l’OTAN, elle serait sous contrôle russe d’ici à 10 à 12 ans. Car le futur conseiller était certain que la Russie voulait réintégrer les pays de l’ex-URSS dans sa sphère d’influence.

Cependant, il était parfaitement conscient qu’une Ukraine dans l’OTAN était inacceptable pour la Russie et qu’elle préférerait faire la guerre à l’Ukraine plutôt que de laisser son voisin adhérer à l’alliance militaire de l’ouest perçue comme une menace. Il en était sûr à 99%.

C’est exactement ce qui s’est passé.

Quand l’intervieweuse demande à Arestovitch ce qui est mieux pour l’Ukraine, ce dernier répond sans hésiter « la guerre ».

De nombreux commentateurs sur Youtube admirent le talent de prédiction du futur conseiller. Mais il s’agit moins de prédictions, que de décrire un plan d’action. Pour lui, cette guerre allait commencer entre 2020 et 2022. Et, pour que ce plan se déroule comme prévu, il appelait à voter Zelensky.

Arestovich était aussi convaincu que l’OTAN n’accepterait pas l’Ukraine en son sein avant qu’une guerre russo-ukrainienne n’ait lieu, une guerre dont il fallait que l’Ukraine sorte vainqueur, même si elle devait être dévastée pour cela. En d’autres termes, il fallait que l’Ukraine soit prête à un sacrifice énorme, pour s’assurer ensuite d’être complètement détachée de la Russie.

Il précise encore que :

« Dans ce conflit, nous serons activement soutenus par l’Occident – avec des armes, des équipements, de l’assistance, des nouvelles sanctions contre la Russie, et même possiblement l’introduction d’un contingent de l’OTAN, une zone d’exclusion aérienne, etc. Nous ne perdrons pas, et c’est bien ». 

Presque tout ce qu’il dit s’est réalisé. La certitude et la confiance qu’il affiche laissent penser qu’il a déjà reçu des assurances de la part des Occidentaux pour tout ce qu’il avance. La prochaine étape est-elle l’entrée en guerre officielle de l’OTAN, par exemple, avec la 101ᵉ division aéroportée américaine, déjà déployée en Roumanie, en plus des contingents français et autres ?

La relecture du passé récent

À la lumière de cet entretien, on peut revoir tout ce qui s’est passé depuis, jusqu’à aujourd’hui, sous un jour nouveau. On a maintenant la quasi-confirmation que tout a donc été fait par l’Ukraine pour provoquer la guerre avec la Russie.

En octobre 2019, le président Zelensky annonçait alors fièrement que l’Ukraine était prête pour reprendre le Donbass par la force. S’ils avaient voulu provoquer la Russie, c’est par là qu’il fallait commencer.

Laisser la Russie attaquer la première était la meilleure stratégie pour pouvoir ensuite endosser le rôle de la victime et quémander le soutien de la terre entière contre l’agression de l’ogre russe. Il est d’ailleurs notable que, dans leur communication, les anglo-saxons insistent sur le fait que l’agression russe était absolument « non provoquée ». Comme le dira un internaute, s’ils insistent si lourdement là-dessus, c’est parce que l’agression fut au contraire provoquée.

Gageons que la tentative de réanimer les accords de Minsk, avec la réunion du format Normandie le 9 décembre 2019 à Paris, aura retardé quelque peu l’affrontement voulu. Les Ukrainiens se prêteront à l’exercice imposé, en apparence, mais comme d’habitude ne respecteront aucun des engagements pris, si ce n’est l’échange de prisonniers.

Dès l’intronisation de Biden, fin janvier 2021, les provocations contre les intérêts russes reprenaient de plus belle, avec les persécutions judiciaires lancées contre Victor Medvetchuk, le leader de l’opposition favorable aux Accords de Minsk et à une politique de bon voisinage avec la Russie. La fermeture des chaines de TV d’opposition, dès le 2 février, allaient dans le même sens, comme le décret signé le 24 mars autorisant la reprise de la Crimée par la force. En moins de deux mois, Zelensky avait tenté le maximum pour provoquer la Russie. Mais cette dernière n’attaquait toujours pas.

Par la suite, les États-Unis et l’Ukraine n’ont cessé de parler d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.  Le 1ᵉʳ septembre 2021, les États-Unis et l’Ukraine ont fait une déclaration commune de partenariat stratégique qui insistait lourdement sur la dimension sécuritaire. Ce travail débouchait le 10 novembre sur la mise à jour d’une charte commune signée initialement en 2008. Du point de vue russe, la pression montait. Plus le temps passait, plus le soutien américain à l’Ukraine augmentait. À quand les bombardiers stratégiques et les missiles américains déployés sur le territoire de l’Ukraine ?

Dans la même période, à l’automne, les Russes ont alors sondé une dernière fois la volonté des Français et des Allemands pour faire pression sur les Ukrainiens, agissant de telle sorte que ces derniers négocient enfin avec les séparatistes dans le cadre des Accords de Minsk. Face au refus franco-allemand, les Russes excédés ont fini par publier le 18 novembre les échanges diplomatiques avec Paris et Berlin. Parallèlement, ils ont commencé à amasser des troupes aux frontières de l’Ukraine, pour faire pression. Des réunions ont eu lieu en janvier et février 2022, mais elles se sont heurtées aux mêmes obstacles. Ni Paris ni Berlin n’ont voulu exercer de pressions sur Kiev, comme à l’accoutumée. C’est là que les Russes ont définitivement pu conclure que les Accords de Minsk étaient morts, faute de volonté politique des trois autres signataires.

On sait maintenant que lorsque Zelensky feignait de ne pas croire à l’invasion, en février 2022, il mentait. Il fallait juste éviter un exode des combattants potentiels dont on avait déjà prévu la mobilisation.

Là où Arestovitch fait preuve de grande intelligence tactique dans son interview de 2019, c’est dans la description de tous les objectifs militaires et les modes opératoires qui seront mis en œuvre par la Russie. Tout y passe. De la tentative du siège de Kiev à la destruction des infrastructures. On comprend d’autant mieux pourquoi les Russes n’ont pas eu la partie facile, puisque les Ukrainiens, et leurs alliés anglo-saxons, avaient prévu leurs moindres mouvements.

Savoir comment l’Ukraine a en quelque sorte savamment planifié et provoqué l’agression de la Russie – avec le soutien de l’allié américain (Cf. – Le rapport de la Rand Corporation pour déstabiliser la Russie) – est une raison de plus pour de cesser toute aide militaire à ce pays déraisonnable qui a volontairement joué avec le feu. Si seulement nous étions encore les maîtres souverains de notre politique étrangère…




Protestations contre les sanctions antirusses

Manifestations dans plusieurs pays d’Europe.

[Voir aussi :
Les aveux à peine croyables du conseiller de Zelensky sur la guerre avec la Russie]

L’ALLEMAGNE NE S’ARRÊTE PAS (Leipzig) 👏👏👏
Le peuple allemand descend chaque jour dans la rue
pour exiger la sortie du pays de l’UE et de l’OTAN.
« Ils ne veulent pas mourir de faim et de froid pour financer une GU€RR€ »
Vous ne le verrez pas à la télé… Europe en 🔥

Le symbole nazi pour le Soleil noir (Black Sun)

.



Des dizaines de milliers d’Allemands se sont rassemblés aujourd’hui à Berlin contre les sanctions anti-russes, les prix de l’énergie, l’OTAN et pour la fin de la guerre en Ukraine. Les slogans populaires « wir sind das Volk » (« nous sommes le peuple ») et « unser Land zuerst » (« notre pays/nation d’abord »), entre autres, sont scandés lors de la manifestation. Certains drapeaux russes ont été repérés dans la foule, tandis que le sentiment anti-américain est clairement affiché en raison des récents sabotages de NordStream.

Saboter les trains et métros n’ont pas servi à grand chose.

https://t.me/akounamatatatv

Les médias mentent : la Russie fait chanter le monde avec des céréales ukrainiennes
et a l’intention de provoquer une crise alimentaire.
La réalité : la Russie a garanti la sortie du grain pendant des mois jusqu’à ce que l’Ukraine,
avec l’aide britannique, attaque le couloir de sécurité. Maintenant, l’OTAN blâme la Russie.




Les enfants, innocents du covid19, ne doivent jamais être injectés

[Première publication sur docteur.nicoledelepine.fr]

Saintes V3 28 10 22

[Transféré de Bon Sens]
NOUS SOMMES ENTRAIN DE CHANGER DE MONDE………. MAIS CHUT ! C’EST UN SECRET.

3 ans après, quel bilan ? (https://t.me/vivrecorrectement/3954) Pour les plus téméraires, voici la conférence sur la crise sanitaire qui a eu lieu à Saintes, 3 h 35 d’interventions.

Au programme de cette 1re partie :

  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, membre fondateur de Réinfocovid : « Agonie, effondrement et renouveau du système de santé » ;
  • Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste oncologue : « Bilan catastrophique de la stratégie française anti-covid : rappel des faits » ;
  • Vincent Pavan, maître de conférences et chercheur en mathématiques : « Quelles sont les nouvelles théories évolutionnistes qui sous-tendent le retour du totalitarisme ? » ;
  • Nicole Delépine, pédiatre oncologue : « Le Covid et l’enfant : bilan sur les faits et résultats » ;
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique en Suisse : « L’évolution de notre société à travers la Covid » ;
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique : « Transhumanisme : révélations d’une dégénérescence programmée » ;
  • Mehdi Belhaj-Kacem, philosophe : « Qu’est-ce que le Concept de santé ? » ;
  • Olivier Soulier, médecin homéopathe : « Dans quel contexte général s’inscrit la crise sanitaire actuelle au niveau médical, économique et politique. Quelles sont les solutions ? »

« Longue est encore la route, nombreux seront les obstacles, mais j’ai la certitude que rien n’est au-dessus des forces de ceux qui ne renoncent pas »

Jacques Eberhard




La covidomuraille se lézarde

[Source : aimsib.org]

Hasard du calendrier de ce début d’automne ou mouvement de fond inéluctable pouvant déboucher sur une dénonciation complète de cette farce macabre qu’a représenté la Covid depuis 2020, un faisceau d’indices nous laisse espérer le meilleur pour bientôt. Le Conseil de l’Europe s’ébroue et sort d’une léthargie cathartique de deux ans, les journalistes se risquent à nouveau (mais encore timidement) à user de leur devoir d’information, des sociétés savantes se souviennent de leurs lustres passés et certains tribunaux osent se griser par l’air frais de l’indépendance. Il semblerait que l’on puisse à nouveau avoir un peu le droit de s’opposer à la tyrannie Covid, jusqu’où et jusqu’à quand ?


Par Dr Vincent Reliquet

Introduction

Quelques rappels d’Histoire contemporaine ne peuvent jamais nuire, surtout par ces temps troublés. Rappelons-nous d’abord que l’invention du terme « complotiste » remonte déjà à loin puisqu’il a été inventé par la CIA en 1963 pour désigner les non-convaincus par la sortie du rapport Warren, celui-ci voulait à toute force imposer l’idée que le Président Kennedy n’avait été tué que par une seule balle, tirée par un seul homme. Quand bien même l’infortuné Président aurait été touché à la tête et au cou et que le Gouverneur Connally, assis devant lui, aurait été blessé aussi…

Un complotiste désigne depuis 1963 un observateur indépendant qui ne se convainc pas d’une version officielle, il ne s’agit donc aucunement de la marque d’une perversion psychopathologique de sa part mais plutôt d’un trait de caractère marqué par une certaine indépendance intellectuelle.

Le complot mondial organisé par des financiers de haut vol, la lubie était réalité

à longueur d’articles depuis deux ans,  il a été expliqué à tous les peuples du monde que le hasard avait présidé à la naissance de la Covid, donc que, comme par hasard, une méthode de lutte contre le virus avait été fabriquée à la hâte. Les « complotistes » eux, savent que les préparations étaient déjà terminées depuis quelques mois (1) et que de nombreux enseignements avaient été tirés de la pandémie industriellement ratée de 2009 (2). Voilà ce que l’on peut retrouver également sur le site du Centre Canadien de Ressources et d’Echange sur les données probantes en Vaccination (3), regardez bien la date de fabrication de cette note:

La suite est consternante mais explique déjà par quelles méthodes ignobles un groupe de décideurs peut recourir pour arriver à ses fins vaccinales ineptes :

Les complotistes étaient prévenus, la crise du Covid se jouerait dans l’illégalité internationale la plus complète, au mépris des traités internationaux et des lois les plus claires sur ce point, ce que nous avions déjà rappelé ici (4).

Mise en examen du PDG de l’AFP pour diffamation envers les réalisateurs du documentaire « Hold-Up »

N’espérez évidemment pas, c’est bien trop tôt, que vos médias aux ordres n’en fassent le moindre état dans leurs bulletins d’informations, mais Monsieur Fabrice Fries, très grand ami personnel du Président Macron donc mis à la tête de l’AFP par lui depuis déjà plus de quatre ans, se retrouve mis en examen pour avoir poussé ses journalistes à délivrer des articles emplis d’une haine absurde contre un simple documentaire, construit autour d’une opinion qui, comme toutes les opinions en démocratie, se doit de rester parfaitement respectée.

On rappelle que tous les médecins qui ont participé de près ou de loin à l’élaboration de ce documentaire sont poursuivis par leurs Conseils Ordinaux pour « complotisme ». Qu’attend le Conseil National de l’Ordre des Médecins pour annuler toutes les procédures en cours et présenter ses excuses aux Confrères aussi injustement pourchassés, au nombre desquels je dois me compter ?

Ouverture d’une enquête Européenne sur l’illégalité supposée des achats de vaccins anti-Covid par l’Union

L’AIMSIB s’était déjà fait l’écho à de très nombreuses reprises des soupçons d’irrégularités et de corruptions avérées dans ce dossier. (5)(6)(7)(8)(9)(10)(11), quelque chose a dû choquer quelques-uns au sommet de l’UE, il semble qu’une certaine volonté d’opération mains propres se fasse jour, on peut donc craindre qu’une pénurie supplémentaire se fasse jour dans les mois qui viennent, de savon cette fois-ci:

https://www.challenges.fr/monde/europe/covid-le-parquet-europeen-enquete-sur-l-achat-de-vaccins-par-l-ue_831596

La révolte de certains Députés Européens

En attendant une prise de conscience dans les rangs des parlementaires nationaux, il semble bien qu’au niveau Européen le réveil soit bien lancé.

Honneur tout d’abord à Monsieur Mislav Kolakušić, Eurodéputé Croate, pour qui la coupe vaccinale est définitivement pleine, et qui, compte tenu des résultats absolument lamentables générés par ces vaccins anti-Covid, réclame le remboursement intégral des sommes déjà versées ainsi que la suspension définitive de toute commande ultérieure.

Puis c’est au tour de l‘Eurodéputé Robert Roos de se distinguer, sujet néerlandais, qui le 18 Octobre 2022 au sein du Conseil Européen pose une question à la représentante de Pfizer, son PDG ayant jugé plus prudent de ne pas se trouver en présence de parlementaires incontrôlables dans un difficile contexte de « vanderLeyengate » naissant :

  • – « Vos vaccins ont-ils testé leurs capacités à interrompre les contaminations virales » ?
  • –  » …/… Nooo »!

Nous savons aujourd’hui que la protection inter-humaine par la vaccination est nulle et ceux qui osent encore se former autour de l’efficacité des masques en polypropylène découvrent à leur tour leur inefficacité totale, tout ce qui est contra-intuitif n’est donc pas forcément faux. (11*)

Signe des temps nouveaux, non seulement une conférence a été organisée au Parlement Européen pour entendre l’avis plus que discordant du Pr Christian Perronne mais en plus elle n’a pas été annulée et s’est tenue en présence d’une très nombreuse assemblée, assortie d’une standing ovation réalisée par les Eurodéputés présents (12).

Plaintes ordinales, le Pr Christian Perronne sort blanchi de toute accusation

Encore Lui ! Ne nous le cachons pas, la surprise fut de taille tant les Chambres Disciplinaires Françaises s’étaient montrées jusqu’ici impitoyables avec toutes les voix discordantes jusqu’à ce jour. Osons espérer qu’il ne s’agisse pas d’un traitement réservé aux seuls professeurs de Facultés…

Il semble loin le temps où la presse largement subventionnée par Bill Gates enterrait déjà son ennemi acharné. Se souvenir que Bonsens et Perronne ont attaqué ensemble Gates en justice devant les tribunaux Français (13), même si le milliardaire n’a pas jugé opportun de se déplacer pour sa défense. Il y a peu encore l’Express titrait ceci, ce qui manifestement doit lui faire comprendre qu‘il demeure toujours hasardeux de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué :

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/antivax-idole-de-l-extreme-droite-christian-perronne-la-chute-d-un-professeur-jadis-respecte_2180117.html

Evidemment personne ne pouvait imaginer qu’un camouflet pareil puisse intervenir sans que le Conseil National de l’Ordre des Médecins Français ne fasse immédiatement appel de ce jugement. Qu’importe, dans un an le dossier démontrant la clairvoyance de Christian Perronne sera encore plus volumineux et évident, et la défaite ordinale… encore plus cuisante.

Pour ceux qui ont souffert de la consternante nullité des plateaux télévisés offerts par les chaines d’information depuis trois ans, ouvrez grand les oreilles, le climat y change là aussi et, à grande vitesse, on y compare même le sort de Christian Perronne à celui réservé aux dissidents soviétiques, qui l’eût cru il y a encore deux mois  :

https://reinfovf.com/video/10910/

Laissons le dernier mot de ce chapitre à son avocat, Maître Thomas Benages, qui s’adresse à nous avec ces mots :

 « Le Dr Perronne, spécialiste internationalement reconnu comme un expert dans le domaine de l’infectiologie, était le mieux à même de comprendre les enjeux de santé publique. S’il s’est exprimé dans la presse sur l’action du gouvernement et sur l’industrie pharmaceutique, ainsi qu’il était légitime à le faire et en avait même l’obligation dans ce domaine qui relevait de sa compétence, il s’est borné à porter publiquement mais sans invectives une voix discordante sur un sujet d’intérêt général ».

Quand la Société Française de cardiologie sort de ses contraintes commerciales 

Quelle mouche a donc piqué la SFC, sait-elle quelles mesures de rétorsion financières des sociétés comme Pfizer et consort pourraient prendre à son encontre ? Le geste demeure donc valeureux et sera salué comme tel, merci à Nexus d’avoir publié sur cette nouvelle (14), mais que font leurs collègues dans les autres rédactions ?

La France dernière de la classe… Donc la première ?

Nous pouvons encore une fois nous réjouir cette semaine. Il suffit de lire les considérations déconfites et éplorées d’Alain Fischer que la vie pousse lentement mais sûrement vers le désert médiatique:

https://www.egora.fr/actus-medicales/imagerie-medicale/77130-covid-pediatrique-la-france-est-le-dernier-de-la-classe-pour#xtor=EPR-3-5[News_Best_Of_M%C3%A9decine]-20221021-[_1]

 Ainsi, la croisade éperdue portée par toutes les associations indépendantes des firmes pharmaceutiques seraient entendues en France par une très large majorité de parents et de prescripteurs, surtout pas de vaccins anti-Covid chez les enfants (15) et surtout pas chez les enfants fragiles qui pourraient ne retirer de ces injections qu’un abominable effet balle dans la nuque, déjà relevé dans un précédent article (16).

Conclusion

Une hirondelle ne fait pas le printemps, certes, et la métaphore devient particulièrement juste à l’approche de l’hiver. Mais tout de même, après bientôt trois ans d’un bombardement irraisonné, permanent et délirant, il se pourrait que toutes les institutions ensemble (juridiques, médiatiques, médicales et politiques) retrouvent enfin le chemin du doute et de la critique face à cette hallucination collective qui a frappé toute la planète, pendant tant de mois.

Cette semaine nous a appris que le vaccin n’interrompait pas les contaminations inter-humaines, il est donc urgent de réclamer que l’on cesse de proclamer imbécilement qu’il faut vacciner les enfants pour protéger leurs papys, il est obligatoire de réintégrer tous les soignants non-vaccinés qui par leurs choix n’ont jamais mis leurs patients en danger, la Province de l’Alberrta (17) et l’Etat de New-York (18) s’en préoccupent déjà.

Certains ont clairement voulu déclarer la guerre à nos démocraties. Il se pourrait qu’une armée, faite de nouvelles bonnes volontés, se lève à travers le monde et participe à défaire à jamais les concepts les plus moisis de ce début de XXIe siècle, à savoir les idées de passes sanitaires, de citoyens de seconde zone, de crédits sociaux, de contrainte des corps comme des esprits par des puissances transnationales un peu trop gavées par les essences du Dow Jones.

Donc, la guerre continue et l’espoir demeure, toujours plus tenace…

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2022

Notes et sources




Le gouvernement hollandais lève 91 sanctions contre la Russie ! Sans demander l’autorisation de Bruxelles !

[Source : https://www.rtlnieuws.nl]

Surprise ! Le gouvernement hollandais lève 91 sanctions contre la Russie ! Sans demander l’autorisation de Bruxelles ! Les Pays-Bas sont dirigés par le libéral Mark Rutte. Pas vraiment le profil d’Orban.


Traduction :

Le gouvernement a émis des dizaines de dérogations aux sanctions contre la Russie. C’est ce qui ressort d’un inventaire des ministères concernés.

Les entreprises et les institutions qui bénéficient d’une exemption ne sont pas tenues de se conformer aux sanctions applicables.

Les ministères des Affaires étrangères, des Affaires économiques, des Finances, des Infrastructures et de l’Education ont la faculté d’accorder des dérogations.

91 fois

Depuis le début de la guerre, fin février, les ministères ont accordé un total de 91 dérogations. Ceci est fait pour « permettre une certaine flexibilité dans des cas spécifiques », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Un exemple est une entreprise néerlandaise qui souhaite recevoir un autre paiement de la Russie.

Depuis avril, une interdiction de port est en vigueur dans l’Union européenne pour les navires battant pavillon russe.

Cependant, le ministère de l’Infrastructure et de la Gestion de l’Eau est autorisé à admettre des navires transportant certaines cargaisons.

Cela concerne, par exemple, l’aluminium et l’alimentation.

Dans 34 cas, les navires ont simplement été autorisés à accéder aux ports néerlandais.

Gazprom Pays-Bas

Les organisations néerlandaises sont également autorisées à recevoir de l’énergie d’anciennes sociétés de Gazprom.

Début septembre, le ministre Jetten (Climat et Énergie) a fait une exception pour les organisations ayant un contrat énergétique avec Gazprom Nederland, une filiale du russe Gazprom.

Jetten voulait d’abord que les contrats soient résiliés, mais a fait une exception.

Les sociétés européennes de Gazprom ont été reprises par le gouvernement allemand et s’appellent depuis SEFE Energy (Securing Energy for Europe). Selon les administrateurs allemands, pas un cent ne va à la Russie.

Aux Pays-Bas, il y a « des dizaines d’organisations » qui font usage de l’exemption, selon le ministère. Cela concerne les municipalités, les écoles et les offices des eaux. Au total, le ministère a délivré 25 exemptions, aidant 150 demandeurs. Une dérogation peut être utilisée par plusieurs organisations.

Finances et commerce extérieur

Le ministre du Commerce extérieur a également la possibilité de déroger aux sanctions.

13 organisations différentes ont reçu un total de 18 exemptions du ministre Schreinemacher. Selon le ministère, les raisons sont des « raisons humanitaires » et la coopération entre l’UE et la Russie pour des « questions purement civiles ».

Le ministre des Finances peut accorder des exonérations pour les avoirs gelés ou le financement de biens qui relèvent du régime des sanctions. C’est arrivé 13 fois.

Le ministère des Affaires étrangères a accordé une fois une exemption pour permettre les « relations diplomatiques ». Pour cet échange diplomatique, les transactions ont été rendues possibles auprès d’une institution financière russe qui figure sur la liste des sanctions.

Il s’agit de banques dont plus de 50 % des actions sont détenues par l’État russe, comme Sberbank, VTB, VEB ou Gazprombank.

Les ministères concernés ne veulent pas rendre publics les noms d’entreprises et les secteurs, car il s’agit d' »informations sensibles sur les entreprises », selon le ministère des Affaires étrangères. Le ministère ne veut pas non plus divulguer la valeur des exemptions.

https://www.rtlnieuws.nl/nieuws/artikel/5341835/sancties-eu-rusland-ontheffingen-ontheffing-tientallen




Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »



Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !





Laver l’honneur du Dr Cécile Andri

[Source : aimsib.org]

L’histoire se passe en Belgique. Début 2020, le Dr Cécile Andri, exerçant la médecine générale, esthétique et fonctionnelle dans le Brabant, contractera la Covid comme tous les soignants exposés du monde. Quand elle osera écrire sur Facebook qu’elle s’était guérie seule en trois jours avec des compléments alimentaires et de l’hydroxychloroquine, non seulement elle reçut une plainte ordinale, mais on lui interdira en plus de faire doser ses anticorps, ce qui aurait pu documenter une immunité acquise propre à pouvoir lui permettre d’aller soigner ses patients les plus fragiles à leurs domiciles(([1] https://www.facebook.com/watch/?v=932834187173713&extid=NS-UNK-UNK-UNK-IOS_GK0T-GK1C&ref=sharing)). Notre courageux médecin accusera nommément Mme Maggie de Block, Ministre belge de la Santé, de faire opposition à la connaissance légitime des statuts sérologiques des malades guéris. Quelque temps plus tard, devant une caméra(([2] https://www.facebook.com/cite24media/videos/1180019772501514/?extid=NS-UNK-UNK-UNK-IOS_GK0T-GK1C&ref=sharing)), le Dr Andri fait part de ses réflexions personnelles concernant la constatation toujours plus répétée d’effets indésirables graves survenus après les vaccinations anti-Covid : ses tourments s’accentuent, son Ordre local ne la lâchera plus. C’est alors un déferlement ahurissant de plaintes, toutes plus imbéciles et téléguidées les unes que les autres, qui s’abattront sur notre thérapeute(([3] Certaines émanent de médecins bien connus pour leurs conflits d’interêt D’autres viennent de la rubrique Fake Checker de la RTBF Info qui publie 8 pages de calomnies à mon propos. 
« – Mr Didou est un français qui critique le fait que je parle de vit C, Zn, vit D, Hydroxychloroquine et Azithromycine dans une interview à mon cabinet par Cité 24
— Le Dr Dauby me critique quand je parle de traitement à base d’un Antibiotique très connu : l’azithromycine. Il ose prétendre qu’il est inefficace dans plusieurs essai cliniques !! Alors qu’il a sauvé des milliers de vie et c’était un traitement proposé parle Prof Raoult ainsi que Zelenko qui le donnait avec du zinc
— Le Dr Deudon a très probablement fait rédiger sa plainte contre moi par un avocat
— En 2022, n’ayant sans doute guère de griefs contre moi, j’ai reçu 3 plaintes de patientes (cela fait donc 8 au total depuis 2020 alors que je n’en avais jamais reçue depuis que j’ai été diplômée en 1991). La 1 ère en avril se plaint que je ne me suis pas lavée les mains entre 2 patients que je n’ai pas mis des gants pour faire sa sclérose de varices (aucun médecin ne met des gants dans cette intervention là) etc… La 2 eme en juillet 2022 a qui j’ai osé poser la question : êtes vous vaccinée ? Et elle m’a fait un peu sursauter en me disant qu’elle allait faire sa 4 ème dose : elle a alors déclaré le soir même que “j’avais un discours délirant à propos des vaccins”. La 3 eme en août dernier venait pour un détatouage et s’est mise à hurler comme si je l’étranglais puis m’a reproché de ne ne pas lui avoir mis des lunettes de protection sur le nez alors qu’elle était sur le ventre et que je lui détatouais le haut des fesses ! Ces 3 patientes venues de nulle part ne sont venues qu’une seule fois et pondaient leurs plaintes le soir même à l’Ordre dès le retour chez elle !)). Faut-il la laisser se faire tailler en pièce par des médecins bien obéissants aux ordres des politiciens ou doit-on la soutenir quitte à rompre l’anonymat de ses défenseurs ? Le choix du Docteur Stéphane Résimont, membre AIMSIB bien connu,(([4] Dr S Résimont, “Pensez-vous être traité correctement pour votre hypothyroïdie” congrès AIMSIB en ligne, https://crowdbunker.com/v/gkzF5u6L à 1’04 »)) (([5] Dr S. Résimont, « Ordre des médecins, évoluer ou périr », AIMSIB, mars 2021, https://www.aimsib.org/2021/03/14/ordre-des-medecins-evoluer-ou-perir/)) est vite opéré : il faut laver l’honneur du Dr Cécile Andri qui, par son courage et son abnégation, a contribué à sauver toute une profession du naufrage de la compromission. Voici le texte de la lettre ouverte qu’il a adressé aux médecins du Conseil de l’Ordre du Brabant. Pourquoi ne démissionnent-ils pas tous ensemble afin de protester contre le rôle indigne qu’on veut leur faire jouer ? Bonne lecture.  

« Réveiller les patients et leur faire prendre conscience que la santé, c’est le bien le plus précieux que nous avons sur cette terre, elle ne s’achète pas, ne se vend pas (on voit maintenant des affiches qui incitent les jeunes à devenir cobayes pour Pfizer pour 220 €/jour !) et on ne peut pas se permettre de jouer à la roulette russe avec ces pseudo-vaccins ! »

Dr Cécile Andri

Monsieur le Président, Chers confrères,

Notre collègue le Docteur Cécile Andri a été convoquée en vos murs suite à des prétextes divers, tous apparus consécutivement à ses déclarations concernant les effets secondaires des « vaccins » anti- Covid. Nous supposons néanmoins que vous avez déjà été informés que ce nouveau vaccin expérimental présentait des effets secondaires graves beaucoup plus fréquemment que n’importe quel autre traitement autorisé.

Au cas où certaines preuves des graves et fréquents dommages corporels et milliers de décès causés par ces injections expérimentales n’auraient peut-être pas encore été portées pleinement à votre connaissance, nous vous adressons en annexes des informations scientifiques essentielles à votre pleine compréhension de la situation.

Vous conviendrez certainement qu’il n’est pas défendable de se fier uniquement aux communications marketing émanant des producteurs (marchands) de ces « vaccins », ni aux publications prétendument scientifiques souffrant de graves biais étant sponsorisées par les mêmes entreprises qui s’enrichissent par la vente de ces nouveaux produits expérimentaux.

En tant que médecins (généralistes ou spécialistes), mes nombreux confrères et moi-même constatons, en effet, chez nos patients vaccinés :

— Une très forte croissance des infections : infections par Covid dans les 2 à 3 semaines qui suivent l’injection, des réactivations virales (zonas, EBV, encéphalites virales) par altération de l’immunité.
— De nombreuses complications cardiovasculaires : myocardites, infarctus, AVC, surdités soudaines, thromboses artères centrales de la rétine…, et même des cas d’infarctus chez des enfants (ce qui n’arrivait jamais avant la vaccination)
— Des complications neurologiques : des cas de Guillain Barré(([6] Maladie que je connais « un peu » pour avoir rédigé un article dans la Revue Médicale de Bruxelles déjà en 6e et 7e année d’études de médecine.)), d’Alzheimer chez des personnes d’âge moyen, de réapparition de maladies à prion
— Des récidives foudroyantes de cancers (à un niveau que nous n’avions jamais observé avant la campagne de vaccination). Une forte augmentation des tumeurs des lignées hématopoïétiques, notamment le cas de notre confrère Michel Goldman. Nous vous invitons à découvrir le rapport « Rapid progression of Angioimmunoblastic T cell lymphoma following BNT152b2 mRNA vaccine Booster Shot: a case report » qu’il a rédigé avec nos confrères les Dr Bron, Cogan, S. Goldman… que j’ai fréquentés lors de mes années de pratique médicale à Bordet et à Érasme. Cette publication est publique et décrit la qualité des intervenants et de la victime. À noter que ce « confrère victime » prônait sur les plateaux télé la « vaccination » de tout le monde, quel que soit l’âge, la sérologie Covid (donc il prônait la vaccination post maladie…), quelles que soient les morbidités présentes ou pas.
— Des syndromes de fatigue chronique particulièrement aigus et durables justifiant des incapacités de travail de longues durées, certaines victimes terminant même en chaise roulante à des âges parfois très jeunes. Un de mes jeunes patients, âgé de 12 ans, s’est retrouvé en chaise roulante très peu de temps après sa 2e injection du vaccin Covid (c’est le hasard, lui a-t-on dit comme à tant d’autres victimes).

Le Docteur Cécile Andri s’est également exprimée sur ces effets secondaires lors d’une interview dans le cadre d’une manifestation contre l’obligation vaccinale du personnel soignant le 21 août 2021.

Je suis surpris que quiconque puisse lui reprocher de témoigner ce qu’elle constate comme dégâts chez ses patients.

Dans un tel contexte de nombreux effets secondaires graves, n’est-il pas du devoir de tout médecin d’informer la population des risques qu’elle court et d’inviter à la prudence ? Le principe de précaution et le devoir d’informer les patients ne sont-ils pas inscrits dans la Loi ?

Le discours officiel prétendant que le vaccin serait soi-disant « sûr et efficace » a pourtant largement montré qu’il n’était pas conforme à la réalité.

Mes confrères et moi sommes de plus en plus nombreux à ne pas comprendre votre acharnement à poursuivre tous les médecins qui se sont, pourtant très légitimement, exprimés sur les graves et fréquents effets secondaires qu’ils constataient chez leurs patients dans des délais très rapprochés après la vaccination.

Non seulement notre collègue, le Docteur Cécile Andri (et les autres médecins qui tiennent le même discours) ne fait que relayer ce qu’elle observe dans son cabinet médical. Mais de surcroît, ces observations sont confirmées par des dizaines d’études publiées dans les plus prestigieux journaux médicaux tels que le British Medical Journal, le Lancet… par les plus grands auteurs médicaux et épidémiologistes.

Des références scientifiques confirment que cet essai de thérapie génique à visée vaccinale est non seulement inefficace, entraîne de très nombreux effets secondaires au niveau cardiovasculaire, au niveau neurologique, au niveau cancérologique, etc., mais, en plus, qu’il engendre, dans certaines classes de la population, une efficacité négative : c’est-à-dire que la mortalité est augmentée chez les « vaccinés », en particulier chez les moins de 60 ans.

Deux pays (Taiwan et l’Australie) font déjà état d’un nombre de décès plus élevés à la suite du vaccin que par la maladie elle-même. Et depuis quelques jours, s’y ajoutent la Grande-Bretagne et Israël.
Vous trouverez ces études en annexe à ce courrier.

Loin d’être un médecin opposé au principe général de la vaccination, j’ai toujours assuré la promotion de tout vaccin qui satisfait les critères suivants :

— Les vaccins qui empêchent de contracter la maladie, car ils sont immunogènes
— Les vaccins qui empêchent la transmission
— Les vaccins qui ne présentent ni graves effets secondaires, ni décès, d’autant plus dans les catégories d’âge où il n’y avait pas de décès de la maladie elle-même (exemple : les enfants et ados)
— Les vaccins dont la protection dure pendant des années, voire davantage
En ce qui concerne les « vaccins » anti-Covid, aucun de ces critères n’est rencontré. Devoir injecter une substance tous les 3 mois(([7] Et selon une étude annexe : pas plus d’un mois de relative protection chez les adolescents.)) ne permet certainement pas d’utiliser la qualification de vaccin. Il s’agit tout au plus d’un médicament à l’efficacité et à la sécurité douteuses, dont la phase expérimentale se révèle être un échec manifeste. Cet essai de phase III à visée vaccinale devrait donc être immédiatement et définitivement arrêté.
De plus, avec une réinjection à périodicité rapide, on doit qualifier cette substance de traitement chronique et la législation concernant les vaccins ne s’y applique plus.

Je vous prie de bien vouloir prendre connaissance des sources annexées à ce courrier, afin de pouvoir comprendre toute la légitimité des propos tenus par notre consœur, le Docteur Cécile Andri, et par d’autres médecins ayant déjà dû rendre des comptes auprès de l’Ordre des médecins pour des propos similaires.

Au vu de la lecture de ces études scientifiques, un médecin qui ne mettrait pas en garde son patient contre cette expérience médicale à grande échelle — plus de 12 milliards de doses injectées (rappelons que nous sommes toujours en phase 3 jusqu’en 2023-24) — ne respecterait pas son devoir de conseiller son patient et d’agir dans le respect du principe de précaution. Il ferait défaut à son serment d’Hippocrate et au principe fondamental « Primum non nocere », « Avant tout ne pas nuire ».

Au vu de l’état actuel de la science, il me semble incontestable qu’un médecin, actuellement, qui ne mettrait pas en garde ses patients concernant cet essai thérapeutique manifestement dangereux(([8] J’ai naturellement le plus grand respect pour les principes d’essais cliniques en pharmacologie, ayant été moi-même un étudiant désargenté, impliqué en 3e, 4e, 5e année d’études de médecine en tant que cobaye volontaire à plusieurs reprises et ayant dû compléter un grand nombre de documents pour donner mon accord éclairé. Mais il me semble vital (et ceci relève du domaine pénal) que les essais cliniques de phase 3 soient suivis avec une comparaison placebo versus substance active, avec suivi des cobayes volontaires qui doivent, en toute légalité, avoir été préalablement informés des risques et informés qu’il s’agit d’une expérience médicale en cours. L’Ordre des médecins respecte-t-il ces obligations légales dans la manière dont il communique avec les médecins dans ce contexte ? Dans le cas de ce gigantesque essai massif sur toutes les catégories de la population, quel est le suivi effectué ? Mes patients vaccinés m’ont informé qu’ils n’ont fait l’objet d’aucun suivi par les Autorités pour savoir s’ils avaient subi des effets secondaires. Aucun. L’Ordre des médecins et les autres autorités médicales ne devraient-ils pas s’en alarmer et réclamer l’arrêt immédiat de cette expérience médicale de masse, manifestement dangereuse et non suivie. Au contraire, l’Ordre des médecins a choisi de poursuivre une véritable « chasse aux sorcières » contre les médecins de terrain qui osent communiquer sur les effets secondaires, les dégâts et les décès provoqués par cette expérience pratiquée de manière illégale. Votre responsabilité pénale pour tromperie, harcèlement, censure du débat scientifique et mise en danger de la vie d’autrui ne devrait-elle pas vous préoccuper davantage ?)), devrait être sanctionné.
Ne serait-ce pas là le véritable rôle positif que pourrait exercer l’Ordre en ce domaine ?

Votre rôle ne devrait-il pas assurer que nos confrères respectent des principes de prudence ? Ne devriez-vous pas rappeler le principe de la balance bénéfice/risque qui veut qu’on ne devrait jamais injecter un produit expérimental et manifestement toxique à un jeune adulte ou à un enfant alors que ceux-ci n’ont aucun risque de décéder de la Covid ?

Nous sommes nombreux à penser que l’Ordre devrait déconseiller de poursuivre cette expérience médicale sur les adultes sans comorbidité qui prennent de la vitamine D, du zinc, de la DHEA d’autant plus s’ils ont déjà fait la Covid et qu’en conséquence, leur risque de décéder de la Covid est pratiquement inexistant.

L’Ordre ne devrait-il pas rappeler qu’on ne donne pas de substances toxiques qui plus est inconnues (pour rappel, la composition de ces produits expérimentaux appelés vaccins n’est toujours pas divulguée) à des femmes enceintes ?

Même le paracétamol est maintenant prouvé comme étant toxique s’il est pris pendant la grossesse.
Comment l’Ordre autorise-t-il à utiliser les femmes enceintes comme cobayes ?

Ne devriez-vous par rappeler l’évidence qu’on ne vaccine pas contre une maladie un patient qui vient de faire cette maladie et qui, en conséquence, a déjà un taux très élevé d’anticorps ? Êtes-vous certains que de surstimuler leur système immunitaire ne présente aucun risque auto-immun ? En l’occurrence, on survaccine contre la souche initiale de Wuhan qui n’a plus cours depuis 2 ans (risque : réaction ADE) : on fait pire que bien en détournant le système immunitaire des variants actuels.

Aurait-on imaginé, il y a trois ans encore, que l’on puisse forcer toute la population à être les cobayes d’une expérience médicale qui n’est pas encore terminée, encore en phase III ?

N’est-il pas révélateur que, malgré que 90 % de la population soit « vaccinée », on n’ait jamais observé autant de cas de Covid qu’actuellement et que les pays les plus touchés soient les plus « vaccinés » ? !

C’est dans les pays les plus vaccinés que la mortalité « de cause inconnue » a le plus augmenté et que la « mort de cause inconnue » est devenue la première cause de mortalité depuis cette année…

Comme vous l’avez constaté, la mise sur le marché de ces « vaccins » a été faite sur la base uniquement d’études réalisées ou sponsorisées par les producteurs (marchands) de vaccins eux-mêmes… On passe d’une phase II à une phase III sur l’ensemble de la population induisant, dans les faits, une mise sur le marché forcée et illégale, les effets secondaires à moyen et à long terme ne sont pas étudiés correctement, ni pris en compte :

– Pas d’étude cancérologique à moyen/long terme,
– Pas d’étude sur l’émergence de maladies auto-immunes,
– Pas d’étude de modifications géniques réalisées
– Pas d’étude concernant la tératogénicité de cette nouvelle thérapie

Les médias et les experts qui s’y expriment et conseillent nos ministres souffrent de graves conflits d’intérêts (travaillant également pour l’industrie) et se contentent, sans aucune analyse complémentaire, de répéter béatement les chiffres de l’industrie :
– 95-96% prétendue efficacité du vaccin, avant leur arrivée sur le marché,
– Ces chiffres ont été revus à la baisse à 70%, puis à 50% de prétendue efficacité et ensuite 25-30% de prétendue efficacité contre les formes graves « n’empêche pas la maladie, mais empêche d’en mourir » (alors qu’en réalité ce sont les variants Omicron qui sont beaucoup moins mortels y compris chez les non-vaccinés).
– « ne protège pas dans la tranche d’âge avant 60 ans, mais uniquement les personnes âgées avec comorbidités » et aujourd’hui, même cette dernière affirmation est remise en cause selon les dernières études…
Comment pourrait-on reprocher à des médecins de faire état de ces vérités ?
Le débat scientifique n’est-il pas vital à la sécurité de la population et au progrès de la Science ?
Le débat citoyen n’est-il pas au cœur de la démocratie et de nos droits fondamentaux garantis par la Constitution ?

L’Ordre des médecins peut-il nier les évidences scientifiques, censurer, menacer et sanctionner les médecins qui témoignent de ce qu’ils constatent dans leurs cabinets médicaux ? L’Ordre des médecins peut-il piétiner le principe de précaution et la liberté d’expression ? L’Ordre des médecins est-il au-dessus de la Constitution et n’a-t-il aucune responsabilité pénale suite à cette censure, à cette propagande vaccinale excessive et à la mise en danger de la vie d’autrui engendrée par cette communication dogmatique et mensongère qui constitue manifestement de la tromperie, du chantage et de l’abus de pouvoir ?

Votre intention est-elle de continuer à persécuter tous les médecins qui soignent leurs patients atteints de la Covid avec d’autres traitements que le protocole incongru qui avait été imposé comme protocole officiel (les 3 « D » : « Dafalgan, Dyspnée, Décès ») ?
La prise en charge de la Covid est pourtant simple, permettant de diminuer très fortement les risques de complications, à condition de laisser les médecins traiter précocement.

En tant que médecin respectant le Serment d’Hippocrate, comme de nombreux de mes confrères, je conseille également à chacun de mes patients la plus grande prudence avant de choisir d’être cobaye d’une thérapie génique expérimentale à visée vaccinale de phase III.
Avez-vous l’intention de tous nous convoquer parce que nous osons respecter l’obligation d’informer les patients et le principe de précaution pourtant inscrits dans la Loi ?

Ne trouvez-vous pas qu’il aurait été opportun pour l’Ordre des Médecins, qu’il soit national ou provincial, d’envoyer un courrier à chacun de ses membres leur présentant ses plus plates excuses pour les avoir poussés à se faire « vacciner », pour leur avoir intimé l’ordre de promouvoir, sans réserve, ce vaccin expérimental auprès de leurs patients (non à risque de formes graves de la Covid) qui garderont, pour certains d’entre eux, des séquelles à vie suite à la vaccination ou qui en sont morts ou simplement qui croyaient le discours officiel que le vaccin serait soi-disant immunisant, les protégerait eux et leur entourage et qui ont le sentiment d’avoir été abusés et trompés ?

Au lieu de cela, plutôt que de faire profil bas, vous continuez à persécuter des médecins qui n’ont accompli que leur travail avec conscience et professionnalisme, des médecins qui écoutent et examinent leurs patients, qui lisent la littérature scientifique et qui tiennent compte des publications faisant état que ce « vaccin » est très peu efficace et crée beaucoup plus de dégâts et de morts que tous les autres vaccins réunis et commercialisés jusqu’à présent.

L’Ordre des médecins a-t-il la connaissance complète de la composition (toujours secrète à ce jour, semble-t-il) de ces injections expérimentales ? Sur le plan médical et scientifique n’est-il pas capital de connaître la composition complète d’un produit prétendument médicamenteux ?

Ces injections n’arrêtent pas la dissémination du virus, ne donnent pas d’immunité et n’ont pas du tout prouvé leur innocuité, au contraire. Le principe de précaution ne consiste pas à devoir prouver qu’un produit est dangereux, mais au contraire à devoir prouver qu’il n’est pas dangereux, avant de le vendre et de l’injecter massivement à une population saine.

Seul le respect du principe de précaution permet d’assurer la mise en œuvre effective du « primum non nocere » qui est le fondement de toute la déontologie médicale. « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. »

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations respectueuses.

Docteur Stéphane Résimont
Octobre 2022

Annexes 1 à 12  :

Annexe 1annexe 2annexe 3annexe 4annexe 5annexe 6annexe 7annexe 8annexe 9annexe 10annexe 11annexe 12.

N.D.L.R. : La lettre est datée du 7 septembre 2022.

Notes et sources




Myrotvorets, exécutions extrajudiciaires

Interview de Dominique DELAWARDE par un journaliste d’investigation

le 11 Octobre 2022

JLY : Avez-vous déjà rencontré des opérations identiques à celle de Myrotvorets montées par les services anglo-saxons avec l’OTAN ?

DD : Les exécutions extrajudiciaires, à titre préventif ou répressif, d’adversaires politiques ou de figures charismatiques du camp adverse ont toujours existé. Sans remonter à la secte des « assassins » qui a sévi du XIe au XIIIe siècle, l’exemple récent le plus emblématique reste celui du Mossad israélien qui, dès la création de l’État hébreu, s’est distingué dans la chasse aux criminels de guerre nazis, puis qui a étendu son action à la lutte contre les chefs de la résistance palestinienne, pour finir par abattre ou faire assassiner les principaux opposants à leur politique colonialiste d’apartheid dans le cadre d’un véritable terrorisme d’État.

À cet égard, lexcellent livre de Ronen Bergman sur le sujet des exécutions extrajudiciaire: « Lève-toi et tue le premier » mérite une lecture attentive.

Compte tenu des relations fusionnelles qui se sont établies, au fil du temps, entre le Mossad israélien, la CIA et le MI6, on peut aller jusqu’à dire que l’influence du service israélien a été déterminante dans l’utilisation toujours plus large de ce mode d’action par les services anglo-saxons et peut expliquer ce à quoi nous assistons aujourd’hui.

Ce qui est sans précédent aujourd’hui, c’est l’ampleur que prend ce mode d’action terroriste, son caractère ouvert et décomplexé, et la complicité active des gouvernements des grands pays occidentaux qui assurent le financement et l’impunité de Myrotvorets, et des assassins qui font le travail. On ne parle plus de quelques dizaines ou centaines de « cibles », elles se comptent désormais par dizaines de milliers. Elles ne sont pas localisées dans un pays ou une région du monde, mais sur la planète entière. « D’artisanale » dans un passé récent, l’exécution extrajudiciaire serait donc en train de devenir « industrielle ». C’est clairement devenu une arme de guerre pour l’OTAN, sous couvert aujourd’hui de son proxy ukrainien.

L’Ukraine ne pourrait pas, à elle seule, établir les listes d’opposants à abattre sur l’ensemble de la planète et gérer la collecte et la publication des données de chacune des cibles. On voit bien que derrière le Mossad, le MI6 et la CIA, derrière l’Ukraine et l’OTAN, se trouvent des commanditaires puissants. Pour en arriver à utiliser un terrorisme de masse afin d’atteindre leurs objectifs, les commanditaires sont probablement aux abois. Pour moi, il ne fait aucun doute que la diaspora néoconservatrice et mondialiste anglo-saxonne est à la manœuvre dans cette affaire.

JLY : Quels sont les buts poursuivis par les acteurs de Myrotvorets en faisant figurer sur leur site non seulement les noms et coordonnées de citoyens ukrainiens et russes, mais également de personnalités de différentes nationalités qui s’opposent à la guerre ?

DD : Cette guerre, chacun devrait l’avoir compris, ne concerne pas seulement l’Ukraine. C’est une guerre des gouvernances néoconservatrices et mondialistes des pays membres de l’OTAN qui souhaitent conserver leur hégémonie sur la planète contre une Russie souverainiste qui prône et défend la multipolarité et la souveraineté de chaque État et qui a compris depuis longtemps que son démembrement était à l’ordre du jour de l’OTAN.

Ce que les otaniens ne semblent pas avoir saisi, c’est que la Russie n’est pas isolée dans son combat pour la multipolarité. Elle dispose du soutien de nombreux États (dont celui de la Chine, de L’Inde, du Pakistan, de la Corée du Nord) puissances nucléaires, d’une large part de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine), mais aussi, au sein même des pays de l’OTAN, de nombreuses personnalités influentes, soucieuses de souveraineté, et opposées à l’unipolarité sous hégémonie anglo-saxonne.

Ce que les acteurs de Myrotvorets cherchent à faire, pour le compte de l’OTAN et des Anglo-saxons c’est de faire peur à ces « souverainistes » qui s’opposent aux projets néoconservateurs et mondialistes. Parvenir à les faire taire, ou même à les faire baisser d’un ton, contribuerait à affaiblir la position de la Russie.

JLY : Pensez-vous que les services ukrainiens disposent des compétences pour recueillir cet ensemble de données sur plusieurs centaines de milliers de personnes ?

DD : À l’évidence non. Seule l’alliance de grands services tels le Mossad, le MI6 et la CIA peut obtenir ce résultat grâce à ses antennes ou relais planétaires (sayanim pour le Mossad), mais aussi et surtout grâce à la complicité active de ceux qui contrôlent le numérique, Facebook et Google, entre autres, et grâce aux écoutes de la NSA, orientées sur les cibles les plus influentes.

Ce simple constat constitue un indice supplémentaire pour confirmer que, au-delà des services ukrainiens, la diaspora néoconservatrice et mondialiste anglo-saxonne est à la manœuvre au cœur et à la tête de Myrotvorets.

JLY : Depuis plusieurs années des associations, représentants d’organisations et d’institutions dénoncent les pratiques de Myrotvorets et interviennent pour exiger soit la suppression des données personnelles diffusées, soit l’arrêt de ce site qui relève de la cybercriminalité. Pourtant celui-ci continue son activité. Alors que l’Union européenne a fait interdire les médias russes Russia Today et Sputnik News dans ses pays membres depuis le mois de mars 2022, elle laisse en activité Myrotvorets qui désigne à la vindicte de groupes criminels des journalistes et personnalités sur une liste noire. Ce deux poids deux mesures ne vise-t-il pas à empêcher la diffusion des informations sur le terrible génocide opéré par le régime de Kiev contre les populations afin d’entretenir la fausse information de « l’agresseur russe » ?

DD : Le deux poids deux mesures est entré dans les gènes de l’OTAN depuis 1990, date à partir de laquelle les néoconservateurs US ont commencé à investir les sommets de l’exécutif états-unien, puis, progressivement, des exécutifs européens. L’excellent livre de Mearsheimer et Walt démontrant que le département des affaires étrangères US est totalement contrôlé par un lobby néoconservateur pro-Israël, mais aussi le simple examen des biographies et CV des personnalités en place aujourd’hui prouvent s’il en était besoin, ce noyautage des secteurs clefs de l’administration Biden par des néoconservateurs promus par l’AIPAC. (Départements des Affaires Étrangères, du Trésor, de la Justice et de l’Intérieur, Conseillers du Président US.)

Pour les néoconservateurs, partisans d’un nouveau siècle d’hégémonie US, tous les moyens sont bons pour atteindre leurs objectifs. Rappelons-nous le témoignage du général d’armée US Clark, ancien commandant en chef de l’OTAN, d’octobre 2007 dévoilant un plan US pour envahir 7 pays en 5 ans afin d’y provoquer des changements de régime.

Le côté très russophobe de ce plan apparaît clairement dans ce témoignage.

Rappelons-nous enfin la déclaration de Mike Pompéo, alors même qu’il était Secrétaire d’État :

« Lorsque j’étais directeur de la CIA, nous avons menti, triché, volé, c’était comme si nous avions reçu des stages de formation pour apprendre à le faire ».

https://www.france-irak-actualite.com/2020/04/mike-pompeo-et-l-arme-du-mensonge.html

Avec des individus du même acabit à la tête des gouvernances occidentales, disposant de l’appui de la finance, des médias et des GAFAM, on observe que la création et la diffusion de narratifs mensongers est devenue la règle. Cela a été vrai pour la gestion de la crise Covid, cela est vrai pour la guerre OTAN-Russie en Ukraine.

Pour rendre crédibles ces mensonges, il faut évidemment interdire tous les narratifs alternatifs, souvent plus convaincants, qu’ils émanent de l’adversaire ou même de son propre camp.

L’interdiction des médias russes, la création et le financement de Myrotvorets participent à cette stratégie de la sanction et du mensonge permanent. Les bienveillances étatiques à l’égard de Myrotvorets relèvent du terrorisme d’État et de méthodes totalitaires qui devraient être étrangères à l’Occident, tel qu’il s’était toujours défini jusqu’à présent.

Mais nous avons déjà pu observer l’application de ces méthodes lors de la gestion de la crise sanitaire. Nous avons pu voir aussi que les élites néoconservatrice et mondialiste occidentales n’hésitaient pas à s’allier avec le diable (Daesh ou Al Quaïda) en Syrie ou ailleurs pour parvenir à leurs fins ou à faire assassiner des leaders politiques ou militaires gênants du camp opposé (général iranien Qassem Soleimani). Chacun peut imaginer les cris d’orfraie que nous aurions entendus si un général US avait été assassiné dans les mêmes conditions.

La bonne nouvelle, c’est que ces méthodes sont aujourd’hui rejetées par une partie très majoritaire des populations et des États non otaniens de la planète entière. La petite élite néoconservatrice et mondialiste aura donc beaucoup de difficultés à faire triompher son plan, surtout depuis que la Russie de Poutine a pris les armes pour s’opposer à elle et à son projet et depuis qu’elle fédère autour d’elle des soutiens toujours plus nombreux.

JLY : Le conflit entretenu par les États-Unis sur l’Ukraine au cœur de l’Europe depuis le début des années 2000 après la succession de guerres qu’ils ont ouvertes à travers le monde et le bombardement de Belgrade en mars 1999 n’est-il pas le signe que les États-Unis, criblés de dettes et avec un dollar en perte de valeur continue, n’ont plus d’autre choix que la guerre totale pour retarder la fin de leur hégémonie ?

DD : Il faut rappeler ici que ce conflit a été initié et conduit par une petite élite qui a investi progressivement les rouages de l’exécutif états-unien : les néoconservateurs très liés à l’AIPAC (America Israël Public Affairs Committee) et donc à la Finance Internationale, aux médias mainstream US, au GAFAM et aux lobbies frères du monde entier. Les oligarques russes qui ont porté Vladimir Poutine au pouvoir en 1999 étaient liés à ces gens-là et espéraient que Poutine servirait leurs intérêts en les laissant racheter à bas prix, avec des capitaux avancés par leurs « frères US », tout ce qui pouvait rapporter de l’argent en Russie.

Manque de chance pour les oligarques russes, Poutine a fait passer les intérêts de son pays avant leurs intérêts personnels en les mettant au pas et en jetant les récalcitrants en prison.

Ceci peut expliquer, pour ceux qui ne le savaient pas, la russophobie exacerbée de la finance internationale, donc des néoconservateurs US, contre Poutine, perçu comme un empêcheur de dépecer en rond, par oligarques russes interposés, les ressources inépuisables de l’immense Russie.

Pour les oligarques états-uniens qui sentent bien que l’accroissement ininterrompu de la dette arrive à son terme, que le dollar imprimé sans mesure perd progressivement de sa crédibilité, l’échec du dépeçage pacifique de la Russie, dépeçage qui a parfaitement fonctionné en Ukraine, avec des oligarques liés à leurs frères états-uniens, les a conduits à envisager la solution plus radicale du conflit armé en multipliant les provocations contre la Russie.

Humiliés lors du bombardement de Belgrade, parce qu’ils ne pouvaient rien faire, les Russes et les Chinois ont préparé leur pays pendant plus de 20 ans à une confrontation qu’ils savaient inéluctable. Répondant aux provocations US-OTAN, et au moment qu’ils ont eux-mêmes choisi parce qu’ils s’estimaient prêts et que leur adversaire ne l’était pas, les Russes ont pris l’initiative le 24 février 2022. (([1] NDLR Cependant, Kiev était alors sur le point de lancer une attaque majeure contre le Donbass, ce qui fait qu’à ce moment particulier, la Russie n’était peut-être pas aussi prête qu’elle aurait voulu ou pu l’être avec davantage de temps disponible.))

Pour les néoconservateurs mondialistes anglo-saxons militant pour un monde unipolaire sous hégémonie US-OTAN pour un nouveau siècle, la guerre en Ukraine est un combat existentiel. Insolents, dominateurs et sûrs d’eux-mêmes, ces néocons US-OTAN n’ont pas compris qu’une Russie dirigée par Poutine ne laisserait pas faire. Ils ont cru, à tort, pouvoir isoler la Russie, en menaçant tous les pays de sanctions ou de représailles s’ils ne se rangeaient pas à leurs côtés. Ça n’a pas marché et le risque existe que leur jusqu’au-boutisme conduise à une escalade qui deviendrait incontrôlable.

Ces néoconservateurs « mondialistes » US-OTAN restent persuadés que la Russie cédera et qu’ils pourront la démembrer comme ils ont réussi à faire en ex-Yougoslavie. Pour eux, les choses sont simples : « la victoire ou la mort ». C’est l’esprit « Massada »… Et c’est dangereux, tant pour les populations US-OTAN qui n’ont rien demandé, que pour la planète.

JLY : En ouvrant ce conflit au cœur de l’Europe, les États-Unis ont réussi à diviser politiquement l’Europe. Au-delà de l’aspect politique et militaire, quelle analyse faites-vous des principales conséquences économiques et financières qui pourraient en résulter à long terme tant pour les États-Unis et l’Union européenne que pour les pays de l’OCS ?

DD : Les USA avaient deux objectifs dans cette ultime provocation de la Russie en Ukraine :

1er objectif :Créer les conditions pour interdire à l’UE tout rapprochement avec la Russie qui aurait pu déboucher sur une Europe puissante, « de l’Atlantique à l’Oural » pouvant leur faire concurrence. Cet objectif est parfaitement rempli. Cette guerre aura durablement détaché l’UE de la Russie. Elle aura réduit sa puissance économique, notamment celle de l’Allemagne, et donc accru son lien de dépendance à l’égard des USA. Les néoconservateurs US n’auront donc pas tout perdu.

2e objectif : Isoler diplomatiquement, politiquement, économiquement et militairement la Russie pour la soumettre et la démembrer. C’est un échec. Le résultat va même revenir en boomerang contre l’occident global (US/OTAN+).

Sur les plans diplomatique et politique, des soutiens à la Russie se sont manifestés dès le début de l’opération. De grands pays comme la Chine, l’Inde, le Pakistan, trois puissances nucléaires, se sont abstenus de sanctionner la Russie. Une large part des pays africains (dont l’Afrique du Sud et le Maghreb), d’Amérique latine (dont le Brésil, l’Argentine, et le Mexique) et asiatiques se sont abstenus également. Pire, les grandes organisations internationales créées à l’initiative de la Russie et de la Chine ont vu affluer les candidatures. L’Argentine, l’Indonésie et quelques pays du Golfe, dont l’Arabie Saoudite, se sont portés candidats pour une adhésion au BRICS et pas moins de quinze candidatures ont été enregistrées pour une adhésion à l’OCS.

Ces candidatures, à ce moment particulier de l’histoire, sont un véritable camouflet et un geste politique de défiance envers le mondialisme unipolaire proposé par l’occident US-OTAN qui ne compte guère que 12 % de la population de la planète. Elles sont aussi le signe que le monde US-OTAN n’impressionne plus grand monde et que de nombreux États n’hésitent plus à se positionner contre l’unipolarité, malgré les menaces de sanctions. Elles auront un effet d’entraînement sur d’autres pays provoquant une perte d’influence et de confiance à l’égard du monde unipolaire sous hégémonie US-OTAN.

Sur le plan économique, le G7 aura perdu, dès 2022, la suprématie économique en parité de pouvoir d’achat au profit des BRICS qui pourraient être rejoints dès 2023 par l’Argentine, l’Indonésie, l’Iran et l’Arabie Saoudite aggravant ainsi la perte de suprématie économique des occidentaux.

Les prévisions du FMI du 11 octobre 2022 qui figurent ci-dessous confirment l’évolution en cours. Elles sont d’ailleurs probablement, comme chaque année, surestimées pour le G7 et sous-estimées pour les BRICS. Seul le vrai bilan de fin d’année 2022 fera foi.

Prévisions FMI d’octobre 2022 pour le G7 Prévisions FMI d’octobre 2022 pour les BRICS
Pays PIB en milliards de $ nominal PIB en milliards de $ PPA Pays PIB en milliards de $ nominal PIB en milliards de $ PPA
USA 25 040 25 040 Chine 20 260 30 070
Japon 4 300 6 110 Inde 3 470 11 670
Allemagne 4 030 5 320 Russie 2 130 4 650
UK 3 200 3 780 Brésil 1 890 3 780
France 2 780 3 690 Afrique du Sud 412 950
Italie 2 000 3 020 Indonésie (candidate) 1 290 4 020
Canada 2 220 2 240 Argentine (candidate) 631 1 210
Total 43 570 49 200 30 083 56 350

La bascule a donc eu lieu et la tendance est à l’aggravation du déclin pour l’occident US-OTAN et à la croissance de la puissance pour les BRICS, tout comme pour l’OCS d’ailleurs. Le différentiel de croissance, déjà très en faveur des BRICS et de l’OCS et les déboires économiques et financiers de l’occident consécutifs à la guerre menée contre la Russie devraient permettre aux BRICS et à l’OCS de creuser rapidement l’écart.

Ces organisations pourront très bien désormais établir leur propre système économique et financier et une organisation commerciale en s’affranchissant progressivement du dollar et en payant en monnaie nationale. C’est donc le début de la fin de l’hégémonie du dollar. La fin de l’hégémonie US suivra.

Un très récent sondage « Yougov », organisme plutôt très complaisant avec l’administration Biden, indique que 50 % des citoyens états-uniens pensent que leur pays perdra son statut de superpuissance avant 2030 et que 47 % d’entre eux évoquent l’imminence d’une guerre civile dans leur pays.

Enfin sur le plan militaire, si l’OTAN aide l’Ukraine par des livraisons d’armes, du renseignement et des conseillers, la Russie s’est déjà vue offrir des services que ce soit en effectif par la Corée du Nord ou en drones par l’Iran. Si la guerre devait dégénérer, il serait improbable que la Chine, prochaine cible désignée de l’OTAN, choisisse le camp atlantiste.

On peut rappeler d’ailleurs qu’en première semaine de septembre 2022, en pleine opération spéciale, la Russie a organisé les manœuvres militaires Vostok 2022 auxquelles participaient 50 000 soldats 140 avions et 60 navires de quatorze pays dont 3 puissances nucléaires (Chine, Russie, Inde).

Enfin, il faut rappeler à ceux qui, pour se rassurer, comparent les budgets de défense en dollar nominal, et concluent que les USA sont et restent les plus puissants, que la comparaison qu’ils font n’a aucun sens.

Les armées chinoises ou russes n’achètent pas leurs matériels et ne payent pas leurs personnels en dollars, mais dans leurs monnaies nationales. Dès lors, seules les comparaisons en parité de pouvoir d’achat (PPA) sont pertinentes. Et l’on s’aperçoit qu’avec l’entrée de l’IRAN dans l’OCS et le facteur PPA, la parité des budgets OTAN et OCS est quasiment réalisée à un niveau supérieur à 1000 milliards de dollars/PPA.C’est une donnée complètement occultée.

La puissance économique des pays BRICS et OCS progressant plus vite que celle des pays occidentaux, les budgets de défense suivront et l’écart se creusera désormais au profit de ces pays. Tout peut aller très vite d’autant qu’un élargissement de ces deux grandes organisations est à l’ordre du jour et qu’un effondrement économique de l’occident global n’est pas à exclure.

Cette guerre OTAN-Russie ne peut, en aucun cas être gagnée par l’OTAN. Elle n’est pas prête à la faire autrement qu’en paroles ou en communiqués. Après trente années de désinvestissement, l’OTAN n’a ni les personnels, ni les matériels, ni les munitions, ni les réserves, ni la disponibilité technique opérationnelle, ni l’entraînement, ni le soutien suffisant des populations, ni la résilience économique et sociale, pour entreprendre et gagner une guerre de haute intensité contre la Russie et ses très puissants soutiens.

La Russie peut donc prendre son temps, car le temps va jouer en sa faveur en précipitant l’occident global dans des difficultés économiques et sociales et dans de fortes divisions, voire un effondrement des gouvernances en place. Ainsi, l’alternance politique récente en Suède et en Italie, la chute de deux Premiers ministres britanniques, le désaveu cinglant qui se prépare pour Biden aux élections de mi-mandat ne sont que les prémices d’une période d’instabilité, de crise et de déclin qui va frapper l’occident tout entier dans les prochains mois.

La messe est dite.


Conférence de presse tenue par Vladimir Poutine le 22 octobre

Ce qui frappe et même impressionne, c’est la sérénité et la détermination qui émanent du personnage. Il n’exprime pas la moindre haine à l’égard de son adversaire otanien. Son attitude tranche avec l’hystérie, la russophobie et l’agitation stérile qui caractérisent les discours politiques et médiatiques occidentaux.

Dominique DELAWARDE

https://youtu.be/DigJBh8Dv2w