La querelle sur la reconnaissance de l’identité sexuelle en Écosse a révélé certains éléments particulièrement toxiques

[Source : tradfem]

Il existe bien sûr des personnes transgenres, mais la violence masculine existe aussi, et des dispositions doivent être prises pour protéger les femmes de cette violence dans la mesure du possible.

Par Suzanne Moore, sur son blog le 24 janvier 2023

La députée Kirsten Oswald et le député Kaukab Stewart
devant de violentes pancartes antiféministes lors d’une manifestation à Glasgow.

Ces derniers temps, lorsque quelqu’un appelle mon nom dans la rue ou se précipite vers moi, je sursaute. Je reçois tellement de menaces pour ma position « critique du genre » que mon cœur commence à battre la chamade. Cette personne est-elle celle qui fera ce que tant de personnes ont menacé de me faire ? Me frapper à la gorge, me décapiter, me brûler vive, et d’autres choses que je ne peux pas écrire ici.

Je suis heureuse de vous dire que les gens qui m’abordent ainsi sont presque toujours de jeunes hommes et femmes qui veulent juste me dire : « Continuez. Ne lâchez pas. » Une idée répandue aujourd’hui est que tous les moins de 30 ans sont acquis au culte de l’idéologie du genre, et je suis ici pour vous dire que ce n’est pas le cas.

Lorsqu’une idéologie devient dominante — comme celle des gens qui déclinent l’alphabet LBGTQ, etc. au nom de leurs multiples identités et pronoms — on voit bien sûr, beaucoup de gens la remettre en question. Les lignes de bataille sont tracées — les femmes d’âge moyen qui se souviennent de la mobilisation de Greenham Common en viennent à affronter les hipsters(([1] Adolescent ou jeune adulte urbain affichant des goûts culturels qui se veulent à contre-courant de la culture de masse.)) cool qui pensent que les hommes qui se prennent pour des femmes ne peuvent jamais représenter une menace, et que de jeunes enfants peuvent consentir à changer de sexe à huit ans ; ces personnes prolifèrent dans les médias sociaux, mais pas tellement dans le monde réel.

La grande majorité d’entre nous soutient les personnes transgenres qui vivent de la dysphorie sexuelle et en souffrent. Il s’agit d’un très petit nombre de personnes. Mais l’appropriation des sports réservés aux femmes, des lieux qui leur sont réservés, telles leurs prisons et leurs maisons d’hébergement, ainsi que la subversion de nos propres mots n’ont pas pour but de faire en sorte qu’un groupe marginalisé se sente mieux, mais de donner aux hommes toujours plus de pouvoir et la capacité de briser toutes les frontières que les femmes se sont battues pour créer.

Si, comme moi, vous avez vu de soi-disant transactivistes intimider des femmes, en assiégeant les portes de salles de conférence, en bloquant des entrées, souvent le visage masqué, vous avez constaté une violence sexuelle. Et ce sexe est masculin.

Superficiellement, tout le monde se dit terriblement préoccupé par la violence infligée aux femmes. Quelle imposture ! Nos services de police sont truffés d’agresseurs. L’échec patent des services de poursuite pénale la Couronne indique que le viol a pratiquement été décriminalisé au pays. Et, bien que la plupart des violences conjugales se déroulent « en privé », les plus récentes menaces à l’encontre des femmes ont eu lieu en public. Les preuves de cette dérive se retrouvent partout.

L’éminente écrivaine JK Rowling est depuis longtemps l’objet de terribles menaces. La députée travailliste Rosie Duffield a subi le même traitement indigne, comme beaucoup d’autres personnes. Lorsque les Communes britanniques ont discuté de la décision du gouvernement de faire opposition au projet de loi du Parlement écossais sur la réforme de la reconnaissance du sexe, un député travailliste écarlate a pointé du doigt une députée, puis a traversé la Chambre pour l’intimider de plus près. Elle soutenait simplement les droits légaux des femmes à certains espaces non mixtes. Ce geste est maintenant considéré comme une preuve patente de « transphobie ». Hé, les travaillistes, essayez de dire cela à vos électeurs musulmans et juifs ! On verra où s’arrête votre prétendue inclusivité…

L’affrontement au sujet du certificat écossais de reconnaissance du sexe a révélé certains éléments particulièrement toxiques. Rien de tout cela n’est nouveau ; en 2019, des militants transactivistes ont fait exploser une bombe fumigène à côté d’un meeting tenu à Grenfell, provoquant une énorme détresse. Les réunions de l’organisation Woman’s Place font toujours l’objet de manifestations hostiles et les femmes doivent se réunir en secret. Des projections de films sont arrêtées par des hommes bruyants, barbus et déguisés en femmes. Comme nous le savons, des professionnelles perdent leur emploi à cause de cette question et certaines se voient conseiller de faire personnellement appel à une agence de sécurité. Pour avoir dit quoi ? Que la biologie est une réalité.

Ce délire pourrait être réduit d’un cran si toutes ces formes d’intimidations étaient condamnées. Keir Starmer, le leader du parti travailliste, pourrait le faire, les syndicats pourraient le faire, les vice-chanceliers des universités pourraient le faire. Ces institutions sont-elles satisfaites de la situation ? Pour l’amour de Dieu, ne prétendez pas que les torts sont partagés. Les femmes ne menacent pas les personnes transgenres. Le mantra selon lequel débattre de nos droits légaux équivaut à nier leur existence est absurde. Il existe bien sûr des personnes transgenres, mais la violence masculine existe aussi, et des dispositions doivent être prises pour protéger les femmes de cette violence dans la mesure du possible.

Des politiciens du Scottish National Party ont joyeusement posé pour des photos avec des manifestants portant des pancartes où l’on pouvait lire « Décapitez les TERF ». Oh, ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient ? Eh bien, « Ouvrez les yeux » est tout ce que je peux vous dire. Vous ne rendez pas du tout service aux personnes transgenres, car la plupart de ces activistes sont des types qui ont simplement trouvé un nouveau canal pour exprimer leur misogynie et qui se paient un frisson bon marché en portant des sous-vêtements féminins pour le faire.

Je pose régulièrement quelques questions à ces personnes. Qu’est-ce que « l’identité de genre » ? Quand a-t-elle été inventée ? À quel âge se manifeste-t-elle ? En quoi diffère-t-elle des rôles sexuels stéréotypés ? Combien d’argent certaines entreprises peuvent-elles accumuler avec ces chirurgies et la prescription d’hormones à vie ? Pourquoi les hommes qui s’identifient comme femme ont-ils besoin de mettre les femmes mal à l’aise ? Que se passe-t-il lorsque l’on veut avoir un enfant et que l’on a été rendu stérile ou que l’on n’a plus d’utérus ? Faut-il simplement en louer un ? La maternité de substitution est-elle la prochaine étape de la déshumanisation des femmes ? Je n’ai pas encore reçu de réponses.

La colère inouïe de certains transactivistes me rappelle le mouvement masculiniste ; ils veulent ce que les femmes ont et cela exige l’accès à chacune d’entre nous. Face à cette offensive, je constate encore une énorme lâcheté. La peur d’être traité de « transphobe » nous impose le silence. Mais Silence = Mort, comme nous avions l’habitude de dire lorsque nous faisions campagne contre le sida.

Je suis fière de vivre sur notre « Île des TERFS », où la pensée critique est encore autorisée et où nous n’avons pas à nous plier à ce que les hommes nous disent. Nous sommes là pour le long terme et si certains politiciens ne le reconnaissent pas, nous ne les reconnaîtrons tout simplement pas — quelle que soit leur identité.

Suzanne Moore

Version originale : https://www.telegraph.co.uk/columnists/2023/01/24/trans-activists-giving-men-even-power-women/

Traduction : TRADFEM

Toute reproduction fidèle sur vos sites est fortement encouragée.




Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant

[Sources : halteaucontrolenumerique.fr et Anthony Brun-Maestroni]

Anthony Brun est un jeune ingénieur qui a dû changer de profession, déménager et changer de vie suite à la découverte de son électro-hypersensibilité. Il a donc décidé d’alerter sur les effets biologiques des champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, utilisation du portable, etc.) par le biais de conférences gesticulées.

Nous sommes de plus en plus soumis à des ondes. Quels effets cela entraîne-t-il pour nous ? Nous manquons d’informations sur leurs effets cumulés. On voit de plus en plus de personnes devenir électro-hypersensibles et être soumises à une vie devenue extrêmement difficile (voir situations de Virginie et Marie-Jeanne).


À l’heure du déploiement sans consultation de la 5 G en France et dans le monde, de la multiplication des antennes-relais et des satellites, de la croissance exponentielle du recours aux objets connectés, il est plus que nécessaire de se poser la question des effets de l’electrosmog sur la santé.

À travers son parcours d’ingénieur devenu électro-hypersensible (EHS), Anthony partage le fruit de ses recherches sur ces effets nocifs qui sont passés sous silence.

Les ondes électromagnétiques, du simple courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5 G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, le Wi-Fi, etc. présentent un risque sanitaire pour les EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.

Liens vers les principales sources citées pendant la conférence :

— Annie Lobé, La fée électricité : fée ou sorcière ? Santé Publique éditions (http://www.santepublique-editions.fr/livre-la-fee-electricite-par-Annie-Lobe-9782916653020.html)

— Rapport BioInitiative (https://bioinitiative.org/table-of-contents/)

— Résolution 1815 de Conseil de l’Europe (https://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994)

— Arthur Firstenberg, L’arc-en-ciel invisible, éditions Ambre (https://editions-ambre.fr/boutique/sante/larc-en-ciel-invisble/)

— Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

Enregistrement du 22/10/2022 à Figeac.

Remerciements à Martin Colmant pour l’enregistrement et le montage. Remerciements également à Marie et Simon pour leur accueil le jour de l’enregistrement.

Musique du générique : AYEMA — Gardiens du vivant (https://www.youtube.com/watch?v=I2yqkD38-Z0)





Comprendre la magouille vaxinale anticovid en 3 minutes

[Voir aussi :
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vandana Shiva expose l’agenda des milliardaires dans son dernier livre
La stratégie globale de BlackRock
Black Rock : un problème majeur pour l’humanité
Qui possède le monde ?
Les 4 firmes qui possèdent les USA]




Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




Plus de deux millions de Français ont manifesté dans la rue contre cette réforme imposée par Bruxelles : aidons-les en signant la pétition

Par Nicole Delépine

[Source de l’illustration : ici]

Près d’un million ont déjà signé cette pétition contre la réforme des retraites

Diffusons-la largement : plus le nombre de signataires sera élevé plus il sera difficile de ne pas tenir compte de l’opposition des Français à ce nouvel ukase de Bruxelles :

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale-reformesdesretraites

« Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.

Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l’indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Ce projet gouvernemental n’a rien d’une nécessité économique, c’est le choix de l’injustice et de la régression sociale.

Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.

D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

Vos données ne feront l’objet d’aucune collecte, ni d’aucun traitement de notre part.

La demande de don faisant suite à la signature de cette pétition n’émane pas des organisations syndicales, mais de la plateforme change.org sur laquelle est hébergée celle-ci. »

VIERZON

Soulignons que les comparaisons avec d’autres pays n’ont qu’un sens très relatif, car depuis le management à l’américaine et l’alignement de nos politiques derrière l’UE les conditions de travail sont devenues insupportables en 30 ans. D’ailleurs les Suédois qui ont reculé l’âge de la retraire conseillent fortement à E Macron de ne pas suivre leur exemple1.

Pourquoi ne pas tenir compte de l’avis des millions de personnes descendus dans la rue crier leur désarroi face à la politique globale, les retraites, mais aussi contre le cinéma covid qui a cassé les Français et les petites entreprises et évidemment la position guerrière du président sans consultation ni de la population par référendum, ni nos représentants élus au parlement.

Quant aux médias hypocrites ou corrompus qui prétendent que seul le parlement aurait le droit de s’exprimer, cet argument est caduc devant le navrant spectacle des députés évoquant les discussions de cour d’école maternelle telles que : « je ne voterai pas ta motion de censure parce qu’elle vient du RN alors que la mienne (identique) ne peut pas être soumise »

Et les récentes élections partielles où les disputes partisanes entre RN et NUPES ont permis la réélection d’une députée macroniste favorable à la guerre montrent bien qu’il n’y a pas grand-chose à attendre des partis politiques actuels, qui restent dans leur petit monde de disputes enfantines, alors qu’une guerre nucléaire nous menace.

L’énorme majorité des Français l’ont compris d’où ces cortèges immenses dans toutes les villes petites ou grandes contre cette réforme bruxelloise et demain espérons-le contre la guerre qui risquerait d’effacer une grande partie du monde et l’Europe aux premières loges avec les politiques guerrières des gouvernements allemand et français contre l’avis majoritaire de leurs peuples.

LES FRANÇAIS SE RÉVEILLENT ENFIN

AIDONS-LES PAR TOUS LES MOYENS EN FONCTION DE NOS POSSIBILITÉS : manifestations, tracts, informations sous toutes ses formes, directes, humaines ou via réseaux faute de mieux

Et les jeunes sortent de la léthargie de la crise covid et comprennent l’enjeu des réformes de Bruxelles accumulées :

Quel bonheur d’entendre cette lycéenne calme et déterminée faire le lien entre tous ces moyens détournés du gouvernement pour finir de détruire la société civilisée dont nous profitions, même si depuis des décennies la destruction de nos services publics s’est accélérée insidieusement dans le silence des médias et des peuples.

Nous étions endormis globalement dans le confort du quotidien (quoique relatif pour certains) doublé de la trahison des partis qui suffisait à éteindre les incendies locaux (fermeture de maternité, etc.. 2

DES CENTAINES DE MANIFESTATIONS TROUVENT ÉCHO SUR TWITTER ET AUTRES RÉSEAUX SOCIAUX

La colère monte, la loi retraites doit être retirée, les injections géniques inefficaces et mortifères stoppées et le combat pour la Paix s’intensifier avant la catastrophe.





Brésil — Projet de loi qui prévoit l’emprisonnement pour ceux qui doutent des vaccins

[Source : echelledejacob]

Six projets de loi au Congrès criminalisent tout, depuis les files d’attente pour recevoir un vaccin jusqu’aux personnes qui diffusent de « fausses nouvelles » sur le fonctionnement des vaccins.

Rédigé par le sénateur Angelo Coronel (PSD), le PL 5555/2020 prévoit l’inclusion dans le Code pénal d’une peine d’emprisonnement d’un à trois ans pour les personnes qui omettent ou s’opposent à la vaccination obligatoire des enfants ou des adolescents dans une « urgence de santé publique ». 

Le projet criminalise également, avec une peine de deux à huit ans de prison, les personnes qui refusent de prendre les doses obligatoires de vaccins. La même peine s’applique également à ceux qui diffusent de « fausses nouvelles » sur les vaccins ou leur fonctionnement.  

Si l’individu est un employé public, la peine est doublée. Le PL a vu ses procédures mises à jour en décembre 2022. À l’époque, il est passé par le Secrétariat législatif du Sénat fédéral et a vu sa continuité confirmée. La proposition a de nouveau été discutée sur les réseaux sociaux ce mois-ci lorsque le site Internet du Sénat a mené un sondage sur le projet de loi. La proposition a été rejetée par 92% par les personnes qui ont répondu aux questions.  

En avril 2021, le sénateur a demandé que sa proposition soit traitée en tant que PL 25/2021 par le membre du Congrès Fernando Rodolfo (PL/PE). La proposition de Rodolfo criminalise la coupure en ligne pendant la vaccination avec une peine de deux à cinq ans et une amende. De plus, le député qualifie le détournement de fournitures médicales de crime, passible de cinq à 15 ans de prison. L’infraction est aggravée si elle est commise par un agent public. La demande d’Angelo a été acceptée et les deux propositions sont traitées ensemble. 

[…]

Source




Sortir du piège idéologique du « Droit à l’IVG »

[Source : valeursactuelles.com]

La commission des lois du Sénat a rejeté pour la deuxième fois le 25 janvier l’ajout d’un droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution. Alors que le scrutin en séance publique le 1er février s’annonce serré, Grégor Puppinck, docteur en droit et directeur de l’ECLJ, invite les sénateurs à sortir du piège idéologique du « droit à l’IVG ».

Par Grégor Puppinck

Manifestation pour le droit à l'avortement, le 2 juillet 2022, au Mans. Photo © GILE Michel/SIPA
Manifestation pour le droit à l’avortement, le 2 juillet 2022, au Mans. Photo © GILE Michel/SIPA

De « mal toléré », les promoteurs de l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) sont parvenus à faire de l’avortement un symbole politique, un dogme, au point qu’il est impossible pour un responsable politique d’exprimer un doute ou un questionnement sans être aussitôt condamné. Même les initiatives visant à aider les femmes à éviter l’avortement sont dénoncées comme autant de remises en cause de ce « droit sacré ». C’est ce piège idéologique qui est en train de se refermer sur la France, avec le verrou de la Constitution. Si ce verrou est refermé, l’IVG deviendra officiellement une valeur de la République.

À LIRE : Droit à l’IVG dans la Constitution : la grande mascarade

Il est possible et nécessaire de briser ce dogme, de sortir de ce piège idéologique en replaçant l’IVG sur le terrain qui devrait être le sien : celui, humain et concret, de la politique sociale. C’est sur ce seul terrain qu’un réel progrès peut être accompli pour la condition des femmes, le respect de la vie humaine et le bien du pays.

Ne nions pas les conséquences de l’avortement

L’avortement pose des problèmes à plusieurs niveaux. Il y a d’abord l’atteinte à la vie de l’enfant, ce qui est bien sûr le problème le plus grave. La société ne devrait pas s’habituer à ce flot incessant d’enfants sacrifiés. Il y a ensuite les atteintes causées par l’avortement à la santé des femmes et des couples. Selon un sondage de l’IFOP de 2020, 92 % des femmes déclarent que l’avortement laisse des traces difficiles à vivre, elles sont 96 % chez les 25-34 ans.

L’avortement est un acte traumatisant pour de nombreuses femmes, cela est largement prouvé par les études statistiques. Outre les troubles physiques pour la femme et les futures grossesses, l’avortement provoque aussi des troubles psychologiques : des dépressions et des idées suicidaires, notamment chez les jeunes. Ainsi, 42 % des femmes qui ont avorté avant l’âge de 25 ans souffrent de dépression. Le taux de suicides est multiplié par 6,5 chez les femmes ayant avorté par rapport à celles ayant accouché. La moitié des femmes mineures qui ont subi un avortement souffre de pensées suicidaires. Les femmes qui ont avorté ont aussi trois fois plus de risques de subir des violences physiques, mentales ou sexuelles que les femmes qui ont mené leur grossesse à terme. L’avortement affecte aussi les hommes : ils sont 40 % à vivre une détresse psychologique forte à cette occasion. Et 22 % des couples se séparent suite à un avortement.

L’avortement médicamenteux pose des problèmes supplémentaires car il est particulièrement éprouvant et douloureux pour les femmes, qui, de plus en plus, avortent chez elles sans assistance. Imaginer ces milliers de jeunes filles qui se tordent de douleur et perdent leur sang en cachette dans les toilettes est abominable. Les saignements peuvent durer une quinzaine de jours. En France, l’avortement médicamenteux peut être entièrement réalisé en téléconsultation. Au-delà, l’avortement a des conséquences pour toute la société, notamment démographiques.

Beaucoup plus d’avortements en France que chez nos voisins

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. En moyenne, l’avortement prive la France d’environ 220 000 naissances par an depuis 47 ans, soit plus de 10 millions d’enfants.

La France a beaucoup plus d’avortements que ses voisins, tant en nombre absolu que relatif (c’est-à-dire indépendamment du vieillissement de la population). 223 300 IVG ont été réalisées en France en 2021 contre 99 948 en Allemagne, 88 269 en Espagne et 66 400 en Italie en 2020. En valeurs relatives, selon Eurostat et l’INED, 298 avortements ont été réalisés pour 1000 naissances en France en 2020, contre 129 en Allemagne et 125 en Suisse. C’est plus du double toutes proportions gardées.

En France, ces avortements sont moins compensés par les naissances, car celles-ci diminuent alors que l’IVG reste très élevée. En 2022, la France a connu le solde naturel le plus faible depuis 1946 (+ 56 000) en raison de la baisse des naissances à 723 000 (selon l’INSEE). L’une des conséquences est le vieillissement de la population : la part des plus de 65 ans augmente et atteint 21,3 % de la population en 2022. En 2022, l’indice de fécondité, c’est à dire le nombre moyen d’enfant par femme a encore baissé, pour atteindre de 1,8. Il est globalement inférieur à deux enfants par femme depuis 1975, année de légalisation de l’avortement. C’est l’immigration qui contribue à présent « pour près des trois quarts à la hausse de la population » selon l’INSEE.

Si l’IVG baissait de 50% en France — ce qui est faisable, comme nous allons le voir — l’indice de fécondité repasserait la barre des deux enfants par femme, et cela serait très bénéfique pour la société. Mais ce n’est pas la direction prise actuellement.

L’avortement, subi bien plus que choisi

Toute les mesures visant à aider les femmes et les couples à éviter l’avortement ont été supprimées depuis la loi Veil : le délai de réflexion, la consultation psycho-sociale obligatoire pour les majeures, l’indication systématique des aides disponibles aux femmes enceintes, et même le délit « d’incitation à l’avortement » a été abrogé alors qu’il protège les femmes contre les pressions, graves et fréquentes. Toutes les mesures visant à prévenir l’IVG ont été supprimées, au motif qu’elles constitueraient des obstacles à l’IVG, qu’elles stigmatiseraient les femmes. Pourtant, ce n’est pas le rejet social de l’IVG qui cause la souffrance des femmes, mais l’IVG elle-même : ce sera toujours un acte violent qui met fin à une vie. Il est impossible de « normaliser » l’IVG, même en l’inscrivant dans la constitution, cela ne change rien à la nature de l’acte.

La réalité sociale montre que l’avortement n’est pas une liberté, ni un véritable “droit”. Le plus souvent, l’avortement est subi, et non choisi. En effet, selon l’Institut Guttmacher, 75 % des femmes qui ont eu recours à l’avortement indiquent y avoir été poussées par des contraintes sociales ou économiques.

Il faut dire d’emblée que la principale cause de l’avortement n’est pas tant la grossesse elle-même, que le contexte dans lequel elle se produit. Car la même femme placée dans des circonstances plus favorables n’aurait pas recours à l’avortement. Ce sont ces circonstances, ces contraintes sociales ou économiques qui déterminent la décision d’avorter.

Déterminisme social de l’avortement

Les statistiques démontrent le déterminisme social de l’avortement : plus une femme est pauvre et isolée, plus elle a de risques de subir un avortement et d’en souffrir psychiquement. Les femmes seules ont un risque supérieur de 37 % à celui des femmes en couple de subir un avortement. De même, les femmes faisant partie des 10 % les plus pauvres ont un risque supérieur de 40 % de subir un avortement par rapport aux 10 % les plus riches, à groupe d’âge et situations conjugales identiques (selon la DRESS). La situation est similaire en Angleterre où les femmes qui vivent dans les zones les plus pauvres ont plus de deux fois plus de risque d’avorter que celles qui vivent dans les quartiers riches. Selon le sondage IFOP précité, la moitié des femmes françaises déclare que la « situation matérielle » constitue « l’influence principale qui pousse une femme à recourir à l’IVG ».

Pour ces femmes, pauvres et seules, l’avortement n’est pas une liberté ! D’ailleurs, les personnes les plus modestes sont moins favorables à l’avortement que les plus aisées. Le soutien à l’IVG est aussi plus faible parmi les plus jeunes : 30% des 18 à 24 ans sont contre l’avortement, contre seulement 8% parmi les plus de 65 ans (Fondation Jean Jaurès, 2022). La leçon de ces statistiques, c’est que plus on est exposé à subir un « avortement contraint », moins on y est favorable.

Il est possible de réduire le recours à l’IVG, sans même en restreindre les conditions d’accès

Pourquoi la France, contrairement aux autres pays européens, ne tente pas de réduire le recours à l’IVG ? En France, le recours à l’avortement est parmi les plus élevés d’Europe, et il ne diminue pas, à la différence des autres pays européens. Nous sommes passés de 202 180 en 2001 à 232 000 avortements en 2019 (DRESS). Nous sommes à un maximum jamais atteint. À l’inverse, le recours à l’avortement baisse considérablement chez nos voisins. Depuis 2000, il a été réduit de moitié en Italie (de 135 133 à 66 413), et il est passé de 134 609 à 99 948 en Allemagne (Eurostat). Cette baisse n’est pas due au seul vieillissement de la population car le taux d’avortements par naissance a baissé considérablement, en passant de 150 à 129 avortements pour 1000 naissances en Allemagne, et 195 à 162 avortements pour 1000 naissances en Italie, entre 2013 et 2020. En France, il reste autour de 300 avortements pour 1000 naissances (INED).

En Hongrie, le recours à l’avortement a été divisé par deux entre 2010 et 2021, passant de 40 450 à 21 900 avortements par an. Cela n’est pas dû au vieillissement de la population, car le taux d’avortement par femme en âge de procréer a baissé de plus de 42% sur cette période (passant de 16,9, à 9,8 avortements pour 1000 femmes).

Cette baisse est la preuve qu’une politique de prévention et d’aide aux femmes et aux couples permet, en quelques années, de faire chuter le recours à l’IVG sans même en restreindre ses conditions d’accès légales.

Une politique de prévention serait consensuelle

L’avortement est mauvais pour les femmes, pour les couples, pour les professionnels de santé et pour tout le pays, alors pourquoi le promouvoir quand il est possible de mener une politique de prévention ? D’ailleurs, c’est ce que veulent les Français. Selon le sondage Ifop précité, 73 % des Français estiment que la société devrait aider les femmes à éviter l’IVG. Ce chiffre est en augmentation. Toujours selon l’Ifop, 88 % des Français sont favorables au lancement « d’une campagne de prévention et d’une étude sur l’IVG par les pouvoirs publics ». 84% des sondés sont favorables, par exemple, à ce qu’on indique systématiquement aux femmes enceintes les aides qu’elles peuvent recevoir pour garder et élever leur enfant. Pourquoi est-il interdit en France à un médecin, lors de l’entretien d’information préalable à l’IVG, d’indiquer à une femme les aides qu’elle peut recevoir pour garder son enfant ? Pourquoi ? Aider n’est pas culpabiliser. Il y a beaucoup à faire, les idées ne manquent pas.

La France s’est d’ailleurs engagée à protéger la maternité, avant comme après la naissance. Ainsi, par exemple, en ratifiant le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, la France a reconnu qu’une « protection spéciale doit être accordée aux mères pendant une période de temps raisonnable avant et après la naissance des enfants ». La France a aussi reconnu, en ratifiant la Convention sur les droits de l’enfant de 1989, que « l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ». Plus encore, la France s’est engagée lors de la Conférence du Caire sur la Population et le Développement de 1994, à « réduire le recours à l’avortement » et à « prendre des mesures appropriées pour aider les femmes à éviter l’avortement ». Selon cette déclaration, « tout devrait être fait pour éliminer la nécessité de recourir à l’avortement ».

Un choix ontologique radical

Enfin, il faut souligner pour conclure que la constitutionnalisation de l’IVG revêt aussi une dimension symbolique essentielle, à mon sens, est presque aussi importante que le choix de la laïcité de l’Etat : ce choix marque l’âme du pays. C’est un choix ontologique radical, c’est l’affirmation d’une conception de l’être humain : une conception matérialiste et volontariste, qui affirme la domination de la volonté sur l’être, de la volonté individuelle sur la vie humaine. C’est un choix terrible qui déclare que la destruction de la vie humaine est une liberté humaine. C’est aussi un choix qui nous oblige à croire que l’homme n’a pas d’âme, mais seulement un corps doté d’intelligence.

Une constitution sert à conférer des institutions à un peuple afin qu’il puisse persévérer dans l’existence : le but ultime d’une constitution est de servir la vie du peuple. Placer la liberté avant la vie est un suicide. Certes, l’homme est libre, mais il est d’abord vivant. La vie est un préalable à la liberté. Plutôt que de promouvoir l’avortement tel un droit abstrait, ce qui ne ferait qu’empirer le problème, il serait plus sage et bénéfique pour chacun, et pour la société dans son ensemble, de considérer l’avortement pour ce qu’il est : un problème social grave, qu’il est possible de prévenir. Il suffit de le vouloir.




La corruption tue la science et aussi les malades

Par Nicole Delépine

« À TOUS CEUX QUI SONT MORTS SEULS », par le DR Alain COLLIGNON

« L’ordre se lave les mains pendant qu’on cloue Hippocrate sur sa croix »

Vidéo à ne pas manquer pour comprendre tout ce qui s’est passé depuis trois ans en ce qui concerne le Covid19.

Merci à Alain Colignon qui a fait cette belle vidéo et à Pascal Sacré qui la diffuse largement, médecins belges qui (avec quelques rares autres dans plusieurs pays du monde) ont sauvé l’honneur de notre profession.

PRENEZ LE TEMPS DE L’ÉCOUTER ET DE LA PARTAGER.

Les pieds nickelés font de la science, dixit le PR Raoult à juste raison.

Le « virage vers les ténèbres » de la Science contemporaine

Commentaire du film par le réalisateur le DR Colignon

« L’aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j’ai réalisé. Ce court-métrage s’articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :​

Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l’exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.

Le second traite de la corruption “politiquement correcte”, avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique “sincère” ou “naïf”, banalisé et admis aujourd’hui par une paradoxale “néo-coutume” médicale.

Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité… Un labo pharmaceutique n’est plus confronté aujourd’hui, à la nécessité d’acheter un médecin pour qu’il mente, pour qu’il trahisse sa pensée ou pour qu’il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l’avis va dans le sens de ses intérêts et qu’il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce “Cherry Picking” opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l’utilisation d’un produit ou d’un dispositif médical, n’a aucune chance d’être invité à un congrès, d’être lu par des reviewers, d’être soutenu dans ses recherches, d’être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d’être interrogé par les grands Médias. Il est et reste “invisible”… On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c’est sans arrière-pensée qu’ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l’OMS.

Le Président de l’Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l’initiative d’un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d’y aborder l’important sujet des conflits d’intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l’ordre du jour, l’analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l’autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d’une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d’engager une lutte décisive contre la tyrannie de l’argent, il laissera assurément une trace dans l’histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l’entier et unique service du patient ». 

APPEL CONTRE LA CORRUPTION EN SCIENCE ET SANTÉ DE 2002

Une épidémie de corruption sévit dans notre profession.
N’a pas été entendu malgré tous ceux qui suivront.

Les mises en garde ne furent pas entendues et la situation ne fit que s’aggraver comme l’explique le DR A. Colignon dans son film. Les livres, vidéos, éditoriaux s’accumulèrent dans le silence médiatique complet. Les professionnels se soumettaient pour ne pas risquer les ennuis des quelques résistants (refus de nomination universitaire, refus de publication d’études dans les revues ou dans les congrès internationaux). Nous avons tous vécu ce que raconte si bien le Dr Colignon. Une anecdote (rigolote ?) : un article capital sur le sarcome d’Ewing vers 1999 nous fut refusé pour « mauvais anglais » mais de fait c’était un article commun avec le célèbre et trop vite disparu le Pr américain G Rosen… Combien de patients auraient-ils pu bénéficier plus tôt de la chimiothérapie préopératoire facile et efficace et bénéficié d’une chirurgie conservatrice si ce papier novateur n’avait pas été censuré ?

À QUAND LA GRANDE LESSIVE ?

Marcia Angel a démissionné en 2004 puis son successeur en 2007 pour dénoncer la corruption des revues médicales les plus prestigieuses. Le pire est que les patients largement avertis, s’ils le souhaitent, font majoritairement l’autruche et préfèrent croire les mensonges bien présentés que la triste vérité. De tout temps, semble-t-il…

https://youtu.be/Mcp-cssMgFc

Car la corruption en médecine ne touche pas seulement certains leaders d’opinion et quelques revues. Depuis plus de 20 ans, elle s’est emparée des agences sanitaires devenues « captives »1 des seuls intérêts de l’industrie pharmaceutique expliquant des décisions de plus en plus discutables et l’apparition récurrente de scandales sanitaires de plus en plus catastrophiques. Après le scandale du sang contaminé, de l’amiante, du chlordécone, de l’hormone de croissance, le médiator a causé quelques milliers de morts, le Vioxx 60000 à 500 000 morts2 aux USA et les opioïdes encore plus (actuellement100 000 morts chaque année depuis 2020)3 4.

LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE ET AUSSI BEAUCOUP DE MALADES !


1 La capture réglementaire des agences sanitaires, conséquence de la défaillance de l’État et du clientélisme, donne la priorité à l’industrie pharmaceutique au détriment des contribuables et les malades qu’elles sont censées protéger.

2 Quand un demi-million d’Américains sont morts et que personne n’a remarqué ALEXANDRE COCKBURN27 AVRIL 2012
https://www.theweek.co.uk/us/46535/when-half-million-americans-died-and-nobody-noticed

3 Les décès de fentanyl dans le comté de Los Angeles ont augmenté de 1 280 % de 2016 à 2021 — rapport

4 The Lancet Managing the opioid crisis in North America and beyond February 02, 2022 DOI:
https://doi.org/10.1016/S0140-6736(22)00200-8




Information générale afin de rester prudent et vigilant : conseils pour les injectés

Mon amie homéopathe le Dr Martine Gardenal avait écrit cette mise en garde il y a déjà un an alors que les personnes contraintes à se faire injecter cherchaient légitimement des solutions qui malheureusement n’existent pas vraiment.

Actuellement la révélation des très nombreux effets toxiques (doux euphémisme) de l’injection génique pousse de multiples personnes à publier à nouveau des traitements « antidotes », ce qu’on peut comprendre. Afin de mesurer la limite du système, le Dr Gardénal a accepté de publier sa mise en garde toujours d’actualité. Nous l’en remercions.

Cet article [du 15 Mars 2022] ne veut pas dire que rien ne peut servir à quelque chose. Les papiers sur les tisanes d’aiguilles de pin par exemple(([1] Voir :
Débarrasser le corps du graphène
et
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre)) ou l’Artémisia donnent de l’espoir à certains et ne doivent pas être négligés. Le but de ce rappel est de dire qu’il n’y a pas de traitement miracle contre la toxicité de l’injection à ce jour et donc que rien ne doit vous faire accepter l’injection en vous faisant croire qu’elle n’aura aucun risque. Roulette russe…

Dr Nicole Delépine

Par le Dr Martine Gardénal
médecin homéopathe, médecin du sport, et olympique, ex-attachée de consultation à l’Insep

Je suis très souvent interrogée par des personnes qui sont ou vont être injectés par le produit ARN messager contre le COVID.

Leur question est :

« Que puis-je faire pour ne pas avoir d’effets secondaires ou pour les faire disparaitre ? »

Je me décide aujourd’hui à vous dire le fond de ma pensée. Ceci, non pour vous faire entrer dans la peur, mais pour être claire.

Cette injection transgénique anti Covid est toujours en phase 3. Elle appartient donc encore au domaine expérimental, ce qui veut dire :

  1. que nous n’avons pas le produit à notre disposition en vente libre dans les pharmacies,
  2. que nous ne savons pratiquement rien de leur composition exacte,
  3. que comme pour tout traitement expérimental cette thérapeutique comporte différents types de produits, et obligatoirement des placebos dont nous ignorons le pourcentage. (Voir essais cliniques).

Cela explique que certaines personnes ont dû recevoir du sérum physiologique, alors que d’autres ont été injectées avec le produit expérimental. Aussi, certains n’ont absolument aucune réaction même après 3 doses, alors que d’autres réagissent dès la première injection et d’autres seulement après la 3°. Tout peut se voir.

En plus, actuellement, les pistes sont totalement brouillées :

  1. la personne ne sait pas ce qui lui est injecté,
  2. au fil des doses, la personne peut recevoir des produits provenant de laboratoires différents (Astre Zeneca, Johnson et Johnson, Moderna, Pfizer) et des doses placebo ou non,
  3. l’état sanitaire de la personne n’est jamais pris en compte.

En tant que médecin homéopathe, je sais que chaque individu à son propre terrain, avec sa plus ou moins grande susceptibilité aux produits étrangers et aux germes.

Jusqu’alors, avec tous les autres vaccins (classiques), j’avais pris l’habitude de faire un traitement préventif, mais surtout curatif afin que le terrain soit le moins touché possible par ces perturbateurs immunitaires.

Ma longue expérience professionnelle et celles d’autres confrères m’ont conforté dans notre position. Pour les vaccins classiques, cela n’a jamais posé de problème : je n’ai jamais eu à déplorer la moindre nuisance. N’est-ce pas le but recherché ?

Pour mémoire, je rappelle quelque chose qui semble bien oublié depuis des années. Le rôle du médecin est « primum non nocere » [NDLR « D’abord, ne pas nuire »].

Actuellement, avec ces injections transgéniques à ARNm, ne sachant pas ce que contient la seringue, et n’ayant pas à notre disposition les flacons, il est impossible — et nous n’aurons jamais l’assurance — que les produits homéopathiques fabriqués appelés « isothérapiques » correspondent à ce que la personne a reçu.

C’est peut-être un placebo qui a été injecté. (sérum physiologique) et peut être non ? Alors ?

Comment éthiquement parlant, proposer à quelqu’un un traitement incertain dont il est impossible de prévoir le résultat de façon sûre ? Comment affirmer qu’avec l’homéopathie il n’y aura pas d’effets secondaires et surtout que la protéine Spike va disparaître ?

Personnellement je ne me sens ni le courage ni le droit de faire de telles choses, et je refuse d’en prendre la responsabilité.
Je serai trop loin de mes choix personnels, et mon éthique m’en empêche.

Dans l’état actuel des choses, je ne vois aucun traitement préventif ni curatif avec certitude…
Les seules choses que l’on puisse faire, c’est de préparer le terrain au mieux pour qu’il réagisse le moins possible et que cela diminue les réactions de type allergique, oxydatif, sidération immunitaire. C’est ce que beaucoup proposent et font.

J’avoue que lorsque je lis les articles de certains, certifiant qu’avec des traitements naturels et/ou des isothérapiques homéopathiques faits avec des injections transgéniques antiCOVID, les injectés sont garantis de passer à travers toutes les conséquences néfastes de ces produits, à court et long terme, je suis révoltée de tant de malhonnêteté et ne peux cautionner une démarche aussi peu scientifique.

J’attends les preuves

Il faut se méfier des illusionnistes, qui pour entretenir leur réputation et récupérer quelques monnaies, ne se comportent pas mieux que les lobbys pharmaceutiques.

Je suis désolée de ne pas pouvoir dire mieux, mais au fond de moi quelque chose m’empêche de proposer un produit dont on ne sait rien et qui est sans doute faux.

Un espoir : quand on pourra acheter librement ces produits injectables contre le COVID, le problème sera sans doute différent. À voir…

Par contre, tous les petits conseils donnés dans mon ouvrage « Homéopathie, le livre de référence pour se soigner au naturel », restent vrais pour minimiser les réactions secondaires et limiter les dégâts pour les vaccins classiques.

Et dans « T’as mal où ? ma réponse homéo ». Je vous propose un traitement si vous avez le COVID.

Dr Martine GARDÉNAL

15 Mars 2022





Non à une guerre qui n’est pas la nôtre ! Exigeons la paix en Ukraine pour sauver des vies

Par Nicole Delépine

Le sacrifice de nos libertés ne sauve aucune vie

« Sauvez des vies ». Combien de fois avons-nous entendu cette phrase depuis mars 2020 ? Sous ce fallacieux prétexte, des vieillards ont été privés de toute visite dans leur maison commune qui devait les protéger de l’isolement (appelée EHPAD), et combien d’enfants et d’adolescents ont-ils été privés de réunion avec leurs copains, petits amis sans aucun bénéfice sanitaire ni pour eux ni pour leurs parents ? Le scénario Covid19 a si bien organisé la peur, la terreur mondiale, que des milliards d’individus ont accepté de se faire injecter une substance expérimentale jamais utilisée en médecine infectieuse auparavant.

Tout devait être accepté, même l’inacceptable pour prétendument « sauver des vies » ! Les vidéos et livres des grands prophètes du forum de Davos, tel Schwab, Bill Gates, Jacques Attali, Laurent Alexandre, etc. en France nous avaient bien prévenus depuis une vingtaine d’années de leur volonté de réduire la population mondiale, soi-disant trop nombreuse, pour sauver la planète (quelle vanité énorme, car quoiqu’il arrive la planète nous survivra !).

Qui, parmi les gens normaux, aurait pu croire à cette promesse de « génocide » de la part de psychopathes et milliardaires que nous prenions seulement pour des illuminés, et surtout dont nous imaginions que personne, au grand jamais personne ne les laisserait faire. Après les horreurs du XXe siècle, qui eut pu croire que l’holocauste avait suffisamment disparu des mémoires pour que les générations nées après les années 50 fassent l’autruche devant les attaques monstrueuses contre les acquis de la Résistance, contre la démocratie, contre la liberté d’expression, toutes valeurs en voie de disparition accélérée, dans le silence médiatique assourdissant.

Hélas, une partie importante du monde dit occidental que nous croyons le plus éduqué et le plus démocratique n’a pas pipé, manifestement conditionné depuis une cinquantaine d’années à obéir à condition que le pain et les jeux lui soient assurés. Le confinement est passé comme une lettre à la poste grâce au « quoi qu’il en coûte », et ses larges rétributions aux entreprises et aux salariés mis en congés devant Netflix et autres vidéos, le mythe de l’enseignement à distance en visio pour les ado et étudiants n’ayant pourtant compensé qu’une partie de la perte de longs mois d’études.

L’individualisme dans lequel les post soixante-huitards (qui ne représentent que la faible partie des boomers qui ont confisqué le pouvoir) nous ont élevés depuis cinquante ans, a fait le lit de la soumission généralisée des différentes générations et des minorités qu’ils essaient de diviser et d’opposer pour mieux régner. Le lent réveil actuel donne tout de même un peu d’optimisme.

Non au transfert d’armes qui prolonge l’hécatombe inutile des Ukrainiens et menace notre population

La propagande covid19 n’était que le début de l’attaque mondiale contre l’humanité. Aujourd’hui c’est la généralisation de la guerre qui pointe. Comme toujours quand les financiers sont en déroute, la guerre mondiale est l’ultime recours des puissants. Mais cette fois-ci, comme en 1962 et la crise des missiles de Cuba, c’est la guerre nucléaire qui menace. Des « Kennedy et Khrouchtchev » qui surent l’éviter existent bien encore, mais aussi des docteurs Folamour1 et un accident entraînant une réplique menaçant l’humanité est vite arrivé. Ce risque doit cesser.

Personne d’entre nous ne peut imaginer que soit rasée une grande partie de nos villes, de nos pays. Pourtant rien n’est impossible. Les tyrans qui dirigent le monde ont préparé leurs bunkers, croyant à l’illusion de se protéger (comme des pseudo-vaccins qu’ils ne se sont pas injectés pour la plupart). Ils semblent « jouer à la guerre », mais de fait espèrent sauver les banques pour beaucoup apparemment en faillite, et leurs vies privilégiées.

ALORS L’URGENCE EST MAINTENANT D’UNIR TOUS LES PEUPLES ET DE DIRE NON A LA GUERRE.

Des manifestations ont semble-t-il éclaté dans de nombreuses villes allemandes à la suite de l’annonce de la livraison de chars allemands à l’Ukraine. Mais le souvenir de l’humiliation de la Seconde Guerre mondiale est vif chez les générations allemandes qui ne peuvent accepter ce remake des années 40 (contrairement à la France où l’enseignement de l’histoire a été sacrifié à l’école) d’autant que cette cobelligérance a été décidée hors de leur volonté, de leurs parlements.

En France et dans tous les pays concernés, nous devons crier chaque jour NON À LA GUERRE !

Profitons des manifestations, justifiées par la vie qui continue, sur les retraites ou contre l’euthanasie ou la vaccination obligatoire et la discrimination des non-vaccinés suspendus, pour imposer ce cri qui vient du fond de l’âme des peuples. NON À LA GUERRE. NON AU RISQUE DE GUERRE NUCLÉAIRE !

Écoutons les voix diverses qui appellent à la paix

https://francais.rt.com/international/103892-guerre-ukraine-klarsfeld-redoute-que-position-ue-conflit-generalise

« L’avocat franco-israélien Arno Klarsfeld a lancé une pétition pour s’opposer à la perspective d’une troisième Guerre mondiale. Il reproche notamment à l’Union européenne de ne pas “rechercher un compromis dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine”.

Arno Klarsfeld, ancien conseiller d’État sous Nicolas Sarkozy, a mis en ligne le 24 janvier une pétition intitulée “Non à une 3e guerre mondiale pour le Donbass”. Dans la foulée d’annonces occidentales portant sur l’envoi de chars de combats à destination de Kiev, l’avocat franco-israélien y dénonce le rôle de l’Union européenne dans la guerre en Ukraine.

Les peuples ont soutenu l’Union européenne parce qu’ils pensaient que cette union était garante de paix. Pourtant cette union semble nous entraîner dans un conflit généralisé qui dévasterait à nouveau le continent européen sans même rechercher un compromis dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui n’est pas membre de l’OTAN, sans consulter les peuples de l’Union. Nous nous y opposons”, a-t-il écrit pour expliquer son initiative. Deux décennies après avoir figuré au premier rang des plus fervents promoteurs de l’intervention militaire américaine en Irak, Arno Klarsfeld s’exprime depuis plusieurs mois contre l’implication de plusieurs chancelleries occidentales dans le conflit russo-ukrainien, redoutant que les livraisons répétées d’armement à destination de Kiev ne débouchent sur un conflit plus large. “Les deux régimes, Kiev et Moscou, sont aussi éloignés de nos valeurs l’un que l’autre. Ils se battent fanatiquement pour le Donbass qu’ils pourraient se partager. Ce n’est pas notre guerre. Nous devons les aider plutôt à trouver un compromis plutôt que de risquer une [troisième] guerre mondiale”, a encore tweeté ce 25 janvier le petit-fils de déporté. Alors que Kiev exhorte régulièrement ses alliés à intensifier leur soutien financier et militaire à son endroit, la Russie a de son côté mis en garde à de multiples reprises contre la participation de l’Occident à l’effort de guerre ukrainien, reprochant aux chancelleries concernées de jouer un “rôle destructeur” dans le conflit. La porte-parole de la diplomatie russe a récemment qualifié de “décision provocatrice” l’annonce d’une livraison française de blindés à Kiev. »

« Peuples européens entendez-vous de la part de vos dirigeants des propositions de paix, de compromis pour tenter de sortir l’Europe de la plus grave crise depuis la 2e GM ? Je n’entends rien sinon de promettre à l’Ukraine une victoire impossible.. Nous fonçons vers la guerre. »

Arno Klarsfeld @Arno Klarsfeld

NE RECOMMENÇONS PAS LES ERREURS DE 1914 ET 1940. N’ACCEPTONS PAS CETTE DRÔLE DE GUERRE QUI CHAQUE JOUR NOUS EMMÈNE UN PEU PLUS VERS L’ABÎME.

Des peuples réagissent et manifestent contre cette guerre usa-OTAN qui détruit l’Ukraine, L’UE et ne bénéficient qu’aux intérêts américains

Pourquoi le silence de nos médias sur ces manifestations allemandes, lourdes de sens, de mémoire en particulier ?

« Avec la livraison de chars au milliardaire Zelensky on se rapproche de plus en plus d’une guerre mondiale, il est minuit moins une et je vous assure, quand elle va éclater, le Monarque et sa princesse vont disparaître, sûrement un super abri quelque part. Pendant que les Français ?

Katell HENRY @katell8 #punchline est ce qu’à un moment donné on va demander l’avis des Français au sujet de la guerre en Ukraine ? Car pour l’instant Macron décide de tout, tout seul sans demander le vote de l’AN et toujours en suivant comme un toutou »

Dr Ilan Lamar
@IlanLamar 14 h 26 janvier 23

@vonderleyen, les Allemands et les USA. Stop ! La PAIX !

Emmanuel de Villiers

@E2Villiers 23h Ils nous avaient dit en se tapant sur les cuisses, « L’Europe c’est la Paix ! », avec la livraison de chars de combat à l’Ukraine, l’Europe des politiciens c’est la Guerre. C’est totalement anormal en démocratie.

Arno Klarsfeld, 17 janv. Pour une initiative de médiation franco-allemande de paix pour l’Ukraine

Écoutons Jacques MYARD2 :

« France, servile vassale ! »3

Le 24/01/2023

« Tribune. Je l’avais oublié, une connaissance-amie me l’a judicieusement rappelé, j’ai publié le 30 juillet

2014 dans le Figaro vox un article sur nos relations avec la Russie à la suite de l’annexion de la Crimée, article dont je ne retire aujourd’hui aucune virgule :

En prenant des sanctions, l’Union Européenne internationalise ce conflit au lieu de le circonscrire. Il devient un conflit entre la Russie, l’Union Européenne et les États-Unis. Ces actions aggravent donc la situation, les tensions internationales alors qu’il faut toujours éviter une politique qui mène à l’internationalisation d’un conflit.”

J’ajoutais :

Il est pour le moins suicidaire de porter atteinte à nos exportations vers la Russie, qui sont importantes et nécessaires à l’emploi français et pour notre balance commerciale. C’est une politique de gribouille menée par le gouvernement et l’Union Européenne.”

J’entends déjà les véhémentes critiques : “vous êtes un suppôt de Poutine”, eh bien Non.

Depuis 2014 nous disposons d’intéressantes informations qui doivent susciter de fortes interrogations pour tous ceux qui estiment que Poutine n’est pas le seul fauteur et seul responsable de cette guerre.

J’entends à ce titre rappeler certains faits et analyses :

Il faut lire dans le Foreign affairs de 1998 l’analyse d’un grand ambassadeur américain George F. Kennan, qui fut un adversaire déterminé du bloc soviétique du temps de Staline ; il fut ambassadeur à Moscou en 1952, et le promoteur de la volonté de Washington de “contenir” les Soviétiques, mais en 1998 à la suite d’un vote du Sénat américain de voter l’élargissement de l’OTAN, il déclare :

Je pense que c’est une faute, les Russes vont réagir, l’élargissement de l’OTAN va enclencher une nouvelle guerre froide et diviser l’Europe”

Il y quelques semaines, on apprend avec stupéfaction que les accords de Minsk 1 et 2 signés en 2014 et 2015, qui nous étaient présentés comme des accords de paix, n’avaient pour objectif en réalité que de donner le temps à l’Ukraine de s’armer avec l’aide des Anglo-saxons.

Voir sur ce point les révélations de l’ex-chancelière Angela Merckel dans le journal Die Zeit du 7 décembre 2022, propos étonnants et confirmés par François Hollande peu après.

Ces révélations doivent être mises en perspective avec la politique américaine, aujourd’hui bien connue, dans les pays issus du bloc soviétique depuis la fin de l’URSS :

— Dès 2004 des opposants américains sont venus me présenter à l’Assemblée nationale les organigrammes des associations pro démocratie qui accompagnaient les “révolutions de couleur”, ces associations étaient truffées de membres des services américains dont les objectifs sont toujours les mêmes, contraindre Moscou à reculer.

— Le fameux coup d’État de Maïdan à Kiev en 2014 a été, à l’évidence, fomenté par les Américains pour chasser un gouvernement pro russe !

— Peut-il y avoir encore des doutes sur le sabotage du gazoduc Nord Stream 2 ? De très nombreuses personnalités en Allemagne ne cachent plus leurs certitudes quant à la responsabilité de Washington.

La mise en perspective de tous ces faits et analyses devrait tempérer le zèle pro-Zelensky de nos médias où s’expriment les valeureux bellicistes des plateaux de télévision.

Cette guerre est une guerre américano-russe indubitablement voulue par Washington afin de mettre les vassaux européens sous leur coupe dans l’OTAN, une machine exclusivement américaine !

Qui peut en douter après la réunion du 20 janvier dernier qui s’est tenue en Allemagne dans la base de Ramstein de l’armée de l’air américaine, sous la présidence du Secrétaire de la défense J.Austin Lloyd, du groupe de contact des alliés de l’OTAN chargé de coordonner l’aide militaire à l’Ukraine ?

Il est vrai, cette réunion du groupe de contact a calmé les ardeurs guerrières du président ukrainien Zelensky, en refusant de lui livrer des chars lourds ; il devrait, au demeurant, s’interroger sur la solidité de son alliance avec les Américains qui le lâcheront tôt ou tard…lorsqu’ils jugeront qu’il les conduit trop loin contre la Russie.

De même, le Président Zelensky ne peut ignorer les lourdes pertes en hommes que l’armée ukrainienne a subies face aux offensives russes dont il est responsable devant son opinion publique.

Vladimir Poutine n’est pas le poussin de l’année, c’est certain ; mais il n’est pas le seul responsable de cette guerre par proxy qui doit se terminer rapidement pour épargner des milliers de victimes civiles ou militaires.

Ce n’est pas en livrant des armes et encore des armes que l’on pourra trouver une solution politique, ces livraisons croissantes constituent une escalade qui peut déraper !

La France doit se départir de toute inféodation aux États-Unis dont les objectifs, l’affaiblissement de la Russie et la mainmise sur l’Europe, sont contraires à nos intérêts et notre indépendance, tout en continuant d’apporter aux Ukrainiens une aide humanitaire.

Albert Camus notait qu’au 20e siècle “la passion la plus forte est la servitude” ; cette observation n’a malheureusement rien perdu de son actualité ! »

Jacques Myard

ET PIERRE DE GAULLE, petit-fils du général

20 janv. « En Ukraine, c’est une guerre économique menée contre Moscou par les États-Unis », affirme Pierre de Gaulle « Où est la France souveraine et respectée de mon grand-père ? »

https://lefigaro.fr/international/pierre-de-gaulle-un-prorusse-assume-20230120?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Twitter&origine=VWR22002#Echobox=1674225790-1

PEUPLE FRANÇAIS, IL EST TEMPS DE NOUS FAIRE ENTENDRE !

Nous avons su manifester en 1962 pour la paix en Algérie. Nous allons savoir inviter le mot d’ordre « non à la guerre » dans toutes nos manifestations afin que chacun sache que son ami, son voisin dans le métro ou à l’école sache qu’il pense comme lui et ose le dire.

Ne nous laissons pas influencer par le politiquement correct qui nous interdit de parler et qui fait croire que dire non à la guerre serait un abandon des pauvres ukrainiens. Actuellement ils vont au massacre et ceux qui refusent d’aller à la boucherie sont envoyés de force. Les opposants au régime, journaux, partis, sont censurés. Est-ce là la démocratie que nous défendons ? Imposons à nos gouvernements de négocier la paix comme l’avait fait Sarkozy lors de la guerre en Géorgie, ce sera le meilleur service à rendre aux peuples russe et ukrainien et aux peuples du monde entier.

Les écologistes veulent « sauver la terre ». La première chose à faire n’est-elle pas d’éviter la guerre nucléaire pour sauver l’humanité ?

La fin de la guerre d’Algérie a été accélérée par les manifestations populaires massives. La population a montré sa détermination malgré une répression policière féroce qui a causé de nombreuses victimes comme à Charonne le 8 février 1962 (8 morts, dont 3 femmes et un adolescent) justifiant une manifestation de recueillement d’une ampleur jusque là inégalée :

Près de 61 ans après cette manifestation décisive pour la paix, la population française saura-t-elle rappeler à ses dirigeants qu’elle refuse la guerre ?

(Voir aussi :
https://www.maliweb.net/international/non-a-la-troisieme-guerre-mondiale-les-reseaux-sociaux-senflamment-3008523.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter)


1 Dr Strangelove « How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb » ou : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe est une satyre militaire sortie en 1964 qu’il faut absolument revoir.

2 Jacques Myard, né le 14 août 1947 à Lyon, politique français. Membre des Républicains, il est maire de Maisons-Laffitte depuis 1989, a été député de la 5 ᵉ circonscription des Yvelines de 1993 à 2017 et conseiller général des Yvelines de 1988 à 1993.

3 Jacques Myard : « France, servile vassale ! » (entreprendre.fr)




Comment les industriels nous obligent à manger des insectes

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

Christophe Brusset, ancien trader de l’agroalimentaire et auteur de « Vous êtes fous d’avaler ça, un industriel de l’agroalimentaire dénonce », éditions Flammarion.




Déserts médicaux en Europe

[Source : francesoir.fr]

[Photo : JEFF PACHOUD, AFP/Archives]

Regardons en face nos déserts médicaux, partie 2 : situation en Europe et projets de loi en France

Par Dr Gérard Guillaume

TRIBUNE — Suite de la première partie de la tribune « Regardons en face nos déserts médicaux » publiée le 21 décembre dernier sur FranceSoir. Retour sur le manque de médecins en zones rurales ou urbaines, cette fois-ci au niveau européen : la raréfaction de l’accès aux soins pour le grand public est loin d’être une exception française. Du côté de l’Hexagone, un projet de loi veut rendre facultatif la consultation d’un généraliste pour voir un spécialiste ou obtenir certaines prescriptions. Une autre proposition du législatif consiste à faire appel aux médecins étrangers. Des solutions peu convaincantes…

[Note de Joseph : situation similaire au Canada]

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de publier un rapport Health and care workforce in Europe : time to act (« Personnels de santé et soignants en Europe : il est temps d’agir »), qui fait l’état des lieux de l’exercice de la médecine dans 53 États dont ceux de l’Union européenne (UE).

Catastrophe à venir

Deux constats terriblement inquiétants sont dressés par l’OMS. Tout d’abord, « sans intervention immédiate, les pénuries de professionnels de santé dans la région européenne pourraient provoquer une catastrophe ». Et « tous les pays de la région européenne sont confrontés à de graves défis liés aux professionnels de la santé et du soin ».

L’Europe est confrontée à un vieillissement du personnel médical et à la difficulté de compensation des départs à la retraite (une conséquence générationnelle du « baby boom »). Il se produit de même une désaffection des jeunes générations pour les métiers du soin, avec un déficit de formation pour assurer la relève. Les États, quant à eux, n’ont ni anticipé ces éléments, ni renforcé leurs investissements.

Cette situation s’est dégradée ces deux dernières années avec l’épidémie de Sars-CoV-2, qui a servi de révélateur. Parmi les indicateurs retenus par l’OMS, ceux-ci peuvent être considérés pour dessiner un état des lieux en zone Europe (voir tableau ci-dessous pour détails) :

– Effectifs des médecins : 37 pour 10 000 habitants en moyenne
– Effectifs des infirmiers : 80 pour 10 000 en moyenne
– Effectifs des dentistes : 6,7 pour 10 000 habitants en moyenne
– Effectifs des kinés : 8 pour 10 000 habitants
– Âge des médecins en exercice : en moyenne 30 %, âgés de 55 ans et plus
– Formation de médecins : moyenne 15 pour 100 000 habitants

Pertes de chances pour les patients

Avec un tel tableau, il est peu étonnant de voir apparaître dans le rapport de l’OMS ce commentaire laconique : « La plupart des pays ont des difficultés à faire disparaître les déserts médicaux ». Et « les incitations financières ne sont pas suffisantes à elles seules » afin de pousser les médecins à exercer dans des zones sous-dotées. Nul doute que des efforts doivent être menés pour renforcer l’accès à la formation continue et améliorer les conditions de travail (notamment en les adaptant notamment aux contraintes familiales).

Quant au secteur hospitalier, ce dernier souffre particulièrement du manque de personnel. Outre les départs à la retraite, la crise covid a entraîné la dégradation des conditions de travail et a participé à l’accélération de l’hémorragie des professionnels de santé du secteur public.

Certains services sont impactés plus que d’autres comme les urgences, les maternités ou les soins en psychiatrie. De nombreuses interventions chirurgicales, dans tous les domaines, sont déprogrammées, repoussées, entraînant des pertes de chance pour les patients.

Chiffres par pays (sélection)

Médecins (pour 10000 hab.) Médecins de 55 ans et plus Formation de médecins (pour 100 000 hab.) Infirmiers (pour 10000 hab.) Dentistes (pour 10000 hab.) Kinésithérapeutes (pour 10000 hab.)
Zone Europe 37 30 % 15 80 6,7 8
France 33 57 % (35 % plus de 65 ans, 9 % il y a 20 ans) 10 120 6 14
Royaume-Uni (hors UE) 30 14 % 13 90 5,2 6
Italie 41 55 % 18 60 8,3 12
Allemagne 45 55 % 12 140 8,2 18
Espagne 46 32 % 14 60 8,1 12
Portugal 53 29 % 15 75 10,5 21
Belgique 36 31 % 16 95 7,2 15,2
Suisse 45 40 % 11,5 180 4 nc
Grèce 62 30 % 12 40 13 8
Irlande 35 22 % 25 140 7 9
Norvège 41 24 % 11 130 8,5 25

Focus sur plusieurs pays

– En France, depuis trois ans, les déserts médicaux ont progressé de 50% (source : Sénat et DRESS). Près de 1 Français sur 10 est laissé sans médecin traitant. Et le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous de cardiologie est de plus d’un an dans certaines régions.

Une nouvelle loi contre les déserts médicaux a été présentée en première lecture à l’Assemblée nationale le 19 janvier 2023. Il s’agit de ne plus faire de la consultation chez le médecin traitant le passage obligé en vue d’accéder à certains infirmiers, kinésithérapeutes et orthophonistes. Les infirmiers pourraient même prescrire quelques médicaments et prendre en charge les plaies. Les assistants dentaires, par ailleurs, élargissent leur champ d’action, devenant « assistant en médecin bucco-dentaire ».

Des orthèses plantaires pourront être prescrites par les pédicures podologues. Et les opticiens auront droit de regard sur les prescriptions des ophtalmologues. Si le médecin prescripteur n’est pas disponible, le pharmacien aurait le droit de renouveler les traitements chroniques pour trois mois au maximum. Bref, pour ne pas se rendre compte de son absence, il s’agit d’éviter de devoir se rendre chez le médecin.

Une autre piste législative est envisagée : faire appel aux médecins et soignants étrangers (voir plus loin dans cette tribune).

– Au Royaume-Uni (pays hors UE, mais utile à la compréhension du dossier), afin de lutter contre les déserts médicaux, l’installation des praticiens est régulée par les autorités de santé. En ce qui concerne le secteur hospitalier, l’an dernier, 25 000 infirmiers et infirmières ou sages-femmes ont démissionné, tandis que 47 000 postes d’infirmiers sont actuellement non pourvus.

Actuellement, plus de 132 000 postes vacants sont recensés au total en 2022, soit 25% de plus par rapport à 2021. 10 000 postes de médecins sont inoccupés, soit une hausse de 35% en un an. Le Common Health and Social Care Committe, lié au Parlement britannique, évoque « la plus grande crise de main-d’œuvre de l’histoire du National Health Service (NHS) ».

– En Allemagne, un dispositif de régulation a été mis en place pour réduire l’ampleur des déserts médicaux. Par exemple, l’installation de praticiens n’est pas possible dans les zones où la densité médicale est supérieure de 10% à la moyenne nationale. Au sein du secteur hospitalier, l’an dernier, 35 000 postes de personnels soignants étaient vacants à travers le pays, soit une hausse de 40% en une décennie. Dans la moitié des établissements, les arrêts de travail ont augmenté de 5 à 20% en 2022. Conséquence : le manque de personnel peut conduire à la fermeture de certains services d’urgence.

– En Espagne, afin de lutter contre les déserts médicaux, les installations de praticiens sont à l’instar de l’Allemagne, régulées par les autorités de santé. Au sein du secteur hospitalier, le manque de personnel infirmier concerne 95% des établissements de santé hispaniques.

– En Italie, l’installation des médecins est aussi régulée par les autorités de santé. Selon le Dr Di Silverio, du syndicat hospitalier : « Chaque jour, sept médecins quittent le service de santé national ». Environ 40 000 médecins du public devraient prendre leur retraite ou démissionner dans les 5 ans à venir. « Les conditions de travail se dégradent en raison d’une surcharge de travail et d’une organisation inadéquate, et le salaire est insuffisant, surtout si l’on considère les nombreuses obligations et incompatibilités imposées aux médecins travaillant dans les hôpitaux publics », précise le Dr Di Silverio.

La colère gronde partout en Europe

Après deux années d’efforts fournis sur le front de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, la colère gronde dans tous les secteurs de la santé en Europe. Les difficultés des professionnels confrontés à des problèmes croissants liés à la baisse des effectifs, à une charge de travail devenue insoutenable et à des rémunérations jugées insuffisantes, sont intenables.

En France, les premiers à en pâtir sont les services des urgences (SUdF). Ces derniers ont estimé que 31 patients étaient morts au mois de décembre en raison des attentes trop longues en leurs accueils ou en préhospitalier, « faute de possibilité d’engagement Smur ».

Ces événements, particulièrement mal perçus par les opinions publiques (lorsque ceux-ci sont relayés dans les médias), finiront sans doute par faire éclater dans beaucoup de pays européens de mouvements divers de contestation. La multiplication des menaces de grève se concrétise dans la pédiatrie, la psychiatrie, la biologie, la médecine libérale.

De même, au Royaume-Uni, une surmortalité de l’ordre de 300 à 500 personnes par semaine serait actuellement observée du fait de l’engorgement des services. Une grève historique outre-Manche des infirmiers se déroule : 10 000 d’entre eux battent le pavé. Pour la première fois en plus d’un siècle, leur syndicat, le Royal College of Nursing (RCN), a appelé en novembre 2022 à une grève nationale pour réclamer une hausse des salaires de 5% au-dessus de l’inflation.

De son côté, l’Allemagne voit 2 700 de ses médecins en grève au sein du plus grand hôpital européen, l’hôpital de la Charité de Berlin. En Espagne, les praticiens se mobilisent notamment contre la privatisation du système de santé. À Madrid, au moins 200 000 manifestants se sont rassemblés le 13 novembre pour défendre le système public de santé.

Fatalité ou volonté d’achever notre système de santé ?

La conclusion face à cet état des lieux catastrophique est rapide. Au-delà des causes avancées et une nouvelle fois sans minimiser l’impact de la pandémie de la Covid-19 (ou de sa gestion) et le mal qui ronge notre système de santé depuis des années, ne peut-on légitimement se demander si derrière tout cela, il n’y a pas une volonté particulière ? Celle de désorganiser la médecine à visage humain pour la confier au plus vite à l’intelligence artificielle, à la téléconsultation, soit en résumé à la sphère du privé et des grands groupes).

Une orientation qui se devine déjà en France avec l’organisation d’une médecine de ville à deux vitesses : une médecine « de base » avec le développement de cabines de téléconsultation et une médecine « de riches » exercée par des médecins déconventionnés (quand ils ne finissent pas par partir à l’étranger). Cette médecine ultra-connectée est le rêve de nos gouvernants. Pensez donc ! Disposer ainsi de toutes les données informatisées des patients, donc de nos compatriotes, représente le Graal de nos « démocratures », qui ne pensent qu’à nous infantiliser chaque jour un peu plus.

Il est possible d’illustrer cette tendance avec, il y a quelques années, cette vidéo de promotion d’IBM, qui montrait comment, dès la naissance, un bébé pouvait être « monitoré » afin de devenir une « source de données » au prétexte du soin.

Pour en finir avec les déserts médicaux en France, faut-il faire appel à des soignants de l’étranger ?

C’est l’une des mesures prévues par le gouvernement dans la loi Immigration, dont le texte a été présenté au Conseil d’État le lundi 19 décembre 2022. Il doit être présenté en Conseil des ministres dès ce mois de janvier avant d’être examiné au Sénat puis à l’Assemblée nationale.

Carte « talent »

Réclamée par le patronat, la création d’un titre de séjour au motif « métiers en tension » doit répondre aux secteurs en pénurie de main-d’œuvre. Et dans ces secteurs, on pourra désormais compter les professionnels de santé.

La carte pluriannuelle (d’un à quatre ans) dénommée « Talent — professions médicales et de pharmacie » ne concernerait que les médecins « quelle que soit leur spécialité », les sages-femmes, les chirurgiens-dentistes et les pharmaciens.

Selon l’article 7 du texte, cette carte est destinée aux professionnels de santé et à leurs familles « dès lors qu’ils sont recrutés par un établissement de santé public ou privé à but non lucratif ». Elle « permettra d’améliorer la lisibilité et l’attractivité du droit au séjour pour ces publics qualifiés, tout en tenant compte des enjeux de vérification de l’aptitude de professionnels étrangers à exercer dans le domaine hospitalier », justifie l’exécutif.

L’œil des ARS

Le texte prévoit ainsi de conditionner la délivrance du titre à une autorisation de l’Agence régionale de santé (ARS). Sa durée de validité, d’un à quatre ans, dépendra de la validation par le praticien des épreuves de vérification des connaissances (EVC).

Cette proposition mérite plusieurs commentaires : alors que nos universités ne sont pas en capacité d’accueillir les étudiants français désireux de faire une carrière médicale, le gouvernement ne trouve pas mieux que de faire appel à des soignants étrangers… Ce pays marche sur la tête.

En 2017, dans notre pays, on recensait déjà 41 763 médecins nés dans un pays autre que la France. Cette part est allée en grandissant : les nouveaux inscrits ayant obtenu leur diplôme à l’étranger représentaient 13,9 % en 2021 contre 15,7 % en 2022. En 2022, en France, 197 811 médecins en activité régulière sont recensés par le Conseil national de l’Ordre des médecins.

Parmi eux, 172 394 généralistes ont la nationalité française. 11 433 médecins sont originaires d’un pays européen contre 7 133 en 2007. 13 984 médecins viennent d’un pays extérieur à l’Europe. Ils étaient 4 314 en 2007. Toutes spécialités médicales confondues, 12 % des médecins de France sont d’origine étrangère. Avant toute chose, n’y a-t-il pas derrière cette proposition un problème d’éthique et de morale ?

Une mesure peu éthique qui ne solutionne rien

Ces pays extra-européens sont les premiers à manquer de médecins. Les dépouiller un peu plus ne gêne apparemment personne dans notre gouvernement ! Faut-il créer des déserts médicaux de l’autre côté de la Méditerranée pour combattre les nôtres ? Par exemple, l’entrée de la Roumanie dans l’espace européen en 2007 a abouti à une vraie migration des praticiens roumains vers la France. Ce qui n’a pas été sans poser problème à l’État roumain. Le pays se déclare au bord de la catastrophe sanitaire à cause de cette fuite massive des docteurs.

Au-delà de ce triste constat, l’appel aux médecins étrangers peut-il vraiment contribuer à lutter contre les déserts médicaux ? 6 000 à 8 000 médecins généralistes manquent. 22 millions de Français ont des difficultés d’accès aux soins. Rappelons encore qu’un Français sur dix n’a pas de médecin traitant.

Une fois les qualifications de ces praticiens étrangers vérifiées, allons-nous les contraindre à s’installer là où plus personne ne veut aller, faute de commodités de vie ? Une drôle de façon, à nouveau, de les respecter… Ce que nous constatons est que le lieu d’installation des médecins exilés ne couvre pas les zones sous-denses. Ils continuent à s’installer, comme les médecins français, dans les zones qui ne sont pas défavorisées. Nous revenons donc à la case départ.

Rien de nouveau sous le soleil

Quant à la carte « pluri-annuelle », elle est délivrée de un à quatre ans. Et qu’en sera-t-il après ? Nous ne pouvons résister à l’envie de citer cet extrait de l’Histoire de la médecine, de l’Antiquité à nos jours, écrit par Roger Dachet (Éditions Texto, 2021) qui se réfère au VIe siècle avant notre ère (dont ferait bien de s’inspirer notre gouvernement) :

« Les médecins, civils et laïques, dont descendent tous leurs confrères des siècles ultérieurs qui se sédentarisaient dans la Grèce antique, eurent à préciser leurs relations avec la Cité. Si on en croit Diodore de Sicile, vers l’an 600, un décret de Charondas de Catane, législateur de la Sicile, fixa dans l’île le principe que tous les citoyens seraient soignés aux frais de l’État : les médecins qui y exerçaient devenaient de facto des fonctionnaires et leurs patients ne payaient rien. Xénophon précise dans les Mémorables que les jeunes praticiens désirant s’établir à Athènes devaient dans un exposé public présenter leur expérience et nommer leurs maîtres, lointaine préfiguration de la reconnaissance des diplômes et du contrôle de la profession. Dans beaucoup de cas, le praticien était un “libéral” et son sort était alors plus précaire. La rémunération des iatroi était alors très variable… Le revenu des médecins de l’époque pouvait être beaucoup plus modeste car, à vrai dire, aucune règle générale n’existait. Aristophane laissera même entendre que les praticiens se faisaient rares dans les villes, “où ils ne sont presque pas payés”. Quand l’État les prenait en charge, un impôt spécifique, l’iatricon, pouvait être levé pour payer les médecins qui bénéficiaient en outre de diverses exemptions fiscales… »

Rappelons que les médecins de cette époque, avant de se sédentariser, étaient itinérants. Ils se déplacent de ville en ville pour offrir leurs services, pourquoi ne pas y revenir ? Tout est dit, meilleures rémunérations, exemptions fiscales, facilités diverses…




Il faut stopper les injections géniques immédiatement !

Par Nicole Delépine

Ne soyons pas complices par notre silence. Informons !

Alors que le gouvernement veut nous faire injecter les petits, il nous incite finalement à refaire un tour des effets secondaires et c’est très dur à supporter après quelques vidéos seulement. Alors, allez voir, préservez amis, voisins, enfants. Il faut qu’ils sachent !

TERRIBLE, TOUS CES GENS ENFERMÉS DANS LEUR CORPS.

après deux doses

https://twitter.com/i/status/1617535332022644739

C’est hallucinant d’entendre le Dr Aseem Malhotra regretter d’avoir fait ses deux doses de #Pfizer et d’avoir poussé les gens à la vaxxination. Combien sont-ils à avoir été si peu méfiants, si peu professionnels face à un vaxxin ARNm en phase expérimentale ?

Eric Archambault @EricArchambaul7
Dr. Aseem Malhotra : Les personnes blessées par les vaccins ont été victimes d’une mise en scène.
https://foxnews.com/video/6319004321112#

IL NE FAUT PAS S’ÉTONNER DES EXEMPTIONS :

Et du mutisme de Pfizer et Bourla :

Les multiples manifestations à l’étranger pour exiger l’arrêt définitif des injections sont tues par nos médias

Et en France les affiches d’enfants et adultes décédés viennent informer les habitants de nombreuses villes. Qui peut encore dire qu’il ne savait pas ? Qui peut sacrifier son petit par une injection inutile et dangereuse ? Qui peut encore injecter ce poison ? Quel pharmacien, infirmier, sage-femme, médecin peut prendre ce risque ne serait-ce que par rapport à sa conscience ?1

À Dusseldorf :

LA VÉRITÉ SI LONGUE À APPARAÎTRE DEVIENDRAIT-ELLE AVEUGLANTE ?

Hélène Banoun @BanounHelene
Un ex-expert de la FDA quitte celle-ci et demande le retrait des vaccins Covid ! Faîtes tourner !
Un espoir que les « autorités » françaises voient ce qu’elles ne veulent pas voir ? @HAS_sante @ansm
@Sante_Gouv

Rien n’est gagné, mais la parole se répand même si elle n’est pas encore acceptée : voir ce bel édito du président du conseil de l’ordre de Dordogne de novembre 2022 et qui a dû démissionner !

On pourrait multiplier les témoignages édifiants.

Mais lisez le livre de Pierre Chaillot pour comprendre comment on vous a trompé :

Et voir le film DIED SUDDENLY :

QUI PEUT ENCORE INJECTER, SE FAIRE INJECTER, OU FAIRE INJECTER À SON ENFANT CE POISON ?


1 Sans oublier le risque médicolégal quand les autorités comme en Australie et en Autriche se rabattront sur les injecteurs en cas de plainte, via l’absence de consentement éclairé




Big Pharma et son hégémonie via l’autoritarisme des agences : un phénomène qui date des années 2000

Par Nicole Delépine

Après trois ans de coma mondial, hypnotique, lié à l’instrumentalisation dramatique du covid19, certains scientifiques se réveillent et critiquent le fonctionnement du circuit du médicament. Tel le papier de Claude Janvier dans mondialisation.ca qui attire fort justement l’attention sur les excès de consommation1 inadaptés aux besoins sanitaires réels.

De fait, la réalité est gravissime depuis les années 2000, avec suppression de l’autorisation d’utiliser des schémas thérapeutiques qui ont prouvé leur efficacité en plus de trente ans d’expérience avec des médicaments devenus peu chers depuis qu’ils sont génériquables. Sur ordre de l’INCa, ces traitements rodés sont remplacés par des essais thérapeutiques systématiques de nouvelles drogues à prix non limités.

Les réunions pluridisciplinaires instaurées par les plans cancer de 2003 permettent l’illusion d’un choix pour les patients qui se croient bien entourés, mais imposent de fait les molécules choisies par les autorités administratives et leurs complices adoubés par Big Pharma.

Cette situation qui a fait chuter la qualité des soins en France a été signalée depuis les années 2000 par de nombreuses tribunes et de nombreux ouvrages (tels ceux du Pr Even,2 ancien doyen de l’hôpital Necker-Enfants malades, de Marcia Engels3 ancienne rédactrice en chef du NEJM démissionnaire après le scandale du VIOXX4, de Peter Goetsche5 éminent fondateur de la fondation Cochrane récemment rachetée par Bill Gates qui a évincé son créateur). Les auteurs de tous ces livres sur l’impact de la capture des agences sanitaires par Big Pharma et sur l’extension autoritaire de leurs pouvoirs sur la pratique médicale n’ont pas été entendus. Nous avons traité dans « soigner ou obéir »,6 en 2016, des conséquences dramatiques des ingérences de la bureaucratie (ARS, HAS, INCa et x observatoires) dans les prescriptions médicales. Le système de santé ne pourra renaître qu’en limitant fortement l’influence des politiques et de la bureaucratie sur l’activité médicale jusque dans les prescriptions.

La population a été témoin de la dérive pendant la crise covid quand les politiques ont interdit aux médecins d’aller soigner leurs malades et de leur prescrire les médicaments efficaces, peu chers et non toxiques.

« Si les masques marchaient véritablement,
ils auraient été bannis… juste comme l’Hydroxychloroquine »

Un essai remplace l’autre

Il n’est plus possible en France, du moins en cancérologie, d’appliquer un schéma connu aux résultats publiés depuis des lustres, tant le monopole des traitements imposés à tous les centres du cancer est hégémonique. Ainsi, des maladies curables à plus de 80 % pour l’ostéosarcome ostéogénique par des traitements individualisés datant des années 80 et de la grande révolution thérapeutique en cancérologie voient leur pronostic global chuter à 60 % dans le meilleur des cas. Les exemples sont légion dans le domaine de cancers autrefois largement curables comme le cancer du sein.

Les malades concernés par le monde du cancer ont vite appris les termes récurrents de « protocoles », de réunions obligatoires qui décident du traitement sans que ni eux ni leur médecin traitant ne soient entendus. En pratique, les protocoles sont identiques de Lille à Marseille en passant par Lyon et Brest et il est devenu impossible d’obtenir un traitement adapté à la personne et à ses choix, même en faisant le Tour de France.

Ils ont vite aussi entendu les qualificatifs de « ringards », dépassés quand ils proposent d’envisager sur proposition d’un collègue ouvert une chimiothérapie classique comme le CMF par exemple pour le cancer du sein. Ces femmes malades auxquelles on a dit qu’il ne restait que « les soins palliatifs » (et bientôt l’euthanasie), après trois essais de « drogues nouvelles » sont horrifiées de découvrir que leur jeune oncologue ne leur propose pas ces schémas anciens et souvent efficaces (souvent il ne connaît pas même leur existence) et les envoie à la mort sans se battre avec les moyens connus. Effectivement, les prix des vieux médicaments sont ridicules (quelques dizaines d’euros) comparés aux milliers d’euros des nouvelles drogues.

Big Pharma fait la loi à l’hôpital public et privé (tous administrés par les ARS) et les médicaments de ville sont soumis à la même loi du marché.

Nouveau moyen complémentaire, le rôle des influenceurs du web est justement mis en exergue par Claude Janvier.

Mais le drame de la surconsommation de médicaments inutiles et dangereux (et en conséquence de l’abandon de traitements efficaces) ne date pas de la croissance des réseaux sociaux, mais bien de la détermination des puissants, décideurs officiels et leurs amis de Big Pharma à imposer les nouvelles drogues à prix délirants par le monopole des décisions et des autorisations ARS de traiter entre autres des patients cancéreux.

Feront-ils à leur tour l’objet d’une plainte en justice comme vont l’être Marc Blata et sa compagne Nadé7 installés à Dubaï, accusés par le collectif AVI (Aide aux victimes d’influenceurs) d’« escroquerie en bande organisée et abus de confiance » ?

À l’hôpital et en ville, l’argent est ROI

L’exemple de « Ozempic » antidiabétique. (ibid 1)

« Son concepteur, le laboratoire Danois Novo Nordisk, aimerait bien le hisser en haut du podium des jeux du même nom ou presque. Sa substance active est la Sémaglutide. Des “influenceurs” dans les réseaux sociaux n’hésitent pas à vanter ses mérites pour la perte de poids. Dans un article de “Trust my Science du 8 juin 2021”, ayant pour titre : “Un traitement contre le surpoids et l’obésité ultra-efficace approuvé par la FDA”, le traitement miraculeux coûte une “blinde”, — 1300 $ par mois —, et les effets secondaires sont des nausées, des diarrhées et des douleurs abdominales ».

Les influenceurs des Réseaux Sociaux8

« Depuis plusieurs mois, les propriétés coupe-faim de l’antidiabétique Ozempic (Sémaglutide) font l’objet d’une communication virale, et son détournement à des fins amaigrissantes sauvagement promu sur les réseaux sociaux provoque des tensions d’approvisionnement délétères pour les patients diabétiques. Le phénomène n’épargne plus la France »

Selon Claude Janvier :

« L’univers de la communication et de la propagande est à géométrie variable. Tout est permis quand vous êtes du “bon côté”. Pas de censures, pas de risques d’exclusions des réseaux sociaux, pas de plaintes déposées par les labos, pas de mise en garde des GAFAM.

Même la publicité pour “Copenhague Pride” est vantée dans la page Facebook de Novo Nordisk. Extrait : “20 août 2022 : plus de 500 collègues se joignent au défilé de Copenhague Pride pour célébrer la diversité, l’inclusion et l’amour. Tant de joie dans les rues. Souvenons-nous de cela tous les jours et transformez-le en action pour tous.” 

Il y aurait à peu près 100 000 influenceurs en France. Mais qu’est-ce qu’un influenceur ? Ce terme désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment dans les réseaux sociaux. »

En laissant le champ libre ou presque à leurs influenceurs VRP, Novo Nordisk, comme d’autres laboratoires pharmaceutiques, peuvent mettre en danger la vie d’autrui, tout en empochant des bénéfices juteux. Comme trop souvent, le risque est minimisé et le dividende est roi ».  

Si le rôle d’influenceurs est néfaste, il faut se demander qui ont été les principaux « influenceurs » et créateurs de fake news pendant cette période covid si ce n’est le gouvernement via les publicités (mensongères) sur la conduite à tenir (ne pas aller voir votre médecin, et appeler le 15 si aggravation) et surtout les litanies sur l’intérêt de l’injection pour protéger les grands-parents… (tous vaccinés tous protégés, vaccins efficaces à 95 %, sans risques…)

Aujourd’hui encore alors que chacun sait que cette piqûre dangereuse ne protège de rien, même pas des contaminations, la DGS tente de nous faire injecter les enfants de 6 mois à 4 ans qui seraient dans l’entourage d’une personne immunodéprimée !

Qui est donc le plus gros influenceur en France en ce moment ?

Quelques exemples du détournement du rôle des médicaments par la loi du marché au service de la finance et non de la santé

Le blog du pharmacien François Pesty donne de nombreux exemples de la dérive depuis les années 2000.

Extraits : « 15/09/20179 — Comment 8 firmes ont-elles triché, avec la complicité de rhumatologues et la crédulité des agences, pour faire croire à la supériorité de leurs nouvelles biothérapies sur HUMIRA® dans le traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde après échec du méthotrexate ?

Nous connaissions les médicaments “me-too”, il faudra désormais aussi composer avec les essais cliniques “me-too”…

Dans l’ordre alphabétique, Bristol-Myers-Squibb, Janssen Biologics (Groupe Johnson & Johnson) en partenariat avec GSK, Lilly, Pfizer, Roche (en co-promotion avec Chugaï Pharma France), et Sanofi, sont les 8 firmes pharmaceutiques tricheuses. »

Dans l’ordre chronologique de la tricherie répétée, organisée, voire concertée, voir directement le tableau du site de François Pesty et les commentaires :

Illustration avec OLUMIANT®, bariticinib, de la firme américaine Lilly :

En effet, ce mardi 12 septembre 2017, le JO publiait 3 textes réglementaires concernant les 4 présentations de cette toute nouvelle spécialité pharmaceutique :

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux assurés,

— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux collectivités

— Un avis relatif au prix d’OLUMIANT®, JO du 12 septembre 2017

« Les prix étant applicables 4 jours après la publication au JO, nul doute que des rhumatologues vont se ruer pour prescrire cette nouvelle biothérapie, à plus de 9 000 € de coût de traitement annuel ».

LE SYSTÈME INFLATIONNISTE DE LA LISTE EN SUS ET DE LA T2A

La liste en sus qui ne devait qu’être transitoire ou au moins limitée, toujours en cours, permet toutes les dérives. Voici ce qu’en disait le pharmacien François Pesty10 en 2011

« La liste des médicaments onéreux (prévue à l’article L.162-22-7 du Code de Sécurité Sociale), qui avait originellement vocation à faciliter l’accès pour tous les patients aux innovations thérapeutiques forcément coûteuses, représente aujourd’hui 40 % à 60 % de la dépense totale en médicaments des grands centres hospitaliers, universitaires ou non. Une dépense totale qui a plus que doublé en à peine dix ans, en grande partie avec la création de cette liste.

Selon les estimations de l’ATIH (agence), ces médicaments et DMI (dispositifs médicaux implantables) onéreux auraient représenté 2,727 milliards d’euros de dépenses en 2010 (Source : Les réalisations de la campagne budgétaire 2010. ATIH. 29/07/2011)

Ici même, dans un article du 18/08/2011 intitulé “La liste des médicaments onéreux : Propositions pour réformer un système dispendieux, opaque, irrationnel et non éthique, qui profite bien plus aux firmes qu’aux patients, nous avions présenté le tableau édifiant de la “minceur” du progrès thérapeutique réellement apporté dans leurs principales indications AMM par les 10 molécules anticancéreuses les plus coûteuses en 2008 et 2009 selon les chiffres de l’INCa (Institut national du cancer) et d’après les évaluations de l’amélioration du service médical rendu (ASMR) effectuées par la commission de la transparence de la HAS (Haute Autorité de Santé). »

Cette liste dispendieuse qui devait être remaniée, supprimée, limitée, est apparemment toujours en cours.

« Note en juillet 2022 11: Notice d’information relative à la procédure d’inscription et de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L162-23-6 du code de la sécurité sociale.

Résumé : Cette notice d’information a pour objet de décrire la procédure de demande d’inscription ainsi que la procédure de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale, dites listes “en sus”, en application des articles R. 162-37 à R. 162-37-5 ou R. 162-34-12 à R. 162-34-15 du même code. »

Source > ATIH, données ScanSanté. Éditions 2019 DREES

Cette gabegie ne fait que se poursuivre :

« En 2017, la dépense pour les médicaments et dispositifs médicaux figurant sur la liste des produits et prestations pris en charge par l’assurance maladie obligatoire en sus des prestations de séjour et d’hospitalisation, dite “liste en sus”, s’élève à 5,4 milliards d’euros. Cette dépense a augmenté de 8,5 % par rapport à 2016, et de 30 % en cinq ans, bien plus rapidement que l’ensemble de la consommation des soins hospitaliers (+9,8 % depuis 2012) »

« Elle représente 5,8 % de la consommation hospitalière et se concentre sur un faible nombre de médicaments et de dispositifs médicaux ».12

Les traitements anticancéreux et pour les maladies auto-immunes représentent 80 % des remboursements de la liste en sus.

Deux classes thérapeutiques de médicaments comptent pour 80 % de la dépense totale : les antinéoplasiques (L01, médicaments anticancéreux), pour un peu plus de 60 %, et les immunosuppresseurs (L04, traitements pour les maladies auto-immunes), pour un peu moins de 20 %.

La classe des antinéoplasiques augmente fortement en 2017 (+21 %), s’élevant à 2,1 milliards d’euros. La dépense pour les immunosuppresseurs recule légèrement en 2017 (-1 %), pour s’établir à un montant de 640 millions d’euros. D’autres classes ont un poids non négligeable sur la dépense en 2017 : — les sérums immunisants et immunoglobulines (J06) : 8 % de la dépense les autres produits liés au tractus digestif et au métabolisme (A16) : 5 % ; — les antihémorragiques (B02) : 4 % ; — les antimycotiques (J02) : 3 %.

AGENCES, AUTORISATIONS

Le drame est bien sûr l’autorisation du remboursement de médicaments au service médical rendu nul (ASMR V) ou faible, via les très probables conflits d’intérêts multiples et dénoncés depuis tant d’années.

$*

Conflits d’intérêts et risques sanitaires13

« L’objet social des firmes pharmaceutiques est, comme pour toute entreprise, de réaliser des profits en vendant un produit. Et elles y excellent : la pharmacie est de loin le secteur industriel le plus rentable. La marge sur les médicaments phares (“blockbusters”) atteint ainsi 80 % (1), selon l’enquête sectorielle réalisée par la Commission Européenne. De surcroît, c’est un secteur peu sensible aux cycles économiques, moins risqué que la plupart des secteurs industriels. Ainsi la valorisation boursière de Roche a augmenté de 8,1 milliards d’euros en 2013, en pleine crise économique. Les actions des firmes pharmaceutiques figurent systématiquement dans les portefeuilles des gestionnaires de fonds, en tant que valeurs “défensives”.

« Cette économie de rente a été rendue possible grâce à la conjonction de deux stratégies : l’évitement du risque de recherche, en chargeant la recherche publique et les PME de tous les risques de recherche fondamentale, et l’éviction du risque réglementaire en capturant les autorités chargées de réguler le secteur (Agence Européenne du Médicament, ANSM notamment).

Le marketing, dont l’essentiel consiste en l’établissement de liens d’intérêts avec les professionnels de santé, est une activité indispensable pour servir efficacement cet objectif. Cette activité est tellement stratégique qu’elle engloutit en France 3 milliards d’euros par an selon un rapport de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) de 2007. Un chiffre à comparer au déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale, de 4,6 milliards la même année, et qui représente en moyenne pour un laboratoire le double de son investissement en recherche.

Grâce à l’établissement de liens étroits au sein même des autorités de santé — Agence européenne du médicament (EMA) ou Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la mise sur le marché, Comité Économique des Produits de Santé (CEPS) pour la fixation du prix, Direction Générale de la Santé (DGS) pour le remboursement (cf. chapitre 3) — le contrôle réglementaire n’est plus qu’une formalité sans surprise : 95 % des demandes d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) déposées auprès de l’EMA sont accordées. En France, la procédure de dépôt de prix permet à une firme de fixer unilatéralement son prix, même pour une innovation mineure (ASMR IV) ».

D’après la revue Prescrire, entre 2002 et 2016, les nouveaux médicaments : 1 % apportent une avancée réelle, 6 % présentent un avantage, 56 % n’apportent rien de nouveau, 15 % ne devraient pas être autorisés.

ÉVIDEMMENT LES SCANDALES SE SONT MULTIPLIÉS

Mais sans le moindre effet, comme le démontre chaque jour un peu plus le drame des effets secondaires dissimulés des injections géniques Pfizer, laboratoire déjà tellement condamné avant ces pseudovaccins !

Quelques exemples :

En 2007, Merck a sciemment dissimulé les complications cardiovasculaires du Vioxx (rofécoxib) et a payé 4,85 milliards de dollars pour éteindre les actions collectives en justice aux États-Unis.14

En 2012, GSK (GlaxoSmithKline) a payé une amende de 3 milliards de dollars pour avoir notamment dissimulé les effets indésirables de la rosiglitazone (Avandia) à la FDA (Food and Drug Administration).

En avril 2014, une enquête de l’EMA a montré que la firme Roche avait dissimulé des dizaines de milliers d’effets indésirables de plusieurs de ses médicaments.

Récemment, la crise des opioïdes, qui correspond à l’augmentation rapide de l’usage d’opioïdes a déjà fait des centaines de milliers de victimes par overdose, aux États unis principalement et au Canada15.

Le scandale a été sanctionné financièrement : le laboratoire Johnson & Johnson et trois gros distributeurs américains de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars pour solder des milliers de litiges16, le cabinet Mac Kinsey 573 millions de dollars pour solder des poursuites judiciaires, mais aussi pénalement avec une peine de cinq ans et demi de prison de John Kapoor, fondateur d’Insys Therapeutics, Reconnu coupable d’association de malfaiteurs17.

ALORS SI LES RESPONSABLES POLITIQUES AVAIENT ÉTÉ EN CHARGE DE LA SANTÉ DES POPULATIONS ET NON PAS DE LA FINANCE MONDIALE, AURAIENT-ILS LAISSÉ FAIRE PFIZER OU MODERNA ?

Le passif judiciaire de PFIZER, c’est un poème à lui tout seul !

La seule solution pour sortir vraiment de la destruction du système de la santé en France (et en Occident) est de lutter contre les conflits d’intérêts et les liens funestes entre industrie pharmaceutique, lobbies auprès des assemblées nationales ou européennes, ONU, etc.. , bureaucratie et dirigeants du monde.

Regardez qui était à Davos et n’a d’ailleurs pas répondu aux questions de journalistes ?

Et qui met en exergue ces conflits d’intérêts dans toutes les manifestations afin que le peuple SACHE ENFIN ?

Comme en Angleterre en ce 22 janvier ?





Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Par Nicole Delépine

Protéger vos enfants, conseils pratiques de R J Kennedy et de son équipe

Les Américains comme les Européens, dans le cadre de la normalisation de l’Occident aux ordres de la mondialisation de Davos et cie, voient leurs libertés chèrement acquises depuis deux siècles, fondre au soleil malgré leur inscription dans le marbre de la Déclaration des droits de l’homme et la chartre de l’ONU.

L’équipe de l’avocat RJ Kennedy, président du Children’s Health Defense, a publié fin décembre quelques conseils aux parents pour tenter de préserver leurs enfants des ravages de la pensée unique et de la manipulation à l’école, ou via le cinéma, les séries, et les réseaux sociaux. Nous vous partageons ici quelques extraits de leurs suggestions, vous invitant à lire la totalité du texte de « the defender » :

Pour nos enfants et leur avenir, stoppons la marche vers l’état policier à la chinoise

Voici quelques propositions à l’intention des parents pour aider les enfants à résister à la pression de la « conformité » proposées dans l’article de The Defender1.

The Defender revient sur les contraintes imposées aux familles depuis le début de la crise covid « de la part des gouvernements, des écoles, des fondations, de Big Tech, de Big Pharma et d’autres pour détourner, blesser ou détruire l’esprit et le corps des enfants ».

Pour les auteurs de cet article, ces agressions contre les enfants — et adultes — sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme largement financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, du scoring social et de « la surveillance et le suivi complet de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».

Lors du rassemblement « Defeat the Mandates »2 en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé : « ils viennent pour nos enfants ». Et malheureusement les pouvoirs publics ont poussé avec l’aide de trop d’organisations à l’injection des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants harcelés tout au long de l’année.

Ces injections sont à l’origine de complications graves, mais restent recommandées par nos gouvernants malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence. Les parents cherchent donc des solutions pour épargner leurs enfants.

Choisir l’enseignement à domicile

Dans une série en neuf parties écrite au début de l’année, la journaliste Corey Lynn, de Corey’s Digs, a décrit les efforts globaux d’ingénierie sociale — « formation à l’obéissance » — déployés de manière coordonnée dans 110 pays, en partie par le biais de programmes scolaires d’« apprentissage social et émotionnel ».

Mis en œuvre par des éducateurs, des conseillers et d’autres professionnels dans « les écoles publiques, les écoles à charte, les programmes extrascolaires, les camps d’été, les écoles virtuelles et l’enseignement à distance », l’objectif est, selon Lynn, « de former les esprits, de réguler les émotions, de contrôler les comportements, d’inculquer des croyances tordues et de constituer une main-d’œuvre obéissante ».

La cinglante dénonciatrice de l’éducation Charlotte Thomson Iserbyt, ancienne conseillère politique principale du ministère américain de l’Éducation, aujourd’hui décédée, a décrié « l’abrutissement délibéré de l’Amérique » et a retracé le passage du système éducatif « de l’académie à la modification du comportement » depuis au moins 1965.

Même les écoles privées, sous la coupe de l’Association nationale des écoles indépendantes [National Association of Independent Schools], semblent avoir perdu tout vestige d’« indépendance », les contrats d’inscription interdisant aux parents de « [voicing] désaccord profond avec la politique ou les programmes de l’école, sous peine d’expulsion ».

En réponse à l’imposition désastreuse par les écoles de mesures telles que l’apprentissage à distance et le masquage en 2020, un nombre record de familles se sont tournées vers l’enseignement à domicile aux USA, avant COVID-19, environ 3,4 % des enfants d’âge scolaire étaient scolarisés à domicile, mais au début de l’année scolaire 2020-2021, l’estimation du Bureau du recensement des États-Unis était passée à 11,1 %. L’enseignement à domicile est aujourd’hui la forme d’enseignement qui connaît la plus forte croissance aux États-Unis.

Arrêtez l’empoisonnement 3

(…) Une masse critique de parents vient à considérer les vaccins comme un « truc d’escroc », comprenant que les promesses de sécurité des vaccins étaient fausses et empreintes de conflits d’intérêts bien avant l’arrivée des vaccins contre la COVID-19 — et en fait, depuis le tout début des programmes de vaccination des enfants.

Les auteurs conseillent également aux parents désireux d’effectuer le propre parcours nutritionnel et sanitaire de leur famille « constateront qu’il est peut-être à leur portée de réduire, voire d’éliminer complètement, l’exposition de leurs enfants à d’autres poisons courants tels que les additifs alimentaires, le glyphosate, les pesticides organochlorés et organophosphorés et les médicaments en vente libre comme l’acétaminophène, dont les dangers sont largement sous-estimés ».

Réduire le temps passé devant l’écran

Les Américains parlent de déficit des enfants du temps passé avec la nature.4

« Avec l’aggravation des habitudes des enfants face aux écrans au cours des dernières années, le déficit de nature est devenu un “sujet brûlant. Des chercheurs inquiets décrivent également comment les écrans supplantent des “activités bénéfiques pour le développement aussi fondamentales que le sommeil, l’activité physique, les interactions familiales et la lecture de livres ».

L’addiction aux écrans ou aux médias sociaux

Aux USA, The Defender met en lien les conséquences toxiques des addictions aux écrans avec les insomnies, les troubles de l’alimentation et les suicides, etc. Sont apparues des poursuites judiciaires alléguant que les sociétés de médias sociaux déploient « agressivement » des algorithmes conçus pour rendre les enfants et les adolescents dépendants.

ÉVITER LA CONTAMINATION PAR LES RÉSEAUX DE PSEUDO-TROUBLES DU GENRE

L’article insiste aussi sur le rôle majeur des dits « influenceurs sociaux » qui joueraient un rôle important dans l’apparition d’une épidémie de « dysphorie de genre » qui évolue à toute vitesse et du jour au lendemain pour certains enfants, même très jeunes, en même temps que certains de leurs petits camarades et depuis quelques années également dans notre France jusque-là relativement épargnée5. Catherine Austins, de « Financial Rebellion » et du Solari Report, explique que :

« Les enfants sont la cible de certaines des personnes les plus puissantes et des technologies les plus dangereuses de la planète ».

C’est aux parents de « comprendre cela et de les protéger ».

Apprenez aux enfants à utiliser de l’argent comptant, pas du plastique

Il serait très important d’expliquer à toutes les générations, mais en particulier aux jeunes, de l’utilisation de la monnaie numérique qui permettrait le contrôle total de toutes les transactions et aux banques centrales d’activer et de désactiver l’argent des gens à volonté.

Malheureusement, les jeunes générations se dirigent résolument vers cette vision dystopique. Selon une étude réalisée par Capital One en 2021, les milléniaux « délaissent de plus en plus les dépenses en espèces » au profit des systèmes de paiement numériques.

« Mme Fitts est une fervente partisane de la revitalisation de l’utilisation de l’argent liquide.

Les parents peuvent aider en étant eux-mêmes des modèles d’argent liquide, mais aussi en faisant en sorte que leurs enfants “commencent à manipuler de l’argent liquide dès leur plus jeune âge”.

En 2015, la rédactrice en chef Janet Bodnar du Kiplinger’s Personal Finance a estimé que “l’utilisation d’argent comptant est le meilleur moyen d’amener les jeunes esprits à penser sagement à l’argent”, y compris les adolescents plus âgés qui peuvent bénéficier de “la discipline de la gestion d’une réserve d’argent réel”.

Mme Bodnar a rejeté comme imparfait l’argument parental selon lequel le plastique peut enseigner aux enfants la “responsabilité financière”.

Un expert britannique en mathématiques a déclaré au Guardian en 2021 : “Être capable de manipuler de l’argent et d’acheter quelque chose soi-même est très spécial : cela renforce votre confiance avec l’argent.” »

Ne tombez pas dans les pièges de la santé mentale

Comme l’a récemment souligné The Defender, la surveillance psychiatrique du berceau à la tombe est un « outil furtif de contrôle social, et risque également d’avoir des conséquences stigmatisantes et potentiellement mortelles comme le surdiagnostic, la surmédicalisation et la surmédication. »

Selon la CCDH :

« Le dépistage de la santé mentale pose aux jeunes étudiants des questions embarrassantes, personnelles et potentiellement bouleversantes que les psychiatres ont formulées de telle manière qu’aucun étudiant ne pourrait échapper à l’étiquette de malade mental à un moment ou à un autre de sa scolarité. »

La CCDH ajoute : « Ces questionnaires peuvent déboucher sur une intervention psychologique ou psychiatrique dans la vie d’un enfant et de sa famille — souvent contre leur gré ou sous la menace. »

Il faudrait « s’unir pour faire expulser le dépistage psychiatrique des écoles ».

Cessez de financer l’ennemi

L’auteure Naomi Wolf a récemment bravé l’université de Yale, en démontrant que « le vaccin contre la COVID-19 imposé par l’université transforme les étudiants en “otages médicaux” et constitue un trafic d’êtres humains. »

Dans son compte rendu de la visite à Yale, Mme Wolf décrit les conversations avec les parents, qui ont déclaré que « leurs enfants les avaient suppliés de ne pas parler, de ne pas appeler le doyen, de ne pas plaider en leur faveur pour les protéger de ces injections, de quelque manière “que ce soit”, par crainte de représailles et d’expulsion. »

Les parents ont le devoir de s’assurer que leurs jeunes comprennent ce qu’ils échangent contre le prestige — y compris, potentiellement, leur santé, leur fertilité future ou leur vie.

(…) les parents qui donnent à leurs étudiants actuels ou futurs la permission et le courage de fuir tout établissement d’enseignement supérieur qui se montre prêt à les empoisonner et à les priver de leurs libertés constitutionnelles peuvent offrir à leurs enfants une leçon de vie encore plus puissante.

Dites non à la grille de contrôle

Selon les mots de M. Kennedy :

« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »

La source originale de l’article intégral est The Defender
Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2023


1 Par Children’s Health Defense Mondialisation.ca, 07 janvier 2023 The Defender, 22 décembre 2022

2 Contre les obligations. S’opposer aux obligations vaccinales.

3 https://nouveau-monde.ca/stop-a-la-roulette-russe-pour-les-petits-via-linjection-covid/

4 En 2006, l’auteur Richard Louv a inventé le terme « trouble déficitaire de la nature » dans le sous-titre de son livre « Last Child in the Woods » : la « génération branchée » a imprudemment privilégié les écrans au détriment du temps passé dans la nature

5 L’auteur Abigail Shrier recommande dans son livre, « Irreversible Damage: The Transgender Craze Seducing Our Daughters », de ne pas donner de smartphone à sa fille.




Stop à la roulette russe pour les petits via l’injection covid

Par Nicole Delépine

À l’heure où l’extrême toxicité potentielle de certains lots de « vax » anticovid (la roulette russe) déferle sur tous les médias mondiaux dont certains mainstream, ce que nous — médecins et soignants — recevons de la direction générale de la santé (DGS) nous invite à vous parler une nouvelle fois des risques des injections anticovid chez les enfants, de plus parfaitement inutiles pour une maladie curable par de simples médicaments et n’ayant aucun risque létal chez l’enfant tout particulièrement.

Courrier en date du jeudi 19 JANVIER 2023 alors que défilent des millions de personnes dans les rues de France pour s’opposer à la réforme des retraites et plus globalement s’opposer à la politique gouvernementale. « [COVID-19] DGS-Urgent n°2023_03 : Ouverture de la campagne de vaccination aux enfants de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 »

On peut y lire : (extraits) :

« La Haute Autorité de santé recommande, dans son avis du 15 décembre 2022, d’ouvrir la vaccination aux enfants âgés de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 ainsi qu’aux enfants de cette même tranche d’âge vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée, avec le vaccin susmentionné.

La campagne de vaccination concerne les enfants âgés de 6 mois à 4 ans présentant au moins une comorbidité identifiée par la HAS.

La liste des comorbidités regroupe l’ensemble des comorbidités préalablement identifiées chez l’adulte comme pouvant comporter un risque de développer une forme grave de la maladie, ainsi que certaines pathologies particulièrement à risque pour cette classe d’âge, dont la liste est la suivante :

– Les cardiopathies congénitales ;
– Les maladies hépatiques chroniques ;
– Les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu) ;
– Les maladies neurologiques ;
– L’immunodéficience primitive ou induite par médicaments ;
– L’obésité ;
– Le diabète ;
– Les hémopathies malignes ;
– La drépanocytose ;
– La trisomie 21.

À ces pathologies peuvent s’ajouter des situations où, au cas par cas, sur la base d’une évaluation stricte du rapport bénéfice/risque individuel, les médecins spécialistes d’organes et de maladies rares peuvent proposer la vaccination à des enfants du fait d’une vulnérabilité conférant un risque majeur de formes graves de Covid-19.

La campagne de vaccination concerne également les enfants âgés de 6 mois à 4 ans vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée dans le cadre de la stratégie de cocooning.

La primo-vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans comprend l’injection de 3 doses de la forme du vaccin spécifique à cette tranche d’âge (3 µg/dose). Les deux premières doses doivent être administrées à 21 jours d’intervalle. La troisième injection doit être réalisée 8 semaines après la deuxième.

Même en cas d’infection au Covid-19 survenue avant le début du schéma vaccinal ou entre les différentes injections (exemple : infection survenant avant la 1re injection, ou entre la 1re et la 2e injection ou entre la 2e et la 3e injection), les trois doses devront in fine être réalisées, pour garantir une protection optimale.

En cas d’infection au Covid-19, un délai de 3 mois devra être respecté entre l’infection et l’injection. Il est important de compléter un schéma vaccinal entamé. En effet, la protection apportée par seulement deux doses pour cette classe d’âge est insuffisante. La protection est optimale après la troisième injection.

Il est par ailleurs possible de recevoir un autre vaccin du calendrier vaccinal concomitamment au vaccin COMIRNATY 6 mois 4 ans. Si ceux-ci ne sont pas administrés le même jour, aucun délai spécifique n’est à respecter entre les deux injections.

Les sages-femmes et les infirmiers diplômés d’État (IDE), notamment les IDE puéricultrices et puériculteurs, qui ont l’habitude de vacciner les enfants de cette tranche d’âge, sont autorisés à leur administrer le vaccin dès lors que celui-ci a été prescrit par un médecin.

Comme pour la vaccination des autres publics mineurs, la vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans nécessite l’autorisation des deux parents, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’enfant soit accompagné par un de ses parents. La personne qui l’accompagne doit pouvoir établir qu’elle détient l’accord parental et présenter un formulaire d’autorisation parentale dûment signé par les deux parents.

Le formulaire d’autorisation parentale est disponible ici, et devra être remis au personnel dans le lieu de vaccination. Les formulaires d’autorisation parentale sont à conserver durant 3 mois suivant la vaccination1.

La vaccination des enfants de 6 mois à 4 ans les plus à risque pourra débuter dès la semaine du 16 janvier 2023 dans les établissements de santé et services concernés. Afin de vacciner les autres enfants prioritaires, une offre de vaccination en ville est également proposée. À compter du lundi 23 janvier 2023, les officines pourront commander des flacons du vaccin Comirnaty® pédiatrique 6 mois — 4 ans (Pfizer-BioNTech) pour les médecins, sages-femmes et infirmiers diplômés d’État (IDE) qui leur en font la demande directement sur l’outil de commande de Santé publique France, en sélectionnant le libellé suivant : « VACCIN COVID 19 PFIZER PED 6M4A ».

COMMENT EN 2023 ENCORE INJECTER DES ENFANTS AVEC CETTE SUBSTANCE EXPÉRIMENTALE INEFFICACE ET DANGEREUSE ?

Rappelons une fois de plus les données de santé publique France que les enfants risquent beaucoup moins du Covid que de la grippe :

On nous invite à injecter les enfants de six mois à quatre ans « à risque » parce que porteurs de certaines pathologies. Mais ces petits ont souvent une immunité précaire qui rend les vaccins généralement inefficaces alors que les médicaments tels l’Ivermectine sans toxicité et l’hydroxychloroquine associée aux macrolides suffiraient à la guérir. Et il est maintenant bien démontré que les injections géniques anticovid baissent l’immunité et de plus en plus avec la multiplication des doses.

Comment imaginer que des médecins et sur leurs ordres des sages femmes et infirmiers vont prendre la lourde responsabilité de risquer la vie ou la qualité de vie d’enfants pour une maladie beaucoup moins dangereuse que la grippe pour eux et de plus presque disparue en Europe ?

Comment faire comprendre aux prescripteurs et injecteurs leur immense responsabilité par la confiance que leur font les familles et les dangers qu’ils font courir à leurs petits patients ?

LES TOXICITÉS SE MULTIPLIENT AVEC LE RECUL

Dernières nouvelles du VAERS au 30 décembre 2022 USA : 61 000 évènements indésirables et complications chez les enfants et bébés (6 mois — 17 ans) rapportés par l’agence dépendant de la FDA dont 179 enfants décédés à la suite des injections géniques

Selon le sénateur Ron Johnson

14 janv.

« The VAERS data for children aged 0-17 shows 179 deaths, 575 permanent disabilities and 61,983 adverse events. How many more will it take for

@CDCgov

to admit the truth? » quand le gouvernement américain va-t-il admettre la vérité ?

En UE on connaissait clairement le danger dès janvier 2022
EN UE, EN JUILLET 2022

Des décès chez les enfants après injection génique CONTINUENT à être signalés. Comment la Commission européenne en oct 2022 et à sa suite la HAS peuvent-elles oser recommander ces injections possiblement létales chez de jeunes enfants qui ne risquent rien du covid (même les enfants présentant une comorbidité sont très peu à avoir été véritablement impactés par le covid, moins de dix morts par an).

@El_Dic_TatoR 25 juil. 2022
Plus de 37 000 effets secondaires d’enfants en Europe après vaccination E.M.A (EudraVigilance)
Moderna 2 328
Pfizer 33 311
AstraZeneca 1 240
J&J 187
Le reste des effets secondaires des enfants est volontairement caché dans la catégorie « Âge non spécifié » : 106 304

Et les rapports s’accumulent s’ajoutant aux vécus quotidiens de nombreuses personnes : des parents dont les jeunes enfants ou adolescents décèdent lors d’un match de foot ou d’une compétition de boxe… Les sportifs du monde entier sont atterrés des crises cardiaques et/ou morts sur le terrain. Certains demandent des enquêtes afin que la tragédie s’arrête.

On pourrait multiplier les témoignages et les analyses et de nombreux livres sont en cours de rédaction, accumulant les observations et les déclarations en justice.

Mais nous n’avons pas le temps d’attendre. Ces injections doivent cesser MAINTENANT.

Ou encore ce médecin ému aux larmes :

@ONG_AHSI
17 janv. #STOPvaccincovid19
Pr Abdullah Al Abdulgader, éminent cardiologue, appelle toutes les nations à stopper les injections à ARNm, de toute urgence. #Cardio #myocardite #AVC

Alliance Humaine Santé Internationale

Alors écoutons pour une fois la pub du gouvernement sur nos antennes (payé par nos impôts) : « un geste bien répété finit toujours par payer ».

Prenons-les au mot et répétons encore et encore que les injections à ARN messager doivent être stoppées, interdites dès maintenant et singulièrement chez les enfants2.

Participons tous au sauvetage de l’humanité, car si trop d’enfants ou de jeunes adultes sont injectés, la baisse de la fertilité déjà constatée ne fera que s’aggraver3.

En France :

Comme en Italie :

Mais aussi en Hongrie :

Ou au Japon :

Informez par tous les moyens (conversations amicales, familiales, tracts et pourquoi pas réseaux sociaux, etc.) du terrible de danger de ces pseudovaccins. Chacun, même les pluri-injectés, s’il est sollicité par un petit caillou dans son déni pourra constater la véracité de nos propos, chez un ami, un proche, etc. perte de poids rapide, perte d’appétit complète et douleurs du dos et comme par hasard encore un cancer du pancréas… Ou une rechute brutale de cancer du sein en rémission depuis dix ans, ou encore une régression psychique rapide d’un parent qui perd son chemin et ne reconnaît plus ses proches.

ET NE LAISSEZ PAS INJECTER LES PETITS ! C’EST VOTRE DEVOIR D’HUMAIN DE PROTÉGER NOTRE AVENIR.





N’ayez pas peur, le Grand Reset de Davos n’aura pas lieu !

[Publié initialement sur RL]

Par Nicole Delépine

Merci à la mathématicienne et enseignante Karen Brandin, pour son nouvel appel à sauvetage des jeunes actuellement sacrifiés sur tant de plans, en particulier éducatifs, mais aussi sociaux, culturels, etc..

La tribune https://nouveau-monde.ca/des-machines-et-des-profs/ appelle à écho par des témoignages et propositions d’autres professeurs, mais aussi d’élèves, parents, intellectuels, artisans, ouvriers, etc. afin que se lève un grand mouvement de protestation et surtout de reconstruction, sur des bases fondamentales, de l’ÉCOLE, que de nombreux « vivants » connaissent encore et ont animé, et seraient encore capables rapidement de remettre sur pied.

La grande table rase du Grand Reset n’est pas inéluctable et n’aura pas lieu(([1] « Ce projet est le Great Reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde. Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde » Le Grand Reset n’aura pas lieu – broché – Roland Hureaux – Achat Livre ou ebook | fnac.))

Au moins si nous le décidons.

Contrairement à ce que voudraient les défenseurs du Grand Reset et singulièrement les milliardaires de Davos qui pensent qu’en se protégeant avec 5000 policiers pour 2500 participants, ils auront les moyens de faire taire près de huit milliards d’individus sur terre (même en ayant sacrifié un bon nombre via les injections volontairement funestes), ILS SE TROMPENT.

Non, il faut que chacun d’entre nous arrête de croire que le pire est inévitable, inéluctable et que l’ancien monde civilisé (si riche de différents types de civilisations) va nécessairement disparaître, parce que quelques sbires richissimes déversant leurs milliards sur quelques fous faciles à trouver qui déboulonnent statues et monuments l’ont décidé, tout en tentant de se protéger eux-mêmes et leurs familles des dangers diffusés largement sur les populations.

Rappelons à cette occasion que Bill Gates n’a jamais vacciné ses enfants et que les participants à Davos viennent en jet privé piloté par des pilotes indemnes de l’injection covid(([2] Un pilote révèle : L’élite veut être pilotée par des pilotes non vaccinés – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) )). On a eu récemment la confirmation de distribution d’injections anticovid via des lots répertoriés et différents dont certains réservés à l’élite étaient, semble-t-il, sans effet(([3] https://nouveau-monde.ca/la-drole-de-repartition-des-injections-selon-catherine-austin-fitts/)).

Comme l’explique clairement Roland Hureaux (ibid 1), il ne faut pas confondre prévision avec prophétie autoréalisatrice qui conduit à penser qu’on ne peut plus rien faire, qu’ils sont « trop forts » qu’ils vont forcément gagner… et donc effacer de la terre toutes ces « bouches inutiles » et rester entre eux, entre pervers narcissiques pour profiter des biens de ce monde.

Quelle suffisance et quelles vanités, qui leur font oublier le principe de réalité ! Non, vouloir tuer des milliards de personnes avec une injection poison n’a pas marché, même si elle a réussi à en supprimer des millions et en rendre handicapés à vie d’autres millions… Ils peuvent espérer l’injecter dans quelques années via des poissons « vaccinés » ou les disperser via des nuages déversés par des avions complices ou trompés, ils ne pourront qu’échouer. Le génome constitué en milliards d’années avant de devenir celui d’un humain est probablement beaucoup plus solide que ces disciples de Satan ne l’imaginent.

Il ne suffit pas d’être cruel pour être efficace sur de larges populations. Les chimères chinoises n’ont pas survécu plus que les hommes-chèvres ou autre invention maléfique.

Le projet du Grand Reset consistait à faire disparaître tout ce qui existait « avant » : nos cultures, nos monuments, tout notre patrimoine,(([4] Qu’y gagne Mme Bachelot ancienne ministre de la Santé puis de la « culture » pour oser envisager de détruire nos églises pour dix milliards d’euros ? Son poste peut-être ? Quelle tristesse !… Nos églises sont notre culture bimillénaire et cette tentation qui rappelle celle des talibans en Syrie et ailleurs fait trembler l’athée que je suis car cela n’a aucun rapport avec nos croyances ou non-croyances, mais avec le patrimoine de l’Humanité comme les pyramides égyptiennes ou les temples chinois, etc.)) notre Histoire, jusqu’à l’héritage de nos grands écrivains et penseurs, de Victor Hugo à Stendhal, etc……..Qui est cet animateur de radio cancel qui souhaitait détruire le château de Versailles ?

Cette volonté de faire disparaître ce qui existait avant elles est la marque des idéologies totalitaires et des extrémistes religieux : chrétiens des premiers siècles qui ont martelé les fresques de la religion pharaonique, islamistes d’Afghanistan qui ont dynamité les bouddhas de Bamiyan, nazis qui ont brûlé les livres…

L’outil théorie du genre de la cancel culture pour détourner l’attention

Et la « cancel culture » venue directement des USA n’a d’autre objectif que de faire disparaître, familles, homme, femme, enfant. L’épouvantable « théorie du genre » qui agresse nos enfants(([5] « la théorie du genre agresse nos enfants, appel à la résistance » coll. avenir de la culture.)) se répand comme une peste intellectuelle depuis quelques années et s’introduit dans nos écoles. Des militants fanatiques tentent d’imposer chez nos jeunes enfants l’idée que le sexe de naissance n’a aucune importance et que dès le plus jeune âge, il appartiendrait à chacun de décider d’être femme ou homme, en fonction de l’envie du moment et que ce serait possible sans les informer que le taux de suicide des transgenres atteint 40 % (20 fois plus élevé que celui de la population hétéro sexuelle).

Il existe aux USA des « camps » transgenres pour petits garçons et, surtout dans le monde occidental dont la France, se multiplient les structures dites médicales qui consistent à prendre en charge un petit dès 3 ou 4 ans pour aller dans le sens de son désir présent, quitte à le mutiler définitivement par des gestes chirurgicaux abusifs et des injections hormonales dont les effets ne seront pas ou très peu réversibles. Business is business et de l’idéologie woke bien adaptée au marketing médical financièrement très rentable.

Comme pour l’ensemble des conséquences de l’idéologie woke, rien n’est perdu et nous devons refuser la prophétie autoréalisatrice que nous imposent les médias aux ordres, eux aussi très bien subventionnés. Près de quatre milliards d’euros de subventions à l’audiovisuel public selon le récent coup de gueule de Cyril Hanouna sur C8 menacé par la ministre de la « Culture » franco-libanaise qui prévoit de le priver d’antenne. Car bien évidemment le wokisme ne peut s’imposer qu’à l’aide d’une propagande et d’une censure forcenée dont RT France et France Soir sont déjà des victimes expiatrices. Mais la prise en main de Twitter par Elon Musk a jeté un sacré pavé dans la mare.

Ainsi comme le suggère Karen Brandin, défendons nos enfants, et adolescents et exigeons de revenir à un enseignement de qualité dispensé par des humains capables de « sentir » et ressentir le vécu de l’élève pour le mettre sur la bonne voie. À l’évidence cette résistance à la négation de l’humain dans l’acquisition du savoir doit se développer, tant dans les matières dites scientifiques que pour la philosophie et l’histoire géographie, et bien évidemment les langues étrangères, mais aussi les langues mortes dont ceux qui ont pu en bénéficier (avant notre génération de boomers…) en disent tant de bien. Et ce ne semble pas être que de la nostalgie.

Nicole Delépine





« Coïncidence » et injection funeste…

Par Nicole Delépine

Nier l’évidence des dangers des injections géniques anticovid appelées abusivement vaccins pour poursuivre les campagnes d’injections a conduit à des articles délirants dans les médias du monde entier.



[La vidéo correspondante sur YouTube a été censurée :
https://youtu.be/Kz2ZQD_cwpk 1]

Difficile d’imaginer que cette vidéo n’est pas un gag, mais elle se contente de rassembler quelques-uns des délires mondiaux publiés par des journaux anciennement sérieux pour nier la responsabilité de l’injection génique dans les décès observés après injection anticovid, particulièrement chez les jeunes.

Mort après injection, ce n’est pas l’injection, mais une coïncidence ou la pizza !

Vous apprendrez aussi que tel étudiant est mort après avoir réussi aux examens, tel autre après la sieste ou la douche, voire le désespoir, mais aussi le rire et les plaisanteries, ou encore avoir tourné la tête trop vite… L’augmentation de la facture d’énergie, voire le partage inégal des tâches ménagères ou encore s’endormir avec la télévision allumée… pourrait provoquer crise cardiaque et accident vasculaire cérébral.

Vidéo :

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.

Alors médias de tous pays, de toute orientation politique cessez de publier ces informations grotesques, refaites du journalisme, informez objectivement afin que cesse définitivement ces injections parfois mortelles ou handicapantes à vie. Cessez la propagande de ce déni afin de sauver des vies de jeunes non encore injectés, et leur fertilité, que notre planète reste peuplée d’humains ayant échappé aux injections.

Et interrogez sans relâche nos dirigeants pour qu’ils cessent de cacher les vrais chiffres de mortalité selon le statut vaccinal !

Pierre Chaillot : « On n’a toujours pas accès aux statuts vaccinaux des morts du Covid-19 »

#SudRadio

Et honte aux dirigeants de Facebook pour la censure féroce qu’ils ont instaurée !

Quant à vos amis, vos proches injectés inquiets qui se réfugient dans le déni, tentez de les aider en les déculpabilisant et en leur conseillant une consultation chez un cardiologue honnête… (ça existe) ou au moins une prise de sang recherchant l’élévation des dimères. La découverte de petits signes anormaux permettrait un traitement précoce des complications possibles. Faire l’autruche n’a jamais sauvé personne. Les anticoagulants contre les phlébites oui !

Quant aux médias je ne peux que partager ici l’appel à la libre Belgique qu’on peut adresser à tous nos journaux, éditorialistes, commentateurs :

« À l’attention de la rédaction
De La Libre Belgique
(À Messieurs le Hodey, de Méeûs, Van de Woenstijn, Pierrard, Ducarme et Ghislain).

*LE SCANDALE PREND DE L’AMPLEUR… *

De partout, des rumeurs d’une profonde tristesse font état de décès suspects de plus en plus nombreux, morts subites, accidents ou décès cardiaques aggravés (principalement en population jeune), et d’effets secondaires très graves et variés, tous liés aux différentes campagnes d’injections à répétition contre le Covid et pratiquées à l’échelle planétaire.

Les statistiques officielles semblent converger dans l’ensemble des pays ayant fortement “vacciné” vers des taux de surmortalité de 15 à 19 %.

Comme cette vidéo tournée cette semaine à Davos le confirme, cela commence à sentir le roussi pour les principaux responsables de toute cette campagne où on a avant tout brassé des milliards d’argent public pour enrichir une clique d’industriels et politiques sans scrupule.

Aujourd’hui, Albert Bourla, Ursula von der Leyen et Fauci ; demain : les politiques et gouvernements, les médecins et experts de plateau complaisants ou corrompus… Après-demain : la presse et les médias qui n’ont pas joué leur rôle de contre-pouvoir et se sont couchés devant les ordres venus d’en haut, en faisant taire de l’information capitale (mais dérangeante, car risquant probablement de mettre à mal des subsides bienvenus)…

Ce qui se passe en ces moments troublés est capital et va prendre de l’ampleur : plus rien n’arrêtera ce qui a toutes les allures du futur plus grand scandale sanitaire et de santé publique de tous les temps.

Le judiciaire commence à être interpellé massivement dans tous les pays du monde et les cas innombrables de dégâts irrémédiables à la santé des personnes ou décès d’innocents liés à ces produits expérimentaux vont accentuer le phénomène de manière irréversible dans tous les pays.

Franchement, cela pue comme jamais depuis la libération de 1945 et l’épuration qui a suivi…

Les gens censés, et ils sont nombreux à avoir gardé (ou récupéré) leur bon sens, se rendent parfaitement compte du grand scénario qui se joue depuis trois ans et de la grande escroquerie de santé publique qui a été infligée aux populations du monde entier…

Nous pourrions écrire trois bouquins sur toutes les mesures et expérimentations débiles qu’on a fait subir aux populations… Mais heureusement, cela a déjà été fait par de grands noms de la médecine mondiale qui malgré la censure honteuse des principaux médias et autres fact-checkers corrompus à leur égard ont permis à une bonne partie de la population de garder le cap face à cette immense dérive “sanitaro” — hystérique.

Honneurs et remerciements leur soient rendus, infiniment… Ces courageux hommes et femmes d’exception nous ont permis de garder la foi dans l’Homme et la Vérité, face à ce déluge de mensonges politico-médiatiques.

Par contre, et même si c’est fort tard, il est urgent que des journaux comme le vôtre, qui porte de plus un nom prédestiné, refassent un travail sérieux et correct de réinformation.

Ce n’est pas la première fois qu’on vous écrit, mais l’absence d’articles et d’informations fiables dans vos colonnes sur tout d’abord les moyens de prévention simples et efficaces de lutte contre le virus, et puis maintenant à propos des graves effets secondaires de ces “vaccins” est inadmissible. Ce silence (omerta diront certains) soulève d’énormes questions, et révolte un nombre croissant de citoyens médusés.

On a trop caché, menti, omis (concernant le libre consentement, entre autres), et l’eau dans la marmite est en train de bouillir.

Mais sachez qu’un nombre immense de grenouilles ont sauté à temps de la casserole et ont compris : elles ne se laisseront plus faire ni s’entendre dire des mensonges ou propos débiles, car une fois la sidération passée, on se rend compte de l’ampleur irréversible des dégâts…

Puissions-nous vous conseiller, Messieurs, de faire preuve de courage et de rester du bon côté de l’histoire, au risque de faire perdre définitivement à votre journal la bien maigre crédibilité qui lui reste.

Vous remerciant d’avoir pris la peine de lire ces quelques lignes inspirées par un rejet profond de l’ambiance de mensonge dans lequel baigne une partie de l’élite occidentale d’aujourd’hui,

Bien cordialement,

Wauthier Dumont de Chassart »

À voir : la tentative d’interview de Burla, directeur de Pfizer

Les journaliste Ezra Levant et Avi Yemini lui posent des questions gênantes. Il ne veut pas répondre :

« Depuis quand saviez-vous que ce vaXin ne protégeait pas contre la transmission ? »

« Pourquoi l’aviez-vous caché ? »

« Allez-vous demander pardon (pour ce que vous avez fait) ? »

« Qu’en est-il des [morts subites] ? »

« Qu’avez-vous à dire au sujet des jeunes personnes victimes de crises cardiaques ? »

« Combien d’argent avez-vous gagné à titre personnel ? »

« À qui avez-vous versé des commissions ? »

(etc., etc. )

« LA HONTE SUR VOUS, LA HONTE SUR VOUS ! »

https://crowdbunker.com/v/xEymPoz8hU

Pour voir la vidéo en français :





L’enfumage statistique covidien en France

[Source : Sud Radio]




L’Académie de Nutrition et de Diététique américaine a accepté des millions de dollars d’entreprises de l’agrochimie, pharmaceutiques et agroalimentaires

[Source : formindep.fr]

Selon une étude publiée dans Public Health Nutrition, la prestigieuse Académie de Nutrition et de Diététique américaine (AND) a accepté des millions de dollars d’entreprises de l’agrochimie, pharmaceutiques et agroalimentaires, et a ensuite mis en place des activités visant à leur offrir des faveurs en retour. L’Académie est également actionnaire dans des entreprises alimentaires ultra-transformées telles que Nestlé et PepsiCo. L’Académie représente « plus de 112 000 praticiens accrédités ».

L’étude se base notamment sur des documents internes qui révèlent que l’Académie agit comme une « voix pro-industrie » avec des positions qui entrent parfois en conflit avec sa mission d’améliorer la santé à travers l’alimentation. Les principaux donateurs de l’Académie sont par exemple les Laboratoires Abbott, PepsiCo, Coca-Cola, General Mills, Unilever ou encore Kellogg. L’étude note que « bien que l’AND ait modifié certaines de ses politiques internes pour gérer l’ingérence et le financement des entreprises, elle continue de faire avancer les intérêts des entreprises de plusieurs manières et sert de voix à ses sponsors ».

L’étude, disponible dans son intégralité, a été co-écrite par Mélissa Mialon, professeure adjointe de recherche au Trinity College de Dublin, et administratrice du Formindep.

Quelques sponsors de l’Académie de Nutrition et de Diététique américaine



La président suisse (enfin) sur la sellette pour ses manipulations au cours de la crise Covid !

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Alain Berset, président de la Confédération helvétique et ministre de la santé, incarne à mes yeux toute la veulerie de la politique actuelle.

Menteur, manipulateur, abuseur à ses heures perdues (en paroles comme lorsqu’il a envoyé un commando lourdement armé intimider une ex-maîtresse devant son enfant terrorisé, âgé de 4 ans – avant de nommer le coordinateur de cette lamentable opération à la tête de Swissmedic !), il aura bradé les intérêts du pays au plus offrant, entre WEF, fondations du sociopathe Bill Gates, BlackRock/Vanguard et autres Big Pharma…

  • Pour lire « Il faut sauver le soldat Berset » sur l’Impertinent média : cliquer ici.

En mentant de surcroît à la population tout au long de la crise Covid : l’épidémie n’était en réalité pas plus grave qu’une grippe habituelle selon les dernières estimations et les mesures présentées comme sanitaires se sont avérées n’avoir jamais eu aucune utilité probante.

Ceci alors qu’on savait très bien ce qu’il convenait de faire !

Berset a remisé les bonnes réponses au placard tout en imposant des trains de mesures absurdes et destructrices, en se réfugiant derrière le paravent qu’elles étaient légèrement moins féroces qu’ailleurs… alors qu’elles n’auraient jamais dû être imposées !

  • Pour lire « Bilan des mesures anti-Covid par le n°1 mondial de l’épidémiologie » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.

Il aura été le destructeur servile du pays, suivant une feuille de route dont on ne peut plus aujourd’hui imaginer qu’elle n’existerait que dans l’esprit de « complotistes » : la réalité des multiples conspirations mises en œuvre dans le cadre de la crise Covid est en train d’apparaître au grand jour à la faveur notamment des Twitter Files…

  • Pour voir « Conseil Scientifique Indépendant n°86 « Complotistes » « antivax » et autres outils de contrôle de la pensée » : cliquer ici.

Utilisant une presse de connivence (privée comme publique) pour manipuler l’opinion, Berset a agi d’une manière dont la fourberie (déjà révélée en son temps par le CEO de Ringier) estomaque.

  • Pour lire « Suisse: complicité mise à nu entre le groupe de presse Ringier et la politique Covid des autorités » sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Il faut être naïf (ou déconnecté du réel) comme un socialiste pour ne pas le voir !

Je suis convaincu qu’il finira en prison, les turpitudes actuellement révélées n’étant qu’un amuse-gueule face à l’ensemble de ses tromperies.

  • Pour lire « Une épidémie… de mensonges (ou les informations-bidon du Covid) » sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Le président visé par une plainte pénale pour abus d’autorité » sur L’Impertinent média : cliquer ici.

Que sa chute prochaine nous éduque collectivement à repérer et barrer la route sans états d’âme à la manipulation ! Ainsi qu’aux lamentables compromissions qui les permettent, des parlements en passant pas les sociétés médicales jusqu’aux médias…

  • Pour lire l’article de la Radio télévision suisse « Balthasar Glättli: « Il est maintenant difficile pour Alain Berset de garder de la crédibilité » : cliquer ici.
  • Pour signer la pétition « Appel à la démission d’Alain Berset » : cliquer ici.



France — Maltraitance des aînés en EHPAD

[Source : actu.orange.fr]

Les pouvoirs publics « pas à la hauteur », selon la Défenseure des droits

La Défenseure des droits tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur les « atteintes » aux droits fondamentaux et la « maltraitance » des personnes âgées en EHPAD et estime que la réponse des pouvoirs publics n’est « pas à la hauteur ».

« Nous constatons toujours des atteintes aux droits des résidents en EHPAD (…). La réponse des pouvoirs publics n’est pas à la hauteur des atteintes dénoncées, ni de l’urgence », regrette dans un entretien au JDD Claire Hédon, qui présente lundi un rapport de suivi de 64 recommandations émises en mai 2021 pendant la crise du Covid.

Le document de mai 2021 et le livre de Victor Castanet « Les Fossoyeurs » — dont une version actualisée est attendue pour fin janvier– « ont permis une prise de conscience, pas simplement des pouvoirs publics, mais de l’ensemble de la société », souligne Claire Hédon. Mais beaucoup reste à faire.

Elle cite « une hausse des signalements » auprès de l’organisme Défenseur des droits, qui avait instruit quelque 900 réclamations durant les six ans précédant le rapport de 2021, et 181 en seulement 18 mois.

Le suivi détaillé dans le rapport a été élaboré à partir des réclamations et des « réponses apportées par les ministères et les organismes publics aux recommandations que nous leur avions adressées », précise la Défenseure des droits.

Il s’agit de « maltraitance » (43% des cas), « limitation de visites » (30%),  de « restrictions à la liberté d’aller et venir » (12%). Ces manquements concernent aussi bien le privé que le public. Or « dix-huit mois après le premier rapport, le bilan s’avère extrêmement préoccupant: 9% de nos préconisations se sont traduites par une action, 55% ont fait l’objet d’annonces mais peinent à se matérialiser, et 36% restent sans réponse », déplore Claire Hédon.

Sa recommandation principale est de fixer « un ratio minimal d’encadrement », comprenant « au moins huit soignants et animateurs pour dix résidents en EHPAD ». « En France, le rapport est de 6 pour 10, là où les pays du nord sont à 10 », précise-t-elle au JDD. Et « si vous rétablissez un taux d’encadrement normal, les aides-soignants reviendront y travailler ».

– « Isolement arbitraire » –

Selon le rapport présenté lundi, « certains soins », comme la toilette, sont « organisés dans une logique comptable pour réduire les effectifs du personnel ». Il évoque les résidents d’un EHPAD qui avaient « au mieux une douche tous les quinze jours » et restaient pour certains « la plupart du temps en blouse d’hôpital ou en pyjama ». Pour pallier le manque de personnel, l’établissement imposait « deux jours d’alitement par semaine par résident ».

Autre point noir, les confinements intempestifs dans des établissements suite à quelques contaminations au Covid. La Défenseure des droits demande de « mettre un terme aux violations de la liberté d’aller et venir » et de « rétablir le droit au maintien des liens familiaux des résidents en EHPAD » (cette question constitue 46% des réclamations reçues).

Elle cite des « cas d’isolement arbitraire de résident dans leur chambre » ou de « restrictions de visites », détaille des exemples de « prohibition de la présence d’un proche lors des repas; obligation de maintenir les portes des chambres ouvertes afin de vérifier le respect du maintien d’une distance entre les personnes; interdiction de contact physique, comme prendre la main ».

En troisième lieu, le rapport relève les faiblesses de la lutte contre les maltraitances, notamment l’absence d' »outil de mesure fiable et partagé par ensemble des autorités de contrôle ». Il demande un « dispositif de vigilance médico-sociale pour renforcer l’identification, le signalement et l’analyse des situations de maltraitances ».

Un chantier en cours puisque le gouvernement a lancé en septembre trois missions administratives pour élaborer des pistes pour mieux repérer, quantifier et prévenir les maltraitances contre les personnes âgées ou handicapées et les enfants.

Saluant le décision du gouvernement d’inspecter la totalité des 7.500 Ehpads dans le sillage du scandale Orpea, elle note « l’insuffisance de moyens humains » pour effectuer « les inspections requises ».

Annoncée en mars 2022 par le gouvernement, la publication de 10 indicateurs clés sur chaque établissement pour aider les familles à faire leur choix, se fait encore attendre.




Corruption européenne

[Source : Le Courrier des Stratèges et MPI]

Virginie Joron décrit la corruption des institutions européennes

Du Pfizergate au Quatargate, les scandales récents se multiplient et viennent démontrer l’importance de la corruption parmi les institutions européennes. Un phénomène qui n’est évidemment pas neuf. L’eurodéputé Virginie Joron livre quelques explications sur ce système de corruption.


[Source : lecourrier-du-soir.com]

Des députés européens se révoltent et convoquent Von Der Leyen à témoigner sur les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng

Dans une lettre consultée par Politico, des députés européens, membres de la Commission spéciale sur le Covid, ont convoqué Von Der Leyen, présidente de la Commission Européenne, à venir s’expliquer publiquement sur les contrats de vaccins qu’elle a signés avec Pfizer et qui sont estimés à plusieurs milliards d’euros. Les eurodéputés justifient cette décision par la nécessité de faire la lumière sur une affaire opaque qui a déclenché une vive colère au sein de l’Union Européenne 

La révolte contre Von Der Leyen reprend de plus belle. Moins d’un mois après le violent scandale qui a secoué Bruxelles à la suite de l’arrestation de hautes personnalités de l’UE accusées d’avoir été corrompues par le Qatar, l’étau se resserre autour de Von Der Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne pour son rôle dans la signature des contrats de vaccins avec le laboratoire américain Pfizer.

C’est du moins ce qu’a révélé, ce 11 janvier, le média Politico. En effet, d’après cette source qui dit avoir consulté une lettre confidentielle rédigée par Kathleen Van Brempt, présidente de la Commission spéciale sur le Covid, les eurodéputés membres de ladite commission ont pris la ferme décision de convoquer Von Der Leyen à témoigner publiquement sur les contrats de vaccins qu’elle a signés avec Albert Bourla, PDG de Pfizer.

« Les eurodéputés veulent poser des questions à Von Der Leyen concernant son rôle dans la négociation de gigantesques contrats de vaccins Covid estimés à plusieurs milliards d’euros signés au tout début de la pandémie. Elle (Von Der Leyen) aurait échangé par SMS avec Albert Bourla, PDG de Pfizer peu avant la signature desdits contrats », renseigne Politico.

Dans la lettre consultée par le média, Kathleen Van Brempt explique les raisons pour lesquelles la présidente de la Commission européenne doit témoigner publiquement. « L’Union Européenne a dépensé d’énormes ressources publiques dans la production et l’achat de vaccins durant la pandémie. Le Parlement a le droit d’obtenir toute la transparence sur les modalités de ces dépenses et sur les négociations qui se sont tenues au sein du Parlement ayant mené à ces dépenses », peut-on lire.

Il convient de souligner que la décision de convoquer Von Der Leyen à témoigner devant le Parlement ne devrait surprendre personne. Car, ce 16 décembre, 07 députés des Verts avaient déclaré la guerre à la présidente de la Commission Européenne et à son mari, Heiko Von Der Leyen, dont les activités, financées en partie par sa femme, suscitent une grosse polémique en Europe.

« Nous sommes particulièrement inquiets à la vue d’articles de presse en Italie et en Allemagne concernant l’activité commerciale dans les pays de l’UE, d’Orgenesis Inc., une société américaine employant M. Heiko Von Der Leyen, époux de la présidente de la Commission Européenne », pouvait-on lire dans une lettre postée sur Twitter par les eurodéputés.

Dans la lettre, ces derniers ont évoqué le récent scandale révélé, fin octobre dernier, par Lecourrier-du-soir.com et faisant état de la présence de Heiko Von Der Leyen dans le comité de surveillance d’une fondation qui a reçu un financement de plus de 300 millions d’euros de la Commission Européenne, dirigée par sa femme, Ursula Von Der Leyen.

Face à la forte pression médiatique, Heiko Von Der Leyen avait finalement démissionné de son poste, mais son entreprise (Orgenesis Inc.) reste maintenue au sein de cette fondation. Un détail qui n’a pas échappé aux sept députés qui l’ont bien souligné dans leur lettre.

« Selon les médias italiens, même si M. Von der Leyen a démissionné du comité de surveillance de la fondation, Orgenesis Italy S.R.L continue de faire partie du projet et recevoir des subventions, à hauteur de 200 000 euros par an, du Plan Italien de relance et de résilience. Les journalistes soulignent également qu’Orgenesis Inc., et ses filiales européennes ne sont pas enregistrées dans le registre de transparence de l’Union Européenne », dénoncent les eurodéputés.

Les sept eurodéputés évoquent des possibles conflits d’intérêts. « Le mari de la présidente de la Commission Européenne assume un rôle managerial de premier plan en tant que directeur médical et directeur général dans une société privée, impliquée dans des projets financés ou cofinancés par les programmes européens, donc par de l’argent public. Les questions des citoyens de l’UE et de leurs représentants sur d’éventuels conflits sont légitimes », précisent-ils.

Les députés, dans leur lettre, ont également demandé à la commissaire chargée de la transparence de mener une enquête afin de déterminer si les postes de direction de M. Heiko Von der Leyen sont compatibles avec le rôle institutionnel de son épouse, Ursula Von Der Leyen.

Pour rappel, ce 11 janvier 2023, il a été confirmé par l’eurodéputée française, Michèle Rivasi, que Pfizer est, pour le moment, interdit d’accès aux locaux du Parlement Européen. Cette décision est une réponse à Albert Bourla, PDG du laboratoire qui a refusé, à deux reprises, de venir témoigner devant le Parlement.




L’ancien footballeur Matt Le Tissier veut une enquête sur les nombreux arrêts cardiaques dans le sport

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

Il y a actuellement une épidémie de crise cardiaque qui affecte de nombreuses personnes, et que nous voyons en particulier les sportifs de haut niveau qui font souvent la une des journaux. En réponse à cette situation, nous avons décidé de republier un article concernant la demande de l’ancien footballeur international Matt Le Tissier sur l’ouverture d’une enquête — qu’il réclame depuis deux ans — des nombreux arrêts cardiaques qui ont lieu dans le monde du sport. Il en va de la santé de nos enfants.

Dans cet entretien produit par Oracle Film, l’ancien footballeur professionnel Matt Le Tissier donne son point de vue sur ce qui s’est passé depuis un an dans le sport :

« Je ne pense pas avoir vu une seule personne en 17 ans contrainte de quitter le terrain avec des difficultés respiratoires en se serrant la cœur. Avec des problèmes cardiaques. » 

[Voir aussi :
Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]

Au cours de l’année écoulée, le monde du sport a été témoin d’une augmentation alarmante du nombre d’athlètes professionnels (et de fans) souffrant d’arrêts cardiaques et d’autres complications de santé graves. Le Tissier, deuxième meilleur buteur de Southampton, se dit effaré par ce qu’il constate : « C’est juste incroyable le nombre de personnes, pas seulement les footballeurs, les sportifs en général, dans le tennis, cricket, basket… combien d’entre eux se sont effondrés ? » Pour l’ancien international, premier milieu de terrain à marquer 100 buts en Premier League, il ne faut plus se taire, il faut parler, « Et à un moment donné, on doit se dire que ce n’est pas normal et qu’une enquête doit être lancée. » 










Le député britannique Andrew Bridgen demande la suspension immédiate des pseudos-vaxxins à ARNm

[Source : Kearunn Mc EIRE]






Pourquoi et comment l’aluminium est toxique ?

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Traduction d’un article de Chris Exley [Par Senta Depuydt]

Traduction de l’article du professeur Chris Exley, publié le 27/9/22 sur son compte substack

Je suis bien sûr reconnaissant à tous ceux, toutes celles, qui prennent le temps de lire mes articles sur substack. J’apprécie et il est souvent clair d’après vos commentaires que beaucoup d’entre vous abordent le sujet de l’aluminium et plus particulièrement de sa toxicité pour la première fois. J’ai donc décidé de partager avec vous quelques réflexions générales expliquant pourquoi et comment l’aluminium peut devenir toxique.

Commençons par le début, comme je l’ai fait il y a près de quarante ans, et interrogeons les poissons ! Il y a plus de vingt ans, j’ai publié des recherches qui se sont avérées, à bien des égards, révélatrices des raisons pour lesquelles l’aluminium est toxique. En résumé, et je pense que vous pouvez accéder à l’article original ici, j’ai démontré que lorsque l’aluminium était présent dans l’eau sous la forme prédominante de son ion métallique libre, Al3+, les poissons évitaient les très faibles concentrations d’aluminium. Ils étaient capables de détecter et de s’éloigner de concentrations d’aluminium aussi faibles que 27ppb, ce qui correspond à la concentration approximative d’aluminium dans l’eau potable. Cependant, lorsque l’aluminium était présent dans l’eau sous la forme prédominante d’hydroxyde d’aluminium, une phase solide de l’aluminium, les poissons n’évitaient pas les concentrations d’aluminium dix ou même vingt fois supérieures, par exemple 500ppb.

Les poissons nous montrent donc que la forme biologiquement réactive de l’aluminium est Al3+ et que c’est la concentration de cette forme d’aluminium qui déterminera sa toxicité immédiate. J’en parle en détail dans mon livre, mais en bref, toutes les formes d’aluminium dans un environnement aqueux se dissolvent pour libérer du Al3+. Cependant, c’est la vitesse à laquelle cette dissolution se produit qui déterminera si la toxicité s’ensuit.

Ceux d’entre vous qui suivent la science de la sécurité des vaccins savent qu’une forme d’hydroxyde d’aluminium est utilisée comme adjuvant dans les vaccins. Les adjuvants à base d’aluminium sont principalement solides lorsqu’ils sont injectés dans les vaccins. Les particules solides sont la cible des cellules immunoréactives « affamées » qui peuplent le site d’injection du vaccin. Elles engloutissent les particules d’adjuvant d’aluminium et les stockent dans leur corps cellulaire.

Cette image tirée de l’un de nos articles montre l’aluminium, en orange fluorescent, à l’intérieur des cellules macrophages. Des preuves similaires de l’absorption de l’aluminium par les monocytes typiques du site d’injection d’un vaccin sont disponibles ici. Ces cellules sont capables d’accumuler des quantités importantes d’adjuvant à l’aluminium sans subir de toxicité immédiate. Cela signifie que ces cellules migratrices restent viables pendant des jours, voire plus, et qu’elles peuvent transporter leur cargaison d’aluminium toxique dans tout l’organisme. Ce transport d’aluminium du site d’injection d’un vaccin vers d’autres parties du corps pourrait être ce que nos images ont révélé dans notre recherche sur l’aluminium dans le tissu cérébral dans l’autisme. Voir l’image ci-dessous, tirée de cet article.

L’adjuvant à base d’aluminium contenu dans les macrophages et autres cellules se dissout lentement et libère ainsi des quantités croissantes d’Al3+ qui finissent donc par tuer la cellule. Cette forme d’aluminium se répand ensuite dans les tissus qui entourent la cellule mourante, qu’elle peut également intoxiquer. Ceci permet donc d’entrevoir un mécanisme par lequel des quantités potentiellement toxiques d’aluminium peuvent s’accumuler, par exemple dans le tissu cérébral d’un nourrisson, en un laps de temps relativement court. On peut alors envisager un mécanisme d’encéphalopathie causée par l’aluminium (mort cellulaire accélérée) similaire à celui qui est connu dans l’encéphalopathie liée à la dialyse.

Ainsi, la forme Al3+ explique le « pourquoi et le comment de la toxicité de l’aluminium », et toutes les autres formes d’aluminium, y compris les adjuvants pour vaccins à l’aluminium, sont la source de cet aluminium biologiquement réactif et donc toxique.

Chris Exley

Note de Senta: pour des infos en français sur l’aluminium dans les vaccins, je vous conseille aussi la vidéo l’Alu Total de mon amie Hypatie. C’est amusant, didactique et passionnant à regarder. Elle reprend évidemment les travaux du Prof. Exley




Un pilote révèle : L’élite veut être pilotée par des pilotes non vaccinés

[Source : reseauinternational.net]

Par Uncut-News

Josh Yoder des Freedom Flyers des États-Unis reçoit des appels d’hommes d’affaires et de PDG fortunés qui souhaitent être pilotés par un équipage non vacciné. L’ancien pilote de Jetstar, Alan Dana, l’a révélé dans une interview avec Maria Zeee.

Ces personnes ont le luxe de pouvoir choisir qui pilote leur avion, a déclaré Dana, qui a souligné qu’il y a encore de nombreux pilotes qui ne sont pas vaccinés. Ces riches hommes d’affaires veulent juste être transportés dans leur jet privé par un équipage non vacciné, a souligné Dana.

Les passagers qui achètent un billet d’avion et voyagent sur une compagnie aérienne régulière n’ont pas ce luxe, a déclaré le pilote.

Il est donc probable que de nombreux participants au WEF (World Economic Forum) seront transportés à Davos par un pilote non vacciné.

Au cours des mois de novembre et décembre de l’année dernière, il y a eu un certain nombre de décès inexpliqués dans l’aviation. Deux pilotes, un steward, deux hôtesses de l’air et un copilote sont décédés. Le groupe Airliners for Humanity, qui comprend Aviation Collective, estime que ces incidents devraient faire l’objet d’une enquête approfondie.

source : Uncut-News via Soleil Verseau




Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l’AFP Factuel

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! »
 AFP / DR]

Par Dr Gérard Delépine

Un “article” récent de l’AFP Factuel – la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) – repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :

Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 :

Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.

MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !

Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 :

Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”

Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !

Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques« . Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !

L’AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien 

L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après :

Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l’utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus vont être diagnostiqués en Australie.”

Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.

La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer… “faux”. Mensonge n°2 !

De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s’agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.

On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.

Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.

Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l’AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.

Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) :

Cette augmentation, si elle existene touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.

Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).

L’AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !

3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.

D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”,alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.

Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises

En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l’utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l’incidence du cancer du col de l’utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.

En avril 2018, un article de l’Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l’hypothèse que l’augmentation du cancer du col de l’utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l’IJME.

En 2019, l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.

En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie : 

“Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l’incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.

En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.

Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?

La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.

Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?

L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées

En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :

Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.

L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.

En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !

L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)

Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :

– 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avisde la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques :

un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”

– 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.

On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire… Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.

Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?

L’AFP fait-elle encore du journalisme ?

La charte mondiale du journalisme précise clairement :

  1. Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d’un journaliste.
  2.  Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l’information du commentaire et de la critique.
  3. Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l’origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l’utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.

Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.




Colloque interdisciplinaire « Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020 »

[Source : kairospresse.be]



Corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre Covid : anatomie d’une crise sanitaire (éd. Humensciences), expose depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il est membre du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connu de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet. Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.

Site : https://anthropo-logiques.org/



Corruption statistique

Pierre Chaillot, chercheur, auteur de la chaîne Décoder l’éco, analyse régulièrement les manipulations dans les interprétations statistiques, notamment dans ses interventions au CSI (Conseil Scientifique Indépendant)La crise Covid : épidémie de la peur et du mensonge propagée par le virus statistique. Depuis 2 ans, un déferlement continu de chiffres bien choisis a accompagné chaque phase de l’histoire : prédictions catastrophistes sur la base de modèles imaginaires, changements de définitions, oubli ou sélection orientée des éléments de comparaison, utilisation sans filtre de données non contrôlées… Toute publication a dû se conformer au postulat initial : un virus mortel circule mondialement, toutes les mesures mises en place sauvent des vies, tout particulièrement les vaccins sûrs et efficaces. Pour certains ce prisme de lecture sacrifiant tout principe déontologique a permis un enrichissement jamais égalé, pour d’autres, l’asservissement d’une population reconnaissante envers ses sauveurs, et pour les derniers le sentiment du devoir accompli en protégeant la plèbe d’une vérité trop rassurante face au danger. 

Chaîne Décoder l’éco



Corruption mathématique et épidémiologique

Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université d’Aix-Marseille, est co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel). Il est intervenu dès mars 2020 pour dénoncer les fraudes mathématiques ayant préexisté aux décisions politiques sur les confinements et a déposé plusieurs plaintes en justice. Il est membre fondateur du CSI(Conseil Scientifique Indépendant).

Dans un grand nombre de secteurs différents, la crise liée au COVID a révélé des fonctionnements totalement corrompus. Peu de secteurs institutionnels auront pu échapper à une déliquescence complètement de leur éthique, leur déontologie ou leurs principes.

Ainsi en France la médecine a‑t-elle abandonné son serment d’Hippocrate, sous pression d’un Conseil de l’Ordre retrouvant là son fonctionnement collaborationniste originel.

De la même manière, la justice administrative, prise entre son devoir de service de l’exécutif et son rôle de protection des libertés publiques, a résolument choisi de cautionner les décisions administratives plutôt que la protection des droits de l’Homme, quand bien même son devoir sacré consistait précisément en la protection contre le fonctionnement du totalitarisme.

Au premier plan de la corruption, l’Université est également devenue l’alliée objective du régime totalitaire, non seulement en cautionnant le scientisme déliquescent des experts officiels de l’État, mais également en s’attaquant aux chercheurs capables de délivrer une pensée critique maîtrisée s’opposant à la narration idéologique du pouvoir.

Dans notre intervention, nous montrons que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objective aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux.

À l’aide de présentations truquées, d’algorithmes détournés et d’utilisation frauduleuse du langage mathématique, ils ont sciemment fraudé les principes de la science pour contrefaire des résultats qu’ils savaient parfaitement invalides. Servis aux médias et à la représentation politique qui les a acceptés sans discuter, ces résultats ont permis que s’installent dans l’imaginaire collectif des croyances infondées qui polluent encore aujourd’hui, et peut-être pour longtemps, la représentation de la syndémie de Sars-Cov‑2. En montrant de façon détaillée où se situent les pires impostures scientifiques des membres du conseil scientifique français, nous établissons que la corruption de la science a constitué l’une des pires falsifications de l’histoire, que l’Université et les chercheurs, dans leur grande majorité ont accepté sans sourciller.



Corruption informatique

Emmanuelle Darles, docteur en informatique, enseignante à l’Université de Poitiers, auteur du livre Ne touchez pas à nos enfants. Emmanuelle a présenté ses travaux au Sénat en France, qui refuse de les rendre publics. Elle participe régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Au cours de ces dernières décennies, nous avons assisté à une volonté de modéliser le monde en vue de le réduire à quelques algorithmes. Durant cette crise, plusieurs mesures sanitaires (confinement, masques, …) ont été prises sur la base de ces calculs qui s’inscrivent allègrement dans la réduction du vivant et de sa complexité. Cette présentation adresse un état des lieux de la corruption informatique dans ce contexte ainsi que les failles conceptuelles des méthodes qui ont été utilisées qui ont conduit à une atteinte des libertés fondamentales individuelles.

Site : https://www.emmanuelle.darles.fr/



Comment en sommes-nous arrivés là. Histoire d’une lente corruption

Olivier Soulier, médecin homéopathe, chercheur, fondateur de la médecine du sens, fondateur du Syndicat Liberté Santé, intervient régulièrement au CSI(Conseil Scientifique Indépendant) dont il est aussi membre fondateur.

Ce qui se produit actuellement n’a pas commencé en 2020 ou 2019, ni même dans les vingt dernières années.

C’est un long processus d’envahissement de la médecine humaniste par la médecine chimique, business et corruptive depuis un siècle, alliée et gouvernées par des forces essentiellement financières. Cette présentation retrace les lignes principales, ce qui permet de mieux comprendre le comment, le pourquoi et les forces en présence.

Site : https://www.lessymboles.com



Corruption philosophique et psychologique

Ariane Bilheran, normalienne, docteur en psychopathologie, co-auteur du livre Le débat interdit (Trédaniel) et Les chroniques du totalitarisme (2021). Elle est intervenue dès le début de la crise pour expliquer les mécanismes de manipulation de masse, et la dérive totalitaire en cours. Elle a notamment participé en tant qu’experte au Jour 4 du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich, au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) et a interviewé Vera Sharav pour diffusion en France.

La dérive totalitaire actuelle suppose un endoctrinement des masses à l’idéologie ainsi qu’une corruption radicale de notre rapport métaphysique au monde et au savoir. Fonctionnant au mensonge, le phénomène totalitaire ne se légitime que par la fraude sur les premiers principes dans les domaines dont il s’empare : fraude langagière, fraude épistémologique, fraude politique, fraude juridique, fraude morale et fraude psychique. Cette fraude repose sur une conception erronée et réduite de l’être humain et de sa relation au monde, afin de lui supprimer ses droits fondamentaux.

Site : https://www.arianebilheran.com



Corruption médiatique

Slobodan Despot est éditeur, traducteur, romancier, directeur de la lettre magazine L’Antipresse, journaliste et écrivain. Il a proposé dès le début de la crise en 2020 un autre regard médiatique qui analyse en particulier le traitement de l’information par les médias de masse.

Comment se protéger du Covid ? En coupant la télévision ! » Sous cette boutade se cache une effrayante réalité : pour la première fois dans l’histoire, une pandémie a fait davantage de dégâts dans les têtes que dans les corps, intimidé davantage par les récits et les projections qu’on en faisait que par ses effets physiques. La compréhension de cette séquence dystopique impose donc un réexamen fondamental de nos systèmes d’information transformés en outils d’intimidation et de contrôle des masses.

Site : l’Antipresse



Corruption juridique

Virginie de Araujo-Recchia, avocate au Grand Jury du Dr Reiner Füllmich a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/



La corruption des philosophes et des intellectuels

Mehdi Belhaj Kacem, philosophe, auteur de Colaricocovirus — D’un génocide non conventionnel (éditions Exuvie)

Ce livre a été écrit avec la volonté de dresser un constat sur la crise du Covid-19 en adoptant un regard à la fois philosophique et politique. En effet, cette crise a bouleversé le monde entier dans ses fondements et comme jamais auparavant.



La corruption des esprits : comment les nouvelles grandes puissances financières contrôlent la narration du Covid et menacent la démocratie

Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La doxa du Covid (Bastia, éditions Éoliennes, 2022, 2 tomes, 128 et 566 pages).






La drôle de répartition des injections, selon Catherine Austin Fitts

[Source : libreinfo]



[Voir aussi :
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
États-Unis – 100% des décès dus au vaccin Covid-19 ont été causés par seulement 5% des lots produits, selon les données officielles du gouvernement
Karen Kingston : « La FDA a criminellement approuvé une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace. »]




Plainte contre X pour empoisonnement par injection anti-covid

[Source : christine-cotton.1ere-page.fr]

Si vous êtes une victime ou si vous êtes un(e) proche de victime des suites de la « vaccination » anti-covid, quelle qu’ait été la substance injectée (Pfizer, Moderna, etc.), VOUS POUVEZ VOUS JOINDRE GRATUITEMENT comme partie civile à la plainte contre X pour empoisonnement.

Votre constitution de partie civile a pour but, en plus d’éventuelles condamnations pénales prononcées, de vous faire obtenir l’attribution de dommages et intérêts pour les préjudices subis.

Si vous êtes une victime ou si vous êtes un(e) proche de victime, C’EST LE MOMENT D’AGIR en suivant scrupuleusement les instructions ci-dessous en QUATRE ÉTAPES :

[Voir la suite sur https://christine-cotton.1ere-page.fr/se-porter-partie-civile-a-la-plainte-contre-x/]






« Cause inconnue » : L’exploration pionnière d’Ed Dowd sur les morts subites après le lancement des vaccins contre la COVID

[Source : mondialisation.ca]

Ce qu’Ed Dowd a fait dans son livre, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » [Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022], nous encourage à faire preuve de curiosité et de scepticisme face à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des habitants de la planète.

Note de la rédaction [de Mondialisation.ca] : Il s’agit de la postface du nouveau livre d’Edward Dowd, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » (Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022).

Par Ed Dowd et Gavin de Becker
The Defender

Une petite expérience de pensée :

Imaginez que des milliers de jeunes Américains en bonne santé meurent soudainement, de façon inattendue et mystérieuse, puis continuent de mourir à un rythme alarmant et croissant. (Il était une fois), cela déclencherait une enquête urgente des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour déterminer la cause des décès.

Imaginez que des responsables de la santé publique attentifs et curieux découvrent que les défunts ont tous ingéré à plusieurs reprises un médicament nouveau et peu connu. Ensuite, les fonctionnaires déterminent avec certitude que le médicament que ces enfants ont pris a un mécanisme d’action clair pour provoquer une inflammation du cœur et d’autres lésions cardiaques chez certaines personnes.

Ils apprennent que les responsables de la santé publique d’autres pays ont constaté la même chose et ont cessé de recommander ce même médicament aux jeunes. Ensuite, certains des conseillers scientifiques les plus anciens et les plus vénérés du gouvernement américain recommandent publiquement l’arrêt du médicament pour les jeunes.

Enfin, des milliers de médecins du monde entier signent des pétitions et écrivent des articles d’opinion pour s’opposer à ce médicament pour les jeunes. Des experts des universités de Harvard, Yale, MIT, Stanford et Oxford viennent exprimer leurs préoccupations.

Hélas, cette expérience de pensée ne nécessite aucune imagination, car c’est exactement ce qui s’est produit – à l’exception de la partie concernant les fonctionnaires attentifs et curieux des CDC qui se sont précipités pour enquêter. J’ai dû inventer cette partie.

Dans le monde d’avant COVID-19, les journalistes curieux ne se seraient-ils pas lancés à la poursuite d’une telle histoire, et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis n’aurait-elle pas suspendu l’administration du nouveau médicament mystère jusqu’à ce qu’une enquête approfondie soit terminée ?

Et surtout, un tel médicament ne serait-il pas rapideme

D’une certaine manière, ces questions sont devenues rhétoriques.

Mais pas pour Edward Dowd. Son exploration pionnière de ces tristes morts subites a précédé de plusieurs mois l’article du Wall Street Journal (WSJ) sur une énigme mortelle à laquelle sont confrontées les compagnies d’assurance.

Apparemment, au fur et à mesure de la progression de la vaccination de masse en 2021, les demandes d’indemnisation pour excès de décès chez les Américains en âge de travailler ont triplé. Compte tenu de la relation temporelle, pourrait-il y avoir un lien entre les vaccins et ces décès ?

Apparemment non, car l’article du WSJ ne mentionne même pas la vaccination de masse parmi les causes à prendre en considération :

  1. Traitement médical retardé à partir de 2020
  2. La crainte des gens de se faire soigner
  3. Difficulté à trouver des rendez-vous
  4. La toxicomanie et autres problèmes de société
  5. Les gens ne prennent pas soin d’eux-mêmes
  6. Long COVID
  7. Effets à long terme non encore connus de COVID-19
  8. Des personnes qui meurent plus tard « à cause des dégâts causés par la COVID sur leur corps »

Les numéros 1, 2 et 3 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact des confinements et de la peur. Les numéros 6, 7 et 8 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact de la maladie COVID-19.

En dehors de l’abus de drogues et de la difficulté à obtenir des rendez-vous chez le médecin, est-ce que quelque chose d’autre s’est produit en 2021 qui pourrait peut-être, possiblement, m’appeler fou, mériter d’être pris en considération ?

Les assureurs ont attribué la plupart des décès excédentaires en 2021 aux problèmes cardiaques et circulatoires, aux troubles neurologiques et aux accidents vasculaires cérébraux. C’est une coïncidence, apparemment, que presque tous leurs clients décédés venaient de se faire injecter un produit connu pour provoquer des problèmes cardiaques et circulatoires, des troubles neurologiques et des attaques.

L’incompréhension des PDG et des experts du secteur de l’assurance interrogés pour l’article du WSJ était compréhensible, car, vous savez, comment diable les décès pourraient-ils être liés à un tout nouveau médicament, jamais utilisé auparavant, qui a été testé au minimum, précipité au maximum, administré en masse et, oh oui, et au fait, connu pour causer les problèmes médicaux dont mouraient leurs clients ?

(Si vous avez le moindre doute sur le fait que les vaccins à ARNm provoquent des problèmes cardiaques, consultez l’annexe quatre, page 190, pour un échantillon de 100 articles publiés sur les lésions cardiaques provoquées par les vaccins chez les jeunes.)

Veuillez pardonner trois autres questions rhétoriques :

  • Les Américains n’ont-ils pas beaucoup d’excellentes raisons de se méfier des grandes entreprises pharmaceutiques ?
  • Pourquoi l’industrie pharmaceutique se voit-elle accorder le type de confiance auparavant réservé aux entreprises qui n’ont pas un long passé de fraude criminelle ?
  • Qu’est-ce qui se passe avec ça ?

Un peu d’histoire récente pertinente : En 2021, un jury a reconnu Elizabeth Holmes coupable de fraude médicale. Au cours du procès, elle a admis que son entreprise effectuait des tests médicaux en utilisant les mêmes vieilles machines qui étaient censées être remplacées par sa remarquable nouvelle technologie.

Bien que des personnes aient reçu des résultats médicaux frauduleux et incorrects, l’engouement des médias pour Mme Holmes et Theranos a entretenu la fraude pendant des années, à tel point que la société a finalement été évaluée à 9 milliards de dollars. Ce n’est pas une faute de frappe.

Theranos n’aurait pas été possible si les médias étaient sceptiques ou même curieux lorsqu’il s’agit de médecine et de technologie médicale.

En parcourant ces quelques exemples de promotion par les médias, pensez que le Vioxx, les opioïdes et les vaccins contre la COVID-19 ont tous été introduits dans notre société sur un coussin moelleux de louanges médiatiques, sans examen ni scepticisme.

USA Today :

« Elizabeth Holmes est grande, intelligente et célibataire. Eh bien, peut-être pas vraiment célibataire. Je suppose qu’on peut dire que je suis marié à Theranos, dit Holmes en riant. Seulement, elle ne plaisante pas… Alors que Holmes est milliardaire sur le papier, rien ne semble moins l’intéresser….

« Nous réussissons si, personne par personne, nous contribuons à changer leur vie, déclare Mme Holmes, qui possède une voix douce mais impérieuse qui incite l’auditeur à se pencher comme s’il attendait des ordres de marche. »

New Yorker :

« Bien qu’elle puisse citer Jane Austen par cœur, elle ne consacre plus de temps aux romans ou aux amis, ne sort pas avec des hommes, ne possède pas de télévision et n’a pas pris de vacances depuis dix ans…

Dit-elle : J’ai fait quelque chose, et nous avons fait quelque chose, qui a changé la vie des gens […]. Je préfère de loin vivre une vie qui a un but plutôt qu’une vie dans laquelle je pourrais avoir d’autres choses mais pas cela. »

CNN :

« L’entreprise qu’elle a fondée a le potentiel de changer les soins de santé pour des millions d’Américains. »

Forbes :

« Elizabeth Holmes, 30 ans, est la plus jeune femme à être devenue milliardaire indépendante – et elle l’a fait quatre fois. Ce qui nous anime, c’est la conviction que l’accès à des informations sanitaires abordables et en temps réel est un droit humain fondamental, et c’est un droit civil, dit-elle. »

Comme les médias pouvaient difficilement changer de cap après tout ce culte, ce n’est pas un journaliste qui a défait l’arnaque Theranos. C’est John Ioannidis, professeur à Stanford, qui a accepté de signaler publiquement que Theranos n’avait publié aucune recherche évaluée par des pairs sur ses produits.

(Pour nous ramener un instant au présent, ce même John Ioannidis, médecin, scientifique et épidémiologiste estimé, a été parmi les premiers et les plus virulents critiques des politiques de confinement. Pour cela, il a été la cible d’excoriations et d’annulations par les médias et la cabale médicale/pharmaceutique. Ne vous avisez pas de nous réveiller de notre rêve fiévreux de la COVID-19, professeur !)

Revenons à Theranos : La société a tenté de renforcer sa crédibilité en faisant visiter ses installations par le vice-président Biden. Afin de dissimuler les véritables conditions de fonctionnement du laboratoire, Mme Holmes et son équipe ont créé un faux laboratoire que le vice-président a pu visiter.

L’affaire Theranos devrait nous rappeler que 25 % des médicaments approuvés par la FDA sont ensuite retirés du marché – ils ne peuvent donc pas tous être des médicaments miracles. Pourtant, quoi que dise aujourd’hui un bureaucrate de la santé publique, les médias d’information le répètent, le défendent, puis le consacrent comme un fait.

Jamais leur manque de scepticisme et de curiosité à l’égard de leurs principaux sponsors n’a été aussi visible qu’au cours des deux dernières années, pendant lesquelles ils n’ont cessé de promouvoir et de répéter comme un perroquet les fausses allégations de l’industrie pharmaceutique concernant les nouveaux vaccins et le nouveau traitement contre la COVID-19 de Pfizer, les fausses allégations sur l’ivermectine et toutes les autres fausses allégations de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement.

Le véritable journalisme étant absent, nous vivons impuissants dans un monde de conformité plutôt que de science.

Voici un voyage rapide à travers une histoire intentionnellement oubliée : Après l’approbation du Vioxx par la FDA, il y a eu de nombreux litiges liés au fait gênant que le médicament doublait le risque de crise cardiaque. Combien de litiges ?

Oh … 27 000 d’entre eux, mais qui compte ? Le risque de crise cardiaque semble familier, étant donné que des centaines d’études ont maintenant montré que les vaccins à ARNm augmentent le risque de mort cardiaque chez les jeunes hommes. Mais encore une fois, qui compte ?

Merck a finalement été contraint de retirer le Vioxx du marché, et a été condamné à payer des amendes pénales de près d’un milliard de dollars pour avoir exagéré la sécurité du médicament avec un refrain désormais familier : « sûr et efficace ».

Comme aujourd’hui, alors que les CDC et la FDA reçoivent des centaines de milliers de rapports d’effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 (par exemple, myocardite, accident vasculaire cérébral, caillots sanguins, décès), Merck a déclaré jury après jury que les décès par crise cardiaque n’avaient absolument rien à voir avec son médicament miracle.

Ils ont intenté des procès comme… eh bien, comme une entreprise pharmaceutique, accusant les plaignants de falsifier les données. Pot/bouilloire.

Lorsqu’un jury a accordé 253 millions de dollars à une veuve, Merck a fait appel, et cette décision a été annulée.

Une série d’autres procès ont suivi, Merck gagnant certains, perdant d’autres – jusqu’à ce qu’une action collective conclue que Merck avait violé la loi en vendant un médicament qui était impropre à la vente, parce que, vous savez, il doublait le risque de crise cardiaque, ou quelque chose comme ça. Et puis…

Merck a accepté un règlement de masse de 4,85 milliards de dollars pour mettre fin à des milliers de poursuites individuelles. Et puis…

Merck a annoncé un règlement avec le bureau du procureur des États-Unis, résolvant l’amende de 950 millions de dollars qui avait été infligée à la société.

Est-ce que ça s’est terminé ? Non, le litige avec sept États reste en suspens aujourd’hui. Mais la vraie chute est…

Le Vioxx revient sur le marché. Oui. Nous pouvons nous attendre à des reportages à couper le souffle sur un autre médicament miracle (probablement renommé), sûr et efficace.

L’histoire du Vioxx n’est pas un récit édifiant ; il s’agit plutôt d’un événement régulier. Un groupe de scientifiques inquiets a écrit à ce sujet en 2017 :

« Pour augmenter la probabilité d’approbation du Vioxx par la FDA, le géant pharmaceutique Merck a utilisé des méthodologies défectueuses et biaisées vers des résultats prédéterminés pour exagérer les effets positifs du médicament. »

Vous voulez dire exactement comme toutes les autres grandes entreprises pharmaceutiques font avec tous les autres médicaments ?

« La manipulation de Merck comprenait également un modèle d’écriture fantôme d’articles scientifiques. Des documents internes révèlent que dans 16 des 20 articles relatant les essais cliniques du Vioxx, un employé de Merck figurait initialement comme auteur principal de la première version. »

Vous voulez dire comme toutes les autres compagnies pharmaceutiques le font avec tous les autres médicaments ?

Un membre de la FDA témoignant de l’incapacité de l’agence à rappeler rapidement le Vioxx a déclaré que cela équivalait à laisser « deux à quatre gros-porteurs » s’écraser chaque semaine pendant cinq ans.

L’analogie avec un gros avion de ligne est à nouveau d’actualité aujourd’hui, et une action de la FDA ne semble pas en vue.

Ce qu’Ed Dowd a fait dans ce livre nous encourage à apporter notre propre curiosité et notre scepticisme à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des gens sur Terre, des milliards de doses jusqu’à présent, 4 millions de plus chaque jour, incluant de plus en plus d’enfants, même des nourrissons, autorisés par une FDA qui s’est efforcée de garder secrètes les données des essais cliniques de Pfizer.

Pour être plus précis, la FDA était parfaitement disposée et heureuse de divulguer les informations au public, mais elle a demandé 55 ans pour le faire. Pour être encore plus précis, la FDA (rejointe par son partenaire, Pfizer) a ensuite demandé au tribunal de lui accorder 75 ans pour divulguer toutes les informations.

Le fait que la FDA se soit tant battue pour cacher au public les résultats de Pfizer en matière de sécurité vous intrigue-t-il ?

N’attendez aucune réponse de la FDA, désormais dirigée par un homme nommé Robert Califf. En raison de ses conflits avec Big Pharma, M. Califf ne pourrait même pas siéger à un comité consultatif de la FDA, mais il en est néanmoins le commissaire, qui en est à son troisième tour de service à la FDA parce que, eh bien, la porte tournante tourne vite, et lui aussi.

M. Califf a présidé à l’approbation par la FDA de l’utilisation de l’oxycodone chez les enfants dès 11 ans, de médicaments à forte dose d’hydrocodone et aussi du médicament Addyl qui a été rappelé par la suite, parmi plusieurs autres. Pour chacune de ces approbations, la FDA a passé outre son propre comité consultatif d’experts, et M. Califf a donné son approbation.

M. Califf a fondé un groupe pour réaliser des essais cliniques, et plus de la moitié de ses 230 millions de dollars de financement provenaient de … Big Pharma. Presque fini. M. Califf a également été payé en tant que consultant par les 15 plus grandes entreprises pharmaceutiques. Et enfin, bien sûr, il était un pom-pom girl pour le Vioxx.

Alors bien sûr, il est le commissaire de la FDA.

Et ne vous attendez pas non plus à beaucoup de curiosité ou de scepticisme de la part de la directrice des CDC, Rochelle Walensky. La voici en mars 2022, faisant preuve d’une crédulité délibérée à l’égard des allégations de l’industrie pharmaceutique :

« Je peux vous dire où j’étais quand CNN a annoncé que le vaccin était efficace à 95 %. Tant d’entre nous voulaient être pleins d’espoir, tant d’entre nous voulaient dire, ok, c’est notre ticket de sortie, ok, maintenant nous avons fini.

« Je pense donc que nous avons peut-être fait preuve de trop peu de prudence et de trop d’optimisme pour certaines bonnes choses qui nous sont arrivées. Je le pense vraiment. Je pense que nous voulions tous que ce soit fini.

« Personne n’a parlé de déclin de leur efficacité, lorsque vous savez, oh ce vaccin va fonctionner. Oh bien, peut-être que ça va s’estomper [laughs], ça va s’estomper.

« Personne n’a dit ce qui se passerait si… [the vaccine is] n’était pas aussi puissant contre la prochaine variante. »

Elle ne pouvait pas prévoir que les vaccins seraient moins efficaces contre les nouvelles variantes ? Vous voulez dire, comme le fait le vaccin contre la grippe chaque année depuis des décennies ?

Elle ne pouvait pas prédire que le vaccin s’affaiblirait, comme le vaccin contre la grippe le fait chaque année depuis des décennies, comme même les vaccins contre la rougeole et le tétanos ?

Le Dr Walensky a été chef du service des maladies infectieuses dans un hôpital où je ne voudrais jamais être un patient si elle est chef du service des maladies infectieuses. Mais de qui je me moque, elle ne retournera pas dans cet hôpital ; il est plus probable qu’elle rejoigne le conseil d’administration de Pfizer. L’ancien commissaire de la FDA, Scott Gottlieb, est déjà là à l’attendre.

La phrase d’accroche du Dr Walensky, « Trop peu de prudence et trop d’optimisme », pourrait être un texte de la chanson la plus célèbre des CDC, Safe and Effective [sûr et efficace].

Pour mieux comprendre comment l’agence conclut toujours que chaque vaccin est sûr et efficace, prenons l’exemple d’un vaccin si ancien que tous ses facteurs de risque sont déjà connus : le vaccin contre la variole.

Sur le site des CDC, ce matin :

« Le vaccin antivariolique est sûr, et il est efficace pour prévenir la variole. »

Voyons ce que signifie « sûr » pour les CDC :

Effets secondaires graves du vaccin antivariolique :

  • Problèmes cardiaques
  • Gonflement du cerveau ou de la moelle épinière
  • Maladies cutanées graves
  • Propagation du virus à d’autres parties du corps ou à une autre personne. [huh?]
  • Réaction allergique grave après la vaccination
  • Infection accidentelle de l’œil (qui peut provoquer un gonflement de la cornée, entraînant une cicatrisation de la cornée et la cécité).

Les risques d’effets secondaires graves du vaccin antivariolique sont plus importants pour :

  • Les personnes présentant trois des facteurs de risque suivants pour les maladies cardiaques : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, diabète
  • Les personnes souffrant de problèmes cardiaques ou de vaisseaux sanguins, y compris l’angine, une crise cardiaque antérieure ou d’autres problèmes cardiaques
  • Les personnes souffrant de problèmes de peau, comme l’eczéma
  • Les femmes enceintes ou qui allaitent.

Cela fait beaucoup de personnes qui risquent un gonflement du cerveau, des problèmes cardiaques et la cécité, sachant que des millions d’Américains ont eu des crises cardiaques « ou d’autres problèmes cardiaques », que 17 millions d’Américains sont enceintes ou allaitent, que 31 millions souffrent d’eczéma, 34 millions de diabète, 76 millions de cholestérol et 109 millions d’hypertension artérielle.

Décrivant les personnes susceptibles de subir les effets secondaires graves du vaccin antivariolique, sûr et efficace, les CDC inclut les personnes ayant des « antécédents familiaux de problèmes cardiaques ».

Vous ne connaissez pratiquement personne qui n’entre pas dans cette catégorie ?

Ainsi, alors que les CDC déclarent définitivement que « le vaccin antivariolique est sûr », il exclut ensuite la majorité des Américains pour lesquels il pourrait être sûr.

Il est clair que le terme « sûr » n’a pas la même signification pour tous les experts. Voici, par exemple, l’avis de la Clinique Mayo sur le même vaccin que les CDC qualifient de sûr :

« Il peut parfois provoquer des effets secondaires graves, comme des infections du cœur ou du cerveau. C’est pourquoi le vaccin n’est pas administré à tout le monde. À moins d’une épidémie de variole, les risques du vaccin l’emportent sur les avantages pour la plupart des gens. »

Mais Gavin, puisqu’il n’y a pas d’épidémie de variole, pourquoi s’inquiéter de ce qui est sur le site des CDC ? Parce que… attendez de voir… les CDC font actuellement la promotion active de ce même vaccin antivariolique pour prévenir la variole du singe, et près d’un million d’Américains ont déjà eu ce plaisir. (Je suppose que ce sont les personnes sans antécédents familiaux de problèmes cardiaques.)

Et pourquoi avoir un seul vaccin contre la variole quand on peut en avoir deux ?

Vous savez maintenant que lorsque les CDC dient « sûr et efficace », c’est parce que les CDC n’ont jamais rencontré un vaccin qu’ils n’aimaient pas. C’est un système de croyance, pas une science.

En lisant attentivement l’analyse détaillée d’Ed Dowd sur les nouveaux décès excédentaires et les handicaps les plus élevés jamais enregistrés chez les Américains, j’ai été frappé par le fait qu’il ne nous demande jamais de le croire sur parole et qu’il nous présente toujours les sources originales sous les yeux.

Malgré tout, et bien qu’il s’agisse d’un analyste brillant qui aborde ce sujet de manière impartiale, peut-on vraiment se fier aux conclusions d’Ed Dowd plutôt qu’à celles des célèbres et puissants Drs. Fauci, Califf, Bourla et Walensky ?

C’était ma dernière question rhétorique.

La source originale de cet article est The Defender
Copyright © Ed Dowd et Gavin de BeckerThe Defender, 2023




Olivier Véran et l’État macronien encore au pilori pour leur gestion du Covid

[Source : BV]

Par Marc Baudriller

Rapport de l’Igas : Olivier Véran et l’Etat macronien encore au pilori pour leur gestion du Covid

C’est une révélation du Parisien, bravo à la consœur Séverine Cazes qui a réussi à mettre la main sur un épais rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) : 205 pages, toutes tamponnées du mot « confidentiel ». Commandé fin juin 2020 par Olivier Véran lui-même, alors ministre de la Santé, ce document qualifié de « retour d’expérience du pilotage de la réponse à l’épidémie de Covid » a été remis au gouvernement en novembre 2020. Et maintenu au frais, loin de la presse. Le talent de communication d’Olivier Véran a calé…

Pour l’écrire, quatre inspecteurs de l’Igas ont mené des entretiens avec 375 responsables dans les ministères, les agences régionales de santé (ARS), les hôpitaux, ils ont confessé des préfets, des élus, etc. Résultat, un mitraillage en règle qui aurait d’ailleurs été versé au dossier de la Cour de justice de la République (CJR). La CJR se penche en effet sur la responsabilité du gouvernement dans la gestion d’une épidémie qui a fait 160.000 victimes. Elle interroge la pénurie de masques, le retard dans l’activation du centre de crise interministériel, le maintien des élections municipales de mars 2020. Et nos quatre inspecteurs ne font pas de cadeau de Noël ni au ministre Véran, ni à l’équipe gouvernementale, ni à l’administration française. Interrogé à l’issue du Conseil des ministres ce mercredi 4 janvier, Olivier Véran explique qu’à son arrivée au poste de ministre de la Santé, il a dû « faire face à une organisation qui n’était pas suffisamment préparée » pour affronter cette « crise sanitaire sans précédent ». Le problème, c’est que l’Igas ne pointe pas la situation à l’arrivée du ministre mais sa gestion tout au long de la crise.

Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams et collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer, ça dérapait pas mal, donc, en haut lieu.

Reproches de l’Igas : un centre de coordination, le Corruss (Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales), sous-dimensionné. Un Directeur général de la santé (DGS), chargé de coordonner les réponses à la crise, noyé sous une triple responsabilité stratégique, scientifique et opérationnelle. Une cellule interministérielle de crise activée trop tard. Une incapacité du ministère à « s’organiser de manière structurée et durable » avec plus de 25 organigrammes successifs en trois mois. Manque de compétences, désorganisation au sein de Santé Publique France, bataille entre cet organisme et la Cellule logistique interministérielle, difficultés dans les échanges d’information sur les besoins de l’hôpital pendant que les soignants manquaient de tout, recommandations contradictoires et un léger raté : les 611.000 résidents des maisons de retraite ont été… oubliés au début de la crise, explique l’Igas. N’en jetez plus !

Ce rapport secret confirme ou complète, en plus brutal, les rapports déjà publiés sur la crise par le Sénat, l’Assemblée, la Cour des comptes… Bien sûr, la critique est aisée et l’art de gouverner en période de pandémie n’a rien de facile.

Mais ce rapport tout ce qu’il y a d’officiel met en lumière une caractéristique rémanente du pouvoir macronien qu’on ne retrouve pas chez nos voisins : cette tendance à l’autoritarisme, aux vérités assénées de haut sans la moindre place au doute par une équipe gouvernementale de technos méprisants et brutaux, à une dureté sans précédent, une police de la parole déviante appliquée sans faiblesse. Cette attitude prend un relief particulier quand on découvre que les mêmes donneurs de leçons défaillaient au même moment à grande échelle.

Car il faut ajouter à l’énumération de ces ratés le coûteux recours de l’Etat aux amis de McKinsey qui se seront engraissés comme jamais sur la bête. Ceci, alors que l’Etat français est déjà un des plus coûteux du monde développé et que le nombre de nos fonctionnaires bat des records. Il faut se souvenir du mépris avec lequel Macron et ses affidés traitèrent les autres candidats, Marine Le Pen et Eric Zemmour en tête, durant les deux dernières campagnes présidentielles. Le pouvoir n’a rien fait, mais alors rien, pour susciter la mansuétude lorsque la mer se retire et laisse apparaître, toutes nues, la prétention, l’insuffisance et l’erreur.




« Vaccin » Covid : quelle incidence sur la mortalité au Japon et en France ?

[Source : RL]

Par Alain Lussay

En préalable, rappelons que les Japonais ont une réticence ancienne à l’égard des vaccins, depuis les années 1970, à la suite de plusieurs recours collectifs en justice contre les autorités nippones concernant les effets secondaires imputés à plusieurs vaccins, dont celui contre la variole.

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/japon-une-mefiance-ancienne-a-l-egard-des-vaccins_150643

Au Japon, la première campagne de vaccination contre le Covid a donc démarré tardivement et mollement en février 2021.

Car en 2020, en laissant la liberté de prescription à la médecine de ville, les Japonais ont bien maîtrisé l’épidémie avec seulement 3.500 décès Covid, soit 34 fois moins qu’en France où la clique sanitaire, en interdisant les antiviraux efficaces, a provoqué une hécatombe de 69.000 morts.

Puis en 2021 les incitations à la vaccination se sont accélérées au Japon, en vue des Jeux olympiques de l’été, probablement sous l’influence de l’ancien directeur général de l’Institut national des maladies infectieuses, Ichiro Kurane, qui est un des 12 membres directeurs du conseil d’administration du CEPI, Coalition for Epidemic Preparedness Innovations…

https://cepi.net/about/whoweare/

Il se trouve que le CEPI a été fondé à Davos en 2017 par les gouvernements norvégien et indien, la Fondation Bill & Melinda Gates, et le Forum économique mondial, à la suite d’un consensus selon lequel un plan coordonné, international et intergouvernemental était nécessaire pour développer et déployer de nouveaux vaccins afin de prévenir de futures épidémies. Étrangement prémonitoire !

Puis en 2022, trois campagnes de rappel se sont enchaînées entre janvier et octobre, entraînant à chaque fois une explosion des cas de contaminations suivie par une hécatombe de décès, comme le montre le tableau ci-dessous.

https://www.nippon.com/fr/japan-data/h00901/?cx_recs_click=true

La propagande de la vaccination empêchant les formes graves est donc bel et bien battue en brèche, et conduit à l’hécatombe !

Comme la population du Japon est vaccinée à plus de 83% depuis fin 2021, le nombre cumulé de décès Covid, près de 58.000 au 31/12/2022, a évolué de la manière suivante au fur et à mesure des campagnes :

– année 2020 : 3.500 décès Covid sans vaccination,

– année 2021 : 15.000 décès Covid avec vaccination deux doses,

– année 2022 : 39.000 décès Covid avec rappels 3 et 4.

Alors comment comprendre, au sens de la propagande « Tous vaccinés, tous protégés », que plus on vaccine, plus les contaminations augmentent et plus la mortalité explose ?

En cherchant bien on trouve des informations confirmant que les vaccinés sont des cobayes dont la vie est en jeu, comme à la roulette russe, au gré de la répartition des lots et de la répétition des injections, selon le plan machiavélique de Big Pharma et des élites qui gouvernent le monde. https://ripostelaique.com/pourquoi-vaccine-t-on-les-employes-de-pfizer-avec-des-lots-reserves.html

Ainsi donc au Japon où la pharmacovigilance indique qu’à court terme 70 % des lots sont associés à 1 ou 2 décès par lot, mais que les autres lots sont plus toxiques, de 10 à 50 fois plus, en nombre de décès par rapport aux lots les moins nocifs. Source Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) par https://knollfrank.github.io/HowBadIsMyBatch/batchCodeTable.html

Ainsi, dans la base des 344 lots Pfizer et Moderna proposés à l’inoculation au Japon, de nombreux lots montrent des taux de mortalité post-vaccinatoire exorbitants, comme par exemple les lots FA – FC – EX ci-dessous :

À l’inverse des lots moins nocifs dont les taux de létalité sont faibles, comme par exemple le lot EP ci-dessous :

Voilà sans doute pourquoi le professeur émérite japonais Fukushima a dit vertement ses 4 vérités au ministre de la Santé :

https://www.youtube.com/watch?v=KndT1yCtudI&t=82s

Alors quand on voit les effets immédiats mortels et graves des injections, comment ne pas s’inquiéter des conséquences à moyen terme des anticorps facilitants de la protéine Spike vaccinale et des adjuvants douteux protégés par le secret de fabrication mais révélés par des analyses spectrographiques ? https://odysee.com/@laquintacolumnainternational:7/Voici-ce-que-contient-une-seule-goutte-du-vaccin-de-Pfizer:3

En France, Il n’existe aucun site de pharmacovigilance permettant à chaque vacciné de vérifier la toxicité du lot qu’il a reçu, en cause l’opacité volontairement entretenue par les autorités sanitaires sur les effets indésirables, quand bien même un rapport de juin 2022 au Parlement a révélé 1 décès toutes les 28.300 injections et 1 effet grave toutes les 1.434 injections…

Aujourd’hui, pendant que le Japon se désole de son hécatombe de 58.000 décès Covid, pourtant 5 fois moindre par millions d’habitants qu’en France avec 162.000, Macron et sa bande de criminels se consolent du carnage français en se tressant des lauriers.

Mais il se pourrait bien que ces pantins de l’oligarchie mondialisée, complices et corrompus, autant de l’escroquerie vaccinale que de l’enfumage énergétique, finissent par en payer le prix…