Mea culpa d’un ex covidiste : « Il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous nous sommes trompés sur le COVID et que cela a coûté des vies »

[Source : reseauinternational.net]

Un véritable « mea culpa », une révision continue et rapide de l’histoire, ou une gestion narrative plus poussée en ce qui concerne l’« amnistie » de ce que « les autres » ont fait à ceux qui ont pensé par eux-mêmes au cours des dernières années…

Par Tyler Durden

À vous de décider…

Dans un torchon libéral comme Newsweek, Kevin Bass (étudiant en médecine MS/PHD, école de médecine) a écrit un article d’opinion assez surprenant (et « courageux ») disant qu’« il est temps pour la communauté scientifique d’admettre que nous avions tort au sujet du COVID et que cela a coûté des vies… »

En tant qu’étudiant en médecine et chercheur, j’ai fermement soutenu les efforts des autorités de santé publique en ce qui concerne le COVID-19.

Je pensais que les autorités avaient répondu à la plus grande crise de santé publique de notre vie avec compassion, diligence et expertise scientifique. J’étais avec eux quand ils ont demandé des mesures de confinement, des vaccins et des rappels.

J’avais tort. Nous, la communauté scientifique, avions tort. Et cela a coûté des vies

Je constate aujourd’hui que la communauté scientifique, des CDC à l’OMS en passant par la FDA et leurs représentants, a à plusieurs reprises exagéré les preuves et trompé le public sur ses propres opinions et politiques, notamment sur l’immunité naturelle ou artificielle, les fermetures d’écoles et la transmission des maladies, la propagation des aérosols, les masques obligatoires, l’efficacité et la sécurité des vaccins, en particulier chez les jeunes. Toutes ces questions étaient des erreurs scientifiques à l’époque, et non a posteriori. Étonnamment, certains de ces obscurcissements se poursuivent encore aujourd’hui.

Mais ce qui est peut-être plus important que n’importe quelle erreur individuelle, c’est que l’approche globale de la communauté scientifique était et continue d’être intrinsèquement défectueuse. Elle était défectueuse d’une manière qui a miné son efficacité et entraîné des milliers, voire des millions, de décès évitables.

[Note de Joseph : parce que dans la grande majorité des cas, il ne s’agit plus de science, mais de scientisme basé sur des croyances religieuses quasiment sectaires.
Voir aussi : Note sur l’incohérence écologiste]

Ce que nous n’avons pas bien compris, c’est que ce sont les préférences qui déterminent la façon dont l’expertise scientifique est utilisée, et que nos préférences peuvent être — en fait, nos préférences étaient — très différentes de celles de la plupart des personnes que nous servons. Nous avons créé une politique basée sur nos préférences, puis nous l’avons justifiée à l’aide de données. Puis nous avons dépeint ceux qui s’opposaient à nos efforts comme étant malavisés, ignorants, égoïstes et mauvais.

Nous avons fait de la science un sport d’équipe et, ce faisant, nous lui avons fait perdre son caractère scientifique. C’est devenu « nous » contre « eux », et « eux » ont répondu de la seule façon que l’on pouvait attendre d’eux : en résistant.

Nous avons exclu d’importantes parties de la population de l’élaboration des politiques et fustigé les critiques, ce qui signifie que nous avons déployé une réponse monolithique dans une nation exceptionnellement diverse, forgé une société plus fracturée que jamais et exacerbé des disparités sanitaires et économiques de longue date.

Notre réaction émotionnelle et notre esprit de parti bien ancré nous ont empêchés de voir l’impact total de nos actions sur les personnes que nous sommes censés servir. Nous avons systématiquement minimisé les inconvénients des interventions que nous avons imposées — imposées sans la participation, le consentement et la reconnaissance de ceux qui sont forcés de vivre avec elles. Ce faisant, nous avons violé l’autonomie de ceux qui seraient le plus négativement touchés par nos politiques : les pauvres, la classe ouvrière, les propriétaires de petites entreprises, les Noirs et les Latinos, et les enfants. Ces populations ont été négligées parce qu’elles nous étaient rendues invisibles par leur exclusion systématique de la machine médiatique dominante et corporatiste qui présumait de son omniscience.

La plupart d’entre nous ne se sont pas exprimés pour soutenir des points de vue alternatifs, et beaucoup d’entre nous ont essayé de les supprimer. Lorsque des voix scientifiques fortes, comme celles des professeurs de renommée mondiale de Stanford John Ioannidis, Jay Bhattacharya et Scott Atlas, ou celles des professeurs de l’Université de Californie à San Francisco Vinay Prasad et Monica Gandhi, ont tiré la sonnette d’alarme au nom des communautés vulnérables, elles ont dû faire face à la censure sévère de foules implacables de critiques et de détracteurs au sein de la communauté scientifique — souvent non pas sur la base de faits, mais uniquement sur la base de différences d’opinions scientifiques.

Lorsque l’ancien président Trump a souligné les inconvénients de l’intervention, il a été rejeté publiquement comme un bouffon. Et lorsque le Dr Antony Fauci s’est opposé à Trump et est devenu le héros de la communauté de la santé publique, nous lui avons apporté notre soutien pour qu’il fasse et dise ce qu’il voulait, même lorsqu’il avait tort.

Trump n’était pas parfait, tant s’en faut, pas plus que les critiques universitaires de la politique consensuelle. Mais le mépris que nous avons affiché à leur égard a été un désastre pour la confiance du public dans la réponse à la pandémie. Notre approche a aliéné de larges segments de la population de ce qui aurait dû être un projet national et collaboratif.

Et nous en avons payé le prix. La rage des personnes marginalisées par la classe des experts a explosé sur les médias sociaux et les a dominés. Ne disposant pas du lexique scientifique nécessaire pour exprimer leur désaccord, de nombreux dissidents se sont tournés vers les théories du complot et une industrie artisanale de contorsionnistes scientifiques pour faire valoir leurs arguments contre le consensus de la classe des experts qui dominait le courant dominant de la pandémie. Qualifiant ce discours de « désinformation » et le mettant sur le compte de « l’analphabétisme scientifique » et de « l’ignorance », le gouvernement a conspiré avec Big Tech pour le supprimer de manière agressive, effaçant ainsi les préoccupations politiques valables des opposants du gouvernement.

Et ce, malgré le fait que la politique de lutte contre les pandémies a été créée par une frange très mince de la société américaine qui s’est autoproclamée présidente de la classe ouvrière — des membres du monde universitaire, du gouvernement, de la médecine, du journalisme, de la technologie et de la santé publique, qui sont hautement éduqués et privilégiés. Du haut de ses privilèges, cette élite prône le paternalisme, contrairement aux Américains moyens qui louent l’autonomie et dont la vie quotidienne les oblige à prendre en compte les risques. Il est inadmissible que nombre de nos dirigeants aient négligé de prendre en compte l’expérience vécue de ceux qui se trouvent de l’autre côté du fossé des classes.

En raison de ce fossé des classes, nous avons sévèrement jugé les critiques du confinement comme étant paresseux, arriérés, voire mauvais. Nous avons rejeté comme « escrocs » ceux qui représentaient leurs intérêts. Nous pensions que la « désinformation » énergisait les ignorants, et nous refusions d’accepter que ces personnes aient simplement un point de vue différent et valable.

Nous élaborions des politiques pour les gens sans les consulter. Si nos responsables de la santé publique avaient fait preuve de moins d’orgueil, l’évolution de la pandémie aux États-Unis aurait pu avoir une issue très différente, avec beaucoup moins de vies perdues.

Au lieu de cela, nous avons assisté à une perte massive et continue de vies en Amérique en raison de la méfiance à l’égard des vaccins et du système de santé ; une concentration massive de la richesse par des élites déjà riches ; une augmentation des suicides et de la violence armée, en particulier chez les pauvres ; un quasi-doublement du taux de dépression et de troubles anxieux, en particulier chez les jeunes ; une perte catastrophique du niveau d’éducation chez les enfants déjà défavorisés ; et chez les plus vulnérables, une perte massive de confiance dans les soins de santé, la science, les autorités scientifiques et les dirigeants politiques en général.

Ma motivation pour écrire ces lignes est simple :

Il est clair pour moi que pour restaurer la confiance du public dans la science, les scientifiques doivent discuter publiquement de ce qui a bien fonctionné et de ce qui a mal fonctionné pendant la pandémie, et de ce que nous aurions pu faire mieux.

Il n’y a pas de mal à se tromper et à admettre ses erreurs et ce que l’on a appris. C’est un élément essentiel du fonctionnement de la science. Pourtant, je crains que beaucoup ne soient trop ancrés dans la pensée de groupe — et n’aient trop peur d’assumer publiquement leurs responsabilités — pour le faire.

Pour résoudre ces problèmes à long terme, il faut un plus grand engagement en faveur du pluralisme et de la tolérance dans nos institutions, y compris l’inclusion de voix critiques et impopulaires.

Il faut mettre fin à l’élitisme intellectuel, à la crédulité et au classisme. Le rétablissement de la confiance dans la santé publique — et dans notre démocratie — en dépend.

Le problème n’était pas l’ignorance des faits par les gens, mais l’antagonisme et la censure organisés à l’encontre de toute personne présentant des données contraires à l’agenda du mandat. Ceci sans tenir compte de proclamations comme celles du LA Times, qui a soutenu que se moquer de la mort des « anti-vaxxers » pouvait être nécessaire et justifié. Après deux ans de ce type d’absurdité arrogante, il est difficile d’imaginer que les gens seront prêts à faire comme si tout allait bien.

L’effort actif pour faire taire toute donnée opposée est le crime fondamental, cependant, et non, il ne peut jamais être oublié ou pardonné.

Les gens sont toujours livides…

On ne peut s’empêcher de remarquer que l’appel de l’Atlantique à l’oubli passif et maintenant ce mea culpa dans l’éditorial coïncident avec la fin des déclarations d’urgence du COVID, au milieu d’une réaction politique croissante à ces deux dernières années de verrouillages et de mandats insignifiants, et les démocrates ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre des deux. Une grande partie de la population considère qu’un parti est la cause de la plupart des conflits de l’ère covidienne.

Peut-être que les grands médias réalisent soudain qu’ils vont devoir payer pour leur fanatisme covidien ? « Nous ne savions pas ! Nous ne faisions que suivre les ordres ! » Tout cela semble plutôt familier.

source : ZeroHedge via Le Libre Penseur




L’atmosphère Chat GPT des va-t’en guerre

Par Lucien SA Oulahbib

Les pue-la-mort pètent la forme à tout va dans les « chat » formatés. Ils pullulent d’arborescence Chat GPT mal digérée par leurs boyaux mentaux qu’ils recrachent (tant bien que mal) sur les plateaux fromages des médias de grand chemin. Ceux-ci suintent cependant de plus en plus la mouise des perdants qui se recyclent, faute de dixième vague virale, dans l’hallali du meurtre par procuration : le dernier ukrainien ou russe allant de pair avec la dernière centrale à gaz allumée pour forger à l’équilibre le prix à payer du whatever it takes [quoi qu’il en coûte].

La lourde machine de l’engrenage 1914, coup de revolver au départ de Sarajevo, plusieurs dizaines de millions de morts quatre ans plus tard à l’arrivée, refait surface façon Terminator IV. Alors que « la faim tue dans le monde un être humain toutes les quatre secondes », cherchez l’erreur… S’il y avait « vraiment » un « gouvernement mondial » cherchant à s’occuper des affaires humaines au mieux comme le subodorait le mandat onusien…

Nous n’en serions pas là, aurait chanté Lennon à Woodstock (où es-tu ?…). Une naïveté certes (Fonda mettant le racisme sur le dos du réchauffement ou l’inverse GPTO au secours « chattent » les faux Pinocchio), mais tout de même. Il paraît d’ailleurs que le secrétaire général actuel de l’ONU n’est pas content (du tout) de l’envoi de chars en Ukraine, arrête ton char (pense éberlué Chat j’ai pété… un câble ? Dirait, peut-être, Rémy de Juste Milieu ou presque…). Pendant ce temps (soyons sérieux), les quelques spécialistes de la chose rament, n’ayant pas le bon logiciel dans la tête (en attendant la balle, s’alarme Régis de Castelnau).

Arno Klarsfeld certes s’en va pétitionner pour la « paix » en renvoyant bien sûr dos-à-dos les « détestables » proches de la version Clinton sur les électeurs de Trump (« pitoyables ») ce qui est bien à la mode aujourd’hui tant le parti de la Guerre est binaire et surtout puissant et qu’il faut montrer patte créole si l’on ne veut pas être traité de « racaille » par Pilotis ou en « faillite morale » par l’EX-Presse, un torchon si faisandé qu’il risquerait de boucher les latrines les plus turques ce qui s’avère être un exploit peut-être concurrencé par Hibernation en chute libre, tous deux ayant une « moralité » au-dessus de tout soupçon avec carte de « prêche », dirait Praud (alpagué lui aussi comme « méchant ») au sermon subventionné (mais il ne faut pas le dire, juste le murmurer), comme chacun sait…

Ces cerveaux à un neurone et demi (les autres ont fui) auraient donc bien besoin de Chat machin chose ; mais celui-ci a encore un langage châtié et (prétendument) mesuré que ces feuilles de chou ne possèdent plus, journaux locaux germanopratins que l’on sert aux Deux magots (public et privé) avec le croissant vert que l’on déverse aussi à l’autre w.c. nommé Science Po de chambre queer ou latex (mais ne pas trop coller aux murs des directeurs soudain se défenestrent). À force de trop fumer la moquette entre deux lignes blanches, les seules qui restent encore admises dans leur couleur d’origine…




Le soutien d’Elon Musk à la « liberté de mourir » met en lumière l’impasse du libertarianisme

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Sur plusieurs sujets, Elon Musk apparaît comme un allié des opposants à la censure totalitaire. En libertaire engagé, Musk a rapidement restauré les comptes Twitter suspendus de Donald Trump, du Dr Jordan Peterson, et de nombreux dissidents. Ce qui, pour de nombreux journalistes du système, a fait de lui une personne non grata classé à droite voire à l’extrême droite. Et une partie de l’opinion publique, de l’extrême gauche à l’extrême droite, gobe cette vision simpliste de journalistes aux ordres.

Mais le fait que les wokistes voient le soutien à la liberté d’expression comme le retour du fascisme n’est pas une indication d’un quelconque engagement anti-mondialiste de la part de Musk. Elon Musk, en fait, est à la fois un artisan du transhumanisme, plutôt LGBT-friendly et s’aligne sur la redéfinition subversive du mariage. Il s’est vanté de sa grande famille, mais la réalité est que cinq de ses fils ont été mis au monde grâce à la Fécondation In Vitro et il a également utilisé la maternité de substitution (avec plusieurs femmes différentes). Lors de la dernière fête d’Halloween, il avait revêtu une cuirasse ornée de la tête de Baphomet, symbole des satanistes.

Le récent commentaire de Musk sur le suicide assisté montre que sa vision de la liberté est une vision post-humaine. Le médecin et entrepreneur Peter H. Diamandas a demandé au milliardaire sur Twitter à quel point sa vision de la liberté était maximale :

« Pensez-vous que les humains devraient pouvoir choisir quand ils meurent ? »

« Absolument« , a répondu Musk . « La liberté signifie la liberté de mourir quand vous êtes sûr de le vouloir. »

Un débat sur le suicide assisté et l’euthanasie – sujet d’actualité brûlant dans le monde occidental – a immédiatement commencé sur Twitter. Le Dr Jordan Peterson, lui-même psychologue clinicien, a répondu :

« De nombreuses personnes qui ont des conditions traitables (la dépression, par exemple) choisiraient la mort en raison des conséquences pourtant réparables de la maladie. Pas bon. De plus, nous avons donné le pouvoir de prendre cette décision à l’État au Canada. Plus de 30 000 personnes ont choisi la mort. Pas bon. Et pire à venir. »

L’éthicien Wesley J. Smith du Discovery Institute était d’accord, notant :

« Non. Un droit est exécutoire par la loi. Voyez les horreurs de l’euthanasie en cours au Canada. Les personnes suicidaires devraient recevoir de la prévention, pas de la facilitation. Si un droit de mourir pour une raison quelconque = mort sur demande. Cela conduit à la coercition et à l’abandon.»

Allie Beth Stuckey a répondu :

« Alors tout le monde devrait se suicider quand il en a envie ? »

Faisons un instant abstraction des commandements de Dieu et de la doctrine catholique qui excluent le suicide assisté et l’euthanasie. Et faisons simplement appel à la raison pour démonter le raisonnement de Musk.

En effet, le commentaire de Musk et les réponses qui y sont apportées soulignent une fois de plus le problème mortel de la conception libertaire du suicide assisté, vu simplement comme un droit universel au suicide. Musk l’affirme en déclarant que la liberté est la « liberté de mourir quand on est sûr de le vouloir« . Ce que nous constatons dans la pratique, c’est que le mot « sûr » dans cette phrase pose beaucoup de questions. Combien choisissent l’euthanasie parce qu’ils sont soumis à la pression extérieure ? Ou sont poussés au suicide assisté en raison de leur situation économique ou de leur incapacité à obtenir des traitements de santé mentale ou physique ou des soins palliatifs ?

Comme l’illustre le régime mortifère canadien, tous ces scénarios sont réels, et se produisent en ce moment. Un monde dans lequel des personnes libres décident de se suicider à l’abri des pressions extérieures est un fantasme libertaire mortel qui permet en réalité de conditionner des personnes en détresse à choisir une injection létale pour échapper à leurs soucis. Ce type de libertarianisme s’attaque aux faibles, aux défavorisés et aux souffrants – et il doit être complètement rejeté.




Nouveaux documents explosifs : La mascarade révélée USA

[Source : Joe Massot – Originel Religiare via RI]

D’après de nouveaux documents, le Département de la Défense — c’est-à-dire le DOD, le Pentagone — aurait contrôlé le programme COVID-19 dès le début. Ils se sont également couverts eux et tous leurs complices judiciairement de sorte qu’aucun tribunal ne puisse techniquement rendre justice !

L’invitée de Clayton Morris est l’ancienne dirigeante d’une organisation de recherche pharmaceutique sous contrat, Sasha Latypova, et elle montre ce qu’elle a trouvé grâce à ses recherches, au départ basées sur le fait que le vaccin Covid présentait de nombreuses anomalies de fabrication.

Comprenez bien que depuis la fameuse opération Warp Speed de Trump jusqu’au « nous sommes en guerre » de Macron, toutes ces déclarations visant à traiter la pandémie artificielle du labovirus sars-cov-2 servent à entretenir leur auto-permission de mentir et de traiter ce qui devrait être une affaire de santé comme une affaire de défense militaire. Il s’agit de lois d’exception du même type que les mesures spéciales qui accompagnent généralement les attentats (sous fausse bannière).

On apprend que non seulement tout cela avait été anticipé, mais aussi que des consignes ont été malicieusement données pour entretenir le mensonge dès les années 2012-2013, et que tout ce qui concerne ces injections est couvert par le secret militaire. Toute communication autour des essais précliniques n’était qu’un très vaste mensonge profitant de ces lois d’exception.

C’était donc bel et bien une effroyable conspiration politique, jusqu’au processus d’approbation des vaccins de la FDA, comme le reste, une mise en scène servant, comme chacun peut s’en douter, un tout autre plan dont la suite consiste à sacrer l’OMS internationalement pour leur permettre de faire la pluie et le beau temps du monde concernant notre liberté.

Ne dépendez plus des institutions privées et publiques, gouvernementales, pseudo religieuses et pseudo scientifiques, votre liberté originelle n’a pas été créée pour être soumise aux conditions de ces traîtres à la vie ! Il n’y a rien a attendre des gouvernements qui ne font que semblant de se battre puisqu’ils sont tous impliqués ou au mieux révèlent leur impuissance face aux outils de la justice internationale corrompue et Le Livre de Vie (www.lelivredevie.com) annonçait que toute cette félonie prendrait réalité dès 2000 !

Source de la vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=ERvURcpg3JE






La dérive sectaire du courant ethno-différentialiste (TV.Libertés, Conflits, Éléments, BD Voltaire, Valeurs Actuelles…)

Par Lucien SA Oulahbib

Ce courant, certes multiforme (il se diffracte aussi en « fragments » au sein de divers « partis » étant par exemple assez puissant dans Reconquête, Rassemblement national, diverses officines dites « identitaires ») semble aujourd’hui tellement sur la défensive du point de vue eschatologique (civilisationnel) qu’il en vient à soutenir des positions néo-trotskistes telles que trancher, de facto, plutôt du côté de Kiev (pro Bandera) que de Moscou (récent interview, surréaliste, du général Desportes sur TV Libertés — 7/01/2023 — ou la proposition zemmourienne d’envoyer de Villepin et Sarkozy à Moscou en mars 2022), ce qui revient objectivement à défendre l’OTAN de façon similaire à ce que Trotski disait qu’il fallait défendre l’URSS, même si elle était devenue un « État ouvrier bureaucratiquement dégénéré » comme l’est l’UE (celle-ci est défendue de façon néo-trotskiste là aussi par les mêmes), sans oublier (mais c’est un autre sujet) ce que sont devenus les US depuis 1945 — avec leur confusion entre luttes nationalistes et luttes communistes — malgré un Reagan et aujourd’hui Trump, versatile en réalité quant à celui-ci si l’on analyse sans pathos son soutien piètrement électoraliste à l’injection affairiste (pour ne pas en dire plus…).

Ce courant ethno-différentialiste va aussi se mettre à défendre également des positions néo-impériales telles que pencher vers le national nazisme arabe (Nasser, Saddam, Kadhafi, ce qui fait le jeu d’un BHL) vers Pékin plutôt que Taïwan, tout en restant bien timide quant à la répression khomeyniste en Iran, voire se tenir plutôt, et ce en général du côté palestiniste qu’israélien, ou prendre pour argent comptant la présence talibane en Afghanistan (position de Jacques Baud — oubliant par ailleurs, comme Onfray d’ailleurs, le massacre en masse des Kurdes par Saddam — et aussi de Zemmour refusant d’accueillir des Afghanes). Ceci explique aussi également les sympathies de ce courant avec disons le côté viril de l’islam…

C’est en effet cette « virilité » (reconnue également par les trotskistes canal historique tel que le néo-créoliste Mélenchon…) que ce courant ethno-différentialiste, bien que subdivisé en paganisâtes germanophiles et en catholiques fondamentalistes nostalgiques façon bien plus anti-Dreyfus (pour aller au fond) que le contraire, admire le plus (d’où sans doute le coup de fil très « mâle » de Zemmour à Ramadan), du moins, si l’islam se cantonnait dans « ses » frontières (?) et, donc, ne débordait pas sur le fond ethnique européen à défendre y compris biologiquement. D’où le combat de ce courant contre l’immigration, bien plus dans ce cas puriste et relativiste différentialiste (chacun chez soi) qu’universaliste en effet…

Sauf que ce dernier ne doit pas être vu en son sens scientiste comme le fut (pour une part) celui du XIX° siècle et que défend encore le globalisme affairiste d’aujourd’hui avec son écologisme et son hygiénisme (made in Davos), car il s’agit plutôt, du moins celui issu de la France (et d’une partie de cette Angleterre lockienne qui donna un Churchill) et non de l’Allemagne, d’un universel plus juste au sens gréco-romain chrétien et français, à savoir propager pacifiquement et techniquement — au sens de praxis — une meilleure façon de vivre en soi. Ceci implique certes de se rendre « maître et possesseur de la nature », mais ce non pas pour la dominer en soi, plutôt pour mieux se connaître afin de savoir bien vivre, disait Descartes dans sa Méthode… Hygiène (qui fut bien plus la cause fondamentale de l’éradication des maladies endémiques que sa médicalisation aujourd’hui en hypertélie) et infrastructures, institutions, « division organique du travail », bref, ce qui fut fait, par exemple, en… Algérie, au-delà du pire…

Or, rappelons à nouveau la position de tout ce courant par rapport au conflit israélo-palestinien, en particulier, et de l’islam, en général, bien plus compréhensif pour les seconds que pour le nationalisme juif. Remarquons également en passant que Houellebecq n’a pas parlé sur l’islam dans l’une de leurs officines récemment et rappelons la frilosité de BD Voltaire récemment épinglé sur Riposte Laïque dont les auteurs ne sont d’ailleurs jamais sinon très rarement invités par ces médias dits « alternatifs » (mais Causeur et Berkoff, Charles Gave, Putsch, Juste milieu, ne font pas mieux sur ce plan strict de la liberté voltairienne d’expression…). Ceci fait qu’il n’existe qu’une différence de degré et non de nature entre ce courant ethno-différentialiste et celui d’Égalité et réconciliation de Soral et Dieudonné…

Rappelons d’ailleurs et brièvement certains faits géo-symboliques, anciens, modernes, contemporains qui semblent être toujours incompris par ce courant (d’où son côté défensif caché par ce remake/revival par défaut ou faute de mieux actuel) : ce qui a fait la grandeur de Rome c’est aussi d’adouber les meilleurs, même issus d’ethnies différentes (Septime Sévère était Amazigh), idem pour le christianisme (Saint-Augustin était Amazigh) ; ce qui a fait la grandeur de Valmy (poursuivi par Napoléon) fut de s’appuyer à la manière grecque/platonicienne sur la compétence et non sur l’origine (République veut dire politeia en grec ancien) ; enfin s’il faut mettre les points sur les i à l’encontre de cette collusion vis-à-vis de Kiev (pro Bandera) entre globalistes et ethno-différentialistes, à écouter les premiers (comme BHL) il aurait fallu bombarder la Corse et la Nouvelle-Calédonie du fait de leurs velléités autonomistes, tandis que les seconds prônent un strict retour au Traité de Westphalie (ce qui aurait bien fait rire Fouché ou Talleyrand et rendre caducs services secrets, forces spéciales, alliance de revers…)

N’oublions enfin tout de même pas que la France est un composé ethnique, certes européen, avec cependant comme sédiments forts formant alluvions puis terreaux pour fructifier des racines la pensée chrétienne ayant revisité les pensées juives et grecques pour y prendre la « substantifique moelle » rabelaisienne et le « bon sens » cartésien afin de savoir comment bien vivre, avec toute la mesure et finesse pascalienne (d’où toute une conflictualité pas toujours feutrée…) ; d’où alors l’inégalable douceur d’être à la française concurrencée uniquement de nos jours par l’italienne… (Mais les tablées allemandes et russes sont redoutables par leur convivialité…).

Au fond, ce courant ethno-différentialiste (et également son contraire, le courant néo-créoliste issu de la dégénérescence du trotskisme en néo-léninisme libidinal et « trans », outil répressif de la Secte globaliste) devient de plus en plus un obstacle pour un vrai renouveau français au sens de ne pas avoir des « racines » uniquement ethniques ou internationalistes, mais surtout et d’abord politiques. C’est-à-dire partager un destin semblable, y compris dans les tranchées, dans lesquelles le sang qui coulait en 1914 n’était pas de couleur bleu ou blanche, ce que même un Maurice Barrès a bien été obligé d’admettre…

Ce courant, et son contraire néo-créoliste, empêchent au fond qu’une réelle convergence s’affirme entre tous ceux qui, issus de diverses histoires commencées à gauche et à droite, ne veulent pas sacrifier des acquis civilisationnels français (et aujourd’hui partagés mondialement) pour un plat de lentilles supposées « pures » puisque « locales »…

Ce sont désormais bien plus des obstacles et des alliés objectifs de la Secte globaliste que ses réels opposants.




« Asservissement » gratuit

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Le cadeau du Nouvel An : Asservissement en téléchargement gratuit !

Ses justifications « scientifiques » de la pédophilie (viol compris)
n’auront pas empêché le « père de la sexologie » Alfred Kinsey
de faire la Une du Time en août 1953
Avec cela vous comprenez mieux les décisions choquantes de modifications de certaines lois qui réduisent drastiquement les protections de nos mineurs.

Chères lectrices, chers lecteurs,

Je voudrais tout d’abord vous souhaiter une excellente année 2023!

J’espère que malgré tous les clignotants qui passent au rouge, vous trouverez bonheur, santé et paix intérieure.

A titre personnel, j’aime particulièrement le passage de Jean 14 qui dit: « Que votre coeur ne se trouble point. » C’est à mon avis LE conseil le plus utile en ces moments troubles.

Cela ne signifie nullement de faire l’autruche et de pratiquer ce que d’aucuns appellent le déni actif. Ignorer la réalité afin de veiller sur son coeur est pour le moins inutile.

La clé serait à mon sens de s’informer pour se faire une image, présente et future, du modèle organisationnel global. Puis, malgré les dangers potentiels réels qui guettent, empêcher son coeur de se troubler.

Dans le but d’informer au-delà de toutes relations commerciales, l’éditeur et Vincent Held ont décidé de mettre à disposition le PDF de Asservissement. Ainsi, personne ne pourra dire qu’il ne connaissait pas les concepts pathologiques, pour ne pas dire plus, de ce que certains ont prévu pour la société.

asservissement

Ces individus qui bénéficient de moyens historiques foulent au pied l’humanité, la vie qu’elle porte, et toutes formes de respect et de libertés.

De fait, quelques individus, légitimés par des pseudo-scientifiques financiarisés, se considèrent comme des dieux qui ont le droit de disposer des populations pour satisfaire leurs besoins personnels largement pathologiques et pervers.

Prendre en otage l’humanité entière pour pratiquer des expérimentations dangereuses n’a certainement pas à ce jour de qualificatifs dans le dictionnaire. Il faut bien se souvenir, qu’avant les expérimentations covidiennes, d’autres ont eu lieu. Exemple.

Au départ, il y a un professeur de psychologie, Helmut Kentler. Il travaille à Berlin dans un centre de recherche sur l’éducation et se spécialise sur la sexualité infantile. Dans les années 1970, c’est un chercheur respecté qui prône l’émancipation sexuelle dans ses livres et sur les plateaux de télévision allemands. À la même époque, c’est avec l’assentiment des autorités locales qu’il décide de mener à bien une expérience « scientifique » pour laquelle il décide de placer des enfants berlinois sans domicile fixe auprès de pédophiles. Certains « parents d’accueil » ont déjà un casier judiciaire, mais les autorités, là aussi, ferment les yeux. Helmut Kentler justifie son expérimentation par sa conviction que les enfants sont placés dans des familles aimantes et que les rapports sexuels entre enfants et adultes ne sont, selon lui, pas malsains. https://www.ladepeche.fr/2020/06/30/le-scandale-des-enfants-places-chez-des-pedophiles,8956682.php

De fait, nous vivons une situation historique que certains biblistes pourraient identifier en tant que « temps de la fin ». Car à tous les problèmes posés par le Nouveau Monde dont l’ordre se heurte de manière frontale à l’ordre divin, s’ajoutent des menaces tangibles provenant du Système solaire et de ses décharges considérables d’énergie…

https://video.wordpress.com/embed/2eXQ5ltG?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1Les ondes de choc solaires peuvent anéantir le monde moderne Suspicious0bservers

Et malgré tout ce qui précède et malgré certaines informations , difficiles à digérer, de Asservissement, je vous souhaite de continuer de bénéficier de votre Paix intérieure.

Avec mes cordiaux messages.

LHK




Rockefeller, Rothschild, Morgan : le Deep State sort de l’ombre

[Source : zejournal.mobi]

Ce n’est que ces dernières années que parler de « l’État profond » et d’une organisation secrète dirigeant les États-Unis est devenu de mauvais goût pour les Américains. Avant cela, diverses tentatives ont été faites pour parler du rôle des Rockefeller, des Rothschild, des Morgan. Mais maintenant, les joueurs sont complètement sortis de l’ombre. Une tentative de comprendre les subtilités de la gouvernance américaine, en rappelant les concepts de base, a été effectuée par le politologue et publiciste Igor Pshenichnikov.

Cet article a été publié en deux parties que nous réunissons en un seul texte

La question de savoir s’il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis dirigeant réellement le pays et en partie le monde entier, et celle de déterminer qui tire les ficelles de la gestion du président lui-même et du congrès, ont fait l’objet, dans les années 70 et 80 du siècle dernier, de nombreuses discussions dans les journaux américains. L’apogée de ces débats fut la publication en 1980 du livre – encore populaire à ce jour – des politologues américains, Leonard Silk et Mark Silk : « American Establishment », dans lequel les auteurs – père et fils -, s’efforcent de comprendre le mécanisme de prise de décision gouvernementale aux États-Unis.

La légende est ancienne mais les « haut-parleurs » sont nouveaux

C’est l’ancien président américain, Donald Trump, qui est devenu le principal défenseur de la théorie du complot de « l’État profond » des temps modernes. Et, soyons honnêtes, après les tentatives à grande échelle pour éliminer Trump, l’on n’a pas de mal à y croire. 

Mais revenons à l’essentiel. Le « deep state » (État profond, comme on l’appelle en Amérique), l’establishment libéral, l’élite mondialiste, le « marais de Washington » (selon les termes de Trump) sont toutes des définitions différentes d’un même thème et qui apparaît souvent sous ces définitions dans la presse actuelle.

Les auteurs du livre « The American Establishment » ont donc révélé au monde les cinq plus grandes « institutions » qui gouvernent selon eux l’Amérique : l’Université de Harvard ; le journal The New York Times – soit dit en passant, c’est le NYT qui a formé le régime de Kyiv aux relations presse ; la Fondation Ford ; le groupe de réflexion Brookings Institution ; le Council on Foreign Relations, une structure privée qui détermine de facto la politique étrangère des États-Unis. Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse « Commission trilatérale ». Celle-ci est une sorte de club rassemblant les plus grands banquiers et entrepreneurs, ainsi que les principaux politiciens des pays occidentaux. Elle vise à « rechercher des solutions aux problèmes mondiaux » …

Ainsi, il en ressort clairement que « l’État profond » consiste en un groupe de « citoyens » qui, ensemble se distinguent par de sérieuses capacités d’analyse et de prévision. Ce sont des « maîtres de l’argent » (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et les propriétaires de sociétés transnationales (STN). Ces plus grands entrepreneurs ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui ont formellement le pouvoir politique. En outre, « l’État profond » regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Passons maintenant aux personnalités

De diverses sources, on peut recenser des informations sur les membres composant cet « État profond», même si, bien sûr, l’on doit s’attendre à ce que toutes ces personnalités soient les premières à nier l’existence d’une sorte de pouvoir secret et d’implication dans les affaires du pays. 

Les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de la réserve fédérale. Ce sont les « maîtres de l’argent » : les Rockefeller, les Rothschild et les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l’origine de la création du « Club de Rome », qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le « nid familial » de la « Commission trilatérale » déjà mentionnée.

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, Elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des informations dans l’imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l’échelle mondiale des « intérêts » du clan Rockefeller, vous pouvez retenir les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d’autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l’État profond ». On sait qu’au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l’origine de la destitution et de la nomination de dirigeants de divers États, ainsi que de coups d’État anodins … L’un des membres les plus célèbres du clan, Nelson Rockefeller, qui a été vice-président des États-Unis en 1974-1977, dans une interview au magazine Playboy, avait décrit le credo de sa famille comme suit : « Je crois vraiment à la planification, à la planification économique, sociale, politique, militaire, mondiale ».

Avec une mise à niveau

De toute évidence, beaucoup de choses ont changé depuis la rédaction de « The American Establishment ». Certaines personnes sont parties, et de nouvelles sont arrivées. Et, probablement, tout n’est pas si plat et linéaire. La vérité, bien sûr, est beaucoup plus compliquée. Et plus effrayante. Les « institutions » ci-dessus ne se limitent pas aux forces qui souhaitent influencer la politique intérieure et étrangère des États-Unis. La présidence Trump a montré que les plus hauts gradés de l’armée et les dirigeants de la communauté du renseignement américain, qui ont activement participé à la lutte contre Trump aux côtés du Parti démocrate, font partie intégrante de « l’État profond ».

Trump lui-même a pointé du doigt des hauts responsables de la CIA, du FBI et du ministère de la Justice qui enquêtaient conjointement sur ses « liens » avec le Kremlin. Ils n’ont rien trouvé, ni présenté quoi que ce soit au public. Cependant, les « enquêteurs » ont réussi à réduire à néant les relations entre les États-Unis et la Russie. Dans le même temps, le caractère unilatéral des activités des services spéciaux était évident. Ils ont méprisé Trump, mais ont fermé les yeux sur les méfaits évidents d’Hillary Clinton liés à sa correspondance officielle. Comme il l’a indiqué, Trump a regretté que le « département de la justice de l’État profond » n’ait pas pris de mesures contre la « malhonnête Clinton ».

Dis que je suis parti

La discussion soulevée par Trump sur l’influence de « l’État profond », sur tout et tout le monde en Amérique, a suscité un énorme intérêt pour ce sujet dans la société américaine. Mais la presse libérale a commencé à réfuter l’existence de tout pouvoir secret.  Il est devenu clair que « l’État profond » était très inquiet. 

The National Interest, considéré comme un magazine libéral analytique, a organisé un symposium par correspondance sur le thème « L’État profond existe-t-il ? ». Cela a abouti à une série d’articles par des « experts et analystes » bien connus. La « mousse aux lèvres », ils ont réfuté la théorie de l’existence d’un « État profond » aux États-Unis …

Voici comment, par exemple, John Deutch, directeur du renseignement central américain sous le président Clinton, a commenté ce sujet : « Les partisans les plus paranoïaques du président Trump disent que le nouvel État profond est une résistance organisée des responsables du gouvernement fédéral qui sont déterminés à saper sa présidence. Pas étonnant que les employés fédéraux, principalement dans les agences civiles, n’aiment pas les politiques de Trump, en particulier celles qui nécessitent des coupes budgétaires et d’autres restrictions. Mais qualifier cette résistance d’organisée est exagéré. En effet, il est ridicule d’affirmer que l’escalade des fuites de fonctionnaires mécontents qui entendent influencer la politique est la principale preuve de l’existence de l’État profond… Voici mon conseil. Lorsque vous entendez le terme « gouvernement fantôme », changez de chaîne ou éteignez la radio, ou si vous voyez un article comme celui-ci, tournez la page ».

Seul consensus, et rien de plus

Les auteurs des articles de The National Interest ont fait valoir que les hauts fonctionnaires adhèrent à l’unanimité au « consensus général » sur ce que devrait être la politique du pays après la fin de la guerre froide. Par exemple, ce consensus unit tous les fonctionnaires, quelle que soit leur affiliation partisane, et il est à la base du fait que la classe politique américaine dirige le pays dans la même direction choisie depuis longtemps. Et, disent-ils, en cas d’échecs, cette classe politique, sur la base d’un consensus inébranlable, corrige les erreurs qui peuvent être commises au sein du pouvoir exécutif ou législatif. Et dans le cas de Trump, par exemple, c’est ce consensus des politiciens américains qui a freiné les initiatives du président, et pas du tout une sorte d’« État profond ». Emma Ashford, experte du Cato Institute, écrit : « Le problème n’est pas, comme le prétend Trump, que « l’État profond » fasse dérailler son agenda politique. Il s’appuie sur des conseillers qui s’accordent eux-mêmes sur un consensus de politique étrangère post-guerre froide. Et jusqu’à ce que ce consensus soit modifié, la politique étrangère américaine continuera de suivre la même voie cohérente, quelle que soit l’administration ».

Contre les travailleurs ?

Rejoignant la vague de dénégations de l’idée de l’existence de « l’Etat profond », un autre expert, professeur à l’université du Texas, Michael Lind, est même prêt à admettre qu’il existe une « conspiration des élites transatlantiques », mais selon lui, il n’y a pas d’« Etat profond » secret. Toujours dans The National Interest, il écrit qu’après la fin de la guerre froide, le grand capital des deux côtés de l’Atlantique, afin d’augmenter ses profits et de renforcer son contrôle, a tenté de freiner les travailleurs et leurs syndicats. A cette fin, « les élites transatlantiques… ont restructuré le système de gouvernance de la société afin de minimiser la responsabilité démocratique. Pour ce faire, ils ont déplacé la prise de décision du législatif vers l’exécutif et le judiciaire au sein de l’État-nation. Et ils ont créé les conditions pour diverses prises de décision au sein de l’État-nation, à travers des organisations telles que l’Union européenne, qui sont assez isolées des électeurs ».

Cette révolution oligarchique venue d’en haut après la fin de la guerre froide peut être qualifiée de conspiration, mais ce n’est pas une conspiration étatique profonde. « C’était un programme mené au grand jour par Bill Clinton, George W. Bush et Tony Blair en collaboration avec des dirigeants centristes européens. Ils ont réussi à atteindre leurs objectifs : affaiblir l’influence économique et le pouvoir politique de la majorité ouvrière aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays occidentaux », écrit Michael Lind. Une révélation intéressante. Mais cela ne fait rien pour réfuter l’existence d’un complot appelé « l’Etat profond ». De plus, cela prouve que cet « état profond » n’est pas américain, mais supranational.

Et alors ?

L’existence d’un « État profond » est unanimement réfutée par la presse libérale américaine, qui tente de ridiculiser ceux qui croient le contraire. Cet « État profond » essaie de toutes ses forces de prouver qu’il n’existe pas. 

Le premier problème urgent auquel est confronté ce conglomérat de forces – qui ne recherchent pas la lumière et la publicité, mais contrôlent toute la vie américaine et tentent de contrôler le monde entier – est de maintenir sa superstructure visible à la Maison Blanche : c’est-à-dire l’administration actuelle, que ce soit celle de Biden ou de quelqu’un d’autre.

Le deuxième problème non moins urgent de « l’État profond », c’est l’existence d’une Russie indépendante, qui défend les valeurs traditionnelles et qui est le fleuron de toutes les forces mondiales opposées à l’hégémon, lequel professe presque ouvertement le « satanisme » dans ses diverses manifestations. 

La bataille va donc s’engager. Mais pour ce faire, « l’État profond » devra agir et se montrer. Par conséquent, il ne pourra pas cacher ses « oreilles », peu importe ses efforts.  Ainsi, de temps en temps, nous aurons l’occasion de mieux le connaître.   

– Source : Tsargrad TV (Russie)




Comment les faussaires de gauche tuent l’information (Boutcha, Paris…)

Par Lucien SA Oulahbib

Qui se souvient de « Jayson Blair » ce journaliste du New York Times ayant plagié et inventé des évènements ? Ou encore de la manière dont ce même « journal » a par contre occulté les affaires sulfureuses du fils Biden sans oublier son rôle clé et encore actuel sur l’accusation contre Trump de collusion avec la Russie, sans parler de l’assaut du Capitole et de toute la mascarade Covid-19 ?…

Eh bien, ce même fleuron réitère en se targuant d’une enquête de « huit mois » sur ce qui se serait « vraiment » passé à Boutcha en s’appuyant sur des documents fournis par les services zélinskystes, tout en apportant l’ultime preuve :

« (…) à chaque fois, ou presque, qu’un civil meurt à Boutcha, son téléphone est utilisé pour passer des appels en Russie. Cela se passe dans les minutes qui suivent les meurtres. Et tous les coups de fil sont passés à des proches de membres du 234e régiment. Les soldats russes ont interdiction d’utiliser leurs téléphones personnels ou d’appeler leurs familles. Ils se sont donc servis des appareils de leurs victimes pour rassurer leurs femmes ou leurs parents. (…) »

Là, relevons quelques perles : généralement les téléphones ont un code d’accès, et surtout il aurait fallu indiquer à quelle date ces appels auraient été passés alors que l’on sait selon les dires mêmes du maire de Boutcha qu’il n’y avait pas de cadavres dans les rues lorsque les soldats russes se sont retirés (lire à ce propos la longue enquête effectuée à l’époque par FranceSoir sur cette question).

Mais comme l’OTAN s’enlise dans le Donbass, et que les affaires sulfureuses du fils et du clan Biden s’amplifient (en Ukraine y compris), sans oublier l’escroquerie à grande échelle d’une plateforme affairiste (FTX) très proche des démocrates (mais cela n’a pas empêché sa mise en valeur par le même NYT), il fallait bien allumer un contre-feu afin de détourner l’attention sur un média en perdition, quitte à alimenter la détestation antirusse. Celle-ci est assez semblable au fond à celle qui est toujours alimentée, y compris en France, autour d’Israël depuis sa création (Le Clézio en avait fait même ses choux gras distribués au bac de français ces derniers temps), ce qui accentue la division en France et débouche sur l’animosité à sens unique contre les Juifs de France et empêche ainsi toute intégration et assimilation d’une population d’origine musulmane élevée dans de tels mensonges.

Mensonges alimentés également par toute une gauche de plus en plus putride qui voile ses liens avec la vraie « extrême droite » palestinienne (dont un de ses membres a été accueilli en grande pompe récemment) qui a fricoté naguère avec le nazisme, puis avec le totalitarisme soviétique, ensuite khomeyniste (ces « amis » de Soral soutenant le Hamas et le Djihad islamique), et aujourd’hui néo-léniniste (Nupes). Et cette gauche totalitaire en vient maintenant à suspecter la moindre manipulation d’un « loup solitaire » versus celle des services secrets turcs (dernière en date trois assassinats de Kurdes en plein Paris, pourquoi Kurdes si le seul « racisme » était la motivation ?) la corrélant misérablement avec les souverainistes français, cette dite fameuse « extrême droite » que cette gauche fétide appelle sans cesse à dissoudre, alors que ses propres nervis dits « antifa » (ou nettoyeurs vérificateurs) au service de la macronie et de ce qui l’a précédée (l’affairisme sarkoziste sauce hollandaise) salissent, tabassent, détruisent non seulement des concepts, mais aussi des librairies à l’instar de leurs lointains prédécesseurs tchékistes.

Au fond, la vérité éclate sur cette « gauche » affairiste (dernier élément en date la corruption au Parlement européen), hygiéniste (le matraquage autour d’infections qui auraient pu être soignées précocement), au scientisme désormais illuminé (la moindre critique étant maraboutée « complotiste » c’est-à-dire « impure »), considérant la moindre injection et son flash comme la drogue underground du moment à ne pas rater, comme le révèle piteusement Onfray dans son dernier mea culpa ; ou encore véhiculant un prophétisme se métamorphosant en climatologie « people » à la moindre hausse ou baisse des températures (moins 55° actuellement aux USA) et alors que les observations (et non les projections spéculatives) montrent que la prudence doit rester de mise quant aux liens supposés « causaux » entre gaz à effet de serre, météo et climat.

Et plus le fracas sur le Réel (énergies, inflation…) provoqué par une gauche bien nourrie par les émoluments de la République française (si généreuse pour ses ennemis et les non-citoyens, tout en laissant ceux-ci mijoter dans l’injustice européenne et onusienne, les parquant en France avec l’aval du Conseil Constitutionnel français) est retentissant, plus il s’avère douloureux pour un peuple laissé à l’abandon. Celui-ci se clochardise de plus en plus aux dires des organismes de charité, tout en étant constamment harcelé, violé, massacré, et raillé également puisqu’il se laisse faire par tout un tas d’abrutis, à commencer par ce goal argentin qui n’a de cesse de traîner dans la boue l’avant-centre français Mbappé pendant que la gauche dite française n’en dit bien sûr pas un mot ou presque.

À vrai dire, « nous » avons en France et dans le monde ce que nous méritons : une élite médiocre sinon nulle. Mais très maligne, mesquine, nihiliste, cynique, qui peut mener à l’effondrement final comme en 40… Tant et si bien d’ailleurs qu’il ne s’agit même plus pour certains de se demander s’il va venir puisqu’il est déjà là, mais que cela ne se voit pas encore…




L’acteur Tim Robbins regrette de s’en être pris aux personnes non vaccinées et non masquées

[Source : LLP via RI]

Par Aguellid

« Nous sommes devenus des personnes tribales, furieuses et vengeresses ».

Témoignage poignant, très intéressant de l’acteur américain Tim Robbins qui revient sur sa propre gestion de la crise sanitaire et sur comment il estime aujourd’hui avoir glissé complètement dans un monde tyrannique en voulant imposer l’inacceptable aux autres alors qu’il pensait être quelqu’un de bien, quelqu’un d’ouvert et de bienveillant. Cette vidéo est très intéressante car elle nous explique comment les gens ont pu être trompés et quel est le moyen que Tim Robbins a utilisé pour se réveiller, notamment le fait d’observer ce qui se passait ailleurs, en Angleterre en l’occurrence.

Il a également été choqué par la propagande et les mensonges de la presse officielle qui traitait toute personne opposée aux décisions gouvernementales de factieux-nazis-d’extrême-droite-mangeurs-d’enfants-complotistes… Alors qu’il n’en était rien, bien au contraire, il s’agissait de gens tout à fait normaux, il était même question de libéraux respectueux des autres et de la liberté individuelle de chacun.

Mais le plus intéressant dans ce témoignage est le fait d’avoir politisé la vaccination alors que c’est un acte médical. Immédiatement, aux USA, le vaccin anti Covid-19 a été politisé d’une manière extrêmement grossière. Au tout début il était très mal vu par les démocrates gauchistes étant donné qu’il avait été proposé par Donald Trump. Dès que ce dernier eut perdu la présidentielle américaine, le vaccin était devenu tout à fait acceptable !

Tim Robbins va beaucoup plus loin en accusant cette politisation de la crise sanitaire de destruction de la société et des âmes en affirmant : « Je pense que nous avons perdu beaucoup de nous-mêmes pendant cette période. » ! C’est effectivement le cas lorsque la société en arrive à vouloir exclure des services d’urgences les personnes malades non injectées ou de les mettre au chômage sans penser une seconde à comment vont-elles faire pour nourrir leurs enfants ! Tous ces comportements monstrueux et dénués de toute empathie humaine sont bien sûr basés sur un sentiment de justice et de droiture qui devait être imposé à l’autre !

C’est un des plus importants témoignages de star hollywoodienne oscarisée qui va faire beaucoup de bien pour la suite. On imagine qu’à partir de maintenant les langues vont se délier et que d’autres vont suivre également l’exemple d’Éric Clapton concernant son témoignage sur les effets indésirables graves de ces injections criminelles.


Par Joseph Mackinnon

L’acteur gauchiste Tim Robbins est apparu cette semaine sur le podcast de l’humoriste britannique Russell Brand pour dénoncer rétroactivement la politisation des politiques de santé pendant la pandémie et pour exprimer des remords quant à son acceptation non critique du récit médiatique du COVID-19.

Dans l’épisode du 18 décembre du podcast de M. Brand, M. Robbins, acteur oscarisé, a expliqué qu’il était passé d’un respect strict des édits gouvernementaux au début de la pandémie à un doute sur l’inerrance des soi-disant experts de la santé et sur le récit officiel construit autour du COVID-19, de la vaccination, du verrouillage et du masquage.

Bien qu’il ait d’abord « adhéré à l’idée » et « suivi les demandes » qui lui ont été faites, M. Robbins a expliqué que ses rencontres dans la vie réelle étaient en contradiction avec ce qu’on lui avait dit sur la pandémie, les manifestants contre le confinement et les personnes non vaccinées. Cela a généré un sentiment de dissonance cognitive, l’incitant à douter du récit officiel.

Quels sont les détails ?

Robbins a déclaré qu’il vivait à Los Angeles lorsque la pandémie a frappé.

Les écoles, les bars, les gymnases, les églises et les terrains de camping ont été bloqués ou fermés. Les habitants ont été confinés chez eux. Le port du masque a été rendu obligatoire. Le gouverneur démocrate de l’État, Gavin Newsom, a comparé les personnes non vaccinées à des conducteurs ivres. Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a dit aux non-vaccinés de se préparer à perdre leur emploi.

« J’y ai cru. … Je me masquais partout. Je gardais mes distances sociales. J’adhérais aux demandes qui m’étaient faites, et j’étais en colère contre ceux qui ne le faisaient pas », a déclaré Robbins à Brand.

Bien qu’il ait vu des zones prospères qui ne suivaient pas strictement les protocoles sanitaires étatistes lorsqu’il a traversé les États-Unis, ce n’est qu’après avoir visité le Royaume-Uni que Robbins a reconnu la possibilité qu’il ait eu tort d’accepter sans réserve le récit officiel de la pandémie.

En Grande-Bretagne, il a « remarqué que beaucoup de gens n’adhéraient pas à nouveau à ces demandes faites par leur gouvernement. J’ai pensé, eh bien, qu’ils allaient avoir une journée difficile, qu’il y aurait des morts graves ici ».

« Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas un taux de mortalité énorme [en Grande-Bretagne], après avoir été témoin personnellement de ce qui se passait, j’ai commencé à me poser de plus en plus de questions sur ce qu’on nous disait et si c’était vrai ou pas ».

La catastrophe pour les non-vaccinés que Robbins et d’autres ont été garantis par les gouvernements occidentaux et les médias ne s’était pas produite. Il a commencé à se demander ce qui n’était pas vrai.

L’acteur se souvient d’avoir traversé une manifestation contre l’enfermement à Londres. Robbins n’avait pas rejoint la manifestation parce qu’il la soutenait, mais plutôt parce qu’il était curieux.

« J’ai vu la façon dont ils étaient décrits dans la presse, et ce n’était pas vrai », a-t-il déclaré. « Ce n’était pas, vous savez, des nazis du Front national. C’étaient des libéraux, des gauchistes et des gens qui croyaient en la liberté individuelle. »

Politiser la pandémie

Robbins a suggéré que la pandémie était particulièrement politisée aux États-Unis.

Brand a abondé dans le même sens, suggérant qu’« il y a beaucoup plus d’idéologie politique en jeu qu’il n’est peut-être sage, prudent ou même honnête lorsque l’on prétend suivre la science ».

Robbins a admis :

« Au début, si vous étiez un démocrate, lorsque Trump était président, eh bien, vous n’alliez pas prendre ce vaccin parce que c’était le vaccin de Trump, et puis cela a semblé changer d’une manière ou d’une autre. C’était un peu orwellien. C’était comme si nous n’étions plus en guerre avec l’Asie de l’Est. »

Cependant, après que les vents politiques ont tourné et que les démocrates ont pris le pouvoir pendant la pandémie, Robbins a noté que « si vous ne preniez pas le vaccin, vous étiez un républicain. »

Le résultat final, selon Robbins :

« Nous nous sommes transformés en personnes tribales, en colère et vengeresses »

Robbins a précédemment déclaré au journaliste d’investigation Matt Taibbi : 

« Je pense que nous avons perdu beaucoup de nous-mêmes pendant cette période. »

« J’ai entendu des gens dire [pendant la pandémie] : « Si vous n’avez pas pris le vaccin et que vous tombez malade, vous n’avez pas le droit à un lit d’hôpital. Cela m’a fait penser au retour à une société où nous nous soucions les uns des autres. Votre voisin était malade, et vous lui apportiez de la soupe. Peu importe leurs opinions politiques, vous êtes leur putain de voisin », a déclaré Robbins.

L’acteur a suggéré à Taibbi que ceux qui déshumanisent et divisent les autres « pensent souvent qu’ils sont vertueux ».

Robbins admet qu’il a lui aussi été emporté dans les rangs des destructeurs sociaux.

« Vous passez de quelqu’un qui est inclusif, altruiste, généreux, empathique, à un monstre. Où vous voulez geler les comptes bancaires des gens parce qu’ils ne sont pas d’accord avec vous », a-t-il dit. « C’est une chose dangereuse. C’est un monde dangereux que nous avons créé. Et je dis ‘nous’, parce que j’en ai fait partie. J’ai adhéré à cette idée très tôt. »

Alors que Robbins et d’autres ont admis leur culpabilité, d’autres préfèrent passer sous silence leur déshumanisation des personnes traitées comme des parias pour avoir tenu tête aux protocoles coercitifs de la pandémie.

TheBlaze a précédemment rapporté qu’Emily Oster, économiste à l’Université de Brown, a demandé une « amnistie pandémique » dans les pages de l’Atlantic.

Contrairement à Robbins, Oster a suggéré que la conformité aveugle aux édits sanitaires et la diabolisation des dissidents « n’étaient pas un défaut moral » et que « nous devons apprendre de nos erreurs et les laisser partir. Nous devons aussi pardonner les attaques ».

source : The Blaze 




Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

[Source : francemediasnumerique.net]

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine [NDLR en date du 29 février 2020]. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études (…). Voici l’article détaillé de Paul :


Par Paul Doyon

Mon cœur va à la Chine et à tous ses habitants qui ont tant souffert à cause de cette nouvelle « nouvelle » épidémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

Cependant, comme quelqu’un qui était devenu très malade et dont le système immunitaire s’était détérioré et qui était malade pendant six mois à la recherche de réponses avant même de soupçonner que vivre à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire était en fait ce qui causait le problème et le rendait malade, Je sens que je ne peux pas en toute conscience rester silencieux, et je soupçonne fortement que la Chine et le reste du monde cherchent sous la mauvaise pierre ce qui est réellement le problème ici.

À l’heure actuelle, avec 10 000 antennes 5G récemment installées sur sa ville, Wuhan est probablement l’une des villes les plus électropolluées par la 5G de la planète.

Avertissements d’électrosmog des scientifiques depuis plus de 40 ans

Des scientifiques, des chercheurs, des médecins et des militants respectés nous mettent en garde, depuis plus de quarante ans, contre les dangers des rayonnements sans fil et des champs électromagnétiques. En 1977, le reporter Paul Brodeur publie un livre intitulé The Zapping of America. En 1985, le regretté Dr Robert O. Becker (nominé deux fois pour le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la dédifférenciation et la redifférenciation cellulaire dans le processus de guérison) a écrit The Body Electric [Le corps électrique] et a publié plus tard Cross Currents: The Perils of Electropollution , La promesse de l’électromédecine en 1990. En 1995 (et de nouveau plus tard en 2007), B. Blake Levitt, auteur et chercheur, a publié Champs électromagnétiques : Guide du consommateur sur les enjeux et comment se protéger. Depuis lors, de nombreux autres livres et films documentaires ont été publiés sur le sujet. Et la liste continue encore et encore.

Le Dr Leif Stafford, neuro-oncologue suédois, a appelé ce déploiement sans fil :

« la plus grande expérience biologique jamais réalisée. »  1

Et le Dr Robert O. Becker a écrit en 1985 que :

Les dangers de l’électropollution sont réels et bien documentés. Elle change, souvent pathologiquement, chaque système biologique [je souligne]. Ce que nous ne savons pas, c’est exactement la gravité de ces changements, pour combien de personnes. Plus nous, en tant que société, retardons la recherche de ces connaissances, plus les dommages risquent d’être importants et plus il sera difficile de les corriger. (p. 304) 2

Et enfin, le Dr Martin Pall, PhD, et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à la Washington State University a déclaré récemment que :

Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit être l’idée la plus stupide que l’on ait eue dans l’histoire du monde. 3

La BioInitiative

En 2007, un rapport intitulé BioInitiative a été publié, il a été republié à nouveau en 2012, et des mises à jour ont été effectuées entre 2014 et 2019. Son site Web indique que :

le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs de dix pays, dix titulaires de diplômes de médecine (MD), 21 doctorats et trois MsC, MA ou MPH. Parmi les auteurs figurent trois anciens présidents de la Bioelectromagnetics Society et cinq membres à part entière de BEMS. 4

Ce sont des scientifiques très respectés provenant de certaines des universités et instituts les plus respectés au monde. 5

La BioInitiative met en garde :

… que les preuves des risques pour la santé ont considérablement augmenté depuis 2007 en raison des champs électromagnétiques et des technologies sans fil (rayonnement radiofréquence). Le rapport passe en revue plus de 1800 nouvelles études scientifiques…. Les sujets de santé comprennent les dommages causés à l’ADN et aux gènes, les effets sur la mémoire, l’apprentissage, le comportement, l’attention, les troubles du sommeil, le cancer et les maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires de toute urgence pour la protection contre les CEM [Champs électromagnétiques] et les expositions sans fil qui apparaissent désormais partout dans la vie quotidienne. 

 Voir plus de recherches scientifiques ici.

Avertissements 5G

Avec l’avènement de la toute dernière technologie sans fil, la 5G, de nombreux chercheurs, médecins et organisations professionnelles et militantes ont lancé des avertissements sanitaires concernant sa mise en œuvre. 7 8 9 10 11 12 13
Voir ici les dangers du rayonnement 5G.

Et même récemment, il y a eu des marches dans les grandes villes du monde entier pour protester contre l’avènement de cette technologie. 14

Malheureusement, pour la majorité de la population, ces avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd, l’opinion apparemment largement répandue estimant que la 5G est la meilleure chose depuis la crème glacée Ben & Jerry’s ™ Cherry Garcia ™.

Bien sûr, la minimisation des dangers est compréhensible étant donné les avantages et les commodités extrêmes que toute cette technologie a continuellement offerts à une population sans méfiance. Malheureusement, ces personnes sont aussi souvent promptes à ridiculiser et à marginaliser ceux qui essaient de mettre en garde contre ces dangers en les qualifiant de théoriciens du complot luddites portant des chapeaux d’étain, jusqu’à ce que, bien sûr, eux ou un de leurs proches tombent soudainement malades et qu’ils y voient un lien possible avec ces expositions aux CEM, et puis soudain, il y a un changement de ton, et ils se demandent rapidement ce qu’ils peuvent faire pour se protéger : par exemple, comment protéger leurs maisons et leurs bureaux, quels  compteurs CEM acheter.

À Ripon, en Californie, au sud de Sacramento, une antenne 5G a été retirée d’une école primaire, après que certains parents ont commencé à soupçonner qu’elle était liée à un certain nombre de cas de cancer dans l’école. 15

16

L’épidémie de coronavirus

La récente épidémie de COVID-19 a stimulé la peur et l’hystérie de masse à travers la planète, malgré le fait qu’il n’y a eu que 93 décès (au moment d’écrire ces lignes le 29 février 2020) en dehors de la Chine, 2835 des décès 17 et 99% des infections ayant eu lieu en Chine. 18

En fait, les taux de mortalité les plus élevés en dehors de la Chine ont été observés dans des endroits mettant déjà en œuvre la technologie 5G, en Corée du Sud et en Italie, par exemple. L’exception est l’Iran, qui compte actuellement 978 cas et 54 décès, ne l’applique pas officiellement, mais pourrait très bien le tester secrètement étant donné la raison pour laquelle

le 1er décembre 2018, à la demande du gouvernement américain, Meng Wanzhou — la directrice financière de Huawei et fille de son fondateur — a été arrêtée au Canada sur des allégations selon lesquelles elle aurait participé à un complot visant à frauder des banques en lien avec des violations des sanctions contre l’Iran, 19

était en effet parce que Huawei travaillait à vendre sa technologie 5G aux Iraniens. En fait, l’Iran – dans une opération conjointe entre Irancell et Ericsson – avait commencé à tester cette technologie dès septembre 2017. 20 Dans l’article intitulé « Irancell, Ericsson test 5G Systems » (2017) , il est précisé que :

la technologie sera disponible d’ici 2020 et deviendra mondialement accessible un an plus tard.
Lors de l’événement au siège d’Irancell, le PDG de la société, Alireza Dezfouli, a déclaré : « Nous visons à suivre le rythme des opérateurs internationaux. L’Iran ne sera plus en reste. 

En outre, un certain nombre d’articles dans les médias ont déclaré que l’Iran avait effectué des « préparatifs » et était prêt à lancer la 5G. 21 22 23 Eh bien, les préparatifs comprennent généralement des essais. Par conséquent, il est facile de croire que l’Iran a déjà mis en place l’infrastructure 5G et qu’ils l’ont secrètement testée.

La Belgique, en revanche, – qui avait décidé de ne même pas tester la 5G, et encore moins de la mettre en œuvre, en raison de problèmes de radiation 24 – n’a eu jusqu’à présent qu’un seul cas de coronavirus (récupéré) et aucun décès.

En fait, pour la majorité, les symptômes des patients en dehors de la Chine (en particulier ceux qui sont loin de la 5G), pour la plupart, ont apparemment été relativement légers, comme on le verrait très probablement avec un virus du rhume ou de la grippe ordinaire, et beaucoup de personnes [supposément] infectées [NDLR du fait des tests PCR non significatifs] ne présentant aucun symptôme.

Symptômes légers en dehors de la Chine

C’est ce qu’affirme le Dr Maria Van Kerkhove, (responsable du programme d’urgence sanitaire de l’OMS), dans l’article d’Al Jazeera continuellement mis à jour, « Que se passe-t-il si vous attrapez le nouveau virus corona ? » que « certains patients ne présentent aucun symptôme » et que :

« Vous avez des cas bénins, qui ressemblent au rhume, qui présentent des symptômes respiratoires, des maux de gorge, un écoulement nasal, de la fièvre, jusqu’à la pneumonie. Et il peut y avoir différents niveaux de gravité de la pneumonie jusqu’à la défaillance de plusieurs organes et la mort » , a- t-elle déclaré aux journalistes à Genève la semaine dernière.

Cependant, dans la plupart des cas, les symptômes sont restés légers.

« Nous avons vu des données sur environ 17 000 cas et dans l’ ensemble, 82 % d’entre eux sont bénins, 15 % d’entre eux sont graves et 3 % d’entre eux sont classés comme critiques », a déclaré Van Kerkhove. 18

De plus, dans de nombreuses vidéos YouTube 25 26 27 28 29, nous voyons des entretiens avec des patients qui ne présentent apparemment que des symptômes légers.

Un exemple est celui de Rebecca Frazier, interviewée à de nombreuses reprises dans de nombreux programmes d’information, après avoir été admise dans un hôpital de Tokyo après avoir été trouvée infectée par le COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess. Dans l’une des interviews, menée par le programme d’information néo-zélandais sur le réseau Radio New Zealand (RNZ) intitulé « Je ne me suis jamais vraiment sentie mal », par exemple, l’intervieweur déclare ce qui suit, puis poursuit l’interview de Mme Frazier :

« Incapacité, ayant besoin d’aide pour respirer et entouré de médecins en combinaison de protection contre les matières dangereuses, est peut-être l’image de référence des personnes infectées par le coronavirus. Ce n’est pas le cas pour Rebecca Frazier, qui a le Covid-19 comme on l’appelle maintenant. Curieusement, elle a l’air très bien. Elle est isolée dans un hôpital de Tokyo après avoir été testée positive pour le virus, alors qu’elle était à bord du navire de croisière Diamond Princess qui est maintenant amarré à Yokohama, en quarantaine pendant 14 jours…. Rebecca dit qu’elle est choquée d’avoir été testée positive pour le virus mortel étant donné à quel point elle se sent en forme et bien . 

« Je ne peux tout simplement pas y croire. Je ne peux pas croire que cela vous arrive. Euh. Je… Vous savez, je ne suis pas du genre à paniquer…. 

« Vous ne vous êtes pas senti bien ? Vous ne vous sentez pas bien ? 

« Non. Je ne me suis jamais vraiment senti mal. J’ai eu un peu de toux quand ils m’ont dit, et quand je suis arrivé ici, j’ai eu un peu de fièvre, mais tout cela s’est normalisé et je n’ai aucun symptôme…. ” 25

Dans une autre vidéo YouTube, 29 provenant cette fois d’une chaîne de télévision chinoise, on trouve le témoignage d’une infirmière de Wuhan qui a contracté le virus et a décidé de rester à la maison pour récupérer (ce qui aurait très bien pu être ce qui lui a sauvé la vie).

Dans la vidéo, nous la voyons vaquer à ses occupations quotidiennes comme si elle n’était qu’apparemment gênée par ce qui ne serait qu’un virus du rhume normal.

Dans un reportage de la BBC 30 sur Steve Walsh, qualifié de « super épandeur », un homme qui a apparemment été infecté par COVID-19 à Singapour et l’a apparemment propagé à de nombreux autres dans une station de ski en France, nous entendons l’un de ses voisins déclarer que

« Sa femme m’a dit au téléphone qu’en réalité il n’était pas si malade et elle pense que c’est un tas de conneries et que ce n’est pas pire que la grippe. Probablement pas aussi mauvais. » (2:20)

Alors… pourquoi se fait-il que, alors que ces personnes ne manifestent apparemment que des symptômes bénins, de nombreuses personnes en Chine, et en particulier dans la ville de Wuhan (et dans certaines autres provinces), traversent une période si difficile et beaucoup succombent malheureusement au virus, et (à défaut d’une meilleure expression) « tombent comme des mouches » ?

Au moins 10 000 antennes 5G installées à Wuhan seul

Ce qui n’est pas évident dans les reportages, c’est le fait que la Chine, dans sa précipitation pour prendre la tête de la course 5G, avait installé fin 2019 (et surtout au cours des derniers mois précédant l’épidémie de COVID-19) 130 000 antennes 5G dans tout le pays, 31 avec au moins 10 000 antennes installées rien qu’à Wuhan. 32 (À titre de comparaison, les États-Unis ne disposent actuellement que d’environ 10 000 antennes 5G installées dans tout le pays.)

Homme tenant un téléphone pour une connexion 5G

« La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait disposer de 10 000 stations de base 5G d’ici fin 2019… » 32

« Selon les rapports précédents, les trois opérateurs s’attendaient à exploiter près de 130 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019. »

Wuhan : l’une des premières villes à tester la 5G

En fait, Wuhan était l’une des 16 premières villes sélectionnées pour tester la 5G en 2018.

China Unicom commencera à tester le réseau 5G dans 16 villes, dont Pékin, Tianjin, Qingdao, Hangzhou, Nanjing, Wuhan , Guiyang, Chengdu, Shenzhen, Fuzhou, Zhengzhou et Shenyang.

China Mobile effectuera des tests externes sur le terrain et installera plus d’une centaine de stations de base 5G dans chacune des cinq villes suivantes : Hangzhou, Shanghai, Guangzhou, Suzhou et Wuhan . 34

D’après l’article « Wuhan 5G Industry Development : Five-Chain Coordination, Three-Wheel Drive » (武汉5G产业发展:五链统筹 三轮驱动), 35 (écrit en chinois) publié le 11 octobre 2019, il devient clair que Wuhan était dans une course avec d’autres villes chinoises pour se positionner à la pointe de la technologie 5G, et avec environ 10 000 antennes 5G, est probablement l’une – sinon la plus – irradiée par la 5G en Chine :

À l’heure actuelle, Wuhan saisit des opportunités de développement majeures dans la commercialisation de la 5G, avec la construction d’un réseau national 5G de première classe comme guide, avec le développement d’une industrie nationale 5G de première classe comme organe principal…

… La ville de Wuhan a pleinement mis en œuvre le « Plan de mise en œuvre de la planification et de la construction de la station de base 5G de Wuhan », avec un effort politique extraordinaire, pour guider et soutenir les entreprises de télécommunications de base et China Tower Corporation pour accélérer la construction de réseaux 5G. Cette année et l’année prochaine, Wuhan construira plus de 20 000 stations de base 5G, formera un réseau de base 5G avec une échelle de premier plan, une qualité de première classe et une démonstration solide pour assurer une couverture complète du réseau 5G dans la ville et être au premier plan parmi les villes similaires dans le pays. 35

Enfin, il a été indiqué dans un article intitulé « Réseau 5G à venir à Wuhan » (16 avril 2018), que « 3 000 macro stations de base et 27 000 micro stations de base » seraient bientôt construits, et que d’ici 2020 , le « réseau 5G couvrira tous les coins de la ville et sera disponible à un prix abordable. 36 Cela signifie qu’il peut en fait y avoir bien plus que 10 000 antennes à Wuhan, bien que 10 000 à elles seules feraient de Wuhan l’une des villes les plus concentrées en 5G au monde.

Systèmes 5G déployés dans les hôpitaux

Ce qui est également préoccupant ici, c’est que la Chine a, depuis environ novembre 2019, installé des systèmes 5G dans ses hôpitaux. 37 38 39 40

” Les principaux hôpitaux chinois, les principaux opérateurs de télécommunications et Huawei ont lancé mercredi un projet visant à établir des normes pour les réseaux basés sur la 5G dans les hôpitaux . » 37

« La Chine a publié une norme pionnière pour ses réseaux hospitaliers 5G, à la suite d’un processus de rédaction et de vérification conjoint entre les secteurs médical et des télécommunications. » 38

Systèmes 5G installés dans les hôpitaux du coronavirus de Wuhan

Recherche scientifique 5G

Et pour ajouter apparemment l’insulte à la blessure ici, Huawei n’a pas tardé à installer des systèmes 5G dans les nouveaux hôpitaux de coronavirus – l’hôpital de Wuhan Volcan Mountain et l’hôpital de Thunder Mountain – les deux hôpitaux connus pour n’avoir été construits qu’en un peu plus d’une semaine. 41 42

Les deux articles cités ici sont ironiquement intitulés, (1) « Huawei installe la 5G dans un hôpital chinois pour lutter contre le coronavirus » et (2) « Huawei construit la 5G à l’hôpital de Wuhan, vise à lutter indirectement contre le coronavirus » car cela pourrait très bien être tout le contraire de ce qu’ils ont effectivement l’intention de faire ici. Il y a aussi une vidéo intéressante sur YouTube intitulée « Les hôpitaux chinois déploient des robots pour aider le personnel médical à lutter contre l’épidémie de coronavirus », 43  démontrant cela en action.

Les télécoms chinois ont commencé à proposer la 5G commercialement en novembre 2019

Les sociétés de télécommunications chinoises ont commencé à proposer des services commerciaux 5G à leurs clients le 1er novembre de l’année dernière.

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile chinois, China Mobile, China Unicom et China Telecom, commenceront à vendre des services 5G aux consommateurs le vendredi 1er novembre dans 50 grandes villes, dont Pékin et Shanghai, a déclaré Chen Zhaoxiong, vice-ministre du ministère de l’Industrie et de la Chine. Technologies de l’information le jeudi 31 octobre lors d’une conférence à Pékin….

Le gouvernement chinois a fait de la construction de la 5G une priorité nationale, en éliminant les formalités administratives et en réduisant les coûts afin que les trois fournisseurs de services sans fil introduisent la nouvelle technologie le plus rapidement possible. « Ils en ont fait une priorité nationale. Cela fait partie de la capacité du Parti [communiste] à montrer qu’il livre la marchandise », a déclaré Paul Triolo, responsable de la géotechnologie au cabinet de conseil Eurasia Group. « Et au milieu du différend commercial et des actions contre Huawei, il est encore plus important pour la Chine de montrer qu’elle continue d’avancer malgré tous ces défis » , a- t-il ajouté….

Le gouvernement central chinois souhaite que la couverture 5G soit étendue à l’ensemble de Pékin, Shanghai, Hangzhou et Guangzhou d’ici la fin de l’année. Le plus grand opérateur du pays, China Mobile, qui compte 900 millions d’abonnés au téléphone portable, affirme qu’il sera en mesure d’offrir des services 5G dans plus de 50 villes cette année….

Environ 13 000 stations de base 5G ont été installées à Pékin, a annoncé cette semaine l’administration des communications. Environ 10 000 sont déjà opérationnelles. La Chine possède déjà un total de plus de 80 000 stations de base macro 5G, généralement des tours cellulaires avec des antennes et d’autres matériels qui diffusent des signaux sans fil sur de vastes zones, ont déclaré des responsables gouvernementaux. Voir cet article sur les tours 5G.

Ils ont déclaré que la Chine terminerait l’année avec environ 130 000 [stations], tandis que Bernstein Research estime que la Corée du Sud sera à la deuxième place avec 75 000, suivie des États-Unis avec 10 000. Piper Jaffray a estimé que sur les 600 000 stations de base 5G qui devraient être déployées dans le monde l’année prochaine, la moitié le seront en Chine. 31

Cela signifie essentiellement que la Chine avait soudainement activé le commutateur 5G, un peu moins de deux mois avant l’épidémie de COVID-19, recouvrant soudainement de nombreuses villes de ce rayonnement sans fil 5G. Et au moment d’écrire ces lignes, le nombre de cas de COVID-19 en Corée du Sud commence également à monter en flèche. Comme nous pouvons le voir dans l’article ci-dessus, la Corée du Sud possède le deuxième plus grand nombre d’antennes 5G avec 75 000. C’est beaucoup pour un pays de sa taille. Y a-t-il un lien ? Je pense qu’il y a à l’heure actuelle (29 février 2020) également le plus grand nombre de cas de coronavirus (3150) et l’un des taux de mortalité les plus élevés (17) en dehors de la Chine.

Quarante villes buvant le service 5G

Dans l’article en ligne « Ces 40 villes vont boire le service 5G », 44 publié le 7 juin 2019, il a été révélé qu’il avait été décidé que la 5G serait lancée dans 40 villes à travers la Chine en 2019 par China Mobile et China Unicom (avec aucune information spécifique de China Telecom pour le moment).

Les villes de cette liste incluses dans la province du Zhejiang étaient Hangzhou, Ningbo et Wenzhou, sans parler des endroits comme Pékin, Shanghai, Wuhan, Guangzhou, Suzhou et Shenzhen. Le plan initial, semble-t-il, appelé stratégie de déploiement de réseau 5G « 7+33+n », était d’avoir une couverture complète à Pékin, Shanghai, Hangzhou, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing et Xiong’an, avec une couverture hotspot dans les 33 autres villes, puis des réseaux 5G personnalisés dans les villes dites « n », bien que cela ait très bien pu changer car d’autres villes voulaient apparemment également une couverture complète (notez l’installation par Wuhan de 10 000 antennes 5G).

Les provinces les plus touchées par le coronavirus après Wuhan :
Zhejiang et Guangdong

Fait intéressant, à un moment donné de cette saga, les deuxièmes provinces les plus touchées (par le COVID-19) étaient les provinces du Zhejiang et du Guangdong (bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le Zhejiang ait maintenant été dépassé par le Henan). 45 Les provinces énumérées ci-dessous, en chinois, et dans l’ordre de la plupart des cas, sont (1) Hubei (湖北), (2) Guangdong (广东), (3) Henan (河南), (4) Zhejiang (浙江) et (5) Hunan .

La situation a été si mauvaise dans la province du Zhejiang que le Japon, le 12 février, a même étendu ses restrictions d’entrée au Zhejiang touché par le virus (à l’époque, il était troisième en nombre de cas de COVID-19).

Il comprend les villes de Hangzhou et Wenzhou, qui comptent parmi les plus fortes concentrations de cas de coronavirus du pays. Hangzhou abrite le siège social d’Alibaba Group Holding, tandis que Wenzhou est connue comme le berceau des petites entreprises. 46

Sur la carte (Wikipédia) ci-dessous 47 , la province du Zhejiang est la province rouge plus foncée à droite et la province du Guangdong est la province rouge plus foncée en bas. La province rouge la plus foncée au milieu est le Hubei avec Wuhan en son centre. La province du Henan est au-dessus de la province du Hubei et la province du Hunan est en dessous.

Attribution : Wikimédiens / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)

Ces villes (Hangzhou, Wenzhou et Ningbo) ont également été sélectionnées pour tester la 5G dans la province du Zhejiang.

Ookla 5G Maps 48 suit le déploiement de la 5G dans le monde, le nombre de télécommunications offrant un service 5G dans diverses villes de Chine.

Dans la ville de Hangzhou, les trois télécoms chinois fournissent un service 5G dans la ville ; alors qu’à Ningbo, seuls deux le sont, et à Wenzhou, un seul (China Mobile) l’est.

Les trois villes de la province du Zhejiang avec le plus de cas ont été Hangzhou (168 cas), Ningbo (156 cas) et Wenzhou (503 cas), 50 qui sont aussi curieusement les villes sélectionnées pour tester la 5G. La ville proprement dite de Wenzhou elle-même (bien que lorsque l’on inclut les préfectures extérieures, le total s’élève à 9 millions), par exemple, avec seulement 200 000 habitants, compte un nombre excessivement élevé de personnes infectées par le COVID-19, et la ville a été en confinement.

Mais comme vous pouvez le voir dans certains des articles sélectionnés ci-dessous, il y a eu une poussée majeure dans cette ville pour mettre en œuvre et couvrir leurs villes avec la technologie 5G. 

Dans l’article en ligne « China Tower Built 8400 5G Stations in Zhejiang » 51 (21 octobre 2019), il est révélé que 8400 stations de base 5G ont récemment été installées dans la province du Zhejiang, avec 4775 (sur une commande de 6154) installés rien qu’à Hangzhou, et 3 200 d’entre elles installées en 100 jours (en un peu plus de trois mois).

China Tower a construit 8400 stations 5G dans le Zhejiang

Selon un responsable de China Tower (Zhejiang), depuis cette année, elle a entrepris plus de dix mille demandes de construction 5G. A ce jour, 8397 stations ont été achevées, dont plus de 96 % ont été construites sur les sites des stations de stockage. À Hangzhou, depuis cette année, 6 154 demandes 5G ont été acceptées et 4775 ont été achevées et livrées, dont 93 % sont directement satisfaites et transformées via les sites des stations de stockage.

Dans le centre-ville de Hangzhou, après avoir reçu la demande de construction 5G de trois entreprises de télécommunications, China Tower (Zhejiang), avec le soutien du gouvernement, a achevé 3200 stations de base 5G dans la région pittoresque de West Lake, le centre sportif olympique et d’autres scènes à moins de 100 jours, et ont coopéré avec les entreprises de télécommunications à une installation rapide complète et mise au point de l’équipement, en fonction des salles de télécommunications existantes, des armoires, des installations de soutien électriques et antenne 5G ajoutés sur les sites de la station d’actions, lampadaires de la rue, les bâtiments, etc.  51

Dans un autre article en ligne, publié en chinois, « China Tower installe 8 400 antennes 5G dans le Zhejiang, 96 % sur la base de sites existants », [中国铁塔在浙江建成8400个5G站址,96%基于既有站址], 52 on peut voir China Tower recouvrir Hangzhou d’antennes 5G en très peu de temps.

Dans cet article, il est indiqué que « le Zhejiang est l’une des premières provinces du pays à commencer à construire des réseaux 5G » et que « China Tower Zhejiang Company… a lancé l’accélération de la construction 5G au cours de la première année de commercialisation de la 5G… ». Et de plus , « plus de 10 000 exigences de construction 5G ont été entreprises depuis cette année », avec « 8397 sites… achevés ».

Il devient clair que la province du Zhejiang, qui abrite le géant de la technologie Alibaba, est l’une des provinces qui devrait devenir l’une des premières à introduire la 5G. Dans l’article suivant, « La région du Delta pour construire un hub de communication d’informations de classe mondiale », 53 (Mise à jour : 01-11-2019), il est indiqué qu’avec la commercialisation des services 5G le 31 octobre,

[cinquante] villes ont été sélectionnées pour devenir parmi les premières à accéder aux services commerciaux 5G, dont 10 villes de la région du delta du fleuve Yangtze (YRD), dont la moitié sont dans la province du Zhejiang – Hangzhou , Ningbo, Wenzhou , Jiaxing et Shaoxing.

Il est en outre indiqué que les trois sociétés de télécommunications plus China Tower investiraient dans la région un total de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars US) pour la construction de l’infrastructure 5G afin de « la transformer en un centre de communication d’informations de classe mondiale. 

Selon un plan de développement pour la région publié en 2016, China Telecom, China Unicom, China Mobile et China Tower prévoient d’investir plus de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars) dans la construction d’infrastructures 5G dans la région d’ici 2021 pour aider à « la construire en un centre de communication de l’information de classe mondiale » promouvant « l’utilisation pilote du réseau et des applications 5G par la région » et indiquant « clairement que la région YRD sera la première en Chine à effectuer un essai d’utilisation commerciale des services 5G », tout en visant à « réaliser la couverture du réseau 5G dans toute la province d’ici 2025 ». 53

La ville côtière de Wenzhou la plus touchée dans la province du Zhejiang

Dans la province du Zhejiang, les villes de Hangzhou, Ningbo et Wenzhou comptent le plus grand nombre de cas de COVID-19. Ce sont également les principaux endroits où la 5G a été installée jusqu’à présent dans la province.

covid-19

Wenzhou, une ville chinoise relativement faible, a le plus grand nombre démesurément – actuellement 503 – des cas dans la province du Zhejiang, et a été en confinement 54 depuis le 2 février lorsque le nombre de cas a atteint 304.

Wenzhou : Internet et hub 5G

Au cours de la dernière année, il y a eu de nombreuses conférences dans cette petite ville faisant la promotion directe ou indirecte de la 5G. 55 56 57

Par exemple, la Conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie s’y est ouverte en septembre de l’année dernière et la sixième Conférence mondiale sur l’Internet s’y est ouverte en octobre de l’année dernière. La conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie a présenté les dernières technologies IoT de pointe et les applications 5G pour les technologies Big Data et les plateformes IoT. La sixième conférence Internet mondiale (trois jours) a réuni plus de 1 500 participants de plus de 70 pays et régions, dont des lauréats du prix Nobel et des dirigeants de grandes entreprises technologiques comme Qualcomm, Alibaba et Huawei.

Dans un article intitulé « Experience the construction of 5G base stations under high temperature », publié en chinois (体验高温下5G基站建设) 58 le 26 août 2019, il est indiqué que « Wenzhou est l’un des premiers pilotes 5G villes des trois principaux opérateurs, et la couverture du réseau 5G bat son plein. 

Dans un autre article, « Wenzhou montre une grande ambition dans l’industrie de l’IoT », 59 (10 septembre 2019), il est en outre déclaré :

« Wenzhou est en train de devenir une ville pilote pour la construction de villes intelligentes et les applications 5G en Chine » , a déclaré Chen. « Il existe désormais 13 centres de cloud computing, plus de 500 stations de base 5G et plus de 10 000 bases IoT à bande étroite dans la ville. »

Enfin, en regardant encore un autre article publié environ six mois plus tard intitulé « Le premier cas dans le Zhejiang ! La ligne S1 est la première à atteindre une couverture complète des signaux mobiles 5G » (19 janvier 2020), (également publié en chinois, 浙江首例!S1线率先实现移动5G信号全覆盖) 60 qui se délecte du signal 5G pénétration le long de la «ligne S1 aéroport de Longwan-Wenzhou South High Speed ​​Rail», il devient évident que Wenzhou a également participé à la course 5G pour recouvrir sa ville d’ondes électromagnétiques 5G.

Champs électromagnétiques (CEM) et système immunitaire

Les rayonnements sans fil de 1G à 5G ont tous émis des “champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) (CEM)” modulés et il existe littéralement des milliers d’études montrant les effets biologiques des expositions aux ondes électromagnétiques artificielles, et parmi celles-ci, des centaines montrent des effets biologiques sur le système immunitaire.

Pour ne donner qu’un exemple, les recherches de Kolomytseva et coll. (2002) décrit dans l’article « Suppression de la résistance non spécifique du corps sous l’effet d’un rayonnement électromagnétique de fréquence extrêmement élevée et de faible intensité », 61 a constaté qu’avec :

exposition du corps entier de souris en bonne santé à un rayonnement électromagnétique de faible intensité à très haute fréquence (EMR EHF, 42,0 GHz, 0,15 mW/cm2, 20 min par jour)… l’activité phagocytaire des neutrophiles du sang périphérique a été supprimée d’environ 50 % (p < 0,01 par rapport au témoin exposé de manière fictive) en 2-3 h après l’exposition unique à EHF EMR…

et que :

… l’effet a persisté pendant 1 jour après l’exposition, puis l’activité phagocytaire des neutrophiles est revenue à la norme dans les 3 jours.

Et en plus :

une modification significative du profil sanguin leucocytaire chez les souris exposées à l’EHF EMR pendant 5 jours a été observée après l’arrêt des expositions : le nombre de leucocytes a augmenté de 44 % (p < 0,05 par rapport aux animaux exposés de manière fictive), principalement en raison d’une augmentation de la teneur en lymphocytes.

Ils ont conclu que :

les résultats ont indiqué que l’exposition du corps entier de souris en bonne santé à un EMR EHF de faible intensité a un effet profond sur les indices d’immunité non spécifique.

Dans un article 62 (écrit par moi-même avec le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska) – qui, je crois, offre l’hypothèse la plus solide à ce jour sur les principaux mécanismes par lesquels les CEM désactivent en fait le système immunitaire – un certain nombre de ces effets sur le système immunitaire sont énumérés dans les citations.

Johansson (2012) détaille plus en détail, dans la section 8 de la BioInitiative , « Evidence for EMF Effects on the Immune System », 63  de nombreuses études démontrant ces effets, en particulier en ce qui concerne la façon dont les CEM radiofréquences modifient le système immunitaire.

Dans l’article d’Aljazeera mentionné précédemment 18, il est indiqué qu’une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, le 24 janvier, a trouvé :

ce qu’il a appelé une « tempête de cytokines » chez les patients infectés qui étaient gravement malades. La condition est une réaction immunitaire sévère dans laquelle le corps produit des cellules immunitaires et des protéines qui peuvent détruire d’autres organes.

Par conséquent, il convient de noter ici qu’il existe, en fait, de nombreuses études de recherche montrant un effet des CEM sur les cytokines : une recherche PubMed, par exemple, a produit 119 résultats de recherche. 64

En 1998, un biologiste du nom de Roger Coghill a mené une expérience dans laquelle il « a prélevé des globules blancs, appelés lymphocytes, d’un donneur » et les a maintenus en vie grâce à l’utilisation de nutriments tout en les exposant soit aux radiations d’un téléphone portable, soit au champ électromagnétique naturel du corps humain. Il a découvert que parmi les cellules immunitaires exposées aux radiations des téléphones portables, seulement 13 % restaient intactes et capables de fonctionner correctement ; alors que, parmi les cellules exposées uniquement au champ électromagnétique naturel du corps, 70 % sont restées intactes et capables de fonctionner correctement. Naturellement, bien que ses recherches aient fourni un aperçu, il a été attaqué et critiqué par l’industrie du sans fil pour être « non scientifique ».

Le Dr Robert O. Becker (1985) a écrit sur la façon dont le système immunitaire est affaibli par les champs électromagnétiques artificiels via l’induction d’un « stress subliminal » :

Initialement, le stress active le système hormonal et/ou immunitaire à un niveau supérieur à la normale, permettant à l’animal d’échapper au danger et de combattre la maladie. Si le stress persiste, les niveaux d’hormones et la réactivité immunitaire diminuent progressivement pour revenir à la normale. Si vous arrêtez votre expérience à ce stade, vous avez apparemment raison de dire : « L’animal s’est adapté ; le stress ne fait pas de mal. Néanmoins, si les conditions de stress persistent, les niveaux hormonaux et immunitaires diminuent encore, bien en dessous de la normale. En termes médicaux, la décompensation du stress s’est installée et l’animal est désormais plus sensible à d’autres facteurs de stress, notamment la croissance maligne et les maladies infectieuses.

… Un aspect du syndrome était très déroutant. En subissant ces changements hormonaux, un animal serait normalement conscient que son corps était attaqué, pourtant, pour autant que nous puissions en juger, les lapins ne l’étaient pas. Ils ne montraient aucun signe extérieur de peur, d’agitation ou de maladie. La plupart des humains ne seraient certainement pas capables de détecter un champ magnétique de 100 gauss, du moins pas consciemment. Ce n’est que plusieurs années après les travaux de Friedman que quelqu’un a découvert comment cela se produit.

En 1976, un groupe dirigé par JJ Noval au Naval Aerospace Medical Research Laboratory de Pensacola, en Floride, a trouvé la réponse lente chez les rats à des champs électriques très faibles, aussi bas que cinq millièmes de volt par centimètre. Ils ont découvert que lorsque de tels champs vibraient dans la gamme ELF, les niveaux du neurotransmetteur acétylcholine dans le tronc cérébral augmentaient, apparemment d’une manière qui activait un signal de détresse de manière subliminale, sans que l’animal ne s’en rende compte. Le plus effrayant était que les champs utilisés par Noval se situaient bien en deçà des niveaux de fond d’un bureau typique, avec son éclairage au plafond, ses machines à écrire, ses ordinateurs et d’autres équipements. Les travailleurs dans un tel environnement sont exposés à des champs électriques compris entre un centième et un dixième de volt par centimètre et des champs magnétiques entre un centième et un dixième de gauss. (p. 277-278)2

CEM Affaiblissement du système immunitaire

Il suffit de dire que, même si les mécanismes par lesquels les CEM affaiblissent le système immunitaire sont multiples, il ne fait aucun doute que les CEM peuvent effectivement avoir un effet négatif sur le système immunitaire.

La 5G est beaucoup plus puissante et dangereuse que ses prédécesseurs

Le déploiement de la 5G – qu’il s’agisse de la phase d’essai ou de la phase de mise en œuvre – a déjà commencé dans la plupart des grands pays développés du monde, la majorité des autres se préparant apparemment pour ses débuts.

La Commission européenne a demandé à chaque État membre de sélectionner une ville pour être prête pour la 5G d’ici 2020 dans le cadre du plan d’action 5G de l’UE pour un marché unique numérique. La Commission européenne a demandé aux pays membres de l’UE de commencer à tester la 5G dans au moins une ville pour la préparer à la 5G d’ici 2020 dans le cadre de son « Plan d’action 5G pour un marché unique numérique ».

La Belgique a refusé – même la phase d’essai, sans parler de la phase de mise en œuvre – en raison des niveaux de rayonnement plus élevés que la 5G apporterait, ce qui était bien au-dessus de ce que ses normes de rayonnement autorisaient. La Suisse a commencé à la fois avec les essais et la mise en œuvre, et il a été dit qu’elle mettait un terme à la poursuite du déploiement, en raison de toutes les plaintes concernant les effets sur la santé qu’elle produisait, mais semble malheureusement continuer le déploiement. D’autres pays ont apparemment simplement abaissé leurs normes probablement parce qu’ils ne pouvaient pas résister à la meilleure chose à côté de la crème glacée Chunky Monkey de Ben & Jerry. Et les États-Unis et la Chine ont apparemment été dans une course 5G pour couvrir leurs pays de ce rayonnement 5G (et très probablement par inadvertance du coronavirus), la Chine semblant maintenant gagner sur ces deux fronts.

La 5G a été divisée en bandes passantes faible, moyenne et élevée. Les fréquences de bande passante faible à moyenne « sont contiguës et vont de 600 MHz à 6 GHz » 66 et ont été utilisées pour la 1G-4G au cours des quarante dernières années. D’autre part, les bandes passantes d’ondes millimétriques à plus haute fréquence sont de nouvelles fréquences commençant à environ 24 GHz (aux États-Unis en tout cas), et n’ont pas été utilisées pour les services commerciaux de téléphonie cellulaire aux États-Unis jusqu’à récemment, avec l’arrivée de ces services commerciaux 5G.

Pour l’essentiel, à l’heure actuelle, la plupart des 5G se situent désormais dans la plage de bande passante faible à moyenne, avec une couverture limitée en ondes millimétriques élevées, bien que cela changera probablement au fur et à mesure que la technologie se développera et sera mise en œuvre. En outre, la technologie 5G est mise en œuvre parallèlement à la technologie 4G déjà en place. La technologie 5G apporte à la fois des macrostations de base plus grandes et des microstations de base plus petites installées entre les plus grandes stations de macro-base. Et parce que ces microstations de base sont souvent plus proches des maisons des gens dans les zones résidentielles, selon Oram Miller, spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment (EMRS) :

nous mesurons maintenant des niveaux RF plus élevés dans les maisons des clients, en particulier dans les chambres du deuxième étage (lisez l’article de Lloyd sur les CEM dans les chambres), jusqu’à des dizaines à des centaines de milliers de microWatts/mètre carré (uW/m2) à partir de ces nouvelles antennes,

tandis que :

la profession de la biologie du bâtiment et les experts EMF du monde entier affirment que 10 microwatts par mètre carré ou moins sont sans danger pour les zones de couchage (en fait, 0,1 uW/m2 est notre niveau « aucune anomalie » pour les zones de couchage). Voici une liste d’experts EMF .

De plus, alors que nous avons augmenté le spectre de 1G à 5G, à chaque nouvelle génération, il y a eu une modulation accrue, et une modulation accrue signifie des effets biologiques accrus et des dommages biologiques pour toute la vie sur cette planète. La 5G ne fait pas exception. Oram Miller continue d’expliquer :

Toutes ces technologies avancées envoient plus de signaux cellulaires dans le même espace aérien à des vitesses plus rapides avec beaucoup plus de modulation que les technologies cellulaires 4G actuelles.

Et…

Cette modulation des signaux cellulaires transmis dans les bandes basses et moyennes par les nouvelles petites radios et antennes 5G et 4G LTE-Advanced apparaissant partout représente probablement la majorité des personnes vivant à proximité de ces antennes qui signalent l’apparition de symptômes de santé jamais ressentis auparavant.

Dr Martin Pall, Ph.D. (Professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales, Washington State University), – qui a attiré l’attention du monde sur le fait que les CEM causent des dommages biologiques via l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants (VGCC), permettant un flux excessif d’ions calcium à l’intérieur de la cellule et l’incitation à la production d’oxyde nitrique (NO) via la stimulation de l’enzyme oxyde nitrique synthase pour former une multitude d’espèces réactives de l’oxygène via des effets en aval 67 – a averti que le déploiement de la 5G aurait des effets délétères massifs sur la population mondiale , sans parler de toutes les formes de vie. Il pense que la 5G sera beaucoup plus dangereuse pour les raisons suivantes :

1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
2. Les rendements énergétiques très élevés qui seront utilisés pour assurer la pénétration.
3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés du capteur de tension. 68

Dans un article récent intitulé « Massive Predicted Effects of 5G » (17 décembre 2019), 69 Pall déclare que « étant donné le niveau de pulsation élevé pour le rayonnement 5G, même de courtes expositions peuvent bien produire des effets biologiques graves », sans parler des densités de puissance jusqu’à 30 fois plus élevées que les systèmes précédents de 1G à 4G et avec une pénétration améliorée via le composant magnétique. Il prédit qu’avec l’activation à part entière de la 5G (par rapport à sa phase d’essai, où il y a encore peu de communication avec la 5G), nous verrons :

  • (1) une diminution de la reproduction humaine,
  • (2) une diminution du cerveau collectif fonctionnelle,
  • (3) une maladie d’Alzheimer à début très précoce,
  • (4) une augmentation de l’autisme et du TDAH,
  • (5) une détérioration du patrimoine génétique humain et
  • (6) une augmentation massive des arrêts cardiaques.

Tout en suivant le déploiement de la 5G, il a suivi de nombreux signes de ses effets biologiques. Par exemple, il a décrit l’augmentation des effets neuropsychiatriques, des effets cardiaques et de l’hypersensibilité électromagnétique, tirée d’articles en ligne suisses, 70 71 comme ce que nous commençons déjà à voir avec l’avènement de cette technologie :
• Augmentation de l’insomnie, des acouphènes, des maux de tête, incapacité à se concentrer et fatigue.
• Augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique (EHS).
• Augmentation des arythmies cardiaques.

Il rapporte que bien que ces effets aient été signalés auparavant avec des études d’exposition professionnelle et des études sur les compteurs intelligents, « les effets semblent être beaucoup plus graves après [le déploiement de] la 5G  » avec « une apparence encore plus grave [à publier] 5G neuropsychiatrique. effets [apparaissant] dans le sud de la Californie », avec leur propre déploiement massif récent de la 5G.

En outre, il déclare que « nous avons toutes les raisons de croire que tout système 5G à part entière, communiquant avec ‘l’internet des objets’, produira des effets encore bien plus importants que n’importe laquelle de ces découvertes initiales. » Cela pourrait très bien être ce que nous voyons dans la ville de Wenzhou, dans la province du Zhejiang, en Chine – qui a déjà mis en œuvre cette technologie avec la 5G – avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, et qui sait quelles autres augmentations des effets sur la santé (par exemple, augmentation des problèmes cardiaques, de la cécité, de l’hypersensibilité électromagnétique, etc.) il y a eu qui n’ont pas été rendus publics ?

Il explique plus en détail – en corrélation avec les tests 5G – les suicides des services d’ambulance 5G au Royaume-Uni, 72 les cas de panique chez les bovins aux Pays-Bas, 73 et les comportements bizarres et agressifs chez les bovins et les moutons en Allemagne, 74 les malformations congénitales en Allemagne et en France, 75 76 et des centaines d’oiseaux tombant du ciel en raison d’un arrêt cardiaque soudain pendant trois jours de tests 5G dans un parc près de Rotterdam, 77 et la liste s’allonge encore et inclut également la mort d’insectes et l’augmentation des incendies en Corée du Sud. 78 79

(Voir aussi l’article sur la 5G est-elle dangereuse ? )

[Voir aussi :
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

La 5G pourrait-elle rendre le coronavirus plus virulent ?

Lorsque nous regardons la vidéo suivante, il devient évident que les formes de vie plus petites comme les insectes sont en effet plus sensibles à ce rayonnement micro-ondes sans fil, cet exemple clair ne provenant que du radar :

Cette photo montre des pucerons sur la feuille d’un oranger. Peu de temps après l’installation du radar dans un aéroport voisin il y a quelques années, j’ai remarqué que toutes les quelques secondes, tous les pucerons se tendaient à l’unisson et faisaient une sorte de petite danse, comme vous le voyez sur la photo. Après une enquête plus approfondie, j’ai trouvé que l’intervalle de temps entre l’activité de chaque danse, coïncidait exactement avec la rotation du dispositif de rotor de radar à l’aéroport, qui était une distance d’environ quatorze milles.

Dans la vidéo suivante, le Dr Dietrich Klinghardt parle d’une expérience au cours de laquelle des moisissures exposées aux CEM ont proliféré :

Je vais maintenant faire le lien avec les champs électromagnétiques. Un médecin suisse que je connais et qui est l’un des principaux chercheurs européens dans le domaine des moisissures a réalisé une belle expérience. Il a fait pousser des cultures de moisissures sous une cage de Faraday ressemblant simplement à un manteau d’argent, qui ressemble à une moustiquaire, faite d’un tissu recouvert d’argent. Il l’a drapé sur la culture de moisissures. Et il a mesuré combien de mycotoxines, combien de toxines, sont produites par ces moisissures sur une base quotidienne. Très facile à faire. Puis il a soulevé la moustiquaire et a exposé la culture de moisissures aux radiations électromagnétiques ambiantes de son laboratoire, causées par les lumières allumées, par l’ordinateur dans le coin, et surtout, comme il l’a découvert plus tard, par les radiations ambiantes des téléphones portables, provenant de la tour de téléphonie mobile voisine qui diffusait des radiations de téléphones portables. Il a découvert que la production de biotoxines dans cette culture a été multipliée par plus de 600. Non seulement la moisissure a soudainement produit beaucoup plus de mycotoxines pour se protéger, mais aussi des mycotoxines beaucoup plus virulentes, beaucoup plus vicieuses, plus toxiques. Et j’ai pris cette expérience comme une grosse ampoule qui s’est allumée pour moi…..

Et si le même genre de chose se produisait avec le rayonnement 5G et le coronavirus ? Pall (2020) énumère dans une version plus récente de son article 80 (précédemment mentionné) un certain nombre d’études qui en fait soutiennent fortement cette théorie.

La question qui est soulevée ici n’est pas de savoir si la 5G est responsable du virus, mais plutôt si le rayonnement 5G, agissant via l’activation du VGCC, peut exacerber la réplication virale ou la propagation ou la létalité de la maladie.

Revenons en arrière et examinons l’histoire récente de la 5G à Wuhan afin d’avoir une certaine perspective sur ces questions. Un article d’Asia Times, daté du 12 février 2019, a déclaré qu’il y avait 31 stations de base 5G différentes (c’est-à-dire des antennes) à Wuhan à la fin de 2018.
Des plans ont été élaborés plus tard, de sorte qu’environ 10 000 antennes 5G seraient en place au fin 2019, la plupart d’entre eux étant équipés de lampadaires intelligents à LED 5G.
Le premier lampadaire intelligent de ce type a été mis en place le 14 mai 2019, mais un grand nombre n’a commencé à être mis en place qu’en octobre 2019, de sorte qu’il y a eu un rythme effréné d’un tel placement au cours des 2 derniers mois et demi de 2019.

Ces résultats montrent que le rythme rapide de l’épidémie de coronavirus s’est développé au moins à peu près à mesure que le nombre d’antennes 5G est devenu extraordinairement élevé. Nous avons donc cette découverte que la première ville intelligente et autoroute intelligente 5G de Chine est l’épicentre de cette épidémie et cette découverte que l’épidémie n’est devenue rapidement plus grave que lorsque le nombre d’antennes 5G a monté en flèche.

Ces résultats sont-ils une coïncidence ou la 5G a-t-elle un rôle causal dans l’exacerbation de l’épidémie de coronavirus ? Afin de répondre à cette question, nous devons déterminer si les effets en aval de l’activation de VGCC exacerbent la réplication virale, les effets de l’infection virale, en particulier ceux qui ont un rôle dans la propagation du virus et également le mécanisme par lequel ce coronavirus provoque la mort. . Ainsi, la réplication de l’ARN viral est stimulée par le stress oxydatif : J Mol Biol. 28 novembre 2008 ; 383 (5) : 1081-96. Modes d’oligomérisation variables dans la protéine non structurale du coronavirus 9. Ponnusamy R, Moll R, Weimar T, Mesters JR, Hilgenfeld R.

D’autres aspects de la réplication virale, y compris ceux impliqués dans la propagation du virus, sont stimulés par l’augmentation du calcium intracellulaire [Ca2+]i, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose, chacun étant augmenté après l’exposition aux CEM. La première citation ci-dessous montre un rôle important de l’activation de VGCC dans la stimulation de l’infection à coronavirus.

  • Virologie. 2 janvier 2020 ; 539 : 38-48. Le deltacoronavirus porcin (PDCoV) module l’afflux de calcium pour favoriser la réplication virale. Bai D, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Calcium cellulaire. 2018 novembre ; 75:30-41. La signalisation Ca2+ dépendante du NAADP régule la translocation du pseudovirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient-coronavirus à travers le système endolysosomal. Gunaratne GS, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Protéome Sci. 8 mars 2011; 9:11. Analyse protéomique de la trachée embryonnaire de poulet et des tissus rénaux après infection in ovo par le coronavirus de la bronchite infectieuse aviaire. Cao Z, et al.
  • Res Vet Sci. Juin 2015 ; 100 : 12-7. Biomarqueurs sériques du stress oxydatif chez les chats atteints de péritonite infectieuse féline. Tecles F, et al.
  • J Infecter Dis. 15 mars 2008;197(6):812-6. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase augmente l’infection par le coronavirus humain. Wu YH et al.
  • J Virol. Juin 1998 ; 72(6) : 4918-24. Le coronavirus de gastro-entérite transmissible induit la mort cellulaire programmée dans les cellules infectées par une voie dépendante de la caspase. Eleouet JF, et al.

La principale cause de décès par ce coronavirus est la pneumonie. La pneumonie est fortement exacerbée par chacun de ces cinq effets en aval de l’activation du VGCC, le calcium intracellulaire excessif, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La première des citations énumérées ci-dessous montre que les inhibiteurs calciques, le même type de médicaments qui bloquent les effets des CEM, sont utiles dans le traitement de la pneumonie. Cela prédit que les CEM, agissant via l’activation du VGCC, produiront une pneumonie de plus en plus grave et que le rayonnement 5G ainsi que d’autres types de CEM pourraient bien augmenter les décès par pneumonie.

  • Zheng et al. 2016 Utilisation avant l’admission d’inhibiteurs calciques et résultats après une hospitalisation pour pneumonie : étude de cohorte rétrospective correspondant à la propension. Suis J Ther. 2017 janv/fév;24(1):e30-e38.
  • Fang et al. 2017 Activation de la calpaïne dépendante de la pneumolysine et sécrétion d’interleukine-1α dans les macrophages infectés par Streptococcus pneumoniae. Infecter Immun. 18 août 2017 ; 85(9). pii : e00201-17.
  • Fettel et al. 2019 La sphingosine-1-phosphate (S1P) induit de puissants effets anti-inflammatoires in vitro et in vivo par la suppression de l’activité 5-lipoxygénase médiée par le récepteur S1P 4. FASEB J. 2019 fév;33(2):1711-1726.
  • Liu et Shi. 2019 Régulateur du canal chlorure activé par le calcium 1 (CLCA1) : Plus qu’un régulateur du transport du chlorure et de la production de mucus. World Allergy Organ J. 2019 Nov 29;12 (11):100077.
  • Sci Rep. 2018 Oct 18;8 (1):15393. La protéine tensioactive D atténue les lésions pulmonaires et rénales aiguës dans la septicémie induite par la pneumonie en modulant l’apoptose, l’inflammation et la signalisation NF-κB. Du J, et al.
  • Curr Neurovasc Res. 28 janvier 2020. Le microARN (miR)-429 favorise les lésions inflammatoires en ciblant le facteur 4 de type kruppel (KLF4) dans la pneumonie néonatale. Zhang L, et al.
  • Science de la vie. 1er juillet 2019 ; 228 : 189-197. L’ARN long non codant SNHG16 cible miR-146a-5p/CCL5 pour réguler l’apoptose et l’inflammation des cellules WI-38 induites par le LPS dans la pneumonie aiguë. Zhou Z, et al.

Tous soutiennent que le rayonnement 5G est susceptible d’exacerber considérablement la propagation du coronavirus et d’augmenter considérablement la létalité des infections qu’il produit. La bonne nouvelle est qu’il est probable que ceux d’entre nous qui vivent dans des zones sans rayonnement 5G et qui évitent les autres CEM dans la mesure du possible échapperont probablement à une grande partie des impacts de cette future pandémie mondiale.

Il est fort probable que l’une des meilleures choses que Wuhan puisse faire pour contrôler l’épidémie dans la ville soit de désactiver le système 4G/5G.

[Note de Joseph : de nombreux articles du dossier Vaccins et virus concourent à démontrer que la virologie n’est pas une science, mais ressemble plutôt à une religion, et que la théorie virale est fallacieuse, voire frauduleuse. Il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de virus pathogènes qui seraient responsables de maladies prétendument virales. Et les apparentes contagions proviennent le plus souvent de l’exposition à une cause toxique commune, comme ici la 5G. Les rares cas d’épidémies apparentes inexplicables par une cause commune peuvent provenir du mécanisme exposé dans l’article Communication entre organismes vivants par biophotons.
Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques (sachant que le corps est très majoritairement composé d’eau).]

Agences capturées et détournement de la science

Et vous pourriez vous demander : « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce problème ? » ou vous pourriez vous dire que « les autorités ont certainement à cœur nos meilleurs intérêts lorsqu’elles prennent ce genre de décisions ».
Eh bien, dans une récente critique de livre 81 du livre Triumph of Doubt (de David Michaels, 2020), Kathleen Rest, directrice exécutive, Union of Concerned Scientists (UCS), (14 février 2020) décrit comment la tromperie est utilisée pour fabriquer le doute et l’incertitude dans les manuels de relations publiques de nombreuses industries :

• Attaquer la science. Cette boîte à outils contient de nombreux outils : commander de nouvelles études [prétendument] « scientifiques » pour réanalyser les données existantes avec des méthodologies biaisées vers des résultats prédéterminés ; passer en revue la littérature et les évaluations des risques pour remettre en question le poids de la preuve; publier ces revues et réanalyses dans des revues scientifiques sélectionnées ; magasiner et embaucher des experts dits « indépendants » pour remettre en question la science ; fournir des extraits sonores savoureux et à contre-courant pour les médias et la consommation publique ; et plus.
• Créer et déployer des groupes de façade aux noms anodins pour saper la science, influencer l’opinion publique et accéder aux décideurs politiques tout en maintenant l’illusion d’indépendance.
• Harceler et intimider les scientifiques indépendants dont la recherche démontre ou suggère un préjudice. Ou bien, privilégiez les institutions universitaires et les scientifiques en leur fournissant une forme de soutien financier tout en vernissant leur image d’intérêt public.
• Submerger les organismes de réglementation de commentaires sur les réglementations proposées.
• Utiliser leur argent, leur pouvoir et leur accès démesurés pour influencer les actions/inactions des décideurs politiques élus et des responsables des agences. (Oh, et il y a aussi cette porte tournante bien huilée. Il suffit de regarder combien de dirigeants d’agences et de décideurs de l’administration Trump viennent directement des industries qu’ils sont maintenant censés réglementer.)

Une autre tactique que j’ai remarquée est que ces personnes semblent utiliser est d’inscrire leur matériel sur une liste de discussion pour faire des déclarations complètement farfelues afin que les médias couvrent l’affaire et essaient de faire passer toutes les personnes impliquées pour des fous furieux, ce qu’un public peu méfiant est prompt à consommer et à croire. C’est ce qui semble se passer actuellement avec cette question. En savoir plus sur la dissimulation des CEM.

Certes, la façon dont les gouvernements et les entreprises occidentaux manipulent l’opinion publique est différente de la façon dont cela pourrait être fait en Chine, car dans ce dernier cas, il existe un contrôle gouvernemental strict (par exemple un pare-feu Internet) sur ce qui est autorisé et non autorisé à être consulté sur Internet, etc. Par conséquent, ils n’auront peut-être pas vraiment besoin d’utiliser le manuel ci-dessus et c’est peut-être la raison pour laquelle ils ont pu agir si rapidement pour mettre en œuvre cette technologie. Mais à quel prix ?

« Tout doit être pris en compte.
Si le fait ne correspond pas à la théorie – laissez tomber la théorie… Les vraies preuves sont généralement vagues et insatisfaisantes. Elles doivent être examinées, passées au crible. »

Agatha Christie

Comme le dit Agatha Christie, « Tout doit être pris en compte ». Ignorer – en particulier ignorer volontairement – tous les facteurs de causalité très possibles – en particulier les champs électromagnétiques – à mon humble avis, n’est tout simplement pas une bonne science, si vous pouvez appeler cela de la science.

Selon le Dr Martin Pall, Ph.D. :

L’échec des « directives de sécurité » à prédire les effets biologiques et donc la sécurité signifie que ce ne sont pas des directives de sécurité. Par conséquent, toute affirmation de sécurité faite par l’industrie des télécommunications de plusieurs milliards d’euros sur la base de ces « directives de sécurité » est tout simplement frauduleuse.

Ces échecs des « consignes de sécurité » doivent être considérés au regard du principe qui est au cœur de la méthode scientifique. Ce principe est que lorsque nous avons une théorie scientifique et que nous testons les prédictions de cette théorie et que les prédictions de la théorie se révèlent fausses, alors nous devons rejeter la théorie. Il s’ensuit que lorsque nous avons huit résultats très répétés dont chacun montre que les « directives de sécurité » ne prédisent pas d’effets biologiques et ne prédisent donc pas la sécurité, c’est une exigence scientifique que les « directives de sécurité » soient rejetées. L’échec de l’ICNIRP, de la Commission européenne et de divers organismes de réglementation à rejeter les « directives de sécurité » montre clairement que leurs actions sont à la fois non scientifiques et anti-scientifiques. 65

« Vous n’avez pas droit à votre opinion. Vous avez droit à votre opinion éclairée. Personne n’a le droit d’être ignorant. »

Harlan Ellison

Femme pensant

Et quiconque souhaite avoir un aperçu de la façon dont – ce qui est perçu comme la vache sacrée des organisations internationales de santé – l’OMS a été indûment influencée par l’industrie, ils n’ont pas besoin de chercher plus loin que l’oncologue et professeur suédois, l’article du Dr Lennart Hardell, « World Organisation de la santé, rayonnement radiofréquence et santé – un problème difficile à résoudre (Revue). » 82

Que pouvez-vous faire pour vous protéger ?

Étant donné que, par conséquent, les effets des CEM agissent via l’activation des VGCC avec une augmentation résultante des ions calcium à l’intérieur de la cellule stimulant l’oxyde nitrique synthase pour produire plus d’oxyde nitrique conduisant en aval à la création de radicaux libres (aka espèces réactives de l’oxygène), il est important à, tout d’abord, limiter autant que possible les expositions aux CEM. Comme le recommande Oram Miller :

Réduisez l’utilisation, augmentez la distance et privilégiez les connexions filaires chaque fois que possible. Vous pouvez mettre votre téléphone portable en mode avion, en vous assurant que le Wi-Fi et le Bluetooth sont désactivés en mode avion, et effectuer la plupart des fonctions de votre téléphone portable sur un appareil câblé différent à l’intérieur de votre maison. Cela inclut les conversations, les SMS, les e-mails, le streaming audio et vidéo et l’utilisation de diverses applications. 66 Apprenez-en plus sur la  radioprotection Bluetooth, WiFi et  des téléphones portables ici.

Deuxièmement, embauchez un spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment pour vous aider à mesurer puis à réduire les CEM dans la maison, par exemple, en protégeant votre maison et votre chambre pour bloquer les RF nuisibles à la santé, éliminant ainsi toute erreur de câblage dans la maison pour réduire les champs magnétiques et réduire les sources d’électricité sale. Lisez à propos des champs électromagnétiques sur le câblage ici.

[Voir les liens dans le dossier 5G et ondes pulsées]

Troisièmement, je dirais que la mise en œuvre de ce que j’ai surnommé « Le programme de régime et de suppléments radioprotecteurs ™ » est essentielle.

Il y a deux suppléments principaux que j’ai utilisés au fil des ans qui ont considérablement réduit ma propre sensibilité aux champs électromagnétiques et ce sont (1) le magnésium, car il agit comme un bloqueur naturel du VGCC, en ce qu’il empêche le calcium de pénétrer dans la cellule, et (2) L-lysine, un acide aminé essentiel, qui agit pour calmer la production d’oxyde nitrique (NO), (alors que l’acide aminé arginine est nécessaire à l’oxyde nitrique synthase pour stimuler la production de NO). En savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la sensibilité électrique ici.

La L-lysine présente l’avantage supplémentaire d’agir de la même manière que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) en ce sens qu’elle se lie aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau pour augmenter les niveaux de sérotonine. Prendre ces deux suppléments avant de se coucher devrait également vous aider à mieux dormir.

« Le programme de régime et de supplément radioprotecteur ™ » est essentiellement :

  • (1) un stimulant du système immunitaire,
  • (2) un anti-inflammatoire,
  • (3) un détoxifiant et
  • (4) un anti-radicaux libres. 

Par conséquent, il se compose d’aliments et de suppléments qui soutiennent ces processus dans le corps. Voici un article sur la protection contre les CEM et la nourriture que vous mangez.

Cela impliquerait de prendre, par exemple :

  • de la poudre de lactosérum biologique dénaturée pour augmenter les niveaux de glutathion (le super antioxydant du corps), qui non seulement atténue les radicaux libres, mais aide également à renforcer le système immunitaire et la détoxification, ainsi que des facteurs de transfert ciblés qui renforcent le système immunitaire en augmentant les cellules tueuses naturelles ;
  • anti-inflammatoires comme le gingembre et le curcuma ;
  • aliments détoxifiants comme les oignons, l’ail et le brocoli ;
  • et les fruits et légumes riches en antioxydants ;
  • sans parler des aliments qui reconstituent les hormones et les neurotransmetteurs perdus du fait de l’exposition aux CEM comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine, l’acide gamma amino butyrique (GABA) et la phényléthylamine (PEA) qui comprennent les bananes (tryptophane), l’ananas (sérotonine), les noix de cajou (sérotonine ), jus de cerise acidulée (mélatonine), lait de riz germé (GABA) et chocolat (PEA).

Un autre supplément que je trouve essentiel pour renforcer le système immunitaire, stimuler la détoxification et guérir les intestins qui fuient (et probablement d’autres barrières qui fuient) sont les minéraux humiques.

Il y a eu un certain nombre de publications sur des sites Web de médias sociaux recommandant des herbes et des suppléments censés être efficaces contre le coronavirus. Par exemple, Ty Bolinger énumère un certain nombre de suppléments et d’herbes que l’on peut prendre dans un article qu’il a publié sur son site Web, la vérité sur le cancer, intitulé « Coronavirus : The Good, the Bad, and the Answers ». 83 Et Doris Loh explique pourquoi la prise de vitamine C protégera et renforcera votre système immunitaire dans deux de ses articles. 84 85 Je sais d’après des recherches antérieures que les CEM et les virus épuisent les réserves de vitamine C, donc en compléter semble être une très bonne idée.

Enfin, je dirais que vous exposer à des CEM bénéfiques via la mise à la terre, et également en utilisant une machine CEMP. Personnellement, j’en utilise un qui a pour moi, je pense, (1) stimule le processus de guérison, (2) réduit l’inflammation et (3) renforce mon système immunitaire. Si cette dernière solution vous intéresse, contactez-moi à EMF Refugee .

Conclusion

La Chine est un grand pays avec une population incroyable qui a fait des progrès étonnants en créant un pays moderne très sophistiqué au cours des dix dernières années, surpassant de nombreux autres pays modernes à bien des égards. Cependant, étant donné les faits que :

1. nous avons des données réelles qui montrent en effet que le rayonnement sans fil a un impact sur le système immunitaire ;
2. nous avons de nombreux patients en dehors de la zone 5G ne présentant aucun ou seulement des symptômes légers,
3. il y a eu récemment 10 000 antennes 5G installées et allumées à Wuhan, sans parler de 130 000 antennes 5G installées dans toute la grande Chine ;
4. des systèmes 5G ont récemment été installés dans de nombreux hôpitaux en Chine, sans parler des nouveaux hôpitaux COVID-19 ;
5. nous constatons un nombre plus élevé d’infections au COVID-19 dans des endroits comme Hangzhou et Wenzhou, sans parler de la Corée du Sud, etc. où ils ont également récemment installé de nombreuses antennes 5G ; et
6. aucun test n’a été effectué pour déterminer les implications biologiques de l’exposition de formes de vie à ce rayonnement ;

nous pouvons conclure que le vrai problème ici pourrait très bien être avec le rayonnement électromagnétique 5G qui affaiblit le système immunitaire des gens, sans parler de rendre éventuellement le virus lui-même plus virulent. Et si cela est vrai et si la Chine ne change pas de cap, la 5G pourrait très bien devenir son – et le reste du Titanic du monde – avec le COVID-19 (et d’autres comme lui) ses icebergs.

C’est peut-être ce dont les gens doivent vraiment commencer à s’inquiéter et il est peut-être temps pour le gouvernement chinois, ainsi que les gouvernements du monde entier d’enquêter sérieusement et de traiter les effets possibles de la 5G sur la santé et de mettre un terme au déploiement prématuré de la technologie 5G jusqu’à ce qu’on puisse prouver qu’elle est sûre (ce dont je doute qu’on puisse faire) et jusqu’à ce que des alternatives plus sûres puissent être développées.

Le gouvernement belge ne l’a jamais mis en œuvre [en date de fin février 2020] et il a été question que le gouvernement suisse suspende le déploiement de la 5G, 87 mais ils semblent maintenant aller de l’avant. 88 Et il semble que, à moins que les gens ne s’en rendent compte, la Chine suivra certainement une voie similaire.

Je suis désolé de devoir gâcher votre défilé électromagnétique ici, mais il se pourrait bien que ce soit votre 5G qui contribue à rendre tout le monde malade.

« Les seules personnes en colère contre vous pour avoir dit la vérité, sont celles qui vivent dans le mensonge.
Continuez à la dire. »

Inconnu

« Toute vérité passe par trois étapes : Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, il est violemment opposé. Troisièmement, il est accepté comme allant de soi. »

Arthur Schopenhauer
[NDLR Cette citation est en fait apocryphe.]

Un grand merci à Paul Doyon pour ce billet d’invité.

[À propos de l’auteur]

Paul Raymond Doyon

Paul Doyon est un chercheur, écrivain, enseignant et éducateur de 33 ans, qui s’est impliqué par inadvertance dans des recherches sur la question des CEM après être tombé malade en 2005, alors qu’il vivait à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire. Il a passé 27 ans de sa vie adulte à vivre en dehors de son pays d’origine, les États-Unis, à enseigner l’anglais comme langue étrangère (EFL) et l’anglais comme langue seconde (ESL), principalement à l’université, au collège et dans les écoles internationales.
Paul est praticien en biologie du bâtiment (BBP) et spécialiste des rayonnements électromagnétiques (EMRS) à l’  Institut international de biologie et d’écologie du bâtiment (IBE). Il est également le fondateur du site  EMF Refugee .





Une mafia au pouvoir

[Source : voltairenet.org]

Après Bush, Obama et Biden, rétablir la liberté d’expression en Occident

Par Thierry Meyssan

Les présidents républicain George Bush Jr, et démocrates Barack Obama et Joe Biden ont détruit la liberté d’expression en Occident. Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.

L’Alliance atlantique coordonne sa propagande de guerre comme l’ont montré les mensonges de George Bush Jr et Tony Blair.

Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.

On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.



« Si nous n’avons pas la liberté d’expression, alors nous n’avons tout simplement pas un pays libre. C’est aussi simple que cela », a-t-il déclaré au début de sa vidéo. « Si ce droit le plus fondamental est autorisé à périr, alors le reste de nos droits et libertés s’effondrera comme des dominos. Un par un, ils s’abîmeront ».

Il a réitéré qu’il fallait distinguer
 le droit des plate-formes à l’immunité des contenus s’ils se contentent de les véhiculer sans en prendre connaissance,
 de leur responsabilité s’ils se permettent de les noter ou d’en censurer. Dans ce second cas, ils doivent encourir des poursuites judiciaires au même titre que les auteurs des messages qu’ils diffusent.

« Ces dernières semaines, des rapports explosifs ont confirmé qu’un groupe sinistre de bureaucrates de l’État profond, de tyrans de la Silicon Valley, d’activités de gauche et de médias d’entreprise dépravés ont conspiré pour manipuler et faire taire le peuple américain », a déclaré M. Trump.

« Ils ont collaboré pour supprimer des informations vitales sur tout, des élections à la santé publique (…) Le cartel de la censure doit être démantelé et détruit et cela doit se produire immédiatement », a t-il poursuivi.

1- LE 11-SEPTEMBRE 2001

Le mensonge généralisé a débuté en Occident avec la description des attentats du 11-Septembre 2001 aux États-Unis(([1] « Tout donne aujourd’hui raison à Thierry Meyssan », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 août 2021.)). Dès les premières minutes de l’évènement, des médias, sans mener d’enquête et en l’absence de revendication, ont désigné le coupable. Plus tard dans la journée, une journaliste de la BBC a assuré que la Tour 7 venait de s’écrouler alors qu’on la voyait en arrière plan durant encore quelques minutes.

Ce jour-là, si certains journalistes états-uniens ont décrit avec plus de pertinence et d’esprit critique ce qu’ils voyaient, un seul homme a osé dire à la télévision que ce que racontaient les autorités était faux. C’était le promoteur immobilier Donald Trump pour qui les deux premières Tours ne pouvaient s’être écroulées sous l’effet des avions qui les avaient percutées. Il savait d’autant mieux ce qu’il affirmait qu’il employait à l’époque les architectes qui avaient construit le World Trade Center.

Donald Trump, le 11 septembre 2001.

Donald Trump fut assez avisé pour expliquer que les autorités devaient avoir des motifs de sécurité nationale pour cacher la vérité au public. Six mois plus tard, je n’ai pas eu le même habileté en publiant le best seller mondial L’Effroyable imposture.

De cette période, je me souviens d’une journaliste d’une grande revue états-unienne venue m’interviewer à Paris. Lorsque je lui faisais remarquer que, si les avions avaient fait tomber les tours, elles ne se seraient pas effondrées sur elles mêmes comme lors d’une démolition contrôlée, mais latéralement, elle me répondit qu’elle n’avait pas d’opinion parce qu’elle n’était pas experte en la matière. Je me souviens aussi du rédacteur en chef d’un très grand magazine US qui me téléphona pour m’expliquer qu’il ne pouvait rien publier, mais qu’il me soutenait.

Une chape de plomb venait de s’abattre sur l’Occident. Les années qui ont suivi avec le « remodelage du Moyen-Orient élargi » n’ont été qu’une longue suite de mensonges. On a présenté une opération du Pentagone comme une suite d’interventions contre des dictatures ou dans des guerres civiles. Washington détruisait des peuples pour la bonne cause. On n’a pas renâclé à prétendre que l’Iraq disposait de la troisième force militaire du monde et d’armes de destruction massive ; que Mouamar Kadhafi et Bachar el-Assad étaient des dictateurs, etc.

Ces événements furent le début du Fact Checking. Des médias aux ordres assuraient doctement des choses invraisemblables. Le quotidien Le Monde publia des calculs absurdes assurant que tout était clair et logique. Puis vinrent les insultes. Ceux qui réfléchissaient furent qualifiés de « complotistes » et accusés d’être idéologiquement des extrémistes. Deux grands journalistes publièrent un livre sur commande pour assurer que, s’il n’y avait pas de débris d’un Boeing au Pentagone, c’était que l’avion s’était écrasé en « piquet horizontal » (sic)(([2] L’effroyable mensonge. Thèse et foutaises sur les attentats du 11 septembre, Guillaume Dasquié et Jean Guisnel, La Découvert ( 2002).)). Toutes ces absurdités furent répétées à l’envie.

2- LA CAMPAGNE DE 2016 CONTRE LES JACKSONIENS

Le débat que j’avais initié mondialement fut particulièrement long à débuter aux États-Unis. Il aura fallu, qu’en 2004, un intellectuel réputé, David Ray Griffin, décide d’écrire un livre pour réfuter mes allégations et découvre avec stupeur que j’avais raison.

Un des avocats de Donald Trump au colloque Axis for Peace, organisé par Thierry Meyssan en 2005 à Bruxelles

En 2016, par surprise, Donald Trump s’empara du Parti républicain et fut élu à la présidence des États-Unis. La presse aux ordres a interprété cette élection comme une victoire du populisme sur la raison. Mais pourquoi donc le peuple US suivait-il un tel homme sinon parce qu’il refusait le mensonge dominant ?

Donald Trump étant investi par le Parti républicain, mais n’étant pas républicain pour autant, une vaste campagne bipartisane fut organisée pour détruire son image(([3] « Le dispositif Clinton pour discréditer Donald Trump », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 28 février 2017.)). Elle débuta avant même qu’il n’accède à la Maison-Blanche. Elle fut orchestrée au plan international par David Brock et couta au moins 35 millions de dollars.

Pour la première fois, la presse occidentale décrivait le président élu des États-Unis comme un raciste et appelait à l’éliminer avant qu’il ne fasse trop de dégâts. Durant quatre ans, aucune de ses décisions importantes ne furent relayées dans la presse, uniquement des bruits de couloir sur les chamailleries au sein de son équipe. Avez-vous entendu parler du décret présidentiel excluant la CIA du Conseil de Sécurité ou de l’arrêt du financement des jihadistes ?

On a présenté la politique étrangère du président Trump comme la folie inconséquente d’un seul homme alors qu’il agissait dans la lignée d’une école de pensée, celle du président Andew Jackson. Mais avez-vous entendu parler de lui autrement que comme un raciste ?

3- L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ÉTATS-UNIENNE DE 2020

L’élection présidentielle de 2020 est aussi importante que les attentats du 11-Septembre. La relation qui en est faite n’a aucun rapport avec l’évènement. Le problème n’est pas de savoir qui a triché, ni comment, mais de constater qu’elle n’est pas transparente. Les scrutins de plus de la moitié des votants ont été dépouillés sans répondre aux exigences de transparence d’une démocratie.

Seul le documentaire de The Epoch Times, « The real story of January 6 », montre le moment où la manifestation pacifique devant le Capitole s’est transformée en émeute. On y voit distinctement des policiers balancer un des manifestants du haut d’un des étages afin de le tuer. Nous n’avons pas pu acquérir les droits sur ces images.

Le monde entier a assisté à une élection opaque dans un pays qui prétendait être un exemple de démocratie. Ce que Donald Trump a qualifié de « vol » n’en est peut-être pas car nul ne connaît le résultat réel de ce scrutin. Toujours est-il que cette opacité a abouti à la prise du Capitole par des manifestant pacifiques après que la police ait intentionnellement balancé l’un d’entre eux de plusieurs mètres de haut pour le tuer.

4- LA PANDÉMIE DE COVID-19 DE 2020-21

Lors de la pandémie de Covid-19, les administrations Biden et van der Leyen ont volontairement trompé leurs administrés. Il ont en pleine connaissance de leurs mensonges diffusé des chiffres faux et prétendu que :
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus (ce que les fabricants n’ont jamais affirmé).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants (alors qu’ils ne contractent qu’exceptionnellement cette maladie).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients (alors qu’ils provoquent de graves accidents cardiaques chez des hommes de moins de 40 ans).
 Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux (alors que bien d’autres États ont utilisé des médicaments au premier stade de la maladie ou mis au point leurs propres vaccins).

Le président Joe Biden a menti à ses concitoyens sur la Covid-19 en s’abritant derrière les autorités scientifiques de son département de la Santé.

Certains interprètent ces intoxications comme de l’incompétence, d’autres comme de la corruption par les laboratoires pharmaceutiques. Peu importe : dans un cas comme dans l’autre, l’Occident s’est enfoncé dans le mensonge parce que ses moyens de communication sont censurés.

L’ORGANISATION DE LA CENSURE D’ÉTAT

Les documents de Twitter (Twitter Files) révélés par son nouveau propriétaire, Elon Musk, et les e-mails de l’agence de Santé publique états-unienne (CDC) obtenus par l’association trumpiste America First Legal Foundation(([4] « Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux », Réseau Voltaire, 17 décembre 2022.)) attestent que l’administration Biden a secrètement contrôlé et occasionnellement censuré l’ensemble des messages échangés sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello partout dans le monde. Pour ce faire, Washington a disposé de complicités étrangères. Le président Biden a lui-même mis en place une agence de censure, le « Conseil de gouvernance de la désinformation » (Disinformation Governance Board)(([5] « L’Occident renonce à la liberté d’expression », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 8 novembre 2022.)). Certes, il l’a officiellement dissoute face aux critiques, mais elle poursuit son action sous un autre nom.

Cette agence se consacre à censurer les informations sur les « nationalistes intégraux » ukrainiens(([6] « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.)) et sur les crimes du régime de Zelensky(([7] « Volodymyr Zelensky et l’ethnopolitique », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 13 décembre 2022.)). Elle nous intoxique sur les actions de la Russie et de la Chine, de sorte que nous ne percevons pas le basculement du monde contre l’Occident.

Force est de constater que la progression du populisme est avant tout une réponse populaire à l’extension de la censure d’abord aux USA, puis dans tout l’Occident. La liberté d’expression, et donc la démocratie, est morte, tuée par ceux qui avaient la responsabilité de la protéger.

Les efforts de Donald Trump, s’ils sont couronnés de succès, rétabliront la liberté d’expression, mais pas la démocratie. Il est trop tard. Le monde a changé. Durant ces 20 dernières années, l’égalité minimum entre les citoyens a disparu : les écarts de revenus ont été multipliés par plus de 1000 et les classes moyennes ont partiellement été ruinées.

Dans ces conditions, un nouveau régime politique doit être inventé et il ne pourra se construire dans l’intérêt de tous que si chacun dispose de la liberté d’expression.





Assaut du Capitole : Trump menacé de poursuites pénales

[Source : BV]

Par Frédéric Lassez

Bien entendu, comme les médias nous le répètent à longueur de journée, il ne faut pas croire aux théories complotistes. Qui imaginerait, en effet, que nos chers politiques, dont l’Histoire a sans cesse démontré la vertu et la probité sans failles, pourraient recourir à de basses manœuvres pour éliminer leurs adversaires ? Absurde.

La vie politique américaine en est un exemple édifiant. Avec une exception notable : Donald Trump. À croire ses opposants et les médias, ce trublion populiste ne cesse de mettre en danger la démocratie et ses valeurs. Par chance, il s’est toujours trouvé de zélés serviteurs de la vérité et de la justice pour faire barrage à ses sombres desseins. Le premier et le plus scandaleux étant son fricotage poutinien, en 2016, pour venir à bout de Hillary Clinton, son adversaire de l’époque à la présidentielle.

Le candidat républicain n’avait alors pas hésité à vendre son âme au diable russe mais, heureusement, le complot avait été dévoilé grâce à un rapport de 35 pages opportunément publié quelques jours avant l’investiture de Trump. Des « révélations » sur ses liens avec le Kremlin mais aussi des détails croustillants comprenant l’évocation d’une « sextape ». Afin d’exercer des pressions sur lui, les services secrets russes n’avaient pas hésité, d’après le dossier, à filmer clandestinement, en 2013, les parties de jambes en l’air du milliardaire avec des prostituées dans une chambre d’hôtel de Moscou. La bonne vieille technique du kompromat (« dossier compromettant »). Pas de doute, Trump n’était qu’une marionnette manipulée par Poutine.

Après plusieurs années d’enquête, le procureur spécial Robert Mueller était malheureusement arrivé à la conclusion inverse : rien ne permettait d’établir que des membres de la campagne de Trump avaient conspiré ou s’étaient coordonnés avec le gouvernement russe. Comme l’avait reconnu CNN en 2021, le dossier bidon à l’origine de ces « révélations » avait été fabriqué par un ancien agent du MI6 anglais, Christopher Steele, à l’instigation de membres du Parti démocrate. Ce « Russiagate » n’allait pas pour autant empêcher les médias, qui avaient copieusement truffé leurs colonnes de « fake news », de continuer par la suite à entretenir le soupçon et la légende noire de Trump.

Et il faut dire qu’ils ne manquent pas de matière car, depuis cette époque, Trump a bien du mal à quitter la rubrique des « affaires ». Parmi les dernières enquêtes en date, un « raid » du FBI dans sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, à la recherche de dossiers classifiés illégalement conservés, une autre sur ses déclarations de revenus ou encore la demande d’une enquête concernant sa gestion de la pandémie de coronavirus. Mais c’est surtout la dernière élection présidentielle de 2020, avec la controverse sur d’éventuelles fraudes lors du vote par correspondance et surtout l’assaut du Capitole par une foule en colère, qui a replacé Trump au centre de la vie judiciaire américaine.

La presse française s’en fait régulièrement l’écho afin d’entretenir la thèse (complotiste ?) de la menace fasciste persistante d’un bord à l’autre de l’Atlantique. Évoquant le travail de la commission chargée d’enquêter sur l’assaut du Capitole mise en place en janvier 2021, le journal Le Monde affirmait, récemment, que les « menaces les plus graves pour la démocratie américaine » provenaient d’une « d’une extrême droite suprémaciste dont Donald Trump [avait] banalisé les ressorts rhétoriques ». Les « milices » qui avaient assailli le Capitole en étaient la preuve.

Or, si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission qui, après dix-huit mois d’enquête, vient de recommander au ministère de la Justice américain d’engager des poursuites pénales contre lui. Car pour la commission, pas de doute, « la cause centrale du 6 janvier était un homme, l’ancien président Donald Trump ».

La vice-présidente de la commission, Liz Cheney, considérée comme une républicaine anti-Trump, ajoute ce commentaire : « Aucun homme qui se comporterait de cette façon à ce moment-là ne pourra plus jamais occuper un poste d’autorité dans notre pays. » « Il est inapte à toute fonction », complétait-elle.

De là à imaginer qu’il s’agissait du véritable objectif de cette enquête et à en déduire que les opposants à Trump sont prêts à tout pour l’empêcher de se présenter en 2024, il faudrait vraiment être complotiste !

[Voir aussi : La république américaine en danger de mort]




LE STUNAMI DU MAL…

Par Pierre Aubrit Saint Pol

« Tout ce qui aura été caché, sera révélé(([1] Révélation faite à plusieurs âmes privilégiées dont Marie-Julie Jahenny))»

Le 7 décembre dernier, était publié un entretien, accordé par Mme Merkel, au Die Zeit. L’ancienne chancelière de la République Fédérale d’Allemagne nous confirme ce que nous pressentions :

« Les accords de Minsk avaient été signés pour donner à l’Ukraine le temps nécessaire à se préparer, en vue d’une confrontation avec la Russie. »

L’ancien président Porochenko reconnaît que les politiques ukrainiens n’avaient jamais eu l’intention d’appliquer les accords de Minsk. Un piège était tendu aux dépens de russophones qui ne demandaient qu’à vivre en paix, et qui furent contraints à réclamer leur rattachement à la Russie contre les intérêts de l’Ukraine puisque ces régions russophones sont les plus riches. Il faut donc comprendre que le gouvernement ukrainien a œuvré contre les intérêts de son peuple pour satisfaire un plan ourdi par les mondialistes selon le projet de l’État d’Israël qui veut faire de cette région une province satellite, un espace « colonisé » et soulager ainsi sa population. Un projet logique, puisque la majorité de ceux qui gouvernent l’État d’Israël est issue des Khazars originaires de l’ouest de l’Ukraine. Ce projet dément est également une opportunité pour les mondialistes qui veulent soumettre la Russie à leur Nouvel Ordre Mondial.

En considérant la faiblesse militaire de l’Ukraine, il se comprend aisément, que les puissances majeures de l’OTAN, balaie à chiotte du mondialisme, soient derrière cette volonté d’en découdre avec la Russie. Les acteurs du mondialisme, de l’état profond, n’acceptent pas que la Russie rejette et résiste au Nouvel Ordre Mondial, proclamé par Bush senior lors de sa rencontre avec Gorbatchev à Malteet réitéré à Reykjavik. Ils pensaient pouvoir manipuler le Président Boris Eltsine, et lui suggérer un successeur à leurs bottes, ce ne fut pas le cas et c’est heureux pour la civilisation chrétienne.

Afin de parvenir à briser cette opposition, ils devaient faire en sorte d’entraîner la Russie dans un conflit. Ils espéraient, par ce biais et par la multiplication de sanctions, l’épuiser financièrement et économiquement et qu’elle viendrait à manger dans leurs mains. C’est l’effet inverse qui se produit. Un nouvel échec. Car malgré le tour du monde Henry Kissinger, ancien secrétaire d’État de Nixon et membre actif de l’état profond, ils n’y sont pas parvenus. Ils avaient en tête de s’appuyer sur la cadence Spike qui ordonnait les conflits selon une cadence de 1160 années.

Ils avaient préparé ce projet depuis des décennies. En effet, de hauts responsables US reconnaissaient que les USA n’avaient pas cessé de financer et de former des sections nazies depuis 1942, surtout pour l’Ukraine et d’autres pays slaves comme la Pologne. Peut-on imaginer que la Russie resterait immobile en sachant que l’Ukraine est un espace pour les nazis, et qu’ils persécutent les russophones ? Le Peuple russe n’a pas oublié le drame de la Seconde Guerre Mondiale — 25 millions de morts.

Il n’est pas impossible que le sort de l’État ukrainien ait été acté lors de la rencontre en Turquie des responsables des services secrets y compris russes, et que l’agitation depuis ces trois derniers mois n’est là que pour distraire l’attention des responsables ukrainiens. Il y a la menace d’un conflit majeur mondial. Mais n’est-il pas trop tard ? Il est à craindre qu’au-delà des États se manœuvre la volonté d’un conflit mondial comme lors des années qui précédèrent le conflit de 14-18. Qui actionnera le premier la manœuvre fatale ? Une main noire se constitue : USA, Royaume-Uni, Israël, la France. La Russie n’est pas le danger, la Chine l’est davantage. Attention à ses avancées au Moyen-Orient et en Afrique Noire. Une coalition irano-chinoise. Redoutable !

La Russie, par son retrait de quelques kilomètres du territoire conquis, ne fait pas preuve d’échec, elle prend le temps de renforcer son économie de guerre, et d’asseoir l’opinion publique en la faveur de ce conflit. Le temps et le général hiver ont toujours été son arme de prédilection. La Chine se resserre et organise une économie de guerre. Nous avons perdu la confiance des États du Moyen-Orient et, avec le scandale de corruption au Parlement européen et l’implication du Qatar, au-delà de son dévoilement, il y a l’intention d’en finir avec une organisation dont les seules lettres de noblesse seront d’avoir accumulé les lois contre nature, de s’être déracinée de sa civilisation chrétienne. L’U.E. est confrontée à un raz-de-marée de salissures et pourritures. Elle va être purgée.

L’Occident est face à une crise économique et financière sans précédent, il ne s’est jamais relevé de celle de 2007. Cette guerre est voulue pour donner le change en faisant porter la situation économique délabrée sur la Russie. C’est aussi pour certains l’occasion d’entrer dans la grande porte de l’histoire… Le délire d’esprits immatures et sans conscience morale.

Les mondialistes ou la cabale se sont saisis de la crise russo-ukrainienne pour organiser les pénuries alimentaires et énergétiques, et ce n’est que le début. Il n’y a que Macron pour croire que ce régime infâme puisse survivre à l’assaut de la Russie. Il est incompréhensible que le Peuple ukrainien puisse ne pas réagir contre une marionnette aussi improbable que le président Zelensky ? Nous sommes en présence d’un criminel de guerre.

Ce conflit a plusieurs objectifs :

1— La Livre S²terling est adossée au marché diamantaire d’Afrique du Sud. La Russie est la plus grande réserve diamantaire au monde. Il suffirait que Moscou décide de répandre, à moindre prix et massivement, ses diamants pour réduire à rien l’économie et la monnaie du Royaume-Uni. C’est pourquoi la City de Londres a besoin que le conflit russo-ukrainien se prolonge, surtout depuis sa sortie de l’U.E.

2— Ce conflit est une opportunité pour soumettre les peuples à un pouvoir qui apparaît bienveillant, alors qu’il organise la disette, la crise énergétique. Il peut surveiller au plus près les citoyens, et ce, dans des supposées démocraties, et pour la France, à coup de 49-3. Et le peuple continue de se taire, pourvu qu’il puisse continuer d’aller chercher sa baguette avec son auto… Les Français ont l’art d’être des veaux.

3— La pandémie de la Covid19, dans cet esprit du contrôle des peuples et leur appauvrissement a été un premier pas grandiose. Car, pour atteindre certains objectifs, il faut programmer la dépopulation. C’est le crime contre l’humanité légal, souriant, malgré le masque. Une étape pour le Nouvel Ordre Mondial.

Mais, pour le catholique et l’homme juste, ce qui importe le plus : comprendre la raison de ces événements. Il faut pour cela faire une lecture eschatologique.

L’accumulation des péchés individuels et le rejet massif de Dieu, les transgressions du législateur permettent cette succession dangereuse de crises internationales et nationales. Comprenons que nous sommes dans les temps de purification, et ce, depuis la renonciation du Pape Benoît XVI, qui en a été contraint par les mêmes acteurs. Il faut que l’Écriture, le scandale du péché personnel et l’accumulation des transgressions s’accomplissent. L’homme d’iniquité, l’Antéchrist, doit se révéler.

Les événements n’iront pas en s’arrangeant bien au contraire, le temps de la Miséricorde se referme, celui de la Justice s’ouvre. Les hommes et les femmes de prière, les justes c’est-à-dire ceux qui s’attachent au respect de la loi naturelle, la loi morale, doivent continuer de prier, de faire le bien pour espérer atténuer la rudesse de la Justice divine.

Il n’est plus d’aucune utilité d’entendre ce que nous dit le Saint-Siège. Le réalisme thomiste nous interdit d’user de la méthode Coué. Il n’a jamais été dans la mission de l’Église de faire de la politique, elle n’en a pas la grâce d’état. Les récentes déclarations au sujet de l’Ukraine reflètent un parti-pris comme lors de l’élection du Président Trump et le soutien imprudent au Président Biden sont hors de la mission de l’Église. Le fidèle s’en trouve humilié et blessé ; il n’a plus de repère, l’image universelle du père et du docteur est effacée, sa parole est inaudible. Sa prise de position vis-à-vis des apparitions et aux alertes concernant la venue inévitable de la Justice divine est contraire au Magistère et ne fait que jeter le trouble dans le peuple de Dieu. Elles paralysent les actions possibles du fidèle qui ne sera pas préparé spirituellement à faire face à ce qui est maintenant une évidence. Le Saint-Siège fait le jeu des mondialistes, sans un mot pour ceux qui s’efforcent de maintenir la doctrine catholique, et s’obligent à une charité sans faille. Le fidèle est en exode. Il est seul. Puisqu’il en est ainsi, il lui faut sortir du carcan administratif de l’Église et reprendre en main sa dignité et liberté d’enfant de Dieu. Il doit soutenir des membres de la hiérarchie instituée qui aient un authentique souci du salut et sont décidés à entrer dans la clandestinité si nécessaire. Si nous devons continuer d’aimer l’Église, nous ne sommes pas obligés de nous attacher à une hiérarchie qui est au bord de l’apostasie, et qui ne cesse de se compromettre avec les pouvoirs en place. Est-il encore utile et possible d’entendre Rome ? Le successeur de Pierre demeure le signe visible de notre unité, pour le voir et le comprendre il faut faire un effort surnaturel héroïque. C’est difficile à comprendre. Nous devons privilégier l’Église que le Christ a fondée et non pas l’institution administrative qui obscurcit l’institution ecclésiale.

Nous voulons une Église pauvre, humble qui nous donne le pain du Ciel, nous guidant au salut. Nous rejetons une Église écolo, qui n’annonce plus Jésus-Christ Sauveur, et fait des traités sans aucune autre référence qu’à l’homme, celui de la Renaissance. Nous ne voulons pas d’une Église qui célèbre avec les rites païens, et ose installer la Pachamama sur l’autel de Pierre. Nous ne voulons pas non plus d’une Église intransigeante, qui met la morale et l’ordre au-dessus de l’amour de charité et le rite liturgique dans la naphtaline. Nous voulons une pauvreté royale qui annonce la vérité par l’amour et sans concession avec le monde. Nous ne voulons plus d’évêques républicains, mais des pasteurs, plus de prêtres francs-maçons copulant avec les mondialistes. Seigneur revient nous donner ton Église.

Pierre Aubrit Saint Pol





La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




L’enjeu (le jeu) de la « liberté d’expression » : un piège à cons !

[Source : conscience-du-peuple]

Par Isabelle

Le dossier de la « liberté d’expression » est un cheval de Troie qui permet aux autorités et aux sociétés « big tech » et « big data » de récolter un maximum de données sur les citoyens, et ce, en vue du déploiement d’une gigantesque prison virtuelle.

Elon Musk, Donald Trump, Tucker Carlson, pour ne nommer que ceux-là, sont des pions utilisés pour « ouvrir la cage » vers une liberté surveillée ! 

Suivez-moi bien.

Un programme « pré-crime » de type orwellien a été mis en place aux États-Unis en 2019-2020, sous l’administration Trump. 

https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-invests-26-million-mitigate-violent-crime-and-support-public-safety

Ce sont les données personnelles des utilisateurs traitées par l’intelligence artificielle, qui permettent à ce programme de prédire le niveau de dangerosité des citoyens et de calculer les probabilités d’un passage à l’acte.

En octobre 2019, le procureur général des États-Unis a adressé un mémorandum à tous les avocats américains, aux forces de l’ordre et aux hauts responsables du ministère de la Justice, annonçant la mise en œuvre imminente d’un nouveau « programme national de perturbation et d’engagement précoce » (programme DEEP), visant à détecter les menaces à la sécurité intérieure.

La surveillance de masse des citoyens américains grâce à l’utilisation d’algorithmes a pour objectif de déterminer et d’évaluer l’intention hostile et la maladie mentale.

Le 23 juillet, le procureur général William Barr a prononcé le discours d’ouverture de la Conférence internationale sur la cybersécurité (ICCS) de 2019 et s’est principalement concentré sur la nécessité de créer des « back doors » pour le bénéfice des autorités. 👉Il a exhorté les sociétés de logiciels et d’applications destinés au grand public à créer une « porte dérobée » (back door) au gouvernement, en particulier aux forces de l’ordre, afin d’obtenir l’accès dans l’intérêt de la sécurité publique.

Pour surmonter la résistance de certaines entreprises privées qui ne veulent pas renier leur droit à la vie privée en donnant au gouvernement un accès détourné à leurs appareils, Barr a anticipé de manière révélatrice « un incident majeur pourrait se produire à tout moment qui galvanisera l’opinion du public sur ces questions. »

Peu de temps après ce discours, plusieurs fusillades de masse, dont une dans un Walmart d’El Paso, ont eu lieu, ce qui a de nouveau ramené la question au premier plan dans le discours politique. 

La tragédie a semblé servir d’événement galvanisant, car la solution proposée par le président Trump à la suite de la fusillade était la création d’une « porte dérobée »  pour le gouvernement…

https://thehill.com/policy/technology/456183-trump-calls-for-doj-to-work-with-social-media-companies-to-identify-mass/

Jeffrey Epstein, curieusement, avait un intérêt pour les technologies pré-crime et était l’un des principaux bailleurs de fonds de la société technologique controversée Carbyne911, aux côtés de l’ancien Premier ministre israélien et associé d’Epstein : Ehud Barak. 😉

👉Après la fusillade d’El Paso, le président Trump a réfléchi à la création d’une nouvelle agence fédérale connue sous le nom de HARPA qui travaillerait avec le ministère de la Justice pour utiliser « des technologies révolutionnaires avec une spécificité et une sensibilité élevées pour le diagnostic précoce de la violence neuropsychiatrique ». Des outils analytiques avancés basés sur l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique.

https://intelligence-artificielle.developpez.com/actu/274827/Le-gouvernement-americain-veut-acceder-a-vos-donnees-pour-predire-les-evenements-de-sante-mentale-dans-le-cadre-de-HARPA-une-initiative-basee-sur-des-capteurs-utilisant-l-IA-selon-un-rapport/

Les données à analyser seraient recueillies à partir d’appareils électroniques grand public 👉ainsi que d’informations fournies par des prestataires de soins de santé pour identifier qui pourrait constituer une menace.

Je rappelle ici l’objectif des autorités, soutenues par les « fact checkers », de relier la « théoricie du complot » à une maladie mentale et à une menace potentielle de terrorisme : psychiatrisation et criminalisation de la dissidence…

👉Le 15 avril 2020, le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, a reçu l’autorisation de créer l’agence HARPA : la Health Advanced Research Projects Agency. La HARPA s’inspire de l’agence Defense Advanced Research Projects, soit la DARPA.

https://www.harpa.org/

La mission officielle de HARPA est de développer et de déployer un bouclier de biodéfense technologiquement avancé, protégeant les Américains des menaces comme le covid-19. 

Mais, Kushner vante un partenariat public-privé « sans précédent » avec IBM, Google, Amazon et Microsoft contribuant au National Healthcare Security Cloud, géré par Oracle, le cinquième membre de ce qui deviendra T5, le Groupe technique des cinq. 😉

https://thealtworld.com/whitney_webb/meet-the-companies-poised-to-build-the-kushner-backed-coronavirus-surveillance-system

Je m’arrête ici puisque le terrier du lapin est sans fin… pour suivre la trace d’Elon Musk, il faut faire un passage multidimensionnel tellement c’est profond !




La déclaration importante de Trump du 15 décembre passée sous silence par les médias mainstream

[Source : Vivre sainement]

[Voir aussi : Trump a-t-il pété une coche ?]



Version originale :

https://twitter.com/1776Gretchen/status/1603461436944031745
[Daté du 15 décembre]

[Source : businessbourse.com]

COMBAT POUR LA LIBERTE D’EXPRESSION – LA VERITE SUR LES VACCINS – INFLATION MORTELLE : Pour Trump, la liberté d’expression est indispensable dans un pays LIBRE…Toute l’arnaque liée aux vaccins fait surface ! Plus la planche à billets tourne, plus l’inflation AUGMENTE !!!

Le président Trump a fait une grande annonce sur sa plateforme Truth Social, mais le Lying Legacy Media (LLM) ne vous le montrera jamais parce qu’il s’agit de la collusion entre le LLM et le gouvernement pour censurer « We the People ». En bref, ils suppriment la vérité sur toutes sortes de choses. De la légitimité de l’ordinateur portable Hunter Biden aux dangers des injections CV19, voici quelques-unes des vérités qu’ils ont censurées. Trump dit ceci : « Si nous n’avons pas la liberté d’expression, nous n’avons pas de pays libre. » Il a raison. C’est une grande partie de la plate-forme de campagne 2024 de Trump.

Les mensonges au sujet des vaccins contre le CV19 continuent d’être exposés avec chaque nouveau rapport « Mort soudainement » et de nouvelles données montrant que le vaccin était une fraude mortelle et dangereuse depuis le tout début. Rien n’arrête ce qui arrive. La rage des millions de blessés et des familles dont les proches sont décédés ne va pas cesser de s’accumuler. Maintenant, il y a de plus en plus d’appels à des poursuites contre toutes les personnes qui ont poussé à faire vacciner tous ces gens qui ont eu de graves problèmes de santé. La vérité sur les doses de rappel du CV19 a également été censurée par le gouvernement et Big Tech. Les soi-disant « Twitter Files » exposent les criminels qui ont caché la vérité. Je peux déjà vous affirmer que beaucoup plus d’informations graves sont en train de sortir. Comptez là-dessus.

La Fed continue de lutter contre l’inflation en relevant un taux directeur de 0,5 % supplémentaire. L’augmentation des taux va-t-elle arrêter l’inflation ? Pas selon l’économiste John Williams de « ShadowStats.com ». Williams dit que la flambée de l’inflation est causée par l’impression extrême de monnaie, et avec un nouveau budget de 1,65 milliard de dollars qui vient d’être adopté au Congrès, ne vous attendez pas à ce que l’inflation recule. C’est tout le contraire, selon Williams. Préparez-vous à un krach financier dans très peu de temps !

Source: usawatchdog.com




Trump a-t-il pété une coche ?

[Source : conscience-du-peuple]

[NDLR Est-ce la même personne que le 45e Président des USA ? Trump est-il allé au bout de son narcissisme ? Pense-t-il gagner ainsi en popularité ? Espère-t-il que l’on continue éventuellement à le prendre au sérieux ? Ou cela participe-t-il de son rôle de révélateur de ce qu’est le monde politique : une farce, un théâtre de marionnettes dont les ficelles sont tirées dans l’ombre ?

Ceci est donc sa grosse annonce :
]



[Voir aussi, en anglais : https://www.msn.com/en-us/news/politics/trumps-major-announcementis-dollar99-superman-baseball-cards/ar-AA15k0MU ou https://www.dailymail.co.uk/news/article-11542713/Trumps-MAJOR-ANNOUNCEMENT-99-Superman-baseball-cards.html]




L’Humanité est-elle condamnée à la disparition, même sans bombe nucléaire ?

« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1

Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)

« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».

Chute de la fertilité2 affirmée par l’ONU

En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3

Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100

Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.

La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).

Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.

Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?

Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».

Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).

Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.

PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT

Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.

La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…

La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5

Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.

Quels sont les faits avérés ?

En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants

L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.

2 décembre 2022 :

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».

Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…

Aux USA la natalité a baissé aussi depuis 2008 6

« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».

Et en 2022, aggravation probable.

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.

Selon Brighteon.TV :

« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.

Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.

La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »

AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE

L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.

Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.

« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement
. »

La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?

Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.

« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8

https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse

a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9

BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».

Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

Néanmoins il suppute :

« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.

Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11

L’Allemagne et la Suède
L’Espagne

Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12

Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.

En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.

« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »

José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.

Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles

En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.

Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.

En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.

Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?

Beaucoup s’interrogent : @elonmusk

« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »

Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :

« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »





Merci Dr Blachier. Blachier vs Wonner : victoire par KO du Dr Blachier !

(Du second degré ? Mais, non, mais non !)

À Martine.

1

Une fois n’est pas coutume j’ai regardé TPMP présenté par Cyril Hanouna.
Vous pourriez penser « Tiens, il n’y avait rien sur France Culture ? ».

Je vous le dis tout net, là n’est pas la raison, même si l’hypothèse était d’une grande logique.
Hier sonnait le retour de qui ? Du grand docteur Blachier !

Vous comprenez maintenant pourquoi entre un dîner avec belle-maman, un rendez-vous chez le dentiste ou une visite à l’hospice pour voir mon ami Carlo, j’ai choisi de regarder C8.

Il faut dire que ce grand spécialiste nous manquait, lui qui était présent toute la journée sur les chaînes d’information durant la Grande Guerre, je parle bien sûr de la Première Guerre mondiale.
Mais pas n’importe laquelle, de la première guerre mondiale contre le Covid !

Tel un général, il venait nous abreuver de stratégies de lutte, de conseil de défense, de fronts à occuper, d’ennemis, de confinements, de masques, de gestes barrière et bien entendu de vaccination ou de rappels, mais aussi de pertes parmi les troupes.

Cet homme était dévoué corps et âme au point qu’il était parfois possible de le voir au même instant et en direct sur deux chaînes d’info.
À sa décharge, il n’était pas possible de lui reprocher de délaisser des patients qu’il n’a jamais eus.

Pour celles, ceux et celleux2 qui me suivent, j’ai déjà écrit un texte sur ce grand homme3 que je vous invite à lire ou à relire.

Et oui, le docteur Blachier a préféré une carrière à l’abri des patients afin de se consacrer pleinement à des tâches plus grandioses et plus nobles que de soigner le rhume d’une chieuse de 9 ans voulant manquer l’école, amenée par une mère hypocondriaque.

Point inédit dans l’histoire de la science, il ne s’est jamais trompé durant la crise Covid !
A-t-il déjà commis des erreurs durant sa vie, la question peut se poser.

Toujours en est il que de mauvaises langues au cerveau plus étroit que celui d’Homo Floresiensis, faisaient courir le bruit que celui-ci avait passé son temps à se tromper dans ses prédictions plus ou moins apocalyptiques ou rassuristes selon les phases de la lune.

Nul doute que le Dr Blachier était un disciple du grand professeur Ferguson qui a toujours prédit une fin du monde qui ne s’est pas produite… grâce à lui.
Homme d’exception s’il en est, à qui l’on a malhonnêtement reproché4 de ne pas respecter le confinement qu’il avait fait imposer.

Revenons à Martine Wonner.
Je parlerai de cette odieuse personne plus tard, mais je me demande, sans en avoir les preuves, si cette Mme Wonner dont il est question dans ce texte n’avait pas critiqué aussi le Dr Blachier sur ce sujet.

Je ne le redirai qu’une seule fois, mais :

Si les prédictions de M. Blachier ne se sont (quasi ?) jamais révélées exactes,
c’est justement la preuve de l’exactitude de ses modèles prédictifs.

Étant conscient de la présence, parmi mes lecteurs, de complotistes qui ne pigent rien, je vais prendre la peine d’essayer de leur faire comprendre l’impossible.
Accrochez-vous comme vous pouvez !

Si le Dr Blachier n’avait pas fait de prédictions,
alors les autorités sanitaires n’auraient pas pris les décisions qui s’imposaient.
Décisions qui de fait ont provoqué un décrochage dans le continuum espace-temps,
faisant que les prédictions ne se sont pas réalisées.

Pour être plus clair :

Si les prévisions eussent été différentes, la réalité eût aussi été différente.

C’est donc la preuve de l’absolue exactitude de l’ensemble de ses prédictions, preuve du génie de l’homme et de son équipe.

S’il était nécessaire de vous convaincre, voici un nouvel exemple.

Le 6 avril 2020, il déclarait :

 « Tant que le premier pic n’est pas passé, le confinement est obligatoire5 »

Puis le 15 mai 2021 :

« Aujourd’hui, on a un niveau de décrue de l’épidémie qui est à peu près le même que celui que l’on avait eu lors du deuxième confinement, ce qui prouve bien que le confinement était une solution par excès », a-t-il poursuivi.
Pour cela, il ne « faudrait même plus le réclamer » en cas de nouvelle hausse des contaminations6. »

Certains pourraient s’étonner que le confinement dût être obligatoire en 2020 alors même qu’il était devenu inefficace, en tous les cas pas plus efficace que son absence, en 2021.
La raison en est pourtant simple.
Pour celles et ceux et celleux qui manquent d’attention, je vous précise que le premier confinement était en 2020 alors que le 2e était quand ? En 2021.
Vous voyez bien que ce n’est pas la même année !

Ces précisions ayant pour objet de vous rappeler les compétences hors du commun du personnage.

Avec le retour de la 9e vague, il était logique d’inviter à nouveau ce spécialiste, d’autant plus pour contrer Mme Wonner suspendue pour un an par l’Ordre des médecins.

Petite parenthèse sur l’Ordre.

Il faut raison garder et cesser de rappeler à tout va que le conseil de l’Ordre a été créé sous Vichy.
Ce n’est qu’un malheureux hasard de calendrier.

Le mythe voudrait qu’il ait été créé afin de pouvoir recenser et exclure les médecins juifs.

La réalité est toute autre comme nous le rappelle le site du syndicat « les généralistes » :

« Xénophobie et antisémitisme étant intimement liés, la législation de Vichy a tôt fait d’exclure de la profession les médecins français de “race juive”, toujours dans une relative indifférence de leurs confrères : le 3 octobre 1940, la loi portant statut des Juifs leur ferme l’accès à la fonction publique et à l’enseignement ; rares sont les “grands patrons”, tel Robert Debré, qui bénéficient de dérogations. Le 2 juin 1941, le second statut des Juifs verrouille l’accès aux professions libérales conduisant dans chaque département à la mise en place d’un numerus clausus de 2 % de médecins juifs sur l’effectif total de la profession. Charge à l’Ordre de les recenser et de juger de ceux qui, parmi les médecins, remplissant les conditions dérogatoires (avoir rendu à l’état français des services exceptionnels ou être issu d’une famille établie en France depuis au moins cinq générations) pourront continuer à exercer ou non et le cas échéant, de dénoncer les contrevenants à l’autorité administrative7. »

C’est là que l’on voit le chemin parcouru par notre « civilisation ».
Qui au 21e siècle pourrait imaginer des médecins ou des pharmaciens dénoncer des confrères ?

Je poursuis par le livre « L’éviction des médecins juifs dans la France de Vichy » de Henri Nahum :

« La perte des illusions est évidente dans la correspondance échangée entre le Dr André Meyer et son ami et collègue d’internat, Bernard Ménétrel, devenu médecin personnel et secrétaire particulier du Chef de l’État. Au début André Meyer demande surtout à Ménétrel d’intervenir pour qu’il soit autorisé à se présenter au concours de médecin des hôpitaux ; il ne comprend pas pourquoi il est l’objet de mesures discriminatoires : sa famille est française depuis de nombreuses générations, il est lui-même de religion catholique, en outre il a toujours été « d’idées nationalistes » et regrette de ne pouvoir participer à « l’effort de relèvement du pays » ; il ne comprend pas pourquoi il a été convoqué par la police et a subi un long interrogatoire ; il ne doute pas que son ami Ménétrel fera cesser ces vexations.
Une circulaire du 16 juillet 1941 du directeur général de…. Quelques mois plus tard, le ton a changé. “Tout le monde se demande, écrit-il, pourquoi nous avons encore un gouvernement si celui-ci ne peut même pas préserver des plus odieux sévices des gens comme nous, purs Français, fiers de l’être et dignes en tous points de l’être, n’ayant jamais commis aucune faute, quelle qu’elle soit […] Que vais-je devenir ? Que vont devenir ma femme et mes enfants8. »

Nous sommes tous d’accord pour dire qu’il est odieux de suspendre des médecins intègres qui plus est reconnus par leur communauté.
Médecins qui ne font que soigner et n’ont commis aucune faute.
Imaginez les suspendre sous prétexte qu’ils ne répondent pas à une loi discriminatoire édictée par un gouvernement dictatorial !

Dieu nous en préserve, ces pratiques barbares remontent à des temps révolus.

Ce qui me permet de conclure qu’il faut cesser de blâmer cet ordre.

Revenons donc à cette Mme Wonner, même si je m’en passerais bien volontiers.

J’ignore les raisons, mais il se trouve que M. Hanouna a invité Mme Wonner.
Rappelons que Mme Wonner, ex-médecin non vacciné et ex-député a été récemment suspendue pour un an par l’Ordre des médecins.
Je m’étonne de la clémence de la sanction qui a été prononcée.

Sanction ayant pour but de bien faire comprendre aux autres médecins
qui auraient la folie de désobéir le sort qui les attendrait.

De quoi s’est rendue coupable cette dame qui, rappelons-le, n’est toujours pas vaccinée à l’aune de la 9e vague ?

D’avoir critiqué la politique sanitaire !

Quand je vous dis que tout fout’le camp en France.

De plus, Mme Wonner avance des arguments totalement dénués de sens et frôlant la psychiatrie pour se justifier.

J’ai toujours parlé en tant que député, la preuve en est je n’étais pas en exercice, car suspendue.

Ce n’est pas tout, et de rajouter :

La constitution garantit la libre parole des députés ou des sénateurs (pour ne citer qu’eux).

J’ai déjà entendu des personnes de mauvaise foi, mais là cela dépasse l’entendement.

Depuis quand la constitution devrait être respectée à la lettre, depuis quand devrait-elle être garante de la démocratie et de nos institutions ?

Tout le monde sait que c’est une sorte de « guide de bonne pratique », un fil conducteur, un « état d’esprit ».
Guide que l’on peut suivre plus ou moins, mais certainement pas des lois gravées dans le marbre !

Imaginez-vous des lois qui s’appliqueraient à l’ensemble des individus sans distinction de couleur de peau, de race, de religion, de santé, de conditions sociales, etc. ?

Bien heureusement, il y a la théorie et les faits.

Liberté d’expression :

Pour exemple :

Le Conseil constitutionnel a précisé en 1994 que la liberté d’expression est une « liberté fondamentale d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés9. »

Nous voyons bien que c’est purement théorique, bien heureusement !
La protection de la démocratie, ce que certains appellent abusivement « censure », est indispensable avec tous les complotistes qui nous entourent.

Il en va de la survie de notre idéal républicain.

L’eurodéputé Yannick Jadot10 est sans doute celui dont l’analyse pertinente résume pour le mieux la situation.
Il déclare à propos du controversé milliardaire Elon Musk qui a racheté Twitter, et annoncé mettre fin à toute censure d’expression qui ne tombaient pas sous le coup de la loi, y compris rétablir le compte d’un ancien Président des USA :

« Twitter tue la démocratie, tue la politique, avec Twitter à la fin c’est Trump qui gagne. »
« Ça veut détruire la pensée complexe, ça veut détruire au fond tout ce qui fait une démocratie. »

C’est là que l’on comprend pourquoi nous sommes des gueux tandis qu’il est député.
Seule une intelligence supérieure est en capacité d’appréhender la complexité du problème.

Je dirais pour le paraphraser :

C’est par la judiciarisation de la liberté d’expression et de la censure de tout ce qui est contraire à la doxa ou issu du Ministère de la Vérité, que nous pourrons échapper à la pensée unique et ainsi sauver le pluralisme et notre démocratie.

Nous voyons bien que les propos critiques de l’ex-député Wonner en direction du gouvernement et de la politique sanitaire menaçaient de fait la démocratie et qu’il fallait la faire taire.

Pour en revenir à l’émission, la coupable Wonner a bien tenté de défendre l’indéfendable.

Bien heureusement M. Hanouna avait eu l’intelligence d’inviter l’éminent Dr Blachier afin de rétablir la Vérité (du jour).

TPMP veut bien autoriser la présence de « malades » sur son plateau, mais prend toujours soin d’inviter une autorité au-dessus de tout soupçon (ou conflits d’intérêts) afin de rétablir la Vérité.

Ceci permettant au public abruti par nature de ne pas prêter foi aux délires déversés par des complotistes.

Probité, moralité et indépendance

À ce titre, le Dr Blachier dont l’entreprise propose à ses clients des modèles mathématiques prédictifs n’a de fait aucun conflit d’intérêts durant la pandémie Covid.
C’est ce qui lui permet de pouvoir s’exprimer en toute indépendance.

Même si, selon ses déclarations11, son entreprise a augmenté son chiffre d’affaires durant la période Covid, sa médiatisation aurait été de nature à lui faire perdre des clients.
De plus « le spécialiste Martin Blachier révèle avoir refusé de l’argent du gouvernement12… »

On n’en voit pas tous les jours des hommes comme le Dr Blachier
qui refusent un marché juteux pour garder sa liberté et on indépendance !

Je ne pourrais pas en dire autant de cette Mme Wonner.
Une femme qui brave son gouvernement, se fait virer de son parti, devient paria, n’est pas réélue, refuse de se faire un faux passe vaccinal comme nombre de ses confrères, ne peut plus exercer son métier de psychiatre, ni même à titre bénévole, et j’en passe… Et qui de plus poursuit son « combat ».
Convenez que c’est louche, non ?

Comment pouvez-vous croire qu’il puisse exister des personnes
comme Mme Wonner qui mettraient en péril leur assise dans la société,
leur réputation, leur confort financier,
voir même leur existence pour défendre les valeurs
auxquelles elle serait viscéralement attachée et les droits de l’homme ?

Réveillez-vous, il doit y avoir anguille sous roche !

L’homme qui ne se trompe jamais !

Je vous rappelle que Martin, quant à lui dit toujours la Vérité et ne se trompe jamais.
En fait ce n’est jamais lui qui commet des erreurs.
C’est juste la Vérité qui évolue au fil du temps en fonction de paramètres que des esprits simples comme les nôtres ne sont pas en capacité d’appréhender et de comprendre.

Il a parfaitement mis le doigt sur la culpabilité évidente de Mme Wonner.
Cette dame ne se cache même pas et revendique ses crimes avec une quasi-délectation.
Elle semble tellement déconnectée du réel qu’elle semble y voir une lettre de noblesse.

Responsabilité aggravée de Mme Wonner

Je n’ai pas la retranscription exacte de l’émission, mais le sens est respecté :

Mme Wonner, vous avez par vos propos dissuadé des personnes fragiles de se vacciner.

Sous-entendu que ces personnes sont peut-être mortes aujourd’hui.
On s’approche presque du meurtre avec préméditation.

Notez que le Dr Blachier, avec sa gentillesse légendaire, sa modestie et son besoin de ne heurter personne, ne l’a pas accusée frontalement de crime contre des petits vieux, quand bien même ce ne serait que vérité.

Le docteur Blachier a ajouté que :

Le produit est indispensable afin de se protéger des formes graves du Covid.

Il semblerait que la notion de protection d’autrui et de transmission soit passée aux oubliettes.

Le sujet de la transmission et de la protection est pour autant assez complexe, car dans la même interview13, celui-ci précisait en avril 2021 :

Le vaccin protège contre la sévérité des symptômes, « mais on ne sait pas encore s’il protège contre la transmission. Selon les premières études, ce serait le cas, mais c’est encore incertain. »

Et de rajouter :

« Quand vous êtes vaccinés, vous avez une protection proche de 100 %.
Le port du masque, ce n’est pas pour vous protéger, mais pour protéger les autres.
Si la personne en face de vous est également vaccinée, le masque n’a plus aucun intérêt. »

Notez qu’il répétait encore avec justesse cette vérité scientifique incontestable que je vous traduis :

Le masque ne filtre les virus que dans un sens, celui qui le porte peut attraper le Covid, tandis qu’il ne peut pas le donner.

Une vérité répétée est une vérité répétée !

À titre personnel je trouve dommage que l’on ne fût pas obligé de porter deux masques, un dans un sens et l’autre retourné afin que le porteur du masque soit aussi protégé.
Mais bon, je ne suis pas spécialiste comme le dirait si justement le Dr Blachier, je n’ai ni ses diplômes ni son expérience de terrain dans le domaine des virus et encore moins le chiffre d’affaires de son entreprise.

Le docteur Blachier a posé LA question à Mme Wonner lui demandant si elle préconisait une énième dose de rappel d’injection.

Celle-ci, avec sa mauvaise foi habituelle, a botté en touche voulant retourner la charge de l’accusation :

De quelles études disposez-vous prouvant que le vaccin est ou était efficace pour les personnes de plus de 60 ans ?

Un sous-entendu un peu bizarre laissant entendre que :

Pour préconiser une thérapeutique, il faudrait disposer tout du moins de preuves, au moins d’indices concordants sur son efficacité et son innocuité.

Ceci est globalement assez stupide comme nous le savons tous.

Preuve d’efficacité des vaccins

Je vous rappelle que l’étude de Pfizer BioNTech ayant permis l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché ne portait ni sur les enfants, ni sur les femmes enceintes, ni sur les personnes âgées, ni sur la transmission, etc.
Ce qui n’a empêché en rien une vaccination de masse de ces profils.
Rappelons aussi que l’autorisation a été basée sur les seules affirmations de Pfizer indépendamment de toutes études indépendantes, mais aussi qu’elle n’eut pas été autorisée s’il y avait eu des traitements efficaces.

Si vous êtes un lecteur naïf qui n’a pas regardé l’émission, vous pourriez imaginer que le Dr Blachier a été en mesure de citer des dizaines d’études prouvant que la vaccination permettait de réduire les formes graves chez les plus de 60 ans.

Une évidence me direz-vous et d’autant plus qu’il l’affirme.
Hop, l’affaire est dans le sac, terminée la Martine, fin de l’émission !

Vaccinez-vous, il est prouvé que c’est efficace !

Ici encore je vois bien que vous n’êtes pas médecin en santé publique comme le Dr Blachier.
Il ne s’est pas abaissé à fournir la liste des études demandées, ce qui aurait mis fin immédiatement à toute polémique.

Au lieu de tomber dans la facilité, celui-ci n’a pas hésité à sortir l’argument imparable :

Quelle est votre légitimité ?” (pour oser critiquer et demander)

Pour le paraphraser :

Vous m’avez dit que vous êtes psychanalyste, vous n’avez donc pas la légitimité et la compétence pour poser la question.

Ce à quoi Mme Wonner a tenté une pirouette bien pitoyable en disant qu’elle était médecin psychiatre avec un bac+12, sous-entendu qu’elle aurait une forme de compétence ou une légitimité à poser des questions, réponse pour le point curieuse.

Mme Wonner n’ayant pas la légitimité de poser la question sur l’efficacité du vaccin,
nous avons donc bien la preuve que le vaccin protège des formes graves
grâce à la démonstration magistrale de Martin Blachier.

Dernier point intéressant, et là, je ne remercierai jamais assez M. Hanouna.

Notons qu’il est quand même bizarre de s’interroger sur leur efficacité alors même qu’une cinquième dose est indispensable pour se protéger “efficacement”.
Ce seul fait devrait être de nature suffisante pour ne pas douter de la pertinence de l’injection.
Vous imaginez bien que si cela ne fonctionnait pas, on ne préconiserait pas des doses supplémentaires.

La complotiste a non seulement voulu discréditer ces vaccins “sûrs et efficaces” en voulant faire part d’effets secondaires dont certains seraient graves.

Le Dr Blachier n’a jamais douté de leur innocuité, la preuve en est qu’il a toujours refusé d’injecter ses enfants14.
Le 15 mai 2021, il déclarait à ce sujet :

Tant qu’on n’a pas vacciné tous les adultes, on ne va pas vacciner tous les enfants”’, le 26 avril son tweet disait. « La vaccination des enfants, c’est une hérésie ! Ce qu’il faut, c’est vacciner 100 % de la population vulnérable. »

Du fait que la quasi-intégralité des vieux a reçu au moins une dose selon le gouvernement, j’imagine qu’il a dû les vacciner depuis.

Mythe des effets secondaires

Les effets secondaires des injections expérimentales sont bien entendu un non-sujet.
Ici encore, le Dr Blachier nous a rappelé avec l’intelligence, le brio et l’honnêteté intellectuelle qu’on lui connaît, que :

Mme Wonner n’a pas les diplômes, l’expérience, la compétence, pour lire un document officiel de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

D’autre part Mme Wonner a affirmé que moins de 10 % (je n’ai plus son chiffre exact en tête) des effets indésirables étaient signalés.
Les mêmes maux engendrant les mêmes problèmes, elle n’a pas plus la compétence pour lire les études :

« La notification spontanée est une méthode passive, fondamentale pour générer des alertes, mais trop peu exhaustive (1 à 10 % des effets indésirables graves sont notifiés) rendant nécessaires des études pharmacoépidémiologiques qui visent à confirmer ou infirmer les alertes identifiées par notification spontanée15. »

Ni les affirmations sur le site du LEEM16

« On sait par ailleurs que seuls 5 à 10 % des effets indésirables sont déclarés seulement ce qui laisse beaucoup d’ombre sur la connaissance réelle des médicaments. »

Bien heureusement, Cyril Hanouna a mis fin aux propos complotistes de Mme Wonner qui n’avaient aucune valeur, comme cela a été répété, pour lire des documents officiels sur les effets secondaires.
Ainsi les millions de téléspectateurs de cette émission n’auront pas eu à subir de désinformation issue des autorités sanitaires et pourront continuer à dormir sur leurs deux oreilles.

Pour résumer

L’émission a été sauvée par la présence, la compétence et les arguments imparables de ce grand spécialiste.
Je n’ai aucune peine à comprendre pourquoi il a pu squatter les plateaux télé depuis des mois.
Grâce à lui les Français ont eu plein accès à la Vérité.

Non seulement il affirme, mais, qui plus est, nous cite systématiquement les sources qui lui permettent de tenir son discours au même titre que tous les médecins médiatiques qui nous livrent la Vérité sur les plateaux télé.

Ce n’est hélas pas le cas de ce pauvre Dr Wonner qui s’obstine à vouloir comprendre et diffuser des études ou des documents officiels alors même qu’elle n’a pas, comme le dit si bien M. Blachier, les compétences ni pour les lire, ni les comprendre.

Bien heureusement, les médias mainstream bloquent quasi intégralement le discours de personnes comme le Dr Wonner pour ne laisser s’exprimer que celles et ceux qui savent et à qui l’on ne demande JAMAIS les sources pour leurs affirmations choc.

La protection des Français est essentielle. Je me réjouis par ailleurs de la suppression du statut d’organe de presse17 pour le torchon complotiste « France-soir ».

« Soutenez la science, soutenez Martin Blachier et ses collègues,
soutenez les autorités sanitaires,
soutenez le gouvernement et surtout soutenez notre Président aimant18 ! »

Il en va de la sécurité sanitaire, des droits de l’homme et de la démocratie.

Merci
Alain Tortosa19
2 décembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221203-blachiervsWonner-wonnerko.pdf





Elon Musk révèle les dessous de la censure du scandale Hunter Biden


[Source : valeursactuelles.com]

Le patron de Twitter, Elon Musk, avait promis de dévoiler des dossiers internes attestant de la suppression par le réseau social de publications sur le scandale lié à l’affaire des e-mails secrets d’Hunter Biden, le fils du président américain.

Elon Musk © zz/Wil R/STAR MAX/IPx/AP/SIPA

En octobre 2020, à l’approche de l’élection présidentielle américaine, le partage en ligne d’un article du New York Post avait été limité par Twitter. Après avoir mis la main sur l’ordinateur portable abandonné d’Hunter Biden, le journal américain dévoilait l’affaire des e-mails secrets du fils du président américain Joe Biden. Si la droite républicaine, et notamment l’ex-chef de l’État Donald Trump, avait vivement dénoncé cette censure, l’affaire avait fini par se tasser. Mais vendredi 2 décembre, le nouveau patron de Twitter, Elon Musk, a dévoilé ce qu’il appelle les « Twitter Files », que l’on peut traduire par « dossiers Twitter ». Il a d’abord promis sur son compte : « Ce qui s’est réellement passé avec la suppression de l’histoire de Hunter Biden par Twitter sera publié sur Twitter à 17h », heure locale. D’autres révélations devraient suivre dans les prochains jours.

« Twitter a pris des mesures extraordinaires pour retirer l’article »

Le propriétaire de Tesla et SpaceX a mis en lien le compte Twitter de l’auteur et journaliste politique américain Matt Taibbi. Ce dernier a ainsi publié une série de tweets dans laquelle il a partagé des e-mails demandant aux employés de Twitter de supprimer certains posts en lien avec l’article du New York Post qui a révélé l’affaire Hunter Biden. « Twitter a pris des mesures extraordinaires pour retirer l’article, en supprimant les liens et en affichant des avertissements indiquant qu’il pouvait être ‘dangereux’ », a rédigé Matt Taibbi dans ses tweets. Des cadres supérieurs de l’entreprise avaient jugé sans preuve que le matériel avait été « piraté ».

Le réseau social aurait, selon le journaliste, « bloqué sa transmission par message direct ». Cet outil serait pourtant réservé « aux cas extrêmes, par exemple la pornographie infantile », a encore indiqué le journaliste. Sans citer l’ex-PDG Jack Dorsey, Matt Taibbi a assuré que cette censure aurait été ordonnée depuis les « plus hauts niveaux de l’entreprise ».

D’après les documents révélés par Elon Musk, le Comité national démocrate américain (Democratic National Committee (DNC) en anglais) aurait demandé à Twitter de supprimer ou suspendre le compte de certaines célébrités. Cela a été le cas de l’acteur anti-Biden, James Woods.

Le compte de l’ancienne porte-parole de la Maison Blanche, Kayleigh McEnany, avait également été « suspendu pour avoir tweeté à propos de l’histoire » relatée par le New York Post. Un membre du personnel de la campagne de Donald Trump n’avait alors pas hésité à envoyer une « lettre furieuse » à Twitter, alors que le démocrate Joe Biden et le président sortant Donald Trump s’affrontaient en duel à un mois de l’élection présidentielle.

Retour sur les faits

À l’automne 2020, le New York Post avait récupéré illégalement des e-mails dans un ordinateur fourni par l’ancien maire de New York, Rudy Giuliani, et récupéré dans un magasin de réparation du Delaware. Cet ordinateur aurait appartenu à Hunter Biden. Les journalistes du New York Post auraient mis la main sur des courriels entre le fils du président américain et un conseiller de l’entreprise gazière ukrainienne Burisma. Il est dit dans ces échanges que Hunter Biden aurait monnayé une rencontre pour son père, alors vice-président, avec un responsable de Burisma. Dans un courriel datant du 17 avril 2015, un membre de la direction du groupe ukrainien, Vadim Pojarski, aurait remercié le fils de Joe Biden pour une invitation à Washington lui « donnant l’occasion de rencontrer [son] père et de passer du temps ensemble ». Après que l’affaire a été révélée au grand jour, l’entourage de Joe Biden avait cependant affirmé que la rencontre n’avait jamais eu lieu.


[Source : pgibertie.com]

HUNTER BIDEN, toxico et pédophile, c’était bien vrai! Elon Musk fournit les preuves de la censure pour ne pas ébruiter le scandale ( censure reprise par les Média français )

Elon Musk fait publier des communications internes accablantes sur la censure politique, notamment l’affaire Hunter Biden, et en publiera encore #TwitterGate

L’histoire qui nous intéresse s’est déroulée le 14 octobre 2020 lors du scandale des révélations par le New York Post qui a publié BIDEN SECRET EMAILS, une enquête sur le contenu de l’ordinateur portable abandonné de Hunter Biden, fils de l’actuel président  des États-Unis, Joe Biden. Pour justifier la censure, il a été décrété en haut lieu que l’article sur l’ordinateur portable avait été supprimé pour violation de la politique de l’entreprise en matière de « matériel piraté ». « Twitter a pris des mesures extraordinaires pour supprimer cette histoire, en supprimant les liens et en affichant des avertissements indiquant qu’elle pouvait être “dangereuse”. Ils ont même bloqué sa transmission par message direct, un outil jusqu’ici réservé aux cas extrêmes, par exemple la pornographie enfantine. » Cette manœuvre a eu des conséquences incroyables, puisque la porte-parole de la Maison-Blanche, Kayleigh McEnany, avait été privée de son compte pour avoir tweeté sur l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden.

Biden a pu faire croire dans un débat présidentiel que l’histoire du PC d’Hunter Biden était un complot russe mettant ainsi la faute sur Trump.

Hunter, qui visiblement a d’étranges liens avec l’Ukraine : compagnie gazière, millions de dollars…

https://nypost.com/2020/10/14/email-reveals-how-hunter-biden-introduced-ukrainian-biz-man-to-dad/

https://player.odycdn.com/api/v4/streams/free/ABC_Hunter_Biden_VOSTFR/7ddfa9e40e170dd4ecacbd840b550754502a1158/c36852

Tout ça grâce au blocage des médias et des RS sur cette affaire.

Biden a menti au peuple américain lors d’un débat sur 2020,
qualifiant le portable Hunter Biden de « matériel russe ».
https://twitter.com/MarcusP62428099/status/1598821622030417921
« Ce n’est pas une vidéo de Hunter Biden fumant de la cocaïne.
Selon le gouvernement des États-Unis, c’est de la désinformation russe. »




Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.

« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1

Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.

Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :

« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »

De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :

« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».

Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.

Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.

👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022

« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6

LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS

16/11/2022

Dr McCullough (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/9495) explique à Robert Kennedy Jr (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6891) que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le “désastre de l’injection Covid19” :

« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.

Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.

Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.

J’ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.

Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !

Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.

Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.

Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8

MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE

Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?

AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES

Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !

Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10

ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE

🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.
Pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11

EUDRAVIGILANCE POUR UE

EudraVigilance data updates

Data status 19/11/2022

– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).

– Affected children:
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)

Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :

Au niveau mondial, les données de mortalité de l’OMS montrent que l’épidémie est en voie d’extinction :

NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !





Comment l’argent de Bill Gates et de FTX a acheté le silence scientifique

[Source : aubedigitale.com]

Par Jeffrey A. Tucker Jeffrey A. Tucker

Avec du recul, il est tout à fait étrange que le monde de la science ait pu rester si silencieux alors même que le monde se verrouillait et que des milliards de vies étaient brisées par les gouvernements du monde entier. Le silence était assourdissant. 

Nous sommes passés d’une lettre du 2 mars 2020 signée par 800 experts en santé publique associés à l’université de Yale – qui mettait en garde contre les quarantaines et les fermetures – à une étrange disparition de presque toutes les voix claires quelques semaines plus tard. Et les choses en sont restées là pendant la majeure partie de deux ans.

Les gouvernements ont été autorisés à créer un vaste carnage sur la base d’une expérience inédite n’ayant absolument aucun précédent dans l’histoire et aucune littérature scientifique ne l’étayant. Même le plan de lutte contre la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ne prévoyait rien de tel que le confinement comme solution à un agent pathogène répandu. À l’époque, il était évident pour moi et pour d’autres que ce silence n’était pas dû à un large accord avec les politiques mais à quelque chose d’autre.

Ce quelque chose, malheureusement, c’était l’argent.

Nous découvrons de plus en plus le rôle accru que la bourse de crypto-monnaies FTX a joué dans l’acheminement de l’argent vers les principaux avant-postes de santé publique et les universitaires des universités Johns Hopkins et Stanford, ainsi que ses liens familiaux avec le département de santé publique de l’université Columbia. Et avant l’ouverture de ce robinet de financement, il y avait la Fondation Gates, qui était clairement passée d’une recherche apparemment non partisane à un soutien total aux confinements.

[Voir aussi :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Bien sûr, il n’y a pas une seule explication à ce désastre. L’ensemble de la profession avait déjà été infecté par le virus intellectuel du rationalisme mécaniste et de la modélisation. L’idée était qu’il suffisait d’assembler quelques mathématiques et équations et de laisser l’ordinateur prendre le relais pour obtenir une image de l’évolution de la maladie selon divers scénarios. Ces modèles sont facilement manipulables par de petites modifications des variables.

Deborah Birx s’est entièrement appuyée sur ces modèles pour obtenir de l’administration Trump le feu vert pour le confinement. Et il n’y a plus aucun doute sur cette histoire maintenant que le compte Twitter de Trump est à nouveau vivant. La fin de la censure nous permet de voir comment il a été poussé à rejeter ses meilleurs instincts et à adopter au contraire une politique de confinement, non seulement pendant deux semaines, mais aussi pendant les mois qui ont suivi, jusqu’à critiquer le gouverneur Brian Kemp de Géorgie pour une ouverture que Trump considérait comme « trop précoce. »

(Pour l’anecdote, la restauration du compte de Trump nous permet également de voir que ses deux derniers tweets exhortaient tous les manifestants du 6 janvier 2021 au Capitole à rester pacifiques et à respecter le bleu. Il n’est pas étonnant que l’ancien régime de Twitter ait voulu bloquer son compte et le faire disparaître).

Après avoir étudié de près cette trajectoire, il semble impossible de négliger les motifs politiques ici. Il ne fait aucun doute que de nombreuses élites, en de nombreux endroits, se sont déchaînées au point d’être prêtes à écraser l’ensemble de la société et même à renoncer à deux ans d’éducation pour les enfants afin de chasser Trump du pouvoir. Le complot consistait à l’amener à faire lui-même l’appel initial en lui racontant des mensonges sur la gravité du virus et l’efficacité des confinements. Il ne fait aucun doute qu’il a été trompé.

Cependant, en plus de ces facteurs, on ne peut négliger les facteurs financiers. Il est clair que les subventions accordées à l’époque et pendant les deux années suivantes étaient clairement en faveur des confinements et du Parti démocrate, ainsi que des médias d’élite et de leur ligne narrative selon laquelle l’ouverture équivaut à la mort et les confinements/port de masques/obligations relèvent de l’esprit public.

Un grand nombre de scientifiques qui auraient pu et dû s’exprimer se sont tus ou, pire, ont prêté leur voix pour soutenir le scandale. Cela s’explique en grande partie par le mode de financement de la science au niveau universitaire. Il s’agit d’obtenir la prochaine subvention. C’est tragique, mais il y a là une forte motivation à formuler ses opinions d’une manière qui ouvre la voie à de futures sources de financement.

C’est pourquoi il n’est pas nécessaire que chaque scientifique vendu reçoive des fonds directs de Gates, FTX ou de l’industrie pharmaceutique. Pour contrôler tout un secteur de l’opinion, il suffit de faire courir le bruit qu’une source de financement est là, avec d’innombrables millions, et qu’elle est prête à passer à la caisse.

En conséquence, même les personnes les plus intelligentes et les plus crédibles peuvent être facilement mises au pas. Et il ne fait aucun doute que FTX a rapidement acquis la réputation d’être en quelque sorte préoccupé par la « planification de la pandémie » et que l’ensemble de l’industrie s’est aligné, la main dans le sac. Après tout, FTX a promis 100 millions de dollars de subventions !

C’est pourquoi, selon le Washington Post :

« L’onde de choc de la chute libre de FTX s’est propagée dans le monde de la santé publique, où de nombreux leaders de la préparation à la pandémie avaient reçu des fonds des bailleurs de fonds de FTX ou cherchaient à en obtenir. »

La partie recherche est essentielle ici. Mais la piste de l’argent l’est tout autant. Le FTX a financé les dernières étapes des plus grands essais de thérapies réadaptées pour le COVID. D’innombrables vies étaient en jeu dans ces essais. De nombreux médecins du monde entier avaient obtenu d’excellents résultats dans des circonstances difficiles grâce à des médicaments génériques tels que l’HCQ, l’Ivermectine, la fluvoxamine et d’autres, en particulier lorsqu’ils étaient utilisés avec d’autres vitamines et du zinc. Il était crucial de les tester.

Les résultats ont été soutenus par un blitz médiatique prévisible : ces thérapeutiques ne fonctionnent pas. Entre-temps, l’étude a été sévèrement critiquée, non seulement pour la mauvaise construction de l’étude, mais aussi pour les conflits d’intérêts des chercheurs de haut niveau qui ont également consulté des sociétés pharmaceutiques.

Tout cela est très important, car on a le sentiment que la raison pour laquelle les Instituts nationaux de la santé, la Fondation Gates et les grands médias ont négligé la thérapeutique, en dénigrant tous ceux qui suggéraient qu’il y avait peut-être une meilleure solution, pourrait être liée à la motivation économique de la fermeture des alternatives bon marché aux vaccins.

Le journaliste indépendant Alexandros Marinos a retracé la chronologie de l’étude :

La Fondation Gates a été la première à intervenir, suivie de Rainwater et de FastGrants. FastGrants est un programme établi par la Fondation Charles G. Koch qui a également fini par donner de l’argent au modélisateur Neil Ferguson de l’Imperial College, qui a été le premier à faire la propagande du confinement au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. FTX a calqué son propre programme d’octroi de subventions sur FastGrants, puis a repris le financement plus tard dans le processus. (Il y a une ironie suprême ici : le mensonge partout sur internet était que la Déclaration de Great Barrington était financée par Koch, alors qu’en fait ce flux d’argent allait à l’opposition !).

En outre, le Post note que FTX « a accordé 1,5 million de dollars au Center for Innovation in Global Health de l’Université de Stanford en juillet pour des subventions de démarrage destinées à « catalyser la recherche et les innovations qui préparent et aident à prévenir la prochaine pandémie ».

Également :

« Les engagements du Future Fund comprenaient 10 millions de dollars à HelixNano, une start-up de biotechnologie cherchant à développer un vaccin de nouvelle génération contre le coronavirus ; 250 000 dollars à un scientifique de l’Université d’Ottawa cherchant comment éradiquer les virus des surfaces en plastique ; et 175 000 dollars pour soutenir l’emploi d’un récent diplômé de la faculté de droit au Johns Hopkins Center for Health Security. »

Nous ne savons pas combien d’argent Gates/FTX a donné au Center for Health Security de JHU (qui avait sponsorisé l’événement 201), mais c’était suffisant pour que le directeur du centre, Tom Inglesby, revienne complètement sur sa position antérieure contre les confinements pour en devenir un grand défenseur.

« Dans l’ensemble, le Future Fund [FTX] était une force du bien », a déclaré Inglesby au Post. « Le travail qu’ils faisaient essayait vraiment d’amener les gens à penser à long terme… à renforcer la préparation à la pandémie, à diminuer les risques de menaces biologiques. »

Suivre la piste de l’argent de FTX jusqu’à l’établissement de la santé publique révélera sans doute davantage d’informations, surtout si l’on considère que Gabe, le frère de Sam Bankman-Fried, dirigeait une organisation de lobbying entièrement consacrée à la « planification des pandémies. »

Il ne fait aucun doute que toute cette machine est devenue un mastodonte industriel en deux ans. Lorsque j’ai lancé le Brownstone Institute, mon téléphone et mes e-mails ont commencé à exploser d’offres d’argent et de financement, mais toujours avec une condition. Je devais connecter nos scientifiques avec leur réseau de scientifiques dans un système déjà établi.

Il n’y avait aucun doute dans mon esprit sur ce qui se passait : On me demandait de jouer le jeu en échange de gros chèques pour faire fonctionner cette jeune organisation à but non lucratif. D’une certaine manière, cela m’a étonné : On m’offrait un chemin vers la richesse à condition que je vide la mission de son contenu ! Et cela se passait avant même que nous ayons publié la moindre de nos recherches !

Donc, oui, j’ai vu comment ce système fonctionne de première main. Bien sûr, j’ai complètement rejeté l’idée, tout simplement parce qu’y adhérer aurait été contraire à l’objectif premier de la création d’un institut. Et pourtant, mes interlocuteurs présumaient qu’il ne s’agissait là que d’un autre racket dans un espace qui en regorgeait et que je serais heureux de renoncer à tous mes principes en échange d’un financement généreux. Je ne l’ai jamais envisagé, même un seul instant.

Il y a une tragédie grotesque dans tout cela. De grandes personnes ont renoncé à tous leurs principes et à leur intégrité en échange de subventions et de graisses de la part de gros bonnets qui ont utilisé leur argent et leur pouvoir pour détruire le monde en deux ans, et ils ont pu le faire avec très peu d’opposition professionnelle. Et pourtant, nous en sommes là aujourd’hui. Qui sont les véritables stars du monde scientifique aujourd’hui ? Pas ceux qui sont à la remorque de Gates/FTX. Ce sont les hommes et les femmes qui ont pris leur courage à deux mains pour faire ce qui est juste.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Du système de domination au changement de paradigme – La dernière guerre de l’hégémonie financière

[Source : valeriebugault.fr]



1°) Il y a selon vos mots, Valérie Bugault, un “système de domination” qui s’exerce sur les populations occidentales avec un recul des libertés et maintenant une crise énergétique qui découle des sanctions contre la Russie. Quels sont les objectifs de cette stratégie des dirigeants atlantistes ?

  • La crise énergétique française n’est due qu’à 15% au problème d’approvisionnement en gaz russe ;
  • La crise énergétique française est essentiellement due à la trahison des intérêts énergétiques français par les dirigeants successifs qui ont d’abord :

  • Ces conditions de marché (de dupe) ont conduit, particulièrement pour la France et les Français (dindons éternels de la farce fédérale européenne), à des coûts plus élevés par rapport aux solutions reposant sur la coopération transfrontalière.
  • Stratégie, menée par l’UE et par des dirigeants français compradors, de sabotage de l’État français en le privant de ses moyens énergétiques.
    Cf. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32019L0944&from=NL

Je rappelle que cette stratégie de soumission par le sabotage ne concerne pas seulement l’énergie mais toute l’économie, l’agriculture avec la PAC, et, bien sûr, la monnaie.

De trahison en sabotage, la France, ne dispose plus d’aucun levier pour assurer sa subsistance de façon autonome.

Nous avons été enchaînés et soumis à des intérêts supranationaux menés par les grandes banques internationalistes. Car la soumission aux intérêts supérieurs atlantistes ne doit pas être considéré du point de vue géographique, en particulier concernant les USA, mais d’un point de vue financier internationaliste.

Les objectifs recherchés sont évidemment, et aujourd’hui officiellement (cf. déclarations d’Attali, Davos, OMS…), le contrôle intégral des ressources et le pouvoir mondial par l’émergence d’un gouvernement mondial dédié.

2°) Concernant l’idée d’un revenu universel, le Sénat a créé une mission commune d’information sur l’intérêt et les formes possibles de mise en place d’un revenu de base en France le 11 octobre dernier. Quels en seraient les résultats ?

Avant de parler des résultats, il faut parler des causes de ce « revenu de base ».

A partir du moment où l’endettement de la France est irrémédiablement en augmentation exponentielle, il entraine de façon mécanique, une augmentation des charges publiques et une disparition des services publics, toutes les ressources étant accaparés par les créanciers du « non-État ».

Ce système entraîne également, de façon automatique, l’augmentation de tous les prix et la disparition du tissu économique formé par les PME – de moins en moins autonomes, tant juridiquement qu’économiquement.

Ce mouvement d’endettement se conjugue avec : 

  • Des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement dus notamment à des troubles, parfaitement organisés (par des fermetures arbitraires de l’économie pour des prétextes fallacieux : covid), dans les circuits logistiques ; sans même parler de l’aubaine des crises politique géopolitique utilisées par les accapareurs pour augmenter arbitrairement les prix en organisant la raréfaction de l’offre. Tout ceci aggrave l’appauvrissement général ;
  • L’énorme gain quantitatif (augmentation de la production et donc de l’offre) et qualitatif de production dus à la mécanisation et à la numérisation, bientôt renforcées par la mise en œuvre de l’intelligence artificielle, qui rendent la production de plus en plus facile et performante. Les coûts de production diminuent, mais les prix de vente ne suivent pas la même courbe = les propriétaires des entités de production deviendront toujours plus riches pendant qu’ils supprimeront les emplois et appauvriront les populations ;
  • La mise en œuvre, dans les services, de l’intelligence artificielle va entraîner une baisse mécanique de l’emploie dans ce secteur également.

La conjugaison de l’appauvrissement artificiellement organisé et généralisé avec la perte d’activité et d’employabilité des individus (remplacés par des robots et l’IA) va entraîner des troubles sociaux inévitables. Afin de garder une certaine paix sociale, les banquiers qui supportent l’économie, vont devoir assurer un niveau minimal de vie à une population qui n’aura plus d’activité – du moins celle qui survivra à l’époque troublée que nous vivons – ce qui se traduit en effet par un revenu universel.

Ce revenu universel marquera la soumission totale et définitive des individus aux banques créancières et, par voie de conséquence, la fin de toute liberté.

3°) Toujours dans l’idée d’un contrôle accru, le pass-carbone : où en est-on ?

L’idée du pass, ausweiss des temps modernes, est dans l’air vicié du temps de la soumission, laquelle devient de moins en moins volontaire pour les raisons exposées ci-dessus.

Souvenez-vous comment fut imposé, sous le fallacieux prétexte de « notre bien », le pass sanitaire.

Selon cette méthode, il ne fait aucun doute, qu’en raison des crises énergétiques parfaitement organisées par ceux-là même qui font semblant de les résoudre, le pass carbone sera imposé comme incontournable.

Ils vont, pour l’imposer, prendre prétexte des problèmes énergétiques qu’ils ont créés de toute pièce à plus d’un égard :

  • Par la stratégie de long terme de soumission des États nations qui se traduit par l’asservissement économique des pays européens au moyen des règles de marché imposées par « l’Union Européenne sous contrôle globaliste » ;
  • Par la guerre menée aux pays qui ont les moyens de résister à la domination financière globale, qui se traduit par la disparition d’approvisionnement de l’Europe en gaz russe et par l’augmentation consécutive, plus ou moins liée, des prix du pétrole ;
  • Par l’organisation de défauts de fonctionnement énergétiques organisés par les dirigeants compradors des pays européens :

    • Sabotage des filières énergétiques ;
    • Fermeture de l’économie (covid), générant des impossibilités de travailler ;
    • Défaut d’entretien des circuits énergétiques sous le fallacieux prétexte de manque de moyens financiers, alors que ce manque de moyen est dû à un endettement artificiel de l’État généré par une perte de contrôle de sa monnaie ;
    • Politique irrationnelle du « risque zéro » qui permet d’accroître artificiellement les contraintes règlementaires inutiles pesant sur la production énergétique ;
    • Corruption politique systémique permettant d’imposer des énergies non rentables dans le même temps que les énergies rentables sont sacrifiées…

Ce pass est prévu de longue date, il entre dans la stratégie consistant à prendre l’écologie en otage pour faire passer les véritables victimes des excès industriels, celles qui souffrent de toutes sortes de dégradation de leur environnement, pour leurs auteurs.

Il s’agit in fine d’obtenir la soumission volontaire des populations à leur appauvrissement ultime – qu’ils cachent pudiquement derrière le terme décroissance – et dont elles seront, une fois de plus, les victimes expiatoires.

4°) Brièvement, à quand remonte l’avènement de ce système de domination ? Les peuples n’ont-ils pas toujours été dominés d’une façon ou d’une autre ?

Il faut comprendre que si le concept de domination est aussi vieux que la naissance de l’humanité, ce dernier, tant que les oppresseurs étaient identifiables, soulevait des oppositions et initiait des confrontations, ce qui générait des contrepouvoirs réels.

Tout autre est le système de domination actuel qui repose sur l’anonymat et l’irresponsabilité des décideurs réels. Cet anonymat empêche mécaniquement la manifestation de réactions car il n’est jamais possible d’imputer une faute à une personne précise.

L’anonymat des décideurs réels impose leur irresponsabilité en même temps que leur absolutisme. Ce dernier absolutisme n’a rien, strictement rien à voir, avec le prétendu absolutisme monarchique sans cesse décrié, car il a organisé la disparition de tout type de contrepouvoir.

Le modèle de ce concept, nouveau et très efficace, de domination reposant sur l’anonymat remonte à l’année 1600, qui est la date de création de la première compagnie des indes, britannique en l’occurrence.

Ces compagnies ont servi de modèle à notre système mondial actuel, dans lequel le partenariat public-privé se traduit par la privatisation des profits et par la nationalisation des pertes, jusqu’à la disparition ultime de toute notion de « bien public » et de « bien commun ».

Ce système d’irresponsabilité a aujourd’hui été mis en œuvre à tous les niveaux : monétaire (par l’arrivée des banques centrales), économiques (par l’anonymat capitalistique), et même politiques car le personnel politique, payé par le con-tribuable, ne doit jamais rendre de compte à qui que ce soit pour ses décisions publiques létales.

5°) Ces forces économiques, constitutives de ce système de domination, comment se sont-elles imposées ?

Elles se sont imposées par la ruse, la malversation, le mensonge et la corruption tous azimuts, illimités ; qui se cachaient derrière un faux semblant démocratique, tant dans l’organisation même des États que dans l’organisation du système économique.

Dans cette imposture généralisée, la réalité cachée derrière l’apparence possibilité d’enrichissement privé et collectif (bien-être public), fut toujours l’accaparement par concentration ultime des ressources dans quelques mains anonymes.

6°) Cette crise énergétique et l’inflation qui l’a précédé vont-elles se poursuivre longtemps ? Le krach financier que beaucoup redoutent, comment le voyez-vous survenir ? (Italie, Allemagne, Pays-Bas, faillite de banque) L’UE aura-t-elle une chance de survivre à cet événement ? (chute de l’euro : 0,60 € pour 1$ ?)

Bien sûr, cette multi-crise va se poursuivre jusqu’à son terme, c’est-à-dire jusqu’à la victoire finale soit de la haute finance mafieuse soit des populations libérées de son joug.

L’inaptitude du dollar en tant que monnaie mondiale et le krach financier qu’elle a engendré est à l’origine des problèmes politiques et géopolitiques actuels.

L’origine de la crise est à rechercher dans la défaillance du dollar en tant que monnaie mondiale, sa réalisation provient du fait que la haute finance (devenue spéculative pour cette raison) a mis en danger l’équilibre financier global, laissant une sorte de vide hégémonique dans lequel les pays les plus forts se sont engouffrés pour retrouver leur indépendance économique et politique : Chine en tête mais aussi, Russie, et dans une moindre mesure, Turquie, Iran, Indes, lesquels entrainent – par un mouvement de fond – dans leur sillage peu ou prou, tous les pays victimes de l’hégémonie financière (d’origine) anglo-saxonne depuis le XIXème et surtout le XXème siècle (Egypte, Afrique noire…).

La survie de l’UE n’est en aucune façon souhaitable car ces instances supranationales sont justement nées de l’hégémon financier, lequel contrôlait précédemment les États mais de façon moins centralisée.

Quant à l’euro, qui ferait contrepouvoir au dollar US, il s’agit de l’une des plus grandes supercheries de notre monde frelaté ! Les banques européennes sont toutes sous perfusion de dollars US, ce qui fait de l’indépendance proclamée de l’euro une vaste plaisanterie comme l’explique parfaitement Bruno Bertez[1] :

  • « Certes la BCE semble pouvoir émettre sa propre monnaie, mais c’est sans compter avec la situation réelle des banques euros ! les banques euros recyclent, elles sont suremployées en dollars.

Les banques euros en cas de pepin seront absorbées ou garanties par les pays d’Europe, et le système européen se retrouvera demandeur d’une masse considérable de dollars pour refinancer les engagements de ses banques !

Celles-ci sont surexposées en dollars alors que leur banque centrale, la BCE n’est pas créatrice de dollars. Donc la BCE sera obligée de faire comme elle le fait à chaque crise, elle devra mendier des dollars aux États Unis, elle devra baisser os pantalon pour bénéficier de Swaps en dollars.

Vous comprenez mieux je l’espère la vassalitude structurelle de l’UE ! »

Si les grands argentiers perdent la guerre totale qu’ils ont déclenchée, l’UE ne survivra pas. Si, au contraire, ils la gagnent, non seulement l’UE survivra mais le gouvernement mondial sera en marche.

Dans cette lutte à mort, les intérêts des peuples européens ne sont clairement pas les intérêts défendus par les instances dites européennes et par les dirigeants compradors des pays membres.

Tout ceci explique que le krach financier en cours s’accompagne inévitablement d’une crise géopolitique majeure – je parle ici de guerre mondiale – qui met en scène, d’un côté les pays sous contrôle de la finance anglo-saxonne hégémonique et, de l’autre côté, tous les pays qui entendent recouvrir leur indépendance économique, politique, culturelle et monétaire, Chine et Russie en tête.

7°) Où en est l’Union européenne de son projet de fédéralisation des nations ?

Les grands argentiers profitent des crises pour faire avancer leur agenda, lequel passe par une fédéralisation définitive des territoires compris dans l’UE : c’est ainsi qu’après avoir étendu ses pouvoirs sanitaires, ladite Union Européenne, peu à peu, étend et centralise ses prérogatives au niveaux énergétiques, militaires et policiers, numériques… Le tout dans la plus profonde violation des Traités européens qu’ils ont pourtant eux-mêmes écrits, à leur avantage exclusif…

N’oublions pas que le passeport numérique bio-codé (ADN disponible) est sur le métier européen, piloté par le français Thierry Breton en tant que représentant des tenanciers économiques qui enserrent et soumettent les peuples européens.

J’ajoute que parler de « fédéralisation des nations » n’a pas de sens. On ne peut fédéraliser que des entités politiques qui ne sont pas des nations mais des territoires plus ou moins indépendants.

Fédéraliser une nation signifie la faire disparaître, l’éclater jusqu’à disparition. La fédéralisation des nations passe, de façon mécanique, par le préambule de leur éclatement ; situation précisément vécue par la France depuis la vaste entreprise de « régionalisation » initiée par Mitterrand. Vous voyez que ce mouvement stratégique de disparition de l’État français a des origines lointaines… Il ne s’agit pas, et il ne s’est jamais agi, d’une régionalisation à la française mais d’une régionalisation à visée européenne, destructrice de la nation française.

8°) Dans quelle mesure le conflit à l’Est serait-il susceptible de se transformer en guerre mondiale ?

Dans toutes les mesures possibles. En particulier dans celle où l’hégémon anglo-saxon se trouve contesté par des puissances montantes.

On retrouve aujourd’hui le même schéma d’escalade que celui ayant abouti à la 1ère guerre mondiale. Alors qu’à l’époque l’empire britannique était contesté et mis en danger par la puissance germanique susceptible de s’allier à la Russie, c’est aujourd’hui l’empire américain qui est contesté par la puissance chinoise montante alliée à la Russie.

Mais il s’ajoute aujourd’hui un paramètre nouveau par rapport à la 1ère Guerre Mondiale : la dissociation, au sein des élites anglo-saxonnes dominantes, entre :

  • Les intérêts financiers reliés à la City qui contrôlent tous les paradis fiscaux de la planète (représenté aux USA par le clan Biden) et ;
  • Les intérêts américains stricto-sensu, ceux qui sont géographiquement centrés sur la domination mondiale au profit des intérêts délimités par le territoire américain (Trump).

Cette guerre, intestine à l’hégémon, s’est manifestée par la contestation du dollar en tant que monnaie mondiale par les élites rattachées à la City et au Delaware (plus grand paradis fiscal au monde). Elle a notamment vu la disparition de la banque Lehman Brothers, victime de la vindicte de la J-P Morgan. Elle a également généré la résiliation-démission, inouïe et indédite dans l’histoire de l’Église, d’un pape au profit d’un autre, plus centré autour des intérêts financiers apatrides.

Nous assisterons bientôt, le 8 novembre prochain, à un dénouement partiel de cette guerre avec l’arrivée des mid-terms américaine ; lesquels risquent fort d’entraîner, à terme, la dislocation des USA tels que nous les connaissons, dans un genre de guerre de sécession à rebours.

9°) Vous dites qu’après la volonté atlantiste d’en finir avec la Russie, ça sera le tour de la Chine. Les Américains ont-ils les moyens de soumettre Pékin à leur volonté de domination ? Comment jugez-vous l’opposition du régime chinois à l’hégémonie finissante des Etats-Unis ? Les Etats-Unis sont-ils voués au déclassement ? La Chine a-t-elle intérêt à cette guerre avec l’Amérique alors qu’elle a besoin du marché américain pour ses exportations ?

La Chine est le véritable ennemi des USA en tant qu’empire américain. Elle a, en revanche, longtemps été considérée, peut-être à tort, comme une alliée fidèle par la haute finance apatride, dont le QG est à la City.

Malheureusement pour l’hégémon financier anglo-saxon et heureusement pour les populations du monde, la Chine est aujourd’hui, après de nombreuses années d’assainissement de ses élites compradores par Xi Jinping, en mesure de s’opposer à toute domination externe.

Les Chinois ne veulent plus ni de la domination de la City, ni de celle de l’empire américain. Ils ont acquis, et sont encore en cours d’acquisition, d’une autonomie technologique (armement et espace, cybernétique, numérisation, intelligence artificielle…) qui, avec l’appui des circuits énergétiques russes, leur permettra largement de se passer dans un proche avenir du renfort technologique de l’Ouest.

Ils travaillent par ailleurs à développer, tant d’un point de vue économique que d’un point de vue sociologique, leur propre pays ; ce qui passe par l’aide au développement de tous les pays situés sur les traditionnelles routes de la soie.

C’est ainsi qu’opérant un grand mouvement stratégique historique, la Chine a décidé de lancer les « nouvelles routes de la soie », qui leur permettra d’étendre leur zone commerciale naturelle, de s’affranchir de la domination des transits maritimes par les puissances de l’ouest et, in fine, de se passer de la con-sommation de l’ouest du monde. Inutile de préciser que ce mouvement stratégique de l’État chinois a été perçu par l’hégémon financier anglo-saxon comme une véritable déclaration de guerre !

Quant au papier vert, il est loisible d’imaginer que la Chine est prête à sacrifier ses avoirs en dollar pour reconquérir sa liberté et sa puissance politique.

La Russie, longtemps ennemie des seuls britanniques, pourrait également devenir l’ennemie des intérêts américains stricto sensu en raison du virage économique et politique que la démence occidentale l’a poussé à entreprendre au profit du grand Est, c’est-à-dire de l’Asie en générale et de la Chine en particulier.

Il résulte de cette analyse que non seulement l’empire américain mais aussi toute la zone d’influence occidentale soumise à la puissance financière des banquiers globalistes, est irrémédiablement compromise, promise au déclassement, voire à l’anéantissement, dans un futur proche.

Rappelons au passage que l’armée américaine et l’OTAN (laquelle est dirigée par l’armée américaine) sont les deux jambes de l’hégémonie impériale. Ces deux organisations militaires assurent la pérennité de la puissance financière de l’ouest. Ce qui signifie que la contestation de l’hégémonie monétaire et économique débouchera de façon automatique, sans aucune marge d’erreur, sur une guerre globale d’ordre militaire, la troisième guerre mondiale.

Toutefois, la scission au sein des élites financières impacte également les structures officielles de l’OTAN et de l’armée américaine puisque la stratégie militaire suivie par l’armée américaine et par l’OTAN dépend de l’orientation du Président américain, globaliste ou américaniste.

Mais, ici encore, il faut préciser que les structures secrètes et non officielles (utilisation de mercenaires…) de ces deux entités ont été et restent probablement sous le contrôle des banquiers globalistes siégeant à la City.

Ces subtilités rendent, quel que soit l’orientation du pouvoir politique américain, le jeu géopolitique partiellement imprévisible, et par voie de conséquence, la situation mondiale extraordinairement dangereuse.

Il faut aussi considérer qu’il existe, dans tous les grands pays (Chine, Russie, Inde, Iran…), des joutes et désaccords entre partisans de l’indépendance nationale et partisans du développement du gouvernement mondial lancé par les élites financières dont le Quartier Général se situe à la City of London.

Ainsi l’issue finale de cette guerre qui comprend, d’un côté la volonté de domination financière anglo-saxonne globale et, de l’autre côté l’émancipation des Nations, dépendra, en grande partie, des clans qui prendront le pouvoir interne dans chacun des grands pays : USA, Chine, Russie en tête, mais aussi Turquie, Iran, Brésil, Argentine…

Rappelons que la tendance de fond, devenue réalité politique, est à la prise de contrôle patriotique dans ces pays, en premier lieu en Chine mais aussi en Russie. Ce phénomène explique les multiples tentatives de l’hégémon global pour semer le désordre et créer des changements de régimes dans tous les pays tentés par l’émancipation menée par le tandem Chine-Russie.

10°) Les médias français jugent la Russie aujourd’hui isolée. Qu’en pensez-vous ? La Banque des Règlements Internationaux (BRI) a-t-elle rompu ses liens avec la Russie ?

L’assertion consistant à prétendre que la Russie est isolée est tout simplement grotesque, à la mesure précise de ce que sont devenus les médias en occidents : de purs organes de propagandes au profit de l’hégémon financier dont le bras armé se trouve être, lato sensu (mercenaires y compris), l’armée américaine et l’OTAN.

Avec la réserve, indiquée plus haut selon laquelle il existe, au sein de chacun des grands pays, des partisans du globalisme, il suffit de savoir compter les pays et les populations pour comprendre l’ineptie d’une telle assertion.

La Chine et la Russie étant actuellement dirigés par des partisans de la souveraineté nationale, il faut considérer :

Ainsi, ce n’est plus seulement en terme quantitatif de territoire et de population mais aussi désormais en termes de poids économique et financier que les pays contestant la domination anglo-saxonne doivent être appréciés.

Rappelons que « la Chine est désormais, et de loin, le premier exportateur mondial de marchandises. En valeur, cela représente 2600 milliards de dollars pour l’empire du Milieu, contre 1400 milliards de dollars pour les États-Unis. »(([4] Cf. https://www.lejdd.fr/International/la-chine-est-elle-devenue-la-premiere-puissance-economique-mondiale-4108118#:~:text=La%20Chine%20est%20donc%20d%C3%A9sormais,dollars%20pour%20les%20%C3%89tats%2DUnis)).

Dans cette lutte pour l’émancipation de la Chine et de la Russie du carcan créé par l’hégémon financier, l’UE ne joue qu’un rôle de figurant, de pion amené à être sacrifié militairement après l’avoir été économiquement. Il est tout à fait inutile de mentionner l’UE qui, soumise à la domination globale anglo-saxonne, est un acteur secondaire, déjà sacrifié, en termes de compétitivité économique : aucun État membre de l’UE ne peut, par sa fonction même d’État membre, échapper à cette règle d’airain ; l’application de la dure loi de causalité fait que « soumission » et « sacrifice » vont de pair.

Si, de jure, la Banque des Règlements Internationaux comprend toujours la Russie comme membre officiel(([5] Cf. https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/la-russie-peut-toujours-compter-sur-la-banque-des-reglements-internationaux/article-normal-1531229.html?cookie_check=1665507848#:~:text=La%20Banque%20des%20r%C3%A8glements%20internationaux%20(BRI)%20compte%2063%20membres%2C,fait%20%C3%A9galement%20partie%20des%20membres)), de facto, les liens sont rompus en raison des sanctions infligées par l’occident à la Russie et, en particulier, par la rupture des toute les relations interbancaires avec des établissements russes depuis que Swift a généralement désactivé les banques Russes(([6] Cf. https://www.lemonde.fr/blog/binaire/2022/03/11/pourquoi-couper-la-russie-de-swift/)).

11°) Pourquoi faites-vous de la réforme de l’entreprise un combat d’avant-garde quant à la sauvegarde des peuples ?

Tout simplement parce que les tenanciers du système économique, ceux qui l’ont instauré et répandu comme la peste au niveau mondial, ont pris le contrôle du pouvoir politique – qui n’en est plus un – dans tous les pays occidentaux mais aussi, bien au-delà, dans tous les pays ayant adopté le parlementarisme représentatif et une banque centrale.

Ainsi, il faut déconstruire le radeau de la méduse économique fondé sur l’anonymat et l’irresponsabilité pour avoir une chance de retrouver un réel champ d’action politique disponible aux populations.

12°) Quel modèle politique prônez-vous pour la France et quels seraient les moyens pour y parvenir ?

J’invite toutes les personnes à se préparer à un avenir qui ne ressemblera en rien à ce qu’elles ont déjà connu. Il va falloir faire montre de souplesse et d’adaptabilité, « entreprendre comme si nous étions immortels, et vivre au jour le jour comme si nous allions mourir demain »…

En un mot, j’invite tous les auditeurs à faire face à la réalité de l’effondrement imminent de tout ce en quoi ils ont cru, et à rejoindre le combat de Révoludroit pour préparer un avenir nouveau en réinventant la politique et les institutions.

Comprendre en profondeur les mécanismes de notre asservissement actuel m’a permis d’élaborer les solutions historiques nous permettant d’en sortir. J’ai regroupé ces solutions dans un concept appelé Révoludroit, exposé dans le site internet du même nom(([7] Cf. https://revoludroit.fr/)).

Encore une fois, il ne s’agit pas de réécrire toute l’histoire humaine et repartant de zéro, supprimant au passage tout lien avec notre passé et notre histoire. Car une telle démarche relèverait purement et simplement des mécanismes de domination actuelle, véritable système totalitaire qui appelle à l’avènement d’un homme et d’un État nouveau.

Il s’agit tout au contraire, de tirer des leçons de l’histoire et de faire la synthèse bénéfique de nos expériences politiques :

  • Il s’agit de redonner aux gens un pouvoir politique effectif qui s’applique dans la réalité de leur quotidien => ce qui se traduit dans Révoludroit, par l’instauration de Groupements d’Intérêts ;
  • Il s’agit de réinitialiser le concept de hiérarchie de normes et donc d’État de droit en redécouvrant les grands principes du droit naturel, qui ont été élaborés en Europe tout au long du Moyen-Âge par les grands penseurs de l’Église, en particulier au sein du clergé régulier ;
  • Il s’agit de réinstaurer le concept de droit commun, qui est civil ou n’est pas, dans le respect des normes du droit naturel ; tous les droits d’exception doivent disparaître ;
  • Il s’agit de rendre au pouvoir la responsabilité qui l’accompagne de façon naturelle ; comme de rendre, par principe, à chaque droit le devoir qui va avec ;
  • Il s’agit de rendre à la monnaie son sens naturel initial, perverti par la domination, de type mafieux, des banquiers coalisés au niveau mondial.

Ces quelques principes fondamentaux doivent évidemment être mis en œuvre dans la régulation des relations économiques, ce qui impose une réforme de l’entreprise, mais aussi dans la redéfinition des relations politiques ; la Réforme de l’État s’imposant au même titre que la réforme de l’entreprise.

13°) Croyez-vous à la victoire des nations et des patriotes ou à celle du nouvel ordre mondial et d’un gouvernement mondial ?

Je crois définitivement à la victoire du plus fort et du plus déterminé ; ce dernier élément restant à identifier.

Rien n’est encore écrit :

  • Si les peuples acceptent de se relever et de combattre leur véritable ennemi, le Gouvernement Mondial n’aura aucune chance d’arriver à son terme.
  • Si, en revanche, les populations abruties de propagandes massives, se retournent contre elles-mêmes, en se répandant en guerre civile par exemple, au lieu de combattre leur adversaire, le Gouvernement Mondial arrivera de façon certaine, et probablement plus tôt que nous ne le pensons…




L’ordre mondial américain est-il en déclin ?

[Source : breizh-info.com]

Par Uriel Araujo

Le guide suprême de l’Iran, Ali Khamenei, a déclaré que les puissances occidentales dirigées par les États-Unis perdent aujourd’hui leur « domination politique, scientifique » et « économique », et que celle-ci est progressivement « transférée » en Asie. Il n’est pas une voix isolée : le 5 novembre, avant les élections de mi-mandat, Trump a décrit son pays comme étant « en déclin ». Biden lui-même a parlé d’arrêter « la destruction » du pays. Toute rhétorique mise à part, cela exprime des préoccupations réelles qui hantent les élites politiques américaines.

Le rapport de 578 pages de la Heritage Foundation intitulé « 2023 Index of U.S. Military Strength » (indice de la force militaire des États-Unis en 2023) a révélé, fait sans précédent, que la puissance militaire de Washington est désormais « faible », alors qu’elle était « marginale » dans l’indice de l’année dernière. Il conclut que, sur le plan militaire, Washington « risque fort de ne pas être en mesure de répondre aux exigences d’un seul conflit régional majeur tout en s’occupant de diverses activités de présence et d’engagement ».

Compte tenu de la manière dont Washington se trouve aujourd’hui surchargé et débordé, sans parler de la crise en Irak, de la défaite afghane et de l’échec des sanctions dirigées par les États-Unis contre la Russie, il serait difficile de nier que le pays est en déclin en tant que superpuissance et pays prétendant à une hégémonie mondiale.

En outre, l’autorité morale américaine repose en grande partie sur les références démocratiques dont elle s’est targuée, en tant que championne des libertés. Plus que toute autre nation occidentale, c’est l’image qu’elle tente de projeter au monde. Mais son système politique est également en déclin.

Les politologues Steven Levitsky et Lucan Way ont écrit en janvier que le pays devait s’attendre à une « période d’instabilité prolongée du régime, marquée par des crises constitutionnelles répétées, une violence politique accrue et, éventuellement, des périodes de régime autoritaire ».

La politologue Jenna Bednar et Mariano-Florentino Cuéllar, président de la Dotation Carnegie pour la paix internationale, ont décrit les États-Unis comme une « superpuissance fracturée ». L’autorité américaine « sur la scène mondiale », écrivent-ils, est souvent associée à un système fédéral dans lequel Washington « est dominant ». Aujourd’hui, cependant, les États américains peuvent contrôler « les principaux leviers de la politique étrangère », en particulier en période de « blocage partisan à Washington ». Dans ce scénario, ils décrivent le pays comme « un archipel de juridictions puissantes et concurrentes, avec certains liens communs, ainsi qu’un ensemble d’intérêts et de valeurs divergents ».

Il existe souvent une interaction complexe entre la politique intérieure et la politique étrangère, et nous avons vu récemment comment les problèmes intérieurs, tant aux États-Unis que dans les pays européens, ont provoqué des fissures au sein de la coalition transatlantique de soutien à l’Ukraine.

Outre les instabilités internes, certains analystes mettent l’accent sur le soft power unique des États-Unis, en termes de structures symboliques et idéologiques du pouvoir. Après tout, c’est de cela que sont faits les rêves. Le « rêve américain » peut-il durer ? G. John Ikenberry, professeur à l’université de Princeton, semble le penser. Dans un article paru dans Foreign Affairs, il affirme que, bien que de nombreux analystes le prétendent, l’ordre dirigé par les États-Unis n’est pas en déclin. Selon lui, bien que les États-Unis « aient parfois ressemblé à un empire à l’ancienne », leur puissance s’appuie « non seulement sur la force brute, mais aussi sur des idées, des institutions et des valeurs qui s’inscrivent de manière complexe dans le tissu de la modernité. »

Ikenberry semble penser que l’hégémonie américaine se situe dans la superstructure mondiale. Mais même dans ce domaine, il existe des fissures. Le discours américain sur les droits de l’homme, par exemple, est en déclin, car son hypocrisie est de plus en plus dévoilée.

En septembre 2021, un article de Bloomberg rédigé par Tylwer Cowen, professeur d’économie à l’université George Mason, affirmait que le « wokisme » était la grande exportation culturelle de Washington. Ironiquement, en février, le même auteur, écrivant à nouveau pour Bloomberg, a concédé que, bien que toujours influent, « le wokisme a atteint son apogée ». Il est de plus en plus « déconnecté du courant dominant de l’Amérique », affirme-t-il. Il l’est encore plus avec les masses dans le monde entier et est également devenu une source majeure de sentiment antiaméricain.

Il existe également un autre contrepoint à la thèse d’Ikenberry : les fondements de la modernité résident en fait dans l’individualisme européen. Les racines de celui-ci peuvent être attribuées à un certain nombre de facteurs — des doctrines chrétiennes à la Renaissance italienne ou aux Lumières écossaises. Quoi qu’il en soit, il n’y a pas une fatalité dans l’Histoire qui fasse de la nation américaine l’aboutissement nécessaire et inévitable de ce grand projet occidental et son moment unipolaire doit être considéré comme la période de transition très exceptionnelle qu’il a toujours été de 1991 à aujourd’hui — avec ses racines dans l’après-guerre et la période bipolaire également momentanée de la guerre froide.

Le fait est qu’un système mondial moderne pourrait très bien se débarrasser de la superpuissance atlantique, qui pourrait alors passer le flambeau à un nouvel ordre ou plutôt à un bloc plus multilatéral. L’exception américaine n’est qu’une expression locale d’une exception occidentale plus large, qui a été récemment illustrée par les remarques brutales du chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borell, selon lesquelles l’Europe est un « jardin » — et le reste du monde une « jungle ».

Aujourd’hui, les États-Unis restent l’hégémonie mondiale et le principal promoteur des politiques d’occidentalisation du monde, comme vecteur de leur soft power. Mais derrière cela se cache un choc des civilisations, selon les mots de Huntington. Ainsi, « l’attrait de ses idées » est une source d’influence des États-Unis, comme le dit Ikenberry, mais aussi sa faiblesse.

En résumé, à l’approche du nouveau siècle asiatique et de la multipolarité, l’hégémonie américaine et occidentale est de plus en plus en déclin, y compris dans la sphère idéologique.

Uriel Araujo

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Message pour les covidistes, climato-apocalistes et autres adorateurs de Macron

Soyez égoïstes, rendez-vous votre liberté d’expression !

Par Alain Tortosa

1

Vous les terrorisés du Covid, de Poutine ou du changement climatique êtes de toute évidence terrorisés par nous les complotistes, climato-sceptiques, pro Trump ou pro-Poutine.

Si il y a bien un truc dont je ne doute pas, c’est de vos certitudes.

Vous êtes dans la Vérité dans tellement de domaines !

  • Le Covid est ou était largement plus mortel que les infections hivernales habituelles.
  • Il n’y avait pas et il n’y a toujours pas de traitements.
  • Les confinements sont efficaces.
  • Les masques protègent et sont inoffensifs y compris pour les enfants.
  • Il existe un vaccin efficace inoffensif.
  • Il y a un réchauffement climatique dramatique causé par l’homme.
  • Le Coupable (va savoir pourquoi) est le CO2.
  • L’avenir n’est qu’aux énergies (que vous appelez) renouvelables comme l’éolien ou le photovoltaïque.
  • Il faut mettre définitivement fin au pétrole et utiliser des voitures électriques, pardon, des vélos électriques.
  • Il est possible de remplacer le parc automobile par des électriques sans refaire tout le réseau de distribution ni construire des dizaines de centrales nucléaires.
  • Poutine est le Méchant alors que l’acteur Zelensky, Biden, l’Otan ou Van Der machine sont les Gentils.
  • Les sanctions contre les russes sont efficaces et Poutine est foutu.
  • Le prix à payer pour sauver la démocratie est une inflation délirante ou se chauffer à 19°c
  • Etc.
  • Mais surtout :

Vous savez qu’il n’y a pas d’alternatives aux solutions proposées imposées !

Vous avez la chance de ne pas être comme moi, vous ne voyez que Vérité et bon sens dans les domaines cités précédemment.

Hélas, il existe des fous, des mauvais Français (comme moi) qui pensent (qui croient « penser ») exactement le contraire.

J’imagine, l’ayant vécu, que vous êtes totalement désorientés par notre bêtise, notre égoïsme et bien entendu notre extrémisme et antisémitisme2.

Vous pourriez vous en foutre, nous parquer comme lors de la mise en œuvre du passe vaccinal, mais vous savez parce que vous ne doutez pas que :

Nous sommes DANGEREUX pour votre santé, votre sécurité, et même votre survie concernant le réchauffement climatique !

J’ai regardé hier le clip de Marjorie Greene3, candidate républicaine aux USA, une vision apocalyptique pour vous.

Je ne prétends pas être totalement en accord avec elle, mais le seul fait que vous soyez terrorisés et haineux ne peut que la rendre sympathique à mes yeux.

Elle est pour :

  • La liberté de posséder une arme.
  • Contre les mandats de masque ou de vaccin.
  • Contre les mesures pour lutter contre le réchauffement climatique.
  • Contre l’aide à l’Ukraine.

Je pourrais aussi vous parler de Kari Lake :

  • Contre le vote électronique.
  • Pour obliger les journalistes à redevenir journalistes.
  • Et contre toutes ces mesures de bon sens, à vos yeux, et dictatoriales, aux miens.

Rien qu’en lisant ces lignes vous ne pouvez que paniquer.

Et c’est bien ce qui arrive dans le camp démocrate qui fait tout pour que Kari Lake ne soit pas élue en Arizona.

Il n’y a rien d’anormal que le dépouillement ne soit par encore terminé plusieurs jours après les votes alors qu’il a fallu moins de 24 heures en Floride, qui est largement plus peuplée…

Pour ce qui est de Marjorie, c’est raté, elle vient d’être réélue à la chambre des représentants pour un deuxième mandat !

Mais je m’égare mes amis, terme que j’use à escient, car vous ne me voyez certainement pas comme tel.

Je, nous, sommes des dangers.

Vous nous le prouvez depuis des années, mais c’est tellement plus vrai depuis la crise Covid.

Les complotistes sont passés du stade d’illuminés au stade de criminels.

Pour vous le terme « criminel » n’est pas une façon de parler mais une réalité factuelle.

À se demander comment vous pouvez être encore vivants avec des tels débiles autour de vous.

Nous avons essayé de vous tuer, telle est votre vérité (et nous essayons encore toujours selon la même vérité) :

  • En ne mettant jamais de masque !
  • En continuant à voir des amis, les serrer dans nos bras, les embrasser en pleine épidémie.
  • En participant à des manifestations monstres dont vous n’avez pas entendu parler, les médias préférant vous protéger en les cachant sous silence ou en minimisant l’horreur.
  • En ne faisant pas de tests PCR, en ne nous isolant pas et en continuant à vivre, même malades.
  • En prenant les médicaments interdits.
  • En refusant de nous injecter.
  • Etc.

Malgré vos doubles masques qui vous protègent, malgré vos distanciations qui vous protègent, vos passes qui vous protègent, vos cinq injections efficaces qui vous protègent (du premier vaccin au monde qu’il faut refaire tous les 3 mois).

Malgré tout ceci, nous aurions pu réussir à vous tuer et vous n’êtes pas encore totalement sortis d’affaire !

Sans compter Poutine.

Si les décisions étaient prises par référendum il est probable qu’il n’y eu plus la moindre sanction contre lui et que l’acteur ukrainien mis en place par les USA ne reçoive plus un centime de notre part…

Et je ne vous parle pas de la fin du monde climatique :

Alors même que les émissions de CO2 de la France ne représentent que 0,9% des émissions mondiales4.

Alors même que vous faites tout pour qu’elles augmentent en voulant fermer les centrales nucléaires.

Vous risquez de mourir, ou nous allons peut être tuer vos enfants, du fait de notre irresponsabilité qui provoque et amplifie le changement climatique.

Je suis à moi seul un vrai cauchemar en roulant avec une voiture au pétrole de plus de 30 ans dont la consommation vous ferait vomir vos céréales bio équitables importées en avion du Chili !

Ne m’en tenez pas rigueur, je suis inconsciemment jaloux de votre voiture électrique neuve, de votre vélo électrique tout aussi neuf et de vos voyages tous les 6 mois en Martinique dont vous compensez le CO2 en achetant des arbres en Indonésie.

Mais il y a un point encore plus grave !

Vous savez que l’intelligence est rare et que la connerie est contagieuse.

Le monde étant juste par nature, qui pourrait en douter, il est légitime que vous ayez hérité de l’intelligence et mes amis ou moi-même de la bêtise.

Il n’y a donc qu’une solution pour survivre, intelligente comme il se doit :

Censurer au maximum la liberté de parole !

Pour ce faire vous excellez de plus en plus :

  • Contrôle des médias mainstream.
  • Censure à tout va sur les réseaux sociaux.
  • Fermeture de médias criminels comme RT.
  • Campagnes de dénigrement.
  • Mise au ban de la société avec interdiction d’exercer pour servir d’exemple.
  • Faire bien peur à ceux qui auraient l’idée de vouloir l’ouvrir (journalistes, médecins, avocats, politiciens, scientifiques et j’en passe).

Et le petit dernier qui est fort prometteur :

Faire de toute controverse une dérive sectaire qui (vous l’espérez) débouchera sur la psychiatrisation de la parole.

Ceci n’est que logique, car seul un fou pourrait raisonner (j’avais écrit « résonner » dans un premier temps) autrement que vous.

Erreur stratégique s’il en est !

Sur le papier votre méthode peut sembler parfaite, intelligence oblige, mais présente quelques failles majeures.

Le fait est que le contrôle de l’information et de sa diffusion a ses limites.

Plus les médias censurent, plus les réseaux sociaux font de même et plus il y a de solutions alternatives qui s’offrent aux déviants que nous sommes.

Et comme internet est un formidable outil de diffusion de votre vérité mais aussi de contrôle des populations, il va être difficile de le couper purement et simplement.

N’importe qui peut installer un VPN sur son téléphone ou son ordinateur en 5 minutes et regarder RT France si bon lui semble.

Empêcher les candidats complotistes de parvenir au pouvoir a aussi ses limites et même truquer les élections a ses limites.

Peut-être que les amis de Trump vont récupérer la Chambre et le Sénat malgré les efforts démesurés pour les empêcher et le rouleau compresseur médiatique.

Alors à moins de basculer dans une vraie dictature « officielle » et non masquée comme aujourd’hui, vous n’êtes pas à l’abri de mauvaises surprises en vous réveillant un beau matin.

Il n’est pas délirant de penser que les idiots que nous sommes parvenions à accéder au pouvoir.

Saleté de démocratie !

Que deviendriez-vous, vous les intelligents qui comprenez tout ?

Si d’aventure nous vous faisions subir ce que VOUS nous faites subir depuis des années.

Rappelez vous du message de cette candidate républicaine au poste de gouverneur Kari Lake5 qui a déclaré aux journalistes « je vais être votre pire cauchemar ! ».

Cela vous tente-t-il vraiment que nous vous fassions vivre la même censure que vous nous imposez ?

Êtes-vous réjouis à l’idée d’être privés de médias qui pourraient encore débiter vos « vérités » ?

Aimeriez-vous être diffamés, placardisés, privés de votre emploi ?

Si vous êtes bien les intelligents que vous prétendez être, ne voyez-vous pas qu’il serait raisonnable d’envisager la défaite avec peur d’un retour de bâton d’une ampleur comparable à celui que vous nous imposez jours après jours ?

Et bien, vous voulez que je vous dise ?

Je crains que vous ne confondiez narcissisme et intelligence !

Car si vous aviez cette intelligence que vous prétendez avoir, vous prendriez en compte ce facteur risque.

J’ai écrit il y a plusieurs mois un texte affirmant vous aviez tué la vaccination6 pour des dizaines d’années si ce n’est pour toujours.

Pensez-vous que l’on puisse qualifier « d’intelligent » le chantage que vous avez fait subir à chaque français et ce au regard de l’affirmation mensongère d’efficacité du produit ?

Méthode d’autant plus stupide si vous croyez aux vaccins classiques.

Ici encore vous pouvez demeurer dans le déni et dans l’orgueil en affirmant que j’écris n’importe quoi, ce qui serait logique étant donné mon appartenance à la race des crétins.

Mais regardez comment vos vaccins contre le Covid ne font plus recette alors même que vous continuez à essayer de les fourguer !

Je connais de nombreuses personnes qui regrettent leur injection et qui ne feront jamais de rappel !

Êtes-vous en capacité de trouver ne serait-ce qu’un seul individu qui a refusé de se faire injecter la substance expérimentale et qui aujourd’hui regretterait de ne pas l’avoir fait ?

Si vous êtes suffisamment malhonnête, vous pourrez me trouver un menteur, un corrompu ou un acteur prêt à l’affirmer face caméra mais une vraie personne qui était convaincue que c’était prendre un risque inutile ? Jamais !

Le fait est que le nombre de personnes qui gobent votre narratif ne fait que diminuer preuve en est que votre « Vérité » recule et que nos « Mensonges » se répandent !

Ah pas suffisamment à mon goût, je veux bien le concéder.

Mais que ce soit sur le Covid, Poutine ou le réchauffement climatique et demain l’attaque des zombies, vous avez fait le plein de celles et ceux prêt à gober votre Vérité.

Jours après jours vous perdez des troupes et nous en gagnons, c’est inexorable.

Alors je sais que vous ne le ferez pas parce que vous êtes intelligent et que je ne le suis pas…

Mais si vous voulez sauver VOTRE liberté de parole, si vous voulez échapper à la suppression de vos ordres (avocats, médecins, …), si vous voulez échapper au chômage ou la prison, je vous invite à mettre fin à la censure et nous autoriser à NOUS exprimer comme nous vous autoriserons demain à continuer à vous exprimer.

Rendez-nous les droits de l’homme maintenant et cessez de vouloir vous suicider !

Merci

Alain Tortosa7, limité intellectuellement mais borné.

11 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221111-liberez-la-liberte-expression-pour-vous.pdf





Comment lire le dernier résultat électoral US ?

Par Lucien SA Oulahbib

Comme à l’accoutumée ces temps-ci avec l’Ukraine, Covid-19 et le CO2, des analyses pronostiquent le pire alors qu’elles anticipent ce qui n’aura pas lieu pour mieux se présenter en pythies incontournables : ainsi « les » sondages préconisaient une « vague rouge » aux USA comme certaines simulations pronostiquaient des « vagues » virales et océaniques meurtrières, tandis que des propos de Biden annonçaient une attaque russe dès juillet 2021, alors que le régime de Kiev prévoyait, lui, une réelle offensive en mars 2022, poussé par l’axe anglo-saxon queer au sein de l’OTAN…

Certes, il est question aussi de noter que d’aucuns glosent sur le fait que les candidats plus « trumpistes » que d’autres auraient été sanctionnés, suite à leur position sur l’avortement et aussi leur médiocre campagne, ceci expliquant cela concernant l’absence de « vague » rouge. Disons seulement que pour la première question, sur l’avortement, cette question, cruciale, a été considérablement manipulée, en l’occurrence l’idée qu’il aurait été interdit par la Cour suprême, ce qui est totalement faux puisqu’elle laisse plutôt à chaque État la possibilité de légiférer là-dessus.

Pour autant est-ce que cela voudrait dire qu’il s’agirait pour ceux qui veulent reconsidérer ce droit de rétrograder voire mettre de côté sa critique pour raison électoraliste ?… D’autant qu’il s’agit moins de le supprimer que de lui redonner son caractère exceptionnel et de proposer en alternative des choix de prise en charge, des soutiens multiformes, en particulier pour les jeunes mamans qui veulent avorter pour des raisons financières, afin qu’elles puissent soit garder leur enfant soit le confier aux services d’adoption tant beaucoup de couples stériles aimeraient en bénéficier, mais sont « obligés » de se tourner vers le marché mondial du bébé, ou vers l’industrie de la PMA, avec toutes les dérives afférentes.

Il s’avère donc que si « revers » il y a, il est pour une part fantasmé, car la propagande anti-Trump et antirépublicaine est si forte que l’on se demande comment les « rouges » arrivent tout de même à être en passe de sinon dominer du moins freiner des « bleus » à la Chambre et au sénat de plus en plus radicalisés par ailleurs par l’équivalent Nupes ; tout en sachant que pas mal de Républicains (comme en France d’ailleurs) aveuglés par une propagande par ailleurs simpliste voient toujours dans « les » Russes « l’ennemi »… D’autre part, il faut toujours savoir patienter en politique, du moins si l’on veut réellement convaincre sur le long terme — un « on » qui s’adresse d’ailleurs aussi à ce qui se passe en France et en Europe qui vivent une nuit démographique qu’un appel inconsidéré à l’immigration ne résoudra pas, celle-ci ne pouvant être réduite à des ventres ou à des bras, elle a aussi un cerveau et peut l’utiliser pour s’approprier une terre réduite à un territoire « sans lieux dits » comme le prônait Derrida dans Parages et que les partisans de la dite « Libre pensée » appliquent à la lettre en se battant en milice d’avant-garde djihadisée pour évincer statues et symboles du sol français afin d’en faire un  sans tonalité.

Tout ce débat est à l’évidence également présent aux US. Et il n’est pas étonnant d’observer par ailleurs que cela soit en Floride qu’aura été démontrée de façon flagrante que l’appartenance originelle immigrée n’empêche pas, en soi, de se sentir américain, refusant le déconstructionnisme sous toutes ses formes, y compris hygiénistes (le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, ayant refusé le confinement et la ségrégation anti-injectés) alors que toute la propagande démocrate tendait à faire penser le contraire.

Idem en France lorsque l’on écoute Philippot et Gave expliquer que nombre d’ex-migrants viennent aussi les saluer et les encourager dans leur lutte multiforme contre la Secte au pouvoir…

Ce qui implique de ne pas négliger, si l’on veut réellement l’unité, de mettre aussi en avant ces quatre aspects fondamentaux : la question démographique, la question assimilatrice, la question sanitaire, enfin la question de la guerre, surtout lorsqu’elle devient civilisationnelle…




L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté, pas la Démocratie ou le Gouvernement International

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

(Source de l’image : iStock)

Traduction du texte original: The Antidote to Tyranny is Liberty, Not Democracy or International Government

Le langage politique manipule le débat politique. En se définissant comme « pro-vie », les anti-avortement opèrent une manipulation sémantique qui fige les partisans de l’avortement en « pro-mort ». En se proclamant « pro-choix », les partisans de l’avortement placent leurs opposants dans le camp des « anti-choix ». Qui veut être « pro-mort » ou « anti-choix » ? Telle est la nature de la politique. Les mots sont des armes : habilement maniés, ils façonnent nos esprits pour le combat.

Quand les dirigeants occidentaux parlent beaucoup de démocratie et oublient les droits individuels, quand ils vantent les vertus des institutions internationales et diabolisent le nationalisme comme xénophobe et dangereux, il faut se rendre à l’évidence : la souveraineté nationale et les droits naturels inviolables sont la cible d’attaques directes dans tout l’Occident.

Très fréquemment, les politiciens européens et américains opposent les nations « démocratiques » à celles qui sont « autoritaires » : les premières sont la bonté même tandis que les secondes menaceraient l’existence même de la planète. Pourtant, après plus de deux ans de masques et de vaccins obligatoires après des mois de limitation des déplacements en raison du COVID-19, toutes mesures imposées aux populations occidentales par un exécutif ou un appareil administratif unilatéral – sans recours au législatif ou à un référendum public – il est difficile d’affirmer que les nations dites démocratiques sont débarrassées de leurs impulsions autoritaires.

Lorsque les présidents et les premiers ministres invoquent « l’état d’urgence » pour élaborer et appliquer leurs propres lois, les citoyens ne doivent pas se montrer surpris de la réserve inépuisable d' »urgences » dont ces dirigeants disposent en vue d’autres actions unilatérales. En cas de doute, il suffit de se reporter à la répression musclée des « Convois de la Liberté » (Freedom Convoy) au Canada : le Premier ministre canadien Justin Trudeau a confisqué les comptes bancaires de tous les camionneurs qui manifestaient pacifiquement contre l’obligation vaccinale. Certains ont même été arrêtés sans égard pour le respect des procédures légales ou le droit à la liberté d’expression. L’« état d’urgence » proclamée par Trudeau a primé sur les droits personnels des citoyens canadiens.

La démocratie ne garantit pas qu’une société fonctionne de manière noble et juste. Dans une démocratie de cent citoyens qui fonctionne correctement, cinquante et un d’entre eux peuvent priver les quarante-neuf autres de leur droit de propriété, de leur liberté et même de leur vie. Si un membre de la minorité se retrouve esclave de l’État ou condamné à mort simplement parce que la majorité en a décidé ainsi, il ne chantera pas les louanges de la démocratie alors que son cou est serré dans un nœud coulant.

Les principes du fédéralisme (les pouvoirs du gouvernement souverain sont divisés entre une autorité centrale et ses parties constituantes locales) et de la séparation des pouvoirs (les fonctions judiciaires, législatives et exécutives du gouvernement sont réparties entre des branches distinctes et indépendantes) constituent des freins solides à la concentration de pouvoir et aux abus qui en découlent.

Cependant, dans les pays occidentaux, ce sont les droits naturels qui existent indépendamment et au-dessus de l’autorité constitutionnelle qui protègent le mieux contre l’injustice d’un gouvernement (démocratique ou non). Ces droits naturels – inviolables si l’on en croit la Déclaration d’Indépendance des États-Unis – protègent la liberté d’expression. Nul gouvernement ne peut censurer tel discours qui lui déplait. Si la propriété privée avait été considérée comme un droit inhérent à chaque individu, Trudeau n’aurait pu s’en prendre si facilement aux comptes bancaires des manifestants au nom d’une situation qu’il avait lui-même déclarée « urgente ». Quand les droits naturels individuels sont considérés comme des « cadeaux » du gouvernement, ils disparaissent rapidement chaque fois que ce gouvernement le juge opportun.

Il est de plus en plus courant de voir les droits individuels attaqués en raison de leur caractère « égoïste » ou parce que contraires au « bien commun ». Si les chefs de gouvernement convainquent les citoyens que les droits personnels n’existent pas, ou qu’ils ne devraient pas exister, alors des gouvernements autoritaires représentant diverses nuances de communisme ou de fascisme ne manqueront pas de toquer à la porte.

L’Etat de droit n’empêche pas la tyrannie quand ce qui est injuste a été adopté de manière démocratique. Si une minorité électorale est vulnérable aux caprices de la majorité, alors un gouvernement démocratique apparaîtra à cette minorité comme extrêmement autoritaire. Et si votre vie, votre liberté ou vos biens sont en jeu, vous pourriez très bien préférer le jugement d’un dictateur bienveillant aux exigences d’une foule vengeresse, mais « démocratique ».

Le contraire de la tyrannie n’est pas la démocratie, mais la liberté et les droits individuels. Comment s’étonner que les dirigeants occidentaux rendent hommage à la démocratie et très peu aux libertés individuelles ? La civilisation occidentale devrait se souvenir que de dures batailles ont été menées en faveur de la liberté d’expression, de la liberté de religion et du libre arbitre. Tout avancement de la liberté humaine devrait être célébré comme un triomphe de la raison et de la rationalité sur les systèmes de pouvoir féodaux et leurs contrôles autoritaires. Toute société « libre » se distingue des régimes autoritaires par une protection sans faille des droits de l’homme qu’elle considère comme inviolables et qui existent indépendamment de la loi statutaire. Pourtant, la liberté et les droits individuels sont rarement mentionnés. Les dirigeants politiques chérissent plutôt les « vertus » de la démocratie et rien d’autre. Ce tour de passe-passe linguistique prive les citoyens occidentaux de leur patrimoine le plus précieux.

La rhétorique vaudou utilisée par les dirigeants politiques occidentaux pour remplacer la « liberté individuelle » par de vagues notions de « démocratie », a fait émerger une sorcellerie similaire pour remplacer la souveraineté nationale par des formes internationales de gouvernement. L’Union européenne, les Nations Unies et l’Organisation mondiale de la santé sont des structures institutionnelles créées pour affaiblir le vote individuel des citoyens d’une nation en cédant des pouvoirs nationaux autrefois souverains à des non-citoyens.

N’est-il pas étrange que les dirigeants occidentaux vantent la démocratie contre l’autoritarisme au moment même où ils diminuent le pouvoir de leurs électeurs au profit d’institutions étrangères ? Les nations « démocratiques » ne devraient-elles pas décider de leur propre destin ? Les nations qui transfèrent leur autorité à l’UE, l’ONU ou l’OMS, peuvent-elles toujours affirmer qu’elles jouissent de gouvernements démocratiques ?

« Nationalisme » est devenu un mot désobligeant, comme si tout ce qui est fait dans l’intérêt d’une nation en particulier était intrinsèquement suspect. Les citoyens qui expriment leur patriotisme en s’affirmant fiers de leur culture et de leur histoire nationale sont aujourd’hui réprimandés comme des culs terreux ou les adhérents d’une secte. Les mouvements politiques qui défendent l’autodétermination nationale (comme la coalition MAGA du président Trump aux États-Unis et le Brexit au Royaume-Uni) sont tournés en dérision, considérés comme « fascistes » ou « néo-nazis ». Même au sortir d’élections démocratiques, les vainqueurs sont néanmoins qualifiés de  » menaces  » pour la démocratie.

Pourquoi des gouvernements internationaux plus grands et plus larges seraient-ils plus vertueux et moins corrompus que leurs homologues nationaux ? Lorsque la République romaine est devenue l’Empire romain, ses institutions internationales sont-elles devenues intrinsèquement plus fiables ? Lorsque le Saint Empire romain a uni une grande partie de l’Europe, ses empereurs ont-ils semblé moins autoritaires ? Et si le parti nazi d’Hitler avait réussi à conquérir toute l’Europe, son « Union européenne » aurait-elle été plus légitime que les gouvernements nationaux de Pologne, de Belgique ou de France ?

Il est aussi absurde de magnifier les institutions internationales au détriment des gouvernements nationaux, que de faire l’éloge de la démocratie sans tenir compte des libertés et des droits individuels. Il est plus facile de garder à l’œil un politicien local que d’exiger des comptes d’un fonctionnaire éloigné à Washington. DC, New York, Bruxelles ou Genève. Pourtant, les organismes internationaux jouissent aujourd’hui d’un immense respect, alors que les organismes nationaux sont traités avec mépris. C’est comme si la souveraineté nationale avait été démolie parce qu’on ne peut pas faire confiance aux votes des nations démocratiques pour servir les intérêts internationaux. Quand les dirigeants occidentaux reprennent les éléments de langage du Forum économique mondial, ils ne prennent pas leurs ordres de marche auprès de leurs électeurs. S’en remettre à des organisations non élues, non transparentes et non responsables semble une façon plutôt étrange de lutter contre l’autoritarisme.

Lorsque les populations nationales se voient refuser l’autodétermination et que les libertés individuelles sont considérées comme des privilèges et non comme des droits, la tyrannie n’est jamais loin. Des manipulations de langage ne changeront pas cette puissante vérité. Elles retarderont les règlements de compte politiques, mais ils n’en seront que plus explosifs le jour où ils auront lieu.

JB Shurk écrit sur la politique et la société.




Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Par Nicole Delépine (son site)
lundi 6 avril 2020

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [1][2][3][4]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore :

« Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

[1] Avis 106 de 2009 sur “Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[2] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[3] Contribution du 13 mars 2020 sur les Enjeux éthiques face à une pandémie 

[4] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

Décret Rivotril : compassion, euthanasie[1] ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Le traitement du Pr Raoult potentiellement efficace, serait dangereux pour ceux qui sont trop vieux pour bénéficier de soins actifs en cas de Covid ! Mais pas le Rivotril qui les endormira à jamais ! Sortez vos ainés des EHPAD et hôpitaux en urgence.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 :

« C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

Un nouveau procès de Nuremberg se profile

Les médecins français et soignants de 2020 sauront-ils mieux résister aux injonctions du pouvoir totalitaire qui se met en place que leurs confrères allemands des années 30, qui appliquèrent la loi hitlérienne visant à euthanasier les handicapés, les fous, etc. ?

Comment un soignant peut-il accepter de condamner à une mort rapide un patient avec lequel il converse avec empathie apparente, sous l’ordre de deux médecins différents joints par téléphone qui n’ont pas examiné le malade de chair, d’os et d’âme ?[2] C’est à ces extrêmes qu’on voudrait conduire médecins et infirmiers qui, à coup sûr, contraints dans le feu de l’action et la pression du groupe, accepteront pour certains, mais ne s’en remettront jamais à long terme… [3]

Nos aïeux en EHPAD semblent avoir été sournoisement condamnés à mort par une série convergente de circulaires gouvernementales

Une épidémie volontairement non contrôlée : pourvu que ça dure…

Pas de fermeture des frontières, pas de masques ni gels, ni respirateurs en nombre suffisant, pas d’ouvertures de lits ni embauche de personnel, plan blanc bloquant l’activité des cliniques privées depuis près de trois semaines, mais dont les lits restent vides !

« En même temps » une mise en scène théâtrale permet au président de jouer au chef de guerre salvateur (transfert en hélicoptère coûtant plusieurs centaines de milliers € alors que le transport d’un respirateur ne revient qu’à 300 €)… Le plus révélateur de la duplicité gouvernementale pour les Français naïfs et/ou bienveillants sont les refus réitérés des propositions d’entreprises pour fabriquer des masques, des respirateurs et d’empêcher les médecins de prescrire l’hydroxy chloroquine aux malades qui en ont besoin alors que ce médicament était en vente libre sans ordonnance jusqu’en janvier 2020 et le décret scélérat d’Agnès Buzyn. Les ARS, les Normes, les contrôles et l’exigence d’un essai randomisé, tout l’arsenal des bureaucrates a été utilisé pour retarder l’arrivée des moyens de lutte contre l’épidémie, comme durant la drôle de guerre où ils ont retardé la livraison des armes modernes qui ont tant manqué en 40 [4]

La peur au royaume de Machiavel et le confinement généralisé brutal

Au bout de trois mois de mensonges et de décisions inefficaces, l’excuse d’incompétence n’est plus crédible, ni celle de révision de stratégie. À Wuhan, les Chinois ont bâti un hôpital en 15 jours. En Angleterre, et en Espagne, des milliers de lits ont été montés en quelques jours. Quand l’Allemagne s’est sentie menacée, A. Merkel a immédiatement réquisitionné des hôtels pour les transformer en hôpitaux, et fait tourner les usines jour et nuit pour fabriquer des respirateurs…

En France, l’épidémie a été favorisée par les décisions gouvernementales inadaptées et incohérentes, telles l’incroyable histoire des masques. Port de masques déclaré inutile[5] pour les forces de l’ordre et la population ordinaire jusqu’au 3 avril 2020 où brutalement le directeur général de la santé demande que tout le monde en porte (« on réévalue la doctrine »), il fallait oser ! La peur créée et entretenue 24 h/24 par les médias[6], et en particulier leurs médecins préférés comme Karine Lacombe[7], Yazdan Yazdanpanah [8] ou Jean-François Timsit[9], est responsable d’une hystérie collective qui permet au gouvernement d’imposer un confinement généralisé inutile et inefficace sur le plan sanitaire[10] [11], mais qui a le mérite de museler toutes formes d’opposition et de disposer des pleins pouvoirs[12].

Le peuple crédule, quotidiennement lobotomisé par les émissions pseudo-débiles qui véhiculent la propagande gouvernementale ACCEPTE SANS BRONCHER. (Apparemment — l’eau qui bout ?). Les citoyens se croient protégés, alors qu’en même temps, on les laisse se contaminer (ou on favorise la diffusion du virus ?) lors de leurs courses dans les supermarchés en air conditionné (alors que les marchés de plein air sans risque sont fermés !) et dans le RER, pour ceux qui doivent travailler (haut lieu de contamination, les voyageurs serrés comme des sardines, non protégés). Comble de la perversité, soignants libéraux et policiers au contact de la population travaillent sans protection. Si on voulait que l’épidémie puisse prospérer, c’était la meilleure recette. Nos résultats sanitaires du 2 avril 2020 qui nous placent dans le trio des plus mauvais du monde[13] (Italie 12430 morts, Espagne 8189, France 3514 versus Allemagne 732 et Japon 57) le démontrent amplement.

 Ainsi, tandis que le Premier ministre ferme les cafés, restaurants, et la plupart des commerces en 4 h (quid des provisions des commerçants ?) le samedi 12 mars, le premier tour des élections a lieu le dimanche. Il annonce le lundi un confinement généralisé pour le mardi midi. Bloqués sur place, sidérés, désireux de donner à leur famille un peu d’espace en campagne, les récalcitrants qui le peuvent seront culpabilisés d’emblée. Mais lorsque quelques semaines plus tard, le président et sa ministre des armées exhiberont leurs joujoux pour transférer à prix d’or des patients Covid19 partout en France, personne ne les accusera de diffusion du virus et d’incohérence, alors que de nombreux lits de cliniques privées, équipées en matériel et personnel restent vacants tout près des hôpitaux saturés.

Confinement politique !

Victoire ! les Gilets jaunes sont bloqués ! Le 49 3 anti-retraites du 29 février n’a pas le temps d’entraîner de manifestations, CGT FO, etc. tous sont neutralisés et terrorisés comme tous, par les annonces mille fois répétées sur les ondes. Les médias oublient totalement la guerre des frontières en Grèce, l’ouverture au marché commun avec le Vietnam par l’UE (en même temps, décidément, qu’E. M. fait semblant de plaider pour la souveraineté nationale) et l’intégration de nouveaux pays dans l’OTAN. N’oublions pas, la Commission européenne planche sur un sujet éminemment urgent, la crêpe bretonne.

Les soignants en grève depuis un an, gazés et tabassés dans les manifestations multiples ne peuvent plus témoigner de la misère de l’hôpital. On les traite de héros chaque soir à 20 h en leur promettant des médailles et encore plus d’applaudissements, alors qu’ils ne voudraient que surblouses et embauches immédiates et que des voisins ne leur demandent pas de déménager. Mais l’ARS Grand Est, région martyrisée par le Covid19 et l’insuffisance de moyens confirme en ce début avril la suppression de 598 postes et de 174 lits. Incroyable !

Dos au mur, pourquoi changer une politique qui tue, surtout les riens (les autres sauf exception, ont accès aux respirateurs et surtout à la chloroquine, comme en témoigne Patrick Pelloux). Les avocats qui se battaient depuis plusieurs mois pour tenter de sauver la Justice et le droit sont également muselés, ainsi que d’autres professions libérales.

Ce confinement prétendument sanitaire est politique et pervers

Veut-on limiter la diffusion du virus ? Mais pourquoi alors laisse-t-on ouverts les transports bondés, de telle façon que les agents RATP sont particulièrement touchés. Par contre, une femme âgée seule au soleil sur la plage serait dangereuse ! Comme un surfeur, un pêcheur sur un bateau, un joggeur en forêt plutôt que tournant en rond dans une rue pavée ? Une mère qui sort sur autorisation spéciale son enfant autiste, qui reçoit une amende, car elle a osé emmener ses autres petits (auraient-ils dû rester seuls ? [14]).

D’innombrables exemples montrent que ce « confinement » est volontairement punitif, humiliant, et vise en réalité à nous conditionner à la soumission à la Stanley Milgram. [15]

Quelle merveille pour le gouvernement que ce vilain virus ? Arrêtons d’être dupes, bisounours, de nous contenter de dessins et de bougies pour honorer les victimes, sans dénoncer les complices du bourreau. Ne sous-estimons pas l’adversaire. L’incompétence affichée, digne des regrettés guignols de l’info dans le jeu de rôle de Sibeth, les décisions contradictoires d’un jour à l’autre avec leurs injonctions paradoxales permanentes constituent une stratégie perverse bien connue « la stratégie du choc ». [16]

État d’urgence voté en catimini en 48 H avec quelques députés présents

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ». Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.

PROCESSUS PROGRESSIF D’ÉLIMINATION DES AÎNÉS ET DES PLUS FRAGILES

À cet effet le gouvernement a édicté une série convergente de lois, circulaires et de décrets qui prévoient et organisent la disparition de nos aïeux hébergés en EHPAD ou même égarés aux urgences des hôpitaux[17]. Rappelons-les par ordre chronologique :

1°) CONFINEMENT IMPOSÉ À TOUS sauf dérogation le 16 mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.).

Immédiatement applicable, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient). Rien, un comportement de sauvages comme ceux qui, il n’y a pas si longtemps, faisaient une descente à 4 h du matin pour emmener un communiste, un résistant, un juif. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid19 a bon dos[18].

Ce décret instaure le confinement strict, y compris pour des personnes âgées dépendantes des soins physiques, mais aussi psychologiques, soi-disant pour les protéger du virus.

Cet isolement brutal les sépare de leurs familles et les rend ainsi plus vulnérables, les entraîne dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. 

Des drames multiples ont déjà été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse « on applique les ordres ; « on n’y peut rien ». Ça ne vous rappelle rien ? Vous êtes trop jeunes, peut-être[19]. De plus, on fait signer à ces personnes en état de faiblesse des « directives anticipées » permettant toute intervention, se croyant couvert juridiquement. Soyez prudents, chers collègues, la responsabilité personnelle juridique reste entière, et le parapluie des injonctions Véran sera transitoire, comme son ministère. Le temps de la justice, lui, est long, très long.

Mise au point réconfortante du Conseil national d’éthique en ce début avril 2020

Le Conseil national d’éthique[20] a parfaitement rappelé :

 « L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Et oui le fameux syndrome de glissement…

Et l’on découvre jour après jour un peu plus la perversité tant pour le futur défunt lui-même que pour ses proches de cette mesure qui interdit au mourant de voir sa famille pour ses derniers instants. Pourtant un mourant ne risque plus rien et sa famille peut se protéger par des masques ! Le confinement de nos parents n’est pas une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les met en prison en leur supprimant les parloirs !

Comble de la perversité des mesures de confinement (qui les a conçus et rédigés ?), les familles ont interdiction de voir le corps de leur défunt et pire encore, de l’enterrer en se soutenant les uns les autres au cimetière. Les premières contraventions de familles dans ces circonstances ont scandalisé les internautes et actuellement seules quatre personnes seraient autorisées. Insupportable détournement d’une mesure soi-disant sanitaire. Humiliation d’un peuple qui a osé résister depuis trop d’années au goût des gouvernants en place depuis 2012 (E. M. secrétaire général adjoint de l’Élysée sous Hollande, puis ministre de l’Économie puis président et O. Véran et J. Salomon conseillers de M Touraine ministre de la santé responsable de l’épouvantable Loi de Santé 2016). Revanche contre les Gilets Jaunes !

2°) Absence de fourniture de matériel barrières (masques, gants, blouses à usage unique), de tests aux soignants, policiers, conducteurs de métro, etc. facilite leur contamination et les transforme (à leur insu et à leur péril) en agents de diffusion du Covid19 parmi leurs pensionnaires lors des soins ou après des contrevenants et voyageurs. Non testés même s’ils présentent des signes très évocateurs, donc non confinés et contaminants.

Est-ce un hasard si les promesses de fournir des masques aux EHPAD n’ont presque jamais été tenues et ne le sont toujours pas ? Ce sont les bonnes volontés qui tentent de les aider. À quoi servent nos impôts ? Sans honte, Darmanin, ministre de l’Économie, et Hirsch, directeur de l’APHP font des quêtes, comme malheureusement Bern pour notre patrimoine aussi mal en point que notre système sanitaire.

Les mesures contre les personnes âgées se durcissent avec les consignes, la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé, est absent[21] de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse.

De la compassion pour les malades en grande détresse respiratoire ?

Certes, certains partisans de l’euthanasie, et les responsables de ce décret plaideront la compassion pour des malades en grand danger, en détresse respiratoire. Bien, mais pourquoi inclure parmi les “bénéficiaires éventuels de ce décret, les patients encore en bon état, mais exclus des soins hospitaliers et/ou de réanimation, sur simple décision de médecins au téléphone qui n’auront ni vu ni examiné le malade et le condamneront en raison de son âge et de ses antécédents médicaux. Sauf si c’est Michet Drucker comme le disent fort justement les twittos. Aux soignants de faire le sale boulot, injecter la seringue prête dans la chambre. Comme souvent diront-ils, et ne s’en remettront pas toujours.

Compassion, oui, mais pour les malades qui souffrent le martyre, pas pour ceux qui pourraient un jour, peut-être, souffrir ce martyre comme nous tous et qui actuellement perdent des chances de survie en leur refusant une chance avec le schéma de l’équipe Raoult.

Même les militants de l’euthanasie sont choqués

Mais comme le font remarquer de nombreux pro-euthanasie, celle-ci doit être la décision du patient et non de l’entourage soignant. L’état d’abus de faiblesse des personnes âgées, isolées, déprimées par l’absence d’environnement familial et amical, laisse largement douter d’un consentement véritablement éclairé lors des directives anticipées qu’on leur demande de remplir ces jours-ci à toute vitesse. Pourquoi ?

Mise en danger juridique des soignants et médecins. Valeur très relative des directives anticipées signées dans ces conditions de confinement

En tous cas, ces directives sans délai de réflexion réel, sans accompagnement véritable ne seraient que fausse protection des soignants en cas de plainte juridique des proches. Collègues, infirmiers, soyez prudents et protégez-vous aussi, ce décret qui semble pour certains juristes, illégal, car contraire à la loi Leonetti, pourrait bien être abrogé par les recours au Conseil d’État qui vont se multiplier.

3°) Refus d’admettre en réanimation les plus de 70-75 ans, quel que soit leur état physiologique, peut-être en partie pour camoufler l’insuffisance majeure de lits et de respirateurs qui résulte des politiques sanitaires désastreuses des dernières années. Argument douteux quand on connaît le nombre de lits vides en établissements privés dotés du nécessaire pour prise en charge de malades lourds et réservés par les ARS en fonction de leur bon vouloir. Directive d’inspiration bureaucratique plus que médicale, car les médecins ne raisonnent jamais en âge absolu, mais bien « physiologique » en fonction de plusieurs caractéristiques de la personne.

4°) Interdiction d’adresser en consulter et d’admettre à l’hôpital public les malades des EHPAD suspects de Covid19 ou des personnes à domicile âgées. Tentez votre chance pour vos proches (en les sortant préalablement pour leurs « derniers jours » chez vous) en consultant directement aux urgences des hôpitaux privés, pour ceux auxquels l’ARS n’a pas supprimé cette compétence. Et n’appelez ni SAMU ni pompiers auxquels l’état impose d’emmener le patient directement en public et seulement en public (même si vous êtes suivi depuis des années par un médecin ou chirurgien) dans un de ces hôpitaux privés. Si besoin, demandez une ambulance privée.

Tel est l’état du système de santé français complètement déséquilibré et entièrement sabordé par l’État via les ARS, les libéraux étant complètement sous la coupe de la technocratie. Il n’y a pas à proprement parler de système privé en France. [22] [23] [24]

5°) Décret du 26 mars empêchant la prescription de chloroquine dans ces établissements et interdiction aux médecins généralistes de ces établissements de les traiter par l’association Chloroquine-Azithromycine (sous prétexte de leur éviter des traitements dangereux !), alors que cette association est donnée depuis longtemps, sans complications notables aux femmes enceintes en zone d’endémie palustre pour prévenir paludisme et infections.

Quel risque chez des patients abandonnés que l’on estime condamnés ? La chloroquine, potentiellement efficace, serait-elle plus dangereuse pour eux que le Rivotril injectable à visée de sédation profonde définitive, puis mort ? De fait, les médecins résistants peuvent tout de même les mettre sous azithromycine en vente encore libre sur ordonnance (pour combien de temps) et/ou sous ciflox qui semble avoir les mêmes effets que l’azithromycine et peut-être pas en rupture de stock. Collègues, battez— vous, battons-nous ensemble à travers des pétitions bien reçues comme celle du Dr Éric Menat [25].

https://www.petition-chloroquine.fr/ signez, diffusez.

Merci pour les patients dont certains certes auraient guéri spontanément, mais les autres ? Ne pas vouloir traiter sous ce prétexte nous semble remettre en question toute la médecine « préventive » ou précoce, et singulièrement les vaccinations qui ne sont pas données à des malades, mais à des bien portants pour leur éviter une possible maladie, comme d’ailleurs la chloroquine est donnée pour éviter le paludisme…

6°) Ordre de maintenir les pensionnaires infectés dans l’établissement (afin qu’ils contaminent un maximum de leurs compagnons d’infortune ?).

Le 30 mars, devant le scandale difficile à étouffer, le ministre demande à isoler préventivement chaque patient dans sa chambre. Plus de visites, plus de bénévoles déjà depuis deux semaines et maintenant plus de contacts avec les autres pensionnaires, temps soignant très court.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

À peine besoin du Covid19 et/ou du Rivotril pour les achever. Cette prison de fin de vie pour personnes handicapées qui, souvent, ne peuvent se lever est une aberration majeure, une maltraitance monstrueuse. Qui a pu donner des consignes pareilles ? Quels médecins peuvent assumer cette mort à petit feu dans un lit d’une chambre fermée dont on ne peut sortir même pour les toilettes ?… Finalement quand on lit cet arrêté, on peut se demander si Édouard Philippe n’a pas voulu donner une « mort miséricordieuse » à la Hitler avec son Rivotril, pour les mettre rapidement dans un coma irréversible ?

7°) Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !).

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS.

Une internaute : « on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure ». Nous pourrions vous en transcrire des centaines.

Ce décret scélérat autorise la prescription de Rivotril [26] sous forme injectable dans ces établissements, aux malades infectés[27] ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contre-indiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair !

Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription hors AMM dans le cadre du covid-19 »”.

Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

8°) Fourniture du mode d’emploi complet du médicament létal :

« le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs »[28].

Un « protocole » imposé aux cliniciens désemparés devant tant de violation du serment d’Hippocrate

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid [29]. Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique[30]. Pour un malade souffrant d’une légère dyspnée :

ÉTAPE 1 Anticiper une aggravation éventuelle avec le soignant

  1. préparer le matériel —Oxygène prêt à l’emploi si possible (HAD, prestataires privés) — Disponibilité des médicaments (et des soignants en cas de prise en charge à domicile) —Matériel de protection des soignants 
  2. rédiger des prescriptions anticipées qui autorisent l’infirmière à débuter l’administration si aggravation.
  3. préparer les traitements médicamenteux nécessaires à la réalisation de la sédation, dans le poste de soin. En cas de nécessité, préparer les seringues à l’avance et les conserver dans la chambre du patient. Il faut alors étiqueter la seringue avec le nom du patient + le contenu de la seringue + la date et l’heure de préparation + le nom du préparateur.

DANS TOUS LES CAS : Se renseigner sur les organisations et ressources en soins palliatifs mises à disposition sur son territoire de santé :

Patient pour lequel il a été statué qu’une prise en charge en USI ou réanimation ne serait pas entreprise [31]

Patient présentant des facteurs de risque de forme sévère (cancer, pathologie chronique sous-jacente, insuffisance cardiaque ou rénale…)

REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE[32] (…)”

ÉTAPE 1 : ANTICIPER L’AGGRAVATION ÉVENTUELLE DE L’ÉTAT RESPIRATOIRE AVEC LE PATIENT

  1. ÉVALUER LES SYMPTÔMES : dyspnée, encombrement, angoisse, douleur.
  2. INFORMER LE PATIENT s’il est communiquant et de façon adaptée sur la possibilité du recours à une sédation en cas de détresse respiratoire asphyxique. Rechercher son consentement si possible et informer la personne de confiance ou les proches. 
  3. RECHERCHER D’ÉVENTUELLES DIRECTIVES ANTICIPÉES
  4. TRACER LES INFORMATIONS dans le dossier médical et noter la prescription anticipée dans l’observation médicale et dans les transmissions soignantes ».

Telles sont les consignes de la fiche médicale portant sur le premier stade, dont des patients « bien portants ». Les fiches suivantes portent sur les patients en détresse respiratoire avérée.

ÉTAPE 2 : Face à une détresse respiratoire, endormir rapidement le patient pour lui éviter une sensation d’étouffement

PRINCIPES DE TRAITEMENT [33]

  • REPÉRER LA DÉTRESSE RESPIRATOIRE ASPHYXIQUE : 

    • PATIENT COMMUNIQUANT : sensation d’étouffement avec angoisse massive/agitation et sensation de mort imminente
    • PATIENT NON COMMUNIQUANT : FR> 30/min, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d’expiration, faciès de peur.

  • REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE : (Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) [34]

Des consignes pour les soignants, outre le protocole technique que nous ne détaillerons pas ici, sont rédigées dans cette fiche[35].

Faire le tri du stock de malades, selon l’expression du Président

Comme l’a simplement résumé Corso di saluti[36] :

« s’il n’y a plus de place pour prendre les patients en détresse respiratoire, on demandera aux médecins de ville de “faire le tri” en amont, en administrant directement des traitements palliatifs à ces patients ».

Le plus choquant dans ces fiches détaillées pour les médecins et infirmiers est le détail des indications initiales alors que le patient respire normalement ET qu’on lui demande de fait d’accepter l’euthanasie en cas d’aggravation. Préventivement. Froidement.

Les fiches se poursuivent avec les protocoles techniques pour malades en détresse respiratoire graves qui ne sont plus admis en réanimation depuis quelques jours alors que des lits sont disponibles dans des cliniques privées qui ont signifié leur accord pour les accueillir.

ASSASSINAT AVEC PRÉMÉDICATION SUR INJONCTION DE L’ÉTAT

Il s’agit donc bien de la préparation de la mise à mort préméditée, programmée, de vieillard qui aurait le malheur d’être dans un EHPAD, à l’hôpital, ou même à domicile et qui aurait l’imprudence d’appeler chez lui pour n’importe laquelle pathologie pulmonaire un médecin complice de ce programme criminel.

Nous parlons de crime parce qu’il ne s’agit pas là d’un arrêt de traitement inutile (on ne les traite pas), ni de mettre fin à des souffrances (qui n’existent pas encore) puisque cet empoisonnement est anticipé. Et en cas de résistance imprévue du sujet au premier cocktail, la fiche conseille de doubler les doses et/ou de recourir aux autres drogues connues dans les euthanasies souhaitées ou subies depuis 20 ans.

Nous nous garderons de vous donner la recette de ce cocktail rappelé aux médecins de garde dans la fiche de la société de soins palliatifs et accompagnement.

9°) Ce même décret autorise l’extension des morgues dans ces établissements sans demande de permis de construction préalablepudiquement appelés « locaux destinés à l’entreposage » afin d’accroître la capacité des morgues existantes des établissements auxquels les ARS soi-disant incapables de fournir des masques de protection ont déjà fourni des housses mortuaires. Pourquoi tant de prévisions pour cadavres si comme LCI tente de le faire croire ce jour dimanche 5 avril, ce décret ne visait pas la disparition de nombreux vieillards, pas toujours si vieux… puisque bons à travailler selon le dernier projet de retraites.

10°) Réquisition d’entrepôts réfrigérés à Rungis pour entreposer les corps. Avec l’idée fameuse de rejoindre le plus gros marché alimentaire de France. Ils ont toujours des idées…

DES ANTÉCÉDENTS PEU GLORIEUX AU DÉCRET RIVOTRIL SIGNÉ PHILIPPE-VERAN

« N’est-ce pas l’exigence de la charité : délivre ceux que tu ne peux guérir ! » LA MORT MISÉRICORDIEUSE selon Hitler…

 Afin que chacun discerne clairement la société dans laquelle nous nous dirigeons à grands pas, si une réaction majeure à ce décret n’apparaît pas très rapidement, nous rappellerons quelques épisodes de l’ascension d’Hitler et de sa marche vers l’horreur à l’aide de quelques moments cruciaux (lire le développement de Wikipédia sur le sujet). Il s’agit ici de rappeler le génocide des malades par Hitler, en parallèle au génocide possible des vieux malades engagé par le décret #RIVOTRIL du 26 mars 2020 en France.

Le drame global de la Shoah ne sera pas détaillé ici, mais chacun doit bien penser que mettre le doigt dans l’engrenage est un risque réel…

Petit rappel :

« Euthanasie des enfants sous le Troisième Reich : meurtre d’enfants et d’adolescents handicapés organisé par le régime nazi, sous le Troisième Reich de 1939 à 1945.

Ce programme, initié et dirigé depuis la Chancellerie du Führer et sur ordre d’Hitler, précède chronologiquement celui de l’Aktion T4, et implique un grand nombre d’“établissements pédiatriques spécialisés” sur le territoire du Reich. Plus de 5 000 enfants ont été victimes de ce programme, et peu de ses responsables sont poursuivis pénalement après-guerre ». [37] [38]

Le mythe du soulagement de la souffrance des enfants, utilisé déjà par les nazis 

 « Les demandes de malades incurables ou de personnes sévèrement blessées, qui priaient d’être délivrées de souffrances trop dures à porter pour eux, arrivaient de plus en plus souvent, et ce environ six mois avant que la guerre n’éclate.

Ces demandes étaient particulièrement tragiques, car les médecins ne pouvaient les satisfaire en raison des lois existantes. Comme notre office était justement là, comme on nous le répétait souvent, pour traiter sur ordre d’Hitler les cas qui ne pouvaient être résolus légalement, le docteur Hefelmann et moi-même nous sommes sentis obligés de transmettre au docteur Brandt un certain nombre de ces cas, en le priant de solliciter d’Hitler ce qu’il convenait de faire. Le docteur Brandt répondit bientôt qu’il était possible d’accéder à de telles demandes, si l’on pouvait s’assurer que le médecin traitant du patient ainsi qu’une commission médicale, qui restait à créer, s’entendaient sur le caractère incurable de la souffrance »[39] 

Lecture difficile à supporter.

DÉROULEMENT DU PROGRAMME D’EUTHANASIE DES MALADES SOUS HITLER

« Euthanasie » des enfants de 1939 à 1945,

« L’euthanasie » des adultes de 1940 à 1945 :

« L’Aktion T4 » programme centralisé d’assassinat par le gaz, de janvier 1940 à août 1941,

« L’euthanasie » par les médicaments, ou par une sous-nutrition contrainte, pratiquée de façon plus décentralisée de septembre 1941 jusqu’en 1945,

« L’euthanasie » des invalides et des détenus, connue sous le nom « Aktion 14f »[40] d’avril 1941 à décembre 1944

L’Aktion Brandt prend place de juin 1943 à 1945[41]. Le nombre des victimes de ce programme de « guerre contre les malades » est estimé à 260 000 personnes[42].

« Aktion T4 [43] nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941 (70 000 à 80 000 victimes) ».

Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880

L’extermination ne tombe pas du ciel, elle est précédée par une mise en condition de la population et des politiques pour un eugénisme actif qui fleurit aux USA et en Europe dès les années 1880. Dès 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le Droit à la mort, plaide en faveur de « mises à mort médicales ». En Allemagne Alfred Ploetz, fondateur en 1905 de la Société pour l’hygiène de la race, estime qu’il faut arrêter les soins aux malades alcooliques, vénériens ou issus d’unions consanguines, car ils sont « contre-sélectifs », en leur permettant de se reproduire et de maintenir ainsi des tares héréditaires dans le corps social15 ; il conseille aux médecins de tuer les nouveau-nés chétifs et malformés ».

« En 1920, l’ouvrage Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens (L’autorisation de l’annihilation de la vie dénuée de valeur) de Karl Binding et Alfred Hoche propage en Allemagne les concepts de “semi-humains”, “esprits morts”, “avariés” et “existences superflues”. Parmi les raisons évoquées, et par la suite reprises par les nazis, figurait la nécessité d’éviter de dépenser un argent qui pourrait servir autrement à des fins “productives[44]. Dans cet ouvrage crucial selon Lifton19, les auteurs estiment que l’euthanasie forcée est une action compassionnelle et conforme à l’éthique médicale. 

Lors de la publication de l’ouvrage, l’écrasante majorité des médecins allemands rejette l’euthanasie, mais l’idée de mettre à mort des malades se propage dans l’opinion : en 1922, une revue de droit pénal publie un projet de loi sur la suppression des malades mentaux, et en 1925, une enquête menée auprès de théologiens fait apparaître que certains d’entre eux estiment inutile d’aider médicalement les enfants attardés ».

1933 :

« La Conférence internationale d’hygiène mentale, tenue à Paris, se déclare unanimement favorable à toutes mesures empêchant la naissance “des anormaux et des tarés”. En juin 1933, Hitler assiste à une séance du Congrès annuel de la Société internationale de biologie criminelle, tenue à Hambourg, où sont présentés les bons résultats des lois de stérilisation au Danemark. Cette séance convainc Hitler d’appliquer de telles lois, mais renforcées et contraignantes, en Allemagne (loi du 14 juillet 1933) ». [45]

Les antécédents de l’histoire actuelle en France

Comme en Allemagne lors de l’ascension d’Hitler, le décret d’E Phillipe ne tombe pas du ciel malheureusement. Nous écrivions déjà en 2013 [46] : « L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé. »

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined. (…)

Si on “aide“ quelqu’un à mourir, ce ne peut être qu’un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre. Il ne faut pas banaliser le fait de “tuer” dans notre société et achever un mourant est bien ‘tuer’. Si on passe la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont en jeu. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces ‘sous hommes’ déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, voir à l’extermination de catégories gênantes, bref ! au fascisme qui rode toujours” car ‘le ventre est toujours fécond d’où naît la bête immonde[47]’. »

Déjà trop d’euthanasies en France, la mort précipitée dans un cas sur deux ! Ce nombre important de fins de vie “accélérées” dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle.

Les gouvernements, les soignants, voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : “cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue” (et la leur ?). Ou bien “pourquoi réanimer cette enfant handicapée ?” (Faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ?”

N’est-ce pas cette dérive devenue banale qu’on voit se formaliser dans ce décret et cette fois-ci à grande échelle ?

Sur les causes de cette dérive mise sur le compte de la compassion, nous évoquions des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivant peut-être certains de ses promoteurs.

Les soins palliatifs sont encore trop coûteux. Les hôpitaux sont « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher.

Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaire, inavouable dans ses raisons réelles à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion apparente.
 

UNE NOTE D’ESPOIR

Parmi les journaux, l’Obs[48] et Corse matin se sont jusqu’ici saisi du problème. Les grands médias n’ont guère réagi ni informé sur les raisons réelles et les conséquences pratiques de ce décret. Les réseaux sociaux sont heureusement plus actifs et de nombreux médecins hurlent à la honte de ce viol du serment d’Hippocrate et quelques radios [49].

Ce 5 avril 2020, devant la stupeur et l’indignation suscitées par le décodage des finalités de ce décret, le gouvernement a mobilisé tous ses moyens de désinformation dont LCI vient de donner un bel exemple en prétendant que ce décret aurait « pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise. »

Ce qui confirme en fait exactement ce que nous dénonçons : ils sont victimes d’une décision de non-admission en réanimation (parce que la réanimation manque de lits obligeant les réanimateurs à faire un tri inhumain).

Cette pseudo mise au point essaie de cacher qu’il s’agit d’une euthanasie active et non pas d’une limitation des traitements actifs. En effet, l’interdiction d’usage d’emploi de la chloroquine dans les stades précoces par le gouvernement fait qu’il n’existe pas en France [50] de traitement actif du Covid19. Le Rivotril injectable n’est pas un traitement du Covid19, mais un puissant dépresseur respiratoire d’ailleurs officiellement contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires ce qui est exactement le cas des infections à Covid19 qui se compliquent. Il vise à la sédation profonde et définitive, et donc de décès.

Et le Dr Gavazzi prétend justifier l’euthanasie active (injection de Rivotril) par le risque de complication lors des soins de réanimation : « Aujourd’hui, on sait que la durée d’intubation pour les malades du Covid-19 est d’environ 21 jours. C’est une technique très invasive pour le patient, avec de nombreuses prises de sang et de nombreuses autres procédures de soins invasives potentiellement douloureuses. Cela peut entraîner d’importantes complications et des conséquences lourdes, explique encore le Dr Gavazzi. Oui, des personnes ne peuvent pas supporter ce protocole de soin », mais la mort par Rivotril n’est-il pas pire que des complications éventuelles ?

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [51][52][53][54]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : “Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

Relisez ces avis ; méditez-les ; et si vous le pouvez, sauvez vos êtres chers, en les sortant des établissements que le gouvernement transforme petit à petit en abattoirs, et en attendant que raison ne revienne sous la pression populaire.


[1] Source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS/WHO) Rapport 804 du comité d’experts

— Il est éthiquement justifiable de ne pas mettre en œuvre ou d’arrêter des mesures destinées à prolonger la vie qui ne sont pas en accord avec les désirs du malade, quand de telles mesures ne peuvent inverser l’évolution de la maladie, mais seulement prolonger l’agonie.

— Il est également justifiable, sur le plan éthique, pour des médecins, après consultation avec des membres de la famille, des tuteurs ou des mandataires préalablement désignés par un malade, de prendre de telles décisions au nom de patients inconscients ou incapables.

— Des médicaments à des doses requises pour supprimer la douleur et d’autres symptômes ne peuvent pas être refusés seulement parce qu’ils pourraient abréger la vie d’un malade.

— L’euthanasie (hâter la mort de façon active par des médicaments) ne doit pas être légalisée.

[2] Cf témoignage poignant sur twitter du 3 04 2020 @princedelamour, petite vidéo vue des milliers de fois.

[3] Nous avons vécu cela avec les enfants cancéreux de Garches, brutalement extirpés de leur milieu soignant aimant par la fermeture brutale, accompagnée de CRS (déjà en 2014), le personnel soignant contraint au silence sous peine de sanctions par le petit chef issu d’un ministère et reconverti à l’APHP. Les séquelles chez ces personnels furent lourdes, en termes de dégoût, désinvestissement et abandon de la carrière. Cf Neuf petits lits sur le trottoir, N Delepine éditions Fauves 2014, récit d’un drame collectif abominable.

[4] Comme les chasseurs Dewoitine 520 qui n’avaient pas été munis de leurs mitrailleuses en mai 40 ! Ce chasseur a montré sa supériorité sur le Messerschmitt 109, avion allemand gloire de la Luftwaffe. Malheureusement seulement 37 exemplaires avec mitrailleuses furent livrés avant la débâcle, alors que mille auraient pu l’être dont beaucoup saisis par les Allemands ont été distribués aux alliés de l’Axe.

[5] Interrogée le 4 mars 2020 sur France Inter la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu fermement : « non, on ne doit pas acheter de masques, et d’ailleurs on ne peut pas en acheter puisque nous avons donné des instructions ».

[6] Dont les propriétaires milliardaires possèdent aussi des actions de Gilead, Abbvie ou Sanofi

[7] Aucune des chaînes qui la programment ne précise que la collaboration avec ces labos lui a apporté plus de 150 000 $ en 5 ans. Écoutez Sud radio émission André Bercoff : Gérard Delepine du 27 mars 2020, et ce dans la violation de la loi de 2011.

[8] Très lié à AbbVie, Bristol-Myers Squibb, Gilead, MSD, Pfizer, Johnson & Johnson, and ViVi Healthcare

[9]Lié à Maat Pharma, Merck, Bayer Pharma, Medimune, Gilead, VenatoRx, Nabriva, Paratek

[10] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478

[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[12] Et vote d’une loi d’urgence sensée être sanitaire et qui casse ce qui reste du Code du travail, sans manifestation possible, car confinement. Jusqu’à quand ?

[13] Italie, Espagne, France pays qui les premiers ont confiné leur population saine

[14] Contestation pénale prévue et remboursement possible ? cf. PlainteCovid.fr diffusée par Bruno Gaccio, collective et déjà des milliers de plaintes

[15] “Soumission à l’autorité Stanley Milgram et le film la Vague.

[16] La stratégie du choc — Naomi Klein, octobre 2013 Essai (Poche)

[17] Que beaucoup d’entre eux évitent depuis plusieurs années, vu la tendance qui devient plus visible actuellement.

[18] Partout dans le monde en particulier USA et Italie, les morts seraient tous attribués au Covid19, alors que décédés avec le Covid19, ou même sans, en vue d’alimentation de la peur, et de subventions possibles (USA : tous les frais liés au virus seront pris en charge par l’État, promesse de Trump).

Dans le sud de l’Italie ce ne serait que 12 % liés directement au virus, sous réserve de ces chiffres. À suivre.

[19] “Je n’ai fait qu’obéir aux ordres” était l’argument le plus fréquemment avancé par les gardiens de camps de concentration nazis pour fuir leurs responsabilités lors des procès de Nuremberg. Deux médecins furent pendus.

[20] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

[21] Il ne s’agit donc pas d’une euthanasie au sens juridique, mais bien d’un meurtre. Définition juridique de l’euthanasie : se définit comme un suicide aidé par un tiers, tiers qui est le plus souvent un médecin. Elle traduit un désir de contrôle de la phase terminale de sa vie. Ses partisans estiment que le patient a le droit de mettre fin à sa vie si celle-ci est devenue intolérable. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-2-page-69.htm

[22] Quant aux suppléments d’honoraires que certains vont mettre en exergue, les plus élevés et excessifs se voient dans les hôpitaux publics et la médaille d’or à quelques médecins de l’aphp, souvent les mêmes que ceux qui ont de puissants liens d’intérêt. Ceci est une autre histoire.

[23] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-205363

[24] Soigner ou obéir N et G Delépine ; éditions Fauves 2016

[25] “Je sais bien que les gouvernements ne tiennent jamais compte des pétitions.

Mais sait-on jamais. Certains d’entre vous peuvent être intéressés à faire connaître leur point de vue.

Personnellement, je l’ai fait. Écoutez la vidéo, et prenez votre décision en votre âme et conscience.

À l’heure où nos structures médicales sont saturées, pourquoi interdit-on aux médecins de terrain de traiter, comme ils l’ont toujours fait, au cas par cas, leurs patients qu’ils connaissent bien, avec des médicaments dont ils connaissent parfaitement les contre-indications éventuelles et les dosages ?

195 000 en 24 heures, je n’ai personnellement jamais vu ça…” Dominique Delawarde

[26] Puissant calmant et dépresseur respiratoire totalement déconseillé aux personnes qui ont du mal à respirer

[27] Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

[28] ‘Fiche-conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs.

[29] ‘Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID19’. Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.

[30] ‘Prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD’

[31] C’est là que le bât blesse le plus ! Qui décide ?

[32] Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale simple (gêne respiratoire absente/légère/modérée/sévère/très sévère) Patient non communiquant : FR>24/min ou utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration) ou respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration)

Autres signes de gravité clinique (troubles de la vigilance, fièvre très élevée…)

[33] Détaillés dans la fiche

[34] Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale

[35] ‘RECOMMANDATIONS PERSONNEL SOIGNANT

Faire appel à un autre soignant si possible. Si le soignant est seul (n’entre pas dans la chambre en l’absence de nécessité, mais peut aller chercher les traitements et matériel nécessaire). Rester calme ou arriver calme (y penser avant d’entrer dans la chambre). Avertir le médecin si possible Expliquer simplement la situation au patient, ce que l’on fait, ce que l’on va faire. Injecter le protocole de sédation prévu, etc.

Après l’épisode, prendre un temps avec la famille et les soignants.’ Toujours la langue de bois selon Orwell : n’est-ce pas de mort, de décès qu’il s’agit ? Non un épisode de la vie, pas de Plus belle la vie, c’est certain. 

[36] Isabelle Luccioni L’Associu corsu di a salute refuse ‘un tri barbare et arbitraire » corse Matin 02 avril 2020

[37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Euthanasie_des_enfants_sous_le_Troisi&egrave ; me_Reich

[38] ‘Les enfants sont tués par ingestions échelonnées et surdosées de barbituriques comme le phénobarbital ou le véronal, voire de morphine, mélangés à la nourriture des patients ou vaporisés au prétexte d’une protection contre le typhus. Ces overdoses conduisent à des paralysies respiratoires, et à l’arrêt du fonctionnement du système digestif et rénal. Il est ainsi toujours possible d’invoquer une cause apparemment naturelle de décès. Le procédé est développé début 1940 par Hermann Paul Nitsche, qui devient ensuite le directeur médical de l’Aktion T4. La sous-nutrition et le séjour en chambres très peu chauffées accroissent les effets des ingestions médicamenteuses tout en préservant l’apparence d’un décès naturel et contingent.

Hermann Pfannmüller (de), directeur d’une clinique infantile à Munich, teste des ‘régimes alimentaires spéciaux’ consistant à diminuer progressivement la quantité de nourriture administrée aux enfants, et à ne pas leur donner du tout d’élément gras dans les portions38. Les enfants meurent de dénutrition à plus ou moins longue échéance, sous couvert d’expérimentation de régimes alimentaires’ IBID.37

[39] Ulf Schmidt, « Euthanasie » und die aktuelle Sterbehilfe-Debatte : Die historischen Hintergründe medizinischer Ethik, Gœttingue, 2000, « Kriegsausbruch und « Euthanasie » : Neue Forschungsergebnisse zum « Knauer Kind » im Jahre 1939

[40] Udo Benzenhöfer, Der Fall Leipzig (alias Fall “Kind Knauer”) und die Planung der NS-„Kindereuthanasie “, Münster, Klemm & Oelschläger, 2008, 151 p. (ISBN 978-3-932577-98-7), p. 51 IBID.37

[41] Peter Sandner, Verwaltung des Krankenmordes. Der Bezirksverband Nassau im Nationalsozialismus, Gießen, Psychosozial-Verlag, 2003, 788 p. 587 IBID.37

[42] Angelika Ebbinghaus et Klaus Dörner, Vernichten und Heilen. Der Nürnberger Ärzteprozeß und seine Folgen, Berlin, 2002 p. 297 IBID.37

[43] Michael Tregenza, Aktion T4, 2011 IBID.37

[44] Argument favori d’Attali dans sa guerre contre ‘les vieux’ qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même

[45] A. Laffont et J. Audit, ‘Eugénique’, Encyclopédie médico-chirurgicale, Masson,‎ 1934, p. 12-15

Fascicule 5122. IBID.37

[46] http://www.economiematin.fr/news-debat-euthanasie-economies-securite-sociale

[47] Bertold Brecht la résistible ascension d’Arturo Ui

[48] Mathieu Aron l’obs 1 4 2020 https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200401.OBS26931/le-cri-d-alarme-du-comite-consultatif-national-d-ethique-pour-la-protection-des-personnes-agees.html

[49] Sud radio https://www.sudradio.fr/societe/dr-nicole-delepine-la-chloroquine-cest-le-meilleur-de-ce-quon-peut-proposer/ 3 avril 2020

[50] Contrairement à de très nombreux pays

[51] Avis 106 de 2009 sur ‘Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[52] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[53] Contribution du 13 mars 2020 sur ‘Enjeux éthiques face à une pandémie 

[54] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 


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Brésil — Réjouissons-nous de la « victoire » officielle de Lula !

Brésil — Réjouissons-nous de la « victoire1 » officielle de Lula !

Par Alain Tortosa

Et non, je n’ai pas pris de drogues, du moins pas encore.

Pas la joie !

Lorsque j’ai appris hier matin la « victoire » de Lula au Brésil j’ai ressenti un profond sentiment de tristesse, d’abattement, mais aussi de colère.

Sommes-nous condamnés à vivre indéfiniment dans une dictature mondiale
qui n’avouerait pas sa réalité macabre ?

D’abord Biden puis Macron et maintenant Lula…
Comment rester debout face à un tel déferlement de mauvaises nouvelles ?

Fraude électorale ?

En ce qui concerne les USA j’invite mes lecteurs à regarder le documentaire captivant « 2000 mules2 ».
Il va de soi que les « vrais journalistes », les mainstreams, ont fait leur travail pour démonter ce film.

Pour l’élection présidentielle :
Les Français ont quant à eux été surpris de voir en direct sur France 2, Marine Le Pen passer d’une avance face Emmanuel Macron à un retard.
Une perte de presque 3 millions de votes !
Ici encore on plaide une « erreur3 » de retranscription de données qui arrivent en flux direct de l’Élysée.

Le vote électronique et par correspondance

En France 1,3 million d’électeurs auraient accès au vote électronique.
Le vote par correspondance est quant à lui autorisé uniquement pour les Français de l’étranger (2,5 millions, dont 25 % de mineurs4), mais dans les faits il n’y aurait eu que 30 000 votants par correspondance5 aux élections présidentielles.

Aux USA 100 millions d’Américains ont voté par anticipation dont 64 millions par correspondance6.

Et au Brésil, le vote est 100 % électronique !

Un constitutionnaliste français se réjouissait sur France info :

« Le vote électronique a permis de mettre fin à la fraude7 »

Il n’y a donc que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
Le Conseil Constitutionnel8 précisait pour autant en 2007 :

« L’intrusion des machines à voter (…) rend opaque ce qui était visible. Elle met fin à une “communion citoyenne”. Elle prive le corps électoral de la surveillance collective des opérations dans lesquelles s’incarne le suffrage universel. »

Pour Lula c’est à proprement parlé extra-ordinaire (en deux mots).

Je vous rappelle que les médias le donnaient gagnant au premier tour avec 15 % d’avance sur Bolsonaro.
Ils ne s’attendaient pas à un tel raz de marée du « candidat d’extrême droite » malgré la propagande exclusive au bénéfice de Lula, ce qui a contraint un 2e tour aux élections.
Finalement l’écart ne fut que de 4 % au premier tour en faveur de Lula9.

Aujourd’hui la presse et les politiques sont unanimes (un consensus de plus) pour saluer la victoire de Lula.

Clémentine Autain député NUPES LFI a déclaré le 31 octobre sur BFM :

« C’est une immense joie et un soulagement pour le peuple brésilien. »

Les Échos10 de titrer :

« Brésil : la victoire de Lula unanimement saluée à travers le monde »

Le terme « unanimement » est de nature suffisante pour prouver que les médias continuent de mentir et manipuler.

Tout va aller mieux grâce à lui !

HispanTV11 relate que :

« L’ancien président brésilien, Inacio Lula da Silva, a promis de redresser le pays et d’enquêter sur le phénomène de la corruption “masquée”. »

« Le leader du Parti des travailleurs (PT) a également promis de poursuivre la lutte contre la corruption, dénonçant le fait que le discours anticorruption qui s’est installé au Brésil il y a des années avec l’opération Lava Jato a pris une voie politique, dont le but était de “condamner Lula” »

Comment pourrions-nous douter d’une telle « sincérité » ?

Pour ceux qui seraient un peu pinailleurs, je rappelle que Lula avait été condamné à 17 ans de prison pour corruption et blanchiment d’argent assorti d’une peine d’inéligibilité. Cette peine avait été confirmée en appel.12

Bien « heureusement », il est sorti au bout d’un peu plus d’un an et lavé par la Cour Suprême.
Qui pourrait douter de la justice du pays et de la probité du personnage ?

En France, on fait les vierges effarouchées avec un Dupond-Moretti mis en examen…

Et voici que le gars est déclaré vainqueur, normal non ?

Il faut dire que sa victoire est tellement « source d’espoir » après des années de post-fascisme, de dictature déguisée et de destruction de l’environnement par l’infâme Bolsonaro.

Comment ne pas se réjouir de la victoire de Lula, RFI déclarant :

« Victoire de Lula au Brésil : un espoir pour l’Amazonie et le climat. »

Franchement le nouveau Lula est formidable, l’ancien c’est plus délicat selon Greenpeace en 2009 :

« Lula ne protège pas l’Amazonie.
À l’international, le président Lula affiche sa volonté de protéger la forêt amazonienne. Mais en pratique, il ferme les yeux sur les processus de déforestation. »

Il est intéressant de constater que durant le règne de Lula la destruction de la forêt amazonienne13 était officiellement sur une courbe descendante et tandis qu’elle allait en augmentant sous Bolsonaro.
Est-ce à dire que la forêt amazonienne a été plus détruite sous Bolsonaro ?
Et bien non !
Sous Bolsonaro ce serait 50 000 km2 de forêt détruite14 et sous Lula 126 000 km2, étonnant, non ?

Il faut dire que la pute de Lula a vraiment tout fait pour être élue.
En grand progressiste, donc de gauche, et bouffant à tous les râteliers, il avait encore déclaré récemment qu’il était « personnellement contre l’avortement15. »
Il est donc logique que toute la gauche et les LFI se réjouissent de la victoire de ce grand homme de bien qui va en plus sauver la forêt et le climat !

Il faut dire que l’annonce de sa victoire ne faisait pas totalement l’unanimité dans les médias mainstream. Peut-être une forme de rappel suite à un retard dans l’acheminement des pots-de-vin ?!

Quelques rares médias avaient ainsi osé dire brièvement que ce n’était pas gagné d’avance pour lui…

Le Monde16, si, si, nous disait le 3 octobre :

« Duel Lula-Bolsonaro au Brésil : “La dynamique est aujourd’hui du côté de l’extrême droite” »

Le but était peut-être de nous alerter sur la nécessité d’un sursaut républicain pour lutter contre l’extrême droite brésilienne.

Le Soir.be17 le 28 octobre était encore plus « pessimiste ».

« Brésil : le scénario du pire (élection de Bolsonaro) semble inévitable »

« À la veille du second tour de l’élection présidentielle, les politologues brésiliens sont assez unanimes pour reconnaître que le président sortant, Jair Bolsonaro, les a “bluffés” pendant cette campagne présidentielle. “Il a obtenu un bon score au premier tour, et il arrive pour ce deuxième tour dans une position confortable, même s’il aura bien du mal à l’emporter ce dimanche”. »

Lula a donc « gagné ».
À 0,9 % des voix pour Bolsonaro au lieu de Lula, il y aurait eu égalité !

De nombreux Brésiliens ne semblent pas dupes et nous assistons à de nombreuses manifestations et blocages du pays18.
Des autoroutes sont barrées dans tout le pays par des camionneurs19 ou des paysans qui crient à la fraude électorale.

Il est évident que le vote par correspondance et les machines à voter sont un instrument formidable d’accès à la fraude électorale.
Et tout du moins de nature à introduire le doute et la suspicion afin de monter une partie du peuple contre l’autre.

Il ne fait aucun doute pour nombre d’entre nous que ces élections ont été volées.
La joie des Macron, Biden et autres Van Der Machine ne sont pas de nature à penser que l’élection de Lula est clean.

Les « médias »

La partie fraude lors du vote n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Le point commun pour ces trois élections est la participation active et l’unanimité des médias.

Que ce soit pour les USA, la France et le Brésil, ils ont agi pour manipuler l’opinion publique et faire élire le « bon » candidat en faisant allégeance à l’ordre mondial.

Sans compter la collaboration active des instituts de sondage qui sont tout sauf indépendants.

Philippe De Villiers le confirmait :

« On reprochait jadis aux communistes de bourrer les urnes, je reproche aujourd’hui aux sondeurs et à leurs acolytes des partis politiques de bourrer les crânes. Ils ont répandu de fausses informations20. »

La déroute du nouvel ordre mondial

Cette nécessité absolue de frauder les élections n’a strictement rien d’anodin.

Lors d’élections précédentes, il n’était pas aussi vital de faire élire tel ou tel autre.

Pour la simple raison que les deux candidats étaient les deux faces d’une même pièce.

En France nous voyons que « gauche » ou « droite » vont conduire une politique mondialiste.

Aux USA il en était de même avec des candidats démocrates ou républicains dont la politique était quasiment la même.

La donne a changé !

Cet acharnement à vouloir faire perdre ou gagner un candidat est la preuve d’événements inédits.

S’il y a une opposition contrôlée, ledit contrôle n’est pas ou plus de nature suffisante à autoriser ou prévenir son élection.
D’autant plus que les frontières sont floues.

Je ne suis pas capable de dire de quel côté est Meloni en Italie.
Pour autant, quand bien même elle serait financée par le nouvel ordre mondial, quand bien même elle tiendrait des discours d’allégeance, le fait est que les soignants suspendus sont aujourd’hui réintégrés en Italie.
On ne peut pas dire de même du triste sire Macron qui poursuit leur condamnation dans un but purement politique.

Il existe donc de vraies oppositions sur le fond.
Nous en avons eu la preuve avec Trump contre Biden qui ont des visions diamétralement opposées du type de société et c’est aujourd’hui la même chose au Brésil.

Bien entendu les « journalistes » parlent de « populisme », « d’extrême droite », de « post-fascisme » car ils n’ont strictement aucun argument à opposer.

Une partie de la population française est suffisamment bête ou hypnotisée pour croire les médias qui annoncent que ces « populistes » vont détruire les libertés et la démocratie.
Cela pourrait faire marrer si ce n’était pas triste à pleurer.

Dans les faits :

Macron a interdit aux médecins de prescrire, nous a enfermés, nous a interdit d’aller au restaurant, nous a obligés à porter des muselières, nous a obligés à nous injecter une substance expérimentale, a interdit à des professionnels de travailler, a détruit la cohésion sociale, a fait monter les extrémismes, a détruit la famille et nos valeurs, a détruit l’économie, a provoqué une inflation délirante avec l’Ukraine, nous oblige à jeter des voitures en parfait état de marche au nom de l’écologie et j’en passe…

Et c’est ce gars qui serait le « garant des libertés face aux fascistes » ?

Soros, le World Economic Forum, les destructeurs des valeurs, de millénaires de civilisation, ceux qui veulent faire de nous des objets du droit, ne supportent pas l’idée d’un retour de Trump.

Il n’y qu’à voir l’acharnement médiatique contre celui-ci, preuve en est que le personnage dérange au plus haut point.

Ils ont perdu la main

Je vois dans ces événements la preuve que l’Ordre Mondial ne contrôle plus
l’ensemble des candidats qui ont une chance de gagner des élections.

Ils sont obligés de tricher à mort avec la propagande des journaux, celle des instituts de sondage, puis contraints de frauder factuellement sur les résultats pour parvenir à leur fin.

Et même ainsi, ils ne sont plus certains à 100 % de l’emporter.
Il va être très très dur de truquer les prochaines élections américaines, le peuple va se défendre.

Nous sommes de plus en plus nombreux à voir l’escroquerie démocratique.

Des citoyens sentent, aussi bien avec le Covid que l’Ukraine, que ce n’est pas leur intérêt qui est mis en avant par les gouvernants.

Les promesses d’avenir meilleur dans les années 50 sont remplacées par des promesses de souffrances, de guerres, de maladies, de précarité énergétique et de fin du monde.

Cela veut dire que les enculés maîtres du monde vont se retrouver à court terme face à un choix limité :

  • Soit ils suppriment carrément les élections (ou les verrouillent à la mode république bananière africaine) et nous basculons dans la dictature au grand jour.
  • Soit ils capitulent, cherchent à sauver leur peau et laissent revenir le choix des peuples.

Notez que l’option dictature serait préférable à la situation actuelle.

Elle finirait d’ouvrir les yeux de celles et ceux qui se mentent encore à eux-mêmes et font semblant de croire que nous vivons en démocratie.

Les résistants n’attendent qu’une chose, le réveil des peuples !

Merci.

Alain Tortosa21.
1er novembre 2022. https://7milliards.fr/tortosa2022111-victoire-lula-defaite-mondialistes.pdf





Charles Gave dit tout

[Source : Chaîne officielle TVL]

Charles Gave est l’invité spécial d’Éric Morillot.
Comme d’habitude, « Bistro Libertés » vous propose un plateau de choix avec Mike Borowski, Didier Maïsto, Rémi Tell et Greg Tabibian.
Après le passage en revue de l’actualité (affaire Lola, crise énergétique, etc.), deux débats sont au programme :

1) La France court-elle à sa faillite ?
Inflation, hausse des taux, crise énergétique, contrecoup des sanctions, grèves et contestations : peut-on éviter l’effondrement économique, financier et politique qui vient ?

2) Vers la fin de l’hégémonie américaine ?
Remise en cause du dollar, effondrement des Démocrates, guerre en Ukraine, Chine et Russie en embuscade : entrons-nous dans une nouvelle ère du multilatéralisme ?

Des révélations, du parler cash, des prises de bec, de l’impertinence : pas de doute, c’est sur « Bistro Libertés », le débat libre et non conformiste.




D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »

[Suite de Black Rock : un problème majeur pour l’humanité]

[Source : mondialisation.ca]

On a vu que BlackRock et Vanguard, possèdent à la fois Big Pharma et la grande majorité des médias de masse.

Les « nouvelles » télévisées sont constamment interrompues par des publicités présentant les derniers médicaments proposés par Big Pharma, puisque c’est Black Rock et Vanguard qui décident tout et qui tiennent à vous laver le cerveau en permanence…

Leur couverture collective des événements mondiaux s’articule toujours et en permanence autour de la même propagande mensongère. 

Black Rock a dernièrement englouti des biens immobiliers à un prix bien supérieur au prix demandé. C’est une des raisons pour lesquelles les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés. 

« C’est une redistribution de la richesse, et ce n’est pas la richesse des riches qui est redistribuée », a tweeté le compte @APhilosophae. « C’est la classe moyenne américaine normale, la richesse du sel de la terre qui se dirige vers les mains des entités et des individus les plus puissants du monde. Le véhicule financier traditionnel a disparu pour toujours. » 

Un rapport de Bloomberg affirme que ces deux sociétés en l’an 2028 auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout. 

« Vous ne serez plus propriétaire de rien et vous serez heureux ! »

En réalité, BlackRock et Vanguard sont, comme on l’a déjà vu, la propriété de quelques grandes familles qui font pression pour un Nouvel Ordre Mondial et il semblerait qu’elles soient sur le point d’atteindre leur objectif par la destruction des systèmes financiers mondiaux, l’accaparement de tous les biens immobiliers, et prochainement l’abolition totale de la propriété privée. 

Big Pharma est une autre partie importante de ce processus, car l’industrie continue à produire des médicaments et des vaccins qui permettent de contrôler la population mondiale et d’en éliminer une grande partie devenue inutile pour le Capitalisme autosuffisant…

Pour parvenir à leur fin, les médias devaient jouer ce rôle important de la manipulation des masses, du mensonge avéré, de la falsification de toutes les données statistiques y compris scientifiques, jusqu’à ce qu’il soit déjà trop tard. Nous en sommes là aujourd’hui, alors que le système financier mondial vacille volontairement, réclamant et faisant tout son possible maintenant pour obtenir une guerre, de préférence nucléaire, justifiant cette chute irréversible qui n’est pas un accident, mais qui était sciemment prévue pour « éclaicir » la Planète d’une surpopulation devenue problématique à gérer !

Deux tours de pouvoir dominent l’avenir de l’investissement et abolissent toute concurrence. 

Le fondateur de Vanguard, Jack Bogle, considéré comme le créateur du fonds indiciel, soulève la question de savoir si trop d’argent se trouve entre trop peu de mains, BlackRock, Vanguard et State Street Corp. 

Cela représente environ 20 % de la propriété de cet oligopole de trois sociétés, déclarait M. Bogle lors d’une intervention le 28 novembre au Council on Foreign Relations à New York.  

Vanguard est sur le point de transformer ses 4 700 milliards de dollars d’actifs en plus de 10 000 milliards de dollars dès 2023, tandis que BlackRock pourrait atteindre cette marque deux ans plus tard, contre près de 6 000 milliards de dollars aujourd’hui, selon les projections de Bloomberg News basées sur les taux de croissance annuels moyens des actifs des sociétés sur les cinq dernières années. 

Les investisseurs, des particuliers aux grandes institutions telles que les fonds de pension et les fonds spéculatifs, ont afflué vers ce duo, séduits en partie par leurs fonds à faible coût et l’étendue de leurs offres. 

Selon les estimations de Jim Ross, président de la division mondiale des ETF de State Street, les actifs mondiaux des ETF pourraient atteindre 25 000 milliards de dollars américains d’ici 2025. Cette seule somme représenterait des milliards de dollars supplémentaires pour BlackRock et Vanguard, sur la base de leur part de marché actuelle. 

« La croissance n’est pas un objectif, et nous ne faisons pas de projections sur la croissance future », a déclaré John Woerth, porte-parole de Vanguard, à propos des calculs de Bloomberg.

La domination de BlackRock et Vanguard soulève des questions sur la concurrence et la gouvernance. Selon une étude de l’université d’Amsterdam, ces sociétés détiennent plus de 5 % de plus de 4 400 actions dans le monde.

Cela met les régulateurs mal à l’aise, et Kara Stein, commissaire de la SEC, s’est interrogée en février : « La concentration de la propriété affecte-t-elle la volonté des entreprises de se faire concurrence ? » 

Pour l’instant, la progression du duo semble irrémédiable, et les avantages qu’ils ont apportés avec les investissements à faible coût pourraient l’emporter sur certains des problèmes structurels. 

« Étant donné qu’ils sont devenus si importants parce que leurs frais sont si faibles, c’est le genre de monopoles qui ne m’empêche pas de dormir la nuit », a déclaré Thaler. Bloomberg.com

L’économie mondiale a été détournée et l’humanité kidnappée par un récit complètement faux. 

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres, avons-nous déjà dit. Cela signifie que des marques « concurrentes » ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds de placement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. 

Cette organisation est devenue le Gouvernement du monde

Bloomberg appelle Black Rock « la quatrième branche du gouvernement », car c’est la seule agence privée qui travaille directement avec les banques centrales. Black Rock prête de l’argent à la banque centrale tout en étant son conseiller ! Elle développe également les logiciels utilisés par la banque centrale. De nombreux employés de BlackRock sont passés par la Maison-Blanche avec Bush et Obama. Son PDG. Larry Fink peut donc compter sur un accueil favorable de la part des dirigeants et du petit monde des politiques. 

Larry Fink ne tire pas les ficelles lui-même, car Black Rock est également détenue par des actionnaires dont le plus gros est Vanguard ! Or, Vanguard est une société privée : les actionnaires sont donc officiellement inconnus ! 

90 % des médias internationaux sont détenus par neuf conglomérats médiatiques.

Qui sponsorise les organisations et les agences de presse produisant nos informations ? Avec Project Syndicate, nous découvrons que ce sont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Open Society et le Centre européen du journalisme. Les sociétés qui fournissent les nouvelles sont payées par des organisations à but non lucratif, appartenant à la même élite qui possède également l’ensemble des médias. Il y a également une partie de l’argent des contribuables qui est utilisée pour les payer. Au final tout converge d’une façon ou d’une autre vers ce duo infernal Black Rock/Vanguard.

Ce sont d’énormes sociétés d’investissement qui déterminent le cours des flux d’argent. Elles sont les personnages principaux de la pièce à laquelle nous assistons : le véritable gouvernement qui gouverne ! 

La sénatrice Elizabeth Warren voulait que Black Rock soit placé sous surveillance fédérale comme l’une des entités financières désignées comme « trop grosses pour faire faillite », car elles nous entraîneraient tous dans leur chute, disait-elle. 

Black Rock travaille avec le gouvernement américain. Elle a été la société choisie par l’administration Obama pour faire le ménage après la crise financière de 2008, en rachetant des actifs toxiques que la Fed n’était pas légalement autorisée à acheter. Ce sont les dirigeants de BlackRock qui ont proposé la réinitialisation économique qui est entrée en vigueur en mars 2020 aux USA, lorsque la banque centrale a renoncé à son indépendance historique et a accepté de joindre la politique monétaire à la politique budgétaire. 

Black Rock l’avait proposé en 2019, mais la COVID-19 a créé l’occasion rêvée : une urgence pour laquelle un « expert indépendant » pouvait être nommé par la banque centrale afin d’éviter une crise budgétaire. 

Black Rock a été nommé expert indépendant. Il a également remporté un contrat sans appel d’offres pour gérer une caisse noire de 454 milliards de dollars, en l’utilisant comme levier pour plus de 4 000 milliards de dollars de crédit de la Réserve fédérale. Black Rock joue donc sur les deux tableaux, en achetant principalement ses propres fonds pour le compte de la banque centrale. 

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, s’est porté candidat au poste de secrétaire au Trésor lorsqu’il semblait que Hillary Clinton pourrait être présidente. Il a brièvement fait partie d’un comité consultatif pour Donald Trump et a été fortement promu au poste de secrétaire au Trésor dans l’administration Biden. L’ancien chef de cabinet de Fink chez Black Rock, Adewale « Wally » Adeyemo, est désormais secrétaire adjoint au Trésor américain. Brian Deese, ancien cadre de BlackRock, est le principal conseiller économique de M. Biden ; Michael Pyle, ancien cadre de BlackRock, est le principal conseiller économique de la vice-présidente Kamala Harris.

Un article de Vassar dit ouvertement : 

« Des directions imbriquées, des portes tournantes de personnel et des participations de participations financières relient les médias d’entreprise à l’État, au Pentagone, aux fabricants de défense et d’armes et à l’industrie pétrolière. »

2017 : Black Rock prend les commandes à l’Élysée 

Sarkozy était le président des riches. Macron est, quant à lui, le président des ultrariches. Le 22 janvier 2018, il offrait un dîner à Versailles, avec l’argent des contribuables, aux représentants de 140 multinationales, juste avant de s’envoler à Davos, comme eux, pour discuter de changement climatique. Mais son favori est le PDG de BlackRock : Larry, ou plus exactement Lawrence Fink ; il offre au gouvernement le mode d’emploi pour faire accepter aux Français le remplacement progressif, à dose homéopathique, de leur retraite par des actions dans les entreprises, en commençant par les cadres puis en élargissant avec un système « universel ». 

De cette façon, les fonds de pension, des retraités américains et anglais ont perdu en 2008 les économies qu’ils avaient investies en Bourse. Investir en actions est ce qui est prévu depuis l’élection d’Emmanuel Macron le 7 mai 2017. Le 6 juin 2017, le PDG de BlackRock était reçu à l’Élysée. Le 17 octobre 2017, le Comité action publique 2022 (une trentaine « d’experts », dont Jean-François Cirelli, président de BlackRock France) travaillait sur la réforme de l’État. Objectif : tendre vers 100 % de démarches administratives numérisées à l’horizon 2022. C’est pour simplifier ! Quant à ceux qui n’ont pas compris les démarches à effectuer ou qui n’ont pas internet, qu’ils ne comptent plus être conseillés par des êtres humains. Le 25 octobre 2017, Lawrence Fink revenait à l’Élysée avec son équipe… 

BlackRock fait voter la loi Pacte 

Le 22 mai 2019 était votée la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises). Quel rapport avec les retraités ? L’épargne des retraités sera pompée pour être transférée aux entreprises « pour financer l’innovation et la croissance de demain ». Les quinquagénaires au chômage auront des revenus d’actions au moment où leur retraite s’éloignera d’eux de plus en plus. Bien entendu, les investissements seront moraux : ils se feront dans « la transition vers zéro émission nette de gaz à effet de serre ». Black Rock est prête à tous les élans lyriques pour faire passer la pilule. Son site parle d’un véritable « mouvement tectonique des flux de capitaux », de « décarbonisation », disons d’une philanthropie verte au service du portefeuille. Après le vote de la loi Pacte, le 10 juillet 2019, BlackRock & Cie étaient de retour à l’Élysée. Le 1er janvier 2020, Jean— François Cirelli, à la tête de BlackRock France, était nommé officier de la Légion d’honneur (page 5 de la liste de la promotion). 

Dernière étape de la stratégie de BlackRock en France

La « réforme » transformant les économies des retraités en fonds de pension devait passer en douce dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), sous la forme d’un amendement de dernière minute — un discret « cheval de Troie ». Si les députés se montraient trop réticents, le 49.3 serait utilisé. S’ils songeaient à déposer une motion de censure (Art. 49. de la Constitution) pour ne pas avoir trop l’air d’une chambre d’enregistrement, Emmanuel Macron dégainerait le premier. Il dissoudrait « tout de suite » l’Assemblée (Art. 12. de la Constitution). 

En réalité l’Assemblée n’est pas prête à déposer une motion de censure. Elle devrait recueillir une majorité absolue, soit 289 suffrages (Nupes, RN et Les Républicains), ce qui est peu probable. Il faut se rappeler la dernière déculottée de l’Assemblée. Elle a eu lieu le 27 juillet, dans le cadre des débats sur le projet de loi de finances rectificative. Les députés avaient voté contre l’avis du gouvernement un déblocage de 500 millions pour les retraités. 

Bruno Le Maire demandait une seconde délibération. Un nouveau scrutin a donc eu lieu et l’amendement de réécriture du gouvernement était adopté (224 pour, 121 contre). Les retraités n’ont pas eu leurs 500 millions. La Nupes et le RN ont voté contre, tandis que Les Républicains ont voté pour. Les députés ont donc le droit de voter, mais seulement si le gouvernement est d’accord. Sinon ils revotent. Emmanuel Macron n’a rien à craindre d’une telle Assemblée Nationale et les retraités rien à en attendre. 

Qu’il y ait une motion de censure déposée par les députés suivie de la dissolution du gouvernement ou « tout de suite » une dissolution de l’Assemblée par le président, cela ne change strictement rien, puisque dans les deux cas, il faudrait refaire des élections législatives. Alors, pourquoi cette comédie ? 

D’abord, Macron n’aime pas qu’on lui résiste et puis, avec le flingue de BlackRock sur la tempe, il n’a pas vraiment le choix. Afin de ridiculiser le processus dit démocratique, avant de le supprimer totalement, il a confié les négociations à Élisabeth Borne. « On a fait le choix du dialogue et de la concertation », a-t-elle expliqué. « Le dialogue ne viendra pas de notre côté », a-t-elle ajouté, révélant, par ce lapsus, sa conception de la concertation. Elle souhaitait une « entrée en vigueur de la réforme à l’été 2023 ». On ne peut pas mieux dire que le vote de l’Assemblée est acquis d’avance. 

Mais pourquoi tant de soumission de la part des députés ? De nouvelles élections risqueraient de rebattre les cartes avec un risque élevé de perdre sa place, pour chacun des députés. Or, l’indemnité parlementaire de base est de 5 623,23 €, l’indemnité de résidence de 168,70 € et l’indemnité de fonction de 1 447,98 €, soit un total de 7 239,91 € par mois. L’Assemblée Nationale est une organisation parasite qui ne sert pas les intérêts du bien commun, mais qui est au service de la tyrannie de l’État profond jacobin. 

Jean-Yves Jézéquel

À  suivre …

Sources :

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Trump contre l’État profond : le raid contre le domicile de Trump sera-t-il le Watergate de Biden ?

[Source : strategika.fr]

Alors que les élections de mi-mandat aux États-Unis se rapprochent, ce dossier exclusif fait le point sur l’actualité brulante du conflit qui oppose Trump aux forces déchaînées de l’establishment globaliste aux USA. À lire pour connaître et comprendre les enjeux et les coulisses de cet affrontement crucial, non seulement pour les États-Unis, mais pour l’ensemble de l’ordre mondial contemporain.

Par Michèle Marie

Pour spectaculaire qu’ait été le raid du 8 août dernier contre la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, il ne s’agissait pas d’un fait isolé, mais d’un nouveau maillon dans la longue chaîne des scandales fabriqués par les Démocrates depuis plus de six ans pour effacer de la vie politique jusqu’au souvenir du 45e Président des États-Unis.

Au cours d’une descente sans précédent sur sa propriété, fouillée dans ses moindres recoins, une trentaine d’agents du FBI avaient retourné jusqu’aux tiroirs de lingerie de l’ancienne Première Dame, avant de repartir neuf heures plus tard en emportant deux douzaines de cartons de matériel.

Une fois la première émotion dissipée, se pose la question de savoir si ce raid conduira véritablement à une inculpation de l’ancien président, ou s’il marquera plutôt le début de la fin pour l’actuel résident de la Maison-Blanche.

C’est ce que nous allons essayer d’explorer dans les pages qui suivent.

Un raid d’une brutalité inouïe

Un jour après la descente de plus de 30 agents du FBI sur la propriété de Mar-a-Lago de Donald Trump, alors que la nation était encore en état de choc, l’ancien commissaire de police de la ville de New York, Bernard Kerik, s’était ouvert au média « Newsmax » de sa peur que le régime de Biden aille jusqu’à l’assassinat politique pour empêcher une candidature éventuelle de Trump à la présidentielle de 2024 :

« J’entends les gens parler, on dit que les Démocrates veulent tellement sa peau qu’ils pourraient en arriver à l’assassinat. Écoutez, ils ont essayé de le destituer, pas une fois, mais deux fois. Ils ont ouvert contre lui une enquête, et puis une autre. Tout ça tourne autour d’une seule chose : l’empêcher de se présenter en 2024. Je ne suis pas un adepte des théories du complot ni de la rhétorique antigouvernementale. Mais pour la première fois de ma vie, je peux dire que je tremble pour quelqu’un, et je tremble pour Donald Trump. Je n’exclurais pas que ces gens-là l’assassinent. »

Kerik avait également exprimé son inquiétude sur les médias sociaux, rejoignant de nombreux autres Américains qui déploraient que les États-Unis se soient transformés en dictature tiers-mondiste.

L’ancien directeur national du renseignement par intérim, Richard Grenell, dénonça lui aussi le raid dans un tweet :

“Les dictateurs du tiers monde poursuivent leurs ennemis politiques, et Joe Biden se sert [lui aussi] du gouvernement américain comme d’une arme pour atteindre ses objectifs politiques. C’est scandaleux. Et cela crée un terrible précédent”.

Le porte-parole de Trump, Taylor Budowich, déclara que le “raid contre le domicile du Président Trump était un acte sans précédent et que rien ne justifiait”, même si l’on avait “fait circuler des insinuations mensongères pour faire avaler cette mobilisation du gouvernement contre le principal opposant politique.”

Selon certaines rumeurs, par exemple, « des documents classifiés relatifs à des armes nucléaires » auraient été gardés à Mar-a-Lago. « Ce sont des rumeurs bidon », s’était moqué l’ancien président dans une entrevue accordée au Washington Post, « tout comme Russia, Russia, Russia ! avait été du pipeau, et l’enquête de Mueller et tout le reste. Et ce sont les mêmes personnages de bas étage que l’on retrouve ici », avait-il ajouté.

Trump annonça aussi sur sa plateforme de “Truth Social” que les documents emportés “avaient tous été déclassifiés”, qu’il n’y avait “aucun besoin de les saisir”, et qu’en tout cas le FBI “aurait pu les obtenir à tout moment sans politiser l’affaire et sans cette descente sur Mar-a-Lago”.

Obama avait adopté en 2009 un décret exécutif donnant aux présidents américains le droit de déclassifier tout document confidentiel ou secret comme bon leur semblait, sans en référer à qui que ce soit. Le média mainstream « ABC News » avait lui-même reconnu ce droit au président Trump dans un article de 2017 intitulé : « Trump has legal authority to declassify intelligence ».

Le reproche fait à l’ancien président d’avoir eu en sa possession certains documents classifiés était donc dénué de toute pertinence juridique puisqu’il avait le droit de déclassifier sans formalité particulière tous les documents classés secrets qu’il voulait, puis de les emporter chez lui pour y travailler hors du bureau. Trump s’interrogea dans le même message sur le sort que le FBI comptait réserver au 33 millions de pages de documents majoritairement classés secrets, qu’Obama avait emportés à son domicile de Chicago.

Politisation de la Justice et des instances gouvernementales

Certains leaders républicains avaient critiqué la « politisation » du ministère de la Justice et du FBI, et leur « instrumentalisation pour nuire à un opposant ». D’autres déploraient que les États-Unis soient devenus une « république bananière ».

Comme l’expliqua Jonathan Turley, éminent juriste et professeur à la “George Washington University Law School”:

« L’ancien président avait déjà reçu une première injonction et s’y était conformé, puis il a de son plein gré donné au FBI l’accès à un espace de stockage en acceptant d’ajouter un verrou spécial pour le protéger. On ne voit pas bien pourquoi une seconde injonction n’aurait pas suffi pour obtenir d’autres documents tombant sous le coup du Presidential Records Act » [NDT: relatif à l’archivage].

Il y aura très certainement des questionnements sur la pertinence du recours à des méthodes aussi sensationnalistes que ce raid pour obtenir du matériel classifié, surtout à l’approche des élections de mi-mandat. L’administration Biden a organisé maintes fois et sans aucune nécessité apparente des raids musclés du FBI, ainsi que des perquisitions ou arrestations contre Rudy Giuliani, Roger Stone, Peter Navarro et autres associés de Trump.

«  Toutes ces opérations ont été télévisées, alors que le matériel recherché aurait pu être simplement remis sur demande. On ne sait toujours pas si certains de ces raids ont même permis de découvrir des preuves d’infractions pénales et s’ils donneront lieu à des inculpations pour délits au pénal.

Il existe des antécédents documentés de parti pris contre Trump de la part de hauts fonctionnaires du FBI, avec notamment l’utilisation de falsifications ou fausses déclarations pour faciliter une enquête sur un pseudo complot avec la Russie. Ainsi, le procureur général Merrick Garland savait sûrement que ce raid raviverait les soupçons selon lesquels il pourrait s’agir d’un nouvel exemple de ce que Peter Strzok, fonctionnaire congédié du FBI, avait autrefois appelé une « police d’assurance » contre l’accession de Trump à la présidence en 2016 — mais cette fois-ci pour 2024. Pour ce motif, la charge de la preuve est encore plus lourde pour le ministère de la Justice, qui doit démontrer que ce raid constituait une étape vers de véritables poursuites pénales et non pas juste une manoeuvre politicienne ».

Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, fustigea sur Twitter cette perquisition qui représentait « une nouvelle escalade dans le militarisme des agences fédérales contre les opposants politiques du régime, alors que des personnes comme Hunter Biden étaient traitées avec des gants de velours ».

Par ailleurs, comme le fit remarquer le président Trump dans un message publié peu après l’effraction de son domicile :

« Hillary Clinton a pu supprimer et nettoyer à l’acide 33 000 courriels APRÈS avoir été citée à comparaître par le Congrès. Personne, absolument personne ne lui a demandé de rendre compte de ses actes ».

Un article paru dans le média “The Federalist” au lendemain du raid lui faisait écho, bien qu’écrit de la plume d’un journaliste qui n’était pas un de ses fans. Il relevait qu’en juillet 2016, au plus fort de la campagne présidentielle, le directeur du FBI de l’époque, James Comey, avait annoncé les résultats de l’enquête de son agence sur le serveur détruit de Hillary Clinton et ses emails disparus. Malgré sa conclusion qu’utiliser un serveur privé pour l’envoi d’emails professionnels classés secrets était inacceptable pour une secrétaire d’État, et que Hillary avait sciemment mis en danger la sécurité nationale, cette dernière n’avait jamais été inquiétée. Il y avait un contraste flagrant, concluait l’éditorialiste du “Federalist”, entre l’extrême rigorisme du FBI à l’égard de Trump qui, en tant que président, avait le pouvoir de déclassifier tout document selon son bon vouloir, et son extrême laxisme vis-à-vis des agissements manifestement criminels de Hillary Clinton qui, en tant que simple secrétaire d’État, n’avait pas les mêmes prérogatives.

Sans surprise, Twitter s’était mis à suspendre les comptes des utilisateurs qui relevaient l’inégalité de traitement entre Trump et Hillary Clinton par le FBI. Le journaliste Paul Sperry du “New York Post” en fit l’expérience lorsque son compte fut clôturé sans autre forme de procès.

Autre incohérence : le juge Reinhart, qui avait signé le mandat le 5 août, avait autorisé le FBI à effectuer sa perquisition d’ici au 19 août 2022”, délai étonnamment étendu compte tenu des bruits que le DoJ avait fait courir sur des secrets ou codes nucléaires prétendument cachés par Trump à son domicile.

Trump se moqua sur sa plateforme de Truth Social de cette nouvelle insinuation, suggérant que les feds [=fédéraux] qui avaient écarté du site ses avocats et son personnel pour rester seuls à fourrager dans sa maison y avaient peut-être planté les secrets nucléaires qu’ils voulaient y “découvrir”.

Monica Crowley, ancienne fonctionnaire du département du Trésor de Trump, ridiculisa les inspecteurs sur Twitter : « Alors maintenant, ils nous disent que Trump pourrait avoir détenu les secrets nucléaires les plus sensibles de notre nation — mais qu’ils ont attendu un an et demi pour aller les chercher ? Et puis quoi encore ? Qu’il cache des missiles nucléaires sous son lit ? »

À la demande du DoJ [ministère de la Justice], mais également sur insistance de Trump lui-même, le juge d’instance Bruce Reinhart avait décidé de desceller le mandat de perquisition utilisé par le FBI. Trump voulait priver de munitions ceux qui le soupçonnaient de détenir une copie du mandat et d’en dissimuler le contenu. Trump affirma avec emphase qu’il ne faisait pas qu’accepter, mais qu’il réclamait la divulgation du mandat, alors même qu’il devait être rédigé en termes probablement désobligeants pour lui par ses adversaires politiques.

Ce dernier, descellé le 12 août, révéla que l’ancien président “faisait l’objet d’une enquête pour violations présumées de la loi sur l’espionnage, et pour obstruction à la justice”.

Pour corser davantage la sauce, une information émergea selon laquelle le juge Bruce Reinhart, qui avait signé le mandat de perquisition du FBI avait, avant de devenir juge fédéral, défendu des associés de Jeffrey Epstein, le pédophile et prédateur sexuel arrêté sous la présidence de Trump.

Donald Jr. ne laissa pas ce détail croustillant passer inaperçu:

« Si vous croyez vraiment que c’est par coïncidence que l’avocat de Jeffrey Epstein est devenu juge fédéral et, de surcroît celui à qui, entre des milliers d’autres, il reviendrait de signer le mandat de perquisition de Mar-a-Lago, c’est que vous n’êtes pas très attentif à ce qui se passe ! »

Autre détail intéressant : un document portant la date du 18 septembre 2008 et émanant du FBI fit son apparition sur certains réseaux. Il attestait que Jeffrey Epstein, poursuivi par l’État de Floride pour proxénétisme auprès d’enfants, avait conclu une entente sur le plaidoyer en vertu de laquelle il ne serait pas inquiété par la Justice fédérale, s’il acceptait de collaborer avec le FBI en qualité d’informateur. Il bénéficierait de cette immunité pour aussi longtemps qu’il continuerait à respecter son accord avec l’État de Floride.

Certains se souviendront qu’Epstein, lors de sa première condamnation de 2008, s’en était tiré avec seulement 18 mois d’incarcération dans une aile spéciale d’une prison de nuit locale, avec la liberté de rentrer chez lui durant la journée. Peine d’une légèreté sans précédent pour les crimes dont il était accusé. Le juge Reinhart, qui exerçait alors la profession d’avocat, faisait partie de son équipe juridique et avait participé à la négociation de cet arrangement généreux. Celui-ci non seulement épargnait à leur client les peines normalement applicables, mais il protégeait également son entourage ou ses « invités », notamment Bill Clinton et la famille Bush, de poursuites ou même de la moindre enquête.

Onze ans plus tard, Epstein s’était fait prendre pour de bon sous la présidence de Trump. Une de ses victimes, Virginia Roberts Giuffre, avait intenté un procès au gouvernement fédéral en 2015 pour violation de ses droits civils, faisant valoir que l’acceptation d’un accord trop clément pour Epstein en 2008 lui avait permis de récidiver.

La Maison Blanche a ordonné le raid de Mar-a-Lago:

Tandis que le débat faisait rage pour savoir si le FBI n’avait fait que son strict devoir, comme il le prétendait, ou s’il avait largement outrepassé ses prérogatives comme les partisans de Trump et bon nombre d’Américains le soutenaient, un nouveau coup de théâtre éclata, avec l’émergence de documents officiels attestant que la Maison Blanche avait elle-même organisé le raid du 8 août, en collusion avec le DoJ [Ministère de la Justice] et NARA [les Archives nationales].

Ces documents, examinés pour la première fois le 22 août par John Solomon, journaliste du média en ligne “Just the News”, puis aussitôt après par la chaîne grand public “Fox News”, révélaient que Biden avait travaillé directement avec le DoJ et NARA pour ouvrir la voie à une enquête pénale contre le président Trump. Jusque-là, la Maison Blanche avait nié toute connaissance préalable du raid du FBI.

Un dossier remis au tribunal démontrait que, contrairement à ses dénégations, Joe Biden était personnellement impliqué dans le raid et l’avait même “réclamé” depuis le mois de mai. Il avait ensuite apparemment passé deux mois à chercher le juge qui accepterait de signer un mandat de perquisition contre un ancien président des Etats-Unis, et l’avait trouvé dans la personne du juge Reinhart, dont l’antipathie pour Trump était notoire mais que la déontologie aurait dû inciter à se récuser.

Toujours selon ces documents, la Maison Blanche avait en outre discuté de la manière de circonvenir au secret professionnel qui protégeait certains des documents échangés entre Trump et ses avocats, pour pouvoir les saisir.

Les documents remis au tribunal révélaient enfin que la Maison Blanche avait indiqué à NARA qu’il n’y avait pas lieu de respecter le privilège normalement reconnu à un ancien président, en l’occurrence “l’immunité de l’exécutif” du 45e président, et qu’elle-même ne l’honorerait pas.

Le juriste et démocrate grand teint Alan Dershowitz, célèbre avocat et professeur émérite de droit de Harvard, commenta à ce sujet qu’un président en exercice n’avait a priori pas le droit de révoquer ex post facto l’immunité de l’exécutif de son prédécesseur sans son consentement. Cela revenait à vider la notion d’immunité de tout contenu.

Dans la correspondance obtenue par “Just the News”, l’administration Biden soutenait qu’une décision de l’époque du Watergate donnait ce pouvoir au président en place. Mais l’argument était spécieux, car dans l’affaire “Nixon v. Administrator of General Services”, si l’invocation par l’ancien président Nixon de son immunité présidentielle avait été jugée sans objet, c’était surtout parce que Nixon avait été gracié après sa destitution par son successeur, le président Ford. Sa seule motivation en faisant valoir son immunité semblait donc être de préserver ce qui lui restait de réputation auprès du public, avait conclu la Cour, et non le désir d’échapper à des poursuites judiciaires.

Les adversaires politiques du Président Trump ont frappé fort

Il en allait autrement pour Donald Trump, puisque les pénalités pour les violations dont il était accusé pouvaient lui coûter jusqu’à 20 ans de prison, ou même la peine de mort, si l’on parvenait à leur trouver des circonstances aggravantes, notamment en y greffant des éléments empruntés à d’autres affaires pendantes, comme celle du 6 janvier, le rôti que l’on resservait à toutes les sauces depuis bientôt deux ans.

Par ailleurs, dans l’affaire de “Nixon v. Administrator of General Services”, le président de la Cour suprême Warren Burger avait émis un avis contraire à la décision de la Cour. Selon lui, le privilège de l’exécutif de l’ancien président Nixon et la Constitution des États-Unis avaient bel et bien été violés par la loi que le président Ford avait fait voter pour saisir les documents présidentiels de son prédécesseur.

Enfin, dans le cas du président Nixon il y avait eu flagrant délit, donc délit consommé, ce qui n’était pas du tout le cas pour le président Trump, puisque l’administration Biden ordonnait que soient saisis des documents non seulement en l’absence de délit avéré, mais même de “cause probable”, et ce, dans l’espoir hypothétique d’y découvrir quelque chose pour l’incriminer ou, pire, pour nuire à sa candidature politique.

La cause du raid invoquée par le FBI était la récupération de quelque 15 caisses de documents qui devaient revenir à NARA [les Archives Nationales] et qui contenaient, prétendument, des informations de sécurité nationale. Dans le même but, le FBI s’était aussi acharné contre le coffre-fort de Trump sans mandat spécifique, et l’avait brisé, pour le trouver vide.

Aucune injonction de produire n’avait au préalable été envoyée à Trump, que ce dernier aurait refusé d’honorer. Au contraire, lors de la dernière visite du FBI du 3 juin à Mar-a-Lago (qui suivait celle de NARA en février) les feds avaient emporté un certain nombre de dossiers puis demandé que ceux qu’ils n’emportaient pas soient protégés par un verrou spécifique. Ce qui avait été fait.

Au niveau de l’ampleur de la perquisition, on n’y était pas non plus allé de main morte : le mandat, annoncé par le ministre de la Justice Merrick Garland comme étant « de portée limitée », s’était avéré au contraire incroyablement étendu, en violation du 4e amendement. Il stipulait une fouille du complexe entier, c’est à dire « des 58 chambres à coucher et 33 salles de bains de la résidence de Mar-a-Lago », sise dans un domaine de 17 acres (68 800 mètres carrés), ainsi que du « bureau du 45e président, de toutes les aires de stockage et autres pièces ou espaces de la propriété, utilisés ou susceptibles de l’être par l’ancien président et son personnel, de toutes les structures et de tous les bâtiments dans lesquels des boîtes ou des documents pouvaient être stockés. »

Bien que le mandat de perquisition n’ait officiellement été descellé que le 12 août par le Juge Reinhart, le DoJ l’avait auparavant laissé filtrer auprès du trio habituel (“New York Times”“Washington Post” et “Wall Street Journal”). Aussi, des informations diverses et variées circulaient, comme dans un tweet du 12 août de Rebecca Balhaus du “Wall Street Journal”, contre lequel s’insurgea Sean Davis, PDG et cofondateur du média patriote “The Federalist”:

“Moins de 24 heures après que le ministre de la Justice Merrick Garland ait promis de ne divulguer des informations que par le biais de documents officiels déposés devant le tribunal, le ministère dont il a la charge a divulgué de manière anonyme des informations au New York Times, au Washington Post et au Wall Street Journal”.

Le professeur Jonathan Turley s’était également élevé contre cette manière de “plaider par fuites interposées ”.

Enfin, comble de l’indignité, les passeports de l’ancien président avaient été eux aussi confisqués. Le FBI avait tenté de balayer les accusations de Trump, criées sur tous les toits. Il alla jusqu’à les nier sur la chaîne de « CBS News ». Mais un courriel rendu public par le porte-parole de Trump infligea un démenti cinglant à ces dénégations. Le courriel en question émanait de la division de la Sécurité nationale au sein du ministère de la Justice et il confirmait que les agents avaient « saisi trois passeports appartenant au président Trump, dont deux étaient périmés, mais le troisième était le passeport diplomatique dont il se servait ».

Par ailleurs, Trump et certains internautes n’excluaient pas que le FBI ait “planté” du matériel compromettant durant la perquisition. Des antécédents existaient, comme avec l’affaire du Russiagate. D’autant plus que la fouille s’était déroulée en l’absence du propriétaire des lieux et de sa famille et loin des regards de son personnel et de ses avocats, tenus à l’écart.

Trump s’en était plaint sur sa plateforme de “Truth social”“On a demandé à tout le monde de quitter les lieux. Ils voulaient être laissés seuls, sans aucun témoin de ce qu’ils faisaient, prenaient, plantaient même…”

« Pourquoi insister si LOURDEMENT* pour que personne ne les surveille… pour mettre tout le monde dehors ? » avait demandé l’ancien président, soulignant qu’Obama et Clinton n’avaient jamais été perquisitionnés en dépit de leurs énormes casseroles. * [En majuscules dans le texte original].

Un article du 3 septembre paru dans le “Gateway Pundit” lui donna raison en publiant une photo retouchée par le FBI, qui montrait des documents non conformes à l’inventaire, et vraisemblablement rajoutés.

Divulgation de l’affidavit utilisé pour justifier le raid du FBI

Le 26 août, le ministre de la Justice Merrick Garland publia un affidavit fortement expurgé, pour étayer le mandat de perquisition qu’il avait autorisé pour le raid du FBI à Mar-a-Lago. L’affidavit était tellement noirci que les motifs des expurgations présentés en annexe étaient eux aussi caviardés.

C’était le juge Bruce Reinhart qui avait signé le mandat autorisant le raid, tout en déclarant pour la forme que ce mandat était sans précédent. Puis, citant “un intérêt public et historique considérable” qui l’incitait à jouer la transparence, il avait, toujours pour la forme, fait mine de rejeter l’argumentaire de l’administration Biden qui désirait garder l’affidavit scellé.

Mais en fait de transparence, sur les 32 pages que contenait l’affidavit, 11 étaient presque entièrement caviardées et le reste était émaillé de nombreuses ratures.

Un internaute, @ChristoherDiaz1, fit remarquer, goguenard :

« On n’en peut plus de tant de transparence de la part du gouvernement. C’est dur à digérer, toute cette franchise ! »

Un autre blogueur parodia l’affidavit dans un tweet caricatural où tout était noirci sauf la mention que le FBI se préparait à faire une descente sur Mar-a-Lago, la cachette du “vilain bonhomme orange” (sobriquet parfois utilisé pour désigner Trump, en référence à son teint de peau ou à la couleur de son toupet).

“Mandat du FBI — Mar-a-Lago (cachette du vilain bonhomme)”. Signé: “Merrick Garland”.

Trump Jr s’était aussi mis à déblatérer dans une vidéo publiée sur Rumble. Il qualifia la divulgation de l’affidavit de parodie de justice et se moqua bruyamment “des motifs du caviardage”, eux aussi caviardés.

« Ils jouent la transparence juste pour la galerie », s’exclama-t-il, « pour que leurs petits caniches des médias se mettent à s’extasier, mais ils démontrent par leurs actions qu’ils n’en veulent surtout pas ! Pourquoi sinon auraient-ils interdit à nos avocats d’être présents durant la perquisition ?

Et ces mêmes agents du FBI qui ont menti devant le Congrès ont ensuite l’aplomb de venir sur CNN nous faire la morale si on ose les dénoncer? ” s’indigna-t-il.

Dès la publication de l’ersatz d’affidavit, Trump s’était mis à conspuer le Juge Reinhart:

« Le juge Bruce Reinhart n’aurait JAMAIS dû autoriser l’entrée dans ma maison par effraction. Il s’est récusé il y a deux mois dans une des enquêtes me concernant, en raison de son hostilité et de sa profonde antipathie envers votre président préféré : moi », écrivit Trump sur sa plateforme de « Truth Social ». « Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi ne s’est-il pas récusé ici aussi ? Obama doit être très fier de lui en ce moment ! »

En fait de justificatif, l’affidavit n’était que l’énoncé de soupçons fait sur un mode incantatoire, comme s’il suffisait de répéter qu’il y avait cause probable pour que ce soit vrai :

« Nous avons des raisons probables de croire que des documents supplémentaires contenant des informations classifiées NDI [National Defense Information] ou des documents présidentiels soumis à certaines exigences de conservation se trouvent actuellement sur les lieux. Il existe également des présomptions que des preuves d’obstruction y seront trouvées. »

Si le FBI présumait l’existence d’autres documents, pourquoi ne les avoir pas cherchés lors de sa visite précédente ? Il s’était contenté de recommander de mettre sous verrou tout ce qu’il n’avait pas choisi d’emporter, et cela avait été fait. Où était l’obstruction?

L’avocat Alan Dershowitz vola au secours de Reinhart: la colère du public, estimait-il, ne devait pas être dirigée contre le juge pour avoir signé l’ordre de perquisition mais plutôt contre le ministre de la Justice Merrick Garland pour avoir ordonné la descente du FBI.

« Selon le règlement même du DoJ, on n’ordonne pas de perquisition à moins que ce ne soit le seul moyen d’obtenir le matériel recherché », déclara Dershowitz, peut-être en réponse à ceux qui questionnaient les mobiles de Reinhart après qu’il eut été révélé que le juge avait défendu Jeffrey Epstein en tant qu’avocat de la défense en 2008.

Alan Dershowitz, un invité du pédophile Jeffrey Epstein sur son île, avait lui aussi joué un rôle important dans son procès de 2008 en tant que membre de son équipe juridiqueaux côtés de Reinhart. Il avait aidé à choisir Ken Starr, l’avocat vedette qui avait organisé un traitement clément pour Epstein. Ce dernier avait reçu une immunité fédérale contre l’accusation de traite de mineures, comme expliqué plus haut.

Certains craignent un piège tendu à Trump

Trump s’était mis à tonitruer contre le FBI sur sa plateforme de “Truth Social”, l’accusant d’“abus de pouvoir”, de corruption, d’effraction de son domicile où il avait peut-être “planté” des preuves bidonnées pour l’incriminer, ou installé des écoutes, ou encore procédé à la reclassification de documents déjà déclassifiés pour pouvoir ensuite l’accuser de recel de documents non autorisés.

Il affubla même le FBI du nom de “Fascist Bureau of Investigation”, parla de ses “atrocités commises pendant des années”, de “violations inimaginables des lois et des libertés”, de la descente du pays vers un état de non-droit, de fraude électorale, de frontières passoires, de non-exécution des lois, de destruction scandaleuse des institutions…

Joshua Philipp, un journaliste à “Epoch Times”, craignait que ce raid ne soit un piège visant à attiser la colère de Trump pour la retourner ensuite contre lui, et que ses opposants l’utilisent pour l’incriminer ou pour justifier une surveillance accrue des Américains ordinaires, voire des persécutions contre eux, dans le cadre d’une redéfinition élargie de la notion de “terrorisme intérieur”.

Comment, se demandait Joshua Philipp, ne pas s’interroger aussi sur certaines des phrases les plus provocantes de Trump, comme: “Je ne crois pas que le peuple le supportera”, ou: “Combien de temps encore sommes-nous tous censés le supporter ?” Ses partisans les plus radicaux n’y verraient-ils pas une incitation à certaines actions susceptibles d’être qualifiées de “terroristes” par l’adversaire?

On avait vu ce dont la cabale était capable lors de l’incident sous faux drapeau du 6 janvier 2021, que l’on n’avait pas fini d’agiter comme un épouvantail, en faisant allègrement l’impasse sur les saccages considérables causés par les protégés des Démocrates, BLM ou Antifas, dans le sillage de la mort du présumé George Floyd.

Le sénateur Lindsay Graham avait déclaré à Fox News: “Si Trump est inculpé, il y aura des émeutes dans les rues”. Ce commentaire, en apparence sympathique à Trump, contenait probablement plus de fiel que de miel. En effet, Lindsay Graham est un Rino [Republican in name only, un vendu] à la langue fourchue, qui n’en est pas à sa première fourberie. Prédire des émeutes, n’était-ce pas faire le lit d’une future répression de prétendus actes de “terrorisme intérieur”?

La prudence s’imposait donc. D’autant plus, commenta Philipp, que si le FBI avait certainement eu son lot de critiques, jamais de mémoire récente, une personnalité du niveau d’un ancien président américain n’avait accusé des agents fédéraux de commettre des « atrocités », de « s’immiscer avec brutalité et violence » dans la vie politique de la nation et de « détruire » les États-Unis.

« Quand vous attaquez les agents du FBI parce que vous faites l’objet d’une enquête pénale, c’est que vous êtes en train de perdre… »

C’était le tweet mémorable de Sarah Huckabee Sanders, conseillère de la campagne Trump et future secrétaire de presse de la Maison Blanche. Il avait été, en 2016, adressé à Hillary Clinton dont l’antipathie pour le FBI était palpable lors de sa campagne malheureuse contre Trump.

Trump serait-il donc en train de perdre la manche, pour s’en être pris au FBI comme l’avait fait Hillary Clinton, au moment où elle perdait pied?

Pas forcément.

Si Trump fait en ce moment l’objet d’une enquête, comme Hillary autrefois pour le scandale de ses e-mails, il n’en est pas à sa première et il s’en est toujours sorti indemne. Deux tentatives de le destituer ou de le rayer de la vie politique n’ont pas eu raison de sa popularité. Elles ont même eu l’effet inverse. Obama et Hillary Clinton, qui avaient monté de toutes pièces le Russiagate en bidonnant le dossier Steele, ont été discrédités ; l’enquête du conseiller spécial Robert Mueller s’est soldée par un flop et la preuve de ses mensonges pour le compte de ses commanditaires démocrates vient d’émerger le 26 août dernier ; quant au directeur du FBI, James Comey, il avait terminé sa carrière en disgrâce.

Des enquêtes qui blanchissent systématiquement l’accusé et se retournent contre les accusateurs ne sont pas monnaie courante. Est-il possible de croire à un tel cadeau du ciel, en un Père Noël descendant spécialement sur son traîneau pour décharger sa hotte dans la cheminée de Donald Trump ?

Ou alors assistons-nous plutôt à une série d’événements pilotés en coulisses par une armada de loyalistes patriotes, à pied d’œuvre pour déjouer les pièges de la cabale mondialiste, voire pour les devancer et pour la prendre dans ses propres filets?

Et si c’était Trump qui était en train de piéger le FBI?

C’est l’idée ancrée dans l’esprit de plus d’un. Car il avait suffi d’un raid sur la résidence privée du président Trump pour déclencher une vague de colère contre le FBI, le DoJ [Ministère de la Justice] et le régime de Biden. Les appels à « enquêter sur le FBI et même à le démanteler », qui relevaient jusque-là d’un discours « marginal et périphérique », s’étaient multipliés dans les milieux conservateurs.

Le parlementaire Mike Johnson déplora dans une interview accordée à “Epoch Times” les abus de pouvoir du FBI, facilités par le militarisme du ministère de la Justice sous le régime de Biden, qui avaient ébranlé la confiance des Américains dans leurs institutions politiques.

Le sentiment général était que les agences fédérales avaient fait tomber le masque, ne craignaient plus de se montrer à visage découvert et d’apparaître comme les officines tyranniques et sans scrupules qu’elles avaient toujours été.

Kash Patel, avocat et chef de cabinet du secrétaire américain par intérim à la Défense sous la présidence de Donald Trump, accorda le 23 août une interview de 25 min à l’animateur Nino Rodriguez, sur le thème de la corruption des institutions étatiques et de la crise de confiance des Américains dans leur gouvernement, entrée désormais en phase terminale. Les années où Patel avait occupé les fonctions de procureur à la Sécurité nationale dans l’affaire du Russiagate lui avaient enseigné que lorsqu’on attrapait des agences gouvernementales comme le FBI, le DoJ ou NARA [Archives nationales]) en flagrant délit de mensonge, et qu’elles se mettaient à se rejeter la faute les unes sur les autres, on avait gagné la partie, si on parvenait à éviter d’être pris dans leurs tirs croisés.

« Ça prend un petit peu de temps », commenta-t-il, « car au début les agences font toutes bloc, y compris avec les médias maffieux qui chantent en chœur avec elles. Mais à moment donné, vous arrivez à mettre la main sur la preuve qu’elles ont menti et agi dans l’illégalité et là, ça commence à changer. Au départ, la Maison-Blanche jurait ses grands dieux qu’elle était en dehors du coup, or non seulement on découvre qu’elle est impliquée jusqu’aux yeux, mais encore qu’il était exclu qu’elle ne le soit pas et qu’elle n’ait pas autorisé ce raid. Ces agences ne sont pas encore tout à fait en mode panique, mais on y vient. Quand leurs mensonges seront exposés à la vue de tous, le vent tournera pour elles. »

Patel croyait que les mid-terms [=élections de mi-mandat] joueraient un rôle clé et qu’une fois que les Républicains auraient regagné la majorité, il leur fallait faire marcher la planche à injonctions : ordres de production de documents, citations à comparaître, assignations, etc.. Et si les agences renâclaient ou traînaient la patte, alors le Congrès qui contrôle le budget devait leur couper les vivres:

« Je vous garantis qu’en 24 heures, les documents seront remis. Il n’y a que comme ça que les Américains verront par eux-mêmes la malfaisance de ces agences. Car pour le moment, les mêmes pourris qui ont concocté le Russiagate sont de retour au pouvoir au DoJ, les mêmes qui ont trempé dans les affaires de Hillary Clinton, du laptop de Hunter Biden, etc. sont à pied d’œuvre dans la descente sur Mar-a-Lago. Des gens dont l’objectif final est de barrer la route à Donald Trump ».

Patel était d’avis qu’il fallait les mettre au pas, souligner en rouge leurs abus de pouvoir, ne pas relâcher la pression. Il prédisait qu’on verrait de plus en plus d’agents du FBI devenir lanceurs d’alerte, et qu’il faudrait les soutenir. De vrais lanceurs d’alerte, précisa-t-il, comme il y en avait déjà une douzaine qui avaient surgi récemment. Pas comme ceux du Russiagate, ajouta-t-il dans une allusion au dossier Steele, fabriqué de toutes pièces par un lanceur d’alerte bidon. Le changement ne se ferait pas du jour au lendemain, mais d’après lui la vérité finirait par sortir, comme pour l’histoire de Hunter Biden, où le “New York Post” s’était au début fait censurer par Twitter pour avoir couvert en première page l’affaire de son ordinateur portable, qui était à présent un secret de polichinelle.

« Ces gens-là sautent d’un scandale bidonné à un autre », ajouta-t-il. « Quand l’un ne donne plus de jus, ils passent à un autre, mais ils finiront bien par caler. Nous devons les débusquer sans leur laisser de répit. Je suis persuadé que le raid de Mar-a-Lago est une manœuvre de diversion pour faire oublier les casseroles des Biden, je ne pense pas que cela ira jusqu’à une inculpation de Trump. Ce n’est pas qu’ils ne le veuillent pas, ils aimeraient bien l’arrêter, mais je ne crois pas qu’ils le feront. Je crois qu’il y en a un ou deux parmi eux qui sont un peu plus futés que les autres et qui ont réalisé que… ils font ça et Trump n’a même pas besoin de se représenter en 2024, il est le Président », ajouta-t-il avec un grand sourire entendu. [NDT: allusion à la thèse de la dévolution selon laquelle Trump serait toujours secrètement président et prêt à être ramené par l’armée en cas d’atteinte à la sécurité nationale].

“Ils ont cru que le raid allait le mettre par terre, mais ils se sont bien fait avoir : en fait il n’a jamais été aussi populaire. Les fonds des donateurs affluent et battent tous les records. Sa base électorale est plus dynamique que jamais”, affirma Kash Patel en conclusion.

Le général Flynn, interviewé le 19 août par David Zhang de “Epoch Times”, croyait aussi que la persécution politique incessante à laquelle Trump était en butte l’avait rendu plus résolu à se battre. Lui-même, un général 3 étoiles et directeur de la plus grande agence de renseignements des Etats-Unis, voire du monde [NDT: la DIA ou Défense Intelligence Agency] avait été victime d’une chasse aux sorcières à l’instigation du FBI.

Le peuple américain, qui en avait soupé de tous ces abus du FBI, appelait ouvertement à son démantèlement, car sa confiance était sérieusement ébranlée. Ironiquement, les attaques contre Trump avaient renforcé la popularité de ce dernier et le général fit remarquer que les levées de fonds de la dernière semaine avaient été phénoménales.

Les attaques ne venaient pas, selon Mike Flynn, de Joe Biden ou de Kamala Harris, car “ces deux-là n’avaient pas l’air capables de mettre un pied devant l’autre”, mais d’“éléments qui se tenaient derrière eux”. Ouvrons ici une parenthèse dans le récit pour faire remarquer que Flynn eut deux mois plus tard l’occasion d’expliciter sa pensée, dans un éditorial rédigé le 15 octobre pour le “Western Journal”. Il écrivit que le procès d’Igor Danchenko (Russiagate) avait révélé ce que beaucoup savaient déjà: “le FBI n’était pas seul dans ce complot contre la nation”, ses véritables commanditaires étant le “gang” formé par Obama et Hillary Clinton, qui œuvraient à travers leurs “larbins imbéciles” du département de Justice.

Pour revenir à l’interview de « Epoch Times », Flynn affirma aussi à son intervieweur qu’un président était souverain en matière de classification et de déclassification, et donc que toutes les absurdités qui avaient été débitées à ce sujet n’étaient là que pour faire du bruit. Le président avait aussi droit à un SCF [NT : prononcer skif. Secure Compartment Facility] à son domicile, c’est-à-dire à un endroit protégé où garder ses documents confidentiels pour les consulter. Tellement de choses fausses avaient été dites à ce sujet, s’exclama le général Flynn, c’était vraiment du grand n’importe quoi :

« Si les rumeurs sur un péril nucléaire que ces documents faisaient courir à la nation étaient vraies, vous imaginez-vous qu’ils auraient attendu un week-end entier, entre la date de la signature du mandat un vendredi et celle de son exécution le lundi suivant ? »

La solution à cette succession ininterrompue de drames était entre les mains du peuple américain, pas du gouvernement, estimait le général. La Constitution demandait à “We, the People” d’avoir le courage de ses convictions et de se battre pour elles en s’impliquant dans l’action civique. Elle l’engageait aussi à réclamer des comptes à ses dirigeants.

Les sondages qui avaient succédé au raid sur Mar-a-Lago montraient que les Américains en étaient conscients : la progression de l’ordre de 20 % de la cote de popularité de Trump se lisait en creux comme une motion de censure contre l’action du FBI. L’arrogance des agences de renseignement les mènerait à leur perte, croyait le général qui en avait une connaissance intime :

« Elles se croient invulnérables et c’est leur talon d’Achille. Le peuple doit retourner cette faiblesse à son avantage ».

Mais risquer une inculpation pour piéger l’adversaire, n’est-ce pas jouer avec le feu?

Un internaute n’était guère inquiet :

« C’est vrai, ils veulent que Trump soit arrêté, mais je ne pense pas qu’ils y arriveront. Je ne dis pas qu’ils n’essayeront pas, car ce sont des idiots. Ils veulent vraiment des troubles civils, mais le peuple est trop malin pour se laisser prendre. »

Un autre était encore plus enthousiaste :

« Ha ha ! Je me sens super bien…Trump a toujours deux longueurs d’avance sur la cabale…préparez-vous tous…Trump a toujours dit qu’il allait faire tomber le FBI pourri…ils sont tombés dans le piège…ça va être biblique…Dieu est en train de gagner, nous sommes en train de gagner, le monde est en train de gagner. Trump tient tête à la tyrannie…il est en train de démasquer les tyrans… »

L’avocat et commentateur politique Ben Shapiro se voulait également rassurant. Il n’était pas d’accord avec certains experts qui estimaient, à l’instar de l’ancien procureur fédéral Neama Rahmani, qu’une inculpation empêcherait Trump de se présenter en 2024 et même d’exercer des fonctions politiques:

« Pour votre gouverne, vous qui prétendez que contrevenir à la réglementation sur les documents classifiés empêcherait Trump de se présenter, désolé de vous contredire, mais les sanctions prévues pour ce type d’infraction ne sauraient le disqualifier ni se substituer aux critères d’éligibilité tels que définis par la Constitution ».

L’avocat et professeur de droit Jonathan Turley était plus mitigé. Le raid lui semblait être le prolongement d’une ancienne querelle entre Trump et les Archives nationales au sujet du sort des documents régis par le Presidential Records Act (PRA). Turley avait lui-même témoigné devant le Congrès sur les saisies de Mar-a-Lago et sur le droit qu’avaient les Archives nationales de demander l’intervention du ministre de la Justice pour faire respecter le texte de loi du PRA.

Cela étant dit, le PRA, qui stipulait que les documents devaient [être] conservés par NARA, ne prévoyait pas de mécanismes d’exécution. Par ailleurs, les présidents des administrations précédentes s’étaient toujours cabrés contre les contraintes de cette loi relative aux documents présidentiels et contre l’obligation de divulguer ceux qui se trouvaient en leur possession. Les infractions au régime du PRA ne faisaient que rarement l’objet de poursuites pénales, et les poursuites passées avaient abouti à des peines remarquablement légères: amendes ou emprisonnement inférieur à trois ans.

Nonobstant ce manque de sévérité, des allégations de suppression de matériel classifié pouvaient en principe déclencher l’invocation d’autres violations plus graves ou de circonstances aggravantes. On pouvait citer l’exemple de l’ancien directeur du FBI, James Comey, qui avait emporté des documents du FBI classés sous le sceau du secret mais avait ensuite divulgué des informations les concernant à la presse. Et pourtant, malgré ces circonstances aggravantes, il n’avait pas été poursuivi. Autre exemple, l’ancien directeur de la CIA et général quatre étoiles à la retraite David Petraeus, qui avait été accusé d’avoir partagé des informations classifiées avec sa maîtresse, Paula Broadwell. Malgré la gravité des faits qui lui étaient reprochés, Petraeus avait également bénéficié d’un généreux arrangement sans peine de prison.

Cibler Trump pour une affaire de PRA susciterait à coup sûr des interrogations sur la nécessité d’un tel raid, estimait le Pr Turley, à plus forte raison s’il était possible d’exiger la production des documents saisis par d’autres moyens, et surtout si près des élections de mi-mandat. Ceci dit, des accusations au pénal demeuraient théoriquement possibles, selon lui, malgré l’optimisme excessif affiché dans certains milieux.

Le professeur Alan Dershowitz déclara quant à lui au « New York Post » qu’il y avait suffisamment de preuves mentionnées dans l’affidavit caviardé du FBI pour inculper l’ancien président Donald Trump : « N’importe quel grand jury de Washington D.C. inculperait Trump s’il est prouvé qu’il était en possession de matériel en violation de la loi ». Mais Dershowitz mettait néanmoins le ministère de la Justice en garde contre la poursuite de cette affaire : « Obtenir un mandat de perquisition n’est pas difficile : un grand jury est même capable d’inculper un sandwich au jambon. C’est justement pour ça que nous devons toujours exercer notre pouvoir discrétionnaire dans la poursuite des affaires ». Il citait à l’appui de son analyse l’impuissance de l’enquête sur Trump à passer ce qu’il appelait les « tests Nixon et Clinton ». C’est-à-dire l’impuissance à établir un large appui bipartite comme dans le cas de Nixon, et l’incapacité à démontrer que la conduite de Trump était pire que celle de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton dans le scandale des e-mails classifiés.

Le risque existe donc, en principe du moins. L’inculpation de Trump a été réclamée par le New York Times dans un réquisitoire qui constitue un véritable monument d’hypocrisie : pour le “Times”, Trump avait commis une “attaque sans précédent contre l’intégrité de la démocratie américaine”, ce qui appelait une “enquête criminelle sur ses malversations post-électorales” et sur ses tentatives de subvertir la Constitution et la volonté du peuple américain.

Puisqu’un risque semble exister, la question qui se pose est: vaut-il la peine d’être pris? Le raid aura-t-il été utile pour faire avancer le plan d’“assèchement du marécage”, selon la promesse électorale faite par le candidat Trump en 2016?

Le jeu en valait-il la chandelle?

Il semble que l’on puisse répondre par l’affirmative. Et ce, pour trois raisons principales :

1- Un test utile de loyauté

Trump, bien avant le début de son engagement politique, alors qu’il n’était qu’un entrepreneur new-yorkais d’une quarantaine d’années, avait confié à Charlie Rose, journaliste de la chaîne PBS :

« Un jour, j’aimerais peut-être tout perdre pendant un certain temps, pour découvrir qui est loyal et qui ne l’est pas. En fait, j’ai compris que ce n’était pas quelque chose qu’on peut deviner à l’avance, ni prédire. Vous croyez parfois que certaines personnes vous seront loyales quoi qu’il arrive, et puis il s’avère que non. J’ai traversé une période de deux ans qui n’a vraiment pas été facile. Tout à coup, le monde semblait toucher à sa fin. C’était une expérience surréaliste. J’aurais parié ma vie sur certaines personnes, mais elles n’ont pas été là pour moi… Ce n’est pas quelque chose que l’on peut prévoir, c’est très difficile. Ça m’a beaucoup appris sur moi-même et sur les autres. »

La leçon de vie que Donald Trump avait apprise est qu’il fallait être sur le point de tout perdre, ou presque, pour pouvoir juger de la loyauté de son entourage. C’est quand on est au plus bas que les gens se dévoilent. Subir une descente des services secrets sur son domicile quand on a été président des États-Unis est à n’en pas douter un coup dur pour la dignité. Et pourtant… à condition de garder le contrôle de la situation, n’est-ce pas le prix à payer pour voir les “créatures du marais” sortir une à une pour s’acharner sur vous? Quand on s’appelle Donald Trump et qu’on est l’auteur de deux best-sellers: “The Art of the Deal”, et “the Art of the Comeback”, la question ne se pose même pas.

Pour ne citer que lui, son vice-président Mike Pence l’avait trahi, selon toutes les apparences, en ne s’opposant pas à ce que le Congrès certifie les résultats de l’élection présidentielle le 6 janvier 2021. Il était pourtant au courant de la fraude. Et voici qu’après le raid du 8 août, Pence récidivait en donnant, au Collège “Saint Anselm”, une conférence aux membres du parti républicain [GOP] au cours de laquelle il défendait le FBI en disant qu’il fallait arrêter de lui tomber dessus au sujet de ce raid contre la propriété de Trump.

Il s’attira les foudres de Steve Bannon, analyste politique proche de Trump, qui le qualifia de “traître dégoûtant”.

2- Appâter l’adversaire pour l’inciter à agir dans le sens voulu

Comment attrape-t-on un poisson ? Avec un appât. Trump a appâté les traîtres pour les faire sortir de l’ombre et s’avancer vers lui. Avec l’affaire des documents secrets de Mar-a-Lago, il a attiré les “créatures du marais” hors de leur bourbier. Dans une guerre irrégulière, on ne s’attaque pas directement à ses ennemis, on les appâte. Trump les a attendus, bien calé dans son fauteuil : il avait tous les documents qu’il lui fallait contre eux, puisqu’il avait procédé avant son départ de la Maison Blanche à des déclassifications massives, mais il voulait que tout se déploie étape par étape pour les laisser s’incriminer par eux-mèmes, et que chacun de leurs mouvements les fasse s’enfoncer davantage.

Or, sentant qu’ils n’avaient plus beaucoup de temps — car c’était un plan de 16 ans (8 ans d’Obama, et 8 de Hillary) qui tirait à sa fin — les malfrats allaient trop vite en besogne, ils avaient lancé tous leurs agendas simultanément: Russiagate, le Covid, la fraude électorale, le 6 janvier, le climat, l’Ukraine, l’économie, les pénuries, le raid du FBI… Ce qui devait faciliter leur regroupement, pour le coup de filet final.

Dans leur précipitation, ils ont accumulé les erreurs. Dans le raid du 8 août, ils ont violé des règles de procédure, remué de fond en comble les tiroirs de lingerie de Melania, brisé un coffre sans mandat…

Trump les attendait au tournant. Voici ce qu’il avait laissé dans le coffre-fort vide : “Merci d’avoir joué. La partie est finie.”

Ce raid anticonstitutionnel ne peut que se retourner comme un boomerang contre ses instigateurs, en les exposant. Comme le dit ce tweet publié par un supporter, citant un mot que l’on a prêté à Trump :

« Mon retour ne sera pas ma vengeance, il sera leur punition. »

Les caméras de vidéo surveillance de Mar-a-Lago avaient en outre filmé le raid, ainsi que le moment où le coffre-fort avait été cassé par la force. Trump et famille avaient pu tout visionner depuis New York en temps réel, avec les irrégularités qui avaient été commises. Eric Trump avait déclaré sur Fox News que sa famille était “absolument” décidée à diffuser la vidéo.

Trump avait sans tarder engagé des poursuites contre le FBI et le DoJ, en invoquant le 4ème amendement, qui prévoit que :

« Ne sera pas violé le droit à être protégé dans sa personne, sa maison, ses papiers et ses effets, contre les perquisitions et les saisies abusives, et aucun mandat ne sera délivré, sans cause probable, et sans être étayé par un affidavit décrivant avec précision le lieu à perquisitionner et les personnes à appréhender ou objets à saisir. »

L’affidavit caviardé ne satisfaisait ni à l’une ni à l’autre condition.

Par ailleurs, Trump réclama aussi la nomination d’un “Special Master” ou expert indépendant pour examiner de manière objective les documents saisis lors de la perquisition exceptionnellement étendue de sa propriété.

La nomination de “Special Masters” se fait de manière routinière pour rassurer l’opinion publique sur l’existence d’un examen impartial et répondre aux questions difficiles et non résolues liées aux documents collectés. Leur rôle est complémentaire de celui du tribunal, en cela qu’ils aident à établir un dossier sur lequel le juge pourra se prononcer.

Or le ministre de la Justice Merrick Garland, qui avait pourtant admis que le FBI avait peut-être saisi des documents protégés par le secret professionnel, commença par s’opposer farouchement à la requête de Trump, comme s’il redoutait que quelqu’un d’autre que ses petits copains du DoJ et du FBI ne puisse mettre le nez dans ce dossier.

Trump, qui savait probablement que le raid allait avoir lieu, avait malicieusement laissé traîner dans un des cartons un numéro du “Time Magazine”, au titre évocateur : “Toc, toc !” Il avait aussi placé 48 chemises vides étiquetées “Classé secret”. Trump jouait au chat et à la souris avec les fédéraux en leur mettant sous le nez des chemises ayant vraisemblablement contenu des informations accablantes sur des affaires dans lesquelles ils avaient trempé. Il se doutait que, pris de panique, ils accumuleraient les erreurs pour en retrouver le contenu.

Ces dossiers vides avaient fait leur effet. Le Washington Post, citadelle de l’Etat profond, publia la photo ci-après, tout en posant la question en gros titre: “Ce que nous savons de Trump et des chemises vides”.

Le 5 septembre, un tribunal fédéral infligeait un camouflet à Garland, en déférant à la requête de Trump de nommer un “Special Master” pour trier et départager les documents saisis par le FBI, et en ordonnant aux procureurs d’arrêter de les utiliser comme pièces a conviction jusqu’à ce que leur statut juridique soit tranché. Autre camouflet, la juge Aileen Cannon dénonçait le refus préalable du département de Justice de reconnaître à l’ex-président Trump l’immunité de l’exécutif. Enfin, en pages 2 et 3 de sa décision, la juge révélait que le régime de Biden n’avait pas fait qu’organiser, mais qu’il avait bel et bien ordonné le raid du FBI aux fins de saisir les documents conservés à Mar-a-Lago.

La frénésie invariablement suscitée par tout ce qui a trait à Trump explosa avec une virulence particulière à l’annonce de la nomination d’un “Special Master”. La juge Cannon fut même accusée de faire entrave à la bonne marche de la Justice.

Et le DoJ contesta immédiatement son ordre au motif qu’empêcher l’exécutif d’examiner ces documents par lui-même causerait “un préjudice immédiat et sérieux au gouvernement et au public”. Il demandait à la juge un moratoire sur une partie de sa décision afin que le gouvernement puisse examiner les dossiers en interne, avec la participation du FBI, avant que le “Special Master” ne se prononce sur leur statut.

Laurence Tribe, un professeur à Harvard (celui-là même qui avait récemment demandé que Trump soit accusé de tentative de meurtre contre son ancien vice-président Mike Pence), alla jusqu’à dire que l’ordre de nommer un maître spécial pour examiner de manière indépendante les documents saisis constituait un abus du pouvoir judiciaire.

Le Pr Jonathan Turley commenta dans un éditorial que c’était au contraire le ministère de la Justice qui avait sérieusement abusé de sa position en prétendant qu’un examen indépendant ne pouvait en aucune manière être une menace pour la sécurité nationale, tout comme le DoJ s’était moqué du monde en publiant un affidavit caviardé.

Les avocats de Trump, en réponse aux objections du DoJ, déclarèrent que le moratoire réclamé revenait à « préjuger du résultat » de l’examen par le master spécial et que le PRA [Presidential Record Act relatif à l’archivage] donnait en tout cas à Trump un droit d’accès plein et entier à ses dossiers présidentiels, même s’il était entendu qu’il « n’en était pas propriétaire ». Les avocats en profitèrent pour marteler qu’une transparence totale, et non point seulement de façade comme pour l’affidavit caviardé, devait être observée dans la gestion de cette affaire.

Le ministre de la Justice Garland menaça la juge Cannon de faire appel de sa décision si elle persistait à ne pas lui accorder le moratoire demandé, et il mit sa menace à exécution le 8 septembre, montrant à quel point le gouvernement était hostile à l’idée qu’une tierce partie puisse mettre le nez dans sa tambouille.

Mais considérant l’importance d’une enquête lancée contre un ancien président des États-Unis, la Cour tomba d’accord avec le principal intéressé, pour décider qu’elle devait être conduite de manière publique, au vu et au su de tous.

3- La publicité sert la stratégie de Trump

Le raid et ses nombreuses péripéties ont d’abord eu le mérite d’attirer l’attention du public sur des documents relatant des faits que la presse mainstream refusait de couvrir, et dont le public ignorait jusqu’à l’existence. Et à présent, le pays entier regardait.

CNN releva le fait que Trump avait lui-même annoncé la perquisition, torpillant par lui-même son droit au secret de sa vie privée, afin d’orchestrer une tempête politique et discréditer le FBI. S’il est difficile de parler de secret et de vie privée quand un commando de 30 feds débarquent chez vous avec des voitures de police tous feux allumés, sur le reste, CNN n’avait pas tort.

Trump n’avait en tout cas pas une mine de chien battu, c’était le moins qu’on puisse dire. Plutôt le panache d’un acteur dramatique déclamant sa partition en amplifiant les moments forts pour l’édification du public.

“Ce n’est pas là un simple pion qui se meut sur l’échiquier. Plutôt quelque chose d’intermédiaire entre une tour et une reine”, commenta avec justesse le journaliste de CNN, Stephen Collinson.

Trump est connu pour ses talents de joueur d’échecs. On dit même de lui qu’il joue sa partie en 4D. Ce terme n’est pas agréé dans le monde des échecs (comme l’est celui de 3D), mais il est utilisé métaphoriquement en politique pour désigner quelqu’un dont les réactions imprévisibles déroutent mais dont on devine qu’il sait néanmoins où il va.

En fait, tout se passe comme si Trump (et les militaires patriotes qui l’ont poussé dès 2014 à se présenter) voulaient entraîner l’Etat profond là où le monde pouvait le voir pour ce qu’il était vraiment.

Acculé, celui-ci recourt de plus en plus aux méthodes autoritaires pour essayer de reprendre le contrôle de la situation, et fait tomber les masques dans sa précipitation. Alors que son modus operandi était l’infiltration et la “soft power”, il s’appuie de plus en plus sur la répression et la force policière. Lorsqu’on perd le contrôle du peuple, il ne reste plus qu’à aboyer pour le faire obéir et c’est ce qui se passe actuellement.

Des personnages clés de l’entourage de Trump ont fait l’objet de ce qui a été qualifié de “purge”: 50 perquisitions ou arrestations ont été ordonnées, dans le sillage du raid du FBI, contre les avocats Rudy Giuliani, Sidney Powell et Jenna Ellis, et contre les loyalistes Peter Navarro, Mike Lindell et bien d’autres …

Cet acharnement montre que l’Etat profond est en perte de vitesse. Il ne peut plus, comme avant, s’appuyer sur les “Fake News”, sur les médias mainstream qui étaient son moulin à propagande, car la mayonnaise ne prend plus; CNN est en train d’être “droitisé”par l’installation d’un nouveau PDG ; Big Tech ne fonctionne plus comme avant: Facebook rase les murs suite à des révélations publiques qu’il s’est fait avoir par le CDC au sujet des vaccins, et il envisage même de reprendre Trump pour faire patte blanche… Quand faire le gentil avec Trump devient synonyme de bonne conduite, c’est que les choses sont en train de changer.

Bref, toute l’infrastructure que l’Etat profond avait mise en place depuis des décennies est en train de s’écrouler. Certes pas à la vitesse de la foudre, mais à un bon rythme, qui va en s’accélérant.

L’État profond et les traîtres de Washington D.C. sont en panique et vont trop vite en besogne, car ils savent ce qui les attend. Si le peuple se réveille avant qu’ils n’aient pu se débarrasser de Trump, c’en est fait d’eux et de leur échafaudage de mensonges, qui s’effondrera comme un château de cartes, y compris pour ce qui a trait à la fraude électorale et à la fausse pandémie. Car tout était lié. Ils avaient besoin du vote à distance pour pouvoir frauder avec les machines à voter et installer leur pantin Biden. Or pour imposer le vote à distance, ils avaient besoin du Covid, qui n’était pas prévu pour si tôt. Il est arrivé en avance de deux ans sur le calendrier. Ils avaient également besoin du Covid pour confiner et tirer l’économie vers le bas, ce qui réduirait les chances de réélection de Trump. Puis, comme il s’avérait un adversaire plus coriace qu’ils n’avaient anticipé, les affaires bidonnées se sont multipliées pour le destituer. Comme le dit cette légende humoristique sous la photo de Trump vu de dos:

« Trump a été déclaré coupable lorsqu’il a été élu, et tout au long des six années qui ont suivi, ils étaient à la recherche de son crime. »

Mais il les a pris de vitesse : il a contourné le DoJ et le FBI, bien trop corrompus pour en attendre quoique ce soit de valable, en déclassifiant tout avant de quitter le Bureau ovale. Tous les documents protégés par le sceau du secret, tous les secrets inavouables que l’État profond essayait de camoufler, seraient ainsi portés à la connaissance du public, sans avoir à passer par le crible des bureaucrates du gouvernement. Tout ce qui avait trait à la création de la Fed, à l’assassinat de John F Kennedy, à l’attentat du 11 septembre, aux extra-terrestres, au Sida, à Ebola, au MERS, au SARS-Cov1, à Benghazi, aux emails de Hillary Clinton, à Pizzagate, à l’État islamique, à Burisma et à l’Ukraine, au Covid-19, à Russiagate, à la fraude électorale, au 6 janvier, à l’ordinateur de Hunter Biden et aux malversations de la famille Biden, aux réseaux pédocriminels, etc., etc..

Timothy Charles Holmseth, journaliste d’investigation et membre de l’équipe du Pentagone pour la lutte contre la pédophilie, publia le 30 août sur “Truth Social” et sur son site web, un billet intitulé “le président Trump tient le FBI et le DoJ par les bonbons.

Trump aurait en effet en sa possession des documents soumis à la justice américaine, établissant que le FBI et le DoJ sont co-conspirateurs dans une affaire autrement plus sinistre que celle du Russiagate, puisqu’ils exploiteraient ensemble une entreprise de racket et de trafic international d’enfants.

Pour citer Honoré de Balzac :

« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements. »

Avec ces documents déclassifiés, témoins de cette histoire secrète et honteuse, Trump détient de puissants leviers de pression sur les “créatures du marais” et elles le savent. D’où leurs tentatives désespérées de mettre la main dessus et de les examiner en interne, entre amis, pour les faire passer à la trappe.

Le « Special Master » réclamé par Trump s’inscrit dans la même optique de publicité. Il y a un mois, le juge Raymond Dearie a été nommé pour servir de « Special Master » pour l’examen du matériel saisi par le FBI. C’était a priori une bonne nouvelle, car ce juge avait eu à connaître de près les irrégularités du FBI dans une affaire antérieure. Dearie ne figurait pas sur la liste des maîtres spéciaux recommandés par le ministère de la Justice, mais ce dernier avait néanmoins accepté la recommandation de l’équipe de Trump en raison de son « expérience des juridictions fédérales » et de sa réputation de « juriste exemplaire et intègre ». La juge Cannon n’avait pas subi de pressions pour rejeter Dearie comme si un loyaliste de Trump avait été recommandé. À l’annonce de sa nomination, Dearie avait même été félicité par les ennemis de Trump.

Il y avait également un bénéfice lié au calendrier. En mettant fin à l’enquête du FBI sur Trump et en remettant le dossier à un maître spécial qui examinerait l’affaire (il n’y a pas de limite de temps légale pour la publication des conclusions de ce dernier), la Cour avait effectivement porté un coup d’arrêt au plan de l’État profond, qui était de mettre Trump en accusation avant les élections de mi-mandat. La juge Cannon a demandé à Dearie de terminer son examen des documents d’ici le 12 décembre et de présenter, entretemps, des rapports et des recommandations intérimaires.

L’équipe de Trump a cependant essuyé un revers car le DoJ, qui avait fait appel au niveau fédéral du moratoire de la juge de district Cannon, a eu gain de cause : le FBI pouvait désormais reprendre son examen des documents marqués secrets, parmi les 11.000 emportées de Mar-a-Lago. Il n’y a pas eu moyen de les laisser entre les mains de Dearie, car si Trump ne s’était pas privé de clamer qu’il avait tout déclassifié, l’information n’avait pas été versée par ses avocats à son dossier. Dearie n’avait pas réussi à les persuader de déclarer officiellement que ces documents avaient bel et bien été déclassifiés par l’ancien président avant de quitter la Maison Blanche. Leur objection était que cela reviendrait à divulguer prématurément l’un des moyens juridiques que leur client pourrait être amené à utiliser au cas où “une” inculpation avait lieu. Les avocats n’avaient pas spécifié de quelle(s) inculpation(s) il pouvait s’agir.

« La position du gouvernement part du principe que si un document est marqué confidentiel, il le reste indépendamment de toute action du président Trump pendant son mandat », avaient déclaré les avocats à la Cour, arguant que le président jouissait d’une « autorité absolue en matière de déclassification, » et que « ce n’était pas à un rond de cuir assis à son bureau à brasser de la paperasse, et qui tenait son autorité du président, de lui délivrer des autorisations chaque fois qu’il voulait déclassifier un document pour l’emporter chez lui et y travailler. »

Ce à quoi Dearie avait rétorqué qu’ils“ne pouvaient pas avoir le beurre et l’argent du beurre”. Il leur fallait décider dans quel lit juridique ils voulaient se coucher. S’ils refusaient d’indiquer clairement le statut de ces 103 pages, Dearie les traiterait comme étant des documents classés secrets.

En dépit de la jubilation du camp adverse, qui vit dans cette apparente déconvenue une défaite propre à rabattre le caquet à “ce Trump qui se croyait tout permis”, Trump avait le droit pour lui. Même Bloomberg avait reconnu, à contrecœur, dans un article de 2017 que ce privilège du président des États-Unis était choquant, mais conforme à la loi:

« Le président a l’autorité que lui confère la Constitution de déclassifier toute information à sa guise. En d’autres termes, les lois fédérales qui criminalisent la divulgation de secrets classés ne s’appliquent pas à lui. L’autorité de qualifier des faits ou des documents de “secrets” revient au président en sa qualité de commandant en chef. »

Pour Mark Levin, juriste constitutionnaliste, le FBI n’avait aucun moyen de justifier sa descente chez Trump. C’était un un abus de pouvoir manifeste puisque tout président des Etats-Unis avait indiscutablement le droit, prévu dans la Constitution, de déclassifier n’importe quel document et de l’emporter chez lui comme bon lui semblait. Selon lui, ce raid était un prétexte cousu de fil blanc pour faire une razzia chez Trump, farfouiller en son absence afin d’emporter de quoi l’incriminer dans l’affaire du 6 janvier, qui était passible de sanctions bien plus lourdes qu’une simple histoire de documents à archiver. Une affaire de documents emportés, qu’ils soient déclassifiés ou pas, ne pouvait jamais, au grand jamais, donner lieu à l’ouverture d’une enquête pénale contre un président, et du reste elle n’aurait jamais pu être diligentée aussi promptement. Les litiges relatifs à la conservation de documents officiels par d’anciens présidents donnaient généralement lieu à de longues négociations avec NARA, s’étalant sur plusieurs années, mais jamais à des raids du FBI pour les récupérer dans un laps de temps de seulement 18 mois.

Du reste, s’il y avait eu de véritables soupçons de détention de matériel posant un quelconque risque sécuritaire, le mandat aurait été bien plus spécifique, commenta Levin. On ne rédige pas un mandat de perquisition en termes aussi généraux quand on cherche quelque chose de précis. Enfin, estimait-il, un même procureur était en charge des deux dossiers, celui du 6 janvier et celui du raid de Mar-a-Lago, et ce fait seul devait interpeller.

Non, Trump n’a pas été piégé. Il n’est pas stupide. Il a peut-être lui-même provoqué le raid en faisant courir la rumeur qu’il conservait à Mar-a-Lago des documents très importants.

Pour mieux saisir son modus operandi, il convient de se poser une simple question : pourquoi son ministre de la Justice William Barr n’avait-il pas fait leur affaire aux feds quand il était en poste et que Trump avait déjà toutes les preuves contre eux ? Pour laisser à Merrick Garland, au ministre de la Justice de Biden, le soin de le faire. Non seulement parce que cela serait mieux perçu, mais aussi pour tromper l’état profond, pour les laisser s’enfoncer toujours plus, et faire voir au public ce qu’ils étaient vraiment. Une ruse de guerre classique consiste à se mettre en avant, s’arranger pour se faire accuser afin de pouvoir contre-attaquer pour se défendre, en retournant l’accusation contre l’adversaire.

Cela permettait aussi de faire coup double et de mettre en cause simultanément le FBI et le DoJ pour abus de pouvoir, au cas où Garland ne faisait pas son devoir en disciplinant le FBI.

Vu sous cet angle, le revers infligé par la victoire en appel de Garland est probablement une opportunité de plus pour Trump de démontrer la mauvaise foi du DoJ. Trump prend donc son temps et donne l’impression de quelqu’un qui connaît déjà l’issue de la partie, ce qui lui permet d’avancer ses pions sans affolement. S’il peut se permettre de rester serein, s’il semble avoir le temps pour lui, c’est qu’en définitive, il doit avoir sa base couverte:

D’abord, les documents que le DoJ lui a repris comme étant toujours marqués secrets, ne lui feront pas défaut puisque le 7 septembre, un second jeu lui a été remis par le journaliste Timothy Holmseth, de l’équipe de lutte anti-pédophilie du Pentagone. Ce dossier intitulé “Crimes contre l’humanité” contient les déclarations faites sous serment devant un tribunal du Minnesota par la lanceuse d’alerte et ancienne victime Jessie Marie Czebotar.

Holmseth publia la nouvelle simultanément sur son site et sur la plate-forme “Truth Social” :

« Le président Trump reçoit des preuves de crimes contre l’humanité :

#OPERATIONALERTDONALDJTRUMP a REMIS les déclarations sous serment de Jessie Marie Czebotar, intitulées “Crimes contre l’humanité” au président Donald J. Trump par l’intermédiaire de son avocat Lindsey Halligan.

De ce fait, même si le FBI a saisi ces documents lors de son cambriolage de la maison de Trump, un JEU complet de copies est désormais entre les mains de ce dernier.

Mme Czebotar me les a remises et m’a autorisé à les publier.

#OPERATIONALERTDONALDJTRUMP entre maintenant dans sa 2ème étape.”

Ces documents ayant été personnellement remis à Trump, ils échappent aux contraintes susceptibles de peser sur les documents présidentiels, et rien ne s’oppose donc à leur divulgation.

Dans une interview accordée à Nino Rodriguez, Jessie Czebotar s’est exprimée sur le litige qui continue d’opposer l’équipe juridique de Trump et le gouvernement, autour de la question de savoir qui a juridiction sur cette centaine de documents, classés secrets selon le gouvernement, déclassifiés selon Trump. Mais au-delà de cette querelle de classification, certains documents ne pouvaient jamais, selon elle, être classés secrets, de par leur nature même. C’était le cas des crimes contre les enfants, qui devaient toujours faire l’objet de divulgations. Les documents qui avaient été remis au président Donald J. Trump tombaient dans cette catégorie.

En second lieu, que Trump parvienne ou pas à faire examiner par Dearie ces documents emportés par le FBI (au nombre de 103 pages), il faut avoir à l’esprit que le “Special Master” n’était pas pour Trump une fin en soi, mais une mesure qui lui avait permis de gagner du temps et de passer le cap des mid-terms, tout en donnant aux documents contestés un début de publicité. Mais Trump vise en fait leur divulgation devant la plus haute juridiction. Jessie Czebotar estime elle aussi qu’il faudra une juridiction plus importante qu’une Cour fédérale pour connaître des crimes décrits dans ces documents scellés, et que le FBI cherchait à récupérer (selon une version non expurgée de l’affidavit déposée auprès du tribunal). Car ce sont des crimes transnationaux, a-t-elle dit, de nombreux leaders politiques et membres de maisons royales y sont impliqués. Elle spéculait que la levée judiciaire des scellés sur ces documents risquait fort de donner le coup d’envoi à des déclassifications massives et à grand retentissement.

Le 5 octobre dernier, Trump a justement réclamé l’intervention de la Cour suprême dans le conflit qui l’oppose au ministère de la Justice.

« Dans ce qui était à la base un conflit de stockage de documents, mais qui a par la suite dégénéré, le gouvernement a cherché à tort à criminaliser la possession par le 45e président de ses propres documents présidentiels et personnels », ont écrit ses avocats.

Trump continue d’affirmer que certains de ces fichiers sont protégés par le secret professionnel avocat-client, ou par l’immunité présidentielle. D’autres sont des documents personnels qui n’auraient jamais dû être saisis, comme son testament et son accord prénuptial.

Comme pour apporter de l’eau à son moulin, des registres décrivant le contenu des centaines de documents confisqués par le FBI ont brièvement été mis en ligne sur le site de la Cour il y a deux jours, apparemment par erreur, avant d’être effacés. Trump s’est plaint que des dossiers protégés par le secret professionnel ou le privilège de l’exécutif n’auraient jamais dû être exposés sur la place publique.

Samedi dernier, 15 octobre, la Cour suprême que Trump avait saisie a déclaré refuser d’intervenir dans cette affaire. Ce revers s’ajoute à une décision antérieure de la Cour d’appel du 11e circuit de retirer les cent pages litigieuses d’entre les mains de Dearie et de rétablir l’accès du DoJ au reste des documentsLe DoJ s’est empressé de faire un second appel dans la foulée, cette fois contre la désignation même d’un “Special Master”, montrant qu’il ne voulait à aucun prix d’un examen public des documents saisis à Mar-a-LagoIl sera intéressant de voir comment Trump compte s’y prendre pour forcer la Cour suprême à y mettre le nez. Son équipe juridique a jusqu’au 10 novembre pour présenter sa réponse. Il y a fort à parier que le remue-ménage actuel dans l’enquête sur l’ordinateur de Hunter Biden fera effet de levier…ou de détonateur. Les médias grand public ont commencé à évoquer ouvertement la destitution probable de Joe Biden, en lien avec les affaires véreuses de son fils en Chine et en Ukraine.

Un autre avantage de la publicité donnée au raid est qu’elle a accéléré les ralliements de lanceurs d’alerte, et non des moindres. Deux semaines après le raid, quatorze agents du FBI qui déclaraient ne pas être d’accord avec leur hiérarchie avaient fait défection. Le mouvement se poursuit et s’amplifie.

Thibault, l’agent spécial du FBI qui avait lancé l’enquête contre Trump, a été renvoyé et escorté hors du quartier général du Bureau, après avoir été soupçonné par le Congrès de parti pris dans son enquête sur l’ordinateur portable de Hunter Biden et sur le président Trump. Des dénonciateurs l’accusaient d’avoir caché au directeur du FBI Christopher Wray et au ministre de la Justice Merrick Garland le caractère partisan des preuves contre Trump, pour les persuader d’ouvrir une enquête contre l’ancien président. Cette enquête avait culminé avec le raid du FBI contre la propriété de Trump à Mar-a-Lago.

D’autres démissions ont suivi, d’agents accusant la direction locale du FBI de leur avoir donné comme consignes de ne pas mettre le nez dans l’ordinateur de Hunter Biden ni dans les résultats de l’élection présidentielle de 2020.

Un membre de la famille Biden y était aussi allé de ses dénonciations: Hallie, la veuve du fils aîné de Joe Biden, Beau, qui avait eu une liaison avec le fils cadet, Hunter. Le 29 août dernier, elle publiait le message suivant sur un compte Twitter ouvert le même jour:

« Au milieu de tous les derniers drames et scandales entourant mon ex Hunter, je voulais juste dire que je fais officiellement mon coming out en tant que républicaine et supporter de Donald Trump + je suis prête à dire ma vérité, quoi qu’il en coûte. Je sais des choses sur cet ordinateur portable et sur cette famille, qui choqueront le public. »

Suivait une série d’autres tweets tout aussi stupéfiants, tous datés du 29 août.

« J’ai personnellement entendu mon ex beau-père à la Maison-Blanche parler de lancer un raid contre le président Trump. Joe savait tout. Tout. »

« Et Obama en personne a dit que le FBI a planté ces documents à Mar-A-Lago. Ils veulent arrêter Trump pour espionnage, car ça peut chercher jusqu’à la peine de mort. La Maison-Blanche a explosé de joie quand le raid a eu lieu. Ils veulent le faire disparaître. »

« Il y a déjà un acte d’accusation prêt, ils prévoient de déployer la Garde nationale pour réprimer toute agitation. Mais mon beau-père a demandé une retransmission télévisée, à l’échelle nationale, de Trump traîné hors de Mar-A-Lago menotté, et il est en train de préparer sa conférence de presse. »

« Le mot de code qu’ils ont utilisé était “Snowden”. Ils veulent faire subir à Trump le traitement de Snowden et c’est ce qui est dans les actes d’accusation descellés. Il ferait mieux de quitter le pays et vite. La Russie n’extrade pas…Trump est mon héros. »

« Le président Trump a gagné cette élection et toute ma famille le sait. »

« La presse dissimule également les graves problèmes de santé de mon beau-père. Le plan est de permettre à Kamala d’être nominée en 2024. Trump me manque et je ne parle plus à aucun des membres de ma famille à cause de ce que Jill fait subir à Joe. »

D’autres tweets avaient trait au rôle joué par Jill Biden et Obama dans la fraude électorale, le plan de désarmement des Américains, ou donnaient des détails salaces sur la vie privée de Hunter Biden, des Obama, des Clinton, et sur la pédophilie de Joe Biden. Elle affirmait ne plus être en relation avec sa belle-famille dont elle était dégoûtée. Le compte fut suspendu deux jours plus tard par Twitter, mais le fil complet archivé peut être consulté sur cette page de “Citizen News”.

Les fact-checkers sont accourus pour affirmer qu’il s’agissait d’un faux, car le compte exprimait un “sentiment pro-Trump” explicite, et que Hallie Biden n’avait pas de compte Twitter, selon une porte-parole de la Fondation Beau Biden, interrogée pour la circonstance.

Si elle n’en avait pas un avant le 29 août 2022, il n’était pas exclu qu’elle ait pu en ouvrir un ce jour-là pour faire son déballage, jusqu’à sa suspension par Twitter deux jours plus tard. Par ailleurs, la Fondation Beau Biden a une réputation plus que douteuse qui la décrédibilise d’emblée. Établie après la mort de Beau, le seul élément sain de la famille Biden, pour lutter contre la pédophilie, ce qui déjà fait sourire venant d’une famille qui a la la pédophilie inscrite dans son ADN, elle n’avait affecté en 2020 que 550.000 $ des 4 millions recueillis à sa mission proclamée.

En revanche, les détails donnés dans les tweets et repris sur un compte Telegram ouvert le 30 août cadrent bien avec des faits qui sont de notoriété publique. On peut aussi assez facilement imaginer que Hallie, veuve de Beau Biden — qui avait entamé une liaison avec son beau-frère Hunter avec la bénédiction de Papa Joe, avant de découvrir en 2018 que son « fiancé » la trompait avec sa propre sœur Elizabeth, et qu’il avait de plus débauché sa fille de 14 ans — ait eu envie d’en découdre publiquement avec la « saga sordide » de cette famille. Et il est plausible, même si ce n’est pas prouvé, que le raid du FBI ait pu jouer le rôle de catalyseur dans sa défection. Après tout, Ashley, la propre fille de Joe Biden, avait ouvert la voie avec la publication de ses Mémoires dans lesquels elle levait le voile sur certains aspects de son enfance troublée, notamment l’insistance de son papa à vouloir prendre des douches avec elle…

Plus de nouvelles de Hallie sur la toile depuis la clôture de son compte Twitter, si c’est bien d’elle qu’il s’agissait. En revanche, depuis deux jours, cela chauffe sérieusement pour Hunter Biden. Une enquête ouverte contre lui en 2018 a été réactivée. Les médias à grande circulation comme le “NY Post”“Fox News”, et même ceux de gauche comme “Yahoo News” et le “Washington Post” affichent en gros titres que “des e-mails, textes et photos choquants pourraient envoyer Hunter Biden dans une prison fédérale,” et que : “l’issue de cette affaire vieille de plusieurs années pourrait être imminente”. Joe Biden ne manquera pas d’en être éclaboussé, lui dont le nom a été mêlé aux malversations de son fils.

Un dernier détail permet de penser que le raid ne se terminera pas bien pour Biden : sa date. Le 8 août est une date hautement symbolique, fatidique même : c’est un 8 août que le président Nixon démissionnait, suite au scandale du Watergate.

Coïncidence ou petit clin d’oeil de l’histoire? Petit clin d’oeil de Trump, plutôt, qui a lâché le mot de Watergate dès le 8 août, ce qui est en soi remarquable, dans un message en trois parties, envoyé sur les réseaux sociaux, qui annonçait la couleur comme suit :

« À Watergate, des agents s’étaient introduits par effraction dans les locaux du Comité national démocrate. Ici, ce sont des démocrates qui se sont introduits dans la maison du 45e président des États-Unis ».

Il a ensuite parlé des enjeux…

« Je me suis battu contre la corruption bureaucratique de l’Amérique, j’ai redonné le pouvoir au peuple, et je me suis engagé à fond pour notre pays, comme personne avant moi. Le système a détesté. À présent qu’on voit les candidats que j’ai soutenus remporter de belles victoires, et qu’on me voit en tête des sondages, on essaie une fois de plus de me barrer la route, ainsi qu’au Parti républicain ».

L’épilogue était un appel à la fin de la persécution dirigée contre sa personne et une allusion à son retour à une position de leadership sur la scène politique américaine :

« L’anarchie, la persécution politique et la chasse aux sorcières doivent être dénoncées et stoppées.

Je continuerai à me battre pour le grand peuple américain !”

Le raid du FBI n’a pas fini de faire des petits. Il est vraisemblable qu’il précipitera la chute du régime de Biden et enclenchera le processus de démantèlement de la cabale mondialiste au pouvoir aux États-Unis et ailleurs dans le monde.




Hunter Biden : un rapport explosif sur les secrets de son ordinateur portable envoyé au Congrès des États-Unis

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

« L’ordinateur portable de l’enfer » de Hunter Biden, oublié chez un réparateur du Delaware, en avril 2019, n’en finit pas de livrer ses secrets et d’entraîner dans la chute du fils, le père Joe Biden, président des États-Unis.  

D’après le tabloïd anglais The Sun, les membres du Congrès des États-Unis « ont reçu un rapport explosif sur des centaines de crimes présumés trouvés sur “l’ordinateur portable de l’enfer” de Hunter Biden ».

Le Sun révèle encore que « Marco Polo, un groupe dirigé par un ancien membre du personnel du président Donald Trump qui a enquêté sur l’ordinateur portable, a envoyé aujourd’hui ses conclusions aux 535 membres de la Chambre et du Sénat », mais pas seulement. Également les procureurs de district et les procureurs américains des juridictions où les crimes présumés du fils du président Joe Biden ont eu lieu « ont reçu une copie ».

Sur cet « ordinateur de l’enfer », authentifié par de nombreux experts, « le fondateur du groupe, Garrett Ziegler, estime qu’il a découvert un total de 459 violations documentées des lois étatiques et fédérales sur l’ordinateur portable, explique The Sun. Il comprend 140 crimes présumés liés aux affaires, 191 délits liés au sexe et 128 crimes liés à la drogue. »

Cette publication du rapport de Marco Polo intervient après une enquête de 13 mois et avant les élections cruciales de mi-mandat du 8 novembre, qui pourraient modifier l’équilibre des pouvoirs à Washington. Des élections « midterm » qui ont de quoi inquiéter les Démocrates sur de nombreux sujets. Si les Républicains prennent la Chambre, tout le monde s’attend à ce qu’ils lancent une enquête du Congrès sur l’ordinateur portable de Hunter. Cela pourrait signifier que des associés de la famille Biden soient appelés au Congrès pour témoigner sous serment à la télévision en direct.

Ziegler, 26 ans, qui travaillait au Bureau de la politique commerciale et manufacturière de la Maison-Blanche sous l’administration Trump, a déclaré au Sun :

« Notre objectif numéro un est de veiller à ce que les Républicains ne perdent pas de temps. L’enquête a été faite.

« À l’heure actuelle, les gens ne savent toujours pas l’intégralité de ce qu’il y a sur l’ordinateur portable en termes de crimes, ce qui intéresse mon organisation à but non lucratif.

« Ce rapport répond enfin à cette question, donc les Républicains ne peuvent pas revenir en arrière et dire qu’ils ont encore besoin de regarder ce qu’il y a sur l’ordinateur portable.

« Tout ce que nous recherchons, c’est l’application égale de la loi.

« Jusqu’à présent, cette saga a été l’un des plus grands exemples de doubles standards de l’histoire juridique américaine.

« Les gens sont allés en prison pendant des décennies sur la base des politiques de Joe lui-même pour avoir fait exactement ce que Hunter a fait.

« Pendant ce temps, Hunter vit dans un domaine en bord de mer à Malibu. »

Afin que cela ne fasse pas tort à Joe pendant la campagne électorale de 2020, il faut rappeler que Facebook et Twitter ont censuré l’histoire de l’ordinateur de Hunter de manière controversée en limitant la possibilité de la partager. Le Sun rapporte que « l’ancien PDG de Twitter, Jack Dorsey, a admis plus tard que cette décision avait été une “erreur totale”, tandis que le chef de Facebook, Mark Zuckerberg, a récemment déclaré au podcast de Joe Rogan que la décision était basée sur des avertissements du FBI concernant la désinformation russe. Une lettre signée par plus de 50 anciens hauts responsables du renseignement pendant les élections affirmait que les informations de l’ordinateur portable avaient “toutes les caractéristiques classiques d’une opération d’information russe”. Mais depuis lors, le contenu a été vérifié par plusieurs autres organes de presse, dont le New York Times et le Washington Post. »

Le Sun de conclure :

« Peut-être le plus flagrant de tous, le rapport Marco Polo semble inclure des preuves de la façon dont Hunter, 52 ans, le président Joe Biden, 79 ans, et son frère Jimmy, 73 ans, auraient profité à hauteur de 6,8 millions de dollars en proposant de devenir les leaders américains du groupe chinois Initiative Ceinture et Route. »

Le rapport énumère aussi d’autres accusations contre Hunter : les pressions illégales sur des individus de Chine, d’Ukraine, du Kazakhstan, de Roumanie, du Mexique et de Serbie ; le blanchiment d’argent après avoir été payé 1 million de dollars pour avoir représenté illégalement un homme qu’il a décrit comme « le f ***** g chef espion de la Chine » en envoyant l’argent à une société-écran et à son oncle Jimmy.

Si le président des États-Unis a toujours nié avoir été au courant des activités de son fils, le sénateur du GOP, Chuck Grassley, a déclaré lundi que de nouveaux documents de dénonciation révèlent que le président « était au courant des arrangements commerciaux de Hunter Biden et pourrait avoir été impliqué dans certains d’entre eux ». Il a également, explique le Sun, « détaillé de nouvelles allégations selon lesquelles le FBI dispose de “preuves significatives, percutantes et volumineuses concernant la conduite criminelle potentielle de Hunter Biden et James Biden”. »

Sexe, drogues dures, prostituées, pornographie, blanchiment d’argent à l’étranger, délits fiscaux, lobbying, les accusations s’accumulent sur Hunter Biden.

Hunter pourra dormir dans de beaux draps propres à la Maison-Blanche grâce à papa Biden, il n’en est pas moins dans de sales draps et son père Joe avec.




Représailles au sabotage du gazoduc NordStream par l’Amérique : les câbles sous-marins internet ?!…

[Source : les7duquebec.net]

Par Marc Rousset.

Vladimir Poutine, lors de son discours au Kremlin, qui fera date, d’unification à la Fédération de Russie, du vendredi 30 septembre, a accusé l’Amérique d’avoir provoqué l’explosion des gazoducs : « La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c’est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu’ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s’emparer (eux-mêmes) du marché européen ».

Et Poutine accusateur encore plus direct et formel contre les États-Unis d’ajouter dans son discours afin d’ouvrir les yeux aux Européens lobotomisés, des traîtres que sont Macron, Scholz, von der Leyen :

« Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons ; ils sont passés au sabotage incroyable, mais vrai : après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont commencé à détruire les infrastructures énergétiques paneuropéennes. C’est clair pour tous ceux qui en bénéficient. C’est celui qui en profite qui l’a fait, bien sûr ».

Le saboteur, c’est donc bien les États-Unis et personne d’autre ! À qui profite le crime ? Aux seuls États-Unis !

Le sabotage est énorme et n’a pu être réalisé que par une puissance étatique puisqu’il y a eu deux explosions de 500 kg et 700 kg de TNT (magnitudes 2,1 et 2,3 sur l’échelle de Richter) dans les eaux internationales à l’est de l’île danoise de Bornholm, selon l’institut norvégien de sismologie « Norsar ». Les fuites de gaz sont énormes avec des bouillonnements allant de 200 à 900 mètres de diamètre, jusqu’à ce que les deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 se vident complètement en plusieurs jours. Il semble que les deux gazoducs soient inutilisables, car l’eau est rentrée dans les gazoducs pour les remplir complètement avec des dommages irréparables.

L’Allemagne, caniche de l’OTAN, capitule honteusement face à la destruction de sa puissance économique par l’Amérique, reste totalement passive face à la catastrophe que représente pour son industrie la perte de compétitivité en matière d’approvisionnement énergétique, ne dit rien et se jette par lâcheté encore davantage dans les bras et les filets de l’Amérique. Déjà le 7 février 2022, l’incapable Olaf Scholz, un duplicata de Macron, n’avait pas bronché ni fait la moindre remarque lorsque, lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, Joe Biden avait dit publiquement, en sa présence puisqu’il était debout derrière le pupitre d’à côté, « que les États-Unis ne se priveraient pas d’arrêter Nord Stream 2, en cas de guerre avec la Russie ». L’Allemagne dirigée par les incapables SPD, style Renaissance en France, ne proteste pas et capitule donc une seconde fois dans son histoire depuis 1945. L’ennemi de la France, de l’Union européenne et de l’Allemagne, ce n’est pas la Russie, mais bel et bien les États-Unis qui nous saoulent de belles paroles utopiques, moralistes, kantiennes, démocratiques, droit-de-l’hommistes, mais sont en fait de vrais gangsters égoïstes ne croyant, comme le philosophe Hervé Gusdorf, qu’au seul rapport de forces (« Tout n’est que force et rapport de forces »). Il est clair, comme le démontre ce sabotage machiavélique, que les États-Unis veulent supprimer tous les liens entre l’Allemagne, l’Europe et la Russie ! « Divide ut regnes ! » disaient les Romains.

Pourquoi n’y a-t-il aucun doute possible que c’est l’Amérique, notre pseudo-alliée depuis Lafayette, qui a bel et bien fait exploser les gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2, ce que confirme l’expert genevois Jacques Baud, ancien haut responsable de l’OTAN ? D’une façon non exhaustive, les principales raisons nous semblent être les suivantes :

  • – Les gazoducs appartiennent à la Russie. Si Poutine voulait supprimer le gaz aux Allemands, il lui suffisait de fermer le robinet. Pourquoi donc se serait-il embarrassé à faire exploser ses propres gazoducs, d’autant plus que c’était une opportunité pour lui de les rouvrir, après des négociations avec l’Allemagne, ce qui n’est plus possible aujourd’hui !
  • – En fait c’est parce que le bon sens, qui manque aux Macron, Scholz et Cie vendus à l’Amérique, commençait à s’emparer des Allemands avec des manifestations de masse dans la rue, en demandant purement et simplement sur leurs pancartes de protestation la réouverture des gazoducs Nord Stream 1 et 2. L’Amérique a alors pris peur que le vent tourne prochainement en Allemagne et a voulu commettre un acte irréversible en détruisant pratiquement les deux gazoducs ;
  • – De nombreux hommes politiques allemands commençaient aussi à demander la réouverture des gazoducs Nord Stream, et plus particulièrement les dirigeants de l’AfD, à l’origine de nombreuses déclarations et manifestations de foules ;
  • – L’île danoise de Bornholm, où ont eu lieu les explosions, est géographiquement très stratégique, car elle est située en plein milieu d’un rétrécissement de la mer Baltique et donc très surveillée par l’OTAN. Il était donc très difficile aux navires russes de passer inaperçus ;
  • – Et c’est justement vers cette île de Bornholm qu’ont eu lieu tout récemment des soi-disant exercices de la marine américaine avec de nombreux vols d’hélicoptères de l’US Navy, ce qui a été confirmé officiellement par le magazine spécialisé américain « Sea Power » ;
  • – Biden, comme déjà mentionné ci-dessus, a déclaré explicitement devant Scholz, début février, que le gazoduc Nord Stream 2 devait être détruit en cas de guerre avec la Russie ;
  • – Biden, l’inconscient « Sleepy Joe », a décidé cette mesure préventive et punitive de sabotage, craignant aussi que cet hiver, les Européens finissent par craquer et recommencent à importer massivement du gaz russe écologique bon marché, en se passant de l’abominable gaz de schiste américain ;
  • – L’Amérique, comme le remarque également l’expert genevois Jacques Baud, a déjà saboté et détruit en 1982, pendant la guerre froide, un gazoduc soviétique qui devait passer par l’Ukraine pour alimenter l’Europe ;
  • – N’oublions pas que si des gens meurent aujourd’hui en Ukraine, c’est à cause de la seule Amérique qui a empêché Zelensky de négocier, en mars 2022, avec la Russie, contrairement ce qu’il souhaitait spontanément ! L’Amérique va-t-en-guerre a convaincu Zelensky qu’elle allait détruire la Russie avec des sanctions économiques très dures, jamais vues et jamais pratiquées jusqu’à ce jour, tout en lui fournissant des armes modernes, ce qu’elle fait effectivement, tout comme le valet Macron avec les canons Caesar prélevés sur les stocks peu garnis de l’armée française. L’Amérique emploie l’arme des sanctions économiques et « fournit le matériel de guerre tandis que les Ukrainiens fournissent les cadavres », comme l’a très bien explicité le président du Mexique !
  • – C’est une trop belle occasion pour l’Amérique de détruire l’industrie lourde européenne et allemande qui disparaîtra par manque de compétitivité (disparition d’un « peer competitor ») ou qui cherchera à délocaliser dans le sud des États-Unis pour survivre, en augmentant le PIB américain et le nombre des chômeurs en Europe !
  • – L’Amérique pourra aussi prendre une partie du marché européen avec un gaz de schiste non écologique et deux fois plus cher, nécessitant le transport par des méthaniers polluants sur l’Atlantique et la création d’usines de liquéfaction dans les ports européens, autre source de pollution. Il faudra 700 méthaniers pour traverser l’Atlantique et remplacer les 55 milliards de m3 de gaz qui arrivaient par Nord Stream 1 ! Bravo, Madame von der Leyen, déjà vendue à l’Amérique en raison des nombreux contrats de l’UE signés avec Pfizer, afin de faciliter l’embauche de votre mari dans une filiale du Groupe, pour nous conduire tout droit à une Europe désindustrialisée, ruinée, non écologique et asservie à l’Amérique !
  • – L’obsession de l’Amérique, comme l’a très bien formulé Brzezinski dans « le Grand Échiquier », c’est de mettre fin à toute idée gaullienne de l’Europe de l’Atlantique à l’Oural, de couper les relations naturelles et complémentaires entre la Russie et l’Europe !

Biden, par cet acte odieux et stupide vis-à-vis de ses alliés européens, vient de commettre une faute cardinale, susceptible de donner la victoire finale à la Russie ! Trop, c’est trop ! Et les médias politiquement corrects ne pourront pas cacher indéfiniment les vérités énoncées ci-dessus. L’Occident, l’Amérique, l’OTAN et l’UE ont décidé et cru mettre à genoux la Russie, à coups de sanctions économiques astronomiques, d’aide financière démesurée et de matériel militaire à l’Ukraine qui a déjà perdu tout son matériel de guerre d’origine détruit par les Russes, en lui gelant les réserves en euros et dollars de sa banque centrale avec des méthodes de gangsters, pour la déclarer très vite en cessation de paiement, en l’excluant du système de transfert Swift très répandu dans le monde, en n’hésitant pas à assassiner la fille de Douguine, et même, comme nous le vivons actuellement, à faire exploser des gazoducs vitaux !

C’est cette même Amérique odieuse qui a cru devoir bombarder Hiroshima et Nagasaki avec l’arme nucléaire, qui a détruit Caen et Le Havre en France, qui a, comme le remarque Poutine dans son discours, détruit aussi Dresde, Hambourg, Cologne et de nombreuses autres villes allemandes, sans aucune nécessité militaire, qui a déclenché la guerre du Vietnam avec le prétexte de fausses attaques de navires américains par la marine vietnamienne, qui a déclenché une guerre horrible en Irak avec les soi-disant armes de destruction massive de Saddam Hussein et les petites fioles « bidon » en guise de preuves déposées sur sa table aux Nations unies par le général Powell, qui a fait stupidement bombarder la Libye du colonel Kadhafi par les caniches Sarkozy et Blair, avec la bénédiction d’Obama.

C’est aussi cette même sainte nitouche Amérique qui, malgré la chute du Mur de Berlin, a déclenché les hostilités envers la Russie avec l’extension sans fin de l’OTAN à l’Est, qui a organisé le coup d’État de Maïdan à Kiev en 2014, afin de renverser le Premier ministre ukrainien pro-russe, démocratiquement élu, avec l’aide des mouvements nazis ukrainiens et des services secrets polonais.

La grande frousse de l’Amérique, c’est l’Europe de Brest à Vladivostok, l’axe Paris-Berlin-Rome-Moscou, le projet de Confédération européenne présenté par François Mitterrand qui incluait la Russie et excluait l’Amérique, en 1991, comme réponse politique française à la demande par Gorbatchev de la paix, de la coopération pacifique avec la Russie, de la mise en place d’une « Maison commune européenne ».

Les médias français et occidentaux mentent donc comme des arracheurs de dents en niant l’évidence, que c’est donc bel et bien l’Amérique qui a bombardé les gazoducs Nord Stream 1 et 2 ! Trump, qui sait parfaitement que Biden est l’auteur de la « bourde », est d’ailleurs sorti pour la première fois de de son silence ; il a insisté sur la gravité du sabotage qui peut conduire « à des événements graves à terme, à une escalade majeure et à la guerre ». Son cri du cœur « N’aggravez pas les choses avec l’explosion du gazoduc » est un appel direct à Biden !

La Russie a donc le droit légitime de rendre la monnaie de la pièce à l’Amérique en s’en prenant aux câbles internet sous-marins stratégiques d’importance vitale pour Wall Street, contrairement à l’économie russe. Les autoroutes de fibre optique reposant au fond des mers sont des artères vitales. On en compte plus de 420 dans le monde, totalisant 1,3 million de kilomètres, soit 32 fois le tour de la Terre, soit 3 fois la distance de la Terre à la lune. N’en déplaise aux satellites, 99,7 % des échanges de données entre les continents passent par des câbles sous-marins constitués de fibres optiques. Ce sont tous les jours 10 000 milliards de dollars de transactions financières qui passent par ces câbles ! Wall Street et les Bourses européennes pourraient s’effondrer du jour au lendemain si ces câbles étaient coupés ! Swift, le fameux réseau de messagerie bancaire pour les virements internationaux, d’un montant de 77 000 milliards de dollars en 2019, dont a été exclu la Russie par les Occidentaux, afin de mieux la détruire, passe par ces câbles sous-marins !

Ce plus d’un million de kilomètres de câbles internet reliant les continents est très vulnérable ! Les câbles sont enterrés entre 1 et 3 mètres lorsqu’ils sont proches des côtes et simplement posés sur le fond lorsque la profondeur de l’eau augmente, donc très faciles à sectionner si un État dispose du matériel adéquat. Il se trouve que la Russie et les États-Unis entraînent leurs sous-mariniers à poser des mouchards pour espionner ou pour détruire discrètement les câbles ! Leurs armées disposent toutes deux de submersibles spécialement adaptés, des sous-marins nucléaires d’attaque équipés de sas et de sous-marins de poche, pour intervenir en profondeur et en toute discrétion. Au début des années 2000, l’US Navy avait consenti une rallonge de 1 milliard de dollars pour transformer un SNA tout juste entré en service, l’USS Jimmy Carter, en spécialiste des opérations sous-marines spéciales (ce qui a été le cas pour le sabotage de Nord Stream par l’Amérique à Bornholm).

En 2021, un navire océanographique russe a été repéré au large de l’Irlande ! Il aurait suivi les câbles Celtic Norse et AEConnect-1 qui relient l’île aux États-Unis. À son bord se trouvait un mini sous-marin capable de plonger à 6 000 mètres de profondeur ! L’Europe pourrait donc se retrouver totalement coupée d’internet contrôlée par les géants américains, sans réseaux sociaux et sans moyen de communiquer. La prochaine cible prioritaire pour la Russie, afin de calmer Biden, Macron, Scholz et von der Leyen, dans le contexte actuel, pourrait donc être les câbles de communication sous-marins qui relient l’Europe aux États-Unis, plutôt qu’une bombe tactique nucléaire en Ukraine, comme le réclame le guerrier tchétchène Kadyrov !

Dans l’un de ses rares jours de sincérité, à la veille de sa mort, l’ordure socialiste, décadente, hypocrite, mais très intelligente François Mitterrand a pu confier à Georges-Marc Benamou, auteur du livre « Le dernier Mitterrand » : 

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ».

Marc Rousset
Auteur de « Comment sauver la France/Pour une Europe des nations avec la Russie »