« Vaccin » Covid : marchands de tapis ou médecins ?

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Titre sur la photo : « Test de détecteur de mensonge »]

La marche en avant de l’agenda vaccinal se poursuit inéluctablement. Avec un motif désormais familier : peu importe la science, peu importe l’éthique et même peu importe le droit !

On a beau avoir compris ce dans quoi nous nous trouvons, chaque nouvelle étape estomaque malgré tout.

Sur un plan personnel, une personne de ma famille, âgée de 83 ans, vient d’accepter de se faire vacciner sur pression de son médecin généraliste. Celui-ci, un homme expérimenté, dévoué et compétent, l’a en effet persuadée que c’était important pour éviter le risque de développer une forme grave en cas d’infection. L’argument s’est révélé imparable.

Avec toutefois un blème : l’argument en question est rien moins que mensonger à ce stade. C’est l’espoir des autorités de santé, mais comme nous l’avons montré dans un récent article, rien actuellement ne documente de quelque manière que ce soit un tel effet, en particulier sur les personnes âgées !

Dans la Tribune de Genève de ce jour, la Pre Anne-Claire Siegrist (qui fait autorité dans le domaine) affirme que « la deuxième dose est donc indispensable pour augmenter l’efficacité à 95% – en augmentant les taux d’anticorps et les réponses cellulaires. »

BIG BIG BLÈME AGAIN : l’efficacité du « vaccin » n’est absolument pas de l’ordre de 95% actuellement, hormis dans la publicité -mensongère- du laboratoire Pfizer et les conclusions -erronées- de l’article de Polack et al., publiée dans le NEJM, dont nous avons montré les failles.

Nous avons ainsi mis en lumière comment leur étude avait modifié rétrospectivement le protocole de recherche  pour pouvoir arriver -de manière forcée- à un tel résultat. Si on corrige ce bidouillage, on trouve au mieux 75%.

En tenant compte d’une second bidouillage majeur (également décrit dans notre précédent article), l’efficacité probable du « vaccin » chute pour se retrouver même très en-dessous du seuil nécessaire à sa mise sur le marché, comme le révèle Peter Doshi, professeur en pharmacologie clinique à l’Université du Maryland et rédacteur associé au British Medical Journal. Selon lui, l’estimation approximative de l’efficacité du vaccin montrerait en réalité :

(…) une réduction du risque relatif de 19% – bien en dessous du seuil d’efficacité de 50% pour l’autorisation fixé par les régulateurs. Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réacto-génicité à court terme du vaccin, l’efficacité du vaccin reste faible : 29%.

L’efficacité de la prévention des formes graves du Covid (argument publicitaire majeur) n’a simplement pas pu être évaluée dans cette étude portant pourtant sur 44’000 personnes ! Aucune conclusion n’en est sortie et avancer cet argument comme une réalité démontrée est ni plus ni moins que trompeur et mensonger.

Les conclusions auxquelles ne peut qu’arriver tout lecteur honnête et averti de l’étude Polack sont :

1. Il est impossible à ce stade de connaître l’efficacité réelle du vaccin Pfizer. Sur une population de moins de 65 ans, elle peut être, au mieux, de 75% mais se situe probablement entre 20% et 50%.

2. Il est absolument impossible d’inférer une quelconque efficacité du vaccin pour les personnes âgées de plus de 65 ans.

3. Il est impossible de connaître l’eficcacité du vaccin sur la prévention des formes graves, dans aucun groupe d’âge !

4. La sécurité du vaccin pour les personnes de plus de 65 ans est inconnue. Le seul groupe évalué à cette fin était composé de 39 personnes (contre 44’000 dans l’étude complète), avec l’observation d’un taux inhabituellement élevé d’effets indésirables.

5. Il n’est pas possible à ce stade d’exclure -comme le risque en existe- que le vaccin puisse avoir pour effet de multiplier le nombre de cas graves dans la population des vaccinés (surtout âgés) en vertu du phénomène suivant :

Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n’étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n’ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quel que soit leur mode d’administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement).

6. Nous sommes totalement incapables à ce stade d’évaluer (et donc d’exclure) le risque d’effets secondaires graves dans la durée, incluant des altérations transmissibles du génome humain, résultant de l’expérimentation génique que constitue le « vaccin » à ARN messager.

Résumons : en l’absence de toute donnée scientifique solide, nous avons des médecins qui font pression sur leurs patients pour qu’ils se vaccinent avec des arguments qui sont, à ce stade, simplement fallacieux. Pendant que la « papesse » des vaccinations en Suisse ment dans la presse en mentionnant des chiffres qui sont simplement faux.

Ce qui pose bien sûr une série de questions.

Lorsqu’elle affirme faussement que l’efficacité du « vaccin » contre le Covid est de 95%, la Pre Siegrist : 

  1. Est-elle incapable de lire un article scientifique de manière critique et d’en repérer les inexactitudes sinon les falsifications ?
  2. Évite-t-elle de prendre en considération toute publication, même autorisée, qui apporterait des arguments ou des conclusions divergentes ?
  3. Sa perception est-elle biaisée par exemple du fait de conflits d’intérêts au point de la conduire à adhérer aveuglément, fût-ce de bonne foi, à des conclusions erronées ?

Le Dr Louis Fouché, poursuivant avec une véritable étoffe des héros son œuvre de ré-information autour du Covid, a lâché récemment que les autorités sanitaires et autres conseils scientifiques étaient dans la situation actuelle (je cite) « pourris de conflits d’intérêts » à un point qui est « du jamais-vu dans l’histoire de la médecine« .

Au premier rang de ces conflits, l’influence omniprésente de la fondation Bill et Melinda Gates, qui a pour but la promotion de l’idéologie vaccinale à l’échelle mondiale. Que les Gates poursuivent ce but, pourquoi pas, qu’ils financent certains programmes, pourquoi pas, mais ce qui pose évidemment problème est que l’influence qu’ils ont acquise à coups de chèques grassouillets modèle de manière totalitaire (et donc malhonnête) les réponses de santé.

Sachant que -contrairement au fantasmes des naïfs (dont nombre de socialistes suisses !)- la philanthropie de ces ardents défenseurs de l’agriculture intensive, des OGM et du transhumanisme est plus que douteuse.

La Pre Siegrist a touché au cours des ans des millions de francs suisses de la fondation Gates. Certes comme beaucoup de ses collègues, comme nombre d’universités en Suisse comme partout dans le monde, comme Swissmedics (?), pendant que le Conseil fédéral accordait un statut légal d’exception, farci de privilèges, à la dite-fondation, domiciliée en Suisse.

Est-ce pour cette raison que la Pre Siegrist désinforme la population au sujet de l’efficacité du vaccin de Pfizer ? Est-ce pour cette raison qu’Alain Berset et Mauro Poggia mentent eux aussi à la population, qu’ils ont pourtant bien sûr la responsabilité et le devoir de servir et de protéger ?

Le résultat des courses est que l’on impose à marche forcée et à coups d’informations mensongères une véritable expérimentation génique à large échelle (selon la judicieuse expression d’Alexandra Henrion Caude), hasardeuse et à hauts risques, dont le principe est rigoureusement prohibé par le droit et l’éthique.

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Las ! Tout comme Mmes et MM. Siegrist, Tardin, Ruiz, Berset et Poggia s’en contrefichent de mentir à la population, on s’en fiche aujourd’hui royalement urbi et orbi de violer la déontologie et le droit.

En imposant un cortège de mesures inutiles et destructrices, sans la moindre justification scientifique sérieuse. En foulant aux pieds les droits constitutionnels et fondamentaux. En truquant au passage la recherche et la science et en les prostituant à coups de double-standards d’une malhonnêteté renversante !

Et en détruisant hélas au passage sans vergogne la vie des honnêtes gens tout en leur faisant courir désormais des risques insensés.

Car oui, l’expérimentation génique en cours est bel et bien extrêmement risquée !

Expérimentation génique : sans risques ?!

Vous souvient-il comment tant le Pr Alain Fischer (en France) que la Pre Siegrist (en Suisse) ont dans un premier temps exprimé d’honnêtes réserves face à la nouvelle technologie « vaccinale » à ARN messager ? Eh bien il semble que les scrupules ne durent pas longtemps dans ce monde-là : il aura suffi que Pfizer fasse publier une étude bidouillée dans le NEJM pour que ces deux personnalités se ravisent bien opportunément.

Pour bien montrer l’aberration de ce dangereux parti-pris, je reproduis pour terminer les réponses faites par le Pr Christian Vélot aux interpellations que lui a adressées ce même Alain Fischer suite aux différentes mises en garde publiées par le premier, président du CRIIGEN (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique) et professeur de génétique moléculaire à l’Université de Paris-Saclay. 

La malhonnêteté et la corruption sont bien sûr les deux pires ennemis de la science. Mais pas (bien au contraire) du scientisme ni du business maffieux !

Tout ceci conduit aujourd’hui le corps médical à devenir complice d’une magouille d’une envergure sans précédent. Le brave docteur qui a convaincu cette personne de ma famille de se vacciner a-t-il conscience d’être devenu un marchand de tapis plutôt qu’un médecin ? A-t-il conscience (comme le relevait ce médecin-chercheur qui m’a signalé les trucages de l’article de Polack et al.) qu’il commet un délit pénal  en se défaussant de son « devoir d’information pour obtenir le « consentement éclairé » » ?

« Ce consentement, avec ce nouveau vaccin, ne peut tout simplement pas être obtenu, puisque personne ne sait ce qui se passe, ni en termes d’efficacité ni de dangerosité.

C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. »

Les autorités ont-elles conscience de jouer à la roulette russe avec une population qu’elles ont pris en otage au moyen de mesures iniques et indéfendables, pour leur faire miroiter de manière irrésistible (mais mensongère) que l’expérimentation génique était la seule voie (les ignorants bien sûr y croient) pour « revenir à la vie d’avant » ?

Franchement ? Tout ceci sent très mauvais.

Conclusion ? Nous avons besoin de science, de responsabilité et d’honnêteté !

Ce qui veut dire qu’avec les individus qui sont actuellement aux commandes dans les gouvernements et  les « autorités de santé », nous sommes (pour celles et ceux à qui cela aurait échappé…) fort mal barrés.


Rapport d’expertise sur les vaccins Covid-19 : réponses aux allégations du Pr Fischer suite à l’expertise du Dr Vélot concernant les risques sur les vaccins de nouvelle génération contre la Covid19 — à télécharger ici.

  1. « Il y a confusion entre les évènements de recombinaison telle qu’observés dans la nature et ce qui pourrait se passer chez un sujet vacciné. L’ARN vaccinal a une demi-vie très courte, il est principalement capté par les cellules du système immunitaire et induit ainsi la réponse immune. »

Tout d’abord les cellules qui reçoivent le matériel vaccinant sont essentiellement des cellules musculaires (injection intramusculaire), voire des cellules dermiques ou des cellules du tissu conjonctif (tissu qui enveloppe nos organes et notamment nos faisceaux musculaires), mais certainement pas nos cellules immunitaires. Ce sont donc les cellules précitées qui vont prendre en charge le matériel génétique viral injecté et fabriquer la protéine Spike (protéine de surface du virus Sars-Cov2), et c’est cette production de protéine virale (antigène) par les cellules musculaires notamment qui va engendrer la réponse immunitaire. Et heureusement d’ailleurs que ce ne sont pas les cellules immunitaires qui captent le matériel génétique viral pour produire elles-mêmes la protéine Spike, car cela conduirait sans aucun doute à une maladie auto-immune. Les cellules immunitaires fabriquent les anticorps dirigés contre les antigènes, mais bien sûr pas les antigènes eux-mêmes. Concernant la demi-vie de l’ARN vaccinal, si elle était à ce point courte que cet ARN ne puisse recombiner avec un éventuel autre ARN viral infectant, cela signifierait qu’il n’aurait même pas le temps d’être traduit en protéine Spike. La demi-vie d’un ARN messager humain (temps nécessaire pour que 50% de cet ARN disparaisse) varie entre 30 min et 24H. Pour un ARN de virus humain, on se situe plutôt vers le haut de la fourchette. En effet, la stabilité d’un ARN va dépendre de son taux de traduction car les machineries de traduction (les ribosomes), en lisant l’ARN (pour le traduire), le protègent. Or un ARN viral a vocation à être beaucoup traduit.

  1. « Cet ARN ne peut être rétro-transcrit en ADN pour donner lieu à événement de recombinaison/insertion ».

La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une rétro-transcription — c’est à dire une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Comment le Pr. Fischer peut-il ignorer cela alors que c’est connu depuis les années 1990 ? Pour en attester, voir ci-dessous un article scientifique de 1992, publié dans une grande revue scientifique internationale à comité de lecture — Microbiological Reviews —, et intitulé « RNA recombination in animal and plant viruses ». (Version en ligne)

  1. « La probabilité d’infection virale d’une cellule porteuse de l’ARNm vaccinal est très faible compte tenu de la 1/2 vie de cet ARNm (et des autres virus cités). De plus la capacité de recombinaison devrait parvenir du virus infectant selon un mécanisme hypothétique »

Concernant la demi-vie de l’ARNm viral, j’ai déjà répondu au point 1. J’ajoute que la rencontre entre le matériel génétique viral vaccinant d’une part, et celui d’un virus infectant d’autre part, n’est pas restreinte au seul cas où l’infection par un autre virus surviendrait strictement dans le créneau où l’ARN viral vaccinant est présent dans nos cellules. C’est également vrai dans le cas d’une infection qui précède la vaccination (et qui bien sûr est encore présente au moment de la vaccination). Certes, cela restreint la probabilité de rencontre entre les deux matériels génétiques viraux. Mais, une fois de plus, ne perdons pas de vue qu’il s’agit de vaccination massive, c’est-à-dire concernant des effectifs colossaux. La probabilité que de tels évènements se produisent n’est donc pas nulle. Et on ne peut en faire l’économie dès lors que les conséquences ne seraient pas que pour la personne vaccinée chez laquelle émergerait un tel virus recombinant plus virulent ou plus contagieux : ce risque doit être apprécié à l’échelle de la population. Quant à « la capacité de recombinaison qui devrait parvenir du virus infectant selon un mécanisme hypothétique », de quoi parle le Pr. Fischer ? Quel mécanisme hypothétique ? On n’est pas dans la science-fiction : encore une fois, ces mécanismes sont connus depuis les années 1990 !

  1. « À noter que l’ARN a déjà été utilisé chez l’homme dans des essais de vaccination anti-cancer et sous formes d’oligonucléotides anti sens et siRNA et ce à des doses beaucoup plus élevées et répétées, sans que de tels évènements aient été observés. Par ailleurs de tels événements n’ont été reportés, ni lors de l’utilisation de virus inactivés (qui contiennent ARN et ADN !) ni atténués et ce depuis des dizaines d’années alors qu’ils pourraient avoir été injectés dans des cellules porteuses d’un virus… »

Tout d’abord, de tels évènements ne peuvent évidemment pas se produire avec des vaccins utilisant des virus inactivés ou atténués puisque dans ces cas, le matériel génétique viral n’est pas délivré dans nos cellules. C’est justement l’originalité des vaccins nouvelle génération dits « vaccins génétiques », que de délivrer le matériel génétique viral dans nos cellules pour leur faire fabriquer elles-mêmes l’antigène. Quant aux stratégies cliniques antérieures consistant à délivrer du matériel génétique dans nos cellules, et dont parle le Pr. Fischer — à savoir les essais cliniques d’immunothérapie, — il s’agit de traitements s’adressant à des patients atteints de cancers. Le but est d’essayer de leur faire développer des anticorps dirigés spécifiquement contre des protéines humaines présentes à la surface de leurs cellules cancéreuses (dans le but de détruire celles-ci). Le Pr Fischer parle abusivement de « vaccination anti-cancers ». Ce terme est totalement inapproprié et crée la confusion. Il ne s’agit en rien d’une vaccination, d’une part car ce n’est pas une démarche préventive mais curative, et d’autre part car il ne s’agit pas de lutter contre un agent infectieux mais contre certaines de nos propres cellules (devenues cancéreuses). Non seulement ces patients sont bien sûr prêts à accepter des effets secondaires – même importants – dès lors que le rapport bénéfices/risques reste favorable, mais il s’agit d’effectifs extrêmement réduits. Ces essais n’ont donc rien à voir avec une véritable campagne de vaccination qui s’adresse à des personnes en bonne santé et en très grand nombre, en particulier dans le cas de la Covid qui concerne la population mondiale.




Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek

[Source : Kla.tv]

Il n’y a donc pas que l’Espagne qui a commencé à vacciner sa population contre le coronavirus avec des vaccins, exactement du type de ceux contre lesquels des associations entières de scientifiques ont mis en garde en vain pendant des mois.

Pendant ce temps, nos médias subventionnés, qui sont payés très cher, ont refusé de manière évidente leur obligation légale de rendre compte des avertisseurs et des contre voix expertes ; non seulement cela, mais ils les ont également supprimés de manière dangereuse et bien qu’ils le sachent.

Il s’agit ici de témoignages censurés de milliers de scientifiques, médecins, virologues, biologistes, etc. de renom. Toutes ces personnes et bien d’autres encore, au lieu d’être entendues, ont même été insultées, incriminées et stigmatisées publiquement par le mainstream. Au lieu de stimuler le débat public exigé par la Constitution sur tous les dangers qui ont été découverts, les grands médias ont systématiquement bloqué tous les témoins experts qui faisaient encore preuve d’un certain courage civil et les ont « roulés dans la farine ». Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont même fait en sorte que tous ceux qui ont donné une audience à ces experts de haut niveau soient stigmatisés comme étant des « covidiots », des négateurs du coronavirus, des tueurs d’hommes, et d’autres choses de ce genre.

Et ce n’est pas seulement la population espagnole qui est maintenant vaccinée avec précisément ces vaccins non testés contre lesquels les virologues et les médecins s’élèvent, avertissant qu’ils pourraient eux-mêmes causer les véritables grands dommages. Que ce soit le cas ou non, les peuples, rabaissés au rôle de cobayes, ne peuvent pas le savoir sans ces experts qui sont complètement indépendants économiquement. Et c’est précisément la raison pour laquelle une vaccination aussi hâtive de la population mondiale ne doit en aucun cas avoir lieu sans une enquête approfondie et un débat public. Ce qu’il faut ici, c’est un moratoire, c’est-à-dire une suspension immédiate contraignante, dans le but d’une enquête publique approfondie, concernant tous les points signalés comme problématiques.

L’ensemble de la campagne de vaccination elle-même est déjà suffisamment anticonstitutionnelle. Les voix des experts en matière d’alerte devraient être examinées d’urgence, d’abord par des comités d’experts totalement indépendants, puis débattues en public. Et par indépendants, j’entends non seulement libres de tout conflit d’intérêts, mais aussi hors de portée de toutes les sociétés secrètes maçonniques, qui pourtant, à plusieurs reprises déjà, ont été mises en cause pour de telles actions.

Mais malheureusement, jusqu’à présent, toutes les déclarations et les avertissements d’experts véritablement indépendants, comme je l’ai dit, ont été censurés de la manière la plus criminelle par les médias du mainstream et donc cachés aux peuples menacés. Mais aussi de plus en plus de plateformes de médias sociaux comme YouTube, Facebook, Vimeo etc. font la même chose de manière irresponsable. Des milliers de censeurs à temps plein, on ne peut pas les appeler autrement, et des pirates informatiques à temps plein s’assurent depuis des mois que toute contre voix vraiment importante soit bannie d’Internet. Qui diable paie réellement toutes ces légions ?

Vous êtes-vous déjà posé cette question ? … Avec quel argent ? Il doit y avoir des milliards de pots-de-vin. Je dis ici ouvertement ce qu’il en est : Si ce qui fait rage ici est vraiment une guerre hybride, comme l’ont maintenant révélé de façon concluante la plupart des lanceurs d’alerte, Kla.TV compris, alors tous ces censeurs ne sont rien de moins que de dangereux criminels de guerre, qui ne font que participer à un nouveau génocide. Rien que les expériences sur les animaux, qui ont été étouffées par le mainstream, ont montré dans la clarté la plus effrayante comment justement des vaccins Covid-19 produits aussi hâtivement ont conduit à des choses encore pires que le virus lui-même. Mais maintenant, malheureusement, la situation est bien pire.
Pas plus tard qu’hier, les médias ont rapporté que le gouvernement espagnol tenait déjà une liste de tous ceux qui ne se faisaient pas vacciner volontairement. Et ce qui est arrivé ensuite dans un seul et même bulletin d’information ne fait que déclencher la question de savoir à quel point ils nous prennent pour des idiots, peut-être même des abrutis. Ou du moins, à quel point devrions-nous nous nous comporter comme tels ? Car en même temps que cette nouvelle, nos médias subventionnés nous ont assuré que la protection des données resterait bien sûr garantie pour tous ceux qui figureraient sur la liste de ces non-vaccinés – bien que le gouvernement espagnol ait promis dans une seule et même phrase de transmettre toutes ces données à tous les pays voisins qui voudraient savoir qui viendrait dans leur pays sans être vacciné…

Super, quelle protection des données ! Où en sommes-nous arrivés ? Ainsi, les données top secret des personnes qui refusent la vaccination en Espagne ne seront transmises qu’à toutes les autorités qui ont effectivement le pouvoir d’interdire l’accès à tout ce que la vie publique a à offrir, comme le droit d’entrer, de prendre l’avion, d’aller en vacances, d’acheter, de prier, et je ne sais pas quoi énumérer d’autre – simplement tout ce qui vaut la peine de vivre. En d’autres termes, les seules personnes contre qui les données sont réellement protégées sont donc les personnes qui ne pourraient rien en faire et qui n’ont ni l’intérêt ni le pouvoir de nuire à ceux qui ont refusé la vaccination en Espagne. Mais les données seront également protégées contre ceux qui pourraient peut-être soutenir les personnes qui refusent la vaccination. Comprenez-vous cela ?

Bien sûr, cette nouvelle d’horreur fait d’abord céder toutes les poules mouillées de la société. C’est clair ! Ils se réconcilieront immédiatement avec eux-mêmes en disant que ce prix est beaucoup trop élevé pour eux. Après tout, ils ne veulent pas être exclus de la société, les pauvres. Ils suivent donc immédiatement l’offre d’encouragement psychologique du ministre allemand de la santé, M. Spahn, et préfèrent se battre pour la 1ère injection plutôt que de résister. Mais tout le monde ne réagit pas de la même manière. Lorsque l’Espagne, pas plus tard qu’hier, a propagé ses listes anti-vaccination, M. Spahn a en même temps fait la une des journaux en déclarant qu’il ne devrait y avoir « aucun droit spécial pour les personnes vaccinées ».

Celui qui connaît le langage de la déformation maçonnique du sens, sait donc déjà avec certitude que bientôt ce sera tout le contraire qui sera réalité. Cela signifie que tous les Allemands et autres personnes refusant la vaccination figureront bientôt sur ces listes. Il est important de le comprendre. L’Espagne n’est ici qu’un ballon d’essai.

La seule réaction logique à de telles listes cachées et dissimulées pour les personnes non vaccinées doit donc être des listes officielles, pour toutes les personnes ayant subi des dommages suite à la vaccination ! Vetopedia offre ici à toutes les personnes lésées par la vaccination la possibilité de s’inscrire officiellement afin de rendre publics leurs dommages liés à la vaccination. L’humanité doit enfin connaître les conséquences dévastatrices des vaccinations passées. Tout comme l’État surveille tous les non-vaccinés d’une part, la population doit d’autre part garder un œil bienveillant sur tous ceux qui ont été vaccinés afin de mettre en lumière tous les dommages possibles de la vaccination.

Par conséquent, divulguez vos données sans hésitation à ce public, qui, au final, va supporter tout seul vos dommages, non ? C’est votre seule protection ! Vous savez que ni les grandes entreprises pharmaceutiques ni les médecins ne peuvent être poursuivis pour des dommages causés par la vaccination, quelle que soit l’importance de ces dommages. Alors pourquoi les données des victimes de la vaccination ne devraient-elles rester que chez ceux qui protègent ceux qui leur ont nui ?

Vetopedia rend visibles les dommages causés par la vaccination. C’est pourquoi : inscrivez-vous ! Ça fonctionne ainsi : Si ce contre quoi des milliers de médecins, professeurs et virologues indépendants ont mis en garde devait se produire, cela deviendrait alors visible à cet endroit-là.

La population doit veiller maintenant à ce que l’ensemble de l’industrie pharmaceutique et de la vaccination puisse pour la première fois, être tenue pour entièrement responsable des dommages causés par la vaccination, au lieu d’être doublement protégée par la loi contre les demandes de dommages et intérêts.

Ces vaccinations, décrites par des experts véritablement indépendants comme étant extrêmement dangereuses, sont administrées sans hésitation et les médias se taisent tout simplement sur les millions de dégâts graves causés par la vaccination, les stérilisations dissimulées et bien d’autres choses qui ont déjà été révélées en masse par Kla.TV. Ainsi, à l’avenir avec Vetopedia et les lanceurs d’alerte, ce qui arrive à toutes les personnes vaccinées contre la Covid devrait être révélé.

Comme cela a déjà été demandé de manière urgente, les comités d’experts indépendants, les virologues, les biologistes, les chimistes, etc. doivent maintenant parler publiquement et actionner les leviers encore disponibles, afin qu’ils exposent de manière publique et professionnelle, les informations sur les tests PCR et les nouveaux vaccins anti Covid et qu’ils présentent les preuves de leurs enquêtes, etc.

En ce qui concerne le test PCR, une spécialiste a déclaré ces jours-ci qu’elle avait soumis à analyse plusieurs de ces tests absolument intacts et que les résultats sont revenus positifs. Elle n’avait rien fait avec ces tests. On soupçonne que ces tests PCR propagent eux-mêmes la maladie. Si c’est effectivement le cas, cela signifierait que la véritable propagation du virus Covid-19 n’a réellement commencé qu’à travers les tests PCR… et combien plus alors par le vaccin lui-même, qui a été qualifié de folie totale ? Aujourd’hui, le 30 décembre, les mass-médias parlent d’une nouvelle forme du coronavirus, encore bien pire. Il est donc nécessaire d’enquêter publiquement, et immédiatement, pour savoir si ce n’est pas précisément la réalisation du soupçon susmentionné ! Que la propagation beaucoup plus rapide n’est pas due à un nouveau type de virus, mais aux tests et aux vaccinations qui ont maintenant été lancés. Il a été démontré à plusieurs reprises que la communauté mondiale se trouve principalement, je dis bien principalement, au milieu d’une guerre financière hybride. Il y a donc de forts soupçons que l’ensemble du scénario Covid-19 ne soit qu’un dispositif de guerre biologique conçu pour dissimuler des intentions bien plus supérieures.

Quelles sont les intentions supérieures qui pourraient être dissimulées ? Par exemple, le processus continu d’endettement total de tous les États. Si la dépossession et l’asservissement de tous les pays étaient une intention plus profonde des agresseurs hybrides, alors ils auraient besoin d’un bouc émissaire, c’est clair ! Et ce, afin de pouvoir imputer une crise financière délibérément mise en scène à un coup du sort, à une pandémie, et cela dans un but d’enrichissement personnel,… quoi de plus idéal ? Une pandémie volontairement dirigée rendrait tout possible, elle justifierait tous les moyens de surveillance et de pouvoir et en même temps elle dissimulerait parfaitement le processus de pillage mondial en cours. Il faut donc enquêter publiquement et déterminer si cette prétendue pandémie n’a pas été créée délibérément dans le but de dissimuler le plus grand scandale et crime financier de tous les temps.

Il a déjà été prouvé noir sur blanc que des brevets sur les virus Covid ont été créés ! Quelle est cette folie ! Kla.TV en a déjà parlé. Et maintenant ? Seuls des experts totalement indépendants peuvent enquêter et déterminer si les tests PCR et désormais aussi les vaccins Covid-19 conduisent à la propagation réellement mortelle de la Covid-19. Toutes les listes de décès dans le monde à ce jour prouvent que jusqu’au 30 décembre 2020, le taux de mortalité n’a pas été plus élevé que lors des années normales de grippe, plutôt plus bas que cela, pour autant que je sache.

Dans son entretien sur Kla.TV, le Dr Madej a démontré de manière évidente et instructive à la population mondiale à quel point les satanistes déclarés sont à la tête de l’industrie des vaccins. Sans scrupules, pareil à des fous, ils ont fait enregistrer leurs brevets de vaccins Covid-19, développés à la hâte et sans aucune vérification, avec le numéro 060606. Étonnant n’est-ce pas ? Et par le biais des médias du mainstream, ils ont fièrement proclamé qu’ils voulaient vacciner sept milliards de personnes avec leur cocktail de poison 666. Le fait qu’ils ne puissent être tenus pour responsables d’aucuns dommages liés à la vaccination, est garanti par la nouvelle loi spécifiquement introduite avec le numéro d’enregistrement, là encore, 6666 – ce qui n’est manifestement pas une théorie de conspiration, mais un fait réel. Maintenant, au plus tard, il devrait enfin être clair, même pour celui qui doute le plus, quelle espèce d’être humain est en train d’écrire l’histoire du monde. Même si la politique et les médias s’y opposent et font remarquer qu’on ne sait pas encore quels vaccins seront achetés par qui, il faut néanmoins faire comprendre à la communauté mondiale qu’il ne peut y avoir une seule offre sérieuse, selon des experts indépendants, car une telle chose n’est tout simplement pas possible en si peu de temps. Je ne répéterais pas toutes les émissions ! Et qui va maintenant donner à l’humanité la pleine assurance que les fournisseurs des vaccins actuels sont en fait d’autres personnes que ceux dont nous venons de parler et qui sont prédéterminés par l’élite dominante ? En bref : qui va prouver maintenant et par quels moyens, que les vaccins administrés actuellement ne sont pas issus de ce club des 666 ? À notre connaissance, les principaux dirigeants mondiaux ont accumulé beaucoup trop de pouvoir pendant notre période de somnolence pour que des homologues sérieux, libres et indépendants, puissent même s’affirmer dans ce commerce.

Si vous étudiez les sources à la fin de l’émission, vous vous demanderez comment diable des gens comme Bill Gates, complètement ignorant de la virologie, de la pharmacie et de la médecine, en sont venus à annoncer ouvertement et en toute impunité devant des caméras qu’ils veulent non seulement vacciner la population mondiale avec des substances modifiant l’ADN, mais qu’ainsi ils voudraient aussi réellement la réduire.

Je dis les choses telles qu’elles sont : Seules les personnes qui appartiennent à une élite contrôlant tout et dont la religion est de toute évidence le satanisme, peuvent le faire. Aucun simple mortel ne pourrait jamais mettre la main sur un brevet controversé de vaccin numéro 666, où que ce soit dans le monde. Vous voyez ce que je veux dire ? Et il ne pourrait certainement pas utiliser une loi pour se protéger doublement de toute responsabilité qui porte le numéro d’enregistrement 6666. Comprenez-vous ce qui se passe ici ? Il existe des groupes de personnes qui ont le courage d’imposer leurs cocktails empoisonnés, leurs technologies et leurs signes au monde entier, ce contre quoi même la Bible nous met fortement en garde depuis 2 000 ans. Il est temps de se réveiller, mes chers !

Une seule chose est claire jusqu’à présent : notre communauté mondiale est contrainte à la ruine totale par ceux qui détiennent le pouvoir, à savoir par des personnes qui court-circuitent complètement le peuple, sans être reconnues, pour ainsi dire, et qui agissent comme les quatrième et cinquième puissances de l’État. Ils forment un règne de terreur pure et je le dis devant Dieu : ce genre d’humain n’ont pas du tout de bonne intentions envers nous ! Et ils sont capables de tout ce qu’un mortel normal considérerait comme tout simplement impossible. Avec cette crise économique mondiale parallèle forcée, les « protocoles des sages de Sion » se réalisent une fois de plus à la lettre. Et non ! Il ne s’agit pas du tout des Juifs, du moins pas de vrais Juifs, comme cela y est écrit quasiment toutes les 10 lignes. Les auteurs de ces écrits sont de réels satanistes qui détestent les Juifs plus que tous les autres, et qui veulent reporter leurs crimes planifiés sur les Juifs afin qu’ils soient persécutés pour cela, et non pas eux-mêmes, quand ça explosera ! J’ai longuement abordé ce sujet dans ma conférence AZK « Contre le racisme et la conspiration ». Ce ne sont donc pas les Juifs qui ont écrit ces Protocoles de conspiration mondiale, donc ne les poursuivez pas pour cela. Je refuse de reconnaître que c’était les Juifs. Selon la Bible, ce sont ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas, mais qui appartiennent à la synagogue de Satan. C’est ainsi que c’est écrit. Les auteurs de ces lignes sont des satanistes classiques qui utilisent les Juifs comme bouclier, afin de les soumettre une fois de plus à la persécution et de les accuser de leurs crimes sataniques. Je rappelle cependant que cet écrit est un écrit interdit. Il est donc interdit de le distribuer. On peut à peine le mentionner. Mais aucun pouvoir, je vous le dis, sous le ciel ne peut m’empêcher d’assumer ma responsabilité envers une population mondiale menacée et de témoigner que cet écrit de conspiration s’accomplit à la lettre une fois de plus à notre époque. Et cela justement à travers ces pouvoirs qui en 1ère ligne nous contraignent au confinement.

La ruine ou l’endettement extrême de tous les États et de la communauté mondiale est au cœur de leur intérêt principal, selon cet écrit de conspiration. Comprenez-vous ? Ce qui y est écrit, se réalise exactement, bien exactement maintenant, en ces jours ! La pandémie n’est utilisée que comme un bouc émissaire pour cacher la dette nationale insidieuse prévue. Presque tous les biens matériels, les ressources minérales et les richesses de la terre tombent actuellement entre les mains des conspirateurs. Ils gagnent leur vie comme jamais auparavant ! Mais leur objectif final caché n’est même pas cela, mais une domination du monde à la main de fer, où tous nos plaisirs et conforts passés prendront une fin abrupte et définitive.

Parce que trop de preuves indiquent maintenant clairement que toute l’histoire de la Covid est une pandémie provoquée délibérément par cette secte dévastatrice de domination mondiale, il est impératif que la communauté mondiale sache à qui elle a affaire. Parce qu’ils se sont mis arbitrairement aux commandes de l’humanité. Et ces gens sont vraiment nuisibles. Les satanistes ne tolèrent aucune autre religion que celle de Satan. Ils ne tolèrent pas les intérêts nationaux ou les cultures acquises. Pour eux, seuls les intérêts du diable vivant sont valables. Ils n’en ont jamais assez, par exemple d’argent ou de pouvoir. Avec leurs sociétés secrètes, ils ont, depuis des siècles déjà, accaparé injustement tout pouvoir possible au moyen de nos flux monétaires et des décisions politiques. Mais le commun des mortels se demande maintenant ce qui, au-delà de cela, pourrait les intéresser. Puisqu’ils ont déjà obtenu tout le pouvoir et la richesse, que leur manque-t-il encore ?

Et c’est là que je dis : Attachez vos ceintures. Ce que je vais dire, je souhaiterais que ce soit juste de la science-fiction. J’aimerais bien me tromper sur ce point. Ce culte se nourrit de la perte et des souffrances des humains. Ils sont fondamentalement hostiles à la communauté mondiale. Ils nous considèrent tous comme des mouches parasites, comme de la vermine à exterminer. Ils se considèrent, en revanche, comme les propriétaires légitimes de ce monde. Ils n’ont aucun scrupule. Ils ne sourcillent pas quand leurs cocktails de poison endommagent, mutilent ou tuent des millions d’enfants innocents, ou quand des dizaines de millions de femmes sont stérilisées ou ont des séquelles à cause de leurs vaccinations forcées, etc. Toutes ces choses leur donnent le plaisir désiré, vous devez tout d’abord comprendre que de telles choses les excitent véritablement, oui ! Ils sont pires que les pires prédateurs que vous pouvez imaginer. Ce n’est que lorsqu’ils peuvent torturer et tourmenter les humains, détruire les animaux et les plantes, qu’ils se sentent vraiment dans leur élément. Ils sont obligés de mentir et de tromper tout le temps. C’est leur nature ! Ils n’ont aucun rapport avec une quelconque race humaine, aucune, ni avec une quelconque nationalité ou culture. Et comme je l’ai dit, avec aucune religion non plus, sauf leur culte du diable. C’est ainsi. Ils ont mis en place des réseaux entiers de cercles de pédophiles sur toute la terre, où des enfants enlevés ou spécialement conçus pour cela sont abusés, torturés et cruellement sacrifiés pour des rites. Mais ils satisfont aussi leurs désirs pervers avec la traite des femmes, le commerce de la drogue et bien d’autres choses encore. Avec leurs énormes transactions monétaires et leurs spéculations, ils dirigent à volonté l’ensemble de l’économie mondiale.

En ce moment même, un de leurs anciens plans se réalise, où il est écrit comment ils vont conduire l’ensemble de la population mondiale à une faillite financière ciblée et l’obliger à se soumettre directement à leur plein pouvoir. Ce qui ressemble malheureusement ici à de la science-fiction bon marché, est une réalité amère. Mieux vaut le croire ! Toutes ces choses sont restées cachées au public mondial parce que ce sont exactement les mêmes cercles qui ont obtenu la suprématie sur les grands médias. Leur pouvoir monétaire, combiné au pouvoir médiatique, forment ainsi le quatrième et le cinquième pouvoir invisible dans tous les États du monde. C’est la vérité ! Presque rien n’a échappé à leurs griffes sournoises.

La plupart des politiciens de ce monde, cependant, n’ont pas la moindre idée de ces choses, car ce sont simplement des marionnettes achetées ou du moins trompées. On les a soit habilement fait chanter, soit on les a en quelque sorte achetés ou soudoyés avec des pots-de-vin de toutes sortes, comme ils le font de nouveau en ce moment avec les pasteurs, les restaurateurs, les hôteliers, les médecins et les hôpitaux, etc. En effet, les derniers sont payés pour déclarer leurs patients victimes de la Covid, et les premiers sont payés pour fermer leurs portes, abandonner leurs troupeaux, etc. Conclusion : On peut fortement soupçonner que le monde a affaire à un réseau satanique de sociétés secrètes de haut rang qui viennent de commencer à poignarder au sens propre du terme cette population mondiale.

Kla.TV a donc mis à la disposition de tous ses spectateurs un dossier de sensibilisation à télécharger. Veuillez télécharger ce dossier de témoignage sous cette émission et informer les gens, d’abord de la classe moyenne, donc tous les propriétaires d’entreprises etc., et ensuite aussi ceux de la base. Vous devez absolument avoir le témoignage de scientifiques de haut rang pour connaître le véritable fond de cette incroyable histoire. Si nous ne le faisons pas et si nous ne parvenons pas à prendre le dessus de cette manière, je pense que nous le paierons de notre propre sang et de nos propres vies ! J’en suis convaincu. Par conséquent, ne diffusez pas ces dossiers de sensibilisation aux plus hautes autorités, car elles n’ont pas levé le petit doigt jusqu’à présent et ne le feront probablement jamais. Pour la même raison, ne vous adressez pas aux recteurs d’académie ou aux directeurs d’école, mais plutôt aux enseignants qui en dépendent, individuellement. Sensibilisez-les ! Là où les chefs d’entreprise ne réagissent pas à cette déclaration d’urgence et de sensibilisation, transmettez-la à leur personnel. Descendez ! Évitez aussi les directeurs de banque, informez plutôt les employés de banque. De cette façon, les employés de banque pourront tous voir ce que fait leur patron, là-haut. De plus ne passez plus du tout par l’étape des rédacteurs en chef, de la presse, de la radio, de la télévision. Ils ont prouvé qu’ils ne faisaient rien. Mais cherchez plutôt les nombreux journalistes qui vous entourent. Chacun devrait prendre ses responsabilités dans un rayon de peut-être un kilomètre autour de chez lui et sensibiliser tous ceux qui peuvent l’être avec ce dossier de sensibilisation. De même, n’allez pas voir les directions des hôpitaux ou des cliniques, etc. mais équipez plutôt leur personnel de nos meilleures émissions. Le grand public doit ainsi savoir tout ça, car toute discussion publique jusqu’à présent est attaquée, sabotée et bloquée par les magnats des médias, les rédacteurs en chef et autres dans le cadre d’un travail de sensibilisation stratégique ciblé. Il faut forcer la discussion publique entre tous les spécialistes utiles ! C’est de cela qu’il s’agit maintenant ! Ne laissez donc personne vous empêcher de parler.
Je vais maintenant résumer une fois de plus le pic de danger : Selon de très nombreux spécialistes témoins, il y a une très forte suspicion que l’épidémie de Covid 19 vient seulement d’être déclenchée par les tests PCR et maintenant aussi par la vaccination non sécurisée contre la Covid.

En 2020, toutes les listes de décès du monde ont prouvé que, malgré les discours alarmistes constants, le nombre de morts n’était pas plus élevé, mais plutôt moins élevé que la moyenne des dernières décennies. Il n’y avait donc pas une seule raison justifiable pour ruiner, paralyser et détruire l’ensemble de l’économie mondiale de cette manière. Conclusion : en ce moment des tireurs de ficelles non identifiés trompent, manipulent l’humanité entière et lui nuisent. Et leur tromperie ne cessera probablement pas car il s’agit manifestement de psychopathes sataniques, qui veulent dominer toute la politique mondiale, toute l’économie mondiale et la population mondiale, et qui veulent aussi la réduire fortement et la conduire vers le transhumanisme. Nous ne devons pas leur permettre de continuer à avoir ce pouvoir ! Par conséquent, comme je l’ai dit, téléchargez le dossier de sensibilisation avec les sept émissions les plus importantes et les plus fondées et transmettez-les aussi à tous les pasteurs, prédicateurs, évangélistes et diacres. Commandez-leur de diffuser ces voix d’experts parmi leurs paroissiens. Mais faites-leur aussi prendre conscience de leur entière responsabilité s’ils ne transmettent pas et refusent à leurs communautés ces voix d’experts. Celui qui érige aujourd’hui des blocages qui provoquent la censure et ne contribue pas à prévenir ce dommage mondial imminent, porte aussi la responsabilité de la catastrophe à venir. Comprenez-vous ce dont témoignent ici d’innombrables experts ? L’histoire s‘écrit à travers ce que nous percevons comme notre quotidien habituel. Une guerre hybride fait rage contre toute l’humanité et tous ces experts en témoignent.

Et on peut fortement soupçonner que tout ce qui nous est présenté comme des mesures douces et salvatrices pour l’humanité produiront exactement le contraire. Cela se passe exactement comme l’information mentionnée au début, où on fait croire aux Espagnols qui refusent la vaccination que leurs noms seront inscrits sur une liste, mais que leurs données resteront totalement protégées… alors qu’on déclare dans la même phrase que leurs données seront transmises à tous les pays voisins, de sorte que ceux-ci sauront immédiatement si une personne non vaccinée s’approche d’eux. Reconnaissez par là le genre de mensonges et de distorsions qui se produisent partout dans le monde. Mais reconnaissez aussi par là même l’heure qui a sonné !

Et maintenant, une dernière chose : il faut encore une fois souligner que la réduction totale de la population mondiale n’est qu’une facette du désir qui anime les misanthropes nommés. L’autre côté de leur plaisir est d’avoir un reste d’esclaves serviteurs qu’ils aimeraient transformer en une sorte d’humain-robot. Mais entièrement à leur seul service, manipulable en tout. Leur rêve est un monde presque dépeuplé qui est tout à eux – à eux seuls – même pas à leur personnel. Celui-ci doit alors fonctionner inconditionnellement comme des machines, juste beaucoup plus capables et plus matures. Oui, et je sais que tout cela ressemble maintenant à de la science-fiction, mais je le dis devant Dieu :

C’est la réalité ; c’est comme ça que ça se passe, et pas autrement. Alors allez-y, agissez tant que vous le pouvez encore !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 43 ans.


Sources / Liens :

SRF1, 8h Nouvelles du 29.12.2020

Concernant la VACCINATION COVID :
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17038

Le vaccin contre le coronavirus : une menace plus grande pour la santé que la maladie elle-même ? Article de Dörte Donker: « Recherche sur les armes biologiques illégales aux États-Unis » publié dans une version plus longue le 21 juin 2020 à l’adresse :
https://offenkundiges.de/illegale-biowaffenforschung-in-den-usa/

[1] L’Inde veut commencer la vaccination contre le coronavirus en août :
www.faz.net/aktuell/wirtschaft/indien-will-im-august-mit-corona-impfung-beginnen-16846800.html

[2] Des réactions excessives dangereuses et des conséquences mortelles : An Evidence Based Perspective on mRNA-SARS-CoV-2 Vaccine Development
https://www.medscimonit.com/abstract/index/idArt/924700

The spike protein of SARS-CoV — a target for vaccine and therapeutic development

[3] Drosten : « Nous avons besoin de raccourcis dans l’approbation des vaccins »
https://www.apotheke-adhoc.de/nc/mediathek/detail/christian-drosten-wir-brauchen-abkuerzungen-bei-der-impfstoffzulassung-corona-virus-update/

[4] Citation de Gabor Steingart : Le podcast du 14 avril 2020 « Les démocraties tiennent bon ». – 00:22:45 Interview avec le Pr. Thomas Kamradt
https://www.gaborsteingart.com/podcast/https-dasmorningbriefing-podigee-io-468-neue-episode/?wp-nocache=true

[5] VAERD

[6] ADE (Antibody Dependent Enhancement)
https://www.nature.com/articles/d41587-020-00016-w

[7] Le Japon arrête les vaccins Pfizer et Sanofi :
https://www.deutsche-apotheker-zeitung.de/news/artikel/2011/03/07/japan-stoppt-impfstoffe-von-pfizer-und-sanofi

Les infections à rotavirus : Le vaccin est maintenant retiré du marché
https://www.aerzteblatt.de/archiv/20437/Rotavirusinfektionen-Impfstoff-jetzt-vom-Markt-genommen

[8] mRNA Vaccines: Possible Tools to Combat SARS-CoV-2
https://link.springer.com/article/10.1007/s12250-020-00243-0

[9] COVID-19 Vaccines: A Race Against Time in the Middle of Death and Devastation!
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7286271/

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

mRNA vaccines — a new era in vaccinology
https://www.nature.com/articles/nrd.2017.243

[10] Mouvement Leipzig : Corona News – qui ne sont pas si faciles à trouver – Marché de Leipzig
https://www.youtube.com/watch?v=1apZFCOBwhA

Coronavirus vaccine developers wary of errant antibodies

Appel urgent à la vigilance : la vaccination anti-coronavirus intervient dans l’ADN ! Obligations de vaccination :

Bill Gates prédit 700 000 victimes de la vaccination contre le coronavirus

Cas de dommages causés par le vaccin contre la grippe porcine :

Dr. Wolfgang Wodarg:

Pr. Hockerts
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

(Min. 33:15) Obligation des participants aux essais cliniques
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04283461?term=vaccine&cond=covid-19&draw=2

Loi sur le génie génétique :
https://www.gesetze-im-internet.de/gentg/BJNR110800990.html

Responsabilité pour les dommages causés par la vaccination :

La vaccination contre le Covid-19 est-elle utile et nécessaire ? Déclaration du Pr. Bhakdi Immunité et vaccination :
https://www.mwgfd.de/2020/08/covid-19-immunitaet-und-impfung-prof-dr-med-sucharit-bhakdi/

GUERRE HYBRIDE
www.kla.tv/16287

Guerre secrète et possession diabolique EXPÉRIENCES SUR LES ANIMAUX AVEC LE VACCIN COVID
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej PAS DE DROITS SPÉCIAUX POUR LES PERSONNES VACCINÉES (Jens SPAHN)
https://www.dw.com/de/spahn-keine-sonderrechte-f%C3%BCr-geimpfte/a-56074315

VETOPEDIA : DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS
www.vetopedia.org/impfschaden

DOMMAGES CAUSÉS PAR LES VACCINS ET STÉRILISATIONS
www.kla.tv/16418

Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:

VAXXED – La vérité choquante !?
www.kla.tv/14174

L’obligation vaccinale entraîne-t-elle une augmentation des troubles autistiques ?

PROBLEME DES TESTS CORONAVIRUS NON UTILISÉS

Témoignage d’une infirmière dans une maison de retraite, Suisse LA DÉPOSSESSION ET L’ENDETTEMENT TOTAL DE TOUS LES ÉTATS AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17767

Ernst Wolff : « Pandémie du coronavirus. Objectif final : le fascisme financier numérique »

Coronavirus : à qui profite la crise économique mondiale ? Intro

Banques sauvées au détriment des hôpitaux :

Coronavirus – la plus grande crise de l’histoire économique mondiale

Coronavirus, le parfait bouc émissaire !

Crise du coronavirus – qui paie la facture ?

Enrichissement excessif dans la crise du coronavirus

Les activités sournoises des fonds spéculatifs

Conflits d’intérêts de l’OMS

La troisième vague – Le tsunami financier est là (avec Ernst Wolff)
https://www.youtube.com/watch?v=aYZ2gVs9U7o

SURVEILLANCE AU MOYEN DE LA PANDÉMIE DU CORONAVIRUS
www.kla.tv/17579

Coronavirus : Ce que le Bundestag nous cache – un initié le révèle ! Lettre de Sebastian Friebel:
https://wie-soll-es-weitergehen.de/

Citation de Wolfgang Schäuble:
http://www.wolfgang-schaeuble.de/die-pandemie-ist-eine-grosse-chance/

Citation de David Rockefeller:

: Sûr et sécurisé dans une surveillance totale ?

Discours de Robert F. Kennedy Jr. sur la manif à Berlin le 29.8.2020 Enregistrement de Querdenken du 29.8.20 :

La crise du coronavirus : un prétexte pour la surveillance et le contrôle
https://www.youtube.com/watch?v=rma9Hg4GUbk

LES BREVETS SUR LES CORONAVIRUS
www.kla.tv/16961

Fortement censuré : Plandémie II : Endoctrinement
https://plandemicseries.com/

TAUX DE MORTALITÉ PAR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17494

Avis d’experts : Dans quelle mesure la maladie COVID-19 est-elle dangereuse ? Réseau allemand pour la médecine factuelle (Association).
https://www.ebm-netzwerk.de/de/veroeffentlichungen/covid-19

Wikipédia sur la médecine factuelle
https://de.wikipedia.org/wiki/Evidenzbasierte_Medizin

Lettre ouverte des médecins et des professionnels de santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges
https://docs4opendebate.be/de/offener-brief/

Uncut-News
https://uncut-news.ch/2020/09/16/1400-belgische-aerzte-und-medizinisches-fachpersonal-schlagen-alarm-es-gibt-keinen-killervirus/

ALETHEIA – La médecine et la science au service de la proportionnalité

Ex-vice-président de Pfizer au coronavirus : les faits n’ont plus d’importance ! Vidéo «Dr. Michael Yeadon, Ex Vizepräsident von Pfizer / Es gibt keine 2. Welle»:
https://open.lbry.com/@TranslatedPressDE:b/Dr-Michael-Yeadon-Ex-Vizepräsident-von-Pfizer-Es-gibt-keine-2-Welle:0?r=9hLdPZ6yr1XtmPHDypTVWVWXnosP4c7A

Article: L’ex-vice-président de Pfizer considère que la 2e vague est un faux

Jamais de coronavirus mortel en Suisse ? (par Richard Koller) Mouvement de la liberté Suisse (MLS)
https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/

STATUTS du Mouvement de liberté Suisse (MLS) https://www.fbschweiz.ch/index.php/de/wir-die-bewegung-de/statuten-de

Original : Les dés sont jetés – Alea jacta est

Panique-Coronavirus : Que disent les chiffres ? Base d’évaluation : Population de l’Allemagne 2018 : 83 020 000
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/2861/umfrage/entwicklung-der-gesamtbevoelkerung-deutschlands/

Décès en Allemagne en 2018 : 954 874
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/156902/umfrage/sterbefaelle-in-deutschland/

Nombre de décès en Allemagne 2018 par jour : 2 616 (954 874 décès / 365 jours) Personnes infectées par le coronavirus et qui sont décédées :
https://coronavirus.jhu.edu/map.html

Surmortalité due à la grippe :
https://de.statista.com/statistik/daten/studie/405363/umfrage/influenza-assoziierte-uebersterblichkeit-exzess-mortalitaet-in-deutschland/

Décès dus à la grippe en Allemagne en 2020 :

Comité d’enquête sur le coronavirus : Les citoyens prennent leurs responsabilités face à une politique qui a déraillé
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

Sources d’images :
https://www.youtube.com/watch?v=kplSgkaLoGA&feature=youtu.be

NUMÉRO D’ENREGISTREMENT : 6666
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej UN DÉLAI TROP COURT POUR LA PRODUCTION DE VACCINS (CORONAVIRUS)
www.kla.tv/17640

Humanité 2.0 : Un médecin met en garde contre les nouvelles technologies utilisées dans les vaccins – Interview avec Dr. Carrie Madej
www.kla.tv/17826

Attention !! Mise en garde contre la propagande insidieuse en faveur du vaccin Covid19 Les avertissements des experts en vaccination et la propagande de l’OMS, de la politique et des médias en faveur de la vaccination

: La politique du coronavirus manque de science ! Entretien avec le professeur Stefan Hockertz, immunologiste Vidéo: « Un vaccin modifie notre génome »
https://clubderklarenworte.de/impfstoff-veraendert-unser-genom/

Texte de la vidéo:
https://clubderklarenworte.de/wp-content/uploads/2020/07/Neue-Impfstrategie-Transkript-.pdf

Prof.Stefan Hockertz
https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

RÉDUIRE LA POPULATION MONDIALE (BILL GATES)
www.kla.tv/16547

Thorsten Schulte : Bill Gates philanthrope ou misanthrope ? Vidéo de Thorsten Schulte:
https://www.youtube.com/watch?v=k1a2EuQWVR0

1/4/2020 Bill Gates demande une production de masse pour le vaccin :
https://www.faz.net/aktuell/gesellschaft/gesundheit/coronavirus/bill-gates-massenproduktion-von-corona-impfstoff-16706825.html

Entretien de Tagesschau Bill Gates à partir de min. 3:07 :
https://www.youtube.com/watch?v=083VjebhzgI

Pas de retour à la normale sans un programme de vaccination :

Bill Gates et le réseau de contrôle de la population (partie 3/4)

: Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
https://childrenshealthdefense.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory-vaccination/

„© [Gates’ Globalist Vaccine Agenda: A Win-Win for Pharma and Mandatory Vaccination, 10.04.2020] Children’s Health Defense, Inc. This work is reproduced and distributed with the permission of Children’s Health Defense, Inc. Want to learn more from Children’s Health Defense? Sign up for free news and updates from Robert F. Kennedy, Jr. and the Children’s Health Defense. Your donation will help to support us in our efforts.” Mogensen et.al. 2017:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5360569/

LA BIBLE MET EN GARDE CONTRE LA MARQUE 666
www.kla.tv/17622

Programme d’assassinat dévoilé, Sasek désamorce le piège des textes originaux – devant la chaîne 3sat ! Vidéos liées : 11 710 émissions de Kla.TV piratées et supprimées ! -Le BR est-il derrière tout cela ?
https://www.kla.tv/15647

Sasek choque le Landtag – L’OCG révèle la redoutable liste « ami-ennemi ».
https://www.kla.tv/15731

Kla.TV dans le piège de Tamedia ?
https://www.kla.tv/16081

Kla.TV – Un ennemi de l’État ? Lettre ouverte du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, à Blick et autres médias de masse
https://www.kla.tv/16019

Vol de données XXL – Sasek répond au BR avec la formule 1 contre 65 milliards
https://www.kla.tv/16262

NDR-Zapp contre Sasek : « Qui laisse gigoter qui ? »
https://www.kla.tv/16480

L’aube du Nouveau Monde – et ses phénomènes

: Sept sermons – par Ivo Sasek Voir sermon 7 CONTRE LE RACISME ET LA CONSPIRATION
http://www.anti-zensur.info/azk11/widerrassismusundverschwoerung

: « Contre le racisme et la conspiration » SATANISTES – ABUS RITUELS D’ENFANTS
www.kla.tv/10795

Un initié de l’élite financière confirme le témoignage des victimes d’abus

L’affaire Dutroux : auteur isolé ou réseau pédophile-sataniste ? Dépêche « Savoir plus – vivre mieux » n° 02-03 du 29.1.2013 aux pages 5-8, 12, 14, 16.

« Lolita Express » – Compromission des politiciens américains par Israël

La dissimulation mondiale de la violence satanique rituelle par le Mind Control – Entretien avec le Dr Marcel Polte
www.kla.tv/16988

Adrénochrome : le sang humain comme drogue et agent de rajeunissement Déclaration de Xavier Naidoo sur l’adrénochrome, 2 avril 2020
https://www.youtube.com/watch?v=MTT8AzaV59g

Wikipédia « Adrénochrome »
https://de.wikipedia.org/wiki/Adrenochrom

: officier des services secrets CIA Robert David Steele

Le boxeur poids lourd américain David Rodriguez
https://www.youtube.com/watch?v=QMz6cWt3vHc&feature=youtu.be

Film « Fear and Loathing in Las Vegas », 1998

Wikipédia « Alice au pays des merveilles »
https://de.wikipedia.org/wiki/Alice_im_Wunderland

Film « Matrix », 1999

Symbolisme des stars américaines du cinéma et de la musique
https://www.youtube.com/watch?v=1Iz6aJ2H57Y

Hillary Clinton
https://www.youtube.com/watch?v=LAouGjeo1tg&list=PLMvv5RXuyS4nIZdByOsPi01oAU3qG7Nk0

Europol : 10 000 enfants disparus sans laisser de traces
https://orf.at/v2/stories/2322041/2322042

Pizzagate et Jeffrey Epstein – le film « Out of Shadows », 2020
https://www.youtube.com/watch?v=Wu46gi9wDZI

Le cas du siècle Marc Dutroux
https://www.andreas-goessling.de/b/81/68/der-jahrhundertfall-marc-dutroux

Affaire d’État Natascha Kampusch
https://www.youtube.com/watch?v=wtOBAZgUJjU

Déclaration vidéo de Xavier Naidoo, 10 avril 2020
https://t.me/Xavier_Naidoo/125

LES MAGNATS DES MÉDIAS BLOQUENT LE DÉBAT PUBLIC SUR LE CORONAVIRUS
www.kla.tv/17164

Complices de la terreur – Génocides couverts par les médias Nombreuses infections dues à de nombreux tests ? 15.03.2020 Coronavirus : danger ou pandémie de tests de laboratoire ?
www.kla.tv/15897

Est-ce que les tests sont fiables ? 16.03.2020 Test du coronavirus – un jeu de hasard pseudoscientifique ?
www.kla.tv/15905

Qu’en est-il des vaccinations ? 17.06.2020 Grippe espagnole : des morts en masse dues aux vaccinations de masse ?
www.kla.tv/16731

19.04.2020 « Vaccin contre le coronavirus : des milliards de dollars de bénéfices pharmaceutiques malgré les risques sanitaires ? » – Entretien avec Del Bigtree
www.kla.tv/16174

28.05.2020 L’OMS dissimule les effets secondaires dangereux ou mortels de la vaccination !
www.kla.tv/16483

22.04.2020 Robert F. Kennedy Jr. : « Le programme de vaccination globaliste et dictatorial de Bill Gates »
www.kla.tv/16418

Proportionnalité/base juridique 15.05.2020 Coronavirus : Base juridique pour la proportionnalité des mesures
www.kla.tv/16408

14.05.2020 La crise du coronavirus conduit-elle à l’introduction d’une vaccination obligatoire « volontaire » ?
www.kla.tv/16665

Avis d’experts 31.03.2020 Scénario du coronavirus : d’éminents spécialistes demandent la parole
www.kla.tv/16116

03.04.2020 Crise du coronavirus : lettre ouverte à la chancelière allemande du Pr. Sucharit Bhakdi
www.kla.tv/16056

03.05.2020 Pandémie du coronavirus : exemple de propagande et d’alarmisme par les médias grand public ?
www.kla.tv/16295

TRANSHUMANISME
www.kla.tv/17123

« Ils nous haïssent »

(LAAS: light as a Service)

(CRISPR-3Min)
www.kla.tv/16787

Le genre humain remplacé ? Les projets des technocrates pour l’humanité Le Forum économique mondial de Davos promet une amélioration mondiale, mais les crises politiques, sociales et économiques augmentent
https://scilogs.spektrum.de/beobachtungen-der-wissenschaft/globalisierung-4-0-das-weltwirtschaftsforum-zwischen-diskussion-ueber-unsere-technologische-zukunft-und-der-immer-unertraeglicher-werdenden-eitelkeit-einer-stumpfen-globalen-finanzelite/

L’Allemagne a besoin de plus de personnel qualifié dans les maisons de retraite
https://aerzteblatt.de/nachrichten/sw/Pflegenotstand?nid=109633

Essai dans une maison de retraite : des robots de divertissement au lieu de l’humanité
https://youtube.com/watch?v=ZiUxr6R41xM

L’avenir de l’intelligence machine-homme
http://singularity.com/KurzweilFuturist.pdf

Les scientifiques continuent à travailler sur le rêve de l’homme-machine
www.sein.de/transhumanismus-die-groesste-gefahr-fuer-die-menschheit/

Le « cyborg »est toujours un rêve d’avenir
https://mdr.de/wissen/faszination-technik/wenn-mensch-und-technik-verschmelzen-100.html

Jeffrey Epstein : Pédophile et mondialement connu
https://de.wikipedia.org/wiki/Jeffrey_Epstein

Fondation Jeffrey Epstein VI : Promotion de l’innovation dans les sciences et l’éducation
http://jeffreyepstein.org/Jeffrey_Epstein.html

Les fantasmes transhumanistes bizarres de Jeffrey Epstein

Prétendues jumelles génétiquement modifiées nées en Chine
https://spiegel.de/gesundheit/diagnose/china-angeblichgenmanipulierte-zwillinge-geboren-a-1240404.html

Litige sur le brevet de CRISPR, une technique de modification du matériel génétique




Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias

[Source : Média-Presse Info]

Voici une nouvelle analyse rédigée par Robert Kennedy Jr :

Le Washington Post, propriété de Jeff Bezos, a  publié  un  article de l’Associated Press  applaudissant la censure de ceux qui critiquent les politiques de restrictions sanitaires imposées au nom de lutte contre la pandémie.

Le verrouillage au nom du Covid-19 a rapporté à Bezos 70 milliards de dollars depuis son début. Si vous êtes Bezos, un verrouillage permanent est une mine d’or.

Bill Gates, quant à lui,  gagné 20 milliards  de dollars grâce au  verrouillage. Sa stratégie a consisté à émasculer les médias indépendants – les sources les plus probables du genre de journalisme vigoureux qui pourrait autrement examiner son intérêt personnel dans les politiques qu’il a aidé à concevoir avec succès pour le reste d’entre nous.

Gates a utilisé des  millions de subventions pour transformer  The Guardian, en son bulletin personnel. Avec  250 millions de dollars, il s’est assuré l’absence de critiques de la part de médias comme la BBC, NBC, Al Jazeera, ProPublica, National Journal, Univision, Medium, le Financial Times, The Atlantic, le Texas Tribune, Gannett, Washington Monthly, Le Monde et le Centre de rapports d’enquête.Gates a également fait d’importantes contributions à des organisations caritatives affiliées à des organes de presse, comme BBC Media Action et le New York Times, selon une enquête menée en août 2020 par Columbia Journalism Review. Il a également désarmé NPR et la télévision publique en les rendant dépendants de son soutien.

Gates est sans doute le plus grand fabricant de vaccins au monde. En tant que principal contributeur financier, Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé qui, selon les Affaires étrangères américaines, ne prend aucune décision significative sans consulter la Fondation Bill & Melinda Gates. Il exerce la même autorité dictatoriale sur une armée d’organismes quasi gouvernementaux : Path, GAVI CEPI, Unicef, etc.

Pendant ce temps, les  partenaires Big Pharma de Gates  utilisent leurs 9,6 milliards de dollars de dépenses publicitaires pour dicter une panique pandémique 24 heures sur 24 et obtenir un soutien aveugle à des vaccins hautement subventionnés, mal testés et qui n’empêchent  ni la transmission ni la mort.

Les émissions de télévision grand public, y compris CNN, ABC, NBC, CBS et Fox, ont mis à leur programme, en boucle, la terreur du COVID, le salut par les vaccins et la honte obligatoire pour les dissidents, entrecoupés de publicités pharmaceutiques.

Ces médias ont transformé leurs talk-shows hebdomadaires en hagiographies pour les tournées satellites régulières de Gates.

Personne ne demande jamais à Gates ou à son mini-moi, Tony Fauci, pourquoi ils ont choisi de dépenser des  dizaines de milliards de dollars des contribuables pour des vaccins spéculatifs et zéro dollar pour enquêter sur les nombreux médicaments prêts à l’emploi et non brevetés qui ont démontré un succès extraordinaire dans les mains de médecins privés – des médicaments qui auraient pu mettre fin à la pandémie il y a un an.

https://youtu.be/pLCXkj5t9y0

Les médias, qui ont permis cette crise mondiale qui nous prend en otages, forment sans doute l’entreprise criminelle la plus conséquente de l’histoire de l’humanité. Comme l’a observé Rahm Emmanuel, «ne laissez jamais une bonne crise se perdre».

Gates et Fauci ont démontré qu’en contrôlant les médias, les milliardaires et leurs copains du gouvernement peuvent prolonger une crise pour toujours et accumuler une richesse et un pouvoir sans précédent sur l’humanité.




Vaccination en Israël : des chiffres de mortalité qui interpellent ? | VIDEO

[Source : FranceSoir]

Debriefing de Haim Yativ, ingénieur, et du docteur Hervé Seligmann, anciennement de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille. Haim Yativ et le Dr Seligmann ont analysé les données vaccinales d’Israël dans un article publié sur le site Nakim.org.

Le Collectif citoyen de FranceSoir et l’association Bon Sens sont très attachés aux publications, analyses des données, du retour d’expérience des divers pays sur la vaccination, et se sont intéressés à l’article. Nous avons demandé à les interviewer afin de comprendre leur analyse et ses limites.

Les auteurs de l’article déclarent n’avoir aucun conflit ou lien d’intérêt, autre que celui d’avoir des enfants en Israël. 

Un debriefing complet qui, après une présentation, évoque leur analyse des données, les validations menées, les limitations et surtout les conclusions qu’ils demandent à confronter aux données demandées via une requête au ministère de la Santé, par le biais de l’équivalent de la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) israélienne.

Les constats sont simples :  

  • Il y a une inadéquation entre les données publiées par les autorités et la réalité sur le terrain.
  • Ils ont trois sources d’information, outre les emails et messages d’effets secondaires qu’ils reçoivent par le biais d’internet. 
    Ces trois sources sont Ynet, site d’information israélien, la base de données du ministère de la santé israélien, et la base aux Etats-Unis du VAERS (effets secondaires).   
  • En janvier 2021, il y a 3000 enregistrements d’effets secondaires des vaccins dont 2900 pour les vaccins ARNm.
    Par rapport aux autres années, la mortalité est 40 fois supérieure.
  • Le 11 février un article de Ynet, présente des données liées à la vaccination. Les auteurs de l’article ont « débunké » cette analyse, en se basant sur les données publiées par Ynet. 
    « On a repris les données en regardant la mortalité pendant la période de la vaccination qui dure 5 semaines.  En analysant ces données, on arrive à des chiffres effarants qui donnent une mortalité importante du vaccin. »
  • Les auteurs déclarent « que les vaccinations ont causé plus de décès que le coronavirus n’en aurait provoqué pendant la même période. » 

Haim Yativ et le Dr Seligmann déclarent que pour eux « ceci est une nouvelle Shoah » devant la pression des autorités israéliennes pour vacciner les citoyens. 

Ils invitent aussi les spécialistes à venir compléter leurs analyses, et entendent donner des suites judiciaires à cette découverte, si elle venait à être validée par les données du ministère : contacté, ce dernier n’était pas diponible.

Les auteurs déplorent le fait de ne pas pouvoir communiquer sur ces informations capitales pour leurs concitoyens. 

Retrouvez leur debriefing :




Nous avons aussi publié l’article complet traduit en français.

Les données demandent à être confirmées suite à la demande d’accès aux documents officiels qui prendra 5 semaines (durée légale en Israël). 

Publié sur le site de NAKIM : Lun 15 février 19 19:59 

La découverte des données de vaccination en Israël révèle une image effrayante

Les analyses ci-dessous d’un article faisant la promotion de la vaccination contre le COVID-19 permettent de découvrir toutes les données de vaccination et une situation effrayante. 

Le 11 février 2021, Ynet (le site Internet israélien le plus connu) a publié un message confus et un article déroutant intitulé « Les données sur l’efficacité de la vaccination en Israël et ses effets rapides sur les jeunes ». 

Nos réanalyses de ces données expliquent pourquoi lors du projet de vaccination massive lancé mi-décembre 2020 lors d’un confinement, les nouveaux cas de COVID-19 confirmés quotidiennement n’ont pas diminué comme ils le font pendant les confinements, et, plus important encore, pourquoi le nombre de cas graves, critiques et de décès les cas ont augmenté au cours de cette période couvrant au moins un mois. De la mi-décembre à la mi-février (deux mois), 2337 des 5351 décès officiels israéliens par COVID sont survenus. Nos analyses indiquent des augmentations de l’ordre de grandeur des taux de mortalité au cours du processus de vaccination de 5 semaines, par rapport aux non-vaccinés et ceux après avoir terminé le processus de vaccination. Vraisemblablement, les cas asymptomatiques avant la vaccination et ceux infectés peu de temps après la première dose ont tendance à développer des symptômes plus graves que ceux non vaccinés. 

L’article Ynet est organisé de manière passionnante et utilise des données fournies de manière erronée par le ministère de la Santé. On ne sait pas si cela était intentionnel pour prouver l’efficacité du vaccin ou si cela a été fait de manière erronée parce que les données fournies ont été mal comprises. Notez qu’en Israël, tous les vaccins proviennent de Pfizer. 

Nous apportons un exemple très important de l’article, en relation avec le tableau fourni par le ministère de la Santé. Selon le texte « Cependant, 546 parmi les morts étaient tels qu’ils n’étaient pas du tout vaccinés ou ont reçu la première dose de vaccination dans les deux semaines avant leur mort » diffère du tableau. Ceci n’est clairement pas fondé car toutes les données présentées dans le tableau et fournies ci-dessous ne décrivent que les patients COVID-19 qui ont reçu au moins la première dose de vaccination. Cela ressort clairement de l’examen du tableau. Le total général est de 43781 patients COVID qui ont reçu la première ou la deuxième dose de vaccin. Sur un total de 660 décès, 546 n’ont reçu que la première dose. 

Les données du tableau, plutôt que d’indiquer l’efficacité du vaccin, indiquent les effets indésirables du vaccin.

 
À cette fin, nous devons d’abord comprendre que le tableau fourni décrit l’état des patients COVID-19 qui ont reçu la première ou la deuxième dose de vaccin à des dates données, comme cela a commencé dans l’article « … émerge des données que parmi 856 patients de plus de 60 ans années en état grave hospitalisé à ce moment… « nous supposons que l’article publié le 11 février reflète la situation dans les hôpitaux de la veille, donc le 10 février 2021, ou le 11 février 2021. 

Le 10 février, le nombre de cas actifs graves était de 1056 selon au panneau de contrôle du ministère de la Santé, voir photo ci-dessous.

 
Cela montre de manière surprenante que les cas les plus graves hospitalisés le 10 février ou à une date proche ont en fait été vaccinés avec la première dose ou jusqu’à deux semaines après la deuxième dose. Voir le tableau des patients vaccinés présentant 1031 cas graves et 220 cas critiques au moment de la réalisation du tableau. Cela correspond à l’article en hébreu du 1er février 2021 « Peut-on montrer que le vaccin de Pfizer est aujourd’hui la cause majeure des taux de mortalité élevés en Israël et dans le monde? ». 

Cependant, ce n’est pas la dernière surprise que nous obtenons en examinant les données du ministère de la Santé. On peut soustraire le nombre de personnes ayant reçu la première dose de vaccin le 19 janvier 2021 de celui du 10 février 2021. Pendant ces 21 jours, 1331881 citoyens israéliens ont reçu la première dose. Le tableau montre que 568 d’entre eux sont décédés, soit 0,042% et que 39047 d’entre eux sont devenus un cas de COVID-19, soit 2,9%. 
Pour la 2ème dose nous nous concentrons sur des données spécifiques à deux semaines après la 2ème vaccination selon le tableau. 
 
Du 26 janvier au 10 février 2021, 909102 citoyens israéliens ont reçu la 2ème dose de vaccin. Parmi ceux-ci selon le tableau, 92 sont décédés, soit 0,01%. 
Par conséquent, au cours des 5 semaines depuis la première dose, au moins 0,05% des receveurs de la première dose sont décédés. Ce taux de mortalité concerne principalement une population relativement jeune dont la vaccination a été annoncée le 19 janvier, période pendant laquelle la plupart des vaccinés avaient moins de 65 ans. 

Afin d’estimer le taux de mortalité des personnes de plus de 65 qui ont été la plupart du temps vaccinés avant cette période , nous utilisons les données rapportées par les VAERS basé aux USA, 
 
Nous avons trouvé, voir l’ article en anglais , que le rapport des décès par ceux de plus de 65 ans vs ceux-ci-dessous 65 est d’environ 4,42 (155/35). Ainsi, le taux de mortalité des personnes de plus de 65 ans entre la première et la deuxième dose de vaccination devrait être jusqu’au 19 janvier 0,042 (le taux de mortalité des moins de 65 ans) multiplié par 4,42, soit 0,186%, ce qui est proche des 0,2% rapportés par le Ministère de la Santé le 21 janvier 2021. 
Cette valeur de 0,2% de décès a été mystérieusement modifiée par la suite par le Ministère de la Santé et est passée à 0,005 sans aucune explication. Les considérations ci-dessus montrent que les données sur le taux de mortalité fournies en premier étaient correctes, les données mises à jour sur le taux de mortalité auraient pu être destinées à suggérer des taux de mortalité plus faibles chez les personnes âgées. 
 
Les problèmes ne s’arrêtent pas là. 
Le nombre de décès par COVID-19 parmi les vaccinés depuis le début de l’action de vaccination semble expliquer l’augmentation des taux de mortalité par COVID-19 observée depuis décembre 2020. 
Pour cela, nous calculons les produits du nombre de personnes vaccinées de plus de 65 ans. de 0,2 et le nombre de personnes vaccinées en dessous de 65 de 0,04. Cela montre que la plupart des décès dus au COVID-19 au cours de cette période concernent des personnes vaccinées, comme le montre le tableau fourni par le ministère de la Santé début février. 
 
Pendant l’action de vaccination de la mi-décembre à la mi-février, 2337 des 5351 décès dus au COVID-19 signalés pour Israël sont survenus, soit 43,7%. Parmi ceux-ci, depuis le 19 janvier, 1271 décès COVID-19 ont été signalés pour Israël. Le tableau fourni par le ministère de la Santé le 10 février fait état de 660 décès COVID-19 parmi les vaccinés, soit 51,9% des décès sur cette période. Seuls 1,3 million d’Israéliens, sur 8 millions (environ 1 sur 8, 12,5%), ont été vaccinés pendant cette période. En conséquence, la vaccination favorise les décès car 51,9% des décès au cours de cette période concernent les 12,5% vaccinés au cours de cette période. En outre, les cas graves et critiques au cours de cette période sont plus que les cas graves signalés, l’effet indésirable du processus de vaccination est très probablement pire que ce qui ressort des données disponibles. 
 
L’horreur continue. Les décès parmi les vaccinés doivent être ajoutés aux nombreux événements AVC et cardiaques rapportés juste après la vaccination qui ne sont pas inclus parmi les décès COVID-19 qui environ le double des décès parmi les vaccinés, dont le nombre reste inconnu et que nous allons essayer de trouver dans le les jours à venir. 
À ce stade, « nous déclarons que les vaccinations ont causé plus de décès que le coronavirus n’en aurait pendant la même période. » 
Parmi les vaccinés et âgés de plus de 65 ans, 0,2% des vaccinés sont décédés au cours de la période de 3 semaines entre les doses, soit environ 200 sur 100 000 vaccinés. Ceci est à comparer aux 4,91 morts parmi 100 000 morts du COVID-19 sans vaccination, voir ci-dessous. Cela ne doit pas être confondu avec le COVID-19 de 0,279 décès parmi 100000 signalés pour ceux qui ont terminé le processus de vaccination, soit 2 semaines après la deuxième dose, voir ci-dessous le tableau de l’article Ynet. 
 
 
 
Cette image effrayante s’étend également aux moins de 65 ans, parmi lesquels, pendant les 5 semaines du processus complet de vaccination, 0,05%, soit 50 sur 100000, sont décédés. Ceci doit être comparé aux 0,19 pour 100000 décédant du COVID-19 et qui ne sont pas vaccinés dans ce groupe d’âge, selon le tableau ci-dessus. Par conséquent, le taux de mortalité de ce groupe d’âge a augmenté de 260 au cours de cette période de 5 semaines du processus de vaccination, par rapport à leur taux de mortalité naturel au COVID-19. 
 
Un moyen simple de faire passer ces points concerne les taux mensuels de décès par COVID-19 depuis le début de la pandémie et jusqu’à la mi-décembre, 3014 décès, soit 3014/9 = 334,9 décès par mois. Les taux de mortalité mensuels depuis la mi-décembre sont de 2337/2 = 1168,5 décès par mois, donc 3,5 fois plus élevés. 
 
Nous concluons que les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes. Nous insistons sur le fait que cela vise à produire un passeport vert valable au plus 6 mois et à promouvoir les ventes de Pfizer. 

Annexe :  

Le Dr Hervé Seligmann a travaillé à l’Unité de Recherche sur les Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes Faculté de Médecine, Université Aix-Marseille, 13385 Marseille, France.  De nationalité israélo – luxembourgeoise, il a un B. Sc. En Biologie de l’université hébraïque de Jerusalem, un master en “Plant Physiology” et une thèse « A morphological marker of transitions towards salt adaptation in Sorghum bicolor », un doctorat en sur la microévolution des lézards “Microevolution of proneness to tail loss in lizards”. Il a plus de 100 publications scientifiques. 

Auteur(s): FranceSoir




Québec : La falsification des données sur la mortalité attribuable à la Covid-19

[Source : Mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

Selon une directive du Ministère de la santé du Québec:

« si la cause présumée du décès est la Covid-19 (avec ou sans test positif) une autopsie doit être évitée [emphase dans le document] et le décès doit être attribuée à la Covid-19 comme cause probable de mortalité. De plus les décès dont la cause probable est la Covid-19, sont considérés comme naturels, et ne font pas l’objet d’un avis au coroner. »

La directive ne permet pas de comptabiliser les co-morbidités. Et si la famille de la personne décédée n’accepte pas la catégorisation Covid-19 (qui n’exige pas le test PCR), les procédures de demande d’autopsie sont complexes (quasiment impossibles, deux hôpitaux pour l’ensemble du Québec, voir le document ci-dessous).

Cette directive en date du Jeudi 16 avril 2020 provoque du jour au lendemain une montée en flèche dans le nombre de décès attribué à Covid-19: 44.9 %  du total des décès au Québec sont attribués à la Covid-19 (semaine du 11-18 avril 2020). 

Lisez attentivement le texte de la directive envoyée aux responsables des Grappes OPTILAB (les codirecteurs clinico-administratifs et médicaux). (Les Grappes – OPTILAB sont les laboratoires de biologie médicale)

La directive est émise le 16 avril 2020.

Quatre jours plus tard, Lundi le 21 avril 2020, La Presse rapporte que la Covid-19 est dors et déjà:

« … la principale cause de décès au Québec, devançant la moyenne quotidienne de morts attribuables aux cancers et aux maladies cardiaques le coronavirus, avec 62 décès comptabilisés au cours des 24 dernières heures [20-21 avril 2020], réclame aussi plus de vies que la grippe, l’alzheimer, les accidents de la route et toutes les autres causes de décès répertoriées par la Santé publique..

Selon La Presse, avril [2020] c’était le mois le plus meurtrier. Mais est-ce que La Presse avait consulté les directives du Ministère de la Santé:

Dans la même veine, Le Devoir fait valoir que la COVID-19 était  devenue meurtrière précisément au mois d’avril 2020. au moment même où le Ministère imposait sa nouvelle consigne concernant la Covid aux Grappes OPTILAB.

Et voici ci-dessous le relevé de la mortalité (quotidienne) au Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril, 2020 mesurée selon les critères émis par le Ministère de la santé.

Est-ce que ces chiffres sont le résultat de la dite pandémie meurtrière?

Ou est-ce le résultat des directives du Ministère de la Santé basées sur des critères contradictoires? Voir ci-dessous:

  • cas « présumé » de Covid,
  • « avec ou sans test positif »,
  • cause « probable » de mortalité,
  • « autopsie doit être évitée » dans le cas de Covid-19.
  • « décès dont la cause probable est la Covid-19, sont considérés comme naturels, et ne font pas l’objet d’un avis au coroner« 

Les statistiques de mortalité prennent l’envol du jour au lendemain suivant la mise en application des  directives du Ministère.

Il n’est même pas nécessaire d’exiger la « cause confirmée positive » (test PCR) pour établir que le décès est  causé par le virus.  La Covid-19 « cause présumée » (qui ne prouve absolument rien) suffit.

Les critères dictés par le Ministère sont-ils valables? Est ce qu’ils correspondent à des normes scientifiques et médicales?

Ces directives du 16 avril 2020 ont provoqué une montée subite des chiffres de mortalité au Québec attribuées au virus. (Voir figure ci-dessous).

Voir la progression de la mortalité à partir d’avril 2020 (les chiffres à partir du 11 avril sont catégorisés en fonction de la directive du 16 avril 2020).

Il n y avait aucun cas de décès (attribuable à Covid) au Québec avant le 18 mars 2020. Et tout d’un coup en avril les chiffres de décès associés à la Covid-19 prennent l’envol pour devenir la principale cause de mortalité au Québec. 

En avril, 1989 décès associés à la COVID-19 ont été rapportés par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).  

Cette méthodologie erronée a permis au gouvernement d’affirmer que la Covid est la principale cause d’un « excès de mortalité » par rapport aux années antérieures.

Elle sert également à fausser les causes de la mortalité dans les CHSLD. Et la plupart des médias affirment (sans examiner les directives du Ministère) que c’est le virus qui « provoque une véritable hécatombe dans les CHSLD » (Le Devoir).

Cette hausse dans les statistiques de la mortalité associée à la Covid contribue à alimenter la campagne de la peur. Elle est également utilisée par le gouvernement Legault pour justifier les mesures draconiennes imposées aux Québécois incluant le couvre feu et la fermeture partielle de l’économie nationale.

Les décès dans le CHSLD ne sont pas attribuables à la Covid

L’estimation de la mortalité au Québec associée à la covid-19 depuis avril 2020 est de l’ordre 10.000.

Cette Perte en vies humaines constitue une « Tragédie nationale » pour tous les Québecois. Mais ça soulève également la question de la causalité. Il faut se poser la question. Est-ce qu’il s’agit d’un Gros mensonge de la part du Ministère de la Santé et du Gouvernement Legault? 

Selon M. Paul G. Brunet, du Conseil pour la protection des malades (CPM):

La COVID avait le dos large… On s’est aperçu par la délation de certains médecins que des gens ne sont pas décédés des suites de la COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d’abandon, déplore M. Brunet. Alors, de quoi sont vraiment mortes les milliers de personnes en CHSLD et en résidence privée?

Des auditions publiques du Bureau du coroner sur les décès survenus dans les CHSLD et les milieux d’hébergement au cours de la pandémie de COVID-19 débutent en date du 15 février 2021.

Il s’agit de prendre cette opportunité pour confronter le gouvernement Legault. 

Michel Chossudovsky

La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright
© Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Attention, l’épidémie disparaît, mais le vaccin continue de tuer

Par Dr Nicole Delépine

La propagande médiatique est vraiment très efficace, car comment expliquer sinon que tant de citoyens en bonne santé se précipitent pour un vaccin contre un virus qui a tué avant tout des vieillards très malades dont l’espérance de vie ne dépassait pas six mois ? D’autant que cette vaccination donne beaucoup de complications et entraîne des arrêts de travail de soignants au point de perturber les soins dans de nombreux hôpitaux et de faire l’objet de consigne de modération par la HAS.

Alors que malgré les interdictions d’usage du ministre de la Santé, l’existence de traitements multiples précoces est de plus en plus évidente, il faudrait bien réfléchir à l’intérêt réel de ce vaccin et aux risques que vous prenez si vous vous faites vacciner !

L’histoire récente d’un EHPAD en Allemagne où une épidémie de décès chez les vaccinés est survenue devrait au moins vous faire réfléchir ![1] [2]

En Allemagne, 27% des résidents d’un Ehpad sont morts après le vaccin Pfizer/BioNTech, et 53% des survivants très malades !

« Depuis la distribution massive du vaccin très controversé ARNm, de nombreux rapports inquiétants révèlent des effets indésirables et des décès prématurés qui se sont multipliés, et tout particulièrement des décès après l’injection du vaccin expérimental Pfizer/BioNTech. Ces rapports proviennent également d’Israël, de Norvège, du Portugal, de Suède et de Suisse. »

L’Ehpad Agalplesion Bethanien Havelgarten à Berlin-Spandau. [3]

Le 3 janvier 2021, 31 résidents du service de psychiatrie ont été vaccinés avec le vaccin Comirnaty (Pfizer).  Selon le témoin lanceur d’alerte : « la première séance de vaccination a eu lieu le 3 janvier 2021. Tous les résidents étaient rassemblés dans la salle de loisirs du premier étage. Un vaccinateur âgé, assisté de trois aides-soignants et en présence de deux soldats fédéraux en uniforme de camouflage, a effectué les vaccinations. » 

Le lanceur d’alerte se demande ce qui pouvait justifier la présence de ces soldats et si leur présence n’a pas été mal vécue par les personnes âgées, leur rappelant peut-être de mauvais souvenirs de la guerre.

Les faits

Le jour de la vaccination, 

« quatre personnes vaccinées ont commencé à présenter des symptômes inhabituels : extrêmement fatigués, certains d’entre eux se sont endormis à table pendant le dîner. Une forte baisse de la saturation en oxygène du sang a été notée. 

Puis, fatigue de plus en plus forte, saturation en oxygène insuffisante, respiration haletante, fièvre, œdème, éruption cutanée, décoloration gris jaunâtre de la peau, tremblement musculaire du haut du corps et des bras. Des seniors ont montré un changement de comportement, devenant partiellement insensibles et refusant de manger et de boire. »

Six jours seulement après la vaccination,

« le 9 janvier 2021 la première victime, auparavant en pleine forme est décédée. Il s’agissait d’un ancien chanteur d’opéra qui jouait du piano la veille de la vaccination, le vieux monsieur était plutôt positif, sachant qu’il faisait régulièrement du jogging, dansait, jouait de la musique et était par ailleurs très dynamique et actif.

Les autres décès de de personnes âgées vaccinées sont survenus les 15, 16, 19, 20, 2 février et le 8 février 2021. »

Parmi les personnes âgées à test PCR négatif avant la vaccination, plusieurs ont soudainement montré un résultat positif après la vaccination. En outre, toutes ces personnes âgées ne présentaient aucun des symptômes connus du Covid-19.

Ce 24 janvier 2021, la deuxième dose de Comirnaty a été appliquée à 21 personnes âgées. 

Après cette vaccination, onze personnes âgées sont en permanence très fatiguées et de manière persistante, avec halètement partiel, œdème partiel, éruption cutanée, décoloration jaunâtre, grisâtre de la peau. 

« Le 10 février 2021, aucune des personnes âgées ayant reçu la deuxième injection de Comirnaty n’est encore décédée, mais la santé de certaines personnes âgées de ce groupe se détériore régulièrement ».

Au total, dans cet établissement de personnes âgées en Allemagne où tout allait à peu près bien, le vaccin Pfizer a manifestement apporté le drame : « 27% des résidents d’un Ehpad sont morts après le vaccin Pfizer/BioNTech, et 53% des survivants très malades ! »

Ce triste fait divers a fait l’objet d’une plainte pénale par l’avocate Viviane Fischer auprès du parquet le 3 février 2021 et d’un signalement au professeur Klaus Cichutek, chef de l’Institut Paul Ehrlich, chargé de l’enregistrement des effets secondaires de la vaccination, et du sénateur de la santé de Berlin, Dilek Kalayci.

Chez les personnes très âgées, ce type d’accident n’est pas le premier

27 patients de maisons de retraite norvégiennes sont décédés après avoir reçu la première dose du vaccin contre le COVID de Pfizer. Ces décès ont motivé une alerte de sécurité des autorités sanitaires norvégiennes auprès de l’OMS et une mise en garde nationale contre ce vaccin chez les personnes de plus de 80 ans à forte comorbidité.

Pour un moratoire et évaluation des vaccinations déjà réalisées

Ne pensez-vous pas qu’un moratoire serait le bienvenu dans le monde, afin d’analyser par des experts indépendants les résultats des millions de personnes déjà vaccinées avec plusieurs mois de recul ?

Les évolutions post vaccinales dans les deux pays champions des vaccinations se sont en effet révélées très inquiétantes avec de fortes hausses post vaccinales des contaminations et des morts, tant en Israël :

Qu’au Royaume-Uni :

Ce moratoire est d’autant plus justifié que l’épidémie est en voie de régression spontanée

En tous cas, il n’y a vraiment aucune urgence à vacciner

Depuis plusieurs semaines, le virus disparaît et a toujours eu une létalité très faible ! Rappelons-nous que les deux précédents coronavirus le SRAS et le MERS ont disparu avant que le vaccin ne soit mis au point. Prudence !


Notes

[1] Allemagne : 27% de morts après le Vaccin Pfizer ! — Les nouvelles les plus chaudes de la France (lesnouvellesdela.blogspot.com)

[2] https://2020news.de/en/whistleblower-from-berlin-nursing-home-the-terrible-dying-after-vaccination/

[3] ACHTUNG !! En Allemagne, des résidents en Ehpad sont morts après le vaccin Pfizer/BioNTech !!! (businessbourse.com) (Source : zerohedge)




Le Grand Reset, un pacte suicidaire

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Le 8 février 2021 – Source Club Orlov

[NdNM : Dmitry Orlov est doué d’un type d’humour, éventuellement noir, plus ou moins sarcastique et particulièrement drôle pour ceux qui y sont sensibles.]

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le « Grand Reset ». Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que « Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux. » L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. « Mais qu’en est-il de l’Europe ? ! » s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. « M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? ! » « Peut-être », dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le « Grand Reset » : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du « Grand Reset » de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la Grande Peste que je pensais, pas au « Grand Reset » – je confonds toujours les deux…

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le sida – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature« les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement. » Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le « Grand Reset » ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle « la fenêtre d’opportunité » et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de « Grand Reset ». Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie « l’État social » : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de « Grand Reset », et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question « Qu’est-ce que le « Grand Reset », vraiment ? » Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, « Reconstruire en mieux » est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

Ce qu’ils appellent le « Grand Reset » est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que « le coronavirus l’a fait ! » de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »

[Source : Mondialisation.ca]

Par Peter Koenig

La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 »

[Mise à jour : 2 février 2021]

Qu’est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique.

Il semble que plus on écrit sur les causes du Coronavirus, plus les analyses écrites sont éclipsées par une propagande et un battage publicitaire alarmistes. Les questions pour la vérité et les arguments pour savoir où chercher les origines et comment le virus peut s’être propagé et comment le combattre, se perdent dans le bruit du chaos gratuit. Mais n’est-ce pas ce que veulent les « Black Men » [hommes noirs] qui sont à l’origine de cette pandémie prévue – le chaos, la panique, le désespoir, entraînant une vulnérabilité humaine – un peuple qui devient une proie facile pour la manipulation ?

Aujourd’hui, l’OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 « pandémie » – alors qu’il n’y a pas la moindre trace de pandémie. Une pandémie peut être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection atteint plus de 12%. En Europe, le taux de mortalité est d’environ 0,4 %, voire moins. Sauf en Italie, qui est un cas particulier, où le pic du taux de mortalité a été de 6 % (voir ci-dessous pour une analyse plus approfondie).

Tweet :

   « L’OMS a évalué cette épidémie 24 heures sur 24 et nous sommes profondément préoccupés à la fois par les niveaux alarmants de propagation et de gravité, et par les niveaux alarmants d’inaction »-@DrTedros #COVID19

    Organisation mondiale de la santé (OMS)

    « Nous avons donc fait l’évaluation que #COVID19 peut être caractérisé comme une pandémie »-@DrTedros #coronavirus

La Chine, où le taux de mortalité a culminé il y a quelques semaines seulement à environ 3 %, est revenu à 0,7 % – et est en rapide déclin, alors que la Chine prend le contrôle total de la maladie – et cela à l’aide d’un médicament dont on ne parle pas, développé il y a 39 ans par Cuba, appelé « Interféron Alpha 2B (IFNrec) », très efficace pour lutter contre les virus et autres maladies, mais qui n’est pas connu et utilisé dans le monde, car les États-Unis, sous l’embargo illégal de Cuba, n’autorisent pas la commercialisation du médicament au niveau international.

L’OMS a très probablement reçu des ordres « d’en haut », de ceux qui gèrent également Trump et des « dirigeants » (sic) de l’Union européenne et de ses pays membres, ceux qui visent à contrôler le monde par la force – l’Ordre Mondial Unique.

Ce projet est en cours d’élaboration depuis des années. La décision finale d’aller de l’avant MAINTENANT a été prise en janvier 2020 au Forum économique mondial (FEM) de Davos – à huis clos, bien sûr. Les Gates, GAVI (une association de produits pharmaceutiques promouvant la vaccination), Rockefellers, Rothschilds et autres, sont tous derrière cette décision – la mise en œuvre de l’Agenda ID2020 – voir ci-dessous.

Après la déclaration officielle de la pandémie, l’étape suivante peut être – également sur recommandation de l’OMS ou de certains pays – la « vaccination forcée », sous surveillance policière et/ou militaire. Ceux qui refusent peuvent être sanctionnés (amendes et/ou prison – et vaccination forcée tout de même).

Si une vaccination forcée est effectivement prévue, une autre aubaine pour les grandes entreprises pharmaceutiques, les gens ne savent pas vraiment quel type de cocktail sera utilisé pour le vaccin, peut-être un vaccin à action lente, qui ne fera effet que dans quelques années, ou une maladie qui ne touchera que la génération suivante, ou un agent débilitant du cerveau, ou un gène qui rend les femmes stériles… tout est possible, toujours dans le but de contrôler et de réduire complètement la population. Dans quelques années, on ne saura plus, bien sûr, d’où vient la maladie. C’est le niveau de technologie qu’ont atteint nos laboratoires de guerre biologique (États-Unis, Royaume-Uni, Israël, Canada, Australie…).

Une autre hypothèse, pour l’instant seulement une hypothèse, mais une hypothèse réaliste, est qu’en même temps que la vaccination – si ce n’est pas avec celle-ci, alors peut-être avec une autre, une nanopuce pourrait être injectée, inconnue de la personne vaccinée. La puce peut être chargée à distance avec toutes vos données personnelles, y compris vos comptes bancaires – l’argent numérique. Oui, l’argent numérique, c’est ce qu’ « ils » visent. Vous n’avez donc plus vraiment de contrôle sur votre santé et vos autres données intimes, mais aussi sur vos revenus et vos dépenses. Votre argent pourrait être bloqué ou retiré, en guise de « sanction » pour mauvaise conduite, pour avoir nagé à contre-courant. Vous pourriez devenir un simple esclave des maîtres. En comparaison, la féodalité peut apparaître comme une promenade de santé.

Ce n’est pas pour rien que le Dr Tedros, DG de l’OMS, a déclaré il y a quelques jours que nous devons passer à l’argent numérique, car le papier et la monnaie physique peuvent propager des maladies, en particulier des maladies endémiques, comme le coronavirus. Un précurseur pour les choses à venir ? – Ou pour des choses déjà présentes ? – Dans de nombreux pays scandinaves, l’argent liquide est largement interdit et même une barre de chocolat ne peut être payée que par voie électronique.

Nous nous dirigeons vers un état totalitaire du monde. Cela fait partie de l’Agenda ID2020 – et de ces mesures à mettre en œuvre maintenant – préparé depuis longtemps, notamment par la simulation informatique de coronavirus à Johns Hopkins à Baltimore le 18 octobre 2019, parrainée par le WEF et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Bill Gates, l’un des principaux défenseurs de la vaccination pour tous, en particulier en Afrique, est également un grand défenseur de la réduction de la population. La réduction de la population fait partie des objectifs de l’élite au sein du WEF, des Rockefeller, des Rothschild, des Morgen – et de quelques autres. L’objectif : moins de personnes (une petite élite) peuvent vivre plus longtemps et mieux avec les ressources réduites et limitées que la Terre Mère offre généreusement.

Cet objectif avait déjà été ouvertement propagé dans les années 60 et 70 par Henry Kissinger, ministre des affaires étrangères de l’administration de Nixon, co-ingénieur de la guerre du Vietnam, et principal responsable du bombardement semi-clandestin du Cambodge, un génocide de millions de civils cambodgiens non armés. En plus du coup d’État organisé par la CIA et Kissinger le 11 septembre 1973 au Chili, qui a tué Salvador Allende, élu démocratiquement, et mis au pouvoir le dictateur militaire Pinochet, Kissinger a commis des crimes de guerre. Aujourd’hui, il est le porte-parole (pour ainsi dire) de Rockefeller et de leur « Bilderberger Society ».

En savoir plus : Plus qu’un simple virus (en anglais)

Deux semaines après la simulation informatique du centre médical Johns Hopkins de Baltimore, dans le Maryland, qui a « produit » (c’est-à-dire simulé) 65 millions de morts ( !), le virus COVID-19 est apparu pour la première fois à Wuhan. Il est maintenant presque certain que le virus a été amené à Wuhan de l’extérieur, très probablement d’un laboratoire de guerre biologique aux États-Unis.

Voir aussi ceci et cela. (en anglais)


Qu’est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie. La GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, s’identifie sur son site internet comme un partenariat mondial pour la santé regroupant des organisations des secteurs public et privé qui se consacrent à la « vaccination pour tous ». La GAVI est soutenue par l’OMS, et il va sans dire que ses principaux partenaires et sponsors sont l’industrie pharmaceutique.

L’Alliance ID2020, lors de son sommet de 2019, intitulé « Rising to the Good ID Challenge », en septembre 2019 à New York, a décidé de déployer son programme en 2020, une décision confirmée par le WEF en janvier 2020 à Davos. Leur programme d’identité numérique sera testé avec le gouvernement du Bangladesh. GAVI, l’Alliance pour les Vaccins, et les « partenaires du monde universitaire et de l’aide humanitaire » (comme ils l’appellent), font partie du parti des pionniers.

Est-ce une coïncidence si ID2020 est mis en place au début de ce que l’OMS appelle une pandémie ? – Ou faut-il une pandémie pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs de l’ID2020 ?

Voici ce qu’Anir Chowdhury, conseiller politique du programme du gouvernement du Bangladesh, a à dire :

« Nous mettons en œuvre une approche prospective de l’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en s’appuyant sur les systèmes et programmes existants. Le gouvernement du Bangladesh reconnaît que la conception de systèmes d’identité numérique a des implications profondes sur l’accès des individus aux services et aux moyens de subsistance, et nous sommes impatients de faire œuvre de pionnier dans cette approche ».

Wow ! Est-ce que M. Anir Chowdhury sait dans quoi il s’embarque ?

De retour à la pandémie et à la panique. Genève, le siège européen de l »ONU, y compris le siège de l’OMS, est pratiquement abattu. Un peu comme le confinement qui a commencé à Venise et qui s’est ensuite étendu au nord de l’Italie jusqu’à il y a quelques jours – et maintenant le verrouillage couvre toute l’Italie. Un verrouillage similaire pourrait bientôt être adopté par la France – et d’autres États vassaux européens de l’empire anglo-sioniste.

De nombreux mémorandums de différentes agences de l’ONU à Genève, dont le contenu est similaire à celui de la panique, circulent. Leur message clé est le suivant : annulez tous les voyages en mission, tous les événements à Genève, les visites au Palais des Nations, à la cathédrale de Genève, aux autres monuments et aux musées. Selon les dernières directives, de nombreuses agences demandent à leur personnel de travailler à domicile et de ne pas risquer d’être contaminé par les transports publics.

Cette ambiance de panique et de peur – dépasse tout sens de la réalité, alors que la vérité n’a pas d’importance. Les gens ne peuvent même plus penser aux causes et à ce qui peut se cacher derrière. Personne ne vous croit (plus), quand vous faites référence à l’événement 201, la simulation du coronavirus, les Jeux militaires de Wuhan, la fermeture le 7 août dernier du laboratoire de guerre biologique de haute sécurité à Fort Detrick, dans le Maryland…. ce qui aurait pu à un moment donné être une révélation pour beaucoup, aujourd’hui est une pure théorie du complot. Le pouvoir de la propagande. Une puissance déstabilisante – déstabilisant les pays et les gens, détruisant les économies, créant des difficultés pour les gens qui peuvent perdre leur emploi, généralement ceux qui peuvent le moins se le permettre.

Aussi, à cette époque, il devient de plus en plus important de rappeler aux gens que l’épidémie en Chine visait le génome chinois. Ce dernier a-t-il ensuite muté pour transgresser les « frontières » de l’ADN chinois ? Quand cela s’est-il produit, si c’est le cas ? Parce qu’au début, il était clair que même les victimes infectées dans d’autres parties du monde, étaient à 99,9% d’origine chinoise.

Ce qui s’est passé plus tard, lorsque le virus s’est propagé en Italie et en Iran, est une autre question, et ouvre la voie à un certain nombre de spéculations.

(1) Différentes souches du virus ont circulé successivement – de manière à déstabiliser les pays du monde entier et à confondre la population et les médias, de sorte que personne, surtout parmi les plus importants, ne puisse conclure que la première souche visait la Chine dans une guerre biologique.

(2) En Iran, je soupçonne fortement que le virus était une forme améliorée du MERS (Middle East Respiratory Syndrome, d’origine humaine, apparu en premier en Arabie Saoudite en 2012, dirigé vers le génome arabe) – qui a été d’une manière ou d’une autre introduit dans les cercles gouvernementaux (par aérosol ?) – dans le but de « changer de régime » par COVID19 – et a causé des décès. C’est le vœu pieux de Washington depuis au moins 30 ans.

(3) En Italie – pourquoi l’Italie ? – Peut-être parce que Washington / Bruxelles voulait frapper fort l’Italie pour avoir été officiellement le premier pays à signer un accord « Belt and Road » (BRI) avec la Chine (en fait le premier était la Grèce, mais personne n’est censé savoir que la Chine est venue au secours de la Grèce, détruite par les frères de la Grèce, les membres de l’UE, principalement l’Allemagne et la France).

(4) Le battage médiatique sur le taux élevé de mortalité par infection en Italie, au moment de la rédaction de ce document : 10 149 infections contre 631 décès = taux de mortalité de 6,2 (comparativement à l’Iran : 8042 infections contre 291 décès = taux de mortalité de 3,6). Le taux de mortalité de l’Italie est presque deux fois plus élevé que celui de l’Iran et presque dix fois plus élevé que celui de l’Europe moyenne. (Ces écarts sont-ils le résultat de l’incapacité à établir des données fiables concernant les « infections », voir nos observations concernant l’Italie ci-dessous).

Pourquoi ? – L’Italie a-t-elle été touchée par la panique virale ? Une souche beaucoup plus forte a-t-elle été introduite en Italie ?

La grippe commune en Europe pour la saison 2019 / 2020, a apparemment tué jusqu’à présent environ 16.000 personnes (aux États-Unis, le nombre de décès est, selon le CDC entre 14.000 et 32.000, selon le site web du CDC que vous consultez).

Se pourrait-il que parmi les décès dus au coronavirus italien, il y ait également des victimes communes de la grippe, car les victimes touchées sont pour la plupart des personnes âgées ayant des problèmes respiratoires ? En outre, les symptômes sont très similaires entre le coronavirus et la grippe ordinaire, et personne ne remet en question et ne vérifie le récit des autorités officielles ?

Peut-être que toutes les souches de coronavirus ne proviennent pas du même laboratoire. Un journaliste berlinois d’origine ukrainienne m’a dit ce matin que l’Ukraine abrite quelque cinq laboratoires américains de haute sécurité spécialisés dans la guerre biologique. Ils testent régulièrement de nouveaux virus sur la population – pourtant, lorsque d’étranges maladies apparaissent dans les environs des laboratoires, personne n’est autorisé à en parler. Quelque chose de similaire, dit-elle, se passe en Géorgie, où il y a encore plus de laboratoires de guerre biologique du Pentagone et de la CIA, et où des maladies nouvelles et étranges se déclarent.

Tout cela rend le tableau composite encore plus compliqué. Le plus important, c’est que ce super battage est motivé par le profit, la recherche du profit instantané, des bénéfices instantanés de la souffrance des gens. Cette panique est cent fois plus importante que ce qu’elle vaut. Ce que ces caïds du monde souterrain, qui prétendent diriger le monde supérieur, ont peut-être mal calculé, c’est que dans le monde globalisé et largement externalisé d’aujourd’hui, l’Occident dépend massivement de la chaîne d’approvisionnement de la Chine, pour les biens de consommation et les marchandises intermédiaires – et, avant tout, pour les médicaments et les équipements médicaux. Au moins 80 % des médicaments ou des ingrédients pour les médicaments, ainsi que pour les équipements médicaux, proviennent de Chine. La dépendance de la Chine occidentale en matière d’antibiotiques est encore plus élevée, soit environ 90 %.  Les effets potentiels sur la santé sont dévastateurs.

Au plus fort de l’épidémie de COVID-19, l’appareil de production de la Chine pour tout était presque à l’arrêt. Pour les livraisons qui étaient encore effectuées, les navires de marchandises étaient régulièrement et catégoriquement refoulés de nombreux ports du monde entier. Ainsi, l’Occident s’est mis en mode pénurie de tout en menant une « guerre économique » de facto contre la Chine. Combien de temps cela va-t-il durer ? – Personne ne le sait, mais l’économie chinoise, qui était en baisse de moitié environ, a rapidement retrouvé plus de 80 % de ce qu’elle était avant que le coronavirus ne frappe. Combien de temps cela durera-t-il pour rattraper le retard accumulé ?

Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ? – Une répression totale avec une panique artificiellement induite au point que les gens crient « au secours, donnez-nous des vaccins, affichez police et armée pour notre sécurité » – ou même si le désespoir du public ne va pas aussi loin, il serait facile pour les autorités européennes et américaines d’imposer une phase de siège militaire pour « la protection de la santé du peuple ». En fait, le CDC (Center for Disease Control d’Atlanta) a déjà élaboré des directives dictatoriales et sévères pour une « urgence sanitaire ».

Outre la vaccination forcée, qui sait ce que contiendrait le cocktail de « mini-maladies » injecté, et quels pourraient être leurs effets à long terme. Comme ceux des OGM, où toutes sortes de germes pourraient être insérés sans que nous, les gens du commun, le sachions ?

Il se peut en effet que nous ne soyons qu’au début de la mise en œuvre de l’ID2020 – qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tout le monde – sur la voie d’un ordre mondial unique – et de l’hégémonie financière mondiale – la domination du spectre complet, comme le PNAC (Plan pour un nouveau siècle américain) aime l’appeler.

Une aubaine pour la Chine. La Chine a été délibérément ciblée pour la « destruction économique », en raison de son économie en rapide progression, une économie qui dépassera bientôt celle de l’hégémonie actuelle, les États-Unis d’Amérique, et en raison de la forte monnaie chinoise, le yuan, qui pourrait également dépasser le dollar en tant que principale monnaie de réserve mondiale.

Ces deux événements signifieraient la fin de la domination des États-Unis sur le monde. La maladie du coronavirus, qui sévit maintenant dans plus de 80 pays, a fait chuter les marchés boursiers, une baisse d’au moins 20 % au cours des dernières semaines – et une hausse ; les conséquences redoutées du virus d’un ralentissement économique, voire d’une récession, ont fait chuter les prix de l’essence en deux semaines environ, presque de moitié. Toutefois, sans l’intervention de la banque centrale chinoise, la valeur du yuan par rapport au dollar a été plutôt stable, à environ 7 yuans pour un dollar. Cela signifie que l’économie chinoise, malgré COVID-19, bénéficie encore d’une grande confiance dans le monde entier.

Conseil à la Chine : achetez toutes les actions d’entreprises américaines et européennes que vous pouvez au prix le plus bas du moment sur les marchés boursiers qui se sont effondrés d’un cinquième ou plus, et achetez beaucoup de contrats à terme sur le pétrole. Lorsque les prix se redresseront, vous aurez non seulement gagné des milliards, voire des billions, en Occident, mais vous pourrez également posséder ou détenir des quantités importantes d’actions de la plupart des plus grandes entreprises américaines et européennes, ce qui vous permettra de les aider à décider de leurs projets futurs.

Il y a cependant une petite lueur d’espoir qui oscille à l’horizon plein de nuages sombres. Il pourrait s’agir miraculeusement d’un réveil de la conscience d’une masse critique qui pourrait mettre fin à tout cela. Bien que nous soyons loin d’un tel miracle, quelque part dans un coin caché de notre cerveau, il nous reste à tous une étincelle de conscience. Nous avons la capacité spirituelle d’abandonner la voie du désastre du capitalisme néolibéral occidental et d’épouser à la place la solidarité, la compassion et l’amour les uns pour les autres et pour notre société. C’est peut-être la seule façon de sortir de l’impasse et de la fatalité de la cupidité égocentrique occidentale.

Peter Koenig


Article original en anglais :

The Coronavirus COVID-19 Pandemic: The Real Danger is “Agenda ID2020”, publié le 12 mars 2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca


[À propos de l’auteur]

Peter Koenig est un économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier, y compris en Palestine, dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, TeleSUR, The Saker Blog, le New Eastern Outlook (NEO) et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Covid-19 : un appel du Patriarcat Catholique Byzantin à distinguer vrais et faux vaccins

[Source : Patriarcat Catholique Byzantin via Le Saker Francophone]

[NdNM : L’article date du 15 janvier]

La discussion publique des scientifiques révèle l’essence du soi-disant nouveau vaccin à ARN messager, qui n’est pas vraiment un vaccin traditionnel, mais est un outil de mutilation massive et de génocide de l’humanité.

« Assurons-nous d’être clairs. Ils utilisent le terme « vaccin » pour dissimuler cette chose sous des exemptions de santé publique. Ce n’est pas un vaccin. Il s’agit d’ARN messager (ARNm) emballé dans une enveloppe de graisse, et qui est délivré à une cellule… afin de stimuler cette cellule humaine pour qu’elle devienne la créatrice d’agents pathogènes. »

David Martin, MD

Regardez cette vidéo sur :

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Le vaccin (normal) doit spécifiquement stimuler à la fois l’immunité de la personne qui le reçoit, et interrompre également la transmission. Et ce n’est pas de ça dont il s’agit. … le brin d’ARNm qui entre dans la cellule ne doit pas arrêter la transmission. Si nous disions que nous allons administrer aux gens une chimiothérapie prophylactique pour un cancer qu’ils n’ont pas encore, on se moquera de nous… parce que c’est une idée stupide. C’est exactement ce dont il s’agit ! (Ce « vaccin » à ARNm) est un dispositif mécanique ayant la forme d’un très petit ensemble de technologies qui est inséré dans le corps humain pour activer la cellule, afin que cette dernière devienne un site de fabrication de pathogènes. … il s’agit d’un dispositif pathogène chimique qui est en fait destiné à déclencher une action de production d’agents pathogènes chimiques dans une cellule. C’est un appareil médical, pas un médicament… Nous devons donc être très clairs, afin de nous assurer de ne pas tomber amoureux de leur jeu. Parce que leur jeu consiste à ce que, si nous en parlons comme d’un vaccin, alors nous allons entrer dans une conversation sur le vaccin mais, de leur propre aveu, il ne s’agit pas d’un vaccin…

Judy Mikovits, PhD : C’est exact. C’est un pathogène synthétique.

L’avocat Rocco Galati : Quand vous dites « pathogène », cela m’indique que ça va me rendre malade.

Judy Mikovits, PhD : C’est exact.

David Martin, MD : Il est fait pour vous rendre malade. … On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie, et non pour induire une réponse immuno-transmissive. (Ce « vaccin à ARN messager ») vise à vous rendre malade, et à faire en sorte que vos propres cellules soient la chose qui vous rend malade.

L’avocat Rocco Galati : Il va donc déclencher une réponse auto-immune (une maladie incurable) ?

Judy Mikovits, PhD : Il en est capable, et il le fera…

David Martin, MD : Parmi beaucoup d’autres choses… (note : comme le puçage)

Judy Mikovits, PhD : Parmi beaucoup d’autres choses. Il peut en fait causer directement la sclérose en plaques, la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, parce que c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène… Il peut provoquer un cancer accéléré… C’est ce que l’expression de ce morceau de virus fait depuis des décennies, de façon notoire.

Écoutons à présent ce que dit le pseudo-pape Bergoglio à propos de la vaccination par ARN messager.

Citation de Bergoglio : « Je crois que, d’un point de vue éthique, tout le monde devrait se faire vacciner. »

Commentaire : Bergoglio dit ainsi que, d’un point de vue éthique, tout le monde devrait être mutilé, pucé ou même tué.

Citation de Bergoglio : «Ce n’est pas une option, c’est un choix éthique … »

Commentaire : En d’autres termes, un choix éthique, tel que présenté par Bergoglio, signifie que vous n’avez pas le choix : vous devez prendre le vaccin.

Citation de Bergoglio : « … parce que vous jouez avec la santé, la vie, mais vous jouez aussi avec la vie des autres. »

Commentaire : Bergoglio a raison à ce sujet. On joue vraiment avec la santé et la vie. Mais c’est Bergoglio, pas nous, qui joue littéralement avec la vie des autres ! Il les oblige à prendre un vaccin mortellement dangereux contre lequel les meilleurs experts mettent en garde de toute urgence.

Citation de Bergoglio : « La semaine prochaine, nous commencerons à le faire ici (au Vatican) … »

Commentaire : Soit ce sera truqué, soit le Vatican, avec Bergoglio, créera un précédent suicidaire. Il égare non seulement les catholiques, mais aussi tous les chrétiens et le monde entier !

Citation de Bergoglio : « … et j’ai pris rendez-vous (pour me faire vacciner). »

Commentaire : Cela signifie que Bergoglio devrait recevoir le vaccin avant le 16 janvier. Il recevra probablement un placebo, mais le monde entier sera alimenté par une propagande explosive sur le soi-disant Saint-Père François qui a pris le vaccin contre Covid-19 ! Donc, tous les catholiques devront dès lors suivre son exemple avec obéissance. Ce loup déguisé en berger ne donne pas sa vie pour ses brebis, mais leur prend la vie et, de plus, les entraîne vers la destruction éternelle ! Il peut facilement faire en sorte que ce vaccin à ARN messager ne lui soit pas administré, mais les catholiques ne doivent pas le savoir. Ils doivent faire confiance aveuglément à cet imposteur et menteur professionnel, jusqu’à leur destruction.

Citation de Bergoglio : « Cela doit être fait. »

Commentaire : Bergoglio, qui promeut une approche subjective de tout, y compris des commandements de Dieu, fait soudainement une déclaration catégorique sur le vaccin suicidaire, et dit : “Cela doit être fait !”

Citation de Bergoglio : « Je ne comprends pas pourquoi certains disent : « Non. Les vaccins sont dangereux ». »

Commentaire : Tous les experts et scientifiques consciencieux s’accordent sur cette position : «Non au vaccin ! Il est dangereux ! ». Bergoglio, analphabète en médecine, ne comprend pas. Il s’y oppose sans un seul argument.

Citation de Bergoglio : « S’il est présenté par les médecins comme une chose qui peut bien se passer, qui ne possède pas de dangers particuliers, pourquoi ne pas le prendre ? »

Commentaire : Si des médecins présentent ce vaccin à ARN messager comme une chose qui peut bien fonctionner et qui ne possède pas de dangers particuliers, ils racontent des mensonges, tout comme Bergoglio.

Citation de Bergoglio : « Il y a un déni suicidaire que je ne peux pas expliquer, mais aujourd’hui, nous devons nous faire vacciner. »

Commentaire : C’est le comble de la démagogie bergoglienne ! Dire que nous devons nous faire vacciner signifie un suicide de masse. Une personne sensée ne peut expliquer qu’une telle chose puisse être promue par un (pseudo) pape. Promouvoir un moyen de mutilation massive et d’anéantissement subséquent de l’humanité sous le couvert d’un vaccin, constitue le crime le plus grave jamais commis !

L’humanité doit traduire Bergoglio devant un tribunal international en tant que criminel de masse et meurtrier de masse ! Il faut le faire ! Cela doit être fait ! Il ne faut pas se faire vacciner à tout prix !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Téléchargement: Les experts mettent en garde, mais Bergoglio dit à propos de la vaccination : « Cela doit être fait ! » (15/1/2021)




Les doutes sur le vaccin Astra Zeneca se reflètent dans les cours de Bourse

Par le Dr Gérard Delépine

Le vaccin développé par Astra Zeneca et l’Université d’Oxford est le troisième vaccin contre le Covid-19 commercialisé en France, et autorisé par l’agence européenne du médicament et par la Haute autorité de santé (HAS) le 2 février 2021.

Il présente deux avantages évidents sur ses concurrents : il est beaucoup moins cher (de l’ordre de 2 euros la dose) et peut être conservé à température ambiante alors que les vaccins à ARN messager nécessitent des températures de -20 à -70° qui compliquent lourdement la logistique des campagnes de vaccination.

Mais est-il efficace ? Est-il bien supporté ?

Les angoisses suscitées par les résultats de son concurrent Pfizer

Les vaccins mis sur le marché ont bénéficié d’une procédure très allégée de délivrance conditionnelle de mise sur le marché. L’autorisation leur a été donnée avant la fin des essais cliniques de phase 3 dont les résultats définitifs ne seront établis qu’en 2023.

Les taux allégués d’efficacité partout proclamés par les médias (plus de 90% pour le Pfizer et le Moderna) ne reposent pour l’instant que sur des communiqués des services de communication des firmes.

En l’absence de résultats probants des essais cliniques, on ne peut que se reporter sur l’examen des résultats des campagnes de vaccination en cours depuis près de deux mois. Or, lorsqu’on regarde les statistiques officielles de l’OMS, les suites des larges campagnes de vaccination réalisées en Israël et au Royaume-Uni font craindre le pire.

Israël est le champion incontesté de la vaccination Pfizer. Depuis le 20 décembre, en moins de deux mois, près de 40% de la population a été vaccinée. Mais depuis cette date, les nombres de morts quotidiennes attribuées au Covid19 ont explosé passant d’une moyenne de 15 morts pendant la semaine précédant le début de la vaccination à 56 dans la première semaine de février.

D’après le ministre de la Santé d’Israël, le mois de janvier est devenu de champion de la mortalité totalisant à lui seul le tiers du nombre total de décès attribués au Covid depuis le début de l’épidémie dans son pays, suggérant que la première injection du vaccin serait peut-être susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie..

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin Pfizer dès décembre et aurait réussi à vacciner près de 15 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier, malgré un confinement de plus en plus strict. Depuis la vaccination, elle s’est hissée au second rang de la mortalité européenne, juste derrière la Belgique.

De même dans les micro-États tels que Gibraltar ou Monaco, qui avaient été jusqu’ici presque épargnés par le covid19, l’introduction de la vaccination a été suivie d’une explosion de la mortalité.

L’effet protecteur du vaccin Pfizer contre les contaminations ou la mortalité est donc loin d’être démontré en population réelle et on peut même se demander s’il ne favoriserait pas parfois l’aggravation de la maladie comme cela a été observé en 2017 avec le vaccin contre la Dengue responsable de plusieurs centaines de morts avant d’être interdit aux Philippines.

Vaccin Astra Zeneca et ses premières controverses

Le vaccin Oxford/Astra Zeneca est un vaccin à vecteur viral : il prend comme support un adénovirus (du rhume chimpanzé) qui a été transformé pour combattre le Covid-19. Son efficacité annoncée se situe entre 60 % et 70 %, relativement faible, mais supérieure à la plupart des vaccins contre la grippe.

Au cœur d’une controverse commerciale avec l’Union européenne pour non-respect de contrat de livraison, il a été accusé d’être moins efficace chez les plus de 65 ans par de nombreuses agences de santé, et inefficace contre le variant sud-africain. Une étude de l’université de Johannesburg portant sur 2000 vaccinés a en effet montré qu’il n’était efficace qu’à 22% contre les formes modérées chez les jeunes adultes, ce qui a entraîné l’arrêt de son utilisation en Afrique du sud

Le groupe pharmaceutique, qui a démenti que son vaccin était peu efficace, a cependant annoncé une nouvelle version de son vaccin adapté aux nouveaux variants, notamment le sud-africain.

Des incertitudes quant à l’efficacité sont apparues après l’annonce des résultats des essais intermédiaires à la fin novembre, lorsqu’Astra Zeneca a reconnu que les personnes participant à son essai clinique avaient accidentellement reçu des doses différentes.

Il a alors été affirmé par la société que ceux qui ont reçu une demi-dose du vaccin, suivie d’une dose complète, avaient une protection de 90%, tandis que deux doses complètes n’offraient qu’une protection de 62%. Mais depuis, la MHRA (agence britannique) a déclaré que les résultats du régime à demi dose n’étaient pas confirmés dans l’analyse ultérieure.

Un responsable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré à Reuters :

« c’est beaucoup plus déroutant parce que des erreurs ont véritablement été commises, des erreurs qui ont abouti à des données cliniques beaucoup plus complexes à interpréter que celles de Moderna et Pfizer. Et en plus de cela, l’efficacité est moindre ».

En France, la vaccination des soignants désorganise les équipes

La HAS l’a proposé pour vacciner « les professionnels de santé et du médico-social, et les personnes âgées de 50 et 65 ans, en commençant par ceux qui présentent des comorbidités ».

La campagne de vaccination par Astra Zeneca a débuté en France selon les recommandations de l’HAS. Mais le virus vecteur du vaccin a retrouvé son efficacité et entraîne des syndromes grippaux chez 25% à 40% des vaccinés les rendant incapables d’assurer leur mission.

Quatre hôpitaux de Bretagne et deux de Paris qui avaient vacciné trop rapidement leurs équipes soignantes ont dû faire face à une avalanche d’arrêts de travail désorganisant leur planning d’activité. La Haute Autorité de santé a même dû préciser : « afin de limiter le risque de perturbations du fonctionnement des services de soin, il est recommandé de vacciner de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Elle a également prétendu que « ces effets indésirables sont connus et décrits avec les vaccins », alors qu’ils étaient curieusement peu mentionnés auparavant (seulement 10 à 12% des vaccinés dans les données que le laboratoire a transmises) et que leur gravité était largement sous-estimée dans les effets secondaires décris par la HAS qui n’avait d’ailleurs aucunement mis en garde les vaccinateurs ni les vaccinés.

Certes, ces effets secondaires, qu’ils soient apparus « immédiatement après la vaccination ou de façon différée », ont été « de courte durée et d’évolution favorable », mais l’absence de mise en garde préalable d’Astra Zeneca et des agences sanitaires européenne et française témoigne de la non-fiabilité des essais thérapeutiques réalisés et de l’insuffisance des résultats transmis.

Dans cette affaire les soignants ont réellement servi de cobayes. Espérons qu’il n’y aura pas de complications plus graves dans les mois qui viennent comme cela a été observé avec le vaccin Pandémix contre la grippe H1N1.

Ces accidents, heureusement bénins pour l’instant, prouvent une fois de plus que les agences du médicament privilégient l’intérêt des firmes sur notre sécurité sanitaire.

La Bourse mieux informée que nos agences sanitaires ?

Et comme il est d’usage (délits d’initié ?) la Bourse est informée plus tôt et plus précisément que les médecins sur les résultats réels des médicaments nouveaux. Les variations des cours de Bourse constituent donc souvent un indice plus fiable que les communiqués officiels.

Et manifestement la chute des cours d’Astra Zeneca suggère que les financiers n’ont plus confiance dans le vaccin Astra Zeneca.

L’avenir tranchera.




Pourquoi une telle indifférence aux enfants, aux étudiants et aux vieillards ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte laïque]

Médias et réseaux sociaux : abordons les vrais sujets, cessons d’être le bon opposant qui se fait imposer son timing par le pouvoir !

« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez ».

Professeur Denis Rancourt

Saint-Lô. Suspension de la vaccination Astra Zeneca : vingt soignants avec des effets secondaires (lamanchelibre.fr)

Voilà, le nouveau vaccin dont le ministre a fait la pub fait parler de lui et prive les services hospitaliers d’un quart de leur personnel pour syndrome grippal intense. Il semble que la durée d’immobilisation ne soit pas longue, mais néanmoins embarrassante pour les hôpitaux qui ont fait la pub à outrance de ce vaccin anticovid.

Vidéo Sandrine Sarroche “quand Véran dégrafa son corsage”

(20+) Facebook

Mise à l’écart des généralistes de terrain

Il est aberrant que les généralistes soient exclus du système de prise en charge et que les gens se fassent vacciner sans avoir été examinés par leur médecin généraliste qui connaît leurs antécédents et leurs éventuelles contre-indications, en particulier allergiques. Comme en 2008 avec les vaccinodromes de la grippe H1N1 qui restèrent vides, la volonté d’exclure les généralistes de la prise en charge des malades. Et pourtant, comme de nombreux médecins de terrain tentent de le dire en vidéos multiples, c’est bien le médecin de famille (notion que les médias décrédibilisent en permanence, mais ô combien fondamentale) qui est le pilier de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle que la quatrième révolution industrielle veut  faire disparaître et remplacer par des robots.. Les vrais médecins rencontrent physiquement leurs patients, les examinent, les interrogent avant toute prescription médicale ; et en particulier celle d’un vaccin génique expérimental jamais utilisé auparavant et quasiment pas testé. C’est pourquoi l’injection par une infirmière ou un pharmacien n’est pas acceptable. Un vaccin est un médicament à risques de complications, comme les deux mois écoulés et les vaccinations à la chaîne le démontrent de façon spectaculaire.

Les soldes et les ruées vers les stocks de Nutella chez Lidl ou vaccin, même combat

Cet engouement pour le vaccin en général semble invraisemblable et ne cesse de surprendre. Il évoque les ruées de foules lors des ouvertures des soldes ou bien de promotion sur des baskets Nike ou des lots de Nutella. Pauvre France qui n’écoute pas les messages d’alerte donnés par les pro-vaccins covid eux-mêmes et sur lesquels les habitants se précipitent à l’aveugle. Même les médias racontent comment tel ou tel hôpital arrête ou suspend la campagne de vaccination, le temps que le personnel vacciné soit en état de se remette au travail. Quant aux morts multiples survenues dans des zones jusque-là quasiment indemnes de covid-19, comme Gibraltar ou Monaco, ils n’intéressent pas les médias ni les auditeurs bientôt cobayes eux-mêmes. Lorsque les mathématiques dites modernes ont détruit l’enseignement de la mathématique et de la logique, l’esprit critique a progressivement disparu, transformant des citoyens normaux en moutons avides de téléréalité et de biens de consommation comme le vaccin.

Nous ferions mieux d’évoquer la réforme indispensable et urgente de l’enseignement plutôt que de lire un xième article sur l’activité de l’hydroxychloroquine dont on sait depuis le début de l’histoire qu’elle marche. Et, si on veut en reparler, republier les courbes de survie des pays qui l’ont utilisée (ou des drogues du même type comme l’artémisine à Madagascar. Oui, on sait indubitablement que les traitements précoces fonctionnent et qu’ils sont de plus variés. L’objectif n’est plus de démontrer que la terre est ronde mais bien d’imposer aux gouvernants d’autoriser les docteurs à retrouver leur fidélité au serment d’Hippocrate bafoué.

Les traitements précoces marchent, cela est démontré depuis mars 2020. Les médecins sont interdits de pratiquer la médecine mais autorisés à euthanasier les patients suspects de covid-19 par deux décrets, celui de mars signé Véran et E. Philippe alors Premier ministre, et celui d’octobre par Véran. Le Conseil de l’Ordre poursuit les médecins qui soignent, et ce dans l’indifférence générale. Les écoliers sont gravement maltraités par le port du masque imposé à longueur de journée. Et le discours de panique raconté par leurs enseignants pour se justifier à eux-mêmes leur lâcheté de priver les petits et même très petits des visages de leurs nurses ou de leur institutrice.

Soulignons la maltraitance qui tue les vieux, mais, pire encore, condamne l’avenir des jeunes générations

C’est de ces conséquences dramatiques qu’il faut parler maintenant, afin que cesse la maltraitance imposée par les dirigeants, mais acceptée, voire soutenue, par les syndicats d’enseignants et supportée par les familles dans le confort de l’obéissance aveugle, plutôt que de la résistance à des mesures illogiques, indignes et sans justification médicale.

Les jeunes, de la crèche à l’université, abandonnés

Il faut dénoncer le port du masque et toutes les formes de confinement, supprimer toutes mesures liberticides et donc rouvrir TOUT dès demain.
Et qu’on ne me dise pas qu’ils ne peuvent pas savoir, et croient protéger leur prochain. Des dizaines d’articles internationaux ont exposé en clair l’inutilité du masque (et la seule étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 réalisée par des partisans de cette obligation n’a pas pu en prouver l’efficacité). Et la toxicité constatée du port prolongé tant sur le plan physique que psychologique. Qu’on ne nous dise pas que les enseignants ou leurs parents ne sont pas capables de lire un article du réanimateur belge Pascal Sacré ou du professeur canadien Denis Rancourt qui, dès juillet, expliquaient clairement la mascarade.

À jouer sur les joutes pseudo-scientifiques, sur les essais ou leur absence sur chloroquine ou ivermectine, nous jouons dans leur camp, sur le terrain choisi par les autorités qui veulent cacher l’absence de conséquences de cette pseudo-pandémie dans les pays qui ont choisi de ne pas confiner et de ne pas écouter les ordres de l’OMS et du gouvernement mondial, plus ou moins en place de fait.

Les vieux des EHPAD abandonnés, condamnés par isolement et euthanasie si besoin, et cobayes des vaccins

Et qu’on ne me dise pas que les jeunes sont martyrisés pour protéger les vieux.  Ils sont sacrifiés sans raison sanitaire mais uniquement pour leur faire accepter la dictature et les vaccins. La moyenne d’âge des décès étant de 84 ans, il fallait tenter de masquer la réalité sordide : se débarrasser de quelques vieux (dont Attali répète depuis 20 ans qu’ils devraient se suicider quand ils ne sont plus utiles dès qu’ils sont à la retraite). L’eugéniste Laurent Alexandre répète à loisir et ouvertement qu’il faut utiliser les vieux comme cobayes puisque leur espérance de vie est faible.

La fermeture des bars est arrivée fin février alors que les manifestations contre la réforme des retraites se multipliaient avec moults drames – perte d’œil, etc. Le 29 février aurait dû rester dans les mémoires comme un jour noir. Le Parlement se réunissait pour parler des retraites et cela finit par l’état d’urgence et l’interdiction des manifestations. Oui, les Français ne voulaient pas être vendus à BlackRock et bien pas de problème, le virus servirait de leurre pour détruire la grande majorité des lois qui protégeaient les travailleurs et les aînés seraient maltraités.  Et ce fut fait dans le silence général des politiques de tous bords et des syndicats.

MALTRAITANCE DES AÎNÉS

Maltraitance par isolement, séparation des familles, interdiction des visites des bénévoles, bises à travers un plexiglas lors de la demi-heure parfois autorisée de visites sur ordre vague de confinement, dans l’application plus ou moins violente de directeurs d’ARS et/ou d’Ehpad qui auraient une certaine liberté d’adaptation des mesures carcérales de nos aînés venus finir leur vie dans un établissement convivial (pensaient-ils) de soins. Ils se sont retrouvés dans un univers carcéral, pas encore Guantanamo, mais on y vient avec punitions, rétorsions, si on n’accepte pas le fameux vaccin qui à 95 ans vous assurera un avenir riant des trente prochaines années.

 Raoult l’a dit très tôt ; ils sont devenus fous ! Mais l’étrange est la contagion de la folie plutôt que la révolte. Les nouveaux dictateurs mondiaux sont très forts et leur argument « les autres pays font pareil » est très efficace. On apprend d’ailleurs que des chercheurs anglo-saxons ont été rémunérés pour écrire des articles sur la Suède pour tenter de masquer que la vie normale sans confinement, sans fermeture des écoles ne constituait pas un danger puisque ce pays ne pleure pas plus de morts attribués au Covid-19 que nous.

De même, le gouvernement allemand a fait rédiger un rapport alarmiste par des complices du Robert Koch Institute de Berlin. Oui, l’OMS a proposé à Madagascar 20 millions de dollars pour mettre de petites doses de poison dans leur médicament efficace. Oui, l’OMS a voulu corrompre le Président de Biélorussie par des dizaines de millions de dollars pour instaurer le confinement de son peuple qu’il a heureusement refusé, etc. Toutes ces manipulations sont maintenant démontrées dans un silence encore général des médias mainstream où on tente de faire semblant d’être scientifiques pour démontrer l’efficacité des traitements précoces déjà bien établie, la nocivité des vaccins géniques déjà avérée, au lieu de faire éclater au grand jour les énormes manipulations organisées par les politiques afin de mettre en place leur quatrième révolution industrielle et effacer la civilisation occidentale et aussi de détruire les classes moyennes sur lesquelles repose la démocratie.

Il est temps d’oublier le virus, leurre du véritable objectif, et de bloquer le système destructeur avant qu’il ne soit trop tard.

NE NOUS LAISSONS PAS IMPOSER LES SUJETS PAR LES MÉDIAS

Il faudrait que les psychiatres expliquent quel dérèglement de l’esprit peut amener à vacciner des vieillards de 110 ou 115 ans qui ont résisté à tant de périodes difficiles comme les deux guerres mondiales. Quel est le but ? Les protéger d’un virus en voie de disparition, les faire servir de cobayes, mais il semble bien y avoir plus de volontaires que de vaccins ? Donc, discuter pendant des heures des vaccins, des morts, des effets secondaires et, comme pour la chloroquine ou l’ivermectine, oublier le bilan d’un an de manipulations et de destruction de la médecine, de l’enseignement universitaire, de destruction de 70 ans de protection sociale par les soins et les retraites, et donc de notre système de santé.

Oui les traitements précoces marchent, mais grâce à l’état d’urgence, à l’hystérie et au Plan Blanc, les cancers ne sont plus soignés et les lits d’hôpitaux continuent à fermer sans que la population ne se rebelle. Les ARS – dont la nocivité a été mise en évidence aux yeux de tous lors de cette crise – sont toujours en place avec les pleins pouvoirs pour imposer des tests PCR ou salivaires aux écoliers et fermer les écoles pour un test positif, dont l’OMS et les tribunaux ont déjà jugé l’incapacité à affirmer seuls que les « cas » sont malades ou contagieux. Mais cela, on n’en parle pas, on continue d’être un « bon opposant » discutant des sujets choisis par le pouvoir.

Reprenons la main et abordons les vrais problèmes que sont la fermeture des écoles et universités, les interdictions des visites en Ehpad ou à l’hôpital, le retard aux soins des malades urgents sous prétexte de test PCR positif. Claironnons le malheur des gens dont un proche meurt sans visite, d’accompagnement des dernières heures et même au cimetière.
L’indifférence aux appels de la comédienne Stéphanie Bataille pour l’autorisation des visites hospitalières (de quel droit divin les interdire), l’indifférence à tous les articles sur les souffrances des enfants masqués ou des vieux interdits de bisous doit cesser, si tant est que notre société veuille retrouver un peu d’humanité.

Cessons d’avoir peur d’une maladie qui n’est qu’une grippe sévère (comme l’a été la grippe asiatique de 1958-1959). Retrouvons notre humanité, notre joie de vivre, notre respect réel des vieux et notre plaisir de voir nos jeunes heureux de faire la fête et, à nouveau, de croire en leur avenir. Refusons le confinement et les couvre-feux totalement inutiles et parfaitement suicidaires. Exigeons le respect de nos droits fondamentaux et du premier d’entre eux, la Liberté.

À moins que la société projetée par Klaus Schwab, faite d’obéissance aveugle, ne plaise à la majorité d’entre nous…[1]

Tyrannie mortifère ou liberté, c’est l’heure du choix !

Nicole Delépine


Note

[1] Covid-19 : Un meurtre social qui en prépare un plus violent


[Voir aussi : «J’ai envie de mourir» le récit bouleversant d’une petite fille souffrant des mesures sanitaires : ]






La Maladie du Magicien Macron

[Source et auteur : Réarmer l’intelligence ! – Le Blogue d’Arnaud Upinsky]

Chaque tour de magie est constitué de trois parties ou de trois actes. On appelle premier acte « le pacte ». Le magicien vous montre une chose ordinaire. Le deuxième acte s’appelle « l’effet ». Le magicien prend la chose ordinaire et lui fait faire quelque chose d’extraordinaire. Mais vous n’êtes pas encore prêt à applaudir par ce que faire disparaitre une chose n’est pas suffisante, il faut aussi la faire réapparaitre. Vous cherchez alors la clé du mystère, mais vous ne la trouverez pas parce que vous ne la cherchez pas vraiment, vous ne voulez pas réellement la connaitre. Vous voulez être mystifié.

Réplique du film Le prestige]

La Maladie du magicien Macron, c’est le cadeau de Noël pour en finir avec le cauchemar du confinement et de l’attente du Vaccin sans fin.

LA FIN DU CAUCHEMAR ! Français , « Emprisonner, piquer, vacciner ! » Le confinement vaccinal, c’est le chantage consistant à vous dire : « Tant que les Français ne seront pas vaccinés, ils resteront emprisonnés, soumettez-vous, il n’y a pas d’autre solution ! » Tel est le monstrueux mensonge d’État qui nous assassine ! C’est ce que Macron nous a appris lui-même dans sa vidéo sur son état de santé du 18 décembre qui invalide toute sa politique de gestion mathématique du confinement : « Tester, tracer, isoler » en attente de la piqûre magique du miraculeux vaccin ! Après la « Réponse de la Nation au Président de la République », du 28 avril 2020, lui intimant l’ordre de reconnaître et de généraliser sans délai « l’existence » d’un « traitement » du coronavirus ! Après, le 1er novembre, le « J’accuse de la Toussaint », du « pire crime de l’histoire de France », voici enfin la « fin du cauchemar », comme par Magie, que nous annonce Arnaud Upinsky si nous suivons sa « Méthode » d’élucidation, pour triompher de ce fol aveuglement qui conduit les Français à l’abîme :

  1. Le Président Macron agit en Magicien, et chaque tour de magie se joue en trois actes.
  2. Comment la solution de sortie du confinement est actée — et non contestée — depuis 28 avril 2020.
  3. À l’annonce d’une mutation du vaccin et d’une troisième vague, la situation actuelle n’est plus supportable.
  4. Français, ce que vous avez à juger : une Monstruosité entre deux infinis.
  5. Les 10 clefs de la maladie de Macron : exactement l’inverse de sa politique.
  6. L’antidote médical des Épidémies est connu depuis 2400 ans, sa négation révèle le combat du « Complotisme d’État » du Président Macron contre la Science.
  7. La politique du Président Macron fait exactement l’inverse des trois M ( Maladie, Malade, Médecin) structurant le triangle de la science médicale d’Hippocrate : c’est la preuve intentionnelle du nuire.
  8. Quel Avenir ? « Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

La solution est dans l’exacte inversion de la politique de « Négationnisme présidentiel » du traitement dont la surmortalité des plus faibles, la destruction des biens et le massacre du modèle français découlent en faisant participer les Français à leurs propres morts !


[Source : FranceSoir]

Arnaud Upinsky au Défi de la vérité

https://youtu.be/a9RNCF1Iw48

Appel aux Guerriers – Réarmez votre Intelligence


[Voir aussi :


À propos de l’auteur

« L’orateur mentionne le plan des 3D Debility, dread, dependency, au moment où sort en France le projet de loi 4D « décentralisation, différenciation, déconcentration, décomplexification »…

Arnaud-Aaron Upinsky est le nom de plume de Henri Hedde d’Entremont, essayiste français, né en 1944. 

Ses textes portent sur l’étude du pouvoir du langage dans divers domaines (sciences, art, littérature), sur des thèmes politiques (opposition au traité de Maastricht), culturel (opposition à une exposition de Jeff Koons, puis de Takashi Murakami au château de Versailles en 2010), ainsi que sur l’authenticité du linceul de Turin dans les années 1990. »

Jean-Pierre Auffret, ingénieur Arts et Métiers




Le complot des multi-milliardaires

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israel Shamir

Les millionnaires veulent faire de l’argent. Les milliardaires veulent faire l’histoire. Nous pouvons ajouter que les multi-milliardaires vont plus loin : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. Nous n’employons pas de fourmicide tant que les fourmilières n’empiètent pas sur nos plates-bandes, mais nous n’hésitons pas à le faire si nous le jugeons nécessaire. L’humanité a croisé de nombreux mégalomanes. Certains d’entre eux avaient beaucoup de pouvoir. Gengis Khan en était un. Cependant, ils étaient toujours limités territorialement. Le puissant Gengis pouvait faire trembler la terre jusqu’à Rome, mais les Anglais et les Français n’avaient pas à se soucier de la montée de l’empire mongol. Les nouveaux super-tycoons n’ont pas de telles limites. La mondialisation leur a permis de sortir des sentiers battus. Leurs mouvements avaient été depuis longtemps anticipés par le cinéma, le monde des rêves. Comme les rêves permettent à un psychologue de se pencher sur les désirs et les craintes de l’homme, le cinéma offre des aperçus sur l’ego collectif de l’humanité. Que craignions-nous dans les années 70, relativement libres ?

Le méchant classique des années 70 et 80 était le magnat du mal. James Bond s’attaquait à certains d’entre eux. Retrouvez Hugo Drax de Moonraker, ou Karl Stromberg de L’espion qui m’aimait ; ces types étaient prêts à détruire l’humanité pour la remplacer par une meilleure version. Stromberg prévoyait de déclencher une guerre nucléaire mondiale et d’y survivre sous l’eau. Drax avait l’intention d’empoisonner l’humanité avec son gaz mortel et de repeupler le monde avec ses nouveaux élus. Encore un, Wynter, le super-vilain des Avengers, joué par Sean Connery. Il contrôlait la météo mondiale et pouvait nous éliminer tous par des ouragans et des tsunamis.

Avant les magnats, lorsque la guerre froide faisait rage, le méchant était un agent du KGB ou un agent chinois. Lorsque la détente a apaisé les relations entre les blocs, les agents se sont démodés ; plus tard, ce sont les fantastiques méchants de Marvel qui sont devenus à la mode. Mais ces méchants magnats étaient désagréablement proches de la réalité ; et les voilà passés du monde cinématographique à notre réalité.

Le monde dans lequel nous vivons est le monde formaté par les méchants magnats. Ce sont les démiurges modernes, les créateurs maléfiques  selon les gnostiques, une secte primitive qui avait affronté l’Église. Comme les démiurges, ils sont pratiquement omnipotents ; plus forts que l’État. Le gouvernement a besoin de beaucoup de permissions et d’autorisations pour dépenser le moindre centime. Si un centime a été mal dépensé, on entend résonner le terme glauque de « corruption ». La « corruption » est un concept stupide ; en l’appliquant à qui ils veulent, les oligarques ont éliminé la concurrence de l’État, car ils peuvent payer ce qu’ils veulent à qui ils veulent. L’État doit respecter des règles complexes et obscures, alors que les magnats ne connaissent pas de barrières. En conséquence, ils façonnent nos esprits et nos vies, faisant de l’État un pauvre roi légitime parmi des barons autrement riches et puissants.

La crise du Corona est le résultat de leurs manigances. Aujourd’hui, un groupe de scientifiques de l’OMS vient de clore sa tournée d’inspection de quatre semaines à Wuhan pour tenter de découvrir comment le virus s’est retrouvé chez les humains ; certains d’entre eux pensent (comme le président Trump) que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan. Matt Ridley, du Daily Telegraphconclut son article en analysant leurs découvertes : « Un nombre croissant d’experts de haut niveau [il en fournit la liste] disent qu’une fuite du laboratoire reste une hypothèse scientifique plausible, à examiner ». C’est plutôt improbable, a déclaré l’OMS, mais d’autres explications (pangolins, etc.) frôlent également l’improbable. On peut comprendre que les Chinois soient indignés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère des affaires étrangères (l’homologue chinois de Ned Price du département d’État) a rejeté l’idée en disant : « Les États-Unis devraient ouvrir le laboratoire biologique de Fort Detrick et inviter les experts de l’OMS à y effectuer des recherches sur l’origine de la chose aux États-Unis ». Le rapport du Guardian a déclaré qu’elle défendait « une théorie  conspirationniste selon laquelle cela proviendrait d’un laboratoire de l’armée américaine » ; tandis que Mme Hua accusait les États-Unis de répandre « des théories complotistes et des mensonges » en remontant jusqu’à Wuhan. Tout ce que nous disons est le résultat d’une recherche diligente basée sur des faits ; tout ce que vous dites est une théorie complotiste: les représentants des États-Unis et de la Chine souscrivent également à ce mantra.

Notre propre Ron Unz avait fait une excellente analyse de ces accusations et contre-accusations dans son article d’avril 2020. Il faisait remarquer que l’attaque du virus à Wuhan a eu lieu au pire moment et au pire endroit possible pour les Chinois ; par conséquent, une libération accidentelle (ou intentionnelle par les Chinois) est extrêmement improbable. Ron Unz suggèrait qu’il pouvait s’agir d’une attaque d’armes biologiques américaine contre la Chine. Mais les Américains n’ont-ils pas souffert de la maladie ? Si, mais c’est parce que le gouvernement américain est « grotesquement et manifestement incompétent » et qu’il s’attendait probablement à ce qu’une « épidémie massive de coronavirus en Chine ne se propage jamais en Amérique ».

Peut-être, mais il y a une meilleure explication: c’est que certain(s) magnat(s) maléfique(s) ont joué le rôle de Karl Stromberg, celui qui avait l’intention d’atomiser à la fois Moscou et New York, tout en provoquant la guerre et la dévastation du monde entier, comme dans le film de James Bond. Il pourrait s’agir de quelqu’un comme Bill Gates, qui est un important investisseur dans le laboratoire de Wuhan. Un site de vérification des faits avec son langage de fouine a admis que le Labo « avait reçu des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates, mais Bill Gates peut difficilement être appelé un ‘partenaire’ du laboratoire ». Bien sûr, ce n’est pas un partenaire. Juste un investisseur, mais… c’est plus important qu’un partenariat. Et il n’est pas le seul ; d’autres multimilliardaires sont également impliqués dans la recherche biologique, dans la fabrication de vaccins, dans les grandes entreprises pharmaceutiques. « Glaxo, BlackRock et Bill Gates sont tous partenaires, mais pas propriétaires de Pfizer », déclare un autre enquêteur. « En 2015, Anthony Fauci avait effectivement accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l’Institut de virologie de Wuhan, mais pas pour « créer le coronavirus », ajoute un autre site de vérification des faits. Vous n’alliez quand même pas vous attendre à ce que Fauci formule l’objet de sa subvention de manière aussi directe ?

C’est peut-être un travail trop colossal, même pour un magnat diabolique comme Gates. Un complot de plusieurs magnats malfaisants est plus probable. Ensemble, ils pourraient essayer de changer le monde et l’humanité à leur convenance.

Les méchants tycoons auraient pu empoisonner la Chine pendant ses vacances du Nouvel An et faire baisser leur sentiment de supériorité d’un cran ou deux. Ils pourraient avoir importé le virus aux États-Unis pour saper et éliminer Trump, qu’ils détestaient. Ils pourraient avoir empoisonné l’Europe pour l’affaiblir et la rendre plus docile et obéissante à leurs exigences – et pour acheter leurs richesses à bas prix. Le Corona et le confinement ne leur ont pas fait de mal du tout, car ils sont tout naturellement à l’écart des tracas quotidiens de l’homme de la rue.

Les milliardaires contrôlent les médias, nous le savons, et le rôle que les médias ont joué dans la crise de Corona a été énorme. La couverture médiatique de la crise a un énorme coût caché. Essayez donc de publier les informations que vous jugez importantes en première page d’un journal. Cela vous coûtera fort cher. Pourtant, tous les journaux appartenant au bloc des médias des milliardaires, à commencer par le New York Times et en terminant par Haaretz, ont donné au moins un tiers de leur première page aux Corona News chaque jour. Le coût de cette publicité se chiffre en milliards. Saurons-nous un jour qui a payé pour cela ?

Le film de Steven Soderbergh (2011) Contagion prédisait de nombreuses caractéristiques du Covid-19, notamment l’origine du virus. Dans le film, la maladie provient de chauves-souris en Chine et se propage sur les marchés où de la viande de porc contaminée est vendue. Comment Soderbergh (ou son scénariste Scott Z. Burns) pouvait-il savoir huit ans avant l’événement que la contagion devait provenir des chauves-souris chinoises ? Qui le lui avait dit ? Ne peut-on pas supposer qu’il savait quelque chose? Burns a été instruit par des experts de l’OMS, explique le site de CNN. N’est-il pas intéressant que ce même Bill Gates soit un des principaux donateurs de l’OMS ? Est-il totalement impossible que déjà en 2011, des agents de Gates aient commencé à divulguer à Hollywood certains détails du futur virus par l’intermédiaire de leur propre OMS ?

Nos magnats pouvaient forcer un État faible à suivre leurs instructions. Les scientifiques obéissent aux ordres : sinon, pas de subventions, pas de positions. En avril 2020, les scientifiques allemands ont reçu l’ordre « d’instiller la peur du Corona ». Et ils l’ont fait, comme nous l’avons appris cette semaine, en produisant des nombres de morts à la demande.

Il semble que nos tycoons ont tiré le plus grand profit de la crise du Corona. Leurs avoirs ont augmenté de plusieurs milliards, tandis que ceux des classes moyennes ont diminué dans les mêmes proportions. Plus important encore, tous les États ont souffert de la crise ; ils ont contracté des emprunts et des crédits, car ils étaient responsables de la santé de leurs citoyens, tandis que les milliardaires se sont juste bien amusés et ont profité de la situation. C’est pourquoi j’ai tendance à rejeter les poursuites contre les États, qu’il s’agisse des États-Unis ou de la Chine, alors que certains  milliardaires me semblent être les seuls méchants possibles.

Ces milliardaires sont capables d’influencer les gens bien mieux que l’État. Prenons l’exemple de Pierre Omidyar. En plus d’être le propriétaire d’eBay, il est la force derrière des centaines d’ONG. Ses organisations bricolent l’agenda « progressiste » et forment les fantassins du Green Deal, la mouvance écolo officielle. Roslyn Fuller, de Spiked-online, a vérifié la pléthore d’ONG qu’il emploie, et voici le diagramme:

Selon elle, ses ONG et ses organisations caritatives sont « engagées dans l’ingénierie sociale », c’est-à-dire qu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. En cas de succès, cela équivaudrait à un contournement extrême de la démocratie, par l’utilisation de l’argent non seulement pour gagner des élections, mais aussi pour substituer un contenu payant ou subventionné à un soutien réel, et ainsi faire basculer toute une culture politique dans un sens différent, en amplifiant certaines voix et en en noyant d’autres ».

Pierre Omidyar n’est que l’un des Maîtres du discours, aux côtés du tristement célèbre George Soros. Facebook, Google, Twitter et Amazon sont encore plus puissants. Les milliardaires ont un pouvoir immense et ils décident de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas dire et écrire. Pas plus tard que la semaine dernière, Amazon a interdit mon livre Cabbala of Power (La Bataille du Discours), un livre qu’ils vendaient depuis une dizaine d’années. L’inestimable The Unz Review  est interdit sur Facebook et relégué dans l’ombre sur Google. Twitter a débranché le président Trump, montrant ce faisant qui est le vrai patron des États-Unis. Il est probable que presque tous les mouvements décrits comme « gauchistes » de nos jours sont créés par des magnats comme Omidyar ou Soros. La vraie gauche a été laissée pour morte sur le champ de bataille des idées.

Les super-magnats sont directement impliqués dans la crise du Corona, car ses résultats sont bons pour eux. Et cela signifie qu’ils font de nous ce qu’ils veulent et qu’ils ne nous laisseront pas leur échapper. Nous voilà niés, néantisés jusqu’à ce que nous reprenions les rênes, et que nous les réduisions à néant.

Le SAGE, comme l’équipe britannique de gestion de la crise de la Corona s’est nommée de manière plutôt présomptueuse (elle a agréé le chiffre ridicule de Neil Ferguson, celui qui annonçait des millions de morts), a déjà déclaré que les confinements feront partie de la vie des Britanniques pendant des années, vaccin ou pas vaccin. Le Guardian, la Voix des oligarques, se sont gentiment esclaffés, car il n’est pas bon de déclarer ce qui doit arriver tout de suite. Laissez les gens avoir un peu d’espoir, pour qu’ils courent se faire vacciner, et ce n’est qu’après que l’on pourra révéler que, désolés, cela ne sert à rien, il va falloir encore porter un masque et observer la distanciation sociale et, oui, subir encore des confinements: « Il est beaucoup plus facile de suivre les règles si on les considère comme des contraintes temporaires ».

Les plans des comploteurs ne sont pas secrets ; ils ont été décrits par Klaus Schwab dans son livre Le grand Reset. Schwab n’est pas un grand penseur, ce n’est qu’un scientifique médiocre avec seulement quelques publications, et ce n’est même un bon écrivain. Il a dû collaborer avec un journaliste, Thierry Malleret, pour réaliser ce livre. Ce n’est qu’un porte-voix pour les magnats. Mais la question est de savoir s’ils obtiendront ce qu’ils veulent.

Ma réponse préliminaire est non. Nous avons récemment eu un événement important, Davos-2021, le rassemblement en ligne des magnats et de leurs sbires intellectuels. Pour la première fois depuis de nombreuses années, ils ont invité Vladimir Poutine. Le président Xi a prononcé le premier discours. L’idée était de prouver que la Russie et la Chine sont d’accord avec leurs plans. J’étais très inquiet, je dois l’admettre, et le discours du Chinois ne m’a pas calmé (contrairement à notre ami Pepe Escobar qui a fêté son apparition). Oui, Xi a dit que la Chine avancerait à son propre rythme et selon sa propre voie, mais vers les mêmes objectifs. Durable, inclusif, tous les mots utilisés pour nous rappeler à l’ordre étaient là. Je m’attendais à un discours encore pire de la part de Poutine. Pendant des années, il a voulu être invité et coopté par les décideurs occidentaux, et c’était une belle occasion pour lui de sauter dans leur train.

Poutine m’a surpris. Il a catégoriquement refusé l’offre de Schwab et de ses semblables. Il a condamné la manière dont la croissance pré-Covid était générée ces derniers temps, car toute la croissance est allée dans quelques poches profondes. De plus, il a fait remarquer que les magnats du numérique sont dangereux pour le monde. Selon ses propres termes, « les géants technologiques modernes, en particulier les entreprises numériques, sont de facto en concurrence avec les États. De l’avis de ces entreprises, leur monopole est optimal. Peut-être, mais la société se demande si ce monopole répond aux intérêts publics ».

Les magnats ont probablement été stupéfaits. En 2007, à Munich, ils s’étaient moqués de lui. Max Boot, un émigré juif russe, appelait Poutine « le pou qui rugit » et il ajoutait : « dans la rhétorique sinistre et absurde de Poutine, on peut entendre un empire qui se meurt ». Mad Max ne savait pas encore quel était l’empire qui se mourait.

Poutine était censé avoir été amolli par les manifestations pro-Navalny du 23 janvier (le discours de Davos, c’était le 27 janvier), mais il ne l’a pas été. Bien au contraire. Le président russe n’aime pas qu’on le pousse. La manifestation du 31 janvier a été accueillie avec force ; les personnes détenues ont été condamnées à de lourdes amendes (selon les normes russes). Trois diplomates européens ont été expulsés de Russie pour avoir participé à une manifestation. Josep Borrell, un diplomate espagnol et représentant de l’UE, s’est rendu à Moscou et a été durement traité. Lors de la conférence de presse finale, le ministre russe des affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré à la presse que la Russie ne considère pas (je répète, pas) l’UE comme un « partenaire fiable ». Les expulsions ont été effectuées en même temps. En outre, Poutine a averti l’Occident que les « sanctions » (actes de guerre économique) pourraient amener la Russie à utiliser la force militaire directe. C’était probablement le premier avertissement de ce type depuis 1968.

Dans le même temps, la Russie a pratiquement mis fin aux restrictions autour du Corona. Des bars et des restaurants sont ouverts pour les fêtards ; les manifestations sportives sont revenues ; les écoles sont ouvertes ; dans certaines régions de Russie, les masques sont devenus « recommandés » au lieu d' »obligatoires ». Les Russes sont désormais autorisés à voyager et à rentrer librement de nombreux pays. Les Russes ont un accès facile à leur vaccin Sputnik-V qui a été jugé par The Lancet comme le meilleur de tous les vaccins Corona existants. Il s’agit d’un coup comparable au premier Spoutnik lancé en 1957, ont déclaré les experts occidentaux. La Russie a donc fait dérailler le Grand Reset.

Cette évolution a provoqué un énorme changement de conscience en Russie. Si jusqu’à présent (du moins depuis 1970), les classes instruites russes avaient tendance à se sentir inférieures à l’Occident, les terres prospères de la liberté, cela a maintenant bien changé. L’un des principaux directeurs de théâtre russes, Constantine Bogomolov, a déclaré que l’Occident est désormais défait. Le politiquement correct obligatoire de l’Occident, son annulation de la culture, son agenouillement et son léchage de bottes de BLM, son culte des transsexuels, sa peur du « harcèlement » et du sexe, son sourire obligatoire, son engouement « Woke », sa peur de la mort (et de la vie !), sont comparables au comportement d’Alex, la victime de la thérapie dans Orange mécanique, a déclaré Bogomolov:

Le jeune homme [Alex] ne se débarrasse pas seulement de son agressivité – il est malade de la musique, il ne peut pas voir une femme nue, le sexe le dégoûte. Et en réponse aux coups, il lèche la botte de l’attaquant. L’Occident moderne est un criminel de ce genre, qui a subi une castration chimique et une lobotomie. D’où ce faux sourire de bonne volonté et d’acceptation totale, figé sur un visage o Occidental. Ce n’est pas le sourire de la Culture. C’est un sourire de dégénérescence.

Et il conclut : L’Occident nous dit : La Russie est à la traîne du progrès. C’est faux. Par hasard, nous nous sommes retrouvés à la remorque d’un train courant à sa perte, nous précipitant tête baissée dans l’enfer de Jérôme Bosch, où nous serons accueillis par des diables souriants, multiculturels et neutres. Il faut maintenant dételer notre wagon du train, faire un signe de croix et commencer à reconstruire notre bonne vieille Europe, l’Europe dont nous avons rêvé. L’Europe qu’ils ont perdue.

Prenez note de son appel à « faire le signe de croix ». À l’Ouest, les églises ont été interdites d’accès, le service interrompu. L’Église anglicane est à l’agonie, l’archevêque de Canterbury célèbre BLM, enlève les statues des églises, accepte tous les édits du SAGE en fermant les églises. Pendant ce temps, les églises russes sont toutes ouvertes et les fidèles se déversent dans leurs cathédrales à chaque fête et chaque dimanche.

Les garçons et les filles russes flirtent les uns avec les autres, sans crainte de MeToo et des accusations de harcèlement. Les cafés russes sont ouverts. Ceux qui le veulent peuvent se battre contre le Covid, ou l’ignorer.

Pour la première fois depuis de nombreuses années, la Russie montre la voie à l’Occident. C’est une bonne chose. Peut-être que l’Occident, après une correction nécessaire depuis longtemps, pourra à nouveau reprendre le pas sur la Russie. Car, même si la Russie avait montré la voie du socialisme à l’Europe, les meilleurs résultats du socialisme ont été obtenus ailleurs, dans le nord de l’Europe. La bonne vieille Europe (et les États-Unis, sa ramification d’outre-mer) sont encore capables de répéter cet exploit et de se débarrasser des magnats comploteurs et de leurs prédications d’amour obligatoire. En ces circonstances, peut-être que l’interdiction de tous les magnats est une bonne idée. Dans le monde meilleur d’avant leur ascension, il n’y avait pas de multimilliardaires. L’histoire n’est pas terminée ; nous entrons dans la partie la plus intéressante de celle-ci. Soyez de bonne humeur !

Joindre Israel Shamir: adam@israelshamir.net

Traduction : Maria Poumier

Original : The Tycoon Plot, by Israel Shamir – The Unz Review




La quatrième phase de Schwab

[Source en italien : Blondet et amis]

« Nous connaissons tous, mais nous n’y accordons pas toujours suffisamment d’attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque mondiale qui conduirait à l’arrêt complet de l’alimentation électrique, des transports, des services hospitaliers et de notre société dans son ensemble. La crise covid-19 est, en comparaison, une petite perturbation par rapport à une cyberattaque grave. Nous devons nous demander, dans une telle situation, comment nous pourrions laisser cela se produire malgré toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque comportant de tels risques. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’ordre du jour mondial. »

https://twitter.com/ohboywhatashot/status/1357103772602892295?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1357103772602892295%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.maurizioblondet.it%2Fla-quarta-fase-di-schwab%2F

Dans cette courte vidéo de juillet 2020, klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, annonce et décrit la « quatrième phase » du Grand Reset, celle qui amènera l’humanité occidentale dans son ensemble au revenu universel de base et à l’abolition de la petite propriété privée.

L’attaque de pirates informatiques semble-t-elle être l’excuse qui sera utilisée pour justifier ce qui est décrit dans cette «feuille de route» exfiltrée par le Canada?

  • Perturbations prévues de la chaîne d’approvisionnement, pénuries de stocks, grande instabilité économique. Prévu pour la fin du deuxième trimestre de 2021.
  • Utilisation de personnel militaire dans les grandes régions métropolitaines et sur toutes les routes principales pour établir des points de contrôle des déplacements. Limiter les déplacements et les voyages. Fournir un soutien logistique à la région. Attendu pour le troisième trimestre 2021.

La « cyberattaque épouvantable » menée par des pirates informatiques tout-puissants a déjà été « redoutée » (c’est-à-dire prédite) par Ygal Unna, le chef de la Direction nationale de la cyberdirection d’Israël. Celui-ci a averti l’année dernière qu’un « cyber-hiver » d’attaques contre le net « est à venir et vient plus vite que je ne l’aurais cru. »

Peut-être n’est-il pas nécessaire de préciser, comme le font les journalistes Jhonny Wedmore et Withney Webb, que « dans la direction informatique, Unna travaille en étroite collaboration avec les services de renseignement israéliens, y compris l’unité 8200, qui a une longue histoire d’espionnage électronique contre les États-Unis et d’autres pays et qui a été responsable de plusieurs attaques dévastatrices, y compris le virus Stuxnet qui a endommagé le programme nucléaire iranien. » Avec la vaccination de masse effrénée au prix de vies juives, l’État profond d’Israël est parmi les plus grands bénéficiaires de la Grande Réinitialisation étant donné la force de l’industrie de haute technologie de la nation.

Une simulation de l’attaque a déjà eu lieu

Nous nous souvenons de l’Event 201 qui s’est tenu à New York sous l’égide du Forum économique mondial en octobre 2019 avec la Fondation Rockefeller, Bill Gates et l’Université John Hopkins, simulant une nouvelle pandémie de coronavirus qui se propage dans le monde entier et provoque de graves interruptions de l’économie mondiale. Et quelques semaines plus tard, le premier cas de COVID-19 est apparu. Ces messieurs étaient prêts pour la chose que la simulation était destinée à « prévenir ».

Serez-vous surpris d’apprendre que le 3 février le Forum Économique Mondial a annoncé qu’en juillet prochain aura lieu la simulation d’une cyberattaque mondiale qui frapperait les réseaux d’approvisionnement et provoquerait la « fermeture » de l’Internet ou permettrait le vol de données privées détenues par le système bancaire? Cet exercice s’appelle Cyber Polygon 2021. Sur le site Web de l’événement récemment mis à jour, on estime que, compte tenu de la numérisation massive en cours de chaque activité économique, elle-même rendue nécessaire par la « pandémie » et le confinement, il arrive qu’« un seul lien vulnérable suffise à faire tomber l’ensemble du système, avec effet domino », ajoutant qu’« une approche sûre du développement numérique aujourd’hui déterminera l’avenir de l’humanité pour les décennies à venir ».

Le fait que Cyber Polygon 2021 soit prévu pour juillet signifie-t-il que la supposée attaque de pirates se produira après cette date ? Rien n’est moins sûr.

Une simulation similaire parrainée par le WEF qui a eu lieu en juillet 2020, Cyber Polygon 2020, a été officiellement décrite comme « une formation internationale en ligne pour accroître la cyber-résilience mondiale » ; à cette occasion, les grands médias comme le New Yorker ont déclaré que la cyber-pandémie « est déjà en cours ». Les orateurs ont conçu « la pandémie mortelle imminente » de cyberattaques qui toucherait principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance. Un jeu de guerre impliquant des méga-entreprises du secteur technologique, comme IBM, Huawei et Amazon, pratiquement toutes les méga-banques (Bank of America, Credit Suisse, Equifax (l’agence de notation), JP Morgan Chase, Mastercard, PayPal, SWIFT (l’ancien réseau international de compensation des transactions), PayPal, et bien sûr Blackrock (deep state finance central)… et des entités internationales telles qu’INTERPOL.

Mais parmi les participants, le plus surprenant — qui participera également au scénario polygone 2021 en juillet — est Sberbank, une banque contrôlée par le gouvernement russe, qui participe sous l’acronyme de sa filiale de cybersécurité BI.Zone. En fait, détail supplémentaire : la personne choisie pour ouvrir l’événement Cyber Polygone 2020 était le Premier ministre en fonction depuis janvier 2020 de la Fédération de Russie, Mikhaïl Mishustin — ingénieur en informatique, déjà nommé (en 2010) par Poutine directeur du service fiscal de la fédération, génie de la numérisation et fanatique du Big Data qui utilisait, disent-ils, des systèmes « techno-autoritaires » de surveillance gouvernementale de l’activité économique pour éradiquer les remboursements injustifiés de taxes.

Mikhaïl Vladimirovitch Mishustin,
le Premier ministre.

L’invitation au WEF, et avec tous les honneurs, du Premier ministre russe est-elle le prélude à la suppression du récit blâmant les « hackers russes » fantômes et omnipotents pour toute cybercriminalité, dont la plus grave aurait déterminé l’élection de Donald Trump ? Les deux auteurs de l’article l’espèrent. Nous l’espérons aussi. Seul le temps nous dira si, au contraire, Mishustin n’est pas invité pour simuler le grand crime prophétisé sous une forme similaire à celle pour laquelle un dirigeant du Trésor italien a été invité en Grande-Bretagne à l’époque.

Pendant ce temps, je vais vous laisser un autre prophète de la panne générale redoutée, qui servira probablement aussi à faire disparaître nos dépôts, et des blogs alternatifs sous couvert des pannes du Web :

« Je pense qu’il y aura une autre crise. Ça va être plus significatif et tu sais qu’on doit vraiment se préparer maintenant. Lorsque nous verrons cette prochaine crise, elle sera plus rapide qu’avec la covid. Le taux de croissance exponentiel sera beaucoup plus raide, l’impact sera plus grand et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus importantes… »

Jeremy Jurgens, Directeur général du Forum économique mondial, 8 juillet 2020




Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

[Source : Anthropo-Logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

À partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

On relèvera pareille effondrement chez la Task Force, l’OFSP et les centres hospitalo-universitaires helvétiques. L’indigence de l’analyse et la médiocrité des publications de ces pseudo « centres d’excellence » (en corruption systémique assurément mais au-delà, on ne voit vraiment pas…) détonne et choque, surtout quand on la compare par exemple avec la qualité de l’article que je partage ici.

Le Pr Raoult a mille fois raison de relever qu’il n’y a pratiquement plus aucune science dans les productions des autorités de santé, alors que certaines de celles réalisées à leurs heures perdues par des penseurs compétents et diffusées sur le net surpassent haut la main cette navrante pseudoscience. Pourtant payée — avec largesse — par nos impôts avec des salaires plus que dodus, complétés tant qu’à faire par les contributions de donateurs désintéressés comme un certain « philanthrope » américain, adoré par chez nous, et accessoirement en train de devenir le plus gros propriétaire agricole des États-Unis. Où, nous n’en doutons pas, il s’en donnera à cœur joie avec l’agriculture OGM intensive qui constitue, avec la vaccination (désormais OGM elle aussi) sa principale obsession…

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.

La presse en a hélas donné un contre-exemple assez lamentable, en combinant l’obsession de l’anecdotique et du spectaculaire avec l’enfumage générique. Ce que l’on a pu constater par exemple sur la page web dédiée aux statistiques Covid de la Tribune de Genève, objectivement une des meilleures et des plus complètes de Suisse, mais dont les données les plus importantes étaient reléguées en toute fin de liste, noyées après des tartines et des tartines de données peu pertinentes.

Maniant l’art de décoder les chiffres et de les interpréter avec pertinence, l’auteur fait émerger des motifs puissants, que je résumerai ici à partir de quelques citations. Avec un préambule épistémologique qui est tout sauf secondaire :

« Nous comprenons aisément le rôle du vieillissement dans l’évolution de la mortalité. Les progrès de la science moderne nous permettent aujourd’hui de savoir que plus on vieillit, plus on a de chances de mourir. [NdNM : avait-on vraiment besoin de la science pour le savoir ?] De plus, en attendant suffisamment longtemps tout le monde finit toujours par décéder. La connaissance du mécanisme sous-jacent à la statistique, c’est-à-dire le rôle des classes d’âges dans la constitution des agrégats statistiques, est l’élément primordial qui permet d’interpréter les résultats quantitatifs. Sans elle nous ne saurions pas quelles sous-populations étudier pour donner du sens aux données. La statistique, malgré les apparences, est incapable de se substituer à la démarche hypothético-déductive exacte qui forme la base de toute méthode scientifique.

En médecine, la primauté de la logique sur les statistiques n’est plus considérée. La médecine basée sur les faits – qu’il vaudrait mieux appeler médecine basée sur les statistiques – a complètement abandonné l’idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d’interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n’importe quoi et elle le sait. John Ioannidis, professeur de médecine à l’université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. » Depuis, la communauté des chercheurs ose avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié en 2016 un article signalant l’impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant publiées dans les règles de l’art, citant par exemple un taux d’échec ahurissant de 89% en oncologie.

On n’insistera jamais assez sur l’importance des disciplines fondamentales. Accusées d’être inutiles, elles sont pourtant les garde-fous qui permettent de savoir de quoi on parle et de comprendre ce que l’on fait : elles sont la conscience qui manque à la science. L’enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni d’épistémologie à l’attention des scientifiques : ils ne savent plus ce qu’est la science, d’où elle vient ni sur quoi elle s’appuie. Ils sont par la force des choses devenus de simples techniciens ignorant les bases de leur propre discipline. On entend dire partout que la médecine est une science : il n’y a rien de plus faux. La médecine est un art, l’art de soigner dans le but de guérir. Elle s’appuie sur des sciences comme par exemple la biochimie ou la physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l’humain qui vient consulter à un ensemble de paramètres conformes. Une thérapie qui soignera l’un tuera peut-être l’autre. Le savoir-faire, le talent et même l’instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Il est une sorte d’ingénieur de la santé ; mais il n’est pas un scientifique. Un mécanicien n’est pas un scientifique ; mais je conseille chaudement à quiconque de ne pas faire réviser sa voiture par un physicien, fût-il détenteur d’un prix Nobel. »

 Ceci posé, les analyses et les résultats s’enchaînent ! Premier constat : la mortalité est dans l’ensemble comparable à celle des épisodes grippaux habituels (une fois pondérée du vieillissement important de la population sous l’effet de la génération des baby-boomers). Avec pourtant la singularité d’une mortalité inhabituellement faible pour les tranches d’âge inférieure à 50 ans et normale au possible jusqu’ à… 80 ans !

Voici par exemple un diagramme présentant les courbes de mortalité (en valeur pour mille) pour les deux catégories « âge inférieur à l’espérance de vie » et « âge supérieur à l’espérance de vie ». Pour faire paniquer la population avec cela et lui imposer des mesures totalitaires et destructrices, il faudrait vraiment se lever de bonne heure…

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L’inconfortable vérité pour l’idéologie (ou l’agenda) totalitaire est que la COVID-19 n’a quasiment pas concerné (en termes de mortalité) les personnes en dessous de l’espérance de vie : il n’y a eu statistiquement aucune différence significative entre mourir de la COVID-19 et mourir de vieillesse.

Déni de soins et mortalité

L’auteur développe ensuite une percutante analyse à partir des données relatives à la prise en charge (hospitalière puisque le rideau des généralistes a été, contrairement à toutes les recommandations en la matière, mis sur le carreau). Pourquoi cela importe-t-il ?

«  De deux choses l’une : on meurt soit à l’hôpital, soit en dehors. Dans le premier cas, c’est le signe que la prise en charge a permis au malade de recevoir des soins. Il est certes mort ; mais bien plus nombreux sont ceux qui survivent. Cependant, dans le second cas, la prise en charge n’a pas été assez efficace pour hospitaliser le malade puis tenter de le sauver. Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins. »

Or c’est bel et bien ce paramètre (qui se dégrade régulièrement mais à bas bruit depuis 2014) qui a explosé l’année passée, atteignant :

« (…) des hauteurs himalayennes en 2020. La COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin. »

La prise en soins apparaît en effet, toutes catégories confondues, comme le principal prédicteur de mortalité ! Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.

« Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 14 et la figure 15 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et que leur dette dépasse 50% de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent comme l’illustre la figure 16, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980. La figure 17 exhibe cette funeste chute sur la période 1997-2018. Mais la raréfaction des ressources hospitalières a commencé bien avant et elle continue encore en 2021 malgré la COVID-19 qui, paraît-il, aurait révélé le manque criant de lits disponibles dans les services de réanimation. »

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Il y a donc largement de quoi expliquer la hausse des abandons de soins depuis 2014 ainsi que son pic pendant la crise de la COVID-19, en fait principalement un pic de confusion des instances sanitaires.

L’auteur conclut dès lors que les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique », ajoutant avec une douce-amère ironie : « quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir. » Ce qui permet de pondérer et mettre en perspectives les données :

« Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.

En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s’impose : la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. »

« Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien. »

Tout le monde se souviendra comment, au moment même où il prohibait d’une manière injustifiée et sans précédent l’hydroxychloroquine, le gouvernement français libéralisait et recommandait la prescription de Rivotril, en particulier dans les Ehpad, aux patients âgés en détresse respiratoire, que l’on soupçonnait d’être atteints du Covid. Si l’affaire a fait couler — à juste titre — beaucoup d’encre, il convient encore de rappeler que « sa notice officielle précise pourtant qu’il n’est absolument pas indiqué dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. »

« Selon la notice de ce produit et les injonctions des autorités de santé, l’état clinique du patient atteint de la COVID-19 ne devrait donc jamais justifier l’injection de Rivotril, bien au contraire : son utilisation dans les cas de détresse respiratoire relève de la faute médicale grave. La notice précise bien que l’âge avancé est un facteur de risque et que l’insuffisance respiratoire est une contre-indications majeure à son utilisation :

« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules : Si vous avez une insuffisance respiratoire grave. »

« Ce médicament peut provoquer chez certaines personnes, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des réactions contraires à l’effet recherché. »

La notice du VIDAL précise en outre [22] :

« Il convient d’utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »

Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la COVID-19 :

‒ insuffisance cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ;

‒ dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt respiratoire.

Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. En effet, le Rivotril n’est pas un analgésique. La lettre aux prescripteur précitée insiste sur ce point :

« L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie postopératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil). »

Au sens strict, l’utilisation du Rivotril ne relève pas de l’euthanasie car le produit utilisé n’est pas un analgésique. Pire encore, elle a toutes les qualités pour précipiter la mort de ceux à qui on préconise de l’injecter. Enfin, le consentement formel et éclairé du patient ou de sa famille n’est pas requis. Ainsi, en toute rigueur, son administration suivant la note de l’ARS Île-de-France et le décret du 28 mars 2020, en plus de constituer un refus de soins caractérisé, entre dans le champ de l’homicide. »

Une autre donnée choquante émerge de l’analyse de la variation des quantités de Rivotril délivrés non seulement en Ehpad mais aussi, de manière importante, en hôpital !

« L’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29 866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique. »

« Confinez ! » qu’ils disaient 

Mais les choses ne s’arrêtent pas là : ainsi que je l’ai moi-même abondamment souligné depuis mars 2020, les mesures coercitives imposées (au premier rang desquelles le confinement) doivent aussi être questionnées quant à leur impact sur l’épidémie et la mortalité de la Covid !

J’avais vérifié, après que le Pr Goetzsche m’ait mis sur la piste, que la connaissance épidémiologique suggère bel et bien que les virus se propagent d’avantage au sein d’un population confinée. Ce fut également…

« … la conclusion d’une grande étude séro-épidémiologique menée par le Ministère de la santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III, les services de santé des communautés autonomes et l’Institut national des statistiques. Les taux de contamination au SARS-CoV-2 ont été mesurés dans différentes catégories de population. Les contaminés ne tombaient par forcément malades ; mais tous ont croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées ont été contaminés par le virus dans une proportion de 6,3%, tandis que les travailleurs l’ont été à 5,3%. La différence est significative ; elle montre que le SARS-CoV-2, à l’instar de la rougeole, est plus virulent dans une population confinée. Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2. »

Une seconde vérification s’offrait par la comparaison entre la France (ayant confiné) et la Suède (qui y a renoncé) :

« Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. En effet la Suède est l’un des rares pays européens à avoir refusé de confiner sa population. On ne constate aucune différence significative. »

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.




Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux

[Source en italien : Blondet et amis]

[Photo : ThinkstockPhotos]

Par Roberto PECCHIOLI

L’Agenda 2030 pour le développement durable est un programme d’action pour les peuples, la planète et la prospérité signé en septembre 2015 par les gouvernements des 193 pays membres de l’ONU. Il intègre 17 objectifs de développement durable dans un important programme d’action pour un total de 169 objectifs. Ceci est écrit sur le site officiel des Nations Unies. Promesse ou menace ? Plutôt la deuxième hypothèse. La Grande Réinitialisation — grande annulation et redémarrage — n’est pas la même chose, mais les objectifs coïncident et ont en commun la proximité avec les politiques du Forum Économique Mondial, du soi-disant « parti de Davos », du cartel des grandes multinationales et des hommes les plus puissants de la planète.

La dernière réunion s’est tenue en ligne fin janvier 2021, en attendant la réunion plénière « en chair et en os », prévue à Singapour en mai prochain. Tous ensemble les différents aspects de l’agenda mondial s’inscrivent dans un immense projet de reconfiguration anthropologique, économique, environnementale et existentielle à moyen terme (2030 n’est certainement pas loin) dont il n’est pas hasardeux de définir l’époque [d’achèvement], en ce sens que son succès — s’il intervient — va changer l’existant, l’Humanité et son être (l’être là — « Dasein » dans le lexique de Martin Heidegger) dans le monde, comme jamais cela n’est arrivé dans l’Histoire.

Il faut détourner le regard du scénario crucial du virus et tenter une première approche avec le plan mondialiste, qui vise à bouleverser, peut-être à submerger, nos vies. Il s’agit d’une action gigantesque et coordonnée à plusieurs niveaux — politique, économique, sanitaire, technologique, environnementale — conçue pour renforcer l’empire du néocapitalisme et à ouvrir une nouvelle ère pour l’humanité.

Essentiellement, c’est l’établissement d’un techno-féodalisme pour lequel le jugement du philosophe Giorgio Agamben s’applique.

« Le capitalisme qui se consolide à l’échelle mondiale n’est pas le capitalisme sous la forme qu’il avait prise en Occident : c’est plutôt le capitalisme dans sa variante communiste, qui a apporté un développement extrêmement rapide de la production avec un régime politique totalitaire. (…) Ce qui est certain, cependant, c’est que le nouveau régime combinera l’aspect le plus inhumain du capitalisme avec l’aspect le plus atroce du communisme étatiste, combinant l’aliénation extrême des relations entre les hommes avec un contrôle social sans précédent. »

L’une des vidéos diffusées en marge du tout récent Forum Économique Mondial montre l’image d’un jeune homme au sourire radieux et au titre emblématique : « en 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Cela ressemble à un programme communiste et ça l’est, en fait. La vidéo a été critiquée sur les réseaux sociaux et le Forum l’a supprimée de Twitter, mais elle est toujours visible sur la page Facebook. Les écrits de Karl Marx émettent l’hypothèse d’un monde parfait dans lequel — propriété privée abolie — il y aurait des entrepôts remplis de marchandises dans lesquels tout le monde se servirait librement.

Communisme impitoyable en bas, capitalisme tout aussi écrasant au sommet, pour ces messieurs la variante néo-féodale est que la grande majorité de l’Humanité ne possédera rien, pendant que la propriété privée — non plus seulement les « moyens de production », mais [absolument] tout, tout ce qui existe dans le monde (biens, services, technologies, argent) restera à la charge d’une minorité avec la puissance de fer. Un Moyen Âge postmoderne dépourvu de la spiritualité et de la hauteur morale du Moyen-âge. Au sommet, une poignée d’empereurs — les maîtres universels — aidés par diverses castes de seigneurs féodaux, vassaux, valvasseurs et valvassins. En bas, nous tous, les serfs à qui donner une existence animale.

Dans cette réflexion, nous nous limiterons à analyser cet aspect de la réinitialisation — ce qui, nous le répétons — signifie annulation. Les maîtres du monde prédisent un avenir proche dans lequel la propriété privée généralisée ne sera pas pertinente et pourra être éliminée.

En 2016, le Forum économique mondial a publié un article décrivant une société apparemment utopique dans laquelle tous les besoins matériels fondamentaux seraient satisfaits. L’auteur en est Ida Auken, membre éminente du Forum et ancienne ministre de l’Environnement au Danemark. La nouvelle Cité du Soleil sera-t-elle un paradis — ou un enfer ? — où en quelques minutes quelqu’un livrera toutes sortes de marchandises : le monde d’Amazon. Plus personne n’aura de voiture, remplacée par un réseau de transport public (mais privé…). Vous ne paierez pas de loyer pour le logement, qui sera utilisé par d’autres en votre absence. Une vie animale, nomade ou transhumante parfaite — mieux vaut dire liquide ? — en traînant un chariot [de courses, comme certains « sans domicile fixe »] pour chasser ça et là des « opportunités », une sorte de projet Erasmus perpétuel pour une humanité déracinée.

Même la nourriture dans ce cauchemar de rêve sera gratuite : les ordures seront livrées par de pauvres employés par le biais de plates-formes dédiées; personne ne possédera plus de vaisselle et de couverts. Il sera plus « pratique » de les recevoir à la maison au moment de l’utilisation. L’insistance sur le « confort », le même permis par l’utilisation de cartes de crédit (ou de débit), fournies ou contrôlées par la puissance financière au détriment de l’argent comptant, est terrible. « Vous pourrez louer n’importe quoi et vous serez heureux. » Des millions, des milliards de vies louées. Mais si nous payons le loyer, cela signifie que les biens et les services appartiennent à quelqu’un qui conserve fermement la propriété et peut choisir à qui et dans quelles conditions accorder éventuellement son utilisation.

Est-il possible que vous ne remarquiez pas l’immense tromperie? Possible, parce que les maîtres universels ont atteint la capacité technologique d’entrer dans nos vies et nos esprits. L’appel extrême de George Orwell à la liberté dans 1984 devient anachronique : « Ils peuvent vous forcer à dire n’importe quoi, mais il n’y a aucun moyen qu’ils vous le fassent croire. Ils ne peuvent pas entrer en vous ». Faux : maintenant, ils peuvent. Les technologies de surveillance et l’immense appareillage de programmation neuronale, les puces sous-cutanées, les médicaments imposés, y parviennent.

Même le travail n’existera plus, remplacé par « le temps de penser, de créer et de développer ». Penser à quoi, à la consommation matérielle et triviale ? Puis créer? Dans quel but, puisque rien ne sera « à nous » et que nous ne serons pas en mesure de profiter des fruits et de les transmettre aux enfants? En ce qui concerne le développement de la personnalité, nous pensons plutôt à un nombre infini de névroses, qui ne pourront être corrigées que par une nouvelle médicalisation de la vie, l’administration massive de substances psychotropes capables de faire supporter une vie d’homo sapiens en captivité, en tant qu’animal de ferme.

Vous n’aurez pas besoin de sortir faire du shopping, « l’algorithme le fera pour vous. » L’immense expérience de l’ingénierie sociale sous-jacente au coronavirus est très bien expliquée : tout le monde à la maison, espacé « socialement », atomes solitaires et méfiants qui reçoivent l’alimentation du maître. Serfs : dans l’économie de Curtense, les agriculteurs et leurs familles avaient l’obligation de rester à vie dans le fief vassal du seigneur et de travailler pour lui. En retour, ils bénéficiaient d’une protection et d’une garantie de subsistance matérielle minimale. Tout sauf quelques outils et quelques meubles, appartenait au seigneur féodal.

Nietzsche avait-il raison avec sa théorie cyclique de l’histoire, « l’éternel retour »? Auken conclut : « Je n’ai pas de propriété. Je n’ai pas de voiture. Je n’ai pas de maison. Je ne possède pas de vêtements ni d’équipement. Cela peut sembler étrange, mais dans cette ville, cela a du sens ». La propriété privée est un accessoire inutile, presque une nuisance. Étrange que les hyper-maîtres, propriétaires de tout, les seigneurs néo-féodaux, ne s’en débarrassent pas. Nous n’aurons plus de vie privée : « Je n’ai pas de véritable intimité. Je ne peux aller nulle part sans être inscrit. Tout ce que je fais, je pense et rêve reste enregistré. En fin de compte, c’est une bonne vie ». C’est fou, mais des idées comme celles-ci sont l’avant-garde visible de ce qui nous attend, et il est de peu de valeur que le Forum ait expliqué que les idées exprimées sont d’Auken et non du WEF [FEM – Forum Économique Mondial], qui les publie cependant et les diffuse dans d’autres documents, tels que la vidéo mentionnée plus haut, dans lequel, entre autres choses, il y a une prédiction que d’ici 2030, nous allons manger des aliments artificiels.

C’est l’un des objectifs de Bill Gates, mais il achète prudemment des fonds agricoles fertiles. Il possède déjà plus de cent mille hectares. Les ordures alimentaires sont pour nous, pas pour ces messieurs. En attendant, aussitôt dit, aussitôt fait : l’UE impose l’étiquetage de la viande et d’autres aliments avec l’indication qu’ils peuvent causer le cancer. Ils ont vérifié avec le virus que la peur fait du quatre-vingt-dix, dans l’Ouest matérialiste et décadent. La civilisation alimentaire changera également, modifiant profondément non seulement les habitudes de vie, mais submergeant des secteurs économiques entiers et le panorama même que nous avons sous les yeux. Vous mangerez moins de viande, intime le Forum, indiquant les insectes, les algues et la viande artificielle comme alternatives. Pour le bien de l’environnement et de notre santé : Big Brother est végétarien et qui sait si nous pourrons encore choisir notre alimentation? Par pur hasard, Bill Gates est l’un des grands financiers de la recherche sur les produits Frankenstein, à travers des entreprises comme Beyond Meat et Impossible Foods. Il a également investi dans la biologie dite synthétique, une technologie dont le but est de produire artificiellement toutes sortes d’aliments.

Nous tenons à souligner à quel point les contrastes politiques et idéologiques sont futiles, en ce qui concerne l’immense portée des thèmes réels du présent et du proche avenir. L’Agenda 2030 stipule qu’«un milliard de personnes devront émigrer en raison du changement climatique. Nous devrons mieux accueillir et intégrer ces réfugiés. Pourquoi consacrer des ressources à la lutte contre le changement climatique si nous savons à l’avance qu’il y aura un exode biblique de cette ampleur? »

Les entreprises paient pour le dioxyde de carbone. Il y aura un prix mondial normalisé. Cela permettra d’accélérer la disparition de l’utilisation des combustibles fossiles. Qui fixera le prix? Peut-être le Soviet suprême du parti monopoliste mondial.

« L’humanité pourra se rendre sur Mars ». Pour faire quoi, et qui paie? Et puis, pourquoi aller sur Mars, si nous sommes si heureux ici? Pendant ce temps, nous nous organisons pour un monde dans lequel vous ne bougerez presque plus, la réédition parfaite du féodalisme. Le télétravail nous gardera cloués au bureau à la maison, télécommandés par un superviseur qui dépend également d’un niveau supérieur.

Ils disent ouvertement qu’il faut oublier les voyages, le tourisme et les vols low cost [à bas prix] : l’avion leur sera à nouveau réservé, ces quelques heureux et éclairés. Pour nous, les voyages court-courriers : le retour des voitures-lits, la revanche du cher et vieux chemin de fer, est déjà à l’ordre du jour. Ô machiniste, mettez le charbon, faites démarrer cette grosse voiture. C’est la réalisation parfaite de ce que Tocqueville avait imaginé au milieu du XIXe siècle, une tyrannie qui dégrade, efface l’âme sans torturer le corps, « immense pouvoir qui se conservera dans l’adolescence éternelle, à la recherche constante de plaisirs vulgaires ». Ajoutons l’avènement d’un matérialisme plus lourd que le marxiste et plus absolu que le libéral.

L’épidémie a été providentielle pour l’oligarchie, car elle a permis de tester avec succès la relation verticale entre les sujets et le souverain, sans plus de médiations sociales, politiques et de valeur, avec l’élimination de « toute relation étrangère à l’échange individuel entre la protection et l’obéissance » (Roberto Esposito). L’Agenda 2030 peut donc être présenté, comme l’a annoncé le Forum, car « les citoyens sont maintenant préparés ». C’est pourquoi ils ont imposé le masque et nous ont fait cacher le visage.

Eux ne se cachent pas du tout. C’est ainsi que Klaus Schwab, le grand chambellan du forum, a écrit dans le programme de cette année :

« L’aspect positif de la pandémie, c’est qu’elle nous a appris que nous pouvons apporter des changements radicaux à notre mode de vie très rapidement. Les citoyens ont amplement démontré qu’ils sont prêts à faire des sacrifices pour le bien des soins de santé. Il est clair qu’il y a une volonté de construire une société meilleure et nous devons en profiter pour assurer la Grande Réinitialisation. »

Le bien d’un pour cent de l’humanité, le féodalisme techno postmoderne, est transmis comme un intérêt commun, au point de critiquer grotesquement le capitalisme mondialisé. Ils organisent l’avenir et aussi l’opposition paradoxale à eux-mêmes, conscients qu’une grande partie de l’humanité, malgré l’endoctrinement colossal, ne pense pas comme eux. Bill Gates prévient, pour sa part, que« le transport aérien doit être réduit de plus de la moitié. Les avions contaminent beaucoup. »

Étrange mondialisation sédentaire, avec la population terrée dans des maisons louées travaillant à la pièce. Le Forum annonce sans un mot que nous devrons retourner voyager en train. Dans un message de propagande, ils nous expliquent à quel point « c’est merveilleux de voyager en train de nuit ». L’avion sera le privilège des riches : le glas de Ryanair. Nous, dans la plèbe, retournerons au train solaire. Tout au plus, nous aurons le retour de l’Orient Express, payable en plusieurs fois avec retrait direct par virement bancaire. Les fortunes magnifiques et progressistes des peuples que « le capitalisme actuel a conduit à de grandes inégalités économiques ». Des mots effrontés de la part de ceux qui ont causé l’incendie.

C’est, au contraire, une grande contre-offensive hégémonique face à la crise du consensus qui a affecté le capitalisme financier (Luciano Gallino) et qui touchera bientôt le capitalisme techno féodal et panoptique des GAFA.

Une réflexion de Geminello Preterossi, auteur de Contro Goliath, est éclairante :

« s’il y a un besoin de réorientation, pour les oligarques de Davos, cela devra être réalisé par le capitalisme lui-même, c’est-à-dire par ceux qui ont produit la catastrophe. Avec une sorte de faux mouvement illusionniste, s’opposant à l’existant, ils exploitent l’occasion de la pandémie pour immuniser le pouvoir absolutiste du capital de tout changement réel qui vient d’en bas et représente une alternative organisée : pour ce faire, il faut changer de récit, prétendre liquider le néolibéralisme pour sauver et relancer le capitalisme (dont le noyau du pouvoir néolibéral reste intact), en renforçant ses possibilités de domination. Cette domination des esprits va jusqu’au projet excessif de contrôle total et algorithmique sur les vies, dont les résidus de différence et d’autonomie doivent être mis à zéro ou neutralisés avec des modes automatiques. »

La passivité sociale soutenue par la surveillance bloque les conflits et minimise la socialité, devenue synonyme de danger. La Réinitialisation détruit les petites et moyennes entreprises et la grande muraille du tissu social et communautaire, abolit les traditions historiques et perturbe l’autonomie de l’être humain. C’est la fin de la liberté au nom d’une sinistre égalité que Pasolini aurait qualifiée d’homologation féroce et de conformisme forcé d’Orwell. Tout cela est assaisonné avec une sauce indigeste que Preterossi appelle « rhétorique insensée du bien commun, du vert, de l’inclusion, dans laquelle la novlangue s’exempte de cohérence pour mystifier toute situation, en la faisant apparaître à l’opposé de ce qu’elle est réellement. »

Le but ultime est l’anti-société post-humaine. Ce qui est en jeu, c’est une transformation anthropologique dont l’Agenda 2030 n’est qu’une étape. Le but ultime est de vaincre l’homme, le tournant du transhumanisme dans un horizon où la technologie est la sage-femme de l’histoire et le capitalisme devient religion, comme Walter Benjamin l’a deviné. La nouvelle normalité consistera en des relations sociales réduites au minimum, la majeure partie de l’humanité (occidentale) enfermée dans le terrier, reliée à des appareils artificiels, supervisée par par le nouveau Panopticon [NdNM : en français « panoptique » — établissement, souvent correctionnel, conçu de façon à pouvoir en voir tout l’intérieur à partir d’un point donné], avec des comportements prévus et pré ordonnés par le système technologique, en attendant devenir un composant de nouveaux appareils sophistiqués. L’exploitation de l’homme deviendra encore plus répandue, jusqu’à ce qu’elle produise deux espèces humaines distinctes : les maîtres féodaux; et les serfs qui seront amenés à aimer leurs chaînes, par ignorance, par la peur, par de mystérieuses substances pharmacologiques introduites dans le corps physique grâce à une puissance devenue bio-puissance.

De nombreuses activités économiques, artistiques et culturelles disparaîtront. L’appauvrissement — matériel et spirituel — sera immense, tandis que la numérisation des relations humaines sera le summum du délire anti-humain et en viendra à un nihilisme glaçant dirigé d’en haut. Le totalitarisme mélodieux de Davos et de la Silicon Valley est la réponse d’un libéralisme handicapé par son incapacité à obtenir légitimité et consentement.

La vie est ailleurs et on ne dit pas que la gigantesque opération de reconfiguration réussira. L’homme a des reflets de la vie. Il s’agit de savoir si l’ancienne réalité désuète sera vaincue par la vie désincarnée préparée, avec un mouvement uniformément accéléré, par l’oligarchie sociopathe de l’argent et de la technologie. Cependant, même d’une manière très différente de tout passé, la dialectique demeure celle indiquée par Hegel : serviteur contre Seigneur. On n’est rien, donc on ne peut rien avoir. La conscience de la condition des serviteurs, non plus des gens, mais du matériel humain, est la première étape pour sortir de la grotte et attaquer les Seigneurs.

Une histoire de Covid
La grand-mère de la femme de mon physiothérapeute en 2020 avait 99 ans et était au Trivulzio dans une maison de retraite. Covid: négatif. Cependant, comme dans toutes les maisons de retraite, les familles ne sont plus admises. Au téléphone, vous êtes informatisé, les personnes âgées ne sont plus obligées de se lever. Il est inutile de protester, c’est le protocole. Demande de reprise de la grand-mère: impossible à cause du protocole. Coup de fil en août: elle n’a plus que quelques heures à vivre, mais pas à cause de la Covid. Visite pour le dernier adieu? Non, [à cause du] protocole. Grand-mère meurt. Pas à cause de la Covid. Dossier médical: Covid.
Annalia Martinelli

Ils tuent avec des protocoles. Plus propre que le vieux coup [du lapin] à l’arrière de la tête.




Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

Par Dr Nicole Delépine

Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

Un appel (bien tardif) de la fédération française de natation à la ministre des sports (ancienne nageuse !) pour la réouverture des piscines apparait enfin sur le net.  Il est évidemment urgent de soutenir cette démarche qui pourra diminuer, si elle réussit, la déprime et la consommation d’antidépresseurs des nageurs frustrés, comme remède aux mesures liberticides globales dont les fermetures des équipements sportifs.

Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée

Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule !

À l’occasion d’une épidémie grippale particulière, le fameux coronavirus dont on s’aperçut assez vite que sa létalité (son risque de tuer) était bien faible et ne touchait que les personnes âgées déjà malades d’autres pathologies (cœur, diabète etc. ou d’extrême vieillesse). La moyenne des décès est de 84 ans alors que la moyenne de survie en France est de 82 ans. Bref on allait gagner deux ans sur la moyenne si on décédait de ou avec le coronavirus (moyennes établies sur cette ambiguïté…).

Trêve de plaisanterie, il apparut (plus ou moins vite selon qu’on est collé, ou pas, à BFM Menteur, ou Francedésinfo) que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades,[1] ne contaminaient ni enfants ni adultes.

Finalement le risque de décès avant 65 ans est de 1 pour 300 000 personnes. Avec plus ou moins d’humour, les intéressés auraient pu vite savoir qu’un jeune avait beaucoup moins de chance (risque) de mourir de Covid19 que par la foudre ou accident domestique ou de la fameuse trottinette.[2]

Le scénario catastrophe de la clique de Davos

Mais peu importe, le grand cinéma se mit en place, pour créer et entretenir la sidération des peuples obnubilés grâce à la mise en scène digne de Goebbels (par répétition des mensonges assénés mille fois par jour, sur toutes TV, radio ou journaux de désinformation même anciennement côtés via leur passé comme Libération ou Le monde).

Le scénario de panique essayé et raté en 2008 avec le H1N1 avait pour but de rétablir la finance mondiale en ruinant les classes moyennes. En une décennie, le film catastrophe fut rodé en particulier en novembre 2019 avec la répétition du plan « disponible en cas de pandémie ». Ce fut l’Event201 que vous pouvez retrouver sur le web.

Et finalement à l’occasion de la nouvelle épidémie de coronavirus (cousine des épidémies de SRAS ou Mers vite disparues), le plan fut lancé dans la vie réelle avec son cortège de mensonges, de truquages (tests PCR via Drosten dès janvier 2020), de rapports trompeurs réalisés à la demande du gouvernement Merkel par exemple présentant des prévisions catastrophiques (rapport supposé secret et dont on organise la fuite).  Les prévisions tragiques du prophète Ferguson[3] furent le prétexte de notre président en mars 2020 pour nous confiner et stopper l’économie du pays dont les écoles et universités.

L’OMS fut le pivot des annonces terribles via son conseil scientifique de 194 pays ayant signé un accord pour appliquer ses consignes en cas de pandémie[4]. Il ne restait qu’à déclarer la pandémie. Ce qui fut fait rapidement en changeant les critères car ce petit virus peu obéissant n’était pas assez méchant, que diable !

Le confinement aveugle et ses suites délirantes

Alors branle-bas de combat, on n’allait pas revivre le ratage de la finance internationale de 2010 et les gouvernements liés dans leur projet de Nouvel Ordre Mondial (NOM) que nous promettait déjà le président Sarkozy. Ils adoptaient des mesures drastiques pour convaincre les peuples de la gravité de la situation et ruiner les classes moyennes selon le mécanisme clairement exposé dans le dernier livre de Klaus Schwab « Covid19 et grande réinitialisation ».

Selon les pays, ce fut plus ou moins drastiquement et intelligemment appliqué. Mais la France, comme la Belgique ou l’Italie versa dans l’extrémisme, pas forcément astucieux, car permettant d’ouvrir les yeux des plus attentifs par le ridicule de certaines décisions. Certes ils voulaient utiliser la dissonance cognitive de nos cerveaux par des ordres contradictoires, mais point trop n’en faut, et les conséquences dramatiques actuelles en sont la démonstration. Le peuple se réveille, certes doucement mais se réveille.

Remplacer le sport en salle par des séances guidées à travers zoom ou autres, n’eût qu’un temps. Et là nos apôtres du tout numérique de la grande révolution industrielle de Schwab, que le NOM veut imposer n’avait pas tout prévu. Ras le bol du yoga, ou de la box à travers un écran, et bien sûr des cours dits en distanciel, nouveau mot à la mode.

La piscine en distanciel, pas facile

Par manque d’imagination, ils n’ont pas su proposer des activités aquatiques en distanciel. Il a aussi été difficile de prétendre que les piscines sont des lieux dangereux, tant l’eau de javel et la douche permanente sont omniprésentes toute l’année. Ils n’ont même pas réussi à inventer un cluster, au moins un pour la forme et la panique. Pas de chance !

Alors ils ont fermé quand même contre toute logique et conseillé à la place de marcher (dans le rayon initial de 1 km et d’une heure). On peut avoir un grand projet pour dominer le monde et mettre en esclavage 99 % des habitants de la planète, on n’est pas forcément doué pour y arriver, le syndrome d’Hubris obscurcissant souvent tout bon sens.

Notons qu’ils ont osé interdire les sports aquatiques en mer (#Surf #KiteSurf #BodySurf #StandUpPaddle #Natation) et la marche sur les plages dont les entrées furent obstruées. Sacré virus qu’il fallait laisser se baigner tranquille dans l’océan… Qui a pu croire à leur sincérité sanitaire hormis les journalistes tellement révérencieux qu’ils en ont perdu leurs lunettes ?

Les nageurs, leurs entraineurs, leurs fédérations, se sont soumis comme la grande majorité du reste de la France. Mais le temps passe et les complications et peut-être séquelles de ces décisions sans aucun sens sanitaire, peut-être pas si politiquement efficaces, s’accumulent.

« Pour la santé de tous nous souhaitons le maintien des activités aquatiques dans toutes les piscines ! Elles ne présentent pas de risque sanitaire et nous demandons un plan de soutien ministériel pour notre réseau fédéral. Parce que savoir nager doit rester une priorité ».

Difficile de comprendre pourquoi depuis septembre, les piscines sont ouvertes aux scolaires pourtant en groupe, mais pas aux licenciés qui pratiquent la natation plusieurs fois par semaine, pourquoi les stages professionnels sont autorisés, mais pas les stages de compétition des plus jeunes.

DEUX PROBLEMES POUR LA FEDERATION : l’argent pour survivre, les nageurs en perdition

Le 1er février dernier, la Fédération Française de Natation (FFN) a publié un communiqué demandant le maintien des activités aquatiques dans les piscines, impactées comme beaucoup de secteurs par les mesures prises au nom de la guerre au Covid-19, souhaitant également un plan de soutien.

« Dans mon dernier courrier, je vous ai interpellée sur le plan de soutien qui, à ce jour, est très loin de répondre aux besoins et aux enjeux de la FFN et de ses 1 300 clubs, des 2,6 millions d’euros de perte financière et des 103 000 licences de retard. Pour mémoire, nous sommes la 4e fédération la plus impactée financièrement. », dressait comme constat le président Gilles Sezionale à destination de la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu.

« Sans soutien fort de votre part, même avec une reprise rapide, de nombreux clubs déjà très affaiblis disparaîtront du paysage fédéral« , souligne-t-il à l’attention de l’ancienne championne du monde du 200m dos (1998) et vice-championne olympique de la distance (2000).

La réduction, voire la suspension des activités aquatiques ont obligé licenciés et scolaires à se tourner vers d’autres activités. En effet peu de piscines ont offert la possibilité de nager en extérieur lorsqu’elles possèdent des bassins ad hoc et peu de personnes intéressées par la nage en extérieur dans le grand froid ont conduit à la fermeture des quelques espaces aquatiques pendant de longues semaines. Payer des salariés pour peu d’entrées est moins rentable que de les mettre au chômage technique. Triste France.

 « Pour toutes ces raisons, je vous demande de bien vouloir permettre l’accès aux piscines dans lesquelles aucun cluster n’a été répertorié, à nos licenciés, comme aux scolaires, mais aussi d’envisager dès maintenant les modalités claires d’un plan de soutien au niveau fédéral », demandait à la fin de la lettre le président de la FFN.

Les nageurs professionnels appuient cette demande de la FFN, en relayant la lettre sur leurs réseaux sociaux associés à des engagements individuels. De nombreux athlètes, dont Florent Manaudou, Charlotte Bonnet, Camille Lacourt et d’autres tentent de créer une vague de soutien au chevet des clubs français, malades des mesures.

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille LacourtFantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

« En tant qu’ambassadrice du programme #nageuretcitoyen, j’ai bien conscience que

l’apprentissage de la natation est un enjeu national. Tous unis pour le maintien des activités aquatiques », a lancé la triple championne d’Europe en grand bassin.

Mélanie Henique s’est interrogée : « Pourquoi fermer les piscines si elles ne présentent pas de risque sanitaire ? Tous unis pour maintenir les activités aquatiques et l’apprentissage de la natation ».

Une vague de soutien pour un sport souvent pratiqué en intérieur et qui donc souffre particulièrement de la fermeture des établissements couverts afin officiellement d’éviter la propagation de la pandémie de Covid-19.  Le coronavirus aimerait-t-il l’eau de javel ?

La détresse physique et psychologique des nageurs

Les enfants et jeunes enfermés avec leur famille à un âge où on a besoin d’espace et des copains sont particulièrement traumatisés comme l’annonçaient les psychiatres et psychologues dès mars 2020. Actuellement, ce ne sont pas les lits covid qui manquent malgré la pub, mais bien les lits de psychiatrie et singulièrement de pédopsychiatrie. On commence à entendre parler de suicides chez les moins de dix ans, ce qui n’arrivait jamais avant ces temps de folie.

« Papa, quand on est mort, est-on encore obligé de porter le masque »

question d’un petit de 5 ans qui montre l’extrême détresse des enfants.

Il est évident que le sport de groupe, et de compétition chez les jeunes aurait pu être un bon moyen de les maintenir en bon état psychologique, par l’activité sportive elle-même mais aussi par l’activité de groupe qui aurait maintenu un lien social tellement indispensable.

D’autant que les jeunes ne risquent rien de ce virus[5], et qu’ils ne participent pas à la diffusion de la maladie. Mais non, on ferme, peu importe la perte des performances, l’absence de compétition pour les non professionnels mais engagés dans les championnats de France depuis quelques mois ou années. Seuls les trois premiers d’une tranche d’âge ont pu aller en compétition et ont été autorisés à s’entrainer depuis l’été. Mais la quatrième ou la cinquième ? Comment peut-on espérer assurer la relève de nos champions dans une discipline où la période d’excellence est courte ?

Nada, pas de piscine, ni de compétition. Les stages toujours prévus sautent aussi au dernier moment. La dépression suit et si on a choisi natation, ce n’est pas pour marcher seul dans les rues de son quartier guetté par la police pour voir si on ne dépasse pas la distance autorisée (et maintenant avant 18 h et peu importe si on a cours).

Les élites qui veulent imposer le grand reset sont indifférents à ces considérations psychologiques, c’est logique, ils font leur « boulot » sans état d’âme au service des milliardaires.

Mais l’acceptation de ceux qui se sont soumis, croyant protéger leurs concitoyens par des mesures sans fondement scientifique ni médical est incompréhensible D’autant que dès mars 2020, le pr Raoult avait largement expliqué qu’il existait un traitement efficace de ce petit virus à condition de le donner tôt ; incompréhensible.

Alors oui, les nageurs non professionnels mais titulaires d’une licence de la fédération ont besoin de retrouver leurs piscines, leurs coachs, leurs amis et de reprendre l’entrainement quotidien, autant que faire se peut, pour retrouver leurs performances d’avant le grand chambardement.

Cela fera toujours autant de travail en moins pour les psychiatres. Même si le mal est fait, comme pour la classe, avec les décrochages nombreux, il faut vite ouvrir pour tous ceux qui attendent chaque jour de retrouver leur vie et pleurent à chaque annonce du ministre de laisser en plan la situation catastrophique, en particulier pour notre jeunesse, avenir du pays.

Jeunesse dont on sous-estime la souffrance que seuls les suicides qui s’accumulent dans les universités semble réveiller (a minima) les médias. Jeunesse abandonnée, comme les seniors qui n’ont pas été protégés davantage puisqu’on leur a refusé les hospitalisations et pire les traitements précoces, et que le ministre et premier ministre ont signé en décret en mars puis en octobre permettant des euthanasies facilitées par le Rivotril au moindre doute de difficultés respiratoires possiblement en rapport avec le covid.  Non la jeunesse n’a pas été sacrifiée pour les vieux, mais en même temps que les plus âgés. Seule la force de travail utilisée dans les entreprises importe encore un peu aux dirigeants.

L’épidémie est terminée. Nous vivons avec des milliards de virus depuis des millions d’années. Ce virus est de plus sensible à de nombreuses molécules de l’artémisine qui a sauvé Madagascar, à l’ivermectine en passant par l’hydroxychloroquine.

Des milliers de médecins engagés[6] [7] sont prêts à vous soigner malgré les menaces du conseil de l’ordre qui ne tiendront pas, vu le nombre de plus en plus grand de résistants. Vous ne sauverez personne en acceptant les ukases du ministère, du masque qui apporte germes et champignons si portés trop d’heures d’affilée, au confinement ou pseudo confinement et méfiez-vous des vaccins peu expérimentés pour l’instant, et dont les premières campagnes en Israël et en Grande-Bretagne ont été suivies d’une augmentation considérable de la mortalité. Prenons du recul.

N’oubliez pas que ce virus tue moins de 0,001 % personne en France. N’ayez plus peur et battez-vous pour reprendre une vie normale le plus vite possible. La vie libre de notre jeunesse est plus importante que des mesures pseudo sanitaires inefficaces.


Notes

[1] Sauf immunodéprimés congénitaux, ou sous traitement pour maladie chronique ou leucémies etc.

[2] Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée. – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[4] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[5] D’après santé publique France en 1 an le covid a été incriminé dans 3 morts chez les moins de15 ans (dont deux chez des patients qui souffraient de graves maladies antérieures) alors que la grippe en tue chaque année entre 7 et 10.

[6] Laissons-les prescrire

[7] https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/




Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

Par Dr Nicole Delépine

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent [1]

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE. Elle a donné un veto absolu. Ce ne serait pas légal !

ATTENTION, le GRAND RESET ARRIVE si nous n’y prenons pas suffisamment garde et nous laissons « enfumer » au sens propre par les variantes de la manipulation des variants Véran et autres docteurs TV trop désireux de garder leur place sur le petit écran en vendant leurs âmes aux diables.[2]

Mais la révolte gronde

Tout ne sera peut-être pas aussi simple que les adeptes de la clique de Davos semblent le penser. On peut être étonné de l’article récent du BMJ[3] jadis obéissant à la secte Covid, qui a laissé passer cet article terrible sur « l’organisation du meurtre social » selon leur expression, via le leurre covid19.

« Le « meurtre social » des populations est plus qu’une relique d’une époque révolue. Il est très réel aujourd’hui, exposé et magnifié par covid-19. Il ne peut pas être ignoré ou laisser filer. Les politiciens doivent rendre des comptes par des moyens légaux et électoraux, en effet par tous les moyens constitutionnels nationaux et internationaux nécessaires. Les échecs de l’État qui nous ont conduits à deux millions de morts sont des « actions » et des « inactions » qui devraient tous nous faire honte. »

LA GESTION INTERNATIONALE DE LA PANDÉMIE OU PSEUDO PANDÉMIE COVID NOUS RAMÈNE A DES TEMPS RÉVOLUS

« À tout le moins, covid-19 pourrait être classé comme « assassinat social », comme l’ont récemment expliqué deux professeurs de criminologie ».

ASSASSINAT CAR PRÉMÉDITÉE COMME LES DOCUMENTS QUI APPARAISSENT VIA LES AVOCATS FUELLMICH ET CIE le montrent : les faux tests PCR n’étaient pas une erreur, mais une technique de manipulation de masse, la diffusion répétée que les bien portants transformés en asymptomatiques pourraient être contagieux est une manipulation réfléchie et organisée par le conseiller Drosten[4] pour le ministère allemand et Mme Merkel et finalement dans le monde entier via l’OMS.

« Le philosophe Friedrich Engels a inventé le concept en décrivant le pouvoir politique et social détenu par l’élite dirigeante sur les classes ouvrières dans l’Angleterre du XIXe siècle. Son argument était que les conditions créées par les classes privilégiées ont inévitablement conduit à la mort prématurée et « contre nature » des humains parmi les classes les plus pauvres.

Dans The Road to Wigan Pier, George Orwell a fait écho à ces thèmes en décrivant la vie et les conditions de vie des gens de la classe ouvrière dans le nord industriel de l’Angleterre. Aujourd’hui, le « meurtre social » peut décrire le manque d’attention politique aux déterminants sociaux et aux inégalités qu’exacerbe la pandémie. »

Combien de décès excessifs faut-il pour qu’un conseiller scientifique ou médical en chef démissionne ? Combien de temps faut-il pour tester et retracer l’échec public avant qu’un ministre de la Santé ou un conseiller en chef ne se démette ? Combien de contrats lucratifs pour des tests diagnostiques non scientifiques attribués à des copains ou des erreurs dans la politique de l’éducation mèneront-ils à un licenciement ministériel ?

Obtenir réparation

Où les citoyens devraient-ils se tourner pour rendre des comptes, s’ils ne le trouvent pas dans leurs dirigeants et se sentent non soutenus par les experts et les médias ? La loi demeure une forme de recours, et en fait certaines voies juridiques, y compris la négligence criminelle et l’inconduite dans une charge publique, sont à l’étude[5] [6], bien que la preuve de telles allégations sera difficile à établir. Mais la notion de meurtre, du moins de « meurtre social », est difficile à ébranler émotionnellement, et se renforce par tous les dénis de responsabilité et chaque refus d’être tenu responsable ou de changer de cap. ».

La manipulation à grande échelle et sans l’ombre d’un scrupule de nature humaine

Des preuves de malveillance arrivent à la surface, complétant les révélations de l’avocat Fuellmich[7] et de tous ceux qui ont déjà publié des plaintes contre les gouvernements allemands, canadiens[8] ou autres. Les procès arrivent et le tribunal de Nuremberg 2 arrivera dans la foulée.

Via Polémia[9] on découvre que Die Welt, grand journal allemand, a publié la preuve[10] « que le ministère allemand de l’Intérieur avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives ». Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population. »

La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande d’après le journal die Welt, et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques.

Cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions.

Et en France ?

A quand une véritable prise de conscience de nos restaurateurs, artisans, etc. et non une complaisante soumission à des mesures aberrantes pour un virus qui n’arrive même pas à tuer plus de O,01 % des Français. Minable ce petit virus, malgré l’aide des gouvernants qui nous interdisent de traiter les malades et aident parfois à la mortalité via le Rivotril et peut-être bien via ces pseudo vaccins géniques dont personne ne connaît encore la toxicité réelle à court et moyen et long terme[11].

Le ministère de l’Intérieur allemand a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Échange de courriels dont dispose Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase de la pandémie. « Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère ».

« Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures anti- Corona ».

Un groupe de juristes a réussi à obtenir une importante correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques auprès du Robert-Koch-Institut par suite d’une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel,

« le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées ».

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient. »

Mais pourquoi ce scénario allemand qui ressemble de près à ce que nous avons vécu en France par le discours formaté identique des pseudo docteurs et scientifiques qui officiellement dicteraient au gouvernement leurs choix, mais en réalité se les feraient dicter?[12] On pourrait rapidement découvrir que les dirigeants français comme les Allemands dictent leur discours à nos docs Gilead bien récompensés par leurs loyaux services (envers le pouvoir et contre le peuple) ? Quel journaliste va -t-il mener l’enquête ?

Reparler du projet du Great Reset et du pourquoi ?

« Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS (sur le virus) a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peu partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Réinitialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique.

Forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée.

De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). »

LA CASTE DE DAVOS VA MOURIR DE SON HUBRIS

Ils ont oublié que le « tout numérique » est de fait inapplicable, car si les hommes pouvaient à la limite obéir, les éléments naturels se moquent bien de Bill Gates, de Merkel et même de Macron, trop sensibles aux variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages (crise, conflit militaire) et destructions des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) nécessaires aux transactions monétaires numériques[13]. Que devient l’argent virtuel, objet obsessionnel de tous leurs rêves en cas de panne ? On revient vite au troc et bientôt on réinvente l’argent papier, d’autant que certains des survivants auront encore quelques souvenirs.

Néanmoins l’hypnose et la sidération réussies par la manipulation convid19 favorisent la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc.

« Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales.

Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. »

[13]

Aux populations mondiales de se reprendre en main : il paraît que 10% d’éveillés résistants suffiraient à déstabiliser le plan Great Reset.

Mais si vous voulez vraiment savoir à quoi il faut vous opposer dans la vraie vie avec ce grand Reset, voilà ce qui se passe actuellement en Oregon ou pourrait s’y passer bientôt.

Le Grand Reset va être testé en Oregon — Le Média en 4-4-2 (lemediaen442.fr)

L’Assemblée législative de l’Oregon examine un projet de loi visant à permettre la saisie, l’utilisation ou la possession de toute propriété privée durant l’état d’urgence. S’il est adopté, Kate Brown, son gouverneur, aura les pleins pouvoirs sur ses administrés.

Ce nouveau projet, qui porte le nom de code HB 2239, a pour but d’étendre « l’autorité du gouverneur en matière d’usage des biens privés durant l’état d’urgence ». Certaines mesures existent déjà, mais a priori elles ne suffisent plus. HB 2239 émet les propositions suivantes :

Chaque fois que le gouverneur déclare l’état d’urgence, il peut édicter, modifier et faire appliquer des règles et des ordonnances afin de :

  • 1) Contrôler, restreindre et réglementer l’utilisation, la vente ou la distribution de denrées alimentaires, de carburant, de vêtements et d’autres produits, de matériaux, de biens et services, par le rationnement, le gel, l’utilisation de quotas, l’interdiction d’expédition, la fixation des prix, l’allocation ou autres moyens ;
  • 2) Prescrire et diriger les activités liées à l’utilisation, la conservation, la récupération et la prévention du gaspillage de matériaux, de services et d’installations, y compris, mais sans s’y limiter, la production, le transport, les installations de production d’énergie et de communication ; la formation et la fourniture de main-d’œuvre, l’utilisation des installations industrielles, les soins de santé et médicaux, la nutrition, le logement, la réhabilitation, l’éducation, le bien-être, les soins aux enfants, les loisirs, la protection des consommateurs et autres besoins civils essentiels ; et
  • 3) Prendre toute autre mesure, y compris par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel… »

En conclusion, HB 2239 donnerait au gouverneur Brown[14] un pouvoir intégral sur ce qui doit et peut être saisi, quand le saisir et comment l’utiliser. Elle aurait utilisé des tactiques d’intimidation contre des entreprises qui ne se conformaient pas à ses ordres. Déclarer l’état d’urgence lui permettra de prendre le contrôle sur toutes les propriétés privées qu’elle souhaite : hôpitaux, logements, entreprises et même les sacro-saintes armes à feu privées.

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. » « Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

Il s’agirait d’un coup d’État mondial, imposant la disparition de la propriété privée. L’État (avec aux commandes les plus grosses fortunes, Blackrock, Bill Gates, Zuckerberg…) serait seul propriétaire.

« Si la projection du forum mondial de Davos se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens de première nécessité à l’État, qui serait le seul propriétaire de tous les biens. L’offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social », a écrit le Dr Antony Mueller, professeur d’économie allemand, pour l’Institut Mises. Crédit social à la chinoise évidemment qui a réussi de main de maître un entrisme aux USA comme en Europe et tente de nous imposer ses méthodes totalitaires de passeport vaccinal, reconnaissance faciale, etc.

« Si la loi proposée par Kate Brown était votée et appliquée, l’avenir déshumanisé de la planète commencerait en Oregon ».

Nous n’en sommes pas encore là, les ressources de l’Homme mis en danger sont fabuleuses, mais il vaut mieux connaître la véritable face de l’ennemi plutôt que son avatar, le petit virus. Nous serons mieux préparés.


Notes

[1] Passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation (francesoir.fr)

[2] Propriétaires et prolétaires, même combat https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant | The BMJ Kamran Abbasi, rédacteur en chef, kabbasi@bmj.com

[4] L’heure des comptes Drosten France soir par N Delépine

[5] BMJ2020 ; 370 :m3424. doi :10.1136/bmj.m3424 pmid :32878884

[6] Boyle D. Ex-procureur Nazir Afzal a demandé à ses avocats de voir s’il y a des preuves pour poursuivre Boris Johnson pour inconduite dans la fonction publique que covid-19 nombre de morts passe 100.000. Daily Mail 2021 26 janvier. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9190235/Ex-CPS-chief-Nazir-Afzal-instructs-lawyers-consider-Boris-Johnson-prosecution.html

[7] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[8] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[9] Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia et Olivier Demeulenaere — Regards sur l’économie | Blog de réinformation sur l’actualité économique et financière (et autre !) (wordpress.com)

[10]  Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

[11] Si problème évitez les urgences qui en sont encore au doliprane en février 2021 et trouvez un médecin engagé dans votre département à partir du site « laissonslesprescrire » et le manifeste des médecins engagés. https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

[12] Ces manipulations maintenant dévoilées en Allemagne rappellent tout à fait le rapport 9 de Ferguson présenté en catimini à Macron puis la pseudo étude des élèves de l’école de l’école de santé publique prétendant contre toute évidence que le confinement aurait sauvé 60000 français

[13] Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] Kate Brown a récemment prolongé l’état d’urgence jusqu’en mars 2021 — les 1882 décès dus au Covid sur une population de 4,26 millions d’habitants lui paraissant le justifier




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique

Par Gilles Levesque

L’Occident a tout simplement perdu la guerre économique avec l’Orient. Celle-ci a commencé dans un premier temps par trop d’abus spéculatif (cupidité) via la titrisation à outrance de titres obligataires de certaines créances (dette) transformées en produits financiers. Cet abus a été grandement favorisé à partir des années 1995 par des politiques monétaires axées sur la libéralisation des mouvements des capitaux et des taux de change. Le monde financier devenait tout d’un coup transnational et mondialisé où plus aucun État ne pouvait désormais penser à réguler les comportements abusifs. Un monde sous forme d’un nouveau royaume sans foi ni loi qui venait d’émerger, ouvert et sans entraves à la privatisation et à la circulation libre des capitaux. Cette politique néocoloniale du capitalisme néolibéral, financier et mondialisé a été favorisée par les cotations actionnariales des entreprises en Bourse, ayant comme résultat direct la privatisation des profits, par la captation (sous forme de dividendes aux créanciers actionnaires) des impôts déversés, tout en favorisant au passage l’amplification de l’évasion fiscale.

L’appauvrissement des États-nations vient de cette politique axée sur la privatisation des profits et de la socialisation des pertes. Il s’agit d’une complicité croissante, de longue date, entre le monde politique, la haute finance et les multinationales, qui doucement va tranquillement se transformer par regroupement de réseaux d’intérêts mafieux et criminels où règnent en maîtres la collusion, le copinage et la corruption à volonté. Une finance rendue tribale, de type féodal, et bâtie uniquement sur le vol ou la razzia des ressources naturelles, le pillage devenant butin, et la traite d’êtres humains, esclaves des temps modernes et pièces de rechange pour ceux qui nourrissent des délires d’éternité. Il s’agit d’esclavage par ceux qui détiennent la dette. Et ces derniers contrôlent également le réel pouvoir qui est donné par la politique monétaire des Banques Centrales.

Le déficit budgétaire et le poids des taxes et des impôts allant toujours croissant, d’année en année, des États-nations vient de ce manque d’entrées en recette fiscale, ou plutôt de la privatisation du flux des impôts et de l’évasion fiscale pour les très riches. Les conséquences directes de tout ça est d’ajouter de plus en plus de mesures d’austérité et de détresse humaine pour combler la différence. Si nous revenons à ce phénomène de titrisation à outrance, qui a eu pour résultat de faire éclater la bulle immobilière en 2008 avec la crise des surprimes, tout en détruisant du même coup la confiance envers les banquiers. Ceux-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et même négatif, afin de lutter dans un premier temps contre la chute boursière, d’éviter l’éclatement de la zone euro, et, pour finir, de contrôler par le flux migratoire une déflation de plus longue durée causée essentiellement par la décroissance démographique des baby-boomers (voir aussi la crise du LIBOR — ou taux interbancaire — en septembre 2019). En parallèle, l’Orient se désengage de plus en plus des pétrodollars et le développement des routes de la soie avec la reconstruction de la Libye, de la Syrie, de l’Irak et du Yémen, va grandement simuler leur économie. Soit l’équivalent d’un plan Marshall, ce qui fait que l’Orient ne tombera pas dans une crise monétaire et financière systémique, contrairement au monde occidental qui y plonge de plein fouet et à très grande vitesse.

L’alternative pour l’Occident et l’OTAN aurait été de déclarer la guerre avec soit l’Iran ou la Russie. Puisqu’il fallait bien détruire les bases arrière des alliées de la Chine, avant de pouvoir déclencher un conflit militaire direct. Cette stratégie d’encerclement et de confinement des alliées de la Chine et de la Chine elle-même est promue clairement par la stratégie du chaos depuis les années 2000 avec l’endiguement de la Russie et de l’Iran par L’OTAN. Une idéologie qui cherche à instrumentaliser l’aspect conflictuel et tribal du multiculturalisme confessionnel de certaines régions de la planète, en voulant lui imposer l’aspect virtuel et illusoire d’une pâle copie de la théorie du choc des civilisations. Une politique néocoloniale axée sur le pillage des ressources naturelles afin de lutter contre le manque de croissance de profit résultant d’un monde aux limites bien finies. Ceci ne pourrait pas exister sans le développement et l’emboîtement de différents réseaux de groupes d’intérêts reliant la corruption institutionnalisée et le copinage entre la finance, le monde politique et les multinationales dans un monde occidental devenu transnational, aux limites virtuelles mondialisées. Couper l’approvisionnement et les routes du pétrole est capital pour toute armée qui désire garder son autonomie et ses capacités de déploiement et d’intervention rapide face à toute offensive guerrière étrangère.

La stratégie des changements de régime (« régime change » en anglais) contre certains pays instrumentalise abusivement les Droits de l’homme ou utilise des ONG qui conseillent discrètement certains groupes d’opposition gouvernementale en jouant sur l’aspect confessionnel et ethnique plus ou moins chaotique relié au multiculturalisme et qui vont parfois jusqu’à leur donner une forme d’assistance militaire pour faciliter leur armement. Le but général est de morceler ces pays tout en favorisant le déclenchement de conflits civils, ce qui les rend encore plus impuissants face aux politiques hégémoniques occidentales. Ceci a été mis en œuvre lors des Révolutions de couleur dirigées par la CIA, entre les années 2004 et 2014, dans les ex-républiques soviétiques (Ukraine et Géorgie), lors des crises de Tchétchénie (en 1994 et 2000), ainsi que lors des Printemps arabes de 2011. Pour cela, il suffit essentiellement d’instrumentaliser et d’armer les partis d’oppositions pour les conduire à l’affrontement du régime en place, tout en poussant ce dernier à l’erreur dans le but de favoriser l’esprit de rébellion et d’insurrection dans la population. Une alternative consiste à favoriser des guerres (de type néocolonial) indirectes par « proxy » en utilisant tout simplement des armées privées de mercenaires ou en instrumentalisant des tribus mutuellement hostiles. Dans un processus de mondialisation du monde marchand, financier et capitaliste, le tout finira inéluctablement par se transformer en néocolonialisme féodal de type ploutocratique.

Les armées russe et iranienne ont développé de nouvelles armes technologiques et stratégiques très performantes et les ont dévoilées et utilisées pour la première fois en Syrie : un nouveau type de missiles balistiques intercontinentaux ultrasoniques à propulsion nucléaire filant à plus de 10 fois la vitesse du son ; des armes de défense antiaérienne et d’interception antimissile comme le système S-400 russe ou le Khordad-3 iranien ; etc. Leur efficacité et leurs performances ne sont plus à démontrer, contrairement au bouclier antimissile Patriot américain qui s’est révélé être une véritable passoire (un bluff !). Le système antimissile Patriot a révélé son inefficacité lors du bombardement par le Yémen de la raffinerie d’Aramco en Arabie Saoudite le 14 septembre 2019, mais surtout lors du bombardement par l’Iran de la base américaine Al-Asad en Irak le 8 janvier 2020, en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani le 3 janvier 2020. Cet état de fait a drôlement changé la situation géostratégique, surtout depuis 2015 lors de l’intervention russe en Syrie. L’hégémonie occidentale a dû modifier ses plans et faire un véritable repli stratégique, puisque la guerre avec l’Orient était devenue trop incertaine sous le couvert d’une technologie de guerre trop performante.

Ce scénario paraissait très possible sous l’administration Trump, mais qui devient de moins en moins certain avec le vol de l’élection par les démocrates de Biden. Celui-ci semble vouloir renouveler le pillage du pétrole et morceler la Syrie par l’implantation d’une zone sunnite située à l’est de l’Euphrate, recyclant ainsi les mercenaires et l’opposition armée syrienne (ancienne Al-Qaïda et Daesh) dans l’est de la Syrie. Entre 2003 et 2006, Daesh était l’ennemi juré des forces armées américaines qui se trouvaient en Irak, mais à partir de 2006 et surtout depuis 2014 avec la proclamation du Califa Islamique par Abou Bakr al-Baghdadi. Une sorte d’entente illicite s’est alors mise tranquillement en place par association d’intérêts sur le morcellement de l’Irak et la Syrie en trois régions ethniques différentes : kurde au nord, sunnite au centre, et chiite aux extrémités. Daesh était désormais devenu un simple groupe armé privé agissant comme proxy tout en étant coordonné sur le terrain par l’armée américaine pour combattre l’armée syrienne. Ce dernier scénario est porteur d’un potentiel de guerre globale impliquant le bloc occidental via l’OTAN contre le bloc de l’alliance de la résistance orientale. La lutte pour le dernier des royaumes terrestre est peut-être commencée.

Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peut partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Initialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique. Autrement dit, il s’agit de forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont en fait des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée. De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). Néanmoins, en réalité le « numérique » ne peut pas être appliqué (c’est un rêve de puissance des élites), car il est trop sensible aux moindres variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages susceptibles de survenir lors de situations de crise ou de conflit militaire. De telles conditions entraînent facilement la destruction des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) entre émetteur et récepteur nécessaires aux transactions monétaires numériques. Il n’est alors plus possible de faire la moindre transaction virtuelle pour réaliser de simples échanges basiques reliés à la survie même des individus. Famine, guerre et maladie s’ensuivront de toute évidence, voire même le retour au barbarisme.

Les virus à ARN subissent des mutations plus rapidement que les virus à ADN, car le matériel génétique à base d’ARN est moins stable que l’ADN, et c’est pour cela qu’il faut protéger les vaccins avec le froid, car il finit par se dégrader et donc de devenir très dangereux (c’est peut-être cela qui explique la lenteur et la rareté des vaccinations). Un virus trop virulent n’a pas vraiment le temps de se propager rapidement dans la population pour se reproduire, il (l’épidémie !) est donc condamné à mourir rapidement. C’est pour cela que la nature à travers la sélection naturelle favorise plutôt une virulence moindre par une contagiosité plus grande, comme le font chaque année les virus de la grippe. L’un des virus du rhume de la famille des coronavirus (SRAS-COV-2) est passé par une mutation (naturelle ou pas ?) très virulente en mars, avril et mai 2020. Comme c’est le cas pour tous virus que notre système immunitaire rencontre pour la première fois, le temps de s’adapter, et c’est d’ailleurs dans cette situation qu’il y a beaucoup plus de décès parmi les personnes plus fragiles. Le SRAS-COV-2 a par la suite muté pour devenir l’équivalent d’une simple grippe ou rhume à mutation saisonnière (soit des variances de la Covid-19). La situation sanitaire a en réalité tout simplement mis en évidence le manque de financement causé par des politiques d’austérité sur le déficit budgétaire envers les hôpitaux et des systèmes de santé. Ceux-ci sont soumis au flux tendu et débordant chaque année depuis les années 2000 avec l’arrivée des épidémies de grippe saisonnière. La très mauvaise gestion de la crise sanitaire à son début, en plus de l’état de peur du personnel soignant que cela a provoqué par le manque d’informations adéquates, sont les seules responsables du fort taux de mortalité rencontré dans certaines maisons de retraite.

En effet, nous savons désormais que les personnes asymptomatiques présentent une charge virale insuffisante pour promouvoir la propagation de la contamination, car leur système immunitaire combat efficacement en freinant la reproduction du virus. En réalité, ils participent plus à l’établissement de l’immunité collective à travers la population. Le protocole à suivre aurait dû être de protéger les personnes fragiles et à risque de ces établissements (maisons de retraite) en leur fournissant les outils adéquats pour affronter la crise. Les autorités en place auraient dû prévoir de leur fournir des masques pouvant filtrer adéquatement les micros-gouttelettes. Comme les masques filtrants N95 (ou FFP2 pour l’Europe). De tester les individus présentant des symptômes (de là l’efficacité réelle des tests PCR), de les isoler et surtout de leur donner un traitement préventif pour baisser la charge virale, avant que des complications plus graves d’infection bactérienne ne surviennent (tempête de cytokine, thrombose, etc.). De faire un traitement préventif anti-inflammatoire au besoin, incluant un antiviral pour baisser la charge virale ayant pour effet d’augmenter le PH de certaines vacuoles intracellulaire (lysosome), puisque ce virus évolue dans un environnement plus acide à PH bas. Aussi, de faire un traitement antibactérien pour éviter des complications d’infection bactérienne, causée essentiellement par l’affaiblissement du système immunitaire. Et surtout d’inclure du Zinc, de la vitamine C et D pour stimuler les défenses du système immunitaire, comme l’avait suggéré le protocole fort logique du Dr Didier Raoult.

En réalité, la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la cause réelle qui est en réalité une crise économique, financière et monétaire systémique, et qui était sur le bord de tout faire exploser depuis 2008. Les QE (Quantitative Easing ou politique de rachat d’obligations) impliquent la mise en marche d’une planche à billets virtuelle, et les politiques des taux d’intérêt bas et même négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Ceci a ainsi donné l’illusion que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais, le tout allait inévitablement finir un jour à l’autre par exploser. De même, ce que nous vivons actuellement dans la plupart des pays occidentaux à la solde des consignes de l’ONU et de l’OMS, comme le confinement tueur d’économie nationale et créateur de chômage de masse, est en fait la mise en place (forme) de cette après-explosion de la crise systémique, afin de permettre aux élites de garder la main mise sur les Banques Centrales et sur les politiques de contrôle monétaire (l’Arme du pouvoir absolu).

Masque Vs anti-masque ou vaccin Vs anti-vaccin sont en réalité le résultat de l’utilisation d’une stratégie d’ingénierie sociale pour diviser et instrumentaliser les peuples, dont le but est de dévier l’attention et de diviser pour mieux régner. Entre-temps, se scénario hypnotique de l’attention ciblée favorise la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc. Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales. Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. De quoi ont le plus peur nos élites et nos oligarques ? Eh bien, de rétrograder et de perdre les outils qui leur donnent le pouvoir de garder leur prestige et privilège. Et entre vous et moi, à quoi cela peut-il bien servir de faire une campagne de vaccination massive si plus de 99,95% des gens atteints guérissent sans problème ? Dans ces conditions et toute proportion gardée, ce n’est pas la maladie du Covid-19 qui est le plus dangereux ni à redouter, mais ce sont les effets secondaires de la vaccination.

Le monde change, et nous devrons désormais l’obliger à nous écouter !


Références pour le suivi de la situation en Syrie et en Irak

Cartes :
Syrie : https://syria.liveuamap.com/fr
IRAK : https://iraq.liveuamap.com/fr

Syrie : SitRep 97 avec Ayssar Midani du Cercle des Volontaires
https://www.youtube.com/user/CercleDesVolontaires/videos

Site de PressTV de l’Iran : https://french.presstv.com/




Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2

[Source : Recherches Covid-19]

[Photo : Alfred Abel, Rudolf Klein-Rogge et Gertrude Welcker dans Dr. Mabuse, le joueur (1922)]

Même l’Institut Robert Koch et d’autres autorités sanitaires ne peuvent pas présenter de preuve décisive qu’un nouveau virus appelé SARS-CoV-2 nous hante. Ce seul fait transforme le discours sur les mutations virales dangereuses en une campagne de peur irresponsable et les tests PCR du SARS-CoV-2 en une entreprise sans valeur.

Dans une demande d’étude qui montre l’isolement et la purification complète des particules prétendues être le SARS-Cov-2, Michael Laue, de l’un des plus importants représentants mondiaux de la “panique” COVID-19, l’institut allemand Robert Koch (RKI), a répondu à cela[1] :

Je n’ai pas connaissance d’un document qui ait purifié et isolé le SARS-CoV-2.

C’est une déclaration plus que remarquable, elle admet un échec complet. Cette concession est en accord avec les déclarations que nous avons présentées dans notre article «Les tests PCR COVID19 n’ont aucune signification scientifique» qu’OffGuardian a publié le 27 juin 2020 – un article qui a été le premier au monde à décrire en détail pourquoi les tests PCR du SARS-CoV-2 sont sans valeur pour le diagnostic d’une infection virale.

L’un des points cruciaux de cette analyse est que les études prétendant avoir montré que le SARS-Cov-2 est un nouveau virus potentiellement mortel n’ont aucun droit de le prétendre, notamment parce que les études prétendant à l’”isolement” du SARS-Cov-2 n’ont en fait pas réussi à isoler (purifier) les particules dites du nouveau virus.

Cela est confirmé par les réponses des scientifiques des études respectives à notre enquête, qui sont présentées dans un tableau dans notre article – parmi elles, le document le plus important au monde en ce qui concerne l’affirmation d’avoir détecté le SARS-Cov-2 (par Zhu et coll.), publié dans le New England Journal of Medicine le 20 février 2020, et maintenant même le RKI.

Soit dit en passant, nous sommes en possession d’une autre réponse de confirmation des auteurs [2] d’une étude australienne.

Recherché, en vain : le virus SARS-CoV-2

En outre, Christine Massey, une ancienne biostatisticienne canadienne dans le domaine de la recherche sur le cancer, et un de ses collègues en Nouvelle-Zélande, Michael Speth, ainsi que plusieurs personnes dans le monde entier (dont la plupart préfèrent rester anonymes) ont soumis des demandes de renseignements au titre de la liberté d’information à des dizaines d’institutions de santé et de sciences et à une poignée de bureaux politiques dans le monde.

Ils recherchent tout document décrivant l’isolation du virus du SARS-COV-2 à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade.

Mais les 46 institutions/bureaux qui ont répondu n’ont absolument pas fourni ou cité de dossier décrivant l’isolement du “SARS-COV-2” ; et le ministère allemand de la Santé a complètement ignoré leur demande de liberté d’information.

L’entrepreneur allemand Samuel Eckert a demandé aux autorités sanitaires de différentes villes telles que Munich, Düsseldorf et Zurich une étude prouvant l’isolation complète et la purification du “SARS-CoV-2”. Il ne l’a pas encore obtenue.

Récompenses pour la preuve de l’isolement et de la causalité

Samuel Eckert a même promis 230 000 euros à Christian Drosten s’il peut présenter des extraits de publications qui prouvent scientifiquement le processus d’isolation du SARS-CoV-2 et de sa substance génétique. La date limite (31 décembre 2020) est passée sans que Drosten réponde à Eckert.

Et une autre date limite est passée le 31 décembre sans que la documentation souhaitée soit présentée. Dans ce cas, le journaliste allemand Hans Tolzin a offert une récompense de 100 000 euros pour une publication scientifique décrivant une tentative d’infection réussie avec le SARS-Cov-2, qui a entraîné de manière fiable une maladie respiratoire chez les sujets testés.
La variation de la taille des particules réduit également l’hypothèse du virus à l’absurdité.

Récemment, nous avons été effrayés par de prétendues nouvelles souches de “SARS-CoV-2”, mais cette affirmation n’est pas fondée sur une science solide.

Tout d’abord, on ne peut pas déterminer le variant d’un virus si l’on n’a pas complètement isolé le virus original.

Deuxièmement, il existe déjà des dizaines de milliers de nouvelles souches supposées, “trouvées” depuis l’hiver dernier dans le monde entier. En fait, la banque de données du virus GISAID compte maintenant plus de 452 000 séquences génétiques différentes qui prétendent représenter un variant ou une mutation du SARS-Cov2.

Ainsi, prétendre qu’il y a soudainement de “nouvelles souches” est de la foutaise, même d’un point de vue orthodoxe, parce que, de ce point de vue, les virus mutent constamment. Ainsi, ils peuvent constamment proclamer avoir trouvé de nouvelles souches, perpétuant la peur.

Cette crainte est d’autant plus absurde que les micrographies électroniques publiées dans les études concernées montrent des particules qui sont censées représenter le SARS-CoV-2. Ces images révèlent que la taille de ces particules est extrêmement variable. En fait, la largeur de bande varie de 60 à 140 nanomètres (nm). Un virus qui présente une telle variation de taille extrême ne peut pas réellement exister.

Grâce à un appareil de mesure de la taille (FreeRuler), les particules que les auteurs attribuent au SARS-CoV-2 peuvent être mesurées. Les particules agrandies de la photo de gauche mesurent environ 100 nm chacune (sur une échelle de 100 nm). Mais sur l’image de droite, toutes les petites particules indiquées par des flèches comme étant le SARS-CoV-2, mesurées sur une échelle de 1 MicroM (1 000 nm), ont des tailles totalement différentes.

Les flèches noires indiquent en fait des vésicules. En mesurant certaines de ces particules avec la règle, le résultat est que dans la vésicule centrale, la particule la plus haute au centre mesure presque 52 nm, donc en dessous de la plage proposée par Zhu et al (60 à 140 nm) ; la particule immédiatement à sa droite mesure un peu plus, environ 57. 5nm, mais toujours en dessous de la limite ; alors que, presque au centre de la vésicule la plus basse, la plus grosse particule (flèche jaune) mesure environ 73,7nm, se situant dans les larges marges de Zhu et coll. enfin, dans la vésicule inférieure gauche, la plus grosse particule mesure un bon 155,6nm, c’est-à-dire bien au-dessus de la limite maximale définie par Zhu et coll. (140nm).

Il est probable que la correction effectuée récemment sur Wikipédia visait précisément à couvrir ce problème.

Il existe d’autres indications fortes que les particules appelées SARS-CoV-2 dans ces images pourraient en fait être ces particules inoffensives ou même utiles, appelées “vésicules extracellulaires” (EV), qui ont des dimensions extrêmement variables (de 20 à 10.000nm), mais qui pour la plupart vont de 20nm à 200nm, et qui comprennent, comme sous-catégorie, celle des “exosomes”.

Les exosomes sont des particules produites par nos cellules et contiennent des acides nucléiques, des lipides et des protéines, et sont impliqués dans diverses activités utiles à notre corps, comme le transport de molécules immunitaires et de cellules souches, ainsi que l’élimination des débris cataboliques de la cellule.

Les exosomes représentent peut-être la plus grande part des VE et font l’objet de nombreuses études depuis plus de 50 ans. Bien que peu de gens aient entendu parler de ces particules bénéfiques, la littérature scientifique à leur sujet est énorme, et seulement sur PubMed, si l’on tape “exosome”, plus de 14 000 études sont fournies ! Nous ne pouvons pas entrer dans les détails des VE et des exosomes ici, mais il est important de souligner comment ils sont indiscernables des virus sur microscopie électronique, et plusieurs scientifiques pensent qu’en réalité ce qui est défini comme un virus dangereux n’est rien d’autre qu’un exosome bénéfique dans certains cas.

Cela est immédiatement visible au microscope électronique [3] :

Comme on peut le voir, le plus grand des exosomes est de la même taille et structure que le prétendu SARS-CoV-2, et il est donc plausible de croire que, dans la grande mer de particules contenues dans le surnageant du liquide broncho-alvéolaire du patient COVID-19, ce qui est considéré comme le SARS-CoV-2 n’est qu’un exosome.

Pourquoi la purification est essentielle pour prouver l’existence du SARS-Cov-2

Donc, logiquement, si nous avons une culture avec d’innombrables particules extrêmement similaires, la purification des particules doit être la toute première étape pour pouvoir vraiment définir les particules que l’on croit être des virus comme des virus (en plus de la purification des particules, bien sûr, il faut ensuite déterminer sans faille, par exemple, que les particules peuvent causer certaines maladies dans des conditions réelles et pas seulement en laboratoire).

Par conséquent, si aucune “purification” des particules n’a été effectuée nulle part, comment peut-on prétendre que l’ARN obtenu est un génome viral ? Et comment cet ARN peut-il alors être largement utilisé pour diagnostiquer une infection par un nouveau virus, que ce soit par un test PCR ou autre ? Nous avons posé ces deux questions à de nombreux représentants du récit officiel du Covid dans le monde entier, mais personne n’a pu y répondre.

Par conséquent, comme nous l’avons indiqué dans notre article précédent, le fait que les séquences de gènes d’ARN – que les scientifiques ont extraites d’échantillons de tissus préparés dans le cadre de leurs études in vitro et auxquelles les tests RT-PCR du SARS-CoV-2 ont finalement été “calibrés” – appartiennent à un nouveau virus pathogène appelé SARS-CoV-2 est donc basé sur la foi seule, et non sur des faits.

Par conséquent, on ne peut conclure que les séquences de gènes d’ARN “tirées” des échantillons de tissus préparés dans le cadre de ces études, auxquelles les tests PCR sont “calibrés”, appartiennent à un virus spécifique, en l’occurrence le SARS-CoV-2.

Au lieu de cela, dans toutes les études prétendant avoir isolé et même testé le virus, on a fait quelque chose de très différent : les chercheurs ont prélevé des échantillons de la gorge ou des poumons de patients, les ont ultracentrifugés (projetés à grande vitesse) pour séparer les molécules les plus grosses/lourdes des plus petites/légères, puis ont pris le surnageant, la partie supérieure du matériel centrifugé.

C’est ce qu’ils appellent “isoler”, auquel ils appliquent ensuite la PCR. Mais ce surnageant contient toutes sortes de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes mentionnés plus haut, qui sont produites par notre propre corps et sont souvent simplement impossibles à distinguer des virus :

De nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen de méthodes d’isolement des vésicules canoniques, telles que l’ultracentrifugation différentielle, car elles sont souvent co-pulvérisées en raison de leur dimension similaire… comme il est dit dans l’étude The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses publiée en mai 2020 dans la revue Viruses.

Ainsi, les scientifiques “créent” le virus par PCR : vous prenez des amorces, c’est-à-dire des séquences génétiques préalablement existantes disponibles dans des banques génétiques, vous les modifiez sur la base d’un raisonnement purement hypothétique, et vous les mettez en contact avec le bouillon surnageant, jusqu’à ce qu’elles s’attachent (s’annulent) à un certain ARN dans le bouillon ; puis, par l’intermédiaire de l’enzyme transcriptase inverse, vous transformez l’ARN ainsi “pêché” en un ADN artificiel ou complémentaire (ADNc), qui peut alors, et seulement alors, être traité par PCR et multiplié par un certain nombre de cycles PCR.

(Chaque cycle double la quantité d’ADN, mais plus le nombre de cycles nécessaires pour produire du matériel “viral” détectable est élevé, plus la fiabilité de la PCR – c’est-à-dire sa capacité à “obtenir” réellement quelque chose de significatif du surnageant – est faible. Au-delà de 25 cycles, le résultat a tendance à être dénué de sens, et tous les tests ou protocoles PCR en circulation actuellement utilisent toujours bien plus de 25 cycles, en fait généralement 35 à 45).

Pour aggraver les choses, les amorces sont constituées de 18 à 24 bases (nucléotides) chacune ; le virus SARS-Cov2 est censé être composé de 30 000 bases ; l’amorce ne représente donc que le 0,08% du génome du virus. Il est donc encore moins possible de sélectionner le virus spécifique que vous recherchez sur un terrain aussi minuscule, et de plus dans une mer de milliards de particules très similaires.

Mais ce n’est pas tout. Comme le virus que vous recherchez est nouveau, il n’existe manifestement pas d’amorces génétiques prêtes à correspondre à la fraction spécifique du nouveau virus ; vous prenez donc des amorces qui, selon vous, peuvent être plus proches de la structure supposée du virus, mais il s’agit d’une supposition, et lorsque vous appliquez les amorces au bouillon surnageant, vos amorces peuvent s’attacher à n’importe laquelle des milliards de molécules présentes dans celui-ci, et vous n’avez aucune idée que ce que vous avez ainsi généré est le virus que vous recherchez. Il s’agit en fait d’une nouvelle création des chercheurs, qui l’appellent alors SARS-CoV-2, mais il n’y a aucun lien avec le “vrai” virus présumé responsable de la maladie.

Le «génome du virus» n’est rien d’autre qu’un modèle informatique

Le génome complet du virus SARS-CoV-2 n’a jamais été séquencé et a plutôt été “reconstitué” sur ordinateur. Le médecin californien Thomas Cowan a appelé cela une “fraude scientifique”. Et il n’est pas le seul, et de loin !

Cowan a écrit le 15 octobre 2020 [c’est nous qui soulignons] :

Cette semaine, ma collègue et amie Sally Fallon Morell a attiré mon attention sur un article étonnant publié par le CDC en juin 2020. L’objectif de l’article était qu’un groupe d’environ 20 virologistes décrivent l’état de la science de l’isolation, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SARS-CoV-2, et qu’ils partagent ces informations avec d’autres scientifiques pour leurs propres recherches.

Une lecture approfondie et attentive de cet important document révèle des conclusions choquantes.

La partie de l’article intitulée “Séquençage du génome entier” montre que plutôt que d’avoir isolé le virus et séquencé le génome de bout en bout”, le CDC “a conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (n° d’accès GenBank NC045512).

On peut donc se demander comment ils ont séquencé le virus, c’est-à-dire l’ont analysé génétiquement ?

Eh bien, ils n’ont pas analysé l’ensemble du génome, mais ont plutôt pris quelques séquences trouvées dans les cultures, ont affirmé sans preuve qu’elles appartenaient à un nouveau virus spécifique, puis ont fait une sorte de puzzle informatique génétique pour remplir le reste. “Ils utilisent la modélisation informatique pour créer un génome à partir de zéro“ comme le dit le biologiste moléculaire Andrew Kaufman.

https://youtu.be/sSBQUIEUbQ8

Il n’est donc peut-être pas surprenant que l’une des amorces du test mis au point par l’Institut Pasteur corresponde exactement à une séquence du chromosome 8 du génome humain.

Aucune preuve que le SARS-CoV-2 peut voler dans les airs

Pour soi-disant arrêter la propagation du prétendu nouveau virus, nous sommes obligés de pratiquer diverses formes de distanciation sociale et de porter des masques. Derrière cette approche se cache l’idée que les virus, et en particulier le SARS-CoV-2, que l’on croit responsable de la maladie respiratoire Covid-19, se transmettent par l’air ou, comme on l’a dit plus souvent, par les gouttelettes nébulisées dans l’air de ceux qui toussent ou éternuent ou, selon certains, parlent simplement.

Mais la vérité est que toutes ces théories sur la transmission du virus ne sont que des hypothèses qui n’ont jamais été prouvées.

Il manquait des preuves dès le début. Comme le rapporteNature dans un article d’avril 2020, les experts ne sont pas d’accord sur le fait que le SARS-CoV-2 se transmet par voie aérienne, et selon l’OMS elle-même, “les preuves ne sont pas convaincantes”.

Même d’un point de vue orthodoxe, les seules études dans lesquelles la transmission d’un coronavirus (pas le SARS-Cov2) par l’air a été “prouvée” de manière préliminaire ont été menées dans des hôpitaux et des maisons de soins, dans des endroits qui sont censés produire tous types d’infections en raison des conditions d’hygiène.

Mais aucune étude n’a jamais prouvé qu’il y avait transmission de virus dans des environnements ouverts, ou dans des environnements fermés, mais bien ventilés. Même en supposant qu’il y ait cette transmission par voie aérienne, il a été souligné que, pour que la “contagion” se produise, il est nécessaire que les personnes entre lesquelles la prétendue transmission se produit soient en contact étroit pendant au moins 45 minutes.

En bref, toutes les mesures d’éloignement radical n’ont aucun fondement scientifique.

Pas d’«infection» asymptomatique

Comme la purification des particules est la condition préalable indispensable pour les étapes suivantes, c’est-à-dire la preuve de la causalité et le “calibrage” des tests, nous avons un test diagnostiquement insignifiant et le mantra “test, test, test” de Tedros Adhanom Ghebreyesus de l’OMS, mentionné dans notre article du 27 juin, doit donc être qualifié de non scientifique et de trompeur.

Cela est particulièrement vrai pour les tests effectués sur des personnes ne présentant pas de symptômes. Dans ce contexte, même une étude chinoise de Wuhan publiée dans Nature le 20 novembre 2020, dans laquelle près de 10 millions de personnes ont été testées et tous les cas positifs asymptomatiques, les cas ré-positifs et leurs contacts proches ont été isolés pendant au moins 2 semaines jusqu’à ce que le test PCR soit négatif, a constaté cela :

Tous les contacts étroits des cas positifs asymptomatiques ont été testés négatifs, ce qui indique que les cas positifs asymptomatiques détectés dans cette étude n’étaient probablement pas infectieux.

Même l’orthodoxe British Medical Journal s’est récemment joint à la critique.

Peu avant Noël, le magazine scientifique a publié l’article “COVID-19: Mass testing is inaccurate and gives false sense of security, minister admits” (“COVID-19″ : Les tests de masse ne sont pas fiables et donnent un faux sentiment de sécurité, admet le ministre”), expliquant que les tests déployés dans certaines régions du Royaume-Uni ne sont tout simplement pas du tout précis pour les personnes asymptomatiques et affirmant qu’ils ne peuvent pas déterminer avec précision si une personne est positive ou négative, comme l’a écrit Collective Evolution. (L’OMS elle-même l’a admis depuis, deux fois – éd.)

Déjà quelques semaines auparavant, on pouvait lire cela dans The BMJ :

Les tests de masse pour COVID-19 sont un gâchis injustifié, mal conçu et coûteux,

Et :

Le dépistage de la COVID-19 dans la population en bonne santé est d’une valeur inconnue, mais il est introduit à l’échelle nationale.

Et cela [nous soulignons] :

« La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop sur les scientifiques et autres personnes nommées par le gouvernement qui ont des intérêts contradictoires inquiétants, notamment des participations dans des sociétés qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins contre le covid-19 »

À part cela, l’avocat Reiner Füllmich, membre de la commission d’enquête extra-parlementaire allemande “Stiftung Corona Ausschuss”, a déclaré que Stefan Hockertz, professeur de pharmacologie et de toxicologie, lui a dit que jusqu’à présent aucune preuve scientifique n’a été trouvée pour une infection asymptomatique. Livestream Session 27 – A sweeping blow

https://youtu.be/kANkpqtWLN4

L’Institut Robert Koch n’a pas été en mesure de nous envoyer une seule étude démontrant que (a) les personnes asymptomatiques “positives” rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), que (b) les personnes “positives” présentant des symptômes de maladie rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), et que (c) toute personne ayant été testée “positive” pour le SARS-CoV-2 rendait une autre personne “positive”. [4]

« Si vous ne testiez plus, le Covid disparaîtrait »

Déjà en mai, une publication importante comme le Journal of the American Medical Association affirmait qu’un résultat “positif” de PCR n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable“, alors qu’une étude récente du Lancet affirme que “la détection de l’ARN ne peut pas être utilisée pour déduire l’infectiosité”.

Dans ce contexte, on ne peut qu’être d’accord avec Franz Knieps, responsable de l’association des caisses d’assurance maladie d’entreprise en Allemagne et en contact étroit depuis de nombreuses années avec la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré à la mi-janvier que “si vous ne faisiez plus de tests, le Covid disparaîtrait”.

Il est intéressant de noter que même le principal conseiller du gouvernement en matière de confinement et autres mesures, Christian Drosten, s’est contredit sur la fiabilité des tests PCR. Dans une interview de 2014 concernant le test PCR pour le dénommé MERS-CoV en Arabie Saoudite, il a déclaré

« La méthode [PCR] est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire du virus. Par exemple, si un tel agent pathogène traverse la membrane nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas de MERS. Alors que les décès étaient auparavant signalés, les cas bénins et les personnes en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. De plus, les médias locaux ont fait monter l’affaire jusqu’à des niveaux incroyables ».

Cela vous semble vaguement familier ?

Et même Olfert Landt critique les résultats des tests PCR, affirmant que seule la moitié environ des personnes “infectées par le coronavirus” sont contagieuses. C’est plus que remarquable, car Landt est non seulement l’un des co-auteurs de Drosten dans l’article de Corman et coll. – le premier protocole de test PCR à être accepté par l’OMS, publié le 23 janvier 2020 dans Eurosurveillance – mais aussi le PDG de TIB Molbiol, la société qui produit les tests selon ce protocole.

Malheureusement, ce conflit d’intérêts n’est pas mentionné dans l’article de Corman/Drosten et coll., comme l’ont critiqué 22 scientifiques – dont l’un des auteurs de cet article, Stefano Scoglio – dans une récente analyse approfondie.

Au total, Scoglio et ses collègues ont constaté “de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs”, dont Christian Drosten, ainsi que diverses failles scientifiques fondamentales. C’est pourquoi ils ont conclu que “le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de se rétracter”.

Le 11 janvier 2021, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu au courriel de Torsten Engelbrecht lui demandant de commenter cette analyse :

Nous sommes au courant d’une telle demande [de rétractation du document de Corman/Drosten et coll.], mais nous espérons que vous comprendrez que nous ne faisons pas de commentaire à ce sujet pour le moment. Cependant, nous travaillons en vue d’une décision d’ici la fin janvier 2021.

Le 27 janvier, Engelbrecht s’est de nouveau adressé au journal pour lui demander : “Nous sommes maintenant à la fin du mois de janvier. Permettez-moi donc de vous le redemander : Quel est votre commentaire sur l’analyse mentionnée de votre article de Corman/Drosten et coll. Et allez-vous vous rétracter l’article de Corman et coll. – ou qu’allez-vous faire ? Deux jours plus tard, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu comme suit :

Cela prend un certain temps, car plusieurs parties sont impliquées. Nous communiquerons notre décision dans l’un des prochains numéros réguliers du journal.

Des milliards et des milliards de dollars gaspillés pour des tests qui ne veulent pas dire grand-chose

Compte tenu de l’absence de faits pour la détection du nouveau virus présumé et pour que les tests PCR SARS-CoV-2 aient un sens, il est d’autant plus scandaleux que les coûts des tests ne soient pas discutés publiquement, car ils sont énormes. Souvent, nous entendons des politiciens et des chefs de file déclarer que, selon certains critères, les tests sont gratuits, mais c’est un mensonge. Ce qu’ils veulent dire en réalité, c’est que vous ne payez pas sur place, mais avec vos impôts.

Mais quelle que soit la manière dont vous payez, en Suisse, par exemple, le coût d’un test PCR se situe entre 140 et 200 francs suisses (130 à 185 euros). Alors, faisons le calcul. Au moment où nous écrivons ces lignes, la petite Suisse, avec une population de 8,5 millions d’habitants, a réalisé environ 3 730 000 tests PCR pour le SARS-CoV-2, en plus d’environ 500 000 tests d’antigènes, qui sont un peu moins chers.

Si l’on considère un prix moyen de 170 CHF par test PCR, cela représente un montant stupéfiant de 634 millions de CHF, soit 586 millions d’euros. Et malgré l’absurdité de tester les personnes asymptomatiques, pas plus tard que la semaine dernière, le 27 janvier, le Conseil fédéral suisse a de nouveau appelé la population à se faire tester. Annonçant qu’à partir du lendemain, les Suisses devront également payer avec leurs impôts pour les tests de masse des personnes asymptomatiques. Le Conseil fédéral suisse estime que cela coûtera environ 1 milliard de francs suisses.

Le Dr Tom Jefferson, épidémiologiste, a déclaré dans une interview au Daily Mail

La plupart des kits PCR coûtent encore plus de 100 livres sterling à obtenir dans le secteur privé, par exemple, et le gouvernement [britannique] dit qu’il en distribue maintenant 500 000 par jour. Mais même ces chiffres sont éclipsés par les 100 milliards de livres que le Premier ministre est prêt à dépenser pour réaliser son rêve de fournir à la population des tests [PCR et autres – NDLR] plus ou moins en fonction de la demande – soit 29 milliards de livres de moins que le budget annuel du NHS dans son ensemble.
 

En Allemagne, le prix varie considérablement, selon que le test est payé par le secteur privé ou non, mais il est en moyenne similaire à celui pratiqué en Grande-Bretagne, et à ce jour, environ 37,5 millions de tests PCR ont été réalisés.

En France, un test PCR coûte environ 70€ et environ 45 959 545 ont déjà été réalisés, soit un coup de 3,217,168,150 €.

Autrement dit, des milliards et des milliards sont dépensés – ou carrément “brûlés” – pour des tests insignifiants qui alimentent la “chasse” moléculaire et numérique mondiale pour un virus qui n’a jamais été détecté.

*Torsten Engelbrecht est un journaliste d’investigation de Hambourg, en Allemagne. La nouvelle édition de son livre “Virus Mania” (co-écrit avec le Dr Claus Köhnlein MD, le Dr Samantha Bailey MD et le Dr Stefano Scolgio BSc PhD), qui a été considérablement augmentée, sera disponible début février. En 2009, il a remporté le prix allemand des médias alternatifs. Il a été membre du personnel du Financial Times Deutschland et a également écrit pour OffGuardian, The Ecologist, Rubikon, Süddeutsche Zeitung, et bien d’autres. Son site web est http://www.torstenengelbrecht.com.

**Le Dr Stefano Scoglio, BSc PhD, est un expert en microbiologie et en naturopathie. Il coordonne la recherche scientifique et clinique sur les extraits d’algues Klamath et sur les probiotiques à base de microalgues, en coopération avec le Centre national de recherche italien et diverses universités. Depuis 2004, il a publié de nombreux articles dans des revues scientifiques internationales. En 2018, Scoglio a été nominé pour le prix Nobel de médecine.

***Konstantin Demeter est un photographe indépendant et un chercheur indépendant. Avec le journaliste Torsten Engelbrecht, il a publié des articles sur la crise “COVID-19” dans le magazine en ligne Rubikon, ainsi que des contributions sur le système monétaire, la géopolitique et les médias dans des journaux suisses italiens.


NOTES

  • [1] Email from September 4, 2020
  • [2] Email from October 5, 2020
  • [3] The pictures are taken from a presentation by Dr. Andrew Kaufman, Ohio, one of the main proponents of the theory that viruses are actually exosomes.
  • [4] Email from December 3, 2020

Source : https://off-guardian.org/2021/01/31/phantom-virus-in-search-of-sars-cov-2/
Traduction par http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/virus-fantome-a-la-recherche-du-sras-cov-2-off-guardian et https://cv19.fr




Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

[Source : Recherches Covid-19]

Comment créer son propre “nouveau virus” à l’aide de programmes informatiques. Veuillez noter que ce “virus” (chaîne d’ARN) n’est pas réel, il est généré par ordinateur. Malheureusement, presque tout le monde, quand ils croient que c’est réel, a peur.

Ainsi, une fois que vous avez prélevé un échantillon d’ADN animal (fœtus de bovin), d’ADN humain, d’autres contaminants et d’ARN très délicat, vous le mélangez et laissez les ordinateurs créer un virus virtuel.
Et si vous avez besoin de le présenter comme réel, et non pas comme il est réellement, simulé, vous pouvez opter pour un faux tableau de mortalité généré par ordinateur, le faire lancer par un universitaire comme le professeur Neil Ferguson et pour son rôle dans cette fraude criminelle, il pourra plus tard dire qu’il s’agissait d’une “erreur de jugement”.

On crée donc un faux virus, une simulation prédictive de la mortalité due à ce virus, puis on passe à la mise en place de tests de diagnostic erronés (RT PCR) qui, à partir d’un “positif” à partir de quelques séquences d’ARN, peuvent également être positifs pour une maladie qui n’existe pas réellement. Testez Testez Testez.
https://cv19.fr/2020/10/26/les-tests-pcr-covid19-nont-aucune-signification-scientifique/

L’histoire vraie et vérifiable de la création du virus 100% fictif “Sars CoV2” par de multiples logiciels.

Le 26 décembre, alors que les autorités chinoises inquiétaient les habitants de Wuhan en enfermant les médecins et les journalistes lanceurs d’alerte, un homme de Wuhan a été testé. Le résultat est arrivé comme le début de la nouvelle campagne de tests PCR : un test sans intérêt – un écouvillon de l’arrière de sa gorge ou de l’intérieur de son nez avait détecté la présence du “nouveau nouveau coronavirus”. Mais je vous demande comment c’est possible puisque le test PCR n’avait pas été développé et que le nouveau “nouveau” virus n’avait même pas été isolé. Les tests moléculaires nécessitent des connaissances sur le(s) agent(s) potentiel(s) pour déterminer le(s) test(s) correct(s).

La première séquence du génome du ” SARS-CoV-2 “, Wuhan-Hu-1, aurait été publiée le 10 janvier 2020 (GMT) par un consortium dirigé par Zhang, Résumé :
Une séquence complète du génome du coronavirus 2 (SARS-CoV-2) a été générée par ordinateur, et non isolée, à partir d’un échantillon d’ADN, d’ARN, d’ADN animal et d’additifs de culture provenant d’un patient sud-africain qui était retourné en Afrique du Sud après avoir voyagé en Italie. Par un consortium dirigé par Zhang en Chine ? ?! Un nouveau génome a été séquencé par modèle informatique, un génome de sars CoV2 n’a jamais été isolé, il a été généré.

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non prouvée prétendument causée par un brin d’ARN ” SARS-CoV-2 ” (Zhou et al., 2020) se propagerait rapidement en Afrique du Sud (Ministère sud-africain de la santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la santé, 2020).

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non démontrée, prétendument causée par un brin d’ARN “SARS-CoV-2” (Zhou et al., 2020), se propagerait rapidement en Afrique du Sud (ministère sud-africain de la Santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la Santé, 2020).

Le séquençage de nouvelle génération d’agents pathogènes peut aider les grandes entreprises pharmaceutiques à vendre et à commercialiser des médicaments et des vaccins (Gwrinn et al., 2019)… Au 1er avril 2020, plus de 3000 génomes de SARS-Cov-2( pourquoi ont-ils tous des génomes différents ? Selon le GISAID, il y a maintenant plus de 40 000 génomes pour un seul et même croque-mitaine). Ils ont été créés à l’échelle mondiale par des modèles de séquençage et téléchargés au GISAID (The GISAID Initiative, 2020). Le site web Nextstrain (The Nextstrain Team, 2020) offre un suivi en temps réel .

“Le virus” (brin d’ARN généré par l’ordinateur) a été préparé sur des modèles informatiques.

“L’ARN viral du SARS-CoV-2 a été préparé en extrayant l’ARN total de cellules Vero (ATCC, CCL-81) infectées par le BetaCoV/Korea/KCDC03/2020 , à une multiplicité d’infection (MOI) de 0,05, et cultivé dans du DMEM (GIBCO) supplémenté/contaminé avec 2% de sérum foetal bovin (GIBCO) et de la pénicilline-streptomycine (GIBCO) à 37 C, 5% CO2. L’ARN est le quatrième élément et n’est pas isolé en plaques.
L’architecture transcriptomique est inconnue, il y a eu de nombreux événements de transcription discontinus.
Aucune preuve ou indice n’indique que le patient (ou le fœtus bovin) dont ils ont utilisé les échantillons pour générer un “virus” avait une maladie appelée covid. Pas de contrôle, pas de référence.

Des prélèvements nasopharyngés et oropharyngés provenant d’un “individu symptomatique” ont été collectés et combinés, contaminés par de l’ADN humain et animal.

La multitude de logiciels différents que vous devrez utiliser pour le fabriquer ( comme, bien sûr, le SARS-CoV-2, juste sur l’écran de votre ordinateur) et le gouvernement ne vous laissera pas faire. Ce n’est pas un vrai “virus”, un organisme/brin d’ARN que vous pouvez isoler et voir sur un microscope électronique ou un nanoscope. Il est important de noter que bien que la RT-PCR soit l’outil de diagnostic le plus utilisé pour la détection, un résultat positif n’indique pas une infection ou l’existence d’un “virus”. Il ne peut qu’indiquer la présence de certains ARN que les amorces recherchent et ne prouve pas de manière concluante que les molécules d’ARN trouvées ont même une queue et une coiffe ou sont des molécules d’ARN vivantes et transmissibles. Comme les chercheurs ne savaient pas quel agent ils recherchaient au départ, on peut comprendre qu’ils ne pouvaient pas savoir quel agent (amorces) utiliser, c’est-à-dire quel acide nucléique rechercher et amplifier.

L’extraction totale des acides nucléiques a été réalisée à l’aide du kit MagNA Pure 96 DNA and Viral NA Small Volume Kit (Roche, Suisse) comme décrit par le fabricant. L’acide nucléique SARS-CoV-2 a été détecté ? ?? Mais comment ont-ils su quel était l’acide nucléique du SARS-CoV-2 s’ils n’avaient pas encore le génome ? En utilisant le test TIB Molbiol LightMix Sarbeco E-gene real-time polymerase chain reaction assay, qui a donné une valeur de 23,21 pour le seuil de cycle (Ct) (Corman et al, 2012) Une autre extraction d’acide nucléique, obtenue à l’aide du mini kit d’ARN viral QIAamp (QIAGEN, Allemagne), a été évaluée avec le kit de test ARN Qubit (Invitrogen, Carlsbad, CA, USA) et la station de bande magnétique Agilent 4200 (Agilent Technologies, Allemagne). La déplétion de l’ARN ribosomique de l’hôte a été réalisée à l’aide du kit de déplétion de l’ARNr NEBNext (New England Biolabs, Ipswich, MA, USA), suivie de la synthèse de l’ADNc. Les bibliothèques couplées ont été préparées à l’aide du kit de préparation de bibliothèque d’ADN Flex de Nextera, suivi d’un séquençage de 2×300 bp effectué sur Illumina MiSeq (Illumina, San Diego, CA, USA). Toutes les méthodes et techniques mentionnées ci-dessus ont été réalisées à l’Institut national des maladies transmissibles, une division du Service national des laboratoires de santé, à Johannesburg, en Afrique du Sud.

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès à la Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus. Le consensus scientifique est un sujet très délicat.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

Les variantes de la séquence de consensus ont été identifiées par l’inspection de la MSA, validées par l’inspection de la cartographie de lecture et visualisées en IGV (Robinson et al., 2011). Sur une liste initiale de 74 variants, 6 ont été confirmés par les preuves des lectures cartographiées et retenus. La profondeur de la couverture a été calculée à l’aide de samtools (Li et al., 2009), et la moyenne a été calculée sur le génome, ce qui a donné une profondeur moyenne de 10 lectures. Les régions à forte couverture (plus de 5 lectures) ont été identifiées en utilisant covtobed (Birolo et Telatin, 2020) et le fichier BED résultant utilisé pour masquer les positions des variantes (en utilisant Python et le module intervaltree dans un carnet Jupyter (Thomas et al., 2016)). Ce masquage a confirmé que les 6 variantes de bonne qualité mentionnées précédemment étaient situées dans les 76% du génome qui étaient couverts par des lectures à une profondeur supérieure à 5. Les variantes ont été insérées dans la séquence de référence MN908947.3 à l’aide de BioPython (Cock et al., 2009).

Virological.org Ref Séquence du génome entier du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) obtenu sur un patient sud-africain atteint de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)
https://virological.org/t/whole-genome-sequence-of-the-severe-acute-respiratory-syndrome-coronavirus-2-sars-cov-2-obtained-from-a-south-african-coronavirus-disease-2019-covid-19-patient/452

Les résultats de l’étude de Lancet sur les maladies infectieuses confirment la théorie selon laquelle il n’y a pas de nouveau virus ni de nouvelle maladie.
La fausse maladie un modèle de symptômes “COVID-19” s’est d’abord présentée sous la forme de trois modèles cliniques distincts. Woops fait des diagnostics erronés sur la base d’un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer la maladie.
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(20)30237-1/fulltext

Pas de nouvelle maladie car il n’y a pas eu de nouveaux symptômes.
On dit maintenant que les symptômes sont les mêmes que ceux de la grippe = pas de nouvelle maladie.

Il a été rapporté dans les cas précédents la cinétique de l’ARN “viral” de deux patients qui ont développé une détérioration respiratoire tardive malgré la disparition de l’ARN “viral” nasopharyngien. Les tests se sont révélés négatifs, aucun “virus” n’a été trouvé, et la détérioration et la mort sont survenues sans lui, mais ils ont quand même insisté sur le fait qu’il y avait/est un nouveau virus et une nouvelle maladie.
Je suis désolé si je vous ai ennuyé jusqu’aux larmes mais 1) ils n’ont pas isolé de virus 2) il s’agit d’une fraude continue et d’une croyance religieuse totale dans un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer des maladies mais qui est maintenant utilisé frauduleusement pour enregistrer des cas d’une maladie qui n’existe même pas. Cela dépasse l’entendement.

Alors détendez-vous, la mortalité due à un faux virus est de 0. Le problème est de lancer le canular auprès de l’OMS et des Nations unies par le biais des médias en infectant les personnes avec un virus mental, cy croire le rend réel dans leurs tête. Le virus mental qui utilise la peur comme un récepteur contrairement à un virus généré par ordinateur peut être nocif car une réponse prolongée au stress n’est pas bonne pour le corps/esprit.
Pour en savoir plus.
https://thegnmsolution.com/the-elusive-virus-2/
https://thegnmsolution.com/rational-voices-talk-about-covid-19/
*Vous ne pourrez probablement pas obtenir le laboratoire, l’équipement, les agents, le financement et les permis nécessaires pour jouer avec l’ADN. Le but de ce fil de discussion était de faire comprendre aux gens que ce Sars CoV2 n’est pas réel et qu’ils sont manipulés mentalement.
N’oubliez pas la grande question, la recherche intérieure qui est primordiale, découvrir qui vous êtes au-delà du nom et de la forme.

Source : https://notpublicaddress.wordpress.com/2020/08/08/how-to-create-your-own-novel-virususing-computer-software/
Traduction par https://cv19.fr




COVID, une maladie qui n’en a que le nom

[Source : Recherches Covid-19]

Par Jon Rappoport

[Photo : Les séquences de gènes des virus n’existent que sous forme de modèles informatiques.]


Une toux, ou des frissons et de la fièvre, par exemple. L’un ou l’autre suffit pour un diagnostic COVID.

L’exigence d’un test PCR positif pour le virus — même cela n’est pas forcément nécessaire.

En outre, comme je l’ai démontré dans de nombreux articles [FR], la PCR est truffée de défauts irrémédiables, ce qui entraîne des millions de faux positifs.

En outre, le lien direct entre la maladie covid-19 et le virus du SRAS-CoV-2 n’est pas prouvé.

Il existe donc une recette parfaite pour une fausse pandémie.

Une personne qui, en 2018, serait diagnostiquée comme ayant la grippe se transforme en une personne qui, en 2020, est diagnostiquée comme ayant le COVID-19.

Une pneumonie ordinaire se transforme soudainement en pneumonie COVID.

Toutes sortes d’autres infections pulmonaires sont maintenant des COVID.

— J’ai un rhume, docteur.

— Non, c’est le COVID.

— C’est un rhume.

— Un rhume COVID.

ATHLÈTE STAR : — Merci à tous mes fans qui m’ont soutenu pendant cette période. Après mon diagnostic COVID, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIF (qui sera licencié cinq minutes après avoir soumis cette interview à son rédacteur en chef) : — Avez-vous déjà eu un mauvais cas de grippe, Charlie ?

STAR ATHLETE : — Bien sûr. En 2015, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIVE : — Ça s’appelle un indice, mon pote. Réfléchis bien.

— Quoi ? Oh…tu veux dire… ?

Le jeu de l’étiquetage et du réétiquetage des maladies se poursuit depuis l’aube de la médecine. La médecine moderne l’a quelque peu affiné, mais c’est encore une arnaque assez évidente.

J’ai rencontré la version moderne pour la première fois en 1987. En Afrique centrale, il y avait la « maladie du dépérissement ». Puis on l’a appelée « maladie de la maigreur ». Et enfin, le sida.

En fait, il s’agissait d’une nouvelle appellation pour désigner la malnutrition protéino-calorique, la faim et la famine.

Mais la vérité était trop brutale. Elle impliquait des dictateurs locaux et des sociétés agricoles transnationales prédatrices qui se spécialisaient dans le vol de bonnes terres agricoles au peuple.

Aujourd’hui, le COVID-19 est une étiquette qui cache une autre vérité brutale : la véritable « maladie » est une attaque contre les économies nationales et contre chaque être humain qui travaille pour gagner sa vie, par le biais de confinements.

Dans cet article, je continue à retracer les implications du virus manquant; je fais référence au fait que personne n’a prouvé le lien direct entre la maladie et le virus du SARS-CoV-2.

Ici, j’examine la situation dans son ensemble.

Apparemment, la notion de virus est née lorsque les théoriciens du germe ont manqué de bactéries pour expliquer les maladies. Ils ont donc prétendu qu’il devait y avoir une particule invisible plus petite, qui a fini par être appelée virus.

Depuis ce choix fatidique, les chercheurs ont rencontré divers problèmes. Le plus important d’entre eux : comment prouver, dans des cas précis, que ces virus provoquent des maladies ?

Deux moyens de preuve modernes ont été inventés. L’une d’elles consiste à déformer et à inverser le sens du terme « isolement ». Et deuxièmement, séquencer la structure génétique des virus en utilisant des programmes informatiques prédéfinis pour construire, à partir de rien, sans justification, des collections d’informations génétiques, pour finir avec rien de plus que des entités virtuelles.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Au début, les humains suivent les règles qui définissent le système. Ensuite, ils passent à l’application des règles. Leur esprit devient excessivement littéral. Ils considèrent les alternatives comme des hérésies.

— Monsieur, vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous pensez que vous découvrez de nouveaux virus. Vous pensez que vous les manipulez pour créer de nouvelles formes.

— Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous dites que la non-isolation est une isolation. Vous utilisez des algorithmes pour inventer des “virus” composés de données non pertinentes. Ce sont des constructions de données, rien de plus.

— Vous êtes un blasphémateur. Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous manipulez des processus qui n’ont rien à voir avec ce que vous pensez qu’ils doivent avoir à voir avec…

— Comment êtes-vous entré dans mon laboratoire ?

— J’ai amené une équipe de tournage. Nous voulons filmer et documenter chaque étape que vous entreprenez pour “découvrir un nouveau virus”.

— Absolument pas. Vous n’êtes pas officiel. C’est une installation de haute sécurité.

— En d’autres termes, à vue de nez, nous devons accepter vos revendications comme si elles étaient légitimes.

— Oui, c’est la règle. Nous ne dirigeons pas une société de débat. Nous faisons de la science.

— Mais vous voyez, c’est le but. Vous ne faites pas de la science.

— Qu’est-ce que vous dites ?

— Vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous PENSEZ que vous découvrez de nouveaux virus. Vous croyez que vous les manipulez. Mais vous ne travaillez qu’avec des fantasmes auto-générés.

— Je vais vous dire. Je vais vous injecter un de ces fantasmes et on verra ce qui se passe.

— Vous ne possédez pas un spécimen réel d’un virus isolé et purifié, séparé de tout autre matériel.

— Le voici, dans ce récipient.

— Non. Regardez-le. Dans ce plat, il y a une soupe. Elle contient des cellules humaines et de singe, des drogues et des produits chimiques toxiques, et d’autres matériels génétiques. C’est la chose la plus éloignée de “isolé”.

— Nous savons que le virus est là. Certaines des cellules sont en train de mourir. Le virus doit être en train de tuer.

— Non. Les médicaments et les produits chimiques toxiques pourraient faire des ravages. De plus, les cellules sont privées de nutriments. Ce seul fait peut expliquer leur mort. Réfléchissez bien.

— Il n’y a rien à penser. Nos procédures ont été vérifiées par des milliers d’études et d’articles scientifiques publiés.

— Le consensus n’est pas la même chose que la vérité.

— Sécurité, venez au laboratoire ! Nous avons un intrus non certifié. Escortez-le hors des locaux.

— C’est ça, votre conclusion ?

— Notre travail est classé secret. Vous êtes un civil. Nous prononçons ; vous obéissez.

— Et c’est ça la science ?

— Absolument. On ne vous a pas appris ça à l’école ?

— VOUS N’AVEZ AUCUNE IDÉE DE CE QUE VOUS FAITES DANS CE LABORATOIRE. Vous êtes prisonnier de vos propres illusions.

— Sécurité, dépêchez-vous. Cet homme est subversif…

— Supposons que vous croyiez travailler avec des virus, mais que vous ne travailliez qu’avec des IDÉES ET DES HISTOIRES SUR LES VIRUS ?

— Que voulez-vous dire ?

— Vous n’isolez pas vraiment quoi que ce soit. Et vous ne séquencez rien. Les séquences ne sont que des INFORMATIONS bricolées par des programmes informatiques à partir de bibliothèques de référence génétique. Tout cela n’est, au mieux, qu’une métaphore numérique de ce que vous croyez exister. Vous générez des contes de fées.

— Même si c’était vrai, ce serait le plus proche possible de la réalité. Rien n’est parfait.

— Un rocher est parfait. Vous le voyez, vous lui donnez un coup de pied, vous vous asseyez dessus.

— Les virus sont très petits.

— Raison de plus pour être sûr que vous avez affaire à quelque chose de réel.

— Nous utilisons la technologie PCR.

— Mais il ne cherche qu’un morceau d’ARN que vous avez trouvé dans le virus. Comme vous n’avez pas de virus isolé et purifié, vous n’avez aucune raison de penser que l’ARN provient du “virus”.

— Sécurité, emmenez cet homme à sa voiture. Emmenez l’équipe de tournage avec lui. Ils n’ont pas le droit d’être ici. C’est une installation financée par le gouvernement. Les particuliers n’ont pas accès au gouvernement.

CHEF DE LA SÉCURITÉ : — En fait, j’aimerais entendre le reste de la conversation. Ma sœur vient de se faire vacciner contre le virus, et elle est maintenant à l’hôpital…

Auteur de trois ouvrages explosifs, THE MATRIX REVALED, EXIT FROM THE MATRIX et POWER OUTSIDE THE MATRIX, Jon était candidat à un siège au Congrès américain dans le 29e district de Californie. Il a un cabinet de conseil pour des clients privés, dont le but est l’expansion du pouvoir créatif personnel. Nominé pour un prix Pulitzer, il travaille comme journaliste d’investigation depuis 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier.

Source : https://off-guardian.org/2021/02/03/covid-a-disease-in-name-only/
Traduction et adaptation par https://cv19.fr




Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva

[Source : Ciel voilé]

Dans une interview avec le président de la CHD, Vandana Shiva avertit les auditeurs que si nous ne nous battons pas contre Gates et son empire, « Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien… pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées. »

Équipe de Défense de la Santé des Enfants ( CHD) – Le 8 février 2021

https://childrenshealthdefense.org/defender/rfk-jr-interviews-vandana-shiva-gates-empire/

Dans une interview avec Robert F. Kennedy Jr, Vandana Shiva explique comment Bill Gates, ainsi que Big Ag, Big Chemical, Big Food, Big Tech et Big Pharma détruisent l’écosystème de la Terre et, avec lui, notre santé.

Transcription :

RFK Jr : Voici mon héroïne, Vandana Shiva, que je connais depuis de nombreuses années, qui a été un modèle pour moi, vraiment. Elle a environ 40 points de QI de plus que moi. J’ai découvert cela en lisant votre biographie aujourd’hui, et je ne savais pas que vous aviez fait votre thèse de doctorat sur la physique quantique. Est-ce que c’est ce que vous avez étudié à l’école à un moment donné ?

Vandana Shiva : Oui, c’est toujours ce qui guide mon travail, la non-séparation et le potentiel. Ce sont les deux idées qui vont nous libérer de la pensée mécaniste du monde. Oui, nous sommes connectés, et nous avons tous un potentiel, y compris la désobéissance civile.

RFK, Jr : Donc Vandana Shiva : Shiva est actuellement à la tête de Navdanya, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Navdanya, ce qui signifie neuf graines.

RFK, Jr : Mais je vous ai rencontrée pour la première fois lorsque vous dirigiez le mouvement Chipko dans les années 1980, c’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de vous, et de ce leader extraordinaire en Inde qui organisait les femmes pour protéger les forêts et les arbres et tout cela.

Vandana Shiva : Bobby, je n’étais pas une leader. J’étais étudiante, et je faisais du bénévolat, et les leaders étaient les femmes et elles étaient mes professeurs. Je dis toujours que je suis allée à l’Université de Western Ontario pour mon doctorat afin de mieux comprendre la théorie quantique, mais je suis allée à l’Université de Chipko pour comprendre la biodiversité. Et Bobby, l’autre jour, la mafia s’est emparée de David Attenborough pour lancer la gestion de portefeuilles sur la biodiversité, comme les portefeuilles sur la propriété foncière, comme si la valeur de la biodiversité n’était pas reconnue par les femmes de Chipko. Je pense que c’est le conflit que nous vivons. Les milliardaires qui veulent tout transformer en portefeuille, et les gens ordinaires qui disent : « Non, nous voulons protéger notre terre ». Nos agriculteurs protestent maintenant depuis six mois pour la terre. C’est ce qu’ils disent.

RFK Junior : J’ai vu dans les nouvelles internationales ces énormes, vastes rassemblements de fermiers qui marchent maintenant sur les villes en Inde. Alors dites-nous, parce que je sais que vous êtes en plein milieu de tout ça… laissez-moi vous présenter un peu plus. Shiva est l’une des grands leaders du peuple sur Terre aujourd’hui. Elle a remporté tous les prix que vous pouvez gagner auprès de personnes qui se soucient des droits des femmes à la base, de la propriété intellectuelle et des semences, en particulier, des OGM, de la protection des forêts, de l’agriculture chimique par rapport à l’agriculture pour laquelle Vandana Shiva se bat, et elle nous a tous conduits dans les guerres contre Monsanto. Je ne me souviens même pas de la première fois que nous nous sommes rencontrés, mais c’est une dirigeante extraordinaire, extraordinaire. Je voudrais donc vous parler de Bill Gates et de son achat de terres, et de son action pour créer un nouveau féodalisme sur cette planète, et pour faire sortir les agriculteurs de leurs terres, et les milliardaires de leurs terres. Et parlons d’abord des événements actuels et de ce qui se passe en Inde avec ces marches auxquelles vous participez.

Vandana Shiva : Alors Bobby, ma vie a tourné autour de la physique et de la physique quantique, et bien sûr, du mouvement Chipko. J’ai été, dès mon plus jeune âge, une militante écologiste. Mais c’était en 1984 …

RFK Junior : Ton père était forestier, non ?

Vandana Shiva : Mon père soignait les forêts. Oui, j’ai beaucoup appris de lui. Et ma mère était une réfugiée de la partition. Quand l’Inde a été divisée par une ligne tracée sur une carte, elle a dit : « Eh bien, j’ai tout fait. J’ai brisé tous les plafonds de verre pour les femmes, et maintenant je serai agricultrice. » Alors elle est devenue agricultrice, et mon père était dans la forêt, et nous vivions entre la ferme et la forêt. Et c’étaient des gens merveilleux. Je veux dire, leurs valeurs, leur vie m’a donné toutes les valeurs que je vis, d’intrépidité, de vérité, de ne jamais abandonner, et d’aimer la nature très profondément. Mais mon engagement dans l’agriculture commence en 1984, lorsqu’il y a eu des manifestations similaires contre la révolution verte. Aujourd’hui, la révolution verte a été mise en œuvre pour la première fois au Pendjab…

RFK, Jr : C’était un programme des Rockefeller, à l’origine, des Rockefeller, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Exactement, et de la Banque Mondiale. Donc la Banque mondiale, l’USAID [Agence américaine pour le développement international], les Rockefeller. Ils avaient un programme qui a fonctionné pendant un certain temps sur la façon dont vous pouvez déplacer ces énormes quantités de produits chimiques, les engrais, les pesticides après les guerres. Ces usines auraient dû simplement fermer, et à la place, les Rockefeller, qui étaient très impliqués dans les expériences de l’IG Farben et d’Hitler. Je veux dire, il y a tellement d’articles à ce sujet. Le pétrole provenait des Rockefeller. L’agriculture chimique est une agriculture de combustibles fossiles. Ils ont fourni le pétrole, les Allemands ont fourni la science et les Rockefeller, ainsi que les banquiers privés, ont fourni le financement. Et donc, après la guerre, cela aurait dû être la fin de la guerre chimique sur cette planète, et au lieu de cela, ils ont travaillé à dire : « Comment changer l’agriculture pour la rendre plus adaptée aux produits chimiques ? Nous avons donc de grands blés, de grands riz et même des animaux à double usage.

Les taureaux tireront la charrue et les vaches vous donneront du lait. En Inde, nous ne faisons donc jamais de pensée unidimensionnelle. Et pourtant tant d’indiens dirigent tant d’institutions en vivant sur les restes de la pensée multidimensionnelle, mais en poussant le monde vers une pensée unidimensionnelle de l’intelligence artificielle. Mais à ce moment-là, Barlow a été récupéré dans les laboratoires de la défense de DuPont pour travailler sur le changement des plans. Les États-Unis avaient volé du blé au Japon pendant la guerre, et il y avait du riz d’Indonésie, et ils ont modifié la plante, qui est devenue minuscule… J’appelle cela la désobéissance civile de la plante. Les plantes disaient : « Je ne veux pas de produits chimiques. Partez », et ils ont changé la plante. Et tout cela a été fait par Norman Borlaug, qui a reçu le prix Nobel de la paix. En 1984, des agriculteurs sont fusillés. Des agriculteurs sont tués, et je vois que c’était sur le point de… C’est censé être une question de paix. Il a reçu le prix Nobel de la paix. 20 000 personnes sont mortes au Pendjab.

Les protestations d’aujourd’hui s’inscrivent donc dans la continuité de celles que nous avons eues depuis 1991, qui est un tournant pour cette mondialisation néolibérale imposée par la Banque mondiale, qui nous a d’abord endettés. Je veux dire, c’est comme ça que fonctionnent les « amortisseurs » du monde, n’est-ce pas ? On s’endette, puis on s’endette sur le « sang du peuple ».

Et les lois contre lesquelles les agriculteurs se battent, veulent le « sang du peuple » que la Banque mondiale avait déjà exigé en 1991, sauf qu’elles ont été repoussées, et repoussées et repoussées. En ce moment, les protestations sont énormes. Les agriculteurs ne sont pas stupides. Les agriculteurs savent contre quoi ils se battent et ils disent : « Nous nous battons pour l’âme et le sol de l’Inde, parce que si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette civilisation mourra. Si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette terre mourra. Ils ont vu à quel point le sol a été dégradé par la révolution verte chimique.

Ils ont été témoins de la monoculture de produits de base pour Pepsi, qui est un modèle. Pepsi est donc arrivé en Inde après 1984 et le suicide a commencé parmi les producteurs de pommes de terre. Pepsi, pour un paquet de pommes de terre de 20 roupies de valeur, payait l’agriculteur 0,04 paisa, ce qui est une somme insignifiante. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’agriculture chimique, de semences OGM et de commerce mondialisé par l’agrobusiness et l’industrie agroalimentaire, les agriculteurs reçoivent en moyenne 0,5 à 4 % de ce que paie un consommateur. Mais le consommateur ne paie pas seulement le prix de la malbouffe contenue dans l’emballage, il paie le prix de la malbouffe pour sa santé.

Et c’est pourquoi le travail que vous faites Bobby, sur la question de la santé, en particulier la santé des enfants est si primordial. Je considère l’agriculture industrielle et la transformation industrielle ainsi que l’esprit industriel comme des invasions dans notre corps. Auparavant, cela se produisait indirectement, les cancers par le biais des produits toxiques. Vous vous êtes battus sur les cas de cancer de Monsanto. Tout cela est une invasion dans le corps. Mais maintenant, on nie consciemment qu’il y a une harmonie entre la santé des sols, la santé des plantes et notre santé. Le microbiome de notre intestin est une forêt tropicale de diversité. Et s’il ne reçoit pas de nourriture diversifiée et fraîche, c’est comme une guerre contre notre microbiome intestinal, qui représente 90% d’entre nous en termes de biodiversité. Nous sommes 10 % d’êtres humains, 90 % d’autres êtres qui nous maintiennent en bonne santé, qui nous font. Et la guerre contre notre corps en est à ses derniers stades.

Mais elle se déroule à un moment où la prise de conscience sur la santé est de plus en plus importante. Où la prise de conscience de la biodiversité est si importante. Et maintenant, ils se disent : « Oh, ce que nous avons fait quand le colonialisme a commencé, il suffit de changer les mentalités, de les traiter de barbares, de les civiliser ». Je veux dire qu’ils continuent à faire le récit d’une mission civilisatrice. Et c’est pourquoi j’ai écrit mon livre, L’Unité contre le 1%. J’ai dit, Bill Gates, continue de parler d’innovation, tout ce qu’il fait c’est de la colonisation. Et j’ai montré en gros comment c’est la colonisation.

RFK, Jr : Oui, c’est ça. Et c’est de cela que je veux vous parler. Et j’ai un article pour lequel je vous ai interviewé longuement et qui est publié dans The Defender cette semaine, sur le nouveau féodalisme de Bill Gates. Les journaux américains ont finalement reconnu la partie émergée de l’iceberg de ce qui se passe parce qu’ils ont découvert soudainement qu’il était désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis d’Amérique. Il a fait cette campagne de santé pour s’approprier nos terres agricoles. Personne ne savait qu’il le faisait. Il l’achetait par le biais de sociétés écrans, d’investissements en cascade et d’autres moyens. Et ce que je fais dans cet article, avec votre aide, c’est faire le lien avec ce qu’il fait dans ce pays.

Il investit également dans Alphabet, une société de Google, et développe des robots agricoles qui remplaceront les agriculteurs. Il développe l’intelligence artificielle et vole le savoir, comme il l’a fait en Inde, au petit paysan. Il a mis des caméras dans leurs maisons, dans leurs champs. Il a mis des capteurs partout pour savoir comment ils utilisaient les semences.

Et puis il a pris les banques de semences, il y a 15 banques de semences dans le monde qui stockent toutes les semences du patrimoine de l’humanité, 786 000 espèces de semences. Elles sont là pour l’humanité, pour le bien commun, et il a pris le contrôle de cette banque de semences, l’a consolidée et est en train de la privatiser et de modifier la composition génétique de ces semences, en les rendant chimiquement dépendantes, afin de pouvoir breveter toute la vie qui a été développée pendant 20 000 ans d’agriculture sur cette planète.

Je veux commencer à raconter cette histoire sur ce qui s’est passé pendant la révolution verte, qui a été lancée par les Rockefeller, principalement en Inde et au Mexique. Gates l’a déplacée au début des années 2000 en Afrique. Gates et la Fondation Rockefeller. Et ils ont commencé à faire la même chose là-bas. Et c’est la même chose qu’il a fait avec les vaccins. Il y a un problème humain, qu’il dit être la faim ou la maladie, et je vais le résoudre avec ma technologie, qui est les cultures OGM, les semences brevetées, les aliments synthétiques, l’agriculture chimique, les pesticides, les monocultures fertilisantes à base de pétrole.

Il s’est rendu dans 13 pays africains et les a forcés à pratiquer l’agriculture intensive, à accepter ses intrants, à construire la chaîne d’approvisionnement et aujourd’hui, 131 millions de personnes meurent de faim dans ces pays. Le taux de famine a augmenté de 30 %. Et il essaie maintenant de faire la même chose au reste du monde. Et je sais que vous êtes actifs en Afrique et que vous les combattez depuis de très nombreuses années. Et cela a vraiment contribué à alerter le monde à ce sujet. Il ne s’agit pas d’agriculture, il ne s’agit pas de nourriture, il s’agit de s’emparer de nos terres et de nous donner une nourriture vraiment malsaine.

Vandana Shiva : Bobby, tu sais mieux que quiconque que nous sommes témoins des deux schémas de l’ancienne colonisation d’il y a 500 ans. Et je pense qu’il est très important que Black Lives Matter se réveille face à l’empire Gates, qui est un empire raciste. Ils peuvent nommer à leur tête ou donner quelques emplois, mais c’est la mentalité et les processus structurels qui décident des systèmes.

Alors qu’il utilise cette vieille mentalité, il utilise bien sûr de nouveaux outils, et ces nouveaux outils sont essentiellement le génie génétique. Et j’avais commencé Navdanya, qui signifie neuf graines, ce qui est la diversité, lorsque j’ai été convoquée à une réunion en 1987 avec l’ancien cartel du poison. « Maintenant, nous possédons les semences, nous ne gagnons pas assez d’argent en vendant des produits chimiques, nous devons rendre illégal pour les agriculteurs le fait d’avoir des semences.

Nous posséderons les semences en tant que propriété intellectuelle et nous aurons un manteau international appelé propriété intellectuelle liée au commerce de l’OMC pour obliger les agriculteurs à acheter des OGM brévetés. J’ai dit : « Mais c’est vraiment mal. C’est un empire sur la vie ». Et j’ai pris un engagement, je vais sauver les semences. Je veux travailler avec notre gouvernement sur des lois qui disent que les plantes, les animaux et les semences ne sont pas brevetables.

RFK, Jr : Laissez-moi vous interrompre une seconde parce que beaucoup de gens qui écoutent ça ne comprendront pas pourquoi les semences OGM sont liées aux produits chimiques. Et laissez-moi vous expliquer très brièvement ce qui s’est passé, lorsque le DDT a été interdit en 1974, et c’était le produit de Monsanto, ils ont acheté un autre produit appelé glyphosate. Quelqu’un l’avait pris, c’était un nettoyant de réservoir, quelqu’un l’avait jeté dans le jardin et avait vu qu’il tuait toute l’herbe. Et Monsanto a dit : « Ce serait un bon désherbant. » Il en a fait un désherbant, l’a commercialisé comme un petit désherbant. Des centaines d’ouvriers agricoles portaient des pulvérisateurs à dos et pulvérisaient les mauvaises herbes dans les champs de maïs avant que le maïs ne devienne trop gros.

Puis, en 1994, quelqu’un a mis un peu de ce glyphosate sur le sol, et il y a eu une mauvaise herbe qui n’est pas morte. Monsanto a retiré de cette mauvaise herbe le gène qui la rendait résistante au glyphosate et l’a mise dans le maïs. Et maintenant ils avaient du maïs, qui ne mourrait pas si on le pulvérisait avec du glyphosate. Maintenant, vous pouvez virer tous ces ouvriers agricoles et vous louez un avion qui sature tout le paysage de glyphosate, et la seule chose qui vit, c’est ce maïs OGM.

Et c’est maintenant le pesticide le plus répandu au monde. Je pense que 80 % des pesticides dans le monde sont des OGM et ils ont cultivé toutes sortes de nos céréales. Et tous nos aliments et nos fruits sont maintenant génétiquement modifiés pour résister au Roundup, pour que vous puissiez les répandre dans tout le paysage. Ce que nous constatons, c’est que la façon dont il tue les plantes est qu’il aspire tous les minéraux et détruit les éléments constitutifs de la vie. Les déchets que vous recevez n’ont pas les minéraux dont vous avez besoin, vous pouvez avoir le ventre plein, mais vous pouvez mourir de malnutrition. Et c’est l’une des choses que vous avez vraiment démontrées mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Vous avez raison. Que ce soit la révolution verte en Inde, où Borlaug a marié les engrais chimiques à des variétés de plantes naines, ou les vols de Monsanto, qui a pratiquement déjà fabriqué le glyphosate Roundup, en fait du Roundup. Et puis ils ont poursuivi en justice toutes les entreprises qui faisaient du génie génétique pour pouvoir les racheter. Ils n’ont jamais rien fait. Monsanto, aucune de ces entreprises n’a fait de travail. Ils ont juste poursuivi, et poursuivi, et poursuivi. Et le génie génétique, les brevets et les produits chimiques vont ensemble.

Et maintenant, les mêmes Rockefeller qui ont lancé l’industrie chimique avec l’IG Farben, et qui ont également lancé l’ensemble des produits pharmaceutiques irresponsables. Vous savez, nous avons la médecine depuis toujours. Et Hippocrate a dit : « Que la nourriture soit ta médecine ». L’Ayurveda dit « que la bonne nourriture est le seul médicament, et que la mauvaise nourriture n’a pas de médicament pour guérir les maladies qu’elle provoque ». Tout cela est connu. Cent ans de mauvaise … comment s’appelle-t-elle ? Il y a un joli mot pour ça, l’huile de serpent ? Vendre de l’huile de serpent.

Et maintenant, les grandes entreprises pharmaceutiques, technologiques, informatiques et financières l’appellent FinTech. C’est en gros utiliser des mesures et des portefeuilles spéculatifs numériques, transformer la terre en portefeuille, la biodiversité en portefeuille, et penser que c’est de l’économie intelligente. Et malheureusement, le pauvre Attenborough est allé dire : « Les écologistes ne connaissent pas la biodiversité. Et Aristote avait dit : « L’économie est l’art de vivre ». La chrématistique est l’art de faire de l’argent.

Donc maintenant, dans l’art de faire de l’argent, il y a le Big Ag, le Big Food, le Big Tech, le Big Everyone qui veut devenir plus grand comme une cellule cancéreuse. Et le nouveau Gates Ag One est cette convergence. Elle a un an. L’année dernière, en janvier, il l’a annoncée. Et comme il le dit, le temps est l’ennemi. Quand seuls des gens stupides pensent que le temps est l’ennemi. Les gens sages savent que le temps est votre ami qui met à l’épreuve le meilleur de vous-même. Après tout, M. Gates nous a tous enfermés pendant un an, et le temps nous a appris ce que sont les merveilleuses amitiés et l’amour. Il nous a appris la suffisance et la simplicité, ce dont nous pouvons nous passer. Ils ne se rendent pas compte qu’il y a un monde vivant dehors. Et je pense que M. Gates, en plus d’avoir la maladie de la cellule cancéreuse, ne sait pas quand s’arrêter de croître… Les cellules saines savent comment s’arrêter de croître. Je pense qu’il a une maladie du pouvoir et une maladie de la peur parce que… J’ai dit : pourquoi cet homme a-t-il si peur du moindre microbe et si peur du moindre petit fermier qui proteste dans les rues indiennes aujourd’hui ? Pourquoi a-t-il si peur d’une plante qui se reproduit gratuitement ? Et pourquoi a-t-il si peur de la démocratie que si l’Inde dit non au riz OGM, le riz doré, une fausse solution à la cécité de l’or, ou l’aubergine Bt, que nous avons jetée en 2001 par l’intermédiaire de notre ministère, lors de sept audiences publiques, où le gouvernement a écouté les agriculteurs, et a écouté les citoyens et les scientifiques.

RFK, Jr : Et il s’agissait de cultures OGM qu’il a essayé d’imposer à l’Inde, et l’Inde les a rejetées. Mais il s’est installé au Bangladesh et au Pakistan avec son coton OGM. Il ne veut rien d’autre que les OGM.

Vandana Shiva : Mais il a aussi déplacé le riz doré aux Philippines, pour lequel il y a un énorme mouvement, pas de riz doré. Et cela revient à la question des semences. Donc, quand la révolution verte a commencé et que les Rockefeller et la Banque mondiale ont pris toutes les semences des agriculteurs pour les forcer à avoir des semences de la révolution verte avec des produits chimiques, ces 15 banques de semences ont été créées, et toutes nos semences se trouvent là-dedans.

Aujourd’hui, Gates a pris le contrôle de ce système public de semences. Et la banque de semences de riz aux Philippines, où l’on travaillait sur le riz doré, le riz doré OGM, la raison pour laquelle il est important de suivre cela est une, toutes les semences de riz sont là. Nous avons toutes les 200 000 variétés de riz. Et nos meilleurs scientifiques ont refusé de se séparer des semences. Ils ont dit : « C’est notre héritage. C’était notre civilisation. Nous ne pouvons pas laisser la Banque mondiale s’en emparer ». La Banque mondiale a fait en sorte qu’il soit démis de ses fonctions de meilleur scientifique de son temps, le Dr Richharia. C’est mon professeur. Et donc, quand Gates s’empare de la banque de semences aux Philippines, et qu’il fait du riz doré, il se prépare maintenant. Et c’est là que nous avons besoin de la désobéissance civile, Bobby. Nous devons tous nous donner la main. Cette année, le 16 octobre, Journée mondiale de l’alimentation, ou avant le Sommet de l’alimentation, qu’il a détourné, faisons une désobéissance civile contre l’alimentation forcée de la mauvaise nourriture. Qu’il s’agisse d’aliments de laboratoire, comme l’Impossible Burger, ou de riz doré, car il prépare la biofortification qui sera rendue obligatoire. Et nous avons vu comment il peut rendre les choses obligatoires.

RFK, Jr : Laissez-moi vous expliquer ce que Vandana Shiva dit à propos du Sommet de l’alimentation. La plupart des gens qui regardent cette émission savent qu’en 2010, 2009, Bill Gates est allé devant les Nations Unies, a promis 10 milliards de dollars à l’Organisation mondiale de la santé, et la plupart de ces fonds ont fini par venir du gouvernement, pas de lui, mais il a versé quelques milliards. Et il a déclaré une décennie de vaccins. Personne ne lui a prêté beaucoup d’attention. Mais il a été le premier fonctionnaire non élu, sans portefeuille diplomatique, à se présenter devant les Nations unies et il a fait cette déclaration.

Immédiatement, il a commencé à faire tourner toutes ces roues. Il a créé tous ces groupes qui luttent contre la vaccination, et il a commencé à promouvoir les vaccins dans le monde entier … et il a créé toutes ces organisations quasi-gouvernementales, la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness], PATH et GAVI [Alliance pour les vaccins] que tout le monde croit être des gouvernements, mais ce n’est que Bill Gates. Il a pris la tête de l’Organisation mondiale de la santé au cours de cette décennie.

Même le Financial Times a déclaré qu’aucune décision n’est prise à l’Organisation mondiale de la santé qui ne soit d’abord gérée par la Fondation Gates. Et en 2019, l’Organisation mondiale de la santé sort en janvier, et déclare que le refus des vaccins est l’une des 10 plus grandes menaces pour la santé mondiale. A-t-elle proposé une étude scientifique pour le prouver ? Non. Ils l’ont juste déclaré. Immédiatement, le monde s’est mis en ordre. Dans 150 pays, les législatures, les politiciens qui sont à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques et qui font pression pour obtenir des obligations vaccinales et abolir les exemptions.

Aux États-Unis, en l’espace de trois mois, 100 projets de loi dans 50 États ont été introduits dans le processus législatif pour rendre les vaccins obligatoires et pour interdire les exemptions… Adam Schiff, qui avait reçu de l’argent de Gates, le chef du Comité des renseignements, se présente et dit aux PDG des médias sociaux, Pinterest, Facebook, Google, tous, Instagram, YouTube, « Vous devez commencer à censurer la désinformation sur les vaccins ».

Et puis nous avons eu le rouleau compresseur jusqu’en 2020, et 2020 en janvier, juste à temps pour sa décennie de vaccins, nous avons eu le Covid. Et Fauci, qui est son partenaire, investit 48 milliards de dollars dans la promotion des vaccins. Chaque jour, M. Gates passe à la télévision en disant : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, nous devons rester enfermés. Nous allons faire s’effondrer l’économie mondiale jusqu’à ce que vous fassiez tous ce qu’on vous dit et que vous soyez tous vaccinés ».

Il a payé des études pour tuer l’ivermectine, pour tuer l’hydroxychloroquine, pour les discréditer. Nous avons dépensé dans notre pays 0 dollar pour des antiviraux, des antiviraux disponibles sur le marché, pour la recherche, pour la vitamine D, pour toutes les choses que nous savons qui réduisent le nombre de décès dus au COVID. Rien de tout cela n’a été étudié. Rien de tout cela n’a été recommandé. Au lieu de cela, tout l’argent, 48 milliards de dollars, a été consacré aux vaccins.

Maintenant, il reproduit cela. Il a réussi avec sa Décennie des vaccins au-delà des rêves les plus fous. Et maintenant, il est passé à la deuxième partie, qu’il a déclarée Décennie de l’alimentation, et il fait la même chose. Il s’agit d’aliments chimiques. C’est de la nourriture synthétique. Il possède les « Impossible Burgers », « Beyond Beef », toutes ces choses qui sont chargées de pesticides, et il essaie de faire sortir les agriculteurs des fermes, il prend le contrôle des fermes avec ses robots et son intelligence artificielle en Inde, en Afrique, et maintenant aux États-Unis, et il nous donne des aliments malsains, et il contribue aux maladies chroniques qui vont nous rendre dépendants de ses médicaments. Oh, vous connaissez la suite de cette histoire, Vandana Shiva, et vous la racontez mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Eh bien, je pense que ce à quoi les gens qui aiment la vie et la liberté devraient se préparer maintenant, c’est, A, le fait que oui, avec ce Gates Ag One, il veut une agriculture unique sur une planète avec tant de diversité. Nos zones humides avec le riz sont très différentes de nos terres arides avec le mil. Nos systèmes de granges du Bengale sont très différents des systèmes désertiques de Rogerstown. Et la seule agriculture qu’il souhaite est ce système qui est dirigé de l’extérieur, où deux des produits chimiques d’après-guerre sont ajoutés, les OGM, qui sont devenus après les années 1990 avec l’OMC et leur diffusion et le brevetage. Et maintenant, il veut ajouter l’agriculture numérique, l’agriculture sans les agriculteurs. Et bien sûr, le récit d’aujourd’hui, tout comme celui de l’époque, c’est que nous nous développons bien grâce à l’air car nous fixons l’azote en brûlant des combustibles fossiles. Eh bien, c’était un mythe. Ils ont ruiné la terre. Ils ont ruiné les océans. Ils ont ruiné le climat, 300 fois plus mortel que le dioxyde de carbone, l’oxyde nitreux qui est émis par les engrais azotés.

Ils ont donc dit que le sol est vide. Je l’appelle terra nullius. C’était la jurisprudence de l’époque coloniale. Puis ils ont breveté la semence et fait croire que la vie est vide. Je l’ai appelé bio nullius. Et M. Gates était en train de créer son nouvel empire. Je l’appelle mente nullius, les esprits vides. Nous allons vider les esprits en exploitant les données et en les brevetant, en transformant tout le monde en zombie, en les évaluant et en leur attribuant une valeur. Et comme l’a dit la recherche, vous ne posséderez rien. Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien. Et tout sera à eux. Donc pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées, juste de l’argent, de l’argent, de l’argent entre leurs mains, et eux étant une machine d’extraction.

Parce que depuis 1991, tout a été essayé à l’époque qui a créé Gates. Il n’était pas aussi riche qu’il l’était jusqu’à la déréglementation de la finance et de l’informatique. Lors de la première réunion de l’OMC, il est parvenu à faire en sorte que le commerce de l’information soit exonéré de droits et de taxes. C’est ainsi que tous ces géants de la technologie sont devenus si riches.

Alors pour comprendre ce qu’il se passe maintenant, rappelons qu’ à l’époque, l’OMC disait que les semences seraient brevetées. Et la plupart des semences ne le sont pas. La deuxième chose, c’est que les Cargill veulent faire du commerce agricole et qu’il n’y aura plus de système de souveraineté nationale pour protéger les droits à l’alimentation. C’est contre cela que les agriculteurs arméniens se battent en ce moment. Et la troisième, c’est ce qu’ils ont appelé des mesures sanitaires et phytosanitaires, c’est-à-dire interdire la bonne nourriture et faire de la malbouffe la seule option. C’est pourquoi nous avons des maladies chroniques.

Aujourd’hui, M. Gates fait passer tout cela à l’étape suivante. Oh, il y a eu des lois créées pour m’empêcher de voler. Je vais faire de la cartographie génomique numérique et contourner toutes les lois internationales. Et en ce qui concerne le commerce international de la nourriture, si des mouvements se développent pour la vraie nourriture et la souveraineté alimentaire, laissez-moi créer de la fausse nourriture dans les laboratoires et créer la famine et la faim par le confinement. Il n’y a donc pas de nourriture, les agriculteurs sont détruits et l’agriculture se fait sans les agriculteurs. Et pourquoi se préoccuper uniquement du Pepsi, de la malbouffe et du Coca-Cola ? Nous sommes aussi les plus grands pollueurs de plastique au monde. Non, non, non. Ce que nous faisons maintenant, c’est fabriquer de la nourriture totalement fausse et nous ferons du droit à une bonne alimentation un crime, tout comme le droit de connaître sa santé, le droit d’avoir les bons médicaments, le droit pour des sociétés entières d’avoir des connaissances médicales approfondies, que tout cela se transforme en crime. Nous avons vu cela se produire.

RFK, Jr : Laissez-moi vous donner un exemple de ce dont vous parlez. Gates possède une grande participation dans Philip Morris, qui est propriétaire de Kraft Foods et de General Foods. Et ils font des aliments transformés et ils fabriquent des fromages américains simples et du Cheez Whiz. Ces produits sont tellement dénués de valeur nutritive que le gouvernement oblige ces entreprises à y ajouter des vitamines, de la vitamine A, de la vitamine C, etc. Il y a des vitamines dans ces produits. Ce que Gates fait maintenant dans toute l’Afrique, dans le monde entier, c’est qu’il fait passer des lois, il achète des politiciens et impose des obligations pour des aliments enrichis afin que vous ne puissiez pas vendre des aliments sur les marchés africains, à moins qu’ils ne soient enrichis. Eh bien, la nourriture, le fromage de chèvre que l’agriculteur fabrique dans le Masai Mara au Kenya n’a pas besoin d’être fortifié. Il contient déjà tous les nutriments que nous voulons, mais cet agriculteur ne pourra pas vendre ce fromage de chèvre sur son marché local. Au lieu de cela, Cheez Whiz aura le monopole sur ce marché. Et c’est l’une des façons dont il utilise les propos de Vandana Shiva sur l’illégalisation de la santé ou la mise au ban des aliments sains pour ouvrir ces marchés et nous obliger à manger ses aliments sales et toxiques.

Vandana Shiva : Deux petites choses, Bobby. Phillip Morris est également responsable du sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui se présente sous la forme d’un sucre synthétique. Ce sirop a provoqué une cirrhose du foie chez les bébés et est ajouté à tous les aliments parce qu’il crée une dépendance. Deuxièmement, l’Inde est une terre de diversité et de richesse. Nous avons toujours dit, en Hindoustan, que la diversité est notre voie. Nous avons tellement d’en-cas et d’aliments qu’on ne peut pas goûter la même chose à trois endroits. Tout cela est unique. Ils ont interdit tout cela. J’ai vu tout cela disparaître. Ils ont interdit nos moulins à huile vierge à pression à froid. Cinq millions d’entre elles ont été fermées en 1998 quand Cargill et Monsanto ont voulu nous inonder de musoya génétiquement modifié. Nous avons vu cela se produire. Il est donc important de tirer les leçons de la révolution verte de la mondialisation. Et maintenant, voyez comment la concentration de tout cela entre les mains d’un Bill Gates accélère ce qui a été mis en place et nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour empêcher une prise de contrôle totale de nos semences, de notre nourriture, de notre liberté.

RFK, Jr : Vandana Shiva, nous n’avons plus le temps. Merci beaucoup. Dites aux gens comment ils peuvent vous soutenir dans votre travail.

Vandana Shiva : Eh bien, pour tous ceux qui écoutent, la première est que, plus tôt à la ferme, nous avons eu des expériences d’apprentissage sur la façon d’apprendre de la terre et de faire pousser de la bonne nourriture. Mais en ce moment, nous avons ces cours comme des cours de zoom. Et vous pouvez aller sur le site web de navdanya N-A-V-D-A-N-Y-A.org. Vous pouvez devenir un guerrier des semences, un guerrier de la nourriture.

Écrivez-moi à Vandana Shiva : shiva@gmail.com. Et nous avons aussi un programme international appelé Navdanya International, où nous venons de faire un reportage, Gates to a Global Empire. Si vous voulez en savoir plus sur les activités de Gates, lisez ce rapport. Il est disponible en téléchargement gratuit. Et faisons de cette année l’année de la transition de l’empire Gates vers la liberté de toute vie sur cette planète et de tous les habitants de cette planète dans toutes leurs libertés et dans toute leur diversité.

Et au fait, je m’appelle Shiva parce que mes parents ont combattu le système des castes. Et ils ont dit : « Nous voulons prendre un nom qui n’est pas un nom de caste. » Et donc ils ont pris le nom d’une divinité et dans le christianisme, il y a une trinité, mais nous avons des millions de divinités. L’herbe est une divinité, le sol est une divinité, les rivières sont des divinités et la mère Gange est notre mère. Et c’est beau. L’Inde est si belle en reconnaissant les forces divines dans toute vie, et vous devez donc les protéger. Mais nous avons aussi une Trinité et il y a Brahma le créateur, Vishnu, le mainteneur, et Shiva, qui détruit les mauvais systèmes pour en créer de nouveaux. Joignons nos mains pour créer de nouveaux systèmes.

RFK, Jr : Un nom parfait pour vous, Vandana Shiva. Merci de vous joindre à moi. Suivez Vandana Shiva et vous pouvez lire mon article dans The Defender cette semaine sur notre collaboration avec Vandana Shiva. Merci beaucoup de vous joindre à nous.




À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du Covid19 sont victimes de maltraitance collective

Par Dr Nicole Delépine

À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du covid19[1] sont victimes de maltraitance collective

AUCUNE RAISON MÉDICALE DE LES PRIVER D’ÉCOLE comme le réclament les médecins scolaires

Covid-19 : fermeture des écoles réclamée par les médecins scolaires — (lasanteauquotidien.com) 

« Les médecins de l’Éducation nationale demandent, dès à présent, la fermeture de tous les établissements scolaires pour quatre semaines. Le but : freiner la propagation des variants qui sont plus contagieux chez les jeunes. Nombre exponentiel de cas contacts »

Ralentir la circulation du virus et de ses variants et éviter un confinement.
C’est l’objectif du Syndicat national des médecins scolaires et universitaires qui réclame la fermeture de toutes les écoles de France. Les médecins scolaires, dans ce communiqué, prétendent que les élèves « sont des maillons actifs de la chaîne de transmission, surtout depuis l’apparition des nouveaux variants ». D’autant que la présence du virus en milieu scolaire serait « de plus en plus forte ». Preuve en serait l’augmentation des établissements scolaires confrontés à des cas positifs de variants. Sans compter le nombre de cas contacts prétendument « exponentiel ».

Heureusement le ministre fait la sourde oreille !

Les médecins de l’Éducation nationale sont montés au créneau lundi 8 février, premier jour de congés pour la zone A (Lyon). Ils réclament, à leur ministre de tutelle, de « tenir compte de l’avis des médecins de l’Éducation nationale qui sont experts de la promotion de la santé à l’école ».

Pour ces médecins, « deux semaines de vacances d’hiver ne suffiront pas à diminuer l’incidence de la pandémie en milieu scolaire. » Lundi, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, semblait faire la sourde-oreille à leurs revendications, campant sur sa position de ne fermer les écoles « qu’en dernier recours ».

LE MINISTRE RÉSISTE À JUSTE RAISON

Le ministre résiste et il a bien raison à tous égards : aucun, absolument aucun argument sanitaire pour la fermeture des activités scolaires et une catastrophe éducative et psychologique avérée déjà énorme à la suite des fermetures successives qui n’auraient jamais avoir eu lieu et des mesures de distanciation injustifiées qui perturbent les enfants.

Il est étrange que les médecins scolaires ne tiennent pas compte des faits démontrés depuis un an :

  • les enfants ne font pas de formes graves pour les rares cas cliniques ;
  • les enfants ne contaminent ni les adultes ni les enfants[2] ;
  • les enfants sont moins contaminés dans les écoles que dans la famille.

Les variants de covid19 ne sont pas plus dangereux que les précédents.

L’augmentation des cas n’est pas exponentielle doit être mis en rapport avec l’augmentation considérable du nombre de tests recherchés.[3] Une augmentation est dite exponentielle lorsqu’elle suit une équation utilisant une puissance N=N0t/p qui n’est pas absolument pas le cas ici puisque l’augmentation hebdomadaire des cas des enfants d’une semaine à l’autre n’a été que de 10% (12520 cette semaine contre 11864 la semaine précédente et 10003 la semaine d’avant soit au total 0,1% des enfants scolarisés). Qu’on se le dise ! Pas exponentielle, oubliez le terme, les matheux doivent trembler.

Les contaminations des enfants qui sont sans risque ni pour eux ni pour leur entourage préparent l’immunité collective qui protégera les personnes âgées.

Les « cas » ne sont pas des malades,[4] mais des enfants majoritairement en bonne santé qu’on aurait dû laisser tranquilles s’ils n’ont pas de symptômes conformément aux recommandations de l’OMS.

Conséquences dramatiques des mesures imposées depuis des mois sans justification sanitaire

Les enfants privés d’école sont en grand danger psychologique affectif en plus du manque d’apprentissage et de nombreux décrochages[5]. Les mesures imposées sont très traumatisantes.

Les masques sont inutiles et dangereux [6] [7] [8] [9]

les médecins scolaires feraient mieux de défendre les enfants contre le port du masque toxique et inutile et toutes les mesures de distanciation injustifiées et mauvaises pour leur état mental.

Les tests sont peu fiables et déconseillés en dehors de signes cliniques[10] [11] [12] [13]

Les médecins scolaires comme les autres devraient faire stopper cette honteuse campagne de tests dans les écoles, informer et réinformer politiques et citoyens que les tests PCR ne sont pas fiables pour détecter un virus particulier.

La société de microbiologie française a rappelé qu’ils ne devaient être utilisés qu’à la demande d’un médecin sur des signes cliniques d’un patient et jamais à l’aveugle.

L’OMS a également rappelé ces notions le 21 janvier 2021, certes tardivement, mais clairement.[14]


Notes

[1] « Non, les enfants ne transmettent pas le Sars-cov-2 », selon le Dr Gérard Delépine — Nexus

[2] Les grands-parents peuvent aller chercher leurs petits-enfants à l’école et les embrasser sans risques ! (francesoir.fr)

[3] Terme « exponentiel « utilisé largement dans les médias à mauvais escient par les animateurs ou invités ! Joli mot pour faire peur ? Mais pas dans son acception exacte !

[4] Belgique, masques et confusion entre tests positifs (dits « cas ») et vrais malades. Dommage ! (francesoir.fr)

[5] La fermeture des écoles : facteur d’aggravation des conséquences négatives du confinement (francesoir.fr)

[6] Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr)

[7] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! (francesoir.fr)

[8] Les masques et les enfants : que faire en cas d’effets indésirables ? Ou le parcours d’une maman devenue combattante… (francesoir.fr)

[9] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

[10] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[11] Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR (francesoir.fr)

[12] recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[13] ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Citations médicales sur les vaccinations

[Source : L’école à la maison]

Le Dr SALK​ a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50). Il dit:

« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »

« J’ai découvert que tout le business des vaccins était en fait un énorme canular. La plupart des médecins croient à l’utilité des vaccins, mais si vous vous donnez la peine d’étudier les statistiques correctes, ainsi que les circonstances au cours desquelles sont apparues les diverses maladies, vous réaliserez que les choses ne sont nullement comme on nous les présente. »

Dr A. KALOKERINOS, M.D., Juin 1995

« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »

Dr Paul-Emile CHEVREFILS

« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’elles contractèrent après avoir été vaccinées. »

Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)

« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »

British Medical Journal 1967

« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. »

Dr. MOSKOWITZ

« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »

Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society

« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ? »

Dr MENDELSOHN

« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. »

Medical Journal of Australia 1978

« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »

Center for Control Diseases 1977

« C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. »

Dr Bernard RIMLAND directeur et fondateur du Autism Research Inst. of San Diego

« Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffrent plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. »

Dr Philip INCAO

« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants — ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »

Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)

« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent à le vendre tout de même. »

Dr Anthony MORRIS anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. »

Nicholas REGUSH, journaliste médical

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné »

« …Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit… financé par le contribuable. Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de la République, l’obligation vaccinale pour le B. C. G. »

(La Médecine retrouvée, Dr Jean ELMIGER)

« … Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes… La poule aux œufs d’or de l’Institut P… finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé… » « …Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale > foudroyante… » « …Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau… On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal. »

Dr Alain SCOHY

« La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué.»

Dépêche AFP, 1er février 1997

«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger… Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»

Dr Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)

« Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine… » « …Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»

Le Concours Médical (20 janvier 1974)

« …Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. »

Dr Kris GAUBLOMME

« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »

Dr TORCH (« Neurology 1982 »)

« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio… »

Science et Vie (décembre 1996)

« …Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies… »

Dr Yves COUZIGOU

« …Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu… Qui parle ici d’ingestion ? …Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle… Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Depuis1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité. »

Dr SCHEIBNER (Expert Australien)

« …Après l’échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. »

Pr GREENBERG

« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d’individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l’échelle planétaire. »

(Sida, le vertige, Dr Louis de Brouwer)

« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c’est violer y collaborer est meurtrier. »

Dr Guylaine LANCTOT

« La vaccination est le modèle de l’incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l’esprit scientifique. »

Dr Jacques KALMAR

« L’ânerie humaine est la source des pires catastrophes… » (Montaigne)
« …Mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter. »

Dr Toulet

« L’effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »

Pr Louis Claude Vincent

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination.»

Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)

« Quand les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C’est grâce à eux que s’est développée une meilleure hygiène et que l’on a pu avoir une meilleure nourriture. (…) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n’êtes plus la proie des maladies. »

Peter Duesberg, Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Berkeley

« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence — c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n’existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.»

Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection. […] Le mal qui est fait est incalculable. »

Pr R. Delong, Virologue et immunologue de l’université de Toledo aux États-Unis.

« En 1945, la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué »

Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécuritésociale (n° 1 de 1974)

« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)

« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »

Pr Alain Fisch

« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu’ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l’expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. »

Dr Lacaze

« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de chœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »

Dr René DUFILHO

« Si l’on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

G. Bernard SHAW

« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. »

Dr Hubert BOENS

« Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science, mais sur l’argent. »

G. Bernard SHAW

« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »

Pr Jules TISSOT

« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique.»

Dr Jacques KALMAR

« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »

Dr Jane ORIENT Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens

« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »

Dr Jacques KALMAR

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »

Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)

« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »

Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)

« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. »

Dr Jacques KALMAR

« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)

« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. »

Dr Jacqueline Bousquet

« Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. »

Pr . P. DELOGE Tendance de la médecine contemporaine 1962)

« Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. »

Pr . André LWOFF (Prix Nobel de médecine )

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »

Drs H. BUTTRAM et J. HOFFMANN

« Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. »

Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)

« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »

Dr. William FROSEHAVER

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »

Bibliographie (Liste non exhaustive)
  • Vaccinations, les vérités indésirables, Pr. M. GEORGET, Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny.
  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Pr Michel GEORGET.
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, F. DELARUE, LNPLV.
  • Vaccination, le marché de l’angoisse, Dr G. BUCHWALD, ALIS.
  • La mort subite du nourrisson, Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • La mafia médicale, Dr G. LANCTOT, Ed. Voici la clé.
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie SIMON, Ed. Filipacchi.
  • Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr L. De BROUWER, Ed. Louise Courteau.
  • Les vaccins, racket et poisons ? Dr P.E. CHEVREFILS, Librairie Transatlantique.
  • Danse avec le diable, G. SCHWAB, Ed. Courrier du livre.
  • La guerre des virus, L. HOROWITZ, Ed. Félix.
  • Au cœur du vivant, J. BOUSQUET, Ed. Saint Michel.
  • Vaccination ; la grande illusion, R. BICKEL, auto-édité.
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, R. BICKEL, auto édité.
  • Vaccinations : l’Overdose, Sylvie SIMON, Ed.Déjà.
  • Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, Édit. Thierry Souccar.
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis.
  • Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • La santé confisquée, Mirko et Monique BELJANSKI, Ed. Compagnie.
  • La lumière médicale, Dr Norbert BENSAÏD, Ed. le Seuil.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • On peut tuer ton enfant, Dr P. CHAVANON, Ed. Médicis.
  • Les vérités indésirables, Le cas Pasteur, Archives Internationales Philippe DECOURT, Ed. La Vieille Taupe, 1989.
  • L’intoxication vaccinale, F. DELARUE, Ed. Le Seuil, 1977.
  • La rançon des vaccinations, Simone DELARUE, Ed. LNPLV, Ed 1988.
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr. Bruno DONATINI, Ed. MIF.
  • Des lobbies contre la santé, Roger LENGLET, Ed. Syros
  • La médecine retrouvée, Dr. J. ELMIGER, Ed. Léa
  • Maladies auto-immunes, Dr J. ELMIGER, Biosophie.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. QUENTIN, Ed. Vivez Soleil.
  • Des enfants sains même sans médecin, Dr R. MENDELSOHN, Ed. Soleil 1987.
  • Immunologie et vaccinations, D. Jacques KALMAR, Edit Les Bardes.
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Tal Schaller, Edit. Testez.
  • La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? Dr. Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950.
  • Les dessous des vaccinations, Dr. A. SCOHY, Ed. Cheminements.
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., Pr GRIGORAKI.
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, Miller Schär MANZOLI.
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr A. BANOIS — Sylvie SIMON.
  • Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence.
  • 12 balles pour un veto, Dr. QUIQUANDON, Ed. Agriculture et Vie, 1978.
  • Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?L’avis d’un Avocat, Jean-Pierre JOSEPH, Edit.Testez.
  • Les radis de la colère, J.-P. JOSEPH, Ed. Louise Courteau.
  • Nous te protégerons, Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt.
  • La faillite du B.C.G., Dr. Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps.
  • La Santé Publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel.
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur. Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • Vaccination, Social Violence and Criminality, Dr H.COULTER, North Atlantic Books, Berkley 1990.
  • A shot in the dark, Dr. H. COULTER et B. Loe FISHER, Avery Publishing group.
  • Live viral vaccine, biological pollution, Pr. R. DELONG, Cartlon Press Corp, New York, 1996
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996.
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991
  • Etc.



Comment Merkel a fabriqué le consentement au confinement

[Source : Le courrier des stratèges]

François Stecher revient pour nous sur l’étrange fabrique du consentement au confinement telle qu’Angela Merkel l’a pratiquée. Il analyse les informations explosives révélées par Die Welt ce week-end, indiquant que le ministère allemand de l’Intérieur a cherché à justifier scientifiquement un confinement décidé pour des raisons politiques. Un élément de plus qui montre comment la pandémie de coronavirus est utilisée pour mettre les populations au pas.


François Stecher

Ingénieur établi en Allemagne depuis plusieurs années, contributeur irrégulier de différents médias alternatifs.

Dimanche 7 février, l’édition dominicale du quotidien allemand « Welt », « Welt am Sonntag » a publié un article assez court, qui aurait déjà provoqué une déflagration et des dégâts importants dans l’appareil d’État si cette parution avait eu lieu dans un cadre « normalement » démocratique.

Die Welt révèle la mise en scène du confinement

S’appuyant sur une abondante correspondance électronique – pas moins de 200 pages – échangée entre la direction du ministère fédéral de l’Intérieur et divers instituts de recherches médicales et autres écoles supérieures, les auteurs de l’article expliquent que le dit ministère, sous la férule d’Horst Seehofer, a explicitement mis à contribution ces entités – dont le Robert-Koch-Institut, qui joue en Allemagne un rôle analogue à celui de l’institut Pasteur – afin qu’elles élaborent un modèle mathématique permettant de justifier les mesures, y compris les plus sévères, que l’on s’apprêtait ou que l’on envisageait de prendre dans le cadre de la lutte contre la « pandémie » du Covid-19.

Ces échanges datent de mars 2020, c’est-à-dire du tout début de la crise. Ils montrent que l’outil de simulation commandé a été élaboré en seulement quatre jours. Ils ne laissent aucun doute sur le niveau hiérarchique des personnes impliquées du côté du ministère, citant le secrétaire d’État Markus Kerber – numéro deux, juste derrière le ministre, qui demande expressément que le modèle permette de fonder des mesures « préventives et répressives ». Cet objectif sera tenu, avec un « Worst Case Scenario » laissant envisager la mort de plus d’un million d’Allemands si on laissait la vie sociale se poursuivre comme si de rien n’était. Ce que les auteurs expliquent encore, c’est que les résultats des différentes simulations ont été réunis dans un document que l’on a classifié « secret », avant de le laisser filtrer puis carrément publier dans la presse. Cerise sur le gâteau, ils expliquent qu’un groupe de juristes, dont on ne nous dira rien de plus, s’est battu pendant des mois pour obtenir la dite correspondance.

Quelle fabrique du consentement en Allemagne ?

Cet article jette une lumière crue sur la méthode employée outre-Rhin pour obtenir l’assentiment du peuple, et dévoile plusieurs de ses ressorts, mettant à mal le narratif servi sur tous les plateaux de télévision et dans la plupart des grands médias – et complaisamment accueilli, le plus souvent.

Le premier point qui saute aux yeux, c’est évidemment que tous nos gouvernements affirment depuis le début qu’ils s’appuient sur l’expertise des médecins, des virologues, des épidémiologistes pour prendre des décisions de nature politique. Or, c’est bien le contraire qui apparaît ici : un organe de gouvernement a mandaté des experts en fixant dès l’origine le résultat attendu ; puis, dans un second temps, sur la foi des résultats livrés, on a progressivement restreint les libertés publiques, poussé des entreprises à la faillite et plongé les gens dans le désespoir et la terreur.

Le deuxième point qu’on relèvera, c’est la volonté délibérée et observable à peu près simultanément dans plusieurs capitales européennes, à partir d’un certain moment de mars 2020 – peu après la sortie au théâtre d’Emmanuel Macron, de terroriser les gens. Cette coordination des efforts en vue d’obtenir par la terreur l’assentiment des peuples à leur assujettissement est un élément remarquable de cette « crise ». Ceci renvoie comme en écho à la constellation d’astres noirs qui gravitent autour de la chancelière, lui conseillent les plus grandes restrictions de libertés et s’épanchent dans les médias pour instiller la peur et terrifier les foules. On nommera en particulier deux figures emblématiques de celle-ci : le virologue Christian Drosten, de la Charité de Berlin, qui s’était fait connaître – déjà pour ses prévisions hasardeuses – lors de l’épisode de la grippe H1N1, mais qui est aussi l’un des principaux bénéficiaires de la folie des tests PCR, et son homologue Melanie Brinkmann, l’une des principales instigatrices de l’initiative #ZeroCovid, qui prétend enfermer tout le monde et stopper toute activité jusqu’à l’éradication totale du virus …

Il faut en mentionner un troisième, qui est celui de l’instrumentalisation cynique, par le politique, des experts et des médias, et la complaisance de ces derniers vis-à-vis du premier. La duplicité des autorités politiques se trouve ainsi mise en évidence. Peut-être plus grave encore, la collaboration active des experts de santé à cette manœuvre pourrait être dévastatrice pour leur crédibilité – pour les médias, la partie est déjà jouée.

La résistance au mensonge s’organise-t-elle ?

Il reste un dernier point que cet article effleure à peine, qui suscite l’espoir et laisse entrevoir les prémices d’une résistance : ces informations ne sont pas le résultat d’un travail d’investigation. Qui sont ces juristes qui ont bataillé pour obtenir cette correspondance ? Qui a donné ces éléments aux journalistes de « Welt » ? Dans quelle intention ? Faut-il y voir la main d’une opposition interne à la CDU, hostile à la chancelière ? Ou bien la préparation d’une offensive du Mittelstand, soutenu par quelques gros industriels, soucieux de défendre les fondements de l’économie allemande ? L’avocat Reiner Füllmich, qui a lancé une « Class Action », en particulier contre Drosten, pour crimes contre l’humanité, pas moins, dans plusieurs états américains, est-il à la manœuvre ? Une chose est certaine : la date de parution est bien choisie, trois jours avant la prochaine réunion des ministres-présidents autour de la chancelière et de ses ministres, pour décider de la prolongation ou non des mesures de confinement. Depuis plusieurs jours, la presse allemande laisse apparaître l’incohérence des déclarations toujours plus alarmistes des astres noirs avec les chiffres d’une épidémie en déclin. On aurait voulu torpiller les efforts des « terroristes » que l’on ne s’y serait pas pris autrement.

Et en France ?

Enfin, au-delà de l’article, il reste cette question lancinante : ce qu’il révèle de la pratique politique allemande, en trouvera-t-on l’écho à Paris ? L’observation un peu superficielle des événements, de part et d’autre de la frontière, laisse apparaître une étroite coordination entre les deux capitales. Une analyse plus fine montre clairement que Berlin est à la manœuvre, et que Paris s’aligne – les exemples les plus grotesques en resteront certainement, à l’injonction de Merkel de fermer les stations de ski, la décision du premier ministre de mettre les remontées mécaniques à l’arrêt, et en écho à la suspension de l’obligation de scolarisation, décision prise par les Länder en vertu de leurs prérogatives dans un cadre parfaitement légal, la déclaration bouffonne, illégale et inconsistante du même Jean Castex, peu avant Noël. Il faut donc poser la question : Macron, Castex, Véran, ont-ils eux-mêmes instrumentalisé les experts ? Qu’ils aient choisi la voie de la terreur, personne n’en disconviendra.




ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests !

Par Dr Nicole Delépine*

[*] : Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France


Un habitant de Moselle nous a averti d’un décret imposant le port du masque en Moselle à partir du 6 février alors que l’épidémie covid19 est stable, avec un taux de reproduction de 1,02, et des courbes d’admissions hospitalières et en réanimation en plateaux à des taux inférieurs de 50% de ceux observés en avril.

Les tests positifs appelés « cas » ne sont pas des malades. Il ne peut s’agir à notre sens que de la confusion entre incidence de « cas » Covid, et incidence des malades qui présentent des symptômes, qui consultent leurs médecins ou nécessitent des hospitalisations.

Nos bureaucrates paraissent ignorer qu’être cas positifs ne préjuge en rien que la personne testée soit porteuse de virus entier, ni malade, ni contagieuse.

Les dernières recommandations de l’OMS[1] sont pourtant sans ambiguïté : l’OMS

« souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. 

Aide au diagnostic : les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Dans le décret préfectoral, on remarque la phrase suivante :

« en dépit des mesures prises pour la protection des Mosellans, les dernières données disponibles de l’agence régionale de santé témoignent d’une dégradation de la situation sanitaire dans le département de la Moselle, notamment dans la métropole de Metz »

Or manifestement l’incidence des malades covid19 n’a pas augmenté. Il est paradoxal de prétendre que la situation s’aggrave et d’imposer des restrictions abusives et dangereuses aux habitants du département alors que tant le nombre de malades, ni le nombre d’hospitalisations, ni le nombre de patients en réanimation n’ont augmenté.

Le préfet adopterait-il des mesures restrictives, guidé par le simple nombre de “cas”, sans tenir compte des recommandations de l’OMS qui spécifient la nécessité de tenir compte des observations cliniques ?

Aberration médicale et aberration juridique, car le décret du 29 octobre, qui habilite les préfets à prendre des mesures, est un décret prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de la covid-19 et non pas au seul nombre de cas positifs.

Les préfets ne sont pas habilités par ce décret à prendre des mesures restrictives pour d’autres raisons :

– Les rassemblements, réunions, activités, accueils et déplacements ainsi que l’usage des moyens de transport qui ne sont pas interdits en vertu du présent décret sont organisés en veillant au strict respect de ces mesures. Dans les cas où le port du masque n’est pas prescrit par le présent décret, le préfet de département est habilité à le rendre obligatoire, sauf dans les locaux d’habitation, lorsque les circonstances locales l’exigent.

Art. 1er.
……….…II.

On peut espérer et supposer que les informations parvenues au préfet et aux élus qui en ont discuté avec lui n’aient pas clairement explicitées et nous espérons que l’alerte donnée ici démontrant que les malades de Covid19 actuels sont très en dessous de la barre inquiétante, conduira à l’abrogation rapide de ce décret inadapté à la situation sanitaire réelle.

Par ailleurs, en Moselle, comme partout ailleurs, le port du masque dans la voie publique n’est pas réglementé par le décret du 29 octobre en cas d’absence d’arrêté préfectoral en cours de validité !

 Les gens portent encore les masques à l’extérieur, alors que rien ne les y oblige sauf des arrêtés ponctuels dans certaines agglomérations.

Rappelons à cette occasion que le port du masque est dénoncé comme inutile et dangereux par plusieurs études universitaires et que le conseil d’état italien l’a interdit chez l’enfant en raison de sa dangerosité.[2] [3]

Rappelons les dires du conseil d’état italien :

« dans l’affaire portée à l’attention de cette juridiction, la mineure représentée par ses parents, a documenté avec des certificats médicaux à l’appui, à plusieurs reprises, des problèmes de manque d’oxygénation dus à l’utilisation prolongée de masque pendant toute la durée de la classe
que, dans la classe fréquentée par le mineur, un dispositif de contrôle de l’oxygénation – saturomètre, ne semble pas être disponible outil de coût minimal et très simple à utiliser dans des cas comme celui-ci, par chaque enseignant, pour intervenir dès les premiers signes de difficulté à respirer avec le masque par le très jeune élève

Considéré, par conséquent, que dans la chambre du conseil en instance déjà fixée devant le tribunal administratif régional, le mineur ne peut être contraint de porter le masque pendant la durée des cours, car le danger de fatigue respiratoire – en l’absence d’un contrôle constant avec un saturomètre – est trop grave et immédiat, et qu’on ne peut évidemment pas non plus supposer une suspension du droit constitutionnellement protégé du jeune élève de fréquenter l’école, jusqu’à la décision préventive du tribunal administratif régional. »

Le test PCR

Notons que le préfet conseille à ses administrés qui souhaiteraient voyager pendant les vacances scolaires de se faire tester avant leur départ. Or les tests PCR sont dénoncés par la communauté scientifique en justice depuis plusieurs mois et condamnés au moins dans une juridiction portugaise[4]. Il serait urgent que la France prenne en compte le caractère fallacieux des résultats des tests PCR et ne les exige plus dans les aéroports, les entreprises ou les écoles, entretenant une apparence d’épidémie qui n’existe plus via des résultats de tests contestables et contestés. Nous y reviendrons inéluctablement.[5]

Baser une politique sanitaire sur le seul nombre de positivité d’un test PCR est inefficace et potentiellement dangereux. Il faut revenir à une gestion traditionnelle de l’épidémie basée sur des données médicales objectives des malades examinés par de vrais médecins.


Notes

[1] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

[2] http://www.dirittoegiustizia.it/allegati/16/0000090219/Consiglio_di_Stato_sez_III_decreto_n_304_21_depositato_il_26_gennaio.html Conseil d’État, section III, décret 26 janvier 2021, n° 304
Président Frattini

[3] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

Difficultés respiratoires : le port du masque pas si anodin ? (alternativesante.fr)

[4] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[5] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)




Ceci n’est pas un complot

[Source : Le site d’Initiative Citoyenne]

[Ndlr : le film a été supprimé de Vimeo le 23 février et reste pour l’instant visible sur YouTube. Le texte sous la vidéo provenait d’une chaîne sur Vimeo.]

Voici quelques phrases symboliques extraites de ce beau film qui invite à retrouver notre liberté de penser, de réfléchir, de vivre sans masques, sans distanciation. RETROUVER NOTRE LIBERTÉ.

Répétition des messages subliminaux.

Tous les médias participent à la campagne prétendument antivirus dont le but réel est de terroriser la population. La tv crée une hypnose collective puis une phobie collective. Les messages subliminaux se multiplient. Les images de patient jeune maquillé sont mises en avant alors que ce sont les vieux qui meurent de covid (ou le plus souvent d’une maladie ancienne accompagnée par un test covid19 positif).

Les entreprises d’information font de l’audience.

Le taux de mortalité du covid19 est pourtant extrêmement faible. Ce qui frappe est la discordance majeure entre le faible nombre de décès et l’intensité de la phobie. Pourtant les décès ont été largement surestimés en attribuant au coronavirus tous les décès avec tests positifs. Seuls 4 % des résidents décédés en Belgique sont vraiment décédés du seul covid. Mais on a interdit aux familles de leur faire des adieux dignes.

L’opposition médicale très large dans tous les pays ne peut s’exprimer que dans les médias alternatifs, car elle n’a pas d’accès aux médias nationaux. Elle est traitée de complotisme qui permet d’éviter tout questionnement et empêche de poser les questions qui dérangent. Est-ce que c’est être complotiste que de chercher et de révéler les conflits d’intérêts des doc TV ou des politiques ?

Les gens qui conseillent un gouvernement public, mais ont en même temps des relations financières (ou autres) avec les entreprises privées du secteur concerné ne doivent-ils pas en informer les médias qui les interrogent ? En France la loi transparence santé l’exige, mais les médecins des plateaux télé et les diffuseurs ne respectent pas cette loi et le conseil de l’ordre chargé par la loi de la faire respecter regarde ailleurs

Le documentaire revient sur les tests PCR falsifiés qui depuis des mois alimentent la peur, les mensonges d’état diffusés par les télévisions, truqués.

Il revient sur l’enfant de trois ans prétendument décédé du covid en Belgique alors que cette version a été contestée d’emblée par le père de l’enfant choqué qu’on instrumentalise sa fille. En fait le père dit que l’enfant avait une maladie neuromusculaire et une thrombose. La communication manipule la peur. L’info n’a pas été rectifiée malgré l’insistance de son père, y compris trois mois plus tard.

Le réalisateur interviewe le réanimateur belge Pascal Sacré, licencié pour avoir informé (faute grave !)

Les états de stress vont aggraver des problèmes de santé plus dangereux que le covid19 ; la peur est associée à une inhibition de l’action. La personne qui a peur est capable d’accepter tout et n’importe quoi.

Silence sur les évènements importants qui contestent la politique officielle

Le documentaire détaille les premiers rassemblements s’opposant au masque en août 2020 et le silence sur l’énorme rassemblement à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy.

Puis grande propagande publicitaire pour les vaccins covid19 qui serait la seule solution à une crise dont on nie la possibilité de traiter simplement. Les pouvoirs qui envient la dictature chinoise voudraient nous imposer le vaccin puis un « passeport vaccinal » pour suivre tous nos déplacements (voir projet DAVOS).

Puis il raconte comment les gouvernants et les médias fustigent les comportements sociaux et en particulier les jeunes qu’on culpabilise en faisant croire qu’ils seraient responsables de la diffusion de l’épidémie. La presse s’en prend aux professionnels de la santé qui s’autorisent à parler. On les traite de « marchands de déni », de « complotistes », de « rassuristes ». Il rappelle l’exclusion du Dr Pascal Sacré réanimateur belge et les poursuites contre les médecins français pour avoir parlé. 

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des manifestations dans plusieurs pays occidentaux ni des décisions judiciaires comme celle du Portugal. Il analyse les censures médiatiques.

En fin de vidéo, il aborde ce que cache la crise du coronavirus, révélateur du fait qu’on a désinvesti le système de santé et que le désendettement de l’état avait diminué, mais que tout a été effacé en 2020.
Le virus va être accusé de la faillite du système alors que c’est le confinement qui a coûté des centaines de milliards. Les gouvernements ont détruit l’économie. Démission politique. Les exécutifs mènent la danse. Les médecins bafouent le secret médical, communiquent les données. En quelques semaines on a bafoué les données personnelles.

Pourquoi a -t­-on fermé tous les lieux d’échange, universités, bars, théâtre ? Éviter au maximum les échanges entre humains qui pourraient contester cette hystérie organisée au service de la finance ?

La presse accompagne le pouvoir même dans ses délires.

MES AMIS SONT DEVENUS DES PIXELS

Ceci est une opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuple sage auquel les gouvernants font confiance. L’auteur espère un sursaut de l’intelligence collective, il faut en finir avec cette crise.

À regarder, partager, discuter entre vous, vos amis, reprendre contact au-delà de cette distanciation sociale sans fondement sanitaire (qui s’oppose à l’immunité collective qui a fonctionné dans les pays non confinés comme la Suède.)




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

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Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

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Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

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Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

https://www.lessymboles.com/seminaires-resume/


Bonne semaine à toutes et à tous !




Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!

Par Pryska Ducoeurjoly [via Réseau International]

Des centaines de millions de tests RT-PCR ont été réalisés cette année pour tenter de contrôler l’épidémie de coronavirus. Rien qu’en France, pas moins de 18 millions[1] de personnes sont passées par l’épreuve désagréable de l’écouvillon entre mars et octobre 2020. Il est temps de s’intéresser en détail à cet instrument qui s’est imposé depuis une dizaine d’années dans le paysage des tests biologique. Est-il potentiellement dangereux ?

DOSSIER PARU DANS NEO SANTE n°106 DECEMBRE 2020

L’écouvillon, c’est un peu la baguette magique des épidémies de cas positifs que connaissent de nombreux pays. À commencer par la France, qui bat tous les records. Mais l’objet de cette enquête n’est pas de revenir sur la fiabilité du test RT–PCR dont nous avons déjà beaucoup parlé dans Néo Santé[2]. Nous savons que ce test, lorsqu’il est pratiqué en masse sur des cas asymptomatiques, a de très forte chance de donner un faux positif. Intéressons-nous cette fois à l’écouvillon, arme de détection massive longue de 18 centimètres, que l’on enfonce jusqu’au fond des fosses nasales pour y prélever de la matière virale.

Un recul d’une dizaine d’année

Le « prélèvement nasopharyngé » s’est imposé dans le cadre de l’épidémie de grippe H1N1 de 2009, une pseudo-pandémie qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque, le scandale santé publique précurseur de celui que nous connaissons actuellement… A l’époque, l’écouvillon et le prélèvement nasopharyngé ne sont pas encore le standard de référence. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les quelques rares études publiées au début des années 2010 au sujet de ce type de prélèvement. Bien que ne datant pas d’hier, le test nasopharyngé va profiter de la crise sanitaire pour s’introduire profondément dans les recommandations officielles.

Voici ce qu’écrivaient des chercheurs américains en 2012, dans l’article « Comparaison des écouvillons nasaux et nasopharyngés pour la détection de la grippe chez les adultes »[3]« La pandémie de 2009 et l’augmentation de la résistance aux antiviraux spécifiques à un type ont accru le besoin de tests de dépistage de la grippe précis, opportuns et bien tolérés par les patients. Une variété d’échantillons ont été utilisés pour le dépistage de la grippe, y compris l’écouvillon nasopharyngé (NP), l’écouvillon oropharyngé, le lavage nasal et l’aspiration nasale. Le lavage ou l’aspiration nasale est généralement considéré comme le « standard de référence » pour l’isolement du virus, mais il est difficile à réaliser et désagréable pour les patients. Les écouvillons sont plus faciles et plus rapides à prélever et peuvent être préférés par les prestataires et les patients. (…) À ce jour, aucune étude n’a comparé des écouvillons nasaux et nasopharyngés appariés prélevés sur des adultes”.

En d’autres termes, nous n’en savions pas beaucoup il y a encore 10 ans sur la pertinence des différents types de prélèvements, aussi bien en matière de fiabilité des résultats que du confort pour les patients. Mais ce que l’on découvre à travers ces études, c’est le caractère moins invasif d’un prélèvement par écouvillon que par aspiration nasopharyngée ! Cette dernière nécessite la présence de deux personnes et se fait à l’aide d’une canule beaucoup plus grosse et vraiment moins confortable, il faut le reconnaître, surtout pour les enfants[4]

Le prélèvement nasopharyngé devient la référence

En 2020, 10 ans plus tard, le prélèvement nasopharyngé s’est imposé comme la référence, du moins en France, un pays particulièrement engagé en faveur de l’écouvillonnage de sa population. En premier lieu, pour la surveillance de la grippe saisonnière. « Plus de 1 300 médecins généralistes du réseau Sentinelles assurent une surveillance clinique. Environ 300 d’entre eux, épaulés depuis 2015 par 116 pédiatres, réalisent une surveillance virologique en effectuant des prélèvements nasopharyngés qui sont analysés au Centre national de référence Virus des Infections Respiratoires”, explique l’Institut Pasteur[5].

Avec la pandémie de coronavirus, l’écouvillon a confirmé son hégémonie. Ainsi, dans un arrêté publié le 12 mai 2020 au Journal officiel, cosigné par le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, il est clairement indiqué que « le prélèvement à privilégier est un prélèvement nasopharyngé profond des voies respiratoires hautes par écouvillonnage ou un prélèvement des voies respiratoires basses (crachats ou liquide brochoalvéolaire) »[6]. Un arrêté qui s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de la Société française de microbiologie (SFM) du 6 avril 2020. Dans une Mise au point publiée le 9 mai 2020 par le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur, on peut également lire que « les tests RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé sont aujourd’hui considérés comme la technique de référence pour les virus respiratoires ». Quant aux « prélèvements de gorge », ils ont « une sensibilité de détection inférieure à celle des prélèvements naso-pharyngés » avec « parfois un fort risque de faux négatif ».

Donc, si l’on en croit les autorités sanitaires françaises qui ont, par ailleurs, de moins en moins de crédibilité aux yeux du grand public, pour avoir un test fiable il FAUT passer par le prélèvement nasopharyngé et non par un simple prélèvement nasal (moins profond) ou dans la gorge (oro-pharyngé). Mais… Ce n’est pas la position de l’OMS ni d’autres organismes de santé publique. En effet, l’Organisation mondiale de la santé recommande de prélever des échantillons des voies respiratoires supérieures (écouvillons nasopharyngés et oropharyngés) et/ou inférieures (expectoration) en réservant l’aspiration endotrachéale pour les patients dont les symptômes respiratoires sont plus sévères.

Pas de réel avantage

En réalité, la supériorité du prélèvement par écouvillon ne fait pas l’objet d’un consensus scientifique. Un simple test salivaire réalisé chez soi ou quelques crachats envoyés au labo s’avèrent sans doute aussi efficaces, et beaucoup moins pénibles. La meilleure synthèse de l’état des connaissances a été réalisée par les Canadiens de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce document[7] compare les différentes recommandations internationales et une vingtaines d’études récentes sur les écouvillons. Je vous passe les préférences des scientifiques pour les « écouvillons en polyester floconnés montés sur une tige de plastique », concentrons-nous sur le vrai débat qui a trait au site et au mode de prélèvement à privilégier pour détecter le SARS-CoV-2.

« Les données de la littérature sont mitigées, écrit l’institut canadien. Certaines études observent des taux de positivité plus élevés dans les expectorations, suggérant qu’elles devraient être utilisées de manière préférentielle aux prélèvements nasaux [Yang 2020], nasopharyngés [Wu 2020] ou de gorge [Lin 2020]. Dans d’autres études, on observe que la charge virale de l’expectoration est semblable à celle du prélèvement de gorge [Pan 2020] et que la charge virale du prélèvement de gorge est semblable à celle du prélèvement nasopharyngé [Wolfel 2020], ou encore que le prélèvement nasal [Zou et al., 2020] ou nasopharyngé [Becker 2020] possède une charge virale 8 supérieure au prélèvement de gorge ou de la salive. Selon une étude finlandaise, le prélèvement nasal aurait une sensibilité comparable à l’aspiration nasopharyngée [Waris et al., 2013]. ». Bref, c’est kif-kif bourricot…

L’auto-prélèvement maison, tout aussi valable !

« Deux études américaines [Kojima 2020, Tu 2020] ont testé une approche différente, soit l’autoprélèvement, poursuit l’INESSS. Ils sont arrivés à la conclusion que le taux de positivité obtenu à partir de prélèvements oraux (salive) et nasaux effectués par les patients eux-mêmes sont semblables aux taux de positivité obtenus à partir de prélèvements nasopharyngés réalisés par des professionnels de la santé. De plus, une revue systématique [Khurshid 2020] et quatre études primaires [Iwasaki, Jamal, Pasomsub, Williams, 2020], dont une canadienne, ont montré que la salive est une alternative efficace, voire plus sensible dans certaines circonstances que les écouvillons nasopharyngés, en plus de permettre l’autoprélèvement à domicile afin de détecter le SARS-CoV-2 à grande échelle. Un protocole américain est présentement en cours d’essais afin de démontrer la faisabilité de l’autoprélèvement de salive dans un contexte de COVID-19 [Sullivan, 2020] ».

Pour toutes ces raisons, rien ne vous oblige à préférer l’écouvillon naso-pharyngé pour une question de fiabilité ! D’ailleurs, la possibilité d’avoir un prélèvement moins invasif reste ouverte dans bon nombre de pays, même en France (en insistant lourdement…) puisque la Haute autorité de santé (HAS) a rendu un avis[8] favorable, le 20 septembre 2020 : « Les prélèvements salivaires représentent une alternative mais pour les seuls patients symptomatiques. Aujourd’hui, la HAS valide le recours au prélèvement oropharyngé pour les tests RT-PCR des personnes asymptomatiques chez qui le prélèvement nasopharyngé est contre-indiqué ».

Un test pénible voire douloureux

« Ma conjointe a eu un mal de tête accompagné de points de couleur devant ses yeux pendant 2 jours », explique un internaute sur Twitter (où l’écouvillon a bien circulé). « L’infirmière a tellement insisté/trituré que j’avais vraiment envie de lui coller un pain », commente une autre sur le même réseau. « Une heure après le test, j’avais encore une sensation bizarre au fond de mon nez. Pas vraiment douloureuse non plus, mais assez gênante. Surtout que j’ai subi le test à une période où je faisais de fortes allergies aux pollens, ça ne m’a sans doute pas aidé, je n’arrêtais pas d’éternuer », explique Nicolas[9].  « Je l’ai pour ma part trouvé plus désagréable que douloureux, mais je ne peux pas dire que ça ne fait pas mal du tout. Concernant mes collègues, je dirais que 60 à 70% l’ont trouvé douloureux », explique une infirmière.

En fonction de la sensibilité de la personne testée et la dextérité du praticien les expériences sont très personnelles. Ce n’est en tout cas pas un acte médical anodin car il y a une manipulation qui doit être bien réalisée. Comme l’explique le CHU d’Angers dans sa démonstration vidéo sur Youtube (« Prélèvement naso-pharyngé – COVID-19 »[10]), la première erreur à éviter est d’introduire l’écouvillon parallèlement à l’arête du nez. On butte sur la « plaque cribriforme » qui est une porte d’entrée micro perforée vers le système nerveux central, via les ramifications du nerf olfactif.

Et la barrière hémato-encéphalique ?

Certains articles en ligne ont affirmé que les couillons pouvaient perforer la barrière hématoencéphalique et que les tests pouvaient servir de prétexte à introduire des nanoparticules dans le cerveau. Qu’en est-il vraiment ?

La barrière hémato-encéphalique, découverte en 1885, a pour fonction principale d’isoler le système nerveux central (SNC) de la circulation sanguine, en empêchant que des substances étrangères/molécules potentiellement toxiques/agents pathogènes ne pénètrent dans le cerveau et la moelle épinière. Après enquête, ces articles s’avèrent finalement diffuser des affirmations non sourcées, qui ne reposent sur aucune étude ou fait avéré. Lorsque le test est pratiqué correctement, il ne touche pas la plaque cribriforme, mais vient butter sur le carrefour oro-pharyngé, entre l’arrière du nez et la gorge.

L’écouvillon ne peut pas atteindre la barrière hémato-encéphalique ni percer cette partie anatomique, mais il peut en revanche faire saigner.

De nombreux témoignages ont abondé en ce sens, notamment avec un certain type d’écouvillon. Un article[11] de medi-sphere.be (donc en Belgique) rapporte le 14 septembre 2020 que « De nouveaux écouvillons livrés par le fédéral aux centres de dépistage feraient saigner un patient sur deux ». Le Dr Maxime Delvaulx, comme d’autres, dénoncent la souffrance des patients : « Nous sommes confrontés depuis 15 jours à un problème d’écouvillons. Ils sont très coupants. Même en le frottant sur le doigt, cela fait mal. Ces écouvillons se prennent dans les poils du nez et ils font saigner un patient sur deux. A l’utilisation, ils sont rigides et ils cassent très vite. » Cela amène les médecins à faire des choix : « Nous ne les utilisons plus pour les enfants ni pour les adultes sous anticoagulants. »

Des contre-indications nombreuses

C’est dire si ce test n’est pas anodin, surtout pour les personnes qui ont des antécédents médicaux divers : problèmes cardiaques (anticoagulant), problèmes O.R.L., patients ayant des troubles psychiatriques, personne ayant une déviation nasale, etc. De fait le test est contre-indiqué dans un assez grand nombre de cas. Si elle n’est pas bien repérée, une contre-indication à l’écouvillon peut tourner au cauchemar :

« Un test Covid a provoqué une fuite de liquide céphalo-rachidien, rare complication chez une patiente fragilisée », titre ainsi Sciences et Avenir le 2 octobre dernier : « Une patiente américaine a consulté peu après un test nasal du Covid-19 pour vomissements, maux de tête, nuque raide, et une fuite de liquide céphalo-rachidien par le nez. Le test, probablement mal administré (au niveau de la plaque cribriforme, ndlr), avait endommagé la base du crâne, fortement fragilisée par une ancienne intervention de ponction à la suite d’hypertension intracrânienne ».

« Ce cas montre que les professionnels de la santé doivent suivre les protocoles à la lettre », indique Jarrett Walsh, auteur de l’étude de ce cas, publiée dans la revue JAMA Otolaryngology–Head & Neck Surgery[12]

« Il convient d’envisager des méthodes alternatives au dépistage nasal chez les patients présentant des défauts antérieurs connus de la base du crâne, des antécédents de chirurgie des sinus ou de la base du crâne, ou des conditions prédisposant à l’érosion de la base du crâne ».

Gare aux écouvillons contaminés !

Si les rumeurs d’implantation de nano matériaux ou de prélèvements d’ADN ne reposent sur aucune source crédible, en revanche une contamination des écouvillons peut poser un réel problème. Des cas de contamination ont été largement rapportés cette année par la presse (voir plus loin). Ces écouvillons peuvent infecter le patient à l’endroit précis où se logent les virus respiratoires. Il est connu aujourd’hui que certains virus peuvent passer la barrière hémato-encéphalique toute proche. Leurs voies principales d’entrée se fait soit par le sang soit par transport le long des neurones. 

« Concernant les troubles neurologiques associés aux virus respiratoires, on sait par ailleurs que c’est la sphère oropharyngée qui est touchée principalement, ce qui est plutôt propice à une infection cérébrale »,

explique France Culture, dans une émission[13] de 58 minutes dédiées à la « Barrière hémato-encéphalique : la dernière frontière ».

« Concernant le SARS-CoV-2, 2 hypothèses sont soulevées pour expliquer les symptômes neurologiques associés à la maladie : le virus pourrait parvenir jusqu’au SNC par le sang (encéphalite virale), mais les troubles neurologiques pourraient également ne pas être liés au virus lui-même et pourraient être provoqués par la réaction inflammatoire excessive déclenchée en réponse au virus (la tempête de cytokines) qui irait occasionner des dommages au cerveau. Ce serait donc là une encéphalite auto-immune. Certains émettent une 3e hypothèse, selon laquelle le nez pourrait être la voie d’accès au cerveau, puisque la perte d’odorat est commune à certains malades de la Covid-19 ». D’où l’absolue nécessité de disposer d’écouvillons stériles !

Des importations ou fabrications suspectes

Or, de très nombreux articles ont relayé des problèmes de lots contaminés. Par exemple au Québec, des milliers d’écouvillons importés de Chine ont révélé[14] la présence d’un champignon ! D’autres provinces du Canada ont aussi été concernées : les autorités sanitaires de la Saskatchewan ont indiqué avoir reçu 7.000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30.000. Au Manitoba, 8.800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés, selon le ministère de la Santé. Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6.400 trousses de dépistage chinoises défectueuses : « Dès qu’on les a reçus, on s’est rendu compte qu’ils étaient tous contaminés avec des bactéries », explique le Dr Richard Garceau, microbiologiste-infectiologue au CHU Dumont qui estime que pas moins de 320.000 tests ont pu être contaminés. Contaminés dans le sens où ils ne sont tout simplement plus stériles.

En Ontario également, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100.000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt dans le mois. Quand on sait le nombre d’écouvillons chinois importés partout dans les pays en pénurie, il y a de quoi se poser des questions sur le matériel qui a servi à tester de nombreux Européens.

Les États-Unis ont connu des déboires similaires, mais émanant de leurs propres fabricants. Une fois à cause d’une contamination « probable » aux Centers for Disease Control and Prevention[15] qui a abouti à des résultats faussement positifs. Une autre fois à cause du laboratoire Randox[16] : 750 000 tests rappelés pour suspicion de contamination de l’écouvillon, en août 2020…

Tous ces faits divers montrent que le matériel de tests nécessite une manutention complexe pour bénéficier d’une complète stérilité. Donc, renseignez-vous bien sur la provenance des kits de tests et d’écouvillons si vous devez vraiment faire tester !

Votre nez les intéresse…

Je ne pouvais pas finir cette enquête sans vous parler d’une découverte que j’ai faite à l’occasion de mes recherches sur les rumeurs de nanoparticules présentes dans les écouvillons. En consultant le site de référence PubMed, j’ai flairé deux articles intéressants. Le premier, une étude[17] indienne datant de 2010 : « Potentiel des systèmes d’administration de médicaments nanoparticulaires par administration intranasale ». Les auteurs nous expliquent que : « Le cerveau bénéficie de l’administration intranasale car le transport olfactif direct contourne la barrière hémato-encéphalique et les nanoparticules sont absorbées et transportées le long des processus cellulaires des neurones olfactifs à travers la plaque criblée jusqu’aux jonctions synaptiques avec les neurones du bulbe olfactif. »

Cela confirme le fait que votre nez n’est pas étanche… et qu’il pourrait servir de voie royale à l’absorption de nouveaux médicaments, et notamment de nouveaux vaccin nanoparticulaires. D’autres études ont suivi en ce sens, comme en 2019, cet article[18] en provenance de Hongrie : « Systèmes nanoparticulaires intranasaux comme voie alternative d’administration des médicaments ». On y trouve à peu près la même chose que dans l’étude indienne mais avec la mise à jour suivante : « Selon les études rapportées sur l’administration intranasale basée sur la nanotechnologie, une attention potentielle a été concentrée sur le ciblage du cerveau et l’administration de vaccins avec des résultats prometteurs. Malgré les efforts de recherche importants dans ce domaine, les produits à base de nanoparticules pour l’administration intranasale ne sont pas disponibles. Ainsi, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour promouvoir l’introduction de produits nanoparticulaires intranasaux qui peuvent répondre aux exigences des affaires réglementaires avec une forte acceptation par les patients. »

En conclusion, attendez-vous ces prochaines années à voir arriver sur le marché des vaccins nasaux composés de nanoparticules. D’un grand confort d’administration, leurs conséquences pourraient s’avérer beaucoup plus intrusives et définitives que le pénible écouvillon !


[Notes]

[1] « Covid : le nombre de tests PCR en nette accélération en France ». Les Echos, 23 octobre 2020.

[2] Voir https://www.neosante.eu/4-raisons-de-detester-le-test/ et « Tests du covid-19, attention aux faux positifs ! » sur www.pryskaducoeurjoly.com

[3] « Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults ». Stephanie A. Irving et al. Clin Med Res. 2012 Nov

[4] « Comparing nose-throat swabs and nasopharyngeal aspirates collected from children with symptoms for respiratory virus identification using real-time polymerase chain reaction ». Stephen B Lambert et al. Pediatrics, sept. 2008.

[5] https://www.pasteur.fr/fr/comment-diagnostiquer-grippe

[6] « Dépistage du Covid-19 : un million d’écouvillons livrés par la Chine attendent le feu vert pour être utilisés », par Benoît Collombat, Cellule investigation de Radio France, publié sur fanceinter.fr, mis à jour le 16 mai 2020.  https://www.franceinter.fr/depistage-du-covid-19-un-million-d-ecouvillons-livre-par-la-chine-attendent-le-feu-vert-pour-etre-utilises

[7] « COVID-19 et pénurie d’écouvillons », 27 mai 2020. https://www.inesss.qc.ca

[8] « COVID-19 : avis favorable au prélèvement oropharyngé en cas de contre-indication au nasopharyngé »
Communiqué de presse du 25 sept. 2020 sur www.has-sante.fr

[9] « Covid-19 : le test PCR est-il douloureux ? » Maxime Poul, Yahoo Actualités, 20 juillet 2020.

[10] https://youtu.be/fhShfC0Eczo

[11] https://www.medi-sphere.be/fr/actualites/de-nouveaux-ecouvillons-livres-par-le-federal-aux-centres-de-depistages-feraient-saigner-un-patient-sur-deux.html

[12] « Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019 », Christopher Blake Sullivan.  October 1, 2020, JAMA Otolaryngol Head Neck Surg.

[13] Le 25/05/2020. Dans l’émission « La méthode scientifique », par Nicolas Martin. https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-lundi-25-mai-2020

[14] Radio-Canada, publié le 22 avril 2020. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

[15] « CDC coronavirus test kits were likely contaminated, federal review confirms ». 20 juin 2020.  www.washingtonpost.com

[16] « Tory-linked firm behind ‘contaminated’ Covid-19 tests keeps government contract », le 14 aout 2020. www.mirror.co.uk

[17] Potential of nanoparticulate drug delivery systems by intranasal administration”, Javed Ali. Curr Pharm Des. 2010 May

[18] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31453778/

Articles complémentaires




Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”




Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Mondialisation.ca]

Une publicité mensongère pour les vaccins anti-COVID-19 vantant leur « efficacité et leur sécurité prouvées par leurs essais » mobilise sans relâche les médias et les représentants du gouvernement, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort [1]».

Cette propagande vaccinale élaborée par le gouvernement prétend en autre que la commercialisation accélérée ne s’est pas faite aux dépens de la sécurité sanitaire. Compte tenu des techniques de fabrication toute nouvelle utilisées (ARNm, virus vecteur) et de l’extrême rapidité de la commercialisation, cela est impossible. 

Le schéma classique des essais de vaccins avant commercialisation

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenant de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours normal.[3]

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. 

Phase d’essais sur l’animal enjambée

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquat [4, 5] , le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

 La presse anglo-saxonne s’en est fait souvent l’écho en titrant que les protocoles de validation essais “sautaient” fréquemment cette phase normalement préalable aux essais cliniques, mais les médias hexagonaux n’en ont pas parlé. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS. 

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline [6, 7] a été abandonné à cause de cette complication   Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.

Les essais cliniques bien faits sont la clef de la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives. 

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance l’innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire) mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration de vaccin le plus efficace.

Cette phase II nécessite un nombre plus élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document, (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. C’est cette phase qui est en cours dans le monde pour les vaccins anticovid actuellement utilisés et non une phase IV comme on le voit trop souvent écrit car les gens ne comprennent pas qu’on puisse à la fois être en phase 3 et commercialisé contre paiement au laboratoire.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence habituellement avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est considérablement insuffisante et les sous déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins Covid

La mise sur le marché en moins d’un an n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais.

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.

Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.

 La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement de fait comme le détaille de l’essai Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23.[8] Néanmoins le profil de l’essai ne devait concerner que des bien portants d’âge inférieur à 85 ans. 

Critères de jugement non pertinents. 

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit de la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [9].

Le « miracle » de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses. 

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles

Les vaccins de Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisant spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les couts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto immunes est fortement suspecté. Mais ils restent des vaccins au sens pasteurien, contrairement aux produits Pfizer et Astra Zeneca qui sont des médicaments nouveaux de type thérapie génique, ne contenant pas d’antigènes mais des produits (Arn messager, virus) destinés à faire fabriquer des anticorps par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique d nous est étranger et est d’origine virale [10].  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de virus autre. . Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dits souvent vaccins géniques ou vaccins OGM, dont la technique n’a jamais été utilisée pour un vaccin auparavant exposent donc à des risques non maitrisés en opposition totale avec le principe de précaution. 

Une absence totale de transparence des contrats d’achat de vaccins

Dans un pays démocratique, les décisions importantes pour les populations doivent être décidées en toute transparences par nos représentants élus. Pour les vaccins anti covid, les contrats ont été passés en catimini entre les dirigeants et les entreprises et comportent des clauses inacceptables comme la clause de confidentialité et d’immunité juridique. 

Le communiqué de presse [12] de la député Michèle Rivasi est explicite :

« La Commission nous a confirmé que nous n’avons toujours pas accès aux contrats en cours de négociation. Nous n’avons pas accès au nom des négociateurs. Nous n’avons pas accès aux données brutes des essais cliniques, la Commission précisant que cette législation n’entrera en vigueur qu’en 2021. »

 « Nous sommes face à une situation très dangereuse, prévient l’Eurodéputée Michele Rivasi. Ne nous laissons pas faire, ni instrumentaliser par la peur ou l’urgence brandies comme alibi pour justifier des décisions contraires à la santé publique et sources de risques inacceptables. » 

« Nous avons besoin d’une transparence absolue. C’est l’unique condition permettant de restaurer la confiance dans les vaccins, et l’unique moyen de s’assurer que les vaccins sont réellement sûrs et efficaces. Cela concerne autant les conditions opaques dans lesquelles les contrats de préachat ont été négociés que les données des essais cliniques. Nous avons besoin de savoir comment les vaccins OGM ont été testés, les effets indésirables qui ont été observés, et les évaluations manquantes ou incomplètes. »

Il n’y a aucun risque pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique

Si vous vendez un produit défectueux qui cause des complications vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits[13, 14, 15]  Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …

Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux.[16]

« Les vaccins commercialisés possèdent moins d’ARN « intègre » (séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike) que ceux utilisés dans les essais : 51% à 59% pour les vaccins commercialisés contre 69% à 82% pour les vaccins utilisés lors des essais cliniques. Ceci pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité : ces ARN tronqués ne peuvent plus être traduits en protéine Spike. »

Des résultats actuels très inquiétants

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.[17] 

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le COVID-19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73. 

Bien entendu, les agences sanitaires qui ont recommandé les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais ce lien de causalité  possible devrait conduire au minimum à un moratoire en l’attente de résultats plus complets. Il serait important que les essais et les résultats des vaccinations soient précis, car si les anglais décident vraiment de multiplier les mélanges de vaccins, nous aurons du mal à analyser les conséquences  positives ou négatives de la vaccination.

Ces campagnes de vaccination expérimentales chez les personnes fragiles sont dangereuses

Le vieillissement s’accompagne d’une baisse d’efficacité du système immunitaire rendant les vaccins moins efficaces. Dans l’essai mené par Pfizer, l’efficacité était comparable chez les plus de 55 ans et chez les moins de 55 ans. Mais au-delà de 75 ans, le nombre de personnes participant à l’essai était trop faible pour juger du niveau d’efficacité.

 La vaccination de ces personnes est donc actuellement purement expérimentale. La Haute autorité de santé (HAS) recommande d’ailleurs que des études complémentaires soient menées dans cette sous-population. Ainsi que le constatait récemment l’éditorial du Lancet [18] :

« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

LAllemagne a suspendu la vaccination des pensionnaires d’Ehpad par le vaccin Astra-Zeneca pour trop faible efficacité.

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad [19, 20]. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves.

 Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ‘Ehpad après vaccination.

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées fragiles, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets.

La mise sur le marché express de vaccins sans respecter le schéma classique des essais risque d’aboutir une catastrophe vaccinale et de nuire à la vaccination. 

Cette hâte incroyable n’était pourtant pas justifiée par la gravité intrinsèque de la maladie qui se comporte au niveau mondial comme une mauvaise grippe seulement aggravée par des mesures autoritaires sans fondements scientifiques autres que des simulations grossièrement fausses.

Dr Gérard Delépine


Notes :

1 Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

2 Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATION CARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande « Vaccination contre la COVID-19 : une adhésion à construire « La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

3 Rappelé dans Ile de France prévention santé https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm 

4 Par exemple la souris adaptée à la recherche contre le Covid-19, est un animal génétiquement modifié, appelé ACE2, s’est trouvée en nombre insuffisant montrant ainsi la dépendance de la recherche envers les producteurs d’animaux de laboratoire.

5 Leila Marchand Coronavirus : les Etats-Unis manquent de singes pour leurs essais de vaccin, les échos 1/9/2020

6  Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

7   Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

8 Interventional (Clinical Trial) Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals

Estimated Enrollment : 43998 participants
Allocation : Randomized
Intervention Model : Parallel Assignment
Masking : Triple (Participant, Care Provider, Investigator)
Primary Purpose : Prevention

Official Title : A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS

Actual Study Start Date : April 29, 2020
Estimated Primary Completion August 3, 2021
Estimated Study Completion Date : January 31, 2023

9 Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

10 https://www.jle.com/en/revues/vir/e-docs/virus_et_genes_viraux_endogenes_evolution_et_impact_307413/article.phtml 

11 Ce fait suggère l’existence d’une activité de rétrotranscription naturelle, au sein des cellules de l’hôte, en l’absence de rétrotranscriptase identifiée et démontre que le risque d’une rétrotranscription de l’ARNm vaccinal, vectorisé, n’est pas impossible

12  Michèle Rivasi Communiqué de presse Bruxelles, 7 septembre 2020

13 Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d 

14 Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN 

15 L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072 

16 Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021  https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html 

17 La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

18 ÉDITORIAL Vaccins COVID-19 : pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21 NOVEMBRE 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)32472-7/fulltext 

19 Norway warns of side effects of Covid-19 vaccine on elderly …www.thelocal.no › Norway-warns-of…

20 Lars Erik Taralds La Norvège s’inquiète des vaccins pour les personnes âgées Bloomberg 16 janvier 2021 La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2021