La colère agricole européenne « drôlement plus populaire que les moisissures oligarchiques »




La dynastie ROCKEFELLER : une longueur d’avance sur les événements mondiaux ?

[Source : kla.tv]

La stratégie mondiale de David Rockefeller a un jour été résumée ainsi : « Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez des nations entières ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez les gens ; si vous contrôlez l’argent, vous contrôlez le monde entier. » Un coup d’œil sur l’histoire permet de comprendre ce qu’il en est de cette citation.

Transcription

« Rockefeller est certainement l’un des noms les plus connus au monde et les rumeurs autour de sa fortune — ou plutôt de la fortune du clan Rockefeller — sont innombrables. Une chose peut en tout cas être considérée comme certaine : les estimations officielles de la richesse des Rockefeller sont très certainement sous-évaluées ».

C’est par ces mots que débute le chapitre « Rockefeller Foundation » du livre « Inside Corona ». L’auteur Thomas Röper y démontre que la Fondation Rockefeller exerce encore aujourd’hui une influence essentielle sur les événements mondiaux. Même si les médias mainstream ne parlent guère des Rockefeller aujourd’hui, leur influence sur la politique, les ONG et les médias ne doit pas être sous-estimée. Kla.TV a résumé pour vous les recherches de Röper et les a complétées par ses propres recherches sur l’histoire et les réseaux mondiaux de la dynastie Rockefeller.

Quelle est la richesse des Rockefeller aujourd’hui ?

John Davison Rockefeller Senior, le fondateur de la dynastie Rockefeller, a construit au 19e siècle l’empire pétrolier Standard Oil Company, qui avait pratiquement le monopole du pétrole aux États-Unis au début du 20e siècle. Considéré comme l’un des hommes les plus riches de l’histoire, il a pris sa retraite avec une fortune d’environ 900 millions de dollars. Cette fortune correspondrait à une valeur actuelle de 300 milliards de dollars américains. Aujourd’hui, selon les médias officiels, le clan ne fait même plus partie des 600 familles les plus riches du monde. Au lieu d’augmenter leur fortune en cent ans, leur richesse n’aurait cessé de diminuer. Mais comment cela est-il possible ? Röper écrit dans son livre :

« Il est extrêmement difficile d’estimer correctement la fortune du clan, car ils sont de véritables maîtres dans l’art de dissimuler leur patrimoine. »

Les descendants du puissant entrepreneur américain John D. Rockefeller ne savaient-ils pas gérer l’argent ?

David Rockefeller, petit-fils de John D. Rockefeller Senior, est probablement la figure la plus connue et la plus importante de la famille Rockefeller. Jusqu’à sa mort en 2017, il a tenu le sceptre de la dynastie familiale et a eu une grande influence sur la politique internationale. On peut supposer qu’il a habilement consolidé le pouvoir de la famille plutôt que de le réduire. Il était considéré comme le banquier mondial à côté des Rothschild. En 1960, il a pris la tête de la Chase Manhattan Bank. Au milieu des années 1970, elle est devenue la troisième plus grande banque du monde. En 2000, la Chase Manhattan Bank, contrôlée par David Rockefeller, a fusionné avec la banque de la famille Morgan pour donner naissance à l’actuelle JPMorgan Chase. Elle est la plus grande banque américaine et, selon le magazine économique Forbes, la quatrième plus grande entreprise cotée en bourse en 2022. La famille Rockefeller et la famille Morgan étaient déjà en contact depuis le début du 20e siècle au moins. En résumé : Les Rockefeller entretiennent des relations avec les principales familles de la haute finance. Par exemple, également avec le groupe financier le plus puissant, BlackRock. BlackRock est le plus grand gestionnaire d’actifs mondial, avec dix mille milliards de dollars américains sous gestion en janvier 2022. Pour ne citer qu’un exemple, David Rockefeller a organisé en 2016 un déjeuner en l’honneur de Larry Fink. Larry Fink est le fondateur, le président et le PDG de BlackRock. Comme l’écrivait à l’époque le New York Post, d’autres amis importants issus des milieux de la haute finance étaient présents à cette cérémonie. Ces liens montrent à eux seuls que les descendants de John D. Rockefeller n’ont pas seulement une bonne maîtrise de la finance, mais qu’ils sont également en contact avec les gestionnaires de fortune les plus puissants et les plus respectés.

Comment les Rockefeller sont-ils devenus riches ?

La famille Rockefeller est originaire d’une colonie allemande appelée « Rockefeld », dont le territoire fait partie de l’actuel district de Neuwied en Rhénanie-Palatinat. La famille a émigré en Amérique au 18e siècle. Ils ne sont devenus célèbres que grâce à l’entrepreneur John D. Rockefeller et à son frère William, qui ont construit l’empire pétrolier Standard Oil Company au 19e siècle, ce qui leur a permis d’avoir pratiquement le monopole du pétrole aux États-Unis au début du 20e siècle. Rockefeller pouvait déterminer le prix du pétrole à sa guise et accumuler argent et pouvoir. Le candidat à la présidence Theodore Roosevelt a donc promis, s’il était élu, d’agir contre le monopole de Rockefeller. Le 15 mai 1911, la Cour suprême des États-Unis a ordonné le démembrement de l’entreprise, ce qui a entraîné une baisse significative du cours de l’action. La Standard Oil a été divisée en 34 petits groupes. Pensant que le cours des actions allait se redresser, Rockefeller a racheté les paquets d’actions des différentes entreprises. Selon des estimations prudentes, il a gagné 200 millions de dollars lors de la hausse ultérieure du cours de la bourse ; ce qui correspondait en 1901 à une valeur actuelle d’environ 7,3 milliards de dollars. Le « démantèlement » de la Standard Oil a donné naissance à pratiquement tous les groupes pétroliers actuels des États-Unis. Comme l’ont rapporté NTV et d’autres médias en 2016, les fondations Rockefeller se seraient séparées de leurs investissements dans les combustibles fossiles en raison de la menace du changement climatique. Selon Röper, il n’existe toutefois aucune preuve d’une séparation des actions à grande échelle. Une chose est sûre : l’ancienne séparation du groupe a permis aux Rockefeller d’accroître encore leur pouvoir et d’amasser de nouvelles fortunes.

Quelle est la stratégie des Rockefeller ?

Henry Kissinger, l’ancien ministre américain des Affaires étrangères, a résumé dans les années 1970 la stratégie globale de David Rockefeller de la manière suivante :

« Quand on contrôle le pétrole, on contrôle des nations entières ; quand on contrôle la nourriture, on contrôle les gens ; quand on contrôle l’argent, on contrôle le monde entier. »

La dynastie Rockefeller avait déjà démontré sa capacité à exploiter les crises mondiales à son avantage. Par exemple, les Rockefeller ont su tirer profit de la crise économique mondiale des années 1970, dominée par une crise pétrolière, pour étendre leur pouvoir et leur influence. Jusqu’en 1971, le dollar était une monnaie couverte d’or et, par conséquent, très influente. En 1971, le président américain de l’époque, Richard Nixon, a mis fin à cet étalon-or du dollar et le système financier actuel, également appelé Fiat money, était né. Afin de maintenir la domination des États-Unis, qui a toujours reposé sur le dollar, le ministre des Affaires étrangères de l’époque, Henry Kissinger, sous l’influence des Rockefeller, a négocié avec l’Arabie saoudite ce qu’on appelle le pétrodollar ou le dollar OPEP, ce qui fait que le pétrole n’est quasiment plus vendu sur le marché mondial que contre des dollars. Le monde fut dès lors contraint d’acheter d’énormes quantités de dollars pour pouvoir payer les importations de pétrole. Comme le monde a un grand besoin de pétrole depuis des décennies, cela renforce énormément non seulement la devise dollar et donc l’influence des États-Unis, mais aussi le réseau des sociétés pétrolières et bancaires Rockefeller, qui deviennent ainsi des géants et gagnent énormément en influence et en pouvoir.

Comment les Rockefeller en arrivent-ils à avoir une longueur d’avance sur l’histoire mondiale ?

Les Rockefeller ne travaillent pas seulement avec d’autres soi-disant « conseillers philanthropes », ils entretiennent également des relations avec d’autres personnes puissantes sur ce globe — Henry Kissinger, Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, Ted Turner et Michael Bloomberg — pour n’en citer que quelques-unes. En outre, ils sont et ont été les pères fondateurs ainsi que les membres de divers clubs d’élite et think tanks. Par exemple, David Rockefeller a fondé en 1973 la Commission trilatérale, un groupe de réflexion qui sert aux échanges entre les élites d’Amérique du Nord, d’Europe occidentale et du Japon. Les Rockefeller sont également liés au Council on Foreign Relations (CFR), considéré comme l’un des think tanks les plus puissants au monde. Plusieurs Rockefeller ont été et sont toujours membres du CFR. Selon le site web du CFR, les compagnies pétrolières Exxon Mobil et Chevron ainsi que la banque JPMorgan Chase font partie des principaux sponsors du CFR. Les Rockefeller sont également connus pour être membres de la fondation « The 1001: A Nature Trust ». Celle-ci contrôle le WWF. Godfrey Rockefeller a même été fondateur et membre du conseil d’administration du WWF pendant de nombreuses années. Non seulement en nouant et en entretenant d’importantes relations internationales, mais aussi en se mariant avec les familles d’élite les plus diverses du secteur financier, les Rockefeller occupent une position particulière dans les affaires mondiales.

Quelle est l’importance de la Fondation Rockefeller de nos jours ?

L’influence mondiale de la Fondation Rockefeller s’est révélée plus importante que jamais pendant la pandémie de Covid. Des sources indiquent que la Fondation Rockefeller travaillait déjà en 2010 sur un document de 50 pages contenant quatre scénarios d’avenir — l’un d’eux étant un scénario de pandémie intitulé « Lock-Step », qui ressemble étonnamment à la pandémie COVID-19. Il décrit un monde dans lequel les gouvernements autoritaires restreignent les droits et les activités de la société civile par un contrôle strict, comme par exemple la fermeture des frontières, l’arrêt de l’économie et une technologie de pointe sous la forme de passeports biométriques et de traçage des contacts.

Se pourrait-il que des acteurs importants comme la Fondation Rockefeller aient planifié depuis des années une pandémie anxiogène ?

Il n’est pas possible de répondre définitivement à cette question. Cependant, un fait passionnant en rapport avec COVID-19 est que la Fondation Rockefeller a financé la création en 1916 de l’école Johns Hopkins d’hygiène et de santé publique. C’est l’institution qui a co-organisé l’événement 201 et qui a fourni aux médias du monde entier le nombre quotidien de décès et d’infections liés au COVID. En 2017, la Fondation Rockefeller a également fourni un financement de départ pour ID2020, une initiative visant à fournir à chaque citoyen du monde une identité biométrique lisible à l’échelle mondiale d’ici 2030. Les partenaires de ce projet sont Microsoft, l’alliance pour la vaccination GAVI et Accenture. Accenture est l’un des plus grands prestataires de services au monde dans le domaine du conseil en gestion et en stratégie. Accenture est notamment connu pour sa collaboration avec le Forum économique mondial FEM.

Quel est le but de la dynastie Rockefeller avec ses stratégies ?

L’objectif sans doute le plus important de son empire familial a été révélé par David Rockefeller lors de la conférence Bilderberg de 1991 à Baden-Baden :

« Nous sommes au bord d’un bouleversement mondial. Tout ce qu’il faudrait, c’est une crise de grande ampleur et les nations approuveront le Nouvel Ordre Mondial. »

Les descriptions de Röper confirment cette affirmation et indiquent que la Fondation Rockefeller n’a jamais renoncé à sa position de force mondiale et qu’elle influence encore aujourd’hui les événements mondiaux. C’est pourquoi il est important, dans toutes les crises mondiales, de rechercher à qui elles bénéficient réellement et où circulent et ont circulé quels fonds.

de db.

Sources/Liens :




Nigel Farage s’élève contre l’Identité numérique de l’UE

[Source : Ciel Voilé]






« Il n’y a plus d’alternative, ce sera le chaos ou le retour à la souveraineté du peuple »

Par Christian Darlot

Dans un entretien avec des journalistes du Figaro, le sociologue Christophe Guilly explique les causes de la révolte des classes moyennes, confrontées dans tous les pays d’Europe à la perte de leur fonction économique et à la baisse de leur niveau de vie. Cette chute, les faisant retomber parmi les classes dominées, aux revenus précaires, dont elles étaient sorties depuis quelques générations, résulte des changements matériels de la société.

En effet, la chronologie des quarante dernières années montre, sans doute possible, l’enchaînement des causes et des effets : la cause première est l’imposition du libre-échange par la finance anglo-saxonne. Au début des années 80, un intense battage publicitaire présenta le libre-échange comme le meilleur moyen de prospérité et de paix mondiales, et le duo Thatcher-Reagan fut choisi comme voyageurs de commerce de cette idéologie mercantile. Tout en découle : les faillites d’entreprises, la délocalisation de la production, le chômage ouvrier, puis la délocalisation des bureaux d’étude et le chômage des ingénieurs et des cadres, et par réaction la création de boulots tertiaires parasitaires pour les enfants des classes sup et moyennes-sup, et l’aumône d’allocations au populo pour maintenir la paix sociale. Trois générations de chômeurs ont été ainsi dissuadées de se révolter contre le sort imposé par les maîtres de l’économie, et à présent ils sont présentés comme des paresseux. Sous prétexte d’attractivité économique, les prestations sociales sont diminuées. Pendant ce temps, les institutions d’enseignement étaient dégradées en garderies afin de différer l’augmentation du nombre de sans-emploi, et à présent le niveau d’instruction s’effondre. À quoi bon dépenser un pognon de dingue pour instruire le peuple si les travailleurs qualifiés ne sont plus nécessaires ? Mieux vaut n’instruire que les héritiers. Une société de castes s’instaure.

La mondialisation aligne tendanciellement les revenus : ceux des producteurs des pays développés sur ceux des producteurs des pays pauvres, et ceux des dirigeants sur ceux des maîtres du jeu mondial. Elle détruit donc la cohésion sociale dans chaque pays développé, sans pour autant permettre une cohésion à l’échelle mondiale. En allongeant les chaînes de production, elle enrichit les compagnies commerciales qui empochent la différence des salaires entre les pays, et elle fait la fortune des armateurs, et surtout des banquiers, fournisseurs d’avances financières. Elle renforce la volonté des dirigeants des États les plus puissants de contrôler les sources de matières premières et d’énergie, afin de maintenir les vassaux dans la soumission. Elle pénalise donc les pays qui n’ont pas de grandes disponibilités en énergie (d’où l’attaque contre l’énergie nucléaire, française en particulier), tandis que la spécialisation tend à déstructurer, puis à détruire, le réseau économique productif des puissances généralistes comme la France.

Cet enchaînement de conséquences du libre-échange aurait suffi à causer la crise actuelle, mais d’autres facteurs l’ont aggravée :

— Le rattrapage technique, éducationnel, et à présent scientifique, de pays comme la Chine, l’Inde, le Viet Nam, aux salaires croissants, mais encore nettement plus bas que les salaires des pays d’Europe.

— Le prodigieux progrès des télécoms, qui permet de délocaliser les bureaux d’étude, d’assurer la logistique des échanges de marchandises, et aggrave la spéculation. Ce fut le moyen de mettre en œuvre la mondialisation, non seulement matérielle, mais aussi intellectuelle et surtout idéologique et financière.

— La création et la circulation sans frein de capitaux fictifs. Les banques privées ont usurpé le pouvoir d’émettre de la monnaie, qu’elles émettent désormais sans contrepartie réelle. L’étendue mondiale de leurs réseaux les fait échapper au contrôle par les États, dont elles ont au contraire corrompu et soumis les dirigeants politiques. Elles peuvent ainsi tout acheter, terres, industries, services, en payant en monnaie de singe, monnaie sans valeur, mais ayant cours légal dans le monde entier et soutenue par des systèmes judiciaires, de plus en plus corrompus eux aussi, ainsi que par la force armée. La force brute est employée dans des guerres d’agression. Dans les pays soumis à l’empire financier, des entreprises peuvent encore mettre au point des innovations techniques, souvent remarquables, mais ne peuvent plus les développer et sont contraintes de les céder aux grandes sociétés. Vingt grandes compagnies financières dirigent les banques centrales et contrôlent le capital des deux cents plus importantes sociétés industrielles et commerciales mondiales. Leur budget est supérieur à celui de nombreux États, et elles ont donc des services de prospective, de corruption et d’action, aussi étoffés que les ministères des États. Leurs dirigeants rivalisent, mais se connaissent et se concertent.

En Europe, dans l’espoir de restaurer une autonomie financière à l’échelle du continent, des dirigeants politiques incompétents et chimériques ont institué une monnaie qu’ils ont voulue unique, l’euro, trop forte pour l’économie de la plupart des pays, et dont les dirigeants allemands ont profité pour détruire l’industrie des pays voisins.

Le système coince à présent, sur la dette (fictive), la perte de compétence (réelle), l’idéologie (importée et délirante) et la sujétion (imposée, mais acceptée). La dette est voulue pour donner prétexte à brader les moyens de production de la Nation — augmenter la dette fut une des fonctions de la fausse épidémie covidingue — et l’idéologie sert à distraire l’attention vers des problèmes imaginaires, réchauffement climatique prétendument d’origine humaine et guerre des sexes. La décadence intellectuelle et morale des classes dominantes révèle son adaptation à cette nouvelle organisation mondiale, tandis que le wokisme sert à embrouiller les esprits pour empêcher les luttes sociales.

En outre, une volonté idéologique ne peut plus être niée : un dessein, dont les citoyens ne perçoivent encore qu’une partie, a été élaboré depuis longtemps et est mis en œuvre par une oligarchie restant volontairement discrète, mais dont les porte-parole sont chargés de révéler progressivement les projets pour y habituer peu à peu les peuples. Ce dessein est de submerger par l’immigration les peuples européens (trop contestataires ?), de détruire leur civilisation, et d’exterminer une partie de la population mondiale. Ce constat n’est pas une rêverie complotiste, il résulte de l’observation du monde. Les évènements des trois dernières années ne sont pas des conséquences de l’évolution spontanée des sociétés, mais d’un plan élaboré, dont les modalités d’application sont mises à jour et adaptées à l’évolution de la situation, au gré des circonstances.

Cela paraissait impensable, inimaginable, mais depuis 2020 c’est devenu patent. Les porte-voix de l’oligarchie publient ouvertement sa volonté d’imposer son pouvoir. Les promoteurs de « l’Agenda 2030 » et de la « Grande réinitialisation » font publiquement leur réclame.

L’opposition mondialistes/souverainistes est là.

Guilly prévoit, à raison, un sursaut des classes moyennes qui pressentent l’ouverture de la trappe sous leurs pieds. Quand elle s’est ouverte sous les pieds des ouvriers, les meneurs de la bourgeoisie opulente ont conseillé aux chômeurs de « positiver », de s’adapter, de passer de la Sidérurgie à l’Informatique, et les classes moyennes ont approuvé. Mais à présent qu’on leur dit de traverser la rue, les classes moyennes comprennent que leur vie est menacée.

Cependant un sursaut sans base productive ne serait qu’un ultime soubresaut avant l’agonie.

Le redressement passe impérativement par :

— La production locale, donnant du travail et motivant un renouveau d’ingéniosité technique. Des droits de douane sont nécessaires pour permettre de développer des activités nouvelles, et donc des frontières nationales sont indispensables, ainsi que des accords internationaux mettant fin au libre-échange absolu des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. Tout le contraire des traités que signe Pustula la Hyène.

— Le redressement de l’éducation, le retour à des raisonnements fondés sur la réalité objective, et la restauration de l’intérêt général — donc national — contre la mentalité irréaliste, individualiste et subjective ; la lutte contre la propagande wokiste et mondialiste.

À l’échelle de la croissance démographique et économique du monde, la France est désormais un pays moyen. Une politique adaptée doit donc être complètement inventée. Il faut :

— En politique intérieure : refonder le pouvoir à partir de la base et bâtir une démocratie véritable. Tâche difficile, puisque désormais une partie du territoire est devenu étrangère, composée d’îlots hors-la-loi et parasitaires. Des pouvoirs locaux sont nécessaires pour permettre l’expression et la mise en œuvre de la volonté des citoyens, mais pourraient être utilisés par des puissances hostiles pour infiltrer le pouvoir politique et économique. Un équilibre institutionnel nouveau, sans précédent, est à définir. Tant à l’échelle de l’Europe qu’à celle de la France, il faut empêcher l’institution d’une organisation impériale plutôt que nationale : à l’échelle de l’Europe, il faut refuser toute supranationalité ; à l’échelle de la France, il faut promouvoir l’action locale, mais refuser tout communautarisme.

Cette tâche indispensable nécessite d’écarter du pouvoir tous les traîtres qui y ont été placés. Ce sera le plus difficile.

— En politique extérieure : recouvrer la pleine souveraineté, abolir l’UE et refonder une coopération prudente avec les pays d’Europe. La langue française est encore une des dix les plus parlées dans le monde, c’est un atout très important. Ce n’est pas par lubie que le freluquet dit qu’il n’a jamais vu la culture française (cela n’étonne pas de lui) et parle angali ex officio. Il obéit spontanément à ses maîtres, dont il partage la volonté de soumettre la France. La simple survie de la nation impose de s’émanciper des Zanglos, des Zélus et des Teutons, de faire fond sur la tradition culturelle française, en particulier en s’alliant à l’Italie, à présent totalement soumise à l’OTAN, mais ayant conservé une tradition de beauté mise à mal en France. La France n’a pas d’ennemi militaire, mais, depuis 2005 et le retour de l’agent étasunien Sarközy, l’OTAN l’entraîne dans des guerres d’agression ne la concernant pas. L’intérêt national est de quitter l’OTAN, de renouer des liens de confiance avec la Russie et l’Iran — qui l’accepteraient très volontiers — de rétablir les liens séculaires avec l’Afrique et l’Amérique du Sud, et de renouer tous ces liens en respectant le principe d’égalité entre États souverains.

L’intérêt et l’honneur convergent, pour le salut de la France.

Tout est à réinventer et à refaire, et il faut toujours beaucoup de vieux pour faire du neuf.




Travail et consommation : les deux piliers de l’esclavage moderne

[Source : Tocsin]




Le Great Reset et les 4 cavaliers de l’apocalypse

[Source : ODC TV – Ondes De Choc TV]

Epidémie, guerre, famine et conquête, voilà les quatre fléaux que nous promettent les élites mondialistes à travers le Great Reset.
Avec notre invité de la semaine Marc Gabriel Draghi, nous vous invitons à lire entre les lignes et à décoder les projets formulés dans le livre de Klaus Schwab : « Covid-19 : le Great Reset »

Chapitres 🔎 :
00:00 Introduction
01:51 Le Great Reset, transhumanisme et dictature numérique
08:31 Les quatre cavaliers de l’apocalypse
20:40 Klaus Schwab, simple porte-parole de l’oligarchie?
29:38 La Chine, une alliée de l’élite mondialiste?
38:02 Le Bitcoin est un laboratoire de la NSA et de la CIA
45:50 Israël, ami ou ennemi des mondialistes?
55:45 Ukraine et Gaza, que vise l’oligarchie mondialiste?
1:07:40 Des conseils pour survivre au Great Reset?

[Voir aussi :
Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
Cryptomonnaies : Prospection, enjeux, questionnements et perspectives
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés
La Russie doit combler le fossé en matière de marquage de bétail !]




LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

Forum Chisinau 2024
« LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation »

Chers amis, l’année dernière, l’équipe internationale du Forum Chisinau — qui rassemble de nombreux intellectuels, auteurs, chercheurs, experts et journalistes de différents pays fortement engagés dans la lutte contre la tyrannie mondiale d’une élite mondialiste malveillante — a réalisé un excellent travail. Notre principal événement, qui s’est tenu les 9 et 10 septembre, était le Forum Chisinau 2023, intitulé « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ». Nous avions 33 intervenants qui ont brillamment contribué par leurs discours à l’analyse et au démantèlement des stratégies mondialistes visant à détruire et à soumettre l’humanité.
(Voir : https://rumble.com/user/Chișinăuforum?page=2 ; https://odysee.com/@Chișinăuforum:5)

Nous avons étalé cet événement sur quatre mois en publiant régulièrement, deux fois par semaine, les discours de chaque participant à tour de rôle, à la fois en version vidéo et en version texte. En outre, les discours de nos participants ont été traduits dans plusieurs langues — allemand, français, italien, portugais, espagnol, russe, grec, roumain, etc. — et ont été publiés sur de multiples plateformes de médias alternatifs. Au fur et à mesure que cette campagne de diffusion progressait, nous avons réussi à placer les discours sur diverses ressources médiatiques et à distribuer massivement les articles et les vidéos de nos camarades, et nous avons donné de multiples interviews, toutes ces activités conférant une pertinence particulière et une visibilité remarquable à notre projet métapolitique promu par le biais du groupe de réflexion international Forum Chisinau.

Le moment est venu de préparer notre prochaine rencontre internationale. Le thème annoncé dans le titre de ce mémorandum pourrait également être formulé ainsi : La guerre sans restriction comme stratégie multidimensionnelle d’une élite luciférienne pour une domination totale du monde.

L’état de guerre comme réalité permanente

L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

L’une des principales caractéristiques qui distinguent l’état de guerre actuel des états classiques est qu’il n’est pas déclaré et qu’il n’y a pas d’acteurs légitimes tels que deux parties belligérantes représentées par des États. L’ennemi est caché, de nature subversive, et attaque ses victimes avec une gamme d’armes non conventionnelles qui ne sont pas perçues par les nations cibles comme des actes d’hostilité militaire. Dans ce cas, la règle d’or de L’art de la guerre de Sun Tzu est appliquée à la perfection :

« Grâce à vous, nous apprenons à être invisibles, grâce à vous, inaudibles, et ainsi nous pouvons tenir le destin de l’ennemi entre nos mains ».

Les tactiques de dissimulation et l’application d’un vernis de respectabilité scientifique et d’une prétendue responsabilité morale dans le destin du monde rendent les maîtres de ce jeu mortel pratiquement invulnérables.

Au cœur de la force massive d’influence mondiale se trouve la puissance économique, technologique, médiatique et culturelle-cognitive qui annihile toute capacité de compréhension complexe et de résistance efficace de la part des États et des nations. L’ennemi de l’humanité est extrêmement sophistiqué, parfaitement équipé d’un nombre énorme d’instruments, et capable de jouer un jeu funeste pour le monde entier, tout en continuant à montrer son innocence et ses bonnes intentions.

Le masque de respectabilité sur le visage des « institutions internationales »

Les ennemis de l’humanité agissent par l’intermédiaire d’organisations internationales perçues comme neutres et bénéfiques pour les États et les peuples, telles que l’ONU, l’OMS, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux (BRI), l’OMC, l’OMS, la GAVI, l’UNESCO, l’UNICEF, l’UE, l’OTAN, etc. Et comme complices de cette énorme « conspiration ouverte » apparaissent les gouvernements des États du monde devenus les marionnettes de ces forces occultes : des régimes politiques qui contribuent au génocide des peuples qu’ils gouvernent.

L’influence écrasante, à l’échelle mondiale et nationale, de cet archipel du pouvoir réel est diffusée et exercée par une myriade de sociétés secrètes ou semi-secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Tavistock Institute, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Forum Économique Mondial, etc.

Les guerres non militaires comme stratégie de domination

Parmi l’énorme éventail de guerres non militaires menées par ces élites démoniaques, on peut citer les suivantes :

  • Guerre de religion
  • Guerre de civilisation
  • Guerre économique
  • Guerre cognitive
  • Guerre culturelle
  • Guerre idéologique
  • Guerre psychologique
  • Guerre des médias
  • Guerre biologique
  • Guerre génétique
  • Guerre raciale
  • Guerre d’immigration
  • Guerre géophysique
  • Guerre climatique
  • Cyberguerre
  • Guerre électromagnétique
  • Guerre démographique
  • La guerre féministe
  • Guerre des sexes
  • Guerre des transgenres
  • Guerre intergénérationnelle, etc.

Parallèlement, des guerres chaudes sont déclenchées, comme en Ukraine et dans la bande de Gaza, dans le but de contribuer à la « démolition contrôlée » de l’économie mondiale, à la désagrégation de la capacité fonctionnelle des États et à la réinitialisation du monde sur la base d’un Nouvel Ordre Mondial [NOM].

Pour porter le coup de grâce à l’anéantissement des États et de la liberté humaine, les élites sataniques nous préparent depuis des décennies à une « guerre interplanétaire » découlant d’une « invasion extraterrestre » et du mythe des OVNIS, afin de réaliser le projet Blue Beam, qui apparaîtra comme la phase terminale du triomphe du NOM.

Ainsi, nous sommes contraints par les circonstances de vivre dans une apocalypse permanente que nous percevons souvent comme la « nouvelle normalité ».

Une stratégie unique masquée par les rivalités régionales

L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable avec ses 17 objectifs est imposé à chaque nation et exprime la réalité de la gouvernance mondiale : un agenda qui pousse le plan d’extermination de masse et d’asservissement ultime, sans qu’aucun pays n’oppose de résistance. De plus, tant qu’aucun pays du monde n’annoncera son désir de quitter cette organisation faîtière du pouvoir de l’ombre (l’ONU), le Gouvernement Mondial fonctionnera tout aussi imperturbablement sans même formaliser son existence.

Pour l’année 2024, la signature d’un traité dit de pandémie de l’OMS a été annoncée, qui instaurerait définitivement une tyrannie mondiale sous prétexte de santé et éradiquerait définitivement toute trace de souveraineté nationale et personnelle.

Parallèlement, une nouvelle réalité dystopique s’étend sur le monde entier, se manifestant comme l’apogée de la science et de la technologie promettant l’avènement du paradis éternel. L’ère de la numérisation, de la surveillance universelle, de la destruction des libertés fondamentales — sous prétexte d’urgences médicales, climatiques ou cybernétiques — se manifeste avec une force irrésistible. Les monnaies numériques des banques centrales, l’Internet des objets, l’Internet des corps, les villes intelligentes ou villes de 15 minutes, l’« homme augmenté » sous les traits du transhumanisme, la technocratie comme forme de tyrannie universelle, s’annonçant comme une prophétie autoréalisatrice, toutes ces nouvelles réalités sont en train de remodeler le monde entier.

Une évasion de la prison conceptuelle

Aucun des conflits de premier plan qui font actuellement rage à l’échelle mondiale, qu’ils soient Ouest-Est ou Nord-Sud, ne semble affecter l’imposition d’une stratégie mortelle commune émanant de l’ONU, de l’OMS et d’autres organisations.

Le caractère extrêmement sophistiqué et complexe du système de domination mondiale par le biais des organisations internationales — d’innombrables entités privées imbriquées sous un masque scientifique, culturel, médical ou médiatique — conduit à un état de domination intégrale beaucoup plus périlleux que celui qui pourrait être atteint par la conquête militaire ou l’assujettissement économique.

La multitude de formes de guerres totales non militaires qui sont menées contre l’humanité n’est même pas perçue par la grande majorité des gens comme une agression générale contre l’humanité. Cette incapacité à appréhender les nouvelles réalités géopolitiques avec leur profonde signification spirituelle pourrait bientôt s’avérer fatale pour le monde entier. Une certaine erreur de perspective, une inertie de la pensée maintiennent l’esprit collectif dans la captivité des temps passés.

Dans les nouvelles conditions historiques de la mondialisation, dues à une avancée massive de la science et de la technologie et à la concentration gigantesque du pouvoir mondial entre les mains d’entités privées, les anciens schémas de division entre pays, régions et civilisations ne sont plus valables ; ils ne servent plus qu’à masquer le vrai visage des factions participant au conflit.

Pour sortir de la confusion générale et avoir la possibilité d’opposer une résistance efficace pour assurer la pérennité de la civilisation humaine, il est nécessaire de faire une distinction catégorique entre la perspective horizontale et la perspective verticale.

Horizontalement, c’est l’Occident collectif et les pays BRICS, le Nord riche et le Sud émergent qui se font face. Pourtant, la lutte essentielle se déroule verticalement : l’agression multidimensionnelle et implacable des élites mondiales diaboliques d’une part et de tous les peuples du monde d’autre part. Et si le premier plan d’affrontement est enregistré par la perception publique, le second, infiniment plus important, échappe à l’attention du monde.

Les rivalités entre les groupes de pays susmentionnés n’ont pas cessé même en 2020, mais pour couronner le tout, tous les pays ont répondu avec la même docilité aux édits de l’OMS lors de la fausse pandémie de Covid-19, qu’ils n’ont pas perçue comme un acte de guerre.

L’Occident collectif contre les BRICS, les États-Unis contre la Chine : Qui dirige ?

L’une des erreurs fondamentales liées à la mondialisation est la tendance à attribuer à l’Occident collectif le rôle exclusif de moteur de ce processus. Selon cette logique, l’effondrement de l’Occident entraînerait automatiquement l’échec de la mondialisation. D’où les mythes liés aux BRICS en tant qu’alternative civilisationnelle à l’Occident. La récente expansion substantielle de cette organisation informe et omnivore a suscité de nouvelles vagues d’enthousiasme parmi les partisans naïfs de la démondialisation. Le déclin de l’Occident et la montée en puissance des BRICS sont également applaudis par tous les adversaires de l’hégémonie américaine. Pendant ce temps, rares sont ceux qui remarquent que la Grande Réinitialisation s’impose partout. Transcendant les conflits géopolitiques horizontaux, il est dicté par la verticale du pouvoir, la seule force qui compte vraiment. Une fois de plus, le monde est gouverné par des entités privées supranationales opérant à travers l’ONU, l’OMS, etc. Big Money, Big Oil, Big Pharma, Big Tech, Big Media, etc. ne sont que les tentacules d’une même pieuvre satanique.

Et si l’on sait que l’Agenda 2030 de l’ONU est accepté et mis en œuvre par tous les pays du monde, que la politique génocidaire de fausses pandémies et de meurtre par injection de l’OMS est une politique officielle de tous les États, que la digitalisation est omniprésente, comment admettre une telle absurdité en admirant une si fausse alternative ?

Certains se réjouissent de la perspective d’une dédollarisation imminente comme si elle devait être suivie de l’établissement de la souveraineté monétaire au niveau de chaque nation et de la disparition de la BRI et de la City de Londres. Il faut savoir que le dollar sera remplacé par des CBDC au niveau « national », après quoi une unité monétaire numérique universelle sera imposée.

C’est un truisme de dire que les mêmes prémisses conduisent toujours aux mêmes conséquences. La société technologique conduit à la disparition des campagnes, à l’urbanisation, à la technocratie et, par le biais de la robotique et de l’intelligence artificielle, au chômage de masse. Le remplacement de l’hégémonisme américain par l’hégémonisme chinois ne signifiera pas pour autant l’échec de la Grande Réinitialisation. Au contraire, la société chinoise est un modèle idéal pour les élites mondialistes, qui souhaitent ardemment étendre ses caractéristiques à l’échelle mondiale.

Une véritable révolte des nations suppose d’abord la volonté d’abandonner les carcans mondialistes qui asservissent l’humanité, au premier rang desquels l’ONU et l’OMS. Mais jusqu’à présent, aucun pays au monde n’a annoncé de telles intentions, suivant plutôt avec docilité la politique du Gouvernement mondial qui opère à travers ces organisations.

La fin de la géopolitique classique

Le mythe du changement climatique est accepté aveuglément et docilement par tous les États sous l’égide de l’ONU. L’activité de la BRI, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition des CBDC ne sont pas perçues comme des outils destinés à paupériser et à asservir la population mondiale, mais sont au contraire considérées à tort comme des processus naturels d’une régulation financière inévitable. Il en va de même pour la perception publique d’autres « organisations internationales ».

La capacité à fixer l’esprit collectif, à dissiper les mythes supposés sur le cadre international, ainsi qu’à réduire méthodiquement la capacité cognitive de l’homme contemporain est la principale garantie de succès des mondialistes. À l’heure actuelle, il n’y a pas de différence entre le niveau d’ignorance de l’individu moyen et celui d’un fonctionnaire d’État. Dans ces conditions, la stratégie du déguisement et de la manipulation fonctionne sans la moindre entrave.

J’ai appelé ces nouvelles réalités à l’échelle mondiale « la fin de la géopolitique classique ». Aujourd’hui, le conflit de base est vertical : il se déroule du haut vers le bas et l’ennemi est une entité non étatique, supranationale et extraterritoriale. Par conséquent, comme dans les exercices de décryptage pratiqués en ingénierie sociale, les deux coins inférieurs du triangle doivent, pour échapper à leur éternelle condition de victimes, renoncer à leurs hostilités mutuelles « horizontalement » et regarder vers le haut pour découvrir le véritable ennemi qui les attaque « verticalement ».

Erreur de perspective dans l’identification de l’ennemi

Et je reviens ici au titre de mon discours de clôture prononcé au Chisinau Forum 2023 le 9 septembre dernier : « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique (https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-09-09-alfpxu0e/ ou « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique). Une connaissance approfondie de la nature des ennemis de l’humanité nous offre une chance de revanche, de contre-offensive et de survie.

Nous entrons ici dans la zone la plus délicate et la plus incertaine. En effet, l’homme d’aujourd’hui n’a plus de perspective religieuse et spirituelle sur la vie. La modernité nous a irrémédiablement marqués : nous sommes matérialistes, athées et rationalistes. Et ce, alors que les ennemis de l’humanité, qui nous ont sécularisés et stérilisés spirituellement pendant des siècles, sont eux-mêmes restés profondément ancrés dans les réalités spirituelles. Ils nous ont éloignés de notre Sauveur, mais ont maintenu leur alliance avec leur maître. C’est-à-dire qu’ils nous ont aveuglés afin de pouvoir nous dominer et nous vaincre sans aucune résistance.

Face à un mal spirituel total, à des forces démoniaques surhumaines, nous n’avons aucune chance de réussir en utilisant uniquement le potentiel humain. L’absence d’égalité des armes signifie notre défaite éternelle. Notre besoin vital est de redécouvrir et de rechercher une alliance stratégique avec notre Créateur Jésus-Christ. Avoir un ennemi aussi puissant que Satan tout en restant dans l’illusion de l’autonomie et de l’autosuffisance humaine est une illusion induite par le fils de la perdition.

Il nous appartient de choisir de jouer le rôle de perdants ou de préférer la mission de conquérants, en faisant un grand saut paradigmatique et en revêtant l’armure de nouveaux croisés. En conclusion, notre choix est très simple : à qui obéir, à Dieu ou à Satan. Il n’y a pas de troisième option. L’autonomie humaine est un piège parfait qui nous aveugle et pousse notre Résistance dans une impasse suicidaire.

L’illusion libérale comme facteur de paralysie

L’une des raisons du succès écrasant de nos ennemis est que nous continuons à opérer dans des conditions de tyrannie mondiale et de terrorisme d’État avec notre cadre de référence démocratique libéral dépassé. Face à une guerre totale des élites satanistes contre l’humanité, dans les dents d’un génocide universel, nous fonctionnons avec des notions légalistes ; nous faisons appel à la Constitution, aux Droits de l’Homme et aux normes démocratiques. Nous plaçons nos espoirs dans les cycles électoraux et les « sauveurs » comme Trump ou Poutine, en déifiant l’opposition contrôlée. Et nous refusons de comprendre la nature tragicomique de cette situation.

Lorsqu’un assassin tue vos enfants, votre femme, vos proches, un citoyen honorable s’assoit pour porter plainte au tribunal ou chercher un avocat. Mais la guerre a sa propre logique inexorable. Si vous n’arrêtez pas votre meurtrier, il vous tuera. Même si ce ne sont pas des fusils et des bombes qui sont utilisés comme armes mortelles cette fois-ci, mais des injections, des ondes électromagnétiques et de la nourriture empoisonnée, cela ne change pas le rapport de forces entre les deux parties, l’assassin et la victime. La victime est en état de légitime défense et doit riposter. Notre réponse au plan génocidaire d’une élite mondialiste de réinitialisation est typiquement appelée le Grand Réveil — et à juste titre. Mais cet effort d’éveil doit trouver sa continuation immédiate dans le Grand Soulèvement. Toute autre démarche ne serait qu’un exercice intellectuel stérile et nous condamnerait à la disparition de la civilisation humaine.

Veuillez partager ce texte avec vos abonnés, le placer sur autant de plateformes que possible, le traduire dans vos propres langues et l’envoyer à vos amis qui pourraient être nos orateurs potentiels au Forum Chisinau 2024. Afin de minimiser le risque de toute entrave aux déplacements normaux (confinements, etc.), je suggérerais la fin du mois de mai comme la meilleure période pour notre prochain événement.

Le Forum Chisinau est un groupe de réflexion international indépendant et n’est subordonné à aucun centre géopolitique, État ou entité privée. Nous n’avons pas de sponsors et n’en recherchons pas. Toutes les dépenses liées à nos activités sont à la charge de chaque participant. Une véritable résistance métapolitique et une dissidence implacable exigent une totale liberté de pensée et d’action.

N’hésitez pas à me faire part de vos avis sur le thème annoncé pour la prochaine édition, à formuler des suggestions à cet égard et à proposer de nouveaux intervenants pour notre événement. J’attends vos messages à l’adresse électronique suivante : ChisinauForum2024@protonmail.com

Iurie Rosca est un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




« Il ne peut pas y avoir de choc des civilisations »

[Via qactus.fr]

Philippe Milliau, président de TVL :

Vidéo extraite de Table ronde n°2 : L’Occident est-il fini ? / Université d’automne UPR (11/11/2023)



Extension et soutien européen de la grève des agriculteurs allemands

« Trop c’est trop »  : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie

Mise à jour 10/01/2024


Mise à jour 09/01/2024


Mise à jour :

Déferlement de la colère des agriculteurs allemands jusqu’au blocage du pays  ?

https://www.francesoir.fr/politique-monde/deferlement-de-la-colere-des-agriculteurs-allemands-jusqu-au-blocage-du-pays

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Ce lundi 8 janvier, le mouvement « Zu viel ist zu viel » (“Trop, c’est trop”) se déploie à travers toute l’Allemagne. Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.

Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre. 

Lire la suite …


[Illustration : Tracteurs stationnés sur la Pariser platz, non loin de la Porte de Brandebourg, Berlin, 18 décembre 2023.
 John MacDougall]

[Source : francesoir.fr]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

La fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR) déclenche la colère des agriculteurs allemands, qui devraient être bientôt rejoints par les cheminots et les routiers. Le mouvement de manifestation « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») s’intensifie. Une vague de manifestations sans précédent est annoncée pour le 8 janvier prochain.

Le 18 décembre dernier, plus de 1 500 tracteurs ont bloqué la circulation des rues de Berlin. Depuis, des centaines d’engins agricoles circulent dans de nombreuses autres villes allemandes.

Fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR)

À l’instar de la France, l’Allemagne se dirige vers la fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR). Dans l’Hexagone, Bruno Le Maire, soucieux de favoriser les investissements verts, a annoncé dès septembre qu’il fallait s’attendre à une défiscalisation progressive du carburant de 2024 à 2030. De l’autre côté du Rhin, on mise plutôt sur la fin des subventions, mais pour des raisons budgétaires.

En novembre, la Cour de justice de Karlsruhe a tapé sur les doigts de la coalition dirigée par Olaf Scholz. Le chancelier s’était mis en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique. Sauf que pour la Cour suprême allemande, ces 60 milliards d’euros, initialement destinés à amortir l’impact économique du Covid, ne pouvaient être dépensés pour autre chose.

Et depuis cette suppression massive de crédits, c’est le casse-tête. Non seulement contraint par la règle constitutionnelle du « frein à l’endettement » qui limite le déficit budgétaire annuel du pays à 0,35% du PIB, le gouvernement souhaite combler les trous dans le fonds de financement pour la transition écologique. Le coupable n’est-il pas tout trouvé ?

Quitte à rogner sur certaines dépenses, autant commencer par les allègements fiscaux qui favorisent la consommation d’énergies fossiles, au grand dam des agriculteurs, qui ne moissonnent pas encore en tracteur électrique.

« Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop »)

Peut-être un brin inspiré par le bon mot de leurs voisins, qui scandent : « On marche sur la tête ! » à travers les campagnes de France, mais surtout par le mouvement de révolte initié par les agriculteurs hollandais, les paysans allemands défilent par centaines depuis la mi-décembre à bord de leurs tracteurs en arborant le slogan : « Trop, c’est trop » (« Zu viel ist zu viel »).

Leurs revendications sont claires. D’après un article paru dans le Berliner Zeitung du 28 décembre, ils comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité. M. Joachim Rukwied, président de l’Union des agriculteurs allemands, appelle à une semaine d’action à partir du 8 janvier. Une grande manifestation est programmée à Berlin le 15 janvier, juste avant que la commission budgétaire du Bundestag n’arrête le budget fédéral pour 2024.

Mais la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole. Elle a aussi gagné les cheminots et les routiers, qui veulent se joindre au mouvement. Et risque de faire traînée de poudre et se propager aux restaurateurs. Malgré la promesse de campagne du candidat Scholz de ne pas augmenter la TVA une fois élu, la taxe sur les denrées alimentaires vient de passer de 7 à 19 % le 1er janvier. L’ancien gouvernement avait réduit la TVA il y a trois ans pour sauver les restaurants de la faillite pendant l’épidémie de Covid. Il semblerait qu’il soit désormais temps de payer l’addition.





Les voitures électriques d’occasion sont invendables

[Source : DME En Direct]




La réalité d’Elon Musk ?

[Source : Ciel Voilé]






Moscou va donner la priorité au plan de marquage du bétail de la planète approuvé à Davos

[Source : edwardslavsquat]

[Crédit image : weforum.org (site du Forum Économique Mondial)]

Source : Président russe Vladimir Poutine

Par Edward Slavsquat

L’expression « infrastructure publique numérique » [IPN] est un euphémisme amical de lézard de l’espace qui signifie « vous allez être marqué au fer rouge et vous allez aimer ça ». Vous avez probablement lu les joies de l’IPN en parcourant les sites web des Nations Unies, du Forum Économique Mondial, de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres réservoirs bienveillants de l’altruisme international qui se consacrent à la création d’un monde sûr, pratique, équitable, inclusif et extrêmement durable.

Voici comment le Programme des Nations Unies pour le Développement décrit l’IPN :

L’infrastructure publique numérique (IPN) est un moyen partagé de parvenir à de nombreuses fins. Elle est un catalyseur essentiel de la transformation numérique et contribue à améliorer la prestation des services publics à grande échelle. Bien conçue et mise en œuvre, elle peut aider les pays à atteindre leurs priorités nationales et à accélérer la réalisation des Objectifs de Développement Durable [de l’Agenda 2030].

Les gouvernements, les donateurs, le secteur privé et la société civile ont l’occasion de la façonner — rejoignez-nous !

Voici maintenant la définition de la Fondation Rockefeller :

L’IPN est une approche numérique qui permet des fonctions essentielles à l’échelle de la société afin de promouvoir la croissance économique et sociale pour tous, et pas seulement pour ceux qui ont les moyens d’y accéder.

Ses utilisations immédiates sont nombreuses : paiements d’urgence aux réfugiés climatiques via les téléphones portables, accès immédiat à la télésanté et aux dossiers, carte d’identité numérique qui accélère l’accès aux prestations sociales, etc.

Voici comment la Fondation Bill & Melinda Gates explique cette initiative numérique salutaire :

Lorsque COVID-19 a accéléré la transformation numérique à l’échelle mondiale, il a mis en évidence la différence entre une infrastructure numérique forte et une infrastructure numérique faible. Les pays disposent d’une fenêtre étroite pour s’assurer qu’ils disposent de réseaux numériques qui offrent de manière sûre et efficace des opportunités économiques et des services sociaux à tous les résidents. C’est ce que l’on appelle l’infrastructure publique numérique.

Enfin, le Forum Économique Mondial a donné son point de vue sur l’IPN :

L’infrastructure publique numérique est essentielle pour relever d’importants défis mondiaux tels que le changement climatique et la nécessité de disposer de finances publiques réactives et efficaces. […]

Une approche axée sur l’infrastructure et utilisant les IPN nous promet d’imaginer un avenir numérique inclusif qui exploite le pouvoir de la société, des gouvernements et des entreprises, tout en étant innovant, adapté au contexte et évolutif pour servir les gens et notre planète.

Les IPN dans le domaine de l’identification et des paiements ont considérablement raccourci la courbe d’adoption et d’inclusion.

Si l’on supprime la salade de mots superflus des citations ci-dessus, la philosophie qui sous-tend l’IPN peut être résumée comme suit :

Les étiquettes pour le bétail ne sont pas seulement sûres et pratiques, elles sont un droit de l’homme.

Si je souligne ce point, c’est parce que Vladimir Poutine a annoncé, lors du sommet du G20 de novembre, que le « développement de l’infrastructure publique numérique » était une « priorité » pour la Fédération de Russie.

Source : Kremlin.ru
Président de la Russie | Les événements | Structure | Vidéo et photo | Documentation | Contacts | Recherche
Je tiens à souligner que la Russie accorde une attention prioritaire au développement de l’infrastructure publique numérique et au renforcement de la sécurité de l’information. D’ailleurs, nous fournissons déjà la plupart des services gouvernementaux à la population par voie électronique.
En tant que participant responsable aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique, la Russie prévoit d’atteindre la neutralité carbone au plus tard en 2060. À cette fin, tous les outils disponibles et efficaces sont utilisés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : l’énergie nucléaire, l’hydroélectricité, l’augmentation de la capacité d’absorption des forêts, les technologies respectueuses de l’environnement dans tous les secteurs de l’économie.

Bien sûr, il est important de se rappeler que la promotion inconditionnelle de l’IPN par Moscou est très bonne et antimondialiste, tandis que les documents de politique générale de la Fondation Rockefeller détaillant comment l’IPN rendra le monde plus « équitable » sont très mauvais et diaboliques. Il est évident que Moscou s’empresse de mettre en œuvre des projets d’IPN en Russie afin d’empêcher les mondialistes de mettre en œuvre des projets de l’IPN en Russie [😁]. Moscou utilise exactement la même stratégie pour combattre les mauvais clot-shots [mauvaises coagulations (suite aux injections)] et les mauvaises CBDC par de bons clot-shots et de bonnes CBDC.

Mais revenons-en à l’IPN.

L’excellent universitaire et économiste russe Valentin Katasonov a récemment publié un article sur ce nouveau projet « d’infrastructure » mondial et sur les raisons pour lesquelles l’IPN sera probablement l’acronyme de l’année 2024. (Vous vous souvenez peut-être des commentaires avisés de M. Katasonov sur le rouble numérique). Son dernier article d’opinion sur l’IPN a été publié par au moins trois médias en langue russe (Zavtra, un site de médias alternatifs conservateurs de droite, Katyusha.org, nos amis orthodoxes patriotes, et Business Gazeta, le site d’information économique le plus rouge de Russie).

L’article se trouve ci-dessous. Bonne lecture.

IPN sera-t-il le nom du « camp de concentration numérique » mondial ?

par Valentin Katasonov, 15 décembre 2023

L’année dernière, l’une des abréviations anglaises les plus utilisées dans les médias russes était CBDC (Central Bank Digital Currency [Monnaie numérique des banques centrales]). Notre intérêt particulier pour la CBDC est dû au fait que la loi sur le rouble numérique a été adoptée au cours de l’été de cette année et que la Banque de Russie a commencé à introduire progressivement ce rouble numérique dans nos vies.

Je n’exclus pas que l’année prochaine, en 2024, une autre abréviation anglophone prenne la première place en termes de popularité — IPN, qui signifie Infrastructure Publique Numérique [Digital Public Infrastructure, ou DPI, en anglais]. Pour la majorité de nos concitoyens, le sujet de l’IPN est encore terra incognita [terre inconnue ou territoire inconnu]. Mais la mise en œuvre du projet IPN pourrait être si rapide que l’année prochaine, les citoyens pourraient perdre le sommeil à cause de cette mystérieuse IPN. Cela peut avoir le même effet de choc sur les gens que, par exemple, la soi-disant pandémie de Covid qui a balayé le monde entier, y compris la Russie, en 2020.

Le projet d’introduction de l’IPN a été lancé au plus haut niveau. Il est mené sous les auspices du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de la Fondation Bill et Melinda Gates et de la Fondation Rockefeller, avec le soutien de l’Union Européenne, du FMI et du Forum Économique Mondial (FÉM) de Davos.

Le Guide de l’Infrastructure Publique Numérique (IPN) des Nations Unies (PNUD) indique que le projet comporte trois volets principaux :

« En général, il existe trois principaux types de protocoles qui facilitent l’infrastructure publique numérique : l’identité numérique, les paiements numériques et l’échange de données. En ce qui concerne la première composante (l’identification numérique), il s’agit d’une carte d’identité numérique. »

Et plus loin sur le site du PNUD, on peut lire :

« Ces trois protocoles sont généralement requis pour la plupart des transactions de services numériques, telles que la délivrance de permis, de licences ou la fourniture de dossiers, qui nécessitent souvent de vérifier l’identité de l’utilisateur, d’assurer l’échange de données entre les agences et les utilisateurs, et enfin d’autoriser les paiements en ligne. »

Voici d’autres extraits du site web du PNUD :

« En donnant la priorité à ces trois protocoles, les gouvernements locaux peuvent préparer le terrain pour le développement réussi d’un écosystème complet de services numériques afin de répondre aux besoins uniques de leur communauté. »

En ce qui concerne la question de l’identité numérique, le site indique spécifiquement ce qui suit :

« Cette identité numérique détermine les produits, les services et les informations auxquels nous pouvons accéder ou, à l’inverse, ce qui nous est interdit. »

Tout est très franc. L’accès aux biens publics sera différencié en fonction du statut social de la personne, probablement dans l’esprit du roman de Huxley « Le meilleur des mondes », où tous les habitants du « Meilleur des mondes » sont divisés en castes. Il est probable que le comportement de chaque individu jouera également un rôle, notamment à l’aide de notations sociales attribuées à chaque individu (ce sont les camarades chinois qui ont le plus progressé dans ce sens).

J’ai déjà beaucoup écrit sur cette composante de l’IPN qu’est la CBDC. J’ai récemment publié un livre sur ce sujet : Digital currencies: from Bitcoin to CBDC: “Masters of money” want to become “masters of the world” [Monnaies numériques : du Bitcoin à la CBDC : les « maîtres de l’argent » veulent devenir les « maîtres du monde »] (M. : Tion, 2023).

Même avant l’apparition du projet IPN, j’ai dit que la CBDC est une partie importante d’un projet plus global et général visant à construire un camp de concentration numérique mondial et que tous les détails du projet global nous sont encore inconnus. Aujourd’hui, il semble que nous puissions enfin voir comment le puzzle appelé « camp de concentration numérique mondial » est en train d’être assemblé à partir de pièces individuelles. Son nom est IPN [ou DPI en anglais].

Quant à la CBDC, au cours des derniers mois, certains des secrets de ce projet ont également commencé à être révélés. Les banques centrales de dizaines de pays du monde entier ont déjà annoncé l’année dernière qu’elles commençaient à préparer et à mettre en œuvre des projets de monnaie numérique. Mais en même temps, elles ont déclaré qu’il s’agissait exclusivement de monnaies numériques nationales. Et que la CBDC n’était qu’un ajout aux deux formes existantes de monnaie — liquide et non liquide. Mais cette année, de nombreux signes indiquent déjà qu’une monnaie numérique mondiale unique sera créée au fil du temps et que la CBDC n’est pas un troisième type de monnaie, mais le seul qui remplacera à terme à la fois l’argent liquide et la monnaie scripturale traditionnelle.

En novembre 2023, le festival international de la fintech s’est tenu à Singapour. La directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), Kristalina Georgieva, y a prononcé un discours. Elle a appelé les États à « continuer à se préparer à la mise en œuvre » des CBDC et des plateformes de paiement connexes à l’avenir. La directrice exécutive a noté que les CBDC sont mieux à même que l’argent liquide et les transferts bancaires traditionnels d’assurer la durabilité dans les économies avancées et d’améliorer l’accès aux services financiers dans les communautés sous-bancarisées. Elles parlent plus ouvertement de l’avenir des CBDC en Chine : elles ne cachent pas que le yuan numérique non seulement peut, mais doit, à l’avenir, remplacer les types de monnaie traditionnels, principalement le yuan en espèces.

Ces derniers mois, divers sites web consacrés à l’IPN ont commencé à apparaître comme des champignons après la pluie. Voici, par exemple, un site appelé CDPI. Il s’agit d’une ressource d’information sur le développement de l’IPN, appelée Center for Digital Public Infrastructure (Centre pour l’infrastructure publique numérique). Le site est en grande partie constitué de publicité. Il est impossible de comprendre qui sont les développeurs du projet, qui sont les clients et qui finance le développement.

Le site web explique ce qu’est l’IPN :

« L’infrastructure publique numérique est une approche visant à résoudre les problèmes socio-économiques à grande échelle, en combinant des interventions technologiques minimalistes, la gouvernance publique/privée et l’innovation dynamique du marché. Parmi les exemples courants, citons l’Internet, les réseaux mobiles, le GPS, les systèmes d’identité vérifiables, les réseaux de paiement interopérables, l’échange cohérent de données, les réseaux de découverte et d’exécution en boucle ouverte, les signatures numériques, etc. »

Comme on le voit, le projet IPN vise à intégrer tout ce qui a été développé et peut encore l’être dans les différentes sphères de la vie publique, et est lié aux technologies numériques et à l’information numérique.

Seules deux personnes « mises en avant » sur le site web du CDPI sont apparemment très impliquées dans le sujet de l’IPN. L’une d’entre elles est Nandan Nilekani, un entrepreneur et milliardaire indien étroitement associé au milliardaire américain Bill Gates. Il a acquis une renommée mondiale en faisant don, en 2017, de la moitié de sa fortune à la Bill and Melinda Gates Charitable Foundation. Le milliardaire indien présente le projet comme suit :

« L’infrastructure publique numérique consiste à créer un modèle de croissance fondé sur la technologie qui soit collaboratif, équitable et qui démocratise les opportunités à l’échelle de la population. Le centre IPN peut aider les pays à progresser plus rapidement dans cette voie. »

Le deuxième personnage est Bill Gates lui-même. Apparemment, il est la figure principale de l’organisation CDPI. Sur la page d’accueil du site, il s’adresse aux utilisateurs avec ces mots inspirants :

« Tout comme nous avons construit des routes, des autoroutes et des aéroports au 20e siècle, nous devons maintenant construire une infrastructure numérique ouverte, accessible et qui donne du pouvoir à tout le monde. »

À en juger par de nombreux signes, nous entendrons parler de [Bill Gates] en 2024 aussi souvent que nous avons entendu parler de lui, par exemple, en 2020-2021, lorsqu’il poussait de toutes ses forces l’idée d’une vaccination universelle de l’humanité, et d’une vaccination accompagnée de l’identification numérique de chaque habitant de la planète.

De nombreux observateurs et experts de l’IPN appellent les principaux moteurs du projet les Nations Unies (PNUD) et Bill Gates (la Fondation qui porte son nom). Ce projet a reçu le nom officieux de « 50-in-5 » [« 50 en 5 »]. Cela signifie que les Nations Unies et Bill Gates prévoient de créer des infrastructures publiques numériques complètes dans 50 pays sur une période de cinq ans. En d’autres termes, si nous comptons à partir de 2023, en 2028, des camps de concentration numériques à part entière devraient être construits dans cinquante pays du monde. Et à plus long terme, un monde unique sera créé à partir de camps de concentration numériques individuels.

Quand la campagne « 50 en 5 » a-t-elle commencé ? Le site web du PNUD indique la date exacte du début de la campagne : le 8 novembre 2023. La communauté mondiale n’a pas encore pleinement pris conscience de cet événement historique. […]

Il y a d’autres participants au projet NPI. Ainsi, lors du sommet B20 (Business-20) qui s’est tenu en Inde en août, l’entrepreneur et milliardaire Nandan Nilekani, déjà cité plus haut, a pris la parole. Il est considéré comme le premier architecte indien de l’identité numérique. Lors du sommet, l’homme d’affaires s’est vanté du chemin parcouru par l’Inde dans la mise en place d’une infrastructure publique numérique. Il a ajouté que d’autres pays pourraient suivre son exemple et utiliser l’IPN pour tout ce qui concerne les passeports vaccinaux, la perception des impôts et le paiement des péages routiers, l’adaptation au changement climatique et la transition vers une économie circulaire.

Et lors de la session de printemps (2023) du FMI et de la Banque Mondiale, ce milliardaire indien a déclaré que pour construire une « société correcte » dans le nouveau monde, seuls trois outils sont nécessaires : chaque membre de cette société devrait avoir une carte d’identité numérique ; tout le monde devrait avoir un compte bancaire ; tout le monde devrait avoir un smartphone. Cela suffit pour construire toute l’infrastructure numérique de la société, c’est-à-dire, dans un langage moins politiquement correct, un camp de concentration numérique.

[NDLR Cela correspond à la mise en place de la mythique ou apocalyptique Marque de la Bête sans laquelle il ne sera plus possible d’acheter et de vendre. Ceci sera probablement réalisé dans la pratique par le transhumanisme de l’Homme grâce aux vaxins graphénisés qui le rendront partie intégrante de l’Internet de Corps avec la proche 6G et permettent déjà l’apparition d’un identifiant numérique unique sous forme d’adresse MAC, pour Media Access Control.
En d’autres termes :
Marque de la Bête = Graphène des vaxins + 6G + CBDC + Identité numérique mondiale + Crédit social]

Le Forum Économique Mondial (FÉM), qui a commencé à être oublié de manière imméritée après la fin abrupte de la pandémie dite de Covid, apporte également une forte contribution à la construction de l’IPN. En novembre de cette année, le FÉM a proposé son plan d’introduction de « cartes d’identité numériques ». En outre, la menace d’un réchauffement brutal de la planète, les prévisions de nouvelles pandémies, l’imminence d’une famine mondiale et d’autres menaces globales ne laissent pas de temps pour l’escalade. Le FÉM estime que l’identification numérique de tous les habitants de la planète devrait être achevée d’ici 2030.

Les observateurs et les experts qui ont commencé à suivre le sujet de l’IPN notent que si la mise en œuvre du projet commence à déraper, les organisateurs de la campagne auront très probablement recours à un moyen déjà éprouvé : l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) annoncera le début d’une nouvelle « pandémie », avec toutes les conséquences qui en découlent pour les droits de l’homme et les libertés.

PS — L’auteur d’un article récent (publié par Tsargrad) sur le thème de l’IPN a suggéré de donner un autre nom, plus exact, au projet : GDCC — « global digital concentration camp » [camp de concentration numérique mondial].




Les boomers et l’euro numérique

Par André

… dimanche matin, je vais acheter des huîtres pour ma femme. À sept heures, les Boomers font déjà la queue dans mon quartier résidentiel paisible de retraités. À huit heures, le camion se pointe. C’est la file d’attente infernale, il n’y a qu’un lecteur de carte bancaire et les deux vendeurs (l’un pour les bourriches précommandées par les retraités, l’autre, pour les ventes au détail) doivent attendre que chaque client s’acquitte de son paiement numérique. J’arrive enfin à accéder au producteur, un gilet jaune de la première heure, avec mes espèces en main. À côté de moi, une retraitée pimpante de 75 ans, ancienne soixante-huitarde paye sans contact… J’ai peur depuis. Mon quartier, envahi de ces décérébrés par 80 ans de facilité post guerre viendront s’agglutiner derrière mes fenêtres à la première crise sévère que les nonagénaires génocidaires, comme vous dites si bien, ne manqueront pas de provoquer pour les exterminer.

Cela fait des années que je vous suis, sur votre formidable blog. Toutefois, en lisant ce matin votre dernier post, je fais le lien avec le film que j’ai vu hier soir, découvert par hasard dans une boutique de déstockage : Happy Days, de Robert Zemeckis en 1978 avec Nancy Allen, entre autres. J’aime bien Zemeckis, il décrit bien la transition du monde actuel, et puis, on sent derrière l’influence du producteur exécutif, le sulfureux Spielberg, qui fait passer son message subliminal : hommes blancs wasp, acceptez le changement, il est inéluctable…

Le film parle de la première émission de télé des Beatles à New York, chez CBS, et des trois copines groupies un peu neuneus qui essaient de décrocher des places pour y assister. Il y a bien sûr la quatrième copine intello, une rebelle qui préfère Dylan et Baez (c’est la fille du disquaire, qui la tance, car, dit-il : « Dylan et Baez ne vendent rien comme disques »), et le Fonzy de service hétéro dominant, frustré de ne plus pouvoir draguer les filles (toutes folles de Paul ou Ringo et de leur coupe au bol) qui trouve que ces Anglais sont des « pédales efféminées, comme, tous les mâles anglais au demeurant ».

Changement de paradigme à tous les étages. Les écoliers garçons refusent de se faire couper les cheveux, au grand dam de leur père qui veut une coupe à la tondeuse « comme dans la marine », pour leurs fils, en échange de pouvoir aller voir le show des bébêtes british (les digues cèdent, malgré tout…), une des groupies a loupé la messe pour assister à la nouvelle religion, la troisième veut faire des photos des quatre garçons par opportunisme, pour lancer sa carrière de journaliste, et la dernière, fiancée, est traînée de force alors qu’elle voulait enterrer ce soir-là sa vie de jeune fille avec ses amies. C’est d’ailleurs celle qui vivra la rencontre la plus torride sexuellement, tandis qu’une autre assistera depuis un placard à la rencontre perverse d’un vieux blanc avec une étudiante call-girl (déjà !).

Après mille péripéties que je ne dévoilerai pas, Spielberg pose ses grosses papattes sur notre volonté anticonformiste : vous ne pouvez échapper à la tentation, au progrès woke (déjà), même le ciel s’oppose au sabotage de l’antenne de CBS lors de la retransmission, alors n’imaginez pas que vous, peuple conservateur et avec les pieds sur terre, vous pouvez échapper à Baal, au modernisme pardon.

Sans transition, dimanche matin, je vais acheter des huîtres pour ma femme. À sept heures, les Boomers font déjà la queue dans mon quartier résidentiel paisible de retraités. À huit heures, le camion se pointe. C’est la file d’attente infernale, il n’y a qu’un lecteur de carte bancaire et les deux vendeurs (l’un pour les bourriches pré commandées par les retraités, l’autre, pour les ventes au détail) doivent attendre que chaque client s’acquitte de son paiement numérique. J’arrive enfin à accéder au producteur, un gilet jaune de la première heure, avec mes espèces en main. À côté de moi, une retraitée pimpante de 75 ans, ancienne soixante-huitarde paye sans contact.

Je déclare au producteur : « je suis sidéré de découvrir que tous les retraités paient par carte et en plus sans contact ». Toujours aussi idiot — je ne peux pas m’empêcher d’être pédagogue, même en présence de veaux —, je me mets au devoir d’expliquer à la retraitée béate devant son plastique qui ping ! sur le lecteur de CB, qu’avec l’arrivée des monnaies numériques de banque centrale, le non usage des espèces va précipiter notre — son — esclavage (je n’ose par rajouter à cette quadruple ou quintuple dosée, probablement comme toutes la queue septuagénaire, notre mise à mort sociale et physique ainsi que celle de son âme, déjà largement moribonde). Devant ses yeux encore orgasmiques, je m’intime l’ordre de me taire.

Inutile.

L’ostréiculteur, acquiesce en silence, c’est sa clientèle, il ne va pas se suicider commercialement. Et la Boomer de conclure en rangeant son bout de plastique : « oui, mais c’est tellement pratique ! ». « Comme un gode », ai-je envie de lui rétorquer, avant de prendre ma douzaine sous le regard navré du vendeur et de fuir ces zombies en courant.
J’ai peur depuis. Mon quartier, envahi de ces décérébrés par 80 ans de facilité post guerre viendront s’agglutiner derrière mes fenêtres à la première crise sévère que les nonagénaires génocidaires, comme vous dites si bien, ne manqueront pas de provoquer pour les exterminer. Pour mendier un conseil, une idée, un espoir de solution à leur malheur impromptu qui leur tombera dessus comme le filet du chasseur, BFM étant en panne, tout comme leur bout de plastique orgasmique et leur cerveau à l’encéphalogramme plat.

Oui, je dois fuir de là. Ce monde est parti en vrille depuis longtemps. Je dois retrouver la campagne profonde et lointaine, là où les vieux paysans savent encore survivre sans électricité et avec trois bouts de chandelles.

Merci Nicolas, pour tous vos rappels littéraires.

Cette prose est un témoignage parmi tant d’autres de vos lecteurs. Ce monde est foutu. Et nous sommes tous, à des niveaux différents bien sûr, mais tous ne nous leurrons pas, les artisans de son déclin et de sa chute finale sous le courroux divin, par manque de charité, active ou par omission.

Comme à Sodome…




Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

Mais le lien est aujourd’hui évident.

L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




La République et la destruction du peuple

[Source : Marion Sigaut – Officiel]

Émeutes, manipulations, massacres et finalement extermination d’une population désarmée, les hauts faits d’armes de la République.




L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale

[Source : articles.mercola.com]

[Illustration : Getty Images]

Par Dr. Joseph Mercola

.

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

– La journaliste d’investigation Corey Lynn s’entretient avec James White, animateur de NorthWest Liberty News, au sujet de son rapport explosif — L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale.

– Après des recherches approfondies, Corey Lynn se dit « 100 % convaincue » que les mondialistes sont en train de mettre en place l’opération centrale de la grille de contrôle dans l’espace.

– Des organisations telles que le Forum Économique Mondial [FÉM] et de nombreuses banques centrales encouragent le déploiement de la grille de contrôle mondialiste.

– Les centres de données basés dans l’espace, alimentés par des systèmes solaires basés dans l’espace, utiliseront des satellites et la blockchain pour créer un grand livre de comptes inviolable, automatisé et permanent pour la gouvernance depuis l’espace.

– Les satellites jouent un rôle de premier plan dans la grille de contrôle mondialiste, et ils sont rapidement lancés dans l’espace ; en 2022, plus de satellites ont été lancés (2 474 pour être exact) qu’au cours de n’importe quelle autre année antérieure.

La journaliste d’investigation Corey Lynn s’entretient avec James White, animateur de NorthWest Liberty News, au sujet de son rapport explosif — Space: The New Frontier for the Central Control Grid (L’espace : La nouvelle frontière de la grille de contrôle centrale).1 En bref, après des recherches approfondies, Lynn se dit « 100 % convaincue »2 que les mondialistes sont en train de mettre en place l’opération centrale de la grille de contrôle dans l’espace.

Les villes intelligentes, avec leurs compteurs intelligents connectés, mettent en place l’infrastructure nécessaire à une surveillance généralisée, tandis que les cartes d’identité numériques permettent de tout savoir — vos finances, vos informations de santé, vos antécédents professionnels et votre score de crédit social — en un seul endroit. Cela signifie que les mondialistes peuvent surveiller et contrôler vos dépenses et votre utilisation des ressources. Mais au lieu d’être gérées dans des villes individuelles, les opérations basées dans l’espace offrent une couverture plus large — de véritables « yeux dans le ciel »3.

« Ils regroupent beaucoup de responsabilités et de pouvoirs au sein de la Space Force », explique M. Lynn. L’U.S. Space Force est la sixième branche de l’armée américaine et, en octobre 2023, elle a accordé un contrat de 70 millions de dollars à Space X pour les satellites militaires Starshield4, destinés à « soutenir la sécurité nationale » par le biais de l’« observation de la Terre » et d’autres mesures5.

Une grille de contrôle centrale sans juridiction

Des organisations telles que le Forum Économique Mondial et de nombreuses banques centrales encouragent le déploiement de la grille de contrôle mondialiste. Une fois en place, il pourrait être impossible ou presque de vivre sans identité numérique et sans les monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Pourtant, Lynn note : « Il ne semble pas que les CBDC soient nécessaires pour que le plan d’ensemble se mette en place, du moins pas tout de suite. Les banques seront la force motrice qui fera entrer tout le monde dans l’ère des codes QR, de la biométrie et de la tokénisation ».6 La raison pour laquelle l’espace est l’endroit idéal pour positionner la grille de contrôle est due à son manque de surveillance et de juridiction. Dans son rapport, Lynn explique :7

« Et si vous aviez la possibilité de construire le centre opérationnel central pour l’ensemble du réseau de contrôle à partir d’un lieu sans juridiction réelle, sans accessibilité ni surveillance ? Et si la source d’énergie massive dont vous avez besoin pour mener à bien cette opération pouvait être exploitée sous le couvert du “changement climatique” de manière accélérée ?

Et si vous pouviez disposer d’une surveillance et d’un armement complets avec une infrastructure financière entière en place dont les données se trouvent dans la paume de votre main pendant que vous contrôlez les leviers ? »

Le rapport cite plus de 160 éléments de preuve montrant comment « l’infrastructure centrale de la grille de contrôle de tous les actifs est en cours de construction, un pas de géant avec l’agenda de la monnaie numérique ».8 Les centres de données basés dans l’espace, alimentés par des systèmes solaires basés dans l’espace, utiliseront des satellites et la blockchain pour créer un grand livre de comptes inviolable, automatisé et permanent pour la gouvernance de l’espace.

« Ils ne peuvent pas construire des centres de données spatiaux alimentés par des systèmes solaires spatiaux qui alimentent des satellites pour maintenir le flux de données vers des satellites spéciaux appartenant au gouvernement sans incorporer la blockchain pour maintenir un enregistrement et gérer les jetons mondiaux de chaque actif, y compris les humains, n’est-ce pas ? » demande Lynn9.

L’infrastructure est déjà en place

Lynn explique que les entreprises de satellites et de technologie, ainsi que les agences spatiales et les gouvernements, affirment que les centres de données dans l’espace, ainsi que la diffusion de l’énergie du Soleil vers la Terre, sont nécessaires pour éviter une catastrophe écologique10.

« C’est une excellente couverture. Alors que certains prétendent que ce serait la façon la plus rapide de procéder, ce qui leur permettrait de contrôler l’espace, d’autres affirment que nous avons besoin des deux — de l’énergie solaire dans l’espace et sur terre. Il s’agit bien sûr de continuer à capitaliser sur l’industrie terrestre, tout en mettant en place des politiques et des réglementations qui détruisent les industries et les personnes afin que le réseau de contrôle de l’espace puisse régner. »

Depuis les années 1970, l’énergie solaire spatiale est considérée comme un moyen de remplacer les combustibles fossiles. Un rapport11 de septembre 2021 commandé par le Royaume-Uni suggère également qu’elle pourrait produire 10 GW d’électricité par an d’ici 2050, soit environ un quart de la consommation d’énergie du Royaume-Uni. L’énergie solaire spatiale est également présentée comme un outil permettant d’alimenter des foyers ou des pays entiers, à un prix inférieur de moitié à celui de l’électricité produite sur Terre. Lynn poursuit :12

« Pour mettre en place un système de monnaie numérique complet avec la blockchain, il faudrait que les populations réduisent leur consommation d’énergie d’un tiers, car il s’agit d’une source d’énergie massive. Cependant, des systèmes solaires basés dans l’espace pour alimenter les satellites où la grille de contrôle fonctionnerait pourraient minimiser considérablement la nécessité de réduire l’énergie sur terre tout en accélérant la grille de contrôle dans l’espace…

Les propriétaires de cette infrastructure pourraient alors techniquement vendre l’électricité à n’importe quel pays. Ne serait-ce pas amusant si cela devenait la principale source d’énergie et s’il suffisait de couper le faisceau quand on le souhaite ? Il s’agit plus probablement d’une histoire de couverture pour alimenter le réseau de contrôle dans l’espace… Après tout, la monnaie numérique, la blockchain et la tokénisation nécessitent un approvisionnement en énergie sans fin pour fonctionner. »

Le Japon, la Chine, la Russie, l’Australie, la Grande-Bretagne, l’Arabie saoudite et les États-Unis ont déjà lancé des initiatives en matière d’énergie solaire dans l’espace. Aux États-Unis, le programme Space Wireless Energy Laser Link (SWELL) a été lancé en mars 2023. Selon Lynn :13

« En utilisant des émetteurs laser et des récepteurs photovoltaïques, ils ont établi des liaisons de téléportation d’énergie, ce qui signifie qu’ils ont été en mesure de fournir de l’énergie par le biais d’ondes électromagnétiques de manière instantanée. Ils affirment que ce procédé est sûr et qu’il peut être utilisé pour distribuer de l’énergie sur la Lune, dans d’autres endroits de l’espace et, éventuellement, sur la Terre à partir de satellites. En juillet, ils ont annoncé qu’ils avaient dépassé les 100 jours de fonctionnement réussi du laser en orbite.

… Il est clair qu’il y a une course pour fournir de l’énergie dans l’espace, mais il se peut que certains de ces “faisceaux d’énergie” soient transportés sur Terre comme une nouvelle industrie de blanchiment d’argent et pour se couvrir. Une question se pose : quel sera l’impact de toutes ces ondes électromagnétiques et de ces lasers sur les compagnies aériennes, les oiseaux ou les personnes ? Le plus inquiétant est de savoir si ces faisceaux électromagnétiques pourraient être accompagnés d’une série de fréquences altérant l’esprit. »

Les satellites jouent le « rôle le plus important » dans la mise en place du réseau de contrôle

Les satellites jouent un rôle de premier plan dans la grille de contrôle mondialiste, et ils sont rapidement lancés dans l’espace. En 2022, plus de satellites ont été lancés (2 474 pour être exact) qu’au cours de n’importe quelle autre année antérieure, et en juin 2023, 11 330 satellites étaient en orbite. D’ici la fin de la décennie, il pourrait y avoir jusqu’à 150 000 satellites dans l’espace.

« La croissance est exponentielle, avec une augmentation de 53,84 % des satellites de communication, de 13,30 % des satellites d’observation de la Terre et de 7,53 % des satellites de développement/démonstration de technologies depuis janvier 2022 », note M. Lynn. « Les États-Unis dépassent tous les autres pays avec près de huit fois leur nombre de satellites dans l’espace, suivis de la Chine, du Royaume-Uni et de la Russie »14.

Entre-temps, le FÉM a mis en place le premier système d’évaluation de la durabilité spatiale (Space Sustainability Rating — SSR) pour réduire les débris dans l’espace, et l’industrie spatiale, d’une valeur de 350 milliards de dollars, devrait atteindre plus de 1 000 milliards de dollars d’ici 2040.15 Toutes les entreprises spatiales — dont les plus importantes sont Boeing, SpaceX, Raytheon, Lockheed Martin, Northrop Grumman, Blue Origin, Sierra Nevada, Astra, Virgin Galactic et General Dynamics — sont impatientes d’obtenir une part de ce gâteau. Lynn explique :16

« Les satellites stockent et déplacent des données, la blockchain fait son chemin vers ces données, le système financier numérique s’accélère, la grille spatiale surveille, les systèmes solaires et de données basés dans l’espace sont en cours de construction, et les lois (ou l’anarchie) de la gestion de cette opération complète dans l’espace sont de leur côté, ce qui coïncide parfaitement avec les nombreuses immunités et les privilèges dont jouissent déjà les banques centrales et de nombreuses organisations.

Imaginez que vous puissiez gérer un réseau de contrôle depuis l’espace, avec une surveillance mondiale, la capacité de produire de l’énergie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de conserver et de stocker toutes les données, de manipuler la météo et l’atmosphère, de disposer d’armes capables d’émettre des fréquences pour modifier les comportements ou d’incinérer instantanément des quartiers avec des armes à énergie dirigée. Imaginez. Tout est sur la table et la concurrence est palpable ».

Space Fence — Le radar le plus avancé au monde

On estime que 200 000 débris spatiaux d’une taille comprise entre 1 et 10 centimètres flottent dans l’espace. Le réseau de surveillance spatiale des États-Unis (Space Surveillance Network — SSN) suit également 15 000 autres débris spatiaux de plus de 10 centimètres (cm) de diamètre. En ce qui concerne les débris spatiaux de moins d’un centimètre, leur nombre pourrait s’élever à plusieurs millions.17

Une fois en orbite, les débris n’y restent pas nécessairement. Les débris de faible altitude — moins de 600 km — resteront en orbite pendant quelques années avant de retomber sur Terre. Mais les débris spatiaux en orbite à 1 000 km dans l’espace peuvent circuler pendant des centaines d’années.18 Une fois dans l’espace, même de minuscules débris d’une taille inférieure à 1 mm peuvent être catastrophiques en cas de collision.

La Space Fence de Lockheed Martin, exploitée par l’U.S. Space Force, a été présentée comme un outil avancé pour surveiller les débris spatiaux. Décrit comme le « radar le plus avancé au monde », le système peut détecter, suivre et mesurer les objets spatiaux, y compris les satellites et autres débris en orbite terrestre basse.

Lockheed Martin indique que « selon la Space Force, le système est le radar de recherche le plus sensible du SSN, capable de détecter des objets en orbite aussi petits qu’une bille en orbite terrestre basse (OTB) »19.

Mais Lynn souligne que « Space Fence ne sert pas uniquement à repérer les débris. Le 20e escadron de surveillance spatiale de la base aérienne d’Eglin est un escadron de 250 membres qui assure 24 heures sur 24 les opérations de commandement et de contrôle de deux systèmes d’armes : le radar à réseaux phasés et la barrière spatiale »20.

Peut-on stopper la grille de contrôle ?

Lynn insiste sur le fait que son rapport n’a pas pour but de susciter la peur, mais plutôt de faire prendre conscience de ce que les mondialistes préparent — et de fournir des informations préalables dans l’espoir de faire échouer certains de ces plans21.

« Il est clair qu’une course à l’espace et une course à la monnaie numérique se déroulent simultanément. Alors quils nont pas besoin des CBDC pour verrouiller les mécanismes de contrôle, ils ont l’intention de les intégrer aux systèmes de paiement rapide et ils sont déjà prêts à les mettre en œuvre dès qu’ils auront le feu vert…

Il est également évident qu’ils ont toujours l’intention d’utiliser les banques pour piloter les codes QR et la biométrie, qui serviront en fin de compte d’identification numérique ou de “laissez-passer”.

… Le complexe militaro-industriel de l’espace passe à la vitesse supérieure, avec beaucoup plus de responsabilités transférées à la Space Force. Les États-Unis et d’autres pays ont consacré beaucoup d’argent à la construction d’infrastructures et à l’installation de satellites et de systèmes de surveillance dans le ciel.

Bien qu’ils aient tous des objectifs communs, la concurrence est bien réelle. Le niveau d’armement et les mécanismes de contrôle déjà en place prouvent qu’ils ne plaisantent pas.

Les livres blancs, les financements, les décrets et les documents relatifs aux nanotechnologies, à la biosécurité, aux puces cérébrales et à la capacité de transférer des pensées et des communications d’un humain à l’autre par le biais de la technologie montrent que le programme du transhumanisme semble de plus en plus plausible. Les robots et l’IA sont destinés à notre avenir, si l’on en croit la vitesse à laquelle ils développent l’apprentissage automatique et d’autres technologies.

En tenant compte de toutes les informations contenues dans ce rapport, et de beaucoup d’autres qui n’y figurent même pas, je pense qu’ils construisent les principales opérations centrales de la grille de contrôle dans l’espace, équipées d’une surveillance complète, de nœuds dans toutes les villes, de centres de données, d’Internet, de systèmes solaires pour alimenter les satellites et les centres de données, d’un ensemble d’armes, d’une infrastructure financière basée sur la blockchain, et probablement en équipant les téléphones cellulaires de matériel et de logiciels supplémentaires qui ont des données biométriques et s’intègrent mieux à leur système de surveillance par satellite. Tout cela est très intelligent. »

Vous vous demandez peut-être ce que vous pouvez faire. Sortez autant que possible de la grille de contrôle. D’un point de vue financier, Catherine Austin Fitts, gourou de la finance et éditrice du Solari Report22, recommande de penser petit et de répartir ses liquidités dans différents endroits, y compris en dehors du système bancaire et de courtage.

Gardez vos liquidités à la maison, dans un ou deux coffres-forts ignifuges ; vous pouvez également les conserver dans un dépôt, une banque locale et un coffre-fort dans une banque locale — ou tout cela à la fois. Utilisez de l’argent liquide pour tout ce que vous pouvez, et ne soutenez pas les établissements qui n’acceptent plus d’argent liquide. Faites de petits achats locaux, y compris pour votre nourriture, en soutenant les agriculteurs locaux plutôt que les géants de l’industrie.

Vous pouvez également vous débarrasser de votre smartphone, que Lynn décrit comme une « arme de surveillance et plus encore ». Toutes ces actions — si elles sont menées par un nombre suffisant de personnes — peuvent avoir un effet puissant sur la protection de la liberté et de l’autonomie. Lynn dit :23

« Je crois que tout ce que nous faisons pour ne pas nous plier aux tyrans a un impact, la diffusion d’informations importantes est essentielle et, surtout, le fait de passer à une conscience supérieure et de reconnaître notre véritable pouvoir inné et la capacité que nous avons de manifester la réalité que nous voulons pour notre avenir est de loin l’outil le plus puissant de notre boîte à outils. »

[Voir aussi :
Ne plus nourrir la Bête
et
Libérez-Vous !]

Sources et Références

1 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

2 Rumble, Dig It! #202: Space: The New Frontier for the Central Control Grid — Special Report October 30, 2023, 3:15

3 Rumble, Dig It! #202: Space: The New Frontier for the Central Control Grid — Special Report October 30, 2023, 4:47

4 Space October 2, 2023

5 SpaceX, Starshield

6 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

7 Idem

8 Idem

9 Idem

10 Idem

11 UK Government Space Based Solar Power

12 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

13 Idem

14 Idem

15 Idem

16 Idem

17 Britannica Space Debris

18 Idem

19 Lockheed Martin, Space Fence

20 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023

21 Idem

22 The Solari Report

23 Corey’s Digs, Space: The New Frontier for the Central Control Grid October 6, 2023




3 ans de combat. Et après ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Par Alexandre Juving-Brunet

Je vous livrerai une rétrospective des trois dernières années de combat mené depuis le choc du Covid-19 et jusqu’à la Foncière Financière Libre, en passant par les manifestations, blocages de péages, pétitions, campagnes présidentielle puis législative, Franc Libre, emprisonnement, coups bas et tordus, les belles rencontres comme les grandes déceptions. L’heure est au bilan chers amis pour aborder la prochaine étape ou plutôt…la prochaine grande Epreuve collective.

« Nous sommes piégés dans un narratif, nous sommes piégés dans un bocal dont on ne peut pas sortir (…) Nous sommes tous des poissons rouges dans un bocal. Ce bocal, il va falloir le percer ou le renverser. Ce bocal, c’est la République. Il a été créé exprès pour vous maintenir en fait avec une illusion de liberté, une illusion de bonheur matériel et une illusion de paix. »

Alexandre Juving-Brunet (vers 50 min dans la vidéo ci-dessous)

[NDLR Alexandre semble faire un lapsus à quelques reprises en désignant par « provax » les Français à ses côtés dans la résistance contre le Nouvel Ordre Mondial, alors que dans la pratique, ils sont plutôt antivax ou qualifiés ainsi.]

Mise à jour :

Vous souhaitez que Justice soit faite ? Alors allez la chercher.




AIMEZ-VOUS LA FRANCE ? (sondage de rue aux réponses surprenantes)

[Source : Vincent Lapierre]

Question simple, réponse simple ? Pas si sûr ! Micro-trottoir !




Les billets de banque bientôt éliminés pour cause d’empreinte carbone ?

[Source : jovanovic.com]

HARO SUR LES BILLETS DE BANQUE QUI ONT UNE EMPREINTE CARBONE

Par Pierre Jovanovic

du 18 au 24 décembre 2023

Celle-là je ne l’ai pas vue venir, et pourtant, je suis vraiment informé :

« L’utilisation des billets de banque a un impact sur l’environnement équivalent à 8 km en voiture ou à 0,01 % de l’impact environnemental total moyen de la consommation d’un Européen. C’est ce qui ressort d’une étude de la Banque Centrale Européenne. »

!!!!!!!!!!!!!!!! ??????????? !!!!!!!!!!!!

Prendre les citoyens pour des imbéciles à un tel niveau relève clairement des Jeux Olympiques, restez assis :

« Pour l’étude, l’impact environnemental du cycle de vie complet des billets a été examiné, y compris l’extraction des matières premières, la fabrication, la distribution et la circulation jusqu’à la destruction finale des billets.

La plus grande charge environnementale provient de la consommation d’énergie des distributeurs automatiques de billets, suivie par le traitement des billets dans les banques centrales, le transport, la production de papier à partir de coton durable et le processus de vérification des billets en magasin.

L’euro est la monnaie de 346 millions d’Européens dans 20 pays. L’utilisation des pièces de monnaie et des transactions électroniques, qui passent par des connexions Internet et des centres de données, n’a pas été étudiée dans le rapport. La BCE souhaite réduire davantage l’impact environnemental des billets de banque en recyclant plus de matériaux provenant de billets usagés et s’attend à des distributeurs automatiques de billets encore plus économes en énergie. »

Le message est on ne peut plus clair ! lire ici De Telegraaf, merci à nos lecteurs.




L’agenda mondial de Bill Gates et comment résister à sa guerre contre la vie

[Source : exoconscience.com]

Par Vandana Shiva

Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier.

En mars 2015, Bill Gates a montré une image du coronavirus lors d’une conférence TED et a déclaré au public qu’il s’agissait de ce à quoi ressemblerait la plus grande catastrophe de notre temps.

La véritable menace pour la vie, a-t-il dit, « ce ne sont pas les missiles, mais les microbes ». Lorsque la pandémie de coronavirus a déferlé sur la terre comme un tsunami cinq ans plus tard, il a ravivé le langage de la guerre, décrivant la pandémie comme « une guerre mondiale ».

La pandémie de coronavirus oppose l’humanité tout entière au virus », a-t-il déclaré.

En fait, la pandémie n’était pas une guerre. La pandémie était une conséquence de la guerre. Une guerre contre la vie. L’esprit mécanique connecté à la machine à fric de l’extraction a créé l’illusion que les humains sont séparés de la nature, et que la nature est une matière première morte et inerte à exploiter.

Mais en fait, nous faisons partie du biome. Et nous faisons partie du virome. Le biome et le virome, c’est nous. Lorsque nous faisons la guerre à la biodiversité de nos forêts, de nos fermes et de nos entrailles, nous nous faisons la guerre à nous-mêmes.

L’urgence sanitaire du coronavirus est inséparable de l’urgence sanitaire de l’extinction, de l’urgence sanitaire de la perte de biodiversité et de l’urgence sanitaire de la crise climatique. Toutes ces urgences sont enracinées dans une vision du monde mécaniste, militariste et anthropocentrique qui considère que les humains sont séparés des autres êtres et qu’ils leur sont supérieurs. Des êtres que nous pouvons posséder, manipuler et contrôler.

Toutes ces situations d’urgence trouvent leur origine dans un modèle économique fondé sur l’illusion d’une croissance et d’une avidité illimitées, qui violent les frontières planétaires et détruisent l’intégrité des écosystèmes et des espèces individuelles.

De nouvelles maladies apparaissent parce que l’agriculture mondialisée, industrialisée et inefficace envahit les habitats, détruit les écosystèmes et manipule les animaux, les plantes et d’autres organismes sans aucun respect pour leur intégrité ou leur santé. Nous sommes liés au niveau mondial par la propagation de maladies telles que le coronavirus parce que nous avons envahi les habitats d’autres espèces, manipulé les plantes et les animaux à des fins de profits commerciaux et d’avidité, et cultivé des monocultures.

Alors que nous coupons les forêts à blanc, que nous transformons les exploitations agricoles en monocultures industrielles produisant des produits toxiques et vides sur le plan nutritionnel, que nos régimes alimentaires se dégradent en raison de la transformation industrielle à l’aide de produits chimiques synthétiques et du génie génétique, et que nous perpétuons l’illusion selon laquelle la terre et la vie sont des matières premières à exploiter pour réaliser des profits, nous nous connectons en effet. Mais au lieu de nous connecter sur un continuum de santé en protégeant la biodiversité, l’intégrité et l’auto-organisation de tous les êtres vivants, y compris les humains, nous nous connectons par la maladie.

Photo de Bjørn Tore Økland sur Unsplash

Selon l’Organisation internationale du travail, « 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle (représentant les plus vulnérables sur le marché du travail), sur un total mondial de deux milliards et une main-d’œuvre mondiale de 3,3 milliards, ont subi des dommages massifs à leur capacité de gagner leur vie. Cela est dû aux mesures de fermeture et/ou au fait qu’ils travaillent dans les secteurs les plus touchés ».

Selon le Programme alimentaire mondial, un quart de milliard de personnes supplémentaires seront poussées vers la faim et 300 000 pourraient mourir chaque jour. Il s’agit là aussi de pandémies qui tuent des gens. Tuer ne peut pas être une prescription pour sauver des vies.

La santé, c’est la vie et les systèmes vivants. Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier. Bill Gates a créé des alliances mondiales afin d’imposer une analyse et des prescriptions de haut en bas pour les problèmes de santé. Il donne de l’argent pour définir les problèmes, puis il utilise son influence et son argent pour imposer les solutions. Ce faisant, il s’enrichit. Son « financement » entraîne un effacement de la démocratie et de la biodiversité, de la nature et de la culture. Sa « philanthropie » n’est pas seulement du philanthrocapitalisme. C’est du philanthro-impérialisme.

La pandémie de coronavirus et le confinement ont révélé encore plus clairement comment nous sommes réduits à des objets à contrôler, nos corps et nos esprits étant les nouvelles colonies à envahir. Les empires créent des colonies, les colonies enferment les biens communs des communautés indigènes vivantes et les transforment en sources de matières premières à extraire pour réaliser des profits.

Cette logique linéaire et extractive est incapable de voir les relations intimes qui soutiennent la vie dans le monde naturel. Elle est aveugle à la diversité, aux cycles de renouvellement, aux valeurs de don et de partage, ainsi qu’au pouvoir et au potentiel de l’auto-organisation et de la mutualité. Elle est aveugle aux déchets qu’elle crée et à la violence qu’elle libère. Le confinement prolongé du coronavirus a été une expérience de laboratoire pour un avenir sans humanité.

Le 26 mars 2020, alors que la pandémie de coronavirus atteignait son paroxysme et que le confinement se prolongeait, l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) a accordé un brevet à Microsoft. Le brevet WO 060606 déclare que « l’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie… »

L’« activité corporelle » que Microsoft souhaite exploiter comprend les radiations émises par le corps humain, les activités cérébrales, la circulation des fluides corporels, la circulation sanguine, l’activité des organes, les mouvements corporels tels que les mouvements oculaires, faciaux et musculaires, ainsi que toute autre activité pouvant être détectée et représentée par des images, des ondes, des signaux, des textes, des nombres, des degrés ou toute autre information ou donnée.

Le brevet est une revendication de propriété intellectuelle sur nos corps et nos esprits. Dans le cadre du colonialisme, les colonisateurs s’attribuent le droit de s’approprier les terres et les ressources des populations autochtones, d’anéantir leurs cultures et leur souveraineté et, dans les cas extrêmes, de les exterminer. Le brevet WO 060606 est une déclaration de Microsoft selon laquelle nos corps et nos esprits sont ses nouvelles colonies.

Nous sommes des mines de « matière première » — les données extraites de notre corps. Au lieu d’être des êtres souverains, spirituels, conscients et intelligents qui prennent des décisions et font des choix avec sagesse et valeurs éthiques concernant l’impact de nos actions sur le monde naturel et social dont nous faisons partie et auquel nous sommes inextricablement liés, nous sommes des « utilisateurs ». Un « utilisateur » est un consommateur sans choix dans l’empire numérique.

Mais ce n’est pas la totalité de la vision de Gates. En fait, elle est encore plus sinistre : coloniser l’esprit, le corps et l’âme de nos enfants avant même qu’ils aient l’occasion de comprendre à quoi ressemblent la liberté et la souveraineté, en commençant par les plus vulnérables.

En mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a annoncé un partenariat avec la Fondation Gates pour « réinventer l’éducation ». M. Cuomo a qualifié M. Gates de visionnaire et a affirmé que la pandémie avait créé « un moment dans l’histoire où nous pouvons réellement incorporer et faire avancer les idées [de M. Gates]… tous ces bâtiments, toutes ces salles de classe physiques — pourquoi avec toute la technologie dont vous disposez ? »

En fait, cela fait deux décennies que M. Gates tente de démanteler le système d’enseignement public des États-Unis. Pour lui, les étudiants sont des mines de données. C’est pourquoi les indicateurs qu’il préconise sont l’assiduité, l’inscription à l’université et les résultats aux tests de mathématiques et de lecture, car ils peuvent être facilement quantifiés et exploités. En réimaginant l’éducation, les enfants seront contrôlés par des systèmes de surveillance pour vérifier s’ils sont attentifs alors qu’ils sont forcés de suivre des cours à distance, seuls à la maison.

La dystopie est un monde où les enfants ne retournent jamais à l’école, n’ont pas l’occasion de jouer, n’ont pas d’amis. C’est un monde sans société, sans relations, sans amour et sans amitié.

Lorsque je regarde vers l’avenir, dans un monde de Gates et de barons de la technologie, je vois une humanité qui est encore plus polarisée en un grand nombre de personnes « jetables » qui n’ont pas leur place dans le nouvel empire. Ceux qui en feront partie ne seront guère plus que des esclaves numériques.

Ou nous pouvons résister. Nous pouvons ensemencer un autre avenir, approfondir nos démocraties, nous réapproprier nos biens communs, régénérer la terre en tant que membres vivants d’une famille Terre unique, riche de sa diversité et de sa liberté, unie dans son unité et son interconnexion. C’est un avenir plus sain. C’est un avenir pour lequel nous devons nous battre. Nous devons le revendiquer.

Nous sommes au bord du précipice de l’extinction. Allons-nous laisser notre humanité en tant qu’êtres vivants, conscients, intelligents et autonomes être anéantie par une machine avide qui ne connaît pas de limites et qui est incapable de mettre un terme à sa colonisation et à sa destruction ? Ou allons-nous arrêter la machine et défendre notre humanité, notre liberté et notre autonomie pour protéger la vie sur terre ?

Source : https://www.thepulse.one/p/bill-gates-global-agenda-and-how

Traduction : https://exoconscience.com




Destruction intentionnelle : le Covid d’abord, « la grande appropriation » ensuite

[Source : aubedigitale.com]

Par Matthew Smith

La Grande Dépression était un plan bien exécuté pour saisir les actifs, appauvrir la population et refaire la société. La suite est pire…

Un livre récent de David Webb jette une lumière nouvelle sur ce qui s’est exactement passé pendant la Grande Dépression. Selon lui, il s’agissait d’un coup monté.

Webb est un ancien banquier d’affaires et gestionnaire de fonds spéculatifs qui a acquis de l’expérience aux plus hauts niveaux du système financier. Il a publié The Great Taking (La Grande Appropriation) il y a quelques mois et l’a récemment complété par un documentaire vidéo. Un ouvrage complet, concis, compréhensible et GRATUIT. Pourquoi ? Parce qu’il veut que tout le monde comprenne ce qui est en train de se faire.

The Great Taking décrit la feuille de route pour effondrer le système, réprimer le peuple et saisir tous vos biens. Et il inclut les reçus.

Vous ne possédez déjà rien

L’ouvrage de Webb illustre, entre autres, comment les modifications apportées au Code de commerce uniforme ont transformé la propriété d’un bien en un droit sur un titre. La désignation « droit » a fait de la propriété personnelle une simple réclamation contractuelle. La personne « ayant droit » est un propriétaire « effectif », mais pas un propriétaire légal.

En cas d’insolvabilité d’une institution financière, le propriétaire légal est « l’entité qui contrôle le titre avec une garantie ». En substance, les actifs des clients appartiennent aux banques. Mais c’est bien pire que cela. Il ne s’agit pas simplement de perdre ses liquidités à cause du renflouement d’une banque. L’ensemble du système financier a été câblé en vue d’une démolition contrôlée.

Webb décrit en détail comment le piège a été tendu et comment la Grande Dépression a servi de précédent. En 1933, FDR a décrété un « Bank Holiday ». Par décret, les banques ont été fermées. Plus tard, seules celles approuvées par la Fed ont été autorisées à rouvrir.

Des milliers de banques ont été laissées à l’abandon. Les personnes qui possédaient de l’argent dans ces établissements peu recommandables le perdirent entièrement, ainsi que tout ce qu’elles avaient financé (maisons, voitures, entreprises) et qu’elles ne pouvaient plus payer. Ensuite, quelques banques « choisies » ont consolidé tous les actifs du système.

Centralisation et risque systémique

Comme le montre Webb, le gâteau est cuit depuis des années. Mais cette semaine, il y a eu un signe qu’il sortait du four. Lundi dernier, Bloomberg a admis que les mesures prises pour « protéger le système » amplifiaient en réalité le risque.

À la suite de la crise financière de 2008, les « dirigeants » du G20 ont exigé que tous les produits dérivés standardisés de gré à gré soient compensés par des contreparties centrales (CPC), soi-disant pour réduire le risque de contrepartie et accroître la transparence du marché. La CPC la plus connue aux États-Unis est la Depository Trust and Clearing Corporation (DTCC), qui traite des milliers de milliards de dollars de transactions sur titres chaque jour.

Avant 2012, les transactions sur les produits dérivés de gré à gré étaient bilatérales et le risque de contrepartie était géré par les parties à la transaction. Lorsqu’elle traitait directement avec d’autres entreprises, chacune devait s’assurer qu’elle traitait avec des parties fiables. Si elles avaient une mauvaise réputation ou n’étaient pas solvables, les contreparties pouvaient les considérer comme toxiques et les exclure des transactions. Selon les sages dirigeants du G20, cette solution était trop risquée.

Avec l’introduction des mandats de compensation centrale, le risque de contrepartie a été transféré, par l’intermédiaire des contreparties centrales, des entreprises effectuant la transaction au système lui-même. La solvabilité et la réputation ont été remplacées par des garanties et des modèles complexes.

Les courtiers, les banques, les gestionnaires d’actifs, les fonds spéculatifs, les entreprises, les compagnies d’assurance et les autres « parties à la compensation » participent au marché en déposant d’abord une garantie sous la forme d’une marge initiale (MI) auprès de la contrepartie centrale. C’est par le biais de cette marge initiale et d’un fonds de défaillance distinct et beaucoup plus petit, détenu par la contrepartie centrale, que le risque de contrepartie est géré.

Mutualiser les pertes

Déplacer le risque des parties individuelles vers le collectif est une recette pour les problèmes. Mais, comme l’explique un récent rapport de la BRI, c’est encore pire. La structure des contreparties centrales elles-mêmes peut provoquer des « spirales de marges » et des « risques d’erreur » en cas de turbulences sur les marchés.

Dans les épisodes de fuite vers la sécurité, les contreparties centrales augmentent les exigences de marge. Selon la Banque des Règlements Internationaux (BRI),

« Les hausses soudaines et importantes des exigences de marge obligent les contreparties de produits dérivés à se désendetter et peuvent précipiter des ventes forcées qui entraînent une plus grande volatilité et de nouvelles hausses des exigences de marge dans ce que l’on appelle les spirales de marge ».

Nous avons déjà eu un aperçu de ce à quoi cela peut ressembler. Des spirales de marge similaires « se sont produites au début de 2020 (Covid-19) et de 2022 (invasion de l’Ukraine), reflétant la nature sensible au risque des modèles de la MI ».

Les obligations d’État, source de problèmes

Le deuxième domaine de risque systémique est la double utilisation des obligations d’État, à la fois comme garantie et comme actif sous-jacent dans les contrats de produits dérivés. La volatilité du marché des obligations d’État peut entraîner une demande de garanties supplémentaires sur les marchés des produits dérivés, précisément lorsque les prix des obligations d’État sont en baisse. La chute des prix des obligations érode la valeur de la MI existante. Les demandes de garanties montent en flèche au moment même où la valeur des garanties actuelles et potentielles s’évapore.

Encore une fois, la BRI :

La dynamique de risque erronée a semblé jouer un rôle lors de la crise de la dette souveraine irlandaise de 2010-2011. À l’époque, les investisseurs ont liquidé leurs positions en obligations d’État irlandaises après qu’une contrepartie centrale a relevé les décotes appliquées à ces obligations lorsqu’elles sont utilisées comme garanties. Cela a entraîné une baisse des prix des obligations d’État irlandaises, ce qui a provoqué de nouvelles décotes, de nouvelles fermetures de positions et, en fin de compte, une spirale de baisse des prix.

Conçu pour échouer

La BRI ne l’admet pas, mais Webb affirme que les contreparties centrales elles-mêmes sont délibérément sous-capitalisées et conçues pour échouer. Le démarrage d’une nouvelle CPC est planifié et préfinancé. Lorsque cela se produira, ce seront les « créanciers garantis » qui prendront le contrôle de TOUT le collatéral sous-jacent.

Une fois de plus, la BRI :

… afin de mutualiser les pertes potentielles dues à des défaillances dépassant la MI, les contreparties centrales exigent également de leurs membres qu’ils contribuent à un fonds de défaillance (DF). Par conséquent, les contreparties centrales sont à la tête d’importants pools d’actifs liquides.

Ce « large pool d’actifs liquides » est l’univers complet des titres négociés.

En cas d’effondrement du marché, les actions et les obligations que vous pensez posséder seront aspirées dans le fonds de défaillance (DF) en tant que garantie supplémentaire pour la valeur évaporée du complexe de produits dérivés. C’est ce qu’on appelle « la grande prise ».

La célèbre phrase de Buffett est vraie : « On ne découvre qui nage nu que lorsque la marée se retire ». La plupart d’entre nous sont sur le point d’apprendre que c’est nous qui sommes nus.

Si vous n’avez pas lu « The Great Taking » ou regardé le documentaire, je vous recommande de vous servir une boisson fraîche et de le regarder maintenant :

Traduction de Take par Aube Digitale




Les nouvelles PRÉDICTIONS de Jacques ATTALI !

[Source : Juste Milieu.]




Alex Jones, Elon Musk, Donald Trump, intelligence militaire, guerres de l’IA et Skynet

[Source : marie-claire-tellier]

Par Mike Adams

Traduction MCT

Ce qui suit est une transcription partielle générée automatiquement de l’émission de Mike Adams du 12 décembre 2023. L’épisode complet est disponible en format audio sur ce lien ou sur la vidéo ci-dessous :



Bienvenue dans l’émission News du lundi 11 décembre 2023. Mike Adams, ici présent, vous remercie de vous joindre à moi aujourd’hui. Le titre provisoire de ce podcast est « Alex Jones rétabli sur Twitter alors que les puissants réseaux de renseignement profond se préparent à rétablir Trump pour maintenir l’Amérique en vie ».

Il se peut que ce titre change d’ici à ce que vous voyiez ce podcast, mais la dernière phrase est vraiment essentielle à comprendre : Garder l’Amérique en vie. Et ce que je vais vous révéler aujourd’hui dans cette analyse, c’est que la réintégration d’Alex Jones sur Twitter n’est pas un hasard. Et cela a des implications bien plus importantes que ce que la plupart des gens imaginent. Parce que cela coïncide avec Elon Musk, les militaires, ce que j’appelle les réseaux d’intelligence profonde, et la façon dont ils soutiennent maintenant Elon Musk, et ils soutiennent Tucker Carlson. Et ils se préparent aussi à remettre Trump au pouvoir pour un troisième mandat. Et ce n’est pas une faute de frappe. Ce serait le troisième mandat de Trump, et non son deuxième, bien que le deuxième ait été illégalement occupé et écrasé par le régime antiaméricain de Biden.

Je tiens à l’expliquer d’emblée. J’entrerai ensuite dans les détails au cours de cette émission. Mais il y a essentiellement deux factions qui se battent pour le contrôle de l’Amérique en ce moment. Il y a d’une part la faction mondialiste, qui se caractérise par Barack Obama, Joe Biden et un sentiment anti-américain. La grille de contrôle du mondialisme s’efforce de détruire les infrastructures américaines, de détruire la monnaie américaine, il y a en fait des gens au sein de l’administration Biden qui essaient d’effondrer le dollar. Et ils y parviennent plutôt bien, d’ailleurs. Ils veulent rendre l’Amérique dépendante de l’énergie du Moyen-Orient. Ils veulent détruire la culture américaine. Ils veulent détruire la Constitution américaine. Ils sont contre le premier amendement, contre le deuxième amendement. Et en fait, ils sont anti-militaires dans le sens où ils veulent aussi détruire la préparation militaire de l’Amérique, ce qu’ils ont fait dans une large mesure à ce stade. Regardez ce qui s’est passé avec le retrait des États-Unis d’Afghanistan.

D’ailleurs, la défaite de l’OTAN face à la Russie, dont je parlerai plus en détail, est un facteur important qui joue dans tout cela. Voilà donc la première faction. Il s’agit de la faction mondialiste, qui croit en la dépopulation. Ils méprisent tout ce que l’Amérique représente, et ils travaillent méticuleusement pour détruire l’Amérique de l’intérieur.

Trump est le candidat de choix pour la faction pro-américaine qui s’oppose au mondialisme
De l’autre côté, il y a la faction pro-américaine, qui, je tiens à le préciser, est toujours dirigée par des entreprises très puissantes. Mais ils veulent que l’Amérique maintienne son pouvoir sur le monde parce que, eh bien, c’est un grand concert. C’est un système formidable que d’avoir le statut de pétrodollar, de pouvoir imprimer de l’argent et d’échanger de l’argent contre des biens et des services dans le monde entier. Vous savez, c’est formidable d’être au sommet de l’armée américaine, qui est l’armée la mieux financée au monde. C’est génial de recevoir des pots-de-vin pour des armes destinées à l’Ukraine et d’autres types de contrats que le gouvernement fédéral émet à gauche et à droite en ce moment.

Cette faction, que j’appelle la faction pro-américaine, veut voir l’Amérique survivre sur la scène mondiale. Ainsi, même si elle s’oppose à la faction mondialiste, la faction pro-américaine jouit toujours du pouvoir et des profits, et elle aime imprimer de l’argent, et elle a aussi ses doigts dans les cartels pharmaceutiques et dans les médias, etc. Ils ne sont pas, disons, des bonnets blancs, mais ils ne sont pas non plus les bonnets noirs des mondialistes qui essaient de nous détruire tous. On pourrait dire que la faction pro-américaine, qui se compose de ce que j’appelle les réseaux de renseignements profonds, je ne parle pas de la CIA, mais des services de renseignements militaires, de l’armée, de l’armée de l’air, de l’armée de l’air et de la police. Je parle des services de renseignement militaire, de certaines factions de la Defense Intelligence Agency et d’autres groupes, même quelques renégats au sein du FBI, ces réseaux de renseignement profond ne veulent pas que l’Amérique soit détruite et ne veulent pas que l’armée américaine soit détruite.

Ils ont maintenant pris le dessus sur le plan interne, en raison des échecs catastrophiques de la faction mondialiste et de l’administration Biden. Et même si ce n’est pas évident à la surface, l’échec numéro un le plus étonnant qui a eu lieu et qui a en fait remis le pouvoir à la faction du renseignement militaire est la défaite de l’OTAN en Ukraine. Cela a provoqué une onde de choc dans tout le système : l’armée américaine n’a pas pu vaincre la Russie, et elle a dû utiliser les médias occidentaux pour diffuser toutes sortes de propagande et de mensonges mois après mois, même aujourd’hui, deux ans plus tard, pour essayer de couvrir ses échecs, qui ont été tout à fait monumentaux.

Les sanctions prises à l’encontre de la Russie ont échoué sur toute la ligne. L’économie russe est plus forte qu’avant la guerre. La monnaie russe est plus résistante. Les exportations d’énergie de la Russie ont atteint des chiffres records. La Russie a désormais atteint un niveau record de fabrication de munitions sur son territoire, et la Russie a mis en place une infrastructure nationale massive de fabrication de munitions qui n’est absolument pas égalée par l’ensemble de l’Europe occidentale, ni par les États-Unis. Ainsi, la faction pro-américaine du renseignement militaire, qui est pro-Trump et pro-Elon Musk, a, je crois, œuvré à la réintégration d’Alex Jones. Cette faction en a eu tellement marre que l’Amérique soit vaincue par les crétins incompétents et historiquement analphabètes de l’administration Biden, y compris le Département d’État, qu’elle a entamé une révolte de l’intérieur qui lui a permis de prendre le contrôle de nœuds clés d’influence et de prise de décision, que l’on pourrait appeler la prise de décision exécutive, au sein des réseaux de renseignement. Cela leur donne maintenant la possibilité de vaincre les mondialistes et de réinstaller littéralement Trump au pouvoir à partir de 2025. Trump leur rendrait alors la pareille en exprimant sa loyauté pour un financement supplémentaire de l’armée, du complexe industriel, des réseaux de renseignement, des produits pharmaceutiques, de l’énergie domestique, et de bien d’autres choses encore.

Trump soutient l’Amérique mais aussi Big Pharma, Big Debt et les grosses dépenses militaires

Permettez-moi d’être clair, car il ne s’agit pas d’un scénario tout blanc ou tout noir. Et j’essaie de ne pas y insérer mes propres opinions. J’essaie de ne pas dire que Trump est bon ou que Trump est mauvais, mais plutôt de vous expliquer les causes et les effets. Trump soutient donc Big Pharma, Big War, Big Banks. Et on peut aussi dire Big Israel, c’est-à-dire le contingent sioniste d’Israël, qui aide aussi à soutenir les guerres militaires au Moyen-Orient. Trump soutient toutes ces choses, que cela vous plaise ou non, mais il soutient également l’énergie domestique, ce qui, je pense, est une bonne chose pour l’Amérique de disposer de son propre approvisionnement en énergie et de sa propre infrastructure énergétique, de sorte que nous soyons plus autonomes de cette manière. Mais Trump est également favorable à l’impression massive d’argent et à des taux d’intérêt artificiellement bas afin de provoquer une création monétaire excessive ou un assouplissement quantitatif, qui finit par gonfler le marché boursier et les prix de l’immobilier, provoquant de l’inflation et donnant temporairement l’impression que les choses sont bonnes d’un point de vue fiscal. En outre, en tant que président, Trump approuvera des paiements massifs à l’armée. Nous parlons de plus de mille milliards de dollars par an pour le financement de l’armée américaine. Trump soutiendra également des subventions massives aux géants pharmaceutiques, parce qu’ils le soutiennent à certains égards, je pense, afin de s’assurer qu’il soit à nouveau élu, alors qu’à l’heure actuelle, l’administration Biden parle d’utiliser les pouvoirs du gouvernement pour saisir la propriété intellectuelle des produits pharmaceutiques brevetés, en les retirant aux entreprises pharmaceutiques.

M. Biden réclame essentiellement l’expropriation des brevets pharmaceutiques, puis l’octroi de licences à des fabricants OEM ou à des fabricants tiers qui produiraient ces médicaments à très bas prix, que le gouvernement achèterait ensuite pour les distribuer par l’intermédiaire de Medicare et, en dernier ressort, des programmes Medicaid au niveau de l’État. Cette menace, du point de vue de Big Pharma, est donc une menace existentielle pour le modèle de profit même du complexe industriel pharmaceutique. Big Pharma tire l’essentiel de ses revenus, les géants, de quelques médicaments clés, et généralement pour quelques années seulement pendant que ces médicaments sont protégés par un brevet, car tous les brevets expirent. Ainsi, une entreprise pharmaceutique typique peut avoir 200 médicaments en cours de développement, sachant que 190 d’entre eux sont voués à l’échec. Il reste donc 10 médicaments, disons, qui sont viables sur le marché. Sur ces dix médicaments, huit vont réussir à s’imposer et il se peut qu’un ou deux médicaments à succès génèrent tous les bénéfices qui couvrent les pertes de tous les autres médicaments qui ont échoué. Or, ce sont ces un ou deux médicaments que l’administration Biden veut saisir, privant ainsi les grandes sociétés pharmaceutiques de cette manne de revenus sur laquelle elles comptent pour maintenir leur rentabilité. C’est pourquoi même Pfizer réduit actuellement la production des vaccins COVID et licencie de nombreuses personnes dans certaines divisions de l’entreprise. Et Trump est exactement la personne qui, selon eux, leur permettra de le faire, parce que Trump sera tout à fait d’accord pour accélérer la production de médicaments et de vaccins, et pour répondre aux pandémies à venir d’une manière qui favorise en même temps les bénéfices des sociétés pharmaceutiques.

Les réseaux d’intelligence profonde considèrent Trump comme leur champion du financement et Elon comme leur porte d’entrée pour les champions de la parole

Vous vous demandez peut-être pourquoi Alex Jones a été réintégré sur Twitter ? Et qu’est-ce qu’Elon Musk a à voir avec tout cela ? Eh bien, Elon Musk est profondément impliqué dans des projets de recherche pour l’armée. De nombreux projets expérimentaux, qui sont des systèmes d’armes exotiques, des systèmes de lancement exotiques, des systèmes optiques exotiques et, bien sûr, des systèmes de liaison neuronale, c’est-à-dire des interfaces homme-cerveau, des systèmes de surveillance et des systèmes de contrôle actif des moteurs. L’armée américaine sait que l’avenir de la guerre passera en grande partie par les drones et les systèmes automatisés. Nous parlerons d’ailleurs de l’IA dans un instant. Mais une partie de la réponse réside également dans les systèmes cyborg. Si vous pensiez qu’Elon Musk développe la liaison neuronale parce qu’il veut aider les personnes en fauteuil roulant à remarcher, et que c’est sa seule motivation, parce qu’il est juste une bonne personne et qu’il veut aider les gens à retrouver leurs jambes, alors, malheureusement, vous êtes un imbécile. Il ne s’agit pas d’aider les personnes en fauteuil roulant à marcher, même si cela peut être un effet secondaire. Mais le véritable objectif est de construire des soldats cyborg.

Ces soldats cyborg seront équipés de systèmes d’exosquelettes et de drones contrôlés par l’esprit. Les drones automatisés, qu’ils soient aériens ou terrestres, pourraient prendre la forme de chiens ou d’écureuils. Ils seront contrôlés par le soldat cyborg, qui sera une machine de combat très efficace parce qu’il disposera de l’interface esprit-machine, qui est l’essence même de la neuroliaison. Elle est conçue pour permettre aux soldats de contrôler des systèmes cinétiques et des systèmes autonomes sans avoir à apprendre une interface informatique. Les soldats n’ont pas le temps d’afficher un écran, de choisir un menu déroulant et d’émettre des commandes, et ils n’ont pas de clavier à portée de main. Essayer de doter un soldat de ce type d’interface ne fonctionne pas très bien. Ce n’est pas faisable. Ces systèmes d’interface sont détruits par les éclats d’obus, etc. Même si vous attachez un clavier ou un écran au bras d’un soldat, ce bras va probablement recevoir des coups à un moment ou à un autre, et tout le système sera alors hors service.

L’armée a compris que les recrues humaines ne suffiraient pas longtemps… voici donc les cyborgs, puis les soldats humanoïdes entièrement autonomes

Mais deuxièmement, soldats, je suis désolé de vous le dire, mais les nouvelles recrues ne sont plus aussi intelligentes qu’avant. Les services militaires ont de plus en plus de mal à recruter de jeunes soldats. C’est pourquoi ils abaissent les exigences en matière de quotient intellectuel. Pour certains secteurs du service militaire, il n’est même plus nécessaire de passer des tests, il suffit d’avoir un cœur qui bat, un corps qui fonctionne et d’être prêt à s’entraîner. Ainsi, pour ces soldats moins sophistiqués, afin d’être équipés de systèmes cyborg, ce qui est le but ultime, ils doivent avoir des systèmes qui sont tout simplement plus intuitifs et moins techniques. Et il n’y a rien de plus intuitif que de penser à ce que l’on veut faire. Si vous êtes un soldat cyborg, même si votre QI est faible, mais que vous êtes un soldat dévoué et loyal. Alors, avec un implant neuronal, tout ce que vous avez à faire est de penser à envoyer un drone kamikaze dans le bunker ennemi que votre système infrarouge augmenté a identifié. Vous venez d’émettre mentalement la commande GO, et vous n’avez pas besoin d’apprendre une interface.

Ainsi, les systèmes d’augmentation cyborg seront plus largement accessibles aux soldats humains moins qualifiés. Et bien sûr, à terme, l’objectif de ce programme est de remplacer l’élément humain et de passer de soldats cyborgs à des soldats robotiques humanoïdes entièrement automatisés qui n’ont même pas besoin d’être entraînés à penser puisqu’ils sont simplement programmés et téléchargés à l’aide de systèmes autonomes.

Qu’est-ce que cela a à voir avec Elon Musk, Alex Jones, Tucker Carlson et Donald Trump ? Eh bien, tout, c’est simple. Pour que les États-Unis restent viables, en termes de projection militaire dans le monde, ils doivent développer des systèmes de drones et de cyborgs plus autonomes. Ils doivent devenir un leader mondial dans le domaine de l’IA, des implants de liaison neurologique et d’autres technologies clés, comme les missiles hypersoniques, que les systèmes d’IA peuvent d’ailleurs aider à développer en théorie. Elon Musk est considéré comme un gardien clé dans cette quête de technologie appliquée. Elon Musk n’est pas lui-même le plus brillant théoricien du monde. Mais il est très, très doué pour appliquer la science à des questions pratiques. Il sait traduire la théorie en pratique. Il l’a prouvé avec ses systèmes satellitaires, ses systèmes de lancement de fusées et ses systèmes d’atterrissage et de récupération de fusées, ainsi qu’avec les véhicules Tesla.

Elon mérite une grande reconnaissance pour son rôle d’agrégateur de technologies en vue d’un déploiement pratique. C’est ce qui manque à l’armée en ce moment. Et c’est ce dont ils ont besoin. Je pense donc qu’un accord a été conclu entre les réseaux de renseignement militaire et Elon Musk. Et cet accord implique la réintégration de Trump. Et Tucker Carlson a été activé sur Twitter afin d’aider à ramener Trump en s’attaquant de plein fouet au régime fasciste de Biden. Et les gauchistes perdants qui sont en train de perdre nos guerres en Ukraine, et potentiellement au Moyen-Orient, et certainement bientôt à Taïwan. En d’autres termes, Elon Musk a reçu le feu vert pour activer toute personne qu’il juge nécessaire pour aider à renverser la tendance contre la rhétorique anti-Trump qui existe. Et pour exposer la vérité sur la façon dont les démocrates ont détruit l’Amérique à dessein, afin de rétablir Trump en tant que président, ce qui nécessiterait une inondation massive du soutien des électeurs pour Trump, et pour cette raison, je crois qu’Alex Jones a été réintégré.

Pourquoi Alex Jones n’aurait jamais dû être banni en premier lieu

Alex mérite d’être réintégré. Il n’aurait jamais dû être banni. Alex a eu plus raison que presque tous les acteurs des médias grand public depuis des décennies. Et tant de choses contre lesquelles Alex avait mis en garde se sont réalisées. Et nous vivons maintenant ces choses. Il mérite donc un énorme crédit. Il a été banni parce qu’ils voulaient le faire taire afin de truquer les élections de 2020, j’ai été banni pour la même raison. En fait, j’ai été banni en 2015, je pense, voire en 2014, j’ai été déplateformé avant Alex Jones. Mais après qu’Elon Musk a acheté Twitter, mon compte a été réactivé bien qu’il soit toujours très fortement interdit. Je m’attends à ce que cela s’inverse bientôt.

Mais d’ailleurs, les liens brighteon.com ne sont pas autorisés à être partagés sur Twitter. Et j’espère certainement que cela sera bientôt corrigé également. Parce qu’Elon Musk aura besoin de toute l’aide possible pour informer l’Amérique sur ce qui se passe réellement et pour préparer le peuple américain à abandonner les démocrates et à faire venir quelqu’un de différent. Le seul candidat viable du côté du GOP à l’heure actuelle est Donald J. Trump, il n’y a pas d’autre candidat. Donc abandonner les démocrates signifie en réalité soutenir Trump, mis à part le fait qu’il y a quelques candidats indépendants qui, je pense, ont des idées précieuses à partager, comme le Dr Shiva. Et certaines personnes aiment aussi beaucoup RFK, Jr. Mais d’un point de vue pratique, les candidats indépendants ont rarement une chance de remporter la Maison-Blanche, il est presque impossible que cela se produise. Parfois, ils peuvent jouer un rôle de trouble-fête en refusant la Maison-Blanche à l’un des autres candidats aux primaires, le démocrate ou le républicain. Mais il est rare qu’un indépendant soit élu à un poste important, même s’il peut néanmoins contribuer grandement aux débats et à la dynamique globale de l’élection.

Encore une fois, Elon Musk a reçu le feu vert pour réintégrer des personnes comme Alex Jones, et je pense que vous allez voir Alex parler très favorablement de la défense de l’Amérique, qui est un concept très important. Et je suis d’accord avec ce concept. Nous devons garder l’Amérique en vie. Et l’importance de renforcer la puissance militaire américaine afin de protéger nos frontières et de garantir que nous ne perdrons pas les guerres à l’étranger, comme c’est ce qui se passe actuellement. Alex Jones a vivement critiqué Trump dans le passé, et j’ai également critiqué Trump sur plusieurs questions telles que l’opération Warp Speed. Mais quand les choses se passent, la plupart des gens qui sont conscients de ce qui se passe si on leur donne un choix simple entre Joe Biden et Donald J. Trump, si ce sont les seules options, le choix est limpide. C’est Trump jusqu’au bout. Aucune personne sensée ne voterait pour Joe Biden.

Je pense que les réseaux de renseignement militaires liés aux réseaux profonds, comme je les appelle, en sont très conscients. Aujourd’hui, il faudra beaucoup d’argent pour renforcer l’armée américaine et la rendre compétitive dans le monde. Trump sera prêt à soutenir des niveaux insensés d’impression monétaire, comme il l’a fait lors de sa première administration. Nous parlons donc de milliards de dollars imprimés. Mais Trump pourrait également être en mesure de rétablir les relations avec les Saoudiens et les Émirats arabes unis, qui se détournent actuellement du pétrodollar, ce qui aurait des effets catastrophiques sur le rôle du dollar sur la scène mondiale. Si Trump peut inverser cette tendance et ramener les Saoudiens au niveau du pétrodollar, alors il pourrait réellement prolonger la durée de vie du dollar lui-même, car le dollar est actuellement sous assistance respiratoire, grâce aux politiques catastrophiques et désastreuses de l’administration Biden.

Trump est essentiellement utilisé comme une sorte de médecin de combat pour le dollar, pour le réparer, arrêter l’hémorragie et ramener le dollar à la viabilité afin que plus d’argent puisse être imprimé, pour le remettre au complexe industriel militaire, pour travailler sur des systèmes d’armes plus exotiques tels que des drones autonomes, des systèmes d’interface Cyborg, des systèmes homme-machine, des missiles hypersoniques, mais aussi des armes spatiales exotiques via Space Force. C’est pourquoi Tucker Carlson a été amené sur Twitter. C’est pourquoi Alex Jones est réintégré. C’est probablement pour cela que j’ai été réintégré. Même si je n’ai probablement pas suivi le chemin que certaines de ces personnes voulaient que je suive. Mais j’admets qu’en fin de compte, s’il s’agit de Biden contre Trump, il ne fait aucun doute que je fais partie de l’équipe Trump à ce stade, même si j’ai été extrêmement critique à l’égard de certaines décisions de Trump, je le ferais encore. Nous préférons vivre dans un monde où l’Amérique existe toujours, plutôt que dans un monde où nous sommes envahis par les mondialistes, où nous sommes sous le contrôle de l’ONU et où nous avons perdu notre Constitution. C’est pourquoi je dis que c’est une question très complexe pour nous tous, y compris pour vous qui écoutez ceci, vous n’obtiendrez pas un candidat parfait.

Source

[Voir aussi :
Trump et la kabbale]




César, Mammon et Dieu, quel choix ferons-nous ?

[Source : chisinauforum ou @chisinauforum]

Par Dimitri Mottier






Les enjeux spirituels de la disparition de la monnaie

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

On sait que l’argent ne vaut plus rien. Les prix de l’immobilier ont été multipliés par cent à Paris en soixante ans. J’ai plusieurs exemples en tête.

On se doute que sur ce sujet j’aurai recours à René Guénon, au règne de la quantité (chapitre XVI). Ensuite à Egon Von Greyerz, dont tous les crétins se moquaient récemment encore sur certains soi-disant sites antisystèmes !

Une chose est sûre, le fric, qui ne valait déjà plus rien, va disparaître. Une autre l’est moins, savoir si on nous volera notre or (quand vous en avez) comme au temps de Roosevelt (Gold Reserve Act, bonne fiche sur Wikipédia-anglais), des nazis et du Front populaire. Il suffira de tuer quelques contrevenants pour faire craquer tous les autres. L’État moderne, qui en a vu et fait d’autres, ne s’arrêtera pas là. Lisez l’historien Hoppe pour le comprendre enfin.

Je vais insister théologie ici, parce les choses sont plus graves que ne le pensent les « éconoclastes » : l’annihilation de la monnaie reproduit en ces Temps de la Fin l’annihilation spirituelle de notre civilisation ET MÊME DE NOS PERSONNES.

Je rappelle à certains que salaire vient du mot « sel », que espèces viennent du mot « épices » !

Mais venons-en à Guénon qui se surpasse parfois — et pourtant c’est Guénon :

« La question dont il s’agit est celle de la monnaie, et assurément, si l’on s’en tient au simple point de vue “économique” tel qu’on l’entend aujourd’hui, il semble bien que celle-ci soit quelque chose qui appartient aussi complètement que possible au “règne de la quantité” ; c’est d’ailleurs à ce titre qu’elle joue, dans la société moderne, le rôle prépondérant que l’on ne connaît que trop et sur lequel il serait évidemment superflu d’insister ; mais la vérité est que le point de vue “économique” lui-même et la conception exclusivement quantitative de la monnaie qui lui est inhérente ne sont que le produit d’une dégénérescence somme toute assez récente, et que la monnaie a eu à son origine et a conservé pendant longtemps un caractère tout différent et une valeur proprement qualitative, si étonnant que cela puisse paraître à la généralité de nos contemporains. »

Guénon explique ce qu’était une monnaie :

Il est une remarque qu’il est bien facile de faire, pour peu qu’on ait seulement « des yeux pour voir » : c’est que les monnaies anciennes sont littéralement couvertes de symboles traditionnels, pris même souvent parmi ceux qui présentent un sens plus particulièrement profond ; c’est ainsi qu’on a remarqué notamment que, chez les Celtes, les symboles figurant sur les monnaies ne peuvent s’expliquer que si on les rapporte à des connaissances doctrinales qui étaient propres aux Druides, ce qui implique d’ailleurs une intervention directe de ceux-ci dans ce domaine ; et, bien entendu, ce qui est vrai sous ce rapport pour les Celtes l’est également pour les autres peuples de l’antiquité, en tenant compte naturellement des modalités propres de leurs organisations traditionnelles respectives. »

Le lien entre spirituel et temporel était ainsi établi selon Guénon :

« Le contrôle de l’autorité spirituelle sur la monnaie, sous quelque forme qu’il se soit exercé, n’est d’ailleurs pas un fait limité exclusivement à l’antiquité, et, sans sortir du monde occidental, il y a bien des indices qui montrent qu’il a dû s’y perpétuer jusque vers la fin du moyen âge, c’est-à-dire tant que ce monde a possédé une civilisation traditionnelle. On ne pourrait en effet s’expliquer autrement que certains souverains, à cette époque, aient été accusés d’avoir “altéré les monnaies” ; si leurs contemporains leur en firent un crime, il faut conclure de là qu’ils n’avaient pas la libre disposition du titre de la monnaie et que, en le changeant de leur propre initiative, ils dépassaient les droits reconnus au pouvoir temporel. »

Guénon rajoute dans une note passionnante :

« Voir Autorité spirituelle et pouvoir temporel, p. 111, où nous nous sommes référé plus spécialement au cas de Philippe le Bel, et où nous avons suggéré la possibilité d’un rapport assez étroit entre la destruction de l’Ordre du Temple et l’altération des monnaies, ce qui se comprendrait sans peine si l’on admettait, comme au moins très vraisemblable, que l’Ordre du Temple avait alors, entre autres fonctions, celle d’exercer le contrôle spirituel dans ce domaine ; nous n’y insisterons pas davantage, mais nous rappellerons que c’est précisément à ce moment que nous estimons pouvoir faire remonter les débuts de la déviation moderne proprement dite. »

Relisez Dante…

Fin du caractère sacré :

« Il est donc arrivé là ce qui est arrivé généralement pour toutes les choses qui jouent, à un titre ou à un autre, un rôle dans l’existence humaine : ces choses ont été dépouillées peu à peu de tout caractère “sacré” ou traditionnel, et c’est ainsi que cette existence même, dans son ensemble, est devenue toute profane et s’est trouvée finalement réduite à la basse médiocrité de la “vie ordinaire” telle qu’elle se présente aujourd’hui. »

Guénon donne une bonne explication à la Prison Planet du capitalisme moderne :

« Ce que nous avons dit du caractère quantitatif par excellence de l’industrie moderne et de tout ce qui s’y rapporte permet de le comprendre suffisamment : en entourant constamment l’homme des produits de cette industrie, en ne lui permettant pour ainsi dire plus de voir autre chose (sauf, comme dans les musées par exemple, à titre de simples “curiosités” n’ayant aucun rapport avec les circonstances “réelles” de sa vie, ni par conséquent aucune influence effective sur celle-ci), on le contraint véritablement à s’enfermer dans le cercle étroit de la “vie ordinaire” comme dans une prison sans issue. »

Il explique avant Yellen-Draghi pourquoi la monnaie ne vaut rien (un quarantième de l’or depuis quarante ans, un centième pour le dollar depuis la FED-1913) :

« Pour en revenir plus spécialement à la question de la monnaie, nous devons encore ajouter qu’il s’est produit à cet égard un phénomène qui est bien digne de remarque : c’est que, depuis que la monnaie a perdu toute garantie d’ordre supérieur, elle a vu sa valeur quantitative elle-même, ou ce que le jargon des “économistes” appelle son “pouvoir d’achat”, aller sans cesse en diminuant, si bien qu’on peut concevoir que, à une limite dont on s’approche de plus en plus, elle aura perdu toute raison d’être, même simplement “pratique” ou “matérielle”, et elle devra disparaître comme d’elle-même de l’existence humaine. »

Et tout cela annonce notre Armageddon :

« Cela peut déjà servir à montrer que, comme nous le disions plus haut, la sécurité de la “vie ordinaire” est en réalité quelque chose de bien précaire, et nous verrons aussi par la suite qu’elle l’est encore à beaucoup d’autres égards ; mais la conclusion qui s’en dégagera sera toujours la même en définitive : le terme réel de la tendance qui entraîne les hommes et les choses vers la quantité pure ne peut être que la dissolution finale du monde actuel. »

Et maintenant je laisse conclure Von Greyerz qui n’a peut-être pas lu Guénon mais nous aura prévenus.

« Peu de gens réalisent que leur monnaie n’est qu’une entrée électronique qui peut être annulée en une seconde par le gouvernement. Cela signifie que leur monnaie peut disparaître, pour ne jamais réapparaître. C’est ce que les gouvernements et les banques centrales veulent imposer dans la plupart des pays occidentaux.

Les gens pensent que leur argent est en sécurité à la banque et ne réalisent pas que la monnaie électronique n’est pas introduite par commodité, mais bien pour les empêcher de retirer leur argent lorsque les banques insolvables ayant utilisé à outrance l’effet de levier manqueront de cash. Quiconque possède un compte bancaire doit comprendre qu’un jour, il n’y aura plus d’argent à la banque. Les distributeurs automatiques seront fermés et il n’y aura pas de cash disponible. C’est une façon élégante de régler le problème d’insolvabilité du système financier : il n’y aura pas de monnaie papier disponible, ni de monnaie électronique… plus d’argent à retirer.

À ce moment-là, le gouvernement n’imprimera plus de monnaie pour les particuliers, puisqu’elle sera inutilisable. Il imprimera des coupons à utiliser dans certains magasins et pour d’autres dépenses. C’est déjà le cas dans des pays comme le Zimbabwe. Les gens ne pourront dépenser qu’une quantité très limitée de l’argent déposé sur leur compte bancaire chaque mois, comme nous l’avons vu en Argentine.

Bien sûr, l’impression monétaire massive continuera pour sauver le système financier lorsque tous les actifs imploseront. Une très faible quantité de cette monnaie parviendra aux gens ordinaires.

La plupart d’entre vous diront que ce scénario est totalement irréaliste, pire qu’apocalyptique. J’espère qu’il ne se réalisera jamais. Mais ce que je veux dire est qu’en remettant des actifs aux banques et, finalement, au gouvernement, qui contrôle les banques, la plupart des gens perdront totalement le contrôle de leurs biens. »

On va citer Dante, pour terminer, sur la destruction des templiers et nos rois maudits. Et je vous préviens : ça n’est pas dépassé du tout. C’est même à l’époque du reptilien Draghi et des dettes (debitum, le péché, en latin) européennes ou yankees terriblement actuel :

Que pourrais-tu nous faire, Avarice, de plus,
après avoir si bien avili tous les miens,
que de leur propre chair ils ont perdu le soin ?
Pour que le mal futur ou fait paraisse moindre,
je vois la fleur de lis entrer dans Anagni
et faire prisonnier le Christ en son vicaire.
Je le vois à nouveau soumis aux moqueries ;
je vois renouveler le vinaigre et le fiel ;
je le vois mettre à mort, où les larrons sont saufs.
Ce Pilate nouveau, je le vois si cruel
qu’il n’en est pas content et pousse jusqu’au Temple,
sans jugement, la nef de sa cupidité.

Sources

  • Dante — Purgatoire, XX, vers 48-82
  • René Guénon – Le règne de la quantité et les signes des temps (chapitre XVI)
  • Elgin Groseclose — Money and man
  • G. Edward Griffin — The creature from Jekyll Island
  • Murray Rothbard — The mystery of banking
  • Stephen Zarlenga — The lost science of money



« Les mondialistes sont passés de la phase de test à la phase opérationnelle »

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Tucker Carlson et Alex Jones parlent de la dépopulation, de la censure et du NOM

Qualifié d’« homme le plus censuré du monde », Jones a commencé par parler de sa prédiction (correcte) concernant le 11 septembre.

Comme le souligne Tucker, « cette affaire du 11 septembre, vous l’avez annoncée publiquement ».

Mais Jones affirme que sa prédiction la plus précise remonte à une dizaine d’années, lorsqu’il a lu le « rapport sur l’opération Lockstep de la Fondation Rockefeller » :

« Ce rapport décrit l’utilisation d’un virus pour instaurer un gouvernement mondial, une identification médicale mondiale, à partir de laquelle ils construiraient un score de crédit social…

… qu’ils feraient porter des masques aux gens par peur, fermeraient des événements sportifs et d’autres choses du même genre… et introduiraient progressivement cette nouvelle tyrannie. »

[Voir aussi :
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but]

Selon Carlson, ces avertissements, entre autres, sont la raison pour laquelle Alex Jones a été si largement déplacé.

« Fondamentalement, Alex Jones a raison sur beaucoup de choses. Et en fait, c’est pour cela qu’ils ne l’aiment pas ».

La Censure

« À ce jour, personne n’a été censuré de manière plus agressive que vous, je ne pense pas. J’ai lu des articles à ce sujet et j’ai eu l’impression que c’était un moment important dans l’histoire des médias américains. Je ne pense pas que quiconque vous ait défendu lorsque cela s’est produit. N’importe qui, avec n’importe quel type d’audience ».

Ce à quoi Jones a répondu :

« Lorsque Tim Cook a admis qu’il s’était réuni le week-end d’août 2017 avec les autres grands chefs de la technologie, et qu’ils ont pris la décision de “conserver” comme s’il s’agissait d’un musée — et de me retirer, il s’agissait de centaines de plateformes. Il n’y avait pas que les grandes. Tout, de LinkedIn à la suppression de nos comptes bancaires, en passant par tout ce qui a suivi au cours de la semaine et du mois suivants. Et je savais que j’étais un cas test ».

« C’est la remise en question de la fusillade à l’école qui est arrivée plus tard. Ils ont en quelque sorte déterré cela de mon passé, l’ont fait exploser après que j’ai été déplateformé, et ont dit que j’avais été déplateformé pour cela. »

« Une fois qu’ils m’ont déplateformé, l’émission n’a fait que prendre de l’ampleur… Alors ils ont paniqué et ont dit “ok, regardons son dossier et créons plus de raisons”, alors ils ont pris des choses hors contexte de 5-6 ans auparavant, les ont fait passer pour des choses actuelles hors contexte, et ont rapporté de manière trompeuse ce que j’ai dit pour créer un argument de paille afin de faciliter la raison ».

La discussion porte sur l’état actuel de l’Amérique et Jones rejette la responsabilité de la division croissante de la nation en fonction de la race sur la Chine.

« Le PCC ainsi que le SPLC et l’ADL voient la faiblesse de l’Amérique et ils viennent littéralement dire que les Blancs sont intrinsèquement mauvais à cause de la couleur de leur peau…

… puis ils les organisent tous en groupes raciaux sous le drapeau du parti démocrate pour attaquer la gauche… qui a tendance à être plus conservatrice ».

Jones prévient toutefois qu’« ils paniquent » parce que « de plus en plus de Noirs et d’Hispaniques votent républicain », ce qui, explique-t-il, est la raison pour laquelle la politique d’ouverture des frontières est autorisée.

« Ils font venir du monde entier toutes ces personnes totalement privées de leurs droits et les placent dans des camps où elles sont endoctrinées pour former une classe politique subalterne qui sera ensuite lâchée sur l’Amérique ».

C’est pourquoi les démocrates accordent aux immigrés clandestins des permis de conduire, le droit de vote dans certaines villes, les autorisent à devenir officiers de police « afin d’importer une nouvelle classe d’agents de la force publique contre le peuple américain ».

Cette nouvelle classe leur permettra d’instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Le NOM

Jones et Carlson ont également discuté du Nouvel Ordre Mondial après que Carlson a fait remarquer que la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, était une idiote.

« C’est tout », a répondu Jones. « Nous sommes dans un très beau bal. C’est le bal de fin d’année. Tout le monde est bien habillé. Il y a de la bonne nourriture, un grand bol de punch délicieux, et puis ils disent “qu’est-ce qu’on peut faire” — eh bien, il suffit de demander à Brian Stelter de chier dedans. Et puis il est là, à se moquer de vous — ils sont tous là à se moquer de vous, pour que vous vous sentiez petit. Pour que vous vous interrogiez sur la réalité — pourquoi tout est-il si laid ? »

Jones explique ensuite que les élites diabolisent les Américains des zones rurales afin de les rendre responsables des maux de la société.

« La raison pour laquelle vous allez mal n’est pas Blackrock, le FEM et Bill Gates. C’est à cause de toutes ces personnes malveillantes dans les campagnes. Ce sont tous des suprémacistes blancs, des terroristes et des racistes. Allons les chercher ! Car le dernier groupe qu’ils ne contrôlent pas, ce sont les ruraux qui sont autosuffisants. C’est pourquoi j’ai décidé d’aller à la campagne et de protéger mes enfants. C’est le Saint Graal. Le problème, c’est qu’il faut avoir un pied dans chaque camp — il faut retourner se battre en ville pour les infrastructures, pour le gouvernement ».

https://twitter.com/CitizenFreePres/status/1732900509676151058

« Il faut donner de l’espoir aux gens, tout en construisant une opération de sauvegarde de l’agriculture, de l’élevage et de l’autosuffisance », poursuit Jones.

C’est pourquoi le FEM et l’ONU viennent en Irlande et dans certaines régions d’Asie, ainsi qu’aux Pays-Bas, et disent « d’ici 2030, 80 % de vos vaches devront être mortes », et ils viennent d’en interdire 30 % cette année aux Pays-Bas. »

« Ce sont tous des anciens élèves mondialistes du FEM dont les grandes banques se vantent — elles ont “pénétré les cabinets”, pour citer Klaus Schwab, elles ont placé leurs agents pour nous couper l’énergie, nous démoraliser, libérer les criminels endurcis, mettre les activistes politiques en prison, continuer à couper les ressources, pour rendre le monde plus furieux

Klaus Schwab dit :“Nous allons provoquer l’effondrement du monde, nous allons faire en sorte que tout le monde se retourne les uns contre les autres, nous allons blâmer les classes politiques que nous possédons et contrôlons, et quand nous en aurons fini, nous apporterons notre nouvelle solution”. Mais ils doivent d’abord démolir les cultures des sociétés que nous avions avant, avec le fentanyl, les frontières ouvertes, la démoralisation, puis ils introduisent leur phase suivante, qui est une société high-tech sans argent liquide. Un cauchemar contrôlé par des drones robotisés. Les cartes officielles des Nations unies, qui existent depuis plus de 25 ans, montrent que plus de la moitié des États-Unis sont interdits aux humains.

Toutes les voitures devront être équipées d’un GPS, tout le monde devra avoir un téléphone portable en permanence…

Et c’est le plan global normalisé de l’ONU qui a été admis, où l’on ne sort pas de chez soi sans un téléphone portable ».

« Si les gens pensent que les choses vont mal aujourd’hui, poursuit Jones, c’est que le carcan, le boulet et la chaîne sont en cours, et que tout cela est géré militairement. Nos militaires sont des hommes et des femmes formidables, mais au sommet, nos militaires sont des Ukrainiens mondialistes, des gens du Nouvel Ordre Mondial depuis au moins 30 à 40 ans ».

Jones affirme également que le NOM fait pression pour… :

La dépopulation

La discussion sur le nouvel ordre mondial amène Jones à aborder le sujet controversé de la dépopulation, qui semble figurer à la fin de toute politique mondialiste émanant d’en haut.

[Voir aussi :
Dépopulation en Marche V5 — Tout est dit,
Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie,
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation,
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation,
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19,
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme]

« Les mondialistes sont passés de la phase de test à la phase opérationnelle », prévient-il. « Ils disent — lisez leurs écrits — que nous aurons un monde post-industriel d’ici 2030… et que nous commencerons à dépeupler 90 % du pays d’ici 2045 ».

C’est, explique Jones, le plan officiel du FEM, de l’ONU et du Club de Rome.

Carlson, stupéfait, demande : « Que voulez-vous dire par “dépopulation” ? »

Jones répond : « Ils veulent ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants ».

On nous dit « n’ayez pas d’enfants, c’est mauvais pour la terre », et il souligne qu’Elon Musk est un héros pour avoir souligné que nous devons avoir des enfants pour sauver le monde, « sinon, la société s’effondre ».

Carlson prend un moment pour réfléchir à ce qu’il a entendu et dit de manière poignante : « Je me sens un peu innervé et abattu rien qu’en entendant votre connexion par points… comment est-ce que c’est de vivre avec ça ? »

La blague sur Brian Stelter

https://twitter.com/CitizenFreePres/status/1732912560830107860

Les élections de 2024, la Troisième Guerre mondiale

Les deux hommes ont également discuté des élections américaines de l’année prochaine. Selon Jones, Biden et Trump sont tous deux des « passifs » pour l’État profond, de sorte que le plan est le suivant :

« Ils font assassiner Biden par un extrémiste de droite et Trump par un extrémiste de gauche…

… Le pays se retrouvera alors encore plus en lutte les uns contre les autres, puis ils mettront en place Gavin Newsom et, vous savez, quelqu’un comme Mike Pence ou qui sait. Mais je pense vraiment que les treize prochains mois seront les plus critiques, non seulement dans l’histoire des États-Unis, mais aussi dans l’histoire du monde », a poursuivi Jones.

Biden « ne sait pas qui il est ».

Alex Jones affirme que des sources à la Maison-Blanche lui ont dit que Joe Biden « se promène nu » et qu’il est sous l’emprise d’un cocktail constant d’amphétamines et de benzos.

Tucker affirme connaître quelqu’un qui a vu Biden prendre des amphétamines en 2020.

« Car s’ils parviennent à faire tomber l’Amérique, ils feront tomber le monde. On assiste alors à une escalade », prévient-il.

Rappelez-vous, il y a un an, Biden a dit : « Vous ne pouvez pas donner des F-16, des chars Abrams et des missiles de croisière aux Ukrainiens, c’est la troisième guerre mondiale. Aujourd’hui, c’est ce qu’ils font. Alors que la Russie gagne cette guerre, comme l’a montré le colonel McGregor il y a quelques mois, l’OTAN escalade. Cela nous mène tout droit à la guerre nucléaire. »

« Depuis quand les démocrates aiment-ils la guerre ? » demande Jones.

« Depuis quand les démocrates aiment-ils les agences de renseignement ? Ils les adorent maintenant. Et donc vraiment, les démocrates, tout comme le parti républicain, sont la tête de pont de la raison et du populisme — ce n’est pas parfait, mais c’est une tête de pont. Le parti démocrate a totalement basculé dans le mal ».

Enfin, Jones dit qu’il ne s’attend pas à ce qu’Elon Musk le rétablisse sur X :

« Je comprends que s’il le faisait, l’ADL et d’autres seraient vraiment en mesure de fermer Twitter »

Regardez l’intégralité de l’interview ci-dessous :

  • 02:46 Les prédictions d’Alex Jones
  • 15:07 La censure
  • 21:59 Nous diviser sur la base de la race
  • 25:37 La frontière
  • 28:09 Austin
  • 32:12 Nouvel ordre mondial
  • 42:09 Vidéo démoniaque de Brian Stelter
  • 50:57 Dépopulation
  • 1:07:51 Nourriture
  • 1:13:51 Whiskey
  • 1:16:22 Élection présidentielle




Le « grand réveil » du Sud dans l’ère multipolaire eurasienne contre l’ordre unipolaire atlantiste en déclin

[Source : arcaluinoe.info]

Par Carlos Mamani

En s’enfonçant de plus en plus dans ce 21e siècle incertain et inquiétant, une certaine partie de l’humanité est la proie habituelle et permanente du « Caractère totalitaire des systèmes occidentaux » (comme l’a dénoncé un jour Daria Douguine, martyre du monde multipolaire), des systèmes totalitaires de contrôle social finement conçus pour que les victimes vivent dans une « dictature sans larmes », où leurs bourreaux sont perçus comme leurs bienfaiteurs, et où les victimes elles-mêmes sont incapables d’aspirer à un monde autre que celui qu’on leur a imposé. Puisque le pouvoir se caractérise toujours et en fin de compte par la dictée de sens et de récits sur la réalité, ou plutôt par la distorsion de la réalité en fonction de ses intérêts et de ses objectifs, il se trouve qu’aujourd’hui, au XXIe siècle, cette certaine partie de l’humanité souffre inconsciemment d’une profonde dissonance cognitive à propos d’elle-même et de ce qui l’entoure.

C’est ainsi que dans cette certaine partie du monde, aussi appelée Occident, fondamentalement composée de l’Europe occidentale et de l’Amérique du Nord, les territoires sont dominés par les intérêts du monde anglo-saxon en général et des États-Unis en particulier, c’est là où « le crépuscule du libéralisme est plus intense qu’ailleurs » (Alexandre Douguine), nous avons donc que sous ces latitudes du globe, c’est là où l’idéologie libérale s’est le plus développée au point d’adopter déjà des conditions métastatiques, et c’est que selon les toujours néfastes Processus Monotoniques (A. Douguine. 2008), le cancer du libéralisme, au cours de sa très brève période d’existence dans le cadre de sa matrice philosophique, la modernité occidentale, a englouti toutes les idées de transcendance, au point qu’aujourd’hui l’homme occidental se trouve dans une profonde crise existentielle, sans aucune boussole dans le labyrinthe des désirs infinis fournis par la postmodernité néolibérale, où la seule monnaie et le seul substitut en même temps est la consommation sacrée.

Ce n’est que dans cette partie du monde que l’on trouve des propositions excentriques et aberrantes transformées en programmes politiques. Ces propositions ne sont rien d’autre que des dérivés du processus d’ingénierie sociale libérale vécu par l’homme occidental, où très tôt, paraphrasant le plus grand penseur du XXe siècle, Martin Heidegger a été exposé au crépuscule récalcitrant du sacré, à l’occultation permanente et systématique de l’être ; c’est de l’adversité innée et de la subversion du libéralisme contre toute autorité, comme le dénonçait alors Carl Schmitt, qu’est né un ordre des choses aussi chaotique. C’est donc le libéralisme intrinsèque qui porte Anomos (anomia), c’est-à-dire « la manifestation du mal sur terre… la banalisation du bien et du mal », et/ou l’instauration d’une « satanocratie », c’est-à-dire « … l’empire du mal par l’euthanasie, l’avortement, l’idéologie du genre, la libéralisation de l’usage des drogues, la dissolution de la famille… En un mot, c’est la dictature du relativisme, de l’hédonisme, du nihilisme, de la dévalorisation du mal et de la dévalorisation du bien. Voilà en quoi consiste le mal de notre temps, que la légion des intellectuels postmodernes refuse de reconnaître… », comme l’ont soutenu à juste titre des intellectuels péruviens, respectivement le politologue Eduardo Hernando Nieto et le philosophe Gustavo Flores Quelopana.

La question qui sous-tend ce sombre panorama d’une humanité sapée dans ses fondements anthropologiques est la suivante : et comment en est-on arrivé à cette situation malheureuse dans le monde occidental ? Et la réponse tombe d’elle-même, car comme nous l’avons souligné, le libéralisme est l’ennemi de toute autorité, et l’Occident a connu et expérimenté très tôt, à l’aube de la modernité cartésienne de la pensée calculatrice (pour reprendre les termes de Heidegger : Das Rechnende Denken), la centralité de l’individu déraciné contre l’autorité du sacré, puis contre l’autorité de la communauté, puis contre l’autorité de la famille, puis contre l’État, et comme on le constate à notre époque, contre l’autorité des lois biologiques les plus élémentaires, tant est perverse et absurde l’idéologie du genre, qui envisage l’existence de plus de cent genres auxquels l’individu peut accéder, y compris d’autres espèces animales, et tout cela, sous la protection et la promotion de l’Organisation des Nations Unies.

De même, nous ne pouvons pas ignorer que l’idéologie du genre, manifestement destructrice de la race humaine, n’est rien d’autre que la dégénérescence absolument nécessaire qui ouvre la porte à la domination absolue de l’être humain, c’est-à-dire la techno-reproduction et le transhumanisme, où le premier affirme que l’Humanité ne naîtra plus, mais sera produite dans des laboratoires, et le second, que l’être humain peut surmonter ses limites biologiques grâce à la technologie, et transcender l’être humain, être plus rapide, plus fort, plus intelligent, y compris les relations « sentimentales » entre les machines et les êtres humains ; et c’est que, comme l’affirme Pedro Bustamante, « il ne s’agit pas de robotiser l’humain, il s’agit d’humaniser le robot ». C’est donc la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.

Selon le grand politologue espagnol Dalmacio Negro Pavon, un libéral hors pair, l’Occident est en proie au « Totalitarisme libéral » (2016), coïncidant avec l’idée du « Troisième Totalitarisme » du Prof. Alexandre Douguine, où la seule norme possible est de satisfaire la volonté capricieuse de l’individu déraciné à travers un marché aux offres de plus en plus excentriques (avortement comme « droit de l’homme », euthanasie comme « mort digne », mutilation comme « changement de sexe », achat et vente de nouveau-nés avec la « gestation pour autrui ») qui a été promu dans la postmodernité par les « États-providence » de plus en plus affaiblis, générant une sorte d’isolement social où des institutions fondamentales telles que la famille traditionnelle sont détruites au nom de l’individualisme le plus meurtrier.

Cependant, comme l’a déclaré Carl Schmitt, « le monde sera toujours plus grand que les États-Unis » et, en effet, nous sommes aujourd’hui les témoins privilégiés du grand réveil des peuples historiquement négligés du Sud global qui, au rythme de mouvements tectoniques à grande échelle sans précédent, est généré par la dynamique du monde multipolaire dont l’épicentre se trouve dans le triangle stratégique eurasien, le « RIC » (Russie, Inde, Chine), de nouvelles réalités géopolitiques s’épanouissent aujourd’hui, où la réhabilitation des grands espaces civilisationnels est de plus en plus une réalité, et la résurgence d’histoires culturelles millénaires, avec leurs traditions et croyances respectives, sont aujourd’hui l’étendard du Grand Réveil de la majorité mondiale rassemblée autour des BRICS, contre l’uniformisation décadente des modes de vie (et de pensée) dans le monde unipolaire atlantiste en déclin. Nous assistons aujourd’hui à l’émergence d’un Nouvel Ordre International, dont la dynamique n’est pas guidée par l’abstrait « Ordre International basé sur des Règles » imposé par l’Occident Collectif de manière totalitaire au reste du globe, mais qui est plutôt basé sur la dynamique du Monde Multipolaire, preuve irréfutable que l’Hégémonie Unipolaire Anglo-Américaine est brisée à jamais, C’est pourquoi les dangers qui pèsent sur la sécurité internationale au XXIe siècle augmentent, car comme l’enseigne l’histoire, tout changement dans l’ordre international se produit au milieu de grandes turbulences et tribulations, qui constituent des menaces stratégiques pour la multipolarité naissante.






Un ex-cadre de BlackRock prévient que le contrôle final qui vient avec les CBDC, « c’est une planète prison »

Edward Dowd est actuellement partenaire fondateur de Phinance Technologies, une société d’investissement alternatif macro mondial.

Il est également l’auteur du nouveau livre « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 & 2022 » (Cause inconnue : l’épidémie de décès soudains en 2021 et 2022). (Date de sortie : 13 décembre 2022, Skyhorse Publishing).

Edward a travaillé à Wall Street pendant la majeure partie de sa carrière, couvrant à la fois les marchés du crédit et les marchés des actions. Il a notamment travaillé pour HSBC, Donaldson Lufkin & Jenrette et Independence Investments.

Il a notamment travaillé chez Blackrock en tant que gestionnaire de portefeuille, où il a géré pendant dix ans un portefeuille d’actions de croissance d’une valeur de 14 milliards de dollars. Après BlackRock, il a fondé OceanSquare Asset Management avec deux anciens collègues de BlackRock.

(Source : linkedin.com)

« Tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, afin que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom »

(Apocalypse 13:16-17)

« Il existe des preuves historiques selon lesquelles, dans la culture de l’ancienne Babylone, les esclaves “étaient identifiés… [par] une sorte de marque, tatouée ou imprimée sur le visage ou sur le dos de la main, »  »

(HWH Saggs, The Greatness That Was Babylon, 1962, page 173). 




L’Antéchrist : l’accomplissement de la mondialisation

[Source : arcaluinoe.info]

[Illustration Maksym Yemelyanov – stock.adobe.com (couleurs modifiées)]

Par Gregory Davis

Bonjour. Je suis Gregory Davis, auteur de Antichrist : The Fulfillment of Globalization: The Ancient Church and the End of History (L’Antéchrist : L’accomplissement de la mondialisation : L’Église ancienne et la fin de l’histoire), publié par Uncut Mountain Press en 2022. Mon livre est disponible sur leur site web ainsi que sur Amazon. Vous trouverez d’autres de mes conférences sur orthodoxethos.com.

La question primordiale à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui est de savoir comment l’individu doit se comporter dans un monde où le contrôle totalitaire s’intensifie, avec notamment des épidémies fabriquées, la guerre de l’Occident contre le monde slave, les villes de 15 minutes ou plutôt les prisons de 15 minutes, la crise climatique actuelle, la technocratie et le transhumanisme croissants, les élections truquées et la persécution du christianisme traditionnel et de la liberté de conscience.

En tant que chrétien orthodoxe, je pense que la guerre que nous menons est avant tout une bataille spirituelle contre les forces du mal qui ont tenté de détruire l’humanité depuis l’époque de nos ancêtres dans le jardin d’Eden, bien qu’elles disposent aujourd’hui d’une puissance technique et matérielle bien plus grande.

Cependant, la lutte est qualitativement la même. Les peuples épris de liberté ont toujours été la cible de gouvernements et de systèmes de pouvoir oppressifs. Il suffit de regarder l’histoire de l’Église et les millions de martyrs qui ont donné leur vie au cours des siècles plutôt que de renier leur foi, et dont la majorité a péri aux mains des régimes totalitaires des pays orthodoxes au XXe siècle. Plus que toute autre chose, l’ère moderne a été l’ère du martyre. Alors que le monde se dirige vers sa fin, nous ne pouvons exclure que le sang des martyrs du vingtième siècle puisse encore arroser un renouveau spirituel de l’Église orthodoxe au vingt et unième siècle.

Face au pouvoir écrasant de l’État central, nous nous demandons ce que l’individu peut faire. Le sacrifice sera certainement nécessaire. Si nous insistons pour nous accrocher à tous les conforts de la société matérielle moderne, nous serons presque certainement perdus, nous céderons nos consciences aux pouvoirs en place afin de préserver notre bonheur à court terme. Nous devons être prêts à résister. Mais comment l’individu peut-il s’opposer à l’appareil croissant du totalitarisme mondial ? Ne sommes-nous pas condamnés à un avenir semblable au 1984 d’Orwell ?

Dans mon livre, j’ai parlé des traditions apocalyptiques de l’Église orthodoxe, qui enseignent depuis vingt siècles qu’un jour, un empire mondial unifié émergera, d’une puissance et d’une portée sans précédent, avec un homme particulier à sa tête, à savoir l’Antéchrist.

Nous pouvons voir l’État mondial antichrétien se construire autour de nous au niveau national et supranational, ce dernier sous la forme d’organisations telles que l’ONU, l’Organisation mondiale de la santé et le Forum économique mondial, dont les projets prescrivent sans complexe la destruction de la liberté individuelle, de la liberté de religion, de la liberté de mouvement et de la liberté de pensée. Leur vision de l’avenir est en fait un ancien rêve gnostique de paradis sur terre qui implique la suppression et la destruction d’une grande partie de la population mondiale et le contrôle destructeur de l’âme de ceux qui restent. Ils sont ce que HG Wells a décrit il y a près de cent ans comme la conspiration ouverte. Il ne s’agit pas d’un complot occulte ou d’une théorie de la conspiration, car ce qu’ils cherchent à accomplir, ils l’épousent au vu et au su de tous.

L’Antéchrist et son empire prendront un jour forme autour de nous, mais l’avenir n’est pas gravé dans le marbre. Nous pouvons et devons résister : par la désobéissance civile, le cas échéant, mais je crois qu’il s’agit avant tout d’une résistance spirituelle. Nous devons rester fidèles, dans nos cœurs et nos esprits, aux traditions de l’orthodoxie telles qu’elles ont été transmises de génération en génération. Nous devons nous accrocher à l’unique et véritable Église de Dieu. Même si nous l’emportons à un certain niveau politique, un homme ne gagne rien à gagner le monde aux dépens de son âme. C’est en fin de compte notre âme que nous devons préserver à tout prix.

Je crois que le danger totalitaire qui nous entoure se présente, du moins pour l’instant, sous trois formes fondamentales dans la sphère politique : la peur du changement climatique, la peur du soi-disant nationalisme blanc et la foi généralisée dans ce qu’on appelle la démocratie.

La question du changement climatique est peut-être la plus dangereuse pour les libertés civiles parce qu’elle a la prétention d’inclure toutes les formes d’activité humaine, qu’il s’agisse de manger, de voyager ou de vivre chez soi. En outre, en raison de sa nature vague et fondamentalement non scientifique, le changement climatique ne peut jamais être réfuté, précisément parce que le climat change toujours d’une manière ou d’une autre. Tout événement météorologique, qu’il s’agisse d’inondations, de sécheresses ou de tempêtes exceptionnelles, de chaleur ou de froid, peut être présenté comme une preuve du changement climatique. Le réchauffement climatique dû aux émissions de carbone d’origine humaine, une théorie scientifique un peu plus spécifique, ne tient pas compte des siècles de réchauffement et de refroidissement de la planète qui ont précédé l’industrialisation de l’homme. Peu de gens savent que le CO2 n’est qu’une trace de gaz dans l’atmosphère qui est en fait indispensable à la vie sur terre. Le fait que le public ait compris que le CO2 n’est plus un élément nécessaire à l’existence humaine, mais un poison atmosphérique est certainement l’un des plus grands mensonges de notre époque.

La peur du nationalisme blanc, répétée sans cesse par les représentants de la gauche dans tout l’Occident, est en fait un moyen de promouvoir une idéologie qui lui est diamétralement opposée. Pratiquement toute expression politique qui ne se plie pas au trope élitiste de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, qui est un code pour la discrimination contre les blancs, les chrétiens et les hétérosexuels, est systématiquement exclue du discours dominant. Tous les domaines de la perversité, en particulier ceux qui visent les plus innocents, à savoir les enfants, ce qui inclut la pédophilie, la mutilation des transsexuels et l’avortement, sont tolérés comme normaux et comme le simple reflet d’un choix individuel.

La peur obsessionnelle du nationalisme blanc conduit inéluctablement au bromure de la démocratie moderne et des soi-disant valeurs démocratiques. En pratique, la démocratie moderne de masse implique directement non pas la règle du peuple, ou le gouvernement pour, par ou du peuple, mais précisément son contraire. La démocratie s’est transformée en un fantasme orwellien dans lequel les élites privées et les méga-entreprises manipulent librement le processus politique et où toute tentative de briser leur emprise est rejetée comme un dangereux populisme avec sa connotation de nationalisme blanc. Les hommes politiques ont été réduits à des vendeurs de la dernière crise, de la dernière urgence ou de tout autre stratagème permettant de consolider le pouvoir et d’exclure l’homme de la rue de la société civile.

Le complexe militaro-industriel, contre lequel le président Eisenhower avait mis en garde le monde occidental il y a plusieurs décennies, s’est transformé en un complexe militaro-industriel de renseignement et de médias, dans lequel pratiquement aucun aspect de la vie contemporaine n’échappe à la formation holistique et systématique d’idées et de politiques par ceux qui tirent un profit privé de l’administration publique. La dernière aventure impériale américaine, la guerre en Ukraine, s’avère être un véritable champ d’action pour les entreprises de défense, les mercenaires, les agents secrets et les sociétés financières qui financent à la fois la guerre et la reconstruction présumée d’un pays en ruines.

Alors que le monde slave est subventionné à hauteur de cent milliards de dollars pour se trancher la gorge, l’Amérique n’est pas en mesure de réunir les fonds nécessaires pour loger ou nourrir sa propre population, ni même pour lui fournir des soins médicaux adéquats. En essayant de démêler le conflit ukrainien, il convient de garder à l’esprit que les territoires contestés — y compris la Crimée et les régions du Donbas — étaient entièrement russes jusqu’à ce que les bolcheviks décident d’en faire des parties de l’Ukraine pour des raisons de politique interne à l’URSS.

Bien que je ne sois en aucun cas un pacifiste, je rejette le conseil de prendre les choses en main et de s’engager sur la voie de la violence politique. Je crois que nous avons vu que la violence engendre la violence et nous fait avancer sur la voie du contrôle totalitaire. Il n’y a rien que l’État moderne désire plus que les vrais patriotes entreprennent des actes de violence désespérés, réels ou imaginaires, qui peuvent ensuite être utilisés pour justifier une plus grande répression. Nous avons des exemples de résistance non violente réussie : loin d’être un échec, le mouvement des camionneurs canadiens a apporté des changements significatifs dans le paysage politique canadien, tout comme la révolte des agriculteurs aux Pays-Bas. Le changement est toujours possible, même s’il est difficile et s’il a un coût.

Le plus grand danger technique auquel est confronté non seulement le monde occidental en voie de mondialisation, mais aussi apparemment tout le monde, est l’introduction des monnaies numériques des banques centrales. Celles-ci promettent de débancariser les individus indésirables et les fauteurs de troubles en les excluant du système économique mondial, à l’instar de ce que prévoyait l’apôtre Jean dans son Apocalypse, dans laquelle la marque de la bête sera nécessaire pour acheter et vendre n’importe où dans le monde. D’ores et déjà, nous constatons que certaines PPE, ou personnes politiquement exposées, se voient systématiquement couper l’accès au système bancaire. Dans de telles situations, l’individu est virtuellement impuissant face à la puissance consolidée de l’appareil d’État financier. Une solution, qui n’en est encore qu’à ses balbutiements, pourrait être le bitcoin, qui offre la promesse d’une monnaie numérique véritablement neutre, qui ne peut être désactivée par aucune autorité centrale.

Bien qu’il reste quelques résistants à l’ordre politique dominé par l’Occident, comme la Russie et la Chine, et même les autres pays BRIC, la trajectoire de ces pays semble étrangement similaire à celle de leurs homologues occidentaux. Jusqu’à présent, aucun d’entre eux ne s’est déclaré résolument opposé aux tentacules des élites supranationales qui dirigent véritablement le monde.

Voilà pour ce qui est de l’histoire politique. Mais qu’en est-il de la dimension spirituelle ?

À l’instar de la centralisation toujours plus poussée du pouvoir au niveau politique, je pense que la plus grande menace au niveau spirituel et ecclésiologique est l’hérésie naissante de l’œcuménisme. L’œcuménisme déforme le message de l’Église, qui est de s’aimer les uns les autres et de faire de toutes les nations des disciples, en une agréable fiction selon laquelle toutes les religions sont essentiellement les mêmes, que tous les chemins mènent à la même destination. L’hérésie de l’œcuménisme cherche à unir les religions du monde en une masse amorphe qui préparera le terrain pour la venue de son dernier roi et grand prêtre, l’Antéchrist. Le message de l’Église a toujours été un message universel, un message d’amour envers Dieu et le prochain, mais pas au détriment des vérités qu’elle détient sur le salut, la rédemption et le comportement moral individuel. Nulle part ailleurs que dans l’Évangile chrétien, la rédemption et le salut ne sont mis à la disposition de l’homme, et nulle part ailleurs que dans l’Église orthodoxe, l’Évangile n’a été préservé intact depuis le début.

En tant que chrétiens, nous devons lutter dans l’amour et la vérité : l’amour les uns pour les autres, même pour les ennemis de Dieu, et dans la vérité de l’Église telle que témoignée par ses saints à travers les générations.

Nous devons nous attacher à la vérité transcendante de l’Église orthodoxe, qui est elle-même le royaume des cieux sur terre, et n’accepter aucun substitut mondain. Alors que le monde cherche à transcender ses limites terrestres par le transhumanisme, nous cherchons à nous transformer intérieurement à l’image du Christ. Des temps terribles peuvent encore nous arriver, mais l’Église éternelle demeurera dans son essence jusqu’à la fin des temps, même si ce n’est qu’en marge de la société, comme elle existait autrefois dans les catacombes. Nous devons nous tourner vers elle et nous tourner les uns vers les autres, nos frères et sœurs en Christ, pour traverser ces temps périlleux.

Je suis reconnaissant d’avoir eu l’occasion de m’adresser à vous. Je voudrais terminer par une prière de saint Anatole le Jeune, du monastère d’Optina, écrite contre l’Antéchrist. Je crois que nous ferions bien d’inclure cette prière dans nos dévotions quotidiennes :

Ô Seigneur, Jésus-Christ, Fils de Dieu, délivre-nous des séductions de l’Antéchrist à venir, abhorré par Dieu et rusé dans le mal, et de tous ses pièges. Protège-nous, ainsi que tous nos voisins chrétiens, de ses filets sournois, en nous gardant dans le refuge caché de ton salut. Accorde-nous, Seigneur, que notre peur du diable ne soit pas plus grande que notre peur de Toi, et que nous ne nous éloignions pas de Toi et de Ta Sainte Église. Accorde-nous plutôt, Seigneur, de souffrir et de mourir pour Ton saint nom et pour la foi orthodoxe, et de ne jamais Te renier, ni de recevoir les marques de l’Antéchrist maudit, ni de l’adorer. Accorde-nous, Seigneur, jour et nuit, des larmes et des lamentations pour nos péchés. Et au jour de ton redoutable jugement, Seigneur, accorde-nous le pardon. Amen.

Merci et que Dieu vous bénisse.






Revanche US et déclin chinois — ou les métamorphoses de la matrice

Par Nicolas Bonnal

La puissance US a changé de forme — et c’est ancien : cela date des années soixante, quand « le capital devient image » (Debord) et quand le solide devient du liquide (revoyez les pages de Guénon sur l’élision de la solidification). Je pense aussi à Baudrillard répondant et humiliant presque Guillaume Faye sur les USA comme facteur de décadence (on croirait voir l’extraordinaire ayatollah imprécateur dans le premier Leslie Nielsen ou de déblatérations de Mao sur le tigre de papier vielles de huit décennies). Cette décadence, cette destruction créatrice, c’est leur fonds de commerce. Ils dévastent le monde (la maçonnerie comme éternel champ de ruines) depuis deux siècles et, comme dit Tocqueville, ils délaissent le corps et s’attaquent à l’âme. La culture et la technologie sont américaines, les « âmes » sont américaines, tout devient américain et jamais on n’a eu autant de milliardaires en dollars dans le showbiz US. 43 000 dollars le siège de concert de Taylor Swift, vous savez qui sait ? Lire et relire ce texte de Robert Stark sur la non-apocalypse et l’apocalypse durable, la dystopie de Dick avec des présidents octogénaires (Trump, Biden), clownesques, qui font rire tout le monde mais font surtout le boulot des maîtres-marionnettistes.

Triomphe US ? Lisez Charles Sannat qui rappelle ici :

« Aux États-Unis, les importations en provenance du Mexique dépassent celles de Chine ! C’est un chiffre très important qui devrait faire la “une” des JT et des informations économiques parce que cela matérialise un changement majeur dans l’organisation du monde. Les importations américaines en provenance de Chine s’effondrent et celles en provenance du Mexique viennent de dépasser celles en provenance de Chine ! La démondialisation ne veut pas dire que les États-Unis rapatrient toutes les productions sur le sol étatsunien, mais relocalisent les anciennes délocalisations chinoises, dans des pays nettement plus “amis”, comme le Mexique ou l’Inde. Les États-Unis sont en train de réorganiser le commerce mondial en supprimant la Chine de cette nouvelle carte des productions industrielles. »

Le pognon est américain, le business est américain, les fonds de pension sont américains (merci Mr Fink au roc noir qui affamez et allez dépeupler notre Europe plus vite que SON NOMBRE), la monnaie reste américaine, la dette américaine invraisemblable reste soutenable (le pauvre John T. Flynn la dénonçait il y a cent, alors…), et surtout les décisions sont américaines. Et pendant que les antisystèmes battent le tam-tam façon Bandoeng (qui aboutit à vingt ans de catastrophes économiques et politiques, en appliquant le socialisme et le fabianisme des britanniques…), le big business US isole la Russie (qui a parlé de lui faire la guerre ? Elle sert de repoussoir depuis 1815, voyez Custine) muée en station-service définitive de la Chine, soumet et affame l’Europe, et rameute le tiers-monde sur un ton évangélique : vous êtes contre moi ou pour moi. Biden le gâteux a fait élire Milei rabbin amateur et larbin libertarien (pour moi qui ai adoré le sujet avec Shaffer Butler, Murray Rothbard ou Ralph Raico, quelle dérision tout de même) ou le socialo Lula domestique des labos US (dix vaccins ou pas de sécu…), il a soumis la colonie Europe comme personne, et il contrôle son Inde comme un gourou. Badhrakumar a eu l’honnêteté de le reconnaître et on lui saura gré : Modhi homme de l’Inde cashless grâce à Amazon, homme qui paie en roupies de sansonnet le pétrole russe pour le refiler aux Européens ensuite…

Oublions les pauvres et les drogués US (il n’y en a jamais eu peut-être ?). Croissance économique au dernier trimestre ? 5 % — et toujours de la même bonne vieille façon Us qui date de Roosevelt et de Keynes : dépenses, dettes, dépenses. Le reste du monde marche à la baguette (magique) et les indices (sic) boursiers continuent de monter. Ils ont monté de 4000 % depuis 1980, pour les distraits que cela intéresse (l’or a triplé pendant ce laps de temps). Ils ont quintuplé depuis 2009…

Mais continuons. Sur Zerohedge.com on lit ceci :

« Ruchir Sharma, président de Rockefeller International : Il s’agit d’un tournant historique : la montée de la Chine en tant que superpuissance économique s’inverse. La plus grande histoire mondiale du dernier demi-siècle est peut-être terminée. Après avoir stagné sous Mao Zedong dans les années 1960 et 1970, la Chine s’est ouverte au monde dans les années 1980 — et a décollé au cours des décennies suivantes. Sa part dans l’économie mondiale a presque décuplé, passant de moins de 2 pour cent en 1990 à 18,4 pour cent en 2021. Aucun pays n’a jamais connu une croissance aussi rapide. Puis le renversement a commencé. En 2022, la part de la Chine dans l’économie mondiale a légèrement diminué. Cette année, il diminuera encore plus sensiblement, à 17 pour cent. Cette baisse de 1,4 pour cent sur deux ans est la plus importante depuis les années 1960. »

La suite est tout aussi peu onirique :

« Pour mettre cela en perspective, l’économie mondiale devrait croître de 8 000 milliards de dollars en 2022 et 2023 pour atteindre 105 000 milliards de dollars. La Chine ne représentera rien de ce gain, les États-Unis en représenteront 45 pour cent et les autres pays émergents, 50 pour cent. La moitié des gains pour les pays émergents proviendra de seulement cinq de ces pays : l’Inde, l’Indonésie, le Mexique, le Brésil et la Pologne. C’est un signe frappant d’éventuels changements de pouvoir à venir… Mais le taux de croissance potentiel réel à long terme de la Chine — la somme des nouveaux travailleurs entrant sur le marché du travail et de la production par travailleur — est désormais plutôt de l’ordre de 2,5 pour cent. »

La Chine va connaître un effondrement démographique :

« Le baby bust en cours en Chine a déjà réduit sa part de la population mondiale en âge de travailler d’un sommet de 24 pour cent à 19 pour cent, et elle devrait tomber à 10 pour cent au cours des 35 prochaines années. Avec une part décroissante de la main-d’œuvre mondiale, une part plus faible de la croissance est presque certaine. »

Dernier coup de poignard de cet hindou (vive les Brics tout de même — avec des amis comme ça…) :

« En termes nominaux en dollars, le PIB de la Chine est en passe de diminuer en 2023, pour la première fois depuis une forte dévaluation du renminbi en 1994. Compte tenu des contraintes qui pèsent sur la croissance du PIB réel, dans les années à venir, Pékin ne pourra regagner sa part mondiale qu’avec une hausse de l’inflation ou de la valeur du renminbi — mais ni l’une ni l’autre n’est probable. La Chine est l’une des rares économies à souffrir de déflation, et elle est également confrontée à un effondrement immobilier alimenté par la dette, qui conduit généralement à une dévaluation de la monnaie locale. Les investisseurs retirent de l’argent de Chine à un rythme record, augmentant ainsi la pression sur le renminbi. »

On a vu les Chinois très discrets à San Francisco. Et les massacres de Gaza (vive ce Hamas si utile) ont laissé de marbre la communauté internationale, rappelant qui était le patron. Sans les USA rien ne se fait, et avec les USA se fera sans doute le dépeuplement de la Palestine, qui finira en Europe, comme l’Afghanistan ou la Libye (avec les oppositions de papier w.c. d’extrême-droite, toutes sous contrôle israélo-américain on aurait en effet tort de se gêner en haut-lieu).

Mais vient l’algorithme sur le gâteau.

Le devenir-monde n’est sinon plus marchandise ; comme je l’ai montré dans mon livre sur Internet, il est digital. Le devenir-numérique (je pense souvent à NMR, le léopard, en hébreu, l’animal de Nemrod, qui est aussi lié à la ville, par excellence) ; ce devenir est américain aussi (ou amer Caïn). Johnny Depp l’incarne en le désincarnant dans le fascinant film de Wally Pfister Transcendance, où Elon Musk (qui a donné des noms codés à ses enfants, cela fera plaisir à LHK !), fait un caméo. Le capitalisme techno-gnostique (partie deux de mon livre, qui remonte as usual à la cabalistique « Renaissance anglaise » — Dee, Bacon, Marlowe) va achever ce monde et le reconvertit en alias digital.

En attendant, il en remet un certain nombre à sa place.

Ces propos polémiques ont un but au moins : cessons de rêver, on en face des ennemis qui ont pesé et soupesé ce monde. Et qui vont s’en débarrasser à leur guise quand la bise numérique sera (définitivement) venue. De ce point de vue le nombre de chars Abrams en Ukraine (trente ! les deniers de Judas !) importe beaucoup moins que les dernières inventions de Sam Altman ou de Noam Brown dont personne ne parle. Les super-cerveaux ashkénazes de notre Amérique « toujours ruinée et dégénérée » nous préparent en effet un grand remplacement dont les moins éclairés n’ont pas idée.

https://www.zerohedge.com/economics/chinas-share-global-economy-shrinking-fastest-pace-mao-era

https://echelledejacob.blogspot.com/2023/11/demondialisation-aux-etats-unis-les.html

https://www.scmp.com/economy/global-economy/article/3242612/china-wielding-bargaining-power-russia-over-power-siberia-2-natural-gas-pipeline

https://www.unz.com/article/no-collapse-is-the-real-dystopia/




« Le maître de ce monde et l’impression abondante de fausse monnaie »

Discours d’Angelo Karageorgos
Moldavie, Chisinau 2023

L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation

Notre prochain orateur est Angelos Karageorgos. Il est présent ici en Moldavie. C’est un blogueur, activiste antimondialiste de Grèce et son discours s’intitule « Le maître de ce monde et l’impression abondante de fausse monnaie »

Je salue donc tout le monde et je suis très reconnaissant, tout d’abord, pour cet événement. Je vous remercie tous d’être présents et je vous remercie pour cette organisation. Je vous suis très reconnaissant car, comme vous le savez, à l’heure actuelle, ce type d’événement n’est pas très courant, il n’y a pas de ressources et nous sommes poursuivis par tout le monde. C’est une chose courante ces dernières années, car jusqu’en 2020, on pouvait dire que la situation était un peu différente. À cette époque, il était peut-être difficile d’expliquer aux gens que quelque chose n’allait pas dans l’humanité. Mais en 2020, les choses ont radicalement changé. Nous sommes arrivés à un point où il était clair comme de l’eau de roche que quelque chose n’allait pas du tout. Tout le monde, toutes les institutions, littéralement toutes les institutions, se sont mises au diapason. Tous ces dirigeants immatures qui, par le passé, avaient l’habitude de se battre les uns contre les autres et ne parvenaient pas à se connecter et à trouver un accord, se sont soudain mis sur la même longueur d’onde. On peut donc dire que les masques sont vraiment tombés à ce moment-là. Et nous avons vu qu’ils suivaient exactement les mêmes directions. C’est à ce moment-là qu’ils nous ont dit de porter des masques. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont ironiquement fait tomber les leurs ! C’est à ce moment-là qu’il est apparu clairement que les choses n’étaient pas telles qu’ils les décrivaient. Ils ont forcé les gens à subir ces fausses injections qui modifiaient génétiquement notre ADN, ce qui était extrêmement important.

Après cela, nous avons continué et avant même que la poussière ne soit sur le point de retomber, une autre chose s’est produite en 2022. Il s’agit de la guerre en Ukraine. À l’époque, nous étions censés croire que cela s’était produit par accident. Et les dirigeants européens, les années précédentes, ne savaient pas qu’il pouvait y avoir un problème avec Poutine. Nous sommes donc devenus très dépendants de son énergie et il semble que nous ayons eu cette crise énergétique et cette crise alimentaire. Nous sommes donc censés croire que ces crises se sont produites par accident et que nous devions les accepter.

Mais si nous pensons directement à la bouche du cheval, Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, a dit que cette crise, en particulier celle de la Covid, était une excellente occasion de mettre en œuvre la Grande Réinitialisation. Et en même temps, si nous pensons à la dialectique hégélienne qui est Problème-Réaction-Solution, nous pouvons arriver à une meilleure compréhension de ce qui se passe dans le monde. Nous sommes donc censés croire que ces crises surviennent par accident, mais comment peuvent-elles survenir par accident alors que, d’une part, nous disposons d’une technologie de pointe, de satellites, de technologies numériques et que, d’autre part, de nombreuses personnes n’ont pas de quoi manger ou qu’il y a un problème, que nous ne pouvons même pas allumer nos ampoules à la maison. Je pense que cela prouve que quelque chose n’est pas exactement comme ils le décrivent et pour moi, c’est une preuve claire comme de l’eau de roche.

Dans le même temps, nous assistons à la création des BRICS. Les BRICS sont censés être un pôle différent, l’autre côté, qui essaie de créer une humanité libre. Mais ce n’est pas ce qu’ils font, car d’après leurs propres mots, ils suivent toutes les directives des Nations unies. Et à chaque fois qu’ils parlent, c’est ce qu’ils disent, à propos du développement durable et de tous les mots que nous avons été habitués à entendre tout le temps. Ce n’est donc qu’un moyen de mettre un terme à ce qu’ils appelaient auparavant le libéralisme et à la puissance des États-Unis qui promouvaient le capitalisme. Mais il s’agissait d’un faux libéralisme, car la seule chose qui comptait vraiment était que les grandes entreprises deviennent plus grandes et atteignent le point où très peu d’entre elles possèdent toutes les ressources. Ils nous ont donc dit que nous pourrions peut-être créer un magasin et être indépendants. Mais en réalité, ils ne faisaient que laisser les grandes entreprises devenir énormes. Aujourd’hui, cela doit cesser et le monde doit devenir la Chine. Et c’est là qu’interviennent les BRICS ; c’est ce que nous voyons.

Lorsque nous disons que le monde doit devenir la Chine, cela signifie que nous devons mettre en œuvre les systèmes de la Chine. Klaus Schwab appelle cela le capitalisme des parties prenantes. Ce capitalisme des parties prenantes signifie que la plupart des ressources du monde — toutes — seront entre les mains de ces quelques entreprises, créant ainsi un type de capitalisme, un type de communisme, mais au lieu d’avoir un leader, le gouvernement, nous aurons très peu de leaders qui seront ces entreprises. Par conséquent, nous arrivons à un point où la grande numérisation et la technologie vont beaucoup nous aider dans ce domaine, je le crains, et nous allons clairement dans cette direction.

Lorsque nous examinons ces choses, que nous les décrivons et que nous essayons de les analyser, nous pouvons nous demander « comment ils parviennent à avoir ce pouvoir ». Ces grandes entreprises ont simplement réalisé de gros bénéfices parce qu’elles sont de très bons hommes d’affaires et qu’elles gèrent très bien leurs affaires ? Je ne pense pas que ce soit vrai, car nous voyons de nombreuses entreprises qui ne font pas de bénéfices, qui sont constamment en perte et qui peuvent encore contracter des emprunts. Pourquoi en est-il ainsi ? Les banques ne se soucient-elles pas de faire des bénéfices ? Elles s’en moquent. Parce que les banques centrales créent de l’argent à partir de rien. La FED, la Banque européenne et toutes les banques centrales créent de l’argent à partir de rien. Elles peuvent simplement l’imprimer ou écrire les chiffres dans un ordinateur. Telle est la réalité. Elles peuvent imprimer autant qu’elles le souhaitent. Et elles peuvent affamer ceux qu’elles doivent affamer, et elles peuvent pousser autant d’argent qu’elles le souhaitent vers ceux qui mettent en œuvre l’agenda 2030. C’est ce qui se passe et c’est pourquoi ils ont ce pouvoir énorme et peuvent faire ce qu’ils veulent.

Puisque nous l’avons dit clairement, je crois que c’est ainsi que fonctionne le système. Tous les programmes qu’ils peuvent avoir, la Covid, les investissements, même la Chine, ont été créés par des capitaux en provenance des États-Unis. Mais cela n’a rien à voir avec les États-Unis. Il s’agit des banquiers qui impriment de l’argent, qui l’ont sorti des États-Unis et qui ont construit la Chine. Ils y ont investi beaucoup d’argent. Si nous continuons à penser comme nous l’avons fait depuis que nous avons établi cela, nous devons nous demander qui est derrière tout cela. Qui pourrait être derrière tout cela ? Les oligarques ? Les banquiers ? Les hommes d’affaires ? L’Humanité a-t-elle jamais été libre ? Si nous regardons l’histoire, l’Humanité n’a jamais été libre. L’Humanité a toujours souffert. Aujourd’hui, nous pouvons parler des Rothchild, des Rockfeller, mais avant eux, il y avait le Pape. Avant eux, il y avait Babylone. Avant eux, il y avait l’Égypte. Comment pouvons-nous dire que les élites ne font que cela maintenant et que les élites sont derrière tout ? Ce n’est pas le cas. La personne qui est derrière tout a été mentionnée exactement par notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, lorsqu’il a dit dans l’Évangile de Jean que le dirigeant de ce monde a été jugé. Il l’a appelé Satan. Il a également dit que je peux vous dire beaucoup d’autres choses, mais que vous ne pourrez pas comprendre. Le moment est venu de comprendre.

Tout, depuis 2020, a été révélé. Et nous savons qui est derrière tout, car nous avons toutes les preuves. Et il n’est qu’un seul ; et toutes les élites de tous les siècles n’étaient que des marionnettes. Et celles qui jouent à se battre les unes contre les autres ne sont que des pièces du même jeu. Nous avons donc un joueur d’échecs qui est le maître de ce monde, Satan, et il joue aux échecs avec les Blancs et les Noirs. Et ils sont utilisés comme une distraction pour que nous choisissions notre camp sans vraiment comprendre qu’ils sont simplement manipulés pour créer des crises afin que l’ordre du jour puisse aller plus loin.

Par exemple, en Ukraine, ils ont créé une crise alimentaire et énergétique dont nous avons dit qu’elle n’avait pas de sens puisqu’ils disposent de tant de milliards pour investir où bon leur semble. Ils ont cette technologie, mais en même temps, nous avons dit que nous ne pouvions pas allumer la lumière chez nous. Puisque maintenant, nous avons établi que le dirigeant de ce monde est au-delà du niveau physique, nous avons suffisamment de preuves pour comprendre que le combat est spirituel, qu’il est au-delà du niveau physique. Ainsi, ce qu’il nous faut mieux comprendre maintenant, c’est ce que nous pouvons faire à ce sujet. Car nous savons maintenant qui est contre nous. Nous savons qui est notre ennemi. C’est notre ennemi extérieur et il est très important de comprendre exactement son mode de fonctionnement et c’est ce que nous analysons. Il crée des crises, comme nous l’a dit Klaus Schwab ; comme nous l’avons dit, les crises sont une grande opportunité, le problème — la réaction — la solution. Ces crises sont donc le moyen de faire avancer l’agenda. Puisque nous comprenons cela, nous sommes prêts à nous protéger parce que nous voyons les choses clairement. Et nous savons que, depuis le début de notre vie, depuis notre premier souffle, il a mis en nous toutes ces calomnies, il a mis dans nos esprits des choses erronées. Il ne nous a pas expliqué et il nous a appris à être égoïstes. Il nous a appris à avoir peur. Il nous a appris à ne pas croire au bien et à essayer de combattre les autres parce que la vie est dure et difficile et que nous devons être méchants.

Et toutes les idées que vous pouvez clairement voir sont si différentes de ce que Jésus-Christ nous a enseigné, de Sa Parole. Par conséquent, nous comprenons maintenant que notre combat spirituel est ce que nous allons faire à l’intérieur de nous. C’est l’autre point. Parce que, d’accord, nous savons qui est le Maître de ce monde et nous savons ce qu’il fait. Mais qu’allons-nous faire à ce sujet ? Nous devons éteindre en nous tout ce qu’il a mis en nous. Nous devons regarder clairement en nous parce qu’au moment où nous pouvons dire « je suis » et nous regarder, nous pouvons changer. Et nous pouvons tout voir, petit à petit, parce qu’il s’agit d’un niveau subconscient, et la propagande est partout. Partout il y a des mensonges.

Nous pouvons donc regarder profondément en nous et commencer à comprendre les différences entre la Parole du Seigneur et ce que nous a enseigné le maître de ce monde, qui a été jugé et dont l’heure est venue. Car tout, je le répète, est venu à la lumière, et c’est une grande occasion maintenant de le voir. Alors, ce qui est important pour nous, c’est de se demander, comme je l’ai dit : qu’allons-nous faire ? Quelle est la chose la plus importante à faire ? La chose la plus importante à faire est de sauver notre âme. La chose la plus importante à faire est de regarder à l’intérieur de nous et de voir ce qu’on nous a enseigné par erreur. Regarder nos pensées et voir si elles sont tournées vers l’amour ou si elles sont tournées vers nous-mêmes, vers la satisfaction de nos seuls besoins. Regardons-nous profondément et comprenons où nous nous sommes trompés. Que pouvons-nous changer ? Quelles sont les pensées, les émotions, les actions que nous faisons et qui ne servent qu’à notre épanouissement ? Et elles ne sont pas pour le bien des autres. C’est là l’énorme différence. C’est la voie à suivre. L’idée est donc que le combat [se traduit par] : quoi qu’ils puissent nous faire, ils peuvent faire ce qu’ils veulent ; ils peuvent faire ce qu’ils veulent, mais Dieu nous a donné le libre arbitre. Dans notre esprit, nous pouvons toujours choisir. Dans nos prédispositions, nous pouvons toujours choisir. Et ce choix ne peut jamais être pris.

Il s’agit donc de choisir réellement. À tout moment, il faut se regarder et savoir. Parce que beaucoup de choses sont à un niveau subconscient, beaucoup de choses ont été des habitudes et la plupart d’entre elles ne peuvent même pas être vues parce que nous avons été habitués à cela. Mais si nous mettons en nous la prédisposition à regarder de l’extérieur, à nous observer et à être capables de changer, l’obscurité est tout autour. L’obscurité est partout et nous y sommes habitués. Et nous nous sommes sentis si mal à ce sujet, nous avons eu tant de mauvaises expériences. N’est-ce pas maintenant la meilleure occasion, alors que l’obscurité est claire comme de l’eau de roche et que notre motivation est au plus haut niveau, parce que l’obscurité est si grande, d’aller du côté opposé ?

Lorsque nous voyons la clarté et les qualités du Maître de ce monde, n’est-il pas clair comme de l’eau de roche de savoir quelle est la bonne direction à prendre ? Quelle est la voie à suivre et quelle est son importance ? Utilisons-le. Utilisons ce qu’ils font, utilisons ce qu’ils disent comme une grande opportunité d’aller à l’encontre de cela, de ne pas les accepter et de prendre une direction différente en tant que personnes. Je pense que c’est la chose la plus importante. Et comme nous sommes revêtus de la Parole de Jésus-Christ, nous ne pouvons jamais avoir peur. Et nous pouvons toujours savoir que nous libérer et sauver nos âmes à la fin est une question de choix. Et quoi qu’ils fassent, je le répète, cela n’a pas vraiment d’importance parce qu’à la fin, c’est nous qui choisissons ce que nous allons faire.

Prenons donc ces choses très au sérieux, réfléchissons-y très profondément. Et je crois qu’indépendamment de ce qui se passe, nous avons le choix. Et nous pouvons faire tout ce qui est nécessaire. Et à tout moment, même lorsque nous faisons quelque chose à l’extérieur, en ayant toujours cette prédisposition, cela peut toujours avoir une bénédiction. J’en suis sûr, les opportunités et les chances dans nos vies deviendront de plus en plus grandes. Et Dieu nous aidera toujours, tant que nous essaierons d’être en contact avec Lui. Merci beaucoup.

Merci beaucoup, Angelos, pour ce discours impressionnant. Vraiment.






L’effondrement d’Israël et des États-Unis

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Pour la première fois, le monde assiste en direct à un crime contre l’Humanité, à la télévision. Les États-Unis et Israël, qui ont uni leur sort depuis longtemps, seront tous deux tenus pour responsables des massacres de masse commis à Gaza. Partout, sauf en Europe, les alliés de Washington retirent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv. Demain, ils le feront à Washington. Tout se passe comme lors de la dislocation de l’URSS et se terminera de la même manière : l’Empire américain est menacé dans son existence. Le processus qui vient de s’enclencher ne pourra pas être stoppé.

Les États-Unis et Israël sont perçus comme une seule et même entité. Ils devront répondre ensemble de leurs crimes.

Alors que nous avons les yeux rivés sur les massacres de civils en Israël et à Gaza, nous ne percevons ni les divisions internes en Israël et aux USA, ni le changement considérable que ce drame provoque dans le monde. Pour la première fois dans l’Histoire, on tue massivement et en direct des civils à la télévision.

Partout — sauf en Europe —, les juifs et les Arabes s’unissent pour crier leur douleur et appeler à la paix.
Partout, les peuples réalisent que ce génocide ne serait pas possible si les États-Unis ne fournissaient pas en temps réel des bombes à l’armée israélienne.
Partout, des États rappellent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv et se demandent s’ils doivent rappeler ceux qu’ils ont envoyés à Washington.

Il va de soi que les États-Unis n’ont accepté ce spectacle qu’à contrecœur, mais ils ne l’ont pas simplement autorisé, ils l’ont rendu possible avec des subventions et des armes. Ils sont effrayés de perdre leur Pouvoir après leur défaite en Syrie, leur défaite en Ukraine et peut-être bientôt leur défaite en Palestine. En effet, si les armées de l’Empire ne font plus peur, qui continuera à effectuer des transactions en dollars au lieu de sa propre monnaie ? Et dans cette éventualité, comment Washington fera-t-il payer aux autres ce qu’il dépense, comment les États-Unis maintiendront-ils leur niveau de vie ?

Mais que se passera-t-il à la fin de cette histoire ? Que le Moyen-Orient se révolte ou qu’Israël écrase le Hamas au prix de milliers de vies ?

Nous retiendrons que le président Joe Biden avait d’abord sommé Israël de renoncer à son projet de déplacer vers l’Égypte ou, à défaut, d’éradiquer le peuple palestinien de la surface de la Terre, et que Tel-Aviv ne lui a pas obéi.

Les « suprémacistes juifs » se comportent aujourd’hui comme en 1948.
Lorsque les Nations unies votèrent la création de deux États fédérés en Palestine, un hébreu et un arabe, les forces armées autoproclamèrent l’État hébreu avant qu’on en ait fixé les frontières. Les « suprémacistes juifs » expulsèrent immédiatement des millions de Palestiniens de chez eux (la « Nakhba ») et assassinèrent le représentant spécial de l’ONU venu créer un État palestinien. Les sept armées arabes (Arabie saoudite, Égypte, Iraq, Jordanie, Liban, Syrie et Yémen du Nord) qui tentèrent de s’opposer à eux furent rapidement balayées.
Aujourd’hui, ils n’obéissent pas plus à leurs protecteurs et massacrent encore, sans se rendre compte que, cette fois, le monde les observe et que plus personne ne viendra à leur secours. Au moment où les chiites admettent le principe d’un État hébreu, leur folie met en péril l’existence de cet État.

Nous nous souvenons de la manière dont l’Union soviétique s’est effondrée. L’État n’avait pas été capable de protéger sa propre population lors d’un accident catastrophique. 4 000 Soviétiques sont morts à la centrale nucléaire de Tchernobyl (1986), en sauvant leurs concitoyens. Les survivants s’étaient alors demandé pourquoi ils continuaient à accepter, 69 ans après la Révolution d’Octobre, un régime autoritaire. Le Premier secrétaire du PCUS, Mikhail Gorbachev, a écrit que c’est lorsqu’il a vu ce désastre, qu’il a compris que son régime était menacé.
Puis ce furent les émeutes de décembre au Kazakhstan, les manifestations d’indépendance dans les pays baltes et en Arménie. Gorbatchev modifia la Constitution pour écarter la vieille garde du Parti. Mais ses réformes ne suffirent pas à arrêter l’incendie qui se propagea en Azerbaïdjan, en Géorgie, en Moldavie, en Ukraine et en Biélorussie. Le soulèvement des Jeunes communistes est-allemands contre la doctrine Brejnev conduisit à la chute du Mur de Berlin (1989). L’effritement du Pouvoir à Moscou conduisit à l’arrêt de l’aide aux alliés, dont Cuba (1990). Enfin ce furent la dissolution du Pacte de Varsovie et le déchirement de l’Union (1991). En un peu plus de 5 ans, un Empire, que tous pensaient éternel, s’est effondré sur lui-même.

Ce processus inéluctable vient de débuter pour l’« Empire américain ». La question n’est pas de savoir jusqu’où les « sionistes révisionnistes » de Benjamin Netanyahu iront, mais jusqu’à quand les impérialistes états-uniens les soutiendront. À quel moment, Washington estimera qu’il a plus à perdre à laisser massacrer des civils palestiniens qu’à corriger les dirigeants israéliens ?

Le même problème se pose pour lui en Ukraine. La contre-offensive militaire du gouvernement de Volodymyr Zelensky a échoué. Désormais, la Russie ne cherche plus à détruire les armes ukrainiennes, qui sont immédiatement remplacées par des armes offertes par Washington, mais à tuer ceux qui les manient. Les armées russes se comportent comme une gigantesque machine à broyer qui, lentement et inexorablement, tue tous les soldats ukrainiens qui s’approchent des lignes de défense russe. Kiev ne parvient plus à mobiliser de combattants et ses soldats refusent d’obéir à des ordres qui les condamnent à une mort certaine. Ses officiers n’ont d’autre choix que de fusiller les pacifistes.

Déjà de nombreux leaders US, Ukrainiens et Israéliens évoquent un remplacement de la coalition « nationaliste intégrale » ukrainienne et de la coalition « suprémaciste juive », mais la période de guerre ne s’y prête pas. Il va pourtant falloir le faire.

Le président Joe Biden doit remplacer sa marionnette ukrainienne et ses alliés barbares israéliens, comme le Premier secrétaire Mikhail Gorbachev avait dû remplacer son insensible représentant au Kazakhstan, ouvrant la voie à la généralisation de la contestation des dirigeants corrompus. Lorsque Zelensky et Netanyahu auront été renvoyés, chacun saura qu’il est possible d’obtenir la tête d’un représentant de Washington et chacun de ceux-ci saura qu’il doit fuir avant d’être sacrifié.

Ce processus n’est pas seulement inéluctable, il est inexorable. Le président Joe Biden peut juste faire tout ce qui est en son pouvoir pour le ralentir, pour le faire durer, pas pour l’arrêter.

Les peuples et les dirigeants occidentaux doivent maintenant prendre des initiatives pour se sortir de ce guêpier, sans attendre d’être abandonnés, comme Cuba le fit au prix des privations de sa « période spéciale ». Il y a urgence : les derniers à réagir devront payer l’addition de tous. D’ores et déjà de nombreux États du « reste du monde » fuient. Ils font la queue pour entrer aux BRICS ou à l’Organisation de coopération de Shanghai.

Plus encore que la Russie qui a dû se séparer des États baltes, les États-Unis doivent se préparer à des soulèvements intérieurs. Lorsqu’ils ne parviendront plus à imposer le dollar dans les échanges internationaux et que leur niveau de vie s’effondrera, les régions pauvres refuseront d’obéir tandis que les riches prendront leur indépendance, à commencer par les républiques du Texas et de Californie (les seules qui, selon les Traités, en ont légalement la possibilité) [1]. Il est probable que la dislocation des USA donnera lieu à une guerre civile.

La disparition des États-Unis provoquera celle de l’OTAN et de l’Union européenne. L’Allemagne, la France et le Royaume-Uni se retrouveront face à leurs vieilles rivalités, faute d’y avoir répondu lorsqu’il était temps.

En quelques années Israël et l’« Empire américain » disparaîtront. Ceux qui lutteront contre le sens de l’Histoire provoqueront des guerres et des morts inutiles en nombre.




France — Chronique de la vie ordinaire

[Illustration : source]

Le froncé continue sa petite vie pourrie sans questionnement et sans réaction

Amal en forme ; voici son petit compte-rendu sur nos froncés enthousiastes et leur quotidien mâtiné de dystopie : « Dans l’entourage d’une de mes connaissances, les personnes souffrent de l’inflation et ne mangent plus à leur faim. Ils ne prennent plus qu’un repas par jour. Il est désolant de voir que même à ce stade, il n’y ait aucune réaction de leur part… Cette même personne, m’a affirmé qu’une amie à lui, est décédée à 28 ans d’une crise cardiaque, une autre jeune femme qui à moins de la trentaine, a eu deux AVC et est toujours souffrante. Les effets secondaires de l’injection obligatoire font beaucoup de dégâts et personne ne se réveille… Le métier en vogue est porteur funéraire, on en recherche régulièrement depuis un an… La folie continue, les débiles continuent, encore, à aller chercher leur dose mortelle. » Sinon, l’État fait la pub pour le Grand Reset : notre extermination se rapproche…

Nicolas Bonnal

Par Amal

Nous vivons depuis des semaines des jours pluvieux ininterrompus. Hier, nous avons eu la chance d’avoir du soleil et un peu de douceur (15°), cela fait du bien au moral et aux articulations.

Ma petite campagne est bien verte et la rivière est bien pleine, cela n’empêche pas notre presse locale de mettre cette pluie et ce temps sur le dos du réchauffement climatique :

« Ce qui différencie toutefois ces épisodes climatiques, c’est leur côté on-off. À une fin d’été très sèche a succédé un temps est très pluvieux. Réchauffement climatique oblige, nous devrions aller vers une météo de plus en plus nerveuse, avec des blocages de types de temps sur une certaine période. Il va falloir s’attendre à des contrastes. »

Je tiens à préciser que cet été, hormis le mois de juin, il avait plu régulièrement. Je rajouterai que toute cette année, nous avions eu de la pluie. Une année pluvieuse et humide. Voilà en ce qui concerne la météo dans la Marne.

Petite parenthèse : à chaque fois que le ciel est bleu, et c’est systématique, on aperçoit dans le ciel les traînés de chemtrails. Ils ne veulent pas que nous ayons un ciel clair.

Je vous suggère cette belle chanson sur ce phénomène d’Ian Brown intitulé : « Blue sky day ». Voici le lien de la chanson :

Quelques brèves :

Dans l’entourage d’une de mes connaissances, les personnes souffrent de l’inflation et ne mangent plus à leur faim. Ils ne prennent plus qu’un repas par jour. Il est désolant de voir que même à ce stade, il n’y ait aucune réaction de leur part.

Cette même personne, m’a affirmé qu’une amie à lui, est décédée à 28 ans d’une crise cardiaque, une autre jeune femme qui à moins de la trentaine, a eu deux AVC et est toujours souffrante. Les effets secondaires de l’injection obligatoire font beaucoup de dégâts et personne ne se réveille.

J’ai constaté que sur le site de Pôle Emploi, il y avait beaucoup plus d’offres qu’à l’habitué. Cette région est, en général, saturée dans certains secteurs comme le tertiaire. Aujourd’hui, les offres pleuvent, même la région et la préfecture recrutent. Je tiens à préciser que ces administrations font rarement appel à Pôle Emploi. Le métier en vogue est porteur funéraire, on en recherche régulièrement depuis un an.

Un médecin spécialiste qui se fait régler ses honoraires en espèces ou en chèques sur la question de la monnaie numérique : j’ai demandé, comment il envisageait l’avenir avec le CBDC ? Il ne savait pas de quoi je parlais, ni que nous assistions à la fin du cash. Il n’avait pas l’air convaincu ni préoccupé des informations que je lui dévoilais. On n’est pas sorti de l’auberge avec ce genre d’ignare.

Dans la ville des sacres, j’ai demandé à une personne croisée dans la rue de me renseigner sur le nom d’une basilique que j’apercevais au loin. Je l’aborde poliment et lui demande le nom du monument. La personne s’est figée, mais complètement, et a longtemps hésité avant de me répondre. Je n’ai pas compris sa réaction. Les gens ont peur de parler aux passants.

La région a mis en place, cette année, divers abonnements pour les usagers. Il est possible de se les procurer soit au service de la région, soit par l’intermédiaire du chauffeur de bus. Rien de spécial me diriez-vous. J’ai mis dix jours pour avoir mon abonnement. Dix jours ! Pourquoi ça a mis autant de temps ? Je vous explique : plusieurs chauffeurs avaient leurs nouveaux boîtiers HS, d’autres n’en étaient pas encore équipés. Et pour finir, je me suis déplacée à la région et, devinez quoi, c’était fermé (pour info, aucun message à l’entrée n’indiquait la fermeture de l’administration). Tout devient compliqué, c’est de plus en plus compliqué.

Dans le train, la contrôleuse se plaignait aux usagers détenant la carte d’abonnement TGV que son appareil boguait à chaque fois qu’elle passait leur carte et qu’elle était obligée de réinitialiser son boîtier. Elle prenait ça avec le sourire et se demandait si elle arriverait à contrôler tous les passagers.

Les prix dans les différents commerces ont encore prix une hausse, pour exemple le pot de miel de 500 g qui était, il y a un mois, à 3,19 € est passé à 3,39 €.

Dans mon petit bourg, une misérable fête foraine est en place depuis quelques jours. Malgré la pluie et le froid, les gens s’y précipitent. Pour s’amuser, il y a toujours du monde, mais pas pour se rebeller.

A la pharmacie de mon patelin, les gens continuent d’aller chercher leur injection expérimentale. Pendant que j’écris, j’ai reçu un mail de la CPAM :

« Grippe et Covid-19 : se faire vacciner pour être doublement protégé. Pour se protéger contre la grippe, toujours aussi imprévisible et dangereuse, la vaccination est une arme efficace. Elle est prise en charge à 100 % pour les personnes les plus fragiles, notamment celles de 65 ans et plus, les enfants et les adultes souffrant d’une maladie chronique ainsi que les femmes enceintes. Il leur est recommandé de se faire vacciner en même temps contre le Covid-19, maladie qui peut, elle aussi, les affecter sévèrement. ».

La folie continue, les débiles continuent à aller chercher leur dose mortelle.

Les consultations médicales ont augmenté de 1,50 € en France métropolitaine et de 1,80 € dans les régions d’outre-mer.

Tarifs des consultations médicales : ce qui a changé au 1er novembre 2023
La consultation des médecins généralistes et spécialistes conventionnés avec l’Assurance Maladie a augmenté de 1,50 euro en métropole et de 1,80 euro dans les départements et régions d’outre-mer. En métropole, en secteur 1, la consultation d’un médecin généraliste est à 26,50 euros et, dans la plupart des cas, celle d’un médecin spécialiste est à 31,50 euros. Ces consultations sont remboursées à 70 % par l’Assurance Maladie et à 30 % par les complémentaires santé.

Le froncé continue sa petite vie pourrie sans questionnement et sans réaction. Il va de lui-même à son extinction. Il ne restera plus grand-chose de cette humanité de décérébrés. Dans cette dystopie, mon être ne trouve plus sa vibration naturelle. Ils me fatiguent à un point, j’en peux plus les voir.

Source [pour climat] :

https://www.lunion.fr/id540161/article/2023-11-16/aisne-marne-et-ardennes-il-y-eu-autant-de-pluie-en-15-jours-quen-un-mois-en