Les relations troubles entre les journalistes et la CIA

[Source : Geopolintel via reseauinternational.net]

Pendant la crise du Covid bon nombre de spectateurs se sont interrogés sur les conflits d’intérêts des journalistes et des médecins avec les laboratoires pharmaceutiques.

BFM TV (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD ont en commun de nombreux actionnaires.

Posons-nous la question de savoir si cette propagande anti-Raoult fait partie du Projet Mockingbird, liant à la fois les rédactions et les laboratoires à la CIA.

Officiellement, le Projet Mockingbird n’existe plus mais il semble que ce réseau soit toujours actif dans toutes les rédactions du monde.

La création du Projet « MOCKINGBIRD »

En 1948, l’agent de la CIA Frank Gardiner Wisner a été nommé directeur du Bureau des projets spéciaux pour créer le Projet Mockingbird (« oiseau-moqueur »), un programme visant à influencer les médias américains.

Wisner reçut l’ordre de créer une organisation dont l’un des objectifs principaux serait de créer la propagande.

L’OPC était financé par le détournement de fonds qui étaient destinés au « Plan Marshall ».

Une partie de cet argent fût utilisé pour soudoyer et corrompre les journalistes et les éditeurs.

Frank G. Wisner II (son fils) s’est marié en 1976 avec Christine de Ganay, divorcée de Pal Sarközy de Nagy-Bocsa. Elle est la mère d’Olivier Sarkozy (demi-frère du président Nicolas Sarkozy).

Olivier Sarkozy, banquier d’affaires vedette d’UBS, débauché par Carlyle :

Olivier Sarkozy, demi-frère de Nicolas Sarkozy, président de la république française, a rejoint une des plus grosses sociétés mondiales d’investissement, le groupe Carlyle…

« J’ai hâte de participer à cette aventure, et de faire de Carlyle un acteur de référence dans ce secteur d’investissement de plus en plus important », avance Olivier Sarkozy.

Carlyle doit son succès aux personnalités influentes comme James Baker, ancien secrétaire d’État de George Bush père, ou Frank C. Carlucci, ancien directeur adjoint de la CIA.

« Jusqu’en 1998, le Carlyle Group était inconnu en France. Il y contrôle pourtant une grande partie de la presse professionnelle.

À ces trois secteurs éminemment stratégiques sont venues se greffer les nouvelles technologies de l’information, les biotechnologies et l’industrie pharmaceutique »

Pascal Dallecoste Chercheur au LAREGE


Journalistes Occidentaux & CIA : « La CIA contrôle tout ! »

par Udo Ulfkotte.

Les révélations fracassantes d’un ancien rédacteur en chef allemand sur ses liens et ceux de la plupart des journalistes occidentaux avec la CIA.

Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung (l’un des plus grands quotidiens allemands), révèle qu’il a travaillé pour la CIA. Il affirme que tous les médias les plus importants sont contrôlés par la CIA et que celle-ci œuvre à une guerre avec la Russie… Fatigué de tromper ses lecteurs et effrayé par la guerre qui s’annonce, il a décidé de parler.



Udo Ulfkotte, un ancien rédacteur en chef d’un des plus grands quotidien allemand de grand tirage Frankfurter Allgemeine Zeitung, admet qu’il a travaillé pour la CIA.

« Je suis journalise depuis environ 25 ans et on m’a appris à mentir, à trahir et à ne pas dire la vérité au public », a dit Ulfkotte dans un entretien avec la chaîne Russia Today (RT). « J’ai été soutenu par la CIA, pourquoi ? Parce que je suis pro-américain ».

Il a décidé de dire la vérité au sujet des médias de masse complètement contrôlés par la classe financière parce qu’il a peur d’une guerre en Europe.

« Les médias allemands et américains essaient d’amener la guerre aux gens en Europe, d’amener la guerre en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, de construire une propagande contre la Russie ».

Ulfkotte a dit que la plupart des journalistes de la corporation médiatique aux États-Unis et en Europe sont « soi-disant des couvertures non-officielles », ils travaillent pour une agence de renseignement.

« Je pense que c’est particulièrement le cas pour les journalistes britanniques, parce qu’ils ont une relation bien plus étroite (avec leur service de renseignement). C’est très certainement le cas avec les journalistes israéliens et bien sûr les journalistes français… C’est également le cas avec les journalistes australiens, néo-zéalndais, taïwanais, bref, de beaucoup de pays ».

Operation Mockingbird (Opération « oiseau moqueur »)

La subversion par la CIA des médias de masse est très bien documentée. Dès 1948, l’ancien avocat de Wall Street Frank Wisner (NdT : le père du beau-père de Sarkozy…) a établi l’opération Mockingbird quand il était directeur de l’OSP (Office of Special Projects), qui allait devenir par la suite un département de la CIA. Cette opération avait pour but de convertir les médias en outil de propagande pour l’élite financière. Wisner engagea Philip Graham du Washington Post pour diriger l’opération et recruter des journalistes, beaucoup d’entre eux avaient travaillé pour le renseignement militaire durant la Seconde Guerre mondiale.

« Vers la fin des années 1950, Wisner ‘possédait’ des membres respectés du New York Times, de Newsweek, de CBS et autres véhicules de communication », écrit Deborah Davis dans son livre « Katharine the Great : Katharine Graham and the Washington Post ».

De 1953, l’opération fut dirigée par le directeur de la CIA Allen Dulles et balayait virtuellement toutes les grosses entreprises médiatiques incluant le New York Times (NdT : Nous avons dit sur ce blog depuis très longtemps que le New York Times était « la voix de la CIA »…), les magazines Time et Life, les équipes de journaux télévisés, particulièrement CBS News sous Philip Paley, en plus des journaux et chaînes de télévision d’information, la CIA contrôlait aussi Hollywood et la production des films.

« Les fichiers de la CIA documentent des arrangements de couverture additionnels avec ces organisations de presse entre autres : Le New York Herald Tribune, Saturday Evening Post, Scripps-Howard Newspapers, Hearst Newspapers, Associated Press (AP), United Press International (UPI), the Mutual Broadcasting System (MBS), Reuters, the Miami Herald », a écrit Carl Bernstein le célèbre journaliste de l’affaire du Watergate dans un article paru dans la revue Rolling Stone en 1977.

Des preuves de l’existence du réseau de la propagande de la CIA, son « puissant Wurlitzer » comme l’appelait Wisner, avaient été révélées dans les années 1970 suite aux révélations du comité d’enquête du sénateur Church (Church Committee). « La CIA entretient couramment un réseau de plusieurs centaines d’individus étrangers à travers le monde qui fournissent des renseignements à la CIA et parfois essaient d’influencer les opinions publiques au travers de l’utilisation de propagande cachée. Ces individus donnent à la CIA un accès direct à un grand nombre de journaux, magazines et périodiques, un grand nombre d’agences de presse, de stations de radios et de télévisions, d’entreprises de publication de livres, maisons d’édition et autres fonctions médiatiques étrangères », citait un rapport du comité du Congrès en 1976.

Comme le documente Alex Constantine, l’opération Mockingbird est toujours opérationnelle aujourd’hui sous une grande variété de déguisements. Un de ses plus grands géniteurs, Richard Mellon Scaife, vient juste de décéder.

CIA Media pousse pour une guerre catastrophique avec la Russie

Udo Ulfkotte s’est dévoilé parce qu’il a peur d’une guerre entre les États-Unis, l’Europe et la Russie.

« Les médias américains et allemands essaient d’amener la guerre en Europe, en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, construire une propagande contre la Russie. Ce n’est pas juste ce que mes collègues font également, ce qu’ils ont fait dans le passé, parce qu’ils sont corrompus pour trahir le peuple, pas seulement en Allemagne, mais partout en Europe… J’ai très peur d’une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas avoir une fois de plus cette situation se produire, car une guerre ne vient jamais toute seule, il y a toujours des gens qui poussent à la guerre et ce ne sont pas seulement les politiciens, ce sont les journalistes également… Nous avons trahi notre lectorat, nous avons juste toujours poussé pour la guerre… J’en ai assez, j’en ai ras le bol de toute cette propagande. Nous vivons dans une république bananière et non pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse ».

Pour l’élite gouvernante, l’oligarchie financière en contrôle des États-Unis, la guerre est un outil fait sur mesure pour maintenir et centraliser le pouvoir ainsi qu’établir un ordre monétaire mondial. Aveuglée par son arrogance démesurée, l’élite croit qu’une guerre avec la Russie va mettre en échec les aspirations géopolitiques de cette nation, qu’ils perçoivent comme une menace, comme celles de la chine. Mettre en échec et défier la Russie est l’objectif de cette guerre en Ukraine, qui s’est mise en sourdine depuis quelques temps.

La Russie est parfaitement au courant de ce qui se trame et se prépare maintenant pour l’inévitable : une guerre thermonucléaire. Impensable il y a encore 2 ou 3 ans, la Russie est maintenant en train de considérer une refonte à très grande échelle de sa position militaire et de considérer (NdT : comme l’ont déjà fait les États-Unis…) la possibilité d’une première frappe nucléaire contre l’OTAN et les États-Unis.

« À mon avis, notre ennemi principal sont les États-Unis et l’OTAN », a dit le mois dernier le général Youri Yakoubov, vétéran du Ministère de la Défense russe.

Yakoubov a dit que la Russie avait fusionné ses forces aériennes et spatiales avec ses forces nucléaires aériennes, terrestres et maritimes.

« De plus, il est nécessaire de finement détailler les conditions sous lesquelles la Russie pourrait mener une frappe préemptive avec ses forces balistiques stratégiques », a-t’il dit.


Un journaliste allemand qui a dénoncé la CIA retrouvé mort

Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux allemands, le Frankfurter Allgemeine Zeitung, lorsqu’il a publié son bestseller « Journalistes qui s’achètent » révélant comment la CIA contrôlait les médias allemands, un livre qui lui a coûté sa carrière – et peut-être sa vie.

L’ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung, l’écrivain Udo Ulfkotte est décédé à l’âge de 56 ans. Alors qu’il avait été interdit aux médias allemands d’évoquer sa personne ces dernières années, ils ont été obligés maintenant de constater que le journaliste avait succombé à une « crise cardiaque ».

Sa mort éveille d’autant plus de questions parce qu’il était surtout connu pour son livre-dénonciateur « Journalistes qui s’achètent » (« Gekaufte Journalisten »). Là, Udo Ulfkotte a dévoilé comment la CIA payait des journalistes en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour qu’ils publient de fausses informations.

Le journaliste connaissait bien les menaces qu’il affrontait, mais croyait qu’il était mieux placé que la plupart des journalistes pour exposer la vérité puisqu’il n’avait pas d’enfants qui pourraient courir un risque. Dans un entretien au journal russe Russian Insider, le journaliste avait partagé :

« Quand j’ai exprimé au Frankfurter Allgemeine Zeitung mon intention de publier le livre, leurs juristes m’ont envoyé une lettre de menaces contenant toutes les conséquences légales dans le cas où je publierais certains noms ou secrets – mais moi, je n’ai pas eu peur. Vous comprenez, je n’ai pas d’enfants que je dois choyer ».

Craignant une guerre en Europe, il a pris la décision de dévoiler la vérité quant aux médias contrôlés par les services secrets.

« J’ai été journaliste pendant presque 25 ans, on m’a appris à mentir, à trahir, à ne pas dire la vérité au public », avait indiqué M. Ulfkotte à RT. « La CIA me soutenait, pourquoi ? Parce que j’étais pro-américain ».

Selon l’écrivain, les médias allemands et américains tentent d’amener la guerre en Europe mais aussi en Russie. C’est contre cette propagande médiatique qu’il s’est dressé avec son « Journalistes qui s’achètent » qui est devenu un bestseller. Un livre qu’il était interdit de mentionner dans les médias allemands.

M. Ulfkotte a lui-même contribué à la presse « achetée ». Par exemple, il a écrit une fausse histoire parlant du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui aurait construit des usines de gaz toxique en 2011.


Communiqué de presse

Jeu, 20 Décembre 2007

Altice et Cinven accueillent Carlyle comme nouvel actionnaire de Numericable et Completel
2007-153

Paris – The Carlyle Group, Cinven et Altice ont annoncé aujourd’hui que la société mondiale de capital-investissement The Carlyle Group allait devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel. The Carlyle Group et Cinven détiendront chacun 35% des deux sociétés et Altice 30%. Les détails financiers n’ont pas été divulgués.

Numericable exploite le premier réseau alternatif haut débit en France, couvrant près de 10 millions de foyers et fournissant des services de télévision haute définition, de vidéo à la demande, d’internet très haut débit et de téléphonie. Numericable est le premier opérateur à avoir déployé massivement son réseau de fibre optique en France. Ce réseau unique en fibre optique équipe déjà 2 millions de foyers et sera étendu à 8 millions de foyers d’ici 2010.

Completel offre des services différenciés aux entreprises en utilisant le plus grand réseau alternatif métropolitain d’accès en fibre optique et le troisième réseau DSL de France.

Patrick Drahi, Altice :

« Depuis 2002, grâce au soutien de ses actionnaires initiaux Pechel, SGCE et ING, au soutien exceptionnel de Cinven et de son équipe, ainsi qu’à l’expertise et au dévouement sans faille de ses employés, le groupe Numericable a pu construire une plateforme de services à la pointe des normes internationales de la technologie du câble. L’ensemble des résultats prometteurs que nous avons obtenus nous a permis d’accueillir à nos côtés l’un des fonds d’investissement les plus prestigieux de notre secteur, ce qui donnera à notre groupe un nouvel élan pour se positionner comme l’un des acteurs majeurs de la consolidation de l’industrie européenne du câble ».

Benoît Colas, directeur général de The Carlyle Group :

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel aux côtés d’Altice et de Cinven. Numericable et Completel ont de formidables opportunités de croissance sur les marchés résidentiels et d’entreprise grâce aux services uniques que leurs réseaux de fibre optique peuvent offrir. La profonde expertise de Carlyle dans le secteur des télécommunications et sa solidité financière seront des ressources importantes pour le développement futur du premier réseau à très haut débit en France ».

Nicolas Paulmier, Cinven :

« Cinven soutient Altice depuis 2004, période pendant laquelle le secteur français du câble s’est rapidement consolidé et a évolué. Nous sommes très heureux d’accueillir Carlyle à cette nouvelle étape du développement des télécommunications françaises, alors que le marché passe du haut débit au très haut débit, en avance sur tous les autres pays européens. Avec un actionnariat encore plus fort, Numericable est bien positionné pour poursuivre la consolidation du secteur français et européen des télécommunications ».

La transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires et devrait être finalisée au premier trimestre 2008.


À propos d’Altice

Altice est un investisseur européen dans les médias et les télécommunications. À travers ses investissements, il détient des participations indirectes notamment dans Numericable, Est Videocom, Coditel et Completel. Fondé en 2002 par un groupe d’experts en télécoms, Altice est soutenu dans ses investissements par des fonds de private equity (Pechel SGCE, ING Belgique) et un groupe d’investisseurs privés.

À propos de Cinven

Cinven est l’un des investisseurs les plus importants et les plus performants sur le marché européen du rachat d’entreprises. Il a mené des transactions d’une valeur supérieure à 60 milliards d’euros. Depuis ses bureaux de Francfort, Londres, Milan et Paris, Cinven se concentre exclusivement sur la création de valeur dans des entreprises ayant leur siège en Europe, dont la valeur d’entreprise est d’au moins 500 millions d’euros et qui sont leaders sur leur marché ou ont un tel potentiel. Créée en 1977, la société est une entreprise totalement indépendante depuis 1995. Le quatrième fonds Cinven, qui a clôturé à 6,5 milliards d’euros en juin 2006, est à ce jour la plus grande source de capitaux privés dédiée uniquement aux rachats d’entreprises en Europe. Les investissements récents de Cinven comprennent Coor (540 millions d’euros), USP Hospitales (675 millions d’euros), Spire Healthcare (2 130 millions d’euros), Gondola (1 335 millions d’euros), Camaieu (1 500 millions d’euros), Phadia (1 285 millions d’euros), Avio (2 570 millions d’euros), Dutch Cable (5 450 millions d’euros) et Ahlsell (1 200 millions d’euros). Parmi les sorties récentes, citons Klöckner Pentaplast (1 300 millions €), United Biscuits (2 400 millions €) et MediMedia (1 100 millions €).


L’investisseur américain Carlyle a un œil sur la presse européenne

par Marc Roche.

Publié le 12 juin 1999

« Grâce à ses contacts politiques au plus haut niveau, Carlyle excelle dans les secteurs industriels dans lesquels les pouvoirs publics jouent un rôle de réglementation non négligeable », indique un analyste new-yorkais à propos du groupe d’investissement américain Carlyle, candidat à la recapitalisation du Figaro.

Fondée en 1987, cette société de capital-risque s’était jusque-là distinguée en prenant des participations majoritaires dans des compagnies généralement non cotées dont l’activité est souvent à la frontière du négoce et de la politique : aéronautique, défense, pétrole, télécoms et santé.

La « banque de la CIA »

Cela tient sans doute au profil des associés, des banquiers ou avocats du secteur privé passés au service public avant de se reconvertir dans la haute finance, aussi à l’aise dans les entreprises que dans les ministères. À l’instar de son président, Frank Carlucci, ancien secrétaire à la défense, de James Baker, ancien secrétaire d’État au Trésor, ou de Richard Darman, ex-directeur du budget.

Pour ses détracteurs, ce rôle de premier plan dans un milieu militaro-industriel washingtonien, où tout le monde se connaît et où la complicité est ancienne, a valu à Carlyle le surnom de « banque de la CIA ».

Si l’établissement de Pennsylvania Avenue, au cœur de la capitale fédérale, se veut politiquement neutre, son profil est plutôt conservateur, à voir les liens avec la dynastie financière Mellon et les membres de la famille royale saoudienne. Les personnalités de droite modérée dominent son conseil international, à l’exemple de l’ancien président Bush, de l’ex-premier ministre britannique John Major ou du vicomte Étienne Davignon, patron de la Société générale de Belgique. « Aux Etats-Unis, Carlyle s’est montré aventureux en s’intéressant aux compagnies de haute technologie au potentiel intéressant. Mais en Europe, il n’est pas question de prendre des risques. La banque a assuré aux investisseurs dans son fonds européen qu’elle se cantonnera à des participations dans les entreprises réputées », assure un expert londonien très au fait de la stratégie du Carlyle European Partners, le fonds européen lancé il y a un an et doté de 1 milliard d’euros de fonds propres.




Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

[Source : Le Saker Francophone]

De Russell et Hilbert à Wiener et Harari : les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

Par Matthew Ehret – Le 31 mai 2021 − Source Strategic Culture

Comme je l’ai souligné dans mon précédent article sur le choc de deux systèmes, la fin du 19e siècle a vu un affrontement majeur entre deux paradigmes opposés de l’économie politique, affrontement qui a été largement gommé des livres d’histoire.

Tout comme aujourd’hui, deux systèmes opposés se caractérisaient, d’une part, par une demande de contrôle centralisé du monde par une élite unipolaire désireuse de s’élever au-dessus de l’influence des États-nations souverains, tels des dieux modernes de l’Olympe, tandis que l’autre était fondé sur une conception « multipolaire » d’une communauté d’États-nations souverains travaillant ensemble sur des infrastructures et des progrès technologiques à grande échelle. L’un était fondé sur des normes économiques malthusiennes de système fermé, s’adaptant à des rendements décroissants, tandis que l’autre était fondé sur des normes de progrès scientifique continu générant des sauts créatifs hors des contraintes de ressources limitées.

Dans cette troisième partie, je continuerai à suivre les racines des idées toxiques qui caractérisent le paradigme unipolaire d’aujourd’hui, celui qui se cache derrière le « Grand reset » de la civilisation mondiale écrite par des milliardaires. Dans ce Reset, des gens comme Klaus Schwab nous disent qu’une « quatrième révolution industrielle » entraînera non seulement une vaste automatisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle à tous les niveaux de la société, mais aussi une fusion de l’humanité avec les machines. Des personnalités comme Elon Musk et Ray Kurzweil de Google, affirment que cette fusion est nécessaire pour « rester pertinent » dans la prochaine phase de notre évolution. L’homme de Davos, Yuval Harari, s’est fait l’écho du fait que les leviers de l’évolution seront désormais déplacés du caractère aléatoire de la nature vers les nouveaux dieux qui dirigent Google, Facebook et le World Economic Forum.

Cette foi déterministe de type Borg dans la synthèse homme-machine qui imprègne la pensée de tous les transhumanistes modernes est à la fois cultuelle, effrayante et tout simplement erronée. Cependant, sans une évaluation correcte des racines historiques de ces idées qui menacent de faire dérailler la civilisation mondiale en un effondrement dystopique, il est impossible de comprendre quoi que ce soit de fondamental sur les 120 dernières années d’expérience humaine, et encore moins de voir où se trouvent les failles fatales du système d’exploitation du Great Reset / Transhumanisme.

Dans la première partie de notre série, nous avons exploré en détail les racines eugéniques du transhumanisme en nous concentrant sur la création de l’UNESCO par Julian Huxley, où le mandat de « rendre l’impensable pensable » a guidé la restauration d’un nouvel eugénisme pendant la guerre froide.

Dans la deuxième partie, nous avons exploré la montée en puissance des groupes de réflexion britanniques du 19e siècle, conçus pour perturber l’évolution naturelle d’un nouveau système de coopération gagnant-gagnant mis en place à la fin du 19e siècle. Ce nouveau grand dessein a été innové par le X Club de Thomas Huxley afin de rétablir l’Empire britannique comme seule puissance unipolaire sur la planète. La conception de Huxley a tenté non seulement d’unifier toutes les branches des sciences sous un modèle descriptif dépourvu de toute découverte créative réelle, mais aussi d’utiliser une nouvelle définition de la « loi naturelle scientifique » pour imposer agressivement l’économie politique impériale sur le monde.

La danse des mathématiques et de la physique : Qui mène et qui suit ?

Au cours des premiers mois du nouveau siècle, un événement majeur a eu lieu qui a largement contribué à la mission de Huxley. La Conférence sur l’avenir des mathématiques, qui s’est tenue en août 1900, fut un événement mondial attirant plus de 160 des plus grands mathématiciens qui souhaitaient s’attaquer aux problèmes de pointe de la science et traiter de la relation entre la physique et les mathématiques. De toute évidence, ces deux domaines dansaient ensemble, mais la question demeurait : lequel mènerait et lequel suivrait ?

Compte tenu qu’à cette époque la population mondiale était encore bien inférieure à deux milliards d’habitants, la densité des découvertes scientifiques dans tous les domaines se produisait à un rythme jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Qu’il s’agisse de nouvelles découvertes en biologie, en embryologie, en physique atomique, en électromagnétisme, en aérodynamique ou en chimie, la réponse à la question « maths contre physique » devenait de plus en plus évidente. Le fait est que la croissance des connaissances humaines dépassait rapidement les limites du langage mathématique utilisé par les scientifiques. Avec le temps, de nouveaux systèmes mathématiques seraient développés pour décrire les nouvelles découvertes, mais personne ne pouvait nier que la pensée créative menait la danse. Ce qui était également indéniable, c’était l’avantage que ces nouvelles idées avaient apporté en améliorant les conditions de vie d’innombrables personnes, grâce aux bonds en avant scientifiques et technologiques.

Hilbert et Russell façonnent un nouveau paradigme

Deux figures particulièrement importantes, Lord Bertrand Russell et le mathématicien de Gottingen, David Hilbert, ont joué un rôle de premier plan dans le sabotage de la science lors de la conférence de Paris de 1900 et dont les idées sont inextricablement liées à l’évolution ultérieure de l’eugénisme, de la cybernétique et du transhumanisme sont l’apôtre de Cambridge.

Le duo ne visait rien de moins que la réduction de l’univers entier à une série de propositions et d’axiomes mathématiques finis et cohérents.

Au cours de cette conférence, Hilbert a annoncé ses 23 problèmes pour les mathématiques qui devraient être résolus par les mathématiciens du 20e siècle. Si beaucoup de ces problèmes étaient réellement importants, les plus destructeurs, pour l’objet de cet article, tournaient autour de la nécessité de « prouver que tous les axiomes de l’arithmétique sont cohérents » [problème 2] et d’« axiomatiser les sciences physiques dans lesquelles les mathématiques jouent un rôle important » [problème 6].

Il a fallu 13 ans à Russell pour atteindre cet objectif sous la forme de ses Principia Mathematica (coécrites avec son ancien instructeur et apôtre de Cambridge, Alfred North Whitehead).

Le nom « Principia Mathematica » a été choisi explicitement comme un hommage aux « Principia Mathematica » de Newton, publiées 200 ans plus tôt. Au moment du lancement du projet Russell-Hilbert, en 1900, les interprétations plates de l’espace-temps physique d’Euclide et de Newton s’effondraient rapidement avec l’arrivée des nouvelles découvertes de Riemann, Curie, Weber, Planck et Einstein qui démontraient toutes que la forme de l’espace-temps physique avait un caractère vivant et créatif. Avec chaque découverte créative, une interconnexion réciproque entre l’espace intérieur « subjectif » de la cognition humaine et l’espace extérieur « objectif » de l’univers découvrable était de plus en plus fermement établie.

Exemplaire de cette belle perspicacité et de cette passion pour la recherche de l’inconnu qui était commune aux grands scientifiques durant cette période révolutionnaire fertile, Einstein déclarait : « Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde. Je ne suis pas intéressé par tel ou tel phénomène, par le spectre de tel ou tel élément. Je veux connaître Ses pensées ; le reste n’est que détails ».

Reflétant à sa manière ce même point de vue, Max Planck déclarait : « La science rehausse la valeur morale de la vie, parce qu’elle favorise l’amour de la vérité et la révérence – l’amour de la vérité se manifestant dans l’effort constant pour parvenir à une connaissance plus exacte du monde de l’esprit et de la matière qui nous entoure, et la révérence, parce que chaque progrès de la connaissance nous met face au mystère de notre propre être ».

L’entropie en système fermé doit définir l’univers !

Les mathématiques entropiques en système fermé de Russell étaient le reflet direct de sa vision misanthropique d’une humanité vouée à l’entropie, ce que l’on peut voir explicitement dans sa déclaration de 1903 :

Que l’homme est le produit de causes qui n’avaient aucune prévision de la fin qu’elles atteignaient ; que son origine, sa croissance, ses espoirs et ses craintes, ses amours et ses croyances, ne sont que le résultat de collocations accidentelles d’atomes ; qu’aucun feu, aucun héroïsme, aucune intensité de pensée et de sentiment, ne peut préserver la vie individuelle au-delà de la tombe ; que tous les travaux des âges, toute la dévotion, toute l’inspiration, tout l’éclat de midi du génie humain, sont destinés à s’éteindre dans la vaste mort du système solaire, et que tout le temple de l’accomplissement de l’homme doit inévitablement être enterré sous les débris d’un univers en ruines – toutes ces choses, si elles ne sont pas tout à fait incontestables, sont cependant si presque certaines qu’aucune philosophie qui les rejette ne peut espérer tenir… Ce n’est qu’à l’intérieur de l’échafaudage de ces vérités, que sur les fondations solides d’un désespoir inflexible, que la demeure de l’âme peut désormais être construite en toute sécurité.

Lorsque l’on se demande quel ensemble de vues métaphysiques a la plus grande prétention à la vérité, il convient de se poser la question suivante : Qui a réellement fait des découvertes démontrables sur la création et qui s’est contenté de formuler des modèles genre tour d’ivoire dépourvus de tout élément réel de découverte ?

Dans l’esprit de Russell, la formule du succès reposait en partie sur son obsession de l’équilibre mathématique en toutes choses. Appliqué à la société, il n’est pas étonnant que Russell ait été un fervent malthusien et un promoteur à vie de l’eugénisme et du contrôle de la population. L’une des nombreuses démonstrations de ce point de vue dégoûtant a été faite en 1923 dans son ouvrage « Prospects of Industrial Civilization », où l’ingénieur social déclare :

Le socialisme, en particulier le socialisme international, n’est possible en tant que système stable que si la population est stationnaire ou presque. On peut faire face à une augmentation lente en améliorant les méthodes agricoles, mais une augmentation rapide doit à la fin réduire toute la population à la pénurie… la population blanche du monde cessera bientôt d’augmenter. Les races asiatiques mettront plus longtemps, et les nègres encore plus longtemps, avant que leur taux de natalité ne diminue suffisamment pour rendre leur nombre stable sans l’aide de la guerre et de la peste… Jusqu’à ce que cela arrive, les avantages visés par le socialisme ne peuvent être que partiellement réalisés et les races moins prolifiques devront se défendre contre les plus prolifiques par des méthodes qui sont dégoûtantes même si elles sont nécessaires.

Les écrits ultérieurs de Russell dans « The Scientific Outlook » (1930) étendent sa vision d’une société mondiale stationnaire à la réforme de l’éducation, où il définit la nécessité d’avoir non pas un, mais deux modes d’éducation distincts : un pour la classe des maîtres qui deviendront les dirigeants et un pour la classe inférieure des esclaves. Russell décrit les deux castes dans les termes suivants, pleins de sang-froid :

Les dirigeants scientifiques fourniront un type d’éducation pour les hommes et les femmes ordinaires, et un autre pour ceux qui doivent devenir les détenteurs du pouvoir scientifique. On attendra des hommes et des femmes ordinaires qu’ils soient dociles, industrieux, ponctuels, insouciants et satisfaits. Parmi ces qualités, le contentement sera probablement considéré comme la plus importante. Pour le produire, tous les chercheurs de la psychanalyse, de l’étude du comportement et de la biochimie seront réunis sur le site ….. Tous les garçons et les filles apprendront dès leur plus jeune âge à être ce que l’on appelle « coopératifs », c’est-à-dire à faire exactement ce que tout le monde fait. L’initiative sera découragée chez ces enfants, et l’insubordination, sans être punie, sera scientifiquement éduquée chez eux.

Pour la classe dirigeante : 

« Sauf pour la seule question de la loyauté envers l’État mondial et envers leur propre ordre, explique Russell, les membres de la classe dirigeante seront encouragés à être aventureux et pleins d’initiative. Il sera reconnu que c’est leur affaire d’améliorer la technique scientifique et de maintenir les travailleurs manuels satisfaits au moyen de nouveaux amusements continus. »

Tous les écrits ultérieurs de Russell prônant des bombardements nucléaires préventifs de la Russie, un gouvernement mondial dirigé par une dictature scientifique et l’enseignement aux enfants de la croyance que « la neige est noire » doivent être lus en gardant à l’esprit sa vision philosophique raciste du monde.

Norbert Wiener et l’essor de la cybernétique

En 1913, alors que le troisième et dernier volume des Principia Mathematica de Russell était en cours d’impression, un jeune mathématicien arrive à Cambridge, en provenance des États-Unis, avec une bourse d’études. Cet adolescent s’appelait Norbert Wiener et il s’est rapidement retrouvé dans un petit groupe de garçons encadrés de près par Bertrand Russell et David Hilbert. Sous la direction de Russell, Wiener apprend la logique et la philosophie, tandis que Hilbert lui enseigne les équations différentielles. En parlant de Russell, Wiener a dit : « Lorsque je suis venu étudier auprès de Bertrand Russell en Angleterre, j’ai appris que j’avais raté presque toutes les questions d’une véritable importance philosophique ». Il a qualifié Hilbert de « seul génie vraiment universel des mathématiques ».

Tout au long de sa vie, Wiener a été possédé par l’obsession d’exprimer le système logique fermé de Russell de manière pratique.

Malgré le fait qu’un jeune génie leibnizien du nom de Kurt Gödel ait mis un frein majeur au programme des Principia de Russell en démontrant brillamment, en 1931, qu’aucun système logique ne pourrait jamais être vraiment cohérent avec lui-même en raison de la nature autoréflexive de tous les systèmes existants, Russell a poussé son projet à fond et Wiener en a été le principal apôtre.

Parmi les autres « Russellites » sur les théories sur l’apprentissage automatique, on comptait Alan Turing, Oskar Morgenstern, Claude Shannon et John von Neumann. Si chaque mathématicien avait sa propre innovation à offrir, ils étaient tous unis par la foi inébranlable que l’esprit humain était un mélange d’impulsions bestiales guidées par une logique de machine en système fermé, et rien de plus. Dans un ordinateur, le tout n’est que la somme des parties, et il doit en être de même dans tous les systèmes d’information, y compris les cerveaux humains, les écosystèmes et l’univers dans son ensemble. Les principes « métaphysiques » tels que l’âme, le but, Dieu, la justice et le libre arbitre n’avaient pas leur place dans l’esprit de ces froids calculateurs humains.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les travaux de Wiener sur les boucles de rétroaction dans l’aéronautique et les radars ont conduit le mathématicien à concevoir un nouveau langage pour la gestion des systèmes humains complexes, dont il a rapidement découvert qu’il avait des applications dans le commerce et les affaires militaires de nations entières. Le terme qu’il a donné à ce nouvel outil de contrôle est « cybernétique ». En décrivant son invention, Weiner a déclaré :

Cybernétique, que j’ai dérivé du mot grec Kubernetes, ou steersman, le même mot grec qui nous a donné le mot de gouverneur.

En s’appuyant sur des machines informatiques binaires à système fermé comme modèle pour les esprits humains, Weiner a exigé que les concepts métaphysiques soient supposés n’avoir aucune existence au-delà des caractéristiques purement physiques des propriétés électrochimiques mesurables du cerveau. En décrivant cet analogie ordinateur-esprit, Weiner déclarait : « Il nous est apparu clairement que la machine à calculer ultra rapide, dépendant comme elle le fait de dispositifs de commutation consécutifs, doit représenter un modèle presque idéal des problèmes qui se posent dans le système nerveux » et que « le problème de l’interprétation de la nature et des variétés de la mémoire chez l’animal a son parallèle dans le problème de la construction de mémoires artificielles pour la machine ».

La cybernétique au service de la gouvernance mondiale

Prévoyant l’inévitabilité de systèmes de contrôle global de l’information (et donc de contrôle politique total par une classe dirigeante semblable à un dieu) ainsi que de l’intelligence artificielle, Weiner a écrit : « Là où va la parole d’un homme et là où va son pouvoir de perception, à ce point son contrôle, et en un sens son existence physique, sont étendus. Voir et donner des ordres au monde entier revient presque à être partout. »

La clé pour comprendre l’attrait de la cybernétique pour une dictature scientifique désireuse d’une omniscience et d’une omnipotence totales est la suivante : Dans le contexte d’un grand bateau, seul le timonier doit avoir une idée de l’ensemble. Tous les autres ne doivent comprendre que leur rôle local compartimenté.

Avec l’application de la cybernétique à l’organisation des systèmes économiques (telle qu’elle a été réalisée par Sir Alexander King de l’Organisation de coopération et de développement économiques et appliquée dans les gouvernements transatlantiques au cours des années 1960 et 1970), de vastes bureaucraties complexes ont émergé avec seulement de petits nœuds de « timoniers » intégrés dans le nouveau complexe de l’État profond qui avaient accès à une vision d’ensemble. C’était le système d’exploitation parfait pour une technocratie supranationale à utiliser pour contrôler les leviers du Nouvel Ordre Mondial.

L’un des praticiens les plus enthousiastes de ce nouveau système au cours de cette période de transformation a été Pierre Elliot Trudeau (le premier ministre du Canada nouvellement imposé) qui a façonné une vaste révolution cybernétique du gouvernement canadien entre 1968 et 1972 sous le contrôle du Bureau du Conseil privé. Au cours d’une conférence sur la cybernétique dans le gouvernement, en novembre 1969, Trudeau déclarait : 

« Nous sommes conscients que les nombreuses techniques de la cybernétique, en transformant la fonction de contrôle et la manipulation de l’information, vont transformer toute notre société. Avec cette connaissance, nous sommes bien éveillés, alertes, capables d’agir ; nous ne sommes plus des aveugles, des puissances inertes du destin. »

Trudeau a travaillé en étroite collaboration avec Sir Alexander King à la formation d’une nouvelle organisation, le Club de Rome, qui a eu un impact profond sur la gouvernance mondiale, de 1968 à aujourd’hui. Trudeau était un fervent partisan de cette nouvelle organisation qui est devenue un centre de revivification néo-malthusien au début des années 1970. Trudeau a même présidé le Club de Rome canadien et a alloué des fonds pour financer l’étude du Club de Rome au MIT, intitulée « Limits to Growth », qui est devenue la bible de l’organisation environnementale moderne.

Alexander King, et le modèle informatique rendu célèbre par Limits to Growth, a imposé un nouveau schisme entre le désir de l’humanité de se développer et le désir supposé de la nature de se conserver par équilibre mathématique.

Contrairement à Russell qui niait tous les cas d’anti-entropie, Weiner admettait l’existence d’îlots isolés d’anti-entropie limitée, dans le cas de la biologie et des systèmes humains qui avaient tendance à fonctionner de manière à voir l’entropie (alias : la tendance des systèmes à s’effondrer en équilibre) diminuer. Cependant, tout comme Russell, Wiener pensait que la cybernétique et la théorie de l’information étaient entièrement façonnées par l’entropie, affirmant :

La notion de quantité d’information s’attache très naturellement à une notion classique de la mécanique statistique : celle d’entropie. [alias : la deuxième loi de la thermodynamique].

Dans l’esprit de Wiener, la loi dominante de l’univers comme un lieu fini en décomposition façonné par la mort qui détruirait inévitablement les états limités de vie anti-entropique qui se produisait purement par hasard dans des parties aléatoires de « l’espace » et dans « le temps » lui faisait dire, en 1954 :

Il est très probable que tout l’univers qui nous entoure mourra de mort thermique, et que le monde sera réduit à un vaste équilibre de température dans lequel rien de vraiment nouveau ne se produira jamais. Il ne restera rien d’autre qu’une morne uniformité.

L’entropie d’un système fermé ne peut que croître

Les conférences Macy sur la cybernétique

De 1943 à 1953, la cybernétique de Wiener et son corollaire, la théorie de l’information, sont devenus le point de ralliement d’un nouveau sacerdoce scientifique qui rassemblerait les principaux penseurs de toutes les branches de la connaissance, dans le même effort que celui déployé précédemment par le timonier du XIXe siècle Thomas Huxley et son Royal Society X Club.

Ces conférences étaient financées par la Fondation Josiah Macy, créée par le général Marlborough Churchill (un cousin de Winston Churchill) en 1930, dans le but premier de canaliser des fonds vers la recherche eugénique aux États-Unis et en Allemagne, parallèlement à son organisation sœur, la Fondation Rockefeller. Cette dernière financera l’eugéniste nazi, Ernst Rudin, de 1928 à 1930, tout en parrainant les recherches menées par les sociétés eugénistes britannique et américaine.

Comme le souligne Anton Chaitkin dans son ouvrage « British Psychiatry from Eugenics to Assassination », le fondateur et contrôleur de la Fondation Macy, le général Marlborough, avait auparavant dirigé la Chambre noire des services secrets militaires de 1919 jusqu’à sa dissolution en 1929. La Chambre noire était en étroite relation avec les services de renseignement britanniques et a servi de prédécesseur à ce qui deviendrait plus tard la National Security Agency (NSA).

Débutant en 1945 et ayant désespérément besoin d’empêcher la propagation du système américain d’économie politique et d’un New Deal international mis en place par le président anti-impérialiste Franklin D. Roosevelt, les conférences de Macy sur la cybernétique ont commencé à se réunir tous les six mois, rassemblant des psychiatres, des biologistes, des neurologues, des ingénieurs informatiques, des sociologues, des économistes, des mathématiciens et même des théologiens, tous liés à l’institut Tavistock. Wiener a décrit ces conférences qui ont façonné le cours des 75 années suivantes en disant : « pour l’organisation humaine, nous avons demandé l’aide des anthropologues Docteurs [Gregory] Bateson et Margaret Mead, tandis que le Dr [Oskar] Morgenstern de l’Institute of Advanced Study était notre conseiller dans le domaine important de l’organisation sociale appartenant à la théorie économique… Le Dr [Kurt] Lewin représentait les travaux les plus récents sur l’opinion de l’échantillonnage de l’opinion et la pratique de la prise d’opinion ».

L’ingénierie sociale au service de l’après-guerre

Pour ceux qui l’ignorent, le Dr Bateson était l’un des principaux contrôleurs du programme MK Ultra de la CIA, qui s’est déroulé de 1952 à 1973 sous la forme d’une opération secrète de plusieurs milliards de dollars destinée à étudier les effets de la « dépatternisation » [briser les schémas mentaux qui structure le psychisme, NdT] des individus et des groupes à l’aide d’un mélange d’électrochocs, de torture et de drogues. Oskar Morgenstern est l’innovateur de la « théorie des jeux », qui a joué un rôle dominant dans la planification militaire de la guerre du Viêt Nam et dans les systèmes économiques pendant les 70 années suivantes. Le Dr Kurt Lewin, un éminent psychiatre de la clinique Tavistock de Londres et membre de l’école de Francfort, a organisé un programme concerté visant à éliminer la maladie qu’est le patriotisme national, la croyance en la vérité et l’amour de la famille, pendant toute la période de la guerre froide.

Un membre éminent de la conférence et planificateur de cette opération s’appelait Sir Julian Huxley – un eugéniste de premier plan et un grand stratège impérial qui travaillait en étroite collaboration avec son collègue Bertrand Russell, un dirigeant de la Fabian Society. Huxley partageait la croyance dévote de Russell et Wiener en l’entropie universelle, déclarant en 1953 :

On ne trouve nulle part, dans toute cette vaste étendue, la moindre trace d’un but, ou même d’une signification prospective. Tout est mené par des forces physiques aveugles, une gigantesque danse de jazz de particules et de radiations dans laquelle la seule tendance générale que nous ayons pu détecter jusqu’à présent est celle résumée dans la deuxième loi de la thermodynamique – la tendance à l’épuisement.

Alors qu’il commençait à formuler son concept de « transhumanisme » et qu’il organisait les conférences cybernétiques de Macy, Julian a trouvé le temps de créer l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) en 1946 en rédigeant son manifeste fondateur. Sa vision entropique de la biologie et de la physique s’exprime clairement dans ses opinions politiques, qui font froid dans le dos :

La morale de l’UNESCO est claire. La tâche qui lui a été confiée de promouvoir la paix et la sécurité ne pourra jamais être entièrement réalisée par les moyens qui lui ont été assignés – éducation, science et culture. Elle doit envisager une certaine forme d’unité politique mondiale, que ce soit par le biais d’un gouvernement mondial unique ou autrement, comme le seul moyen certain d’éviter la guerre… dans son programme éducatif, elle peut souligner la nécessité ultime d’une unité politique mondiale et familiariser tous les peuples avec les implications du transfert de la pleine souveraineté de nations séparées à une organisation mondiale.

Travaillant en tandem avec l’Organisation Mondiale de la Santé, elle-même créée par un psychiatre de Tavistock nommé G. Brock Chrisholm, et entièrement financée par la Fondation Macy, Huxley organisa la création de la Fédération Mondiale de la Santé Mentale (WFMH) supervisée par Montagu Norman de la Banque d’Angleterre et dirigée par le chef de la Clinique Tavistock de Londres, le Major Général John Rawlings Rees, que Montagu nomma directement.

Chaitkin souligne que parmi les premiers projets organisés conjointement par la WFMH et la Fondation Macy figurent les « Conférences sur les problèmes de santé et de relations humaines en Allemagne » en 1949-1950, qui ont permis d’ancrer la thèse de la personnalité autoritaire, venant de l’école de Francfort, dans l’esprit de tous les enfants allemands. Le but était de persuader le peuple allemand que la faute de l’ascension d’Hitler au pouvoir n’était pas à chercher dans les conspirations internationales ou les manipulations de la City de Londres/Wall Street… mais plutôt dans la disposition « psychologique-génétique autoritaire » du peuple allemand lui-même. Ce programme était supervisé par le directeur de Tavistock, Kurt Lewin, qui était devenu à cette époque une figure de proue de l’École de Francfort et l’innovateur d’une nouvelle technique de lavage de cerveau appelée « formation à la sensibilité », qui reposait largement sur l’utilisation de complexes de culpabilité et de pression de groupe pour briser la volonté d’un groupe cible, soit dans une salle de classe, soit sur le lieu de travail, et forcer tout penseur original à absorber la pensée de groupe. Le travail de Lewin avec le WFMH et Tavistock est également devenu le fondement des doctrines de la théorie critique d’aujourd’hui qui menacent de saper toute la portée de la civilisation occidentale.

Dans la mesure où les individus pensent par eux-mêmes et sont dirigés intérieurement par les facteurs 1) de la raison créatrice et 2) de la conscience, les systèmes de pensée collective ne se comportent plus selon le type de règles d’entropie et d’équilibre statistiquement prévisibles que les oligarques et les technocrates avides de contrôle exigent. En effaçant ce facteur d’« imprévisibilité » par l’argument selon lequel tous les dirigeants qui professent la vérité sont simplement des « personnalités autoritaires » et de « nouveaux Hitler », la vertu des foules a été élevée au-dessus de la vertu du génie et de l’initiative individuels, ce qui continue de plomber le monde à ce jour.

Les conférences sur la cybernétique ont évolué tout au long des années 1960-1970, se retrouvant de plus en plus intégrées à des organisations internationales comme les Nations Unies, l’Organisation mondiale de la santé, l’OTAN et l’OCDE. Au fur et à mesure de cette intégration, les nouveaux technocrates sont devenus de plus en plus influents dans la définition des normes du nouveau système d’exploitation mondial. Pendant ce temps, les gouvernements nationaux ont été de plus en plus débarrassés des leaders moraux nationalistes comme John F. Kennedy, Charles De Gaulle, Enrico Mattei et John Diefenbaker, ce qui a entraîné l’intégration de l’analyse des systèmes et de la cybernétique dans le cadre de gouvernance du nouvel État profond international.

Alors que Julian Huxley a inventé le terme « transhumanisme » en 1957, le culte de l’intelligence artificielle guidé par la croyance en la fusion inévitable de l’homme et de la machine s’est développé de plus en plus avec des événements majeurs tels que la thèse de la symbiose homme-ordinateur de J.C.R Licklider de 1960 et l’application de ces systèmes dans des programmes du ministère de la défense comme les systèmes de commandement des wargames, le SAGE (Semi Automatic Ground Environment) et les réseaux d’avions à réaction sans pilote. Les dyades ordinateur-soldat à cognition augmentée de la DARPA sont une autre expression de cette idée perverse, avec des centaines de millions de dollars dépensés pour la création de soldats cyborgs améliorés.

Au fil des ans, les adeptes de ce nouveau culte se sont rapidement retrouvés à la barre du nouveau navire mondial qu’est la Terre, donnant naissance à une nouvelle classe élitiste mondiale de technocrates et d’oligarques uniquement fidèles à leur caste et à leur idéologie, s’efforçant de façonner leur esprit toujours plus étroitement au modèle de machines informatiques, capables de logique mais pas d’amour ni de créativité. Plus ces technocrates cultes comme Yuval Harari, Ray Kurzweil, Bill Gates ou Klaus Schwab pensent comme des ordinateurs froids, tout en amenant les masses de la terre à faire de même, plus la thèse selon laquelle « les ordinateurs doivent évidemment remplacer la pensée humaine » peut être maintenue.

Matthew Ehret

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone


[Voir aussi :
Vie et mort des systèmes
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Note sur la respiration de l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Tous surhumains demain?
Le cerveau électronique]




Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir

TRIBUNE – Après la crise financière internationale de 2008 qui a laissé les présumés coupables continuer leurs activités en toute impunité, voici le covid-19 qui précède le « Great Reset » en instrumentalisant la peur et l’appauvrissement, le tout combiné à une administration de thérapies géniques expérimentales à la population mondiale.

La crise financière internationale de 2008 et les non-dits

Une analyse est apparue en France en mars 2008 à l’occasion de différents travaux qui présageaient la crise qui allait s’abattre à l’automne de cette même année. La France a été un mini creuset de ce qui se préparait à l’échelle mondiale, ce qui a facilité les investigations. En juillet 2008, une déclaration a été adressée à Tracfin pointant trois pistes d’enquêtes à poursuivre, menant toutes aux États-Unis. Cette déclaration n’a jamais été enregistrée ni suivie d’effet. Des conflits d’intérêt et menaces indirectes sont apparus au plus haut niveau et ces pistes n’ont pas fini d’être explorées. À ce stade, il a été prouvé que les présumés coupables avaient une immunité judiciaire planétaire et pouvaient poursuivre leurs funestes projets : la théorie du « ruissellement » (les classes dirigeantes faisant ruisseler une partie des profits vers les salariés, opération bénéficiant à tout le monde) serait remplacée par la théorie de la « captation » (toutes les richesses appartenant à une minorité, le retour à une sorte d’esclavagisme de masse). Il est à noter qu’à la suite de cette crise financière internationale de 2008, les banques ont été sauvées par l’argent des contribuables sans aucune résistance ni investigation poussée de leur part, ce signal a été décisif. Les serviteurs des États ne réagissaient pas, baignés dans leurs avantages confortables, et ces États pouvaient apparaître comme « privatisables » et les peuples apparaissaient être asservis.

Le Covid-19 et le « Great Reset »/Grande Réinitialisation

La crise du covid-19 intervient à la fin d’un cycle issu de la crise de 2008. Le « quantitative easing », adopté au lendemain de cette crise de 2008 par les banques centrales, consistant à acheter des titres plus ou moins douteux des banques pour les inciter à prêter davantage sans création de valeur en face, combiné avec un déficit public abyssal, arrivait à un point que ces bulles d’endettement allaient exploser au niveau mondial. Coïncidence ou pas, on laissera le lecteur se faire sa propre opinion.

La théorie développée au forum de Davos vient compléter cette analyse, le « Great Reset », avec sa volonté de dominer, contrôler et manipuler les populations. Cette théorie, combinée avec d’autres puissantes forces mondiales, a instrumentalisé le covid en développant la peur, en propageant des thérapies géniques expérimentales, en généralisant l’appauvrissement mondialement.

Des données fausses et anxiogènes

L’OMS a confirmé que le test covid-19 est invalide et que les estimations des « cas positifs » sont sans fondement, menant à ce que le confinement n’ait aucune base scientifique (janvier 2021). En effet, les tests RT-PCR sont trop sensibles. Le nombre de cycles d’amplification devrait être inférieur à 35, de préférence 25-30 cycles. Si les cycles sont supérieurs à 35, la probabilité que le résultat soit un faux positif est de 97% (selon l’avis scientifique de Pieter Borger). Dans un article publié par le New York Times du 29 août 2020, des experts américains de l’université d’Harvard s’étonnaient déjà que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2.

On peut également se demander pourquoi les gouvernements de l’Union européenne souhaitent mettre en place un passeport vaccinal qui s’oppose aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS, déclaration du 19 avril 2021). L’OMS rappelle que « les preuves sont limitées concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission » et que « la preuve de vaccination peut favoriser une liberté de circuler différenciée ».

Des thérapies géniques expérimentales

On note une censure, sur les réseaux sociaux, de plusieurs lanceurs d’alerte qui sont ou relaient les propos de grands scientifiques indépendants tels que le Pr Montagnier (prix Nobel), Alexandra Henrion-Caude (généticienne) et Jean-Bernard Fourtillan qui ont démontré la dangerosité de ces thérapies géniques expérimentales (notamment de la protéine Spike contenue dans ces « vaccins »). On peut également rappeler quelques difficultés rencontrées suivantes :

  1. Le Moderna contient l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102, qui est un produit qui n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire selon la page de description du produit ou l’on trouve cet avertissement.
  2. L’AstraZeneca et le Johnson & Johnson ont généré une multiplication de cas de thromboses ce qui a poussé certains pays européens à les exclure
  3. Le Pfizer ne serait pas non plus anodin avec des mises en garde sur la nécessité de prise simultanée de contraceptifs ou de relations protégées 

Prisonniers de dettes irremboursables — paupérisation

Suite à la pandémie de Covid-19 et aux mesures liberticides prises par les différents États, les leviers de la dette publique et privée ont été actionnés. Selon les données du FMI, l’endettement public mondial devrait atteindre 100 % du PIB mondial fin 2021. En France, le montant de la dette publique atteindra 2 675 milliards d’euros à la fin de cette année, plus que la richesse nationale. Olivier Dussopt, le ministre délégué en charge des Comptes publics a annoncé une dégradation massive du déficit budgétaire de l’État français cette année à 220 milliards d’euros, soit 47 milliards de plus que prévu. Il s’agirait d’un nouveau record depuis 1945. La hausse de la facture du « quoi qu’il en coûte » est en cause. Ces endettements publics ont, entre autres, aidé à financer également un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars qui a été adopté fin mars 2021 par le Congrès US et le Next Generation EU, de 750 milliards d’euros, convenu à l’été 2020 pour faire face aux conséquences des restrictions liées au Covid-19. Cette frénésie de dette publique ne semble pas s’arrêter avec un budget de 6 000 milliards de dollars pour l’année fiscale 2022 proposé par Joe Biden au Congrès, soit un déficit budgétaire de 1 800 milliards de dollars en 2022.

Quant à la dette privée, la BCE, dans son dernier rapport semestriel sur la stabilité financière publié en mai 2021, met en garde les États et les banques face au risque d’insolvabilité des entreprises. Selon une récente étude d’Allianz, le nombre de défaillances d’entreprises pourrait augmenter de 32 % cette année en Europe. En effet, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, les gouvernements ont favorisé l’endettement des entreprises en ne distinguant pas les entreprises « zombies », qui n’auraient jamais dû être sauvées, de celles viables qu’il aurait fallu certainement mieux accompagner. Or, pour la France, les Prêts Garantis par État (PGE) sont couverts à 90 % pour les entreprises qui ont un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros et entre 70 à 80% pour les autres. Or, s’il y a défaut de paiement sur ces prêts, c’est le contribuable qui paie. La BCE s’inquiète également de la « remarquable exubérance » des marchés financiers liée aux politiques ultra-accommandantes et de la trajectoire du bitcoin (actif intrinsèquement sans valeur), objets de spéculation qui pourraient mener à la ruine des petits épargnants non avertis. Cette tendance est également observée outre-Atlantique avec une déconnexion entre Wall Street et l’économie réelle. Cet appauvrissement des peuples vise leur soumission.

Conclusion : depuis 2008, le monde est en danger face à des grands donneurs d’ordre qui sont hors de contrôle des gouvernements et qui représentent un énorme risque pour la démocratie et la liberté. En réponse, que font les « politiques » et à quand un grand réveil « citoyen » ?

Sources :

Les Echos / Essai de Jean-Marc Daniel,
Mondialisation.ca / Dr Michel Bugnon-Mordant,
Les Echos / Nouriel Roubini,
Mondialisation.ca / Philippe Huysmans,
Sputniknews / Dmitri Bassenko /
Mondialisation.ca / Michel Chossudovsky / Dr Pascal Sacré,
Les Echos / Renaud Honoré,
Les Echos / Daniel Fortin, Jean-Marc Daniel,
Les Echos / Marion Heilmann, Thibaut Madelin,
Le Figaro / AFP,
BusinessBourse, OFCE /Jérôme Creel, Christophe Blot, Xavier Ragot,
Les Echos / Guillaume de Calignon, Fabien Buzzanca,
Les Echos/ Richard Hiault 

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir




La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




STOP TESTS INUTILES ET RUINEUX : COÛT DIRECT ESTIME À 6,4 MILLIARDS D’EUROS (le point au 14 juin 2021)

Par Gérard Delépine

Qui dit mieux ?

En tenant compte des arrêts de travail liés aux quarantaines inutiles de deux millions d’asymptomatiques,(([1] https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409)) de leur indemnisation par la sécurité sociale et de la désorganisation des entreprises liée à ces absences imprévues, le coût réel global des tests inutiles atteint 20 à 30 milliards d’euros.

On aggrave actuellement la gabegie en poursuivant la propagande pour des tests inutiles chez les asymptomatiques, alors que les soignants, et internes en médecine manifestent de plus belle et que le cinéma du manque de lits de réanimation continue à animer les émissions de pseudo-informations pour servir de prétexte aux confinements catastrophiques qu’ils veulent nous imposer à la rentrée.

Jusqu’à quand ? Que le peuple se fâche en plus de bouder les urnes, tellement il lui semble que les décisions sont prises tout à fait indépendamment de la volonté populaire et de ce qui se passe dans le monde réel ?

Dépister les asymptomatiques ne sert à rien

Sinon à entretenir la panique dans la population en confondant cas et malades. Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est/ou sera malade, ni contagieuse.

La littérature internationale l’a démontré largement.(([2] Ou dans la quasi-totalité des états américains, les mesures sanitaires ont été abolies depuis plusieurs mois sans reprise de l’épidémie qui a commencé sa disparition progressive dès janvier 2021 alors que moins de 5 % de la population était vaccinée.))

L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([3] Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de DIV 2020/05 Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) et rappelé récemment.

Aucune étude médicale publiée n’a pu démontrer que le dépistage des asymptomatiques ait pu ralentir l’épidémie.

Isoler les asymptomatiques ne sert à rien

Une personne sans signe clinique dont le test PCR est positif n’est pas infectée et a extrêmement peu de risque d’être contaminante. L’isoler ne permet donc pas de diminuer les transmissions.

La cour d’appel de Lisbonne(([4] Le test PCR va au tribunal au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) l’a affirmé dans un arrêt exposant au grand jour les ratés et l’imposture du test PCR et de son utilisation à grande échelle sans examen clinique et a condamnant le ministère de la santé portugais à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Que valent les tests PCR ?

Depuis l’été 2020, les articles sérieux référencés(([5] A N. Cohen, B Kesse False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2))(([6] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491)) se sont multipliés dans la presse internationale et française, permettant à ceux qui voulaient savoir de s’informer.

Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique également expert en hypnose, dans un article « PCR ou comment enfumer toute l’humanité»(([7] Mondialisation.ca et COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré) — Éloge de la raison dure (aitia.fr)
https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143)) expose l’utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays :

« en se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de transe hypnotique induit par les mesures autoritaires liées à la crise “sanitaire”.(([8] Tests PCR l’arnaque des cas positifs avec le Dr Pascal Sacré (lapressedupeuple. quebec)
Source de la Vidéo Jérémie Mercier :
https://Youtube/i5taO2_QDQc
https://www.jeremie-mercier.com/))

Il faut stopper les tests pour les bien portants abusivement appelés asymptomatiques :

ils ruinent la sécurité sociale et entretiennent la peur, et c’est probablement la raison pour laquelle contre toute évidence médicale ou scientifique, le ministre de la Santé essaie par tous les moyens de pousser la population à accepter les tests et à les multiplier encore et encore : un million de tests prévus à l’école depuis la dernière rentrée scolaire d’avril et rebelote, autotests tous azimuts sur les plages de l’été !

Le coût des dépistages est considérable : financier, mais aussi psychologique, voire psychiatrique trop souvent

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Depuis près de 18 mois, la politique sanitaire repose sur le crédo “dépister par les tests, masquer, distancier (entre autres en fermant les écoles), confiner jusqu’à vacciner”. Cette politique, qui a coûté des dizaines de milliards d’euros, ne repose sur aucune preuve scientifique et n’a jamais été évaluée ni médicalement ni financièrement et a oublié malheureusement le crédo habituel des vrais médecins fidèles à Hippocrate, SOIGNER ! Et ce ne sont pas les médicaments efficaces qui manquaient de l’hydroxychloroquine à l’ivermectine, zinc, vitamines D et C et macrolides entre autres.

Mais leur usage aurait gêné l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins pendant les essais cliniques, qui nécessite l’absence de traitement efficace connu.

La publication de Wuhan sur le dépistage de dix millions de Chinois(([9] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2003717))

La pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection.

Le plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), de Wuhan,(([10] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) )) est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi ensuite des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague conclut : “les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable.”

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête-t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de les traiter précocement, et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport. Mais qui voulait stopper l’épidémie ?

Il fallait attiser la peur et au passage ruiner la sécurité sociale qu’on nous imposera bientôt de privatiser après avoir jeté l’argent par les fenêtres.

Tromperie internationale

Il s’agit d’une erreur et/ou d’une tromperie internationale orchestrée par l’OMS et Drosten. La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le docteur Drosten, conseiller de Mme Merkel.

La démonstration en a été faite par la cour d’appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s’en emparer, et les ARS qui ont imposé encore le 7 décembre des fermetures d’écoles injustifiées et pire encore des isolements des aînés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires et mortifères basées sur l’utilisation inadaptée des tests PCR.

Le PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permet pas de diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.

Sensibilité et spécificité de la technique PCR

Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d’erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaître un sujet malade (faux négatif) ; et l’erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l’est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.

Cette technique consiste à “amplifier (multiplier)” les petits segments d’ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.(([11] Pascal Sacré COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? 30 août 2020))

Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en août 2019) lui-même avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.

Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.

Le diagnostic d’une infection doit donc être posé par un médecin et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

Le diagnostic posé uniquement sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée, car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes. »

Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.

Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.

Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà).

UTILISATION ABUSIVE DES TESTS PCR DANS LE MONDE SOUMIS À L’OMS ET À FAUCI

Le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS — et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID/NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu’une limite maximale du nombre de cycles d’amplification ne soit clairement spécifiée.

La croyance aveugle en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.(([12] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr) )) Son coût direct est considérable.

La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 et devrait croître chaque année de 3,1 % d’ici 2027, si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.

LA GRATUITÉ DES TESTS SANS PRESCRIPTION EN FRANCE A FAVORISÉ LA GABEGIE ET LA PEUR

En France, la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100 % ont coûté plus de 6 milliards d’euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maîtrisable.

Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds

Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l’attente des résultats d’un test qu’on leur a imposé à l’entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient être indiqués médicalement qu’en cas de suspicion clinique de Covid19).

D’autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu’ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d’hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.

RESPONSABILITÉ DES MÉDECINS DE PLATEAU ET GÉNÉRALISTES ET DES POLITIQUES ET DES ADMINISTRATIFS DES ARS

Au lieu d’examiner une personne, ces responsables conseillent de faire un test PCR et malheur à lui s’il est négatif alors qu’il est cliniquement malade et abandonné sous Doliprane sans utilisation précoce d’ivermectine ou de chloroquine ou d’antibiotique.

Il arrivera trop tard à l’hôpital et sera inclus dans un essai thérapeutique le plus souvent sans consentement éclairé. Comment est-ce supportable en juin 2021 alors que l’on connaît les traitements précoces efficaces ?

Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big Pharma ?

Ils feraient bien en tous cas d’être prudents, car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d’alerte comme le Dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le Pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés et entendus.

Les pensionnaires des EHPAD ont été séparés de longs mois sans raison valable, de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l’épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.

Et le coronacircus continue en juin 2021 alors que l’épidémie a disparu et que de nombreux états comme le Texas ou la Floride ont repris une vie normale et oublié le covid.

La maltraitance de nos aînés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n’a pas demandé leurs choix constitue une violation de leurs droits fondamentaux et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les plaintes s’accumulent. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation.

Le panic Paper

Un rapport allemand classé, mais divulgué (volontairement semble-t-il) a mis en exergue l’utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne.

Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l’OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l’OMS elle — même déclare l’existence en modifiant les critères antérieurs).

Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmentent considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d’hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d’antidépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d’aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue a été également une catastrophe non seulement pour l’enseignement — la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique — mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.

La peur choisie comme mode de gouvernance

entraîne la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à Big Pharma via l’OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.

L’exemple de l’interdiction de l’ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski françaises ouvertes sans restaurants ni bars témoigne de l’ampleur de la manipulation. L’interdiction aux Français d’aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières relève aussi de l’absurde, ou d’une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive. La stupidité de ces interdictions françaises a depuis été largement confirmée par l’absence de toute poussée épidémique en Suisse et en Autriche qui ont laissé leurs stations fonctionner normalement.


L’acceptation de la soumission ne fait qu’encourager les bourreaux et ne conduit qu’à une soumission de plus en plus intense.

L’expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire. Une femme qui accepte une gifle en croyant que son conjoint l’aime entre dans le cercle vicieux qui peut l’entraîner vers la mort. Un peuple qui se soumet aussi.

Coûts économiques et sociaux

Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d’éloignement d’un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur.

Il suffisait de se faire tester de manière répétitive jusqu’au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d’attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui a cru initialement en bénéficier, mais sombre peu à peu dans l’isolement, l’illogisme, l’incompréhension.

Manipulation psychologique et corruption

Lors d’une interview récente d’un journaliste anglais par l’avocat Fuellmich(([13] Ont-ils décidé de sacrifier Fauci pour mieux accélérer la vaccination mondiale ? — (ripostelaique.com) ))(([14] Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain — Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) )) Brian Gerrish raconte sa vue des choses à Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, avocats du Comité Corona créé en juillet 2020, et nous exposent la manipulation psychologique organisée par la programmation neuropsychique et son application lors la plandémie du coronacircus.

Brian s’étend en particulier sur la manipulation dont est victime le peuple britannique :

« le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement. L’homme clé concerné par cette question est Dr David Halpern. Une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion, datée du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus ».

Un éditorial du British Medical Journal une des plus prestigieuses revues médicales britanniques précise :

« la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite dans la presse force la transparence

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, mais en réalité la science est supprimée à des fins politiques et financières.(([15] Kamran Abbasi, rédacteur en chef Editorial du BMJ Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science BMJ 13/11/2020 ; 371 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Publié le 13 novembre 2020) BMJ 2020 ;371 :m4425))

Le Covid-19 a déclenché une corruption d’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique.

Les politiques et l’industrie sont responsables de ces malversations opportunistes. Il en va de même pour les scientifiques et les experts de la santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de protéger la science. »

L’avocat Reiner Fuellmich fait le parallèle avec le « Panic Paper » allemand dont nous avons déjà parlé dans les premiers articles sur le Nuremberg 2.

Conclusion : NE VOUS FAITES PAS TESTER !

Osez remettre en question l’intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles alors que l’épidémie est terminée et que même certains médias aux ordres se sentent obligés de l’avouer.

Les Corona terroristes recourent au mythe de la vague suivante continuant à oublier que ces vagues et ces morts n’auraient pas existé sans l’interdiction invraisemblable de soigner les patients sur leurs signes cliniques et précocement.

La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

LA DICTATURE SANITAIRE DE VERAN RENOUVELÉE LE 20 JUIN

La fin de l’épidémie démontrée par les nouveaux cas en nombre minime malgré la folie des tests et le réseau sentinelle qui montre la disparition de pathologies covid doit poser un problème à notre ministre.

Il lui faut tenir le peuple s’il veut imposer le nouveau confinement prévu à la rentrée par Ferguson et le plan Davos. Malgré l’évidence d’un échec de leur plan en particulier devant les échecs et drames accumulés des vaccins, il accélère autant que faire se peut pour tenter de tenir asservi ce peuple qu’il sent de plus en plus rétif et éveillé.

Course de vitesse. Ce sont toujours les peuples qui gagnent, la question est combien de victimes jusqu’à la libération.

« L’objectif gouvernemental ne change pas : il consiste toujours à “tester-alerter-protéger”, mais la méthode, elle, évolue. Cette méthode s’adapte d’abord à quelques bonnes nouvelles. “Avec 2000 à 3000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, mais nous qui le traquons” », assure le ministre de la Santé dans les colonnes du JDD.(([16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-autotests-partout-mediateurs-mesures-coercitives-veran-annonce-son-plan-pour-lete-20-06-2021-5))»Manifestement il se complaît dans le négationniste et refuse encore aux médecins de traiter et aux malades de choisir leur traitement, le b a ba de la médecine depuis ses origines.

Rappelons tout de même que nous sommes plus de 67 millions d’habitants et que les laboratoires ne fournissent toujours pas le nombre de CT utilisé qui permettrait de se faire une idée de la fiabilité de ces données.

Olivier Véran revendique un été « différent du précédent », enrichi de « plus d’outils » susceptibles d’aider à lutter contre le coronavirus.

Des autotests sur les plages et dans les campings

« Parmi ces outils, les autotests devraient figurer en bonne place d’un été serein, certes, mais placé également sous le signe de la prudence. Ces tests à réaliser soi-même devraient “être distribués gratuitement sur les plages, dans les campings, les hôtels ou les salles de sport », détaille Le Journal du dimanche.

Au total, plus de 8 millions d’autotests vont être distribués à compter de ces prochains jours et pour les deux mois à venir. Ces tests n’ont pas vocation à remplacer les tests PCR et antigéniques, mais à ajouter “une maille supplémentaire” au dispositif.

Ces tests particulièrement peu sensibles pour les personnes sans symptôme sont toujours aussi inutiles que les autres tests, mais ont au moins l’avantage d’être nettement moins chers et de ne pas être remboursés (sauf exception professionnelle). Ils alourdiront donc peu la facture pour la sécurité sociale. Mais fuyez-les absolument, ils vous feront entrer dans un cercle vicieux de chasse au contact !

Médiateurs et contact-tracing

Vous pensiez oublier le covid qui a quasiment disparu de France depuis début avril pendant vos vacances ? Le ministre ne veut pas que vous vous croyez à Miami ou au Texas. Il veut raviver la peur qui risquerait de vous quitter avec la suppression du port de la muselière à l’extérieur.

Olivier Véran annonce le déploiement de médiateurs antiCovid, chargés de conseiller les estivants sur le dépistage, l’isolement ou la vaccination. “Ils seront présents absolument partout : sur les lieux de vacances, dans les campings, les colonies”, assure Olivier Véran.

2 000 d’entre eux seront “capables de réaliser des tests, des enquêtes sanitaires ou de fournir une aide à l’isolement à domicile” en renfort des brigades de l’Assurance maladie !

Créer ces emplois inutiles est-il en réalité une mesure pour lutter contre le chômage ?

Liberté chérie où es-tu passée ?

Ça ne suffisait pas dans l’horreur, alors une nouvelle méthode de contact tracing, “à la japonaise”, devrait être expérimentée “à partir de début juillet” : enquête approfondie » visant à déterminer qui a infecté une personne positive et dans quelles circonstances.

Les chiens renifleurs au secours de Veran : rien ne nous sera épargné !

Le dépistage collectif rendu possible via des chiens renifleurs va être expérimenté « dans un port » et « dans un aéroport ».

« On a désormais la preuve que ça marche dans la vraie vie grâce aux résultats très prometteurs obtenus par les équipes de recherche et l’APHP », fait valoir Olivier Véran, qui signale « un déploiement plus large durant l’été » en cas de succès des expérimentations. Vu les succès de l’aphp dans le traitement du covid, la publicité choisie n’est pas forcément la meilleure.

Ces pauvres chiens risquent de s’épuiser à la tâche, car compte tenu de l’incidence actuelle du covid en France (3/100 000 d’après le réseau sentinelle

(([17] Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s23), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0 %, 11 % et 11 %, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [1 ; 4]), ce qui représente 1 758 [959 ; 2 557] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à celui de la semaine dernière (données consolidées pour 2021s22 : 3 [2 ; 4], soit 2 199 [1 445 ; 2 953] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).))) il leur faudra renifler 33333 personnes pour retrouver un malade du covid ! Mais que fait la SPA pour protéger ces pauvres bêtes ?

La dictature sanitaire en marche pour une épidémie disparue…

Depuis avril 2021(bien avant que le vaccin y soit pour quelque chose) l’épidémie a quitté peu à peu le territoire Français. Mais O. Veran ne l’annonce pas et préfère continuer à instiller la peur en agitant la possibilité d’une quatrième vague. Si nous étions en véritable « guerre », un tel défaitisme serait passible de lourdes condamnations.

Le ministre de la Santé annonce un plan « plus coercitif » face à un variant Delta « très, très contagieux ».

« Si une personne contaminée par le variant indien refuse de répondre aux équipes de l’Assurance maladie ou de respecter les consignes de mise à l’abri, une alerte est faite aux préfets, indique-t-il. Ces derniers peuvent prendre des mesures d’isolement. (…) Nous n’hésiterons pas à le faire, car nous ne pouvons pas prendre le risque de départ d’une nouvelle vague épidémique. »

Les Français échaudés se laisseront-ils convaincre que l’épidémie ne continue qu’en France alors que les autres pays sont libérés et que les chiffres de l’OMS de Santé Publique France prouvent le contraire ?

Une première prudence pour vous protéger et pour protéger vos proches est de REFUSER TOUT TEST dont on a vu l’absence de fiabilité et d’utilité en l’absence de signes cliniques. La France est — elle sur une autre planète ?





L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

[Source anglophone : mercola.com]

Analyse du Dr Joseph Mercola

RÉSUMÉ

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.

►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.

►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Les données indiquent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.

►Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés présentent un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.

►Les injections de COVID-19 n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence, qui ne peut être accordée que s’il n’existe pas de remèdes sûrs et efficaces. De tels remèdes existent, mais ils ont été activement censurés et supprimés.

Dans la vidéo ci-dessus [Voir ici], l’animateur du podcast Dark Horse, Bret Weinstein, docteur en biologie évolutionniste, s’entretient avec le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN,(([1] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) et Steve Kirsch, un entrepreneur qui a mené des recherches sur les effets indésirables des thérapies géniques COVID-19.

Je me rends compte qu’il s’agit d’une interview de trois heures absolument épique, mais si vous attachez de l’importance à ce que j’ai enseigné, vous devez au minimum lire très attentivement l’intégralité de cet article.

M. Malone est le scientifique qui a inventé la technologie permettant de réaliser le test COVID et il révèle comment cette introduction a été compromise sur le plan éthique pour rendre le consentement éclairé absolument impossible pour le citoyen moyen. Regardez l’interview si votre emploi du temps le permet, mais lisez attentivement cet article à coup sûr.

Kirsch a récemment publié l’article « Should You Get Vaccinated ? » dans lequel il explique comment et pourquoi il a changé d’avis sur les « vaccins » COVID-19. Et ce, après avoir reçu les deux doses du vaccin Moderna, comme l’ont fait ses trois filles.

Si vous ou l’un de vos proches avez des doutes sur le test COVID, alors vous devez absolument lire l’article de Kirsh, car il s’agit clairement de l’un des meilleurs articles sur le sujet et il présente l’autre côté de l’histoire, qui n’est JAMAIS présenté dans les médias grand public.

N’oubliez pas que sans une divulgation complète des risques liés au vaccin, il est impossible d’obtenir un consentement éclairé.(([2] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) Si vous lisez l’article de Kirsch, vous obtiendrez, de manière très détaillée, l’autre côté que les médias conventionnels refusent de partager. Il écrit :

« J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 Américains (ce que j’ai confirmé de 3 façons différentes) et handicapé au moins 1 000 000 d’autres. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée. Nous devons suspendre ces vaccins MAINTENANT avant que d’autres personnes ne soient tuées.

Sur la base de ce que je sais aujourd’hui des avantages minuscules des vaccins (environ 0,3 % de réduction du risque absolu), des effets secondaires (y compris la mort), des taux actuels de COVID et du taux de réussite des protocoles de traitement précoce, la réponse que je donnerais aujourd’hui à toute personne me demandant conseil sur l’opportunité de prendre l’un des vaccins actuels serait : « Dites simplement NON ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez déjà été infecté par le COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes, je dirais « NON ! NON ! NON ! »

Dans cet article, je vais vous expliquer ce que j’ai appris depuis que je suis vacciné et qui m’a totalement fait changer d’avis. Vous apprendrez comment ces vaccins fonctionnent et les raccourcis qui ont conduit aux erreurs commises.

Vous comprendrez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, pourquoi ils sont si variés et pourquoi ils surviennent généralement dans les 30 jours suivant la vaccination. Vous comprendrez pourquoi les enfants ont des problèmes cardiaques (pour lesquels il n’existe aucun traitement), perdent temporairement la vue et la capacité de parler. Vous comprendrez pourquoi jusqu’à 3 % d’entre eux peuvent être gravement handicapés par le vaccin. »

La protéine Spike est une cytotoxine bioactive

Comme l’explique Malone, il y a plusieurs mois, il a averti la Food and Drug Administration américaine que la protéine Spike — que les « vaccins » COVID-19 demandent à vos cellules de fabriquer — pouvait être dangereuse. La FDA a rejeté ses inquiétudes, affirmant qu’elle ne pensait pas que la protéine Spike était biologiquement active. En outre, les fabricants de vaccins ont spécifiquement conçu les injections de manière à ce que la protéine Spike soit collée et ne flotte pas librement.

Eh bien, ils avaient tort sur les deux points. Il a depuis été bien établi qu’en effet, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se libère, qu’elle est biologiquement active et qu’elle cause de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés chez COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.

Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre stupéfiant de personnes ayant reçu une ou deux injections du « vaccin » COVID-19. Pour des informations plus approfondies sur la façon dont la protéine Spike cause ces problèmes, veuillez consulter mon interview avec Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D.

L’utilisation du mot « vaccin » n’est pas vraiment appropriée ici, et je ne veux pas contribuer à l’utilisation abusive de ce mot. Ces injections ne sont clairement pas des vaccins. Elles ne fonctionnent pas comme les vaccins conventionnels précédents. Comme le dit clairement l’inventeur des vaccins à ARNm dans l’interview, il s’agit de thérapie génique. Comprenez donc que lorsque je parle de vaccin ou de vaccination, je parle en réalité de thérapie génique.

La protéine de pointe se dissémine dans tout votre corps

Dans un récent entretien(([3] Newzworldtoday.com 2 juin 2021)) avec Alex Pierson, Byram Bridle, docteur en immunologie et chercheur canadien sur les vaccins, a parlé de recherches inédites obtenues auprès de l’organisme de réglementation japonais grâce à une demande de loi sur la liberté d’information.

Il s’agissait d’une étude de biodistribution réalisée par Pfizer, qui a montré que l’ARNm du vaccin ne reste pas dans et autour du site de vaccination, mais est largement distribué dans le corps, tout comme la protéine de pointe.(([4] Nouvelles du site du procès 6 juin 2021))

Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine de pointe est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Dans ce cas, elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et/ou provoquer des saignements anormaux. J’ai détaillé ces résultats et d’autres dans « Chercheur : ‘Nous avons fait une grosse erreur’ sur le vaccin COVID-19 ».

On a arrondi les angles*

[Ndlr : *Pour éviter d’exposer des données problématiques]

La protéine Spike est également toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Kirsch cite des données suggérant que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.(([5] Lettre au rédacteur, commentaire sur la sécurité du vaccin ARNm COVID-19 chez les femmes en ceintes (PDF) )) Le taux normal est de 10 %, il ne s’agit donc pas d’une hausse mineure. Kirsch écrit(([6] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)):

« Il est déconcertant que le CDC affirme que le vaccin est sûr pour les femmes enceintes alors qu’il est si clair que ce n’est pas le cas. Par exemple, l’une de nos amies de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines… Elle a reçu sa première injection il y a 7 semaines, et sa deuxième il y a 4 semaines.

Le bébé présentait une grave hémorragie cérébrale et d’autres défigurations. Son gynécologue n’avait jamais vu une telle chose de sa vie. Ils ont fait appel à un spécialiste qui a dit qu’il s’agissait probablement d’un défaut génétique (parce que tout le monde croit au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible).

Pas de rapport VAERS. Pas de rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j’ai parlé disent qu’il est certain à plus de 99 % que c’était le vaccin. La famille ne veut pas d’autopsie de peur que leur fille ne découvre que c’était le vaccin. C’est un exemple parfait de la façon dont ces effets secondaires horribles ne sont jamais signalés nulle part. »

Il est inquiétant de constater que les données de biodistribution de Pfizer révèlent que l’on a pris des raccourcis dans l’intérêt de la rapidité, et que l’un des aspects de la recherche qui a été ignoré est la toxicologie de la reproduction. Pourtant, malgré l’absence d’une enquête initiale sur la toxicologie de la reproduction et un nombre croissant de rapports de fausses couches (qui est probablement un sous-dénombrement important), les Centers for Disease Control and Prevention continuent d’exhorter les femmes enceintes à se faire vacciner. Pourquoi cela ?

Y a-t-il une suppression intentionnelle des données VAERS ?

De plus, comme nous l’avons évoqué dans l’interview, il semble que les données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) soient manipulées, car des rapports qui avaient été déposés ont disparu. Pourquoi ont-ils été supprimés ? Et sans le consentement des déclarants ?

« Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois plus élevé que la normale. »

Même avec cette manipulation, le nombre de décès signalés après la vaccination contre le COVID-19 dépasse tout ce que nous avons jamais vu. D’après Kirsch, le taux de mortalité lié aux injections de COVID-19 dépasse celui de plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière (([7] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) qui a toujours été le plus dangereux.

D’autres effets graves sont également hors normes. Par exemple, des données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux 25 fois plus élevé de myocardite (inflammation du cœur) que la normale.(([8] Ottawa Citizen 4 juin 2021)) De plus, de nombreux jeunes gens meurent actuellement des suites de cette myocardite.(([9] Le Défenseur 15 juin 2021))

M. Malone souligne qu’en relisant la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de COVID, il a découvert que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait toute latitude pour le faire.

Comme l’a noté Weinstein, il s’agit d’une autre anomalie qui nécessite une réponse. Pourquoi ont-ils opté pour une saisie de données aussi laxiste, car sans elle, il n’y a aucun moyen d’évaluer la sécurité de ces produits. Vous ne pouvez pas identifier les signaux de danger si vous n’avez pas de processus pour capturer les données sur les effets et les évaluer toutes.

« Toute la logique de l’EUA consiste à substituer la saisie en temps réel d’informations clés à la saisie prospective de ces mêmes informations », explique M. Malone. « Mais pour ce faire, vous devez obtenir les informations et elles doivent être rigoureuses. »

Autres anomalies

En outre, comme l’a fait remarquer M. Weinstein, si vous diffusez un vaccin dans le cadre d’une utilisation d’urgence — parce que vous dites qu’il y a une urgence sanitaire sans précédent et qu’il n’y a pas d’autres options, et qu’il vaut donc la peine de prendre un risque supérieur à la normale — vous ne le donnerez toujours pas aux personnes qui ne courent aucun risque ou un risque faible de contracter la maladie en question.

Cela inclut les enfants, les adolescents et les personnes en bonne santé de moins de 40 ans, au strict minimum. Les enfants semblent naturellement immunisés contre le COVID-19(([10] Science 14 mai 2021 ; 372(6543) :738-741)) et il a été démontré qu’ils ne sont pas des vecteurs de la maladie,(([11] Archives of Disease in Childhood 2020;105:618-619)) et les personnes de moins de 40 ans ont un taux de létalité de l’infection de seulement 0,01 %.(([12] Annals of Internal Medicine 2 septembre 2020 DOI:10.7326/M20-5352)) Cela signifie que leurs chances de survie sont de 99,99 %, ce qui est aussi bon que possible.

Les femmes enceintes seraient également exclues, car elles constituent une catégorie à haut risque pour toute expérimentation, et toute personne ayant guéri du COVID serait exclue, car elle possède désormais une immunité naturelle et n’a pas besoin d’un quelconque vaccin. En fait, une récente

Une étude de la Cleveland Clinic(([13] medRxiv 5 juin 2021 DOI :10.1101/2021.06.01.21258176))(([14] Nouvelles médicales Sciences de la vie 8 juin 2021)) a révélé que les personnes dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 avait été positif au moins 42 jours avant la vaccination ne tiraient aucun bénéfice supplémentaire des vaccins.

Pourtant, tous ces groupes à risque incroyablement faible sont exhortés et même incités de manière inappropriée à se faire vacciner, ce qui constitue également un comportement anormal. L’analyse des risques et des avantages ne tient pas seulement compte du risque d’effets graves et de décès liés à la maladie, mais aussi de la disponibilité de traitements alternatifs, ce qui constitue une troisième anomalie majeure.

Nous avons assisté à une suppression claire des informations montrant qu’il n’existe pas un seul, mais plusieurs remèdes efficaces qui pourraient réduire à pratiquement zéro le risque de COVID-19 pour un certain nombre de groupes de personnes. Les exemples incluent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont tous deux utilisés en toute sécurité depuis des décennies par des millions de personnes dans le monde.

Le principe de précaution veut que tant qu’un médicament ou une stratégie de traitement n’est pas nuisible, même si l’effet positif peut être faible, il doit être utilisé jusqu’à ce que de meilleures données ou de meilleurs traitements soient disponibles. C’est la logique qu’ils ont utilisée pour les masques (même si les données n’ont montré aucun avantage statistique et qu’il existe un certain nombre d’inconvénients potentiels).

Mais lorsqu’il s’agit d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, ils ont supprimé l’utilisation de ces médicaments alors qu’ils sont extrêmement sûrs lorsqu’ils sont utilisés aux doses appropriées et qu’il a été démontré qu’ils fonctionnent vraiment bien dans plusieurs dizaines d’études. Comme le note Kirsch dans son article :(([15] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))

« Les médicaments reproposés [comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine] sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec un protocole efficace réduit de plus de 100 fois le risque de décès. Ainsi, au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et ce chiffre ne concerne que le vaccin (et ne tient pas compte des décès dus à une percée). »

Les médecins sont également muselés et leurs avertissements supprimés et censurés. Le Dr Charles Hoffe a administré le « vaccin » COVID-19 de Moderna à 900 de ses patients.

Trois d’entre eux sont désormais handicapés à vie et un est décédé. Après avoir écrit une lettre ouverte au Dr Bonnie Henry, responsable provincial de la santé en Colombie-Britannique, dans laquelle il déclarait être « très alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement « ,(([16] Lettre ouverte du Dr Charles Hoffe 5 avril 2021)) ses privilèges hospitaliers lui ont été retirés.

Les lois de bioéthique sont manifestement violées

Dans un essai du 30 mai 2021,(([17] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) Malone a examiné l’importance du consentement éclairé, concluant à juste titre que la censure fait en sorte que le consentement éclairé ne peut tout simplement pas être donné. Le consentement éclairé n’est pas seulement une belle idée ou un idéal. C’est la loi, tant au niveau national qu’international. L’actuelle campagne de vaccination viole également les principes bioéthiques en général.

« À titre d’information, sachez que je suis un spécialiste et un défenseur des vaccins, ainsi que l’inventeur original de la plate-forme technologique du vaccin à ARNm (et du vaccin à ADN). Mais j’ai également reçu une formation approfondie en bioéthique de l’Université du Maryland, du Walter Reed Army Institute of Research et de la Harvard Medical School, et le développement clinique avancé et les affaires réglementaires sont des compétences essentielles pour moi », écrit M. Malone.

« Pourquoi est-il nécessaire de supprimer la discussion et la divulgation complète des informations concernant la réactogénicité et les risques de sécurité des ARNm ? Analysons rigoureusement les données sur les événements indésirables liés aux vaccins. Peut-on trouver des informations ou des schémas, comme la découverte récente des signaux de cardiomyopathie, ou les signaux de réactivation du virus latent ?

Nous devrions faire appel aux meilleurs experts en biostatistique et en apprentissage automatique pour examiner ces données, et les résultats devraient — non doivent — être mis à la disposition du public rapidement. Suivez-moi et prenez un moment pour examiner avec moi la bioéthique sous-jacente à cette situation…

La suppression de l’information, la discussion et la censure pure et simple concernant les vaccins actuels de COVID, qui sont basés sur les technologies de thérapie génique, jettent une mauvaise lumière sur l’ensemble de l’entreprise des vaccins. Je pense que le public adulte peut gérer l’information et les discussions ouvertes. En outre, nous devons divulguer entièrement tous les risques associés à ces produits de recherche expérimentale.

Dans ce contexte, le public adulte est essentiellement un sujet de recherche qui n’est pas tenu de signer un consentement éclairé en raison de la dérogation de l’EUA. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne méritent pas la divulgation complète des risques que l’on exige normalement dans un document de consentement éclairé pour un essai clinique.

Et maintenant, certaines autorités nationales demandent le déploiement des vaccins EUA chez les adolescents et les jeunes, qui, par définition, ne sont pas en mesure de fournir directement un consentement éclairé pour participer à une recherche clinique — écrit ou non.

Le point essentiel ici est que ce qui est fait en supprimant la divulgation et le débat ouverts concernant le profil des effets indésirables associés à ces vaccins viole les principes bioéthiques fondamentaux de la recherche clinique. Cela remonte à la convention de Genève et à la déclaration d’Helsinki.(([18] Association médicale mondiale AMM Déclaration d’Helsinki)) Il doit y avoir un consentement éclairé pour l’expérimentation sur des sujets humains ».

L’expérimentation sans consentement éclairé approprié viole également le Code de Nuremberg,(([19] Code de Nuremberg de 1947)) qui énonce un ensemble de principes d’éthique de la recherche pour l’expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été élaboré pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

Des lignes ont été franchies qui ne doivent jamais l’être

Aux États-Unis, nous avons également le rapport Belmont,(([20] HHS.gov Le rapport Belmont)) cité dans l’essai de Malone, qui énonce les principes éthiques et les lignes directrices pour la protection des sujets humains de la recherche, couverts par le Code of Federal Regulations 45 CFR 46 (sous-partie A). Le rapport Belmont décrit le consentement éclairé comme suit :

« Le respect des personnes exige que les sujets, dans la mesure de leurs capacités, aient la possibilité de choisir ce qui doit ou ne doit pas leur arriver. Cette possibilité est offerte lorsque les normes adéquates de consentement éclairé sont respectées.

Si l’importance du consentement éclairé est incontestable, la nature et la possibilité d’un tel consentement font l’objet de controverses. Néanmoins, il est largement admis que le processus de consentement peut être analysé comme contenant trois éléments : l’information, la compréhension et le caractère volontaire. »

Les Américains, et même les peuples de la terre entière, sont empêchés d’accéder librement à l’information sur ces thérapies géniques et de la partager. Pire encore, nous sommes induits en erreur par les vérificateurs de faits et les plates-formes Big Tech qui interdisent ou apposent des étiquettes de désinformation sur toute personne et tout ce qui en discute de manière critique ou interrogative. Cette même censure empêche également la compréhension des risques.

Enfin, le gouvernement et un grand nombre d’acteurs du secteur des vaccins encouragent les entreprises et les écoles à rendre ces injections expérimentales obligatoires, ce qui viole la règle du volontariat. Le gouvernement et les entreprises privées créent également des incitations massives à participer à cette expérience, notamment des loteries d’un million de dollars et des bourses universitaires complètes. Rien de tout cela n’est éthique ni même légal. Comme l’a noté Malone:(([21] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021))

« … comme ces vaccins ne sont pas encore autorisés sur le marché (homologués), il est spécifiquement interdit de contraindre des sujets humains à participer à une expérimentation médicale. Par conséquent, les politiques de santé publique qui répondent aux critères généralement admis de coercition pour participer à la recherche clinique sont interdites.

Par exemple, si je proposais un essai clinique impliquant des enfants et que j’incitais la participation en distribuant des glaces à ceux qui étaient prêts à participer, n’importe quel comité de sécurité des sujets humains (IRB) institutionnel aux États-Unis rejetterait ce protocole.

Si je devais proposer un protocole de recherche clinique dans lequel la population d’une région géographique perdrait ses libertés individuelles à moins que 70 % de la population ne participe à mon étude, une fois encore, ce protocole serait rejeté par n’importe quel IRB américain pour cause de coercition à la participation des sujets. Aucune coercition pour participer à l’étude n’est autorisée.

Dans la recherche clinique sur les sujets humains, dans la plupart des pays du monde, cette exigence est considérée comme une ligne de démarcation à ne pas franchir. Et maintenant, on nous dit de renoncer à cette exigence sans même qu’une discussion publique ouverte soit autorisée ? En conclusion, j’espère que vous vous joindrez à moi, que vous prendrez un moment pour réfléchir par vous-même à ce qui se passe. La logique me semble claire.

1. Un produit médical non autorisé déployé dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) reste un produit expérimental en cours de développement de recherche clinique.
2. L’AUE autorisée par les autorités nationales accorde essentiellement un droit à court terme d’administrer le produit de la recherche à des sujets humains sans consentement éclairé écrit.
3. La Convention de Genève, la déclaration d’Helsinki et l’ensemble de la structure qui soutient la recherche éthique sur les sujets humains exigent que les sujets de recherche soient pleinement informés des risques et qu’ils consentent à participer sans contrainte. »

Encore une fois, si votre emploi du temps le permet, j’espère sincèrement que vous prendrez le temps d’écouter l’interview de Weinstein avec Malone et Kirsch. Oui, c’est très long — environ 3 ½ heures — mais ils sont tous astucieux dans leurs observations, ce qui rend la conversation éclairante. Et n’oubliez pas de lire et de partager largement l’article de Kirsch, « Should You Get Vaccinated ? ”(([22] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))


[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé. En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award. Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.

Le Dr Robert Malone a inventé la technologie de thérapie génique par ARNm et a averti la FDA que les vaccins sont dangereux. La FDA l’a-t-elle écouté ? Non. Au lieu de cela, il a été censuré par Big Pharma et la FDA a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence qui a entraîné des centaines de milliers de blessures. Lisez l’intégralité de cet article et — si vous le pouvez — écoutez attentivement l’entrevue vidéo.


Sources et références




Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective

[Source : Sott.net]

[Illustration : © Sott.net]

Par Ariane Bilheran — L’Antipresse

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[Voir aussi :
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Alexandre Soljenitsyne : «Les hommes ont oublié Dieu»]

Épisode 1 — La structure totalitaire : le délire paranoïaque

« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.

Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi — visible ou invisible — et la pureté.

Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste — et de leurs dérivés — qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.

Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle. Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.

Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » — cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021 — est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation — « variants ». L’interprétation — déduction à partir d’une opinion subjective — est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine — postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène — le virus tueur est à l’extérieur de nous — et endogène — à l’intérieur de nous.

Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que d’habitants en Europe !

« Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager […]. Nous sommes inondés de virus. »

Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur Terre !!! Environ 8 pour cent du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur Terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée — interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7] — une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints — entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques — dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.

L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] — cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !.

Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus — en puissance, toute l’espèce humaine est visée. D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal :

« Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. »

Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.

« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.

Conclusion

La psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » — cf. Giorgio Agamben — , du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.

Épisode 2 — Méthodes, étapes, objectif du projet totalitaire

« Pour combattre le totalitarisme, il suffit de comprendre ceci : il représente la négation la plus absolue de la liberté. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

« Celui qui n’est pas intérieurement préparé à la violence est toujours plus faible que celui qui l’exerce. »

Alexandre I. Soljenitsyne, L’archipel du goulag, 1973

Le régime totalitaire vise « la domination totale » — cf. H. Arendt — , c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[18].

« Vaccination-évacuation », vaccinodrome d’Annecy et quais de Paris.

L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels — familles, classes sociales, clans politiques — selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi — ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique. La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien,

« tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle — données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives — étaient traités comme irréels. » — p. 18

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[19], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michelpour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.

La terreur glisse rapidement sur les opposants qu’il s’agit de persécuter, à savoir ceux qui ne croient pas à l’idéologie, la mettent en doute, ou encore dénoncent les manipulations de masse. C’est la première phase, celle de la mise au pas par l’élimination des opposants. Mais le déferlement totalitaire se déchaîne bien davantage ensuite : la décompensation paranoïaque devient aveugle, et se cherche des ennemis potentiels (coupables en puissance, et non en acte), puisqu’il n’y a plus d’opposants réels. Pour soumettre les masses, tous les moyens sont permis, en particulier celui de la terreur par l’arbitraire. Tout allait « bien », en effet, lorsque les masses pouvaient se rassurer quant au harcèlement des opposants visibles, finalement, ils l’avaient bien cherché puisqu’ils n’obéissaient pas ! Il est indispensable ensuite que les représailles du pouvoir totalitaire tombent au hasard, afin d’assurer le contrôle total. L’arbitraire suscite l’incompréhension et la sidération — paralysie du psychisme et de la pensée. Croyant ainsi se couvrir, beaucoup deviennent délateurs, et sont encouragés à l’être par le délire de persécution paranoïaque : il s’agit de reconnaître l’ennemi, « si bien masqué soit-il »[20].

Le modus operandi du totalitarisme est le harcèlement. Il s’agit moins de détruire que de conduire à l’autodestruction[21], jusqu’au suicide, par les traumatismes réitérés sur la durée, engendrés dans la terreur et la violence. Les régimes politiques fonctionnant à l’idéologie utilisent la violence extrême, car il s’agit de transformer l’expérience du réel, de gré ou de force, pour faire régner l’idéologie, quoi qu’il en coûte. Ceux qui diffusent l’idéologie et l’organisent savent-ils que l’idéologie est fausse ? Ce n’est pas sûr, si l’on continue l’analyse sous l’angle de la psychopathologie. Ils peuvent y croire, et sont sans doute d’autant plus dangereux qu’ils y croient, d’une croyance religieuse transformée en fanatisme du dogme. Certains d’entre eux sont sans doute plus cyniques ; nous le voyons aujourd’hui avec les scandales d’hommes riches et/ou politiques, qui s’exonèrent des mesures sanitaires qu’ils imposent au peuple. Dans ce cas, l’illusion idéologique, elle est pour les autres, et non pour eux. D’ailleurs, pour H. Arendt, la force de l’idéologie ne tient pas à son contenu — lutte des classes, lutte des races, vaccinés contre non vaccinés, comploteurs contre « complotistes » etc. — mais à sa forme logique. Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. N’est-ce pas de ce tour de passe-passe dont il s’agit en prônant la nécessité des multiples confinements, dont le grand expert mondial en épidémiologie, John Ioannidis, récuse les bienfaits ? Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolérera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie — par exemple, s’entasser dans le métro pour aller travailler, ne pouvoir voyager que pour des « motifs impérieux » dont le travail fait partie, mais pas la maladie d’un proche, ni la naissance d’un petit-fils etc. Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique.

Le totalitarisme exige une loyauté « à la vie, à la mort » de l’individu, jusqu’à son sacrifice ultime. Pour cela, il faut capturer l’individu par une série de gestes obsessionnels aliénant le psychisme, comme dans les clans mafieux ou encore les sociétés secrètes : quiconque n’est pas inclus, est exclu ; le pouvoir totalitaire convoque l’utilisation de rituels, l’absence de factions, la suppression des opinions dissidentes, la centralisation absolue du commandement, l’exigence d’une loyauté totale, la promesse d’une protection et de davantage de quelque chose — bonheur, pouvoir, argent, liberté de mouvement, loisirs… — qui ferait de l’initié un privilégié. N’est-ce pas exactement ce dont il s’agit à propos du passeport sanitaire, qui est en tout point similaire au passeport aryen de 1933 quant aux prérogatives conférées (musées, théâtres etc.) : une communauté de privilégiés ? L’écrivain hongrois, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, Imre Kertész, dans son livre L’Holocauste comme culture indique que le totalitarisme ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations qu’il se donne pour mission idéologique de persécuter :

« Au procès de Jérusalem, Eichmann affirmait n’avoir jamais été antisémite et, bien que la salle ait alors éclaté de rire, je ne trouve pas impossible qu’il ait dit vrai. […] Nous devons nous dire clairement qu’aucun totalitarisme de parti ou d’État n’est possible sans discrimination, or la forme totalitaire de la discrimination est nécessairement le massacre, la tuerie de masse. »

Ajoutons que la logique concentrationnaire est indissociable du totalitarisme, car elle est inséparable de l’enfermement psychique de la paranoïa. Depuis quelques mois, j’entends des murmures sur la création ou l’existence des camps de mises en quarantaine, dans différents pays[22]. Si l’idéologie n’est pas stoppée net (et elle ne le sera pas), par une incrédulité de masse, la logique concentrationnaire se déploiera, car elle est l’aboutissement du projet totalitaire : dans le camp, la liberté n’est qu’un lointain souvenir, la liberté de se mouvoir, d’entreprendre, et la Loi comme protection de l’individu n’est plus opérante. Il faut nous souvenir que, pour le paranoïaque, la Loi c’est lui, selon son bon vouloir ; elle n’est plus l’expression de ce qui fait tiers entre les individus, pour protéger leur intégrité, mais devient un instrument de persécution des opposants et des plus vulnérables. Dans le camp, l’on perd son nom, son identité (l’on devient au mieux un numéro), ses racines, ses liens, voire toute forme de socialisation ; l’on perd toute représentation du temps ; c’est la négation de l’humain, le corps est soumis aux agressions, à la faim, au froid, aux maladies, aux maltraitances sexuelles, à la déshumanisation — par exemple, les femmes sont tondues, les hommes rasés, on récupère des bouts de corps… L’objectif totalitaire de la domination totale est atteint par les camps de concentration. Dans la psychose paranoïaque, le sujet est psychiquement enfermé, et s’enferme sans cesse toujours davantage ; il existe une fuite en avant pour toujours davantage de contrôle, avant d’aboutir à l’extermination.

Pour Hannah Arendt, « le prisonnier d’un camp n’a pas de prix puisqu’on peut le remplacer »[23]. La logique concentrationnaire du totalitarisme en ce sens est pire que l’esclavage, parce que l’esclave possède une valeur marchande : il peut être vendu au marché aux esclaves. La valeur marchande sur le corps humain relève de la perversion : instrumentaliser à outrance ce qui en saurait l’être. Rappelons-nous que la perversion est l’instrument du déploiement du totalitarisme, mais elle n’en est pas le but : le but n’est plus l’aliénation (soumission) mais l’annihilation (la réduction au rien) du sujet humain, c’est un cap supplémentaire qui est franchi. La valeur marchande sur le corps humain peut encore conférer un statut de personnalité juridique mineure, bien sûr sous un mode pervers. Mais dans l’apogée du totalitarisme les corps sont remplaçables, interchangeables, n’ont plus aucune valeur sacrée, et plus aucune valeur, tout court, même matérielle ou marchande. La personne morale est détruite. Hannah Arendt appelle cela « l’assassinat de l’individualité ». Elle ajoute[24] :

« Le dessein des idéologies totalitaires n’est donc pas de transformer le monde extérieur, ni d’opérer une transmutation révolutionnaire de la société, mais de transformer la nature humaine elle-même. »

Et poursuite :

« Les États totalitaires s’efforcent sans cesse de démontrer que l’homme est superflu. »

Le totalitarisme est quant à lui et par essence génocidaire : il n’a plus besoin de l’humain, ou plutôt, il prétend le créer de nouveau, à partir de zéro. C’est le projet de « l’homme nouveau » ; il faut à la fois supprimer la liberté humaine, et l’humain dans toutes ses aspérités, pour faire régner la notion de pureté. N’est-ce pas là le projet en cours du Grand Reset, et du transhumanisme qui l’accompagne ? Les privilégiés auront une « valeur marchande » et pourront continuer de vivre dans le monde marchand — voyager, consommer etc. Quant aux autres ? La paranoïa fonctionne sur un mode binaire : les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels… Et c’est cette notion de pureté qui la fait parquer dans des camps les éléments jugés indésirables car ces dits impurs ne sauraient venir souiller « l’espace vital ». La pureté est déjà présente dans l’idéologie sanitaire, où l’on fumige à tout va, y compris au Leclerc d’Ajaccio[25], comme si nous étions des cafards. Les populations nomades, apatrides, marginales, et pauvres sont toujours visées, car elles ne se laissent pas assujettir au contrôle. Il est fort à parier que c’est ce qui guette une partie de la population ; attendons de voir qui sera l’ennemi désigné : pour l’instant, l’on suppose qu’il s’agira des non-vaccinés, mais cela peut tout aussi bien s’étendre aux « islamo-gauchistes » (néologisme flou), à toute population désignée comme « terroriste » (sur quels critères ?), mais aussi pourquoi pas aux vaccinés estimés porteurs de variants, car l’ennemi désigné peut mouvoir, au gré de l’idéologie caméléon.

Conclusion

Le totalitarisme est international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, et planétaire dans ses aspirations politiques. Il poursuit « l’expérience de domination totale. »[26]Le but est la disparition totale de toute spontanéité. Pour y parvenir, il faut à la fois l’endoctrinement idéologique — nous y sommes déjà —, la terreur arbitraire et l’ambition concentrationnaire — c’est en route — pour briser ce que hait la paranoïa : toute forme de spontanéité. Les camps sont le lieu d’achèvement du processus de déshumanisation et de spoliation de la personne, par la soumission des corps incarnés, après la brisure des esprits. Hannah Arendt parle de désolation pour nommer cette épreuve d’une perte radicale des moyens de faire l’expérience du monde. Le mal est radical : à la racine. Dans un prochain et dernier épisode, j’analyserai la contagion délirante et les alliances psychiques inconscientes dans le collectif et les issues envisageables.

Épisode 3 — Contagion délirante et alliances psychiques, sortie du délire

« La liberté est ce qu’il y a de plus intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ».

Hegel, Principes de la philosophie du droit, « Cours de philosophie du droit de 1831 »

Pour entrevoir une issue au totalitarisme, il nous faut comprendre comment les esprits ont été emprisonnés dans la folie paranoïaque. Cela suppose de rendre intelligible le phénomène de contagion délirante[27], et de mettre en lumière les interactions psychiques inconscientes qui s’allient pour promouvoir l’idéologie.

La paranoïa est une pathologie contagieuse, qui érode les liens traditionnels[28] pour soumettre les psychismes à de nouveaux liens, ceux de l’idéologie[29].

Il faut d’abord comprendre — et je ne pourrai rentrer ici dans le détail d’un processus psychique fort complexe — que le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[30]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu. En particulier, le déni est une impossibilité absolue de se représenter la violence de ce qui se passe, jusqu’à rendre hermétique à toute argumentation ou évidence des faits. Je précise que ce processus psychique n’a rien à voir avec l’intelligence, mais concerne les « plus fragiles » psychologiquement, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les ressources internes suffisantes pour résister à une telle distorsion interprétative du monde : la majorité des êtres humains. Car il faut une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, la vérité travestie en mensonge, et les innocents désignés comme coupables, tandis que les coupables exercent une terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de jolis idéaux tels que « la santé pour tous » ou « la protection de nos aînés. » La contagion délirante opère à partir de ces remparts, rendant l’individu perméable à l’idéologie, et désormais adepte inconditionnel de la secte totalitaire.

Il existe une hiérarchie des profils psychiques dans l’accès aux fonctions structurantes de civilisation que sont la symbolisation et la sublimation[31]. Nous pouvons déjà distinguer ceux qui ont structurellement intégré les tabous fondamentaux de l’interdit du meurtre et de l’inceste (et leurs dérivés : calomnie, envie, transgressions sexuelles etc.), et les autres. Ces derniers, qui ne sont plus tenus par une structure extérieure, sont alors « activés » par le délire paranoïaque, qui les autorise désormais à passer à l’acte, sans plus aucune répression légale, pourvu que l’action mortifère et transgressive s’inscrive dans la lignée dogmatique de l’idéologie. C’est ainsi que, sous propagande, des profils pervers peuvent torturer impunément — cf. Klaus Barbie —, des profils paranoïaques peuvent disséminer la terreur[32], et des psychopathes, être utilisés comme des mercenaires du régime.

Les névroses ordinaires[33] sont fragilisées, c’est-à-dire qu’en temps « normal », des personnes se comportant de façon respectueuse des interdits fondamentaux, peuvent, à la faveur d’une idéologie totalitaire, régresser, et notamment sur un mode pervers. En clair, le système totalitaire, par sa dimension délirante massive, fait décompenser des pervers en paranoïa, et régresser des profils névrosés, en perversion, la perversion étant une sorte d’ultime digue psychique pour ne pas sombrer dans le délire — cf. Racamier. Le déploiement du système totalitaire entraîne donc la survenue de nombreux abus de pouvoir et actes sadiques, commis par des chefaillons qui se révèlent. Et l’on se demande alors comment ce bon père de famille, d’ordinaire si agréable, et connu depuis si longtemps, est devenu capable de tant d’atrocités… Je rappelle que la perversion[34] est l’exécutante consciencieuse et habile de la folie paranoïaque.

Le paranoïaque définit la stratégie, quand le pervers déploie la tactique.

Les autres profils névrosés, plus rares, sont tout de même fragilisés, jusqu’à nourrir des dépressions et des idées suicidaires, ou encore convertir leur angoisse en névrose obsessionnelle grave : l’individu fonctionne sur un mode automatisé, par des attitudes ritualisées, qui l’empêchent de penser sa fonction dans l’ensemble du système, comme Eichmann qui ne faisait que s’occuper de ce que les trains arrivent à l’heure. L’individu préfère en effet être entraîné dans la régression psychique collective, plutôt que d’affronter l’épreuve de la solitude, de la perte et de la séparation — épreuve à laquelle le philosophe traditionnel est généralement aguerri. Ainsi, dans des situations incitatives, hors normes, les auteurs d’actes barbares sont aussi des « honnêtes gens », aux profils obéissants.

Seuls trois types de profils résistent au déferlement totalitaire :

  • Des « anti-sociaux », déjà habitués à ne pas se soumettre aux règles du monde qu’ils interrogent toujours avec une grande vitalité ;
  • Des personnes ancrées sur Terre avec un bon sens paysan qui les vaccine contre toute idéologie hors sol ;
  • Quelques intellectuels et artistes.

Tous disposent d’une profondeur émotionnelle intérieure, d’une autonomie interne, et de références morales à l’autorité transcendante, suffisantes pour arrimer l’affirmation d’eux-mêmes dans une filiation temporelle verticale (anciens maîtres, généalogie, ancêtres…), ce qui les affranchit de l’adhésion horizontale au groupe et du collage à l’idéologie. Parmi ces profils, l’on peut trouver (mais pas obligatoirement), des personnes aux hautes valeurs morales, d’une grande intégrité, et d’autres (ou les mêmes), avec une forte sensibilité aux processus liberticides

Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure.

Ils appellent à la désobéissance face à l’abus de pouvoir, et invoquent un idéal humain de liberté, contre le règne absolu de la contrainte. Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence : la fuite d’une réalité vécue comme désagréable. La propagande totalitaire fonctionne, car elle promet de transformer radicalement un monde dont les masses ne veulent plus, parce qu’elles n’y trouvent plus leur place. Bien entendu, ce sentiment d’être perdu, sans racine, le totalitarisme a pu lui-même en être à l’origine, avant d’en tirer profit. La globalisation offerte par l’idéologie totalitaire rassure ; elle donne l’illusion de la prise en charge totale, peu importe que cette prise en charge soit le fruit d’une mère omnipotente qui peut changer d’humeur à n’importe quel moment, jusqu’à tuer sa progéniture si cela lui chante.

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion.

Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux. Il est donc essentiel que cette alliance provisoire entre les propagateurs politiques de l’idéologie — décideurs politiques et économiques/propagandistes et intellectuels collaborant à l’idéologie — et une grande partie du peuple cesse. La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses.

Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi.

« L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique. La persécution systématique de toutes les formes supérieures d’activité intellectuelle par les nouveaux dirigeants de masse a des raisons plus profondes que leur ressentiment naturel pour tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. La domination totale ne tolère la libre initiative dans aucun domaine de l’existence ; elle ne tolère aucune activité qui ne soit pas entièrement prévisible. Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté. »[35]

Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »[36]

Que nous reste-t-il lorsque tout est perdu ? Devenir, pour reprendre le titre du livre d’Imre Kertész, un « être sans destin ».

Cet auteur, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, et libéré du camp de Buchenwald en 1945, pose la question de savoir ce qu’il advient, lorsqu’un homme est privé de tout destin :

« S’il y a un destin, la liberté n’est pas possible ; […] si la liberté existe, alors il n’y a pas de destin […], c’est-à-dire qu’alors nous sommes nous-mêmes le destin. »

Peut-être devons-nous simplement accepter d’être dans la non-maîtrise des événements, et reprendre à l’inverse la devise de l’Abbaye de Thélème : « fais ce que dois ». Accomplir notre devoir humain, jusqu’au bout de ce dont nous avons la maîtrise, et au-delà, embrasser les affres de notre expérience humaine. Le ballon du délire paranoïaque collectif se dégonfle lorsque le langage trafiqué de l’idéologie perd de son charme envoûtant. C’est pourquoi notre liberté se conquiert dans le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, et ce fut depuis toujours le rôle des Humanités. Le « philosophe-médecin »[37] doit diagnostiquer, nommer le délire, et le caractériser.

Irrespectueux des lois du vivant, qui sont immuables, destructeur des lois transcendantes régissant la condition humaine, le système totalitaire est par essence voué à l’effondrement[38]. Il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, la compromission des esprits et du langage, un renoncement à la vérité, et donc à la justice, le primat de la peur, donc de la haine. Je clôturerai ces trois épisodes avec Kertész :

« […] je ne pense pas me leurrer en le disant, je me suis efforcé d’effectuer le travail existentiel, la tâche que m’a imposée le fait d’avoir survécu à Auschwitz. Je sais très bien à quel point j’ai été privilégié : j’ai vu le véritable visage de ce siècle monstrueux, j’ai regardé la Gorgone dans les yeux et j’ai survécu. Mais j’ai su dès lors que je ne me libèrerais jamais de ce spectacle, j’ai su que ce visage me garderait éternellement sous son emprise. […] Et, si vous me demandez maintenant ce qui me maintient en vie sur cette Terre, je vous répondrai sans hésiter : l’amour. »[39]

Notes [regroupées – NdE]

Commentaire : Voici quelques ouvrages en lien avec le sujet développé dans l’article :

  • La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, Pierre Hillard
  • Neuro-esclaves — Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse, Marco Della Luna & Paolo Cioni
  • Un si fragile vernis d’humanité — Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
  • La ponérologie politique, Andrew Lobaczewski
  • Propagandes, Jacques Ellul
  • Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt
  • La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux
  • Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), Sebastian Haffner

Et toujours en lien avec l’article, nos Focus suivants :

Sources de l’article initialement publié en trois parties dans le magazine L’Antipresse — accès réservé aux abonnés — et reprises sur le site personnel d’Ariane Bilheran :




Le partisanisme politique déroule un tapis rouge à la propagande

[Source : entelekheia.fr]

Traduction et note d’introduction : Corinne Autey-Roussel

Aujourd’hui, sur les réseaux sociaux, les forums internet, etc, on en vient souvent à croiser des gens dont les opinions semblent se confondre avec l’individualité elle-même. Ils sont ce qu’ils croient, et rien de plus. Tout argument, si raisonnable soit-il, contre une de leurs opinions est perçue conne une insulte personnelle. Cette perte d’identité propre, signalée par une identification totale de leur ego à des idées extérieures (« l’esprit de gramophone » d’Orwell) est dangereuse, car elle les soumet à toutes sortes de manipulations – politiques, médiatiques, professionnelles, etc. Or, nous ne nous résumons certainement pas à une compilation d’opinions ! Quand nous changeons d’avis parce que des éléments nouveaux nous ont fait avancer dans une réflexion, notre personnalité ne change pas d’un iota ; bien au contraire, elle se développe, mûrit et s’affirme. C’est une réalité de la construction de l’individualité que bon nombre d’entre nous devraient se réapproprier. En attendant…

Corinne Autey-Roussel


Par Caitlin Johnstone
Paru sur le site de l’auteur et Consortium News sous le titre Political Partisanship Is a Propaganda Lubricant

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite grandement le travail des propagandistes.

L‘étude du déroulement du nouveau récit des médias américains sur les ovnis a été très instructive, car elle met en lumière les dynamiques dont je parle souvent sous un jour nouveau qui les rend plus visibles. [Voir, en français, USA : Le Pentagone et les médias grand public voient des ovnis, NdT]

Un thème qui revient en ce moment est celui de gens qui s’étonnent de la discrétion de la réponse de l’opinion publique à toute cette affaire. On pourrait s’attendre à ce que la déclaration officielle du gouvernement américain selon laquelle l’armée a souvent rencontré d’étranges aéronefs inconnus dotés d’avancées technologiques impensables susciterait un peu plus d’intérêt de la part du public, mais jusqu’à présent, ce n’est pas le cas.

Un YouTuber a récemment résumé ce sentiment avec une diatribe de 13 minutes sur l’étrangeté du silence relatif des gens à ce sujet. J’ai vu de nombreuses autres tentatives d’explications de la réponse apathique à la présence d’ovnis dans les actualités. La plus courante est que les gens ont tellement de choses à faire, de nos jours, que la possibilité d’extraterrestres survolant des navires de la marine américaine ne fait pas partie de leurs priorités. D’autres suggèrent qu’il s’agit si évidemment d’une psy-op militaire que le public n’y prête pas attention.

Aucune de ces hypothèses n’est particulièrement convaincante. Nous voyons tous les jours des polémiques absurdes captiver le public, donc l’idée que les gens n’ont pas d’espace mental à dédier à cette histoire ne tient pas la route.

Bien que la conviction selon laquelle le récit des ovnis ressemble à une sorte de psy-op militaire soit largement acceptée par le type de personnes susceptibles de lire cet article (je le dis moi-même depuis un certain temps), le scepticisme à l’égard des affirmations suspectes du gouvernement n’est pas une attitude répandue dans le grand public.

Il me semble assez clair que la raison pour laquelle cette histoire ne suscite pas autant d’intérêt de la part du public que l’on pourrait attendre est qu’elle n’entre pas dans les petites cases où les gens ont été entraînés à classer les actus dans cette société. Il n’y a pas d’angle partisan dans cette histoire, elle ne fait donc appel à aucune des constructions de l’ego auxquelles le grand public a tendance à raccrocher les actus.

Dans notre société, la probabilité pour qu’une nouvelle devienne virale n’a pas grand-chose à voir avec sa valeur informative, son caractère inhabituel, ni même avec son exactitude factuelle. Le facteur le plus probable pour déterminer si une nouvelle aura ou non un attrait massif est qu’elle valide, ou non, la vision du monde de l’une des deux factions politiques dominantes.

Les médias grand public sèment la zizanie

C’est la raison pour laquelle les grands médias sèment délibérément la division et ciblent des chambres d’écho partisanes de plus en plus extrêmes, au lieu de se contenter de rapporter des informations ; ils ont une motivation de lucre évidente, car flatter l’ego des gens avec du « hate porn » et une validation illusoire de leurs idées est le meilleur moyen d’obtenir des clics et de générer des revenus publicitaires.

C’est pourquoi ceux qui ont soutenu la théorie selon laquelle Trump était un agent russe ont vu leur audience grimper en flèche pendant des années, avant d’être définitivement discrédités par l’avocat spécial [Robert Mueller, NdT] auquel ils avaient littéralement tressé des lauriers et à qui ils avaient même allumé des bougies votives. Il y a plus de preuves de présence d’aliens dans l’atmosphère terrestre que de preuves d’ingérence secrète de Vladimir Poutine aux plus hauts niveaux du gouvernement américain. Mais comme le Russiagate a enflammé les passions de la « gauche » libérale et lui a donné l’impression que sa vision partisane du monde était sur le point d’être corroborée par des faits indéniables, il s’est vendu comme du crack à des junkies.

Vous pouvez immédiatement dire si quelque chose va devenir viral par son degré d’appel à un des courants dominants. Un article sur la façon dont les écoles veulent rendre vos enfants transgenres. Un partisan noir de Trump affirmant que Trump n’est pas raciste. [En France, une énième polémique sur Zemmour, ou Alice Coffin, ou Assa Traore, etc, NdT]. Si vous vous éloignez trop des courants dominants, comme avec le gouvernement américain qui s’est fait prendre à trafiquer une enquête de l’OIAC en Syrie, par exemple, vous ne verrez pas de tonnes de clics, mais si le sujet plaît à des dizaines de millions de partisans de l’un des deux courants dominants, vous en verrez.

L’appel à l’ego

Dans une société asservie à la conscience égotiste comme la nôtre, les choses qui suscitent le plus d’intérêt de la part du public sont celles qui flattent ou exaspèrent les constructions de l’ego. Ce phénomène n’est pas propre à la politique ; les publicitaires ont amassé des fortunes en associant des produits à des virus mentaux culturels tels que des problèmes d’image corporelle ou de manque de confiance en soi, et des animateurs d’émissions télévisées ont compris il y a des décennies qu’il était possible d’attirer des audiences massives par la flatterie envers le public, en lui permettant de se sentir autosatisfait et supérieur par rapport à des personnes pauvres et sans éducation.

Pour que quelque chose devienne viral, il faut que cela fasse appel à l’ego. Les annonceurs l’ont compris. Les responsables des médias l’ont compris. Les propagandistes l’ont compris.

La création de grandes structures psychologiques identitaires facilite énormément le travail des propagandistes ; c’est comme un lubrifiant qui permet aux psy-ops de masse de s’insérer en douceur dans la conscience publique. À partir de là, il est très facile de pousser les gens à détester la Russie ou la Chine pour telle ou telle raison partisane, ou de faire croire que l’ancien président Donald Trump ou l’actuel président Joe Biden aident le peuple, alors qu’ils maintiennent et étendent tous deux le même statu quo meurtrier et oppressif que leurs prédécesseurs.

C’est pourquoi le clivage partisan actuel est plus passionné et conflictuel que jamais, alors que le comportement réel de chaque parti dominant, lorsqu’il est au pouvoir, n’apporte que les changements cosmétiques les plus superficiels.

Les oligarques qui possèdent la classe politique et médiatique désirent la perpétuation du statu quo sur lequel ils ont construit leur empire, mais ils veulent aussi garder le public aussi enfermé que possible dans des optiques partisanes – les marchepieds de la propagande qui emprisonne nos esprits.

La solution à ce problème, au niveau individuel, est de démanteler tout attachement égotiste que vous pourriez avoir pour l’une ou l’autre des factions politiques dominantes soumises au maintien du statu quo. Cela inclut tout attachement au populisme factice de la gauche libérale progressiste, et cela inclut tout attachement au populisme factice de la droite « dure » libérale. Ces factions insérées au sein des factions dominantes sont elles-mêmes des constructions de propagande. Elles ne seront jamais autorisées à promouvoir un programme qui ne serait pas souhaité par l’empire oligarchique ; elles servent uniquement à garder sous l’emprise de la politique dominante les gens qui seraient enclins à la rejeter.

Et bien sûr, la solution ultime à ce problème est que l’humanité prenne ses distances avec l’ego. Toute propagande s’appuie sur des ressorts égotistes de la conscience publique, donc si l’humanité commence à abandonner complètement son habitude de créer des structures d’identité psychologique (ce qui semble commencer à être le cas), nous deviendrons de plus en plus difficiles à manipuler par la propagande. Puisque les problèmes collectifs de l’humanité se résument finalement au fait que des sociopathes manipulent nos esprits à grande échelle, une transformation de ce type rendrait un nouveau monde plus sain non seulement possible, mais inévitable.




Julian Assange sur les médias

[Source inconnue]

[Ndlr : la traduction paraît fidèle, même si l’orthographe des sous-titres n’est pas parfaite.]




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Vacciner les adolescents contre le covid : stupidité mathématique, médicale, éthique

Par Gérard Delépine

Alors que l’hystérie vaccinale prospère encore en France malgré les alertes multiples sur les décès entraînés par la vaccination et de graves accidents invalidants, il faut avertir une nouvelle fois que vacciner les enfants et adolescents contre le covid19 est une grave faute éthique, médicale, scientifique. N’embarquez pas vos enfants dans cette galère.

Au 12 juin 2021, l’agence européenne du médicament rapporte(([1] 13,867 dead and 1,354,336 injuries in European database of adverse drug reactions for COVID-19 shots | The BL)) 13 867 décès en rapport avec l’injection et 1 354 336 incidents graves.(([2] Total reactions for the experimental mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) from BioNTech/Pfizer:
6,732 deaths and 502,162 injuries.
14,819 Blood and lymphatic system disorders incl. 74 deaths
11,018 Cardiac disorders incl. 843 deaths
90 Congenital, familial and genetic disorders incl. 5 deaths
6,146 Ear and labyrinth disorders incl. 3 deaths
216 Endocrine disorders
7,119 Eye disorders incl. 17 deaths
45,616 Gastrointestinal disorders incl. 332 deaths
140,516 General disorders and administration site conditions incl. 2,079 deaths
387 Hepatobiliary disorders incl. 28 deaths
5,436 Immune system disorders incl. 32 deaths
15,632 Infections and infestations incl. 711 deaths
5,552 Injury, poisoning and procedural complications incl. 94 deaths
11,782 Investigations incl. 260 deaths
3,730 Metabolism and nutrition disorders incl. 129 deaths
71,816 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 84 deaths
295 Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 21 deaths
90,427 Nervous system disorders incl. 692 deaths
330 Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 11 deaths
100 Product issues
8,902 Psychiatric disorders incl. 99 deaths
1,547 Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
2,052 Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
21,055 Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 777 deaths
23,678 Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 60 deaths
750 Social circumstances incl. 9 deaths
222 Surgical and medical procedures incl. 15 deaths
12,929 Vascular disorders incl. 251 deaths))

Et ce ne sont que les effets indésirables précoces reconnus par l’agence, faisant évidemment l’impasse sur les effets secondaires à moyen terme, probables (fausses couches à répétition en Israël et Grande–Bretagne) et à long terme inconnus, mais craints par les généticiens (augmentation des cancers, des maladies auto-immunes, stérilité ?). Bref, de tels points d’interrogation devraient rendre les plus raisonnables prudents et on s’étonne de l’attitude de militants bio anti-OGM qui n’hésitent pas à s’injecter des thérapies géniques non testées.

Efficacité de la propagande. Comment réagiront les journalistes devant l’évidence des complications niées consciencieusement dans leurs émissions. Les vaccins H1N1 et contre la grippe aviaire avaient été interdits par la FDA après quelques dizaines de décès en rapport avec l’injection. Pourquoi ce silence après de milliers de morts ?

Et en parallèle, rappelons que le covid19 n’a pas touché les enfants sans maladies préalables potentiellement léthales.

Depuis le début du #covid19 :

  • de 0 à 9 ans : 5 décès avec des comorbidités graves ;
  • de 10 à 19 ans : 9 décès causés par des comorbidités graves.

Alors, comment accepter le pseudo-impératif arithmétique ?
Maths que de délires commet-on en ton nom ?

Stupidité arithmétique

Tout récemment(([3] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([4] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([5] dans une interview au Journal du dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe.

Comment peut-il arriver à ce chiffre ?

Rappelons tout de même que ce professeur, lié à la fondation Rothschild est responsable de la vaccination obligatoire des nourrissons depuis 2018 imposée par Mme Buzyn mise à l’abri des poursuites judiciaires par son statut international à Genève, en marchant allégrement sur les rapports des professionnels de santé et du panel de la société civile qui s’étaient déclarés opposés à l’obligation pure et simple.(([6] « Pour être honnête, on voit mal où s’est glissée la démocratie sanitaire dans cette concertation. Comme si la notion de débat était perçue comme une contrainte ou un mal nécessaire, et non comme un passage obligé. Même les jurys citoyens se sont plaints que l’on n’ait pas fait état de leurs conclusions. Questionnés ainsi par l’Agence de presse médicale, il ressort que les avis des jurys divergeaient des propositions du comité sur plusieurs points. Par exemple, les avis des jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pris en compte. Le jury de professionnels de santé souhaitait, pour sa part, que le ministère de la Santé soutienne les recherches sur les effets de la vaccination à moyen et long terme et il proposait de saisir une commission parlementaire sur les adjuvants. Cela n’a pas été retenu, ni même évoqué. Et lors de la présentation, Alain Fischer a balayé toutes ces réticences, bien rapidement. »
Vaccination, le rendez-vous manqué de la concertation – Libération (liberation.fr) ))

Alors l’impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Aberration médicale ou manipulation : proposer la vaccination aux ados comme antidépresseur !

Dans cette interview, le professeur Fischer, après avoir reconnu que les mineurs « n’ont qu’un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l’idée de vacciner les ados à la place des adultes réticents est éthiquement inacceptable », prétend aussi qu’ils pourraient « tirer un bénéfice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandémie avec des décrochages scolaires et des impacts psychologiques très lourds pour les jeunes privés de collège ou de lycée, car la vaccination va réduire le risque de fermeture d’établissements à la rentrée ».

Son aplomb n’est pas digne de sa réputation et de son passé et rappelle plutôt celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu’elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considérables(([7] dont des suicides d’enfants très jeunes)) et le massacre éducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont été victimes.(([8] Et qui se poursuivent via la répression des manifestations festives post bac !))

Pour faire disparaître ces complications, il suffirait de reconnaître que l’épidémie est quasiment finie en France(([9] D’après le réseau sentinelle, l’incidence actuelle du covid en France est inférieure à 5/100000 et moins de 5000 nouvelles contaminations quotidiennes y sont recensées contre plus de 8000 en Grande-Bretagne championne européenne de la vaccination)), que les jeunes n’en ont jamais été responsables(([10] La fête de la musique, le carnaval de Marseille, les fêtes de Bordeaux et les rave parties qui ont été sanctionnées par de très nombreuses amendes, dispersions policières musclées, plaintes préfectorales, de garde à vue pour « mise en danger de la vie d’autrui » n’ont jamais été à l’origine de clusters prouvés.)) et de supprimer immédiatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vérité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme : « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux données actuelles de la science.

En effet, toutes les études épidémiologiques publiées depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De même la persistance ou la reprise des activités scolaires ne se sont accompagnées nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 18 mois d’épidémie et plus de 175 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré selon l’analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe)(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug; 109(8):1525-1530. doi: 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

  • L’étude de l’INSERM(([13] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L’étude de l’institut Pasteur(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
  • L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »(([15] Anne Jouan Exclusif Covid-19 : les enfants accusés… et innocentés Paris Match 09/05/2020))
  • Aux Pays-Bas,(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
    https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
  • En Irlande,(([17] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.)) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie,(([18] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse(([19] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020; 146(2):
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
  • En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

En Israël, une poussée de covid est apparue dix jours après la réouverture des écoles et des universités. Le rôle d’un employé super contaminateur a été clairement mis en évidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d’un enfant n’a été établi.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(([20] Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI:
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « dans la transmission du COVID-19, l’enfant n’est pas à blâmer. »

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont également claires :

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([21] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montrent un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard)) ne citent que de vagues études de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips télévisés émotionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l’origine de multiples dégâts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des épidémies de suicide, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s’excuser auprès de la population des mensonges diffusés à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité médicale : dans le monde réel, les vaccins covid actuels sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination antiCovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-État la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussée post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a été observée sur l’Île de Man

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L’exemple démonstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS et très peu de la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination était censée empêcher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de l’épidémie.

Le 18 juin2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (2775) deux fois moins vaccinée.

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

AUCUN ARGUMENT RATIONNEL NE JUSTIFIE LA VACCINATION DES ADOS À MARCHE FORCÉE

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants ?

Essais en cours sur les enfants aux États-Unis

La revue du 2 juin de Laure Gonlézamar pour France Soir(([22] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) )) fait le point de la situation des éléments connus sur les essais en cours sur les enfants aux États-Unis.

« Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés.

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources.

Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées.

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent rapidement, comme par magie ; notamment sur YouTube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés.

On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées », car seule compte la propagande vaccinale.

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6 % de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants, car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés ».

Pas de risque du covid pour les enfants et ados, risque des vaccins non négligeables et inconnus. Pourquoi vacciner ? Pour un voyage ? Mais le pass vaccinal est en train de sauter et vous pourrez bientôt voyager librement.

Vous avez la vie devant vous, ne prenez pas le risque de la gâcher !





« Le complotiste est celui qui veut penser par lui-même !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La situation intellectuelle dans la partie occidentale du monde est absolument affligeante de bêtise.

Pas la bêtise du petit peuple. Non, je parle de la bêtise de nos « élites »  qui nous expliquent doctement « qu’il ne faut pas penser par soi-même », qu’il ne faut « surtout pas chercher à comprendre par soi-même », oui, voici la nouvelle définition du complotisme.

Nous vivons des heures surréalistes et je vous l’annonce, les heures du surréalisme précèdent toujours les heures sombres de l’histoire.

Voilà ce que vient de déclarer le plus sérieusement du monde Monsieur Sébastien Dieguez, neuroscientifique, et chercheur tout de même à l’Université de Fribourg. Après une carrière de clinicien, il se tourne vers la recherche en sciences cognitives et travaille actuellement sur la formation des croyances, en particulier l’adhésion aux théories du complot. C’est du lourd et du sérieux dans le monde académique, le vrai, celui qui est payé par les gouvernements forcément gentils qui ne vous veulent que du bien, et que même ils ne vous mentent jamais… les États !

Ils n’ont pas menti en URSS.

Ils n’ont jamais menti dans l’ex-RDA.

Ils n’ont jamais menti en France, avec le médiator, le sang contaminé, ou encore le nuage de Tchernobyl qui s’arrête à la frontière. Jamais un État ne ment.

Ils n’ont jamais menti pour aller faire quelques guerres, tenez, souvenez-vous de Colin Powell le ministre américain à la Tribune du Conseil de sécurité de l’ONU brandissant fièrement la petite fiole d’armes de destruction massives de Saddam Hussein. Non, jamais les États ne mentent. Ils sont purs. C’est le camp du bien. Les méchants, ce sont les « zôtres ».

Bref, selon le sieur en question voici une description d’anthologie et orwellienne des « complotistes ».

La perle de l’année nominée aux oscars du meilleur propagandiste officiel !

« Ce que fait le complotiste il va faire des recherches par lui-même, il veut penser par lui-même, il veut voir par lui-même »…

Et oui, un vilain complotiste a l’audace de faire tout cela.

Il veut tout faire par lui-même. Incroyable.

Il veut travailler et faire ses recherches, il veut voir par lui-même, et enfin, il a l’outrecuidance de vouloir, et c’est, je crois, la pire des fautes, « penser par lui-même ».

Insupportable.

Trop dangereux.

D’ailleurs j’ai quitté la BNP peu avant que son nouveau DG ne déclare en plénière devant les cadres du groupe, que « commencer à réfléchir, c’était commencer à désobéir ». Hahahahahahahahahahaha.

Ce grand spécialiste, va-même rajouter qu’il est « impossible de penser par soi-même », ce qui peut effectivement se discuter en termes philosophiques au café de Flore entre spécialistes de la philo, mais qui est complètement con quand on veut parler de complotisme et étudier « la formation des croyances ». Effectivement, on pense avec l’ensemble des éléments que l’on soumet à notre réflexion, et plus nous avons d’éléments qui viennent enrichir notre réflexion, plus nos capacités de compréhension sont bonnes, et meilleures sont nos pensées. Mais notre philosophe de comptoir fait ici œuvre de propagande. Il connait très bien la différence, il sait également très bien, que toutes les grandes avancées, les grandes innovations sont l’œuvre de « transgresseurs » de l’ordre établi. Le progrès ne vient jamais du respect des règles.

Qu’il s’agisse de social, du politique, ou du scientifique et du technique, ce sont les transgresseurs de l’ordre établi qui font toujours, je dis bien toujours avancer les choses.

Nous continuerions la traite négrière si nous n’avions pas eu des transgresseurs pour expliquer que l’esclavage c’était peut-être pas bien. Vous seriez toujours dans une caverne à manger un morceau de mammouth en croyant que la terre est plate si les croyances de ces époques n’avaient pas été transgressées.

Allons plus loin.

Complotisme : comment le démasquer et quelle riposte adopter  ? Se demande l’Humanité…

Oui, l’Humanité, enfin ce qui reste de ce quotidien pose dans cet article du 21 mai de cette année 2021 quelques pensées fulgurantes sur le complotisme, et j’en rigole encore dans ma barbe blanche.

Comme vous le savez, dénoncer le complotisme c’est bien vu.

Vous pouvez avoir des points bonus de bien-pensance crétine si par exemple vous dites que l’égalité homme-femme c’est important, si vous parlez des minorités cela rapporte encore plus de points, mais le mieux, c’est d’associer complotisme et antisémitisme. Là, vous faites carton plein. C’est le summum.

Pour Iris Boyer « le complotisme est intimement corrélé à un sentiment de défiance : un désenchantement par rapport à une vérité jugée inadaptée à une situation inédite et incertaine ou un refus d’adhérer à l’information portée par un messager jugé non crédible ». Et oui, ma chère Iris, le problème ce n’est pas la « défiance » venue de nulle part, c’est l’accumulation des mensonges des autorités qui carrabistouillent les peuples d’une manière jamais vue dans le monde depuis la propagande de la Pravda soviétique.

Mais la palme dans cet article de l’Huma revient à Pierre Khalfa qui nous explique dès les premières lignes que « les réseaux sociaux ne font qu’accélérer considérablement le phénomène, ils ne le créent pas. Au début du XXe siècle, les Protocoles des sages de Sion, un faux rédigé par la police secrète tsariste, n’ont pas eu besoin des réseaux sociaux pour devenir un best-seller antisémite mondial »

Il ne s’est sans doute même pas rendu compte qu’en déclarant cela, il venait de confirmer la nécessité absolue que nous soyons tous complotistes, à savoir, depuis que nous avons une définition claire selon le spécialiste ci-dessus en vidéo, qu’il faut penser par nous-mêmes et vérifier par nous-mêmes, parce que le protocole des Sages de Sions, texte totalement antisémite n’a pas été écrit par des antisémites complotistes dans une cave ou un sous-sol caché, mais par les services secrets d’un état souverain.

Pierre Khalfa prend exactement l’exemple qu’il ne faut pas prendre, car cet exemple montre que ce sont bien des États qu’il faut douter.

Il n’y a pas à dire, quand on ne pense plus, on ne risque pas de bien penser, et quand on pense faux cela se voit également.

Avec ce genre d’arguments, il est évident que tous ceux qui veulent encore penser en dehors d’une pensée imposée voudront le faire encore plus.

Cela montre aussi à quel point ces mots et ces termes sont utilisés pour faire taire, pour faire peur, pour ostraciser, pour pointer du doigt, et pour discriminer celui qui pense.

N’ayez pas peur, et n’ayez pas peur de penser.

Penser ne veut pas dire avoir raison.

Mais penser c’est le début de la liberté.

Pour le reste lorsque l’on veut combattre le complotisme en demandant aux gens de cesser de penser, nous sommes en plein naufrage intellectuel.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »


[Voir aussi :
Les « Expliqueurs » : Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux
Ayez le courage d‘être un complotiste !
De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »
De l’urgence d’être complotiste
À propos du complotisme et des complotistes
Comment répondre à quelqu’un qui vous traite de complotiste ?]




Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



[Voir aussi :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !

[Source : kla.tv]

La belle chanson populaire allemande « Les pensées sont libres – qui peut les deviner ? » est malheureusement devenue une illusion à l’ère de la digitalisation. C’est ce qu’affirme et ce que prouve le Dr. Karl Hecht., médecin et professeur de neurophysiologie renommé, chercheur en neuroscience et médecin de l’environnement.
Le spécialiste, âgé de 96 ans, décrit de façon très claire le fonctionnement technique de la manipulation et du contrôle de l’esprit, notamment par le biais des ondes électromagnétiques. Il nous fait ainsi découvrir les débuts des expériences technologiques sur le contrôle des esprits dans les années 1950 et 1960, qu’il qualifie de « vieux jeu » dans la perspective d’aujourd’hui. Car jamais auparavant les conditions technologiques d’une dictature totale n’ont été aussi mûres qu’aujourd’hui.
Le professeur Hecht demande instamment que ce processus inhumain soit arrêté, afin que l’humanité ne se supprime pas elle-même par la digitalisation. Il est grand temps de revenir à la nature divine si nous ne voulons pas être dépouillés de toute humanité par l’idéologie de la digitalisation et être dégradés en robots humains totalement contrôlés.
Regardez maintenant l’interview du professeur Dr. Karl Hecht, que Kla.TV a réalisée pour vous en décembre 2020.

Interview:

Modérateur : Professeur Hecht, merci de nous permettre d’être avec vous aujourd’hui, de nous inviter et de nous permettre de parler du thème de la « digitalisation de l’humanité ». Professeur, en cette année marquée presque exclusivement par la crise de la Covid-19, vous avez écrit un article académique en août qui semble être un réveil urgent. Son titre : « Les pensées sont libres, mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini. » Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire un article aussi complet et percutant à l’âge de 96 ans ?

Professeur Hecht : C’est mon habitude, je veux transmettre à l’humanité la vérité fondée sur la science. L’idéologie de la digitalisation crée une euphorie, c’est-à-dire un enthousiasme pour cette technologie, et il y a beaucoup de promesse. Prospérité, confort, voire santé et même immortalité grâce à l’intelligence artificielle. Mais la vérité est ailleurs. La digitalisation apporte une surveillance totale. La digitalisation entraîne une diminution des emplois et rend les humains superflus. La digitalisation entraîne ou provoque la manipulation de l’opinion publique, et finalement nous vivons une situation où l’homme perd lentement le contrôle sur la technologie. Ces derniers temps, les médias ont diffusé l’information selon laquelle Elon Musk a inventé ou est même en train d’expérimenter un implant Neuralink, qui est une interface entre l’ordinateur et le cerveau. Il décrit que c’est assez simple. Cet implant Neuralink n’est pas plus grand qu’une pièce d’euro et vous pouvez le mettre sur le crâne en incisant le cuir chevelu, puis il y a une connexion, une interface entre le cerveau et ce Neuralink, puis l’ordinateur ou le téléphone portable, etc. Il disait encore que la connexion entre le cerveau et l’ordinateur est nécessaire pour que les humains, ou l’humanité dans son ensemble, puissent bénéficier du développement de l’intelligence artificielle. Et c’est bien sûr un message choquant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article.

Modérateur : Professeur, l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk a fait l’objet d’une large publicité dans les médias. Comment le Neuralink d’Elon Musk est-il censé fonctionner ? Et quels dangers y voyez-vous ?

Prof. Hecht : Oui, je voudrais tout d’abord vous expliquer comment cela va fonctionner, et pour que vous puissiez comprendre tout cela je dois vous donner une petite leçon de neurophysiologie. Voici le cerveau humain – ici une coupe transversale. Je tiens à dire à ce propos que notre cerveau compte 100 milliards de cellules nerveuses, et que chaque cellule nerveuse peut se connecter à toutes les autres, c’est-à-dire à 10 000 autres, c’est alors comme un organe à part entière ; c’est la caractéristique de l’être humain.
Vous voyez ici le cerveau antérieur, et Mme Teuchert-Noodt pense que le plus important c’est qu’il arrive à maturité, et cela ne se produit que jusqu’à l’âge de 18 ans, et il ne doit pas être irradié par des ondes ou par des facteurs externes ou être endommagé. Vous voyez ici au milieu ce qu’on appelle l’hippocampe, ce qu’on appelle le système limbique, et ici l’amygdale, qui est le centre émotionnel. Et dans les années 1940, le neurophysiologiste suisse Walter Rudolf Hess a découvert que s’il insère une électrode très fine et la stimule électriquement, des émotions sont générées dans cette zone. Par exemple, le rire, les pleurs, la colère, l’agacement. Donc on a constaté que dans cette région se reflètent nos émotions. C’était une grande découverte pour l’époque, il a reçu le prix Nobel pour cela. Et on a également partiellement appliqué ça en médecine, de telle sorte que des électrodes ont été insérées dans certaines zones du cerveau chez des patients souffrant d’épilepsie et de la maladie de Parkinson. J’ai moi-même vu la professeure Bechtereva travailler avec des épileptiques dans la clinique de Saint-Pétersbourg. Mme Olga Bechtereva est la fille du Bechterev dont une maladie porte le nom. Et il s’agissait surtout de blessés de guerre qui avaient des balles dans le cerveau ou des éclats d’obus. Et ils avaient jusqu’à 20 crises d’épilepsie et quand ils ont mis l’appareil dans une certaine région, l’appareil a produit une courte et légère stimulation électrique, et la crise n’a pas eu lieu. Cela n’a pas été fait en masse, mais ça a été répété souvent. Et chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les tremblements se sont arrêtés. Voilà comment ça a commencé.
Ensuite, deuxième chose : Tout ce traitement de l’information entre les centaines de milliards de cellules nerveuses se fait par des moyens électriques et nous pouvons mesurer l’électricité. C’est ce qu’on appelle l’EEG, l’électroencéphalogramme, et vous pouvez voir ici que nous avons des ondes différentes et aussi des fréquences différentes. Par exemple, le rythme alpha de 7-12 Hz, ou le rythme bêta de 13 Hz et plus. Ou ici le rythme thêta de 4-7 Hz, qu’on voit par exemple dans la méditation. Et puis le rythme delta qui est, par exemple, le rythme du sommeil profond, mais aussi d’autres fonctions, il est inférieur à 4 Hz. Et sur la base de cette configuration, de cette amplitude et aussi de la fréquence, on peut déterminer certaines fonctions. C’est là le point de départ pour les micro-ondes, les ondes radio qui sont introduites dans le cerveau
Cela se produit donc lorsque, à partir d’un émetteur ou d’un téléphone portable, on intervient dans les ondes cérébrales et ainsi on peut influencer le cerveau, selon les fréquences utilisées et selon comment vous l’appliquez.
Et aujourd’hui, comme [Armin] Grunwald l’a également dit, tout est possible avec la modulation de fréquence. Ça déjà été fait dans les années 70 aux États-Unis, des expériences ont été faites pour influencer l’électroencéphalogramme avec des micro-ondes, et donc aussi manipuler le cerveau.
Il y a aussi d’autres études, nous avons le champ magnétique de la terre, appelé onde de Schumann qui nous protège. Et cela passe également par le cerveau et constitue en fait une fonction vitale et les ondes radio peuvent également perturber cette fonction vitale. Et maintenant Musk a fait la chose suivante : il apporte cette interface et grâce à cela, si j’ai maintenant un téléphone portable, par exemple, ou un ordinateur, cela va à l’interface et l’interface se transforme alors en cerveau. Il s’agit donc en fait d’une sorte de petit ordinateur qui peut également stocker des données. Et à partir du cerveau, l’information peut alors revenir à l’interface et retourne au téléphone portable ou à l’ordinateur.
Et bien sûr, vous pouvez également l’influencer en conséquence et ainsi, un cerveau de robot est créé, qui peut alors influencer le vrai cerveau.

Modérateur : Est-ce que j’ai bien compris ? On a comme une application pour téléphone portable, et ensuite on peut en pratique influencer la conscience, etc., c’est très dangereux !

Prof. Hecht : Oui. Et vous pouvez même, si quelqu’un téléphone, influencer la conscience par le biais du téléphone portable. Vous pouvez donc manipuler comme vous le souhaitez et guider réellement la personne ou même lui donner des instructions, pour qu’elle tire sur quelqu’un par exemple, ou qu’elle fasse ceci ou cela. Il est alors en fait un « tenu en laisse par la digitalisation », si je peux le présenter ainsi.

Modérateur : On a à peine perçu une réaction publique critique à l’implant cérébral Neuralink d’Elon Musk. Le fait que ce soit sous-estimé pourrait-il avoir un rapport avec le fait que le contrôle des esprits, c’est-à-dire le contrôle mental ou le contrôle des pensées, est connu dans les romans ou les films de science-fiction, mais qu’on dit généralement qu’il s’agit d’une théorie de conspiration ?

Prof. Hecht : C’est possible. Mais un scientifique américain, dont je viens d’oublier le nom, a dit un jour qu’on ne peut garder que les petits secrets. Les grands secrets sont gardés secrets par l’incrédulité du peuple. Et c’est précisément cela : le peuple croit plus au mensonge qu’à la vérité et à la science. Il existe des enquêtes à ce sujet. Mais beaucoup de choses se passent dans le plus grand secret ou à l’arrière-plan. Je voudrais rappeler dans ce contexte comment j’ai découvert ce contrôle des esprits et ces influences.

Modérateur : Oui, avec plaisir.

Prof. Hecht : En 1968, il y a eu le Congrès mondial de physiologie à Washington, et à ce congrès, il y a eu une nouveauté. Un professeur, le Dr José Delgado, un Espagnol, qui a travaillé en Amérique à l’Université de Yales, a mené une expérience sensationnelle. Il avait un groupe de singes, dans ce groupe, le singe dominant était un colérique, c’est-à-dire qu’il se mettait très vite en colère. Et quand il se mettait en colère, il mettait sa patte dans sa bouche, rugissait, puis s’en prenait aux singes, les mordant et les frappant.

Ensuite M. Delgado a fait ce qui suit : il lui a mis sur la tête une interface, similaire à la courbe du cerveau antérieur, attachée avec un récepteur.

Et dans la salle se trouvait un émetteur qui s’activait lorsqu’on appuyait sur un levier. Et quand ce singe dominant mettait la main dans sa bouche, un singe du troupeau courait vers le levier pour le descendre et ce singe dominant devenait tout de suite doux comme un agneau. M. Delgado a ensuite effectué ces recherches dans des arènes de tauromachie en Espagne. Il a également mis cette interface sur les taureaux qu’on avait rendus colériques, et lorsqu’il appuyait sur le bouton, le taureau était complètement calme et n’était plus agressif. C’est-à-dire qu’à l’aide de cette technique il était possible, par exemple, de rendre les personnes agressives complètement paisibles.
Mais bien sûr, les services secrets ont immédiatement pris conscience de ce phénomène et ont travaillé avec cela. Et M. Delgado a ensuite approfondi le tout, puis a découvert, comme je l’ai déjà dit, à l’aide des micro-ondes, des ondes radio, qu’il pouvait entrer directement dans l’électroencéphalogramme. Et il a ensuite écrit un livre : « Le contrôle physique de l’esprit », en fait des pensées… Mais nous voyons que le contrôle de l’esprit est en partie fait sous le couvert d’agir pour la médecine… peut-être est-ce le cas. Il est toujours difficile dans ce domaine de séparer le bon et le mauvais. Et puis je voudrais parler d’un événement qui m’a également étonné : À l’Université de Tübingen, une étude est en cours intitulée « L’interface pour améliorer l’enseignement ». Là, les enfants reçoivent une sorte de bandeau, avec lequel l’électroencéphalogramme est enregistré. Et l’électroencéphalogramme reflète alors trois états, trois « émotions », c’est-à-dire : « attentif », « indifférent» et « inattentif », ce qui est déjà critique. Donc, trois lampes s’allument : le bleu « inattentif », le jaune « attentif » et le rouge « très concentré ».

Modérateur : Comme un feu tricolore sur le front, que l’enseignant est…

Prof. Hecht : Oui, et pas seulement cela. L’institutrice a comme un ordinateur ou un téléphone portable où elle voit chaque élève par ondes radio : « Aha, là ça s’allume en rouge, là ça s’allume en bleu » etc. et elle peut ainsi contrôler. Ça va même plus loin : une moyenne est calculée et elle voit quels élèves sont inattentifs et quels élèves sont attentifs et concentrés. Et je trouve que c’est une intrusion terrible dans le cerveau de l’enfant. Mais cette étude est soutenue par la ministre de l’éducation du Bade-Wurtemberg et présentée comme un progrès dans l’enseignement.

Modérateur: Mais prenons un peu de temps pour approfondir ce sujet, car il est aussi question de la 5G : son extension progresse de plus en plus. Et Elon Musk a également prévu de mettre en orbite autour du globe des satellites qui sont aussi équipés de rayonnement 5G. Cela signifierait donc qu’il peut pratiquement contrôler le monde entier si les gens sont prêts à faire installer l’un de ces dispositifs. Mais c’est… et surtout avec la 5G…

Prof. Hecht : Exactement. Que ce soit avec la 5G ou avec le WiFi, cela peut être fait avec n’importe quel… Mais la 5G c’est surtout la mise en réseau du monde entier. Et avec ça, on peut influencer tout le monde. Et je reviens encore une fois sur le Neuralink de Musk : c’est exactement avec ça qu’on peut contrôler chaque personne à tout moment, on peut la tuer et on peut faire toutes sortes de choses.

Modérateur : Dans votre article, vous mentionnez également une série de brevets pour le contrôle de l’esprit et de la pensée, qui peuvent être utilisés ou ont été utilisés depuis longtemps à des fins militaires et aussi pour les services secrets. Pouvez-vous nous expliquer le fonctionnement de cette technique à l’aide d’un exemple ?

Prof. Hecht : Oui. Ici, j’ai un brevet, un brevet allemand de 2002. C’est de la « transmission de pensée ». Et les domaines d’application sont, par exemple, les suivants : pouvoir communiquer avec les pensées, mais aussi pouvoir transmettre des informations discrètement. En outre, on dit qu’on peut écouter les criminels avec cette application, ce qui permet de savoir quelles sont leurs pensées. Ou à l’aide de ces micro-ondes, on peut stabiliser les pensées – si quelqu’un est en négociation et a besoin de soutien, on peut le soutenir. Et puis vous avez la possibilité d’influencer le métabolisme du cerveau et tout le reste à l’aide de ces pensées. Et ça fonctionne dans la gamme des gigahertz – on ne précise pas ici d’intensité de champ. Mais je sais que la fonction cérébrale réagit à un champ, le champ magnétique, de 0,3 picowatt (pW) par centimètre carré. Donc à des stimuli très faibles. Et c’est ce que la plupart des gens ne savent pas ou ne reconnaissent pas, le fait que notre cerveau réagit particulièrement à des champs électromagnétiques très faibles, et que ces stimuli peuvent soit causer des maladies, soit être utilisés pour manipuler. Et j’ai ici quelques vues de ce brevet, que je voudrais vous montrer brièvement. Ainsi, à l’aide d’un système de radar, on peut irradier chaque être humain de manière appropriée. Il est montré ici qu’on peut également le faire à travers des murs, des murs en béton, à partir de n’importe où. Ici, prochain exemple, à l’intérieur d’une maison ; ainsi par exemple je peux, du premier au dernier étage, influencer les pensées d’une personne ou les lire, etc.

Modérateur: Au moyen d’un canon à ondes ou d’une antenne ou… ?

Prof. Hecht : Et c’est possible, même s’il y a une quelconque protection, les ondes peuvent passer à travers. Et enfin, encore une très mauvaise chose : depuis un avion ou un drone, je peux aussi influencer avec cette technique et ensuite causer des dégâts ou donner des ordres, etc. Ça fonctionne à nouveau selon le principe suivant, je le répète : si les micro-ondes sont émises depuis ces endroits, ça va dans le cerveau et le cerveau traite cela de manière appropriée. Il existe des preuves à cela. Et il s’agit d’un brevet allemand, c’est pourquoi je tiens à le dire. En Amérique, il y en a encore beaucoup plus. J’ai trouvé dans un livre 27 sources de brevets, qui vont dans le même sens d’une influence sur les émotions. Ainsi, par exemple, vous pouvez influencer l’être humain comme José Delgado a influencé les singes, comme il a influencé le singe dominant. Par ces méthodes on peut aussi provoquer l’agressivité. Tout est donc possible.

Modérateur: Cela signifie donc que nous avons affaire ici à une technologie qui déshumanise l’homme concrètement. L’homme est transformé en machine contrôlable, en robot.

Prof. Hecht : C’est exactement ce qu’ [Armin] Grunwald a dit : Nous sommes en train de nous digitaliser et la société technologique qui se développe ne fera aucun bien à l’humanité. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai écrit cet article. Nous devons faire bouger les choses. Nous devons réduire l’enthousiasme pour la digitalisation et revenir à la nature.

Modérateur : Pensez-vous donc qu’il soit possible, à notre époque, que les micro-ondes générées techniquement puissent fonctionner non seulement pour contrôler les esprits, mais aussi comme une arme, pour chasser ou éliminer pratiquement les masses indésirables ? Et puis, comment peut-on, tout d’abord, se défendre contre ces armes ou contre tout cela, en tant que citoyen ordinaire ?

Prof. Hecht : Se protéger…

Modérateur : Oui, se protéger.

Prof. Hecht : Oui, eh bien, je dirai presque que l’arme à micro-ondes est « vieux jeu ». Paul Brodeur, un Américain, a écrit un livre. Il est sorti en 1980, « Le danger dissimulé » et avec ce livre il a tout décrit, les effets néfastes des micro-ondes – en 1980 ! – et il a également fait état des armes qui sont développées aux Etats-Unis, par exemple. À l’époque, c’était encore les micro-ondes qui étaient liées à la chaleur… je dois dire qu’on fait une distinction entre les rayonnements ionisants et les rayonnements non ionisants. Et avec les rayonnements non ionisants, on a des effets thermiques et athermiques. En Allemagne, par exemple, la valeur limite est fixée en fonction de la notion thermique, c’est-à-dire qu’elle nous protège juste de ne pas nous faire griller. Et aux États-Unis, selon M. Brodeur, des armes développées à cette époque pouvaient tuer les gens en les chauffant. Mais il ne s’agit là que d’une seule sorte. M. Brodeur décrit également un événement que je voudrais raconter. Il écrit que, par exemple, des équipages de sous-marins américains et soviétiques se sont rencontrés en mer, et ils sont tous immédiatement rentrés à l’intérieur parce qu’ils s’irradiaient les uns les autres. Mais il existe des armes psychotropes. Et par exemple, pour que je puisse présenter beaucoup de rapports, voici un rapport du conseil scientifique consultatif de l’armée de l’air américaine. Il y est dit qu’à l’aide des champs électromagnétiques, on peut influencer les gens à la manière d’un psychotrope. On peut ainsi les faire dormir, par exemple, on peut provoquer des hallucinations, ils peuvent provoquer de la peur, de l’agressivité, ou même des troubles de la mémoire. Tout cela est possible, c’est en train de se passer.

Modérateur : Ce qui est possible dans le cadre militaire est également possible pour nous citoyens.

Prof. Hecht : Oui. Ou bien ici, le major soviétique Tchernishev, il a écrit un article en 1997 dans une revue militaire en Russie, où il parle des armes psychotropes et il dit que c’est commun et il dit qu’il y a des générateurs assez puissants pour influencer le cerveau et le psychisme des êtres humains de manière appropriée. Et il énumère toute une série de générateurs de ce type qui rendent cela possible. C’était en 1997. Ça fait maintenant plus de 20 ans. Il y en a donc certainement d’autres aujourd’hui. Mais je voudrais parler d’une autre chose, ce n’est peut-être pas une arme, mais indirectement, c’est une arme. C’est ce qu’on appelle le « signal de Moscou ». Il y avait notamment dans l’ambassade américaine de la rue Tchaïkovski à Moscou, un émetteur de 1 000 watts installé pour espionner. C’était courant à l’époque, c’est probablement le cas encore aujourd’hui. Et les Soviétiques avaient installé un émetteur de l’autre côté de la route, à 70 m de distance, mais avec une intensité de champ magnétique de 0,001 mW par cm2.

Modérateur : C’est moins que la limite actuelle.

Prof. Hecht : Oui, à l’époque la limite en Amérique et en Europe était de 10 mW par cm² et en Russie, en Union soviétique, mais aussi dans d’autres pays à l’époque du bloc socialiste, elle était de 0,01 mW par cm2. C’était donc 10 000 fois inférieur à la limite applicable en Europe, aux États-Unis, je dois dire. Et puis, il y a eu une discussion ou une rencontre entre le président Johnson et Kossyguine de l’Union soviétique, et ils en ont parlé. Mais Kossyguine a dit, nous sommes dix fois en dessous de la valeur limite, de votre valeur limite, alors est-ce qu’il peut arriver quelque chose ? Oui, quelque chose est arrivé. En 17 ans, sur les 4 ambassadeurs, les ambassadeurs américains qui étaient à Moscou, deux sont morts d’un cancer –Thompson et Pullan, et Stoessel d’une leucémie. C’est-à-dire que, par cette irradiation faible et constante, ces hommes ont eu le cancer et leur organisme tout entier a été détruit. Maintenant, je fais le lien avec la 5G d’aujourd’hui. La 5G est conçue en basse fréquence, pour qu’elle puisse rayonner partout dans les maisons. Et si maintenant on a ces ondes 5G, ça peut durer des années avant que le cancer se développe. Mais c’est possible même avec des valeurs aussi faibles. Il faut sans cesse se rappeler cela : ça produit des effets et la valeur limite en Allemagne et en Europe ne vaut rien du tout. Ça produit des effets.

Modérateur : Hmm, donc beaucoup trop haut.

Prof. Hecht : Mais je voudrais dire autre chose, une dernière chose, qui est aussi très grave. Il y a eu une conférence à Genève en 2018, à laquelle plus de 70 pays ont participé, et là ils ont parlé et ils se sont disputés à propos de l’interdiction des robots-tueurs ! Ça signifie donc qu’aujourd’hui, vous pouvez constituer une armée de robots-tueurs qui va ensuite contre les humains ou qui est dirigée d’une manière ou d’une autre. Une telle chose est planifiée et, bien sûr, je dis que ce n’est pas croyable de faire de telles choses. L’astronaute Gerst, l’astronaute allemand Gerst, qui était dans la Station Spatiale Internationale [ISS – Station Spatiale Internationale], il voulait diriger le robot Justin, parce qu’ils veulent éventuellement coloniser Mars avec des robots ; et tout le temps qu’il était là-haut, pendant trois mois, Justin a réagi complètement d’une autre manière que ce que l’astronaute voulait. Cela signifie donc que les robots ont aussi leur propre intelligence artificielle et qu’ils ne peuvent pas être contrôlés du tout. L’idée même de créer une telle armée ou même de produire une telle chose est, à mon avis, un crime de guerre, et ça doit donc être interdit. Je n’ai pas eu plus d’informations sur le déroulement de la réunion. Mais le fait que cela ait eu lieu m’a choqué. Ainsi, il y a un très vaste travail en cours qui consiste à fabriquer des armes à micro-ondes et des armes digitalisées ou à travailler sur ce projet. Bien sûr, d’une certaine façon c’est gardé secret, et c’est qualifié de théorie de conspiration. Mais le fait est qu’une telle chose existe, et je voudrais protester contre ça en tant que médecin et appeler le gouvernement à interdire de tels projets de recherche et à ne pas dépenser d’argent pour cela. Donc, et pour conclure, je voudrais dire que j’ai donné comme titre « Les pensées sont libres », et j’aimerais qu’en stoppant cette folie de digitalisation, nous ayons à nouveau les pensées libres. Que nous puissions chanter la chanson « Les pensées sont libres, qui peut les deviner, elles passent comme des ombres dans la nuit. Aucun chasseur ne peut les abattre, personne ne peut les connaître. Je m’y tiens, les pensées sont libres. » C’est ce que nous devons réaliser ! Et je voudrais citer Bertolt Brecht, qui est bien connu ici au théâtre de Berlin. Il a dit : « Penser est le plus grand plaisir de la race humaine. » Et c’est exactement ce que nous devons poursuivre. Nous ne pouvons pas faire cela avec la digitalisation, nous ne pouvons le faire qu’avec la libre pensée. Et nous devons maintenant nous battre pour ces pensées libres, nous devons les diffuser à travers la science, à travers le savoir, à travers la vérité scientifique, et c’est pourquoi j’ai écrit cet article.

Modérateur : Très bien. On peut sentir votre cœur. Il est évident que vous êtes très engagé dans ce domaine. Oui, merci beaucoup de nous avoir donné l’occasion de vous interviewer. Malgré votre âge, vous êtes encore si éveillé et si déterminé pour un monde meilleur, pour un monde plus pacifique. Et je souhaite aussi que nous puissions continuer à penser librement à l’avenir. Merci beaucoup.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?]




Le système Macron est un simulacre

[Source : Vu du Droit]

Par Régis de Castelnau

La République est donc en danger, la France d’en haut nous le serine sans désemparer depuis quelques jours. En cause évidemment l’incident survenu à Tain-l’Hermitage où devant des caméras, Emmanuel Macron a été l’objet d’une tentative de gifle. Il faut rappeler que celui-ci est en tournée électorale a priori illégale pour soutenir les candidats de son pauvre parti aux élections régionales et départementales, dont on sait bien qu’elles risquent pour eux d’être cuisantes. De façon tout à fait calculée il s’est précipité tout sourire, affichant un salut bouddhiste et en bras de chemise, pour une séance de serrage de main des populations rassemblées pour l’acclamer. Comme d’habitude, les angles de prise de vue ont été choisis pour transformer visuellement une poignée de spectateurs en foule délirante. Il s’est alors malheureusement trouvé un hurluberlu pour vaguement souffleter le bateleur en inscrivant dans la réalité une envie qui démange au moins la moitié des Français, qui fort heureusement savent très bien qu’il ne faut surtout pas passer à l’acte. C’est alors que le bloc élitaire s’est précipité avec une jubilation trop visible sur cet incident pour annoncer les barbares aux portes et la République en danger. Le spectacle des informations télévisées témoignait de façon caricaturale l’homogénéité de ce bloc, où l’on voyait quelles que soient leurs tendances, politiques, journalistes, intellectuels tout occupés à rendre crédible un récit entretenant portant des rapports fort lointains avec la réalité. Séquence très intéressante dans la mesure où se déployait le paroxysme du simulacre auquel la France est confrontée depuis l’élection d’Emmanuel Macron. L’arrivée de celui-ci à la magistrature suprême de la Ve République n’a pu se réaliser que grâce à une opération s’apparentant à une forme de coup d’État au cours duquel toutes les règles garantissant la sincérité d’un scrutin ont été violées et où la justice est directement intervenue dans le processus électoral pour le fausser. Dès le départ la légitimité juridique et politique d’Emmanuel Macron était faible, et malheureusement son exercice du pouvoir n’a fait qu’aggraver cette situation problématique pour une démocratie comme la France. On a naturellement parlé de la théorie des deux corps du Roi et du comportement de Macron passant son temps à désacraliser sa fonction. Cela étant, il n’est pas le premier, Nicolas Sarkozy l’a abaissé, François Hollande l’a avili, mais Emmanuel Macron lui a fait les deux. Et si cela ne justifie pas de le frapper, cela explique pourquoi les réactions outrées et souvent ridicules du mainstream n’ont pas trouvé grand écho sur les réseaux, où l’on ressentait, mon dieu quelle horreur, une certaine joie mauvaise voire parfois de la jubilation.

La question du simulacre s’est posée face à cette volonté unanime des commentateurs de la France d’en haut de dramatiser ce qui était répétons-le un incident, certes déplorable, mais un incident. Avec cette volonté de le transformer en un horrible attentat visant quasiment à renverser la république. Or ce qui caractérise le mandat d’Emmanuel Macron c’est que nous sommes en présence d’un mensonge. Non pas que celui-ci soit lui-même un imposteur, mais c’est tout son système qui est une imposture. Parfait inconnu sorti de nulle part, candidat choisi par la haute fonction publique d’État, adoubé par l’oligarchie, il n’avait absolument rien fait de significatif dans sa vie d’avant. Il a pourtant été propulsé à la tête de l’État par un concours de circonstances et depuis ce moment toutes les élites s’ingénient à faire comme si.

 Comme si la France avait à sa tête un vrai chef d’État, on commente doctement ses prises de position contradictoires, on lui prête des pensées et une réflexion que manifestement il n’a pas. On décrit ses actions, aussi avilissantes soient-elles, comme autant d’opérations de communication maîtrisées, et on commente ses incontinences verbales à l’égal de sentences philosophiques. Ne parlons pas de son premier ministre et de ses efforts désespérés et infructueux pour échapper au ridicule, ou de ces membres du gouvernement proférant de façon métronomique âneries sur âneries. Avec naturellement une mention spéciale pour Dupond Moretti et Darmanin ministres d’État chargés des fonctions régaliennes démontrant avoir perdu tout sens de la réalité. Épargnons la pauvre Marlène Schiappa à qui on ne peut pas reprocher d’avoir perdu le sens du ridicule, elle ne l’a jamais eu.

Malgré cela, on fait semblant, comme si la France disposait d’un chef de l’État digne de ce nom. Prosternation, dramatisation, solennité, appels furieux à la répression, le traitement de la séquence de Tain-l’Hermitage par les hommes politiques, les grands médias et les commentateurs a atteint un sommet.

Sur ce point, mention particulière pour Jean-Luc Mélenchon, embarrassé par des collections de déclarations hors-sol, et exploitant sans vergogne sur la diversion provoquée par le geste imbécile.

Le patron de la France insoumise n’a pas été le dernier à hurler avec les loups : « Les barbares sont aux portes ! Intolérable violence ! La république en danger ! No pasaran ! » Entre autres inepties, il s’est fendu d’un tweet où tout est catastrophique : « cette fois-ci vous commencez à comprendre que les violents passent à l’acte ? Je suis solidaire du président ». Texte calamiteux, avec l’invention d’un danger fasciste, ce que son patron Lionel Jospin qualifiait de « théâtre », et le ralliement soi-disant républicain au fake-président. Il faut dire qu’il en avait grand besoin de cette diversion, après l’interview à France Inter, plus que maladroite avec ses parallèles hasardeux, voire pour certain carrément indécents. À laquelle est venu s’ajouter une déclaration sur sa chaîne YouTube. Dans laquelle il prétendait que la panne géante sur les serveurs Orange qui avait perturbé l’utilisation entre autres, des numéros d’urgence, était probablement volontaire et destinée à justifier la privatisation de la société Orange ! Société déjà complètement privée depuis 2004, à la fin d’un processus enclenché par Lionel Jospin dont Jean-Luc Mélenchon était un des ministres ! Pour tenter de faire oublier ces impairs, première diversion avec la dénonciation d’une vidéo humoristique débile, prétendant y voir un appel au meurtre de sa personne. Ensuite ce sera la transformation de l’incident de Tain l’Hermitage en tentative de coup d’État fasciste. Cette surestimation de la violence est quand même un peu étrange pour quelqu’un qui n’a que Robespierre et la grande Révolution Française à la bouche. Dont on n’a pourtant pas le souvenir que sections parisiennes et sans-culottes furent d’une tendresse particulière avec leurs adversaires. J’ai eu le privilège de bien connaître d’abord des résistants à l’occupation nazie et ensuite de vrais révolutionnaires latino-américains dont certains y ont laissé leur peau, et avec lesquels Jean-Luc Mélenchon prétend une proximité. Sans vouloir faire parler les morts, j’imagine pourtant ce qu’ils auraient pensé de cette débauche de qualificatifs pour dénoncer ce qui n’est qu’un incident passablement ridicule. Et de cette façon de faire allégeance à un système et à son chef que l’on prétend combattre.

Mais finalement le plus dérisoire, c’est de voir Jean-Luc Mélenchon faire exactement ce qu’il reprochait au « système », c’est-à-dire utiliser et instrumentaliser incidents et faits divers (Merah !) à des fins électorales. Le voilà qui s’empare et monte en épingle ce qui n’est cette fois-ci réellement qu’un incident, pour le transformer en drame national, essayer de se retaper au plan électoral en faisant oublier ses interviews calamiteuses et se posant en victime.

Après Macron le fake président, Mélenchon le fake opposant ?




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Audit électoral aux États-Unis : dénouement en vue ?

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sidney Powell interviewée au rassemblement des patriotes à Dallas, Texas pour le Memorial Day WEGateway pundit]

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir

Une majorité d’Américains commence à s’impatienter : si, comme un faisceau de preuves le démontre, Biden est un président qui n’a pas été élu par le peuple, il est donc illégitime et doit être destitué. La procédure est sans précédent, mais comme l’a affirmé publiquement l’avocate fédérale Sidney Powell au cours du rassemblement organisé fin mai par les patriotes à Dallas, Texas, « c’est la première fois qu’une fraude aussi abjecte a été perpétrée dans notre pays. Trump devrait simplement être réinstallé en fixant une nouvelle journée d’inauguration. » 

L’audit électoral du comté de Maricopa complété à 80%

Dans notre dernier article, nous avons montré le tableau récapitulatif des fraudes potentielles établi par l’ex-conseiller au commerce Peter Navarro pour les six États clés qui devrait consacrer la victoire de Trump dans chacun de ces États, du moment que des audits judiciaires complètes sont conduites. Trump a de fait été élu démocratiquement, avec une large majorité des grands électeurs, et pratiquement 80 millions d’électeurs. La vérité se rapproche, puisque les résultats de la première phase de l’audit en Arizona, à savoir la vérification et le recomptage des bulletins de vote du comté de Maricopa devraient être annoncés le 14 juin. L’acharnement médiatique et légale, doublé de menaces et tentatives de coercition de tous ordres n’ont pas réussi à faire stopper les actions en cours. Beaucoup de volontaires, habitants du comté, patriotes et citoyens – parmi eux des démocrates – contribuent à l’opération, aujourd’hui complétée à 80% : soit en venant physiquement à Phoenix – rappelons qu’il y a plus de deux millions de bulletins à contrôler – pour aider à scanner les bulletins de votes ou à titre de simples observateurs, soit en participant au financement de l’audit.  

La sécurité des élections en question

Aux États-Unis, les élections rythment la vie politique tous les deux ans, que ce soit pour élire les sénateurs, les représentants au Congrès, les gouverneurs des États et bien sûr le Président. Cet audit a le mérite de rappeler à des millions d’Américains qu’élus démocrates comme républicains ont alerté publiquement et à plusieurs reprises ces dernières années sur le manque de sécurité des machines de vote, les risques avérés de piratage localement et via Internet et l’impact sur les résultats. Ron Widen, sénateur démocrate de l’Oregon, a déclaré devant la commission du Sénat sur la sécurité des élections : « ces machines de vote ont des accès illicites permettant de les pirater facilement », Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota : « il n’y a que trois entreprises qui contrôlent ces machines, et elles sont faciles à pirater », la plus révélatrice étant l’intervention de Kamala Harris devant le Sénat le 12 juin 2018 alors qu’elle était sénatrice de Californie : « nous avons organisé une démonstration ici au Capitole pour nos collègues, avec des gens qui ont piraté devant nos yeux les machines de vote ». Certains élus ont aussi dénoncé les contrats non conformes passés par les États avec ces fabricants privés (Dominion, Smartmatic) qui interdisent aux fonctionnaires responsables de l’organisation des élections l’accès au code informatique et donc le contrôle factuel des résultats. En montrant aux citoyens que ces critiques répétées n’ont pas été adressées, les audits en cours et à venir poussent à une remise à plat complète du système électoral prenant en compte les risques associées à la cyber -écurité, et aboutiront peut-être au retour du bulletin papier et à la présentation d’une pièce d’identité pour restaurer la confiance. 

Les preuves absolues des cyber-attaques

Après les révélations exposées dans ses documentaires « Absolute Interference » et « Absolute Proof » visionnés à ce jour par plus de 150 millions de personnes dans le monde, Mike Lindell a fait réaliser une analyse systématique de 20 cyberattaques conduites dans cinq États-clés – sur un total de près de 3000 attaques commises durant l’élection. Cet entrepreneur passionné et son équipe d’avocats ont atteint un tel point de certitude quant aux preuves et évidences de ces cyber-attaques perpétrées par des hackers en provenance de Chine, qu’ils poursuivent Dominion et Smartmatic en justice pour un montant de plus de 2 milliards de dollards, pour conspiration contre lui, son entreprise et avoir rendu possible ces fraudes. Son dernier documentaire montre l’analyse détaillée des manipulations de données par des experts travaillant pour les agences de renseignement gouvernementales de ces 20 attaques en provenance de Chine et qui retournent les résultats dans cinq États clés au profit de Trump. Il a fait réaliser cette validation par une équipe de cyber-experts : ceux-ci ont analysé les pcaps ou packet capture ayant transité sur les réseaux informatiques le jour de l’élection et durant les deux jours qui ont suivi. Ces interfaces de programmation, inviolables et codées en dur au fur et à mesure des mouvements, enregistrées en temps réel, permettent de capturer les données brutes du trafic réseau. Ce qui fait dire à l’un des experts : « ces preuves sont irréfutables et au-delà de toute considération partisane, comparables à un enregistrement vidéo en temps réel de malfaiteurs en train de braquer une banque. » Curieusement, Mike Lindell qui pendant des semaines, a été moqué et attaqué avec violence par les médias mainstream, reçoit à nouveau des appels de journalistes de CNN et MSNBC : à temps pour pouvoir retourner leur veste le moment venu ? 

L’effet domino se poursuit

Seth Keshel, analyste du renseignement militaire, attend avec impatience les résultats de l’audit en Arizona. Pour effectuer ses calculs, cet expert examine l’historique des résultats des élections présidentielles en fonction de l’évolution du nombre d’électeurs des deux principaux partis dans les différents comtés. Le comté de Maricopa inclut pratiquement les deux tiers des votes de l’État, a toujours voté pour le candidat républicain, et ce depuis 1948. L’audit devrait expliquer d’où viennent ces voix attribuées à Joe Biden dans un des États les plus républicains du pays. Un audit qui, selon S. Keshel, devrait entrainer la dé-certification des votes de l’Arizona – un précédent, et booster les mêmes démarches dans ces États où les résultats sont inexplicables face aux tendances de l’électorat et aux courbes d’évolution statistiques, comme la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan. Comme annoncé, l’audit en Arizona attire d’autres élus ou candidats d’États dans lesquels les élections sont remises en question depuis l’annonce des résultats début novembre. Une délégation de législateurs républicains de Pennsylvanie s’est rendue à Phoenix le 2 juin pour faire le tour du site de l’audit et ont été favorablement impressionnés par les actions menées sur place, notamment l’analyse des ruptures dans les chaines de contrôle durant les élections. Plusieurs d’entre eux, les sénateurs Cris Dush et Doug Mastriano, le membre du Congrès Rob Kauffman vont dans le sens des électeurs et se sont officiellement déclarés favorables à la conduite d’un audit similaire dans leur État.

 Vernon Jones, lors de l’annonce de sa candidature pour le poste de gouverneur de Géorgie, a demandé formellement un audit judiciaire des élections. Il vient de se rendre lui aussi en Arizona cette semaine : il déclare être inspiré par la transparence, la qualité de l’audit et des procédures et déclaré qu’il faut faire la même chose en Géorgie. L’ancien commissaire de police Bernie Kerik est formel : dans le comté de Fulton qui inclut la capitale Atlanta, les élections ont été volées, le secrétaire d’État Brad Raffensperger a annoncé la certification des votes alors qu’il manquait 17 400 bulletins. Des assignations à comparaître ont été délivrées par le juge et des dépositions de témoins sont en cours… la pression monte pour démarrer cet audit. L’avocate Sidney Powell ainsi qu’une poignée de patriotes ont décidé de poursuivre la vérité quoiqu’il en coute. Elle a compris dès le mois de novembre la faillite des institutions censées faire appliquer la loi. Constatant que ces fonctionnaires du FBI, du DHS, du DOJ supposés assurer la transparence des élections, responsables de l’État de droit et de protéger la Constitution américaine ont failli à leurs devoirs, elle confirme la montagne d’évidences qui prouvent le vol des élections. Il ne s’agit pas de Donald Trump, il s’agit de la République américaine et de restaurer son fonctionnement démocratique. Si comme les signes le montrent et malgré les obstacles, la vérité éclate enfin, l’Amérique et We The People auront donné une leçon de démocratie au reste du monde libre.

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Pass sanitaire, ou comment s’asseoir sur l’éthique

[Source : Contrepoints]

Par Patrick de Casanove

Le pass sanitaire est une atteinte aux droits naturels.

Le gouvernement a fini par réussir à imposer le pass sanitaire. En transformant le  passeport vaccinal en pass sanitaire, moins fermé, il tient formellement parole sur  la non-obligation vaccinale. Pour cela il intègre d’emblée la guérison naturelle de l’infection et la possibilité d’un test négatif.

Grâce à cela, il court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le pass implique, et il essaie d’éviter de braquer ceux qui ne veulent pas être vaccinés.

Pour la vaccination, il agira par d’autres voies. En créant un seuil à partir duquel le pass sera obligatoire, il ne serre pas trop le nœud coulant pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.

Si les Français avaient compris le passeport vaccinal comme non éthique, cela aurait suffi pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, les argumentations contre le dispositif tournaient donc essentiellement autour de questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques, comme la possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner.

Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiques et logistiques, alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.

Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un pass sanitaire qui ne l’est pas non plus.

LE PASS EST LIBERTICIDE

L’argument pour le pass consiste à dire qu’il autorise un « retour à la vie normale ». Il repose sur l’émotionnel. Une vie de soumission ne saurait être normale. Le pass est présenté comme une libération bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition ni manipulation.

Affirmer que les gens seront libres avec le pass, ou qu’il permettra leur libération est une perversion des mots qui perdent leur sens.

Affirmer que les individus seront libres avec le pass sanitaire, mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que par conséquent ce refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.

Imposer le pass sanitaire au nom d’une prétendue libération est immoral. Un droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti-Covid, au motif que d’autres vaccins sont obligatoires pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.

Le pass sanitaire n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec la liberté. Cet ersatz est tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières ni de la distanciation sociale, ces fameuses jauges.

Le pass sanitaire ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.

LA LIBERTÉ EST UN PRINCIPE

La liberté n’a pas de contrepartie. Elle est un principe, qui plus est fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit énonce :

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Il ne faut pas reculer sur la liberté. Elle implique la responsabilité individuelle,  nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric BastiatLa Loi (1848). Détruire la liberté détruit l’Homme.

LE PASS PORTE ATTEINTE À L’ÉCHANGE

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société – Frédéric Bastiat, Échange (1850)

L’échange est un droit naturel comme la propriété.[…] priver [ tout citoyen] de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs […] c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice – Frédéric Bastiat – Association pour la liberté des échanges (1846)

Le pass est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.

LE PASS EST DISCRIMINATOIRE

L’étatisme parque les gens dans des cases. En attendant mieux, ou pire… il crée deux catégories de citoyens. Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, tout l’appareil étatique est mobilisé. Mais il ordonne la discrimination.

Même l’ONU est mobilisée contre la discrimination en attendant un ausweis mondial qui est bien parti.

Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau, mais la discrimination par la Covid est désormais légale aujourd’hui dès l’instant où mille personnes peuvent se rassembler.

Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.

SON OBJECTIF EST LE CONTRÔLE DES POPULATIONS

La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un ausweis est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteuses d’autres maladies infectieuses mais elles sont privées de ces libertés si elles ne peuvent pas prouver qu’elles n’ont pas la Covid. Il s’agit bien de politique.

Pour l’État, l’important n’est pas le contrôle de la Covid. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.

L’Europe a été son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un pass sanitaire sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. Une fois de plus l’Europe trahit ainsi ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes, ce qui confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.

Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.

Le pass sanitaire, peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict. Il existe des risques que ce pass finisse par ne pas concerner uniquement la Covid.

Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement citoyen des individus, écoresponsables comme il se doit, le comportement des entreprises citoyennes, elles aussi écoresponsables et solidaires, le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.

C’est la porte ouverte au crédit social. Si les Français ne peuvent plus se rendre en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois : les Chinois ne se mêlent pas de politique, ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruines.

Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du pass. Il suffit de constater que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le pass sanitaire : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.

À côté du pass lui-même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son  passeport vert mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.

Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression et celle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non-respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! » 

C’est le nec plus ultra du totalitarisme.

Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce pass ou un équivalent sans directive étatique. Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.

LA CAPTATION D’INFORMATIONS

Israël a montré le chemin. Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire par essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?

La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.

OUVRIR LES YEUX

Nous avons vu que le pass est une atteinte aux droits naturels qui s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’une petite atteinte. Le niveau de résilience ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la spoliation légale que l’État leur inflige.

Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un droit naturel est grave. Toute atteinte à un droit naturel les détruit tous.

Les droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La liberté c’est l’Homme. Détruire ses droits naturels c’est nier son humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le christianisme avaient fait de l’individu une personne, c’est fini.

S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins, sont morts abandonnés. Leurs proches ont été privés des rites funéraires propres à l’Homme à cause de réglementations étatiques délibérées.

En ce sens la crise créée par les politiques est un bouleversement extrêmement profond, social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales.

Cela traduit bien un changement absolu de notre société, dans ses fondations, ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à son fonctionnement harmonieux. C’est un changement civilisationnel.




Une vidéo explosive et inédite montre Peter Daszak décrivant des « collègues chinois » développant des coronavirus « tueurs »

[Source : Actu Intel]

Le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui a collaboré avec le Wuhan Institute of Virology dans le cadre de recherches financées par le National Institute of Allergy and Infectious Disease du Dr Anthony Fauci, semble se vanter de la manipulation de coronavirus « tueurs » de type SRAS effectuée par ses « collègues chinois » dans un clip découvert par The National Pulse.

NDLR : quelqu’un a dit « gain de fonction » ?

Par NATALIE WINTERS

Source : The National Pulse

Daszak a fait cet aveu lors d’un forum de 2016 consacré aux « maladies infectieuses émergentes et à la prochaine pandémie », ce qui semble être en contradiction avec le refus répété de Fauci de financer la recherche sur les gains de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan.

Tout en décrivant comment son organisation séquence les virus mortels, Daszak décrit le processus d’ »insertion de protéines en pointe » dans les virus pour voir si elles peuvent « se lier aux cellules humaines » comme étant effectué par ses « collègues en Chine » :

« Ensuite, lorsque vous obtenez une séquence d’un virus, et qu’elle ressemble à un parent d’un pathogène méchant connu, comme nous l’avons fait avec le SRAS. Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauves-souris, toute une série, dont certains ressemblaient beaucoup au SRAS. On a donc séquencé la protéine spike, celle qui s’attache aux cellules. Puis nous… Ce n’est pas moi qui ai fait ce travail, mais mes collègues en Chine. Vous créez des pseudo particules, vous insérez les protéines spike de ces virus, vous voyez si elles se fixent aux cellules humaines. À chaque étape, on se rapproche de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène pour l’homme. »

« On se retrouve avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs », ajoute-t-il.

Ces commentaires font suite à des preuves de plus en plus nombreuses que le NIAID de Fauci a des liens financiers et personnels profonds avec l’Institut de virologie de Wuhan – et que l’alliance EcoHealth de Daszak était l’un des principaux mandataires qui acheminaient l’argent vers le laboratoire du Parti communiste chinois.

Plus d’une douzaine de documents de recherche réalisés dans le cadre d’une subvention de 3,7 millions de dollars de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) mentionnent Shi Zhengli, directeur du Centre des maladies infectieuses émergentes du laboratoire de Wuhan, comme coauteur aux côtés de Daszak. Shi a inclus ces subventions soutenues par Fauci dans son CV.

Le laboratoire de Wuhan a également mentionné les National Institutes of Health (NIH) comme l’un de ses « partenaires », mais a secrètement effacé cette mention en mars 2021 (NDLR : on vous avait traduit l’article ici).




Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.




Les expériences sur les enfants de moins de 12 ans se poursuivent sans accroc…

Par Alain Tortosa

La firme allemande BioNTech (dont les produits sont commercialisés par Pfizer) a massivement testé ses injections expérimentales d’ARNm en Israël avant de les poursuivre pour partie en Pologne pour les enfants…

Nostalgie quand tu nous tiens…

Les premières expérimentations de la thérapie génique à ARN Messager ont débuté en mars sur les enfants de moins de 12 ans.

Pourquoi « vacciner » les enfants ?

Pfizer(([1] https://www.pfizer.com/science/coronavirus/vaccine/additional-population-studies)) répond sans se cacher à la question :

« Les enfants doivent-ils être vaccinés pour que le monde atteigne l’immunité collective contre le SRAS-CoV-2 ? »

« Les enfants de moins de 15 ans représentent 26 % de la population mondiale. Nous pensons que la vaccination réussie des enfants contribuera à la protection contre le COVID-19 si le vaccin s’avère efficace dans cette population. »

Pfizer confirme qu’il n’y a strictement aucun bénéfice pour les enfants.

L’idée est qu’elle pourrait participer au mythe de l’immunité vaccinale de masse contre le Sars-Cov2.

Bref l’unique raison est mathématique(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210101-vaccination-sacrifice.pdf)) comme je l’avais déjà écrit il y a plus de 5 mois.

Rapport bénéfice vs risque

USA Today le confirme en indiquant que :

« Les enfants sont moins susceptibles que les adultes d’avoir un cas grave de COVID-19, donc les sociétés pharmaceutiques essaient de minimiser les effets secondaires des “vaccins” tout en maximisant les avantages ».

Plusieurs points de cette phrase sont très intéressants :

  • « essaient de minimiser les effets secondaires des vaccins. » Cela confirme qu’il y a bien des effets secondaires y compris pour des enfants (et d’autant plus pour une thérapie totalement expérimentale).

Et

  • « tout en maximisant les avantages » Alors que les avantages pour les enfants sont nuls.

Il est donc officiellement reconnu que le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour les enfants ne peut qu’être défavorable, car le bénéfice est nul.

Nous sommes ainsi dans le même cadre que les « bébés médicament »…

Quelle sécurité, quel objectif ?

Il a été décidé (par une dictature mondiale) que tous les enfants de la planète seraient donc utilisés pour uniquement protéger des vieux riches occidentaux en fin de vie.

  • Je ne parlerai pas du fait qu’il existe des traitements efficaces préventifs et curatifs contre le Covid.
  • Je ne parlerai pas du fait que rien ne prouve que la vaccination permettrait d’éradiquer ce virus et d’autant plus que ces « vaccins » n’éliminent pas la propagation du virus. Nous en avons la preuve du fait de vaccinés contaminés même après leurs 2 doses.
  • Je ne parlerai pas des effets secondaires graves et des décès, qui même s’ils sont minimisés ou même parfois niés par nos autorités sanitaires, existent pour des adultes en bonne santé.
  • Je ne parlerai pas des risques à long terme qui sont totalement inconnus comme les risques de maladies auto-immunes ou de cancers.

Durée de l’étude sur les enfants cobayes :

Les données officielles(([3] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04816643?term=NCT04816643&draw=2&rank=1)) de cette étude de phase 1 sur les enfants indiquent qu’elle a débuté fin mars 2021 (de cette année donc).

Que la fin d’intervention, c’est-à-dire le moment à partir duquel Pfizer BioNTech ne sera plus actif, mais uniquement dans l’observation est fixé au 4 mars 2022 soit environ un an plus tard !

Que la fin de cette phase 1 est fixée au 1er septembre 2023 soit deux ans et demi après les premières injections sur de jeunes enfants.

Quand ces injections expérimentales seront autorisées en masse pour les enfants de moins de 12 ans ?

UsaToday(([4] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/)) indique :

« Si ces essais prouvent l’innocuité et la réponse immunitaire, les entreprises prévoient de demander l’autorisation fédérale en septembre ou octobre (2021) pour fournir le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans, et un peu plus tard à l’automne pour les plus jeunes.» (c’est-à-dire dès 6 mois).

Les injections pour les enfants devraient donc probablement débuter en septembre 2021 soit 6 mois après les tout premiers essais chez les moins de 12 ans et donc 2 ans avant la fin de l’étude !

Qui sont les participants ?

« Ces essais incluront 4 500 volontaires dans les trois groupes d’âge aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne. Les organisateurs des essais s’efforcent d’assurer une diversité de participants aux essais, a déclaré la société. »(([5] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/))

« Un enfant recevra un placebo pour deux qui reçoivent le vaccin actif. Les enfants qui reçoivent le placebo auront la possibilité de recevoir les injections actives si le vaccin est autorisé dans les six mois suivant leur participation. »

Notez un point important, la commercialisation est prévue 6 mois après le début de l’essai qui dure 2 ans et demi.

Mais ceux qui ont reçu le placebo pourront donc demander le vaccin actif dès la commercialisation.

Il est plus que probable que les « allumés » ou les « désespérés » qui ont fait de leurs enfants des cobayes vont demander à les injecter dès que possible.

De fait il ne sera plus possible de comparer les effets à long terme des vaccins vs placebo.

… De l’art de faire disparaître les preuves du crime !

(À noter qu’il y avait la même disposition pour les adultes.)

Karine Lacombe et la « vaccination » des enfants

Le docteur Lacombe, plus présente dans les médias qu’avec ses patients, a déclaré hier 9 juin 2021 sur FranceInfo que la vaccination des enfants n’était qu’un « geste altruiste », confirmant que les enfants n’ont rien à y gagner médicalement parlant.

Mais qu’ils auraient « un bénéfice à la vaccination » !

Si, si, car grâce à la « vaccination » des enfants, l’épidémie disparaîtra (on peut rêver) et ainsi les mesures coercitives et dictatoriales (elle n’a pas utilisé ce terme) à leur encontre seront levées.

Nous sommes toujours dans le chantage à la liberté pour « convaincre ».

Elle a aussi été en capacité de noter qu’il y avait le problème du consentement qui n’était pas possible pour des enfants et que les parents devraient prendre la décision à leur place (à quand des procès à l’encontre de leurs parents, d’enfants devenus majeurs et ayant des séquelles graves ?).

Et de conclure avec sa logique « qu’il fallait vacciner les enfants ».

Je profite de ma tribune pour rappeler que Mme Lacombe a encore « oublié » d’énumérer ses conflits d’intérêts alors que la loi le lui oblige et que le « journaliste » qui lui a encore déroulé le tapis rouge, a aussi « oublié » de le lui rappeler.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de vous rapporter ses propos sur l’hydroxychloroquine.

Selon elle, il ne doit pas y avoir de débats scientifiques sur la molécule.

En discuter relève de la désinformation et de la fakenews !

Il n’y a aucun doute sur le fait que la molécule est inefficace et dangereuse comme le prouvent toutes les études (financées par les labos, mais pas les autres ?).

Il devrait de fait être interdit de communiquer sur ladite molécule pour ne pas tromper les Français.

Je vous rappelle que cette brave dame est quand même rémunérée notamment par Gilead et qu’elle a fait la promotion du Remdesivir, dès le début de la crise, tout en crachant sur l’hydroxychloroquine. Remdesivir dont l’inefficacité et la dangerosité ne sont plus à prouver.

Elle demeure pourtant toujours invitée comme intervenante respectable, compétente et intègre !

Fauci

Pendant ce temps et à quelques jours d’intervalle, la chaîne Fox News(([6] https://twitter.com/CuendetV/status/1401832873515225090)) (Accessible par 87,2 millions de ménages américains, elle est la chaîne d’information câblée la plus regardée aux États-Unis devant ses concurrentes CNN et MSNBC)(([7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Fox_News_Channel)) honnie comme il se doit par les médias corrompus français fait la part belle au scandale des mails du Dr Fauci qui a fait de son mieux pour faire disparaître l’hydroxychloroquine.

Le Dr Fauci est celui qui a transformé le Covid en fléau, obligé les masques, empêché l’HCQ, etc., etc. Les informations sortent suite à une fuite de plusieurs milliers de mails dont le Dr Fauci ne semble pas remettre en question leur véracité.

Il a de plus été confirmé sur la chaîne Fox News que la molécule était extrêmement efficace et qu’elle aurait pu sauver la vie de 450 000 personnes !

Bref un scandale international comme nous en avons rarement vu.

À noter que cet homme, d’une grande modestie, aurait déclaré(([8] https://news-24.fr/le-dr-fauci-appelle-a-pousser-son-licenciement-absurde-et-fait-rage-lorsque-vous-lattaquez-vous-attaquez-la-science/)):

« Donc, si vous essayez de m’attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous attaquez vraiment non seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science. »

Le scandale prend de l’ampleur(([9] https://www.youtube.com/watch?v=C1RHyr6U9MY)) sauf en France où l’AFP dit aux médias ce qu’ils doivent en penser et en dire pour continuer à manipuler massivement nos concitoyens sidérés(([10] https://www.leprogres.fr/sante/2021/06/07/masques-hydroxychloroquine-ce-que-contiennent-les-mails-du-scientifique-americain-anthony-fauci))

Bref, j’attends avec impatience que justice se fasse.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a déclaré quant à lui(([11] https://crowdbunker.com/post/mRbjlFD3a2Q7u)):

« La vaccination de masse crée les variants et est une énorme erreur scientifique et une faute médicale…
C’est effectivement la vaccination qui a créé les variants…
Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination…
Je refuse d’être vacciné, je dis aux 200 000 généralistes, comportez-vous en médecins et pas en moutons. »

Nous vivons une époque dans laquelle la parole d’un animateur de l’émission « TPMP » sur C8 est plus crédible qu’un prix Nobel. L’animateur est applaudi tandis que le prix Nobel est ridiculisé…

Indifférences face à la vaccination des enfants

À part nous, qui sommes qualifiés d’irresponsables ou de complotistes, tout le monde politique, médiatique, scientifique ou médical a l’air de trouver que la vaccination des enfants est un non-événement et une évidence.

Nous nous apprêtons à injecter à des centaines de millions d’enfants des produits 100 % expérimentaux dont nous ignorons tout pour un bénéfice reconnu NUL !

Nous savons donc qu’ils vont tuer des enfants pour rien (même si c’est évidemment toujours pour rien), mais ce que l’on ignore c’est dans quelle proportion et dans quel délai !

Ces enfants ne sont que des cobayes, des sujets d’expérimentation, une manne financière… ou pire…

Nous vivons sur une planète où il n’y a plus la moindre éthique, plus aucun sens du bien ou du mal.

Plus aucune référence aux horreurs du passé et aux crimes contre l’humanité.

Au fait, savez-vous que 1er septembre, la date de fin de l’étude sur les enfants, est la date anniversaire de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes ?(([12] https://www.herodote.net/1er_septembre_1939-evenement-19390901.php))

Avec la manipulation, le chantage et peut-être la vaccination obligatoire, adultes et enfants sont désormais les victimes d’une expérimentation humaine à une échelle jamais connue sans l’accord des personnes concernées !

Et quand nous verrons que l’épidémie ne disparaît pas malgré la vaccination massive, les « scientifiques » et « médias corrompus » accuseront les variants.

Il sera alors demandé de proposer une 3e puis une 4e dose de vaccins…

Jusqu’à quand le peuple suivra-t-il aveuglément ?

Sans doute jusqu’à ce qu’un drame se produise…

Merci.

Alain Tortosa

Le 10 juin 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210610-vaccination-enfants-cobayes.pdf





Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON




« La tarte à Tain, le gâteau indigeste de Macron » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Avertissement. La violence c’est jamais bien, il ne faut pas frapper le président, mais le non-violent que je suis vous dira aussi qu’il ne faut pas non plus frapper de façon générale son prochain etc… Il faut le dire donc disons-le, mais dire cela c’est le degré 0 de l’analyse et de la réflexion,  alors surtout commençons à penser un peu pour comprendre ce qu’il se passe et ce qui va se jouer. Notamment la dynamique des violences et des révolutions.

Expliquer, penser, ce n’est pas justifier, ce n’est pas cautionner, c’est analyser pourquoi ce qui vient de se passer, va se reproduire et s’amplifier, les mêmes causes provoquant les mêmes effets.

Hier le président a été giflé lors d’un bain de foule qui semble tout de même bien maigre côté foule. Généralement, ce genre de « foule » de 10 personnes filmées en plan serré et triées sur le volet, surtout depuis le mouvement des Gilets Jaunes notre jeune président devant, par la force des choses, courir devant le peuple. N’y voyez de ma part aucun plaisir. Aucune joie. C’est évidemment très grave et que le président de la république suscite un tel rejet est encore plus dramatique et attristant. L’enquête nous dira ou pas, comment cet « opposant » a pu arriver jusque-là.

Ce qui se passe est grave, et ce n’est pas faute d’alerter de la colère sourde et immense qui monte dans le pays.

Une colère « tripale ».

Une colère sourde.

Une colère noire.

Que la classe politique ne s’y trompe pas.

Derrière cet homme, ce sont des millions de Français qui ont « giflé » par procuration aussi bien ce président que cette république.

La colère est tripale. Sourde. Noire, et surtout, la colère est massive.

La colère est majoritaire.

Je vous le dis autrement, c’est l’idée viscérale de la France qui ne veut pas mourir et ne supporte plus de se voir mourir.

Mitterrand aurait dit ce sont les forces telluriques.

On n’arrête pas le déchaînement des forces telluriques.

Une fois dit que gifler le président c’est gifler la république, réfléchissons un peu.

Cela fait de nombreuses années que je cite dans chaque édito la phrase de JFK. « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ». Ce n’est pas un hasard. Cela fait plusieurs années que ce qui se passe aujourd’hui était très facilement prévisible d’un point de vue analytique.

Le président Macron n’est pas un président légitime dans le cœur des gens et il y a des explications très rationnelles à cela que cela plaise ou non.

Il a été élu, il est légalement légitime, mais inconnu quelques mois avant, monté en mayonnaise par un système et des médias, la droite éliminée par l’affaire Fillon, Macron, ne « pèse » au mieux que 20 %, sans parti, sans base électorale réelle. Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens de droite comme de gauche il est le fruit d’un coup d’Etat médiatique.

Il a mis en place une politique nuisible aux intérêts du peuple.

Il a provoqué à de multiples reprises aussi bien dans ses outrances langagières que dans ses actes comme les photos terribles de la fête de la musique 2018 ou encore sa promenade à Saint-Martin.

Il détruit volontairement ce qui fait la grandeur de la fonction pour la réduire au poste de gouverneur d’une province européenne des Etats-Unis d’Europe. ENA, préfectorale, privatisation de fleurons de l’industrie etc…

Il a expliqué à certains qu’ils étaient des moins que rien, ou des « pas grand-chose ».

Lorsque nos concitoyens les plus méritants, travaillant beaucoup pour bien peu, ceux de la seconde ligne qui ont occupé par millions les ronds-points, le tout Paris les a méprisé, outragé, insulté.

Pour résumer, dans l’esprit de millions de nos concitoyens et je dirais même de la majorité de nos concitoyens il est là non pas pour le bien de la nation mais pour le bien d’un petit nombre et d’une caste dont il représente les intérêts. Il est vu comme un fossoyeur de la nation. Il est vu comme l’homme des hommes de l’ombre qui ruinent le pays.

Ils pensent sincèrement représenter, incarner et défendre beaucoup plus le pays que celui qui est le locataire de l’Elysée et qui est considéré dans une large mesure comme un usurpateur.

Le bal des couineurs peut reprendre comme un mantra nécessaire et convenu qu’en giflant Macron c’est la République que l’on gifle, je peux vous assurer que d’un point de vue analytique, une révolution qui fait tomber un ordre établi va, forcément par définition détruire l’ordre établi, donc pour protéger la « République », il va falloir trouver des arguments d’un autre calibre pour être crédible.

BFM peut dire que les Gilets Jaunes sont des complotistes qui détruisent la république, pas un seul d’entre eux pensent à un seul moment menacer cette république. Mieux ils pensent en être les vrais défenseurs.

Le hiatus est donc total entre dirigeants et dirigés.

Ils n’ont pas été compris disais-je.

Alors ils répondent, « je vous hais, compris ? ».

Après plusieurs mois de manifestations Gilets Jaunes, syndicales et autres et de propagande, le gouvernement à fait deux choses.

De la communication et de la répression.

Tour de France, grand débat blablablabla.

Des dizaines d’éborgnés et de gueules cassées.

La police est devenu milice car elle ne faisait plus du maintien de l’ordre indispensable, mais du maintien au pouvoir.

La résolution de la crise devait être politique. Un grand homme aurait remis son mandat. Il serait parti.

Ils ont voulu rester.

Ils veulent reprendre les réformes là où elles ont été laissées.

Mieux, ils veulent réduire Mélenchon, pour faire monter Marine le Pen, car c’est exactement la stratégie de la petite politique du diviser pour mieux régner. Une fois détruit et réduit le Mélenchon et LFI, on réduira et on détruira Marine le Pen, on tentera même de pousser une candidature dissidente de Zemmour qui sait, puis on se fera élire à nouveau en 2022 avec 50.1 % des voix sur les restes fumants d’un front républicain branlant pour continuer sans représentativité réelle une politique que l’immense majorité du peuple de ce pays toutes couleurs, origines, et religions confondues refuse.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Notre pays vient de passer des mois éprouvants, et d’autres nous attendent. Sur le plan économique, mais aussi sanitaire car, même si on ne vous le dit pas, rien n’est fini, mais aussi politique. Le déconfinement et le retour à une vie plus normale va s’accompagner de grands débordements, là aussi prévisibles. L’été risque d’être très chaud.

Si l’on veut éviter à notre pays un bain de sang et de violence, la résolution de nos différentes crises majeures ne peut être que politique et donc non-violente.

Le mouvement des Gilets Jaunes n’est pas terminé, et les révolutions, prennent plusieurs années. C’est rarement un seul évènement le lundi à 15h30. C’est un processus, un mouvement, une dynamique bien particulière qui s’étend toujours sur plusieurs années.

Ce pays danse sur un volcan, et la chaleur devient de plus en plus intense au fur et à mesure que la pression monte.

La pression du temps.

La pression de l’heure de vérité qui approche.

Tous ceux qui analysent la situation avec lucidité et froideur le savent et le ressentent.

L’heure approche et nous allons vers des temps qui ne seront ni beaux à voir, ni beaux à vivre.

La violence est toujours aveugle, toujours terrible, jamais souhaitable.

Parfois inéluctable.

Nous sommes dans un de ces moments où l’histoire semble inéluctable, les pulsions de mort et de violence collective irrépressibles.

Notre société est profondément malade, fracassée.

La classe politique devrait se poser une seule question.

Comment guérir notre pays ?

Au lieu de cela, c’est magouilles, propagande, mensonge et manipulation.

Pour le moment c’est une tarte à Tain. Ce n’est pas bien. C’est même très mal.

Mais à mon sens, ce n’est que le début d’un orage qui laissera notre pays exsangue.

La grandeur et le sens politique voudraient que cet homme soit condamné en comparution immédiate, et gracié par le président avec un sincère « je vous ai compris », une véritable solution politique, car, pour que la solution soit politique et éviter la violence, Macron, doit faire le choix, de ne pas se représenter ce qui semble peu probable.

La plus grande bataille, le plus grand combat est toujours celui des cœurs et de l’amour. Et côté amour et cœur, Macron n’a pas la côte…

Ce pays étouffe, ce pays est étouffé par une classe politique et médiatique insupportable de suffisance et de bien-pensance, et ce pays va exploser parce qu’on lui interdit de penser et de se penser.

Si vous ne laissez pas d’espaces de parole

Si vous ne laissez pas d’espaces d’expression et de pensées même si vous êtes en désaccord, surtout si vous êtes en désaccord.

Si vous ne laissez pas de libertés.

Si vous ne laissez pas assez de démocratie.

Alors, vous comprenez mieux le sens de la phrase et de la pensée de JFK.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

Vous pouvez déplorer le résultat de la violence, et j’ai entendu ce soir le concert des couinemuses. Un concert nécessaire, mais très, très insuffisant. Les mêmes causes produiront les mêmes effets. Pire. Les mêmes causes vont amplifier une violence qui sera de plus en plus forte. Personne ne veut dire de quoi cette gifle est le nom et ce qu’elle représente ou porte en elle.

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Soutien à Louis Fouché, objet d’attaques hideuses

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Il fallait s’y attendre : une campagne de diffamation et de dénigrement extrêmement violente est en train de s’abattre sur le Dr Louis Fouché, co-fondateur et porte-parole du collectif Réinfo-Covid.

Avec cette convergence de malveillance à laquelle il faut désormais s’habituer entre les puissances capitalistiques les plus mafieuses et la bien-pensance de gôche qui a d’ailleurs toujours historiquement fait le lit des totalitarismes.

Ne sachant que trouver d’intelligent à porter comme critique contre le bonhomme (nous supporterions volontiers en tant qu’opposants un vrai débat d’idées avec de vraies critiques qui nous seraient adressées) voilà qu’on l’accuse d’ « être un gourou faisant le lit de l’extrême-droite. »

Ce qui me rappelle le titre stupide et malveillant d’un journaliste de l’Express à mon sujet dans lequel le gratte-papier en question me traitait d’ « expert autoproclamé » (au soir d’une carrière professionnelle de 30 ans !) « en guerre contre la science », ceci parce que je me fais un devoir de souligner l’état endémique de corruption qui y prévaut, de notoriété générale !

Au moins le message des gredins est clair : lorsque vous dénoncez la corruption, vous attaquez (au choix) la science ou bien la démocratie. Ce qui devrait -si une aptitude à penser (même modeste) persistait collectivement- s’avérer a contrario pédagogique…

Nous en prenons donc pour nos grades à tour de rôle et c’est actuellement Louis (dans la foulée du déchaînement contre Didier Raoult et l’IHU) qui en fait les frais.

Un moment peut-être décisif

Je comprends que l’homme soit dérangeant. Non seulement parce que sa critique est pertinente et affûtée, mais pour deux raisons supplémentaires : tout d’abord, il l’énonce avec une extrême prévenance et humanité, ce qui fait bizarre dans un monde qui s’est habitué à ce que les hurlement et les anathèmes remplacent le propos. Ensuite, par son aptitude à la pensée complexe, il ringardise de manière sanglante les pontes qui viennent servir une soupe abrutissante sur les plateaux de télévision.

Tout ceci s’inscrit de surcroît dans un moment historique à haute tension : les révélations tirées de la publication des emails d’Anthony Fauci sont bien plus redoutables qu’il y paraît, et méritent bien plus d’intérêt que la minimisation lamentable qu’en font nos médias payés à cette fin.

Car on y voit dans toute sa splendeur (certes noyée dans le style de correspondants qui n’ignorant rien du Freedom of Information Act, y mettent la prudence des formes) le fond de la réalité qui nous détruit depuis quinze mois : une collusion criminelle d’intérêts qui ont verrouillé toute la réponse dite sanitaire grâce à des acteurs comme ceux qui échangent dans ces mails.

Oui, bien sûr, les Fauci et autres Delfraissy ont mis en échec systématiquement les traitements précoces risquant de se montrer efficaces.

Oui, bien sûr, il y a eu une manipulation générale sur l’origine du Sars-CoV-2 et des opérations pour occulter les rôles de l’Institut Pasteur et des laboratoires américains sur les « gains de fonction » produits à Wuhan visant à rendre létaux des virus inoffensifs. Selon le titre d’un article du Daily Mail (que les presses suisses et française n’ont évidemment pas repris) : « Comment le Dr Peter Daszak, expert britannique, a orchestré une campagne d’intimidation et a contraint des scientifiques de haut niveau à signer une lettre adressée à The Lancet visant à écarter la responsabilité du laboratoire de Wuhan qu’il finançait avec des fonds américains au sujet du Covid-19. »

Et oui, il y a eu un système mafieux fait de chantages et même de menaces contre quiconque oserait transgresser l’omerta, comme en a témoigné le Dr Robert Redfield, ancien directeur du Center for Disease Control américain, qui a reçu des menaces de mort de la part de collègues scientifiques après avoir dit à CNN qu’il pensait que le virus s’était probablement échappé d’un laboratoire. « Je m’attendais à cela de la part des politiciens. Je ne m’y attendais pas de la part de la science. » a-t-il témoigné !

Le tout avec pour conséquences d’avoir laissé mourir des centaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible de soigner, ainsi que violenté et conduit à la ruine des milliards d’autres uniquement pour réserver des centaines de milliards de dollars de profit à des compagnies répétitivement criminelles. Et imposer un Great Reset conduisant à la servitude la population mondiale.

Ce scénario criminel, que les médias payés à cette fin ont nié, moqué et vilipendé depuis quinze mois est en train d’exploser à la face de tout le monde comme constituant désormais une hypothèse indiscutable et même à ce stade l’hypothèse forte. Cette explosion n’est pour l’instant contenue que grâce à la complicité active (dès lors elle aussi criminelle) des grandes agences et des groupes de presse, incestueusement maqués avec les intérêts en question.

Bashing

Toute cette dérive a dépendu pour son succès du flingage systématique et diligent des voix osant s’opposer aux aberrations qui nous ont été infligées. Les meilleurs scientifiques et spécialistes ont été traînés dans la boue et humiliés publiquement par leurs homologues au service de la corruption systémique ainsi qu’une presse de caniveau rappelant plus la propagande fasciste qu’un travail journalistique respectant une élémentaire déontologie.

Aujourd’hui encore cette même presse fait feu de tout bois pour occulter ce qui révélerait le pot aux roses et descendre toute opposition – il n’y a qu’à lire les derniers éditoriaux -d’une stupidité et d’une veulerie dont le sublime confine presque à la beauté dans leur registre- de Tamédia ou du Temps sur la votation du 13 juin contre la loi Covid-19…

Le propre de la violence institutionnelle, c’est qu’elle doit s’exercer au vu et au su de tous pour déployer sa pleine puissance pédagogique : les lapidations et les crucifixions avaient lieu aux portes des villes pour que tous ceux qui les franchissaient mesurent bien ce qu’il en coûtait de s’opposer au pouvoir en place.

Les gibets étaient posés et les exécutions avaient lieu la plupart du temps sur les places centrales des villes pour obtenir le même effet.

On aura donc vu une sarabande lamentable de lynchages médiatiques contre les meilleurs experts, qu’il se soit agi du Pr Ioannidis, des Pr Gupta, Battacharya et Kulldorf (les épidémiologistes d’Oxford, Stanford et Harvard à l’origine de la déclaration du Great Barrington), des Pr Raoult et Perronne, ainsi qu’à une moindre échelle de votre modeste serviteur – protégé en quelque sorte par son statut de « menu fretin » : il aura suffi à quelques boîtes de comm’ (dont certaine basée en Suisse romande – je sais qui vous êtes les gars !) pour faire croire que j’étais « auto-proclamé » (malgré un CV fort bien fourni) pour que quelques idiots utiles s’en donnent à cœur joie comme ce fut le cas de Bertrand Kiefer (rédacteur de la Revue médicale suisse), le médecin cantonal neuchâtelois ou un ancien directeur des Hôpitaux universitaires de Genève à la réputation pourtant plus que douteuse… ainsi que plusieurs « rédacteurs en chef » romands arrosés par l’état.

Fouché bashing

Aujourd’hui donc, c’est Louis Fouché qui a droit à son lynchage individuel orchestré par des pouvoirs crapuleux. Je sais l’homme suffisamment aligné sur ses valeurs fondamentales et sa sincère abnégation ainsi que suffisamment entouré de bienveillance pour tenir le choc. Pour être passé par là, je ne minimise pas pour autant la brutalité de la haine et de la calomnie qu’il affronte. Je sais par expérience combien un homme est seul dans ces moments-là, même entouré d’amour et d’expressions de soutien.

C’est pourquoi je tiens à faire savoir l’indignation profonde que je ressens face à cette ignominie et ces procédés qui devraient être prohibés et dénoncés comme honteux non seulement en démocratie mais aussi simplement dans toute société cultivant un minimum de dignité.

Louis connaît (je les lui ai exprimés) toute l’admiration et le respect que j’ai pour sa personne et la sincérité de sa motivation. S’il existe un honnête homme en ce bas-monde, c’est bien de Louis Fouché (comme de Vincent Pavan ou de Christian Perronne parmi bien sûr d’innombrables autres) qu’il s’agit.

L’intelligence et l’éthique non-violente du bonhomme sont aussi ébouriffantes que sa coupe de cheveux est ébouriffée -c’est dire. Il dispose ainsi d’une aptitude rare à la pensée complexe, enracinée dans une culture encyclopédique – pour la petite histoire un de ses dadas est l’anthropologie de la technique, domaine dans lequel il m’en remontre aisément comme il en remontrerait à la plupart de mes collègues.

Il dispose de surcroît de cette « rationnalité sensible » dont parle Michel Maffesoli et qui est en quelque sorte à la fois le contraire et l’antidote au rationalisme morbide prévalant actuellement, avec une pseudoscience débile assénée avec fanatisme. Par des corrompus aussi cyniques que leur immoralité le commande ou encore des abrutis faisant penser aux chemises brunes du fascisme de l’avant-guerre, tout heureux de pouvoir conduire des campagnes de harcèlement en toute impunité.

Louis, lui est un homme de bien. Non seulement par qui il est ou ce qu’il énonce, mais aussi par ce qu’il propose. Il sait mieux que quiconque voir au-delà de la crapulerie en cours en gardant son regard posé vers un futur désirable, un futur digne de nos aspirations profondes et de cette humanité à laquelle nous avons à advenir.

Il en pressent les possibles désirables, et sait les communiquer de manière désarçonnante. Là où je suis pour ma part plus un combattant, Louis sait toujours mettre de la tendresse, de l’humour et de gentillesse. On en comprend d’autant mieux que cela infurie le camp adverse. Dont il a su révéler au passage la plus grande faiblesse, en soulignant que tous les totalitarismes du passé se sont toujours imposés sur la base d’un projet désirable- faux mais désirable.

Le totalitarisme religieux par la peur de l’enfer et la promesse du paradis, le communisme par l’avènement du paradis des travailleurs, le fascisme par le triomphe de la race supérieure expurgée des tares des sous-hommes…

Le nouveau fascisme numérique et transhumaniste lui ne s’appuie sur aucune illusion désirable, sauf celle, a contrario  et misérabiliste, que la robotisation nous soulage de notre humanité -ce qui peut être en effet la tentation de toutes les personnes suffisamment aliénées à elles-mêmes. Ce à quoi la presse, la télévision et la faillite de l’éducation ont abondamment œuvré depuis quelques décennies…

Louis donc est une menace pour ces forces d’aliénation et d’impérialisme totalitaire. Il n’est pas étonnant dès lors qu’il ait droit à une intensification du bashing qui le vise, en parallèle à celui visant Didier Raoult et l’IHU de Marseille.

Car c’est désormais un quitte ou double pour les puissances mortifères : soit le mensonge se verrouille pour quelques années au moins  (ce qui implique la mise hors d’état de nuire des opposants) soit le vent menace de tourner avec le risque d’une véritable Bérézina pour les corrompus de tous poils, petits et grands.

On voit donc les pires alliances sortir la tête de leur mare : comme Edwy Plénel (please !) accusant Louis Fouché d’être un gourou au service de l’extrême droite !

Peut-on imaginer argument plus vil et stupide ?! A défaut de s’être singularisé dans le renouveau d’un journalisme éthique et intelligent, au moins le rédacteur en question aurait-il brillé par un naufrage qui de tous ceux auxquels on a assistés n’est pas le moins lamentable et sidérant… Triste effondrement à vrai dire pour le responsable d’un média qui se voulait différent et termine simplement collabo, comme les autres.

Je conclurai ce billet en adressant à Louis Fouché, à sa femme Carole, à sa famille et à ses proches, ainsi qu’aux membres des collectifs Réinfo-Covid des différents pays francophones toute ma solidarité, mon respect ainsi que ma sincère et affectueuse admiration pour la valeur et la beauté de l’action menée. Sans violence et sans haine, de leur côté.

Et le temps rendra bien sûr son verdict.




Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19. Votez pour les Bobards d’or 2021 !

[Source : breizh-info.com]

La XIIe cérémonie des Bobards d’Or aura lieu lundi 14 juin à 19 heures au théâtre du Gymnase, 38, boulevard de Bonne-Nouvelle, 75010 Paris. Pour consulter les 15 Bobards présélectionnés : https://bobards-dor.fr/bobards-dor/bobards-dor-2021/

Pour sélectionner en ligne les 9 Bobards qui seront départagés par le public du Théâtre du Gymnase : https://polemia1.typeform.com/to/sqrofcyS

Pour s’inscrire à la cérémonie : https://www.weezevent.com/les-bobards-d-or-2021

Avec les catégories Bobards Lives Matter, Golden Bobards et Bobid-19, ce sera un peu la nuit américaine le lundi 14 juin au Théâtre du Gymnase !

Comme chaque année de grands noms sont en compétition.

L’usine à bobards, l’AFP – pour Agence France Presque ou Agence Française de Propagande -, qui « lave plus blanc que blanc » en dénonçant « un tireur blanc » comme auteur d’une tuerie aux États-Unis commise par un… musulman syrien !

France 2 et TF1 qui n’ont pas hésité à ouvrir leurs journaux télévisés par une étude totalement bidonnée sur l’ hydroxychloroquine. C’est le Bobard Lancet.

Quant au Monde, il tient la corde pour le Bobard de laboratoire pour avoir savamment expliqué que la thèse d’une sortie du coronavirus du laboratoire de Wuhan était « complotiste » : une thèse pourtant considérée aujourd’hui comme la plus probable par de très nombreux scientifiques.
Alors, un pangolin d’honneur pour le Monde ?

À moins que Michel Cymes ne rafle un prix bien mérité pour son Retournement de blouse blanche magistral ?

Pour le Bobard capital au Capitole, toute la presse est dans la course après avoir fortement dénoncé les cinq morts de « l’attaque meurtrière » ! En fait, aucun garde ou policier n’a trouvé la mort en rapport avec l’événement. La seule vraie et unique victime a été une manifestante abattue à bout portant par un garde !

Les différentes contraintes gouvernementales ne nous empêcheront pas de dénoncer ces journalistes qui mentent au nom du politiquement correct !

Rendez-vous lundi 14 juin, qui permettra de départager les meilleurs bobards sélectionnés par les internautes sur www.bobards-dor.fr

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021,
dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


[Source : Les Bobards d’Or (bobards-dor.fr)]

BOBARDS LIVES MATTER

BOBARD PLUS BLANC QUE BLANC

Bobard plus blanc que blanc

Pour l’AFP, l’auteur d’une fusillade aux États-Unis était « un homme blanc ». En réalité, il s’agissait d’un migrant syrien musulman.

BOB’HARPON

Bob’Harpon

Pour le journal « L’Humanité », le terroriste Mickaël Harpon fait partie des… victimes des violences policières !

TOUT VA TRÈS BIEN, MADAME LA MARQUISE !

Tout va très bien, madame la marquise !

Les émeutes Black Live Matter ont été très violentes mais plusieurs journalistes américains ont tout fait pour minimiser ces violences.

BOB’ARMES À FEU

Bob’armes à feu

Lors d’une manifestation Black Lives Matter dans une ville du Missouri, des manifestants sont entrés illégalement sur une propriété privée.

BOBARD SYSTÉMIQUE

Bobard systémique

Après la mort de George Floyd, la quasi-totalité des médias français a dénoncé le racisme systémique de la police américaine.

GOLDEN BOBARDS

UNE INFORMATION QUI CLOCHE

Une information qui cloche

De nombreux médias américains avaient affirmé que la victoire de Joe Biden avait été saluée dans notre pays par… des volées de cloches !

BOBARD COMPLOT

Bobard Complot

Le magazine « Time » a dévoilé le plan de certaines élites contre Donald Trump. Une manipulation électorale massive et bien réelle.

MACHINE À BOBARDER

Machine à bobarder

Les accusations du clan Trump sur les machines à voter ont amené CNN à produire un « fact-checking »… qui a confirmé les accusations !

BOBARD CAPITAL AU CAPITOLE

Bobard capital au Capitole

Contrairement aux bobards médiatiques, il y a eu un seul décès lors de l’envahissement du Capitole, celui d’une manifestante pro-Trump.

BOBARD HUNTER BIDEN

Bobard Hunter Biden

Quand Trump attaquait le fils de Joe Biden, les médias français ironisaient. Hunter Biden est finalement mis en examen… après l’élection.

BOBID-19

BOBARD LANCET

Bobard Lancet

En 2020, une étude démontrant la dangerosité de la chloroquine était publiée dans « The Lancet ». Mais elle était totalement bidonnée !

RETOURNEMENT DE BLOUSE BLANCHE

Retournement de blouse blanche

Sur le Covid-19, Michel Cymes a procédé à de spectaculaires retournements de blouse blanche… toujours dans le sens du vent gouvernemental !

BOBARD MASQUÉ

Bobard masqué

Les journalistes ont assuré pendant longtemps que le port du masque était inutile et n’ont pas lésiné sur les moyens pour nous en convaincre.

BOBARD DE LABORATOIRE

Bobard de laboratoire

Pendant des semaines, les médias ont répété que l’hypothèse d’un virus sorti du laboratoire de Wuhan était « complotiste ». Et finalement…

BOBARD PASCAL

Bobard Pascal

Le 12 avril 2020, Le Point annonçait triomphalement une messe clandestine. Sauf que la messe était autorisée et que l’église était vide.




« Tous les jours j’entends à la télé que vous, “journalistes” ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les “réticents au vaccin”. »

Par Alain Tortosa

Tous les jours j’entends à la télé que vous, « journalistes » ou politiciens, ne savez plus quoi faire de nous… les « réticents au vaccin ».

Savez-vous que, au mieux, vous perdez votre temps ?

Et oui, pas un jour sans que vous, les porte-parole du gouvernement, BFM et autres France-Info ou LCI ne se posent cette question qui vous semble primordiale et centrale…

« Que faire de celles et ceux qui sont réticents aux vaccins ? »

Permettez-moi d’abord de rétablir une petite vérité…

Ce n’est pas que je sois « réticent » aux thérapies vaccinales expérimentales contre le Covid, mais disons plutôt que :

  • J’y suis viscéralement opposé me concernant !
  • Je suis prêt à perdre mon travail ou ma liberté de déplacement pour y échapper !
  • Il faudrait me passer sur le corps (ou me menacer d’une arme et être beaucoup plus rapide que moi) si vous vouliez « vacciner » mes enfants de force !

Je ne suis pas contre le port du masque, contre les confinements ou contre les vaccins, ne vous en déplaise, mais je suis contre l’obscurantisme, la fausse science et surtout contre l’obligation !

Mais ceci dit, je suis bon prince et disposé à vous aider en fonction de mes possibilités…

Il y a pourtant une chose que je ne comprends pas bien…

Vous avez tellement menti, terrorisé et manipulé les honnêtes gens qu’une majorité écrasante de Français (et peut-être vous-mêmes, ex-journalistes) ont fini par croire à vos mensonges.

Les terrorisés (et les moutons manipulés qui ne veulent pas savoir) :

  • Croient que le Covid est plus dangereux que les maladies respiratoires habituelles.
  • Croient que le masque porté par une population en bonne santé protège.
  • Croient que les confinements des personnes en bonne santé sont efficaces.
  • Croient qu’il n’y a pas de traitements efficaces contre le Covid.
  • Croient que ces thérapies vaccinales expérimentales sont efficaces et sans danger.
  • Croient que l’on peut éradiquer un coronavirus par une immunité vaccinale de groupe.
  • Croient que le « vaccin » et le passeport sont l’unique voie vers la liberté.

Ils pourraient même finir par croire que l’industrie pharmaceutique est bonne pour les humains ou que vous, ex-journalistes, n’êtes pas endormis, narcissiques, aveugles ou corrompus…

Vous avez d’autant plus la preuve de l’efficacité de vos manipulations que deux tiers des Français étaient contre la vaccination il y a quelques mois avant la campagne de propagande.

Le revirement est totalement extraordinaire et inespéré pour votre dictature sanitaire !

  • Les plus de 60 ans sont vaccinés à plus de 70 % et ils atteindront allégrement les 80 % voire 90 % de leur tranche d’âge lorsque l’on analyse les courbes actuelles d’évolution.
  • La vaccination chez les personnes jeunes et en bonne santé explose au point que les 18-24 ans sont déjà 25 % à être vaccinés contre une maladie qui ne les concerne PAS.
  • La vaccination criminelle des enfants sera probablement une réussite si vous arrivez à cacher suffisamment de décès… Je rappelle qu’il y a eu 0 mort du Covid chez les moins de 15 ans en bonne santé !

Alors qu’est-ce que vous en avez à faire de nous les « réticents » ?

Pourquoi ? Oui, pourquoi ?

Dites-moi, pourquoi focalisez-vous l’attention du public sur nous alors même que des millions de Français veulent se vacciner et qu’ils n’ont pas encore pu le faire ???

Comprenez bien que je ne demande qu’à vous aider, mais il faudrait d’abord m’expliquer…

Cherchez-vous juste à attiser la haine, à nous pousser les uns contre les autres ?

Aimeriez-vous qu’un non-vacciné soit pendu par la foule dans un bus en Prime Time ?

Voulez-vous une guerre civile ?

Parce que là où votre entreprise machiavélique est proche du génie c’est que vous avez réussi non seulement à faire croire que ces thérapies expérimentales sont inoffensives, mais aussi…

  • Efficaces alors qu’elles n’empêchent pas de tomber malade.
  • Solidaires alors qu’elles n’empêchent pas la propagation du virus.

Sans parler :

  • Des variants mathématiquement et logiquement favorisés par la vaccination.
  • Du risque d’anticorps facilitants et de formes beaucoup plus graves pour les vaccinés.
  • Des effets à long terme totalement inconnus pour des thérapies expérimentales jamais utilisées à grande échelle sur des personnes jeunes et en bonne santé.

Vous avez réussi à fabriquer :

  • « Le vacciné qui a peur d’être contaminé par un non-vacciné. »
  • « Le vacciné qui doit porter un masque pour protéger les autres (vaccinés). »
  • « Le vacciné qui doit respecter les gestes barrières pour protéger les autres (vaccinés). »

Vaccinés qui sont globalement très contents, satisfaits et rassurés (s’ils n’ont pas d’effets secondaires graves ) de leur « vaccination » même si elle ne leur apporte actuellement aucune liberté.

Vous avez inventé le « vaccin indispensable et solidaire » qui lui seul nous permettra d’en sortir, mais qui… ne protège pas.

Avez-vous si peur que nous puissions « pervertir » le peuple et le rallier à notre juste cause ?

Honnêtement pour l’instant on peut dire que vous nous avez battus à plate couture.

Les vaccinés n’ont strictement aucun questionnement et n’émettent aucune critique…

Si vous avez réussi, vous-mêmes, à croire au « Saint Vaccin contre le Covid », je comprends que vous soyez perturbés par notre existence et que vous communiquiez sans cesse sur vos antennes.

Il se trouve que les autorités vaccinales que vous avez crues et qui annonçaient qu’il faudrait atteindre une immunité de masse de l’ordre de 70 % ont révisé leur propagande mensongère.

Ils étaient obligés de le faire du fait de l’explosion de cas et de décès dans certains pays, jusqu’à présent épargnés par l’épidémie, qui ont eu massivement recours à la « vaccination ».

Ne pouvant avouer l’inefficacité de la vaccination, le leurre d’une immunité acquise contre un virus qui mute naturellement et donc que la vaccination amplifie les mutations, il devient indispensable d’accroître le mensonge et affirmer qu’il faudra peut être 80 % ou 90 % de la population vaccinée pour se débarrasser du virus…

Pour chaque mutation, chaque nouvelle « vague » vous serez bien obligés d’accuser les non-vaccinés et vendre de la 3e ou 4e dose de « poison »…

Il devient relativement logique (« biaisée ») que vous pensiez qu’il faille vacciner 100 % de la population mondiale, car une seule personne non vaccinée pourrait mettre en péril votre merveilleux édifice… construit sur des sables mouvants nauséabonds.

Pour être plus précis, cette personne non vaccinée serait désignée comme étant LA coupable étant donné que « les vaccins fonctionnent ».

Au-delà du fait qu’il faut vraiment être totalement stupide pour imaginer vacciner la population mondiale (vacciner les pays riches peut s’entendre, mais les pauvres est simplement impossible).

Vous avez gagné la bataille de la manipulation et vous pourriez naïvement croire que vous pourriez nous ramener dans « le droit chemin » et nous sortir de notre « folie ».

N’avez-vous pas compris que la route qui mène à la vérité scientifique, à l’esprit critique et à la réflexion n’est pas à double sens ?

Autant nous pouvons sauver encore des personnes, mais vous ne réussirez pas à ramener, ne serait-ce qu’une seule personne comme moi, dans votre obscurantisme mortifère et criminel !

Vous perdez votre temps à l’espérer alors acceptez avec humilité cette défaite !

Alors, même si l’hypothèse est stupide, car impossible, seriez-vous rassuré si vous arriviez à tous nous injecter en France ou en Europe ?

Savez-vous qu’environ 25 % des personnes qui attrapent le Covid seraient vaccinées ?

Savez-vous qu’un vacciné peut aussi vous contaminer ?

Faites-vous semblant de l’ignorer alors que vous savez que c’est vrai, sinon vous seriez en sécurité et vous auriez enlevé votre masque ?

Le seul fait que vous ayez peur de moi prouve que vous ne croyez pas en votre bouillie expérimentale.

Si d’aventure vous arriviez à me vacciner de force lors d’une rafle de vos amis de la milice, vous n’arriveriez pas à vous débarrasser de ce virus simplement parce que… vous n’avez pas de vaccin !

Quel dommage !

Je dois vous avouer humblement que mon raisonnement a ses limites…

Car pour m’entendre vous seriez obligés de vous questionner sur vos certitudes contradictoires…

Seule la foi vous guide et vous apporte de la sérénité et la foi ne se démontre pas.

Vous voulez croire, mais le problème est que votre dieu est un faux dieu qui vise au mieux à se faire des milliards de dollars de bénéfice ou nous transformer en esclaves.

Alors s’il vous plaît, arrêtez de croire que vous pourrez nous « convaincre », partez d’un principe de réalité qu’il va falloir faire avec nous, un « nous » qui ne peut qu’augmenter.

Merci

Alain Tortosa.

Le 6 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210606-pourquoi-tant-de-haine.pdf




La synagogue de Satan

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

[Notes de Georges Gourdin :
Prenez le temps de lire cet article lumineux — et très rigoureusement documenté — de Mazetto qui vous apporte les clés pour comprendre la façon dont va le monde aujourd’hui.
Notre illustration à la une : Le Sabbat des sorcières, tableau de Goya (1798) qui nous dépeint un rituel de sorcellerie, dirigé par un Grand bouc, l’une des formes prises par le diable, qui officie lors d’un rituel de sacrifices d’enfants. Ce tableau avait été retenu par Juan Branco pour illustrer son site internet.]

[Ndlr : Mazetto évoque ici une secte particulière qui n’a rien à voir avec les synagogues en général.]

par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666

C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama « l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666.(([1] Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18 )) Le nombre de la bête marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du second temple.

Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou Dönmeh(([2] https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh )) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle plus tard, avec Jacob Frank.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank )) Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.

Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale ou religieuse,(([4] « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui, Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. » (([Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22] )) en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes dans l’âme, ils prétendront être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.

La kabbale lourianique

L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–1572):(([5] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant, l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils, mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe primordiale de « la brisure des vases » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(([6] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111 ))

Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale, car, lors de la création, il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières « sefirot », les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(([7] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem )) la haute autorité en matière de kabbale le résume ainsi :

« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans la diaspora. »(([9] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68 ))

Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam.(([10] https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam )) Et ce sera au peuple élu qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.

On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité »(([11] https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss ))

Kabbale et satanisme

Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie, de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah », à savoir la descente en vue de l’ascension, la transgression en vue du repentir »(([12] Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192 – https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52 ))

Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« « Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la conclusion morale : puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous pécheurs. »(([13] Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462 ))

Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui (sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. »(([14] https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-Aliyah-Ascent.htm ))

Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a, officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance spirituelle intérieure de l’individu, et une « kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale pratique d’une bonne partie de magie « noire » — c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »

Il ajoute :

« Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens, particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(([15] Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d ))

Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la promotion faite chez des jeunes de la fête d’Halloween,(([16] https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s )) Hollywood a aussi, par l’entremise du star-system,(([17] https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-stars/ar-BB1acDMV )) tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de kabbale.(([18] D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403 )) Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses maîtres kabbalistes.

La cabale

C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui entre aujourd’hui dans sa phase ultime.

« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati » fondés par le jésuite Adam Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété : Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati, ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté et, en ce moment même, elle atteint son apogée. »(([19] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199 – https://1lib.fr/book/964237/8b5986 ))

L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :

« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(([20] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p. ))

Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir d’abord la Haskala,(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala )) les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn,(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn )) sous l’influence de Nicolai,(([23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai )) dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes,(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes )) l’ancêtre de l’Internationale communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(([25] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger )) de la perversion du judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(([26] https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-homosexuals-in-rabbinate.html ))

Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la Révolution française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(([27] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort )) et, aujourd’hui, le siège de la BCE(([28] https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ%C3%A9enne )) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté, depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.

Les crypto-sabbatéens

L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(([29] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz )) à son confrère Jacob Emden,(([30] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden )) qui l’accusa d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion », « mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal,(([31] https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal )) jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécut que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie cachée », il fit la révélation suivante :

« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer — je ne mentais donc pas — et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. »(([32] https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/n38/mode/2up ))

Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan, aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme

C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(([33] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21 )) pour écrire le Manifeste, selon les idées déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(([34] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess )) fut, non seulement le mentor de Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non religieux. Le fait que son arrière-grand-père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen confirme la volonté d’empêcher la création d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la Déclaration(([35] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917 )) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque d’appartenance à la Synagogue de Satan.(([36] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG ))

Le règne du mensonge et de l’inversion

À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans continuent dévotement à faire le pèlerinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés, aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur Saint-Père franc-maçon, qu’ils considèrent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’ils ne perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé » du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël, malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti la médecine. Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le cas d’Albert Bourla,(([37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla )) PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller,(([38] https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html )) est compatible avec la santé, de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.

Israël, l’État sabbatéo-frankiste

Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la Première Guerre mondiale, il fallut à la cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(([39] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200 ))

Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street.(([40] https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf )) Quant à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu,(([41] https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara )) mais qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(([42] https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-after-antisemitism-claims )) cette simple vérité historique. C’est un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.

D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler, une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé « le prophète du Troisième Reich » et « magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(([43] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163 ))

De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis, avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(([44] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202 ))

Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :

Criminels de guerre juifs » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du « yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte aux monstres nazis.
 »(([45] Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 – https://1lib.us/book/5255692/918b9e ))

À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la critique, l’antisémitisme « nouveau »(([46] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme )) est apparu, incluant l’anti-sionisme.

Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant d’un « nouvel holocauste. »(([47] https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/ ))

Klaus Schwab, le sabbatéen

Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(([48] https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/ )) de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège… à savoir, confondre les symptômes avec les causes… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(([49] https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?q=the+real+enemy ))

Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(([50] Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du monde supérieur de l’émanation divine (([atzilut]. La Torah que vénérent les vrais juifs, qu’ils appellent Torah de beriah (([de la création], fait partie d’un monde inférieur dans la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée. )) est restée un principe cardinal de la « sainte foi », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le monde… »(([51] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162 ))

Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(([52] https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8 ))

666, la marque déposée

Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro contient la marque de la bête,(([53] https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/WO2020060606A1.pdf )) car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »(([54] https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/ )) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »,(([55] Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes – https://1lib.us/book/5600763/a79838 )) remontent déjà à une vingtaine d’années. Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies de la génétique d’aujourd’hui.(([56] https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-genetique-a-portee-de-main/ ))

On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâce à l’implant d’une puce électronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement, équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à son époque, ne pouvait encore concevoir.

La fuite en avant

Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible : l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV‑2, sont aussi passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.

Mazetto


Notes de lecture :




Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

Selon AXA Assurance, les problèmes de santé mentale des personnes ont fortement augmenté pendant la crise du Covid-19. Julia Asbrand, psychologue et chercheuse à l’Université Humboldt de Berlin, a écrit, au nom de nombreux collègues, une lettre ouverte au gouvernement fédéral.
Dans tout le pays, les psychiatres pour enfants et adolescents ainsi que les psychothérapeutes tirent la sonnette d’alarme quant à l’augmentation de l’agressivité, des troubles du sommeil, de l’anxiété à l’école, des troubles alimentaires, de la dépression et de la toxicomanie chez les jeunes, voire des suicides. À ce stade, la question se pose de savoir si les mesures de confinement sont réellement justifiées, compte tenu de ces conséquences dramatiques sur la santé mentale de la population.

Pourquoi empêche-t-on par tous les moyens un débat public sur la proportionnalité des mesures anti Covid ?
Une réponse possible est fournie par David Icke, journaliste et écrivain.
Depuis 1996, il étudie intensivement les opérations de contrôle mental menées par les services de renseignement et les gouvernements. Icke analyse les mesures de confinement à travers le monde et déclare :
« Ce qui est actuellement appliqué dans le monde entier, ce sont des techniques systématiques de coercition, de contrainte et de programmation de la perception qui sont pratiquées sur les individus depuis très, très longtemps. »

Comment en arrive-t-il à des déclarations aussi radicales ?

Les mesures actuelles contre le Covid-19, telles que l’isolement, le port de masques, les peurs massives qu’on attise ou la privation de libertés, présentent des parallèles frappants avec les méthodes de la CIA visant à manipuler délibérément la conscience des gens.

Dans les années 1950, dans le cadre du projet MK-Ultra, des psychologues de renom ont étudié les techniques de manipulation de la conscience. En 1956, par exemple, le psychologue Alfred Biderman a exposé les résultats de ses recherches dans le « diagramme de coercition de Biderman ».
Ce diagramme est considéré comme un cadre de méthodes visant à briser l’esprit humain, le respect de soi et la résistance des individus.
Biderman note que la torture psychologique est « le moyen idéal pour briser un prisonnier » car « l’isolement affecte les fonctions cérébrales du prisonnier tout autant que le fait de le battre, de l’affamer ou de le priver de sommeil. » Pour briser la volonté d’une personne, il suffit de la priver de tous les contacts sociaux, de la désorienter, de perturber ses rythmes biologiques et de la soumettre à un stress massif.

Les méthodes psychologiques nommées par Biderman ont été conçues pour la destruction ciblée de la psyché humaine.

Les mesures du gouvernement contre le Covid n’ont-elles que des similitudes fortuites ou sont-elles intentionnelles ?

  1. Isolement :
    Briser la force de résistance des victimes en retirant le soutien social de la famille ou des amis. Cela se fait par le biais du confinement, du travail à domicile, de l’enseignement à domicile, etc.
  2. Monopolisation de la perception :
    Fixer constamment l’attention sur la situation actuelle difficile. Une telle fixation sur le Covid n’est obtenue qu’en diffusant continuellement des informations dominantes sur le Covid qui excluent toutes les autres perceptions, c’est-à-dire les autres opinions.
  3. Atteindre l’épuisement, affaiblir la force de résistance :
    En interdisant tout ce qui est amusant, en imposant de lourdes charges, comme l’enseignement à domicile, les gens s’épuisent de plus en plus.
  4. Cultiver les peurs :
    Des peurs massives sont créées par des scénarios d’horreur constamment répétés.
  5. Assouplissements occasionnels :
    … ils provoquent une motivation à être docile, créent un espoir de changement, qui est sans cesse déçu. Cela crée une dépendance des victimes et réduit leur résistance. Les espoirs d’une fin rapide d’un confinement sont toujours déçus. À Noël, des concessions ont été faites, pour être ensuite annulées. Toujours de nouvelles perspectives d’assouplissement : Si nous descendons en dessous d’un taux d’incidence inférieur à XY, alors…
  6. Diminuer l’estime de soi en dégradant et en imposant des exigences insensées :
    De nombreuses mesures sont perçues par les gens comme contradictoires, dénuées de sens et arbitraires, telles que le port d’un masque pour se promener, des taux d’incidence douteux, l’ouverture de grandes surfaces et la fermeture de petits magasins, etc.…
  7. Développer une accoutumance à la situation exceptionnelle :
    Plus l’espoir d’une fin rapide du confinement est déçu, plus les gens sont censés s’habituer à cette situation inévitable.

Selon David Icke, les autres moyens sont les menaces en cas de violation et les assouplissements occasionnels en cas d’obéissance, ainsi que la démonstration de l’omnipotence. Plus les consignes sont triviales, stupides et ridicules, plus la dignité humaine est détruite. Le port de masques est un élément central de la guerre psychologique. Cela déshumanise et rend anonyme.

David Icke voit dans les ordres constamment changeants et contradictoires du gouvernement non pas de l’incompétence, mais de la méthode. Tout cela conduit à rendre les gens si dociles qu’ils ne devraient plus avoir leur propre raisonnement, leur propre perception et leur propre opinion. Pourquoi ?

Il est évident que les personnes psychologiquement affaiblies ne sont utiles que pour la mise en œuvre du « Great Reset » proclamé par le Forum économique mondial. Le but est de rendre les gens dociles à des changements planifiés de longue date qui sont tout à l’avantage des oligarques financiers et au détriment absolu des peuples.

Derrière les belles promesses de justice sociale et de nouveau départ écologique se cache l’imposition d’un despotisme global et totalitaire d’une minorité qui, totalement absorbée par elle-même, veut T O U T posséder et contrôler.

Cependant, selon David Icke, cela ne fonctionne que tant qu’une population désorientée, divisée, intimidée ou flegmatique laisse tout cela lui arriver, sans aucune réflexion et sans coordination.
Face à une grande résistance, tout ce « cirque » éclaterait immédiatement !

de rw., ag.


[Voir aussi :
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19]


Sources/Liens :

Anstieg psychischer Erkrankungen:
https://www.youtube.com/watch?v=V3WheSUqOpQ

Anstieg Psychischer Probleme bei Kindern und Jugendlichen:
https://www.welt.de/wissenschaft/article226432247/Corona-Mehr-Kinder-und-Teenager-brauchen-psychiatrische-Hilfe.html

Forschungsergebnisse zu psychologischer Kriegsführung, MK-Ultra, Geheimdienste, Biderman u.a.:
Wissenschaftlicher Artikel „Foltern für das Vaterland: Über die Beiträge der Psychologie zur Entwicklung von Techniken der weißen Folter“ von Prof. Rainer Mausfeld, April 2009;
http://www.uni-kiel.de/psychologie/psychophysik/mausfeld/Mausfeld_Psychologie%20und%20Folter.pdf

David Icke: „Die systematische Zerstörung der menschlichen Psyche“ vom 17.11.2020:
www.youtube.com/watch?v=Asi0XpTxi7E

Bidermans Diagramm des Zwangs:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1806204/pdf/bullnyacadmed00378-0046.pdf
https://www.strath.ac.uk/media/1newwebsite/departmentsubject/socialwork/documents/eshe/Bidermanschartofcoercion




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





Les emails de Fauci confirment la manipulation du coronacircus !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Le scoop du jour : les emails d’Anthony Fauci, le Mr Santé des USA, révèlent la supercherie du coronacircus

En attendant que les TV françaises se réveillent et au passage ouvrent des yeux encore fermés de trop nombreux citoyens sur le drame des pseudo-vaccins et « sauvent des vies » en évitant que des parents soumis acceptent de les vacciner (et prendre des risques majeurs tant dans l’immédiat que pour le futur), réjouissons-nous sur le nouveau feuilleton de l’année, le faucileaks.(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Et attendons impatiemment les épisodes suivants. Pas encore le caviar dit Olivier D., mais ça vient.(([2] Fauci Files : au menu caviar et petits fours | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com) )) Remontons-nous le moral ! Il était temps.

Pas évident de savoir pourquoi ces emails sont lâchés dans la nature maintenant, par qui et pourquoi, mais il semble bien que le vieux Mr Fauci soit bien un fusible et en tous cas que son sort soit fixé à brève échéance.

Le Dr Fauci est le conseiller médical de longue date de la haute administration américaine. Conseiller du Président Trump avec lequel il y eu beaucoup de divergences, il resta naturellement le conseiller du nouveau Président, Biden.

Fauci est donc le numéro UN de la santé aux USA. C’est dire l’importance de ces révélations à un moment où le scénario du coronacircus se fissure. L’existence de preuves incontestables de la manipulation mondiale dirigée par quelques-uns est capitale pour faire cesser enfin cette mascarade qui a déjà coûté tant de vies, en particulier par les mesures sanitaires complètement disproportionnées que ce mini-groupe adossé aux milliardaires via l’OMS et le forum de Davos a imposées dans une grande partie des pays occidentaux. L’Asie et l’Afrique ont été relativement épargnées par une moindre obéissance aux ordres de Davos et du FMI.

Comme souvent depuis le début de la crise, le journaliste André Bercoff révèle sur Sud Radio ce jour 4 juin, cette saga de l’histoire du coronacircus vue à travers les emails de Fauci ! Ils sont mis en lumière grâce à une liberté aux USA disparue en France. Grace au Freedom of information act aux USA qui a dévoilé 3 000 pages de mails du Mister Santé des USA avec ses correspondants. Richard Boutry appelle à ce que la vérité éclate !



Selon Olivier :

« Le fait fondamental est qu’il ne s’agit pas d’une “fuite“… France-Soir commet une faute importante en parlant de “fuite“. Mais de la communication officielle de documents, menée par un organe officiel qui en amont a procédé à une censure en bonne et due forme, dans le cadre d’une loi officielle (Freedom of Information Act). J’ajoute que caviarder est une chose… il est encore plus facile de faire disparaître purement et simplement un email.

Car ces messages, entre janvier et juin 2020… sont une sélection ! Absolument pas toute la correspondance de Fauci durant cette période ».(([1] https://assets.documentcloud.org/documents/20793561/leopold-nih-foia-anthony-fauci-emails.pdf))

Fauci répète mail après mail que les asymptomatiques ne sont pas à risque, ne peuvent pas transmettre. Les masques sont uniquement pour les gens infectés.  Mais en pratique il va les imposer. Et ainsi de suite.

Et nous ne sommes pas en reste. Déjà sans que tous les mails ne soient défrichés, notre M. Conseil scientifique est concerné. Formidable !

Le Pr Delfraissy le 25 mars 2021 explique dans un mail à son collègue le Dr Fauci « qu’il y a un léger signal positif pour l’hydroxychloroquine. (..) mais qu’il fait face à une énorme pression politique pour autoriser l’hydroxychloroquine, mais ne cède pas ». Trop beau de disposer de ces affirmations entre privés (le Dr Fauci, Mr vaccin américain, et M. Delfraissy, M. vaccin français).

À croire que les USA sont encore une vraie démocratie contrairement à notre pays et que l’élection volée de Trump, même reconnue par Biden, laisse des traces et entraîne des remous majeurs.

Le Pr Didier Raoult interviewé ce jour par André Bercoff sur Sud radio fait rapidement remarquer pourquoi il ne pouvait pas travailler avec des gens comme cela, les décisions prises ne résultant pas d’une discussion scientifique, le Conseil scientifique lui apparaissant plus comme un Conseil des copains. En ce qui concerne par exemple les essais, il n’a même pas été consulté sur le bras hydroxychloroquine, alors qu’il avait en France la plus grande expérience sur ce sujet. Il a renoncé à participer à ce Conseil, car il refuse d’être une marionnette. Il pense qu’on ne pourra pas faire l’économie de la mise en cause des raisons pour lesquelles le Lancet Gate a trompé le monde et poursuivre les gens qui ont imposé le Remdésivir qu’on savait inefficace et toxique, en collusion avec Gilead qui a subventionné les prix de la recherche remis cette année à des médecins corrompus. On ne pourra pas faire l’économie de la mise à plat de la corruption universitaire.

Fauci a menti, on le savait bien sûr, mais maintenant c’est révélé sur les chaînes de télé américaines. Il a menti devant le Sénat, ce qui habituellement aux USA est mal vécu et habituellement lourdement condamné. On verra si le cirque coronavirus depuis 18 mois a changé les mentalités même aux USA…


Watch the latest video at foxnews.com

Cette vidéo est excellente : ici est apportée la preuve qu’il savait que le Sars-cov2 n’avait pas sauté la barrière des espèces, mais il a menti sous serment en affirmant le contraire. Il a menti sur les masques, l’immunité naturelle, les vaccins. Et à la fin, le lien avec Gates est souligné.

Tucker Carlson n’a pas insisté, mais entre les minutes 4 : 30 et 4 : 40, on voit apparaître en copie d’un mail le nom de Christian Drosten, le conseiller santé de Mme Merkel, grand manitou de la politique sanitaire allemande et, de fait, européenne, homme douteux dont la thèse [de Doctorat] est difficile à trouver, mais qui a su imposer à la terre entière les fameux tests PCR fallacieux, mais toujours omniprésents dans notre quotidien pour la moindre réunion sportive ou autre voyage.

Il est aussi à l’origine du mensonge majeur sur la prétendue contagiosité des porteurs asymptomatiques de la Covid et tout ce qui s’en est ensuivi : les masques, les quarantaines de bien-portants surnommés asymptomatiques, etc.

Fauci, Gates, Drosten : acteurs majeurs de la pandémie et tous mis en cause ici.

Cette vidéo de Fox news par T Carlson sur Fauci est créditée d’un million de vues. Il est bien difficile à ce jour de tirer des conclusions claires de cette entreprise de transparence, car comme dit Olivier D. :

« La NSA est capable d’écouter un pet de mouche à des milliers de km dans un bunker enterré… Alors trafiquer des emails ? En supprimer ?

Je rappelle qu’aux États-Unis, les services de renseignement n’hésitent pas à monter des dossiers de toute pièce, même des faux (exemple le Russiagate sous Trump), y compris les trucs les plus farfelus le tout ensuite repris par tous les médias et les politiciens des États-Unis, sans oublier des institutions (comme le FBI)…

Bref, on a bien voulu publier… ce qu’on a bien voulu publier, avec un ou des objectifs précis. Mais il est naïf de croire que l’administration américaine laisserait passer des éléments réellement compromettants.

C’est pourquoi je revendique un certain scepticisme face à ce genre de communication officielle…

On mesure le gouffre entre les Faucifiles et les révélations par exemple de Snowden… basées elles sur des véritables fuites, pas du tout contrôlées ! Il n’y a semble-t-il aucune preuve irréfutable …

On a simplement la confirmation qu’il a menti, souvent »

Relativisons, pourquoi pas, mais il semble bien que ce feuilleton ne fasse que commencer et nous tienne en haleine un certain temps. Pourquoi pas un « plus belle la vie » ? À moins que le grand Soleil n’apparaisse à nouveau ?

Nicole Delépine





Comment les médias ont perverti nos âmes…

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

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Pour faire face à la désinformation et à la manipulation de l’opinion publique par les médias mainstream, Mediazone va proposer dans quelques semaines, un tour d’horizon hebdomadaire de l’information traitée par ces organes de propagande, pour permettre aux citoyens trop confiants d’appréhender la réalité médiatique avec un regard neuf.

Nous le ferons en vidéo-streaming sur Rumble et sur VK qui sont les dernières plateformes où la censure ne s’abat pas comme sur Facebook ou Youtube trop impliqués et trop compromis dans l’opération Covid.

Cette opération Covid a permis de prendre conscience que le monde dans lequel on nous fait vivre ou survivre est une matrice viciée où la démocratie n’est qu’une illusion, la classe politique dans son ensemble surtout préoccupée par ses propres intérêts, ses avantages et ses privilèges, les médias censés nous informer sont surtout des outils de manipulation et de conditionnement, la médecine surtout composée de prescripteurs de médicaments plutôt que par de vrais médecins soignants, l’industrie agro-alimentaire prospère grâce aux colorants, aux adjuvants, aux conservateurs et autres produits chimiques faisant de nous des gens en mauvaise santé, l’industrie pharmaceutique nous achève à petits feux, l’Éducation Nationale ne produit plus que des esprits formatés pour devenir de simples outils de production de richesses au profit de l’élite, les loisirs et le divertissement servent surtout à nous dépraver le corps et l’esprit et la boucle est bouclée.

Au fond quand on examine la vie quotidienne d’un être humain dans le monde capitaliste, elle se résume à peu de choses : manger, dormir, travailler quand on a la chance d’avoir un emploi, puis remplir le reste du temps du mieux qu’on peut en allant au restaurant, au concert, en boite, au cinéma ou en week-end à Deauville quand on a un peu de moyens.

Les jours passent, ils se ressemblent tous, ils sont souvent tristes et monotones et pour compenser le vide que l’on ressent à l’intérieur de soi, on utilise l’alcool pour s’enivrer, la fumette pour s’évader ou les tranquillisants pour éviter de regarder la réalité en face… En gros et en résumé, voilà comment on vit sa vie aujourd’hui… On en fait vite le tour…

Et c’est ainsi que beaucoup bossent pour rembourser le crédit sur la maison, la voiture, le frigo, la machine à laver, la télé pensant que c’est dans un semblant de confort matériel qu’on trouve le bonheur. La consommation devient le rite hebdomadaire, les courses dans les grandes surfaces et l’ivresse de s’extasier devant tout ce qu’on ne peut pas s’offrir mais qui devient source de désirs…

La vie passe comme un souffle et on se retrouve à 60 ans en se disant : « Mais qu’ai-je fait de ma vie ? Tout ça pour ça ? »

Et oui, on rêvait d’une autre vie, on rêvait de voyager, on rêvait de découvrir le monde, on rêvait d’apprendre et se cultiver, on rêvait d’entreprendre et de réaliser, on rêvait d’un bonheur idyllique et on ne l’a jamais trouvé. On passe d’une femme ou d’un homme à un autre, espérant qu’on trouvera toujours mieux pour finalement tomber sur toujours pire…

Nous passons à côté de la vraie vie, à côté de l’essentiel sans s’en rendre compte parce que nos cerveaux sont embrumés, pollués par la superficialité, déconnectés de la réalité. Et tous ensemble, nous finissons par fabriquer une société humaine déjantée, violente, pervertie loin, très loin des vraies valeurs de la vie. Nous devenons des bateaux ivres au milieu des tempêtes, incapables de nous diriger car nous n’avons pas de boussole, même plus la boussole spirituelle, celle qui permet de savoir avec précision quand on fait le bien et quand on fait le mal.

Le monde dans lequel on nous fait vivre produit bien plus de gens malheureux qu’heureux. Tout est dévoyé. L’amour devient un objet de consommation courante dont on se lasse pour une raison ou pour une autre, les valeurs qui régnaient au sein de la famille sont remplacées par la mode que nous inflige la télé réalité, chacun pour soi et Dieu pour tous et les vaches seront bien gardées.

Les médias ont une lourde responsabilité dans la dégénérescence de l’humanité. Ils sont le mensonge érigé en vérité, le vice érigé en vertu, la corruption des esprits est banalisée, l’adultère encouragé, la légèreté célébrée, la perversion partagée et nous croyons être des gens civilisés…

Si j’osais, je dirais que la télévision est l’arme la plus sophistiquée du Diable et ses serviteurs, une armée de démons…

Ce décryptage de l’actualité médiatique aura pour objectif de déshabiller cette perversion pour la faire apparaître dans toute sa laideur. Car comme pour un homme ou pour une femme, ce n’est pas l’apparence ou la beauté physique qui définit la qualité d’un être humain, mais la profondeur, la droiture et la noblesse de son âme…

En projetant sur nous sa propre image, la télévision a perverti nos âmes…
Il est temps d’en prendre conscience et de guérir…




Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn







Un ancien conseiller de Trump s’est-il montré favorable à un coup d’État militaire aux États-Unis ?

[Source : RT en français]

[Photo : © Jonathan ERNST – Source: Reuters]

Alors que Donald Trump aurait annoncé s’attendre à redevenir président dès août, son ancien conseiller à la sécurité nationale a déclaré qu’un coup d’État «devrait voir lieu» aux États-Unis, avant d’affirmer que ses propos avaient été déformés.

L’ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump et lieutenant-général en retraite de l’armée des États-Unis Michael Flynn a déclaré lors d’une conférence à Dallas qu’un coup d’État militaire comparable à celui qui a eu lieu en février dernier en Birmanie serait souhaitable dans son pays. Il a ensuite démenti, en affirmant que ses propos avaient été déformés. Au même moment, une journaliste a affirmé que Donald Trump envisagerait de redevenir président d’ici trois mois.

Dans une vidéo filmée lors de la manifestation intitulée For God and Country : Patriot Round-Up («Pour Dieu et la patrie : rassemblement patriote»), on peut entendre une personne dans le public demander «pourquoi ce qui s’est passé en Birmanie ne peut avoir lieu [aux États-Unis]». Ce à quoi Michael Flynn lui répond : «Il n’y pas de raison… ça devrait avoir lieu».

Néanmoins, Michael Flynn a démenti le 1er juin via son compte Telegram avoir souhaité un coup d’État aux États-Unis, en mettant en cause une «manipulation» de ses propos par les médias. «Soyons très clairs : il n’y a aucune raison de faire un coup d’État en Amérique, et je n’ai jamais appelé à une telle action», a-t-il affirmé.

Celui qui fut brièvement conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump (du 20 janvier au 13 février 2017) avait indiqué par le passé qu’il pensait que l’élection présidentielle de 2020 était frauduleuse. En décembre dernier, Michael Flynn avait même suggéré que le président Donald Trump pourrait utiliser les «capacités militaires» pour «refaire» l’élection dans les États-clés.

Peu après la conférence de Dallas, Maggie Haberman, une journaliste de CNN et correspondante à Washington pour le New York Times, a affirmé sur Twitter que Donald Trump avait déclaré à «un certain nombre de personnes avec lesquelles il est en contact» qu’il s’attendait à redevenir président d’ici le mois d’août. Maggie Haberman a cependant précisé qu’elle «partageait simplement l’information».

Auteur: RT France

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/87312-ancien-conseiller-trump-sest-il-montre-favorable-coup-detat-militaire-etats-unis




Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID

[Source : reseauinternational.net]

par Thomaïe.

Qu’est-ce que la FEMA ? à quoi sert-elle, quelle est son ambition officielle et officieuse, y a-t-il des camps de concentration aux États-Unis, et si oui à quoi servent-ils ? Tout cela repose-t-il sur une réalité tangible, ou n’est-ce que de la paranoïa complotiste, propre à certains mouvements fondamentalistes, comme on veut nous le faire croire ? Séparer les faits de la spéculation, c’est ce que j’essaierai de faire, tout en essayant de répondre aux questions posées.

La FEMA (Federal Emergency Management Agency) est une agence gouvernementale née sous l’administration Carter le 1er avril 1979, et est rattachée au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis. L’objectif officiel est de parer à d’éventuelles catastrophes naturelles, et autres incidences sur le territoire national.

Cette agence s’est faite remarquer en ayant pris part à l’enquête pour le 11 septembre 2001, où elle a eu pour mission la recherche des survivants et autres missions civiles, mais s’est aussi occupée des restes matériels, qui on le sait, ont bénéficié d’un traitement illégal au regard de la réglementation des enquêtes des incendies en expédiant les matériaux rapidement, ce qui a fait dire à l’éditeur Bill Manning du périodique Fire Engineering Magasine qu’il avait été question de destruction de preuve et que l’on violait la réglementation des enquêtes sur les incendies, en ne respectant pas l’obligation de sauvegarde du matériel incendié, elle a aussi eu pour mission de faire un rapport concernant l’effondrement des tours jumelles (voir wiki FEMA).

Peter Dale Scott dans son livre le nouveau désordre mondial nous dit aussi que la FEMA a travaillé au côté du Pentagone, concernant des exercices militaires précédent le 11/09, simulant des attaques sur les USA.

Elle s’est aussi fait remarquer au passage de l’ouragan Katrina le 29 août 2005, concernant la gestion qui s’en est suivie, et qui a provoqué le mécontentement du peuple Américain.

Mais là n’est pas le sujet, je voulais juste situer cette agence, qui par rapport à son comportement et aux questions laissées lors du 11/09, ne peut qu’inciter à la vigilance, quant à sa crédibilité et ses réelles intentions.

Pour une petite mise en perspective historique, on peut se reporter aux camps de concentration américains, où on a parqué des familles entières et où environ 110 000 ressortissants japonais et américains d’origine japonaises, ont été amenés durant la Seconde Guerre mondiale, suite à l’attaque de Pearl Harbor.

Le rôle des camps FEMA

Le gestion d’urgence nationale pourrait être un prétexte pour instaurer la loi martiale, car peu importe la menace, si c’était le cas, la FEMA aurait la responsabilité de ce qu’ils appellent « la continuité du gouvernement » (l’appellation est trompeuse), se placerait donc à la tête du pays, et pourrait mettre en place des lois d’exceptions, adaptées à la situation, ce qui aurait pour effet d’enlever tout droits constitutionnels aux citoyens américains. Nous pouvons nous reporter à ce sujet a « l’Internal Security Act » de 1950 ou juste après la guerre, le congrès américain ratifia un système de détention, pour pouvoir emprisonner tout communiste infiltré. La FEMA en fit de même lors de sa création en 1979, et fut encore repris par le Département de la Sécurité intérieure en 2003 qui la supervise. La mise en place de ce plan d’urgence se nommant « Security Portfolio » aurait permis au président Truman de l’époque, de pouvoir placer en détention 20 000 personnes, sans passer par la case procès. Le danger est que ces plans pourraient être d’actualités et bien plus opérationnels depuis le temps.1

Pour les ambitions officieuses de cette agence, nous pouvons nous reporter a ce document là2 ainsi que celui-ci3 (documents officiels) ; j’y reviendrai plus loin. On peut aussi lire cet article du New York Times4, traitant d’un contrat de 385 millions de dollars avec une filiale de Halliburton, pour des centres de détention destinés a l’immigration. Pour le détail, l’ancien directeur de Halliburton est Dick Cheney…

Souvenons nous des propos de John Ascroft (procureur général) qui un an après l’attentat du 11/09, et dont le Los Angeles Times les avait rapportés, annonçait son désir d’avoir des camps de rétention pour les citoyens américains considérés comme « des ennemis combattants » et que son intention lui permettrait « d’ordonner la détention à temps indéterminé de citoyens américains et de les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et de l’accès aux tribunaux en les déclarants ennemis combattants »5. Voir aussi le lien 1 et la déclaration du conservateur Howard J Ruff sur le « manque d’une crise etc… »

Nous pouvons remarquer que loin d’être une lubie de « complotiste », en se reportant à des sites aussi sérieux que, Courrier internationalMondialisation.caSputnik newsl’HumanitéDedefensaMediapart ou bien a un auteur aussi consciencieux que Peter Dale Scott, eux aussi nous ont tous fait part de leurs doutes, concernant ces camps et leur fonctions.

Un article du Courrier International6, nous signale que le commentateur de Fox News, Glenn Beck a consacré trois émissions sur la théorie et l’hypothèse soulevée par ces camps, partant du fait qu’il voulait « la déboulonner » mais qu’il n’y était pas arrivé, et on peut le voir se contredisant, en nous signalant d’abord qu’« il n’arrive pas a la déboulonner » pour ensuite dire à Jones « aucune preuve de ces camps » ; courageux mais pas téméraire comme on dit, un petit rappel à l’ordre a du être fait à ce monsieur. On peut remarquer que le premier mot de l’article est « paranoïa », si on avait voulu avoir un doute sur la fonction de ces camps, on n’aurait pas pu s’y prendre mieux que ça ; rien de plus douteux qu’un tel titre de faussaire de « journaliste ».

Pour l’article de Mondialisation.ca7, nous avons un communiqué assez sobre nous faisant simplement état de ces camps, mais confirmant bel et bien leur existence.

L’article de Sputnik news est, (a l’instar de L’Humanité, de Mediapart etc..), assez interrogatif sur le pourquoi de ces camps, il nous dit qu’une équipe de télévision locale d’Atlanta est allée sur place et à constaté des centaines de cercueils noirs, de modèle militaire, stockés dans un ancien champ de blé… Pour les dimensions, trois personnes peuvent rentrer dans ces cercueils. On nous dit aussi que ces camps sont parfaitement opérationnels et sont déjà équipés de miradors, centrales électriques, barbelés, voie d’accès, et pour le détail assez glaçant, dans un camp en Arizona, nous avons un chemin de fer se déployant à l’entrée principale… ! Pour les voies d’accès, les camps sont tous desservis par des routes, installations ferroviaires, aéroport etc… Nous avons aussi des lieux de travail, baraques sans fenêtres, une cantine. On nous a vendu ces camps en prévision d’éventuelles catastrophes à venir, mais comme le souligne l’article, une question reste en suspens si c’est bien le cas ; pourquoi alors les zones de sécurités sont elles dirigées vers le périmètre intérieur comme si c’est l’évasion que l’on voulait éviter ? Mais aussi « pourquoi ces camps sont-ils si éloignés de la civilisation, et qui attendent-ils au juste ? ». À changer je ne sais combien de fois de raisons d’être, on ne sait plus qu’en penser.

Sputnik souligne aussi que l’on peut mettre en place la directive « PDD 51 » qui permettrait à la loi d’annuler toutes les libertés civiles et introduire l’état de siège. Nous pouvons appuyer cette supposition de loi martiale par cette vidéo : « We Are Under Martial Law ! As Declared By The Speaker Last Night », et chercher à se la confirmer par des personnalités politiques en avertissant tels que : Brad Sherman,Dennis kucinich, Mickael Herzong etc.., ou par une vidéo et deux articles tels que : « Martial Law Launch », et « États-Unis : Économie et loi martiale – La Sécurité intérieure se prépare-t-elle pour le prochain effondrement de Wall Street ? » et « Rex 84 : FEMA’s Blueprint for Martial Law in America ». La directive dont parle Sputnik permettrait globalement au président Bush l’ayant voté, de passer outre l’avis du congrès. Cet article de John Lloyds sur Agora Vox en 2009 nous explique clairement, quelle serait les dispositions que pourrait prendre la FEMA en cas d’urgence nationale de toutes sortes : « Futurs camps de concentration »

Le recours à la loi martiale et au camps de détention ne date pas d’hier, le livre de Peter Dale Scott nous en apprend beaucoup et je retirerai certains passages éclairant de son livre.

« Le 30 octobre 1969, le président Nixon signa un ordre exécutif 11 490 confirmant 21 ordre exécutifs et deux ordres de mobilisation de défense attribuant des fonctions de préparations aux situations de crise à des agences et des départements fédéraux. En 1976 a travers l’ordre exécutif 11 921, le président Ford renforça encore ces fonctions en faveur de la Féderal Emergency Preparedness Agency (FEPA)… Dés 1984, le journaliste Ross Gelbspan (journaliste réputé ayant travaillé au Boston Globe, Washington Post etc.) nous disait « le lieutenant colonel Olivier North travaillait avec des responsables de la FEMA (…) dans le but d’un plan secret de prévoyance afin de surveiller les dissidents politiques et d’assurer la détention de centaines de milliers d’étrangers sans papier dans le cas d’une urgence nationale indéterminée ». Le plan dont une partie portait le nom de code Rex 84, appelait à la suspension de la constitution conditionnée par un certain nombre de scénarios dont une invasion des États-Unis du Nicaruaga. Mais outre les groupes s’opposant aux États-Unis en Amérique centrale, ce plan de la FEMA aurait inclus les activistes gouvernementaux, les opposants à l’énergie nucléaire ainsi que les activistes favorables à l’assistance aux réfugiés ». Le plan Cable splicer traitait déjà de réactions en cas d’insurrection, d’exercices destinés à gérer ce genre de crise. « Sous Reagan ces responsables de Cable Splicer (sous la direction de Louis Giuffrida) intégrèrent la FEMA les plans de Giuffrida concernant la détention de dissidents devinrent si tentaculaires que même le ministre de la justice William French Smith émit des objections ».

Lors de Iran Countra, au cours d’auditions suite à ce scandale national le député Jack Brook interrogea Olivier North (militaire ayant travaillé avec les responsables de la FEMA) à propos de son travail sur « un plan en cas de crise qui suspendrait la constitution américaine » il n’eut pour seule réponse que c’était là « un sujet hautement sensible et classé secret » et qu’on ne pouvait donc pas l’aborder au cours d’une audience publique !

Le type d’urgence nationale mettant en place cette « continuité du gouvernement » est très vaste, et fut définie par l’ordre exécutif 12 656 de 1988 qui disait « toute survenance incluant les catastrophes naturelles, les attaques militaires, les urgences technologiques, ou toute autre situation de crise qui dégradent sérieusement ou mettent gravement en péril la sécurité nationale des États-Unis », nous pouvons voir là par ce décret, que les incidents pouvant mettre en place cela, sont très vastes et sujets à caution. James Bamfort dans son livre « Pretext Of War » nous spécifie que lors du 11/09, seule une partie du plan de continuité du gouvernement a été mise en place.

En 1982 un mémo rédigé par la FEMA et aujourd’hui rendu public déclara qu’« un programme civil de défense pleinement mis en oeuvre ne serait certainement pas considéré comme un substitut a la loi martiale, ni promu en tant que tel. Cependant si l’exécution de ce plan s’avérait une réussite,il pourrait avoir les mêmes effets que la loi martiale »8. Cette idée prit de l’ampleur lors de l’ouragan Katrina ou selon le Washington post, le conseiller à la maison blanche Karl Rove dit au gouverneur de Louisiane que l’on pourrait explorer des options légales pour, je cite : « aller aussi près [de la loi martiale] qu’il nous est permis d’aller ».

La source de ces paragraphes précédents vient du livre de Peter Dale Scott, « Le nouveau désordre mondial », j’ai sorti ces citations et divers extraits du livre (que j’invite tout le monde à lire) simplement pour souligner que la FEMA et sa « continuité du gouvernement » n’est pas un projet récent, ni une réponse à diverses catastrophes naturelles.

Cette note du congrès datant de 2007 n’est franchement pas rassurante, et pourrait être mise en corrélation avec tout ça : whatreallyhappened.com/concentration.

Par contre nous voyons que l’auteur Dominique Jacques Roth du journal L’Humanité, est un peu plus incisif, et pose cette question à la fin de l’article9 :

« À quel usage sont destinés les 600 camps de concentration disséminés sur le territoire américain pouvant recevoir 20 000 personnes chacun et les 100 000 wagons de prisonniers à trois étages munis de menottes et de chaînes, que la FEMA a commandés à des entreprises étrangères ? »

Le lien numéro un est un document militaire qui traite de programme de travaux forcés pour des détenus, pour faire les basses besognes de l’armée, comme nous l’explique l’auteur John Lloyds avec son article de 2009 (« Futur camps de concentration ; vol au dessus des nids de la FEMA », agora.fr).

Le document en lien 2 est un rapport datant du 12 février 2010, dont le titre est « FM 3-39. 40 opérations d’internement et réinstallation », il s’agit d’un manuel expliquant l’organisation de camps d’internement pour divers prisonniers de camp FEMA, mais le point assez troublant du document est que l’on parle de « rééducation de prisonniers », ce qui fera surement penser à tout le monde, le traitement des régimes totalitaires envers leurs prisonniers politique. Le site Dedefensa, qui nous fait part de divers extraits repris de la transcription intégrale du manuel, donnent plusieurs détails troublants, la partie extraite de la transcription montre clairement que ces détentions arbitraires s’appliquent aussi au territoire des États-Unis et aux citoyens américains. La partie la plus controversée se situe page 56 ou il est question d’équipe « PSYOPS » dont la responsabilité sera d’utiliser « des programmes d’endoctrinement pour réduire ou éliminer les attitudes antagonistes » ainsi que le ciblage de « militants politiques », avec des programmes pour fournir « la compréhension et l’appréciation des politiques et des actions américaines » ! L’aspect le plus choquant de ce manuel, est qu’il en ressort un moyen de rééducation et d’endoctrinement très peu approprié aux victimes civiles.

Cette dérive autoritaire concernant des troubles civils n’est pas nouvelle, le plan Garden Plot datant déjà de dizaines années, traité déjà de réaction en cas de troubles civils, des documents déclassifié en parle. Garden plot n’est qu’un sous programme de Rex 84, mais traite a peu près de la même chose : governmentattic.org/USArmyCivilDisturbPlanGardenPlot.

Defense, 3 August 1978 – Government Attic : governmentattic.org

Description of document : US Department of the Army Civil Disturbance Plan « GARDEN PLOT » prepared for the Department of Defense, 3 August 1978

Deux documentaires

On peut aussi se reporter a ce reportage : « Les camps de la FEMA » (ce n’est pas un documentaire de Alex Jones, il est simplement co-producteur et fait partie des intervenants, le réalisateur s’appelle William Lewis) Vous verrez dans le reportage que plusieurs projets de lois mentionnent clairement ces camps FEMA et que plusieurs personnalités politiques nous font part de leur doutes et peurs concernant ces camps et lois liberticides. Nous voyons aussi que la FEMA a fait un appel d’offre pour des emplois dans ces camps, où la publicité de l’offre explique clairement que les militaires auront en charge la conduite de prisonniers.

Mise en relation des camps de la FEMA avec les sans abris

Tout le monde a du se demander selon le titre de ce texte, quelle est le rapport entre les camps FEMA et les sans domiciles fixes, le voici :

Autre point douteux est la raison d’être de cette FEMA, qui a été maintes fois redéfinie par le gouvernement, il a d’abord été question d’attaque nucléaire, ensuite catastrophes naturelles, puis les attaques terroristes, et qu’apprend-on maintenant, qu’elle enferme… des SDF, en leur implantant des puces sous la peau en échange de leurs sorties !!

Je vous reproduis mot à mot la première ligne d’introduction d’un article de Mediapart :

« Des camps FEMA en Caroline du Nord , on n’en sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau ».10

Il a été proposé aux sans abris de pouvoir sortir de ces prisons de la FEMA à condition qu’ils acceptent cette puce RFID sous la peau (Radio Frequency Identification). Elle servirait donc à les mettre sur monitorage, à les maintenir sous contrôle en échange de biens comme la nourriture, couvertures, vêtements et autres bénéfices pour leur survie. Sachez que ce pays enferme ses citoyens pour le seul motif d’être dans la précarité, tout cela sans raison aucune, sans tribunaux, sans procès et qui plus est, sans aucune indication sur la durée. (pour ceux qui doutent de cette affirmation, je le répète, sachez juste qu’elle n’est que la reproduction des dires d’un article de Mediapart, dont l’auteur s’appelle Massimo Bonatto)

En se reportant au lien 1, nous pouvons voir que le site livescience.com, nous annonçait en mai 2006 que la société VeryCHip Corporatation avait proposé au gouvernement américain d’implanter une puce aux immigrants pour pouvoir les suivre et les localisés.

Une simple question vient de suite à l’esprit au sujet de l’affirmation de Mediapart sur le puçage des SDF qui reste à première vue insoluble est pourquoi ?! Pour l’immigration, bien que le faire resterait inhumain, nous aurions l’argument un tant soit peu crédible, sur le fait de pouvoir les suivre mais des SDF… ! pourquoi pucer des gens dont ils n’ont aucune utilité, on ne suit pas des SDF pour savoir ou ils vont, alors que par définition de leur situation ils ne vont nulle part, nous voyons donc que l’argument de les pister ne tient pas. J’entrerai donc dans des spéculations à partir de maintenant, que j’essayerai d’appuyer non par des preuves, mais par des corrélations.

Hypothèses et spéculations sur la raison du pucage de sans abris

Voici d’abord la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue Nexus. C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micro-puce électronique. Le Dr. Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Extrait du témoignage :

« J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micro-puces dans le domaine bio-médical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc » (…) « Nous avions remarqué que la fréquence de la micro-puce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micro-puce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micro-puce. Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam » ( …) ;

(je vous laisse aller lire la suite de vous même) ; mais pour ceux qui veulent aller jeter un coup d’œil au site de ce monsieur, c’est par ici : trumpetministries.net

L’extrait que j’ai sortie du témoignage intégral n’est là que pour souligner que l’inventeur de cette puce, nous a dit qu’on lui avait demandé de s’en servir pour des raisons médicales au début, mais que les recherches se sont dirigées vers la modification du comportement. Le fait donc de pucer des gens sans aucune utilité s’éclaire déjà un peu plus, surtout en gardant en tête que ces gens là sont idéals pour subir des expérimentations, étant donné que personne ne le saura compte tenu de leur situation. Dites vous que ce témoignage date de plus de 20 ans.. ! Imaginez ce qu’il doivent arriver à faire a l’heure d’aujourd’hui, si la modification du comportement était déjà a l’étude a l’époque.

Pour celles et ceux qui auraient un doute quant à la possibilité d’influer sur le comportement avec ces puces, je les invite à lire cet article du Daily Mail : « All in the mind : The ‘telepathy’ chip that lets you turn on the TV using the power of thought ».

On peut aussi lire ce copier coller, de l’article du Boston Globe, de l’auteur Gareth Cook, ou vous verrez que le contrôle de l’esprit n’est en rien de la science fiction et qu’il a déjà été expérimenté sur des animaux comme nous le fait remarquer l’auteur : prisonplanet.com/defense_department_funding_brain_machine_work

Il y a aussi cette vidéo de Russia Today : « Mind Control – Remote Neural Monitoring »

José Delgado (neurophysiologiste, pionnier dans la technologie des implants cérébraux), auteur du livre « Contrôle Physique de l’Esprit – Vers une Société Psychocivilisée », a fait une déclaration intéressante a ce sujet dans le numéro du 24 février 1974 du Congressional Record, N° 262E, Vol. 118.

« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Toute personne qui dévie de la norme donnée peut être mutilée par chirurgie. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer son propre esprit. Ce type d’orientation libérale possède un grand attrait. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau ».

Que tout le monde comprennent bien que cette déclaration a été faites il y a plus de 40 ans, nous pouvons imaginer ce qu’ils savent faire a l’heure d’aujourd’hui, si nous avions des déclarations de la sorte il y a tant d’années, je me permets de supputer qu’elle se base sur des études et expérimentations, et que cette déclaration ne sort pas de nulle part.

Pour se pencher un peu plus sur ce que ce genre de puce sont capable de faire au niveau de comportement il y a ceci : ubergizmo.com/2015/04/27/en-2030-le-cerveau-humain-sera-devenu-une-telecommande-universelle, on peut y voir que le contrôle de l’esprit au travers de ces puces , n’est en rien quelque chose de futuriste et qu’il a déjà était expérimenté bon nombre de fois, quelques exemples de l’article. Miguel Nicolilis réalisa entre 2002 et 2005 a l’Université Duke une expérience qui permit a des singes de contrôler un bras robotisé par la pensée. Il réalisa aussi la prouesse de faire don de télépathie a des rats pour pouvoir résoudre des problèmes. Pour revenir au sujet de l’article qui est une manipulation du comportement et de l’état émotionnel, nous pouvons voir dans cet article qu’une étude française regroupant des chercheurs de l’École supérieure de Physique et de Chimie industrielles de Paros (ESPCI et de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) a montré pour la première fois qu’il était possible de modifier le comportement de rongeurs en implantant de faux souvenirs complexes dans l’esprit de souris endormies ! Je ne pense pas trop m’avancer en affirmant que si de telle chose sont possibles sur des souris, il en est de même pour le genre humain, et je ne pense pas non plus enfoncer trop de porte ouverte, en supputant que la technologie militaire est toujours en avance par rapport a ce qu’on veut bien nous dire (projet Manhattan etc..) L’expérience sur ces souris a fait dire a Karim Benchenane à la tête de l’équipe ayant expérimenté tout ça :

« il est possible de fabriquer puis d’implanter un souvenir complexe qui peut être perçu consciemment par la souris, qui l’utilise dans un comportement dirigé vers un but ».

Pour revenir a José Delgado de la déclaration ci dessus, on nous cite plusieurs expériences. En 1963 il parvint à arrêter un taureau en pleine course en lui implantant des électrodes commandés à distance par un émetteur radio, à forcer un chat à lever la patte, etc.. mais il ne s’arrêta pas là, il parvint aussi déclencher des états émotionnels chez l’être humain a base d’un dispositif nommé « stimoceiver » et parvenant a provoquer certains états émotionnels comme : « la peur, la concentration et l’euphorie »… !

L’article a l’honnêteté de nous avertir des dérives que tout cela pourrait amener, en disant, « On imagine bien entendu sans peine les dérives et les dangers qu’un tel dispositif pourrait entraîner s’il était utilisé hors de tout contrôle médical ou de toute finalité thérapeutique, pour conditionner les individus et modifier leur personnalité », comme vu plus haut que le DARPA (défense) s’est intéressé a tout ça, devrait faire réfléchir tout le monde, sur cette avertissement innocent de l’article, et comprendre que la fonction médicale n’est plus tout à fait sollicité quand un organisme étatique pour la défense d’un pays s’y penche..

Cet article du Business insider parle aussi de puces « cérébrales », le directeur de l’Institut Allen Christoph Kock et le professeur de psychologie Gary Marcus explique ce qu’elles pourront peut être faire à l’avenir : « Brain implants will give us superpowers », il y est question de restaurer l’audition, la vue, mémoire et attention amélioré etc…

Quelque chose en rapport avec des camps et des expérimentations sur être humain, on peut trouver ceci :

  • « Expérimentation humaine à Guantanamo », c’est Le Guardian qui nous dit que de telles horreurs ont était pratiquées a Guantanamo, mais aussi cela :
  • « Des détenus cobayes à Guantanamo ». C’est un article du Nouvel Observateur qui est une interview de Jacques Debray, l’avocat de deux des quatre français ayant finit a Guantanamo, ou les prisonniers ont eu l’impression de subir des expérimentions médicales. Il n’y est mention d’aucune puce, que d’expérimentations.

Serge Monast journaliste d’investigation, et les camps de concentration américains

Le journaliste d’investigation Serge Monast, fondateur de l’Agence de Presse libre internationale a écrit un document dans les années 1990, du nom de « rex 64 camps de concentration » (je conseille vivement à tout le monde de le télécharger), où vous verrez que cette avertissement de camps de concentrations aux États-Unis ne date pas d’hier, et que l’une des premières dénonciations a été faite par le rédacteur en chef du Oakland tribune en 1976. Ce monsieur était tellement sur de l’illégalité de ces camps et de leurs fonctions qu’il a déposé une plainte au nom du peuple des États-Unis intitulé « Plainte contre le programme de camps de concentration du Département de la Défense ». Il y a aussi un autre avertissement pour ces camps, qui a été donné en 1991 par l’auteur Tony Blizzard du journal National Education en Californie, ou son article avait comme titre « Des camps de concentration secret ? »

Et pour que tout le monde comprenne bien aussi, que cette manipulation du comportement est un projet mûrement réfléchi depuis bon nombre d’années, voici une déclaration du psychologue James Mc Conell publié dans un numéro de Psychologie Today dans les années 1970 : « Le jour est arrivé ou nous pouvons combiné la privation sensorielle, avec des drogues, de l’hypnose, et de la manipulation astucieuse de la punition et de la récompense, tout cela pour parvenir au contrôle presque absolu d’un individu. Il devrait être possible de développer une méthode (…) qui permettrait d’effectuer des changements radicaux dans la personnalité et comportement d’un individu » ! Vous verrez aussi que le Dr William R Pabst, de Houston au Texas, a sorti un document de 21 pages11, il y a plus de 30 ans, dont le titre est « Concentration Camp Program/United States Department Of Justice », avertissant des ambitions officieuses de ces camps FEMA, traduit et reproduit en totalité dans ce livre du journaliste international Serge Monast.

Conclusions

Cette technologie peut amener a toutes sortes de dérives, nous avons vu les allemands refusé de breveter une invention saoudienne libérant du cyanure, par télécommande, avec cette puce sous cutanée ! : « Allemagne – Refus de breveter une invention saoudienne : puces sous-cutanées pouvant libérer du cyanure par télécommande ».

En tout cas, peu importe la fonction qu’a cette puce, et je conclurai ce texte comme ça, nous pouvons d’ors et déjà dire, que rien que de l’implanter est criminel, car reconnue cancérigène. L’organisation américaine CASPIAN a publié un rapport de 52 pages combinant différentes études, au sujet de cette puce et confirmant bel et bien la nocivité et les risques cancérigènes de celle ci : antichips.com/albrecht-microchip-cancer-full-paper

Alors bien qu’aucune preuve directe n’atteste de la volonté d’expérimentations sur SDF pour la modification du comportement, l’argument de suivre des gens, qui par définition, vagabondent, n’est pas très convaincant. Tout cela restent des spéculations pour l’instant, mais sachant ce qu’ont étaient capable ces différents organismes étatiques au cours de l’histoire, avec des projets tels que MK ultra, Artichock, BlueBird, Monarch, ou Stargate pour le moins négatif, démontrant tous un intérêt pour le contrôle de l’esprit, par le complexe militaro-industriel, ça ne devrait donc étonner personne, qu’une telle affirmation soit faite de Mediapart. Affaire à suivre…


  1. karmapolis.be/fema_secrets
  2. apd.army.mil/r210_35
  3. info.publicintelligence.net/USArmy-InternmentResettlement
  4. nytimes.com/2006/02/04/halliburton-subsidiary-gets-contract-to-add-temporary-immigration
  5. latimes.com/2002/oe-turley14
  6. « PARANOïA. La folle rumeur des camps de concentration fédéraux » Courrier international
  7. « 600 camps de concentration aux États-Unis », Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  8. ReOpen911 – News, « Le programme secret de la FEMA pour supplanter la Constitution des États-Unis et établir un état d’urgence permanent »
  9. « Culture du malaise… au service des multinationales », L’Humanité
  10. « USA, Caroline du Nord. Les camps de concentration Fema pour les sans domicile fixe », Massimo Bonato, Le Club de Mediapart
  11. « Plans de camps de concentration pour les citoyens américains », bibliotecapleyades.net