Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




L’Italie se préoccupait des champs électromagnétiques dès les années 1960

[Source : maisonsaine.ca]

Par : André Fauteux

Il y a 35 ans, je découvrais les effets des champs électromagnétiques sur la santé grâce au docteur en architecture Andrew Michrowski, directeur de l’Association planétaire pour l’énergie propre (mieux connue sous son acronyme anglais PACE), basée à Ottawa. Dans cet entretien, il me raconte comment ses professeurs italiens l’ont initié au sujet des ondes nocives lorsque j’avais à peine un an ! Nous abordons aussi notamment son étude commandée par la SCHL sur Les champs électromagnétiques dans les maisons canadiennes : https://maisonsaine.ca/actualites/les-champs-electromagnetiques-dans-les-maisons-canadiennes. Il explique aussi comment réduire les surexpositions — notamment aux champs magnétiques — qui augmentent le risque de leucémie infantile.

Voici les limites d’exposition aux basses et hautes fréquences dans les chambres basées sur les effets biologiques néfastes causées par des expositions prolongées : Valeurs indicatives en baubiologie SBM-2015 pour les zones de repos

Son nouveau site : https://pacenetwork.org

[Voir aussi :
https://baubiologie.fr/
et
Le Luxembourg champion de l’habitat sain, y compris au chapitre électromagnétique]

André Fauteux

Journaliste de profession, André Fauteux fut reporter à The Gazette (1988) puis chez Habitabec (1989-1994) où il s’est spécialisé en maisons saines et écologiques. En 1994, il fondait La Maison du 21e siècle, premier magazine canadien en la matière, dont il est toujours l’éditeur et le rédacteur en chef. Il a également été collaborateur à La Presse et au magazine Guide Ressources pendant 15 ans, entre autres médias. Il est aussi un conseiller, formateur et conférencier recherché pour tout ce qui touche à l’habitat sain et durable.




Mort de Dieu ou de l’homme ?

[Source : arretsurinfo.ch]

Par Elias Zahlaoui

Behind the #Wall, 2013 Old Jerusalem Scene By Nabil Anani | Palestine …

Le grand romancier russe, Dostoïevski, a écrit un jour :

« Si Dieu meurt, tout est permis ».

Peu de temps après, le philosophe allemand, Nietzsche, déclarait :

« Dieu est bel et bien mort ! »

Peut-on nier que tous deux voyaient loin ? Aussi, faut-il être ignorant, et même aveugle, pour ne pas reconnaître, en toute objectivité, que les dynamiques et les réalisations déterminantes dans le monde contemporain, tant sur terre qu’en mer et dans les airs, se sont magistralement passées non seulement de Dieu, mais aussi de toute référence religieuse, éthique et, pour finir, humaine ! Que notre monde contemporain se trouve donc, en sa totalité, au bord d’un précipice, au point de menacer la survie même de notre splendide planète, n’étonne plus personne.

Je laisse à toutes sortes de spécialistes, en histoire, en pensée, en religion, en sciences, en économie, en politique, en informatique, en stratégie sur terre, en mer et dans les airs, le soin et le devoir d’expliquer et de justifier un monde si riche, devenu plus que fragile…

Pour ma part, je juge de mon devoir de prêtre arabe catholique de Syrie, de poser incessamment la question que j’ai choisie pour titre de cette approche.

Est-ce à dire qu’il faille tout simplement revenir à Dieu, pour sauver et l’espèce humaine et notre planète ?

Ce serait naïf de le penser. Mais il ne me semble pas du tout naïf, de se rappeler que la voix de Dieu s’est fait entendre, d’une façon ou d’une autre, sous tous les cieux, mais plus particulièrement pour les chrétiens, ainsi que pour nos frères juifs avant eux, et pour nos frères musulmans par la suite. Il n’est donc pas inutile de nous rappeler, en ces temps tragiques, l’une ou l’autre de ces manifestations, à partir de ces trois grandes religions.

Pour ce qui concerne les juifs, qu’il me suffise de rappeler un fait, un seul, mais hautement symbolique, relaté dans le chapitre 21, du Premier Livre des Rois.

C’est l’histoire de la vigne d’un paysan juif, dernier survivant de sa famille, du nom de Naboth. Le roi de Samarie, Achab, régnant vers la fin du 9e siècle av. J.-C., voulut s’approprier sa vigne, pour agrandir ses terres, déjà immenses. Naboth refusa de la lui céder. La reine Jézabel fait tuer Naboth, et engage le roi à s’offrir, en compagnie de son entourage, le luxe d’occuper le terrain. Sur ce, arrive, sur ordre de Yahvé, le Prophète Elie. Celui-ci lance à la face du roi Achab, en présence de tout son entourage, une prophétie terrible, lui annonçant sa mort ignoble et imminente, sur le terrain même de Naboth, ainsi que celle de sa femme Jézabel, au pied de leur palais.

Peu de temps après, cette double prophétie s’accomplit comme annoncée !

Quiconque médite l’histoire de la vigne de Naboth, à la lumière de l’histoire humaine, sous tous les cieux, il se rend à l’évidence qu’elle est devenue un symbole aux dimensions du monde, mais qui se concrétise depuis 75 ans en Palestine, et depuis 5 mois, d’une façon plus cruelle, à Gaza même ! Cependant, en dépit de l’universalisation de ce symbole, il nous faut reconnaître qu’un élément capital lui a presque toujours fait défaut : une voix prophétique, dénonçant les crimes qui se suivent en s’amplifiant en dimensions et horreurs, au détriment du monde arabe ! 2

Pour ce qui est des chrétiens, notre foi nous dit que c’est Dieu Lui-même qui s’est fait homme, par amour pour toute l’humanité, passée, présente et future. Il a choisi de vivre en Palestine de Syrie, pauvre au milieu des plus pauvres, mais riche d’un amour incommensurable, qu’Il voulait étendre à tout jamais, sur la terre entière. Il a aussi maintes fois déclaré, avec une clarté éblouissante, qu’Il s’identifiait à tout être humain, et plus particulièrement aux plus pauvres, aux plus démunis, aux laissés-pour-compte. Il a même poussé les déclarations de son identification totale avec cette catégorie de gens, jusqu’à en faire l’unique critère du jugement éternel qu’Il portera, lors du jugement dernier, sur chaque être humain !

En dépit de tout cela, Il a fini sur la Croix, mais en pardonnant à tous ses bourreaux, dont, bien sûr, les juifs !

Ici, je ne trouve pas inutile de rappeler certaines de ses recommandations, qui semblent avoir totalement disparu de l’horizon surtout des « Puissants » de ce monde, et de leurs nombreux acolytes en toute religion, dont, hélas, les si nombreux responsables des Églises d’Occident, le Vatican en tête !

Jésus a dit, entre autres :

– « Il n’y a pas de plus grand amour, que celui de donner sa vie pour ceux qu’on aime »

(Jean 15 : 13)

— « Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir »

(Mat. 20 : 28)

– « Bienheureux les artisans de paix, car ils seront appelés enfants de Dieu »

(Mat. 5 : 9)

— « Nul ne peut servir deux maîtres : vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent »

(Mat. 6 : 24)

– « Tout ce que vous ferez à ces petits, au moindre de ces petits, c’est à Moi que vous le faites »

(Mat. 25 : 40)

Nous savons tous que la vie des premiers chrétiens n’a pas du tout été facile. Ils furent en Palestine même, puis au niveau de tout l’Empire romain, à commencer par Damas, soumis à une persécution continuelle et féroce, menée à la fois par les Pouvoirs romains et les Juifs.

Or seul, oui seul, le témoignage de leur foi héroïque a fini par vaincre l’invincible haine des païens, sans pour autant désarmer les juifs. L’Édit de Milan, proclamé en 313 par l’Empereur Constantin, leur reconnaissait enfin le droit de vivre en toute liberté, à l’instar des adeptes des autres religions…

Hélas, c’est de cette date fatidique (313), que commença la chute lente, mais continue. Jusqu’à ce jour, de toute l’Église du Christ Jésus, dans la troisième tentation que Jésus avait violemment rejetée au désert, face au démon ! (Mat. 4 : 8-11)

Un tel diagnostic peut paraître excessif. Qu’il me suffise, d’abord en prêtre catholique, d’inviter tout récalcitrant à lire un livre tout récent, publié en 1997, en trois langues à la fois, l’italien, l’anglais et le français, sur l’initiative du Pape Jean-Paul II, par son ami, le journaliste italien, Luigi Accattoli, sous le titre étonnant : « Quand le Pape demande pardon ». En effet, ce livre reproduit 94 déclarations officielles, faites par le Pape lui-même, un peu partout dans le monde, en des circonstances solennelles. Le Pape y demandait pardon à Dieu et aux hommes, pour, entre autres, les terribles méfaits de l’antisémitisme, de l’embourgeoisement galopant de la hiérarchie ecclésiastique, de l’esclavagisme, des entreprises coloniales appelées Croisades, de l’Inquisition, des génocides perpétrés dans le continent américain, après sa découverte, et plus tard en Australie et en Extrême-Orient, ainsi qu’en Afrique, de la traite des noirs, de l’autoritarisme de l’Église romaine vis-à-vis des pouvoirs politiques, ainsi que des mouvements de la

Réforme, des guerres de Religion, des schismes dans l’Église, tant en Orient qu’en Occident, ainsi que des multiples compromissions avec les dictatures, et des légitimations de toutes sortes d’injustices…

En somme, c’est tout le passé sombre du Catholicisme que le Pape Jean-Paul II a voulu au grand dam de certains cardinaux très haut placés, passer au crible des exigences de l’Évangile, dans un esprit de totale honnêteté intellectuelle et spirituelle.

En outre, en ma qualité de prêtre arabe catholique de Syrie, je trouve de mon devoir de relever le comportement plus que suspect de toute l’Église Catholique d’Occident, vis-à-vis des drames atroces qui ne cessent de ravager de fond en comble, tout le monde arabe surtout, depuis la fameuse déclaration Balfour, faite en (1917), concernant la création en Palestine, de ce qui a été appelé innocemment « le foyer national juif », avec l’ironique précision : « sans aucun préjudice aux habitants autochtones du pays » !…

Est-il donc permis d’ignorer les multiples catastrophes qu’a provoquées, depuis lors, la création de ce prétendu « foyer national juif », non seulement en Palestine même, mais bien au niveau du monde arabe en sa totalité ?

Pour plus d’objectivité, j’invite quiconque à lire l’un ou l’autre des livres d’histoires, écrits à ce sujet, par des écrivains juifs, voire israéliens. J’en cite :

  • — Dominique Vidal, en son livre « Le Péché originel d’Israël » (Paris 1997)
  • — Israël Shahak, en son livre « Le Racisme de l’État d’Israël » (1966)
  • — Gilad Atzmon, en son livre « La Parabole d’Esther » (2012)
  • — Ilan Halévy, en son livre « Sous Israël, la Palestine » (1978)
  • — Ilan Pappé, en son livre « La Propagande d’Israël » (2016)
  • — Israël Shamir, en son livre « Les fleurs de Galilée » (2004)
  • — Charles Enderlin, en son livre « Par le feu et par le sang » (2008)

Mais aussi, pour plus de crédibilité, je cite rapidement les dates des guerres successives : 1948, 1956, 1967, 1973…, la création entre-temps en Israël, par la France et l’Angleterre, du Centre Atomique Dimona, en (1955-1956), les multiples invasions du Liban, à partir surtout de (1982), jusqu’à la guerre au Sud-Liban (2006)… Peut-on aussi passer sous silence, la guerre civile au Liban (1973-1990), la guerre entre l’Irak et l’Iran (1980-1988), l’invasion « programmée » par les États-Unis, du Kuwait par l’Irak (1990), suivie de la guerre interminable menée par la Coalition internationale contre l’Irak (1991-2003…), la soi-disant révolution en Tunisie (fin 2010), puis en Égypte (début 2011), enfin en Lybie (2011), pour couronner le tout par le fameux « Printemps arabe » en Syrie, à la mi-mars 2011 ?

Or, au cours de tous ces enfers successifs, déchaînés contre le Monde arabe, par l’État Criminel par excellence, les États-Unis, pour les beaux yeux d’Israël, jamais, au grand jamais, aucun reproche n’a été fait par l’Église d’Occident, ni aux pays occidentaux responsables, ni à Israël !

Même la récente guerre, déclenchée à Gaza, le 7/10/2023, par la Résistance palestinienne, à laquelle a riposté Israël par un génocide, bel et bien programmé et continu jusqu’à ce jour du 26/2/2024, n’a pas réussi à arracher toute l’Église d’Occident, le Vatican en tête, à son silence de mort. Pourtant l’opinion publique en Occident, jusqu’ici plus qu’anesthésiée par une propagande maniée de main de maître, a rapidement réagi. Les gens déferlent sans relâche depuis des mois, dans les grandes villes, au niveau du monde, proclamant leur solidarité avec les Palestiniens… Même la Cour Internationale de Justice à Lahaye a fini par condamner Israël ! Mais le silence ahurissant de toute l’Église d’Occident se maintient, à l’encontre des exigences les plus évidentes de l’Évangile… et de la simple morale humaine ! 4

D’ailleurs même les réactions tardives du Pape François, face à ce qui se passe à Gaza, restent absolument incompréhensibles. Les évènements de Gaza datent du 7/10/2023. Or la première déclaration du Pape, touchant Gaza, remonte au 16/12/2023, à la suite de la mort de deux femmes chrétiennes, dans l’une des deux églises de Gaza…

Quant à sa seconde déclaration, il la fit début janvier 2024, rien que pour stigmatiser ce qu’il a appelé « le risque de recrudescence de l’antisémitisme » !

Hélas, Sainteté, laissez-moi vous rappeler que l’Antisémitisme a été une pure création de l’Église Post-Constantinienne, qui a fini, en fait, par envahir toute la société occidentale, durant des siècles, pour ne s’arrêter, hélas encore une fois, qu’avec Hitler ! Que tout cela ait laissé au cœur de tout l’Occident, Église et Société, un complexe de culpabilité vraiment morbide, qui ose en douter ? Et qu’il ait nourri chez les juifs en général — déjà « assurés » de leur supériorité sur tous les humains, par suite de leur prétendue « élection divine »… — une haine féroce contre les chrétiens, et par ricochet, contre le genre humain, semble être une évidence…

Faut-il pour autant que l’Église ferme pour de bon, et les yeux et la bouche, sur les crimes innombrables, commis en Palestine et dans le Monde arabe, par « Israël » depuis 75 ans ? Pourtant ces crimes dépassent toute horreur à Gaza. Ils ne sont rien moins qu’une négation radicale de tout ce qui est humain chez l’israélien, et dénient du coup, toute humanité au Palestinien. Est-ce ainsi que l’Église espère se faire pardonner cet autre crime séculaire, qui s’appelle l’Antisémitisme ?

Sainteté, n’est-il pas temps pour l’Église occidentale, de comprendre une fois pour toutes, qu’un crime ne peut aucunement se réparer par un crime pire ! Ne faut-il donc pas crier haut et fort, que si l’Église Post-Constantinienne avait tout simplement imité Jésus en Croix, en pardonnant aux Juifs de l’Empire romain, au lieu de faire édicter des lois anti-juives, dans l’espoir illusoire de les forcer à adopter le christianisme, ce maudit antisémitisme n’aurait jamais existé, et le cours de l’histoire humaine aurait été radicalement différent ?

Enfin, il me faut essayer d’entrevoir l’apport de l’Islam à la civilisation humaine, sous le regard de Dieu.

Face à l’islamophobie qui ne cesse de croître au niveau du monde, particulièrement en Occident, je trouve de mon devoir de prêtre catholique et arabe de Syrie, de rappeler deux vérités historiques sans lesquelles, toute approche risque d’être faussée. La première est récente, et comprend deux volets, la seconde remonte à l’origine de l’Islam, et l’a exceptionnellement accompagné tout au long de l’histoire jusqu’à ce jour.

Le premier de ces deux volets, remonte à la période qui a suivi la 2e guerre mondiale, au cours de laquelle des dizaines de milliers d’Arabes Nord-Africains ont émigré en Europe, surtout en France, dont un bon nombre avait servi dans l’armée française au cours de la guerre. Alléchés par toutes sortes de promesses et d’espoirs, ils ont fini par se faire embaucher dans les travaux routiers et de construction, que les Européens répugnaient à faire… Installés dans les banlieues des grandes villes de France et d’Europe, par suite des mesures discriminatoires prises par les différents gouvernements, la majorité d’entre eux et de leurs nombreuses descendances n’a pas eu la possibilité de s’intégrer pour de bon, dans les différentes sociétés européennes. Ils ont fini par constituer des agglomérations à part, quasi séparées de l’ensemble de la population. En somme, leurs réactions périodiques, massives et violentes, laissent toujours présager des jours sombres à l’avenir, pour quiconque cherche à les « utiliser », ou même à les exaspérer !

Le second volet est tout simplement « l’Islam Djihadiste », créé de toute pièce, au vu et au su du monde entier, par les États-Unis et leurs innombrables valets à travers le monde, dans le but « d’instaurer » dans les pays récalcitrants et opposés à leur Mondialisme féroce, « la Démocratie, la Liberté et les Droits de l’homme » !

Quant à la première vérité historique touchant l’Islam, elle est, comme la seconde, de l’ordre des faits, non de l’ordre de la foi.

Nul n’ignore que les conquêtes musulmanes furent les plus fulgurantes de l’histoire. Mais rares sont, me semble-t-il, ceux qui savent que les conquérants musulmans furent parmi les plus intelligents. Ils en donnèrent la preuve, lors de la conquête de Damas, en 635, et c’est par la suite, lors de la prise de Jérusalem en 639, de l’Égypte en 641, et surtout de Cordoue en Espagne, entre 711 et 1492, qu’ils en donnèrent toute la mesure.

Bref, ils surent respecter leurs engagements auprès des peuples conquis, quant aux habitations, travaux, administration civile, lieux de culte, en échange d’un tribut, qui s’avéra à Damas même, inférieur à celui que les chrétiens de cette ville payaient à leurs anciens maîtres, les chrétiens de Byzance. En outre, à Damas aussi, les musulmans, n’ayant pas de lieux de prière, s’entendirent avec les autorités religieuses pour s’acquitter de leurs prières dans la grandiose Basilique St Jean-Baptiste, qui occupait le cœur de la ville. En toutes ces conquêtes, les musulmans surent collaborer avec les administrations locales, au point de confier certains de leurs postes les plus importants, à des chrétiens ou à des juifs à la fois.

En somme, ce fut une période de collaboration et de convivialité, entre musulmans, chrétiens et juifs, propre aux sociétés musulmanes, telle que l’Occident n’en a jamais connue. Et pour qui a l’ombre d’un doute à ce sujet, je conseille la lecture des historiens juifs, et même israéliens. J’en cite surtout :

  • — Le diplomate israélien Aba Eban, en son livre « Mon Peuple », paru en France en 1975.
  • — Le rabbin juif français, Josy Eisenberg, en son livre « Une Histoire des Juifs », paru en France en 1970.
  • — L’historien juif américain, Abram Léon Zakhar, en son livre monumental « Histoire des Juifs », paru en France en 1973.

Toute cette politique de tolérance, pratiquée par les musulmans dans la plupart des pays conquis, au départ, semble avoir été appliquée aussi partout où l’Islam s’est répandu. Cela n’exclut sûrement pas les explosions de violences et d’injustices, dues, entre autres, à l’ivresse du Pouvoir, ainsi qu’aux humeurs personnelles de l’un ou l’autre des Califes, ou de leurs nombreux représentants… dans leurs immenses empires !

Reste ouverte cependant, la grande question de savoir où ces grands conquérants de l’Islam, ont puisé cet esprit de tolérance et de collaboration, pour avoir créé cette convivialité exceptionnelle, tout au cours de l’histoire, avec les chrétiens et les juifs !

Serait-ce cela le grand défi que notre monde attend, face à une guerre dévastatrice, planifiée par le sionisme international et ses agents secrets, et exécutée par ses valets féroces, dans le but de mettre un terme à l’Islam tolérant, maintenant qu’il a presque anéanti le Christianisme en Occident, tandis qu’il est en train — comme il croit — de le détruire dans tout l’Orient arabe ? C’est alors qu’il pourra proclamer la mort de Dieu, après avoir tué l’homme !

C’est bien le cas de dire : qui vivra verra !

Pr. Elias Zahlaoui

Damas, le 26/2/2024




Les experts du Forum économique mondial déclarent les potagers des citoyens, responsables du désastre climatique

[Source : lemediaen442.fr]

Par Le Média en 4-4-2

Les jardiniers amateurs sont-ils devenus les Voldemort du changement climatique, semant le chaos avec leurs radis et leurs salades ? À en croire les prétendus « experts » du Forum économique mondial (WEF), ses derniers semblent le penser sérieusement, affirmant que les potagers personnels sont la véritable menace qui pèse sur notre planète. Rien que ça !

[Voir aussi :
Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture
et
France — Le gouvernement veut-il interdire l’usage de l’eau de pluie dans les habitations et potagers ?]

Les potagers citoyens, nouveaux coupables du changement climatique ? Selon le WEF, cultiver sa nourriture génère une empreinte carbone alarmante.

Selon une étude récente du WEF, la simple action de faire pousser sa propre nourriture à la maison est apparemment devenue aussi diabolique que d’utiliser l’avion privé de Bill Gates à prix d’EuroMillions pour parcourir des milliers de kilomètres afin de raconter des conneries entourer de connards.

Les chercheurs, financés par le WEF de l’Université du Michigan, ont découvert que les aliments cultivés localement sont les ennemis publics numéro un de l’environnement, surpassant même la notoriété de Monsanto.

Les fanatiques mondialistes du climat, déjà déçus que les arbres ne participent pas aux forums internationaux, appellent maintenant les gouvernements à interdire aux citoyens de cultiver leur propre nourriture. Apparemment, il est temps de dire adieu à vos modestes plants de basilic sur le balcon et aux trois salades de mamie Simone, car ils sont désormais responsables de la fonte des glaces, des ouragans et des tsunamis.

Selon l’étude, les citoyens bien intentionnés et leurs petits jardins génèrent presque cinq fois plus d’empreinte carbone que les fermes traditionnelles. Oui, vous avez bien entendu, vos fraises maison sont maintenant des agents du réchauffement climatique, c’est comme planter des piles dans votre jardin.

Jake Hawes, le brillant esprit derrière cette découverte — qui a touché un peu de pognon au passage —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs. Apparemment, les plates-bandes surélevées et les cabanes à outils sont devenues des repaires secrets des émissions de carbone, conspirant silencieusement contre notre planète.

L’étude a également mis en garde contre des composts mal gérés et d’autres intrants synthétiques, comme si nos bacs à compost étaient des laboratoires clandestins de destruction environnementale. Faut-il s’attendre à ce que les forces de l’ordre débarquent chez vous pour vérifier la qualité de votre compost ?

En conclusion, chers jardiniers en herbe, il est temps de renoncer à votre rêve de devenir le prochain fermier écoresponsable. Laissez les experts du WEF et leurs calculs hilarants vous guider vers un avenir où les tomates sont cultivées par des professionnels et où les fraises ne sont que des souvenirs lointains d’une époque où vous pouviez avoir votre propre coin de paradis vert. Ou alors, dites-leur d’aller se faire foutre ! C’est vous qui voyez !


Pour équilibrer cette mauvaise nouvelle, un peu d’humour :




Existe-t-il un programme secret de répression, de torture et d’élimination contre les dissidents ?

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Si les plus éveillés sont conscients que s’opposer trop frontalement à l’establishment peut-être risqué, une grande partie des chercheurs de vérité internautes ou autres reste non informée des méthodes dissimulées par les gouvernements pour réprimer les contestations.

En effet, les décennies de la Guerre froide furent rythmées par un conflit opposant à la fois les blocs atlantistes et communistes, mais également par une guerre civile et une répression non déclarées qui ont toujours cours avec un degré plus violent et pervers.

Nous allons dans cet article dresser un tableau du passé, du présent et tenter d’entrevoir l’avenir du programme secret de répression des peuples par des forces auparavant obscurs.

Opération Gladio et CoIntelPro, l’histoire se répète-t-elle ?

Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, en Europe, se mettaient en place par plusieurs services secrets des réseaux militaires et paramilitaires généralement d’extrême-droite sous l’égide de la CIA (OSS avant 1947), du MI6 britannique et de l’OTAN qui, officiellement, étaient destinés à organiser la résistance en cas d’invasion soviétique. Ils portaient des noms divers, mais étaient désignés « réseaux Gladio » en référence au réseau italien du même nom. Ces structures répondant aux mêmes ordres étaient dans l’ensemble méconnues des gouvernements à cause de l’omerta criminelle de plusieurs ministres de la défense et personnels du renseignement. D’après les travaux très sérieux de l’historien suisse Daniele Ganser ainsi que ceux d’autres chercheurs, ces réseaux ont, dans les faits, servi à commettre des assassinats politiques, des attentats terroristes sous faux drapeau (false flags) et coups d’État violents (Grèce et Turquie). Le recours à des réseaux mafieux est également documenté comme cela a été le cas pour la Turquie avec le scandale de Susurluk. Bien qu’étant sous le commandement de l’OTAN, des pays « neutres » tels que la Suisse et l’Espagne étaient concernés par le scandale. En ce qui concerne la France, même après avoir quitté l’OTAN en 1966 sous le Général de Gaulle, ses activités continuèrent avec entre autres la collaboration du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE) et ensuite la DGSE. Il y a fort à parier que les disparitions de Coluche et de Daniel Balavoine leur soient imputables.

Ainsi, sous couvert de lutte cachée contre le communisme, des personnalités de la gauche ou de l’extrême gauche comme l’homme politique belge Julien Lahaut ont été liquidées froidement. L’agent des services secrets belge André Moyen a avoué que Gladio avait pour objectif la lutte contre la « subversion » en général, il faudrait traduire cela par « dissidence » et que cela a eu cours dans tous les autres réseaux européens. Bien que la divulgation ait démarré en 1990 en Italie et que le scandale a effleuré tous les pays d’Europe, les réactions des officiels ont été dans l’ensemble fébriles comme cela a été le cas en France sous Mitterrand, seuls certains états comme la Belgique ont exigé leur dissolution. Le 22 novembre 1990, au parlement européen, l’eurodéputé Falqui prononça : « qu’il n’y aurait aucun avenir, Mesdames et Messieurs, si nous ne dissipons pas ce sentiment d’avoir vécu dans ce que l’on pourrait appeler un État double, l’un ouvert et démocratique, l’autre clandestin et réactionnaire ».

Au même moment, aux États-Unis, se mettait en place l’infâme programme secret du FBI « CoIntelPro » qui se voulait « protéger la sécurité nationale, prévenir la violence et le terrorisme et maintenir l’ordre social et politique existant ». Tout comme l’opération Gladio, la lutte contre le communisme a été un prétexte pour une lutte contre une « subversion » jugée et a donc été un moyen de lutte contre la dissidence. Officiellement démarré en 1956 et « cloturé » en 1971 suite à une divulgation arrachée par la « Commission Citoyenne pour Enquêter sur le FBI » en faisant irruption dans leurs bureaux, la même année, le directeur J. Edgar Hoover a « déclaré » que le COINTELPRO centralisé était terminé et que toutes les futures opérations de contre-espionnage seraient traitées au cas par cas. D’après la Commission sénatoriale Church en 1975, ces activités ont eu cours depuis les années 20.

Les techniques de « lutte » contre les cibles allaient de la surveillance à l’infiltration, au discrédit et à la perturbation des organisations politiques nationales américaines. Ainsi, le FBI avait recours à des « campagnes de calomnies » (anglais : smear campaigns), des opérations psychologiques, du harcèlement via le système judiciaire (emprisonnements illégaux, élimination de preuves ou création de fausses preuves, intimidation des témoins…) et même à l’usage illégal de la violence policière contre les dissidents (perquisitions, tabassages, assassinats…).

Les groupes historiques qui ont été ciblés étaient : les Black Panthers (organisation nationaliste noire américaine), des organisations féministes, le parti communiste américain, le mouvement des droits civiques de Martin Luther King, les mouvements antiguerre du Vietnam, le mouvement des Indiens d’Amérique et beaucoup d’autres.

De nos jours, avons-nous le droit de penser différemment ?

À la suite de l’effondrement de l’Union soviétique, un faux sentiment de paix fut propagé dans l’Occident amenant plusieurs générations dans un état d’insouciance malgré la divulgation des réseaux Gladio mis en second plan après les aventures de l’OTAN en Irak (Guerre du Golfe) et en Yougoslavie.

Un tournant majeur dans le fascisme mondial a eu lieu après le 11 septembre qui a ouvert la voie au Patriot Act qui a renforcé les prérogatives des services de renseignement, a accru la surveillance de la population et a permis au gouvernement des États-Unis de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste (cours FISA). Dans le cadre de l’Alliance atlantique de l’OTAN, cette loi a des ramifications jusqu’en Europe et probablement dans le monde étant donné la collaboration entre les services de renseignement et la soumission aux États-Unis. Ainsi des « centres de fusion » (anglais : fusion centers) ont été établis dans tous les états des USA pour récolter des informations sur les citoyens et améliorer leur circulation entre leurs départements de sécurité. L’ex-analyste de la NSA (renseignement national US) Karen Stewart affirme que ces centres sont utilisés pour espionner les civils physiquement à l’aide d’informateurs volontaires, d’où des délations et diffamations constantes et des fichages terroristes en hausse et un harcèlement organisé ou harcèlement en réseau (anglais : Gang Stalking). Nous ne disposons pas d’informations pour les autres états de l’OTAN, mais la présence de ces centres de fusion est fortement probable en dehors des USA.

L’un des éminents spécialistes de la question est Nicolas Desurmont, consultant en criminologie belge, il y a dédié une étude nommée « vers une problématique du harcèlement criminel en réseau » dans la revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique en 2006. Dans celle-ci, il documente la participation active des services de renseignement, de la police et des réseaux du crime organisé dans la persécution des cibles. Il affirme également qu’il existe une infiltration bidirectionnelle entre ces protagonistes. À ce moment, il affirmait que les victimes étaient sujettes à des « filatures », menaces de mort et écoutes illégales. Mais le tableau actuel est plus alarmant encore.

Une part non négligeable de la population collabore avec ceux-ci, un article de 2002 dans le journal américain Sunday Morning Herald déclarait déjà que le gouvernement US envisageait de recruter 1 américain sur 24 comme espion, ce qui fait environ 4 % de la population. Les victimes du harcèlement criminel en réseau suggèrent qu’au moins de 10 % de la population collabore activement dont des membres importants de la police, de la santé, de l’administration et de la justice, c’est ce qu’affirmait en 2003 Josselyne Abadie, consultante en éthique dénonciatrice de ce phénomène, par l’entremise de réseaux de franc-maçons et leurs pions omniprésents dans la société y compris les entreprises de toutes tailles. Ce qui explique la mise au ban du marché de l’emploi des cibles, car de véritables réseaux de pouvoirs secrets se sont installés dans la société.

Les méfaits les plus fréquemment subis sont la traque automobile ou piétonnière, le cambriolage, l’intrusion à domicile avec changement d’emplacements d’objets (violence psychologique — gaslighting), l’agression de rue, l’interception de courrier et de colis, les accidents routiers prémédités, le tapage nocturne ou diurne, le cyberharcèlement, la persécution policière, administrative ou judiciaire, le piratage informatique, le sabotage et dégradations de biens et de véhicules, l’emprisonnement et la psychiatrisation illégale, l’empoisonnement, le viol et le meurtre. La majeure partie a été documentée en 2007 par l’agent du FBI Geral Sosbee et en 2011 par Ted Gunderson, également agent du FBI, selon ce dernier ce « programme » a cours depuis au moins les années 80.

La seconde partie du « programme » de répression secret consiste en un « harcèlement ou torture électromagnétique ». C’est la partie qui est la plus violemment censurée par les autorités et les médias mainstream après des décennies de ridiculisation dans la culture populaire. Elle est d’application depuis au moins les années 90 et la divulgation a démarré progressivement dans les années 2010 grâce au scientifique de la CIA Robert Duncan qui a travaillé sur les technologies de contrôle mental électromagnétique et qui est devenu un ferme opposant suite au détournement de ceux-ci à des fins illégales et répressives. Dans cette interview de 2012 avec Jesse Ventura, il divulgue devant le grand public américain ces technologies à des fins de torture.



Le physicien Barrie Trower ayant travaillé avec le MI-5 britannique a divulgué en 2015 la possibilité d’utiliser les antennes relais pour envoyer des faisceaux de micro-ondes (énergie dirigée) grâce à la technologie «Celldar » qui est un radar à micro-ondes. Il a également affirmé que les satellites pouvaient attaquer des cibles avec des micro-ondes. Le scientifique Paul Batcho ayant travaillé pour la DARPA (Agence des Projets de Recheches Avancés de la Défense) et le le DoD (Département de la Défense) américains a averti en 2016 que les antennes relais servaient à faire de la télépathie synthétique (faire entendre des voix à des cibles et faire de la suggestion mentale) connue également sous le nom de V2K – Voice to Skull, n° de brevet : US 4 877 027 A. Le brevet déclassifié US 3 951 134 A témoigne de la possibilité de faire de la « Télé-Surveillance Neuronale » (anglais : Remote Neural Monitoring), de lire dans les pensées en temps réel et sans électrodes à l’aide d’ondes électromagnétiques, il est également possible d’interférer avec l’esprit et de le manipuler avec ce procédé. Les infrastructures de communication jouent donc un rôle crucial dans la violation de notre esprit et dans les agressions électromagnétiques. Le scientifique Tim Rifat affirmait en 1999 que des criminels pouvaient avoir des armes électromagnétiques portables.

Le harcèlement électromagnétique survient souvent après l’isolation de la victime par élimination sociale ou diffamations à son encontre ou bien le devient suite aux pathologies infligées par les attaques. Beaucoup perdent leur emploi suite à cela enchaînant un cercle vicieux d’isolation et d’agressions aboutissant à une véritable torture.

Les symptômes les plus courants d’agression électromagnétique sont : fatigue soudaine et chronique, insomnies, réveils nocturnes répétés avec ou sans sueurs, vieillissement, dysfonctionnements voire crises cardiaques, douleurs intenses (organes, muscles, os…) assimilables à de la torture, migraines, acouphènes, vieillissement prématuré, nausées, démangeaisons, brûlures (externes ou internes), apnées du sommeil, pertes de mémoire et de concentration, manipulations de la libido (inhibitions ou excitations artificielles), spasmes, saignements du nez, électrochocs, sensations de vibrations internes, sensations d’aiguilles enfoncées, problèmes visuels, épilepsies, Alzheimer précoce, leucémies et cancers précoces, amnésies, troubles de la coordination, mouvements involontaires et incontrôlés des membres ou des organes internes, vertiges, troubles immunitaires, évanouissements, AVC, thromboses, etc. Nous voyons donc la possibilité d’aller jusqu’à l’assassinat des victimes, ce qui pourrait expliquer les décès récents et prématurés de lanceurs d’alerte.

[Note de Joseph : ces symptômes font partie des effets des ondes électromagnétiques artificielles, surtout lorsque celles-ci sont sous forme pulsée (comme la 3G, la 4G, la 5G, le Wi-Fi et le Bluetooth). Voir https://nouveau-monde.ca/paquet-dondes-radio/. Ils ne sont pas ressentis par tous les individus lanceurs d’alerte ou diffuseurs d’informations non autorisées. Existe-t-il néanmoins une proportion plus importante de ces derniers que dans la population générale à en ressentir ? Si ce n’est pas le cas, il sera difficile de démontrer que des opposants au Système de contrôle mondialiste sont spécifiquement ciblés, en dehors peut-être d’individus particuliers très encombrants pour ce dernier, mais en nombre réduit. Par contre, comme les technologies sans fil se multiplient, avec notamment l’installation de nouvelles antennes 5G, et comme les effets de ces dernières peuvent être aggravés par la présence de graphène dans les vaccins (voir https://nouveau-monde.ca/quest-ce-que-loxyde-de-graphene-et-les-nanotechnologies-ont-a-voir-avec-la-5g/), il est probable qu’un nombre croissant d’individus pourront avoir l’impression d’être ciblés à cause des symptômes ressentis, sans l’être nécessairement en réalité.

Précision d’Özler : les douleurs et les sensations de brûlure peuvent être toutefois particulièrement intenses chez les individus qui se disent ciblés.]

Parmi les symptômes psychologiques (psychotroniques), la victime peut percevoir des voix ou des sons oppressants que personne d’autre ne peut entendre (technologie Voice of God ou V2K, Voice to Skull). Elle peut également souffrir de « pseudo-psychoses » induites, de cauchemars synthétiques induits et d’instabilité émotionnelle. Une série d’autres maladies psychiatriques peut être induite. Dans une certaine mesure, du contrôle mental peut-être induit à cause de messages subliminaux et radiofréquences, mais les résultats peuvent varier.

Cette violence délibérée est motivée apparemment par la prévention et la répression des dissidents ou des internautes insoumis, mais après analyse des témoignages des victimes, on observe que le sadisme et la revanche (conflit avec un membre influent de l’état profond ou un de ses pions) sont le plus souvent à la source de la problématique. En effet, la plupart sont parfaitement innocents et n’ont jamais eu de quelconque activité politique ou subversive. Le harcèlement démarre souvent donc sans aucune raison apparente bien que des fois, une dénonciation, un conflit de voisinage ou un procès judiciaire peut en être à l’origine. Des scientifiques lanceurs d’alerte comme le médecin américain John Hall affirment que cela peut se faire dans le cadre d’expérimentations.

L’objectif recherché est l’élimination sociale dans un premier temps et physique (soit par les différents harcèlements soit par la provocation de suicides) par la suite. Il n’est pas rare que l’on cherche à provoquer des comportements violents chez la cible, plusieurs tueries de masses et attentats ont certainement été provoqués par cette technologie abjecte. La docilité et l’apathie de la population sont causées par l’écosystème d’ondes mortifères et de contrôle mental selon nous.

On observe fréquemment chez les victimes un profil intellectuel (parfois Haut Potentiel, Asperger, TDAH…), parfois spirituel, sensible, honnête, original, libre penseur et intègre. Ils peuvent parfois disposer de talents rares et avoir des connaissances profondes sur les manigances de l’état profond. Si elles tentent de parler de ce qu’elles vivent à la police, elles sont redirigées fréquemment et injustement en psychiatrie à cause des directives dictées par des cadres corrompus. Notre message est qu’elles ne sont pas folles et méritent de regagner leur amour propre.

L’ingénieur et individu ciblé Frédéric Laroche est actuellement à l’avant-garde de la lutte contre les velléités meurtrières de l’état profond. Il défend la thèse partagée avec plusieurs experts qu’une IA maléfique gère les harcèlements mondiaux des individus ciblés.

« C’est insupportable, je subis une torture épouvantable depuis 27 ans, je dois régulièrement quitter mon domicile pour me réfugier chez des amis ou dans la nature. Je suis privé de sommeil et exténué à cause des douleurs extrêmes ainsi causées » nous témoigne-t-il. Malgré cela Mr Laroche se bat pour divulguer ce sujet sous omerta sévère. N’hésitez pas à parcourir ses travaux sur Crowdbunker pour le soutenir.

Des sondages effectués sur Telegram et VK sur un échantillon de 99 individus montrent que près de 40 % des internautes éveillés et chercheurs de vérité se reconnaissent dans les symptômes du ciblage et se sentent donc ciblés. Les symptômes les plus fréquents sont la fatigue soudaine, les insomnies, les douleurs, les pertes de mémoire et de concentration, le sentiment d’être traqué et le piratage.

Bien qu’il y ait une multiplication d’articles sur le sujet des armes électromagnétiques suite au Syndrome de La Havane et plus récemment la capacité de la Chine d’infliger des « Neurotrikes » (attaques électromagnétiques pour dégâts cérébraux et contrôle mental), ces sujets sont minimisés dans les journaux parlés et seuls des lecteurs assidus comprennent vers où se dirigent les avancées militaires, mais sans savoir que cela a été utilisé illégalement sur des civils pendant plus de 30 ans.

Les moyens de protection élémentaires, sont le passage à l’internet filaire, rétrograder de la 4 G à la 3 G et bien évidemment boycotter la 5 G, s’entourer d’aimants néodymes et mettre de l’aluminium sur les fenêtres (résultats variables). La firme Suisse YShield propose des tentes, peintures et des films pour fenêtres protecteurs. La supplémentation en vitamines et NAC (N-acétylcystéine) peut aider à surmonter la fatigue et le vieillissement et il est important de pratiquer une bonne pureté spirituelle pour soi et dans son habitat. Le jeûne peut également apporter plusieurs bienfaits.

Que nous réserve l’avenir ?

Insatisfaits des résultats aléatoires sur les premiers individus ciblés, l’état profond a décidé de mettre les bouchées doubles en nous inoculant des nanotechnologies par tous les moyens à savoir l’alimentation, les injections en tout genre, les tests PCR et peut-être même les chemtrails.

James Giordano, neurologue à la DARPA, a avoué que des nanoparticules seront utilisées pour lire dans les pensées des individus, mais que cela pourrait également être détourné pour exercer du contrôle mental. En 2016, Klaus Schwab avait dévoilé sur RTS que dans les 10 années à venir, nous serions équipés de puces portables (anglais : wearables), mais qu’il est « possible » que par la suite elles soient directement implantées dans le cerveau, un cap a été franchi en janvier dernier lorsqu’Elon Musk a annoncé avoir implanté la première puce Neuralink chez un homme.

[Voir aussi :
dossier Implants numériques et contrôle mental
et Le contrôle de l’esprit ou la bataille ultime de l’humanité]

Les nanoparticules couplées avec les dispositifs Bluetooth MAC(([1] Voir Nanotechnologie et « vaccins »)) et les futures puces cérébrales seront utilisés pour connecter les individus à des interfaces cerveaux-machines (ICM, anglais : BCI) qui seront certainement contrôlées par l’IA maléfique. En 2020, le GCSP (Centre de Genève pour les Politiques de Sécurité), qui se présente comme une fondation internationale pour promouvoir la paix dans un monde de plus en plus connecté, reconnaissait que ces interfaces comprennent un risque de « Brain-Hacking » ou piratage cérébral.

Les chercheurs les mieux informés et conscients du potentiel détournement ces technologies comme Rafael Yuste et Jared Genser ont crée la fondation pour les Neuro-Droits avec ses 5 axes :

  • 1) Protection de l’identité personnelle
  • 2) Protection contre les biais (liberté de penser)
  • 3) Droit à la vie privée mentale et contrôle des neuro-données
  • 4) Droit à la liberté de penser et protection du libre arbitre
  • 5) Un accès équitable à ces technologies

La communauté des individus ciblés considère que ces « neuro-droits » sont dérisoires face à la menace dissimulée des neuro-armes psychotroniques meurtrières, de l’IA et de la 5G. En effet ce « réseau » qui attend d’être surpassé par une 6G et même plus utilisera le « beamforming » (faisceau dirigé) pour attaquer les cibles avec plus de violence. Jose Delgado de la Quinta Columna a dévoilé en 2022 que la fréquence 26 GHz de la 5G est « le signal optimal » pour la multiplication du signal des transistors de graphène, nous l’interprétons comme la fréquence de couplage parfaite pour le harcèlement des cibles et le contrôle mental total. Selon le témoignage d’une victime, son harcèlement s’est aggravé après avoir reçu ses injections covid.

Ainsi les individus ciblés prévoient l’aggravation du génocide qu’ils ont vécu en génocide global avec un contrôle mental de plus en plus inévitable et au mieux une augmentation de maladies psychologiques artificielles maquillées en « schizophrénies » par la psychiatrie complice ainsi que des maladies organiques provoquées dont une sorte de fibromyalgie pour punir tous ceux qui commettent le « crime de pensée » orwellien. En effet, l’écosystème d’armes électromagnétiques et de contrôle mental est établi pour tuer toute contestation authentique dans l’œuf et les étouffer avec l’opposition contrôlée.

Nous appelons à l’union des individus ciblés et non ciblés et des vaccinés et non vaccinés contre la tyrannie post-dystopique que nous réserve l’oligarchie et les fascistes invisibles qui dépasse peut-être le WEF et le sionisme. Nous souhaitons également que la sécurité physique et mentale soit ajoutée à ces droits et que les infrastructures de communications ne soient plus militarisées. La meilleure stratégie et de sensibiliser un maximum de personnes en partagent cet article par exemple et en témoignant si vous vous sentez ciblés. Il est urgent de lever l’omerta sur ces technologies et d’avertir les masses sur ce qui se passe pour les victimes et ce qui les attend si nous restons assis à attendre que l’on nous sauve.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU — Journaliste Citoyen et Individu Ciblé




Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE !

Par le Dr Gérard Delépine

Chaque jour une nouvelle directive écologique de l’UE rogne nos libertés, nous rend la vie plus difficile, nous appauvrit. Quelques exemples.

La crise du logement fortement aggravée par l’UE et les mesures écologiques

La population française de souche n’augmente plus depuis déjà plusieurs années. La crise du logement que nous subissons est donc principalement due à l’afflux d’étrangers, souvent illégaux, que les écologistes et l’UE nous interdisent de refuser sous peine de 20000 euros par migrant1.

De plus les exigences des verts qui interdisent la location de ce qu’ils appellent passoires thermiques2 et qui exigent des travaux extrêmement coûteux, souvent peu efficaces, ont déjà retiré du parc locatif plusieurs centaines de milliers de logements bon marché en attendant d’en exclure plusieurs millions dans les prochaines années, si leur plan diabolique se réalise…Et comme les taux d’emprunts élevés et l’alourdissement important de la fiscalité sur les propriétés3 découragent déjà les investisseurs potentiels, la crise ne peut que s’amplifier…

La promesse écologique d’octroyer des logements faciles à chauffer se transforme progressivement en disparition de logement abordable. L’objectif des verts serait-il de transformer les pauvres en SDF pour leur bilan carbone bien meilleur ?

Les verts chassent les voitures des pauvres des centres-ville

Pour diminuer la pollution des villes, les élus verts font une guerre sans merci aux automobilistes. Après avoir fermé les voies sur berge, limité la vitesse de circulation à 30 Kms/H et rétréci la plupart des boulevards à une seule voie de circulation automobile, ils créent les zones à faible émission qui excluent des villes les voitures des classes moyennes. Mais, la circulation à basse vitesse dans des embouteillages permanents fait que malgré la baisse des émissions de polluants la concentration d’ozone n’a pas diminué dans l’air de Paris.

Pour travailler, les classes moyennes, contraintes de se loger en banlieue doivent supporter des transports en commun peu fréquents, souvent en panne, bondés, chers où l’insécurité règne en particulier pour les femmes. Aujourd’hui, 25 % des agressions et 40 % des vols non violents commis en Île-de-France se déroulent dans les transports en commun et on estime que 6 % des Franciliens ont déjà été victimes de l’un ou de l’autre pendant un trajet4.

Les écologistes préfèrent les punaises de lit et les rats aux pauvres !

La mairie de Paris finance des études et des entreprises de communication pour faire accepter la cohabitation avec les rats présentés comme nos semblables prêts à nous embrasser (les fameux surmulots) !

À Strasbourg, la majorité municipale défend une « régulation douce, non létale de ces animaux » qu’elle refuse d’appeler nuisibles. Caroline Zorn, coprésidente du groupe Strasbourg écologiste précise « je trouve même plutôt ça enthousiasmant qu’on utilise ce mot liminaire ».

Le mythe écologique de la mobilité électrique non polluante

Une propagande intense et des subventions colossales prélevées sur nos impôts incitent à convertir les véhicules thermiques en véhicules électriques sous prétexte d’une moindre empreinte carbone et d’une moindre pollution. Mais les calculs des écologiques ne tiennent pas compte des coûts sociaux et environnementaux de l’extraction des métaux rares nécessaires pour les batteries, ni des problèmes de leur recyclage fortement émetteur de CO2, ni des dégâts de la fabrication de la voiture en Chine, ni des graves nuisances générées par des centrales électriques au charbon qui ont été réactivées pour satisfaire à la demande après l’interdiction du gaz naturel russe.

Dans les pays qui ont généralisé avant nous les voitures électriques, beaucoup d’entre elles sont abandonnées dans d’immenses cimetières comme en Chine5

et certaines compagnies de location américaines les boudent 6.

La diminution des émissions de carbone grâce à la motorisation électrique dépend essentiellement de la manière dont l’électricité est produite. En Pologne la part du charbon dans la production d’électricité a avoisiné 80% en 2021 rendant actuellement l’utilisation d’une voiture électrique plus polluante que celle d’une voiture thermique à l’inverse de ce qu’on observe en Suède ou en Finlande où la production d’électricité repose sur des énergies renouvelables. Donc, avant de se féliciter de rouler grâce à l’électricité, il est prudent de vérifier comment il est produit et si la production possible sera suffisante.

Les taxes sur l’énergie menacent l’existence de nombreuses professions

Sous l’impulsion de l’UE et des écologistes, les taxes sur les énergies ne cessent d’augmenter sous des prétextes divers (combler le déficit créé par le « quoiqu’il en coûte », diminuer la pollution, soutenir l’Ukraine en refusant le gaz naturel russe…). Le prix de revient d’un litre de diésel avoisine les 80 centimes, mais il est vendu 2 euros (150% de taxes !). En France le coût moyen de l’électricité nucléaire qui représente 70% de notre consommation est de 0,04950€ le kWh. Le prix du kWh TTC pour les particuliers de 0.2276 € en janvier passera à 0,2516€ en février 2024 soit 400% de plus que son prix de revient.

Cette explosion des coûts met en péril de nombreuses professions qui consomment beaucoup d’énergie (boulangers, verriers, chauffeurs, taxi, pêcheurs7, agriculteurs…) dont les clients ne peuvent assumer pareilles augmentations. Il faut d’urgence limiter les taxes pour ces professions exposées.

Le tsunami des normes écologistes de l’UE et les contrôles tuent l’agriculture

Les écologistes de l’UE créent chaque jour de nouvelles normes qui noient les agriculteurs sous des monceaux de paperasse et des contrôles incessants qui les détournent de leurs champs près de la moitié de leur temps de travail8.

Le 28 février 2023, le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau a déclaré que la France, engagée dans une trajectoire européenne de neutralité carbone à l’horizon 2050, compte baisser de 46 % les émissions agricoles nationales, mais en réalité c’est la disparition de l’agriculture française qu’il prépare.

L’UE impose aux agriculteurs 14 normes pour les haies et leur dit quand les tailler. En cas d’infraction elle les menace jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, sans compter des suppressions des aides de la PAC, soit beaucoup plus que de nombreux délits pourtant plus graves tels que les vols, les violences aggravées, le port d’armes, l’agression sexuelle…

La politique pro Ukraine de l’UE aggrave l’impact des mesures précédentes

La volonté de l’UE et des dirigeants français d’aider l’Ukraine a ouvert en grand le marché agricole à des produits (comme le poulet industriel ou le blé) qui ne suivent pas les normes de l’UE imposées à nos agriculteurs.

Et les milliards qui permettraient de soulager la misère de nos agriculteurs sont envoyés en Ukraine où ils alimentent une corruption endémique.

Ils veulent faire disparaître nos animaux familiers et ceux qui nous nourrissent

Les vaches dont « les rots menaceraient la planète » sont menacées par les directives européennes qui veulent en diminuer le nombre de près de 50% pour nous forcer à consommer le lait de Nouvelle-Zélande 9 et la viande d’Amérique du Sud 10. Cette directive a déjà été appliquée en Irlande et aux Pays-Bas suscitant des manifestations et la création d’un parti pro agricole qui a fait basculer la majorité gouvernementale aux dernières élections néerlandaises.

Les chiens11 et les chats sont accusés de constituer des « catastrophes » pour la biodiversité et le climat12 13. Ils rejetteraient l’équivalent carbone de plus de 13 millions de voitures. Le gouvernement écolo d’Australie a investi 7,6 millions de dollars australiens dans Elixer3, un robot tueur de chat guidé par intelligence artificielle14 pour lutter contre la prolifération des félins sauvages. Et 5 députés européens veulent instituer une taxe de 100 euros par chien, taxe déjà en vigueur (pour un moindre montant) à Gérone en Espagne.

Il est stupéfiant de constater que les écologistes découvrent les lois de la nature et en particulier que tous les animaux supérieurs sont des carnivores qui ne peuvent vivent qu’aux dépens des espèces plus petites et que les herbivores sont les prédateurs des espèces végétales qu’ils dévorent.

Ils veulent interdire aux chasseurs de chasser

Les chasseurs représentent pour les écologistes le diable15 qu’il faut interdire pour protéger la vie animale. Depuis lors, les sangliers ont été multipliés par 20; ils causent chaque année 20 000 à 30 000 accidents de la route16 et rôdent dans les villes françaises, se nourrissent dans les poubelles17 obligeant à des battues administratives qui se déroulent parfois mal18.

Si on se soumet à leur dictature, les verts nous interdiront de boire du café !

Selon les chiffres de l’institut Carbone 4, l’empreinte carbone par personne en France est de 2,35 tonnes : 920 kg pour la viande, 450 kg pour les boissons, 390 kg pour le lait et les fromages, 240 kg pour les fruits et légumes, 230 kg dans la catégorie « autres » et 120 kg pour le poisson.

Et parmi les boissons, le café dont l’impact en matière de gaz à effet de serre serait de 5 kg de CO2/kg de café. Les écologistes menacent donc notre boisson matinale et voudraient nous imposer à la place des tisanes locales.

Des objectifs UE écologiques très peu plausibles et qui ne servent à rien

Dans le monde la France ne participe que pour moins de 1% du rejet de CO2 très loin derrière la Chine (33%) et les USA (12,6%) et l’Inde (7%) qui ne diminuent pas leurs émissions même lorsqu’ils signent les accords du GIEC.

La majorité des pays émergents fait des promesses pour recevoir nos subventions climat, mais ils ne pourront pas les respecter sans risque de troubles sociaux graves, car sortir de l’extrême pauvreté leurs populations constitue un objectif prioritaire totalement contradictoire avec les mesures de réductions énergétiques que nous prenons.

L’objectif écologique de l’UE est d’obtenir une diminution des émissions de CO2 d’ « au moins 55 % d’ici à 2030 »19. Ce qui représente plus du double de la réduction annuelle moyenne réalisée entre 1990 et 202020. Il n’est donc guère crédible malgré les méthodes totalitaires employées.

De même, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de l’Europe n’a, depuis 2005, augmenté que de 0,8 % par an; il faudrait tripler ce taux pour atteindre l’objectif prévu de 45% d’énergies renouvelables ce qui paraît irréalisable compte tenu de la désaffection croissante pour les éoliennes https://x.com/Georges73922577/status/1751143592612024343?s=20

et les panneaux solaires achetés en Chine.

Et même si l’UE y parvenait cela ne représenterait qu’une diminution de 0,5% du total mondial alors que les gros émetteurs continuent d’augmenter leurs émissions rendant cette minime réduction européenne totalement inopérante.

L’UE et les écologistes nous imposent des contraintes majeures qui pourrissent nos modes de vie, créent du chômage et de la misère sans le moindre espoir plausible d’obtenir la moindre diminution des rejets mondiaux de CO2  .

Rappelons à cette occasion que le rôle nocif du CO² est loin d’être démontré. Citons par exemple le député européen roumain :

Au Parlement européen, l’eurodéputé roumain Cristian Terheș dément complètement le canular du « réchauffement climatique provoqué par l’homme » :

« Le CO2 est un gaz qui représente actuellement 0,041 % de l’atmosphère totale. Malgré ce faible pourcentage, depuis des décennies, des campagnes sont menées pour faire croire que le CO2 produit par l’homme est la cause du changement climatique. » « Les solutions proposées pour lutter contre le changement climatique sont des impôts plus élevés et davantage de contrôle de l’État, ainsi que moins de droits et d’options pour les citoyens… Évidemment, l’objectif déclaré est de changer nos comportements, alors que la lutte contre le changement climatique n’est qu’un prétexte pour le faire. »
Source : https://www.youtube.com/watch?v=PIvw0_kPCw4

@wide_awake_news
 : https://t.me/realwideawakemedia

Pour échapper au totalitarisme écologique, il faut quitter l’UE et sortir de la servitude intellectuelle qui pourrit nos sociétés21





En voulant nier le Grand Remplacement, il montre son existence

[Source : bvoltaire.fr]

Le détracteur de Renaud Camus démontre le Grand Remplacement

Par Jany Leroy

Il ne pleut pas, ce sont des gouttes d’eau qui tombent. Les téléspectateurs ayant bien assimilé la démarche intellectuelle du démographe Hervé Le Bras vont pouvoir suivre ses explications. Le chantre de la négation du Grand Remplacement est l’invité de l’émission de France 5 consacrée au « réarmement démographique » évoqué par Emmanuel Macron. Les quelques farfelus de droite et autres complotistes présents devant leur écran vont devoir en convenir. Renaud Camus a tort. Son détracteur va éclairer le phénomène migratoire tel que constaté à ce jour. Un peu de réalisme, que diable : « Actuellement, il faut savoir que la croissance de la population française, l’année dernière, est assurée pour les quatre cinquièmes par l’immigration. » Il ne neige pas, ce sont des flocons qui tombent. Grand Remplacement, mon œil ! Il s’agit simplement de 80 % de l’accroissement de la population française qui sont assurés par des familles d’origine étrangère, si l’on en croit ce grand spécialiste.

Au terme de son explication enjouée, Hervé Le Bras cite l’exemple merveilleux de l’Allemagne. « Il n’y a pas que la natalité pour assurer la survie d’un continent », assène-t-il. Culture, religion, mœurs, compatibilité de cohabitation ? Le démographe de gauche ne jure que par sa calculette. Un papa + une maman = plein de bébés. À ce troupeau d’antilopes en mal de naissances, il fournira des lionceaux. Le compte est bon. Troupeau suivant. Des Européens ? Par ici, Africains, Esquimaux ou Japonais, que sais-je. Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie des nations. À un manque de trois palettes de petits pois, il saura compenser par un arrivage de haricots verts. Hervé Le Bras est à l’immigration ce que le grossiste est au marché international de Rungis. Excepté la vérification de la qualité des produits commandés, tout les rassemble.


Le Grand Remplacement selon Renaud Camus

L’appel à la Résistance de Renaud Camus – Horizon Québec Actuel (horizonquebecactuel.com)
(Cliquer sur l’image pour lancer la vidéo)



Transcription

L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire.

La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes, ils ne sont pas français.

Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

De toutes les manipulations génétiques, le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXI siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaule — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

Mon ami Karim Ouchikh, président du Siel, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.




Notre Terre changeante

[Illustration : ©Adobestock]

Par Arthur Firstenberg

Le 19 décembre 2023, dans la revue New Phytologist, des chercheurs français ont publié une étude sur un autre aspect du déclin de la vie sur Terre. Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs ont tellement diminué que les plantes à fleurs qui avaient besoin d’insectes pour se reproduire efficacement ont évolué en moins de 25 ans pour devenir de meilleures autogames et n’avoir plus besoin d’insectes pour se reproduire.

Des pensées des champs issues de graines collectées à la fin des années 1990 et au début des années 2000 ont été cultivées à côté de pensées issues de graines collectées en 2021. Les taux d’autopollinisation étaient 27 % plus élevés chez les plantes cultivées à partir des graines les plus récentes. Les fleurs étaient plus petites. Les pétales étaient plus courts. Les labelles — les plates-formes d’atterrissage qui attirent les insectes — étaient plus petites. La période de floraison était plus courte. Moins de fleurs ouvertes par jour. Les éperons nectarifères étaient plus courts, il y avait moins de guides de nectar et les fleurs produisaient moins de nectar. Plus de bourdons ont visité les fleurs issues des anciennes graines que celles issues des nouvelles graines.

Les auteurs mettent en garde contre des effets en cascade sur les populations d’insectes :

« Ces diminutions de la production de nectar pourraient alors renforcer le déclin des pollinisateurs si les niveaux de nectar tombent en dessous de ceux nécessaires au maintien des populations d’abeilles sauvages. Les changements environnementaux peuvent donc présenter un double danger pour les populations de pollinisateurs, car elles deviennent victimes à la fois des changements eux-mêmes et de l’évolution des caractéristiques des plantes. »

Les auteurs n’ont cité que la pollution, la destruction de l’habitat et les espèces exotiques comme causes de l’effondrement des pollinisateurs. J’ai envoyé aux auteurs une lettre, avec des liens vers des revues de littérature, les informant que les rayonnements radioélectriques sont la principale cause du déclin des insectes. Je les ai invités à rejoindre la coalition de scientifiques, d’organisations et d’individus que nous formons pour faire face à l’urgence radiologique mondiale.

D’autres rapports du monde entier sur le déclin des oiseaux et des insectes, etc.

Jean écrit depuis le Queensland, en Australie :

« Je vis dans un village de retraités et j’ai remarqué moins d’insectes cette année qu’avant. Je vois rarement une abeille. »

Leroi écrit depuis la France :

« Là aussi, le nombre d’insectes et d’oiseaux a diminué de manière significative (des 2/3), alors que la 5G n’est pas encore installée… ! Le nombre de naissances d’animaux et d’êtres humains handicapés est en augmentation depuis les années 1990, début de l’utilisation généralisée de l’informatique. »

Chrisleine écrit depuis l’Andalousie en Espagne :

« Beaucoup des symptômes que vous décrivez se ressentent ici aussi : presque plus d’oiseaux ; pas de colombes. Cette année, pas une seule abeille dans mon jardin. »

Emma écrit d’Afrique du Sud :

« La première tour 5G a été érigée en 2019, à 50 mètres de chez moi. Quelques jours plus tard, j’ai eu une pneumonie fongique. Quelques semaines plus tard, j’avais des palpitations qui ne s’arrêtaient pas. Passons à maintenant… animaux malades, perte d’insectes, je suis encore plus malade. Il y a aussi une épidémie de “grippe aviaire” et de grippe du lapin (ouais, c’est vrai !). Beaucoup d’oiseaux morts, mais toute la population de lapins est morte dans la région de Kyalami. Je prie pour que cette planète soit libérée des radiations. »

Tammy écrit du Nouveau-Brunswick, Canada :

« Les tours de téléphonie cellulaire ont tué tous les oiseaux et insectes à Kings Place où je travaillais. Nous avions un problème d’oiseaux là-bas, nichés sur les toits, mais plus maintenant. Tous les oiseaux sont partis. Je ne reste plus dans les zones urbaines, car elles sont désormais toxiques à cause des micro-ondes. Et en tant que tel, je vis depuis 4 ans sans médicaments contre l’asthme, sans médicaments contre les allergies, sans vaccins, et je n’ai eu aucun rhume, grippe, COVID, rien. C’est bien. Une vie à faible CEM est une vie plus saine. Point. Les Amish avaient raison depuis le début. »

Doug écrit depuis North Hollywood, Californie :

« J’ai remarqué moins d’oiseaux dans mon quartier. Nous en entendions beaucoup ici le matin. Maintenant, je n’en entends presque plus. »

Charles écrit depuis l’Himalaya :

« Je vis dans un ashram isolé et la faune et la flore se portaient bien, même la 2G était possible, mais lorsque la 2G est passée à la 4G, la décimation des populations d’oiseaux et d’insectes a été remarquée par les villageois et les habitants de l’ashram, mais comme vous le dites, tout le monde est trop occupé à écouter la musique pour faire quoi que ce soit à ce sujet. »

Karl écrit d’Allemagne :

« J’ai 74 ans et je suis informaticien. Cela fait 20 ans que j’observe comment les grues passent au-dessus de notre maison chaque automne lors de leur vol vers le sud. Il y a maintenant une grande tour de transmission à environ 20 kilomètres avec une liaison radio qui passe directement devant notre maison. Si les oiseaux migrateurs arrivent dans cette zone, leur navigation est interrompue. Ils ne savent pas quoi faire et se retrouvent ici, dans la prairie. Souvent, ils parviennent à retrouver leur chemin plus tard ou le lendemain.

Cette année, comme le réseau radio s’est considérablement étendu ici, comme partout ailleurs, notamment grâce à la 5G, un certain nombre d’oiseaux se sont de nouveau retrouvés ici. Mais tout au long de la journée, j’ai pu observer des volées qui faisaient demi-tour et revenaient en volant, parce qu’elles ne trouvaient plus leur chemin ! Les oiseaux débarqués sont encore là depuis quelques semaines et passeront probablement l’hiver ici s’ils survivent, car il fait trop froid ici et il n’y a presque pas de nourriture disponible. »

Linda écrit de Tucson, en Arizona :

« Une tour de téléphonie cellulaire a été installée à 1 000 pieds de chez moi. Je ne savais même pas qu’elle était là, car elle était cachée par les arbres. TOUS les insectes, à l’exception des coléoptères et des punaises du sureau, ont chuté de 1/3. Ils ne s’en sont pas remis, année après année. 10 ans plus tard, des compteurs électriques intelligents étaient installés. Les populations de TOUS les insectes ont diminué de moitié et ont continué de diminuer d’année en année. Même les scarabées ont disparu. »

Pieter écrit des Pays-Bas :

« La haie de hêtres devant notre maison reçoit l’intégralité du rayonnement d’une tour de télécommunications située à 300 mètres de distance, sur laquelle deux sociétés de télécommunications nous envoient leur rayonnement (nous envoyant ainsi apparemment la double portion). Cette tour cellulaire a été construite en décembre 2020. Petit à petit, la haie de hêtres s’est détériorée et cette année, il est devenu évident que la croissance s’est presque complètement arrêtée et que presque toutes les feuilles sont beaucoup plus petites et mal formées. Le feuillage dense d’autrefois s’est transformé en de nombreuses trouées dans la haie. »

Richard écrit depuis Vancouver, Colombie-Britannique, Canada :

« Je suis né en 1952 en Tchécoslovaquie et vers l’âge de dix ans, j’ai décidé de faire une collection de papillons qui abondaient dans notre jardin — toutes sortes de variétés pour stimuler mon intérêt. Rien n’en est sorti et je l’ai oubliée. Vers l’âge de 18 ans, je me suis souvenu de mon “projet” de quand j’étais plus jeune et j’ai réalisé que quelque chose avait radicalement changé, car le seul papillon que je pouvais voir était le papillon blanc commun et presque aucune autre espèce. Je n’avais aucune idée de ce qui s’était passé. J’ai deviné que l’éventuelle utilisation accrue de pesticides/herbicides y était pour quelque chose.

Mais il fut encore une époque où il fallait nettoyer le pare-brise de divers insectes plusieurs fois par jour. Cette année, après une semaine de voyage sur l’île de Vancouver, je n’ai pas eu besoin de nettoyer le pare-brise du tout : il n’a réussi à “attraper” qu’un insecte ou deux.

Ici à Vancouver, le très populaire lilas de Californie fleurit deux fois par an. Vous l’avez toujours entendu bourdonner d’abeilles et de bourdons. Les papillons sont désormais réduits à quelques-uns des “blanchâtres/jaunâtres”, les mêmes qu’en Europe. Il y a peut-être un an, j’ai remarqué que je ne pouvais plus “entendre” les lilas, car les abeilles mellifères ont pratiquement disparu et seuls quelques bourdons sont visibles.

L’année dernière et cette année, je suis allé au parc Queen Elizabeth, ici à Vancouver, au printemps, alors que tout était en fleurs. À l’exception d’une mouche ou deux, il n’y avait AUCUN insecte — pas d’abeilles, pas de bourdons, pas de papillons. Personne n’a rien remarqué, mais pour moi c’était presque irréel. Sentiment apocalyptique.

Il y a un an, je suis allé dans un parc à Surrey, au bord du fleuve Fraser, là où la civilisation était à une certaine distance — on pouvait presque se sentir dans la nature. J’ai remarqué qu’aucun insecte n’était visible, pas même sous les rochers. J’en ai parlé à quelqu’un du parti avec lequel j’étais, et il ne m’a pas cru et est allé faire ses propres recherches, avec le même résultat : rien. Il n’a pas dit grand-chose, mais je voyais que cela le dérangeait, je suppose qu’il était sous le choc.

Le niveau de déni est vraiment incroyable. »

Gloria écrit de Caroline du Nord :

« Quelqu’un aux États-Unis a pensé que ce serait une bonne idée d’installer des dispositifs de radiolocalisation sur les papillons monarques. Je suis horrifiée. Comme si cette espèce en voie de disparition ne souffrait pas déjà assez de l’exposition aux rayonnements. Combien ont péri en volant dans un faisceau multiéléments provenant d’une antenne 5G ? J’ai élevé des papillons monarques dès le stade de l’œuf (à partir de papillons mères monarques passant par et visitant mon buffet d’asclépiades) et ces créatures sont plus complexes et incroyables que beaucoup de gens ne le pensent. Cela me rend malade d’avoir entendu cette nouvelle. Je ne vais pas rester silencieuse à ce sujet. »

Gloria a envoyé ce lien vers l’article qu’elle venait de lire : le ciel est la limite pour les monarques portant des étiquettes radio à énergie solaire. Celui-ci décrit le marquage radio des papillons au Cape May Point Science Center dans le New Jersey pour « la collecte de données sur les mouvements migratoires des monarques ». Ils lançaient le « Projet Monarch ». Pour une démonstration­, ils ont placé une radio-étiquette sur un monarque qu’ils nomment Xerces et ont suivi ses mouvements. L’article continue :

« Xerces a effectivement fini par revenir au CMPSC au bout de quelques jours et c’est le dernier endroit où il a été détecté. »

Gloria écrit :

« En examinant la carte de l’île de Cape May et les observations représentées, le papillon qui avait reçu la balise radio fixée sur son thorax a eu du mal à s’orienter. C’est absolument cruel. Ce papillon était très probablement mort. Cela a duré quelques jours. Un monarque en migration aurait pu vivre plus de six mois. Aucune créature ne devrait être étiquetée ainsi, encore moins un insecte. Les transmissions radiofréquences ne gênent-elles pas la magnétoréception des monarques ? Les papillons ne sauront pas où ils vont avec cette balise radio émettant des rayonnements en continu, mais pire encore, les monarques sont tués aux micro-ondes.

Extrait de l’article : “Lorsqu’une étiquette reste exposée au soleil, elle continuera à transmettre environ une fois par seconde, indéfiniment !” Les papillons dépendent de l’énergie solaire pour alimenter leurs ailes. Bien que les papillons soient mobiles, être au soleil signifie que les transmissions sont incessantes et je le crains, contribuant à la mort prématurée de tout papillon équipé de l’un de ces horribles appareils. »

Laurie de Californie a transmis cette histoire de sa voisine :

« Nous avons adopté notre chien, Rowdy, dans un refuge il y a 5 ans. C’est l’âme la plus douce et mon meilleur ami. Depuis une semaine, il n’est plus lui-même. Il a léché une plaie sur sa patte. Il haletait constamment. Il faisait les cent pas. Dimanche matin, les allées et venues et les halètements se sont aggravés, et j’étais VRAIMENT inquiète que quelque chose n’aille pas chez lui. Pendant 45 minutes, il a haleté comme un fou et a constamment fait les cent pas. Il gardait la queue constamment baissée. Ses oreilles étaient rabattues vers l’arrière. Il ne se calmait pas et ne mangeait pas. J’ai essayé de lui donner du trazadone qu’il prend parfois lorsqu’il va chez le toiletteur. Cela a semblé le soulager un peu, mais pas beaucoup. Il ne mangeait toujours pas et ne se calmait toujours pas.

J’ai quitté le travail lundi et je l’ai emmené chez le vétérinaire. Nous avons fait des analyses de sang et des radiographies. Ses analyses de sang étaient excellentes, à l’exception de certaines enzymes hépatiques élevées. Les radiographies n’ont montré aucun problème majeur. Il a reçu une injection anti-nausée et de la gabapentine pour, espérons-le, le garder calme. Quand nous sommes rentrés à la maison, il allait bien pendant un petit moment, mais a finalement recommencé à faire les cent pas et à haleter. Nous nous sommes promenés longtemps dans le quartier et il utilisait beaucoup les toilettes. Il semblait plutôt content de cela et était de bonne humeur jusqu’à ce que nous rentrions à la maison et qu’il refuse de revenir dans la maison. Chaque fois que je l’emmenais dehors ce soir-là, il s’accroupissait comme s’il ne voulait pas revenir dans la maison.

Lorsque mon vétérinaire a appelé et que je lui ai donné les dernières nouvelles, elle a suggéré qu’il y avait peut-être un nouvel appareil électronique dans la maison qui émettait un bruit à haute fréquence qui lui faisait mal aux oreilles. Nous venons d’installer de nouvelles prises intelligentes dans la maison il y a environ une semaine. Les prises intelligentes vous permettent d’allumer vos appareils électroniques à l’aide d’une application ou d’Alexa. Nous utilisons les nôtres pour allumer et éteindre toutes nos lampes en même temps. Son rythme et ses halètements étaient pires lorsque les lampes étaient allumées, alors j’ai débranché toutes les prises intelligentes. Il a cessé de haleter et de faire les cent pas, et il a mangé sa nourriture. Sa queue s’est même relevée et a recommencé à remuer. Lorsque j’ai rebranché toutes les prises intelligentes et demandé à Alexa d’allumer les lampes, il a immédiatement recommencé à haleter et à faire les cent pas. Nous avons laissé les prises débranchées pendant deux jours et avons confirmé que ce sont bien les prises intelligentes qui causent son stress et son inconfort. Il est redevenu un chien tout à fait normal. »

Andrea écrit du Panama :

« Je vis au Panama, originaire d’une région rurale du Canada où la voisine la plus proche était à 700 pieds, mais j’ai quand même reçu des radiations provenant du Bluetooth de son imprimante ! Lorsque je vivais temporairement à West Palm Beach, en Floride, entourée de Wi-Fi et de 5G, je ressentais des douleurs sur le palais entre mes deux amalgames au mercure, et mon chien est tombé gravement malade, anorexique, a commencé à avoir plusieurs crises focales par jour et une infection respiratoire sévère. Nous étions en train de faire une randonnée de 4 heures dans le parc national quand il a eu un de ses épisodes bizarres qu’il avait eus 4 fois au cours de l’année précédente, différent des crises focales qui venaient de commencer : il bave, tombe presque à la renverse, ne mange pas et ne boit pas, sa personnalité change du tout au tout — il est nerveux et a peur de nous. Au même moment, mon ovaire droit est devenu douloureux et j’ai eu mal aux deux cuisses, je me suis sentie étourdie, nauséeuse et tout simplement horrible. Nous avons vu une tour de téléphonie mobile derrière les arbres vers lesquels nous marchions. Après avoir marché pendant 10 minutes, nous nous sommes tous les deux rétablis. »

Eileen écrit depuis Liverpool, en Angleterre :

« Ma ville natale, Liverpool, est la ville qui possède le plus grand réseau maillé 5G du Royaume-Uni et le deuxième au monde. https://liverpool5g.org.uk/about5g/. Les habitants de Liverpool font partie d’une vaste expérience 5G sans aucune consultation ni consentement. C’est honteux ! On s’interroge sur le titre suivant : Les hôpitaux de Liverpool sont “débordés” alors que les patients sont traités sur des fauteuils. Les médecins travaillant dans les hôpitaux du NHS [le service de Santé de Grande-Bretagne] du Merseyside traitent des patients sur des chaises et dans des couloirs dans des scènes “terribles” décrites comme “faire de la médecine dans un pays en développement”. »

Un autre correspondant écrit :

« J’ai dû faire piquer mes deux chats à cause des CEM [champs électromagnétiques] de notre routeur. Ils ont présenté les mêmes symptômes que moi. Ils n’étaient qu’à l’intérieur et ne pouvaient pas s’échapper. L’une d’entre elles a perdu la tête (Maine Coon pure race) et ne reconnaissait plus sa nourriture et commençait à tomber des comptoirs. L’autre a eu un cancer de l’œil. Il a tenu 8 mois et j’ai dû l’abattre. C’était trop triste. Il a fallu 4 ans pour que cela m’affecte et j’ai eu 4 fois un cancer plus 21 autres symptômes. J’ai compris tout cela après 18 ans d’empoisonnement par les radiations. »




L’agenda mondial de Bill Gates et comment résister à sa guerre contre la vie

[Source : exoconscience.com]

Par Vandana Shiva

Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier.

En mars 2015, Bill Gates a montré une image du coronavirus lors d’une conférence TED et a déclaré au public qu’il s’agissait de ce à quoi ressemblerait la plus grande catastrophe de notre temps.

La véritable menace pour la vie, a-t-il dit, « ce ne sont pas les missiles, mais les microbes ». Lorsque la pandémie de coronavirus a déferlé sur la terre comme un tsunami cinq ans plus tard, il a ravivé le langage de la guerre, décrivant la pandémie comme « une guerre mondiale ».

La pandémie de coronavirus oppose l’humanité tout entière au virus », a-t-il déclaré.

En fait, la pandémie n’était pas une guerre. La pandémie était une conséquence de la guerre. Une guerre contre la vie. L’esprit mécanique connecté à la machine à fric de l’extraction a créé l’illusion que les humains sont séparés de la nature, et que la nature est une matière première morte et inerte à exploiter.

Mais en fait, nous faisons partie du biome. Et nous faisons partie du virome. Le biome et le virome, c’est nous. Lorsque nous faisons la guerre à la biodiversité de nos forêts, de nos fermes et de nos entrailles, nous nous faisons la guerre à nous-mêmes.

L’urgence sanitaire du coronavirus est inséparable de l’urgence sanitaire de l’extinction, de l’urgence sanitaire de la perte de biodiversité et de l’urgence sanitaire de la crise climatique. Toutes ces urgences sont enracinées dans une vision du monde mécaniste, militariste et anthropocentrique qui considère que les humains sont séparés des autres êtres et qu’ils leur sont supérieurs. Des êtres que nous pouvons posséder, manipuler et contrôler.

Toutes ces situations d’urgence trouvent leur origine dans un modèle économique fondé sur l’illusion d’une croissance et d’une avidité illimitées, qui violent les frontières planétaires et détruisent l’intégrité des écosystèmes et des espèces individuelles.

De nouvelles maladies apparaissent parce que l’agriculture mondialisée, industrialisée et inefficace envahit les habitats, détruit les écosystèmes et manipule les animaux, les plantes et d’autres organismes sans aucun respect pour leur intégrité ou leur santé. Nous sommes liés au niveau mondial par la propagation de maladies telles que le coronavirus parce que nous avons envahi les habitats d’autres espèces, manipulé les plantes et les animaux à des fins de profits commerciaux et d’avidité, et cultivé des monocultures.

Alors que nous coupons les forêts à blanc, que nous transformons les exploitations agricoles en monocultures industrielles produisant des produits toxiques et vides sur le plan nutritionnel, que nos régimes alimentaires se dégradent en raison de la transformation industrielle à l’aide de produits chimiques synthétiques et du génie génétique, et que nous perpétuons l’illusion selon laquelle la terre et la vie sont des matières premières à exploiter pour réaliser des profits, nous nous connectons en effet. Mais au lieu de nous connecter sur un continuum de santé en protégeant la biodiversité, l’intégrité et l’auto-organisation de tous les êtres vivants, y compris les humains, nous nous connectons par la maladie.

Photo de Bjørn Tore Økland sur Unsplash

Selon l’Organisation internationale du travail, « 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle (représentant les plus vulnérables sur le marché du travail), sur un total mondial de deux milliards et une main-d’œuvre mondiale de 3,3 milliards, ont subi des dommages massifs à leur capacité de gagner leur vie. Cela est dû aux mesures de fermeture et/ou au fait qu’ils travaillent dans les secteurs les plus touchés ».

Selon le Programme alimentaire mondial, un quart de milliard de personnes supplémentaires seront poussées vers la faim et 300 000 pourraient mourir chaque jour. Il s’agit là aussi de pandémies qui tuent des gens. Tuer ne peut pas être une prescription pour sauver des vies.

La santé, c’est la vie et les systèmes vivants. Il n’y a pas de « vie » dans le paradigme de la santé que Bill Gates et ses semblables promeuvent et imposent au monde entier. Bill Gates a créé des alliances mondiales afin d’imposer une analyse et des prescriptions de haut en bas pour les problèmes de santé. Il donne de l’argent pour définir les problèmes, puis il utilise son influence et son argent pour imposer les solutions. Ce faisant, il s’enrichit. Son « financement » entraîne un effacement de la démocratie et de la biodiversité, de la nature et de la culture. Sa « philanthropie » n’est pas seulement du philanthrocapitalisme. C’est du philanthro-impérialisme.

La pandémie de coronavirus et le confinement ont révélé encore plus clairement comment nous sommes réduits à des objets à contrôler, nos corps et nos esprits étant les nouvelles colonies à envahir. Les empires créent des colonies, les colonies enferment les biens communs des communautés indigènes vivantes et les transforment en sources de matières premières à extraire pour réaliser des profits.

Cette logique linéaire et extractive est incapable de voir les relations intimes qui soutiennent la vie dans le monde naturel. Elle est aveugle à la diversité, aux cycles de renouvellement, aux valeurs de don et de partage, ainsi qu’au pouvoir et au potentiel de l’auto-organisation et de la mutualité. Elle est aveugle aux déchets qu’elle crée et à la violence qu’elle libère. Le confinement prolongé du coronavirus a été une expérience de laboratoire pour un avenir sans humanité.

Le 26 mars 2020, alors que la pandémie de coronavirus atteignait son paroxysme et que le confinement se prolongeait, l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) a accordé un brevet à Microsoft. Le brevet WO 060606 déclare que « l’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie… »

L’« activité corporelle » que Microsoft souhaite exploiter comprend les radiations émises par le corps humain, les activités cérébrales, la circulation des fluides corporels, la circulation sanguine, l’activité des organes, les mouvements corporels tels que les mouvements oculaires, faciaux et musculaires, ainsi que toute autre activité pouvant être détectée et représentée par des images, des ondes, des signaux, des textes, des nombres, des degrés ou toute autre information ou donnée.

Le brevet est une revendication de propriété intellectuelle sur nos corps et nos esprits. Dans le cadre du colonialisme, les colonisateurs s’attribuent le droit de s’approprier les terres et les ressources des populations autochtones, d’anéantir leurs cultures et leur souveraineté et, dans les cas extrêmes, de les exterminer. Le brevet WO 060606 est une déclaration de Microsoft selon laquelle nos corps et nos esprits sont ses nouvelles colonies.

Nous sommes des mines de « matière première » — les données extraites de notre corps. Au lieu d’être des êtres souverains, spirituels, conscients et intelligents qui prennent des décisions et font des choix avec sagesse et valeurs éthiques concernant l’impact de nos actions sur le monde naturel et social dont nous faisons partie et auquel nous sommes inextricablement liés, nous sommes des « utilisateurs ». Un « utilisateur » est un consommateur sans choix dans l’empire numérique.

Mais ce n’est pas la totalité de la vision de Gates. En fait, elle est encore plus sinistre : coloniser l’esprit, le corps et l’âme de nos enfants avant même qu’ils aient l’occasion de comprendre à quoi ressemblent la liberté et la souveraineté, en commençant par les plus vulnérables.

En mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a annoncé un partenariat avec la Fondation Gates pour « réinventer l’éducation ». M. Cuomo a qualifié M. Gates de visionnaire et a affirmé que la pandémie avait créé « un moment dans l’histoire où nous pouvons réellement incorporer et faire avancer les idées [de M. Gates]… tous ces bâtiments, toutes ces salles de classe physiques — pourquoi avec toute la technologie dont vous disposez ? »

En fait, cela fait deux décennies que M. Gates tente de démanteler le système d’enseignement public des États-Unis. Pour lui, les étudiants sont des mines de données. C’est pourquoi les indicateurs qu’il préconise sont l’assiduité, l’inscription à l’université et les résultats aux tests de mathématiques et de lecture, car ils peuvent être facilement quantifiés et exploités. En réimaginant l’éducation, les enfants seront contrôlés par des systèmes de surveillance pour vérifier s’ils sont attentifs alors qu’ils sont forcés de suivre des cours à distance, seuls à la maison.

La dystopie est un monde où les enfants ne retournent jamais à l’école, n’ont pas l’occasion de jouer, n’ont pas d’amis. C’est un monde sans société, sans relations, sans amour et sans amitié.

Lorsque je regarde vers l’avenir, dans un monde de Gates et de barons de la technologie, je vois une humanité qui est encore plus polarisée en un grand nombre de personnes « jetables » qui n’ont pas leur place dans le nouvel empire. Ceux qui en feront partie ne seront guère plus que des esclaves numériques.

Ou nous pouvons résister. Nous pouvons ensemencer un autre avenir, approfondir nos démocraties, nous réapproprier nos biens communs, régénérer la terre en tant que membres vivants d’une famille Terre unique, riche de sa diversité et de sa liberté, unie dans son unité et son interconnexion. C’est un avenir plus sain. C’est un avenir pour lequel nous devons nous battre. Nous devons le revendiquer.

Nous sommes au bord du précipice de l’extinction. Allons-nous laisser notre humanité en tant qu’êtres vivants, conscients, intelligents et autonomes être anéantie par une machine avide qui ne connaît pas de limites et qui est incapable de mettre un terme à sa colonisation et à sa destruction ? Ou allons-nous arrêter la machine et défendre notre humanité, notre liberté et notre autonomie pour protéger la vie sur terre ?

Source : https://www.thepulse.one/p/bill-gates-global-agenda-and-how

Traduction : https://exoconscience.com




Crépol : l’éléphant dans la pièce

[Source : contrepoints.org]

Par Yves Bourdillon

Il faut arrêter de jouer à « l’Éléphant dans la pièce », que l’on fait semblant de ne pas voir, car ce serait embarrassant ou inquiétant. Le meurtre de Crépol est plus grave que ceux commis par des individus déséquilibrés, ou radicalisés. Il s’agit d’une attaque en bande organisée contre une fête de village tranquille illustrant une partition dans notre pays.

C’est une fable russe de 1814 qui a donné lieu à l’expression éponyme en anglais « The elephant in the room », pour désigner quelque chose d’énorme que tout le monde fait semblant de ne pas remarquer,1 car ce serait admettre quelque chose d’embarrassant, voire terrifiant.

L’attaque de jeunes gens par une bande armée de couteaux à Crépol, il y a dix jours, lors de laquelle un adolescent, Thomas, a été tué, est seulement le dernier évènement illustrant cette fable. Tout le monde peut voir de quoi il s’agit, mais beaucoup font semblant de croire qu’il s’agit juste d’un banal fait divers, comme il en a toujours existé et en existera toujours.

Eh bien, pas du tout.

Cette attaque sidère et révolte, plus encore que les attaques commises par des « déséquilibrés » comme il en a toujours existé (ce qui ne les empêche pas forcément d’être endoctrinés ou téléguidés), peu ou prou oubliés après les traditionnelles peluches-bougies-marches blanches, à l’image des trois jeunes poignardés à Angers en juin 2022 par un Soudanais, de la petite Lola kidnappée, torturée et tuée par une Algérienne sous OQTF, des quatre enfants blessés à Annecy par un Syrien en situation irrégulière en France, etc.

Une icône attaquée

Plus encore parce que l’attaque à Crépol a touché une icône, que l’on croyait préservée, de la ruralité française, une fête de village joyeuse et tranquille. Un drame équivalent avait d’ailleurs failli se produire deux semaines auparavant dans un village du Lot-et-Garonne, Saint-Martin-Petit.

Elle est aussi, par son ampleur, un mort et dix-huit blessés, sans commune mesure avec les bastons de bals de jadis. Il s’agit bel et bien d’un meurtre en bande organisée, un des chefs d’inculpation des neufs suspects, mené par des jeunes voulant « planter du Blanc », d’après ce qu’ont entendu neuf témoins. Si les comparaisons de certains avec des razzias ou des pogroms sont très exagérées, l’aspect raciste de cette sorte de « ratonnade » (comme il n’en existe heureusement presque plus à l’encontre des Maghrébins depuis 1973) à l’envers, fait peu de doute.

Enfin, et sans doute surtout, parce que les réactions des proches des mis en cause à Romans-sur-Isère, sur les réseaux sociaux ou BFM, montrent un univers mental totalement étranger, pour ne pas dire antagoniste, à celui de la grande majorité, autochtones ou d’origine immigrée, de la population de ce pays.

Derrière les dénonciations convenues de la violence, leur première inquiétude n’est pas que les habitants de Crépol soient traumatisés, mais plutôt, « moi d’abord, » d’être eux même ostracisés (ben, quand des jeunes issus de votre quartier en tuent d’autres, c’est un peu logique d’être circonspect, voyez-vous). Ils jugeaient aussi « normal » que leurs amis fussent armés de couteau pour se défendre en cas d’embrouilles. Aucun ne semble ébaucher un début de questionnement sur leurs responsabilités, ou défaillances de parents, éducateurs, ou copains ; non, il n’est pas normal d’emporter au bal une lame de 25 cm. Tous adhèrent au récit selon lequel leurs camarades draguaient tranquillement des filles après avoir payé l’entrée de la fête, avant d’être agressés par des rugbymen jaloux (les participants à la fête évoquent plutôt l’attaque de vigiles voulant les refouler après avoir repéré des couteaux).

Cet esprit tribal instinctif, cette réalité psychosociale parallèle illustre bien les propos il y a cinq ans de l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, décédé samedi, trop peu écouté dans son propre camp, la gauche, selon lequel le vivre ensemble serait devenu « vivre côte à côte », avant peut-être demain de devenir « vivre face à face ». La simple coexistence, avant l’antagonisme, voire un jour l’affrontement.

La sécession à l’œuvre

Les agresseurs de Crépol font partie visiblement de cette jeunesse laissée à elle-même, pour qui la vie humaine ne vaut pas grand-chose, traînant dans ces quartiers où plus grand monde n’écoute les chibanis (les vieux sages en arabe dialectal algérien), mais qui ne sont pourtant pas si démunis que cela en équipements, ou dépenses de la politique de la Ville ; la maire de Romans-sur-Isère a reconnu que sa ville avait bénéficié de 140 millions d’euros de l’État ces dernières années. Ils n’ont pratiquement pas d’autre horizon que leur bande, et le port d’un couteau leur paraît une condition sine qua non de virilité. Une contre-société avec ses codes sommaires, prévalence de la bande, territorialisation à l’extrême et mépris pour les « autochtones » et leurs institutions.

Quand des gens vous désignent comme des « eux », il vient fatalement un moment où il est difficile de les considérer comme des « nous ». Cette partition officieuse ne se cantonne d’ailleurs pas aux aspects sécuritaires. Dans le système éducatif, selon une étude récente, en ZEP, 79 % des élèves ne comprennent pas vraiment la langue française et 83 % ignorent les bases du calcul…

Ce n’est pourtant pas faute d’alertes sur la montée de cette « contre-société », depuis notamment la parution des Territoires perdus de la république (Emmanuel Brenner et al, 2004), ou Une France soumise (Georges Bensoussan, 2017), sans oublier L’étrange suicide de l’Europe (Douglas Murray, 2018).

Le déni et pas de vagues

Mais les pouvoirs publics, et certains médias « progressistes » continuent de récuser ce constat.

À l’image des dépêches d’agence évoquant d’abord une simple « rixe » à Crépol, mot évoquant un simple échange de coups de poing où les torts seraient partagés, ou du ministre de la Justice fustigeant « la récupération », forcément d’extrême droite, de ce « fait divers ».

Pour ne pas être accusé d’extrémisme, ou de récupération, il faudrait donc ne pas commenter ces événements ni chercher à en tirer les leçons, ce qui serait pourtant sain et humain ? Faire même semblant de croire qu’ils n’existent pas serait un plus…

Encore une fois, le déni, repousser la poussière sous le tapis et ne pas voir le fameux Éléphant dans la pièce, déjà exprimé à maintes reprises par ministres, élus, associations et médias. Qui, il faut « tuer le messager », assimilent toute colère, ou exaspération après ce genre de drame, ou après des attaques habituelles de commissariat, émeutes & tirs de mortiers, à une tentative d’ostraciser l’ensemble de nos compatriotes musulmans, dont la majorité vit aussi mal que les autres l’existence de ces bandes.

Les exemples abondent, mais le plus ridicule est certainement celui du ministre de l’Intérieur prétendant que les bandes de « kaïras » du 9-3 venus dépouiller des supporters lors de la finale de la coupe d’Europe de football en mai 2022 étaient en fait des supporters anglais sans billets…

Sans oublier ceux qui dénoncent un deux poids deux mesures, à savoir que parler de Crépol sans évoquer l’attaque d’un immigré par un septuagénaire raciste dans le Val-de-Marne, reviendrait à repérer les attaques « d’un côté, mais pas de l’autre ».

Port d’arme blanche : une interdiction fictive

Ce genre de drame interroge aussi sur le fonctionnement de la justice, sans doute tétanisée, comme d’autres, par le « pas de vague » en vigueur depuis sans doute les émeutes de 2005.

La faiblesse des peines prononcées, quelques mois avec sursis, et non exécutées en dessous de deux ans, pour des agressions pourtant souvent graves, a de quoi laisser perplexe, surtout quand on compare avec ce qui se pratique dans d’autres pays européens pour des crimes et délits équivalents. Les adversaires du tout carcéral font valoir, pas forcément à tort, qu’on entre en prison délinquant et qu’on en sort criminel, mais une stratégie « douce » à base de stage de réinsertion ou travaux d’intérêt collectif (qui font bien se marrer les prévenus) a surtout pour conséquence qu’elle persuade des névrosés du couteau qu’ils ne risquent strictement rien.

En fait, en théorie le port d’arme blanche « non justifié » (là est l’astuce) sur la voie publique est puni d’un an de prison ferme. Les racailles y regarderaient sans doute à deux fois avant de se promener armés s’ils savaient qu’ils feraient un an de cabane au moindre contrôle policier. Sauf que, savez-vous combien de peines de prison ont été prononcées pour cela depuis dix ans ? À ma connaissance, zéro.

Au passage, combien de morts par arme blanche ? Eh bien, les données précises et fiables n’existent pas, à ma connaissance. Comme si on avait peur de savoir. Les statistiques sur les circonstances, âge des victimes et des prévenus, lieux et motifs des 900 meurtres commis chaque année en France sont détaillées, mais rien sur le type d’armes employées. Tout juste une enquête il y a quelques années établissait-elle que les deux tiers des agressions, suivies ou pas de décès, étaient à l’arme blanche.

Dans le même ordre d’idée, l’interdiction des statistiques ethniques empêche d’évaluer en France la surreprésentation, ou pas, des personnes d’origine étrangère parmi les criminels et délinquants. La Suède et la Finlande n’ont pas ces pudeurs, avec des résultats guère rassurants.

Un déni, une volonté de mettre ce qui dérange sous le tapis qui s’explique au demeurant assez logiquement, par la trouille et la vanité.

L’intégration ne va pas toujours de soi

La trouille (le déni est un puissant mécanisme de protection psychologique) de pressentir que tout cela pourrait mener un jour à la guerre civile (évoquée par Jean-Pierre Chevènement, que l’on peut difficilement soupçonner de tentation lepéniste, soulignant en 2019 que « toutes les guerres civiles débutent à bas bruit ») ; ou du moins à des affrontements récurrents qui obligeraient, par exemple, à la constitution de milices privées. Ce serait fun, des hommes armés de fusils fouillant les participants aux fêtes de village…

Et la vanité de croire que l’intégration d’immigrés se ferait naturellement, sans accompagnement spécifique, car cela aurait été condescendant, ou discriminant, du fait que notre société serait si cool et séduisante. Comment pouvoir détester un pays si riche en opportunités de job, de soins et d’éducation gratuits, ou d’allocations, qui avait d’ailleurs su absorber les innombrables vagues migratoires (européennes) jadis ? Les lobbyistes de l’immigration, dont des libéraux un peu candides sur les questions civilisationnelles, ont prétendu pendant quarante ans que, nonobstant des incidents isolés, tout se passerait bien.

En fait, pas vraiment.

Sauf à vivre barricadé dans le huitième arrondissement, la réalité paraît moins angélique. Qui n’a jamais vu quelqu’un se faire traiter de « sale Blanc » ? L’intelligentsia progressiste a, au passage, sa part de responsabilité, qui prétend, narcissisme de culpabilité, que « les Blancs sont le problème » et que les descendants de colonisés auraient au fond raison de nous détester, ou de vouloir prendre une revanche. À force, rien d’étonnant à ce que certains les aient crus.

La réalité est que l’intégration de l’immigration arabo-musulmane, irréprochable pour la majorité, n’a pas du tout marché pour une minorité non négligeable comme l’illustre le drame de Crépol. Certains font semblant de découvrir soudainement l’ensauvagement, selon les termes du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin (un autre titulaire du poste, Jean-Pierre Chevènement, avait évoqué dès 1999 les « sauvageons », terme toutefois moins riche en couteaux, évoquant plutôt un arbre non greffé).

L’intégration, surtout en provenance d’un système juridico-politique, l’Islam, qui a une très forte identité et perception de sa singularité/mission d’expansion, ne fonctionne pas bien au-delà de certains effectifs. C’est au demeurant logique et renvoie aux dynamiques à l’œuvre quand une population A d’une certaine culture se mélange à une population B.

Quand, dans un pays, vous êtes ultra minoritaire, sur le plan culturel ou ethnoreligieux, vous avez puissamment intérêt à vous fondre dans le moule. Pas forcément à adopter les mœurs locales, personne en France n’a jamais obligé quiconque à manger du saucisson, porter une jupe, ou accrocher un crucifix dans son logement, mais au moins vous avez intérêt à comprendre et accepter les mœurs du pays d’accueil (Montesquieu disait qu’un pays « est fait de ses coutumes bien plus que de ses lois ») et donc, dans l’espace public vous n’imposez pas vos normes, et ne cherchez pas à constituer un bloc politique de défiance, à la limite du sécessionniste. Au-delà d’une certaine proportion (10 % ?), au contraire, le communautarisme, bien au-delà du voile sur la voie publique, des demandes d’horaires de piscine spécifiques, ou du conducteur de bus qui refuse de répondre au salut des femmes, devient une option plus alléchante…

L’intégration a d’ailleurs tellement bien marché que les thuriféraires du vivre ensemble se gardent bien d’aller vivre, ou faire scolariser leurs enfants à Romans-sur-Isère… Comme disait Péguy, en une variante de la fable russe, il faut un peu de courage pour « voir ce que l’on voit ».


1 La fable d’Ivan Krylov raconte le périple d’un homme dans un musée qui s’attache aux détails sans remarquer à aucun moment l’éléphant présent à côté de lui.




Alexis Carrel et notre civilisation destructrice

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

On va laisser en parler un qui a le don de les énerver, les médias et les « élites », j’ai nommé Alexis Carrel. Prix Nobel de médecine quand même, et grande star en Amérique à l’époque de Roosevelt. Le chirurgien avait enlevé ses gants pour dire ses quatre vérités, car il savait avant les Orlov, Kunstler et autres collapsologues que nous étions bien condamnés. On cite l’édition américaine que le prestigieux Carrel avait présentée à New York avant la Guerre :

« En somme, la société moderne, cette société engendrée par la science et la technologie, commet la même faute que toutes les civilisations de l’Antiquité. Elle crée des conditions de vie où la vie de l’individu et celle de la race deviennent impossibles. Elle justifie la boutade du doyen Inge : Civilization is a disease which is almost invariably fatal [La civilisation est une maladie presque toujours mortelle]. Bien que la signification réelle des événements qui se passent en Europe et aux États-Unis échappe encore au public, elle devient de plus en plus claire à la minorité qui a le temps et le goût de penser. Toute la civilisation occidentale est en danger. Et ce danger menace à la fois la race, les nations, et les individus. Chacun de nous sera atteint par les bouleversements causés par une guerre européenne. Chacun souffre déjà du désordre de la vie et des institutions, de l’affaiblissement général du sens moral de l’insécurité économique, des charges imposées par les défectifs et les cri­minels. La crise vient de la structure même de la civilisation. Elle est une crise de l’homme. L’homme ne peut pas s’adapter au monde sorti de son cerveau et de ses mains. Il n’a pas d’autre alternative que de refaire ce monde d’après les lois de la vie. Il doit adapter son milieu à la nature de ses activités organiques aussi bien que mentales, et rénover ses habitu­des individuelles et sociales. Sinon, la société moderne rejoindra bientôt dans le néant la Grèce et l’Empire de Rome. Et la base de cette rénovation, nous ne pouvons la trouver que dans la connaissance de notre corps et de notre âme. »

À propos de Rome et de la Grèce, lisez mon livre noir : Juvénal, Suétone, Sénèque ont vu et vécu notre situation. Sans oublier Pétrone !

Carrel ramène la démocratie à une idéologie, et on est bien d’accord :

« Aucune civilisation durable ne sera jamais fondée sur des idéolo­gies philosophiques et sociales. L’idéologie démocratique elle-même, à moins de se reconstruire sur une base scientifique, n’a pas plus de chance de survivre que l’idéologie marxiste. Car, ni l’un ni l’autre de ces systèmes n’embrasse l’homme dans sa réalité totale. »

Le culte moderne de la laideur, de la hideur même, est une tare universelle maintenant.

Carrel explique :

« Le sens esthétique existe chez les êtres humains les plus primitifs, comme chez les plus civilisés. Il survit même à la disparition de l’intelligence car les idiots et les fous sont capables d’œuvres artistiques. La création de formes ou de séries de sons, qui éveillent chez ceux qui les regardent ou les entendent, une émotion esthétique, est un besoin élémentaire de notre nature. L’homme a toujours contemplé avec joie les animaux, les fleurs, les arbres, le ciel, la mer, et les montagnes. Avant l’aurore de la civilisation, il a employé ses grossiers outils à reproduire sur le bois, sur l’ivoire, et la pierre, le profil des êtres vivants. »

Nous sommes moins que des fous alors ?

Puis Carrel soulève la menace de la civilisation qui pèse sur les ouvriers et artisans condamnés à disparaître :

« Aujourd’hui même, quand son sens esthétique n’est pas détruit par son éducation, son mode de vie, et le travail de l’usine, il prend plaisir à fabriquer des objets suivant son inspiration propre. Il éprouve une jouissance esthé­tique à s’absorber dans cette œuvre. Il y a encore en Europe, et surtout en France, des cuisiniers, des charcutiers, des tailleurs de pierre, des menuisiers, des forgerons, des couteliers, des mécaniciens, qui sont des artistes. Celui qui fait une pâtisserie de belle forme, qui sculpte dans du saindoux des maisons, des hommes et des animaux, qui forge une belle ferrure de porte, qui construit un beau meuble, qui ébauche une grossière statue, qui tisse une belle étoffe de laine ou de soie, éprouve un plaisir analogue à celui du sculpteur, du peintre, du musicien, et de l’architecte. »

Carrel plaint comme le Chaplin des Temps modernes les ouvriers :

« Si l’activité esthétique reste virtuelle chez la plupart des individus, c’est parce que la civilisation industrielle nous a entourés de spectacles laids, grossiers, et vulgaires. En outre, nous avons été transformés en machines. L’ouvrier passe sa vie à répéter des milliers de fois chaque jour le même geste. D’un objet donné, il ne fabrique qu’une seule pièce. Il ne fait jamais l’objet entier. Il ne peut pas se servir de son intelligence. Il est le cheval aveugle qui tournait toute la journée autour d’un manège pour tirer l’eau du puits. »

Un petit procès d’intention contre la civilisation — procès très mal vu maintenant qu’elle est jugée fantastique et parfaite :

« L’industrialisme empêche l’usage des activités de la conscience qui sont capables de donner chaque jour à l’homme un peu de joie. Le sacrifice par la civilisation moderne de l’esprit à la matière a été une erreur. Une erreur d’autant plus dangereuse qu’elle ne provoque aucun sentiment de révolte, qu’elle est acceptée aussi facilement par tous que la vie malsaine des grandes villes, et l’emprisonnement dans les usines. Cependant, les hommes qui éprouvent un plaisir esthétique même rudimentaire dans leur travail sont plus heureux que ceux qui produisent uniquement afin de pouvoir consommer. Il est certain que l’industrie, dans sa forme actuelle, a enlevé à l’ouvrier toute originalité et toute joie. »

Le grand savant met enfin les points sur les I :

« La stupidité et la tristesse de la civilisation présente sont dues, au moins en partie, à la suppression des formes élémentaires de la jouissance esthétique dans la vie quotidienne. »

Ensuite le docteur Carrel aggrave son cas. Il célèbre en effet la beauté artisanale. Appréciez au passage ses grandes qualités littéraires qui nous changent des stylistes de science et vie ; et des alphabètes actuels sélectionnés au QCM :

« La beauté est une source inépuisable de joie pour celui qui sait la découvrir. Car elle se rencontre partout. Elle sort des mains qui modèlent, ou qui peignent la faïence grossière, qui coupent le bois et en font un meuble, qui tissent la soie, qui taillent le marbre, qui tranchent et réparent la chair humaine. Elle est dans l’art sanglant des grands chirurgiens comme dans celui des peintres, des mu­siciens, et des poètes. Elle est aussi dans les calculs de Galilée, dans les visions de Dante, dans les expériences de Pasteur, dans le lever du soleil sur l’océan, dans les tourmentes de l’hiver sur les hautes montagnes. Elle devient plus poignante encore dans l’immensité du monde sidéral et de celui des atomes, dans l’inexprimable harmonie du cerveau humain, dans l’âme de l’homme qui obscurément se sacrifie pour le salut des autres. Et dans chacune de ses formes, elle demeure l’hôte inconnu de la substance cérébrale, créatrice du visage de l’Univers… »

L’atrophie esthétique donc morale peut survenir :

« Le sens de la beauté ne se développe pas de façon spontanée. Il n’existe dans notre conscience qu’à l’état potentiel. À certaines époques, dans certaines circonstances, il reste virtuel. Il peut même disparaître chez les peuples qui autrefois le possédaient à un haut degré. C’est ainsi que la France détruit ses beautés naturelles et méprise les souvenirs de son passé. »

Comme on sait la meilleure manière de détruire tout cela reste le tourisme de masse.

L’atrophie morale et intellectuelle nous rend inaptes à recréer de la beauté et nous accoutume à une laideur épouvantable (souvenez-vous du Muriel de Resnais où la ville bombardée renaît de ses cendres, mais en béton et grands ensembles) :

« Les descendants des hommes qui ont conçu et exécuté le monastère du Mont Saint-Michel ne comprennent plus sa splendeur. Ils acceptent avec joie l’indescriptible laideur des maisons modernes de la Bretagne et de la Normandie, et surtout des environs de Paris. De même que le Mont Saint-Michel, Paris lui-même et la plupart des villes et villages de France ont été déshonorés par un hideux commercialisme. Comme le sens moral, le sens de la beauté, pendant le cours d’une civilisation, se développe, atteint son apogée, et s’évanouit ».

La culture ? Tout le monde consomme la série US ou le Da Vinci code ; un copain kiosquier me disait jadis qu’il vendait jusqu’à 300 revues de bagnole… Alexis Carrel :

« Le goût de la lecture est plus grand. On achète beaucoup plus de revues et de livres qu’autrefois. Le nombre de gens qui s’inté­ressent à la science, à la littérature, à l’art, a augmenté. Mais ce sont les formes les plus basses de la littérature et les contrefaçons de la science et de l’art qui, en général, attirent le public. Il ne paraît pas que les excel­lentes conditions hygiéniques dans lesquelles on élève les enfants, et les soins dont ils sont l’objet dans les écoles, aient réussi à élever leur niveau intellectuel et moral. On peut même se demander s’il n’y a pas souvent une sorte d’antagonisme entre leur développement physique et leur développement mental. Après tout, nous ne savons pas si l’augmentation de la stature dans une race donnée n’est pas une dégénérescence, au lieu d’un progrès, ainsi que nous le croyons aujourd’hui. »

L’individu d’aujourd’hui ? Avant l’obésité (42 % d’enfants obèses où je vis), avant l’abrutissement techno et média, avant l’effondrement du QI, Carrel écrit :

« Dans la civilisation moderne, l’individu se caractérise surtout par une activité assez grande et tournée entièrement vers le côté pratique de la vie, par beaucoup d’ignorance, par une certaine ruse, et par un état de faiblesse mentale qui lui fait subir de façon profonde l’influence de milieu où il lui arrive de se trouver. Il semble qu’en l’absence d’armature morale l’intelligence elle-même s’affaisse. C’est peut-être pour cette raison que cette faculté, jadis si caractéristique de la France, a baissé de façon aussi manifeste dans ce pays. Aux États-Unis, le niveau intellectuel reste inférieur, malgré la multiplication des écoles et des universités. »

Carrel remarque aussi :

« Le chauffage des maisons à la vapeur, l’éclairage électrique, les ascenseurs, la morale biologique, les manipulations chimiques des denrées alimentaires ont été acceptés uniquement parce que ces innovations étaient agréables et commodes. Mais leur effet probable sur les êtres humains n’a pas été pris en considération…On est arrivé ainsi à la construction des maisons géantes qui accumulent en un espace restreint des masses beaucoup trop considérables d’individus. Ceux-ci y habitent avec plaisir, car jouissant du confort et du luxe ils ne s’aperçoivent pas qu’ils sont privés du nécessaire. La ville moderne se compose de ces habitations monstrueuses et de rues obscures, pleines d’air pollué par les fumées, les poussières, les vapeurs d’essence et les produits de sa combustion, déchirées par le fracas des camions et des tramways, et encombrées sans cesse par une grande foule. Il est évident qu’elle n’a pas été construite pour le bien de ses habitants. »

On ne fait aucun progrès depuis, il ne manquerait plus que cela. Sur la médecine ou le pain blanc, Carrel avait tout dit aussi :

« Notre vie est influencée dans une très large mesure par les journaux. La publicité est faite uniquement dans l’intérêt des producteurs, et ja­mais des consommateurs. Par exemple, on a fait croire au public que le pain blanc est supérieur au brun. Aussi des quantités de produits alimentaires et pharmaceutiques, inutiles, et souvent nuisibles, sont-ils devenus une nécessité pour les hommes civilisés. C’est ainsi que l’avidité des individus assez habiles pour diriger le goût des masses populaires vers les produits qu’ils ont à vendre, joue un rôle capital dans notre civilisation. »

On dirait du Frédéric Bernays (lisez mon textes). Cerise sur le gâteau :

« On dirait que la civilisation moderne est incapable de produire une élite douée à la fois d’imagination, d’intelligence et de courage. Dans presque tous les pays, il y a une diminution du calibre intellectuel et moral chez ceux qui portent la responsabilité de la direction des affaires politiques, économiques et sociales. »

Notre penseur écrit sur l’apocalypse touristique dont la mission est essentiellement profanatrice, ensuite consumériste (il faut traîner, faire du hanging around) :

« L’attitude des touristes qui profanent les cathédrales d’Europe montre à quel point la vie moderne a oblitéré le sens religieux. L’activité mystique a été bannie de la plupart des religions. Sa signification même a été oubliée. À cet oubli est liée probablement la décadence des églises. »

Dans une société d’imbéciles, on ne propose pas des solutions. On les oublie. Carrel a aussi souligné le déclin qualitatif et quantitatif de nos populations :

« La France se dépeuple déjà. L’Angleterre et la Scandinavie se dépeupleront bientôt. Aux États-Unis, le tiers supérieur de la population se reproduit beaucoup moins rapidement que le tiers inférieur. L’Europe et les États-Unis subissent donc un affaiblissement qualitatif aussi bien que quantitatif… La civilisation occidentale ne s’est jamais trouvée en aussi grave péril qu’aujourd’hui. Même si elle évite le suicide par la guerre, elle s’achemine vers la dégénérescence grâce à la stérilité des groupes humains les plus forts et les plus intelligents. »

On le laisse conclure !

« Il faut nous lever et nous mettre en marche. Nous libérer de la technologie aveugle. »

Tel quel !

Terminons. Je sais qu’on peut lui reprocher ici et là quelques phrases (Carrel est notamment russophobe, comme nos élites, mais il a l’excuse de la peur du stalinisme). Mais avant de lui jeter la première pierre, on relit son Nietzsche :

« Les historiens naïfs appellent “objectivité” l’habitude de mesurer les opinions et les actions passées aux opinions qui ont cours au moment où ils écrivent. C’est là qu’ils trouvent le canon de toutes les vérités. Leur travail c’est d’adapter le passé à la trivialité actuelle. Par contre, ils appellent “subjective” toute façon d’écrire l’histoire qui ne considère pas comme canoniques ces opinions populaires. »

Sources

Alexis Carrel — l’homme cet inconnu

Nietzsche — Deuxième considération (sur l’histoire)

Nicolas Bonnal — Céline, la colère et les mots (Avatar éditions) ; apocalypse touristique (Amazon.fr)




Mais au fait, qui est vraiment chez lui en Palestine ?

[Source : nice-provence.info]

Par Michel Lebon

La guerre entre les Sémites musulmans et les Sémites juifs, agite la Terre entière. Les Sémites chrétiens d’Orient ont été violemment éjectés de la région par les Sémites venus de la péninsule arabique(([1] Le terme « sémite » a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe. Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémites » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique.
Les sémites se caractérisent par leur appartenance à une même famille linguistique.
Par suite… quelle est la signification du terme « antisémite » ? )), au nom de leur nouvelle religion, l’Islam (qui signifie, rappelons-le : « soumission »). Les chrétiens sont priés toutefois de prendre parti dans ce conflit, même s’ils n’y participent pas directement… pour le moment.(([2] De langue sémite hébraïque, les Israéliens sont un peu plus de 7 millions, auxquels il convient d’ajouter la diaspora juive de 9 millions (source), ce qui fait un total de 16 millions.
Jésus était Galiléen, donc Palestinien et parlait le sémite araméen. Il a initié au Moyen-Orient la Chrétienté devenue la religion la plus répartie au monde avec 2,6 milliards, sous diverses composantes, dont 1,3 milliards de catholiques.
De langue sémite arabe, les musulmans sont évalués à 1,8 milliards de fidèles et développent un prosélytisme très actif.
Les Juifs représentent ainsi 0,06 % des Chrétiens et 0,08 % des musulmans. ))

[NDLR Pour être plus précis, la majorité des juifs actuels n’est pas d’origine sémite, mais khazare ou turco-mongole.]

Au-delà du fracas des armes sur la bande de Gaza, une autre guerre sévit dans le reste du monde : la guerre médiatique à coups de communiqués politiques, d’activités sur les réseaux sociaux et d’opérations sous faux drapeau. La désinformation et la manipulation sont élevées en œuvre d’art par ceux qui ont le pouvoir médiatique. C’est qu’il faut préparer la suite où tous les pays la planète devront avoir choisi leur camp.

Pour de nombreux Juifs, le pays palestinien ou l’État palestinien n’a jamais existé. Voici un exemple de ce qui circule activement sur les réseaux sociaux [source Petah Tiqwa, Hamerkaz, Israël] :

1) Avant le pays israélien moderne, il y avait un mandat britannique, pas un pays palestinien.
2) Avant le mandat britannique, l’Empire ottoman existait, pas l’État palestinien.
3) Avant l’Empire ottoman, il y avait un État complètement islamique d’Égypte, pas l’État palestinien.
5) Avant l’empire de Jobid, il existait le Royaume chrétien de Jérusalem, pas l’État palestinien.
6) Avant le royaume de Jérusalem, il y avait des empires Omayad et Fatimide, pas l’État palestinien.
7) Avant les empires de l’Umaid et de la Fatimide, il y avait l’Empire byzantin, pas l’État palestinien.
8) Avant l’Empire byzantin, il y avait l’Empire romain, pas l’État palestinien.
9) Avant l’Empire romain, l’État pieuvre existait, pas l’État palestinien.
10) Avant l’État de Shamansk, c’était un État slavkid, pas l’État palestinien.
11) Avant l’empire des Slavkids, l’empire d’Alexandre, la Macédoine existait, pas l’État palestinien.
12) Avant l’empire d’Alexandre de Macédoine, l’Empire perse existait, pas l’État palestinien.
13) Avant l’Empire perse, l’empire Babylone existait, pas l’État palestinien.
14) Avant l’empire de Babylone, il y avait des royaumes de Judée, et la Judée n’était pas l’État palestinien.
15) Avant les royaumes d’Israël et de Judée était le royaume d’Israël, pas l’État palestinien.
16) Avant le royaume d’Israël, il y avait une théocratie des tribus israéliennes, pas de l’État palestinien.
17) Avant la théocratie d’Israël vieille de dix ans, il y avait une agglomération de villes cananéennes indépendantes, pas l’État palestinien.

La répétition n’y changera rien, car il existe une Palestine qui remonte à bien avant l’existence très éphémère de l’empire des rois David et Salomon (quelques dizaines d’années, il y a… 3 000 ans !). Qu’on le veuille ou non, la Palestine est bien là, depuis des millénaires :

Les peuples palestiniens
à l’époque de Jésus, le Galiléen

Toutes les peuplades qui se sont succédé dans cette région habitaient la Palestine. À ce titre, elles étaient toutes palestiniennes.

Mais avant les Palestiniens, il y avait là les Philistins qui ont donné le nom à cette région. Palestine vient de Philistin. Lesquels Philistins, incirconcis, venaient probablement de Crête. Ils n’étaient donc ni juifs, ni arabes, ni même sémites.

Quel peuple d’aujourd’hui est alors légitime sur ces terres ? Pas plus les uns que les autres !

La Palestine est donc condamnée à cet affrontement de civilisation. Cela fait 70 ans que ça dure, depuis la création sur une terre palestinienne de l’État israélien afin d’offrir un territoire aux Juifs de la Diaspora. Mais on n’a pas créé dans le même temps un État pour les populations sémites locales, donc palestiniennes. Ainsi est né le conflit entre les Sémites juifs et les Sémites musulmans. Cette guerre « israélo-palestinienne » est mal nommée. Dès le départ, c’est une guerre palestinienne de religion. S’appuyant sur cette légitimité étatique toute fraîche, les Sémites juifs ont grignoté les territoires des Sémites musulmans.

Le grignotage méthodique des terres « palestiniennes » par Israël :

Ce conflit s’est exporté. Tous les musulmans prennent spontanément parti pour les Palestiniens musulmans. Et bien tendu toute la diaspora juive prend parti pour Israël. Afin de « faire le poids » face aux presque deux milliards de musulmans, le « camp » juif s’efforce d’entraîner à sa suite l’Occident, anciennement chrétien, qui est sommé de prendre parti pour Israël sous peine d’être traité d’antisémite, ce qui n’a pas de sens.

S’il faut rendre telle ou telle région du monde à tel autre pays, au prétexte que dans l’Histoire avec un grand H, il en fut l’occupant antérieur, c’est la Terre entière qu’il faut politiquement redessiner. On n’est pas sorti de l’auberge.
• C’est toute l’Amérique qu’il faut rendre aux primo-occupants en créant des États sioux, algonquin, osage, apache, inca, etc. Mais avant ceux-ci, qui y avait-il ?
• C’est l’Algérie qu’il faut rendre aux Pieds noirs qui ont créé ce pays qui n’existait pas avant eux.

• C’est l’Afrique, découpée artificiellement par la colonisation européenne en méridiens et parallèles, qu’il faut rendre aux Bamilékés, Bantous, Pygmées, etc.
• C’est, tant qu’on y est, rendre l’Auvergne à la diaspora des Bougnats devenus marchands de vins et charbons, en leur créant un État arverne.

Halte au feu ! Revenons à nos moutons, chameaux et autres phacochères. Pour la Palestine, il n’y aura pas d’autre solution qu’un compromis, de gré ou de force, imposé par la communauté internationale.
Si on part du modèle westphalien « Un peuple, un territoire »(([3] Plus d’information : Le traité de Westphalie de 1648 : Acte juridique fondateur de l’Europe politique moderne ? )):
• ou bien on considère que les Sémites forment un peuple multiconfessionnel, et on crée une grande Palestine. Cependant, je doute que ces gens qui se sont étripés puissent un jour vivre ensemble.
• ou bien on considère que les Sémites juifs, les Sémites chrétiens et les Sémites musulmans forment trois peuples distincts, et on crée les États-Unis de Palestine, avec trois États indépendants (Chrétien, Musulman, Juif) dont les territoires seraient proportionnels aux populations respectives et dont la capitale fédérale serait Jérusalem sanctuarisé.




5 idées reçues sur les personnes qui vivent autrement

[Source : toitsalternatifs.fr]

Les idées reçues sur les personnes qui vivent autrement sont nombreuses. Beaucoup pensent que la vraie vie c’est forcément cette vie sédentaire où le bonheur se mesure aux possessions matérielles. Travailler pour gagner de l’argent, afin d’acheter une grande maison ou une belle voiture et montrer toute sa réussite sociale. C’est le mode de vie que nous impose le modèle capitaliste.

C’est un mode de vie qui convient à beaucoup, mais ce n’est pas le seul mode de vie qui existe. Pourtant, ceux qui font le choix de vivre de manière alternative sont mal vus par la société. De nombreuses idées reçues sur les personnes qui vivent autrement circulent.

VOICI 5 IDÉES REÇUES SUR LES PERSONNES QUI VIVENT AUTREMENT

1 — CEUX QUI VIVENT DE MANIÈRE ALTERNATIVE SONT ASOCIAUX

@vandogtraveller.com témoignage à lire ici

C’est l’une des idées reçues les plus répandues sur les personnes qui vivent autrement. Il y a ce mythe persistant qui consiste à dire que ceux qui vivent en dehors de la société vivent isolés au fond des bois. Pourtant, vivre autrement ne veut pas forcément dire s’isoler de tout. Bien au contraire, la plupart des gens qui choisissent un mode de vie alternatif le font pour recréer des rapports humains plus forts. Il y a ainsi différentes manières de vivre autrement et d’avoir une vie sociale épanouie :

  • Il y a les personnes qui vivent sur les routes, en Tiny House, en Van, camping-car ou camion aménagé. Ces nomades rencontrent continuellement du monde sur les routes et s’enrichissent du vécu de chaque personne qu’ils croisent.
  • Il y a aussi les communautés construites pour mieux partager ensemble les moments du quotidien

Et on peut tout aussi bien habiter dans un village, aller travailler, tout en optant pour une maison écologique, une yourte, et pourquoi pas une cabane.

2 — LES PERSONNES QUI VIVENT AUTREMENT SONT DES UTOPISTES QUI « REVIENDRONT FORCÉMENT À LA RÉALITÉ UN JOUR OU L’AUTRE »

Depuis notre naissance nous sommes tous conditionnés pour suivre un seul mode de vie : étudier, trouver un travail, économiser et emprunter de l’argent pour s’acheter une maison, avoir des enfants, les envoyer à l’école, et ainsi de suite… jusqu’à la retraite. Pourquoi notre vie devrait suivre un modèle unique, soi-disant parfait ?

Par revendication écologique, pour réduire leur impact sur l’environnement et/ou par envie de liberté, ces personnes qui vivent de manière alternative ont une autre conception de la vie. Beaucoup d’entre elles vivent ainsi, plus simplement, depuis plusieurs années, voire des dizaines d’années. Elles ont mis en place d’autres modèles économiques, écologiques, sociaux, qui fonctionnent. Encore trop peu médiatisés et trop souvent caricaturés, les modes de vie alternatifs sont pourtant tout à fait viables sur le long terme.

@Communauté de Longo Maï témoignage à lire ici

3 — LES PERSONNES QUI VIVENT EN COMMUNAUTÉ SONT DES ILLUMINÉS

C’est l’une des autres idées reçues parmi les plus tenaces : ceux qui vivent en communauté sont des illuminés guidés par des gourous fanatiques et/ou des préceptes d’un autre âge.

Pourtant, la grande majorité des communautés sont simplement composées de familles, de couples, de célibataires, de personnes de tous âges, qui ont simplement fait le choix de vivre dans un environnement qui leur convient davantage.

Entourés de personnes qui ont les mêmes idéaux et la même volonté de changer les choses, ils aspirent à un monde plus humain, plus solidaire et plus respectueux de l’environnement. Est-ce si fou que cela de vouloir un monde meilleur et d’agir pour cela ?

4 — CEUX QUI VIVENT DE MANIÈRE ALTERNATIVE SONT DES PROFITEURS

Beaucoup demandent « Mais comment font-ils pour vivre financièrement ? Encore des profiteurs qui vivent de l’aide sociale ?! »

Pourtant, vivre de manière alternatif ne veut pas dire ne pas travailler.

Déjà, il faut savoir que vivre autrement c’est souvent faire le choix de vivre plus simplement. Donc quand on vit plus simplement, on réduit nos besoins.

Pour subvenir à ses besoins, il y a toujours le système D : le troc de livres, de jouets, de vêtements par exemple pour les enfants. Cultiver ses propres fruits et légumes. Faire du wwoofing(([1] NDLR Voir par exemple https://wwoof.ca/fr/)) (aide dans des exploitations agricoles en échange de nourriture et d’un lit)…

Aujourd’hui il est aussi possible de travailler à distance, grâce à une bonne connexion internet. On peut être graphiste, programmeur, photographe…

Et enfin, on peut toujours travailler en tant que saisonnier. S’arrêter quelques semaines, gagner suffisamment d’argent et reprendre sa liberté.

5 — CES PERSONNES IMPOSENT LEUR MODE DE VIE À LEURS ENFANTS

Quand on décide de vivre autrement et qu’on est en famille, on entraîne forcément ses enfants dans son mode de vie. C’est vrai.

Mais, si on y réfléchit bien, c’est tout autant le cas des personnes sédentaires qui vivent au rythme du métro-boulot-dodo. Dans tous les cas on impose à nos enfants nos différents modes de vie. On impose aux enfants le rythme scolaire : les amener à l’école tôt le matin, les récupérer tard le soir. On leur impose de ne pas voir leurs parents de la journée, car il faut bien travailler pour payer les factures, la nouvelle voiture, la nounou…

@ Les 4 farfelus — Uneviesurlaroute.com témoignage à lire ici

Vivre autrement ne fait pas de vous des irresponsables. Les personnes qui adaptent un autre mode de vie donnent aussi une éducation à leurs enfants, en faisant par exemple l’école à la maison, ou en faisant voyager leurs enfants au bout du monde. Les enfants apprennent tout aussi bien, à leur rythme, rencontrent d’autres enfants, sociabilisent, apprennent différentes langues. Souvent, les parents demandent l’avis des enfants, s’adaptent à leur rythme.

@Yann et Eve Massart témoignage à lire là

Chaque mode de vie a ses avantages et ses inconvénients, il n’y en a pas un meilleur que les autres. Mais le modèle qu’impose la société actuellement n’est pas le seul modèle qui existe et c’est à vous de choisir celui qui vous convient le mieux.

On espère que cet article sur les idées reçues sur les personnes qui vivent autrement a mis un terme à la mauvaise image qu’on peut se faire sur les vies alternatives.

EN SAVOIR PLUS




Le Great Reset résumé en moins de 6 minutes

[Source : Le Déclencheur]

Un citoyen de la ville d’Aurora est ovationné après son intervention lors du Conseil municipal. Il évoque tous les rouages de l’agenda 2030, l’intrusion du WEF au sein de gouvernements, les #smartcities (villes de 15 minutes), le contrôle total via le revenu universel, la monnaie numérique, les objets connectés, la fin de la propriété, etc.

[NDLR SMART = Self-Monitoring Analysis and Reporting Technology
(littéralement : Technique d’Auto-surveillance, d’Analyse et de Rapport)]






Détruite par Titus en 70, Jérusalem a été reconstruite par l’empereur romain Hadrien

[Source : cairn.info]

[Source illustration : Exploring Aelia Capitolina, Hadrian’s Jerusalem FOLLOWING HADRIAN]

Par Caroline Arnould-Béhar

Un peu plus d’un demi-siècle après sa destruction par Titus en 70, Jérusalem a fait l’objet d’une fondation coloniale avec installation de vétérans ou deductio. Le nom de Colonia Aelia Capitolina qui lui est alors accordé traduit la volonté de son fondateur, l’empereur Hadrien, de la transformer en une cité païenne en la plaçant sous le patronage du grand dieu capitolin. Cette fondation s’inscrit dans le cadre de mesures prises par les autorités dans la province de Judée et dont font partie le réaménagement du réseau routier et l’installation d’une seconde légion.

La découverte récente de monnaies frappées à Aelia Capitolina dans une grotte occupée lors de la révolte de Bar Kokhba confirmerait que la fondation de la colonie avait précédé le déclenchement de la révolte1. La chronologie des événements a longtemps fait l’objet d’une controverse en raison des contradictions entre les témoignages de Dion Cassius et d’Eusèbe de Césarée2. L’on admet maintenant que, suivant les indications fournies par le premier de ces auteurs, Hadrien aurait fondé la colonie lors de son séjour en Judée en 130 apr. J.-C. Sa décision aurait été l’un des facteurs conduisant au soulèvement mené par Bar Kokhba3. Le caractère particulier de cette colonie qui constitue en même temps un camp légionnaire, celui de la legio X Fretensis, a bien souvent été souligné. Dans la région et pour cette période, seule la cité de Bosra, en Syrie du Sud, partage cette particularité.

Dans cette contribution, nous nous proposons, à partir de l’examen des traces matérielles, d’apprécier l’impact de la décision d’Hadrien — décision administrative et symbolique — sur le plan et les aménagements de Jérusalem. Le changement de statut de la ville s’est-il accompagné d’un remodelage de son espace ?

L’extrême diversité des restitutions du plan d’Aelia Capitolina révèle une situation marquée par la pauvreté de la documentation. Les sources littéraires sont peu abondantes et de rédaction tardive. Le Chronicon Paschale qui contient la seule description un peu détaillée de la Jérusalem d’Hadrien, remonte ainsi au VIIe siècle4. La rareté du matériel archéologique et épigraphique s’explique principalement par la densité et la continuité de l’occupation de Jérusalem et se vérifie à peu près à toutes les périodes de l’histoire de la ville. Seule la documentation numismatique est abondante et bien étudiée, ce qui a souvent amené à sa surexploitation5. La pénurie des données, en particulier celles issues de l’archéologie, est l’une des raisons pour lesquelles les aspects urbanistiques ont été largement négligés dans l’étude d’Aelia Capitolina. Jusqu’à l’article récent d’Y.Z. Eliav6 qui, bien que centré sur le problème de la place du mont du Temple dans la cité, a engagé une discussion sur le plan et la conception de celle-ci, la principale question d’ordre topographique était celle de la localisation du camp légionnaire.

Même s’il reste peu épais, le dossier archéologique s’est étoffé au cours des quinze dernières années par de nouvelles découvertes sur le terrain, comme celles d’un complexe industriel de la Xe légion dans le quartier de Givat Ram. Mais surtout, la poursuite de la publication d’importantes fouilles telles que celles de B. Mazar au sud-ouest du mont du Temple ou celles de N. Avigad dans le quartier juif de la Vieille Ville, la récente publication du corpus épigraphique d’Aelia Capitolina7 et de nouvelles études consacrées à des monuments ou à un matériel connu depuis une époque ancienne8 constituent une réelle avancée de la recherche, permettant de procéder à une analyse plus fine de l’organisation de l’espace urbain.

Positions concernant la relation entre Aelia Capitolina et la Jérusalem hérodienne

L’historique de la recherche fait apparaître l’absence de consensus à propos du plan d’Aelia Capitolina9. Deux théories principales ont vu le jour. Selon la première, ses limites correspondraient grossièrement à celles de la Vieille Ville ottomane de Jérusalem — à peu près celles de la ville hérodienne — tandis que la seconde exclut la partie orientale de cette dernière. La colonie n’aurait occupé que les collines nord et sudoccidentales. Cette hypothèse est aujourd’hui la plus largement partagée10. Quelques schémas différents des précédents ont été proposés. La restitution de D. Bar11 laisse en dehors du périmètre urbain toute la partie sud de la Vieille Ville comme celle de J. Magness12 qui, de plus, place la limite septentrionale de la ville à plusieurs centaines de mètres au nord de l’enceinte de la Vieille Ville.

Au-delà du plan, ces restitutions révèlent différentes conceptions des auteurs quant à la relation entre la ville hérodienne et Aelia Capitolina13. Deux prévalent. La première est celle de la superposition et de l’oblitération. Elle apparaît dans les écrits de la plupart des auteurs restituant le périmètre d’Aelia Capitolina selon les contours de la Vieille Ville. Ces auteurs partent de l’idée que Jérusalem fut totalement rasée en 70 apr. J.-C. et que les concepteurs de la nouvelle colonie construisirent à son emplacement une ville de novo selon les principes de l’urbanisme gréco-romain. Le caractère symbolique de cette fondation est pour eux prédominant. Cette position est défendue par K. Kenyon : « … Hadrian’s decision to obliterate Jerusalem by the establishment of a Roman city on top of it… »14, comme par L. H. Vincent : « … il ne s’agissait plus d’une transformation de la ville ancienne. Dans la plus stricte mesure où ces sortes de substitutions sont réalisables, Jérusalem avait été abolie pour faire place à une ville de caractère tout autre, fondée avec ses rites propres et organisée suivant les exigences d’une civilisation absolument différente »15. L’idée d’un remodelage est souvent implicite, comme chez D. Bahat : « Under Hadrian a typical Roman city was planned… »16. La seconde conception est celle du déplacement. Les restitutions laissant à l’écart la partie orientale de la Vieille Ville s’accordent avec l’idée d’une importante mutation dans l’organisation de la ville, à savoir le déplacement de son centre administratif et religieux. La colline nord occidental aurait constitué le nouveau centre tandis que le mont du Temple et la colline orientale, l’ancien cœur de Jérusalem, auraient été abandonnés. L’idée est celle d’une totale restructuration de l’espace urbain. Celui-ci n’est plus appréhendé en termes de colline orientale et de colline occidentale, mais selon la nouvelle division reconnue : celle d’une zone nord affectée à la vie municipale et une zone sud attribuée à la légion. Y. Z. Eliav est celui qui a le mieux développé cette théorie, que l’on voit apparaître déjà dans le second article de Germer Durand consacré au sujet : « … ils ont laissé en dehors de leur colonie toute la cité primitive… C’est une véritable transposition […]. Cette remarque fait toucher du doigt l’illusion de ceux qui pensent retrouver debout quelques restes de la ville du temps des Hérodes… »17. Le point de vue de Y. Z. Eliav a été adopté par N. Belayche, qui indique à propos de la topographie : « nor did Jerusalem and Aelia Capitolina have very much in common in this respect either, as the town centre and its main point of reference had been moved »18. Ces deux auteurs envisagent la mutation comme étant un véritable déplacement du site et les parallèles avec les oppida gaulois sur lesquels ils s’appuient sont à cet égard très révélateurs19. Ils l’expliquent toutefois de manière différente. Pour Y. Z. Eliav, il s’agirait de raisons pragmatiques, la difficulté à évacuer les débris du complexe du temple tandis que N. Belayche y voit un motif idéologique20.

Les historiens d’Aelia Capitolina ont privilégié la reconstitution comme approche méthodologique, se basant sur les sources écrites, en particulier le Chronicon Paschale, ou, plus généralement, sur le modèle théorique de la colonie romaine21. Le plan et l’aspect de villes contemporaines de statuts identiques sont utilisés pour compenser l’absence de vestiges. C’est de cette manière qu’Aelia Capitolina s’est trouvée dotée, par exemple, d’un tétrapyle ou d’un nymphée dont aucune trace n’a été décelée. Elle est appréhendée comme une cité nouvelle, présentant une organisation, des cultes et un urbanisme sans rapport avec ce qui était avant sa fondation. L’idée d’un héritage, d’une continuité n’ont pas été envisagés. Cette restitution d’une ville aménagée selon un plan et des principes d’urbanisme totalement nouveaux nous semble mal s’accorder avec les circonstances historiques. Elle part du postulat que Jérusalem fut en 70 apr. J.-C. complètement détruite, ce qui a été remis en question, et occulte par ailleurs le fait que la ville était en contact depuis une période déjà ancienne avec les traditions gréco-romaines en matière d’architecture et d’urbanisme. Il semble qu’on ait aussi peu tenu compte de la topographie très contraignante ne permettant pas l’application de schémas qui convenaient à des sites de plaine. Une autre option nous semble donc devoir être proposée, à titre d’hypothèse de travail : celle de la continuité. Celle-ci pourrait se traduire par la romanisation de l’espace et sa paganisation sans qu’il y ait de remodelage, de nouvelle structuration de l’espace urbain.

L’hypothèse d’un abandon de la partie orientale de la ville hérodienne

Malgré toutes les difficultés relatives à l’exploitation du dossier archéologique, certaines questions peuvent faire l’objet d’un nouvel examen. L’une des principales difficultés réside dans l’imprécision des datations qui permet difficilement de dégager les différentes phases d’aménagement. Le problème de l’intégration de la partie orientale de la ville hérodienne, correspondant en partie au site de la Jérusalem des origines, constitue le point central autour duquel s’articule la problématique de la relation entre la colonie et la ville précédente. Nous nous intéresserons successivement au mont du Temple, au secteur nord-est et à la colline orientale (fig.1).

LE MONT DU TEMPLE

L’exclusion du mont du Temple représenterait une véritable rupture dans l’histoire urbaine de Jérusalem dans laquelle il a toujours occupé une place prééminente. Elle constituerait également une indication d’une transformation majeure dans l’organisation de l’espace de la ville, visant à déplacer et peut-être à regrouper les lieux de la vie publique. Son intégration attesterait au contraire d’une forme de continuité par rapport à l’ancienne Jérusalem et de la conservation d’une formule urbanistique orientale, dans le cas où cet espace ait gardé sa fonction religieuse. La question de l’intégration du mont du Temple se double en effet d’une autre qui est celle de son affectation.

Les témoignages archéologiques sont extrêmement pauvres et cela est parfois vu comme une preuve de l’inoccupation du site à la période en question. Aucun aménagement ou réparation ne peut être attribué à cette période, tandis que l’on a constaté les traces d’un démantèlement, celui de l’escalier de l’arche de Robinson, intervenu dans les années soixante-dix22. En conclure à un abandon du site est toutefois hâtif. D’une part, les techniques d’appareillage et de parement des pierres employées à l’époque d’Aelia Capitolina ne présentent pas de caractéristiques qui permettraient de les reconnaître dans une construction et rien n’autorise en conséquence à affirmer qu’aucune des assises du mur de soutènement de l’esplanade du Temple ne date de cette période23. D’autre part, sur l’esplanade ou en remploi dans la construction des mosquées, se trouvent plusieurs chapiteaux qui sont clairement d’époque romaine (IIe – IIIe siècles). Dans le catalogue établi par J. Wilkinson24, dix chapiteaux corinthiens et deux chapiteaux composites sont datés de cette période25. Tous sont en marbre. Le plus ancien d’entre eux pourrait, selon l’auteur, remonter au règne d’Antonin le Pieux26. La présence de ces fragments architecturaux atteste qu’une activité de construction, dont on ne peut préciser ni la nature ni l’ampleur, a bien eu lieu à la période évoquée.

L’existence d’aménagements près de l’angle sud-ouest de l’esplanade du Temple, en contrebas de celle-ci, constitue un autre argument en faveur de l’occupation du site. Il s’agit principalement d’une structure identifiée comme une boulangerie et de thermes dont la date de construction est mal assurée, mais qui semblent avoir fonctionné durant les périodes romaine et byzantine. Plus à l’est, une vaste salle souterraine dans laquelle se trouvaient plusieurs figurines de terre cuite aurait eu une fonction cultuelle. La datation à la fin du IIIe, début du IVe siècle de ces terres cuites du type dit de Beit Natiff permet de dater l’utilisation de l’installation27. Le matériel retrouvé dans ce secteur est abondant au regard de l’ensemble des vestiges se rapportant à Aelia Capitolina. Il se compose d’éléments de statuaire, de monnaies, d’intailles, de lampes et de fragments de tuiles et de briques estampillées28. Il a été noté que plus de dix pour cent de l’ensemble des monnaies de la colonie avait été trouvé dans ces fouilles, dont soixante-sept des soixante-neuf monnaies frappées dans la ville29. Une partie du matériel se rapporte à la période comprise entre la fondation de la colonie et la fin du IIe siècle. On note en particulier la présence de monnaies frappées sous les règnes d’Hadrien, d’Antonin le Pieux et de Marc-Aurèle30. Parmi les premières figure une monnaie frappée à Aelia Capitolina et portant sur l’avers l’effigie d’Hadrien et sur le revers la représentation de la cérémonie de fondation de la colonie31. Certains des fragments de briques portant l’estampille de la Xe légion32, de même que quelques-unes des intailles et des lampes à huile appartiennent également à cette période, témoignant de l’occupation de ce site déjà dans la première phase d’existence d’Aelia Capitolina. L’abondance des trouvailles comme la durée d’occupation du quartier suggère son importance. Elle explique sans doute le rôle majeur accordé à la Voie de la Vallée qui le borde à l’ouest, rôle que l’on peut déduire de l’orientation de la porte nord de la colonie, actuellement visible sous la Porte de Damas33. Il paraît peu vraisemblable, d’un point de vue défensif, que ce quartier se soit développé alors que l’ancienne esplanade du Temple qui le surplombe était inoccupée. B. Mazar, s’appuyant sur le grand nombre de tuiles et de briques estampillées de la légion, a suggéré qu’il ait été de nature militaire. E. Mazar va plus loin, développant l’idée que le camp de la Xe légion occupait cette zone ainsi que le mont du Temple34. L’hypothèse de la localisation du camp légionnaire sur le mont du Temple n’est pas nouvelle. Elle a été proposée notamment par B. Isaac et repose sur la remarque de l’avantage stratégique qu’offrait le site. Les deux questions auxquelles renvoie cette hypothèse, la localisation du camp légionnaire et celle du temple capitolin, ont été les plus débattues dans l’histoire de l’étude d’Aelia Capitolina35. Nous nous contenterons de remarquer que le caractère raffiné des chapiteaux de colonnes s’accorde mal avec l’idée de bâtiments légionnaires.

LE SECTEUR NORD-EST

La théorie de l’exclusion du secteur s’étendant au nord-est du mont du Temple repose sur l’identification de l’arc de l’Ecce Homo (fig. 2) comme une porte de ville.

La position de cet arc monumental presque dans l’axe du mur occidental de l’enceinte du Temple, au nord de celui-ci, a conduit Y.Z. Eliav à reconnaître dans la ligne qu’ils auraient formé le tracé de la limite orientale d’Aelia Capitolina.

Plusieurs remarques permettent d’affirmer que l’Ecce Homo n’a pas été conçu comme l’une des portes de la colonie36. La première est celle de l’absence de caractère prestigieux dans son architecture. L’arc est en particulier dépourvu d’un ordre d’encadrement et d’angle, ce qui est exceptionnel et laisse supposer l’absence d’attique. Sa construction est peu soignée et le traitement de ses moulurations, qui constituent son unique décoration, est d’une extrême sobriété. La seconde est liée à sa situation dans un site surplombé par le rocher de l’Antonia et marqué par des escarpes et massifs rocheux ce qui lui confère un rôle urbanistique mineur. L’un d’eux, aujourd’hui visible derrière le chevet de la chapelle de la Condamnation, se dresse à plusieurs mètres au-dessus du sol antique et dans l’axe de l’ouverture septentrionale de l’arc, ce qui empêche de restituer à l’est de celui-ci une voie qui lui serait d’une largeur égale. La présence de différents aménagements à l’est de l’arc s’oppose enfin à l’idée qu’il ait marqué la limite orientale de la cité, à moins que ceux-ci ne résultent d’une expansion postérieure à son érection, ce qui doit être vérifié37. Dans la proximité immédiate de l’Ecce Homo se trouvent en particulier deux structures, une citerne double et un dallage, dont la contemporanéité est à peu près certaine. Le couvrement de la citerne et la pose du dallage peuvent être attribués aux urbanistes d’Aelia Capitolina comme le laisse supposer l’habileté mise en œuvre face aux difficultés techniques que posaient l’utilisation du berceau incliné pour une section des voûtes et le raccordement des différentes sections38. Il est bien difficile de concevoir que cette importante citerne, couverte avec soin, et le pavement qui la recouvre, se soient trouvés à l’extérieur de la ville39. D’autres aménagements, moins importants, et quelques fragments architecturaux dont de hauts piédestaux à dé renflé datant de la deuxième moitié du IIe siècle ou du IIIe siècle, montrent par ailleurs qu’il s’agissait d’un espace aménagé même s’il reste difficile à restituer.

Sur le site de Bethesda, dans le quart nord-est de la Vieille Ville, se trouvent des restes de constructions attribués à un sanctuaire d’époque romaine. L’identification tôt proposée d’un asclepeion a renforcé pour certains historiens l’hypothèse d’un sanctuaire extra-muros40. La complexité de ce site, occupé sur une longue période, et l’état de la recherche le concernant, ne permettent pas actuellement d’avoir une idée précise des lieux à l’époque romaine41. Les témoignages les plus remarquables qui en proviennent sont les éléments sculptés identifiés comme des ex-votos. Parmi eux, le pied votif inscrit du nom de Pompeia Lucilia42 et deux fragments d’un relief portant la représentation probable d’un Sérapisagathodaimon dans un édicule couronné d’un fronton syrien43. Tous deux se rapportent à la période de la deuxième moitié du IIe siècle ou du IIIe siècle et attestent du culte rendu à Sérapis. En l’état des connaissances, il n’est pas possible d’affirmer que le sanctuaire existait dès l’époque de la fondation de la colonie, mais l’importance et l’ancienneté du culte de Sérapis permettent de le supposer. Une inscription datée du règne de Trajan atteste de son implantation à Jérusalem avant même la fondation d’Aelia Capitolina tandis que dans le monnayage de celle-ci, le dieu est présent dès le règne d’Hadrien et jusqu’au milieu du IIIe siècle qui marque la fin des émissions monétaires de la cité.

La chronologie de l’occupation de ce secteur nord-est de la ville hérodienne est mal assurée, mais il est clair que les différentes structures reconnues ont, dans une phase postérieure à celle de la fondation de la colonie, cohabité.

LA COLLINE ORIENTALE

La colline orientale de Jérusalem, appelée aussi Cité de David, est le site occupé par le premier établissement urbain et le siège du pouvoir de la ville pré-exilique. Les traces d’occupation de la période d’Aelia Capitolina sont très peu nombreuses. Dans les fouilles qu’il a conduites en plusieurs points du site, Y. Shiloh n’a trouvé qu’une très faible quantité de poterie correspondant à ce niveau et dans un seul de ses chantiers44. Une activité de faible ampleur est attestée dans le secteur du Cédron en travers duquel un barrage aurait été placé. Derrière lui, les archéologues ont retrouvé une poterie abondante45. L’abandon de la piscine de Siloe a été constaté par D. Adan (Bayewitz) qui place la fin de son utilisation en 7046. Quelques vestiges subsistent dans la partie septentrionale de la colline, sur l’Ophel. En dehors de la salle souterraine évoquée plus haut, on peut signaler les sièges d’un édifice de spectacle employés dans un second temps pour former des éléments de latrines47. L’une des deux utilisations pourrait remonter à la période d’Aelia Capitolina.

Le tableau n’est en fait pas très différent de celui que présente ce quartier à la période hérodienne. Car, s’il est inclus dans le circuit des fortifications, il semble avoir été en partie inoccupé et les principaux aménagements sont concentrés dans le secteur de l’Ophel. Hérode le Grand, en construisant à l’ouest de la ville son palais royal, avait confirmé le déplacement du centre du pouvoir, probablement réalisé sous les Hasmonéens.

L’examen des traces matérielles amène à s’opposer à la restitution d’une ville amputée de sa partie orientale. Si la colline orientale paraît bien avoir été délaissée pour sa majeure partie, l’occupation de la zone s’étendant au sud-ouest du mont du Temple, qui ne peut être vu comme un quartier extra-mural, est bien l’indication d’une implantation dans cette partie. Il est de plus difficile de concevoir que ce quartier se soit développé à proximité immédiate de l’esplanade de l’ancien Temple sans que celle-ci ait elle-même abrité une activité, qu’elle ait été cultuelle ou autre (administrative ?). La conservation de chapiteaux réalisés en marbre, matériau d’importation, confirme l’existence d’un bâtiment de caractère prestigieux. Au nord du mont du Temple, dans le quart nord-est de l’ancienne ville, des aménagements majeurs ont vu le jour. Aucun d’eux ne peut toutefois être attribué sûrement à l’époque de la fondation de la colonie et il n’existe en conséquence pas de preuve que son organisation résulte d’un programme mis en œuvre dès l’origine.

L’arc de la Porte de Damas et la limite septentrionale d’Aelia Capitolina

L’arc à trois baies encadré de tours que surmonte la porte de Damas percée dans la muraille ottomane est l’un des seuls vestiges — peut-être le seul — de la fondation d’Aelia Capitolina (fig. 3). L’analyse de ses caractères architecturaux et décoratifs permet en effet de placer sa construction à cette époque48.

Ce monument, qui fait la synthèse entre le type de la porte défensive auquel il emprunte son plan et ses tours, et l’arc honorifique dont il possède la valeur décorative, marquait la limite septentrionale de la colonie. Bien qu’étant encadré de tours dont le plan est issu de l’architecture militaire, il n’était pas à l’origine relié à une muraille et pourrait s’être vu accorder la valeur symbolique de celle-ci en son absence. Son plan et sa situation lui confèrent un rôle urbanistique majeur, celui d’organiser l’espace dans un secteur important de la nouvelle ville. La place sur laquelle il ouvrait donnait naissance aux deux voies principales que l’on peut restituer, la « voie de la Vallée » suivant la vallée du Tyropeon et le nouveau cardo que l’on suppose avoir été créé à cette époque malgré l’absence de données archéologiques. La construction de cet arc monumental correspond donc à un projet de grande ampleur probablement lié au programme urbanistique mis en œuvre à la fondation de la colonie. Sa situation constitue une indication supplémentaire de l’occupation de la partie orientale de la ville vers laquelle elle est orientée.

L’hypothèse d’une continuité dans l’organisation de l’espace urbain d’Aelia Capitolina

L’intégration du mont du Temple dans les limites définies pour la colonie est la marque la plus évidente de la continuité avec la ville précédente dont on a gardé la structuration. D’autres éléments de l’ancien urbanisme ont été conservés. La porte nord de la colonie a été érigée à l’emplacement exact d’une porte dont les assises inférieures d’une tour subsistent et que l’on peut attribuer à la période hérodienne. D’importantes divergences subsistent quant au tracé du « troisième mur » évoqué par Flavius Josèphe et qu’aurait édifié Agrippa Ier au milieu du Ier siècle apr. J.-C. Pour une partie des historiens de Jérusalem, que nous suivons, il correspondrait à celui de la muraille ottomane, et la porte nord d’Aelia Capitolina se trouverait ainsi placée exactement sur la ligne de l’enceinte de la ville du Ier siècle49. La remarque de la conservation de la « voie de la vallée » dans l’urbanisme de la colonie est un autre exemple de continuité. On remarquera que son tracé non rectiligne s’oppose à la restitution d’un plan hippodamien, en tous cas pour l’ensemble de la ville50.

Certaines constatations vont toutefois dans le sens de l’adoption d’une nouvelle planification. En premier lieu, la conception d’une ville ouverte est totalement nouvelle. Les données archéologiques, provenant en particulier des travaux réalisés en différents points du mur nord de la Vieille Ville, montrent que la colonie n’a pas été fortifiée, du moins pas avant la fin du IIIe siècle51. L’affectation de certains quartiers pourrait avoir changé. S’il est avéré, le lien entre celui se développant au sud-ouest du mont du Temple et la légion en serait un exemple. Au nord-est de la ville, le site de Bethesda pourrait également avoir été le cadre d’une transformation. En dépit de l’interprétation traditionnelle qui reconnaît pour cette période la présence d’un sanctuaire, il nous semble que les trouvailles se rapportant à l’époque du Ier siècle avant – Ier siècle après J.-C. orientent plutôt vers une activité domestique. Un espace cultuel aurait dans ce cas remplacé une zone d’habitations. Ces hypothèses sont à vérifier de même, bien sûr, que celles qui concernent l’emplacement du camp légionnaire. S’il est bien situé dans les limites de l’ancienne ville, son installation aura contribué de façon importante au remodelage de l’espace urbain. Il faut bien considérer pour le moment l’impossibilité de localiser et de restituer cet espace.

Au terme de cette étude très partielle de l’espace urbain d’Aelia Capitolina, nous sommes en mesure d’écarter la deuxième option reconnue, selon laquelle l’aménagement de la colonie répondrait à une totale restructuration de l’espace. Celle-ci se serait traduite par la suppression de la partie s’étendant à l’est du tracé du mur occidental de l’enceinte du Temple, et par une nouvelle division nord-sud, ce qui, nous l’avons vu, ne se vérifie pas. La première hypothèse, celle de l’oblitération de la ville hérodienne et de son remplacement par une cité d’un caractère tout autre, nous semble en partie infirmée par la mise en évidence d’éléments de continuité. La difficulté à restituer un plan hippodamien s’accorde mal avec cette hypothèse, de même que l’idée de l’apparition d’une parure monumentale gréco-romaine qui existait déjà au temps d’Hérode52. L’observation des vestiges révèle un développement progressif de la ville. Une partie importante des restes de constructions et du matériel découverts se rapporte à une période tardive, tandis que pour la période de fondation les témoignages architecturaux sont peu nombreux. Seule la porte septentrionale (Porte de Damas) aurait pu être construite sous le règne d’Hadrien auquel se rapporte aussi une dédicace monumentale53. Les principaux remodelages semblent par ailleurs devoir être mis en relation avec la présence de la Xe légion plutôt qu’être dus à l’initiative impériale, et tout semble indiquer qu’il n’y a pas eu de mise en œuvre d’un nouveau programme urbanistique à la fondation d’Aelia Capitolina.

L’étude de la documentation archéologique amène à corriger l’image rendue par les historiens d’une cité conçue comme une « petite Rome », image déduite principalement de son statut et des motivations idéologiques supposées de son fondateur. Elle révèle une situation complexe, faisant apparaître à la fois des éléments de continuité et de discontinuité et des transformations correspondant à différentes phases d’aménagement. Pour cette période mal documentée de l’histoire de Jérusalem, l’archéologie constitue un apport essentiel en palliant l’imprécision et le caractère tardif des sources littéraires.

Notes

1 Il s’agit de la grotte d’el-Jai située en Judée.

2 Dion Cassius, Historia Romana, LXIX 12,1-2; Eusèbe, Historia Ecclesiastica, IV, 6.

3 Sur cette question, voir H. Eshel, « The Date of the Founding of Aelia Capitolina », dans L. H. Schiffman et alii (sous la direction de), The Dead Sea Scrolls, Fifty Years after their Discovery, Jérusalem, 2000, p. 637-643 ; A. Kindler, « Was Aelia Capitolina Founded before or after the Outbreak of the Bar Kokhba War ? A Numismatic Evidence », Israel Numismatic Journal 14, 2000-2002, p. 176-179 et Y. Tsafrir, « Numismatics and the Foundation of Aelia Capitolina – A Critical Review », dans P. Schäfer (sous la direction de), The Bar Kokhba War Reconsidered, Texts and Studies in Ancient Judaism 100, Tü bingen, 2003, p. 31-36. Y. Tsafrir conteste l’interprétation de la découverte d’el-Jai. Il convient de rappeler que ce changement de statut n’est pas le premier dans l’histoire de Jérusalem, le précédent étant probablement survenu au IIe siècle avant J.-C. où la ville se serait vu accorder le titre de polis.

4 Certains auteurs doutent, raisonnablement nous semble-t-il, de la validité de cette description. C’est le cas de Y. Z. Eliav, « The Urban Layout of Aelia Capitolina : A New View from the Perspective of the Temple Mount », dans P. Schäfer (sous la direction de), The Bar Kokhba War, op. cit. note 3, p. 241-277 (cf. p. 248 note 20).

5 Le principal corpus est celui de Y. Meshorer, The Coinage of Aelia Capitolina, Jérusalem, 1989.

6 « Urban Layout… », op. cit. Il faut mentionner aussi les travaux de Y. Tsafrir qui ont fait l’objet d’une importante publication : « The Topography and Archaeology of Aelia Capitolina » dans Y. Tsafrir, S. Safrai (sous la direction de), The History of Jerusalem : The Roman and Byzantine Periods (70-638 CE), Jérusalem, 1999, p. 115-166 (en hébreu).

7 B. Isaac, « Inscriptions from Jerusalem after the first Revolt », dans Y. Tsafrir, S. Safrai (sous la direction de), History of Jerusalem…., op. cit., p. 167-179.

8 Comme celles des arcs monumentaux ou des intailles dont il sera question plus loin.

9 Dans sa première étude (« Aelia Capitolina », Revue Biblique (RB) 1,1892, plan p. 373), Germer Durand restitue les contours de la colonie identiques au tracé du rempart de la Vieille Ville. Mais dans son article publié quelques années plus tard, sa restitution laisse de côté toute la partie orientale de cette dernière : Echos d’Orient 7,1904, p. 67.

10 La première est encore défendue par H. Geva (« Jerusalem. The Roman Period », dans E. Stern (sous la direction de), The New Encyclopedia of Archaeological Excavations in the Holy Land, II, Jérusalem, 1993, p. 758-767 et Y. Tsafrir (« Topography… », op. cit. note 6).

11 « Aelia Capitolina and the Location of the Camp of the Tenth Legion », Palestine Exploration Quarterly (PEQ) 130,1998, p. 8-19.

12 « The North Wall of Aelia Capitolina », dans L.E. Stager et alii (sous la direction de), The Archaeology of Jordan and beyond. Essays in Honor of James A. Sauer, Studies in the Archaeology and History of the Levant 1, Winona Lake, 2000, p. 328-339.

13 La période hérodienne correspond du point de vue culturel au règne d’Hérode le Grand (37-4 av. J.-C.), de ses successeurs et des procurateurs de Judée jusqu’à 70 ap. J.-C., date de la destruction de Jérusalem par Titus.

14 Jerusalem, Excavating 3000 Years of History, New-York, 1967, p. 187.

15 L. H. Vincent, F. M. Abel, Jérusalem. Recherches de topographie, d’archéologie et d’histoire. II. Jérusalem nouvelle, 1-2, Paris, 1914, p. 1.

16 « Jerusalem », dans E. M. Meyers (sous la direction de), The Oxford Encyclopedia of Archaeology in the Near East, III, Oxford, 1997, p. 233.

17 Echos d’Orient 7,1904, p. 372.

18 Iudaea-Palaestina. The Pagan Cults in Roman Palestine (Second to Fourth Century), Religion der Rö mischen Provinzen 1, Tü bingen, 2001, p. 131. Voir aussi : N. Belayche, « Dimmenticare… Gerusalemme. Les paganismes à Aelia Capitolina du IIe au IVe siècle de notre ère », Revue des Etudes Juives, 158/3-4,1999, p. 287-348.

19 Y. Z. Eliav (« Urban Layout… », op.cit. note 4, p. 270-273) établit aussi un parallèle avec la cité de Flavia Neapolis pour l’établissement de laquelle les Romains ont effectivement procédé à un changement de site, abandonnant celui du mont Gerizim occupé par l’ancienne ville samaritaine.

20 Parmi les partisans de cette conception, en dehors de ceux cités plus haut, se trouvent B. Lifschitz, « Jérusalem sous la domination romaine. Histoire de la ville depuis la conquête de Pompée jusqu’à Constantin (63 a. C.- 325 p. C.) », Aufstieg und Niedergang der Rö mischen Welt, II, 8,1977, p. 484 et G. J. Wightman, The Walls of Jerusalem : From the Canaanites to the Mamluks, Mediterranean Archaeology Supplt 4, Sydney, 1993, p. 195-206.

21 La composition du chapitre que L. H. Vincent consacre à Aelia Capitolina (Jérusalem nouvelle, op. cit., note 15, p. 1-39) est de ce point de vue éloquente. L’auteur fait précéder l’examen de la documentation d’une partie consacrée à l’« organisation théorique d’une colonie militaire romaine ».

22 Ce qui est déduit de la présence d’une inscription gravée sur une pierre provenant de cet escalier. Cf R. Reich, Y. Billig, « Another Flavian Inscription near the Temple Mount of Jerusalem », Atiqot, 44,2003, p. 243-247.

23 Cette datation a d’ailleurs souvent été proposée, par exemple par L. H. Vincent (L. H. Vincent, M. A. Steve, Jérusalem de l’Ancien Testament. Recherches d’archéologie et d’histoire, II-III, Paris, 1956, p. 549) qui reconnaissait quatre assises de l’époque d’Aelia Capitolina dans la maçonnerie de la porte de Barclay. On rappellera l’ampleur des travaux réalisés au début de l’époque omeyyade pour l’aménagement de l’esplanade des mosquées, le Haram es-Sherif.

24 Column Capitals in al Haram al Sharif (From 138 A.D to 1118 A.D), Jérusalem, The Islamic Museum of al Haram al-Sharif, 1987.

25 L’un des chapiteaux corinthiens, orné de deux feuilles de lierre, a été remarqué par Y. Meshorer qui évoque un lien possible avec le culte de Dionysos (Coinage of Aelia Capitolina…, op. cit. note 5, p. 43-44).

26 Column Capitals, op. cit., no 37.

27 O. Pele, « Beit Natiff Figurines from the Temple Mount Excavations », dans E. Mazar, The Temple Mount Excavations in Jerusalem 1968-1978 directed by Benjamin Mazar, Final Reports vol. II, Qedem 43, Jérusalem, 2003, p. 248-254.

28 La publication finale des fouilles, dirigée par E. Mazar, est en cours.

29 Cf H. Gitler, « A Comparative Study of Numismatic Evidence from Excavations in Jerusalem », Liber Annuus (LA) 46,1996, p. 317-362.

30 Ces monnaies n’ont pas fait l’objet à ce jour d’une publication complète. Se reporter à D.T. Ariel, « A Survey of Coin Finds in Jerusalem (Until the End of the Byzantine Period) », LA 32, 1982, p. 273-326.

31 B. Mazar, The Excavations in the Old City of Jerusalem near the Temple Mount. Preliminary Report of the Second and Third Seasons 1969-1970, Jérusalem, 1971, pl. XXVIII/12.

32 B. Mazar, The Excavations in the Old City of Jerusalem. Preliminary Report of the First Season, 1968, Jérusalem, 1969, pl. XII/1 et 3 en particulier qui présentent les caractéristiques du IIe siècle énoncées par D. Barag (« Brick Stamp-Impressions of the Legio X Fretensis », Bonner Jahrbucher 167,1967, p. 244-267).

33 C. Arnould, « La porte de Damas (porte romaine) à Jérusalem : quelques questions d’urbanisme », RB, 106/1,1999, p. 101-111. L’affirmation de Y. Z. Eliav que la Voie de la Vallée jouait un rôle secondaire par rapport au cardo, la nouvelle voie nord-sud, nous semble infondée.

34 The Complete Guide to the Temple Mount Excavations, Jérusalem, 2002, p. 66-67. O. Peleg (« Roman Intaglio Gemstones from Aelia Capitolina », PEQ 135/1,2003, p. 54-69) établit un rapport entre l’iconographie des intailles trouvées sur le site et la légion.

35 Le Capitole est situé soit sur le mont du Temple soit sur le site occupé plus tard par le Saint-Sépulcre. Cf. entre autres J. Murphy-O’Connor, « The Location of the Capitol in Aelia Capitolina », RB, 101 /3,1994, p. 407-415.

36 Sur cet arc, voir C. Arnould, Les arcs romains de Jérusalem. Architecture, décor et urbanisme, Novum Testamentum et Orbis Antiquus 35, Fribourg-Gö ttingen, 1997, p. 9-147.

37 L’attribution de l’arc à Hadrien repose sur la fonction honorifique qui lui a été reconnue. Elle s’accorde mal avec ses caractères architecturaux et ornementaux, et sa construction serait plutôt à placer dans la seconde moitié du IIe siècle.

38 C. Arnould, Les arcs romains…, op. cit., p. 64-67 ; G. J. Wightman, « Temple Fortresses in Jerusalem. Part II : The Hasmonean Baris and Herodian Antonia », Bulletin of the Anglo-Israel Archaeological Society, 10,1990-91, p. 7-35.

39 La restitution d’un forum (souvent qualifié de « petit » ou de « secondaire ») à la sortie de la ville, largement diffusée depuis les travaux de P. Benoît (« L’Antonia d’Hérode le Grand et le forum oriental d’Aelia Capitolina », Exégèse et Théologie, IV, 1982, p. 311-346), est injustifiable.

40 Cf N. Belayche (« Iudaea-Palaestina… », op. cit. note 18, p. 164) et Y. Z. Eliav (« Urban Layout… », op.cit. note 4) qui notent que les asclepeia étaient souvent situés à l’extérieur des villes. Cette identification a d’abord été proposée par L. H. Vincent (Jérusalem nouvelle 4, Paris, 1926, p. 695).

41 On doit se référer à la publication de A. Duprez (Jésus et les dieux guérisseurs. A propos de Jean, V, Cahiers de la Revue Biblique 12, Paris, 1970) mais avec prudence en ce qui concerne les informations archéologiques, et au court rapport des fouilles ayant eu lieu dans les années cinquante et soixante : M. J. Pierre, J. M. Rousée, « Sainte Marie de la Probatique : état et orientation des recherches », Proche-Orient Chrétien 31,1981, p. 23-42. Les travaux plus récents qui ont eu lieu sur le site n’ont pas encore été publiés.

42 Conservé au musée du Louvre.

43 Conservé au musée de Sainte-Anne à Jérusalem. C. Arnould, « Le relief ‘‘au blé et au serpent’’ de Bethesda (Jérusalem) : étude iconographique », à paraître.

44 Le chantier H, ouvert au pied du versant occidental de la colline.

45 R. Reich, E. Shukron, « The History of the Gihon Spring in Jerusalem », Levant, 36,2004, p. 219-220.

46 « The ‘Fountain of Siloam’ and ‘Solomon’s Pool’in First-Century C.E. Jerusalem », Israel Exploration Journal (IEJ) 29,1979, p. 100.

47 R. Reich, Y. Billig, « A Group of Theatre Seats Discovered near the South-Western Corner of the Temple Mount », IEJ, 50,2000, p. 175-184.

48 C. Arnould, Les arcs romains…, op. cit., note 36, p. 242-246. Nous ne pouvons qu’être en désaccord avec Y. Z. Eliav lorsqu’il écrit à propos cet arc et de l’Ecce Homo : «… which share a similar architectonic style » (« Urban Layout… », op. cit., note 4, p. 254).

49 Voir sur le sujet les travaux de E. M. L. Laperrousaz, en particulier : « La troisième muraille antique de la ‘colline occidentale’ de Jérusalem », Syria, 75,1998, p. 97-105 et G. J. Wightman, « The Walls… », op. cit., note 20, p. 159-181.

50 Le terme de cardo secondaire souvent employé à son sujet est inadapté, son tracé n’étant pas parallèle à celui du cardo principal.

51 Sa fortification est généralement mise en rapport avec le départ de la légion, transférée à Aila. L’examen des résultats des fouilles amène à placer la construction de la muraille plutôt au IVe siècle.

52 Il existait en tous cas des édifices de spectacles : Flavius Josèphe indique qu’Hérode fit bâtir un théâtre et un amphithéâtre (Antiquités juives, XV, 268) et mentionne l’existence d’un hippodrome (Guerre des Juifs II, 44 et Antiquités juives XVII, 255). Il est possible qu’il y ait eu confusion et que les termes ????????????? et ???????????? désignent le même édifice.

53 Trouvée avec une autre plaque inscrite et des fragments architecturaux. La titulature d’Hadrien n’est pas complète. Cf. R. Savignac, « Inscription romaine et sépultures au nord de Jérusalem », RB, 1904, p. 90-98.




Le diabolique plan israélien pour éradiquer Hamas et raser Gaza et sa population de Gaza

[Source : Arrêt sur info]

[Illustration : la GBU-43/B MOAB/de fabrication américaine appelée « Mère de toutes les bombes » qu’Israël compte utiliser contre la population de Gaza selon Seymour Hersh]

Seymour Hersh révèle le diabolique plan israélien pour éradiquer Hamas et raser Gaza et sa population de Gaza.

Une semaine s’est écoulée depuis les terribles attaques du Hamas contre Israël, et les forces armées israéliennes ont donné une image claire et sans concession de ce qui les attend.

Au cours de la semaine écoulée, des jets israéliens ont bombardé 24 heures sur 24 des cibles non militaires dans la ville de Gaza. Des immeubles d’habitation, des hôpitaux et des mosquées ont été détruits, sans avertissement préalable ni effort pour minimiser les pertes civiles.


Par Seymour Hersh

À la fin de la semaine, les avions israéliens ont également largué des tracts indiquant aux habitants de la ville de Gaza et des zones environnantes au nord que ceux qui souhaitaient survivre feraient mieux de commencer à se diriger vers le sud — en marchant si nécessaire — sur une distance de 25 miles ou plus, jusqu’au poste-frontière de Rafah menant à l’Égypte. À l’heure où j’écris ces lignes, il n’est pas certain que l’Égypte, en proie à des difficultés financières, autorise le passage d’un million d’immigrants, dont beaucoup sont acquis à la cause du Hamas. À court terme, un initié israélien m’a dit qu’Israël essayait de convaincre le Qatar, qui, à l’instigation de Benjamin Netanyahu, était un soutien financier de longue date du Hamas, de s’associer à l’Égypte pour financer un village de tentes pour le million ou plus de réfugiés qui attendent de passer la frontière. « Ce n’est pas une affaire réglée », m’a dit l’initié israélien. Les responsables israéliens ont averti l’Égypte et le Qatar que sans site d’atterrissage, les réfugiés devront « retourner à Gaza ».

L’un des sites possibles, selon l’initié, est une parcelle de terre abandonnée depuis longtemps dans la partie nord de la péninsule du Sinaï, près du passage frontalier de Gaza, qui était le site d’une colonie israélienne connue sous le nom de Yamit lorsque la péninsule a été saisie par Israël après sa victoire lors de la guerre des Six Jours de 1967. La colonie a été évacuée et rasée par Israël avant que le Sinaï ne soit restitué à l’Égypte en 1982. Israël espère que le Qatar et l’Égypte se chargeront de la crise des réfugiés.

Le mépris manifeste d’Israël pour le bien-être des habitants de Gaza, au milieu de la migration forcée de plus d’un million d’êtres humains affamés, a attiré l’attention du monde entier et entraîné une condamnation internationale croissante, dont une grande partie vise Benjamin Netanyahou.

La prochaine étape doit donc intervenir rapidement. Voici ce que l’on m’a dit, au cours des conversations que j’ai eues ces derniers jours avec des responsables d’Israël et d’ailleurs, y compris des responsables avec lesquels j’ai traité en Europe et au Moyen-Orient depuis la guerre du Viêt Nam, au sujet du plan israélien d’élimination du Hamas.

Le principal problème pour les planificateurs de guerre israéliens est la réticence, malgré la mobilisation de plus de 360 000 réservistes, à s’engager dans une bataille de rue porte-à-porte avec le Hamas dans la ville de Gaza. Un vétéran des FDI, qui a servi à un poste élevé, m’a dit que la moitié de l’armée israélienne était engagée depuis plus de dix ans dans la protection du nombre croissant de petites colonies disséminées en Cisjordanie, où elles sont amèrement ressenties par la population palestinienne. « Les planificateurs israéliens ne font pas confiance à leur infanterie », a déclaré l’initié, ni à leur volonté d’aller à la guerre, mais à ce qui pourrait être un manque désastreux d’expérience du combat.

La population civile affamée étant contrainte de partir, le plan opérationnel israélien prévoit que l’armée de l’air détruise les structures restantes dans la ville de Gaza et ailleurs dans le nord. La ville de Gaza n’existera plus. Israël commencera ensuite à larguer des bombes de 5 000 livres de fabrication américaine, appelées « bunker busters » ou JDAM, dans les zones rasées où les combattants du Hamas sont connus pour vivre et fabriquer leurs missiles et autres armes sous terre. Une version améliorée de l’arme, connue sous le nom de GBU-43/B, décrite par les médias comme « la mère de toutes les bombes », a été larguée par les États-Unis sur un centre de commandement présumé d’ISIS en Afghanistan en avril 2017. Une première version de l’arme a été vendue à Israël en 2005, prétendument pour être utilisée contre les installations nucléaires présumées de l’Iran, et la version améliorée et guidée par laser a été autorisée à la vente à Israël par l’administration Obama il y a dix ans. Déjà à l’époque, m’a dit l’initié israélien, Netanyahou et ses conseillers avaient compris que le Hamas était dangereux, comme « un tigre en cage ». « Il vous mangera en une minute. »

Les planificateurs de guerre israéliens actuels sont convaincus, m’a dit l’initié, que la version améliorée des JDAM avec des ogives plus grandes pénétrerait suffisamment profondément sous terre avant d’exploser — trente à cinquante mètres — avec l’explosion et l’onde sonore qui en résulterait « tuant tout le monde dans un rayon d’un demi mille ».

Le nouveau plan israélien de sortie forcée signifie « qu’au moins les gens ne seraient pas tous tués ». Le concept, ajoute-t-il, remonte aux premières années de la guerre du Viêt Nam en Amérique, lorsque l’administration de John F. Kennedy a autorisé le plan stratégique du hameau, qui prévoyait la réinstallation forcée de civils vietnamiens dans des zones contestées vers des logements construits à la hâte dans des zones supposées être contrôlées par les Sud-Vietnamiens. Leurs terres désertées ont ensuite été déclarées zones de feu libre, où tous ceux qui restaient pouvaient être pris pour cible par les troupes américaines.

La destruction systématique des bâtiments restants dans la ville de Gaza commencera dans les jours qui viennent, a déclaré l’initié israélien. Les JDAM, qui détruisent les bunkers, pourraient venir ensuite. Ensuite, selon le scénario des planificateurs, l’infanterie israélienne sera affectée aux opérations de nettoyage : rechercher et tuer les combattants et les travailleurs du Hamas qui ont réussi à survivre aux attaques des JDAM.

À la question de savoir pourquoi les planificateurs israéliens pensaient que le gouvernement égyptien accepterait, même sous la pression de l’administration Biden, d’accueillir plus d’un million de réfugiés de Gaza, l’initié a répondu : « Nous tenons l’Égypte par le bout du nez : “Nous tenons l’Égypte par les couilles”. » Il faisait référence aux récentes inculpations de Robert Menendez, du New Jersey, et de son épouse pour corruption fédérale, en raison de ses relations d’affaires avec de hauts fonctionnaires égyptiens et de la transmission présumée de renseignements sur des personnes travaillant à l’ambassade des États-Unis au Caire. Abdul Fatta el-Sisi est un général à la retraite qui a dirigé les services de renseignements militaires égyptiens de 2010 à 2012.

Tout le monde ne partage pas l’idée que tout se passera bien après les attaques au JDAM, si elles ont lieu. Un ancien responsable des services de renseignement européens qui a servi pendant des années au Moyen-Orient m’a dit : « Les Égyptiens ne veulent pas que le Hamas entre en Égypte, et ils feront le minimum ».

Lorsqu’il a été informé du projet israélien d’utiliser le JDAMS, il a déclaré qu’ » une ville en ruines est aussi dangereuse qu’à n’importe quel moment ». Parler des JDAMS, c’est parler de gens qui ne savent pas quoi faire.

Le Hamas dit : « C’est parti ! Ils n’attendent que cela ». L’utilisation des JDAMS « est le fait d’une direction qui a été déstabilisée. Il s’agissait d’une opération soigneusement planifiée et le Hamas savait exactement quelle serait la réaction israélienne. La guerre urbaine est terrible ».

Le fonctionnaire a prédit que les bombes à fragmentation israéliennes ne pénétreraient pas assez profondément : le Hamas, a-t-il dit, opérait dans des tunnels construits à 60 mètres sous terre qui seraient capables de résister aux attaques des JDAM.

L’initié israélien a reconnu que les roches et les rochers souterrains limiteraient la capacité des roquettes à pénétrer profondément, mais la surface souterraine de la ville de Gaza est sablonneuse et offrirait peu de résistance, surtout si les JDAM étaient lancés depuis le point le plus élevé possible.

L’initié a également déclaré que la planification actuelle prévoit que l’attaque des JDAMs, si elle est autorisée, aura lieu dès dimanche ou lundi, en fonction de l’efficacité de l’expulsion forcée de la ville de Gaza et du sud, et qu’une invasion terrestre suivra immédiatement.

Seymour Hersh

Source : Seymourhersh.substack.com




« Netanyahou est fini ! »

[Source : seymourhersh.substack.com]

[Transmis par Turiya]

Par Seymour Hersh

Il y a plusieurs décennies, j’ai passé trois ans à écrire « The Samson Option » (1991), exposant la politique tacite des présidents américains depuis Dwight Eisenhower, à savoir la politique consistant à détourner le regard lorsqu’Israël a entamé le processus de construction de la bombe atomique. Le livre ne dit pas que cela a été bon ou mauvais pour Israël après l’Holocauste. Il dit que ce que faisaient les États-Unis était connu dans le tiers-monde, comme on l’appelait à l’époque, et que notre duplicité, la duplicité des Américains, a transformé nos préoccupations concernant la prolifération des armes nucléaires en un nouvel exemple d’hypocrisie. Depuis lors, d’autres ont entrepris des études bien plus exhaustives, certains des documents israéliens et américains les plus confidentiels ayant été rendus publics.

J’ai choisi de ne pas me rendre en Israël pour mes recherches, de peur de violer la loi israélienne sur la sécurité nationale. Mais j’ai trouvé des Israéliens vivant à l’étranger qui avaient travaillé sur ce projet secret et qui étaient prêts à me parler lorsque je leur ai dit que j’avais des informations provenant des dossiers des services de renseignement américains. Ceux qui ont travaillé sur ce matériel hautement confidentiel sont restés fidèles à Israël, et certains d’entre eux sont devenus mes amis de toujours. Ils sont également restés en contact étroit avec d’anciens collègues restés en Israël.

Voici un compte rendu des événements horribles survenus la semaine dernière en Israël, tels qu’ils ont été perçus et interprétés par un vétéran de l’appareil de sécurité nationale israélien, qui connaît bien les événements récents.

La chose la plus importante que je dois comprendre, m’a dit l’informateur israélien, c’est que le Premier ministre Benjamin Netanyahu « est fini. C’est un mort-vivant. Il ne restera en fonction que jusqu’à ce que les tirs s’arrêtent… Peut-être encore un mois ou deux ».

Il a été Premier ministre de 1996 à 1999 et de nouveau, en tant que chef du parti de droite Likoud, de 2009 à 2021, revenant pour un troisième mandat à la fin de 2022. « Bibi s’est toujours opposé aux accords d’Oslo de 1993, qui ont donné à l’Autorité palestinienne le contrôle nominal de la Cisjordanie et de la bande de Gaza ». Lorsqu’il est revenu au pouvoir en 2009, « Bibi a décidé de soutenir le Hamas » comme alternative à l’Autorité palestinienne « en lui donnant de l’argent et en l’installant à Gaza ».

Un accord a été conclu avec le Qatar, qui a commencé à envoyer des centaines de millions de dollars aux dirigeants du Hamas avec l’approbation d’Israël. L’informateur m’a dit que « Bibi était convaincu qu’il aurait plus de contrôle sur le Hamas avec l’argent du Qatar, il a secrètement permis au Hamas de tirer occasionnellement des roquettes sur le sud d’Israël et d’avoir accès à des emplois en Israël ». Pour affaiblir l’autre faction, à savoir l’Autorité palestinienne, Netanyahou a pris ce risque.

« Ce qui s’est passé cette semaine est le résultat de la doctrine de Bibi selon laquelle il est possible de créer un Frankenstein et d’en avoir le contrôle. L’attaque du Hamas était le résultat direct de la décision de Bibi, malgré les protestations des commandants militaires locaux, “d’autoriser un groupe de colons orthodoxes à célébrer Souccoth en Cisjordanie”. »

Souccoth est une fête annuelle d’automne qui commémore le voyage ancestral des Juifs dans les profondeurs du désert. Il s’agit d’un festival d’une semaine célébré par la construction d’une structure extérieure temporaire, connue sous le nom de soukka, où chacun peut partager la nourriture consommée par ses prédécesseurs et se connecter viscéralement à la saison des récoltes.

Cette demande est intervenue à un moment de tension extrême à la suite d’un autre incident en Cisjordanie, au cours duquel des colons juifs ont, selon l’Associated Press, « attaqué une ville troublée » le 6 octobre et tué un jeune arabe de 19 ans. La mort du jeune homme, ajoute l’AP, « est la dernière d’une vague de combats entre Israéliens et Palestiniens qui ont tué près de 200 Palestiniens depuis le début de l’année, soit le plus grand nombre de morts par an depuis près de vingt ans ».

Les autorités militaires israéliennes locales, avec l’approbation de M. Netanyahu, ont ordonné à deux des trois bataillons de l’armée, comptant chacun environ 800 soldats, qui protégeaient la frontière avec Gaza, de concentrer leur attention sur la fête de Souccoth.

« Il ne restait donc plus que 800 soldats, m’a dit la source, pour protéger les 51 kilomètres de frontière entre la bande de Gaza et le sud d’Israël. Cela signifie que les citoyens israéliens du sud ont été laissés sans présence militaire israélienne pendant dix à douze heures. Ils étaient livrés à eux-mêmes. Et c’est pourquoi Bibi est fini. Cela prendra peut-être quelques mois, mais c’est fini pour lui ».

Ma source a qualifié l’attaque dans le sud d’Israël de « plus grand échec militaire de l’histoire d’Israël » et a noté que « plus de soldats ont été tués dans la seule guerre de 73 », l’attaque-surprise du Yom Kippour au cours de laquelle Israël a été brièvement envahi par les troupes égyptiennes et syriennes. « Samedi dernier, vingt-deux colonies du sud ont été sous le contrôle du Hamas pendant des heures et ils sont allés de maison en maison, massacrant des familles entières de colons juifs. »

Il y aura une réponse militaire, a déclaré la source, notant que 360 000 réservistes ont été appelés.

« La stratégie fait l’objet d’un grand débat. Les forces spéciales de l’armée de l’air et de la marine israéliennes sont prêtes à intervenir, mais Bibi et les chefs militaires ont toujours privilégié les services de haute technologie. L’armée régulière a été utilisée principalement pour assurer la sécurité en Cisjordanie. En réalité, les forces terrestres ne sont pas entraînées au combat. Ne vous méprenez pas : on a confiance dans l’esprit des troupes, mais pas dans leur capacité à réussir dans la “situation spéciale à laquelle les soldats seraient confrontés lors d’un assaut terrestre” dans les ruines de la bande de Gaza lourdement bombardée. »

Les réservistes suivent actuellement un entraînement intensif et une décision sur ce qu’il convient de faire pourrait être prise dans le courant de la semaine, a indiqué la source.

En attendant, les bombardements actuels de cibles civiles (immeubles d’habitation, hôpitaux et mosquées) ne s’accompagnent plus d’une protection symbolique des civils. Lors des précédentes attaques sur la ville de Gaza, l’armée de l’air israélienne larguait souvent une petite bombe sur le toit d’une installation civile sur le point d’être attaquée. Cette procédure est appelée « frappe sur le toit » et a pour but d’alerter les résidents palestiniens afin qu’ils aient le temps de quitter le bâtiment qui va être complètement détruit. Cela ne se produit pas pendant les bombardements continus actuels.

En ce qui concerne une attaque terrestre, la source m’a dit qu’une alternative brutale est envisagée, qui pourrait être décrite comme l’approche de Leningrad, en référence à la célèbre tentative allemande d’affamer la ville aujourd’hui connue sous le nom de Saint-Pétersbourg pendant la Seconde Guerre mondiale. Le siège nazi a duré près de 900 jours et a fait au moins 800 000 morts, et probablement beaucoup plus en réalité. Les dirigeants du Hamas et une grande partie de leur personnel sont connus pour « vivre dans la clandestinité » et l’objectif d’Israël est de détruire le plus grand nombre possible de ces membres « sans tenter l’attaque traditionnelle de maison en maison ».

Le dénonciateur a ajouté que certains Israéliens ont été « irrités » par les premières déclarations des dirigeants mondiaux en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne, qui ont généralement apporté leur soutien total à une réponse immédiate par l’intermédiaire de conseillers, mais ont ajouté que cette réponse devrait être guidée par l’État de droit. Le président Biden a renforcé ce point lors d’une apparition imprévue à une conférence de dirigeants juifs à la Maison-Blanche mercredi, en précisant qu’il avait récemment déclaré à M. Netanyahu : « Il est très important qu’Israël, avec toute sa colère et sa frustration, agisse de manière équitable ».

L’option actuellement envisagée, m’a dit l’informateur israélien, est de continuer à isoler la ville de Gaza en termes d’alimentation électrique et de livraison de nourriture et d’autres biens vitaux.

« Le Hamas n’a plus que de l’eau purifiée pour deux ou trois jours et cela, ajouté au manque de nourriture, pourrait suffire à chasser tout le Hamas. À un moment donné, Israël pourrait négocier la libération de certains prisonniers, femmes et enfants, en échange de nourriture et d’eau.

Le grand débat aujourd’hui est de savoir s’il faut affamer le Hamas ou tuer environ 100 000 personnes à Gaza. L’une des hypothèses israéliennes est que le Hamas, qui a reçu jusqu’à 1,6 milliard de dollars du Qatar de 2014 à aujourd’hui, veut être perçu comme un État souverain qui se soucie de son peuple ». Il a poursuivi : « Maintenant que le président Biden dit que la Palestine est un État terroriste, le Hamas peut avoir des raisons de vouloir être perçu comme moins hostile, et il peut y avoir une chance pour un débat calme et rationnel sur les prisonniers et la libération de certains des otages israéliens, en commençant par les femmes et les enfants. »

Les autres prisonniers seraient traités comme des prisonniers de guerre, a-t-il ajouté, et leur libération pourrait être négociée, comme cela s’est déjà produit par le passé.

Mais, a ajouté la source, « plus nous voyons » la brutalité du Hamas à la télévision et « plus le Hamas est perçu comme un autre ISIS, plus le temps s’écoule négativement ».

La réalité, a-t-il ajouté, est que le Hamas n’est pas rationnel et qu’il est incapable de s’engager dans des négociations, et que le Qatar n’interviendra pas. Et à moins d’une intervention internationale ou d’une tierce partie, il pourrait y avoir une invasion générale de Gaza avec des morts incalculables pour toutes les parties dans cette guerre.

La décision d’envahir avec toute la force nécessaire appartient à Israël et n’a pas encore été prise.




Le 11 septembre du Moyen-Orient

[Source : mondialisation.ca]

Selon la version officielle, l’attaque du Hamas a « pris par surprise » Israël. Mais une série de faits inexplicables ne rend pas crédible la version officielle.

Comment est-il possible que la barrière de Gaza ait été enfoncée au bulldozer sans que personne ne s’en soit aperçu ? La barrière qui entoure Gaza, longue de 64 kilomètres, est formée d’un mur souterrain doté de senseurs, pour empêcher de creuser des tunnels, et d’une enceinte de 6 mètres de haut avec senseurs, radars, caméras et systèmes d’armes automatiques reliés à un centre de commandement, et surveillée par des soldats. 

Comment est-il possible qu’en ce même jour se tenait un festival musical, avec des milliers de jeunes, dans le désert à quelques kilomètres de Gaza, dans une zone réputée dangereuse, car à portée des roquettes du Hamas, qui plus est sans aucune force de sécurité ? 

Comment est-il possible que, quand les militants du Hamas ont attaqué plus de 20 centres d’habitation israéliens, en tuant (selon les chiffres officiels) 1300 personnes, ne soient pas immédiatement intervenues par hélicoptères les forces spéciales israéliennes, considérées parmi les meilleures du monde, et ne soient intervenues que des forces de police ?

Comment est-il possible que le Mossad, considéré comme un des plus efficients services secrets du monde, ne se soit pas rendu compte que le Hamas était en train de préparer l’attaque ?

Les réponses essentielles se trouvent dans un article, publié le 8 octobre par le quotidien israélien The Times of Israel :

« Pendant des années, les divers gouvernements conduits par Benjamin Netanyahou ont adopté une politique qui a divisé la Bande de Gaza et la Cisjordanie entre deux pouvoirs différents, mettant à genoux le président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas et favorisant le Hamas. Celui-ci a été traité comme un partenaire au détriment de l’Autorité Palestinienne pour empêcher Abbas d’avancer vers la création d’un État Palestinien. Le Hamas a été promu de groupe terroriste à organisation avec laquelle Israël a conduit des négociations via l’Égypte, et à qui il a été permis de recevoir du Qatar, via les points de passage frontaliers de Gaza, des valises contenant des millions de dollars ».

Tous ces faits tracent un scénario semblable à celui de l’attaque terroriste à New York et Washington le 11 septembre 2001, lorsque tout le système étasunien de renseignement et défense aurait été « pris par surprise » par l’attaque d’al-Qaeda. Des preuves irréfutables (officiellement ignorées ou liquidées comme « complotisme ») démontrent que ça avait été une opération conduite par la CIA (probablement avec la participation aussi du Mossad) pour amorcer la « guerre mondiale au terrorisme » avec l’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak et les guerres qui ont suivi. Quelque chose d’analogue est en train de se passer aujourd’hui en Israël, dont tout le système de renseignement et défense aurait été « pris par surprise » par l’attaque du Hamas.

Le but stratégique de l’opération est, d’une part, celui d’exterminer les Palestiniens (jusqu’à présent plus de 1500 morts dont 500 enfants, et plus de 7000 blessés) et de s’emparer de leurs territoires (le commandement israélien a ordonné l’évacuation de plus d’un million d’habitants, plus de la moitié de toute la population, de la moitié septentrionale de Gaza). D’autre part le but stratégique de l’opération est d’amorcer, en ciblant l’Iran, une réaction en chaîne de guerres dans un Moyen-Orient où les États-Unis, Israël et les puissances européennes perdent du terrain.

Manlio Dinucci

Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 13 octobre 2023 à 21 h 30 sur la TV italienne Byoblu

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

VIDÉO (en italien) :

La source originale de cet article est byoblu.com
Copyright © Manlio Dinucci, byoblu.com, 2023




La faillite en vrille de la « solution à deux États » sidère tous les camps…

Par Lucien SA Oulahbib12 octobre 2023

Qu’il s’agisse d’un René Bourlanges sur BFM business (ancien second couteau de l’actuel préposé au « Plan »…) en passant par les Dupont et Dupond Philippot & Rougeyron, voire l’économiste Olivier Delamarche (sur YouTube) renvoyant, lui, dos à dos les belligérants, sans parler bien sûr des mélenchonistes djihadisés, mais aussi de tous ces faux souverainistes si déracinés qu’ils en viennent à s’apitoyer sur le « blocus de Gaza », tous, en martelant encore cette « solution à deux États », oublient allègrement ou minimisent que c’est bien principalement le Hamas (et Arafat en coulisses, comme l’explique bien Shmuel Trigano en disséquant la Charte de… l’OLP (chapitre 36 et suivants), qui bloquèrent au tout départ cette « solution ». Ils l’ont plutôt manipulée (lire Bill Clinton dans ses mémoires à ce sujet, en particulier sa discussion sur ce sujet avec Arafat à Camp David à propos d’Oslo II) pour la refuser ensuite, avançant qu’il s’agissait d’une solution intenable — façon « Bantoustan » c’est-à-dire d’un « territoire qui aurait été juste une peau de léopard » donc sans continuité territoriale…

Pourtant, il aurait été fort loisible de choisir (en théorie) cette politique dite « des petits pas » au sens positif et non pas négatif ou la « technique du salami » (voir Paul Giniewski Le contentieux Israélo-Arabe, 2007, p.116) et donc de progressivement suivre les étapes non pas d’Oslo II, mais de tout processus de paix à vrai dire : vérifications sur le terrain ; ce qui fait que celles-ci étant franchies, il aurait été alors loisible de lever peu à peu les barrières sous supervision internationale afin d’œuvrer vers une sorte d’union confédérale à la Suisse, voilà le projet, si naïf après-coup, mais qui à l’époque apparaissait réaliste…

Qu’est-ce qui aurait flanché dans ce cas ?… La question des « réfugiés » en réalité bien plus que le territoire à garder ou à rendre ; c’était une question prioritaire et non pas secondaire comme l’avouait Arafat lui-même en creux à Bill Clinton (voir aussi Giniewski, p. 51 faisant référence au « discours à Naplouse » d’Arafat en janvier 1996) alors que ses sponsors saoudiens (car il y avait aussi un « plan saoudien ») lui promettaient de payer des indemnités à ceux qui parmi ces « 4 millions » (et quelques, le Hamas parle de 7 millions…) auraient accepté de ne pas « revenir » en Israël même, mais plutôt à côté, dans le futur giron « palestinien » ; et il y avait aussi un « plan israélien » assez « réaliste » au dire même du pro-palestinien Alain Gresh (Monde diplomatique du 4 janvier 2007)…

Ces « réfugiés » étaient entre 650 000 et 360 000 [13. p. 89] en 48, bel et bien partis en effet sous la contrainte… des armées arabes qui refusaient la partition onusienne de 1947 et leur conseillaient de fuir pour éviter les dommages collatéraux de la guerre. Il s’agissait d’un exode nourri aussi par le refus de vivre avec des Juifs indépendants ou « dominants », et également par peur de représailles parce que les massacres, viols et décapitations de bébés opérés par les djihadistes de l’époque ont déjà eu lieu entre 1947-1948 (idem, Giniewski, 2007, pp. 109-110) et ce aussi bien avant dans les années 30 au plus fort de la fascination perverse entre djihadisme et nazisme… N’oublions pas enfin qu’un million de Juifs aura été chassé des pays occupés par les arabo-musulmans, le tout dans l’indifférence générale, et il s’avère qu’ils fuient encore, en particulier des banlieues… « françaises »…

Oslo aura donc échoué — tout est mort, éteint —, et le Hamas vient d’y mettre la dernière pelle. Les dirigeants palestinistes sont ainsi de plus en plus djihadisés (avec même parfois des drapeaux de Daesh dans les poches aux dires de certains témoignages). Ils ont donc préféré sacrifier leurs ouailles au profit de la corruption et de l’inféodation aux wahhabites et khomeynistes. Aussi, le fait de dire aujourd’hui, en 2023, que la guerre actuelle [somme toute mesurée, car Gaza n’est pas actuellement rasée sous un tapis indifférencié de bombes…] ne fera qu’alimenter « la haine » antijuive et va « donc » fabriquer des tonnes de djihadistes est un non-sens…

Déjà parce qu’ils sont fabriqués en nombre, et leur désir de « tuer du juif » a toujours été l’alpha et oméga djihadiste hormis exceptions dans le quotidien du peuple islamo-arabisé (d’où le mythe de la cohabitation heureuse) et surtout lorsque les dirigeants n’étaient pas arabo-musulmans ou Turcs (la fameuse cohabitation arabo-juive ne fut possible que sous administration française en Afrique du Nord) ; ensuite, au vu de tout ce qui s’est passé depuis les années 90 avec les diverses Intifadas l’on voit bien que le refus de la paix s’avère être surtout du côté « arabe » avec ses exigences intenables en particulier sur Jérusalem ; d’où l’idée d’ailleurs de déplacer leur mosquée afin de ne plus les tenter à revendiquer l’impossible ou du moins d’en ouvrir l’Esplanade à tous (et toutes…).

Et puis il y a la réalité des faits de guerre : ce qui est repris n’est plus à rendre, surtout lorsque les dirigeants palestinistes utilisent cette cause pour des objectifs qui n’ont rien à voir avec la « paix », mais l’extension djihadiste et alors que par exemple dans les années sous Traité d’Oslo certains implantés juifs israéliens (et non pas « colons » puisque c’est leur terre à la base) étaient même prêts à prendre la citoyenneté de ce nouvel État (avoir une double nationalité donc) à partir du moment où ils n’auraient pas été obligés de parti. Or, que leur ont proposés les dirigeants palestinistes sinon à nouveau un « judenrein », comme également à Gaza : refus de toute présence juive dans le futur État, surtout en tant que citoyen à part entière alors que l’arabe israélien a, lui, beaucoup de droits y compris de se faire élire à la Knesset…

On le voit, même cette solution aujourd’hui encore fantasmée par nos globalistes et souverainistes en chambre reste définitivement impossible, car les arabo-musulmans veulent, eux, la domination totale sinon rien. Eh bien c’est le rien qui maintenant se présente à eux, les abysses infinis de l’enfer dans les termes déjà écrits à l’avance par Dante, même si les alliés dhimmis du néo-léninisme queer cherchent à les effacer…, à effacer les écrits de Dante !… en bons supplétifs djihadistes…




France — Le gouvernement veut-il interdire l’usage de l’eau de pluie dans les habitations et potagers ?

[Source : Nexus]

Par Estelle Brattesani

Le décret du 29 août 2023 « relatif aux usages et aux conditions d’utilisation des eaux de pluie et des eaux usées traitées » a été source de polémique. La manière dont il a été rédigé laisse à penser que les eaux de pluie ne seront pas autorisées dans nos habitations ni pour arroser nos jardins. Le gouvernement s’en défend.

◆ Des propos clairs et affolants de prime abord

Le 24 septembre 2023, Pierre L’écoleau et Benjamin Vialan étaient tous deux les invités d’une émission proposée par le média L’ArchiPelle qui met en lumière les experts et initiatives en lien avec l’autonomie et la résilience. Ils y ont évoqué leur inquiétude vis-à-vis du décret du 29 août 2023. Ce dernier, dédié à l’utilisation des eaux non domestiques, contient deux articles pour le moins déconcertants.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000048007367

Alors que ce texte de loi concerne l’usage des eaux usées traitées et les eaux pluviales, les articles R. 211-126 et 127 indiquent que l’utilisation de ces eaux « n’est pas possible » dans « les locaux à usage d’habitation », ni pour « l’arrosage des espaces verts des bâtiments ». Des propos qui ont engendré plusieurs contenus alarmants sur les réseaux.

◆ Un démenti gouvernemental

Le journal 20 Minutes a voulu en savoir plus et rapporte que selon un avocat en droit de l’environnement et le ministère de la Transition écologique, « le problème semble venir, à la base, d’une volonté de clarification juridique qui n’a visiblement pas fonctionné » et que « le décret a été interprété de manière erronée ». Plus précisément, maître Marius Combe leur a expliqué que « le nouvel article R. 211-123 du Code de l’environnement issu de ce décret ne réglemente “que” les usages de l’eau de pluie et des eaux usées traitées non domestiques. Et c’est à partir de celui-là qu’il faut comprendre le reste du texte. Pour cette raison, “il est tout à fait logique que les articles R. 211-126 et R. 211-127 excluent certains usages, dans la mesure où ceux-ci sont régis par d’autres dispositions, le plus souvent issues du Code de la santé publique”. »

Le ministère a quant à lui été très clair : « Les usages domestiques des eaux de pluie sont exclus du champ d’application du décret, dit autrement, le décret ne s’applique pas aux usages domestiques. […] Il ne s’agit pas d’une erreur d’écriture, mais bien d’un souhait exprimé lors de nos échanges avec le Conseil d’État de clarifier au maximum le champ d’application des différents décrets qui porte sur des types d’eau et/ou usages différents.

L’utilisation des eaux de pluie pour les usages domestiques, comme l’arrosage des potagers, est à ce jour encadrée par l’arrêté du 21 août 2008. Mais un nouveau décret sera dédié à ces usages dans les mois qui viennent.

Des précautions à prendre ?

Pierre L’écoleau, malgré ces précisions, a maintenu la pétition qu’il a lancée en ligne, afin que, premièrement, ce décret soit rectifié. Il semblerait en effet plus clair de reformuler les passages qui posent problème, d’en supprimer certains ou de préciser que ce décret ne concerne absolument pas les eaux domestiques et qu’un autre leur sera consacré.

Il demande en second lieu que, si le prochain texte relatif aux usages domestiques devait abroger l’arrêté du 21 août 2008, certains de ses axes relatifs aux eaux domestiques soient modifiés en concertation avec les représentants des professionnels et des usagers. Et enfin, qu’il soit accordé aux représentants des professionnels et des usagers un droit de regard sur ce prochain texteet qu’une table ronde interministérielle soit organisée avant sa publication.

Étant donné le nombre d’initiatives institutionnelles organisées pour préserver l’eau, il serait très étonnant que l’eau de pluie soit interdite à l’avenir pour les usages domestiques, comme l’habitation ou le potager. Mais quand on voit à quel rythme l’eau vient à manquer et est privatisée, mieux vaut sûrement être prudents dès aujourd’hui et s’assurer de la justesse et la précision de toutes les tournures réglementaires pouvant porter à conséquence…

Article par Estelle Brattesani

(Image par Steve Buissinne de Pixabay)

👉 Lire notre dossier du numéro 142 (sept.-oct. 2022) en vente en ligne :




Leçons libertariennes : la Chine taoïste et le refus du libertarisme

[Publication initiale : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Nicolas Bonnal

La machinerie bureaucratique atteint son maximum aussi bien en Occident qu’ailleurs.

Les élites sont rejetées ou carrément craintes maintenant en Occident, et la grande élection de Trump avait marqué ce moment, comme le reconnaissait Nassim Nicholas Taleb. Ce penchant anarchiste — ou libertaire-libertarien — est très marqué dans notre vague mondiale de contestation antitout et je lui trouve sinon une origine, du moins un beau précédent — en Chine ancienne. Pays du nombre et de la récurrente organisation totalitaire et massifiée (lisez Bela Balazs), la Chine a été aussi, dans une lointaine antiquité, le pays du rejet de cette organisation.

Il y a vingt-cinq siècles donc, les gilets/périls jaunes existent en Chine et rejettent, avec les penseurs taoïstes, la hiérarchie, l’empereur, la bureaucratie, l’armée et les fameux « lettrés » alors incarnés par Confucius. On se référera ici surtout à Tchouang-Tseu.

Et comme René Guénon, cet immense et si traditionnel auteur n’en veut pas au peuple :

« Petits mais respectables sont les êtres qui remplissent le monde. Humble mais nécessaire est le peuple. »

J’ai cité Guénon, et ce n’est pas pour rien. Un bref rappel de sa vieille crise du monde moderne :

« Au VIe siècle avant l’ère chrétienne, il se produisit, quelle qu’en ait été la cause, des changements considérables chez presque tous les peuples ; ces changements présentèrent d’ailleurs des caractères différents suivant les pays. Dans certains cas, ce fut une réadaptation de la tradition à des conditions autres que celles qui avaient existé antérieurement, réadaptation qui s’accomplit en un sens rigoureusement orthodoxe ; c’est ce qui eut lieu notamment en Chine, où la doctrine, primitivement constituée en un ensemble unique, fut alors divisée en deux parties nettement distinctes : le Taoïsme, réservé à une élite, et comprenant la métaphysique pure et les sciences traditionnelles d’ordre proprement spéculatif ; le Confucianisme, commun à tous sans distinction, et ayant pour domaine les applications pratiques et principalement sociales. »

Guénon a ici légèrement tort : car la pensée taoïste, puisqu’elle va au Principe, se moque de la Tradition, des rites, de la musique, et elle humilie Confucius au service de ses maîtres et des cruels guerriers. Mais il ajoute :

« Dans l’Inde, on vit naître alors le Bouddhisme, qui, quel qu’ait été d’ailleurs son caractère originel, devait aboutir, au contraire, tout au moins dans certaines de ses branches, à une révolte contre l’esprit traditionnel, allant jusqu’à la négation de toute autorité, jusqu’à une véritable anarchie, au sens étymologique d’“absence de principe”, dans l’ordre intellectuel et dans l’ordre social. »

Cela s’applique parfaitement à la pensée anarchiste-taoïste de cette époque.

Je rappelle pourquoi pour Guénon cette époque est importante :

« En nous rapprochant de l’Occident,… le VIe siècle fut le point de départ de la civilisation dite “classique”, la seule à laquelle les modernes reconnaissent le caractère “historique”, et tout ce qui précède est assez mal connu pour être traité de “légendaire”, bien que les découvertes archéologiques récentes ne permettent plus de douter que, du moins, il y eut là une civilisation très réelle ; et nous avons quelques raisons de penser que cette première civilisation hellénique fut beaucoup plus intéressante intellectuellement que celle qui la suivit, et que leurs rapports ne sont pas sans offrir quelque analogie avec ceux qui existent entre l’Europe du moyen âge et l’Europe moderne. »

Mais on en revient au manège antiélitiste et antitraditionnel (au sens de sclérotique et de hiérarchique, c’est un rejet aussi de toute taxinomie) de notre taoïste Tchouang-Tseu. Pour lui les sages (ou intellectuels, ou politiciens, on dirait maintenant « experts ») ont gâché le monde et ils sont « des emballeurs de brigands » :

« Le vulgaire ferme, avec des liens solides et de fortes serrures, ses sacs et ses coffres, de peur que les petits voleurs n’y introduisent les mains.

Cela fait, il se croit et on le trouve sage. Survient un grand voleur, qui emporte sacs et coffres avec leurs liens et leurs serrures, très content qu’on lui ait si bien fait ses paquets. Et il se trouve que la sagesse de ces vulgaires avait consisté à préparer au voleur son butin.

Il en va de même en matière de gouvernement et d’administration. Ceux qu’on appelle communément les Sages ne sont que les emballeurs des brigands à venir. »

Ces lettrés sont critiqués, car ils se mettent souvent au service des autorités :

« Les plus renommés d’entre les Sages historiques ont ainsi travaillé pour de grands voleurs, jusqu’au sacrifice de leur vie. Loung-fang fut décapité, Pi-kan fut éventré, Tch’ang-houng fut écartelé, Tzeu su périt dans les eaux.

Le comble, c’est que les brigands de profession appliquèrent aussi à leur manière les principes des Sages. »

Dans le même esprit, Lao Tsé a écrit (§ 57, traduction Stanislas Julien) :

« Plus le roi multiplie les prohibitions et les défenses, et plus le peuple s’appauvrit ; Plus le peuple a d’instruments de lucre, et plus le royaume se trouble ; Plus le peuple a d’adresse et d’habileté, et plus l’on voit fabriquer d’objets bizarres ; Plus les lois se manifestent, et plus les voleurs s’accroissent. »

Et Tchouang-Tseu :

« Oui, l’apparition des Sages cause l’apparition des brigands, et la disparition des Sages cause la disparition des brigands. Sages et brigands, ces deux termes sont corrélatifs, l’un appelle l’autre, comme torrent et inondation, remblai et fossé. »

Et d’enfoncer nûment son clou :

« Je le répète, si la race des Sages venait à s’éteindre, les brigands disparaîtraient ; ce serait, en ce monde, la paix parfaite, sans querelles.

C’est parce que la race des Sages ne s’éteint pas qu’il y a toujours des brigands. Plus on emploiera de Sages à gouverner l’État, plus les brigands se multiplieront. »

Tchouang-Tseu recommande même les us et manières des… casseurs, « la civilisation étant une conspiration » (John Buchan) qui fait déchoir les hommes et par là le monde. Il est important de détruire la musique rituelle et, avec elle, instruments et outils :

« Détruisez radicalement toutes les institutions artificielles des Sages, et le peuple retrouvera son bon sens naturel. Abolissez la gamme des tons, brisez les instruments de musique, bouchez les oreilles des musiciens, et les hommes retrouveront l’ouïe naturelle. Abolissez l’échelle des couleurs et les lois de la peinture, crevez les yeux des peintres, et les hommes retrouveront la vue naturelle. Prohibez le pistolet et le cordeau, le compas et l’équerre ; cassez les doigts des menuisiers, et les hommes retrouveront les procédés naturels… »

Comme Hésiode ou Ovide, Tchouang-Tseu célèbre l’âge d’or, la Tradition primordiale, l’In Illo Tempore de Mircea Eliade. On cite Ovide (Métamorphoses, I, 94-107) :

« Les pins abattus sur les montagnes n’étaient pas encore descendus sur l’océan pour visiter des plages inconnues. Les mortels ne connaissaient d’autres rivages que ceux qui les avaient vus naître. Les cités n’étaient défendues ni par des fossés profonds ni par des remparts. »

Ovide poursuit :

« La terre, sans être sollicitée par le fer, ouvrait son sein, et, fertile sans culture, produisait tout d’elle-même. L’homme, satisfait des aliments que la nature lui offrait sans effort, cueillait les fruits de l’arbousier et du cornouiller, la fraise des montagnes, la mûre sauvage qui croît sur la ronce épineuse, et le gland qui tombait de l’arbre de Jupiter. C’était alors le règne d’un printemps éternel. »

Et on reprend Tchouang-Tseu :

« Ils trouvaient bonne leur grossière nourriture, bons aussi leurs simples vêtements. Ils étaient heureux avec leurs mœurs primitives et paisibles dans leurs pauvres habitations. Le besoin d’avoir des relations avec autrui ne les tourmentait pas. Ils mouraient de vieillesse avant d’avoir fait visite à la principauté voisine, qu’ils avaient vue de loin toute leur vie, dont ils avaient entendu chaque jour les coqs et les chiens. En ces temps-là, à cause de ces mœurs-là, la paix et l’ordre étaient absolus. »

Le développement intellectuel, administratif et bureaucratique est cause de la décadence. Tchouang-Tseu :

« L’invention de la sophistique, traîtresse et venimeuse, avec ses théories sur la substance et les accidents, avec ses arguties sur l’identité et la différence, a troublé la simplicité du vulgaire. »

Et de taper sur les sophistes comme un bon Socrate :

« Oui, l’amour de la science, des inventions et des innovations est responsable de tous les maux de ce monde. Préoccupés d’apprendre ce qu’ils ne savent pas (la vaine science des sophistes), les hommes désapprennent ce qu’ils savent (les vérités naturelles de bon sens).

Préoccupés de critiquer les opinions des autres, ils ferment les yeux sur leurs propres erreurs. »

Le désordre moral rejaillit sur la nature :

« De là un désordre moral, qui se répercute au ciel sur le Soleil et la Lune, en terre sur les monts et les fleuves, dans l’espace médian sur les quatre saisons, et jusque sur les insectes qui grouillent et pullulent à contretemps (sauterelles, etc.). Tous les êtres sont en train de perdre la propriété de leur nature. C’est l’amour de la science qui a causé ce désordre. »

Shakespeare fait dire comme on sait à Titania à la fin de son fameux monologue (il ne s’agit pas du tout de faire de la littérature comparée, mais d’établir des correspondances traditionnelles) :

« Le printemps, l’été, le fertile automne, l’hiver chagrin, échangent leur livrée ordinaire ; et le monde étonné ne peut plus les distinguer par leurs productions. Toute cette série de maux provient de nos débats et de nos dissensions ; c’est nous qui en sommes les auteurs et la source… »

Mais on en revient à l’étonnante modernité de Tchouang-Tseu, à sa rage anti-verbeuse :

 « Depuis dix-huit siècles, on s’est habitué à faire fi de la simplicité naturelle, à faire cas de la fourberie rituelle ; ou s’est habitué à préférer une politique verbeuse et fallacieuse au non-agir franc et loyal. Ce sont les bavards (sages, politiciens, rhéteurs), qui ont mis le désordre dans le monde. »

La sophistication est alors telle que notre penseur dénonce un gouvernement mathématique :

« Tout le monde voulut devenir savant pour parvenir, et le peuple s’épuisa en vains efforts. C’est alors que fut inventé le système de gouvernement mathématique.

L’empire fut équarri avec la hache et la scie. Peine de mort pour tout ce qui déviait de la ligne droite. Le marteau et le ciseau furent appliqués aux mœurs. »

C’est la révolte contre la méga-machine de Lewis Mumford, qui lui analysait l’Égypte. Mais restons-en là ! alors arrive une révolte façon Gilets Jaunes :

« Le résultat fut un bouleversement, un écroulement général. C’est que le législateur avait eu le tort de violenter le cœur humain. Le peuple s’en prit aux Sages et aux princes. Les Sages durent se cacher dans les cavernes des montagnes, et les princes ne furent plus en sûreté dans leurs temples de famille. »

La rage de Tchouang-Tseu devient donc destructrice :

 « Il a raison, l’adage qui dit : exterminez la sagesse, détruisez la science, et l’empire reviendra à l’ordre spontanément. »

Et de finir sur cette étonnante question rhétorique :

« Qui trouble l’empire, qui violente la nature, qui empêche l’action du ciel et de la terre ? qui inquiète les animaux, trouble le sommeil des oiseaux, nuit jusqu’aux plantes et aux insectes ? qui, si ce n’est les politiciens, avec leurs systèmes pour gouverner les hommes ? ! »

Le secret serait de laisser le monde tel quel (le rêve libertarien de Rothbard) :

« Il faut laisser le monde aller son train, et ne pas prétendre le gouverner. Autrement les natures viciées n’agiront plus naturellement (mais artificiellement, légalement, rituellement, etc.). Quand toutes les natures, étant saines, se tiennent et agissent dans leur sphère propre, alors le monde est gouverné, naturellement et de lui-même ; pas n’est besoin d’intervenir. »

Sources

  • Ovide – Métamorphoses, I, traduction Villenave (ebooksgratuits.com)
  • Shakespeare — le songe d’une nuit d’été, II, 2 (ebooksgratuits.com)
  • Zhuang Zi — Œuvres
  • René Guénon – La crise du monde moderne, pp. 21-23 (classiques.uqac.ca)
  • Tao Te King — Lao Tsé — Livre de la Voie et de la Vertu
  • Balazs – La bureaucratie céleste



Près de la moitié des jeunes adultes aux États-Unis vivent avec leurs parents

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michael Snyder

Quand allons-nous nous réveiller et admettre que notre système est défaillant ? Si près de la moitié de nos jeunes adultes doivent vivre avec leurs parents, nous sommes confrontés à une crise majeure. Oui, certains jeunes sont tout simplement paresseux et ne veulent pas travailler assez dur. Je comprends tout à fait cela. Mais la plupart des jeunes adultes américains d’aujourd’hui ne veulent pas vivre avec leurs parents. S’ils en avaient la possibilité, ils adoreraient avoir leur propre maison. Malheureusement, les prix de l’immobilier ont atteint des niveaux absolument absurdes et le logement en Amérique est aujourd’hui plus inabordable qu’il ne l’a jamais été.

Je me sens si mal pour les millions et les millions de jeunes qui ont tant de mal en ce moment.

Nous les encourageons à accumuler des montagnes de dettes pour leurs études sans jamais en mesurer les conséquences, puis, une fois dans le monde réel, ils découvrent rapidement que le coût de la vie est devenu extrêmement étouffant.

En conséquence, un grand nombre de jeunes adultes se voient contraints de retourner vivre chez leurs parents

Près de la moitié des jeunes adultes vivent chez leurs parents — et ils n’ont pas honte de le dire.

Déménager et vivre seul est souvent considéré comme un marqueur de l’âge adulte. Mais face à une série de facteurs défavorables, tels que les pandémies, une inflation élevée depuis des décennies, une dette étudiante galopante et un marché de l’emploi chancelant, les jeunes d’aujourd’hui sont de plus en plus nombreux à rester chez leurs parents. Qui plus est, cela n’est plus considéré comme un signe d’échec individuel.

Inutile de dire que ce n’est pas une bonne chose pour notre société.

La dernière fois qu’un pourcentage aussi élevé de jeunes adultes vivaient avec leurs parents, c’était au lendemain de la Grande Dépression

Aujourd’hui, environ 23 millions d’Américains âgés de 18 à 29 ans, soit 45 %, vivent dans leur famille, soit à peu près le même niveau que dans les années 1940, époque à laquelle les femmes étaient plus susceptibles de rester à la maison jusqu’à leur mariage et où les hommes s’attardaient eux aussi dans les fermes familiales, au lendemain de la Grande Dépression.

Pourquoi en est-il ainsi ?

L’une des principales raisons est que les taux d’intérêt élevés ont poussé les coûts du logement à des niveaux insensés.

Cette semaine, le taux moyen d’un prêt hypothécaire à taux fixe sur 30 ans a atteint 7,19 %

Les taux hypothécaires américains sont restés stables cette semaine, oscillant au-dessus de 7 %, niveau auquel ils se situent depuis six semaines consécutives en raison de la persistance des pressions inflationnistes.

Le taux fixe à 30 ans était en moyenne de 7,19 % au cours de la semaine qui s’est achevée le 21 septembre, contre 7,18 % la semaine précédente, selon les données de Freddie Mac publiées jeudi. Il y a un an, le taux fixe à 30 ans était de 6,29 %.

« Les taux hypothécaires continuent de s’attarder au-dessus de 7 % alors que la Réserve fédérale a mis en pause ses hausses de taux d’intérêt », a déclaré Sam Khater, économiste en chef de Freddie Mac. « Compte tenu de ces taux élevés, la demande de logements diminue et les constructeurs d’habitations en ressentent les effets », a-t-il ajouté. « Le sentiment des constructeurs a baissé pour la première fois depuis plusieurs mois et les niveaux de construction sont tombés à leur plus bas niveau depuis trois ans, ce qui pourrait avoir un impact sur l’offre de logements déjà faible », a ajouté M. Khater.

Et ce n’est même pas le sommet.

En effet, l’économiste en chef de la NAR, Lawrence Yun, prévient qu’« à court terme, il est possible que les taux hypothécaires atteignent 8 % ».

8 % ?

Vous vous moquez de moi ?

Même aujourd’hui, les paiements hypothécaires ont atteint des sommets absolument délirants. En début de semaine, l’exemple suivant a été posté sur Twitter par Amy Nixon

Cette maison a été vendue en 2021 pour 685 000 $.

Paiement mensuel de l’acheteur ? 3526 $

Paiement mensuel de l’acheteur aujourd’hui ? 8402 $

« Mais les salaires ont augmenté ! »

« Mais les gens ont de l’argent maintenant ! »

NON, C’EST DE LA FOLIE TOTALE.

ARRÊTEZ DE FAIRE SEMBLANT QUE CE N’EST PAS LE CAS

Elle a raison.

C’est de la folie.

Seul un très faible pourcentage de la population peut se permettre de telles mensualités, et des millions d’acheteurs potentiels sont donc mis sur la touche.

Des millions de vendeurs potentiels sont également écartés, car la plupart d’entre eux devraient acheter un autre logement si celui qu’ils habitent était vendu.

La grande majorité d’entre nous est donc actuellement coincée dans son logement.

La plupart d’entre nous ne peuvent tout simplement pas se permettre de déménager parce que les paiements hypothécaires seraient beaucoup trop élevés.

C’est évidemment l’un des principaux facteurs qui pèsent sur les ventes de logements à l’heure actuelle.

Les ventes de logements anciens ont de nouveau reculé en août.

Si vous pouvez le croire, elles ont en fait baissé de 15,3 % par rapport au niveau déjà déprimé que nous avons connu en août 2022.

Si vous voulez remercier quelqu’un, remerciez les fonctionnaires de la Réserve fédérale, car c’est eux qui ont créé ce gâchis.

Dans l’ensemble, Fannie Mae prévoit que cette année sera la pire année pour les ventes de logements depuis 2011

Selon Fannie Mae, les ventes de logements aux États-Unis vont connaître leur plus fort ralentissement depuis 2011.

La société de financement hypothécaire parrainée par l’État prévoit que les ventes totales de logements s’effondreront à seulement 4,8 millions cette année, marquant ainsi l’environnement de vente le plus lent depuis 2011. Ce chiffre ne s’améliorera que légèrement en 2024, avec des ventes totales de logements qui devraient atteindre 4,9 millions, selon les économistes de Fannie Mae.

Si nos jeunes adultes n’ont pas les moyens d’acheter une maison, ils peuvent au moins se permettre de louer un logement, n’est-ce pas ?

C’est faux.

Ces dernières années, les loyers ont grimpé en flèche dans tout le pays.

À l’heure actuelle, le loyer médian demandé aux États-Unis est supérieur à 2 000 dollars par mois

[Note je Joseph : au Canada, la situation est assez voisine.]

Les propriétaires continuent d’exiger des loyers presque record dans un marché du logement tendu, mais les locataires dans certaines parties du pays trouvent encore des affaires, selon une nouvelle étude de Redfin.

Le loyer demandé en août était de 2 052 $, en légère hausse (0,7 %) par rapport au mois précédent, où il était de 2 038 $.

Lorsque j’étais jeune adulte, je me souviens avoir loué un appartement pour 300 dollars par mois.

Et je trouvais que c’était cher.

Malheureusement, je ne vois pas beaucoup d’aide pour nos jeunes à l’horizon.

La Réserve fédérale ne prévoit pas de réduire les taux d’intérêt de sitôt.

Et il faudra attendre un certain temps avant que les prix des logements ne baissent suffisamment pour être considérés comme « abordables ».

Par conséquent, si vous êtes parent, soyez patient avec les jeunes adultes qui vivent actuellement chez vous.

Des facteurs indépendants de leur volonté ont rendu le logement plus inabordable qu’il ne l’a jamais été, et les conditions économiques vont continuer à se durcir tout autour de nous.




Le parc éolien projeté à Abzac

Par John Hunter

Pour ceux qui débarquent, le maire et le conseil municipal en ont jeté les bases le 15 Juin 2017. 2018 reunion avec les promoteurs. 2019 érections des mâts de mesure du vent. 2020 probablement l’enquête publique avec rencontre du commissaire… soyez nombreux à y participer ! Puis décision préfectorale.

Chardat, les Broues, Marcillac où se termine la suite de 6 éoliennes seront peut-être impactés.

Les éoliennes émettent des fréquences pulsées de l’ordre de 250 000 par jour. (Alain Belime). Les champs électromagnétiques ont des effets thermiques (réchauffement) et non thermiques, biologiques sur le vivant. Végétaux, animaux, humains.

On fait appel à un biochimiste, le Professeur Pall qui est venu à Marseille il y a peu pour expliquer ce que les fréquences font aux cellules. Ceci est traduit d’un forum de 2019. Il se fait tirer les moustaches par quelques confrères. Si vous lisez jusqu’au bout vous allez comprendre ce qui peut arriver à Abzac, Chardat, les Broues, Marcillac, Bel-Air, etc.

Pr Pall :

Je suis d’accord que la toxicologie n’est pas un modèle approprié parce qu’il y a d’une part plusieurs douzaines d’actions toxicologiques qui rendent le modèle trop complexe. Les champs électromagnétiques sont plus simples. Leur seule cible sur le vivant c’est le senseur de voltage des canaux ion. Ces canaux sont réglés sur un voltage et spécialement les canaux de calcium. Les canaux calciques. Les champs électromagnétiques (CEM) arrivent sur ces canaux chez les humains, les animaux et les plantes. La raison pour laquelle c’est leur cible, c’est que ces canaux calciques sont des millions de fois plus sensibles que les autres groupes dans les cellules. Problème réglé. C’est le moment de bouger vers les conséquences biologiques nombreuses de ce mécanisme d’action.

Martin Blank (un biochimiste) :

Je vous envoie le résumé d’une étude qui montre l’interaction des CEM avec des groupes particuliers dans l’ADN pour initier la synthèse des protéines du stress. (le commencement de la réponse de la cellule au stress.) On s’attend à ce que les CEM interagissent avec d’autres composants cellulaires, mais c’est la réponse naturelle de la cellule et elle est plus sensible aux CEM qu’aux effets thermiques. (Il y a deux effets des CEM : l’effet thermique, la température monte ou bien sans température, c’est l’effet non thermique. À ce moment, action sur la cellule.)

Les CEM de basse fréquence provoquent une réponse accrue du gène HSP70 qui est la réponse de la cellule au stress. Il y a de nombreux mécanismes parallèles dans la réaction biochimique déclenchée par les CEM et un choc thermique, mais aussi des différences frappantes. Les deux réactions signifient la fusion du facteur de choc thermique HSF1 à un élément thermique de choc HSE.

Darius Leszcynski :

je suis d’accord avec Blank quand il dit que la réponse au stress chez la cellule est activée par les CEM et son commentaire : « on s’attend à ce que les CEM interagissent avec beaucoup de composants des cellules ». Il y a peut-être beaucoup de cibles pour les CEM.

Je ne partage pas les vues de Martin Pall quand il dit que les canaux calciques sont la cible des CEM. Où est sa preuve ? Il se comporte comme un étudiant qui a trouvé du nouveau et pense que tout gravite autour. J’attendais de lui une opinion scientifique plus équilibrée, car il est à la retraite et pas : « problème réglé ». Il n’a pas fait de recherche sur les CEM. Pas de recherche sur les canaux calciques. Ce qui m’horripile chez lui c’est que ce professeur continue de balancer ses vues aux autres scientifiques. Il était en Finlande pour deux conférences la semaine dernière à se poser en expert devant des politiciens. Ses canaux calciques sont faciles à démolir. Il y a plusieurs mécanismes potentiels et ils sont plausibles. La recherche a besoin de les valider et de prouver qu’ils s’exécutent dans le corps humain et pas au fin fond de ses éprouvettes dans son labo.

Pr Pall répond :

Ce Monsieur semble avoir oublié que la Science n’est pas une affaire d’opinion, mais une question de preuve. Il était présent dans la salle en Finlande, mais ne m’a posé aucune question. Les autres scientifiques présents étaient d’accord que les CEM agissent sur les canaux calciques à voltage dépendant. Il y a 26 études différentes qui montrent que les bloqueurs des canaux calciques sont des agents zélés qui bloquent l’accès des CEM aux canaux calciques ou bien diminuent ses effets. Ceci a été mesuré ! Il y a 5 espèces d’agents bloqueurs. Chacun agit dans sa sphère et avec des attributs structurels différents. Les CEM activent les canaux calciques et ils réagissent en bloquant les CEM. Les canaux calciques et d’autres canaux ont des senseurs qui marchent avec un voltage. Ils sont dans les membranes du plasma des cellules. Ils sont basés dans leur habitat et ont des propriétés structurelles. Ils obéissent aux lois de la Physique et sont très sensibles à leur activation par les CEM. Les preuves sont dans les journaux scientifiques. L’exposition aux ondes millimétriques pulsées produit presque instantanément un accroissement du calcium intercellulaire, ce qui étaye mes vues. Ces canaux calciques ont un rôle universel dans la conversion des effets électriques en changements chimiques dans les cellules. Ce sont le lieu des réponses biologiques aux CEM. Des milliers d’études mettent en évidence le flux de calcium ou le calcium envoyant un signal après exposition aux fréquences millimétriques. Il y a un vaste assortiment de réponses aux CEM et ondes millimétriques. Elles peuvent être expliquées par l’activation des canaux calciques et l’afflux immédiat du calcium. Cela donne l’oxydation par le stress, les ruptures d’ADN dans les filaments simples ou doubles et d’autres réponses génotoxiques qui incluent l’oxoguanine 8, la nitroguanine 8, le cancer, les effets cardiaques comme la bradycardie, la tachycardie, l’arythmie qui peut causer une mort cardiaque instantanée. Puis les effets neuropsychiatriques, l’infertilité male et femelle, la baisse de la mélatonine. Les plantes et les animaux ont leurs canaux calciques. La Science est une question de preuve. Il faut examiner une théorie sous différentes facettes et jamais d’un seul côté.

Henry Lai répond :

D’accord pour ces canaux calciques, mais ce n’est pas la seule réponse aux mécanismes des CEM sur le vivant. L’idée que les CEM activent les canaux calciques est vieille, mais ils ne sont pas bien connus.

Les canaux calciques sont activés quand le potentiel de la membrane change de polarité. Ce qui signifie que le changement qui déclenche l’effet a une direction dans l’espace. La partie extérieure de la membrane devient moins positive et la cellule en question doit être alignée et avec une certaine orientation par rapport à la détection des CEM. Ceci arrive in vitro, mais pas in vivo dans une situation d’exposition où un animal ou un homme se meut dans le champ. Comment ces CEM oscillatoires affectent-elles les canaux calciques ? La séquence temporelle quand le changement intervient et dans un champ de courant alternatif est probablement trop rapide pour que les canaux la détectent. C’est bon pour les champs électriques et particulièrement les fréquences radio. Les fréquences radio exercent leur effet par leur modulation de basse fréquence et non par la fréquence du transporteur. (cf. l’étude de Ross Adey sur l’afflux de calcium.) Si c’était vrai, on penserait que la fréquence radio modulée serait plus puissante qu’une onde continue de la même fréquence et du même potentiel.

En 1992 Liburdy a publié une étude ingénieuse au point de vue de la conception expérimentale et du concept. Les CEM induisaient du courant électrique et non magnétique dans les canaux calciques. On utilisait des fréquences très basses sous les 10Mz et/ou une grande intensité. Dans d’autres études, on avait utilisé des champs assez forts, de 1 à 10 microteslas.

Comment les résultats des canaux calciques expliquent-ils les effets épidémiologiques du risque accru de cancer de 0.4uT ?

Comment expliquer l’intensité de la puissance et la fréquence zéro par l’affirmation que les CEM affectent les canaux calciques ?

C’est curieux que la plupart des effets rapportés aient été sur la forme L des canaux calciques. Mais il y a des rapports qui montrent que les CEM et leurs fréquences gênaient les canaux calciques T et la fréquence n’a pas d’effet sur les canaux calciques N. Mais la fréquence radio les activait. Si le changement de polarité dans la membrane est la cause, alors peut-on déduire la même chose de toutes les formes de canaux ?

Et comment la résonnance Cyclotron s’adapte-t-elle à cette affaire-là ? On rapporte que la résonance Cyclotron du calcium et des CEM est active. Il faut se tourner vers des recherches avec des fréquences plus petites. 7 Hz.

En général ce n’est pas bon de donner une conclusion définitive dans les questions scientifiques. Einstein a dit : « Qui peut être sûr d’appréhender la nature correctement ? ».

Darius Lszczynski répond :

Henry Lai a bien expliqué le problème des déclarations tonitruantes. Ne jamais sauter sur des conclusions prématurées comme le fait Pr Pall.

Denis Henshaw répond :

Il y a eu une explosion de recherches dans la réception magnétique des animaux et leur navigation dans les champs magnétiques terrestres et stables. Des sensibilités exquises aux changements des champs magnétiques terrestres ont été mises en lumière pour des proportions aussi infimes que 10mTesla ou 50mT. C’est l’orientation de l’animal, sa navigation et les effets sur le seuil de la douleur. Pour la réception magnétique animale, deux interactions des champs magnétiques ont été discutées.

  1. Les particules magnétiques dans le corps.
  2. La faculté des champs magnétiques d’altérer la réaction chimique des cheminements en opérant sur les états vibratoires d’une paire de radicaux. Ceci prend place dans les molécules de protéine cryptochrome de l’œil. Cela fonctionne comme un corps magnétique chez les oiseaux et autres espèces. La question des canaux fait partie du processus de réception magnétique en aval et/ou des actions des RPM (Révolutions par minute).

Dimitri Panagopoulos répond à Pall :

J’ai attaché ma thèse de 2000 pour le mécanisme biophysique et j’approuve celle de Pall.

Les canaux calciques sont électrosensibles et se ferment à l’arrivée des CEM. Les autres effets comme les hormones du stress et le dommage sur l’ADN sont secondaires. La Physique nous enseigne que les champs de basse fréquence et les champs pulsés sont plus actifs en biologie. Les CEM faits par l’homme ont une polarité en contraste avec les CEM naturels. Ils provoquent des oscillations parallèles forcées dans toutes les molécules chargées des tissus biologiques spécialement chez les ions mobiles.
[les nausées des victimes éoliennes s’expliquent ainsi]

Le mouvement polarisé combiné, en parallèle et en phase de plusieurs ions proches des senseurs de voltage d’un canal électrosensible exerce une force démultipliée qui cause la fermeture ou l’ouverture du canal. Ceci altère les concentrations physiologiques des ions dans les cellules, ce qui déclenche les effets secondaires décrits par Pall. La fonction cellulaire est perturbée. Ces mécanismes biophysiques sont les seuls vérifiés par des tests et des mesures sur ordinateur.

Conclusion du Pr Pall :

Les CEM agissent grandement sinon exclusivement sur les canaux calciques à voltage dépendant en les activant. D Leczynski n’a pas de preuve à me montrer. C’est de la rhétorique et il ne s’appuie sur aucun document. Dans 26 différentes études, les bloqueurs bloquent les canaux calciques. 5 bloqueurs existent. D Leczynski ne dit pas qu’un autre mécanisme entre en jeu. Où est la preuve ?

Quand on présente des données scientifiques, on doit les examiner sérieusement. Ce Monsieur dit qu’il n’y a pas d’activation des canaux calciques à voltage dépendant et que rien ne prouve que cette activation ait lieu dans le corps humain. Un scientifique payé par le lobby qui l’emploie ? Oui, nous avons ce processus dans les cultures en labo et les animaux de laboratoire. Mais pour une raison que j’ignore, il soutient que les cellules en question, dans le corps humain, vont se comporter différemment ? Il dit que la Science en Amérique perd des millions de dollars quand elle étudie les effets des processus physiologiques et pathophysiologiques des cellules en culture et dans les expériences de labo. Dit-il que sa propre culture de cellules ne convient pas quand il est question du corps humain ?

La téléphonie mobile cause du changement dans les gènes et l’expression de la protéine dans les cellules endothéliales et la réponse semble dépendre du génome et du protéome.

Nous avons examiné in vitro la réponse de la cellule à la radiation mobile avec un signal GSM de 900 MHz en utilisant deux variantes de la cellule humaine endothéliale : EAhy926 et EAhy926V1.

L’expression du changement de gène fut examinée dans trois expérimentations en utilisant cADN et un assemblage d’expressions. Des études qui démontrent le stress oxydatif et aussi les effets thérapeutiques. Ces effets-ci apparaissent via des accroissements dépendants du calcium/calmoduline, d’oxyde nitrique NO et par conséquent d’aucun autre signal. Environ 7000 papiers ont paru sur la thérapie en réponse à des expositions millimétriques contrôlées. Cela n’existerait pas ou bien est-ce un mécanisme différent qui opère ?

Mon article a reçu un prix de la recherche médicale globale en 2013 et on m’a cité 28 fois.

Martin Blank a soulevé le problème des réponses au stress après exposition aux CEM. Cela suggère-t-il qu’il y a beaucoup d’autres cibles pour les CEM dans le corps humain ?

On sait depuis longtemps que de hauts niveaux de calcium intracellulaire CA2+ peuvent affecter la transcription des gènes (leur recombinaison). Ceci active le choc thermique et d’autres protéines contrôlées par le facteur de transcription. L’activation in vitro du facteur de transcription, sous le choc thermique, lie l’ADN par le calcium et les conditions biochimiques qui affectent la conformation de la protéine.

La complexité des interactions des CEM, jusqu’à 10/12 Hz, avec les ions, les atomes et les molécules des systèmes biologiques a donné naissance à des mécanismes bien établis en biophysique. Ceci est applicable à des séquences temporelles, à des échelles de distance très étendues et à des fréquences, des amplitudes et des ondes de forme en même temps. Cet article se concentre sur les principes physiques qui guident les estimations quantitatives des mécanismes applicables à des niveaux égaux ou inférieurs aux champs magnétiques endogènes du corps humain. Ce qui concerne le développement, la guérison des plaies, l’excitation des muscles et le système nerveux ; en général la bioelectricité, de 1 à10/12 volts/m avec accent sur des conditions où des hausses de température sont significatives <<1K.

Les expériences et la théorie démontrent une des modulations possibles des membranes-écrans pour les fréquences < ou = 10 MHz, mais rien à de plus hautes fréquences. Même si les niveaux de signaux quelque peu inférieurs au bruit du système peuvent être détectés. Le ratio entre le signal et le bruit substantiellement moins que 0,1 ne peut pas être dépassé par la coopérativité, la moyenne du signal, la détection cohérente ou par des systèmes dynamiques non linéaires. Les systèmes sensoriels et des effets possibles sur la magnétite biologique suggèrent des paradigmes pour la sensibilité extrême à de basses fréquences, mais il n’y a pas de fréquence radio connue analogue.

Au niveau moléculaire, les modes vibratoires sont si amoindris par les molécules d’eau que l’excitation des modes moléculaires sous un infrarouge extrême est inhibée. Deux mécanismes de fréquence radio peuvent affecter peut-être la matière biologique sous des conditions communes d’exposition. Pour les fréquences en dessous de 150 MHz, il se produit des variations dans le taux. Des réactions chimiques peuvent être introduites par des paires de radicaux et à toutes les fréquences. Un réchauffement diélectrique et résistant peut élever la température et accroître l’entropie du système biologique affecté.

Sheppard et coll. démontrent assez bien que la plupart des structures chargées de la cellule ne sont pas sensibles à ces champs faibles pour produire des effets biologiques substantiels. Nous savons bien qu’il y a des milliers d’études qui montrent des effets de cette nature, donc sa base est bancale. Les senseurs à voltage des canaux calciques et aussi d’autres canaux avec des voltages dépendants sont sensés être très sensibles à des CEM de faible intensité. Cette sensibilité se décline sur plusieurs niveaux de magnitude, beaucoup plus que les membranes sans plasma. Ceci repose sur la Physique. Quand on soutient qu’il y a de nombreuses cibles des CEM, on doit avoir au minimum des cibles identifiées. Et le prouver. Et quand les changements de cible peuvent produire des effets biologiques. Pour les mammifères ce sont ces CCVI.

Merci à Dimitri Panagopoulos et au Dr Berlyav pour leurs commentaires et l’info qu’ils partagent pour des études qui me précèdent. Mr Panagopoulos a publié des études modélisées sur les canaux ions à voltage dépendant et il suggérait d’autres cibles. Dr Berlyav a démontré p 57-58 de son article que les membranes plasma étaient impliquées comme cibles et les canaux ions. Il cite la recherche de Kaiser et coll. depuis 20 ans qui fait l’hypothèse que CA2+ en oscillation peut être produit par les expositions aux CEM. Chacun de ces papiers pointe vers l’activation des CCVI et fournit un marchepied vers ma théorie. La prescience de W. R Adey est encore plus en évidence quand il écrit que la preuve de ce qu’il avance réside dans les récepteurs de la membrane de la cellule. Un site où les interactions cellulaires avec les basses fréquences et les ondes millimétriques sont actives. C’est valable pour les transmetteurs nerveux, les hormones, l’expression des enzymes qui règlent la croissance et les composants chimiques qui promeuvent le cancer. Dans ces études il n’y a pas d’effet thermique qui participe au processus. Londres, 16-17 mai 2002.

Ailleurs Adey a fait le tour des changements dans les flux de calcium et la signalisation pour répondre aux expositions de CEM. Nous sommes à l’aube de la découverte du mécanisme des CCVI en 2012 et c’est tragique qu’on ait pris la mesure de cette découverte que depuis deux ans.

Documents de référence et annexes (en anglais)

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées
et accessoirement les dossiers
Implants numériques
et
Vaccins et virus]




Résidence fermée

[Source : nice-provence.info]

Par Michel Lebon

Les Français se barricadent. Quand les frontières tombent et ne protègent plus, quand la police baisse les bras, les habitants se confinent entre des murs d’enceinte. Le Vivre-Ensemble est une chimère.

Témoignage de Gersende B.

Tous les matins, je vais faire une heure de marche sportive pour démarrer la journée. En ce moment, je suis à Uzès, encore pour quelques jours et en faisant mon grand tour matinal de la ville, bien en dehors du centre historique, j’ai remarqué la prolifération de « gated communities »(([1]Cette expression nous vient d’Outre-Atlantique où ce mode d’habitat est très répandu.« Gated communities» est souvent traduit par quartier résidentiel fermé. Une résidence fermée se présente sous la forme d’un regroupement de demeures, entouré par un mur ou un grillage et disposant d’équipements de protection — vidéosurveillance, gardiennage — qui l’isolent du tissu urbain environnant. Notre illustration à la une est la maquette d’un projet immobilier Kaufman&Broad à Six-Fours-les-Plages.)). J’en ai dénombré une bonne dizaine, ce qui est beaucoup pour une petite ville de 8 000 habitants. Et il y en a encore au moins deux autres en projet.
Je m’interroge.

Pourquoi aller s’enfermer dans ce genre de complexes quand l’insécurité ne le justifie absolument pas. Uzès est très tranquille. Ce ne sont pas les très riches qui vont se cloîtrer là-dedans, ils ont des grandes propriétés dissimulées dans des parcs de plusieurs hectares ou des hôtels particuliers dans le centre historique. C’est plutôt la classe moyenne supérieure qui prise ce genre de prison choisie, calquée sur le modèle de la banlieue proprette à l’américaine. Je parle de prison parce que tu ne peux pas y inviter qui tu veux à l’improviste, tes enfants n’ont pas le droit d’y jouer dehors parce que ce sont des nuisances sonores, tu ne peux même pas repeindre tes volets de la couleur que tu veux ou planter un arbuste dans ton jardin car contraire au règlement intérieur. On me dit que les « gated communities » prolifèrent aussi sur la Côte d’Azur(([2] La ville de Marseille est pionnière en la matière. En 2015 elle comptait déjà 1 500 résidences fermées.)) ou dans le Luberon voisin.

On assiste donc aussi dans les petites villes et les villages à la même sécession de la bourgeoisie aisée que l’on observe déjà dans les grands centres urbains, où la bourgeoisie s’accapare les centres-ville en reléguant les pauvres et les petites classes moyennes en voie de paupérisation accélérée de plus en plus loin. Phénomène qui va s’aggraver en ville avec les mesures climatiques prévues d’interdiction des voitures et la déshérence des transports en commun.

On avance de plus en plus vers une dystopie cyberpunk avec des ghettos riches ultra sécurisés à coup de drones, de caméras, voire de passes biométriques (le dispositif de sécurité des JO à Paris en sera l’expérimentation avant sa généralisation à tous les grands centres urbains), isolés de marges de plus en plus paupérisées, où l’on survivra de petits trafics et de débrouille, avec des écoles de merde et des hôpitaux en ruine et où de temps en temps, on enverra la police réprimer très durement des émeutes de la faim…

Les résidences fermées fleurissent en France, comme dans le reste de ce monde que la « mondialisation heureuse » ne protège pas.

Déjà en 2007, la résistance s’organisait

Les copropriétés qui ne peuvent pas de transformer en Résidence fermée, se dotent de portails avec digicode et caméras de contrôle.

Gated communities aux États-Unis, condominio au Brésil. Même en Chine pour les plus riches des communistes… C’est une tendance générale mondiale et la France est juste en retard sur ce phénomène général de repli communautaire. Mais grâce à Macron, nous rattrapons notre retard.

De « belles » images sont visibles sur le site de National Geographic.

Beaucoup de films d’anticipation traitent de ce sujet : une communauté d’ultra riches qui vivent en vase clos. Tout autour, c’est un bidonville géant. Postes de cerbères, vigiles à berger allemand, barrières, murs d’enceinte surveillés par vidéo. Les miradors se font discrets, mais ils sont souvent là. Il ne manque qu’un no man’s land avec mines et pièges à loups. À l’intérieur : club house, tennis, piscine, golf, aire de jeux, souvent une supérette, un cabinet médical, un kiosque, un héliport pour les plus belles résidences. Tout pour vivre entre soi en autarcie.

À chaque fois qu’on nous serine avec le « Vivre-Ensemble », une nouvelle résidence fermée sort de terre.

Chacun chez soi et les moutons seront bien gardés.




L’élite de la Silicon Valley est fatiguée de San Francisco et veut bâtir une ville idéale à partir de rien

[Source : fr.businessam.be]

Par Baptiste Lambert

Plusieurs noms connus de la tech américaine ont acheté des milliers d’hectares non loin de San Francisco et de la Silicon Valley. Le New York Times raconte ce week-end la progression de ce mystérieux nouvel Eldorado.

La semaine dernière, une opération longtemps gardée secrète a été révélée au grand jour dans le Comté de Solano, près de San Francisco. Les habitants ont commencé à recevoir des emails et des SMS, leur demandant leur avis sur « Joe Biden », « Donald Trump » ou encore « Flannery Associates ». Une question était relative à une éventuelle initiative de vote pour un projet qui « inclurait une nouvelle ville avec des dizaines de milliers de nouvelles maisons, une grande ferme d’énergie solaire, des vergers avec plus d’un million de nouveaux arbres et plus de 5 000 hectares de nouveaux parcs et d’espaces ouverts ».

Ces questions ont mis la puce à l’oreille des habitants du Comté de Solano, qui s’interrogent depuis de nombreuses années sur les mystérieux achats de terrains de cette société : Flannery Associates. Les spéculations sont allées bon train : un nouveau parc à thèmes ? Des achats liés à des projets chinois ? Un nouveau port ?

La genèse du projet

Pour comprendre, il faut revenir en 2017. Michael Moritz, le milliardaire en capital-risque, envoie une note aux investisseurs potentiels à propos d’une opportunité inhabituelle : investir dans la création d’une nouvelle ville californienne. L’idée a germé dans la tête de Jan Sramek, 36 ans, un ancien trader de Goldman Sachs, qui a tenté de convaincre les plus grands noms de la tech. Ce dernier a imaginé acheter des terrains non loin de la baie de San Francisco pour y construire une sorte de cité idéale.

5 années et 800 millions de dollars plus tard, Flannery Associates a acheté des milliers d’hectares à 60 miles au nord-est de San Francisco, auprès de 400 propriétaires, dont certains sont subitement devenus millionnaires.

Parmi les associés, on retrouve quelques noms connus de l’élite de la Silicon Valley, comme Reid Hoffman, co-fondateur de LinkedIn, Marc Andreessen et Chris Dixo du fonds d’investissement Andreessen Horowitz. Patrick et John Collison, les frères co-fondateurs de la société de paiement Stripe, et encore d’autres noms.

La cité idéale

Leur ambition est de construire une ville à partir de rien. Faire d’une zone aride coupée par une autoroute à deux voies et des lignes à haute tension, une ville, moderne et propre, habitée par de dizaines de milliers d’habitants.

Leur volonté est née du rejet des désagréments qui s’accumulent à San Francisco, entre les difficultés d’agrandir la Silicon Valley, la montée des prix de l’immobilier, mais aussi la hausse de l’insécurité, du sans-abrisme et de la congestion. Le centre-ville en particulier est en proie à une crise profonde, faite de drogue, de bureaux vides et de commerces qui ferment leurs portes. Un cercle vicieux qui fait régulièrement la Une de l’actualité américaine et internationale.

Il reste à voir si ce doux rêve d’une ville idéale se réalisera. Certains estiment que les infrastructures existantes sont nulles ou presque, que la région est en proie aux sécheresses régulières et présente un risque élevé d’incendies.

Un long fantasme

Ce n’est pas la première fois que l’idée d’une ville 2.0 est imaginée par des milliardaires-apprentis sorciers : Peter Thiel, co-fondateur de PayPal et investisseur milliardaire de Facebook, a investi il y a plusieurs années dans le Seasteading Institute, qui visait à construire une nouvelle société sur des structures semblables à des nénuphars dans un océan libre de lois et d’impôts.

Plus récemment, Elon Musk a acheté des milliers d’hectares non loin d’Austin, le siège de Tesla. Il veut faire de la bourgade de Snailbrook une sorte de ville utopique où viendraient vivre les employés de Tesla dans la joie et la bonne humeur.

Et vous rappelez-vous de Telosa, cité idéale mi-égalitariste, mi-capitaliste, voulue par l’ancien directeur de Walmart, Marc Lore ? Deux ans plus tard, on est toujours sans nouvelle d’une quelconque avancée de ce projet.




Maui : les satanistes retournent le couteau dans la plaie

[Source : henrymakow.com via Nicolas Bonnal]

« Si la population est heureuse qu’on lui crache dessus, qu’on se moque d’elle, qu’on lui mente, qu’on l’empoisonne et qu’on l’assassine, il n’y a pas grand-chose que moi ou quelqu’un d’autre puisse faire pour elle. »

Par Mike Stone

On m’a demandé de commenter les « feux de forêt » de Maui.

Oui, ils sont le résultat d’armes à énergie dirigée (DEW), tout comme les incendies de Californie.

[Traduction automatique de https://henrymakow.com/mansions.png par Yandex,
suffisante pour comprendre le sens du texte initialement en anglais.
Plutôt que « Complètement Bien », lire cependant plutôt ici
« Complètement épargné » ou encore « Aucun dommage ».]

Oui, ces armes ont ciblé des habitations spécifiques, tout en évitant soigneusement les autres.

Oui, ils ont entraîné la mort délibérée d’un nombre incalculable de personnes, principalement des enfants.

Oui, les écoles ont été volontairement fermées, obligeant les enfants à rester chez eux où ils ont été brûlés vifs.

Oui, les auteurs de ces incendies ont immédiatement tenté d’acquérir les terres et les propriétés brûlées pour quelques centimes d’euros.

Il faudrait plus de 100 heures pour expliquer en détail tout ce qui précède d’une manière compréhensible pour le commun des mortels qui n’a jamais entendu parler d’armes à énergie dirigée. Si je pensais qu’une telle entreprise contribuait à éduquer un grand nombre de personnes, je le ferais.

C’est pourtant ce que j’ai fait avec le récent canular du virus, en passant d’innombrables heures à compiler des faits, des preuves et des témoignages montrant que tout cela n’était qu’une fraude et un canular. Presque toutes les personnes encore en vie croient encore que le virus était réel. Nombre d’entre elles ont même collaboré avec l’ennemi en continuant à soutenir les personnes, les institutions et les entreprises qui poussaient le plus fort le canular. Dans mon quartier, des crétins décérébrés portent encore des masques.

J’ai fait la même chose, dans une moindre mesure, pour le 11 septembre, en citant des noms et en montrant non seulement qui avait fait le coup, mais aussi comment et pourquoi. Et que s’est-il passé ? Aujourd’hui, presque tout le monde croit encore au conte de fées d’Oussama ben Laden.

Non seulement cela, mais dans le monde de la recherche et du journalisme d’investigation, je ne suis qu’un petit point sur l’écran radar. D’autres font des recherches et des travaux bien plus importants que moi, mais très peu de gens les écoutent.

Si la population en général est heureuse qu’on lui crache dessus, qu’on se moque d’elle, qu’on lui mente, qu’on l’empoisonne et qu’on l’assassine, il n’y a pas grand-chose que moi ou quelqu’un d’autre puisse faire pour elle.

L’AMÉRIQUE S’EFFONDRE

Il y a quelques semaines à peine, nous évoquions l’effondrement de l’empire américain.

La situation à Maui n’est qu’un signe supplémentaire de cet effondrement. Lorsque les auteurs de ces crimes peuvent s’en tirer avec ce type de massacre — et que le troupeau de moutons humains les suit… —, ils peuvent tromper le monde entier. Lorsqu’ils parviendront à faire croire au monde entier qu’un virus inexistant est en train de les tuer — et que les masses à la cervelle en bouillie les suivront, jusqu’à leur propre empoisonnement et leur propre mort — alors le pays sera fini, fichu, terminé.

Bien sûr, il y aura Trump en 2024, mais que pourra-t-il accomplir si la grande majorité des Américains sont si stupides qu’on leur lave le cerveau pour leur faire croire n’importe quoi ? Ils demandent à Trump de les sauver, le fustigeant à chaque occasion pour ne pas en faire assez, alors qu’eux-mêmes refusent de lever le petit doigt et de se battre :

« Nous, boycotter les compagnies aériennes ? Arrêter de regarder de la pornographie ? Annuler notre télévision par câble ? C’est une blague ! ».

Et qui peut dire que les auteurs de l’élection volée de 2020 ne lanceront pas leurs armes à énergie dirigées sur nous tous s’ils pensent qu’ils sont en train de tomber ? Ils volent des élections et assassinent des innocents sans craindre d’être arrêtés ou poursuivis. Leur orgueil est tel qu’ils croient probablement pouvoir anéantir toute la population et s’en tirer à bon compte. Et si l’on se base sur le niveau d’intelligence de l’individu moyen, c’est bien possible.

N’oubliez pas qu’il s’agit des descendants physiques et spirituels de ceux qui ont bombardé Dresde, Tokyo, Hiroshima et Nagasaki (le 9 août, le même jour que l’attaque de Maui), qui ont brûlé des enfants vivants à Waco, au Texas, et qui ont ramené l’Irak à l’âge de pierre. Ils sont obsédés par les holocaustes, particulièrement s’ils sont enflammés.

SAUVEZ-VOUS !

À ce stade, c’est chacun pour soi. À moins qu’un dictateur comme Trump n’arrive au pouvoir en 2024 et ne redresse la situation, les choses vont empirer avant de s’améliorer.




Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie

[Source : expose-news.com]

[Illustration : Getty Images]

Les chiffres de Deagel concernant la dépopulation en 2025 sont un objectif et non une estimation. Parce qu’on n’a plus besoin de vous en raison de la naissance de l’intelligence artificielle et que la prochaine étape du plan de l’élite est d’utiliser la propagande de l’ébullition mondiale pour vous convaincre que vous êtes l’empreinte carbone qui doit être éliminée.
Un plan effrayant a été découvert, qui devrait vous choquer au plus haut point.

Depuis des décennies, les puissances mondiales orchestrent une stratégie de dépopulation, dissimulée sous le couvert de crises de santé publique, d’instabilité économique et de préoccupations environnementales.

Aujourd’hui, à l’aube de la révolution de l’intelligence artificielle, que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, appelle affectueusement la quatrième révolution industrielle, le monde est confronté à un avenir inquiétant.

L’intelligence artificielle étant sur le point de remplacer la main-d’œuvre faiblement rémunérée, la main-d’œuvre humaine, autrefois indispensable, est soudain dépeinte comme le méchant d’une soi-disant saga environnementale qui a été baptisée de nombreux noms :

« Réchauffement de la planète », « Changement climatique » et maintenant même « Ébullition de la planète », comme le Secrétaire général des Nations unies l’a scandaleusement annoncé au monde le 27 juillet 2023 en proclamant à tort :

« Le changement climatique est là. Il est terrifiant. Et ce n’est que le début. »

« L’ère du réchauffement climatique est terminée ; l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée. »

« L’air est irrespirable. »

António Guterres, secrétaire général des Nations unies, lors de sa conférence de presse sur le climat.
Source

En réalité, la prétendue crise du changement climatique n’est qu’un autre rouage d’un programme de dépopulation dissimulé, habilement mis au point par les pouvoirs en place.

Et la seule empreinte carbone qu’ils veulent éliminer, c’est vous.

Préparez-vous à vous aventurer au cœur de cette histoire qui fait froid dans le dos, en naviguant dans le labyrinthe des prévisions inquiétantes, des documents ultrasecrets, des politiques stratégiques et de l’histoire du changement climatique qui fait partie d’un grand dessein inquiétant.

Section 1 : Un monde piloté par l’IA et la proposition impensable

L’intelligence artificielle (IA) devient omniprésente et promet un avenir aux possibilités infinies. Mais y aurait-il un revers à la médaille ?
Imaginez un peu :
À mesure que l’IA continue d’évoluer, des millions, voire des milliards d’êtres humains ne seront plus nécessaires pour les emplois quotidiens qui, par construction, sont faiblement rémunérés.
Ils deviendront en fait des « mangeurs inutiles ».
L’establishment n’ayant pas l’intention de payer pour qu’ils vivent, un plan est en cours d’élaboration depuis des décennies, qui consiste à réduire délibérément la population humaine.
Bienvenue dans une vérité qui fait froid dans le dos et qui nous plonge dans les bas-fonds de prédictions inquiétantes et de schémas sinistres que vous ne trouverez pas sur BBC News.

Section 2 : L’oracle de la ruine — Les prévisions de Deagel en matière de dépopulation

Deagel.com est une obscure entité en ligne connue pour ses données exhaustives sur les capacités militaires et ses prévisions sourcilleuses de dépopulation pour 2025.
Nous pouvons révéler que des découvertes récentes relient directement Deagel à des acteurs importants sur la scène mondiale : La Central Intelligence Agency (CIA), le Département de la Défense des États-Unis (DoD) et la Fondation Rockefeller.
Les prévisions apocalyptiques de Deagel en matière de dépopulation pour 2025 annoncent une baisse significative de la population dans différents pays, ce qui suscite un certain malaise compte tenu des données actuelles sur la surmortalité enregistrées dans le monde entier.
Les [tristement célèbres] prévisions de Deagel.com pour 2025 ont été retirées de leur site web au cours de l’année 2020. Toutefois, grâce à la Wayback Machine/Internet Archive, nous pouvons consulter les prévisions originales avant qu’elles ne soient découvertes par des penseurs critiques.
En 2020, Deagel proposait une série de prédictions étonnantes : en 2025, ils prévoyaient que la population du Royaume-Uni diminuerait d’un pourcentage stupéfiant de 77,1 %.

Les États-Unis n’étaient pas loin derrière avec une diminution prévue de 68,5 %. L’Allemagne devrait connaître une réduction de 65,1 %, tandis que l’Australie devrait voir sa population diminuer de 34,6 %. Ces projections ont également mis en évidence des baisses significatives dans de nombreux autres pays occidentaux.

Source

Une liste complète des prédictions apocalyptiques originales de Deagel sur la dépopulation peut être consultée ici.
Nous pouvons confirmer que le Dr Edwin A. Deagle Jr, qui est décédé le 16 février 2021, est la figure de proue confirmée que les autorités voudraient vous faire croire qu’il est le seul à être à l’origine de Deagel.com.
Au cours de sa vie, le Dr Edwin a occupé les fonctions d’assistant du secrétaire à la défense et de secrétaire adjoint à la défense. Il a également été directeur des relations internationales de la Fondation Rockefeller, une influente organisation philanthropique mondiale.
Mais des documents déclassifiés, publiés à la suite de demandes présentées en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), révèlent les communications de M. Deagle avec le directeur du renseignement central des États-Unis de l’époque, Stansfield Turner, ce qui prouve l’existence d’une relation avec les hauts responsables de la CIA.
L’un de ces documents, daté de 1977, fait référence à un événement décrit comme « le plus important dans le domaine du renseignement depuis 1947 ».

Source
Source

Le texte intégral de la lettre adressée à Stansfield Turner, alors directeur de la CIA, par Edwin A. Deagle Jr, directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller.

Source
Lettre complète adressée au Dr Edwin A. Deagle Jr,
directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller,
par Stansfield Turner, alors directeur de la CIA.

La CIA a publié 23 articles FOIA concernant le Dr Deagle, la Fondation Rockefeller, le ministère américain de la Défense et l’ancien directeur de la CIA.

Ces informations montrent que Deagel.com n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais qu’il s’agit plutôt d’un effort concerté des principaux éléments du complexe militaro-industriel américain, à savoir la CIA, le ministère américain de la Défense et l’énigmatique Fondation Rockefeller.

Ces liens confèrent une gravité inquiétante aux sombres prédictions de Deagel en matière de dépopulation. Elles soulèvent une question qui devrait vous faire frissonner : pourquoi une organisation, étroitement liée aux structures du pouvoir mondial, prévoit-elle un avenir aussi effrayant ?

Section 3 : Le fantôme de Kissinger et la stratégie de dépopulation

Se référant à un mémorandum rédigé par le général Taylor en 1973, le général Draper et ses collègues ont présenté leur point de vue selon lequel l’explosion démographique dans les pays en développement constituait non seulement une menace pour les intérêts américains en matière d’économie et de développement de ces pays, mais aussi, plus fondamentalement, un danger pour les intérêts politico-militaires des États-Unis.

L’ombre de l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger plane sur ce discours. C’est sous sa direction qu’a été conçu le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), connu familièrement sous le nom de « rapport Kissinger ».

« La dépopulation devrait être la plus haute priorité
de la politique étrangère envers le tiers-monde. » — Henry Kissinger

Le rapport, formulé en 1974, a représenté un changement radical dans la politique étrangère américaine, en plaçant le contrôle de la population au premier plan de sa stratégie de sécurité. Son objectif déclaré était de s’attaquer à la croissance démographique dans les pays en développement, mais les machinations qui le sous-tendaient étaient sans doute bien plus sinistres.

Le rapport NSSM 200 identifiait 13 pays considérés comme particulièrement problématiques en raison de la croissance rapide de leur population. Le rapport préconisait des mesures de contrôle de la population et approuvait même l’idée d’utiliser la nourriture comme arme pour faire appliquer ces mesures, donnant ainsi un aperçu d’un état d’esprit déconcertant.

Une analyse complète du rapport Kissinger est disponible ici.

Source

La NSSM 200 et ses implications effrayantes nous amènent à poser la question suivante : se pourrait-il que la même philosophie, l’idée même du contrôle de la population à des fins stratégiques, se soit infiltrée dans le récit du monde d’aujourd’hui ? Et cette philosophie pourrait-elle être à l’origine des forces qui façonnent notre présent et notre avenir ?
Les faits le suggèrent certainement.

Section 4 : Agenda 2030 de l’ONU, écoterroristes, propagande et mensonges : Problème, Réaction, Solution

L’objectif initial présumé de l’Agenda 21 était de parvenir à un développement durable mondial d’ici l’an 2000, le « 21 » de l’Agenda 21 faisant référence à l’objectif initial du 21e siècle.
L’Agenda 2030 des Nations unies, également connu sous le nom d’Objectifs de développement durable, était un ensemble d’objectifs décidés lors du Sommet des Nations unies (« ONU ») sur le développement durable en 2015. L’Agenda 2030 a repris tous les objectifs fixés par l’Agenda 21 et les a réaffirmés comme étant la base du « développement durable ».

L’Agenda 2030 prétend protéger la biodiversité. Mais dans les méandres de ses récits et de ses intrigues secondaires se cache un sinistre scénario pour un monde avec moins d’êtres humains.

Si nous regardons au-delà de la langue de bois qu’ils utilisent pour tenter de vous convaincre qu’ils sont une force pour le bien, nous pouvons voir quels sont leurs véritables objectifs. Les docteurs Michael Coffman et Henry Lamb ont une partie des réponses.

Le Dr Michael Coffman était un auteur, un chercheur, un conférencier et un contributeur fondateur de la lutte contre l’Agenda 21 pour le développement durable. Il a été président de Environmental Perspectives, inc. et directeur exécutif de Sovereignty International.

M. Coffman a joué un rôle crucial dans l’arrêt de la ratification du traité sur la biodiversité au Sénat américain. Il est malheureusement décédé en 2017.

Henry Lamb a été le premier à découvrir l’Agenda 21 et à tirer la sonnette d’alarme. Il a écrit le livre « The Rise of Global Governance, and Agenda 21 ». Il a également produit une série de vidéos sur l’Agenda 21. Celles-ci constituent des outils inestimables pour tous ceux qui veulent savoir d’où vient cet agenda maléfique et pourquoi il faut l’arrêter. Lamb est décédé en 2012.

La conservation de la diversité biologique fait l’objet du chapitre 15 de l’Agenda 21 et a été traduite dans l’Agenda 2030 en tant qu’ODD [Objectif de Développement Durable] 15.

Protéger, restaurer et promouvoir l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des sols et enrayer la perte de biodiversité.

Mais ne vous laissez pas abuser par l’utilisation des mots « conservation », « protéger » et « restaurer », car vous verrez que l’ODD 15 n’a rien à voir avec la conservation. Il n’a pas non plus grand-chose à voir avec la diversité biologique.

Les véritables objectifs de l’ODD 15 sont enfouis dans trois documents fondateurs des Nations unies. Ces trois documents sont le traité sur la biodiversité de 1992, le projet Wildlands de 1992 et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995.

Signée par 150 chefs d’État et de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le « développement durable ». La Convention sur la diversité biologique est également connue sous le nom de Traité sur la biodiversité.

Si la Convention sur la diversité biologique, le traité sur la biodiversité, avait été signée par le Sénat américain au cours de l’été 1994, elle « aurait imposé une réduction de deux tiers de la population humaine de la Terre en 30 à 50 ans ».

Les États-Unis peuvent remercier le Dr Michael Coffman pour cela. Mais sa contribution au retard dans l’édifice du plan de l’establishment visant à dépeupler la planète a malheureusement été enterrée avec lui en 2017.

Le concept des terres sauvages est principalement l’œuvre de David Foreman, principal fondateur du groupe écoterroriste Earth First ! et ancien membre du conseil d’administration du Sierra Club.

Le groupe utilisait des tactiques d’action directe et, contrairement aux efforts de lobbying prudents des organisations environnementales établies, le « monkeywrenching » (sabotage industriel traditionnellement associé aux luttes syndicales) allait devenir la principale tactique du mouvement Earth First ! dans les années 1980.

Le Earth First! Journal, issu de la lettre d’information Earth First !, était édité par Foreman. Dans son premier numéro, Foreman définit les objectifs de l’organisation :

« Nous ne ferons pas de compromis politiques. Laissons les autres groupes s’en charger. EARTH FIRST exposera la position pure, dure et radicale de ceux qui croient en la Terre d’abord. »

Le journal a confirmé que Earth First ! était un groupe écoterroriste.

En 1990, Foreman a été l’une des cinq personnes arrêtées par le Federal Bureau of Investigation (FBI) à la suite de l’opération THERMCON, au cours de laquelle des agents du FBI ont infiltré un groupe d’Arizona Earth First ! et l’ont encouragé à saboter une ligne électrique alimentant une station de pompage d’eau.

Bien que Foreman n’ait pas joué de rôle direct dans la tentative de sabotage, il a finalement plaidé coupable d’un délit mineur pour avoir remis deux exemplaires d’Ecodefense à un informateur du FBI et a été condamné à une peine avec sursis.

David Foreman de World First!

Le concept inhabituel proposé par le Wildlands Scheme exige une réorganisation radicale de la civilisation humaine. Il s’agit notamment de fermer les mines, de supprimer les routes dans les paysages naturels, d’arrêter l’exploitation du bois et même de déplacer les populations humaines. L’objectif est de remodeler radicalement notre interaction avec l’environnement.

« À la page 15 de The Wildlands Project, Reed Noss affirme que nous devons convertir au moins 50 % de la superficie de l’Amérique du Nord en zones de nature sauvage interdites à l’homme.

« Ces zones centrales de nature sauvage doivent être reliées entre elles par des corridors de nature sauvage interdits à l’homme. Ces zones de nature sauvage doivent être entourées de zones tampons où l’utilisation des ressources peut être limitée, sous la supervision et avec l’autorisation du gouvernement fédéral, en collaboration avec des organisations non gouvernementales. »

« La population humaine doit être réinstallée sur les 25 % restants du territoire dans des communautés qualifiées de “communautés durables”. »

L’organisation environnementale Earth First!, créée en 1980, a inauguré une forme d’action directe pour mettre fin aux menaces perçues pour l’environnement, ouvrant la voie à des groupes modernes tels que Just Stop Oil et Extinction Rebellion.

Tout comme Earth First!, ces nouveaux groupes utilisent des stratégies d’action directe et de désobéissance civile pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils s’attaquent aux problèmes environnementaux.

Cependant, alors que les actions de Earth First! se concentraient principalement sur des menaces spécifiques telles que la déforestation et le développement urbain, Just Stop Oil! et Extinction Rebellion opèrent avec un mandat plus large, ciblant des problèmes systémiques tels que la dépendance aux combustibles fossiles et le changement climatique.

Elles visent à transformer radicalement la relation de la société avec l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique. Cependant, ils partagent tous la même conviction, à savoir la nécessité de prendre des mesures radicales pour préserver et restaurer les écosystèmes de la Terre.

Mais il est extrêmement intéressant de noter qui finance réellement ces groupes. La principale source de revenus de Just Stop Oil provient d’Aileen Getty, l’héritière milliardaire de la fortune de Getty Oil. La Getty Oil Company était une société américaine de commercialisation du pétrole, issue de la grande société pétrolière intégrée fondée par J. Paul Getty.

Le plus grand donateur d’Extinction Rebellion est le milliardaire britannique Sir Chris Hohn, qui gère le fonds spéculatif TCI. Mais TCI a fait une grande partie de sa fortune grâce à un producteur de charbon indien et possède encore aujourd’hui des parts dans trois chemins de fer qui brûlent des tonnes de diesel et expédient des combustibles fossiles. Cela inclut les sables bitumineux, l’une des pires sources de prétendus gaz à effet de serre.

Pourquoi des entités profondément liées à l’industrie du pétrole et du charbon financeraient-elles des groupes qui prônent exactement le contraire, à savoir un monde libéré de la dépendance aux combustibles fossiles ?

Les réponses peuvent être multiples : il s’agit peut-être d’un stratagème astucieux pour paraître plus respectueux de l’environnement, ou peut-être d’une tentative de contrôler le discours et d’influencer la vitesse et la direction de l’inévitable évolution vers des énergies plus « vertes ».

Quelles que soient les motivations, cette étrange alliance met en lumière l’enchevêtrement des intérêts et des influences au sein du mouvement écologiste, laissant entrevoir un tableau bien plus complexe en filigrane.

Mais revenons aux véritables objectifs de l’ODD 15, enfouis dans trois des documents fondateurs des Nations unies.

En 1996, Henry Lamb s’est exprimé au Forum de Grenade. Son discours contenait des révélations sur l’évaluation mondiale de la biodiversité :

« La Convention sur la diversité biologique fait 16 pages. Très fade, extrêmement vague… [Cependant, elle stipule] qu’une Conférence des Parties [‘COP’] doit créer un organe subsidiaire qui produira une évaluation mondiale de la biodiversité… Lors de la première réunion [de la COP tenue en 1994 ou COP1], le Programme des Nations unies pour l’environnement [‘PNUE’] leur a présenté une évaluation mondiale de la biodiversité. »

Le plan visant à « étendre les habitats naturels et les corridors pour couvrir jusqu’à 30 % de la surface terrestre » est ce que l’on appelle aujourd’hui le plan « 30 par 30 ». Ce plan a de nouveau été présenté lors de la COP15 — la conférence de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (“UNCBD”) — qui s’est tenue en décembre 2022, 30 ans après que l’écoterroriste et le porte-parole autoproclamé des oracles l’aient conçu pour la première fois.

30 par 30 est le plus grand accaparement de terres de l’histoire, commercialisé sous le couvert de la « protection de la biodiversité ». Survival International estime que ce plan infâme déplacera environ 300 millions de personnes indigènes dans le monde entier de leurs terres et forêts d’origine au nom de la « conservation ». Ce faisant, il rendra quelques privilégiés extrêmement riches.

Mais le plan en faveur de la biodiversité est plus sinistre que l’appât du gain : il déplace des populations, les entasse dans des centres urbains et leur interdit l’accès à la nature et au monde naturel. L’alternative, comme l’indique l’évaluation mondiale de la biodiversité, est la dépopulation.

Global Biodiversity Assessment, UNEP, 1995, p. 773

Les principaux objectifs de l’ODD 15, une initiative clé des Nations unies, sont subtilement inscrits dans trois de ses documents fondamentaux : le traité de 1992 sur la biodiversité, le projet de 1992 sur les zones sauvages et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995. En reliant ces politiques distinctes, mais interdépendantes, nous découvrons une feuille de route potentielle pour une réduction massive de la population mondiale.

Pris ensemble, ces documents brossent un tableau déconcertant. Sous le noble couvert de la conservation de la biodiversité, on pourrait interpréter ces initiatives comme un plan graduel et systématique visant à limiter les populations humaines, le tout sous les auspices de la protection de notre planète.

Une planète qui serait entrée dans une ère d’« ébullition globale » où « l’air est irrespirable », selon le secrétaire général de l’ONU António Guterres.

Secretaire Général de l’ONU : António Guterres

Les techniques classiques de propagande entrent ici en jeu, en particulier l’appel à la peur, qui est une méthode puissante pour influencer l’opinion publique et susciter des changements de comportement.

L’appel à la peur fonctionne en présentant une menace suffisamment grave pour inquiéter le public, puis en proposant une recommandation spécifique pour atténuer cette menace. Dans le cas présent, la menace présumée est l’« ébullition mondiale » et l’« air irrespirable ».

Un langage aussi vif et dramatique génère une anxiété immédiate quant à l’état de notre planète et à notre survie sur celle-ci. Et ce, même s’il s’agit de mensonges éhontés.

Une fois que le public est suffisamment préoccupé par la menace, le propagandiste peut alors présenter l’action recommandée. Dans ce cas, il peut s’agir de politiques climatiques agressives, de changements de mode de vie ou peut-être, comme le suggère l’objet de notre enquête, d’un plaidoyer en faveur d’une réduction de la population mondiale afin de diminuer l’impact de l’homme sur l’environnement.

Ces déclarations extrêmes créent un récit qui fait apparaître l’action souhaitée non seulement comme raisonnable, mais aussi comme absolument nécessaire à la survie. Le public, poussé par la peur et le désir de sécurité, est plus enclin à accepter cette « solution », même si elle implique des changements ou des sacrifices drastiques.

Malheureusement, ces mesures incluront le contrôle de la population/dépopulation, déguisé en réponse vitale à la fausse crise climatique.

Section 5 : Les documents confidentiels de Pfizer : Un regard sur ce que la FDA a essayé de cacher

Attachez vos ceintures, car notre enquête ouvre maintenant une boîte de Pandore : les documents classifiés de Pfizer sur son vaccin à ARNm Covid-19.

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de la sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web.

L’un des documents contenus dans le dumping de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf », et il révèle ce qui suit :

90 % des femmes enceintes vaccinées par Covid ont perdu leur bébé

Pfizer indique dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Source — Page 12

Compte tenu du fait que les organismes de réglementation médicale, les médecins et les sages-femmes ont contraint les femmes enceintes à recevoir le vaccin Covid-19 en affirmant qu’il était sûr à « 100 % », il est extrêmement préoccupant de constater que Pfizer déclare que sur les 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre eux.
Mais voici les résultats connus des grossesses restantes :

97 % de tous les résultats connus de la vaccination Covid-19 pendant la grossesse se sont soldés par la perte de l’enfant.

Mais si l’on inclut les 5 cas pour lesquels le résultat était encore en suspens, on obtient 82 %. Cela équivaut donc à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et de 97 %.

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse, une étude animale ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.

L’étude peut être consultée dans son intégralité ici et est intitulée « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats ayant reçu le BNT162b2, un vaccin Covid-19 à base d’ARNm ».
L’étude a été réalisée sur 42 rats Wistar Han femelles. Vingt et un ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 n’ont pas reçu l’injection.
Voici les résultats de l’étude :

Source

Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). En revanche, le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, en moyenne, le taux d’occurrence était 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu courante de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection du Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

Source

La perte préimplantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude confirme donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Elle augmente donc le risque d’infertilité.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.

Une autre étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier sur injonction judiciaire, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une dose intramusculaire unique de l’injection de Covid-19 de Pfizer, puis la teneur et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminées à des moments prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus inquiétantes de l’étude est que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Dans les 15 premières minutes suivant l’injection du vaccin Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Cette concentration est ensuite passée à 1,34 ml après 1 heure, à 2,34 ml après 4 heures et à 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que l’on peut consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre de personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

Cancer ovarien — Source

Le graphique ci-dessus montre les chiffres jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland [Santé publique d’Écosse] montrent maintenant les chiffres jusqu’en mai 2022, et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec le nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire qui a augmenté de manière significative.

Une analyse complète des documents de Pfizer peut être lue ici, mais un résumé des conclusions est présenté ci-dessous :

Dans les documents de Pfizer obtenus grâce aux demandes de la loi sur la liberté d’information (FOIA), on trouve des détails notables concernant l’impact du vaccin pendant la grossesse et son accumulation dans les ovaires.

1. Risques liés à la grossesse : Les documents révèlent un taux inquiétant de fausses couches et de morts fœtales chez les femmes enceintes ayant reçu le vaccin Covid-19. Il est confirmé qu’un pourcentage significatif de femmes vaccinées pendant la grossesse ont perdu leur bébé.

2. Accumulation d’ovaires : Les documents confidentiels de Pfizer révèlent également que le vaccin s’accumule dans les ovaires, ce qui suscite des inquiétudes quant aux effets potentiels sur la fertilité des femmes.

Si l’on examine les données réelles, certaines observations semblent correspondre aux conclusions de ces documents :

– Augmentation des cas de cancer de l’ovaire : Les données post-vaccination en provenance d’Écosse montrent une augmentation des cas de cancer de l’ovaire à des niveaux jamais atteints. La question de savoir si cette augmentation est directement imputable à la vaccination est encore à l’étude.

– Taux de mortalité des nouveau-nés : L’Écosse a également connu un niveau critique de décès de nouveau-nés à deux reprises sur une période de sept mois.

Source

– Risque de fausse couche : Une étude de données réelles suggère que la vaccination Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.

Ce résumé ne présente qu’un infime pourcentage des préoccupations soulevées dans les documents confidentiels de Pfizer et des données réelles qui étayent les conclusions.

Les révélations malvenues concernant les effets néfastes sur la grossesse et les dommages potentiels aux ovaires font dresser les cheveux sur la tête. Associées à l’augmentation des taux de cancer de l’ovaire et de mortalité néonatale, elles suggèrent que cette campagne de vaccination est plus complexe qu’il n’y paraît.

En effet, ces résultats contiennent à eux seuls suffisamment d’éléments pour conclure que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Section 6 : La grande remise à zéro — un Nouvel Ordre Mondial ?

C’est là qu’intervient Klaus Schwab, l’énigmatique fondateur et président exécutif du Forum économique mondial. Schwab est un visionnaire qui a élaboré un plan baptisé « Grande Réinitialisation » ou « Quatrième révolution industrielle ». Sa vision laisse entrevoir un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation occuperont le devant de la scène, dépassant et surpassant les capacités humaines dans de nombreux secteurs.

La vision de Schwab est celle d’un monde où les machines, grâce à leur efficacité infatigable, remplacent des millions d’emplois. Dans ce monde, les machines ne se fatiguent pas, ne tombent pas malades et ne demandent pas d’augmentation de salaire.

En substance, Schwab envisage un avenir où le besoin de main-d’œuvre humaine faiblement rémunérée est considérablement réduit, ce qui nous amène à reconsidérer nos rôles dans une société dominée par l’IA.

À ce stade, vous vous demandez peut-être quel est le lien avec les inquiétantes prédictions de Deagel en matière de dépopulation.

La mise à l’écart des humains par l’IA entraîne-t-elle une réduction du « stock » humain, et est-ce là ce que les chiffres inquiétants de Deagel laissent entrevoir ?

Les points semblent se rejoindre, créant une ligne de spéculation surprenante.

Les progrès de l’IA et de l’automatisation, un programme fortement encouragé par des personnalités influentes telles que Klaus Schwab, pourraient-ils être le prélude à une stratégie de dépopulation ? Sommes-nous en train de nous diriger vers un monde qui n’a plus besoin d’humains en grand nombre ?

Section 7 : Le récit du changement climatique — un jeu de miroir et de fumée ?

En épluchant les couches de ce récit troublant, un thème provocateur émerge du discours dominant : le dioxyde de carbone, le gaz que chacun d’entre nous émet à chaque respiration, a été présenté comme le principal adversaire de la santé de la Terre.

Ce récit pourrait-il insinuer subtilement une vérité plus dérangeante ? L’« empreinte carbone » souvent mentionnée est-elle en fait une référence voilée à notre existence en tant que « problème » ?

Ce chemin que nous avons soigneusement démêlé indique un scénario troublant d’une réalité amère à laquelle l’establishment a décidé que nous étions destinés à faire face.

En guise de conclusion, une question déconcertante se pose : dans l’ère imminente dominée par l’intelligence artificielle, la race humaine pourrait-elle être la victime ultime ? L’avènement de l’IA, considéré comme l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, est-il inextricablement lié à une stratégie globale visant à réduire la population humaine ?

La logique est d’une simplicité effrayante : l’IA et l’automatisation prenant en charge les tâches laborieuses, la demande de main-d’œuvre humaine diminue drastiquement. La « Grande Réinitialisation » pourrait-elle donc être en réalité une « grande réduction » du nombre d’êtres humains ?

Nous sommes à l’aube d’un avenir qui défie les paradigmes traditionnels. Pourrions-nous, sans le savoir, ouvrir la voie à notre propre perte, poussés par la vision du progrès ?

Avec Deagel.com, une plateforme influencée par des entités telles que la CIA, le ministère de la Défense et la Fondation Rockefeller, qui fournit des prévisions alarmantes de dépopulation pour 2025, il semble que nous nous rapprochions à grands pas de cet avenir.

En effet, les données actuelles sur la surmortalité en Occident suggèrent fortement que les prévisions de Deagel en matière de dépopulation ne sont pas seulement une estimation, mais qu’il s’agit en fait d’un objectif qui est en passe d’être atteint, en partie grâce aux effets mortels de la vaccination Covid-19.

Source

Au terme de cette exploration de l’impensable, considérons ceci : le dioxyde de carbone — un gaz que nous exhalons [et que les plantes utilisent pour la photosynthèse] — est présenté comme l’ennemi juré de la planète.

Est-il possible que nous soyons amenés à accepter une dure vérité : pour réduire notre empreinte carbone, nous devons réduire notre empreinte humaine ?

L’histoire que nous avons décrite brosse un tableau inquiétant. Mais s’agit-il d’une théorie du complot farfelue ou d’une vérité dérangeante ? Seul l’avenir nous le dira. En guise de conclusion, nous vous laissons réfléchir à une idée qui fait froid dans le dos : dans un monde où l’IA règne en maître, l’humanité sera-t-elle le prix à payer ? Préparez-vous à un avenir tout sauf ordinaire.




L’injonction de la Secte SHAA en mode rouleau compresseur

Par Lucien SA Oulahbib

Malgré son côté abracadabrantesque, le rouleau Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste (SHAA) broie, brise, assassine en ciseaux façon Psychose et Les oiseaux en même temps, mais avec le sourire d’ange grand média qui cache la misère derrière les caméras alors qu’il suffirait d’aller dans les studios pour observer le côté peu ragoûtant de la tambouille : un peu d’info, beaucoup de manip à coup de chiffres, annonceur façon bateleur des grands magasins d’autrefois ou encore aujourd’hui chez les commissaires priseurs à Drouot — « approchez mesdames et messieurs du jamais vu depuis 100 000 ans ! 150 000 à droite, une fois, deux fois, 200 000 à gauche, tâtez de mon incendie exceptionnel ! Et ma tornade vous en prendrez bien une part ?… »

Mais si les écoles brûlent en sus des bus et des piscines pendant que cela surine au moindre regard fier (car les autochtones en France n’ont plus droit de l’être), la Secte s’empressera plutôt de s’acharner sur les citoyens qui portent secours, jusqu’à SOS éducation considéré comme n’ayant rien d’éducatif, alors que des millions d’euros sont déversés pour soutenir les Azertiens (des TQ+ ayant pris le pouvoir sur les LGB et les hétéros bien sûr) afin de promouvoir non pas la lutte contre la discrimination, mais l’effacement des sexes considérés comme étant seulement des rôles que l’on peut venir habiter à sa convenance.

Sans parler de cette attaque méprisable, canaille, sur l’autre face de l’habitation, la propriété, celle des biens (en principe inaliénable selon l’article 2 de la DDHEC, bafoué de plus en plus) que des « députés » nihilistes et sansfrontièristes néoléninistes osent désigner comme étant prenables (comme dans une orgie échangiste) par qui veut, à partir du moment où un juge (entre deux sursis pour un viol ou un meurtre fait sur un autochtone nouvelle chair à canon) en donnera la permission. Même le Conseil Constitutionnel en a perdu son latin. Sans oublier également tout ce qui se prépare le 25 août 2023 qui va être encore pis que le 5 août 2021 lorsque les droits fondamentaux avaient été abolis en pratique via le fameux passe qui les a trépassés, même si formellement et comme le fait l’architecture restauratrice la façade restera intacte avec avis « positif » des Conseils (État, Constitutionnel…) pour faire croire que tout va pour le mieux monsieur la Marquise, alors que l’incitation à la « révolte » est pourtant protégée par le même article 2 lorsqu’il s’agit de « résister à l’oppression »

Et qui décidera ce qui « est » haineux ou pas ? Et en quoi la haine devrait-elle être mise au même rang que l’injure raciale à partir du moment où il s’agit de repousser ce qui fait mal, blesse, assassine ? La haine est naturelle. Elle fait partie du phénomène de répulsion qui permet aux anticorps de faire leur travail de protection. Mais comme aujourd’hui même la possession de ses « propres » anticorps est considérée comme « égoïste », « capitaliste », on préfèrera acheter avec l’argent public de vrai/faux anticorps qui, à la différence de l’amour drugstore, dure trois mois au lieu de trois ans…

Mais comment cette piétaille, cette mélasse, réussit encore à vendre sa salade faite de niaiseries (inflation, guerre gagnée contre les Russes, mais oui) avec ses chiffres gonflés à l’hélium idéologique à coup de 60 degrés ici et là, jusqu’à annuler la conférence d’un prix Nobel de physique sur la question climatique, jusqu’à aussi considérer que la lutte contre la pédocriminalité serait de caractère antisémite, amalgamant tout pour mieux noyer le poisson (d’où le boycott lamentable en France du film Sound of freedom) et le soutien sans failles à cette peintre mettant pourtant en équivalence les corps de tortionnaires et d’enfants violés alors que JAMAIS un violeur ne se mettra nu devant sa victime (JAMAIS). On voit donc bien que cette Secte à l’esprit canaille de gangsters avides est prête à tout. Elle sent ce fumet SS ou tchékiste allant voler ces tableaux de maître parce qu’ils étaient la propriété des maudits.




France — Les squatteurs autorisés à poursuivre les propriétaires

[Source : RL]

Par Bernard GERMAIN

Pas un domaine n’échappe au désastre qui est en train de frapper la France et son peuple. C’est une véritable guerre qui est déclarée contre le peuple. Prenons quelques exemples.

À cause des délires écologistes sur le soi-disant « dérèglement climatique », tout est mis cul par-dessus tête dans notre pays.

Notre territoire se couvre d’éoliennes et de méthaniseurs, qui coûtent une fortune et n’arriveront jamais à simplement égaler l’énergie nucléaire qui produit une électricité abondante et bon marché. À l’inverse, nous subissons une crise énergétique majeure à cause des décisions débiles de l’Europe qui lient le prix de l’électricité à celui du gaz pour satisfaire les intérêts économiques des Allemands, tout en ruinant notre pays et son peuple.

Toujours à cause des théories folles des écologistes, l’industrie automobile va être sacrifiée, provoquant des centaines de milliers de chômeurs dans notre pays, afin d’imposer l’utilisation de voitures électriques qu’une considérable partie de la population ne pourra pas s’offrir, car elle n’en aura pas les moyens. Comment vont faire ces Français, notamment dans les campagnes pour se déplacer ?

Non contente d’imposer cette catastrophe économique et sociale, l’Europe et les écologistes fous veulent aussi interdire dès 2025 (en plus des villes déjà frappées) l’accès aux villes de plus 125 000 habitants à tous les véhicules qui ne sont pas électriques (même les hybrides).

Comment vont faire nombre de Français pour se rendre à leur travail ou vivre tout simplement ?

Comment le cœur des villes va-t-il pouvoir être livré des marchandises attendues si les camions et camionnettes ne peuvent y accéder ?

Mais ce n’est pas tout, il y a aussi les récentes législations votées par l’Europe qui vont commencer à s’appliquer très rapidement concernant les logements.

Tout logement ne répondant pas aux normes exigées pour les économies d’énergies ne pourra être ni vendu ni loué.

Les projections faites annoncent, par exemple, que 30 % du parc immobilier locatif parisien devrait ainsi disparaître. Mais comment vont faire les gens pour se loger ?

Les prix sont déjà extrêmement élevés en région parisienne, si vous enlevez 30 % du parc immobilier nombre de personnes n’auront plus la possibilité de se loger et les prix vont exploser et atteindre d’incroyables sommets.

Tout cela au nom de la lutte contre le dérèglement climatique et afin de faire baisser la quantité de CO2 produite… alors que la production de CO2 en Europe ne représente que 9 % de la production mondiale et moins de 1 % en France.

Alors pourquoi cette politique complètement folle qui va agresser brutalement le peuple sans aucune justification sérieuse ? D’autant que de nombreux scientifiques disent que ce « dérèglement climatique » est tout sauf prouvé scientifiquement.

On peut sur ce plan juger du sérieux de ceux qui font la promotion de ces mesures en écoutant par exemple Mathilde Panot qui vient de déclarer :

« Nous avons connu sur le mois de juillet les 7 jours les plus chauds depuis 100 000 ans ».

Sans blague… il y a 100 000 ans, ils faisaient déjà des relevés de températures ?

Et la même d’ajouter à propos de la sécheresse consécutive à cette augmentation des températures (due à la quantité de CO2 excessive dans l’atmosphère) :

« Nous avons notamment une situation de sécheresse en France, mais également une situation de sécheresse dans les océans et dans les mers ce qui est extrêmement dramatique ».

Là c’est sûr, c’est extrêmement dramatique… mais le plus effrayant c’est qu’aucun journaliste n’a osé dire à la Mathilde qu’à l’évidence elle n’avait pas le gaz et l’électricité à tous les étages et qu’il fallait sans doute qu’elle pense à arrêter de fumer la moquette.

Par contre le peuple, lui c’est certain, va sérieusement dérouiller à cause de politiciens fous faisant la promotion de ces politiques qui sont autant d’actes de guerre contre le peuple.

Autre exemple de cette guerre déclarée au peuple : la liberté d’expression.

La « gauche » et les bien-pensants expliquent ni plus ni moins qu’ils sont les seuls à pouvoir informer la population.

Ainsi au JDD, depuis plus de 4 semaines, les journalistes sont en grève contre la venue de Geoffroy Lejeune, catalogué « extrême droite » par ces journaleux ultra sectaires, mais qui se considèrent comme des démocrates.

Leur revendication est des plus simples : l’assemblée des journalistes du journal doit pouvoir décider par un vote (alors qu’il s’agit d’un journal sous statut privé) qui va être le Directeur de la rédaction.

Ces gens sont impayables. Ils se croient encore en Union Soviétique en exigeant que le soviet du JDD et le commissaire politique local approuvent ou pas l’arrivée du nouveau Directeur de la rédaction.

Ça a peut-être l’air de rien comme cela, mais leur revendication est hallucinante.

Ils revendiquent le monopole de l’information de la population et refusent à quiconque n’a pas leur opinion de pouvoir le faire et même simplement de pouvoir y participer.

Donc seuls les bien-pensants et les « politiquement corrects » peuvent remplir cette fonction, les autres, c’est-à-dire « l’extrême droite » et « les fascistes », en étant obligatoirement écartés.

Ceux qui mettaient en œuvre ce type de méthodes étaient les sbires des régimes de Staline, Mao, Pol Pot, etc.

On se souviendra peut-être que ces régimes et leurs exécutants ont aussi fait des dizaines de millions de morts.

Mais en 2023, ces journalistes « démocrates » entendent remettre à l’honneur ces méthodes. Le plus incroyable étant que tant de gens ne soient pas choqués de cette volonté de mise en coupe réglée de l’information.

Et comme ces gens n’ont aucune limite, ils souhaitent même qu’une Loi officialise leurs volontés.

En attendant le jour de cet heureux événement, des « États généraux de l’information » doivent se tenir prochainement avec à leur tête Christophe Deloire, le patron de Reporters Sans Frontières, qualifié pour la circonstance de « personne neutre », mais qui passe sa vie à dénoncer l’empire Bolloré. Le reste des organisateurs dans cette commission étant constitué d’anciens de Libération et du Nouvel Obs, ainsi que quelques partisans de Macron. Des gens donc très objectifs et pas partisans pour un sou.

Le peuple français peut donc s’attendre à ce que des décisions sortent de ces États généraux lui assurant une information honnête et objective. Il n’y a absolument rien de négatif à redouter sur ce plan.

Un dernier exemple mérite d’être signalé en tant qu’acte de guerre contre le peuple : la dernière décision du Conseil constitutionnel concernant les squatteurs. Là, ça envoie du lourd, du très lourd.

Comme chacun le sait, tout propriétaire d’un bien immobilier redoute d’être victime de squatteurs. En effet, c’est un véritable parcours du combattant pour un propriétaire s’il est confronté à la confiscation de son bien par des squatteurs.

Il ne peut récupérer seul son bien et doit obligatoirement passer par le tribunal, qui met un temps infini à trancher le litige et lorsqu’au bout du parcours le propriétaire finit par retrouver son bien, il est invariablement dans un tel état qu’il lui faut dépenser des sommes considérables pour le remettre en état. Sans pouvoir se retourner contre les squatteurs qui sont insolvables dans la quasi-totalité des cas.

Donc une Loi a été votée récemment afin de faciliter pour les propriétaires victimes la récupération de leur bien, en pouvant expulser plus rapidement les squatteurs.

Mais il se trouve que le Conseil constitutionnel « dans sa grande sagesse » vient de censurer en partie cette Loi qui se fixait pour objectif d’être un peu plus protectrice pour le propriétaire des lieux.

Ainsi, invoquant l’article 1244 du Code civil qui prévoit que « le propriétaire d’un bâtiment est responsable du dommage causé par sa ruine, lorsqu’elle est arrivée par une suite du défaut d’entretien ou par le vice de sa construction » le Conseil constitutionnel a censuré en partie cette Loi.

Un squatteur pourrait être victime par exemple d’une blessure résultant d’un manque d’entretien du bâtiment qu’il squatte. Ce squatteur pourrait donc se retourner contre le propriétaire pour « défaut d’entretien de cette habitation » et même lui demander d’indemniser le préjudice.

On se pince pour y croire, mais c’est ce que vient de décider le Conseil constitutionnel à l’occasion de l’examen de la Loi « anti-squat » qui vient de lui être présentée.

Là où l’on se rend compte de la folie dans laquelle sont tombés ces « sages », c’est que si le propriétaire s’avise de pénétrer dans son logement, occupé par des squatteurs, pour y faire des réparations qui s’imposent, ce propriétaire peut se voir attaqué au tribunal par les squatteurs pour… violation de domicile.

Au lieu de défendre le propriétaire gravement spolié par le squatteur, le Conseil constitutionnel vient donc de prendre ouvertement le parti du squatteur contre le propriétaire. Tout cela est juste insensé.

Au moment de conclure cet article, je ne peux m’empêcher de lister les points sur lesquels le peuple français est attaqué.

Il y a la crise de l’énergie, la défiguration de nos campagnes avec éoliennes et méthanisations, les voitures, les habitations, l’accès aux villes, les possibilités de se déplacer notamment dans les campagnes, les restrictions d’eau, les limitations voire l’interdiction d’accéder à une information honnête, l’impossibilité de se défendre sérieusement contre les squatteurs.

Et je ne parle pas des problèmes d’insécurité, de vols ou d’agressions ainsi que de tant d’autres problèmes.

C’est indiscutable, notre société a vraiment déclaré la guerre au peuple français. Jusqu’à quand cela peut-il durer ?




Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Un pacte Russie-Chine d’envergure mondiale correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique. Otto Kahn, l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis, l’a révélé ouvertement en 1919 :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution. »

Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais tout à fait comme il l’entend – et non comme le scénario le prévoit…

Transcription

Aucun gouvernement sous ce ciel n’est vraiment indépendant. Depuis des siècles, tout est infiltré de manière ciblée et stratégique par une haute finance parasitaire. Telle une tique, cette sangsue de la haute finance se niche secrètement dans les États-nations pour en faire des centres de direction stratégiques. L’objectif est toujours le nouvel ordre mondial de cette société secrète, parfois aussi appelée État profond. Si un « hôte » infiltré par cette tique tente de la secouer de sa fourrure, on lui coupe les vivres sur-le-champ. Si cette mesure ne suffit pas, il est soumis à la terreur, voire à la guerre ouverte, et ruiné — le printemps arabe nous en a donné une idée. Ces sangsues pensent et dirigent tout à l’échelle mondiale. Depuis longtemps déjà, les grands financiers qui gouvernent secrètement depuis la clandestinité s’efforcent de faire de la Chine leur prochain centre de domination mondiale. À cette fin, ils ont depuis longtemps érigé en Chine leurs bâtiments administratifs mondiaux sous forme de gigantesques gratte-ciel. Enfin, ceux-ci ne doivent plus rester vides. Le simple fait que la « Chine » ait été encensée pendant longtemps par nos médias financés par des redevances obligatoires montre que nous en sommes arrivés là. Mais de sérieux problèmes apparaissent à l’horizon. Nous verrons bientôt si ces problèmes se concrétisent ou pas. Pour nous, les peuples trompés, cela ne fera finalement aucune différence, comme je l’expliquerai plus tard. Pour l’instant, on constate en tout cas une fraternisation entre la détestée Russie de Poutine et la Chine. D’autre part, dès le début de l’année 2022, la Chine a déjà amassé des ressources essentielles partout dans le monde, comme jamais auparavant dans l’histoire. Comme, par exemple, 69 % de toutes les réserves mondiales de céréales, des matières premières allant du bois aux terres rares, des denrées alimentaires sans mesure.

La Russie aurait en effet dû devenir depuis longtemps le centre de direction de la haute finance qui gouverne secrètement l’Europe, ce qui a entraîné des problèmes de plus en plus importants. Mais la haute finance mondiale ne tolère plus des conditions moyenâgeuses. Elle veut tout le pouvoir et toutes les richesses pour elle seule et élimine tous les marginaux et les rivaux autocrates.

Rappelons qu’au haut Moyen-Âge, une période où l’argent circulait sans intérêts a conduit à une répartition si égale des richesses qu’il n’y avait presque plus de différences de fortune entre les classes laborieuses et la noblesse. Vers le milieu du 15e siècle, cette période s’est définitivement effondrée, si bien que le système monétaire à intérêts, inactif au Moyen-Âge, a été réactivé à la manière de la Rome antique. Une redistribution continue des richesses des travailleurs vers les prêteurs d’argent a repris pendant des siècles. La redistribution automatique par le biais d’un système monétaire basé sur des intérêts a ensuite conduit à la création de la Banque d’Angleterre en 1694 et en conséquence à la formation visible d’une nouvelle haute finance mondiale selon le modèle de la Rome antique.

Les fondateurs de la Bank of England privée ont pris le pouvoir sur l’Angleterre et le Commonwealth, c’est-à-dire sur cette communauté des Nations qui leur est soumise. Depuis cette date et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’Angleterre a été le centre de direction de la haute finance mondiale. Le déclin économique de l’Angleterre après la Seconde Guerre mondiale montre à quel point un pays est rapidement mis hors-jeu lorsque la haute finance ne peut ou ne veut plus l’utiliser comme centre de direction mondial. C’est exactement le sort qui attend maintenant les États-Unis, car le centre de contrôle mondial a été déplacé en Chine. Dans les années 1780, la haute finance a réussi à développer son sinistre réseau de sociétés secrètes, de services secrets, d’adorateurs du diable et de criminalité organisée pour en faire un État profond mondial, par lequel elle contrôle et dirige l’Humanité depuis lors. Au cours du 18e siècle, elle a pris le contrôle de presque tous les États européens, ce qui, à l’époque du colonialisme, était synonyme de contrôle du monde. Il ne lui manquait alors que le contrôle de la Russie.

Comme nous l’avons déjà mentionné, la Russie, que la haute finance avait déjà infiltrée lors de la révolution russe, devait se transformer en un empire soviétique eurasien. Mais, comme nous pouvons le constater chaque jour, les choses ont mal tourné — car leur marionnette maçonnique Vladimir Poutine ne s’est pas montrée aussi loyale que prévu. Depuis longtemps, il s’est détaché de la laisse et veut décider lui-même où il veut aller. Peut-être que l’administration américaine elle aussi maçonnique et son Pentagone ont vraiment aiguisé l’appétit de Poutine avec ce qui s’est passé le 11 septembre. Avec la Chine en revanche, le plan de la haute finance souterraine semblait jusqu’à récemment se dérouler sans accroc. Ce n’est pas pour rien que les médias de masse, qui se trouvent tous sous la dictature de cette haute finance, ont de plus en plus vanté la Chine comme un grand modèle social. Mais pourquoi une élite de la haute finance devrait-elle faire l’éloge d’une dictature communiste ?

Il est urgent que nous apprenions à comprendre que la haute finance construit sa dictature mondiale sur la voie de la dialectique entre le capitalisme de haut niveau et le communisme. La dialectique signifie la tactique qui consiste à faire toujours deux pas en avant, puis un pas en arrière « dans un esprit de compromis, en quelque sorte ». La différence entre le capitalisme de haut niveau et le communisme est… qu’il n’y a pas de différence ! Car le capitalisme n’est que le début et le communisme la cible d’un seul et même agresseur. Le capitalisme est utilisé pour faire avancer le communisme. Et le communisme est utilisé pour faire avancer le capitalisme — mais l’objectif de cette approche dialectique est une dictature communiste mondiale. Mais pourquoi une telle dictature ? C’est la question que se posent tous ceux qui ont conservé l’innocence de leurs interrogations : Comment la haute finance peut-elle trouver faveur dans le communisme — ces contraires ne s’excluent-ils pas complètement ? Eh bien non, justement, parce que le capitalisme comporte une redistribution automatique des richesses des travailleurs vers les plus riches. Le communisme, tel que nous le connaissons dans les pays dévastés du bloc de l’Est, est toutefois une abomination pour une société prospère ; c’est pourquoi toutes les nations prospères doivent être au préalable subtilement plongées dans la misère et le chaos.

[Voir aussi :
Le Grand Réveil]

D’une part cela se fait systématiquement en transférant imperceptiblement de plus en plus de richesses nationales dans les mains de quelques rares super-riches, comme on l’a vu au cours des siècles passés. D’autre part, la misère peut également être provoquée par un terrorisme ciblé et des crises délibérément attisées. Nous y reviendrons plus tard.

C’est en tout cas ainsi que ces familles de l’élite ont successivement pris le pouvoir sur l’Humanité, car nous dépendons tous de leur argent. Et grâce à cette dépendance, un nombre incalculable de personnes sont devenues corruptibles et sujettes au chantage. En d’autres termes, en détruisant le capitalisme des classes moyennes, le capitalisme de la haute finance transfère systématiquement toute la richesse nationale entre les mains de quelques super-riches et, avec cette richesse nationale, tout le pouvoir. Le communisme est son meilleur allié. Dans un zèle aveugle, il conduit fidèlement à l’état final du capitalisme d’État par la voie la plus directe, en donnant à une petite élite tout le contrôle de la richesse nationale et donc le pouvoir sur l’Humanité entière.

Vous tous, les communistes, reconnaissez s’il vous plaît ce que je dis ici et voyez clair dans ce jeu malsain. Vous finirez par devenir des esclaves sans droits de cette haute finance, tout comme le reste du monde, si nous n’ouvrons pas maintenant de nouvelles voies. Vous en saurez plus à la fin de cet exposé. Croyez-le bien, personne d’autre que ces capitalistes de la haute finance ne sera finalement votre propriétaire et votre État communiste tant désiré. En tout cas, ils vous ont depuis longtemps instrumentalisés, vous les communistes, à leurs propres fins, tout comme le christianisme par exemple. Car tous les faux dévots, avec leurs églises et leurs communautés, et bien sûr tous les faux religieux, conduisent eux aussi à l’état final du communisme de la haute finance par la voie la plus directe, et ce par leur attitude fondamentalement mal comprise, soit passive, soit extrémiste. En fin de compte, le capitalisme et le communisme mènent tous deux à ce port d’arrivée où l’individu est non seulement totalement dépourvu de biens, mais aussi définitivement privé de droits et de pouvoir. Mais comme la haute finance est surtout intéressée par le pouvoir sur l’Humanité et pas seulement par sa fortune, le capitalisme ne sert que d’outil, le communisme, ou plutôt la dictature communiste mondiale étant le véritable objectif.

Pour ceux qui doutent encore, voici une citation du pape maçonnique de la haute finance Otto Kahn. Déjà en 1919, il disait textuellement dans une conférence à Budapest :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle de la richesse, et par le bas, via la révolution. »

En 1929, le franc-maçon de haut grade Blumenthal l’a exprimé de manière encore plus claire dans le journal suédois « Judisk Tidskrift » Écriture n° 57 :

« Ce n’est que récemment que notre race a donné au monde un nouveau prophète. Mais celui-ci a deux visages et porte deux noms : d’un côté, son nom est Rothschild, de l’autre Karl Marx. »

Aussi longtemps que cette haute finance mondiale fonctionnera, peu importe comment l’Humanité évoluera — quoi qu’il arrive — les élites tenteront toujours d’instaurer une dictature communiste mondiale, et ce, même si le fameux État profond n’existe plus. Le marxisme, le communisme et leur descendant, le socialisme, n’incarnent rien d’autre que le capitalisme d’État et la domination par une minorité privilégiée qui aspire à un contrôle despotique et total de l’Humanité et veut lui retirer non seulement tout droit, mais aussi toute propriété. On voit tout simplement partout comment le capitalisme et le communisme se servent l’un l’autre à merveille. Et nous retrouvons le même phénomène de la Chine à la Russie et à l’Europe : partout, les multimilliardaires rôdent et partout règne un État quasi omnipotent. Nous, dans l’espace germanophone, nous sommes, tout comme la Russie et la Chine, sur la bonne voie pour n’avoir plus que des groupes puissants et un pouvoir centralisé à Bruxelles sur nous, de sorte que l’individu se retrouve finalement sans aucun droit d’intervention, sans aucun pouvoir et sans aucun droit. En bref, le capitalisme et le communisme forment une équipe de haut niveau, qui est également puissamment favorisée chez nous en Europe. Il en va de même aux États-Unis, où le pouvoir est également entre les mains des multimilliardaires et au centre de Washington. Le capitalisme et le communisme vont toujours de pair et l’individu devient de plus en plus impuissant. De nos jours, nous pouvons le constater de nos propres yeux, nous nous dirigeons déjà tout droit vers une dictature communiste mondiale.

Ce n’est donc pas seulement depuis la Première Guerre mondiale que la haute finance maçonnique contrôle tous les gouvernements nationaux sans exception, mais aussi tous les principaux médias de masse de ce monde. Dans tous les domaines essentiels, il existe malheureusement une obligation d’exécuter leur volonté, de sorte que les évolutions positives en faveur de l’Humanité ne sont plus guère possibles. L’Humanité libre est fortement harcelée et opprimée à tous égards par cette haute finance mondiale secrète. Et ce, bien que cette dernière ne soit composée que d’un nombre raisonnable de familles de milliardaires. Pourtant, ces derniers contrôlent l’ensemble du système monétaire de la planète depuis 1913, c’est-à-dire depuis la création de leur système privé de réserves fédérales, appelé FED. Ils sont parvenus à nous rendre tous totalement dépendants de leur argent avec un système hallucinant d’intérêts et d’intérêts composés. C’est pour cette raison que cette élite secrète est appelée l’État profond mondial. Il s’agit donc, comme nous l’avons mentionné, d’un réseau de sociétés secrètes dont les chefs suprêmes sont tous, sans exception, des adorateurs du diable. Ceux-ci sont liés depuis bien plus de 200 ans aux services secrets et au crime organisé, etc. Il suffit de penser à leur guerre de l’opium, qui n’était que le premier maillon d’une gestion du chaos délibérément orchestrée pour prendre le contrôle de la Chine. Ils contrôlent de plus en plus tous les gouvernements, les médias d’information, les systèmes juridiques, les institutions d’enseignement, les sciences et autres choses similaires. En résumé, ils contrôlent l’ensemble de l’Humanité depuis l’ombre. Ils y parviennent parce qu’ils ont réussi à infiltrer habilement nos systèmes étatiques à tous les postes clés. Et au-dessus de chaque zone capturée où ils ont réussi à prendre le contrôle total de la planète, ils font comme les anciens pirates. Lorsque ces derniers s’étaient emparés d’un navire, ils hissaient leur drapeau avec une tête de mort et des os croisés. Les drapeaux des élites dirigeantes mondiales sont en revanche beaucoup plus discrets et accueillants. Regardons donc quelques-uns de ces drapeaux. Ils signalent tous la souveraineté absolue. Comme nous allons le voir, ils existent sous forme d’emblèmes de souveraineté sur la terre, l’air, l’eau et d’autres encore. Et nous n’avons même pas remarqué qu’il s’agit en fait toujours d’un seul et même signe de souveraineté.

Au centre se trouve la couronne de laurier. Depuis l’Antiquité, elle est considérée comme l’attribut du vainqueur, un porte-bonheur et un symbole de pouvoir. La couronne de feuilles de laurier pouvait être le trophée dans le sport, mais les empereurs romains la portaient également. Dans la mythologie antique, le dieu Apollon porte une couronne de laurier.

Là, il symbolise la suprématie sur les cieux

Apollo 11

Là, Apollo symbolise la souveraineté sur l’espace

Et de même que dans la Rome antique, un laurier était considéré comme sacré et ne pouvait donc être ni profané ni brûlé, de même toute organisation de souveraineté globale des élites est considérée par eux comme quasi sacrée et intouchable !

Organisation Mondiale de la Santé

Vous voyez cette couronne ? Une organisation maçonnique ! Souveraineté sur toute la santé des hommes.

Oui, et nous nous sommes heurtés à ce principe d’intangibilité, notamment lors de la campagne du Covid19. Et de nouveau ces jours-ci, parce que l’OMS vient d’élaborer, dans le cadre d’accords secrets, de nouvelles lois contraignantes à l’échelle mondiale, qui doivent lui conférer la suprématie sur l’ensemble du système de santé, c’est-à-dire en quelque sorte la domination mondiale cachée.

Au lieu de mettre sous les verrous ces personnes qui ont récemment causé des dommages au monde entier, elles planifient déjà en secret une prochaine campagne de domination mondiale.

Pour en venir tout de suite au fait : C’est précisément l’objectif déclaré de la franc-maçonnerie de haut grade depuis des siècles, c’est pourquoi derrière presque tous les logos de lauriers se trouvent des fondations, des organisations et des associations maçonniques. Pour n’en citer que quelques-unes :

Les Nations unies et toutes leurs organisations subsidiaires :

Remarquez toujours la couronne ! Nous n’aborderons pas aujourd’hui le fait que cette couronne tourne autour d’une « carte de terre plate ».

[Note de Joseph : il semble bien qu’Ivo Sasek se soit laissé avoir avec l’affaire de la prétendue « Terre plate ». À l’heure d’Internet, il existe pourtant une expérience simple et imparable pour démontrer que la Terre ne peut pas du tout avoir une géométrie plane. Deux personnes en contact par visioconférence (utilisant Skype, Zoom ou n’importe quel logiciel équivalent) peuvent facilement le vérifier si elles habitent en deux endroits éloignés de plusieurs milliers de kilomètres. Si la Terre était géométriquement plate, alors en tout lieu de la planète, le Soleil devrait descendre simultanément sous l’horizon, si on le voit le faire en un lieu donné. Par exemple, si le Soleil se couche à Paris, dans le même temps, il est six heures de moins à Montréal et on constate qu’il est encore bien haut dans le ciel au lieu d’être proche de tomber sous l’horizon.]

Organisation météorologique mondiale

(Organisation spéciale des Nations Unies)

Programme alimentaire mondial des Nations unies

Fonds des Nations unies pour l’enfance

Conseil des droits de l’homme des Nations unies

Organisation internationale du travail

(Organisation spéciale des Nations unies)

Organisation des Nations unies pour le développement industriel

(Organisation spéciale des Nations unies)

Programme des Nations unies sur le VIH/sida

Nous avons suffisamment dénoncé toute l’arnaque du VIH/sida avec l’AZK.

Organisation maritime internationale

Si tu veux savoir un peu plus précisément ce qui se passe en permanence au pôle Nord, par exemple, et que tu affrètes un bateau pour t’y rendre, tu seras intercepté très tôt par des navires de la souveraineté maritime et contraint de faire demi-tour. Si tu n’obéis pas, tu seras fortement menacé.

Et si tu affrètes un avion, par exemple un petit Cessna, et que tu te diriges vers le pôle Nord, les chasseurs à réaction de la souveraineté aérienne internationale t’intercepteront. À ta droite et à ta gauche, ils t’encadreront et te demanderont par radio de faire immédiatement demi-tour. Si tu n’obéis pas, ils t’abattront. Comprenez-vous ce que signifie cette couronne de lauriers omniprésente ?

Organisation de l’aviation civile internationale

Troupe de combat nord-polonaise

La même chose t’attend si tu ne te comportes pas correctement sur le territoire de la Pologne du Nord.

Agence internationale de l’énergie atomique

Vous voyez, et ainsi on pourrait encore énumérer beaucoup d’autres organisations et sous-organisations maçonniques. Vous n’arriveriez même pas à faire le tour de la NASA et de tous ses astronautes maçonniques. (www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ?)

Sans parler de la nouvelle religion maçonnique du climat, avec ses faux prophètes et ses grands prêtres qui effraient sans cesse les peuples avec leurs mensonges climatiques.

L’ange bleu — Jury du label écologique

Cour pénale internationale

Et celui qui pense qu’au moins la Cour pénale internationale a le même logo par simple hasard peut volontiers croire à nouveau au Père Noël. Même chose si, en tant que chrétien, on croit qu’Israël, fondé en 1948, a été reconstruit par Dieu et non par la franc-maçonnerie de haut niveau.

Modèle de logo universitaire

Regarde le logo de l’université comme modèle. Partout, tu trouveras cette couronne ! « Université » dit déjà tout. C’est le club qui a tout infiltré. Donc si tu as des doutes sur le fait que tout a été habilement infiltré, tu as ici des preuves.

Prochaine vague — Tatouages

Jusqu’aux universités constamment encensées et à l’addiction générale au tatouage, tout prend racine dans un seul et même marécage maçonnique. C’est pourquoi tu vois ici un spécimen comme celui-ci : « Prochaine vague — tatouages ».

Certaines choses ont été délibérément cachées de cette manière, comme c’est la coutume cynique des francs-maçons de haut grade depuis des siècles.

L’état actuel de notre monde montre que la haute finance mondiale est quasiment à un pas de l’objectif de l’instauration de sa dictature communiste mondiale. Mais elle doit encore lutter contre deux problèmes particulièrement tenaces. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’élite maçonnique américaine veut maintenir son statut de parasite mondial et empêcher le transfert du centre de direction mondial de la cabale vers la Chine, ce qui retarde considérablement le plan de reformatage de la haute finance mondiale. Et deuxièmement, la population occidentale comprend de plus en plus les objectifs de la mise en place de cette dictature mondiale communiste et financière, c’est-à-dire de l’État profond, et elle devient de plus en plus consciente de sa propre perte de pouvoir en raison de la mise à nu et de la perte de pouvoir de l’élite américaine, qui deviennent visibles. De plus en plus de personnes cherchent donc le salut dans des mouvements patriotiques conservateurs.

Mais tout patriotisme assumé arrive trop tard. Car c’est précisément à cause de lui que les peuples et les États occidentaux sont affaiblis et détruits depuis des décennies par des migrations de masse systématiques. Chaque fois que la haute finance et ses principaux médias exaltent le patriotisme, c’est pour pouvoir ensuite mettre sur le dos du patriotisme ou du nationalisme les révoltes, les crises et les guerres sanglantes fomentées par la franc-maçonnerie, comme ce fut le cas autrefois avec Adolf Hitler ou actuellement avec Zelensky et Poutine. Comprenez-vous l’astuce ? C’est ainsi qu’on démantèle les nationalités. Tout patriotisme authentique est une épine dans le pied du communisme de la haute finance, car il possède la force potentielle de vaincre ce communisme de la haute finance — mais seulement si on se serre les coudes. C’est pourquoi le plan subtil de surpopulation étrangère d’Earnest Hooten détruit sous nos yeux toute velléité de patriotisme authentique. Depuis les années 60, le plan Hooten empêche systématiquement tout retour au patriotisme. Il brise dès le départ tout patriotisme authentique.

Sous le slogan « ça profite à notre économie », des travailleurs immigrés ont donc été introduits de manière ciblée et systématique dans nos pays. Au début, il ne s’agissait que d’amis « voisins », par exemple des travailleurs immigrés d’Italie, puis de Turquie, puis de plus en plus de travailleurs immigrés de tous les pays et enfin le chaos total planifié par des ruées vers l’asile à travers la Méditerranée. La migration de masse s’est ainsi révélée être de plus en plus une ruse de guerre marxiste contre nous, afin d’imposer la dictature communiste mondiale. L’ordre issu du chaos a toujours été le mot d’ordre des élites secrètes qui dirigent le monde. Le chaos total dans tous les sens du terme est leur principe de construction. Pour notre génération, cela commence par les hippies du mouvement de 68, avec l’introduction ciblée de drogues, de sexe, d’alcool — en passant par le nihilisme total — jusqu’à l’effondrement économique total de la classe moyenne, annoncé par les confinements de la plandémie. Oui, le déclin total de tous les peuples non encore communistes est la condition nécessaire à la haute finance secrète pour imposer sa domination mondiale.

Il n’y a aucune autre raison qui explique que nous nous trouvions maintenant dans un monde où les problèmes sont de plus en plus nombreux et où de moins en moins de personnes trouvent encore de l’aide après avoir été délibérément plongées dans des problèmes sans issue.

Je résume tout ce qui a été dit et j’en arrive à ce qui me semble être une solution viable pour sortir de cette crise mondiale :

• Aucun gouvernement au monde n’est vraiment autosuffisant, indépendant de la haute finance. Même les gouvernements qui souhaitent conserver ou rétablir leur indépendance ne le peuvent pas : ils sont écrasés par l’armée.

• La Chine et la Russie ont également été construites stratégiquement par la haute finance mondiale et attirées dans le piège de la dette, comme tous les autres pays du monde.

• Le communisme tout entier est un dispositif global et stratégique de la même haute finance, destiné à éliminer toute classe moyenne qui lui est rivale.

• Le principal point faible du complexe financier mondial, désormais numérique, réside dans la nécessaire administration étrangère. Tout comme les Américains dépendent de gouvernements fantoches appartenant aux États-Unis dans tous les territoires qu’ils occupent, la haute finance fait de même. C’est dans cette administration étrangère que se trouve le talon d’Achille, le point vulnérable de toutes les puissances d’infiltration.

• Après que la haute finance mondiale a construit, entre autres, des prisons de masse rentables, c’est-à-dire des camps de travail pour les travailleurs gratuits, en Russie et en Chine, et qu’elle a finalement pu révolutionner techniquement le marché mondial tout entier, il n’y a plus de retour en arrière possible.

• Mais certaines des principales marionnettes des États vassaux, qui ont été stratégiquement construites par la haute finance mondiale, ont entre-temps elles-mêmes « pris goût à la vie ».

• De même que les bandes de brigands ont toujours eu l’habitude de s’entre-tuer lorsqu’il s’agissait de se partager le gros du butin, il en va de même aujourd’hui. Mais pour nous, les peuples trompés, ce n’est pas une bonne nouvelle. Car que ce soit la haute finance mondiale avec ses militaires ou que ce soit ses vassaux déserteurs qui gagnent la bataille finale pour les peuples travailleurs bon marché, tous les peuples de cette terre finiront de toute façon sous surveillance totale dans les camps de rééducation et de travail prévus. Parce que ce concept est le plus lucratif pour tous les partis de pillards. Priez, si vous pouvez prier, pour que tous ces mafieux des sociétés secrètes s’éliminent mutuellement de leurs propres mains et qu’ils ne parviennent plus à abuser et à sacrifier des peuples innocents pour leurs révoltes et leurs guerres. Je vous invite à écouter à plusieurs reprises la deuxième et surtout la troisième partie de mon message de la Journée des Amis 2023 (https://www.kla.tv/Journéedesamis2023/26201). Vous ne trouverez nulle part ailleurs des solutions et des propositions plus puissantes.

Il n’y a qu’une seule issue pour les peuples : ils doivent devenir ce qu’on leur a fait croire pendant des siècles — ils doivent se défendre ensemble contre la haute finance mondiale rusée et contre son communisme dévoyé.

Mais ce n’est pas la forme puérile ou au mieux adolescente de la démocratie suisse qui nous sortira de l’ornière, car elle est basée sur l’égoïsme humain et donc sur la lutte éternelle des ego.

Ce dont ce monde a besoin, c’est de l’union de tous les peuples condamnés à l’esclavage sous cette loi agissante de l’esprit de vie, de paix et de force de navigation céleste qui sait guider même le « monde animal inculte ».

À ceux qui objectent ici qu’une telle navigation est impossible chez les humains, je renvoie sereinement à l’histoire de l’OCG, dont les organes issus de milliers d’horizons différents agissent harmonieusement comme un seul homme depuis des décennies — et construisent le nouveau monde sur cette voie synergique — et ce, bénévolement et avec une grande motivation. Les résultats ne sont pas seulement visibles dans les dizaines de milliers d’émissions gratuites de Kla.TV ou dans les centaines de milliers d’articles du journal gratuit V&CV. Vous trouverez ces mêmes résultats dans tous les produits de notre maison d’édition Elaion, sous la forme de dizaines de livres gratuits, de littérature spécifique sur le thème susmentionné. Sur le même thème spécifique de la force de navigation ontique mondiale, dans environ 2 000 conférences gratuites sur CD, ou dans de grands films, des oratorios, etc. Nous avons créé tous ces produits bénévolement, malgré les fronts furieux de la haute finance mondiale et du communisme agressif, entre lesquels nous sommes coincés depuis des décennies. Mais aussi en dépit de décennies de résistance de la part de tous les cartels exploiteurs avec leurs médias de masse à redevance obligatoire, etc. En tant qu’OCG, nous sommes devenus un organisme international vivant, en dépit des dizaines de milliers de divisions religieuses, politiques, économiques et autres. Vous voyez donc qu’il est possible de surmonter cela, avec un champ de force qui agit réellement depuis le ciel et qui est là pour tous. Rien de religieux — de la force ! Que pourrais-je encore énumérer ? Il y aurait encore beaucoup plus.

Mais non, l’OCG ne veut pas être lui-même le nouveau dirigeant mondial ou le dirigeant alternatif. Aucun Ivo Sasek ni aucun de ses milliers de collaborateurs bénévoles ne dirigera ce monde. Mais bien le principe de navigation qui agit partout dans l’air autour de nous, auquel nous nous sommes à nouveau fiés et qui nous a permis d’acquérir une qualité de vie totale et indescriptible.

L’OCG ne fait qu’offrir gratuitement ses services à tous les peuples menacés de cette Terre afin de construire parmi eux cette véritable démocratie dans laquelle il n’y a plus de lutte de pouvoir pour les 51 %, mais dans laquelle l’état normal est un accord à 100 % de l’intérieur sur toutes les questions essentielles de la cohabitation entre les peuples, qui s’écoule librement de chaque être humain. C’est le produit de cette navigation par le haut.

J’appelle ici tous les hommes de toutes les nations à l’engagement actif nécessaire ! Devenez avec nous cet organisme vivant ! Celui qui peut entendre mon discours et qui sent dans son cœur qu’une solution adaptée à notre époque s’offre ici — même si c’est à la dernière minute — pour tous les peuples du monde, qu’il s’inscrive à « Kla.TV — Devenir actif » et devienne engagé ! (https://www.kla.tv/aktiv-werden)

Nous sommes là pour toi et nous t’introduisons de manière pratique dans ce champ de force qui navigue de façon ontique.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Les verts et leurs alliés contre les libertés, la démocratie et les pauvres

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de « sauver la planète », les propositions irrationnelles des députés et des militants verts et de leurs alliés se révèlent de plus en plus antidémocratiques, liberticides et anti-pauvres. Bizarre évolution pour un parti qui se prétend « de gauche ».

Quoi qu’on fasse, la planète survivra à l’espèce humaine !

Il est invraisemblable d’entendre répéter partout « il faut sauver la planète ». Quoi que nous fassions la planète Terre nous survivra puisque sa longévité est estimée à 5 milliards d’années, lorsque le Soleil se transformera en géante rouge. Et si la folie des hommes aboutissait à une guerre nucléaire, notre espèce pourrait disparaître, mais pas la planète.

Ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, c’est l’espèce humaine menacée par les délires de quelques-uns qui utilisent d’énormes mensonges pour terroriser la population et de fallacieux prétextes pour lui faire accepter la perte de ses libertés et lui imposer une soumission à la chinoise à l’aide de pass, du fichage numérique et de la suppression de l’argent liquide. Et au passage, certains augmenteront largement leur fortune.

Le réchauffement climatique actuel reste dans les normes du passé lointain

Les climato terroristes se réfèrent aux températures des 1000 dernières années pour prétendre que le réchauffement actuel dépasse « tout ce qui a été estimé jusqu’ici ». Mais à l’échelle planétaire, il est plus adapté de s’intéresser aux estimations des 10 000 dernières années qui montrent que le climat terrestre a connu, avant toute activité humaine notable, de plus fortes températures qu’aujourd’hui !

Cette vue court-termiste des climato terroristes témoigne d’une volonté délibérée d’écarter les faits qui les gênent pour ériger en dogme l’alarmisme climatique.

Le CO2 n’est pas toxique, mais un engrais indispensable pour les plantes

Les climato terroristes érigent le CO2 en ennemi qu’on ne peut combattre qu’en empêchant les humains de vivre comme ils en ont besoin. C’est oublier qu’aucun végétal ne peut croitre sans CO2. Le gaz carbonique (CO2) est en effet indispensable à la synthèse des chlorophylles présentes chez tous les végétaux aquatiques et terrestres. Dans la masse totale des plantes, le bois est la partie qui absorbe le plus de carbone. Et si les verts voulaient faire baisser utilement le CO2, ils planteraient partout des arbres et se battraient opiniâtrement pour sauvegarder ceux qui existent, alors qu’ils font souvent le contraire dans les villes qu’ils administrent ou cogèrent.

Les partis verts s’opposent peu à la mondialisation, pourtant principal responsable de la production inutile de CO2

La mondialisation multiplie les voyages entre les pays à bas coût de main-d’œuvre et les pays riches et pousse à la délocalisation des industries vers les pays les moins regardants en normes antipollution. Les pays riches qui se présentent comme vertueux se contentent en fait d’exporter leur production de CO2 et d’autres toxiques dans les pays lointains pour le seul bénéfice des marchands internationaux !

En 2022, la flotte mondiale comptait plus de 100 000 bateaux de commerce à l’origine de plus de trois quarts des émissions de C02 liées au transport maritime qui représente actuellement 3 % du total mondial (5 fois le total de la France !), chiffre qui, d’après certaines estimations, pourrait atteindre 17 % d’ici 2050. Et une fois que les marchandises débarquent en Europe, elles sont acheminées par une foule de camions qui polluent à leur tour très largement.

Même chose pour les produits agricoles. La Commission européenne se gargarise des accords de libre-échange donnant libre accès européen aux productions agricoles d’Amérique du Sud, alors qu’elles sont la principale cause de la destruction des forêts en particulier amazoniennes.

Limiter les excès de la mondialisation en interdisant l’importation de marchandises et de produits agricoles que nous pouvons produire chez nous constitue un moyen des plus efficace pour diminuer les pollutions et freiner le défrichement des forêts, facteur des plus nocifs sur le cycle du carbone.

Mais au parlement de Bruxelles les verts et leurs alliés n’ont pas combattu comme ils l’auraient dû le faire les accords de libre-échange !

Les propositions des verts et affidés rendent le logement inaccessible aux plus démunis

La crise du logement occupe une place de plus en plus importante dans le développement de l’exclusion et des inégalités. Elle atteint des sommets, mais les médias parlent peu de la responsabilité des lois écologistes dans sa genèse et en particulier de la loi sur les passoires thermiques.

En qualifiant de plus en plus de logements de « passoires thermiques » (avec un élargissement prévu pour les biens classés G en 2025, puis F en 2028 et E en 2034) et en interdisant leur location, les lois imaginées par les verts réduisent très fortement le nombre de logements bon marché disponibles à la location.

En imposant aux nouvelles constructions des normes thermiques qui les renchérissent sensiblement et en bloquant les loyers, ils découragent les potentiels investisseurs et acheteurs privés déjà inquiets de la hausse des taux d’intérêt et de l’augmentation de la taxe locale.

La chasse aux passoires thermiques participe ainsi fortement à la crise actuelle de la construction et des locations accessibles aux plus démunis.

Le chemin de l’enfer locatif est pavé de bonnes intentions écologiques.

Les Verts préfèrent les rats aux pauvres !

Ils chassent les pauvres des villes en utilisant les « zones à faibles émissions »

Jadis les différentes classes sociales cohabitaient dans les immeubles haussmanniens : les bourgeois aisés au premier étage, les étudiants pauvres sous les toits. Progressivement la spéculation foncière a expulsé les pauvres des centres-ville vers des banlieues lointaines souvent mal desservies par les transports publics les obligeant à utiliser leur voiture pour travailler.

Les zones à faible émission, mises en place par les municipalités dirigées ou cogérées par les verts, interdisent maintenant aux pauvres qui n’ont pas les moyens d’acheter des voitures récentes, de venir en ville. Comme jadis les manants étaient chassés de Versailles !

Mais pour garder les rats en ville, ils créent une commission !

Depuis l’antiquité l’homme essaie d’éviter la prolifération de ces rongeurs destructeurs des récoltes ; les Égyptiens avaient même élevé le chat en allié du dieu Rê dans sa lutte contre le serpent Apophis, puis l’avaient déifié en Bastet avant d’édifier une ville à sa gloire : Bubastis, chef-lieu de la déesse Bastet.

Le rat représente un réservoir de germes dangereux dont celui de la peste qui constitue l’épidémie la plus meurtrière de l’histoire qui tua 30 à 50 % de la population européenne en quatre ans (1347-1352). La victoire sur la peste n’a été obtenue que par la chasse aux rats. Et les seuls endroits du monde où elle persiste encore sont ceux où les rats cohabitent étroitement avec l’homme. Ils sont, entre autres, également porteurs de la leptospirose qui menace nos égoutiers.

Mais les verts, l’association de défense des animaux Paris Animaux Zoopolis, et madame Hidalgo, pour sauver les rats de Paris les ont renommés « surmulots », et prétendent qu’ils joueraient « un rôle essentiel sur le plan sanitaire en éliminant une partie de nos déchets » (ces nouveaux éboueurs ne se mettent pas en grève !), ont créé une commission destinée à « faciliter la cohabitation » et financent des études pour « lutter contre les préjugés pour aider les Parisiens à mieux cohabiter avec les rats ».

L’hygiène représente l’arme la plus efficace contre les maladies transmissibles ; elle a permis de vaincre la majorité des épidémies les plus graves sans antibiotiques ni vaccins (peste, choléra, typhus, typhoïde, poliomyélite, hépatite A..). L’oubli de ses bases constitue un recul sanitaire de deux siècles.

Ils veulent limiter le chauffage de nos maisons aux dépens de notre santé.

Les lois européennes imposant des intermédiaires privés dans la fourniture du gaz et de l’électricité et un modèle dément de calcul du prix de l’électricité ont entraîné un accroissement du coût de l’énergie considérablement aggravé par les sanctions contre la Russie et l’arrêt de l’importation du gaz russe au profit du gaz de schiste américain. Ces augmentations déstabilisent notre économie et ont fait réduire le chauffage dans d’innombrables habitations.

Mais le chauffage adéquat de nos maisons diminue fortement la fréquence et la gravité des infections respiratoires hivernales en particulier chez les plus jeunes et les plus âgés. Jusqu’à combien de morts cette réduction de la production de C02 sera-t-elle jugée bénéfique ?

Ils veulent limiter nos déplacements en particulier en avion

La liberté de se déplacer librement constitue l’une des libertés fondamentales. Après les confinements covid et les pass, cette liberté est maintenant menacée par le totalitarisme vert. Le transport aérien ne représente que 2 à 3 % des émissions de gaz à effet de serre causées par l’homme dans le monde. Mais Jean-Marc Jancovici veut limiter chaque personne à 4 trajets en avion sur toute une vie. « On pourrait instaurer un système où lorsqu’on est jeune, on a deux vols pour découvrir le monde et quand on est vieux, on part en vacances en Corrèze en train. ». Mais comment peut-on être à ce point opposé à nos libertés fondamentales ?

Le « Pacte vert », d’Ursula von der Leyen, du 14 juillet 2021, décidé sans consultation démocratique impose de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne d’au moins 55 % dès 2030 avec un taux minimum de carburants « verts » pour les avions de 70 % en 2050. Mais ces carburants de synthèse, fabriqués à partir d’hydrogène et de CO2, sont actuellement trois à quatre fois plus chers que le kérosène et leur utilisation augmentera d’autant le coût des billets d’avion, les réservant progressivement aux plus aisés. Décidément les eurocrates, tellement encensés par les verts, n’aiment pas les pauvres.

Les verts contre les libertés et la démocratie

Beaucoup d’écologistes, de socialistes et de LFI estiment que les libertés individuelles sont désuètes et sont prêts à les supprimer au moindre prétexte sanitaire ou climatologique agité par les médias.

Ils ont voté massivement pour les pass sanitaires, puis vaccinaux qui ne servaient à rien sauf à tester notre soumission comme le montrent les données de l’OMS illustrant leur inefficacité contre l’extension de l’épidémie.

Ils ont déclaré avec Michèle Rivasi que « l’Europe avait bien fait d’acheter les “vaccins” de manière groupée », alors que de lourds soupçons de corruption pèsent sur cette opération. Ils ont soutenu le rapport préliminaire intitulé « Pandémie Covid-19 : leçons apprises et recommandations pour le futur » publié le 8 février 2023 qui ne précise pas que les injections ont été incapables d’éviter d’attraper la maladie, ni de la transmettre.

ni les formes graves comme l’atteste l’augmentation de la mortalité dans les pays les plus vaccinés après les campagnes massives d’injections.

et qui mentionnent à peine l’existence de leurs complications pourtant plus nombreuses et graves qu’après toute autre vaccination de masse.

Beaucoup d’écologistes font passer le prétendu « sauvetage de la planète » avant les libertés individuelles et rêvent d’imposer de nouvelles mesures liberticides : créer un pass écologique, des couvre-feux thermiques, l’interdiction des voitures autres qu’électriques, l’interdiction de tout vol aérien non justifié, la division par un gros facteur (trois est suggéré) du streaming et des données (jeux, réseaux) en général, la limitation à 1 kg de vêtements neufs mis sur le marché par an et par personne (contre 40 kg actuellement en moyenne), la limitation de la consommation de viande, des quotas sur de nombreux de biens importés (chocolat, café notamment).

Ils sont pour la Carte d’identité numérique européenne qui permettra le fichage biométrique de toute la population et les connexions avec les fichiers bancaires, fiscaux et sanitaires réalisant le rêve de Big Brother.

Ils défendent le projet de Gouvernance mondiale ainsi que l’exprime Michèle Rivasi évoquant favorablement « Une Seule Santé », le pilier idéologique du « Traité “Pandémies » de l’OMS, soutenue par la Banque Mondiale et par des entreprises liées à Blackrock, Vanguard et BioMérieux, visant à instaurer une « meilleure gouvernance mondiale » débarrassée de la volonté des peuples considérés comme de grands enfants irresponsables. La fin de la démocratie.

Rendre insupportable la vie des Français ne diminuera guère le C02

La France compte très peu dans la production de CO2 : 0,6 % du total mondial (400 millions de tonnes/60 milliards). Mais les verts et leurs alliés ne rêvent que de nous ficher, nous surveiller constamment, de limiter nos libertés en particulier celles de nous déplacer, de nous exprimer, de nous chauffer, de payer en liquide pour ne pas dépendre totalement des banques.

Les prévisions les plus optimistes (totalement irréalisables) de l’impact des mesures qu’ils veulent nous imposer en France sont une baisse de 40 % de notre bilan carbone soit de 0,2 % de celui de la planète, permettant d’espérer, d’après leur mode de calcul une diminution de 0,001 degré de l’augmentation de température qu’ils prophétisent.

Brimer sévèrement la vie des Français comme ils veulent le faire ne changera rien à la production de CO2 tant que les principaux pays responsables (Chine, Inde, USA) ne donneront pas l’exemple. Et ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne veulent diminuer leur bilan carbone, car ils préfèrent améliorer le sort de leurs populations que de croire les mensonges du GIEC. Steven Koonin, physicien et ancien conseiller d’Obama, affirme La neutralité carbone horizon 2050 n’arrivera pas » car le monde est « plus inquiet de savoir comment obtenir de l’énergie fossile pour vivre une vie meilleure », que par « l’objectif zéro carbone »…

La suppression de la démocratie et un tsunami de mesures de privation de liberté qu’ils veulent nous imposer pour rien !

Comment peuvent-ils encore se prétendre « de gauche » et se réclamer républicains en oubliant que notre devise commence par LIBERTÉ, si bien chantée par Paul Eluard à une époque où le totalitarisme sévissait.

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard




Témoignage d’une électrohypersensible

[Source : cielvoile.fr]

Témoignage d'une EHS

Mes symptômes d’électrohypersensibilité (EHS) ont débuté il y a plus de 20 ans même si je n’ai commencé à faire le lien avec les ondes électromagnétiques qu’aux alentours de 2011 et n’ai été diagnostiquée EHS qu’en 2016.

En octobre 2002, je venais d’acquérir, comme tous mes collègues, mon tout premier téléphone portable. J’habitais alors près d’une falaise et il n’y avait pas beaucoup de réseau. Je ne savais alors pas que le téléphone rayonnait très fort dans ce cas. J’avais des picotements et la tête très chaude après les appels téléphoniques, mais cela passait et je ne m’inquiétais pas. Je faisais confiance…

Très rapidement, j’ai commencé à avoir de terribles démangeaisons dans le cuir chevelu accompagnées d’une chute importante de cheveux. Ces problèmes ont duré de très longues années. J’ai consulté près de 14 dermatologues dans toute la France. Je suis même allée à l’hôpital Saint Louis (centre Sabouraud) pour rencontrer le spécialiste de la chute des cheveux à l’époque, le Dr Reygagne. Je n’ai pas eu de réponse concrète. J’ai essayé un traitement au Minoxidil. Le médecin pensait à une alopécie androgéno-génétique, mais le traitement ne fonctionnait pas. J’ai tenté d’autres alternatives : l’acupuncture, les huiles essentielles, le magnétisme, les plantes… Rien n’améliorait mon état. Je suis tombée dans une profonde dépression. Parallèlement, les problèmes s’accumulaient : troubles cardiaques : extrasystoles et tachycardie, troubles de la thyroïde, plaques rouges sur le visage (il s’agissait en fait des brûlures), extrême fatigue. Je sentais qu’il y avait quelque chose de grave sans comprendre ce qui m’arrivait et je me sentais terriblement incomprise au point un jour de prendre des médicaments en trop grande quantité pour que cela s’arrête. Je n’en pouvais plus de passer mes jours et une partie de mes nuits à ruminer pour tenter de comprendre ce qui se passait. Je tournais en rond dans ma tête. Pour mon médecin traitant de l’époque, j’étais psychotique, névrosée. Pour d’autres c’était le surmenage, le stress…

Miraculeusement, en 2009, la chute des cheveux s’est arrêtée d’elle-même sans que je comprenne ce qui s’était passé. Ce n’est que bien plus tard que je ferai le rapprochement avec le fait que j’avais changé de téléphone et que j’utilisais la fonction haut-parleur. J’avais également déménagé dans une zone où il y avait davantage de réseau donc moins de rayonnement provenant de mon téléphone.

J’ai fait construire une maison écologique à un kilomètre de mon lieu de travail pour pouvoir y aller à pied ou à vélo. J’avais un bois à traverser. C’était vraiment très agréable. Je pensais avoir acquis un peu de stabilité et je me sentais très bien dans mon nouveau cocon. Peu de temps après la construction, j’ai vu apparaître une antenne de téléphonie mobile derrière la maison. Je n’étais pas réellement consciente des dangers à l’époque. Plus tard, je ferai le rapprochement entre l’installation de cette antenne et le déclenchement de mes acouphènes d’abord intermittents (le soir au coucher) puis de plus en plus durables (sur quelques jours) et l’arrivée d’insomnies.

Par ailleurs, dans mon environnement professionnel, le rayonnement électromagnétique n’a fait que s’intensifier. Ingénieur agronome de formation, j’enseignais l’agronomie et l’hydrologie en établissement agricole. Mon public était de plus en plus équipé en objets connectés et les bornes wifi ont proliféré dans les différents bâtiments du site. Mon proviseur avait comme devise : « Il faut vivre avec son temps ».

Son objectif était de développer le numérique au niveau de l’établissement : tableaux numériques interactifs, chemin numérique sur le site, ordinateurs portables distribués à tous les enseignants pour tout piloter à distance : les absences, retards, sorties réservations de salle, enregistrement des notes. Je me suis vu confier la coordination d’une formation BTS en « gestion et maîtrise de l’eau ». Je passais les trois quarts de mon temps en salle informatique. J’accompagnais les élèves et étudiants dans le suivi de projets, de stages, de préparation aux examens…

Je rentrais chez moi épuisée, à bout de souffle, littéralement et à bout de forces. Même après une heure de travail, j’étais dans un état d’épuisement extrême.

En 2012 (je pense), je passais les vacances chez ma maman à Leforest lorsqu’une personne est venue à la maison pour me faire signer une pétition au sujet d’une antenne de téléphonie mobile installée près de chez elle qui lui causait de graves troubles. Elle m’a décrit ses symptômes et cela a été pour moi une révélation. J’ai enfin compris pourquoi mon corps souffrait tant.

J’ai commencé à faire des recherches sur le net : tout coïncidait. C’était à la fois un réel soulagement d’avoir mis un mot sur tant d’années de souffrances, mais aussi une terrible angoisse : comment allais-je pouvoir gérer ce problème ?

J’ai discuté de ma situation avec un ami qui travaillait chez un fabricant de téléphones portables. Il était tout à fait conscient (tout comme les membres de sa société) des dangers occasionnés par les ondes électromagnétiques et m’a conseillé de voir le professeur Belpomme.

J’ai un peu tardé, mais je me suis enfin décidée et en 2015, je prends rendez-vous pour le 16 juin 2016.

Mon état de santé s’aggravait (vertiges, nausées, troubles de la mémoire et de la concentration, aggravation des troubles cardiaques). Dans le cadre de mon activité professionnelle, j’étais à bout de forces aussi bien physiques qu’intellectuelles. Je décide de prendre rendez-vous avec le médecin de travail en 2015. Pendant la séance, j’étais en larmes : je tentais d’expliquer les causes de mon état (explosion du rayonnement sur l’établissement dans lequel je travaillais), mais j’avais en face de moi un mur de silence et d’incompréhension. Elle m’a conseillé de prendre rendez-vous avec une psychologue de la médecine du travail et de revenir la voir lorsque j’aurai vu le Docteur Belpomme. J’ai pu bénéficier d’un suivi psychologique au sein de la médecine du travail pendant six mois jusqu’à mon arrêt de travail avec une personne cette fois-ci très ouverte et très à l’écoute.

J’ai donc vu le docteur Belpomme en juin 2016. Il m’a longuement questionné sur mes pratiques, mon travail, mes difficultés, mes symptômes… puis m’a envoyé faire des analyses sanguines et m’a donné des prescriptions pour un encephaloscan et des analyses d’urine. Il m’a donné un traitement à base de compléments alimentaires (antioxydants puissants, plantes et vitamines…). Je suis revenue quelques mois plus tard avec les résultats des différents examens et le diagnostic était sans appel. J’étais EHS et il fallait absolument me protéger. Il me demandait également de faire un dossier pour obtenir une reconnaissance RQTH (Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé) auprès de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées)… Cette reconnaissance m’a été dans un premier temps refusée lorsque j’étais domiciliée dans la Somme. Elle me sera accordée un an et demi plus tard à la suite d’une nouvelle demande, mais cette fois-ci en étant domiciliée dans le Pas-de-Calais. Je n’ai droit par contre à aucune aide, qu’elle soit financière ou matérielle. La possibilité de bénéficier d’une carte de passage prioritaire aux caisses des supermarchés aurait pourtant été pour moi d’une grande utilité. J’ai revu le docteur Belpomme pendant 3 ans tous les 6 mois, mais mes résultats étaient de plus en plus catastrophiques, notamment l’encephaloscan. Il témoignait d’une mauvaise irrigation cérébrale. Le docteur Belpomme était alarmiste : « Vous allez tout droit vers Alzheimer », me dit-il. Ensuite, mon état ne me permettait plus d’aller à Paris.

Je sentais que j’étais en grand danger si je continuais à exercer mon activité professionnelle ; j’ai vu une psychiatre qui m’a aussitôt mis en arrêt de travail d’abord pour un mois puis pour trois mois puis je passe en congé longue maladie (trois ans) et ensuite en congé longue durée (cinq ans).

Je suis venue habitée dans le Pas-de-Calais à Leforest chez ma maman. J’ai mis ma maison en vente à grand regret. Elle sera vendue en 2020. Chez ma maman, à l’époque, il n’y avait pas de voisins trop proches et trop connectés : la maison voisine était en vente et inoccupée et les autres voisins étaient des personnes âgées peu connectées. J’ai pu vivre deux ans dans la maison, mais en 2018, de nouveaux voisins (une famille nombreuse et des parents dans l’informatique) se sont installés dans la maison voisine. Un lotissement s’est construit en face. Je ne pouvais plus vivre dans la maison, en tout cas à proximité de ces voisins. J’ai acheté une caravane en aluminium que j’ai installée tout au fond du jardin de ma maman. Très vite, il a fallu blinder les fenêtres dans un premier temps avec du grillage puis avec de l’aluminium pour renforcer la protection électromagnétique. J’ai dormi dans cette caravane pendant près de deux ans. Je vivais complètement isolée sans aucune vie sociale, sans pouvoir communiquer : ma maman n’était plus équipée en téléphone filaire.

Les voisins avaient un grand terrain et ont décidé d’installer des amplificateurs wifi pour capter et se connecter jusqu’au bout du terrain, à plus de 100 m. Les symptômes sont devenus terribles : sensations de coup de poignard dans la tête et surtout la mâchoire, la tête qui prend feu. Des plaques rouges sur le visage sont réapparues. J’ai pu voir une dermatologue qui m’a appris que c’était cancéreux : des carcinomes à retirer au plus vite ! C’est un cancer localisé : il faut réaliser des interventions chirurgicales. J’ai eu un rendez-vous avec un chirurgien qu’elle m’avait recommandé. Ce chirurgien m’a complètement dénigrée, voire humiliée quand je lui ai parlé des ondes électromagnétiques. Pour lui, mon cancer était bien réel, ce qui n’était pas le cas de la dangerosité des ondes. J’ai demandé à ne pas subir d’anesthésie générale dans le but de rester le moins longtemps hospitalisée, ce qui d’après ma dermatologue était tout à fait envisageable. Je n’avais pas pu obtenir la possibilité d’avoir une chambre éloignée des wifi et le personnel administratif de la clinique n’était pas du tout à l’écoute de mes difficultés. Ce chirurgien a refusé de me soigner et m’a demandé de consulter un confrère pour traiter mes carcinomes avec des rayons. Pour ma dermatologue, c’était incompréhensible : les risques de séquelles étaient trop importants. Elle a décidé de réaliser elle-même les interventions chirurgicales dans son cabinet et tout s’est très bien déroulé, mais je dois absolument être vigilante.

Je suis allée quelque temps chez un ami dans l’Aube qui m’a confectionné une cage de Faraday avec des couvertures de survie. Il y avait apparemment peu de rayonnement, mais je me sentais très mal : insomnies, oppression, nausées et surtout bruits incessants en tête et acouphènes. Je suis repartie dans ma caravane. Plus tard, j’apprendrai que je suis aussi victime du syndrome éolien. Je suis sensible aux infrasons générés par les centaines d’éoliennes qui entourent sa maison.

Puis, il y a eu le confinement. Ce fut une période très compliquée pour moi, comme pour tous les EHS, je pense. Le point positif était de pouvoir se promener longuement en étant quasiment seule en forêt. Grâce à la reconnaissance « handicapée », je n’étais pas limitée par la durée lors de mes sorties. J’y passais une bonne partie de la journée.

Par contre, les voisins, parents et enfants restaient perpétuellement chez eux (télétravail et cours à domicile). D’ailleurs, le père informaticien continue toujours son activité en télétravail et la mère ne travaille plus, ce qui augmente fortement le rayonnement que je peux recevoir quand je vais voir ma maman sur Leforest.

Pendant cette période de confinement, deux antennes de téléphonie mobile équipée en 5G se sont installées dans la rue à environ 500 m. Je peux dire exactement à quel moment elles ont été mises en service. C’était une nuit de février 2021 où je dormais dans ma caravane, j’ai été réveillée en pleine nuit par des douleurs atroces comme si tout mon corps et particulièrement ma tête était matraqué de toute part. À partir de cette nuit, tout ne sera jamais plus pareil. Les douleurs vont devenir insupportables. J’ai tenté de mieux blinder ma caravane, d’installer un abri anti-ondes avec des couvertures de survie à l’intérieur, rien ne marchait. J’étais matraquée toutes les nuits. Peu de temps après, mon frère m’a confectionné une cage de Faraday avec de l’isolant en aluminium. Nous installons un grillage pour que je puisse respirer. Cela ne fonctionne pas non plus. Je me rends compte que le grillage qui jusqu’à présent bloquait les ondes, n’est cette fois-ci plus efficace avec l’arrivée de la 5 G. Je passe un été terrible à souffrir le martyre et à hurler de douleur. À la fin du mois d’août, je prends une décision radicale. J’ai pu repérer un endroit à l’entrée de la forêt éloigné des habitations et j’ai décidé d’aller y dormir dans ma voiture. Je dois prendre antidépresseurs, anxiolytiques pour surmonter mes angoisses et attendre la nuit pour ne pas me faire repérer. J’emmène mon chien, un matelas de ma caravane et un duvet et je pars dormir dans ma voiture à quelques kilomètres de la maison. Je dormais peu, mais je n’avais aucune douleur. J’ai renouvelé l’opération pendant plusieurs mois. J’ai également passé un peu de temps chez mon ami dans l’Aube, mais je suis revenue régulièrement dormir près du bois de Leforest. Malheureusement, exactement à l’endroit où je dormais, des pylônes pour câbles à très hautes tensions (2 fois 400 000 V) ont été installés. En janvier 2022, ce fut la panique totale, j’ai appris par des techniciens travaillant sur les pylônes que les câbles seront mis en service dans quelques jours. Je devais absolument trouver un autre endroit pour dormir.

J’ai trouvé un endroit à peu près sain d’un point de vue électromagnétique, mais bien plus loin cette fois, à une vingtaine de kilomètres de Leforest. Par contre, j’étais en bord de chemin et visible. Il fallait que je parte très tôt avant le lever du jour. J’ai dormi quelques mois à cet endroit jusqu’à ce qu’un matin en mars 2022 vers 6 h du matin, j’ai été intimidée par des chasseurs qui sont arrivés pleins phares et ont entouré ma voiture avec leurs pick-up pour me chasser de cet endroit.

Je n’en pouvais plus. Je suis repartie à nouveau dans l’Aube chez mon ami. Il m’avait lui aussi confectionné une cage de Faraday avec de l’isolant mince et un grillage moustiquaire pour respirer,. Mais là aussi, la 5G est arrivée et la cage ne fonctionnait pas. Le grillage n’était pas suffisamment étanche par rapport aux ondes et les ondes qui pénétraient restaient bloquées à l’intérieur. C’était insoutenable. Je suis allée dormir dans de nombreux endroits, d’abord près d’une forêt puis au plein milieu des champs. Je teste des tas d’endroits différents, mais au bout d’un moment, cela ne convenait jamais. Puis, j’ai commencé à avoir de terribles symptômes : insomnies malgré les somnifères, agitation, et surtout vibration du corps entier et bruits accompagnés d’acouphènes stridents. J’ai commencé à vraiment m’inquiéter et à soupçonner les éoliennes qui m’entouraient. Après de nombreuses recherches sur le net, je réalise que mes symptômes correspondent à une sensibilité aux infrasons des éoliennes. Ce diagnostic a été confirmé par le docteur Delolme, médecin épidémiologiste à la retraite qui s’est consacré à l’étude des infrasons après l’installation d’éoliennes près de chez lui. Il a suivi de nombreux patients et a participé aux colloques : « la santé des hommes et des animaux face aux infrasons produits par les éoliennes ». J’ai pris contact avec plusieurs associations dont l’association « Friends Against Wind » auprès de laquelle j’ai pu apprendre énormément de choses et comprendre enfin que le problème n’était pas en moi, mais lié, tout comme l’électrohypersensibilité, à mon environnement. J’ai aussi appris que les éoliennes, à présent, communiquaient par radiofréquence, ce qui expliquait pourquoi, il m’était devenu impossible de me promener en pleine campagne dans cette région.

Je n’avais pas d’autres choix que d’aller dormir éloignée des éoliennes. Il me fallait faire plus de 40 km aller pour être à 15 km des éoliennes et pouvoir dormir un peu mieux. Malheureusement, rien n’arrête les infrasons et je continuais à les entendre même à cette distance ! Je dormais la nuit dans la forêt et j’en profitais le matin pour m’y promener quelques heures et je rentrais dans le midi chez mon ami. Je passais l’après-midi à faire des recherches de biens à vendre sur Internet.

J’ai écrit cinq courriers au président de la République, Emmanuel Macron, pour expliquer la situation désastreuse dans laquelle je me trouve. En 2020, j’ai reçu une réponse me disant que mon dossier était transféré au ministère de la Santé et de la Solidarité. J’ai été contactée par une assistante sociale du ministère de la Santé avec laquelle j’ai eu un bon contact, mais qui malheureusement est restée totalement impuissante et démunie face à ma situation. Pourtant, j’avais eu une réponse écrite du ministère de la Santé précisant qu’en 2021, les professionnels de la santé disposeront d’un « guide de bonne pratique » pour éviter l’errance médicale dont sont victimes les personnes électrohypersensibles. Nous sommes en 2023, rien n’a été fait dans ce sens…

Depuis plusieurs années, je suis essentiellement restée dans l’Aube même si le syndrome éolien est épuisant. Je ne peux sortir de la maison. Le rayonnement est trop important à l’extérieur. Je suis terriblement isolée même si j’ai quelques contacts avec des associations d’électrohypersensibles. Je vais très rarement en ville. Je me sens extrêmement dépendante pour des activités de la vie quotidienne.

Depuis peu, j’ai acheté un tissu anti-ondes assez performant. Mon ami a réalisé un baldaquin grâce à un encadrement en bois qui me permet de poser le tissu par-dessus.

Dans l’Aube, la voisine de mon ami accepte d’éteindre le wifi et de mettre son téléphone en mode avion la nuit. Je peux enfin dormir dans une maison en étant relativement protégée des ondes sous mon baldaquin. Par contre, la journée, mon bien-être dépend essentiellement de la présence des voisins. S’ils sont nombreux, je dois m’éloigner, généralement dans la forêt à plus de 40 km.

Par contre, je reste proche des éoliennes et des infrasons et les rayonnements électromagnétiques générés par les éoliennes restent un gros problème.

Quand je dois aller voir ma maman dans les Hauts-de-France, il m’est quasiment impossible de rester longtemps en dehors d’une cage de Faraday (3 m2 sur 1 m de hauteur). À l’intérieur, j’ai installé mon baldaquin anti-ondes, ce qui me permet là aussi de dormir dans la maison. Mais, j’ai très peu d’air pour respirer, l’été c’est vraiment suffocant !

Je suis convaincue que mes problèmes d’électrohypersensibilité sont en relation avec la présence de métaux lourds : intoxication et présence de métaux en bouche. À la suite d’un grave problème de santé dans mon enfance, j’ai dû subir énormément de soins dentaires nécessitant la pose d’amalgames dentaires. Ces amalgames ont été posés puis retirés régulièrement sans précaution. J’avais également beaucoup de métaux en bouche : couronnes et pivots. La plupart ont été retirés, mais les symptômes persistent et, actuellement, je souffre en plus de fibromyalgie. Les méthodes de désintoxication aux métaux lourds sont complexes et nécessitent un suivi régulier avec un spécialiste. En France, très peu de médecins sont formés à ces problématiques. J’ai essayé des méthodes naturelles à base de plantes qui ne donnent pas de résultats en ce qui me concerne.

J’ai besoin de nombreux soins : je n’ai pas pu voir ma dermatologue pour un suivi depuis plus de deux ans. J’ai besoin de poursuivre d’importants soins dentaires. Beaucoup de soins nécessitent de me rendre en milieu hospitalier, ce qui est inenvisageable pour moi actuellement.

Ma situation est intenable. J’ai perdu tout ce que j’avais construit à force de travail et de persévérance : mon emploi (fonctionnaire pour le ministère de l’Agriculture), la maison écologique que j’avais fait construire, toutes mes relations professionnelles et sociales. Il m’est actuellement impossible de faire des projets, quels qu’ils soient. Avec le déploiement de la 5G partout en France et des éoliennes, mon avenir est plutôt sombre.

Je cherche désespérément depuis plusieurs années un lieu de vie épargné des rayonnements électromagnétiques et des sources d’infrasons pour me ressourcer et tenter d’améliorer mon état de santé. Je pense que c’est la première étape pour aller vers un mieux-être. Toutes les personnes EHS que j’ai pu contacter et qui se disent en bonne voie d’amélioration ont commencé par s’isoler en se mettant à l’abri des ondes.

Je continue à prendre des antioxydants et des vitamines. Je teste des techniques de méditation et de relaxation, le Qi gong, le Do in, comme je peux, quand je peux… mais c’est encore trop aléatoire.

Je terminerai ce témoignage par quelques phrases issues du compte rendu du colloque sur les infrasons. Je trouve ces phrases très justes alors que les faits sont terriblement injustes.

« … il faut souligner que si les personnes électrohypersensibles et celles qui sont hypersensibles aux infrasons ont tant de mal à se faire reconnaître par la Justice et par la Médecine, c’est parce que la charge de la Preuve est inversée : on demande aux personnes agressées dans leur environnement de prouver qu’elles souffrent, alors que les lobbies peuvent développer leurs technologies sur des études prétendant prouver l’innocuité de leurs produits… mais financées par eux ! Le Principe constitutionnel de Précaution est lui-même occulté… C’est tout le problème du poids de l’argent à notre époque, disproportionné par rapport à la valeur d’une vie humaine ».




Les abolitionnistes de frontières sont des nihilistes néonazis

Par Lucien SA Oulahbib

Pour injecter mortellement votre chien dites qu’il a la rage. Pour masquer votre nihilisme et votre adoration paganisée du chaos en défendant mordicus l’abolition des frontières au profit (voilé) du Reich Global, dites que « les racistes de l’extrême droite instrumentalisent l’immigration ». Vous aurez alors toute l’attention de la propagande nihiliste néonazie au pouvoir visant à détruire nations et individualités en ce sens où ce néonazisme en absorbant le léninisme et le néoléninisme (le queerisme déconstructiviste des feus soixante-huitards) est devenu non plus « national » mais « international », celui du socialisme étatiste sans frontiéristes dirigé par une technocratie globaliste nihiliste sans foi ni loi (tout en affichant un visage d’ange, celui de « la Bête de l’événement ») à la solde d’une Secte richissime et activiste (Soros, Gates, et consorts…). Celle-ci a mis sur pied une machine de guerre pire que l’Inquisition (qui était modératrice en réalité, tant les dénonciations pullulaient…), celle d’une traque implacable et tragique contre les nouveaux hérétiques (nommés « complotistes », parce qu’ils la dénoncent justement). Elle cherche ainsi à épurer le « sang impur » en vue de rebâtir enfin une nouvelle stratification pyramidale planétaire (les « rien » et « sans dents » en bas et les « éveillés » en haut), tout en le niant bien sûr farouchement avec des mines de vierge effarouchée : ainsi en France telle animatrice sur France-Inter ou telle dirigeante de la NUPES ; aux USA telle dirigeante démocrate niant les dernières révélations du rapport Durham lui-même édulcoré par ailleurs

Cette propagande nihiliste néonazie va par exemple monter en épingle, d’un côté, telle mise en exergue d’un assassinat crapuleux, celui de la très jeune Lola en France, effectuée pourtant par une personne non française et illégalement installée en France qui avait de ce fait bel et bien eu une injonction, formelle, de quitter le territoire, tandis que, de l’autre côté, cette propagande, putride, mettra en avant tel incendie comme l’habitation d’un maire qui voulait se substituer à l’ONU en installant sans en demander la permission aux habitants un centre de migrants alors que ces deux faits, l’incendie et l’installation, ont des causes distinctes, quand bien même existerait-il une corrélation que l’enquête n’a cependant pas encore établie d’ailleurs…

Or, en amalgamant, d’entrée de jeu, de manière vulgaire même, la stupeur horrifiée envers un assassinat tellement sordide, et l’incendie en effet inqualifiable d’un élu comme « preuves » ultimes de la « montée de l’extrême droite » cela revient seulement à détourner l’attention pour mieux noyer le fait que la meurtrière de Lola (assassinée avec préméditation) n’avait rien à faire en France depuis longtemps d’une part, et que l’incendie en question, d’autre part, n’enlève rien au fait que certains militent bel et bien pour une abolition des frontières, ce qui est également criminel même insidieusement opéré.

Ce qui fait que ce sont des créatures obscènes en ce sens où elles mettent en scène ce qui n’a pas lieu d’être, détruisant la scène constitutionnelle de la souveraineté nationale française garantie pourtant par les articles, irréfragables, du Bloc de constitutionnalité, en niant de fait l’existence de frontières et de lois sommant au départ lorsqu’il y a lieu, noyant ainsi le poisson en tentant de faire croire qu’au fond l’assassinat de Lola et l’installation forcée de centres à migration (véritables têtes de pont sans frontiéristes) seraient principalement des « inventions de l’extrême droite »…

« Cachez ce sein que je ne saurais voir ». Le meurtre odieux et sordide de Lola violée et découpée ne serait plus qu’un fait divers (ou d’été) et l’installation de centres à migrants ferait seulement preuve de générosité envers une population ayant été « dominée » autrefois, d’où la nécessité d’une repentance… permanente, alors que tout ceci est faux après plus de soixante ans de décolonisation. Il suffit d’ailleurs de comparer deux pays ayant eu des conditions bien difficiles au départ (et pour une part liée à des déchirures internes multiformes et toujours vivaces), la Corée du Sud et l’Algérie, pour bien comprendre que d’autres facteurs sont bien plus en jeu que « la » seule colonisation quant au développement de l’une et la régression avancée de l’autre…

Toute cette propagande, déjà nihiliste à la base (avec le queerisme comme seul mode d’accès à tout désir possible) s’avère être à la solde des affairistes de la Secte globaliste néonazie (SHAA) avides d’une main-d’œuvre bon marché et sexuellement exploitable (jeunes éphèbes et autres nymphes colorés) sans parler de la prostitution et du trafic d’organes, alors que cette question migratoire EST une affaire d’abord mondiale qui ne peut donc être traitée qu’au niveau des institutions onusiennes et même pas au sein de l’UE…

D’où la confirmation de plus en plus affirmée, démontrée par les faits, qu’il ne sert somme toute à rien de se mettre sur une position défensive avec un ton quelque peu justificatif et teinté d’agressivité blessée comme le font certains dont Éric Zemmour (récemment sur RTL le 21/05/23) alors qu’il s’agit surtout, d’abord, de souligner que la France ne peut pas résoudre la question à elle seule de « la misère du monde » et qu’il faut donc instamment, quitte à opérer la politique dite de « la chaise vide », sommer TOUTES les instances mondiales de prendre en charge cette question, jusqu’à exclure de l’ONU les États qui refuseraient d’opérer les réformes adéquates permettant que leur population reste dans le pays pour le développer au lieu de s’enfuir ainsi…

Et la fuite en avant visant à les « aider » en permanence, tout en effaçant leurs dettes au fur et à mesure ne sert à rien sinon à reculer comme mieux sauter, à l’instar de cette monumentale dette publique et privée qui un jour ou l’autre va exploser, au fur et à mesure que nous allons entrer dans la quatrième guerre mondiale (la 3e ayant été la guerre froide). Celle-ci a d’ailleurs déjà entamé son amorce avec l’injonction sanitaire, puis les préliminaires de la guerre contre ces anti-queeristes que sont devenus les Russes et derrière eux le reste du monde, avec en arrière fond l’injonction climatique visant à forcer les individus à ne plus être aussi autonomes, aussi mobiles, à les drainer peu à peu et de plus en plus vers le seul monde de la virtualité (déjà par la drogue des séries déconstructivistes), tandis que l’élite de la Secte peut vaquer avec morgue à ses occupations globales, le tout « au nom » de la « Transition » (ou le triomphe sur le tard de Trotski avec son « Programme de Transition »).

Le plus regrettable dans cette histoire de plus en plus sordide est que les réels défenseurs de la souveraineté nationale à la française (la Nation comme communauté de sol et non pas seulement de sang) sont bien loin de s’unir, au-delà de leur singularité, pour empêcher que puisse continuer à nuire ainsi cette absolue infamie de type hygiéniste, eugéniste, racialiste, affairiste ou le réel néonazisme en marche (décrit également par Arièle Bilheran) qui n’a plus rien à voir avec le pseudo néonazisme des adorateurs actuels du feu palefrenier wagnérien paganisé qui ne savent quoi faire d’ailleurs de l’épée de Charlemagne tant il n’a pas compris ce qu’elle signifie.

Seulement, face à cela, seule la division prévaut, et aussi l’opportunisme confondant surface médiatique et profondeur analytique, et qui découvre ici et là le nihilisme, là-bas l’affairisme (appelé faussement « néo-libéralisme » alors que la financiarisation a toujours été présente, lire le 18 Brumaire… de Marx), plus loin le scientisme hygiéniste, et le tout appelé pompeusement « wokisme » alors que cela fait depuis des décennies qu’une poignée de penseurs (dont je suis) tentent (vainement) d’alerter sur les racines idéologiques multiformes de ce « tout » et son instrumentalisation accélérée par la technostructure standardisée et élevée désormais en secte globale ayant comme visée la reconstitution d’une ligue dissoute, celle du retour vers la barbarie assumée ou la servitude comme structure sociale, colonne vertébrale, quand bien même l’adhésion à son émergence serait-elle « volontaire », effaçant ainsi des siècles d’humanisme, comme le désirait Foucault, leur maître en queerisme, lorsqu’il disait dans les Mots et les choses que le visage de l’Homme s’effacera sur le sable de l’Histoire comme s’il n’avait jamais existé (admirez d’ailleurs la tentative de voiler cet aveu)

Mais celui-ci sera défendu par un Finkielkraut, une Hélène Banoun, un Vincent Pavan (du CSI) sans se rendre compte des conséquences pour la « cause » qu’ils mettent en avant, alourdissant encore plus, s’il en est, la division (mais un pas positif a été franchi à Saintes récemment lors d’une réunion importante des dénonciateurs de la Secte qui ont pu s’expliquer longuement sur son injonction hygiéniste)…