Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19

[Source : AIM SIB]

Quand a débuté la maladie Covid-19, vraiment? D’où vient ce virus? Et ces mesures de restrictions de liberté, de confinements, la ruine des petits commerces, la mise à l’arrêt des transports internationaux, la traque systématique de toute information qui ne cadre pas avec la communication mainstream, toutes décidées en un bel ensemble mondial, un hasard? Et cette efflorescence de vaccins anti-Covid qui sont commercialisés dans le monde entier en moins d’un an, heureux hasard, ou plutôt… Belle préparation? Emma Kahn signe probablement ici son article le plus polémique, le plus dérangeant et le plus utile. De la théorie à la possible pratique des pandémies sur ordonnance, bonne lecture…

Introduction

Après la pandémie de grippe H1N1 en 2009 et à l’occasion du centenaire de la grippe espagnole de 1918 des scénarios de pandémie ont été publiés par les grands organismes supra-nationaux tels le Forum Economique Mondial (WEF en anglais) ou de grands instituts de recherche comme le John Hopkins Institute. Ces scénarios ont été publiés dans le contexte de la crise économique et bancaire de 2007-2008 ou crise des « subprimes » : Les brèches ont été colmatées mais la crise n’a pas été résolue.

Je n’aborderai pas les aspects économiques ou technologiques car je n’en ai pas les moyens. Je me limiterai aux aspects politico-sanitaires. En 2009 est déclarée la pandémie de grippe H1N1 qui s’avère beaucoup moins sévère qu’escompté et qui fait surtout des dégâts parmi les obèses: 477 décès aux USA entre avril et août 2009. (1)
C’est l’occasion pour le CDC (Center of Diseases Control, USA) d’affiner ses méthodes de surveillance des pandémies. Un vaccin classique spécifique de la souche pandémique est élaboré et fabriqué rapidement, il est disponible début 2010.

Sans vouloir donner la moindre prise aux complotistes qui interprètent ces scénarios comme des preuves que la pandémie à SARS-CoV-2 a été programmée par ces organismes, il est quand même intéressant de se pencher sur la chronologie de ces tentatives de préparation. Il ne faut pas confondre anticipation (l’objet de ces scénarios) et programmation d’une pandémie (ce qui est clairement complotiste).

Extrait de « The Great Reset » de K. Schwab et T. Malleret, Forum Economique Mondial, juillet 2020:
-« De nombreux experts ont assimilé à tort la pandémie de COVID-19 à un évènement de type « cygne noir » simplement parce qu’elle présente toutes les caractéristiques d’un système adaptatif complexe. Mais en réalité, il s’agit d’un évènement de type « cygne blanc » quelque chose d’explicitement présenté comme tel par Nassim Taleb dans Le Cygne noir publié en 2007 : quelque chose qui se produirait finalement avec beaucoup de certitude. En effet ! Depuis des années, des organisations internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), des institutions comme le Forum Économique Mondial et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI – lancée lors de la réunion annuelle de 2017 à Davos), et des personnes comme Bill Gates nous avertissent du risque de pandémie à venir, en précisant même qu’elle 1) émergerait dans un endroit très peuplé où le développement économique force les gens et la faune à cohabiter 2) se répandrait rapidement et silencieusement en exploitant les réseaux de voyage et de commerce humains 3) atteindrait plusieurs pays en déjouant les mesures d’endiguement. » (2)

Les cinq simulations connues depuis 2010

Première simulation, 2010 : The Rockfeller Fundation

Global Business Network, Scenarios for the future of technology and International Developpement (3)
Cette simulation insiste sur les aspects technologiques selon quatre scénarios dont le premier commence par une pandémie en 2012. Cette pandémie est décrite comme très mortelle (8 millions de morts en qq mois). Les pays pauvres sont plus touchés que les riches. Les confinements et mesures autoritaires sont appliquées partout. Les peuples abandonnent facilement beaucoup de leurs libertés mais commencent à se rebeller ensuite. Cette simulation n’est pas axée uniquement sur la pandémie mais évalue tous les enjeux technologiques futurs.

Seconde simulation, 2017 : The Spars pandemic

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health (4)
Ce scénario insiste beaucoup sur les erreurs de communication à ne pas commettre et sur les moyens de contrer les fake-news sur l’inefficacité et la toxicité du traitement. Il s’agit d’une pandémie à coronavirus originaire d’Asie qui est identifié grâce à des RT-PCR (tests diagnostiques par polymerase chain reaction avec reverse transcriptase). Les malades sont infectieux avant la déclaration des symptômes rendant leur isolement difficile et facilitant la diffusion de la maladie. Les enfants sont plus atteints que les adultes et la mortalité est plus élevée chez eux.
Un antiviral développé contre le SARS de 2003 (responsable de la première pandémie à coronavirus connue) est approuvé comme traitement bien que non dénué d’effets secondaires. Il est bientôt prouvé que ce médicament ne réduit pas la transmission, la communication officielle est remplie de contradictions sur l’efficacité de l’antiviral. La pandémie fait surtout des ravages dans les pays pauvres où les systèmes de santé sont défaillants.

Le CDC reconnaît que la létalité est beaucoup plus faible qu’annoncée. Le public commence à se désintéresser de la maladie. Les agences de santé préparent une campagne mondiale de communication pour contrer ce désintérêt en attendant l’arrivée du vaccin : des célébrités et des scientifiques participent à cette campagne.

Peu après la FDA (Food and Drug Administration, USA) publie les résultats d’une étude clinique montrant que les antiviraux sont finalement peu efficaces sur le virus.
Le vaccin est censé arriver bientôt et les gouvernements ne doivent pas rater aussi leur communication à ce sujet. Les premiers vaccins seront rares et il faut donc désigner des personnes prioritaires (enfants adolescents et femmes enceintes).
Le rapport décrit comment des effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître à mesure que de plus en plus d’Américains recevaient le vaccin. Les parents ont affirmé que leurs enfants présentaient des symptômes neurologiques.

En mai 2027, les parents ont commencé à intenter des poursuites et à exiger la suppression de la responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques qui ont développé le vaccin « Corovax ».

La simulation indique que « les théories du complot ont également proliféré sur les réseaux sociaux, suggérant que le virus avait été créé et introduit à dessein dans la population par des sociétés pharmaceutiques ou qu’il s’était échappé d’un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques« .

Troisième simulation, « Un monde en danger », par l’OMS

Septembre 2019;Conseil de surveillance de la préparation mondiale: (5)
Il s’agit d’une simulation de pandémie à virus respiratoire qui aurait pu être fabriqué en laboratoire et être plus dangereux qu’un virus naturel.

Extraits:
– » Le monde est insuffisamment préparé particulièrement en ce qui concerne la mise au point et la fabrication de vaccins innovants, d’antiviraux à large spectre, d’interventions non pharmaceutiques appropriées (comme le port du masque, les confinements,…), de thérapies ciblées (y compris les anticorps monoclonaux), de systèmes de partage des séquences de tout nouvel agent pathogène et de moyens pour partager équitablement des contre-mesures médicales limitées entre les pays. De nouvelles thérapies et des antiviraux à large spectre sont largement disponibles pour traiter et réduire la mortalité due à une série de virus ; les nouveaux agents pathogènes sont systématiquement identifiés et séquencés, et les séquences sont partagées sur un site web accessible dans le monde entier (c’est ce qui s’est réellement passé avec la création du GISAID qui recense les séquences du virus déposées par les scientifiques). La fabrication décentralisée de vaccins, y compris les types de vaccins à acides nucléiques commence dans les jours qui suivent l’obtention des nouvelles séquences et les vaccins efficaces sont pré-testés et leur utilisation est approuvée dans les semaines qui suivent (c’est ce qui s’est passé avec le début de fabrication en janvier et février 2020 pour Pfizer et Moderna). Il est nécessaire de coordonner la réponse au niveau planétaire avec une direction bien identifiée. Outre le risque accru de pandémie dû aux agents pathogènes naturels, les progrès scientifiques permettent de concevoir ou de recréer en laboratoire des micro-organismes pathogènes. Si des pays, des groupes terroristes ou des individus scientifiquement avancés créent ou obtiennent puis utilisent des armes biologiques présentant les caractéristiques d’un nouvel agent pathogène respiratoire à fort impact, les conséquences pourraient être aussi graves, voire plus graves, que celles d’une épidémie naturelle, tout comme une libération accidentelle de micro-organismes susceptibles de provoquer une épidémie. »

Quatrième simulation : « Event 201 » par John Hopkins

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health, -Bill et Melinda Gates Fundation-WEF (Forum Economique Mondial), Octobre 2019: (6)
L’événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, entraînant une grave pandémie. L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS de 2003, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins. Pas de vaccin disponible au cours de la première année. Il existe un médicament antiviral fictif (sic!) qui peut aider les malades, mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie.
À mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.
Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie continuera à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il est probable qu’il s’agisse d’une maladie infantile endémique.

Recommandations:
-Renforcer les stocks de contre-mesures médicales (masques, gants, surblouses, etc…)
-Soutenir le développement et à la fabrication accélérée de vaccins, de produits thérapeutiques et de diagnostics.
-Donner la priorité à la réduction des impacts économiques des épidémies et des pandémies.
-Lutter contre la désinformation.

Cinquième simulation : Forum Economique Mondial

19 novembre 2019, Global Health Security: Epidemics Readiness Accelerator: (7)
Liste des partenaires sur le site. Le WEF a été chargé de gérer les risques associées aux pandémies.

Extrait:
– » Faire face aux risques biologiques émergents: L’avènement de puissantes biotechnologies et l’accessibilité croissante de l’information augmentent la possibilité que les biosciences soient utilisées à mauvais escient, intentionnellement ou non. Pour se prémunir contre ce risque, certains gouvernements et entreprises ont mis l’accent sur le dépistage des commandes et des clients de la synthèse d’ADN en vue d’une éventuelle utilisation illicite. Mais les normes sont encore suffisantes. La récente synthèse du virus de la variole chevaline par des scientifiques canadiens, avec un financement rapporté (d’une société privée de biotechnologie américaine) de seulement 100 000 dollars, a soulevé de nouvelles questions de la part des décideurs politiques, du public et de la communauté des chercheurs sur l’avenir de la synthèse de l’ADN ainsi que sur la force des mécanismes mondiaux existants pour filtrer les commandes et les clients. Pour préserver un accès sûr et sécurisé aux outils de synthèse de l’ADN qui alimentent la révolution biotechnologique, il est devenu essentiel de revoir et d’améliorer le filtrage des commandes de synthèse de gènes contre les abus. Le Forum cherche à contribuer à empêcher que les technologies de synthèse de l’ADN ne soient utilisées pour fabriquer des agents biologiques dangereux.  »

Comment interpréter ces simulations

Ces travaux deviennent au fil du temps de plus en plus précis concernant une pandémie à coronavirus, alors qu’en 2010 la première concernait tous les aspects économiques et technologiques du futur. C’est peut-être le reflet de l’emprise de plus en plus forte sur ces organismes supra-nationaux du complexe des entreprises impliquées dans la santé et les nouvelles technologies (agro-alimentaire, pharmacie, GAFAM, …) : celles-ci dominent les autres secteurs économiques.

En 2019 il devient question clairement d’une pandémie à coronavirus et les risques liés à la synthèse devenue récemment possible de virus à partir de séquences d’ADN sont soulignés.

En ce début 2021, il est maintenant assez probable pour les virologistes qualifiés que le SARS-CoV-2 ait été fabriqué lors d’expériences de gain de fonction dans un laboratoire chinois en collaboration avec des scientifiques et des financements américains.

Il est beaucoup question dans les médias du laboratoire P4 (P4 = le plus haut niveau sécurité) de Wuhan. Mais il est très probable que ce laboratoire n’y soit pour rien : Les principales fonctions potentiellement dangereuses sur les CoV ont dû être ajoutées en P2 ou P3. Ceci servant actuellement beaucoup les Chinois, pour disqualifier l’hypothèse de fuite du labo, car effectivement, la fuite du P4 est très difficile et peu probable, contrairement a une fuite d’autre labos non-sécurisés.

Le fait que dans sa description de la séquence du SARS-CoV-2 de mars 2020 dans Nature (8)Shi Zhengli s’arrête juste avant le site furine en comparant la séquence du SARS-CoV-2 avec celle du RaTG13 dont il est censé avoir dérivé naturellement est une sorte d’aveu qui n’a pas échappé aux coronavirologistes, la description s’arrête à l’aminoacide 675 alors que le site furine se trouve à la position 680… (9)

C’est ce site polybasique qui permet au virus d’utiliser les furines, enzymes ubiquitaires, pour cliver la protéine spike. Cela lui permet d’entrer dans de nombreux types cellulaires, lui permet d’infecter l’homme et lui confère sa contagiosité. (10)
Des essais d’insertion de site furine (gains de fonction) étaient en cours depuis quelques années sur les coronavirus et ceci en collaboration avec les américains, Ralph Baric travaille depuis longtemps avec Madame Shi et le labo P4 de Wuhan.

D’après Etienne Decroly, la question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement :
-« Reste la 4e insertion qui fait apparaître un site de protéolyse furine chez le SARS-CoV-2 absente dans le reste de la famille des SARS-CoV. On ne peut donc pas exclure que cette insertion résulte d’expériences visant à permettre à un virus animal de passer la barrière d’espèce vers l’humain dans la mesure où il est bien connu que ce type d’insertion joue un rôle clé dans la propagation de nombreux virus dans l’espèce humaine. » (11)

À nouveau, Etienne Decroly et Jacques Van Helden ne rejettent pas du tout l’hypothèse d’une origine artificielle du virus, ainsi dans un article de début 2021 ils mentionnent en conclusion: (12)
– » En conclusion, les arguments en faveur de l’origine proximale naturelle ne sont pas encore concluants et, bien que cette hypothèse ait été largement soutenue par la communauté scientifique, d’autres hypothèses sur une possible origine en laboratoire ne peuvent être formellement écartées. Cette question devrait donc être rouverte, et toutes les hypothèses devraient être évaluées et pondérées en fonction des différents éléments d’information dont nous disposons. »

De plus, les études qui tentent de prouver l’origine naturelle du SARS-CoV-2 manquent de données fiables. (13)

Conclusions

On peut donc penser que ces instances internationales savaient que le virus existait et qu’il s’était déjà échappé du laboratoire en 2019 puisque beaucoup d’indices laissent penser que la pandémie a commencé en Chine dès l’été 2019 et dès octobre 2019 en Europe.

Il est même possible que le virus ait déjà été présent dès 2017 puisque la simulation de la pandémie « SPARS » évoque la possibilité d’un virus échappé d’un laboratoire. Les autorités auraient pu être au courant de ce risque imminent.

Elles ont donc tenté de préparer les Etats à cette pandémie du point de vue économique et sanitaire.

Entre autres, Pfizer a signé un accord avec la B&M Gates Fundation en septembre 2019, le développement du vaccin a commencé le 10 janvier 2020 (14), le vaccin Moderna a commencé à être développé début février 2020 (15), on rappelle que la déclaration d’état de pandémie n’a été proclamée par l’OMS que le 11 mars 2020. Il est difficile de soutenir, comme c’est encore le cas actuellement, que les gouvernements ont été confrontés par surprise à cette pandémie !

L’OMS semble bien à la peine dans la prise de décisions et la gestion de la crise avec la visite seulement en janvier-février 2021 du laboratoire de Wuhan : La mission arrive un an après le début de la pandémie avec une commission pétrie de conflits d’interêt, dont le principal expert officiel chinois des coronavirus (16).  Le résultat officiel de cette mission semble exclure l’hypothèse du virus sorti d’un laboratoire cependant à la lecture de l’interview de Peter Ben Embarek (), chef de la mission d’enquête de l’OMS à Wuhan sur l’origine du virus on comprend que contrairement à ce qui est annoncé cette enquête a permis de ne plus exclure une origine articifielle du virus, bien que cette hypothèse soit qualifiée de « très peu probable » : il est dit qu’avant cette mission cette hypothèse était inenvisageable. (17)

On comprend aussi que l’émergence du virus bien avant décembre 2019 n’est pas exclue : les Chinois ont recueilli 72 000 cas de syndrômes grippaux apparus au cours de 2019 et qui auraient pu être dus à la Covid-19, mais seuls 92 cas ont été retenus pour être contrôlés au niveau sérologique et seuls 67 cas ont été testés négatifs pour le SARS-CoV-2. On ne sait pas assez précisément comment les Chinois sont passés de 72 000 à 92 et sur quels critères : il faudrait réexaminer ces 72 000 cas de Covid suspects.

En bref, rien n’est exclu !

Les prévisions anticipent une pandémie plus sévère que celle que nous connaissons avec 65 millions de décès pour « Event 201 ». Elles ne prévoient pas que les pays développés seraient plus touchés que les pays émergents et n’anticipent pas le principal problème qu’est le délabrement des systèmes de santé de ces pays riches. Ceci montre que des zones d’ombres persistent toujours dans ces simulations : Les prévisionnistes ne prennent pas en compte l’état général sanitaire d’une population face à une agression virale ; ils n’imaginent pas que le mode de vie des pays riches puisse être délétère et rende une certaine partie de la population plus sensible à un virus respiratoire (et pourtant la pandémie de 2009 à grippe H1N1 avait touché plutôt les enfants et adultes jeunes mais avait été particulièrement grave pour les obèses).

Concernant la prévision de 2017 « Spars pandemic », il est anticipé une compétition entre différents pays pour placer leurs antiviraux malgré leur faible efficacité. Ce qui s’est passé réellement est plutôt une tentative de la part de la Société Gilead de placer son antiviral (Remdesivir) en bonne position sur toute la planète malgré sa toxicité (18) et son absence d’efficacité connues (19).

Il était anticipé aussi que la létalité de la pandémie serait surévaluée au départ ; quand cela devient assez évident le public commence à se désintéresser de la maladie et la communication officielle doit combattre ce désintérêt jusqu’à l’arrivée du vaccin.

Sans donner de grain à moudre aux complotistes, la leçon a été retenue et l’intérêt pour la Covid-19 n’a pas faibli : les mesures restrictives sous forme de stop-and-go et la communication ininterrompue sur la gravité de la maladie ont maintenu la peur et l’attente du vaccin.

Conformément à ce qui était anticipé dans l’Event 201Melinda Gates a récemment affirmé que la vie « normale » ne pourrait pas reprendre tant que toute la population mondiale n’aura pas été vaccinée. (20)

Emma Kahn
Février 2021

Notes et sources

(1) https://www.cdc.gov/h1n1flu/cdcresponse.htm
(2) Extrait de « La Grande Réinitialisation« , point 1.1.3., complexité du monde actuel, 4° paragraphe.
(3) https://www.fichier-pdf.fr/2020/04/13/rockefeller/
(4) https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf
(5) https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf
(6) https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
(7) https://www.weforum.org/projects/managing-the-risk-and-impact-of-future-epidemics
(8) Zhou, P., Yang, XL., Wang, XG. et al. A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin. Nature579, 270–273 (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2012-7
(9) https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7/figures/6
(10)  The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade , B. Coutard, C. Valle, X. de Lamballerie, B. Canard, N.G. Seidah, E. Decroly, 10 février 2020 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32057769
(11) https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement
(12) Sallard, E., Halloy, J., Casane, D. et al. Tracing the origins of SARS-COV-2 in coronavirus phylogenies: a review. Environ Chem Lett (2021). https://doi.org/10.1007/s10311-020-01151-1
(13) https://childrenshealthdefense.org/defender/flawed-studies-covid-origin/
(14) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577
(15) https://investors.modernatx.com/node/10841/pdf
(16) https://www.who.int/multi-media/details/who-media-briefing-from-wuhan-on-covid-19-mission—9-february-2021
(17) https://www.sciencemag.org/news/2021/02/politics-was-always-room-who-mission-chief-reflects-china-trip-seeking-covid-19-s
(18) https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-remdesivir-gilead-idUSKBN27T13W
(19) https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa2023184
(20) https://www.lejdd.fr/International/exclusif-melinda-gates-pas-de-vie-normale-tant-que-le-monde-entier-ne-sera-pas-vaccine-4021956

Auteur de l’article : Emma Kahn




Bonnes nouvelles : le Covid régresse partout dans le monde

Par Dr Gérard Delépine

Le Professeur Isaac Ben-Israel, président du Conseil national pour la recherche et le développement avait affirmé dans une interview à Israel National News, que « les modèles montrent systématiquement une baisse du COVID-19 après 6 semaines ». Il précisait en outre :

« cela se produit à la fois dans les pays qui ont confiné comme nous et dans ceux qui n’ont pas fermé jusqu’à aujourd’hui comme la Suède.
Dans chaque pays, quelles que soient les mesures sanitaires adoptées le déclin et la hausse se produisent selon le même calendrier ».

Les courbes des épidémies publiées par l’OMS illustrent parfaitement ses propos l’épidémie est maintenant dans sa phase de régression mondiale dans quasiment tous les pays, qu’ils aient ou non confiné, qu’ils aient ou non vacciné.

C’est le cas en Suède, qui n’a pas confiné et pratiquement pas vacciné, et dont la mortalité globale par million d’habitants (1230) est égale à celle de la France (1263) :

Mais aussi au Portugal

Mais aussi en Belgique championne des confinements et de la mortalité (1869/M) :

Et aux Pays Bas qui, sans restrictions importantes des libertés compte deux fois moins de morts (855/M) que la Belgique (1869/M) et où la diminution forte des contaminations avait commencé le 21 décembre un mois avant l’imposition du couvre-feu qui a provoqué les émeutes récentes :

Mais aussi en Espagne

Mais aussi en Allemagne :

Et plus globalement en Europe

En Asie :

Et dans le Monde

Cette régression générale de l’épidémie commence à bénéficier aux pays champions des campagnes de vaccination dont les bilans sur la mortalité s’annonçaient dramatiques avant cette décrue mondiale.

Que ce soit en Israël

Ou au Royaume Uni




Le Grand Reset, un pacte suicidaire

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Le 8 février 2021 – Source Club Orlov

[NdNM : Dmitry Orlov est doué d’un type d’humour, éventuellement noir, plus ou moins sarcastique et particulièrement drôle pour ceux qui y sont sensibles.]

La récente rencontre virtuelle des plus riches du monde à Davos a fait beaucoup de bruit. En prélude à cette rencontre, l’éternel coureur des jupons ploutocratiques, Klaus Schwab a publié un très court livre sur ce qu’il appelle le « Grand Reset ». Il a donné naissance à des slogans accrocheurs tels que « Tu ne posséderas rien… et tu en seras heureux. » L’une des personnes invitées à prendre la parole lors de cette réunion était Vladimir Poutine. Ce qu’il a dit a mis ces gens en état de choc. « Mais qu’en est-il de l’Europe ? ! » s’est mis à crier Schwab dès que Poutine eut fini de parler. « M. Poutine, la Russie sauvera-t-elle l’Europe ? ! » « Peut-être », dit Poutine. Parmi les dignitaires réunis, 80 d’entre eux se sont immédiatement inscrits à une conférence privée avec Poutine, cherchant comment être parmi les invités. Après avoir pris tout cela en considération et l’avoir laissé mijoter dans ma tête pendant quelques semaines, je crois que je comprends maintenant ce qu’est le « Grand Reset » : c’est un pacte pour un suicide de l’oligarchie. Permettez-moi de vous expliquer…

Dans son disours, Poutine a exposé quelques nouvelles idées audacieuses. Je ne sais pas si Schwab a compris que Poutine lui a dit très poliment d’aller au coin et de sucer son pouce, mais en tant qu’homme à idées, Schwab est un désastre. Sa pensée est un mélange de platitudes pompeuses, de vœux pieux et d’incessantes contradictions, le tout servi par une ferveur révolutionnaire sénile digne de Léon Trotsky qui, à 141 ans maintenant, serait en effet assez sénile. Les dirigeants occidentaux semblent avoir accepté le concept du « Grand Reset » de Schwab et abusent d’un autre slogan accrocheur : « Reconstruire en mieux ! »

Schwab pense que le coronavirus offre une grande opportunité pour son « Grand Reset ». En effet, cet horrible fléau a déjà tué plus d’un tiers de la population mondiale et le monde ne sera plus jamais le même. Oh, attendez, c’est à la Grande Peste que je pensais, pas au « Grand Reset » – je confonds toujours les deux…

D’après les derniers chiffres officiels, le coronavirus n’a tué que 0,02821% de la population mondiale, dont 73,6% de retraités, la plupart des autres étant déjà gravement malades. Beaucoup d’entre eux sont en fait morts du rhume ou de la grippe ou d’une infection bactérienne ou fongique et n’ont été testés positifs au coronavirus que par un test PCR, toujours aussi peu fiable, mais nous ne saurons jamais combien. Le coronavirus a tué un nombre d’enfants qui apparaît à peine dans l’épaisseur du trait et moins de 0,001% de personnes en bonne santé dans leurs années de vie active (18 à 45 ans). Cela représente moins d’une personne sur un million.

Le nombre de décès dus à l’introduction d’objets étrangers dangereux, tels que des ampoules électriques, dans l’anus est nettement inférieur, même si l’on peut se demander dans quelle mesure. Dans cette optique – jeu de mot assumé – la position du gouverneur de New York , selon laquelle « aucune mesure, aussi draconienne soit-elle, ne peut être considérée comme imprudente si elle sauve ne serait-ce qu’une seule vie », incite à interdire toutes les ampoules et à rester assis dans le noir en toute sécurité. La sécurité parfaite est impossible et si c’était le cas, ce serait une mauvaise idée : nous serions dans le collimateur pour être lauréat du prix Darwin. La sécurité parfaite ne devrait pas exister. Les idiots sont produits naturellement et nous rendent tous un grand service en mourant le plus tôt possible.

Une autre chose qui ne devrait pas exister est le SARS-COV-2 de la Covid-19. Comme vous l’avez peut-être déjà supposé, il s’agit d’un coronavirus. Les coronavirus sont très communs dans toutes sortes d’espèces ; il y en a au moins une douzaine chez l’homme qui ne provoquent pas de maladie particulièrement grave. Un fait communément admis concernant les coronavirus – et la plupart des autres virus, à l’exception spécifique du lyssavirus qui provoque la rage – est qu’ils sont spécifiques à une espèce. Il existe un coronavirus pour chien qui leur donne la diarrhée, un coronavirus pour chat qui les tue, et aucune proximité de chats, de chiens et d’humains au cours de milliers d’années n’a fait sauter ces coronavirus d’une espèce à l’autre.

Et puis on s’attend à ce que nous croyions qu’un virus de chauve-souris a sauté sur l’homme. L’analyse du génome du virus a montré qu’il a simultanément emprunté une protéine de pointe à un coronavirus humain lui permettant de pénétrer dans les cellules humaines et le mécanisme de réplication du VIH – qui cause le sida – lui permettant de se répliquer dans les cellules humaines. Bien sûr, tout est possible, mais ce qui est plus probable, c’est que quelqu’un a fabriqué ce virus.

Est-ce que ce genre de choses arrive ? On pourrait penser qu’une personne qui veut rendre les virus plus mortels a sa place dans une camisole de force dans une cellule capitonnée, mais apparemment certains d’entre eux se sont échappés et sont allés travailler pour le gouvernement américain. Selon la revue Nature« les chercheurs qui étudient les virus en laboratoire les rendent parfois délibérément plus dangereux pour aider à préparer de meilleures réponses aux épidémies qui pourraient survenir naturellement. » Et parfois, ce qui se passe dans le laboratoire ne reste pas dans celui-ci.

Non seulement ce virus est susceptible d’avoir été concocté en laboratoire, mais il semble qu’il ait été concocté de manière incompétente. C’est un virus minable qui ne se réplique pas bien : au lieu de fabriquer des particules virales fonctionnelles et bien formées, il fabrique toutes sortes de déchets moléculaires qui provoquent ensuite de graves réactions allergiques. Vous avez probablement entendu parler des tempêtes de cytokines ? La libération de cytokines est essentielle à presque tous les stades de la réponse immunitaire aux allergènes. Les enfants sont immunisés grâce à un organe appelé thymus qui est « le plus grand et le plus actif pendant les périodes néonatale et préadolescente ».

Là encore, tout est possible, mais certaines choses sont plus probables que d’autres. Un coronavirus passant spontanément de la chauve-souris à l’homme est extrêmement improbable. Un projet de recherche financé par le gouvernement américain, super effrayant et maléfique, qui tournerait horriblement mal semble non seulement beaucoup plus probable, mais il a aussi une certaine dose d’inévitabilité. Étant donné la dégradation actuelle des États-Unis, à ce stade, presque tout ce que font les États-Unis tend à se transformer en boomerang. Jusqu’à présent, il y a eu 2,31 millions de décès dus au coronavirus dans le monde et 463 000 aux États-Unis, ce qui est huit fois pire par habitant que la moyenne du reste du monde. Bien joué, les intrépides fabricants de boomerangs de gain de fonction, financés par le gouvernement américain !

Ce qui est un désastre pour la plupart est une opportunité pour quelques-uns, et Klaus Schwab, pour sa part, semble penser que si la vie vous donne une boîte de boomerangs, alors vous devriez vous dépêcher de les utiliser pour vous assommer. Le point de vue de Schwab est que nous n’aurons pas le coronavirus pour toujours, donc nous devrions vraiment nous dépêcher avec le « Grand Reset » ou nous allons manquer la chance de nous tenir tous par la main et de sauter par ce qu’il appelle « la fenêtre d’opportunité » et le monde ne sera plus jamais, le même parce que vous ne pouvez pas vous baigner deux fois dans la même eau d’une rivière, ou inventer votre propre idée stupide car je ne me soucie pas beaucoup de ces absurdités. Schwab ressemble vraiment à une caricature pour le dysfonctionnement cognitif occidental, alors laissons-le dans son coin à sniffer de la colle et retournons à Poutine.

Poutine a dit que le système libéral occidental est mort et que la Russie ne plongera pas dans ces absurdités de « Grand Reset ». Au lieu de cela, il a exposé ses propres principes pour ce qu’on appelle en Russie « l’État social » : un État qui fonctionne bien et qui sert les intérêts de ses citoyens. L’Occident peut suivre ce programme ou non. Mais si ce n’est pas le cas, un désastre humanitaire de l’ampleur de la Seconde Guerre mondiale semble très probable. Vous pouvez lire l’intégralité de son discours sur le site du Kremlin. Vous pouvez également comparer son discours à celui du Chinois Xi. Xi n’a pas non plus gobé ces absurdités de « Grand Reset », et son grand plan semble étrangement bien harmonisé avec celui de Poutine.

La bonne façon de faire avancer le monde est un sujet énorme que je réserve pour un autre jour. Ici, je veux juste répondre à la question « Qu’est-ce que le « Grand Reset », vraiment ? » Réinitialiser quelque chose, c’est le remettre dans son état initial. Quel était l’état initial de votre compte bancaire lorsque vous l’avez ouvert pour la première fois ? Zéro, exactement ! Et que contrôle un conclave des super-riches du monde ? Les finances, bien sûr ! Je pense qu’il serait plus juste de l’appeler la Grande Annulation. Mais comment les super-riches vont-ils déterminer qui sera annulé et qui ne le sera pas ?

Puisque les pauvres, par définition, n’ont rien à annuler et que la classe moyenne n’existe plus qu’en tant que dépositaire d’une dette qui s’annule progressivement, les super-riches n’ont qu’eux-même à annuler. Et comment, je vous prie, vont-ils décider qui sera annulé et qui ne le sera pas ? Lanceront-ils les dés ? Se livreront-ils à des duels ? Laisseront-ils un robot à base d’IA décider ? Toutes ces propositions semblent farfelues ; après tout, nous parlons des bâtards les plus avides du monde qui sont sur le point de tout perdre. Aimeriez-vous que tous vos comptes bancaires soient annulés alors que votre voisin est épargné ? Vous voyez ce que je veux dire ? Non, il n’y a qu’un seul moyen pour qu’ils acceptent tous de partir : sauter de la falaise tous ensemble, en se tenant la main. Dans ce contexte, « Reconstruire en mieux » est un rêve de vie après la mort : le vaisseau spatial de sauvetage d’un futur qui ne viendra jamais.

Ce qu’ils appellent le « Grand Reset » est un pacte suicidaire. S’ils se précipitent pour en finir alors que la pandémie de coronavirus, si mortelle soit-elle, fait toujours rage, c’est pour que leur suicide collectif paraisse moins ridicule. Après tout, si la fausse pandémie passe et que le système financier occidental n’implose qu’à ce moment-là, ce sera comme si tous les grands oligarques sortaient simultanément sur leurs balcons, dans leurs temples, installaient des peaux de bananes, soigneusement positionnées sur le parapet du balcon,  et dansaient de manière synchrone en tombant sur les piques des hallebardes décorant la clôture du lieu. La moitié de la planète verrait cela et mourrait aussi de … rire. La pire des morts est une mort ridicule, et l’effondrement financier de l’Occident doit donc se produire pour que l’on puisse dire que « le coronavirus l’a fait ! » de manière plausible comme excuse ; d’où la ruée.

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »

[Source : Mondialisation.ca]

Par Peter Koenig

La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 »

[Mise à jour : 2 février 2021]

Qu’est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique.

Il semble que plus on écrit sur les causes du Coronavirus, plus les analyses écrites sont éclipsées par une propagande et un battage publicitaire alarmistes. Les questions pour la vérité et les arguments pour savoir où chercher les origines et comment le virus peut s’être propagé et comment le combattre, se perdent dans le bruit du chaos gratuit. Mais n’est-ce pas ce que veulent les « Black Men » [hommes noirs] qui sont à l’origine de cette pandémie prévue – le chaos, la panique, le désespoir, entraînant une vulnérabilité humaine – un peuple qui devient une proie facile pour la manipulation ?

Aujourd’hui, l’OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 « pandémie » – alors qu’il n’y a pas la moindre trace de pandémie. Une pandémie peut être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection atteint plus de 12%. En Europe, le taux de mortalité est d’environ 0,4 %, voire moins. Sauf en Italie, qui est un cas particulier, où le pic du taux de mortalité a été de 6 % (voir ci-dessous pour une analyse plus approfondie).

Tweet :

   « L’OMS a évalué cette épidémie 24 heures sur 24 et nous sommes profondément préoccupés à la fois par les niveaux alarmants de propagation et de gravité, et par les niveaux alarmants d’inaction »-@DrTedros #COVID19

    Organisation mondiale de la santé (OMS)

    « Nous avons donc fait l’évaluation que #COVID19 peut être caractérisé comme une pandémie »-@DrTedros #coronavirus

La Chine, où le taux de mortalité a culminé il y a quelques semaines seulement à environ 3 %, est revenu à 0,7 % – et est en rapide déclin, alors que la Chine prend le contrôle total de la maladie – et cela à l’aide d’un médicament dont on ne parle pas, développé il y a 39 ans par Cuba, appelé « Interféron Alpha 2B (IFNrec) », très efficace pour lutter contre les virus et autres maladies, mais qui n’est pas connu et utilisé dans le monde, car les États-Unis, sous l’embargo illégal de Cuba, n’autorisent pas la commercialisation du médicament au niveau international.

L’OMS a très probablement reçu des ordres « d’en haut », de ceux qui gèrent également Trump et des « dirigeants » (sic) de l’Union européenne et de ses pays membres, ceux qui visent à contrôler le monde par la force – l’Ordre Mondial Unique.

Ce projet est en cours d’élaboration depuis des années. La décision finale d’aller de l’avant MAINTENANT a été prise en janvier 2020 au Forum économique mondial (FEM) de Davos – à huis clos, bien sûr. Les Gates, GAVI (une association de produits pharmaceutiques promouvant la vaccination), Rockefellers, Rothschilds et autres, sont tous derrière cette décision – la mise en œuvre de l’Agenda ID2020 – voir ci-dessous.

Après la déclaration officielle de la pandémie, l’étape suivante peut être – également sur recommandation de l’OMS ou de certains pays – la « vaccination forcée », sous surveillance policière et/ou militaire. Ceux qui refusent peuvent être sanctionnés (amendes et/ou prison – et vaccination forcée tout de même).

Si une vaccination forcée est effectivement prévue, une autre aubaine pour les grandes entreprises pharmaceutiques, les gens ne savent pas vraiment quel type de cocktail sera utilisé pour le vaccin, peut-être un vaccin à action lente, qui ne fera effet que dans quelques années, ou une maladie qui ne touchera que la génération suivante, ou un agent débilitant du cerveau, ou un gène qui rend les femmes stériles… tout est possible, toujours dans le but de contrôler et de réduire complètement la population. Dans quelques années, on ne saura plus, bien sûr, d’où vient la maladie. C’est le niveau de technologie qu’ont atteint nos laboratoires de guerre biologique (États-Unis, Royaume-Uni, Israël, Canada, Australie…).

Une autre hypothèse, pour l’instant seulement une hypothèse, mais une hypothèse réaliste, est qu’en même temps que la vaccination – si ce n’est pas avec celle-ci, alors peut-être avec une autre, une nanopuce pourrait être injectée, inconnue de la personne vaccinée. La puce peut être chargée à distance avec toutes vos données personnelles, y compris vos comptes bancaires – l’argent numérique. Oui, l’argent numérique, c’est ce qu’ « ils » visent. Vous n’avez donc plus vraiment de contrôle sur votre santé et vos autres données intimes, mais aussi sur vos revenus et vos dépenses. Votre argent pourrait être bloqué ou retiré, en guise de « sanction » pour mauvaise conduite, pour avoir nagé à contre-courant. Vous pourriez devenir un simple esclave des maîtres. En comparaison, la féodalité peut apparaître comme une promenade de santé.

Ce n’est pas pour rien que le Dr Tedros, DG de l’OMS, a déclaré il y a quelques jours que nous devons passer à l’argent numérique, car le papier et la monnaie physique peuvent propager des maladies, en particulier des maladies endémiques, comme le coronavirus. Un précurseur pour les choses à venir ? – Ou pour des choses déjà présentes ? – Dans de nombreux pays scandinaves, l’argent liquide est largement interdit et même une barre de chocolat ne peut être payée que par voie électronique.

Nous nous dirigeons vers un état totalitaire du monde. Cela fait partie de l’Agenda ID2020 – et de ces mesures à mettre en œuvre maintenant – préparé depuis longtemps, notamment par la simulation informatique de coronavirus à Johns Hopkins à Baltimore le 18 octobre 2019, parrainée par le WEF et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Bill Gates, l’un des principaux défenseurs de la vaccination pour tous, en particulier en Afrique, est également un grand défenseur de la réduction de la population. La réduction de la population fait partie des objectifs de l’élite au sein du WEF, des Rockefeller, des Rothschild, des Morgen – et de quelques autres. L’objectif : moins de personnes (une petite élite) peuvent vivre plus longtemps et mieux avec les ressources réduites et limitées que la Terre Mère offre généreusement.

Cet objectif avait déjà été ouvertement propagé dans les années 60 et 70 par Henry Kissinger, ministre des affaires étrangères de l’administration de Nixon, co-ingénieur de la guerre du Vietnam, et principal responsable du bombardement semi-clandestin du Cambodge, un génocide de millions de civils cambodgiens non armés. En plus du coup d’État organisé par la CIA et Kissinger le 11 septembre 1973 au Chili, qui a tué Salvador Allende, élu démocratiquement, et mis au pouvoir le dictateur militaire Pinochet, Kissinger a commis des crimes de guerre. Aujourd’hui, il est le porte-parole (pour ainsi dire) de Rockefeller et de leur « Bilderberger Society ».

En savoir plus : Plus qu’un simple virus (en anglais)

Deux semaines après la simulation informatique du centre médical Johns Hopkins de Baltimore, dans le Maryland, qui a « produit » (c’est-à-dire simulé) 65 millions de morts ( !), le virus COVID-19 est apparu pour la première fois à Wuhan. Il est maintenant presque certain que le virus a été amené à Wuhan de l’extérieur, très probablement d’un laboratoire de guerre biologique aux États-Unis.

Voir aussi ceci et cela. (en anglais)


Qu’est-ce que la fameuse ID2020 ? Il s’agit d’une alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies et la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie. La GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, s’identifie sur son site internet comme un partenariat mondial pour la santé regroupant des organisations des secteurs public et privé qui se consacrent à la « vaccination pour tous ». La GAVI est soutenue par l’OMS, et il va sans dire que ses principaux partenaires et sponsors sont l’industrie pharmaceutique.

L’Alliance ID2020, lors de son sommet de 2019, intitulé « Rising to the Good ID Challenge », en septembre 2019 à New York, a décidé de déployer son programme en 2020, une décision confirmée par le WEF en janvier 2020 à Davos. Leur programme d’identité numérique sera testé avec le gouvernement du Bangladesh. GAVI, l’Alliance pour les Vaccins, et les « partenaires du monde universitaire et de l’aide humanitaire » (comme ils l’appellent), font partie du parti des pionniers.

Est-ce une coïncidence si ID2020 est mis en place au début de ce que l’OMS appelle une pandémie ? – Ou faut-il une pandémie pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs de l’ID2020 ?

Voici ce qu’Anir Chowdhury, conseiller politique du programme du gouvernement du Bangladesh, a à dire :

« Nous mettons en œuvre une approche prospective de l’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en s’appuyant sur les systèmes et programmes existants. Le gouvernement du Bangladesh reconnaît que la conception de systèmes d’identité numérique a des implications profondes sur l’accès des individus aux services et aux moyens de subsistance, et nous sommes impatients de faire œuvre de pionnier dans cette approche ».

Wow ! Est-ce que M. Anir Chowdhury sait dans quoi il s’embarque ?

De retour à la pandémie et à la panique. Genève, le siège européen de l »ONU, y compris le siège de l’OMS, est pratiquement abattu. Un peu comme le confinement qui a commencé à Venise et qui s’est ensuite étendu au nord de l’Italie jusqu’à il y a quelques jours – et maintenant le verrouillage couvre toute l’Italie. Un verrouillage similaire pourrait bientôt être adopté par la France – et d’autres États vassaux européens de l’empire anglo-sioniste.

De nombreux mémorandums de différentes agences de l’ONU à Genève, dont le contenu est similaire à celui de la panique, circulent. Leur message clé est le suivant : annulez tous les voyages en mission, tous les événements à Genève, les visites au Palais des Nations, à la cathédrale de Genève, aux autres monuments et aux musées. Selon les dernières directives, de nombreuses agences demandent à leur personnel de travailler à domicile et de ne pas risquer d’être contaminé par les transports publics.

Cette ambiance de panique et de peur – dépasse tout sens de la réalité, alors que la vérité n’a pas d’importance. Les gens ne peuvent même plus penser aux causes et à ce qui peut se cacher derrière. Personne ne vous croit (plus), quand vous faites référence à l’événement 201, la simulation du coronavirus, les Jeux militaires de Wuhan, la fermeture le 7 août dernier du laboratoire de guerre biologique de haute sécurité à Fort Detrick, dans le Maryland…. ce qui aurait pu à un moment donné être une révélation pour beaucoup, aujourd’hui est une pure théorie du complot. Le pouvoir de la propagande. Une puissance déstabilisante – déstabilisant les pays et les gens, détruisant les économies, créant des difficultés pour les gens qui peuvent perdre leur emploi, généralement ceux qui peuvent le moins se le permettre.

Aussi, à cette époque, il devient de plus en plus important de rappeler aux gens que l’épidémie en Chine visait le génome chinois. Ce dernier a-t-il ensuite muté pour transgresser les « frontières » de l’ADN chinois ? Quand cela s’est-il produit, si c’est le cas ? Parce qu’au début, il était clair que même les victimes infectées dans d’autres parties du monde, étaient à 99,9% d’origine chinoise.

Ce qui s’est passé plus tard, lorsque le virus s’est propagé en Italie et en Iran, est une autre question, et ouvre la voie à un certain nombre de spéculations.

(1) Différentes souches du virus ont circulé successivement – de manière à déstabiliser les pays du monde entier et à confondre la population et les médias, de sorte que personne, surtout parmi les plus importants, ne puisse conclure que la première souche visait la Chine dans une guerre biologique.

(2) En Iran, je soupçonne fortement que le virus était une forme améliorée du MERS (Middle East Respiratory Syndrome, d’origine humaine, apparu en premier en Arabie Saoudite en 2012, dirigé vers le génome arabe) – qui a été d’une manière ou d’une autre introduit dans les cercles gouvernementaux (par aérosol ?) – dans le but de « changer de régime » par COVID19 – et a causé des décès. C’est le vœu pieux de Washington depuis au moins 30 ans.

(3) En Italie – pourquoi l’Italie ? – Peut-être parce que Washington / Bruxelles voulait frapper fort l’Italie pour avoir été officiellement le premier pays à signer un accord « Belt and Road » (BRI) avec la Chine (en fait le premier était la Grèce, mais personne n’est censé savoir que la Chine est venue au secours de la Grèce, détruite par les frères de la Grèce, les membres de l’UE, principalement l’Allemagne et la France).

(4) Le battage médiatique sur le taux élevé de mortalité par infection en Italie, au moment de la rédaction de ce document : 10 149 infections contre 631 décès = taux de mortalité de 6,2 (comparativement à l’Iran : 8042 infections contre 291 décès = taux de mortalité de 3,6). Le taux de mortalité de l’Italie est presque deux fois plus élevé que celui de l’Iran et presque dix fois plus élevé que celui de l’Europe moyenne. (Ces écarts sont-ils le résultat de l’incapacité à établir des données fiables concernant les « infections », voir nos observations concernant l’Italie ci-dessous).

Pourquoi ? – L’Italie a-t-elle été touchée par la panique virale ? Une souche beaucoup plus forte a-t-elle été introduite en Italie ?

La grippe commune en Europe pour la saison 2019 / 2020, a apparemment tué jusqu’à présent environ 16.000 personnes (aux États-Unis, le nombre de décès est, selon le CDC entre 14.000 et 32.000, selon le site web du CDC que vous consultez).

Se pourrait-il que parmi les décès dus au coronavirus italien, il y ait également des victimes communes de la grippe, car les victimes touchées sont pour la plupart des personnes âgées ayant des problèmes respiratoires ? En outre, les symptômes sont très similaires entre le coronavirus et la grippe ordinaire, et personne ne remet en question et ne vérifie le récit des autorités officielles ?

Peut-être que toutes les souches de coronavirus ne proviennent pas du même laboratoire. Un journaliste berlinois d’origine ukrainienne m’a dit ce matin que l’Ukraine abrite quelque cinq laboratoires américains de haute sécurité spécialisés dans la guerre biologique. Ils testent régulièrement de nouveaux virus sur la population – pourtant, lorsque d’étranges maladies apparaissent dans les environs des laboratoires, personne n’est autorisé à en parler. Quelque chose de similaire, dit-elle, se passe en Géorgie, où il y a encore plus de laboratoires de guerre biologique du Pentagone et de la CIA, et où des maladies nouvelles et étranges se déclarent.

Tout cela rend le tableau composite encore plus compliqué. Le plus important, c’est que ce super battage est motivé par le profit, la recherche du profit instantané, des bénéfices instantanés de la souffrance des gens. Cette panique est cent fois plus importante que ce qu’elle vaut. Ce que ces caïds du monde souterrain, qui prétendent diriger le monde supérieur, ont peut-être mal calculé, c’est que dans le monde globalisé et largement externalisé d’aujourd’hui, l’Occident dépend massivement de la chaîne d’approvisionnement de la Chine, pour les biens de consommation et les marchandises intermédiaires – et, avant tout, pour les médicaments et les équipements médicaux. Au moins 80 % des médicaments ou des ingrédients pour les médicaments, ainsi que pour les équipements médicaux, proviennent de Chine. La dépendance de la Chine occidentale en matière d’antibiotiques est encore plus élevée, soit environ 90 %.  Les effets potentiels sur la santé sont dévastateurs.

Au plus fort de l’épidémie de COVID-19, l’appareil de production de la Chine pour tout était presque à l’arrêt. Pour les livraisons qui étaient encore effectuées, les navires de marchandises étaient régulièrement et catégoriquement refoulés de nombreux ports du monde entier. Ainsi, l’Occident s’est mis en mode pénurie de tout en menant une « guerre économique » de facto contre la Chine. Combien de temps cela va-t-il durer ? – Personne ne le sait, mais l’économie chinoise, qui était en baisse de moitié environ, a rapidement retrouvé plus de 80 % de ce qu’elle était avant que le coronavirus ne frappe. Combien de temps cela durera-t-il pour rattraper le retard accumulé ?

Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ? – Une répression totale avec une panique artificiellement induite au point que les gens crient « au secours, donnez-nous des vaccins, affichez police et armée pour notre sécurité » – ou même si le désespoir du public ne va pas aussi loin, il serait facile pour les autorités européennes et américaines d’imposer une phase de siège militaire pour « la protection de la santé du peuple ». En fait, le CDC (Center for Disease Control d’Atlanta) a déjà élaboré des directives dictatoriales et sévères pour une « urgence sanitaire ».

Outre la vaccination forcée, qui sait ce que contiendrait le cocktail de « mini-maladies » injecté, et quels pourraient être leurs effets à long terme. Comme ceux des OGM, où toutes sortes de germes pourraient être insérés sans que nous, les gens du commun, le sachions ?

Il se peut en effet que nous ne soyons qu’au début de la mise en œuvre de l’ID2020 – qui comprend la vaccination forcée, la réduction de la population et le contrôle numérique total de tout le monde – sur la voie d’un ordre mondial unique – et de l’hégémonie financière mondiale – la domination du spectre complet, comme le PNAC (Plan pour un nouveau siècle américain) aime l’appeler.

Une aubaine pour la Chine. La Chine a été délibérément ciblée pour la « destruction économique », en raison de son économie en rapide progression, une économie qui dépassera bientôt celle de l’hégémonie actuelle, les États-Unis d’Amérique, et en raison de la forte monnaie chinoise, le yuan, qui pourrait également dépasser le dollar en tant que principale monnaie de réserve mondiale.

Ces deux événements signifieraient la fin de la domination des États-Unis sur le monde. La maladie du coronavirus, qui sévit maintenant dans plus de 80 pays, a fait chuter les marchés boursiers, une baisse d’au moins 20 % au cours des dernières semaines – et une hausse ; les conséquences redoutées du virus d’un ralentissement économique, voire d’une récession, ont fait chuter les prix de l’essence en deux semaines environ, presque de moitié. Toutefois, sans l’intervention de la banque centrale chinoise, la valeur du yuan par rapport au dollar a été plutôt stable, à environ 7 yuans pour un dollar. Cela signifie que l’économie chinoise, malgré COVID-19, bénéficie encore d’une grande confiance dans le monde entier.

Conseil à la Chine : achetez toutes les actions d’entreprises américaines et européennes que vous pouvez au prix le plus bas du moment sur les marchés boursiers qui se sont effondrés d’un cinquième ou plus, et achetez beaucoup de contrats à terme sur le pétrole. Lorsque les prix se redresseront, vous aurez non seulement gagné des milliards, voire des billions, en Occident, mais vous pourrez également posséder ou détenir des quantités importantes d’actions de la plupart des plus grandes entreprises américaines et européennes, ce qui vous permettra de les aider à décider de leurs projets futurs.

Il y a cependant une petite lueur d’espoir qui oscille à l’horizon plein de nuages sombres. Il pourrait s’agir miraculeusement d’un réveil de la conscience d’une masse critique qui pourrait mettre fin à tout cela. Bien que nous soyons loin d’un tel miracle, quelque part dans un coin caché de notre cerveau, il nous reste à tous une étincelle de conscience. Nous avons la capacité spirituelle d’abandonner la voie du désastre du capitalisme néolibéral occidental et d’épouser à la place la solidarité, la compassion et l’amour les uns pour les autres et pour notre société. C’est peut-être la seule façon de sortir de l’impasse et de la fatalité de la cupidité égocentrique occidentale.

Peter Koenig


Article original en anglais :

The Coronavirus COVID-19 Pandemic: The Real Danger is “Agenda ID2020”, publié le 12 mars 2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca


[À propos de l’auteur]

Peter Koenig est un économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier, y compris en Palestine, dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, TeleSUR, The Saker Blog, le New Eastern Outlook (NEO) et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




À Londres, le maquillage « camouflage » devient une arme anti-surveillance

[Source : L’ADN]

[Photo : © The Dazzle Club – Photo : Cocoa Laney]

Dans les rues de Londres, le collectif anti-surveillance The Dazzle Club milite silencieusement et à couvert. Son arme de prédilection ? Le maquillage asymétrique pour tromper les dispositifs biométriques de reconnaissance faciale. Trois de ses fondatrices, Emily Roderick, Georgina Rowlands et Anna Hart, nous racontent.

Août 2019. Le quartier de King’s Cross à Londres prévoit de déployer un système de caméras de surveillance utilisant la reconnaissance faciale sans consulter les habitants. Les masques ne font pas encore partie de leur quotidien, mais le collectif d’artistes The Dazzle Club s’interroge : « peut-on encore être libres dans l’espace public ? »

Affublées de maquillages mystérieusement graphiques, Emily Roderick, Georgina Rowlands, Anna Hart et Evie Price se mettent alors à marcher, en silence, dans les rues de la capitale. Derrière la performance artistique se cache une véritable technique de camouflageCV Dazzle, développée en 2010 par le chercheur Adam Harvey. Le but ? Protéger nos visages des algorithmes de reconnaissance faciale. 

Georgina du collectif Dazzle Club portant un maquillage anti-reconnaissance faciale à Londres.

Contrer la surveillance de masse avec du maquillage

« En appliquant ce maquillage, on rend les technologies de surveillance visibles, expliquent Emily et Georgina, qui travaillent en binôme sur le sujet depuis plusieurs années et organisent des marches, chaque mois, avec leur collectif. Avant, notre travail était plus abstrait, plus artistique, mais à mesure que ces dispositifs se sont déployés dans l’espace public, il devenait important de mettre en application des moyens de s’en protéger. »

Et quoi de mieux qu’une technique de camouflage initialement développée par l’armée pour s’en prémunir ? Durant la Seconde Guerre mondiale, les forces navales développent « Dazzle », un type de camouflage qui utilise des motifs d’inspiration cubique pour brouiller les formes, la taille et l’orientation des navires de guerre, les fameux cuirassés. En transposant ce principe au maquillage, mais aussi aux coiffures, on peut ainsi briser la continuité d’un visage et tromper certains systèmes de surveillance. 

Un homme maquillé lors d’une marche du collectif. / Photo : Megan Jacob

« Avant de marcher, on applique toujours ce maquillage dans la rue, aux yeux de tous et des caméras, explique Anna qui pratique l’art de la marche silencieuse depuis plus de 15 ans. C’est important parce que c’est une performance publique, à l’image de CV Dazzle : la technique est open-source, tout le monde peut l’utiliser ! » 

À chacun son maquillage camouflage

Rouge, bleu, noir, de toutes les couleurs et plus ou moins asymétrique, chaque maquillage est différent, unique.

« La reconnaissance faciale cible les principales caractéristiques de votre visage, les zones d’ombre et de lumière de votre physionomie, explique Emily. On travaille avec et contre ça. CV Dazzle est une sorte de contouring inversé si vous préférez, on travaille à rebours des attributs que l’on mettrait normalement en valeur avec du maquillage standard. »

La pratique est extrêmement ludique, créative et bien sûr, à chacune ses références artistiques. « Evie, elle, adore Mondrian et l’art abstrait. Elle opte pour des maquillages très graphiques, commente Georgina. De mon côté, je suis plus attirée par le maquillage glam-rock, les étoiles… Quant à Emily, elle a un style plus fluide, choisit des formes plus incurvées. Certains utilisent du scotch, des ficelles, différents matériaux… Chaque style se systématise, mais en fin de compte, il n’y a pas de règles. Vous faites ce que vous voulez ! »


https://www.instagram.com/p/CFc3AR8lM2J

Un nouvel écho durant la pandémie

Pour Anna, la question de la surveillance a trouvé une nouvelle caisse de résonance durant la pandémie, d’autant plus que les masques chirurgicaux qui nous « protégeaient » hier ne sont plus aussi efficaces. Avec la généralisation du port du masque, les systèmes de reconnaissance faciale se sont en effet perfectionnés avec de nouveaux algorithmes

En Europe, les villes qui expérimentent l’implémentation de technologies de surveillance sont nombreuses. Fort heureusement, des initiatives citoyennes font barrage. C’est le cas du collectif Reclaim Your Face dont l’objectif est de faire interdire la « surveillance de masse biométrique » dans l’Union Européenne. Le 7 janvier, la Commission européenne a reconnu l’action du collectif comme une « initiative citoyenne européenne » (ICE), un moyen d’appeler la Commission européenne à légiférer sur le sujet. 

Emily, Georgina et Anna, elles, ont continué de militer durant la pandémie, en s’efforçant toutefois de respecter les restrictions. Elles se questionnent. « Dans 10 ans, si le système de surveillance est bien plus performant, est-ce qu’on sera amenés à tous se maquiller ? Est-ce que c’est ça le futur ? » Elles n’ont pas la réponse, mais continueront de marcher. Prochaine sortie camouflée ? Le 18 février. 




Le Témoin* Trump ressuscitera-t-il ?

Par Joseph Stroberg

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie]

Lettre de Donald Trump après l’Acquittement du Second Impeachment. USA, 14/02/2021

« Je l’échangerai bien contre Macron et consorts. Pas vous ? »

Michelle d’Astier de la Vigerie


[Source : David Frenkel]

Le Parti Démocrate américain n’est pas au bout de ses peines

Ceux qui chantent sur tous les toits que les accusations de fraude électorale contre les démocrates qui ont été engagées devant les tribunaux par Donald Trump ont été rejetées doivent déchanter. Matthew Vadum, dans un article écrit pour The Epoch Times affirme que deux tiers des accusations de fraude électorale engagées contre le Parti démocrate ont été gagnées par l’ex-président américain. En effet, sur 81 accusations 11 ont été retirées ou regroupées et 23 ont été rejetées. Sur les 47 poursuites restantes, 22 ont été finalisées après que le tribunal ait entendu les arguments, examiné les preuves, puis rendu une décision. Sur ces 22 décisions, M. Trump ou les Républicains en ont gagné 15 et perdu 7. Il reste encore 25 accusations qui n’ont pas encore été définitivement tranchées.

(Suite sur https://www.theepochtimes.com/trump-won-two-thirds-of-election-lawsuits-where-merits-considered_3688543.html).

Par ailleurs, l’ancien directeur par intérim du renseignement national, Richard Grenell, a déclaré à Newsmax TV que l’ancien président Donald Trump est désormais le chef de facto du Parti républicain voir https://www.newsweek.com/trump-does-want-run-again-says-former-acting-intelligence-chief-richard-grenell-1564007. La commedia dell’arte qui s’est jouée au Sénat pour destituer une troisième fois Donald Trump masque l’impuissance du Parti démocrate à venir à bout d’un homme avec qui ils auront encore à découdre, car il n’est pas mort, tant s’en faut.

Rappelons aussi au Parti démocrate qui prétend que Trump a été l’incitateur des violences au Capitole, et dont la destitution pour ce motif a échoué, que

  • Le FBI a récemment déclaré avoir les preuves que des groupes d’extrême droite avaient prévu de longue date d’intervenir au capitole le 6 janvier, ce qui innocente le président, accusé d’avoir incité l’insurrection lors de son discours.
  • Le discours du président l’innocente aussi : d’une part, il est protégé par le premier amendement, de plus, Trump avait clairement appelé à manifester pacifiquement, et enfin, un examen chronologique montre que les personnes qui ont écouté son discours n’avaient pas le temps matériel de se rendre au capitole quand l’émeute a éclaté : les émeutiers ne pouvaient pas à la fois avoir assisté au discours du président et envahi le capitole.
  • Le directeur de la police du capitole a témoigné devant une commission du sénat qu’elle avait été informée quelques jours avant le 6 janvier que des événements violents se préparaient, et elle a reconnu avoir sous-estimé la préparation de ses équipes. Trump ne peut donc pas être responsable le 6 janvier, d’incidents décidés avant cette date.

David Frenkel


[*] Voir : Les deux témoins.

Par rapport au contenu de l’article sur les deux témoins, on peut ajouter que Trump a témoigné de la profonde corruption politique aux États-Unis et conséquemment en Europe et dans le reste du monde. Il a permis de révéler au monde les « Fake News » (fausses nouvelles) des médias dominants, l’existence d’un « Deep State » (État profond), et finalement le travail réalisé depuis des décennies par de nombreux lanceurs d’alerte et autres « complotistes et conspirationnistes » dans de nombreux pays. Il participe pleinement à la Révélation de ce qui était caché jusqu’à une époque récente.

L’époque actuelle est celle de la confusion et de l’inversion complète des valeurs et des concepts, époque qui avait été annoncée depuis deux mille ans par le Christ.

La véritable Église n’est pas constituée de pierres, mais de chair, de sang, et surtout d’esprit. Elle n’est pas limitée aux catholicismes, au judaïsme, aux diverses formes de protestantisme, au bouddhisme, etc., mais est constituée par les millions de justes qui ont à cœur le bien des êtres humains, des animaux, des végétaux et de la planète entière. Elle n’est pas réservée à ceux qui se réfugient dans les églises, les monastères, les chapelles et les autres temples matériels, dans l’espoir d’être « sauvés ». Elle accueille tous ceux qui sont animés par l’amour du prochain, par le respect des autres et des lois de la nature et de la vie. Elle ne nous demande pas d’être parfaits, mais d’avoir l’humilité de reconnaître nos imperfections, nos fautes et nos erreurs, car si nous sommes à l’image du divin, nous ne sommes pas nous-mêmes des dieux et encore moins la Cause créatrice de l’Univers.

Chaque fois que l’Homme s’est pris pour Dieu, comme c’est le cas particulièrement de nos jours, où il se place au centre ou au-dessus de la Création universelle, croyant que par sa science matérialiste il pourra rivaliser avec la nature ou la soumettre à sa volonté (voir La religion de l’Antéchrist), il s’en suit une période de chaos. La chute de Babel n’a pas suffi. L’Humanité devra connaître la chute du Nouvel Ordre Mondial et tous les événements qui vont y conduire.




Rappel utile aux médias mainstream : la charte de Munich

Source : https://www.journalisme.com/images/stories/pdf/charte_munich.pdf

Déclaration des devoirs et des droits des journalistes

Cette déclaration a été rédigée et approuvée à Munich, les 24 et 25 novembre 1971. Elle a été adoptée depuis par la Fédération internationale des journalistes (FIJ), par l’Organisation internationale des journalistes (OIJ), et par la plupart des syndicats de journalistes d’Europe.


Préambule

Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain.

De ce droit du public à connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes.

La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics.

La mission d’information comporte nécessairement des limites que les journalistes eux-mêmes s’imposent spontanément. Tel est l’objet de la déclaration des devoirs formulée ici. Mais ces devoirs ne peuvent être effectivement respectés dans l’exercice de la profession de journaliste que si les conditions concrètes de l’indépendance et de la dignité professionnelle sont réalisées. Tel est l’objet de la déclaration des droits qui suit.

Déclaration des devoirs

Les devoirs essentiels du journaliste dans la recherche, la rédaction et le commentaire des événements sont :

  1. Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
  2. Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique.
  3. Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou dans le cas contraire les accompagner des réserves nécessaires; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et documents.
  4. Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents.
  5. S’obliger à respecter la vie privée des personnes.
  6. Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte.
  7. Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
  8. S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement, ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
  9. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
  10. Refuser toute pression et n’accepter de directive rédactionnelle que des responsables de la rédaction.

Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d’observer strictement les principes énoncés ci-dessus. Reconnaissant le droit en vigueur dans chaque pays, le journaliste n’accepte en

matière d’honneur professionnel que la juridiction de ses pairs, à l’exclusion de toute ingérence gouvernementale ou autre.

Déclaration des droits

  1. Les journalistes revendiquent le libre accès à toutes les sources d’information et le droit d’enquêter librement sur tous les faits qui conditionnent la vie publique. Le secret des affaires publiques ou privées ne peut en ce cas être opposé au journaliste que par exception et en vertu de motifs clairement exprimés.
  2. Le journaliste a le droit de refuser toute subordination qui serait contraire à la ligne générale de l’organe d’information auquel il collabore, telle qu’elle est déterminée par écrit dans son contrat d’engagement, de même que toute subordination qui ne serait pas clairement impliquée par cette ligne générale.
  3. Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte professionnel ou à exprimer une opinion qui serait contraire à sa conviction ou à sa conscience.
  4. L’équipe rédactionnelle doit être obligatoirement informée de toute décision importante de nature à affecter la vie de l’entreprise. Elle doit être au moins consultée, avant toute décision définitive, sur toute mesure intéressant la composition de la rédaction : embauche, licenciement, mutation et promotion des journalistes.
  5. En considération de sa fonction et de ses responsabilités, le journaliste a droit non seulement au bénéfice des conventions collectives, mais aussi à un contrat personnel assurant la sécurité matérielle et morale de son travail ainsi qu’à une rémunération correspondant au rôle social qui est le sien, et suffisante pour garantir son indépendance économique.



Le complot des multi-milliardaires

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israel Shamir

Les millionnaires veulent faire de l’argent. Les milliardaires veulent faire l’histoire. Nous pouvons ajouter que les multi-milliardaires vont plus loin : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. Nous n’employons pas de fourmicide tant que les fourmilières n’empiètent pas sur nos plates-bandes, mais nous n’hésitons pas à le faire si nous le jugeons nécessaire. L’humanité a croisé de nombreux mégalomanes. Certains d’entre eux avaient beaucoup de pouvoir. Gengis Khan en était un. Cependant, ils étaient toujours limités territorialement. Le puissant Gengis pouvait faire trembler la terre jusqu’à Rome, mais les Anglais et les Français n’avaient pas à se soucier de la montée de l’empire mongol. Les nouveaux super-tycoons n’ont pas de telles limites. La mondialisation leur a permis de sortir des sentiers battus. Leurs mouvements avaient été depuis longtemps anticipés par le cinéma, le monde des rêves. Comme les rêves permettent à un psychologue de se pencher sur les désirs et les craintes de l’homme, le cinéma offre des aperçus sur l’ego collectif de l’humanité. Que craignions-nous dans les années 70, relativement libres ?

Le méchant classique des années 70 et 80 était le magnat du mal. James Bond s’attaquait à certains d’entre eux. Retrouvez Hugo Drax de Moonraker, ou Karl Stromberg de L’espion qui m’aimait ; ces types étaient prêts à détruire l’humanité pour la remplacer par une meilleure version. Stromberg prévoyait de déclencher une guerre nucléaire mondiale et d’y survivre sous l’eau. Drax avait l’intention d’empoisonner l’humanité avec son gaz mortel et de repeupler le monde avec ses nouveaux élus. Encore un, Wynter, le super-vilain des Avengers, joué par Sean Connery. Il contrôlait la météo mondiale et pouvait nous éliminer tous par des ouragans et des tsunamis.

Avant les magnats, lorsque la guerre froide faisait rage, le méchant était un agent du KGB ou un agent chinois. Lorsque la détente a apaisé les relations entre les blocs, les agents se sont démodés ; plus tard, ce sont les fantastiques méchants de Marvel qui sont devenus à la mode. Mais ces méchants magnats étaient désagréablement proches de la réalité ; et les voilà passés du monde cinématographique à notre réalité.

Le monde dans lequel nous vivons est le monde formaté par les méchants magnats. Ce sont les démiurges modernes, les créateurs maléfiques  selon les gnostiques, une secte primitive qui avait affronté l’Église. Comme les démiurges, ils sont pratiquement omnipotents ; plus forts que l’État. Le gouvernement a besoin de beaucoup de permissions et d’autorisations pour dépenser le moindre centime. Si un centime a été mal dépensé, on entend résonner le terme glauque de « corruption ». La « corruption » est un concept stupide ; en l’appliquant à qui ils veulent, les oligarques ont éliminé la concurrence de l’État, car ils peuvent payer ce qu’ils veulent à qui ils veulent. L’État doit respecter des règles complexes et obscures, alors que les magnats ne connaissent pas de barrières. En conséquence, ils façonnent nos esprits et nos vies, faisant de l’État un pauvre roi légitime parmi des barons autrement riches et puissants.

La crise du Corona est le résultat de leurs manigances. Aujourd’hui, un groupe de scientifiques de l’OMS vient de clore sa tournée d’inspection de quatre semaines à Wuhan pour tenter de découvrir comment le virus s’est retrouvé chez les humains ; certains d’entre eux pensent (comme le président Trump) que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan. Matt Ridley, du Daily Telegraphconclut son article en analysant leurs découvertes : « Un nombre croissant d’experts de haut niveau [il en fournit la liste] disent qu’une fuite du laboratoire reste une hypothèse scientifique plausible, à examiner ». C’est plutôt improbable, a déclaré l’OMS, mais d’autres explications (pangolins, etc.) frôlent également l’improbable. On peut comprendre que les Chinois soient indignés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère des affaires étrangères (l’homologue chinois de Ned Price du département d’État) a rejeté l’idée en disant : « Les États-Unis devraient ouvrir le laboratoire biologique de Fort Detrick et inviter les experts de l’OMS à y effectuer des recherches sur l’origine de la chose aux États-Unis ». Le rapport du Guardian a déclaré qu’elle défendait « une théorie  conspirationniste selon laquelle cela proviendrait d’un laboratoire de l’armée américaine » ; tandis que Mme Hua accusait les États-Unis de répandre « des théories complotistes et des mensonges » en remontant jusqu’à Wuhan. Tout ce que nous disons est le résultat d’une recherche diligente basée sur des faits ; tout ce que vous dites est une théorie complotiste: les représentants des États-Unis et de la Chine souscrivent également à ce mantra.

Notre propre Ron Unz avait fait une excellente analyse de ces accusations et contre-accusations dans son article d’avril 2020. Il faisait remarquer que l’attaque du virus à Wuhan a eu lieu au pire moment et au pire endroit possible pour les Chinois ; par conséquent, une libération accidentelle (ou intentionnelle par les Chinois) est extrêmement improbable. Ron Unz suggèrait qu’il pouvait s’agir d’une attaque d’armes biologiques américaine contre la Chine. Mais les Américains n’ont-ils pas souffert de la maladie ? Si, mais c’est parce que le gouvernement américain est « grotesquement et manifestement incompétent » et qu’il s’attendait probablement à ce qu’une « épidémie massive de coronavirus en Chine ne se propage jamais en Amérique ».

Peut-être, mais il y a une meilleure explication: c’est que certain(s) magnat(s) maléfique(s) ont joué le rôle de Karl Stromberg, celui qui avait l’intention d’atomiser à la fois Moscou et New York, tout en provoquant la guerre et la dévastation du monde entier, comme dans le film de James Bond. Il pourrait s’agir de quelqu’un comme Bill Gates, qui est un important investisseur dans le laboratoire de Wuhan. Un site de vérification des faits avec son langage de fouine a admis que le Labo « avait reçu des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates, mais Bill Gates peut difficilement être appelé un ‘partenaire’ du laboratoire ». Bien sûr, ce n’est pas un partenaire. Juste un investisseur, mais… c’est plus important qu’un partenariat. Et il n’est pas le seul ; d’autres multimilliardaires sont également impliqués dans la recherche biologique, dans la fabrication de vaccins, dans les grandes entreprises pharmaceutiques. « Glaxo, BlackRock et Bill Gates sont tous partenaires, mais pas propriétaires de Pfizer », déclare un autre enquêteur. « En 2015, Anthony Fauci avait effectivement accordé une subvention de 3,7 millions de dollars à l’Institut de virologie de Wuhan, mais pas pour « créer le coronavirus », ajoute un autre site de vérification des faits. Vous n’alliez quand même pas vous attendre à ce que Fauci formule l’objet de sa subvention de manière aussi directe ?

C’est peut-être un travail trop colossal, même pour un magnat diabolique comme Gates. Un complot de plusieurs magnats malfaisants est plus probable. Ensemble, ils pourraient essayer de changer le monde et l’humanité à leur convenance.

Les méchants tycoons auraient pu empoisonner la Chine pendant ses vacances du Nouvel An et faire baisser leur sentiment de supériorité d’un cran ou deux. Ils pourraient avoir importé le virus aux États-Unis pour saper et éliminer Trump, qu’ils détestaient. Ils pourraient avoir empoisonné l’Europe pour l’affaiblir et la rendre plus docile et obéissante à leurs exigences – et pour acheter leurs richesses à bas prix. Le Corona et le confinement ne leur ont pas fait de mal du tout, car ils sont tout naturellement à l’écart des tracas quotidiens de l’homme de la rue.

Les milliardaires contrôlent les médias, nous le savons, et le rôle que les médias ont joué dans la crise de Corona a été énorme. La couverture médiatique de la crise a un énorme coût caché. Essayez donc de publier les informations que vous jugez importantes en première page d’un journal. Cela vous coûtera fort cher. Pourtant, tous les journaux appartenant au bloc des médias des milliardaires, à commencer par le New York Times et en terminant par Haaretz, ont donné au moins un tiers de leur première page aux Corona News chaque jour. Le coût de cette publicité se chiffre en milliards. Saurons-nous un jour qui a payé pour cela ?

Le film de Steven Soderbergh (2011) Contagion prédisait de nombreuses caractéristiques du Covid-19, notamment l’origine du virus. Dans le film, la maladie provient de chauves-souris en Chine et se propage sur les marchés où de la viande de porc contaminée est vendue. Comment Soderbergh (ou son scénariste Scott Z. Burns) pouvait-il savoir huit ans avant l’événement que la contagion devait provenir des chauves-souris chinoises ? Qui le lui avait dit ? Ne peut-on pas supposer qu’il savait quelque chose? Burns a été instruit par des experts de l’OMS, explique le site de CNN. N’est-il pas intéressant que ce même Bill Gates soit un des principaux donateurs de l’OMS ? Est-il totalement impossible que déjà en 2011, des agents de Gates aient commencé à divulguer à Hollywood certains détails du futur virus par l’intermédiaire de leur propre OMS ?

Nos magnats pouvaient forcer un État faible à suivre leurs instructions. Les scientifiques obéissent aux ordres : sinon, pas de subventions, pas de positions. En avril 2020, les scientifiques allemands ont reçu l’ordre « d’instiller la peur du Corona ». Et ils l’ont fait, comme nous l’avons appris cette semaine, en produisant des nombres de morts à la demande.

Il semble que nos tycoons ont tiré le plus grand profit de la crise du Corona. Leurs avoirs ont augmenté de plusieurs milliards, tandis que ceux des classes moyennes ont diminué dans les mêmes proportions. Plus important encore, tous les États ont souffert de la crise ; ils ont contracté des emprunts et des crédits, car ils étaient responsables de la santé de leurs citoyens, tandis que les milliardaires se sont juste bien amusés et ont profité de la situation. C’est pourquoi j’ai tendance à rejeter les poursuites contre les États, qu’il s’agisse des États-Unis ou de la Chine, alors que certains  milliardaires me semblent être les seuls méchants possibles.

Ces milliardaires sont capables d’influencer les gens bien mieux que l’État. Prenons l’exemple de Pierre Omidyar. En plus d’être le propriétaire d’eBay, il est la force derrière des centaines d’ONG. Ses organisations bricolent l’agenda « progressiste » et forment les fantassins du Green Deal, la mouvance écolo officielle. Roslyn Fuller, de Spiked-online, a vérifié la pléthore d’ONG qu’il emploie, et voici le diagramme:

Selon elle, ses ONG et ses organisations caritatives sont « engagées dans l’ingénierie sociale », c’est-à-dire qu’elles utilisent leurs ressources pour modifier artificiellement la structure de la société, afin de la faire correspondre à leurs attentes. En cas de succès, cela équivaudrait à un contournement extrême de la démocratie, par l’utilisation de l’argent non seulement pour gagner des élections, mais aussi pour substituer un contenu payant ou subventionné à un soutien réel, et ainsi faire basculer toute une culture politique dans un sens différent, en amplifiant certaines voix et en en noyant d’autres ».

Pierre Omidyar n’est que l’un des Maîtres du discours, aux côtés du tristement célèbre George Soros. Facebook, Google, Twitter et Amazon sont encore plus puissants. Les milliardaires ont un pouvoir immense et ils décident de ce que nous pouvons ou ne pouvons pas dire et écrire. Pas plus tard que la semaine dernière, Amazon a interdit mon livre Cabbala of Power (La Bataille du Discours), un livre qu’ils vendaient depuis une dizaine d’années. L’inestimable The Unz Review  est interdit sur Facebook et relégué dans l’ombre sur Google. Twitter a débranché le président Trump, montrant ce faisant qui est le vrai patron des États-Unis. Il est probable que presque tous les mouvements décrits comme « gauchistes » de nos jours sont créés par des magnats comme Omidyar ou Soros. La vraie gauche a été laissée pour morte sur le champ de bataille des idées.

Les super-magnats sont directement impliqués dans la crise du Corona, car ses résultats sont bons pour eux. Et cela signifie qu’ils font de nous ce qu’ils veulent et qu’ils ne nous laisseront pas leur échapper. Nous voilà niés, néantisés jusqu’à ce que nous reprenions les rênes, et que nous les réduisions à néant.

Le SAGE, comme l’équipe britannique de gestion de la crise de la Corona s’est nommée de manière plutôt présomptueuse (elle a agréé le chiffre ridicule de Neil Ferguson, celui qui annonçait des millions de morts), a déjà déclaré que les confinements feront partie de la vie des Britanniques pendant des années, vaccin ou pas vaccin. Le Guardian, la Voix des oligarques, se sont gentiment esclaffés, car il n’est pas bon de déclarer ce qui doit arriver tout de suite. Laissez les gens avoir un peu d’espoir, pour qu’ils courent se faire vacciner, et ce n’est qu’après que l’on pourra révéler que, désolés, cela ne sert à rien, il va falloir encore porter un masque et observer la distanciation sociale et, oui, subir encore des confinements: « Il est beaucoup plus facile de suivre les règles si on les considère comme des contraintes temporaires ».

Les plans des comploteurs ne sont pas secrets ; ils ont été décrits par Klaus Schwab dans son livre Le grand Reset. Schwab n’est pas un grand penseur, ce n’est qu’un scientifique médiocre avec seulement quelques publications, et ce n’est même un bon écrivain. Il a dû collaborer avec un journaliste, Thierry Malleret, pour réaliser ce livre. Ce n’est qu’un porte-voix pour les magnats. Mais la question est de savoir s’ils obtiendront ce qu’ils veulent.

Ma réponse préliminaire est non. Nous avons récemment eu un événement important, Davos-2021, le rassemblement en ligne des magnats et de leurs sbires intellectuels. Pour la première fois depuis de nombreuses années, ils ont invité Vladimir Poutine. Le président Xi a prononcé le premier discours. L’idée était de prouver que la Russie et la Chine sont d’accord avec leurs plans. J’étais très inquiet, je dois l’admettre, et le discours du Chinois ne m’a pas calmé (contrairement à notre ami Pepe Escobar qui a fêté son apparition). Oui, Xi a dit que la Chine avancerait à son propre rythme et selon sa propre voie, mais vers les mêmes objectifs. Durable, inclusif, tous les mots utilisés pour nous rappeler à l’ordre étaient là. Je m’attendais à un discours encore pire de la part de Poutine. Pendant des années, il a voulu être invité et coopté par les décideurs occidentaux, et c’était une belle occasion pour lui de sauter dans leur train.

Poutine m’a surpris. Il a catégoriquement refusé l’offre de Schwab et de ses semblables. Il a condamné la manière dont la croissance pré-Covid était générée ces derniers temps, car toute la croissance est allée dans quelques poches profondes. De plus, il a fait remarquer que les magnats du numérique sont dangereux pour le monde. Selon ses propres termes, « les géants technologiques modernes, en particulier les entreprises numériques, sont de facto en concurrence avec les États. De l’avis de ces entreprises, leur monopole est optimal. Peut-être, mais la société se demande si ce monopole répond aux intérêts publics ».

Les magnats ont probablement été stupéfaits. En 2007, à Munich, ils s’étaient moqués de lui. Max Boot, un émigré juif russe, appelait Poutine « le pou qui rugit » et il ajoutait : « dans la rhétorique sinistre et absurde de Poutine, on peut entendre un empire qui se meurt ». Mad Max ne savait pas encore quel était l’empire qui se mourait.

Poutine était censé avoir été amolli par les manifestations pro-Navalny du 23 janvier (le discours de Davos, c’était le 27 janvier), mais il ne l’a pas été. Bien au contraire. Le président russe n’aime pas qu’on le pousse. La manifestation du 31 janvier a été accueillie avec force ; les personnes détenues ont été condamnées à de lourdes amendes (selon les normes russes). Trois diplomates européens ont été expulsés de Russie pour avoir participé à une manifestation. Josep Borrell, un diplomate espagnol et représentant de l’UE, s’est rendu à Moscou et a été durement traité. Lors de la conférence de presse finale, le ministre russe des affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré à la presse que la Russie ne considère pas (je répète, pas) l’UE comme un « partenaire fiable ». Les expulsions ont été effectuées en même temps. En outre, Poutine a averti l’Occident que les « sanctions » (actes de guerre économique) pourraient amener la Russie à utiliser la force militaire directe. C’était probablement le premier avertissement de ce type depuis 1968.

Dans le même temps, la Russie a pratiquement mis fin aux restrictions autour du Corona. Des bars et des restaurants sont ouverts pour les fêtards ; les manifestations sportives sont revenues ; les écoles sont ouvertes ; dans certaines régions de Russie, les masques sont devenus « recommandés » au lieu d' »obligatoires ». Les Russes sont désormais autorisés à voyager et à rentrer librement de nombreux pays. Les Russes ont un accès facile à leur vaccin Sputnik-V qui a été jugé par The Lancet comme le meilleur de tous les vaccins Corona existants. Il s’agit d’un coup comparable au premier Spoutnik lancé en 1957, ont déclaré les experts occidentaux. La Russie a donc fait dérailler le Grand Reset.

Cette évolution a provoqué un énorme changement de conscience en Russie. Si jusqu’à présent (du moins depuis 1970), les classes instruites russes avaient tendance à se sentir inférieures à l’Occident, les terres prospères de la liberté, cela a maintenant bien changé. L’un des principaux directeurs de théâtre russes, Constantine Bogomolov, a déclaré que l’Occident est désormais défait. Le politiquement correct obligatoire de l’Occident, son annulation de la culture, son agenouillement et son léchage de bottes de BLM, son culte des transsexuels, sa peur du « harcèlement » et du sexe, son sourire obligatoire, son engouement « Woke », sa peur de la mort (et de la vie !), sont comparables au comportement d’Alex, la victime de la thérapie dans Orange mécanique, a déclaré Bogomolov:

Le jeune homme [Alex] ne se débarrasse pas seulement de son agressivité – il est malade de la musique, il ne peut pas voir une femme nue, le sexe le dégoûte. Et en réponse aux coups, il lèche la botte de l’attaquant. L’Occident moderne est un criminel de ce genre, qui a subi une castration chimique et une lobotomie. D’où ce faux sourire de bonne volonté et d’acceptation totale, figé sur un visage o Occidental. Ce n’est pas le sourire de la Culture. C’est un sourire de dégénérescence.

Et il conclut : L’Occident nous dit : La Russie est à la traîne du progrès. C’est faux. Par hasard, nous nous sommes retrouvés à la remorque d’un train courant à sa perte, nous précipitant tête baissée dans l’enfer de Jérôme Bosch, où nous serons accueillis par des diables souriants, multiculturels et neutres. Il faut maintenant dételer notre wagon du train, faire un signe de croix et commencer à reconstruire notre bonne vieille Europe, l’Europe dont nous avons rêvé. L’Europe qu’ils ont perdue.

Prenez note de son appel à « faire le signe de croix ». À l’Ouest, les églises ont été interdites d’accès, le service interrompu. L’Église anglicane est à l’agonie, l’archevêque de Canterbury célèbre BLM, enlève les statues des églises, accepte tous les édits du SAGE en fermant les églises. Pendant ce temps, les églises russes sont toutes ouvertes et les fidèles se déversent dans leurs cathédrales à chaque fête et chaque dimanche.

Les garçons et les filles russes flirtent les uns avec les autres, sans crainte de MeToo et des accusations de harcèlement. Les cafés russes sont ouverts. Ceux qui le veulent peuvent se battre contre le Covid, ou l’ignorer.

Pour la première fois depuis de nombreuses années, la Russie montre la voie à l’Occident. C’est une bonne chose. Peut-être que l’Occident, après une correction nécessaire depuis longtemps, pourra à nouveau reprendre le pas sur la Russie. Car, même si la Russie avait montré la voie du socialisme à l’Europe, les meilleurs résultats du socialisme ont été obtenus ailleurs, dans le nord de l’Europe. La bonne vieille Europe (et les États-Unis, sa ramification d’outre-mer) sont encore capables de répéter cet exploit et de se débarrasser des magnats comploteurs et de leurs prédications d’amour obligatoire. En ces circonstances, peut-être que l’interdiction de tous les magnats est une bonne idée. Dans le monde meilleur d’avant leur ascension, il n’y avait pas de multimilliardaires. L’histoire n’est pas terminée ; nous entrons dans la partie la plus intéressante de celle-ci. Soyez de bonne humeur !

Joindre Israel Shamir: adam@israelshamir.net

Traduction : Maria Poumier

Original : The Tycoon Plot, by Israel Shamir – The Unz Review




Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

Par Dr Nicole Delépine

Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

Un appel (bien tardif) de la fédération française de natation à la ministre des sports (ancienne nageuse !) pour la réouverture des piscines apparait enfin sur le net.  Il est évidemment urgent de soutenir cette démarche qui pourra diminuer, si elle réussit, la déprime et la consommation d’antidépresseurs des nageurs frustrés, comme remède aux mesures liberticides globales dont les fermetures des équipements sportifs.

Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée

Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule !

À l’occasion d’une épidémie grippale particulière, le fameux coronavirus dont on s’aperçut assez vite que sa létalité (son risque de tuer) était bien faible et ne touchait que les personnes âgées déjà malades d’autres pathologies (cœur, diabète etc. ou d’extrême vieillesse). La moyenne des décès est de 84 ans alors que la moyenne de survie en France est de 82 ans. Bref on allait gagner deux ans sur la moyenne si on décédait de ou avec le coronavirus (moyennes établies sur cette ambiguïté…).

Trêve de plaisanterie, il apparut (plus ou moins vite selon qu’on est collé, ou pas, à BFM Menteur, ou Francedésinfo) que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades,[1] ne contaminaient ni enfants ni adultes.

Finalement le risque de décès avant 65 ans est de 1 pour 300 000 personnes. Avec plus ou moins d’humour, les intéressés auraient pu vite savoir qu’un jeune avait beaucoup moins de chance (risque) de mourir de Covid19 que par la foudre ou accident domestique ou de la fameuse trottinette.[2]

Le scénario catastrophe de la clique de Davos

Mais peu importe, le grand cinéma se mit en place, pour créer et entretenir la sidération des peuples obnubilés grâce à la mise en scène digne de Goebbels (par répétition des mensonges assénés mille fois par jour, sur toutes TV, radio ou journaux de désinformation même anciennement côtés via leur passé comme Libération ou Le monde).

Le scénario de panique essayé et raté en 2008 avec le H1N1 avait pour but de rétablir la finance mondiale en ruinant les classes moyennes. En une décennie, le film catastrophe fut rodé en particulier en novembre 2019 avec la répétition du plan « disponible en cas de pandémie ». Ce fut l’Event201 que vous pouvez retrouver sur le web.

Et finalement à l’occasion de la nouvelle épidémie de coronavirus (cousine des épidémies de SRAS ou Mers vite disparues), le plan fut lancé dans la vie réelle avec son cortège de mensonges, de truquages (tests PCR via Drosten dès janvier 2020), de rapports trompeurs réalisés à la demande du gouvernement Merkel par exemple présentant des prévisions catastrophiques (rapport supposé secret et dont on organise la fuite).  Les prévisions tragiques du prophète Ferguson[3] furent le prétexte de notre président en mars 2020 pour nous confiner et stopper l’économie du pays dont les écoles et universités.

L’OMS fut le pivot des annonces terribles via son conseil scientifique de 194 pays ayant signé un accord pour appliquer ses consignes en cas de pandémie[4]. Il ne restait qu’à déclarer la pandémie. Ce qui fut fait rapidement en changeant les critères car ce petit virus peu obéissant n’était pas assez méchant, que diable !

Le confinement aveugle et ses suites délirantes

Alors branle-bas de combat, on n’allait pas revivre le ratage de la finance internationale de 2010 et les gouvernements liés dans leur projet de Nouvel Ordre Mondial (NOM) que nous promettait déjà le président Sarkozy. Ils adoptaient des mesures drastiques pour convaincre les peuples de la gravité de la situation et ruiner les classes moyennes selon le mécanisme clairement exposé dans le dernier livre de Klaus Schwab « Covid19 et grande réinitialisation ».

Selon les pays, ce fut plus ou moins drastiquement et intelligemment appliqué. Mais la France, comme la Belgique ou l’Italie versa dans l’extrémisme, pas forcément astucieux, car permettant d’ouvrir les yeux des plus attentifs par le ridicule de certaines décisions. Certes ils voulaient utiliser la dissonance cognitive de nos cerveaux par des ordres contradictoires, mais point trop n’en faut, et les conséquences dramatiques actuelles en sont la démonstration. Le peuple se réveille, certes doucement mais se réveille.

Remplacer le sport en salle par des séances guidées à travers zoom ou autres, n’eût qu’un temps. Et là nos apôtres du tout numérique de la grande révolution industrielle de Schwab, que le NOM veut imposer n’avait pas tout prévu. Ras le bol du yoga, ou de la box à travers un écran, et bien sûr des cours dits en distanciel, nouveau mot à la mode.

La piscine en distanciel, pas facile

Par manque d’imagination, ils n’ont pas su proposer des activités aquatiques en distanciel. Il a aussi été difficile de prétendre que les piscines sont des lieux dangereux, tant l’eau de javel et la douche permanente sont omniprésentes toute l’année. Ils n’ont même pas réussi à inventer un cluster, au moins un pour la forme et la panique. Pas de chance !

Alors ils ont fermé quand même contre toute logique et conseillé à la place de marcher (dans le rayon initial de 1 km et d’une heure). On peut avoir un grand projet pour dominer le monde et mettre en esclavage 99 % des habitants de la planète, on n’est pas forcément doué pour y arriver, le syndrome d’Hubris obscurcissant souvent tout bon sens.

Notons qu’ils ont osé interdire les sports aquatiques en mer (#Surf #KiteSurf #BodySurf #StandUpPaddle #Natation) et la marche sur les plages dont les entrées furent obstruées. Sacré virus qu’il fallait laisser se baigner tranquille dans l’océan… Qui a pu croire à leur sincérité sanitaire hormis les journalistes tellement révérencieux qu’ils en ont perdu leurs lunettes ?

Les nageurs, leurs entraineurs, leurs fédérations, se sont soumis comme la grande majorité du reste de la France. Mais le temps passe et les complications et peut-être séquelles de ces décisions sans aucun sens sanitaire, peut-être pas si politiquement efficaces, s’accumulent.

« Pour la santé de tous nous souhaitons le maintien des activités aquatiques dans toutes les piscines ! Elles ne présentent pas de risque sanitaire et nous demandons un plan de soutien ministériel pour notre réseau fédéral. Parce que savoir nager doit rester une priorité ».

Difficile de comprendre pourquoi depuis septembre, les piscines sont ouvertes aux scolaires pourtant en groupe, mais pas aux licenciés qui pratiquent la natation plusieurs fois par semaine, pourquoi les stages professionnels sont autorisés, mais pas les stages de compétition des plus jeunes.

DEUX PROBLEMES POUR LA FEDERATION : l’argent pour survivre, les nageurs en perdition

Le 1er février dernier, la Fédération Française de Natation (FFN) a publié un communiqué demandant le maintien des activités aquatiques dans les piscines, impactées comme beaucoup de secteurs par les mesures prises au nom de la guerre au Covid-19, souhaitant également un plan de soutien.

« Dans mon dernier courrier, je vous ai interpellée sur le plan de soutien qui, à ce jour, est très loin de répondre aux besoins et aux enjeux de la FFN et de ses 1 300 clubs, des 2,6 millions d’euros de perte financière et des 103 000 licences de retard. Pour mémoire, nous sommes la 4e fédération la plus impactée financièrement. », dressait comme constat le président Gilles Sezionale à destination de la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu.

« Sans soutien fort de votre part, même avec une reprise rapide, de nombreux clubs déjà très affaiblis disparaîtront du paysage fédéral« , souligne-t-il à l’attention de l’ancienne championne du monde du 200m dos (1998) et vice-championne olympique de la distance (2000).

La réduction, voire la suspension des activités aquatiques ont obligé licenciés et scolaires à se tourner vers d’autres activités. En effet peu de piscines ont offert la possibilité de nager en extérieur lorsqu’elles possèdent des bassins ad hoc et peu de personnes intéressées par la nage en extérieur dans le grand froid ont conduit à la fermeture des quelques espaces aquatiques pendant de longues semaines. Payer des salariés pour peu d’entrées est moins rentable que de les mettre au chômage technique. Triste France.

 « Pour toutes ces raisons, je vous demande de bien vouloir permettre l’accès aux piscines dans lesquelles aucun cluster n’a été répertorié, à nos licenciés, comme aux scolaires, mais aussi d’envisager dès maintenant les modalités claires d’un plan de soutien au niveau fédéral », demandait à la fin de la lettre le président de la FFN.

Les nageurs professionnels appuient cette demande de la FFN, en relayant la lettre sur leurs réseaux sociaux associés à des engagements individuels. De nombreux athlètes, dont Florent Manaudou, Charlotte Bonnet, Camille Lacourt et d’autres tentent de créer une vague de soutien au chevet des clubs français, malades des mesures.

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille LacourtFantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

« En tant qu’ambassadrice du programme #nageuretcitoyen, j’ai bien conscience que

l’apprentissage de la natation est un enjeu national. Tous unis pour le maintien des activités aquatiques », a lancé la triple championne d’Europe en grand bassin.

Mélanie Henique s’est interrogée : « Pourquoi fermer les piscines si elles ne présentent pas de risque sanitaire ? Tous unis pour maintenir les activités aquatiques et l’apprentissage de la natation ».

Une vague de soutien pour un sport souvent pratiqué en intérieur et qui donc souffre particulièrement de la fermeture des établissements couverts afin officiellement d’éviter la propagation de la pandémie de Covid-19.  Le coronavirus aimerait-t-il l’eau de javel ?

La détresse physique et psychologique des nageurs

Les enfants et jeunes enfermés avec leur famille à un âge où on a besoin d’espace et des copains sont particulièrement traumatisés comme l’annonçaient les psychiatres et psychologues dès mars 2020. Actuellement, ce ne sont pas les lits covid qui manquent malgré la pub, mais bien les lits de psychiatrie et singulièrement de pédopsychiatrie. On commence à entendre parler de suicides chez les moins de dix ans, ce qui n’arrivait jamais avant ces temps de folie.

« Papa, quand on est mort, est-on encore obligé de porter le masque »

question d’un petit de 5 ans qui montre l’extrême détresse des enfants.

Il est évident que le sport de groupe, et de compétition chez les jeunes aurait pu être un bon moyen de les maintenir en bon état psychologique, par l’activité sportive elle-même mais aussi par l’activité de groupe qui aurait maintenu un lien social tellement indispensable.

D’autant que les jeunes ne risquent rien de ce virus[5], et qu’ils ne participent pas à la diffusion de la maladie. Mais non, on ferme, peu importe la perte des performances, l’absence de compétition pour les non professionnels mais engagés dans les championnats de France depuis quelques mois ou années. Seuls les trois premiers d’une tranche d’âge ont pu aller en compétition et ont été autorisés à s’entrainer depuis l’été. Mais la quatrième ou la cinquième ? Comment peut-on espérer assurer la relève de nos champions dans une discipline où la période d’excellence est courte ?

Nada, pas de piscine, ni de compétition. Les stages toujours prévus sautent aussi au dernier moment. La dépression suit et si on a choisi natation, ce n’est pas pour marcher seul dans les rues de son quartier guetté par la police pour voir si on ne dépasse pas la distance autorisée (et maintenant avant 18 h et peu importe si on a cours).

Les élites qui veulent imposer le grand reset sont indifférents à ces considérations psychologiques, c’est logique, ils font leur « boulot » sans état d’âme au service des milliardaires.

Mais l’acceptation de ceux qui se sont soumis, croyant protéger leurs concitoyens par des mesures sans fondement scientifique ni médical est incompréhensible D’autant que dès mars 2020, le pr Raoult avait largement expliqué qu’il existait un traitement efficace de ce petit virus à condition de le donner tôt ; incompréhensible.

Alors oui, les nageurs non professionnels mais titulaires d’une licence de la fédération ont besoin de retrouver leurs piscines, leurs coachs, leurs amis et de reprendre l’entrainement quotidien, autant que faire se peut, pour retrouver leurs performances d’avant le grand chambardement.

Cela fera toujours autant de travail en moins pour les psychiatres. Même si le mal est fait, comme pour la classe, avec les décrochages nombreux, il faut vite ouvrir pour tous ceux qui attendent chaque jour de retrouver leur vie et pleurent à chaque annonce du ministre de laisser en plan la situation catastrophique, en particulier pour notre jeunesse, avenir du pays.

Jeunesse dont on sous-estime la souffrance que seuls les suicides qui s’accumulent dans les universités semble réveiller (a minima) les médias. Jeunesse abandonnée, comme les seniors qui n’ont pas été protégés davantage puisqu’on leur a refusé les hospitalisations et pire les traitements précoces, et que le ministre et premier ministre ont signé en décret en mars puis en octobre permettant des euthanasies facilitées par le Rivotril au moindre doute de difficultés respiratoires possiblement en rapport avec le covid.  Non la jeunesse n’a pas été sacrifiée pour les vieux, mais en même temps que les plus âgés. Seule la force de travail utilisée dans les entreprises importe encore un peu aux dirigeants.

L’épidémie est terminée. Nous vivons avec des milliards de virus depuis des millions d’années. Ce virus est de plus sensible à de nombreuses molécules de l’artémisine qui a sauvé Madagascar, à l’ivermectine en passant par l’hydroxychloroquine.

Des milliers de médecins engagés[6] [7] sont prêts à vous soigner malgré les menaces du conseil de l’ordre qui ne tiendront pas, vu le nombre de plus en plus grand de résistants. Vous ne sauverez personne en acceptant les ukases du ministère, du masque qui apporte germes et champignons si portés trop d’heures d’affilée, au confinement ou pseudo confinement et méfiez-vous des vaccins peu expérimentés pour l’instant, et dont les premières campagnes en Israël et en Grande-Bretagne ont été suivies d’une augmentation considérable de la mortalité. Prenons du recul.

N’oubliez pas que ce virus tue moins de 0,001 % personne en France. N’ayez plus peur et battez-vous pour reprendre une vie normale le plus vite possible. La vie libre de notre jeunesse est plus importante que des mesures pseudo sanitaires inefficaces.


Notes

[1] Sauf immunodéprimés congénitaux, ou sous traitement pour maladie chronique ou leucémies etc.

[2] Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée. – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[4] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[5] D’après santé publique France en 1 an le covid a été incriminé dans 3 morts chez les moins de15 ans (dont deux chez des patients qui souffraient de graves maladies antérieures) alors que la grippe en tue chaque année entre 7 et 10.

[6] Laissons-les prescrire

[7] https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/




Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

Par Dr Nicole Delépine

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent [1]

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE. Elle a donné un veto absolu. Ce ne serait pas légal !

ATTENTION, le GRAND RESET ARRIVE si nous n’y prenons pas suffisamment garde et nous laissons « enfumer » au sens propre par les variantes de la manipulation des variants Véran et autres docteurs TV trop désireux de garder leur place sur le petit écran en vendant leurs âmes aux diables.[2]

Mais la révolte gronde

Tout ne sera peut-être pas aussi simple que les adeptes de la clique de Davos semblent le penser. On peut être étonné de l’article récent du BMJ[3] jadis obéissant à la secte Covid, qui a laissé passer cet article terrible sur « l’organisation du meurtre social » selon leur expression, via le leurre covid19.

« Le « meurtre social » des populations est plus qu’une relique d’une époque révolue. Il est très réel aujourd’hui, exposé et magnifié par covid-19. Il ne peut pas être ignoré ou laisser filer. Les politiciens doivent rendre des comptes par des moyens légaux et électoraux, en effet par tous les moyens constitutionnels nationaux et internationaux nécessaires. Les échecs de l’État qui nous ont conduits à deux millions de morts sont des « actions » et des « inactions » qui devraient tous nous faire honte. »

LA GESTION INTERNATIONALE DE LA PANDÉMIE OU PSEUDO PANDÉMIE COVID NOUS RAMÈNE A DES TEMPS RÉVOLUS

« À tout le moins, covid-19 pourrait être classé comme « assassinat social », comme l’ont récemment expliqué deux professeurs de criminologie ».

ASSASSINAT CAR PRÉMÉDITÉE COMME LES DOCUMENTS QUI APPARAISSENT VIA LES AVOCATS FUELLMICH ET CIE le montrent : les faux tests PCR n’étaient pas une erreur, mais une technique de manipulation de masse, la diffusion répétée que les bien portants transformés en asymptomatiques pourraient être contagieux est une manipulation réfléchie et organisée par le conseiller Drosten[4] pour le ministère allemand et Mme Merkel et finalement dans le monde entier via l’OMS.

« Le philosophe Friedrich Engels a inventé le concept en décrivant le pouvoir politique et social détenu par l’élite dirigeante sur les classes ouvrières dans l’Angleterre du XIXe siècle. Son argument était que les conditions créées par les classes privilégiées ont inévitablement conduit à la mort prématurée et « contre nature » des humains parmi les classes les plus pauvres.

Dans The Road to Wigan Pier, George Orwell a fait écho à ces thèmes en décrivant la vie et les conditions de vie des gens de la classe ouvrière dans le nord industriel de l’Angleterre. Aujourd’hui, le « meurtre social » peut décrire le manque d’attention politique aux déterminants sociaux et aux inégalités qu’exacerbe la pandémie. »

Combien de décès excessifs faut-il pour qu’un conseiller scientifique ou médical en chef démissionne ? Combien de temps faut-il pour tester et retracer l’échec public avant qu’un ministre de la Santé ou un conseiller en chef ne se démette ? Combien de contrats lucratifs pour des tests diagnostiques non scientifiques attribués à des copains ou des erreurs dans la politique de l’éducation mèneront-ils à un licenciement ministériel ?

Obtenir réparation

Où les citoyens devraient-ils se tourner pour rendre des comptes, s’ils ne le trouvent pas dans leurs dirigeants et se sentent non soutenus par les experts et les médias ? La loi demeure une forme de recours, et en fait certaines voies juridiques, y compris la négligence criminelle et l’inconduite dans une charge publique, sont à l’étude[5] [6], bien que la preuve de telles allégations sera difficile à établir. Mais la notion de meurtre, du moins de « meurtre social », est difficile à ébranler émotionnellement, et se renforce par tous les dénis de responsabilité et chaque refus d’être tenu responsable ou de changer de cap. ».

La manipulation à grande échelle et sans l’ombre d’un scrupule de nature humaine

Des preuves de malveillance arrivent à la surface, complétant les révélations de l’avocat Fuellmich[7] et de tous ceux qui ont déjà publié des plaintes contre les gouvernements allemands, canadiens[8] ou autres. Les procès arrivent et le tribunal de Nuremberg 2 arrivera dans la foulée.

Via Polémia[9] on découvre que Die Welt, grand journal allemand, a publié la preuve[10] « que le ministère allemand de l’Intérieur avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives ». Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population. »

La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande d’après le journal die Welt, et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques.

Cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions.

Et en France ?

A quand une véritable prise de conscience de nos restaurateurs, artisans, etc. et non une complaisante soumission à des mesures aberrantes pour un virus qui n’arrive même pas à tuer plus de O,01 % des Français. Minable ce petit virus, malgré l’aide des gouvernants qui nous interdisent de traiter les malades et aident parfois à la mortalité via le Rivotril et peut-être bien via ces pseudo vaccins géniques dont personne ne connaît encore la toxicité réelle à court et moyen et long terme[11].

Le ministère de l’Intérieur allemand a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Échange de courriels dont dispose Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase de la pandémie. « Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère ».

« Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures anti- Corona ».

Un groupe de juristes a réussi à obtenir une importante correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques auprès du Robert-Koch-Institut par suite d’une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel,

« le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées ».

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient. »

Mais pourquoi ce scénario allemand qui ressemble de près à ce que nous avons vécu en France par le discours formaté identique des pseudo docteurs et scientifiques qui officiellement dicteraient au gouvernement leurs choix, mais en réalité se les feraient dicter?[12] On pourrait rapidement découvrir que les dirigeants français comme les Allemands dictent leur discours à nos docs Gilead bien récompensés par leurs loyaux services (envers le pouvoir et contre le peuple) ? Quel journaliste va -t-il mener l’enquête ?

Reparler du projet du Great Reset et du pourquoi ?

« Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS (sur le virus) a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peu partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Réinitialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique.

Forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée.

De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). »

LA CASTE DE DAVOS VA MOURIR DE SON HUBRIS

Ils ont oublié que le « tout numérique » est de fait inapplicable, car si les hommes pouvaient à la limite obéir, les éléments naturels se moquent bien de Bill Gates, de Merkel et même de Macron, trop sensibles aux variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages (crise, conflit militaire) et destructions des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) nécessaires aux transactions monétaires numériques[13]. Que devient l’argent virtuel, objet obsessionnel de tous leurs rêves en cas de panne ? On revient vite au troc et bientôt on réinvente l’argent papier, d’autant que certains des survivants auront encore quelques souvenirs.

Néanmoins l’hypnose et la sidération réussies par la manipulation convid19 favorisent la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc.

« Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales.

Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. »

[13]

Aux populations mondiales de se reprendre en main : il paraît que 10% d’éveillés résistants suffiraient à déstabiliser le plan Great Reset.

Mais si vous voulez vraiment savoir à quoi il faut vous opposer dans la vraie vie avec ce grand Reset, voilà ce qui se passe actuellement en Oregon ou pourrait s’y passer bientôt.

Le Grand Reset va être testé en Oregon — Le Média en 4-4-2 (lemediaen442.fr)

L’Assemblée législative de l’Oregon examine un projet de loi visant à permettre la saisie, l’utilisation ou la possession de toute propriété privée durant l’état d’urgence. S’il est adopté, Kate Brown, son gouverneur, aura les pleins pouvoirs sur ses administrés.

Ce nouveau projet, qui porte le nom de code HB 2239, a pour but d’étendre « l’autorité du gouverneur en matière d’usage des biens privés durant l’état d’urgence ». Certaines mesures existent déjà, mais a priori elles ne suffisent plus. HB 2239 émet les propositions suivantes :

Chaque fois que le gouverneur déclare l’état d’urgence, il peut édicter, modifier et faire appliquer des règles et des ordonnances afin de :

  • 1) Contrôler, restreindre et réglementer l’utilisation, la vente ou la distribution de denrées alimentaires, de carburant, de vêtements et d’autres produits, de matériaux, de biens et services, par le rationnement, le gel, l’utilisation de quotas, l’interdiction d’expédition, la fixation des prix, l’allocation ou autres moyens ;
  • 2) Prescrire et diriger les activités liées à l’utilisation, la conservation, la récupération et la prévention du gaspillage de matériaux, de services et d’installations, y compris, mais sans s’y limiter, la production, le transport, les installations de production d’énergie et de communication ; la formation et la fourniture de main-d’œuvre, l’utilisation des installations industrielles, les soins de santé et médicaux, la nutrition, le logement, la réhabilitation, l’éducation, le bien-être, les soins aux enfants, les loisirs, la protection des consommateurs et autres besoins civils essentiels ; et
  • 3) Prendre toute autre mesure, y compris par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel… »

En conclusion, HB 2239 donnerait au gouverneur Brown[14] un pouvoir intégral sur ce qui doit et peut être saisi, quand le saisir et comment l’utiliser. Elle aurait utilisé des tactiques d’intimidation contre des entreprises qui ne se conformaient pas à ses ordres. Déclarer l’état d’urgence lui permettra de prendre le contrôle sur toutes les propriétés privées qu’elle souhaite : hôpitaux, logements, entreprises et même les sacro-saintes armes à feu privées.

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. » « Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

Il s’agirait d’un coup d’État mondial, imposant la disparition de la propriété privée. L’État (avec aux commandes les plus grosses fortunes, Blackrock, Bill Gates, Zuckerberg…) serait seul propriétaire.

« Si la projection du forum mondial de Davos se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens de première nécessité à l’État, qui serait le seul propriétaire de tous les biens. L’offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social », a écrit le Dr Antony Mueller, professeur d’économie allemand, pour l’Institut Mises. Crédit social à la chinoise évidemment qui a réussi de main de maître un entrisme aux USA comme en Europe et tente de nous imposer ses méthodes totalitaires de passeport vaccinal, reconnaissance faciale, etc.

« Si la loi proposée par Kate Brown était votée et appliquée, l’avenir déshumanisé de la planète commencerait en Oregon ».

Nous n’en sommes pas encore là, les ressources de l’Homme mis en danger sont fabuleuses, mais il vaut mieux connaître la véritable face de l’ennemi plutôt que son avatar, le petit virus. Nous serons mieux préparés.


Notes

[1] Passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation (francesoir.fr)

[2] Propriétaires et prolétaires, même combat https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant | The BMJ Kamran Abbasi, rédacteur en chef, kabbasi@bmj.com

[4] L’heure des comptes Drosten France soir par N Delépine

[5] BMJ2020 ; 370 :m3424. doi :10.1136/bmj.m3424 pmid :32878884

[6] Boyle D. Ex-procureur Nazir Afzal a demandé à ses avocats de voir s’il y a des preuves pour poursuivre Boris Johnson pour inconduite dans la fonction publique que covid-19 nombre de morts passe 100.000. Daily Mail 2021 26 janvier. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9190235/Ex-CPS-chief-Nazir-Afzal-instructs-lawyers-consider-Boris-Johnson-prosecution.html

[7] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[8] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[9] Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia et Olivier Demeulenaere — Regards sur l’économie | Blog de réinformation sur l’actualité économique et financière (et autre !) (wordpress.com)

[10]  Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

[11] Si problème évitez les urgences qui en sont encore au doliprane en février 2021 et trouvez un médecin engagé dans votre département à partir du site « laissonslesprescrire » et le manifeste des médecins engagés. https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

[12] Ces manipulations maintenant dévoilées en Allemagne rappellent tout à fait le rapport 9 de Ferguson présenté en catimini à Macron puis la pseudo étude des élèves de l’école de l’école de santé publique prétendant contre toute évidence que le confinement aurait sauvé 60000 français

[13] Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] Kate Brown a récemment prolongé l’état d’urgence jusqu’en mars 2021 — les 1882 décès dus au Covid sur une population de 4,26 millions d’habitants lui paraissant le justifier




De la guerre commerciale, à la guerre sanitaire, à la guerre des vaccins

[Source : Les 7 du Québec]

(N.B. Le titre est de nous : Les7duQuebec.net. NDLR)


Par  Luc Michel. Pour Geopolitical Daily.   Commenté par Les7duQuebec.net

LE VACCIN RUSSE ‘SPUTNIK V’: UN ENJEU GEOPOLITIQUE

La panacée des vaccins contre la COVID-19

« Le « Sputnik V » russe, un vaccin teinté de géopolitique », titrait un quotidien européen. «En annonçant mardi avoir développé le «premier» vaccin contre la Covid-19, baptisé Spoutnik V, la Russie entend se positionner en tête de cette compétition planétaire aux enjeux financiers considérables».   Futura-Sciences (12 août 2020).

Le président Vladimir Poutine en personne s’était fait dès août dernier le VRP du « Sputnik V« , premier vaccin anti-Covid enregistré dans le monde, «témoignant des efforts russes d’en faire aussi un atout géopolitique» (commentait l’AFP).

La Russie s’était attirée une pluie de critiques, des scientifiques occidentaux qualifiant l’annonce de «prématurée». Tout cela ne reposait que sur de la propagande russophobe ! La publication de résultats scientifiques par la prestigieuse revue médicale The Lancet vient d’apporter un démenti scientifique. La communauté internationale occidentale y avait surtout vu «la volonté de Moscou d’étendre son influence dans le monde».

LE VACCIN RUSSE CONTRE LA COVID-19 ABAT SON ATOUT

Le vaccin russe Spoutnik V, initialement accusé donc d’avoir « été développé à la hâte et sans transparence», a fait une entrée fracassante dans le trio de tête des vaccins ce mardi ! La publication mardi des très bons résultats du SpoutnikV russe rebat les cartes dans la hiérarchie mondiale des vaccins contre la COVID-19.

QUEL EST LE MEILLEUR VACCIN?

À ce stade, ce sont ceux qui utilisent la technologie de l’ARN messager, c’est-à-dire ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna. Ils affichent un très fort taux d’efficacité, de 95 % et 94,1 %. Selon les résultats intermédiaires de ses essais, publiés dans la revue médicale The Lancet, il est efficace à 91,6 % contre les formes symptomatiques de la COVID. C’est nettement plus que le vaccin d’AstraZeneca/Oxford, efficace à 60 % environ, selon l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Tous deux sont des vaccins « à vecteur viral » : on prend pour base d’autres virus, adaptés pour combattre la COVID. Mais alors que le vaccin d’AstraZeneca est basé sur un unique adénovirus de chimpanzé, le Spoutnik V utilise deux adénovirus humains différents pour chacune de ses deux injections. Selon ses concepteurs, cela pourrait provoquer une meilleure réponse immunitaire.  «C’est à notre avis le meilleur vaccin au monde, au niveau efficacité, sécurité, prix et logistique», a assuré mardi Kirill Dmitriev, directeur du Fonds souverain russe, qui a participé à la mise au point et au développement du vaccin.

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna ne peuvent être stockés à long terme qu’à très basse température (-70°C pour le premier et -20°C pour le second). D’autres vaccins ont annoncé des chiffres d’efficacité, sans qu’ils soient publiés dans des revues scientifiques. L’entreprise américaine Novavax a affirmé que le sien était efficace à 89,3 %. C’est un vaccin dit «sous-unitaire», à base de protéines (des antigènes) qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Dernière annonce en date, celle de Johnson & Johnson vendredi, selon qui l’efficacité de son vaccin à vecteur viral est de 66 % en général, et surtout, de 85 % pour prévenir les formes graves. Enfin, le vaccin chinois Sinopharm (qui utilise la technique classique du virus inactivé) se prévaut d’une efficacité de 79 %.

Tous ces chiffres sont globaux et on ne sait pas avec certitude à quel point ces vaccins protègent les personnes âgées, population particulièrement à risque (+ 65 ans = 95% des mortalités.  NDLR). On ne sait pas non plus pendant combien de temps ils seront efficaces, ni s’ils empêchent la transmission du virus. (sic)

COMBIEN DE VACCINS ?

Plus de 100 millions de doses ont été administrées dans le monde, moins de deux mois après le lancement début décembre des premières campagnes de vaccination de masse, selon un bilan de l’AFP. Sur les 77 pays ou territoires où la vaccination a commencé (sur un total de 200 pays = 77/200), c’est Israël qui mène la course. Plus du tiers de sa population (37 %) a déjà reçu au moins une injection. Dans l’Union européenne, trois vaccins sont autorisés : Pfizer/BioNTech (administré depuis le week-end du 26/27 décembre), Moderna (6 janvier) et AstraZeneca/Oxford depuis vendredi. (Pour ce qui concerne la vaccination israélienne voir ce texte de G. Delépine : https://les7duquebec.net/archives/261701 NDLR)

Le Fonds souverain russe, qui a participé à la mise au point et au développement du Sputnik V, a annoncé le 20 janvier avoir entamé la procédure d’homologation auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Pour autant, le Spoutnik V n’est pas inclus dans les contrats de précommande signés par la Commission européenne. En plus de la Russie, ce vaccin a été homologué dans seize pays : d’ex-républiques soviétiques restées proches comme le Bélarus et l’Arménie, des alliés comme le Venezuela et l’Iran, mais aussi la Corée du Sud, l’Argentine, l’Algérie, la Tunisie ou le Pakistan (on voit ici se dessiner la géopolitique de la puissance russe face à la géopolitique des autres puissances impérialistes. NDLR).

Le Royaume-Uni, lui, dispose de deux vaccins, ceux de Pfizer/BioNTech (avec lequel il a démarré sa campagne le 8 décembre) et d’AstraZeneca/Oxford (qu’il a été le premier pays au monde à administrer, le 4 janvier). Les États-Unis ont également deux vaccins, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna depuis mi-décembre.

Enfin, la Chine, où la pandémie a éclaté il y a un an, a commencé à vacciner dès l’été dernier. Plusieurs de ses laboratoires produisent un vaccin, les plus avancés étant ceux de Sinopharm et Sinovac.

Outre ces vaccins déjà administrés, basés sur différentes technologies, 58 autres sont testés sur l’homme dans le cadre d’essais cliniques, selon le dernier décompte de l’OMS.

ACCÉLÉRATION DES PROCÉDURES DE RECHERCHE, DE PRODUCTION INDUSTRIELLE ET D’ÉVALUATION, APPUYÉE PAR DES FINANCEMENTS PUBLICS COLOSSAUX

Le développement et la mise sur le marché d’un nouveau vaccin prennent d’habitude dix ans en moyenne, un délai réduit à moins d’un an pour la COVID-19 grâce à l’accélération des procédures de recherche, de production industrielle et d’évaluation, appuyée par des financements colossaux. Dans sa course mondiale à la fabrication d’un vaccin contre le coronavirus, l’entreprise publique chinoise se vante d’avoir donné à ses employés, y compris ses hauts dirigeants, des injections expérimentales avant même que le gouvernement n’accepte de le tester sur des citoyens.

QUELLE EFFICACITÉ CONTRE LES VARIANTS?

Cette question taraude les spécialistes alors que des variants plus contagieux du coronavirus classique pourraient à terme prendre sa place. Si l’expansion du variant initialement détecté en Angleterre inquiète, les craintes liées au vaccin portent surtout sur un autre variant, qui a émergé en Afrique du Sud. L’une des mutations qu’il contient (appelée E484K) semble susceptible de rendre les vaccins moins efficaces, selon plusieurs études menées in vitro. (Ce qui menace le lucratif marché public des vaccins convoité par le Big Pharma des firmes multimilliardaires, l’enjeu véritable de cette saga sanitaire. NDLR).

Moderna a assuré la semaine dernière que son vaccin était efficace contre le variant britannique et contre le Sud-Africain, mais dans une moindre mesure. L’entreprise va donc travailler à mettre au point une dose de rappel spécifiquement dirigé contre le variant sud-africain (pérennisant ainsi la poule aux œufs d’or des vaccins profitables. Parions que des variants apparaîtront ainsi régulièrement requérants de nouvelles injections des miraculeux vaccins lucratifs… jusqu’à ce que la brebis, payeur de taxes d’Occident, n’ait plus rien à offrir pour expier sa naïveté effarouchée. NDLR). Pfizer et BioNTech ont affirmé dans la foulée que leur vaccin restait efficace contre les principales mutations des variants anglais et Sud-Africain. Des tests «n’ont pas montré la nécessité d’un nouveau vaccin pour faire face aux variants», selon les deux compagnies, qui se disent toutefois «prêtes à réagir» (sic)  si une mutation résistante émergeait. Enfin, les résultats préliminaires de Novavax et Johnson & Johnson montrent que ces deux vaccins sont moins efficaces dans la partie de leurs essais cliniques réalisés en Afrique du Sud. Cela semble confirmer que le variant Sud-Africain pose plus de problèmes aux vaccins existants.

(Pour un tour d’horizon complet des types de vaccins et de leurs effets voir cette vidéo : https://les7duquebec.net/archives/261900 NDLR)

UNE COURSE CONTRE LA MONTRE S’ENGAGE

« Une course contre la montre s’engage » pour vacciner le plus de monde possible parallèlement à l’émergence des variants, a prévenu mi-janvier le Conseil scientifique qui guide le gouvernement français.

Peut-on décaler les doses ?

Pour tenter de vacciner plus largement, certains pays ont décidé de retarder la deuxième dose de vaccin. Le but : fournir une première dose à davantage de gens avant de passer à la deuxième. Le Danemark a, par exemple, décidé de faire passer ce délai à 6 semaines, et le Royaume-Uni carrément à 12. Or, les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna ont été conçus pour que leurs deux doses soient administrées respectivement à 3 et 4 semaines d’intervalle. (Ce qui donne à penser que tout cela est du n’importe quoi d’un point de vue scientifique médical et sanitaire. NDLR)

Des spécialistes craignent donc qu’espacer davantage les doses nuise à l’efficacité du vaccin, voire favorise l’émergence de nouveaux variants à cause d’une protection seulement partielle de la population (voici de quelle manière ces thuriféraires de l’industrie pharmaceutique préparent les conditions de la mise en marché ad nauseam de vaccins « d’ajustement » payants. NDLR) Début janvier, l’ineffable OMS a jugé que la deuxième dose pouvait être décalée «dans des circonstances exceptionnelles», en cas d’explosion de l’épidémie ou de problèmes d’approvisionnement (L’OMS stipendiée par l’industrie pharmaceutique vole à la rescousse de ses sponsors mettant de l’avant que des impératifs logistiques influeraient sur les contingences scientifiques. On galère en pleine saga pécuniaire, sans même que les laquais prennent soin de dissimuler leurs méfaits. NDLR), mais le délai entre les deux ne doit pas excéder six semaines, avait-elle ajouté. L’EMA cette fois a été plus prudente: elle a recommandé de s’en tenir à un intervalle de trois semaines entre les deux injections du vaccin Pfizer/BioNTech. La France, qui envisageait initialement un report à six semaines, a finalement décidé de respecter les délais prévus par les fabricants. L’arrivée prochaine du vaccin de Johnson & Johnson pourrait aider à trancher le débat, puisque contrairement aux autres, ce vaccin ne nécessite qu’une injection.

Quels effets secondaires ?

Les essais cliniques n’ont pas mis en évidence de problème de sécurité notable pour les vaccins déjà distribués. Leur «surveillance étroite» se poursuit (sic)  afin de détecter d’éventuels effets secondaires graves survenant à plus long terme. Celui de Pfizer/BioNTech est celui pour lequel on a le plus de recul. «Les avantages de Comirnaty (son nom commercial, NDLR) dans la prévention de la COVID-19 continuent de l’emporter sur tous les risques» a assuré l’EMA vendredi en publiant sa première mise à jour sur la sécurité de ce vaccin depuis que l’UE a commencé à l’administrer.

Ces dernières semaines, plusieurs pays ont signalé des cas de décès chez des personnes âgées et souvent très malades qui avaient auparavant reçu le vaccin Pfizer. Après avoir analysé ces cas, l’EMA a conclu que «les données ne montraient pas de lien avec la vaccination avec Comirnaty» et a exclu tout «problème de sécurité». (Prendre note de cette note de l’EMA qui ne craint pas de se compromettre au service de ses maîtres. Commençons à construire le mémorial des sinistrés comme le propose l’article ci-contre: La vaccination de masse antiCOVID-19 prépare une catastrophe sanitaire mondiale  https://les7duquebec.net/archives/261701 NDLR)

Par ailleurs, comme tous les vaccins, ceux contre la COVID peuvent provoquer des effets secondaires légers et attendus. « Ces vaccins sont assez réactogènes (induisent des réactions, NDLR) : leur niveau de sécurité est satisfaisant, mais par contre, ils font mal au bras, entraînent un sentiment de fatigue », avait expliqué en décembre la spécialiste française Marie-Paule Kieny lors d’une audition parlementaire.

LE SPUTNIK ÉLÉMENT DU SOFT POWER GÉOPOLITIQUE RUSSE

« L’annonce faite en août par le président Vladimir Poutine selon laquelle la Russie avait autorisé l’utilisation du premier vaccin COVID-19 au monde avant même la fin des essais de sécurité a suscité le scepticisme dans le monde entier, écrit Bloomberg. Maintenant, il peut récolter des dividendes diplomatiques alors que la Russie profite sans doute de sa plus grande percée scientifique depuis l’ère soviétique ».

« LE VACCIN DE POUTINE JADIS MÉPRISÉ EST DÉSORMAIS FAVORI DANS LA LUTTE CONTRE LA PANDÉMIE » (BLOOMBERG)

« Les pays font la queue pour s’approvisionner en Spoutnik V après que des résultats évalués par des pairs publiés dans le journal médical The Lancet cette semaine ont montré que le vaccin russe protège contre le virus mortel ainsi que contre les vaccins américains et européens, et bien plus efficacement que ses rivaux chinois, ajoute Bloomberg ».

Au moins 20 pays ont approuvé l’utilisation de l’inoculation du Sputnik V, dont la Hongrie, État membre de l’Union européenne, et la Serbie, tandis que des marchés clés tels que le Brésil et l’Inde sont sur le point de l’autoriser. La Russie se tourne maintenant vers le marché européen prisé alors que le bloc se débat avec son programme de vaccination dans un contexte de pénurie d’approvisionnement, organisé par les Big Pharmas anglo-saxons. (Les suppôts de l’empire russe prennent fait et cause pour l’industrie russe contre ses concurrents industriels occidentaux – chinois et même cubain… NDLR).

« Dans la bataille mondiale pour vaincre une pandémie qui a coûté la vie à 2,3 millions (???) de vies en un peu plus d’un an (sic), la course aux vaccins a pris une importance géopolitique alors que les gouvernements cherchent à sortir des énormes dommages sociaux et économiques causés par les verrouillages imposés pour limiter la propagation des virus. Cela donne à la Russie un avantage parmi les rares pays où les scientifiques ont produit une défense efficace» commente encore Bloomberg.

LA DÉCISION STRATÉGIQUE DE POUTINE

Sa décision de nommer Spoutnik V en l’honneur du premier satellite au monde dont le lancement en 1957 a donné à l’Union soviétique un triomphe étonnant contre les États-Unis pour lancer la course à l’espace n’a fait que souligner l’ampleur de l’importance que Moscou attachait à cet exploit. Les résultats des essais de stade avancé de 20 000 participants examinés dans The Lancet ont montré que le vaccin a un taux de réussite de 91,6%. « C’est un moment décisif pour nous », a déclaré Kirill Dmitriev, directeur général du Fonds d’investissement direct russe, qui a soutenu le développement de Spoutnik V et est en charge de son déploiement international, dans une récente interview.

UN ÉLÉMENT DU SOFT POWER RUSSE, UN VECTEUR GÉOPOLITIQUE

« S’il est trop tôt pour évaluer les gains politiques pour Poutine, la Russie fait déjà une grande partie de l’impact de puissance douce (soft Power) du vaccin sur son image après des années de condamnation internationale pour l’ingérence électorale et le ciblage d’opposants politiques au pays et à l’étranger », ajoute Bloomberg. La télévision d’État fait de nombreux reportages sur les livraisons à d’autres pays. « Le succès de Spoutnik ne changera pas l’hostilité envers Poutine parmi les gouvernements occidentaux, mais il pourrait renforcer l’influence géopolitique de la Russie dans des régions telles que l’Amérique latine », selon Oksana Antonenko, directrice du cabinet (pro-occidental) de Conseil Control Risks. «Avec ce vaccin, il s’est avéré capable de produire quelque chose de nouveau qui est demandé dans le monde entier», a-t-elle déclaré.

Les contraintes de production sont le plus grand défi auquel sont confrontés tous les fabricants, car la demande mondiale dépasse de loin l’offre. La Russie promet des vaccins gratuits (!!!) pour ses 146 millions d’habitants. Mais aussi les russophones des républiques autoproclamées de PMR, DNR ou LNR , qui se sont séparées de la Moldavie (en 1990) et de l’Ukraine (en 2014), alors que Chisinau et Kiev sont incapables de vacciner leurs populations!  Moscou a commencé la production l’année dernière et le vaccin est actuellement fabriqué dans des pays comme l’Inde, la Corée du Sud et Brésil. Cette semaine, il est apparu qu’un proche allié du président turc Recep Tayyip Erdogan, ennemi géopolitique de la Russie, a signé un accord pour produire du Spoutnik V en Turquie, alors même que le pays a conclu des accords pour acheter 50 millions de doses du vaccin CoronaVac de Sinovac Biotech Ltd et 4,5 millions de doses de la photo de Pfizer Inc.-BioNTech SE.

LA PERCÉE RUSSE EN AMÉRIQUE LATINE

Le lendemain de l’annonce de son contrat, le président mexicain prorusse Andres Manuel Lopez Obrador a déclaré le 25 janvier qu’il remerciait un Poutine «vraiment affectueux» pour avoir promis 24 millions de doses de Spoutnik V dans les deux mois à venir. Trois jours plus tard, le président bolivien Luis Arce a personnellement pris livraison d’un lot à l’aéroport de La Paz. L’Amérique latine s’avère un territoire fertile. L’Argentine, qui a eu du mal à se procurer des vaccins, a lancé son programme de vaccination de masse après avoir reçu plus d’un demi-million de doses de Spoutnik V en janvier. Il a été rejoint par le Nicaragua, le Paraguay et le Venezuela. Au Brésil, le plus grand marché de la région, une décision annoncée le 3 février de supprimer l’exigence des essais de phase trois pour utilisation d’urgence pourrait accélérer l’approbation.

À LA CONQUÊTE DE L’AFRIQUE

La Guinée est devenue le premier pays africain à commencer à dispenser du Spoutnik V en décembre, le président ami de Moscou, Alpha Condé, et plusieurs ministres prenant le vaccin. Il s’attend à recevoir 1,6 million de doses cette année et est également en pourparlers sur l’acquisition de vaccins chinois, ainsi que sur le vaccin d’AstraZeneca Plc. Le Zimbabwe, la République centrafricaine et la Côte d’Ivoire font partie des autres clients potentiels de la Russie. «Nous ne sommes pas en mesure de dire non à aucun vaccin. Nous avons opté pour le vaccin Pfizer, mais nous examinons également d’autres vaccins», a déclaré le professeur Joseph Benie, directeur de l’Institut national d’hygiène publique à Abidjan, en Côte d’Ivoire. «Il est maintenant urgent de commencer à vacciner»

Contrairement au vaccin Pfizer / BioNTech, Sputnik V peut être conservé dans un réfrigérateur plutôt que dans un congélateur, ce qui facilite son transport et sa distribution dans les pays les plus pauvres et les plus chauds. À environ 20 $ pour une vaccination à deux doses, c’est également moins cher que la plupart des alternatives occidentales. Bien que plus cher qu’AstraZeneca, l’inoculation russe a montré une efficacité supérieure à celle du vaccin britannique.

EN EURASIE COOPÉRATION AVEC TÉHÉRAN ET PÉKIN

Pour certains pays comme l’Iran, qui a reçu cette semaine le premier lot des 2 millions de doses promis, la Russie offre une alternative politique plus acceptable que les fournisseurs occidentaux. Mais la Russie fait également des percées dans des pays tels que les Émirats arabes unis, qui sont traditionnellement proches des États-Unis et ont approuvé l’utilisation de Spoutnik V.

Les développeurs chinois peuvent désormais faire équipe avec la Russie. Le RDIF a conclu un accord préliminaire pour tester un régime combiné de tirs de Spoutnik V et de CanSino Biologics en Chine pour renforcer l’efficacité contre la Covid-19, ont déclaré vendredi des personnes connaissant le sujet.

MALGRÉ LA RUSSOPHOBIE PERCÉE EN EUROPE OCCIDENTALE ?

Dans ce qui pourrait représenter la plus grande percée potentielle du Kremlin, la Russie a demandé aux régulateurs européens d’examiner une demande d’autorisation de Spoutnik V après que l’Allemagne eut promis d’aider à accélérer le processus. Alors que les hauts responsables de l’UE s’inquiètent toujours d’un déploiement lent du vaccin, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré mardi que le vaccin russe pourrait être utilisé pour protéger les personnes du bloc de 27 membres tant qu’il était approuvé par l’Agence européenne des médicaments.

La Hongrie a déjà accordé une autorisation d’urgence, signant un accord pour 2 millions de doses de Spoutnik V avec les 40 000 premiers vaccins livrés ce mardi. « Le vaccin ne peut pas être une question politique », a déclaré le premier ministre Viktor Orban à la radio d’État le 29 janvier. (Quel menteur ce Viktor Orban hypocrite. Comme le montre le présent article, cette affaire de vaccin coiffant cette crise sanitaire hystérique n’est qu’une affaire de gros sous, de marchés et de concurrence entre puissances cupides. NDLR)

L’approbation européenne peut prendre plusieurs mois en raison de la nécessité de soumettre des données détaillées, a déclaré Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, à QuickTake de Bloomberg. «Je pense que ce vaccin russe sera disponible», mais «pas rapidement», a-t-il déclaré. Alors que la Russie dit qu’elle s’attend à ce que le vaccin soit disponible pour 700 millions de personnes cette année, elle fait face à des goulots d’étranglement de production. «Soyons réalistes. Compte tenu de nos autres engagements, nous ne pourrons pas approvisionner l’Europe avant mai, à l’exception de la Hongrie», a déclaré Dmitriev du RDIF.

« Pourtant, le vaccin rapporte des dividendes pour Poutine », commente Bloomberg. Alors même qu’il se rendait à Moscou vendredi pour affronter le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à propos de l’emprisonnement du chef de l’opposition Alexey Navalny (qui a décrété que Navalny était le chef de l’opposition en Russie ? NDLR) le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, a pris le temps de féliciter la Russie pour le développement de Spoutnik V. « C’est une bonne nouvelle pour l’humanité entière », a déclaré Borrell. « Cela signifie que nous allons disposer de plus d’outils pour faire face à la pandémie » …

(sources : AFP – bloomberg – interfax – EODE Think Tank et Les7duquebec.net)




Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique

Par Gilles Levesque

L’Occident a tout simplement perdu la guerre économique avec l’Orient. Celle-ci a commencé dans un premier temps par trop d’abus spéculatif (cupidité) via la titrisation à outrance de titres obligataires de certaines créances (dette) transformées en produits financiers. Cet abus a été grandement favorisé à partir des années 1995 par des politiques monétaires axées sur la libéralisation des mouvements des capitaux et des taux de change. Le monde financier devenait tout d’un coup transnational et mondialisé où plus aucun État ne pouvait désormais penser à réguler les comportements abusifs. Un monde sous forme d’un nouveau royaume sans foi ni loi qui venait d’émerger, ouvert et sans entraves à la privatisation et à la circulation libre des capitaux. Cette politique néocoloniale du capitalisme néolibéral, financier et mondialisé a été favorisée par les cotations actionnariales des entreprises en Bourse, ayant comme résultat direct la privatisation des profits, par la captation (sous forme de dividendes aux créanciers actionnaires) des impôts déversés, tout en favorisant au passage l’amplification de l’évasion fiscale.

L’appauvrissement des États-nations vient de cette politique axée sur la privatisation des profits et de la socialisation des pertes. Il s’agit d’une complicité croissante, de longue date, entre le monde politique, la haute finance et les multinationales, qui doucement va tranquillement se transformer par regroupement de réseaux d’intérêts mafieux et criminels où règnent en maîtres la collusion, le copinage et la corruption à volonté. Une finance rendue tribale, de type féodal, et bâtie uniquement sur le vol ou la razzia des ressources naturelles, le pillage devenant butin, et la traite d’êtres humains, esclaves des temps modernes et pièces de rechange pour ceux qui nourrissent des délires d’éternité. Il s’agit d’esclavage par ceux qui détiennent la dette. Et ces derniers contrôlent également le réel pouvoir qui est donné par la politique monétaire des Banques Centrales.

Le déficit budgétaire et le poids des taxes et des impôts allant toujours croissant, d’année en année, des États-nations vient de ce manque d’entrées en recette fiscale, ou plutôt de la privatisation du flux des impôts et de l’évasion fiscale pour les très riches. Les conséquences directes de tout ça est d’ajouter de plus en plus de mesures d’austérité et de détresse humaine pour combler la différence. Si nous revenons à ce phénomène de titrisation à outrance, qui a eu pour résultat de faire éclater la bulle immobilière en 2008 avec la crise des surprimes, tout en détruisant du même coup la confiance envers les banquiers. Ceux-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et même négatif, afin de lutter dans un premier temps contre la chute boursière, d’éviter l’éclatement de la zone euro, et, pour finir, de contrôler par le flux migratoire une déflation de plus longue durée causée essentiellement par la décroissance démographique des baby-boomers (voir aussi la crise du LIBOR — ou taux interbancaire — en septembre 2019). En parallèle, l’Orient se désengage de plus en plus des pétrodollars et le développement des routes de la soie avec la reconstruction de la Libye, de la Syrie, de l’Irak et du Yémen, va grandement simuler leur économie. Soit l’équivalent d’un plan Marshall, ce qui fait que l’Orient ne tombera pas dans une crise monétaire et financière systémique, contrairement au monde occidental qui y plonge de plein fouet et à très grande vitesse.

L’alternative pour l’Occident et l’OTAN aurait été de déclarer la guerre avec soit l’Iran ou la Russie. Puisqu’il fallait bien détruire les bases arrière des alliées de la Chine, avant de pouvoir déclencher un conflit militaire direct. Cette stratégie d’encerclement et de confinement des alliées de la Chine et de la Chine elle-même est promue clairement par la stratégie du chaos depuis les années 2000 avec l’endiguement de la Russie et de l’Iran par L’OTAN. Une idéologie qui cherche à instrumentaliser l’aspect conflictuel et tribal du multiculturalisme confessionnel de certaines régions de la planète, en voulant lui imposer l’aspect virtuel et illusoire d’une pâle copie de la théorie du choc des civilisations. Une politique néocoloniale axée sur le pillage des ressources naturelles afin de lutter contre le manque de croissance de profit résultant d’un monde aux limites bien finies. Ceci ne pourrait pas exister sans le développement et l’emboîtement de différents réseaux de groupes d’intérêts reliant la corruption institutionnalisée et le copinage entre la finance, le monde politique et les multinationales dans un monde occidental devenu transnational, aux limites virtuelles mondialisées. Couper l’approvisionnement et les routes du pétrole est capital pour toute armée qui désire garder son autonomie et ses capacités de déploiement et d’intervention rapide face à toute offensive guerrière étrangère.

La stratégie des changements de régime (« régime change » en anglais) contre certains pays instrumentalise abusivement les Droits de l’homme ou utilise des ONG qui conseillent discrètement certains groupes d’opposition gouvernementale en jouant sur l’aspect confessionnel et ethnique plus ou moins chaotique relié au multiculturalisme et qui vont parfois jusqu’à leur donner une forme d’assistance militaire pour faciliter leur armement. Le but général est de morceler ces pays tout en favorisant le déclenchement de conflits civils, ce qui les rend encore plus impuissants face aux politiques hégémoniques occidentales. Ceci a été mis en œuvre lors des Révolutions de couleur dirigées par la CIA, entre les années 2004 et 2014, dans les ex-républiques soviétiques (Ukraine et Géorgie), lors des crises de Tchétchénie (en 1994 et 2000), ainsi que lors des Printemps arabes de 2011. Pour cela, il suffit essentiellement d’instrumentaliser et d’armer les partis d’oppositions pour les conduire à l’affrontement du régime en place, tout en poussant ce dernier à l’erreur dans le but de favoriser l’esprit de rébellion et d’insurrection dans la population. Une alternative consiste à favoriser des guerres (de type néocolonial) indirectes par « proxy » en utilisant tout simplement des armées privées de mercenaires ou en instrumentalisant des tribus mutuellement hostiles. Dans un processus de mondialisation du monde marchand, financier et capitaliste, le tout finira inéluctablement par se transformer en néocolonialisme féodal de type ploutocratique.

Les armées russe et iranienne ont développé de nouvelles armes technologiques et stratégiques très performantes et les ont dévoilées et utilisées pour la première fois en Syrie : un nouveau type de missiles balistiques intercontinentaux ultrasoniques à propulsion nucléaire filant à plus de 10 fois la vitesse du son ; des armes de défense antiaérienne et d’interception antimissile comme le système S-400 russe ou le Khordad-3 iranien ; etc. Leur efficacité et leurs performances ne sont plus à démontrer, contrairement au bouclier antimissile Patriot américain qui s’est révélé être une véritable passoire (un bluff !). Le système antimissile Patriot a révélé son inefficacité lors du bombardement par le Yémen de la raffinerie d’Aramco en Arabie Saoudite le 14 septembre 2019, mais surtout lors du bombardement par l’Iran de la base américaine Al-Asad en Irak le 8 janvier 2020, en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani le 3 janvier 2020. Cet état de fait a drôlement changé la situation géostratégique, surtout depuis 2015 lors de l’intervention russe en Syrie. L’hégémonie occidentale a dû modifier ses plans et faire un véritable repli stratégique, puisque la guerre avec l’Orient était devenue trop incertaine sous le couvert d’une technologie de guerre trop performante.

Ce scénario paraissait très possible sous l’administration Trump, mais qui devient de moins en moins certain avec le vol de l’élection par les démocrates de Biden. Celui-ci semble vouloir renouveler le pillage du pétrole et morceler la Syrie par l’implantation d’une zone sunnite située à l’est de l’Euphrate, recyclant ainsi les mercenaires et l’opposition armée syrienne (ancienne Al-Qaïda et Daesh) dans l’est de la Syrie. Entre 2003 et 2006, Daesh était l’ennemi juré des forces armées américaines qui se trouvaient en Irak, mais à partir de 2006 et surtout depuis 2014 avec la proclamation du Califa Islamique par Abou Bakr al-Baghdadi. Une sorte d’entente illicite s’est alors mise tranquillement en place par association d’intérêts sur le morcellement de l’Irak et la Syrie en trois régions ethniques différentes : kurde au nord, sunnite au centre, et chiite aux extrémités. Daesh était désormais devenu un simple groupe armé privé agissant comme proxy tout en étant coordonné sur le terrain par l’armée américaine pour combattre l’armée syrienne. Ce dernier scénario est porteur d’un potentiel de guerre globale impliquant le bloc occidental via l’OTAN contre le bloc de l’alliance de la résistance orientale. La lutte pour le dernier des royaumes terrestre est peut-être commencée.

Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peut partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Initialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique. Autrement dit, il s’agit de forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont en fait des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée. De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). Néanmoins, en réalité le « numérique » ne peut pas être appliqué (c’est un rêve de puissance des élites), car il est trop sensible aux moindres variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages susceptibles de survenir lors de situations de crise ou de conflit militaire. De telles conditions entraînent facilement la destruction des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) entre émetteur et récepteur nécessaires aux transactions monétaires numériques. Il n’est alors plus possible de faire la moindre transaction virtuelle pour réaliser de simples échanges basiques reliés à la survie même des individus. Famine, guerre et maladie s’ensuivront de toute évidence, voire même le retour au barbarisme.

Les virus à ARN subissent des mutations plus rapidement que les virus à ADN, car le matériel génétique à base d’ARN est moins stable que l’ADN, et c’est pour cela qu’il faut protéger les vaccins avec le froid, car il finit par se dégrader et donc de devenir très dangereux (c’est peut-être cela qui explique la lenteur et la rareté des vaccinations). Un virus trop virulent n’a pas vraiment le temps de se propager rapidement dans la population pour se reproduire, il (l’épidémie !) est donc condamné à mourir rapidement. C’est pour cela que la nature à travers la sélection naturelle favorise plutôt une virulence moindre par une contagiosité plus grande, comme le font chaque année les virus de la grippe. L’un des virus du rhume de la famille des coronavirus (SRAS-COV-2) est passé par une mutation (naturelle ou pas ?) très virulente en mars, avril et mai 2020. Comme c’est le cas pour tous virus que notre système immunitaire rencontre pour la première fois, le temps de s’adapter, et c’est d’ailleurs dans cette situation qu’il y a beaucoup plus de décès parmi les personnes plus fragiles. Le SRAS-COV-2 a par la suite muté pour devenir l’équivalent d’une simple grippe ou rhume à mutation saisonnière (soit des variances de la Covid-19). La situation sanitaire a en réalité tout simplement mis en évidence le manque de financement causé par des politiques d’austérité sur le déficit budgétaire envers les hôpitaux et des systèmes de santé. Ceux-ci sont soumis au flux tendu et débordant chaque année depuis les années 2000 avec l’arrivée des épidémies de grippe saisonnière. La très mauvaise gestion de la crise sanitaire à son début, en plus de l’état de peur du personnel soignant que cela a provoqué par le manque d’informations adéquates, sont les seules responsables du fort taux de mortalité rencontré dans certaines maisons de retraite.

En effet, nous savons désormais que les personnes asymptomatiques présentent une charge virale insuffisante pour promouvoir la propagation de la contamination, car leur système immunitaire combat efficacement en freinant la reproduction du virus. En réalité, ils participent plus à l’établissement de l’immunité collective à travers la population. Le protocole à suivre aurait dû être de protéger les personnes fragiles et à risque de ces établissements (maisons de retraite) en leur fournissant les outils adéquats pour affronter la crise. Les autorités en place auraient dû prévoir de leur fournir des masques pouvant filtrer adéquatement les micros-gouttelettes. Comme les masques filtrants N95 (ou FFP2 pour l’Europe). De tester les individus présentant des symptômes (de là l’efficacité réelle des tests PCR), de les isoler et surtout de leur donner un traitement préventif pour baisser la charge virale, avant que des complications plus graves d’infection bactérienne ne surviennent (tempête de cytokine, thrombose, etc.). De faire un traitement préventif anti-inflammatoire au besoin, incluant un antiviral pour baisser la charge virale ayant pour effet d’augmenter le PH de certaines vacuoles intracellulaire (lysosome), puisque ce virus évolue dans un environnement plus acide à PH bas. Aussi, de faire un traitement antibactérien pour éviter des complications d’infection bactérienne, causée essentiellement par l’affaiblissement du système immunitaire. Et surtout d’inclure du Zinc, de la vitamine C et D pour stimuler les défenses du système immunitaire, comme l’avait suggéré le protocole fort logique du Dr Didier Raoult.

En réalité, la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la cause réelle qui est en réalité une crise économique, financière et monétaire systémique, et qui était sur le bord de tout faire exploser depuis 2008. Les QE (Quantitative Easing ou politique de rachat d’obligations) impliquent la mise en marche d’une planche à billets virtuelle, et les politiques des taux d’intérêt bas et même négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Ceci a ainsi donné l’illusion que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais, le tout allait inévitablement finir un jour à l’autre par exploser. De même, ce que nous vivons actuellement dans la plupart des pays occidentaux à la solde des consignes de l’ONU et de l’OMS, comme le confinement tueur d’économie nationale et créateur de chômage de masse, est en fait la mise en place (forme) de cette après-explosion de la crise systémique, afin de permettre aux élites de garder la main mise sur les Banques Centrales et sur les politiques de contrôle monétaire (l’Arme du pouvoir absolu).

Masque Vs anti-masque ou vaccin Vs anti-vaccin sont en réalité le résultat de l’utilisation d’une stratégie d’ingénierie sociale pour diviser et instrumentaliser les peuples, dont le but est de dévier l’attention et de diviser pour mieux régner. Entre-temps, se scénario hypnotique de l’attention ciblée favorise la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc. Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales. Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. De quoi ont le plus peur nos élites et nos oligarques ? Eh bien, de rétrograder et de perdre les outils qui leur donnent le pouvoir de garder leur prestige et privilège. Et entre vous et moi, à quoi cela peut-il bien servir de faire une campagne de vaccination massive si plus de 99,95% des gens atteints guérissent sans problème ? Dans ces conditions et toute proportion gardée, ce n’est pas la maladie du Covid-19 qui est le plus dangereux ni à redouter, mais ce sont les effets secondaires de la vaccination.

Le monde change, et nous devrons désormais l’obliger à nous écouter !


Références pour le suivi de la situation en Syrie et en Irak

Cartes :
Syrie : https://syria.liveuamap.com/fr
IRAK : https://iraq.liveuamap.com/fr

Syrie : SitRep 97 avec Ayssar Midani du Cercle des Volontaires
https://www.youtube.com/user/CercleDesVolontaires/videos

Site de PressTV de l’Iran : https://french.presstv.com/




COVID, une maladie qui n’en a que le nom

[Source : Recherches Covid-19]

Par Jon Rappoport

[Photo : Les séquences de gènes des virus n’existent que sous forme de modèles informatiques.]


Une toux, ou des frissons et de la fièvre, par exemple. L’un ou l’autre suffit pour un diagnostic COVID.

L’exigence d’un test PCR positif pour le virus — même cela n’est pas forcément nécessaire.

En outre, comme je l’ai démontré dans de nombreux articles [FR], la PCR est truffée de défauts irrémédiables, ce qui entraîne des millions de faux positifs.

En outre, le lien direct entre la maladie covid-19 et le virus du SRAS-CoV-2 n’est pas prouvé.

Il existe donc une recette parfaite pour une fausse pandémie.

Une personne qui, en 2018, serait diagnostiquée comme ayant la grippe se transforme en une personne qui, en 2020, est diagnostiquée comme ayant le COVID-19.

Une pneumonie ordinaire se transforme soudainement en pneumonie COVID.

Toutes sortes d’autres infections pulmonaires sont maintenant des COVID.

— J’ai un rhume, docteur.

— Non, c’est le COVID.

— C’est un rhume.

— Un rhume COVID.

ATHLÈTE STAR : — Merci à tous mes fans qui m’ont soutenu pendant cette période. Après mon diagnostic COVID, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIF (qui sera licencié cinq minutes après avoir soumis cette interview à son rédacteur en chef) : — Avez-vous déjà eu un mauvais cas de grippe, Charlie ?

STAR ATHLETE : — Bien sûr. En 2015, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIVE : — Ça s’appelle un indice, mon pote. Réfléchis bien.

— Quoi ? Oh…tu veux dire… ?

Le jeu de l’étiquetage et du réétiquetage des maladies se poursuit depuis l’aube de la médecine. La médecine moderne l’a quelque peu affiné, mais c’est encore une arnaque assez évidente.

J’ai rencontré la version moderne pour la première fois en 1987. En Afrique centrale, il y avait la « maladie du dépérissement ». Puis on l’a appelée « maladie de la maigreur ». Et enfin, le sida.

En fait, il s’agissait d’une nouvelle appellation pour désigner la malnutrition protéino-calorique, la faim et la famine.

Mais la vérité était trop brutale. Elle impliquait des dictateurs locaux et des sociétés agricoles transnationales prédatrices qui se spécialisaient dans le vol de bonnes terres agricoles au peuple.

Aujourd’hui, le COVID-19 est une étiquette qui cache une autre vérité brutale : la véritable « maladie » est une attaque contre les économies nationales et contre chaque être humain qui travaille pour gagner sa vie, par le biais de confinements.

Dans cet article, je continue à retracer les implications du virus manquant; je fais référence au fait que personne n’a prouvé le lien direct entre la maladie et le virus du SARS-CoV-2.

Ici, j’examine la situation dans son ensemble.

Apparemment, la notion de virus est née lorsque les théoriciens du germe ont manqué de bactéries pour expliquer les maladies. Ils ont donc prétendu qu’il devait y avoir une particule invisible plus petite, qui a fini par être appelée virus.

Depuis ce choix fatidique, les chercheurs ont rencontré divers problèmes. Le plus important d’entre eux : comment prouver, dans des cas précis, que ces virus provoquent des maladies ?

Deux moyens de preuve modernes ont été inventés. L’une d’elles consiste à déformer et à inverser le sens du terme « isolement ». Et deuxièmement, séquencer la structure génétique des virus en utilisant des programmes informatiques prédéfinis pour construire, à partir de rien, sans justification, des collections d’informations génétiques, pour finir avec rien de plus que des entités virtuelles.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Au début, les humains suivent les règles qui définissent le système. Ensuite, ils passent à l’application des règles. Leur esprit devient excessivement littéral. Ils considèrent les alternatives comme des hérésies.

— Monsieur, vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous pensez que vous découvrez de nouveaux virus. Vous pensez que vous les manipulez pour créer de nouvelles formes.

— Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous dites que la non-isolation est une isolation. Vous utilisez des algorithmes pour inventer des “virus” composés de données non pertinentes. Ce sont des constructions de données, rien de plus.

— Vous êtes un blasphémateur. Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous manipulez des processus qui n’ont rien à voir avec ce que vous pensez qu’ils doivent avoir à voir avec…

— Comment êtes-vous entré dans mon laboratoire ?

— J’ai amené une équipe de tournage. Nous voulons filmer et documenter chaque étape que vous entreprenez pour “découvrir un nouveau virus”.

— Absolument pas. Vous n’êtes pas officiel. C’est une installation de haute sécurité.

— En d’autres termes, à vue de nez, nous devons accepter vos revendications comme si elles étaient légitimes.

— Oui, c’est la règle. Nous ne dirigeons pas une société de débat. Nous faisons de la science.

— Mais vous voyez, c’est le but. Vous ne faites pas de la science.

— Qu’est-ce que vous dites ?

— Vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous PENSEZ que vous découvrez de nouveaux virus. Vous croyez que vous les manipulez. Mais vous ne travaillez qu’avec des fantasmes auto-générés.

— Je vais vous dire. Je vais vous injecter un de ces fantasmes et on verra ce qui se passe.

— Vous ne possédez pas un spécimen réel d’un virus isolé et purifié, séparé de tout autre matériel.

— Le voici, dans ce récipient.

— Non. Regardez-le. Dans ce plat, il y a une soupe. Elle contient des cellules humaines et de singe, des drogues et des produits chimiques toxiques, et d’autres matériels génétiques. C’est la chose la plus éloignée de “isolé”.

— Nous savons que le virus est là. Certaines des cellules sont en train de mourir. Le virus doit être en train de tuer.

— Non. Les médicaments et les produits chimiques toxiques pourraient faire des ravages. De plus, les cellules sont privées de nutriments. Ce seul fait peut expliquer leur mort. Réfléchissez bien.

— Il n’y a rien à penser. Nos procédures ont été vérifiées par des milliers d’études et d’articles scientifiques publiés.

— Le consensus n’est pas la même chose que la vérité.

— Sécurité, venez au laboratoire ! Nous avons un intrus non certifié. Escortez-le hors des locaux.

— C’est ça, votre conclusion ?

— Notre travail est classé secret. Vous êtes un civil. Nous prononçons ; vous obéissez.

— Et c’est ça la science ?

— Absolument. On ne vous a pas appris ça à l’école ?

— VOUS N’AVEZ AUCUNE IDÉE DE CE QUE VOUS FAITES DANS CE LABORATOIRE. Vous êtes prisonnier de vos propres illusions.

— Sécurité, dépêchez-vous. Cet homme est subversif…

— Supposons que vous croyiez travailler avec des virus, mais que vous ne travailliez qu’avec des IDÉES ET DES HISTOIRES SUR LES VIRUS ?

— Que voulez-vous dire ?

— Vous n’isolez pas vraiment quoi que ce soit. Et vous ne séquencez rien. Les séquences ne sont que des INFORMATIONS bricolées par des programmes informatiques à partir de bibliothèques de référence génétique. Tout cela n’est, au mieux, qu’une métaphore numérique de ce que vous croyez exister. Vous générez des contes de fées.

— Même si c’était vrai, ce serait le plus proche possible de la réalité. Rien n’est parfait.

— Un rocher est parfait. Vous le voyez, vous lui donnez un coup de pied, vous vous asseyez dessus.

— Les virus sont très petits.

— Raison de plus pour être sûr que vous avez affaire à quelque chose de réel.

— Nous utilisons la technologie PCR.

— Mais il ne cherche qu’un morceau d’ARN que vous avez trouvé dans le virus. Comme vous n’avez pas de virus isolé et purifié, vous n’avez aucune raison de penser que l’ARN provient du “virus”.

— Sécurité, emmenez cet homme à sa voiture. Emmenez l’équipe de tournage avec lui. Ils n’ont pas le droit d’être ici. C’est une installation financée par le gouvernement. Les particuliers n’ont pas accès au gouvernement.

CHEF DE LA SÉCURITÉ : — En fait, j’aimerais entendre le reste de la conversation. Ma sœur vient de se faire vacciner contre le virus, et elle est maintenant à l’hôpital…

Auteur de trois ouvrages explosifs, THE MATRIX REVALED, EXIT FROM THE MATRIX et POWER OUTSIDE THE MATRIX, Jon était candidat à un siège au Congrès américain dans le 29e district de Californie. Il a un cabinet de conseil pour des clients privés, dont le but est l’expansion du pouvoir créatif personnel. Nominé pour un prix Pulitzer, il travaille comme journaliste d’investigation depuis 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier.

Source : https://off-guardian.org/2021/02/03/covid-a-disease-in-name-only/
Traduction et adaptation par https://cv19.fr




Au moins 1627 morts suite à la vaccination Covid-19

[Source : Recherche Covid-19]

Voici le compte des morts après une vaccination Covid-19 rapporté par la presse et les bases de données officielles.
Avec plusieurs cas très graves en réanimation.
Et il y a aussi 2 morts lors des essais du vaccin Pfizer, 1 mort lors de l’essai AstraZeneca et 6 morts lors de l’essai Moderna, donc 9 morts en plus qui ne sont pas comptés dans les morts.
Pour les décès aux Etats-Unis et en Europe (hors Suisse), seul les morts rapportés par les bases de données officielles sont comptabilisés pour éviter les doublons, les articles sont laissés pour archivage au bas de l’article.
Pour les pays hors UE et USA, les articles de presses sont comptabilisés en l’attente d’accès à des bases de données officielles plus complètes.

On voit aussi apparaître des décès massifs dans certains EHPAD mais un lien direct avec la vaccination n’est pas encore établi officiellement, la France rapporte peu les effets indésirables par rapport aux autres pays:
Coronavirus : après Nice, des résidents d’Ehpad et des soignants vaccinés à Antibes et Cannes (31/12/2020)
Covid-19: Cinquante morts supplémentaires recensés en trois jours dans les Ehpad de la Côte d’Azur (16/01/2021)

• une indienne de 55 ans ainsi que 4 autres indiens de la même région (01/02/2021) :
https://timesofindia.indiatimes.com/city/hyderabad/woman-health-worker-in-state-dies-11-days-after-vaccination/articleshow/80618698.cms?from=mdr

• 1025 décès et 41,142 effets secondaire pour le vaccin Pfizer, 27 décès et 849 effets secondaires pour le vaccin Moderna (jusqu’au 06/02/2021) rapportés par la base de données Européenne des rapports d’effets indésirables
Voir comment accéder à la base de données ici : https://cv19.fr/2021/01/29/441-morts-lies-au-vaccin-rapportes-par-la-base-de-donnees-europeenne-des-rapports-deffets-indesirables/

• 9 indiens morts, 16 hospitalisés, un cas grave de septicémie bactérienne et 447 effets indésirables (vaccins Covishield et Covaxin) au 29/01/2021:
https://www.thehealthsite.com/news/odisha-man-dies-after-taking-covid-19-vaccine-another-develops-bacterial-sepsis-793037/
Parmi les morts, un jeune vigile de 27 ans :
https://www.msn.com/en-in/news/other/odisha-health-worker-dies-days-after-taking-covid-vaccine-official-says-not-linked-to-vaccination/ar-BB1d8jdX

• Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 501 Américains sont morts à cause des vaccins COVID-19 aux États-Unis. (jusqu’au 29 janvier 2021)
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&VAX%5B%5D=COVID19&DIED=Yes
https://cv19.fr/2021/01/26/181-americains-sont-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19-en-seulement-2-semaines/

• 53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer (pas clair, pas compté dans le total pour l’instant)
https://reseauinternational.net/53-morts-a-gibraltar-en-10-jours-apres-le-debut-des-injections-experimentales-darnm-covid-de-pfizer/

• 21 morts à l’Île-du-Prince-Édouard (Canada), parmi les 645 personnes ayant subi des effets secondaires du vaccin à ARNm. (Sur 166, les symptômes ont persisté jusqu’au moment de la notification, tandis que l’état de 118 autres personnes était incertain au moment de la notification) :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/
Article original : https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/

• La princesse saoudienne Tarfa Bint Hathloul (vaccinée 11 jours avant):
https://www.lelibrepenseur.org/deces-de-la-princesse-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-survenu-apres-la-vaccination-anti-covid-19/
Et https://saudiarabianewsexpress.com/2021/01/08/royal-court-death-of-princess-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-al-saud/
Elle dit sur son compte twitter qu’elle se sentait fatiguée après la 1e injection : https://twitter.com/THAAF73/status/1343496485141426176

• 4 israéliens dont deux de 75 et 88 ans :
https://www.jpost.com/israel-news/88-year-old-dies-hours-after-covid-vaccination-in-second-such-incident-653721https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/293865
https://www.rt.com/news/511332-israel-vaccination-coronavirus-pfizer/

• Une israélienne de 75 ans morte 2h après la 2e injection :
https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294861

• Un suisse de 91 ans :
https://www.24heures.ch/deces-a-lucerne-dune-personne-vaccinee-contre-le-coronavirus-236165160824

>> 9 morts lors des essais des vaccins (sans les placebos) :
Moderna :
https://www.lifesitenews.com/news/13-people-died-during-modernas-covid-vaccine-trial

Les deux vaccinés Pfizer avaient plus de 55 ans : l’un a subi un arrêt cardiaque 62 jours après la 2e vaccination et est décédé 3 jours plus tard, et l’autre est décédé d’une artériosclérose 3 jours après la première vaccination:
https://www.algerie-eco.com/2020/12/09/essais-du-vaccin-pfizer-six-participants-sont-morts-et-des-effets-indesirables/

AstraZeneca :
Un médecin brésilien de 28 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen
Article original : https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen

Des cas de convulsions ont aussi été rapportés par des patients et partagés massivement sur les réseaux sociaux :

•Convulsions de l’infirmière Kristi Simmonds aux US :
https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1/videos/1283294655359609
Page FB : https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1
Elle dit que beaucoup de personnes sont dans son cas.

• La mère de Brant Griner : convulsions du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/brant.griner.7/posts/903453733725240https://www.youtube.com/watch?v=kf6NDIiE3Tw

• Shawn Shelton : convulsions incontrôlées qui perdurent encore, 9 jours après le vaccin Moderna :

https://www.facebook.com/shawn.skelton.73/posts/403541337597874

• Une jeune qui travaille en maison de soin de 19 ans : Paralysie du côté droit du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2749373985391622&id=100009571428119

• Un médecin de Boston a eu une réaction allergique très grave au vaccin de Moderna, il a été sauvé in extremis par un EpiPen :
https://www.nytimes.com/2020/12/25/health/Covid-moderna-vaccine-allergies.html

• Une mère de 27 ans avec des crises d’épilepsie après avoir reçu le vaccin Pfizer : https://www.lifesitenews.com/news/27-year-old-mother-suffers-seizures-is-hospitalized-after-taking-covid-vaccine

• Un israélien de 23 ans avec un syndrome rare : https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294606

• 13 israéliens ont des paralysies faciales :https://www.rt.com/news/512736-israel-facial-paralysis-13-covid-vaccine/

• 19 ans aux soins intensifs avec une myocardite cinq jours après l’injection du vaccin COVID-19 de Pfizer (Israël)
https://www.jpost.com/health-science/19-year-old-hospitalized-with-heart-inflammation-after-pfizer-vaccination-657428

>> 2 cas graves hospitalisés (aucunes nouvelles depuis) :
un directeur grec de 54 ans et une médecin mexicaine de 32 ans (encéphalomyélite) :
https://www.tuniscope.com/article/220500/actualites/international/medecin-grec-570913https://www.infobae.com/america/mexico/2021/01/02/convulsiones-y-paralisis-por-encefalomielitis-las-reacciones-alergicas-de-una-doctora-de-coahuila-tras-recibir-la-vacuna-contra-covid-19/

Et en bonus, les courbes de cas positifs et de décès Covid en Grande Bretagne après le début de la campagne de vaccination :

https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-deaths?tab=chart&time=2020-03-16..latest&country=~GBR
https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-cases?tab=chart&stackMode=absolute&time=2020-03-16..latest&country=~GBR&region=World

Archive :

• Un américain de 60 ans, après la 2e dose du Pfizer, les symptômes sont apparus 2h1/2 après :
https://childrenshealthdefense.org/defender/healthcare-worker-dies-4-days-after-second-pfizer-shot/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=88702226-40f0-46ed-9837-7516aff85cc2
https://www.foxla.com/news/oc-health-care-worker-dies-after-receiving-2nd-shot-official-cause-of-death-pending

• 13 allemands au Lac de constance, après la vaccination :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/
article original : https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/

• 2 danois décédés après le Pfizer :
https://translate.google.com/translate?sl=da&tl=fr&u=https://ekstrabladet.dk/nyheder/samfund/to-er-doede-efter-vaccine-sammenhaeng-er-mindre-sandsynlig/8422212

• Un suédois de 84 ans fait une crise cardiaque un jour après le Pfizer :
https://www.breitbart.com/europe/2021/01/01/death-of-elderly-swede-after-coronavirus-vaccination-referred-for-possible-investigation/

• Hank Aaron, 86 ans, joueur de baseball américain, mort 2 semaines après son injection, il encourageait les afro-américains à se faire vacciner comme lui : https://www.newsweek.com/health-experts-hope-hank-aarons-death-doesnt-deter-people-covid-vaccine-1563914
Son compte tweeter : https://twitter.com/HenryLouisAaron/status/1346598799993667588

• Mort d’un homme de Californie du Nord plusieurs heures après que le vaccin COVID-19 ait été administré.
https://www.msn.com/en-us/health/medical/death-of-northern-california-man-after-covid-19-vaccine-under-investigation/ar-BB1d4q9i

• 9 français en Ehpad (Pfizer) et 135 cas d’effets indésirables graves:
https://www.20minutes.fr/sante/2959279-20210122-vaccination-neuf-deces-personnes-agees-vaccinees-france-lien-vaccin

• 10 morts en Allemagne (et 51 effets graves) :
https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/ Traduction : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/

• Un chirurgien de 64 ans italien décède après l’injection :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia
Article original : https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia

• Un belge de 82 ans, 5 jours après le vaccin:
https://www.dhnet.be/actu/belgique/coronavirus-un-examen-requis-apres-le-deces-d-un-octogenaire-vaccine-il-y-a-5-jours-600078a87b50a652f7cb8c7f

• Un français en Ehpad 2h après l’injection :
https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/Point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-COVID-19

• L’Agence norvégienne des médicaments associe 33 décès aux effets secondaires du vaccin.
https://www.todayonline.com/world/covid-19-no-links-between-pfizer-vaccine-and-deaths-elderly-norwegians-patients-already

• Un allemand de 89 ans 1h après son injection :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html
Article original : https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html

• Une femme de 41 ans au Portugal qui travaillait en service d’oncologie:
https://www.theportugalnews.com/fr/nouvelles/2021-01-05/une-femme-au-portugal-meurt-apres-avoir-recu-le-vaccin-pfizer/57516?fbclid=IwAR1S9Yf6trOvkg3g2aGTAKF8XmxMh_MkZ14PnRCJFLehuCbMtBmfUVNnuyA

• Une italienne de 89 ans : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml Article original : https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml

• Un infirmier roumain :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html
article original : https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html

• 2 islandais (dont un 3e dans l’article que je ne compte pas car il était déjà en soin critique avant la vaccination) :
https://translate.google.com/translate?sl=no&tl=fr&u=https%3A%2F%2Flegemiddelverket.no%2Fnyheter%2Fdodsfall-hos-sykehjemsbeboere-etter-koronavaksineringarticle original : https://www.icelandreview.com/society/no-evidence-of-link-between-nursing-home-deaths-and-vaccination/

• 3 décès dus à la vaccination en 4 jours, que se passe-t-il dans les États du Telugu (Inde)
https://tolivelugu.com/three-corona-vaccination-deaths-in-four-days-tensions-in-telugu-states/

• 1 personnel hospitalier Indien (vaccin Covishield) :
https://greatgameindia.com/indian-dies-vaccine-covishield/

• 14 belges :
https://www.rtl.be/info/coronavirus-en-belgique-14-personnes-sont-decedees-apres-vaccination-la-causalite-pas-etablie-1275604.aspx

• Un californien meurt quelques heures après l’injection le 21/01/2021 :
https://www.foxnews.com/us/california-resident-dies-several-hours-after-receiving-covid-19-vaccine

• Un médecin italien de 45 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=en&u=https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html
Article original : https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html

• Une infirmière américaine de 39 ans :
https://www.lifesitenews.com/news/39-year-old-nurse-aide-dies-within-48-hours-of-receiving-mandated-covid-19-shot

• 17 polonais :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://stopnop.com.pl/smierc-covid/
Article original : https://stopnop.com.pl/smierc-covid/

• 7 morts dans un Ehpad en Espagne après la vaccination alors qu’ils n’avaient pas eu de morts du covid :
https://healthimpactnews.com/2021/7-dead-and-100-of-residents-infected-in-spanish-nursing-home-after-being-injected-with-experimental-pfizer-mrna-covid-shots/

• une française de 110 ans :
https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes

• un breton de 108 ans :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/camille-lehoux-le-doyen-des-bretons-est-decede-a-108-ans-7141447

• un infirmier italien de 42 ans (après 2e dose du Pfizer) et une pharmacienne italienne de 49 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html
Article original : https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html

• 21 morts italiens dans une maison de retraite à Côme après la vaccination. 85 résidents sur 93 et 54 soignants testés positifs après la première injection :
https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/25/strage-di-anziani-in-rsa-a-como-21-morti-erano-stati-vaccinati-positivi-85-ospiti-e-54-sanitari.html

• US, une femme de 58 ans en Virginie :
https://www.msn.com/en-us/news/us/virginia-woman-dies-shortly-after-receiving-coronavirus-vaccine/ar-BB1dqFKP




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Citations médicales sur les vaccinations

[Source : L’école à la maison]

Le Dr SALK​ a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50). Il dit:

« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »

« J’ai découvert que tout le business des vaccins était en fait un énorme canular. La plupart des médecins croient à l’utilité des vaccins, mais si vous vous donnez la peine d’étudier les statistiques correctes, ainsi que les circonstances au cours desquelles sont apparues les diverses maladies, vous réaliserez que les choses ne sont nullement comme on nous les présente. »

Dr A. KALOKERINOS, M.D., Juin 1995

« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »

Dr Paul-Emile CHEVREFILS

« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’elles contractèrent après avoir été vaccinées. »

Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)

« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »

British Medical Journal 1967

« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. »

Dr. MOSKOWITZ

« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »

Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society

« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ? »

Dr MENDELSOHN

« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. »

Medical Journal of Australia 1978

« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »

Center for Control Diseases 1977

« C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. »

Dr Bernard RIMLAND directeur et fondateur du Autism Research Inst. of San Diego

« Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffrent plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. »

Dr Philip INCAO

« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants — ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »

Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)

« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent à le vendre tout de même. »

Dr Anthony MORRIS anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. »

Nicholas REGUSH, journaliste médical

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné »

« …Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit… financé par le contribuable. Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de la République, l’obligation vaccinale pour le B. C. G. »

(La Médecine retrouvée, Dr Jean ELMIGER)

« … Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes… La poule aux œufs d’or de l’Institut P… finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé… » « …Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale > foudroyante… » « …Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau… On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal. »

Dr Alain SCOHY

« La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué.»

Dépêche AFP, 1er février 1997

«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger… Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»

Dr Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)

« Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine… » « …Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»

Le Concours Médical (20 janvier 1974)

« …Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. »

Dr Kris GAUBLOMME

« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »

Dr TORCH (« Neurology 1982 »)

« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio… »

Science et Vie (décembre 1996)

« …Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies… »

Dr Yves COUZIGOU

« …Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu… Qui parle ici d’ingestion ? …Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle… Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Depuis1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité. »

Dr SCHEIBNER (Expert Australien)

« …Après l’échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. »

Pr GREENBERG

« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d’individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l’échelle planétaire. »

(Sida, le vertige, Dr Louis de Brouwer)

« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c’est violer y collaborer est meurtrier. »

Dr Guylaine LANCTOT

« La vaccination est le modèle de l’incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l’esprit scientifique. »

Dr Jacques KALMAR

« L’ânerie humaine est la source des pires catastrophes… » (Montaigne)
« …Mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter. »

Dr Toulet

« L’effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »

Pr Louis Claude Vincent

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination.»

Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)

« Quand les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C’est grâce à eux que s’est développée une meilleure hygiène et que l’on a pu avoir une meilleure nourriture. (…) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n’êtes plus la proie des maladies. »

Peter Duesberg, Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Berkeley

« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence — c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n’existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.»

Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection. […] Le mal qui est fait est incalculable. »

Pr R. Delong, Virologue et immunologue de l’université de Toledo aux États-Unis.

« En 1945, la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué »

Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécuritésociale (n° 1 de 1974)

« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)

« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »

Pr Alain Fisch

« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu’ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l’expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. »

Dr Lacaze

« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de chœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »

Dr René DUFILHO

« Si l’on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

G. Bernard SHAW

« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. »

Dr Hubert BOENS

« Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science, mais sur l’argent. »

G. Bernard SHAW

« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »

Pr Jules TISSOT

« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique.»

Dr Jacques KALMAR

« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »

Dr Jane ORIENT Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens

« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »

Dr Jacques KALMAR

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »

Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)

« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »

Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)

« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. »

Dr Jacques KALMAR

« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)

« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. »

Dr Jacqueline Bousquet

« Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. »

Pr . P. DELOGE Tendance de la médecine contemporaine 1962)

« Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. »

Pr . André LWOFF (Prix Nobel de médecine )

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »

Drs H. BUTTRAM et J. HOFFMANN

« Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. »

Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)

« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »

Dr. William FROSEHAVER

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »

Bibliographie (Liste non exhaustive)
  • Vaccinations, les vérités indésirables, Pr. M. GEORGET, Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny.
  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Pr Michel GEORGET.
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, F. DELARUE, LNPLV.
  • Vaccination, le marché de l’angoisse, Dr G. BUCHWALD, ALIS.
  • La mort subite du nourrisson, Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • La mafia médicale, Dr G. LANCTOT, Ed. Voici la clé.
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie SIMON, Ed. Filipacchi.
  • Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr L. De BROUWER, Ed. Louise Courteau.
  • Les vaccins, racket et poisons ? Dr P.E. CHEVREFILS, Librairie Transatlantique.
  • Danse avec le diable, G. SCHWAB, Ed. Courrier du livre.
  • La guerre des virus, L. HOROWITZ, Ed. Félix.
  • Au cœur du vivant, J. BOUSQUET, Ed. Saint Michel.
  • Vaccination ; la grande illusion, R. BICKEL, auto-édité.
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, R. BICKEL, auto édité.
  • Vaccinations : l’Overdose, Sylvie SIMON, Ed.Déjà.
  • Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, Édit. Thierry Souccar.
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis.
  • Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • La santé confisquée, Mirko et Monique BELJANSKI, Ed. Compagnie.
  • La lumière médicale, Dr Norbert BENSAÏD, Ed. le Seuil.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • On peut tuer ton enfant, Dr P. CHAVANON, Ed. Médicis.
  • Les vérités indésirables, Le cas Pasteur, Archives Internationales Philippe DECOURT, Ed. La Vieille Taupe, 1989.
  • L’intoxication vaccinale, F. DELARUE, Ed. Le Seuil, 1977.
  • La rançon des vaccinations, Simone DELARUE, Ed. LNPLV, Ed 1988.
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr. Bruno DONATINI, Ed. MIF.
  • Des lobbies contre la santé, Roger LENGLET, Ed. Syros
  • La médecine retrouvée, Dr. J. ELMIGER, Ed. Léa
  • Maladies auto-immunes, Dr J. ELMIGER, Biosophie.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. QUENTIN, Ed. Vivez Soleil.
  • Des enfants sains même sans médecin, Dr R. MENDELSOHN, Ed. Soleil 1987.
  • Immunologie et vaccinations, D. Jacques KALMAR, Edit Les Bardes.
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Tal Schaller, Edit. Testez.
  • La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? Dr. Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950.
  • Les dessous des vaccinations, Dr. A. SCOHY, Ed. Cheminements.
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., Pr GRIGORAKI.
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, Miller Schär MANZOLI.
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr A. BANOIS — Sylvie SIMON.
  • Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence.
  • 12 balles pour un veto, Dr. QUIQUANDON, Ed. Agriculture et Vie, 1978.
  • Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?L’avis d’un Avocat, Jean-Pierre JOSEPH, Edit.Testez.
  • Les radis de la colère, J.-P. JOSEPH, Ed. Louise Courteau.
  • Nous te protégerons, Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt.
  • La faillite du B.C.G., Dr. Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps.
  • La Santé Publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel.
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur. Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • Vaccination, Social Violence and Criminality, Dr H.COULTER, North Atlantic Books, Berkley 1990.
  • A shot in the dark, Dr. H. COULTER et B. Loe FISHER, Avery Publishing group.
  • Live viral vaccine, biological pollution, Pr. R. DELONG, Cartlon Press Corp, New York, 1996
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996.
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991
  • Etc.



La médaille Sainte Madeleine, les Dossiers secrets d’Henri Lobineau, Pierre Plantard de Saint-Clair et le mystère de Rennes-le-Château

[Source et auteur : Guy Boulianne]

J’ai récemment fait l’acquisition d’une médaille touristique de « Sainte Madeleine – Rennes-le-Château », faite d’un alliage en cupro-aluminium au nickel. Les cupronickels peuvent être employés pour fabriquer des objets utilitaires, résistants, stables et à bel aspect, par exemple dans l’industrie d’armement, les industries électriques, chimiques et pétrochimiques… ainsi que des objets d’ornementation. Mais il s’agit surtout d’un alliage commun de frappe monétaire, utilisé en conséquence pour la fabrication de nombreuses pièces de monnaie.

Bérenger Saunière écrit le 21 septembre 1891 : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie. »

La pièce que j’ai acquise a un diamètre de 30 mm, une épaisseur de 2 mm, un poids de 16 g et une tranche cannelée. Elle est de couleur or. Mise en circulation en 2015, celle-ci n’a aucune valeur monétaire sur le marché. Je l’ai acquise en raison de ce qui me rattache à l’histoire mystérieuse de la France, et par le fait même à l’histoire de la Nouvelle-France. Je l’ai acquise aussi en souvenir de Rennes-le-Château, située dans l’ancien comté carolingien du Razès où pris souche la descendance cachée et mystérieuse des Mérovingiens.

En effet, il y a plusieurs années, j’ai habité à moins de 4 Km de la mythique Rhedae, plus précisément à Granès dans une petite maisonnette perdue dans le bois du Lauzet qu’un ami me prêtait. De là je parcourais toute la région, allant de Rennes-les-Bains à Bugarach, en passant par Espéraza, Quillan, le Bézu, Alet-les-Bains, Vic de Sòs, Carcassonne et bien plus encore.

Lorsque j’arrivai pour la première fois du nord de la France en auto-stop dans la région de Limoux, je commençai à marcher sur le sentier me conduisant à Rennes-le-Château. Soudain une voiture s’immobilisa et un homme m’y fit entrer pour m’amener au sommet du piton rocheux dominant la région naturelle du Razès, la vallée de l’Aude et la vallée de la Sals. Le hasard fit qu’il s’agissait du grand chercheur et philosophe Jean Pellet, possible descendant des comtes de Narbonne-Pelet.

Située dans le Sud de la France, en région Occitanie, la petite commune de Rennes-le-Château a tout particulièrement été rendue célèbre par l’un de ses curés qui vécut dans la paroisse à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, l’abbé Bérenger Saunière. De nombreuses théories laissent entendre qu’il y aurait trouvé un trésor en 1885 sans que l’origine et la nature exactes en soient connues. Dans son journal à la date du 21 septembre 1891, Bérenger Saunière note : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie ». Le chemin de Rennes-le-Château à Granès passe par le lieu-dit Clots de Cavaillé et rejoint Granès par le Prat du Juge exactement où se trouvent des géoglyphes. Une salle souterraine très importante existe dans le bois du Lauzet coté fontaine des Quatre Ritous, salle qui contient des ossements humains ainsi que des tessons de poteries. Plusieurs tombes furent découvertes sur le plateau du Lauzet, près de la fontaine des 4 ritous.

Rennes-le-Château est située plus précisément dans la micro-région du Razès qui, elle-même, est entièrement située dans le département de l’Aude et ce village fut, historiquement, la capitale sous le nom de Redae ou Rhedae. Il s’agit d’une petite région, très ancienne, mais aussi très rurale, assez peu peuplée et composée de collines plutôt modestes à l’est, et au nord-est, et de massifs plus élevés à l’ouest. Cette région se situe à la rencontre du climat méditerranéen et des climats océaniques et montagneux qui favorisent la cohabitation d’espèces de plantes très différentes.

Le nom de la localité, ainsi que celui de Rennes-les-Bains, est attesté sous les formes Redae en 1002 ; Redez en 1067 ; Redes en 1070 ; Rezae en 1258 ; Rennas (sans date) ; Rehennes du XVe au XVIe siècle ; alias de RedisRénes en 1647. Le rôle politique de la cité de Rhedae à l’époque de Charlemagne est attesté par un poème de l’évêque d’Orléans Théodulf, issu d’une famille de l’aristocratie wisigothique. En 798, ce dernier fut chargé de missions administratives et politiques en Provence et en Septimanie par Charlemagne comme Missus Dominicus avec Leidrade, futur archevêque de Lyon. On peut noter l’intérêt que Charlemagne apporte au Razès, région de Rhedae, en envoyant de ses plus fidèles conseiller. Théodulf citera le fameux village de Rennes-le-Château sous son nom de Rhedae dans un poème en latin intitulé “Paraenesis ad judices” (page 12) : « Inde revisentes te, Carcassona Redasque, Moenibus inferimus nos cito Narbo tuis ».

Le chercheur et historien d’art, Robert Tiers, et Guy Boulianne devant le tableau crypté de Nicolas Poussin représentant Rennes-le-Château et son mystère (Avignon, 1997).

L’écrivain Gérard de Sède, pionnier dans l’affaire de Rennes-le-Château, a fort bien souligné que si Charlemagne s’intéressait à Rennes, c’est que celui-ci avait connaissance du fait que la précédente dynastie, celle des Mérovingiens avait pu subsister par la survivance de Sigebert IV, fils de Saint Dagobert II. Sigebert IV est supposé être arrivé en terre de Rhedae, le 17 Janvier de l´an 681 chez son grand-père Wisigoth Bera, et continuer la lignée cachée des Mérovingiens.

Le premier comte particulier en titre du Razès dont le nom nous soit parvenu est celui de Guillaume de Gellone, valeureux compagnon de Charlemagne qui participa à la bataille de Roncevaux (778), aux côtés de Roland. Celui-ci administra un territoire libre de toute présence sarrasine et indépendant du comté de Narbonne. Ensuite, c’est Berà, que l’on dit fils de Guillaume de Gellone, qui porta le titre. Au IXe siècle, le comté du Razès est divisé au profit de puissances locales.

En 1062, le comté du Razès est réuni à celui de Carcassonne. Mais le système féodal, avec ses suzerains et ses vassaux, va générer de nombreux conflits privés armés entre les seigneurs locaux. Rhedae, l’antique Rennes-le-Château et le comté du Razès vont alors être convoités et disputés de manière violente et sans ménagement entre achats, ventes, luttes, successions, et trahisons.

En 1170, Rhedae appartient au comté de Carcassonne, mais le roi d’Aragon qui revendique le Razès, lance une offensive et détruit en partie l’ancienne ville et ses fortifications. Durant cette même période, les Cathares commencent à s’installer et à prêcher dans toute l’Occitanie et notamment dans le Razès. En 1207, la croisade contre les Albigeois débute et Rhedae, au cœur du Pays cathare, voit la région s’embraser. C’est à cette époque que Simon IV de Montfort prend et détruit le château de Coustaussa, mais ne semble pas s’intéresser à Rhedae. Les vainqueurs de la croisade se partagent les domaines des seigneurs vaincus et le comté du Razès est attribué en partie à Pierre de Voisins.

En 1293, Pierre II de Voisins va remettre en état les fortifications de Redhae : la ville compte quelques centaines d’habitants et reste encore de taille importante pour l’époque. Commence alors une période de prospérité. La ville se développe, le commerce et la population augmentent. La famille de Voisins restera maître de ce qui deviendra Rennes-le-Château, au fil du temps, jusqu’en 1362.

En 1362, Henri de Trastamare (Henri II de Castille), à la tête d’une bande de pillards surnommés les “routiers aragonais”, ravage et pille le Razès. Les pillards mettent le siège devant Rhedae, qu’ils prennent et détruisent ne laissant derrière eux que des ruines. C’est à cette date que l’antique ville disparaît. Sur le plateau, seules restent quelques bâtisses épargnées et la structure du château qui a résisté à la destruction. La ville ne retrouvera jamais son importance et, dépourvu de fortifications, le lieu va laisser place à un village nettement plus modeste que l’antique cité, celui de Rennes-le-Château.

Le comté de Razès passe en 1422 à la maison d’Hautpoul, originaire d’Aussillon près de Mazamet, par le mariage de Pierre-Raymond d’Hautpoul avec Blanche de Marquefave, fille de Jeanne de Voisins, descendante de Pierre II de Voisins à qui le Razès avait été inféodé en 1230. François d’Hautpoul (1689-1753) releva le titre de marquis de Blanchefort tombé en désuétude, que lui apporta en dot son épouse Marie de Nègre d’Ables (1714-1781), dame de Niort, de Roquefeuil et de Blanchefort.

Lors de la Révolution française, le marquis Paul-François-Vincent de Fleury, héritier des Hautpoul-Blanchefort, après son mariage avec Anne-Gabrielle-Élisabeth d’Hautpoul-Blanchefort, dernier seigneur des lieux, émigra en Espagne avec ses trois enfants et son chapelain, l’abbé Antoine Bigou. Cependant, un de ses fils, Paul Urbain de Fleury, racheta son domaine (et les établissements thermaux) le 27 floréal an IV, lorsque ces propriétés furent vendues comme biens nationaux. Après de nombreuses vicissitudes, les biens et les propriétés de la famille d’Hautpoul furent vendus aux enchères le 7 juin 1889.https://www.youtube.com/embed/FMczNuKSz5I?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


L’abbé Bérenger Saunière et le trésor de Rennes-le-Château

L’abbé Saunière pose devant le porche de l’église de Rennes-le-Château.

Officiellement nommé le 22 mai 1885, l’abbé Saunière arrive en juin 1885 pour prendre son office dans le petit village de Rennes-le-Château, déjà durement touché par l’exode rural qui frappe toute la région des Hautes Corbières. En effet, en moins de 60 ans, Rennes-le-Château a déjà perdu la moitié de sa population.

Après avoir été quelques mois suspendu de sa cure par René Goblet, ministre des Cultes du Gouvernement Charles de Freycinet, pour ses opinions politiques antirépublicaines déclarées en chaire, l’abbé Saunière décidera, à son retour, d’entreprendre des travaux de rénovation dans son église en 1891 qui s’échelonneront sur plusieurs années entraînant une soif d’embellissements toujours plus variés et somptueux. À la suite de ses premiers travaux, l’abbé entreprendra dans la décennie suivante et à titre personnel, la construction d’un ensemble monumental, à proximité immédiate de la petite église et comprenant, une villa, un grand jardin de type paysager, une serre, une terrasse et une petite tour d’aspect médiéval.

Durant ces travaux, certaines rumeurs avancent l’hypothèse qu’il aurait découvert un trésor. La légende indique que l’abbé aurait trouvé de

mystérieux parchemins. La nature de ses hypothétiques découvertes et l’origine de sa probable fortune sont le sujet de nombreuses thèses à l’origine de la légende du trésor de Rennes-le-Château Les pistes les plus fréquemment évoquées, pour tenter de justifier cette hypothétique découverte devenue mythique au fil des livres et des reportages, sont présentées ci-dessous dans un ordre chronologique :

  • Le trésor des Volques tectosages, datant de l’époque romaine.
  • Le trésor des Wisigoths (ou Trésor de Jérusalem), déposé dans la région de Rhedae, après le Sac de Rome (410) par le roi Alaric Ier.
  • Le trésor de Blanche de Castille, à la suite de la Croisade des pastoureaux en 1251, survenue sous le règne de son fils Louis IX.
  • Le trésor des Templiers, à la suite du procès de l’Ordre du Temple effectué contre cette communauté religieuse par Philippe IV Le Bel entre 1307 et 1314.
  • Le trésor des faux monnayeurs du château du Bézu, affaire datant du XIVe siècle.
  • Le trésor des cathares. Un récit historique attesterait que lors la prise du château de Montségur par les croisés en 1244, quatre cathares s’en seraient échappés avec un trésor.
  • Le trésor de l’abbé Bigou, abbé de Rennes le Château durant de la Révolution française.

Des éventuelles aides financières extérieures (sous forme de donations) ont également été évoquées, le curé voisin de Rennes-les-Bains, l’énigmatique abbé Henri Boudet ayant pu être alors considéré comme une sorte d’intermédiaire, hypothèse reprise dans le téléfilm L’Or du diable. Cependant, aucun document de nature comptable ou bancaire ne vient étayer ce fait, et ni l’abbé Saunière, ni sa servante n’ont jamais fait état d’une aide de ce type.

Avant la fin de sa vie l’abbé Saunière se lance donc, au début de l’année 1901, dans la construction de plusieurs d’autres bâtiments et de structures d’embellissement sur des parcelles achetées au nom de sa servante Marie Dénarnaud. Ces bâtiments se présentent précisément sous la forme suivante :

  • une petite maison de style Renaissance, dénommée villa Béthanie (transformée aujourd’hui en musée),
  • une tour néogothique, dénommée tour Magdala, dotée d’un belvédère (ou terrasse) qui la relie à une construction en verre,
  • un parc et un jardin abritant de nombreuses plantes exotiques.

Ces dernières constructions raviveront certaines rumeurs d’enrichissement personnel de l’abbé, mettant de côté le fait que celui-ci a durant cette période contracté une dette de 6 000 francs auprès du Crédit foncier et qu’il ne la remboursera jamais de son vivant.

À la mort de l’abbé, survenue le 22 janvier 1917, son ancienne servante Marie Dénarnaud hériterait de ses biens, même si-celle-ci a été évoquée, dès l’origine de ces acquisitions, comme étant la seule propriétaire des terrains et des bâtiments de l’ensemble du domaine, notamment de sa Villa Bethania. Il reste d’ailleurs selon certaines déclarations officielles, notamment, celle de l’ancien maire de Rennes-le-Château, des zones d’ombre, non quant à la réalité de cet héritage, mais dans la nature même de cette transmission de propriété. Quoi qu’il en soit, Marie Dénarnaud, unique résidente du domaine durant plus de trente ans, finira par céder celui-ci à l’homme d’affaires perpignanais Noël Corbu, en échange de ce qui s’apparenterait à une rente viagère annuelle.



Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau

En 1997, mon ami Didier Lutz me fit rencontrer pour la première fois le chercheur et historien d’art Robert Tiers, dans sa demeure à Avignon. Celui-ci est célèbre à travers la France et l’Europe pour la minutieuse enquête qu’il a réalisée autour du tableau qu’il possède, « Le Jardin des Hespérides », qu’il attribue avec raison au grand maître du XVIIe siècle, Nicolas Poussin. Il me remit alors un précieux document réunissant plusieurs tableaux généalogiques et portant le titre suivant : Dossiers Secrets d’Henri Lobineau. Quelle ne fut ma surprise d’apercevoir le nom d’Ursus à la planche No. 2 de ce dossier et ma joie s’intensifia lorsque je constatai que le petit-fils présumé de cet Ursus possédait un blason similaire à celui de notre propre famille, les de Bouillanne : « De gueules à une patte d’ours d’or ».

Le document que me remit Monsieur Tiers était une photocopie de mauvaise qualité des « Dossiers secrets ». Récemment, j’ai donc décidé de commander un exemplaires de ce même dossier auprès de la Bibliothèque nationale de France, espérant recevoir une copie en couleur. Malheureusement, cette exigence fut impossible pour des raisons de droits particuliers. Je reçus donc 25 feuilles photocopiées, illustrées en noir et blanc (in-4°, 25 cm). La qualité de la reproduction n’était guère mieux, mais il est clair pour moi que la clé se trouvait dans ces « Dossiers secrets d’Henri Lobineau ».

Il est très important de noter que le tableau de Nicolas Poussin dont Robert Tiers est le propriétaire, se compose d’un personnage principal tenant dans sa main gauche un bâton de pèlerin. Or, en observant de plus près, on s’aperçoit vite la main de ce personnage n’est pas une main, mais bien une patte d’ours. Il s’agit donc du Prince Ursus qui se fait montrer la voie vers Rennes-le-Château et le Bugarach.

Au centre : le blason du prince Ursus selon les Dossiers secrets d’Henri Lobineau. À gauche : le blason de la famille Bouillanne. À droite : le blason de la famille Planta.

Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau (aussi appelés le Dossier Lobineau ou les Dossiers secrets) sont une série de documents dactylographiés, élaborés par le français Pierre Plantard et son ami Philippe de Chérisey puis déposés entre 1964 et 1967 à la Bibliothèque nationale de France sous la forme d’un don anonyme. Ces documents seraient des « preuves inventées par les auteurs dans le but de mettre en place une monarchie française dirigée par un descendant des rois Mérovingiens ». Ils sont enregistrés sous la cote 4° LM1 249 et sont datés de 1975 dans le fichier central. Ce ne sont nullement des parchemins mais des documents contemporains, aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs. Ils se présentent comme un mince volume, chemise à couverture rigide contenant un assemblage hétéroclite de documents : coupures de presse, lettres, encarts, plusieurs arbres généalogiques et pages imprimées d’autres ouvrages, et à plusieurs reprises d’ailleurs subtilisées puis remplacées par d’autres, elles-mêmes surchargées parfois de notes et de corrections manuscrites.

Les recherches récentes montrent que derrière ces dossiers soi‑disant manipulés, une part historique se révèle être de plus en plus pertinente et rejoint un vaste ensemble d’indices, de sources diverses, et directement liés à l’énigme des deux Rennes. Férocement critiqués et exploités pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la raison pour laquelle ils ont été créés, ces dossiers contiennent d’importants indices historiques et généalogiques qui se rattachent également à l’histoire de Rennes le Château et Rennes le Bains.

Le dernier lot de documents fut déposé à la Bibliothèque Nationale de France en avril 1967 sous le nom d’Henri Lobineau et concerne « Les Dossiers secrets Lobineau » rassemblés par un certain Philippe Toscan du Plantier. Ce titre donnerait non seulement un nom à la série, mais une ultime indication sur l’identité de l’auteur. Ce dernier recueil complète ainsi le processus de dévoiler au grand public le Prieuré de Sion. Les dossiers sont aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs.

Parmi ces dossiers, un manuscrit datant de 1956 affirme l’existence d’une société secrète, le Prieuré de Sion, et relate son histoire depuis sa fondation en 1099 par Godefroy de Bouillon. On y trouve aussi la liste des grands maîtres qui se seraient succédé à la tête de l’organisation depuis le XIIe siècle, parmi lesquels figurent Léonard de Vinci, Isaac Newton, Victor Hugo, Claude Debussy, Jean Cocteau. La mise en parallèle de ces généalogies avec l’objectif du Prieuré de Sion confirme en réalité les ambitions de Pierre Plantard. En effet, on peut supposer que lorsque celui-ci laisse entendre que la mission du Prieuré est de restituer la dynastie mérovingienne en France en s’appuyant sur la mythologie de Rennes-le-Château, il sous-entend que leur héritier légitime n’est autre que lui-même.

Quoi que l’on puisse en penser, il est indéniable que Pierre Plantard est un personnage incontournable de l’affaire moderne de Rennes-Le-Château. C’est lui qui, pendant de nombreuses années « guida » de nombreux auteurs dans les structures de leurs ouvrages. Nous pouvons citer sans soucis, Gérard de Sède : « Les Templiers sont parmi nous » et « Le Trésor Maudit de Rennes-Le-Château », Henry Lincoln, Richard Leight et Michael Baigent : « L’Enigme Sacrée » et « Le Message ». En 1993, Pierre Plantard sera interrogé par la justice dans le cadre de l’enquête sur la mort de Roger-Patrice Pelat, ancien ami de François Mitterrand. Plusieurs documents retrouvés chez lui le présentent comme étant le « vrai Roi de France ». C’est alors que Plantard avouera son illégitimité de roi de France et recevra le conseil « de ne plus jouer avec la justice française ».

Lors de mon séjour en Europe il y a très longtemps, j’étais censé rencontrer Pierre Plantard à Paris et nous avions un rendez-vous en ce sens. Malheureusement, peu avant mon retour de Belgique, j’eu un important incident qui m’obligea à annuler ce rendez-vous. J’avais raté là une occasion unique car je suis certain que nous aurions partagé ensemble des informations fort intéressantes. Il en va du destin…

Pierre Plantard usera de toute une série de noms d’emprunt au fil de sa vie : “Varran de Verestra” ; “Pierre De France” ; “Chyren” (en référence à la prophétie de Nostradamus sur la venue d’un grand monarque) ; et, dès 1975 (date importante dans l’Affaire dite de Rennes-Le-Château), il se fera nommer “Pierre Plantard de Saint-Clair”. Il resta isolé de 1993 jusqu’à sa mort. Décédé le 3 février 2000, l’annonce ne fut faite que le 17 juin de la même année, mais en indiquant une date de décès au 13 juin. Ses restes ont été incinérés. Sa mort fut donc aussi nimbée de mystère….

Ces dernières années, Pierre Plantard a été la victime de journalistes et d’auteurs sans scrupules qui se sont ingéniés malicieusement à le diffamer et à le discréditer sur la place publique. Je considère cela comme étant une injustice puisque — pour ma part — je crois fermement que Pierre Plantard était l’agent d’une société bien réelle, et que sa mission consistait à sensibiliser le monde à une histoire non-révélée, à travers un jeu de piste parsemé de symboles et d’indicateurs historiques.

En cela il aura particulièrement bien réussi !




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

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Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

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Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

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Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

https://www.lessymboles.com/seminaires-resume/


Bonne semaine à toutes et à tous !




À propos du complotisme et des complotistes

[Source : Les 7 du Québec]

Par Raoul Victor.   

Complot ? Complotisme ? Conspirationniste ?

Le terme de « complotisme » est devenu un anathème, une condamnation de toute pensée qui met en doute ne fut-ce qu’une partie des discours officiels concernant la pandémie du Coronavirus. Et pourtant : c’est quoi un « complot »?

D’après le CNRLT (Centre national de ressources textuelles et lexicales) :

Complot : « Dessein secret, concerté entre plusieurs personnes, avec l’intention de nuire à l’autorité d’un personnage public ou d’une institution, éventuellement d’attenter à sa vie ou à sa sûreté. »
« Par extension : Projet quelconque concerté secrètement entre deux ou plusieurs personnes. »

Le Robert :

« Projet concerté secrètement afin de nuire (à quelqu’un, à une institution) »

Deux notions sont présentes : le secret et la malveillance.

Dans son sens le plus général la malveillance est absente. Quand les parents préparent les cadeaux du Père Noël on pourrait dire qu’ils complotent.

Le terme « complotisme » contient  deux sens. L’un général qui concernerait la tendance à voir dans les discours et actions des gouvernements et autres institutions telles que les entreprises, les banques, les médias, etc. le résultat de complots, c’est à dire de « desseins secrets« , non transparents, dissimulés au public en vue d’atteindre des objectifs inavouables. L’autre sens est une caricature du premier consistant à ne retenir que des versions de toute évidence invraisemblables, voire ridicules ou fantaisistes. C’est surtout dans ce dernier sens que les médias et de nombreux commentateurs l’emploient, faisant, volontairement ou involontairement, un amalgame qui tend à discréditer la méfiance à l’égard des discours officiels (ce en quoi l’accusation de complotisme ferait partie de la tactique de brouillage du complot). Il ne serait pas surprenant d’apprendre que des « théories du complot » particulièrement absurdes ou caricaturales soient mises en circulation dans le seul but de nourrir cet amalgame et le dénigrement des pensées trop méfiantes à l’égard des versions gouvernementales officielles et officieuses.

Le complot, le secret, le manque de transparence en vue de renforcer leur pouvoir font partie du mode de vie des classes dominantes depuis la division de la société en classes. Le capitalisme ne fait pas exception, au contraire. Dès sa naissance le secret joue un rôle déterminant dans son fonctionnement. Le secret était déjà important dans les guildes d’artisans au Moyen Âge, jalouses de leurs savoirs techniques. Le capitalisme qui porte le rôle des techniques et des sciences de la production à des degrés de développement sans précédents et qui en même temps fait de la concurrence entre agents économiques le mode de vie ordinaire, le capitalisme ne pouvait qu’accroître la place du secret et donc du complot dans le mode de gouvernance social.

Dans l’opéra franc-maçon de MozartLa flûte enchantée, (1791), Papageno et le prince Tamino sont soumis à des épreuves, dont celle de garder le silence quelles que soient les circonstances qu’ils rencontreront. Papageno, image du personnage populaire, n’y parviendra pas alors que le prince Tamino réussira et y gagnera le droit à être « initié ». Pour les Francs-maçons, porteurs des valeurs de la bourgeoisie naissante, « le silence est d’or ».

La corruption est un des fléaux du capitalisme, comme de tout système marchand, mais ici elle acquiert une dimension internationale, mondiale, omniprésente.  Elle ne touche pas que les pays les moins développés, comme le montre « L’indice de corruption » publié par Transparency International. En 2014 les États-Unis se situaient au 17e rang, la France au 24e, l’Italie au 43e…. à noter la Chine au 100e, le Venezuela au 161e. (1)

Or la corruption comporte par définition une part de complot, de secret, de conspiration.

Le « lobbyisme » est une forme de « légalisation », d’institutionnalisation de la corruption, mais celle-ci ne perd pas pour autant sa nature conspiratrice, opaque. L’ampleur de cette réalité est souvent sous-estimée et les médias en parlent peu. Les exemples sont pourtant éloquents. Pour l’Union Européenne un article du Monde de 2019 donnait quelques chiffres :

« L’Organisation non gouvernementale Transparency International estime quant à elle à environ 26 500 le nombre de lobbyistes présents de façon régulière à Bruxelles, et à environ 37 300 le nombre de personnes impliquées dans les activités de lobbying dans la capitale belge. » (https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/23/petit-guide-de-lobbyisme-dans-les-arenes-de-l-union-europeenne_5466056_4355770.html)

L’exemple des lobbies à Washington et leur croissance depuis le début de ce siècle est aussi parlant :
« Le nombre d’agences de lobbyistes répertoriées à Washington, D.C. a plus que doublé depuis 2000, passant de 16 000 à 34 000 environ en 2005… L’argent dépensé par les entreprises et les groupes de pression pour défendre leurs causes au Congrès des États-Unis d’Amérique et auprès de l’administration est passé de 1,6 milliard de dollars en 2000 à 2,1 milliards de dollars en 2004. Certaines firmes ont augmenté leurs tarifs de 100 % et engagent à des salaires de départ de 300 000 dollars par an. Environ la moitié des anciens élus quittant le Congrès deviennent lobbyistes. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Lobby)

La manipulation. Les principaux responsables politiques tout comme les grandes institutions publiques et privées possèdent des « conseillers en communication ». Dans la pratique il s’agit de conseillers en manipulation. D’ailleurs en anglais on appelle cela des « spin doctors », « spin » ayant ici le sens de manipulation. [« spin : pejorative, political (=news manipulation) manipulation ».
https://dictionnaire.reverso.net/anglais-francais/spin].

Mais qu’est-ce que la manipulation sinon un des instruments fondamentaux des « desseins secrets » destinés à atteindre des objectifs au détriment de ceux qui les écoutent.

Les spin doctors sont les petites mains de la société du spectacle.

L’économie « illégale » (drogues, prostitution, rackets, paradis fiscaux, etc) a toujours existé dans le capitalisme. Mais elle a pris et prend une place de plus en plus importante dans les dernières décennies. L’interpénétration entre ce monde sombre, par définition régi par le secret, et le monde politique est une réalité bien connue. Secret et malveillance, sont les deux caractéristiques du complot.

Un acteur joue un rôle très important dans le capitalisme et exige, peut être plus que tout autre, le secret, la malveillance, le complot : Eisenhower l’a appelé le complexe militaro-industriel. Dans la célèbre allocution télévisuelle qu’il a prononcée le 17 janvier 1961, quelques jours avant le terme de son deuxième et dernier mandat il mettait en garde contre ce « pouvoir illégitime » :
« Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_fin_de_mandat_de_Dwight_D._Eisenhower)  Eisenhower, un des plus importants militaires de l’histoire des États-Unis, savait de quoi il parlait.

Dans le même domaine, les laboratoires militaires chargés de la production d’armes bactériologiques (laboratoires P4 à « sécurité » maximum)  sont une illustration de l’opacité extrême qui recouvre les agissements de ce secteur. La crise du coronavirus, en mettant en lumière les laboratoires de virologie, en particulier celui de Wuhan, a permis de « découvrir » qu’il existe plus de 30 laboratoires virologiques militaires dans le monde, répartis dans 21 pays, au premier rang desquels les États-Unis, la France, l’Australie, la Suisse, la Chine… Les entraves multipliées par le gouvernement chinois à l’égard de l’équipe de l’OMS chargée d’enquêter sur l’origine du virus à Wuhan illustrent encore l’importance du secret dans ce domaine.

Enfin, last but not least, il faut citer ce que les historiens appellent respectueusement la « diplomatie secrète« , c’est à dire les tractations entre États en dehors des cadres diplomatiques officiels, publics.

Dans un article intitulé « Le monde après le Coronavirus », paru dans le Financial Times en mars 2020, Yuval Noah Harari écrit:

« Ces dernières années, des politiciens irresponsables ont délibérément sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias. »   Mais il ne s’agit pas seulement des « dernières années » ni de quelques « politiciens irresponsables ». C’est toute la vie du capital qui est infectée par les virus du secret, de la manipulation, du complot.

Le « scandale du Lancet« , où les laboratoires pharmaceutiques et nombre de « leurs » médecins réputés ont collaboré avec des politiciens pour des raisons de profit, en est une criante illustration. The Lancet, revue fondée en 1823, une des références les plus respectées du monde scientifique médical, publie en mai 2020 une étude sur la Covid-19 condamnant l’emploi de l’hydroxychloroquine pour soigner la maladie. La méthodologie de l’étude soulève immédiatement des réactions de la part de nombreux scientifiques. Quelques semaines plus tard le journal Le Monde daté du 4 juin 2020 rapporte la suite des événements : « Coup sur coup, deux des plus grandes revues médicales mondiales [The Lancet et The New England Journal of Medicine] ont procédé à la rétractation d’articles ayant trait au Covid-19, fondés sur des données fournies par une société américaine, Surgisphere, [créée à Chicago en 2008] et à l’origine, désormais, plus que douteuse. (…) Cette étude avait conduit à la suspension de l’usage de ce traitement en France contre le Covid-19. » (Notons que dans la pratique cette suspension est toujours en vigueur.)

Heureusement il y a eu des scientifiques qui ont permis de mettre à jour rapidement la supercherie. Mais la question qui se pose est: comment en est-on arrivé là ?

La réponse ne peut être étrangère au fait que le prix de l’hydroxychloroquine, employée depuis des décennies par des millions de personnes, est particulièrement bas (quelques centimes d’euros par cachet) alors que le prix du traitement par le Remdesivir, le seul traitement approuvé par la US-FDA au début juillet 2020, est fixé par son producteur, le laboratoire américain Gilead, à 2340 $ (2 085 €) par patient. (https://www.industriepharma.fr/covid-19-gilead-fixe-le-prix-du-remdesivir,111716)

Début octobre 2020, l’Europe a conclu un contrat portant sur la possibilité de commander jusqu’à 500 000 doses de Remdesivir pour un montant global de plus d’un milliard d’euros. Pourtant, le 20 novembre l’OMS est obligée de publier une recommandation:  « contre l’administration de Remdesivir aux patients hospitalisés, quelle que soit la gravité de leurs symptômes, dans la mesure où rien ne prouve à ce jour que le remdesivir améliore pour ces patients les chances de survie et les autres résultats sanitaires. » (https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)

Récemment une secrétaire d’État belge, pour des raisons de polémique avec l’opposition flamande, a rendu publics les prix des différents vaccins contre la Covid-19 achetés par le gouvernement. Elle en a été fortement critiquée. « Je voulais être transparente, peut-être un peu trop transparente » s’en est-elle excusée. Un porte-parole de l’Union Européenne a rappelé l’impératif d’opacité : « Tout ce qui concerne des informations comme le prix des vaccins est couvert par la confidentialité, c’est une obligation très importante. C’est une exigence contractuelle. » (Le Monde, 22 décembre 2020)

Le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, un des plus importants du monde, premier à fournir avec BioNTech un vaccin contre la Covid-19, a été par le passé accusé ou condamné a plusieurs reprises pour des cas d’ »inconduite » tels que publicité mensongère, corruption, tests meurtriers sur des enfants en Afrique, etc. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Pfizer)

Tous ces faits ne sont pas des coïncidences ni des délires paranoïaques. Ils illustrent cyniquement à quel point la rapacité capitaliste sécrète par tous ses pores la manipulation et le complot, le secret et la malveillance en vue du profit. Ce sont des faits comme ceux-là qui ont « sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias », pour reprendre les mots de Harari.

Peut-être dira-t-on que toutes ces formes de complots font partie de la vie courante des différentes fractions du capital mais que du fait même des divisions des classes dominantes ces complots restent limités en ampleur. C’est un peu ce que dit encore Harari quand il écrit : « Il existe naturellement de nombreux complots réels dans le monde. Certains individus, entreprises, organisations, églises, factions ou gouvernements ne cessent d’imaginer et de mettre en œuvre divers complots. Tous ces plans et projets se sont régulièrement télescopés, mais le résultat n’était pas orchestré par un unique groupe de responsables. » (Article dans le Financial Times, mars 2020). Ou encore, dans une tribune du New York Times : « Tous ces complots et intrigues sont peut-être réels, toutefois ils ne sont pas les pièces constituantes d’une seule et même conspiration mondiale.« 

Harari reconnaît qu’il y a « de nombreux complots réels dans le monde »… « naturellement ». Ce qu’il rejette c’est l’idée que tous ces complots soient « orchestrés par un unique groupe de responsables », qu’il s’agisse « d’une seule et même conspiration mondiale satanique »  (sic).

Il n’existe pas un « unique groupe de responsables » ou « une seule conspiration mondiale ». Mais il y a des conspirations, sinon mondiales du moins « trans-nationales » assez évidentes, même si on n’en connaît pas les contenus exacts, dont une partie est par définition secrète. Les GAFAM élaborent et mettent en pratique des stratégies mondiales (s’entendent sur les prix et la répartition des marchés), tout comme les banques, les entreprises, les laboratoires pharmaceutiques les plus importants. On sait en outre qu’il existe de nombreux « clubs » de hauts responsables, des lieux de rencontre, des conférences très élitistes où l’on « réfléchit » à l’échelle trans-nationale sinon mondiale. Les politiciens (un des métiers les plus méprisés au monde) ne sont qu’une partie apparente du pouvoir des classes dominantes. Personne n’adhère à des théories qui disent en même temps que la Covid est pratiquement une grippe inoffensive et qu’il s’agit d’un complot pour éliminer les pauvres de la planète.

Ce dont il s’agit c’est de garder et entretenir une méfiance extrême, et saine, à l’égard des discours officiels.

Cela implique parfois le recours à des « spéculations », c’est à dire au « fait de s’interroger sur les conséquences d’une hypothèse si elle était vraie, sans nécessairement la considérer au départ comme telle. » (Wikipedia fr) L’opacité, le recours au secret systématique qui caractérise les gestions capitalistes rend souvent difficile, voire impossible, de trouver les « preuves » indiscutables d’une hypothèse qui s’oppose aux versions officielles. Les « preuves indiscutables » de certains complots des gouvernements n’apparaissent que longtemps après les événements.

Aurait-il fallu en septembre 2002 traiter de « complot et de spéculation fantaisiste et irrationnelle » l’idée que le rapport de Bush au Conseil de sécurité de l’ONU, affirmant que l’Irak possédait des armes de destruction massive, était peut-être un mensonge destiné à justifier l’ouverture de la guerre d’Irak ? Aurait-il été « fantaisiste-complotiste » de se poser une telle question puisque rien ne permettait alors de « prouver » la certitude d’une telle supposition ? Pourtant, « dans un entretien en 2013, [9 ans plus tard] Colin Powell déclare, au sujet des armes de destruction massive en Irak, que « Saddam Hussein (…) n’en possédait pas un gramme » »  (https://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_destruction_massive_en_Irak)

On pourrait se poser la même question pour quelqu’un qui aurait en août 1964 mis en question la version officielle de l’attaque contre deux destroyers américains par des torpilleurs nord-vietnamiens dans le Golfe de Tonkin, prétexte utilisé par Johnson pour entamer le bombardement du Nord-Vietnam. Pourtant « des éléments ultérieurs, dont un rapport rendu public en 2005 par la National Security Agency, [41  ans plus tard] indiquent qu’il n’y a pas eu d’attaque nord-vietnamienne à cette date. »
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Incidents_du_golfe_du_Tonkin)

Les « théories du complot » sont multiples et contradictoires entre elles. Certaines sont probablement des caricatures mises en circulation pour ridiculiser les analyses qui rejettent les discours officiels. Je ne sais pas quelle est l’ampleur de l’adhésion qu’elles suscitent ni leur impact sur la conscience de la population. On pourrait s’y attarder. Mais ce dont je suis sûr c’est du danger que représente la pratique qui consiste à rejeter de véritables analyses qui mettent en évidence la réalité des manipulations, l’omniprésence du secret, de la malveillance, des complots dans la gestion sociale capitaliste, au nom d’une lutte contre le « complotisme », les « théories du complot », le « conspirationnisme », etc.

C’est devenu aujourd’hui une tarte à la crème, une gangrène, dont les spin doctors se servent ad nauseam pour protéger leurs cyniques manipulations.

Aujourd’hui, avec les nouvelles technologies, dont la reconnaissance faciale, l’omniprésence croissante de la digitalisation dans la vie quotidienne qui permet de suivre les faits et gestes de chaque individu, les gouvernements et les gérants du système, si jaloux de leurs secrets, se paient le luxe de soumettre la population dominée à une surveillance sans limites. La Chine est un modèle du genre. La Covid-19 sert insidieusement à justifier partout la mise en place de pratiques de contrôle totalitaire que les anti-complotistes doivent combattre farouchement.

Raoul Victor


Notes :

1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le:Classement_de_l%27indice_de_corruption

« L’indice est élaboré à l’aide d’enquêtes réalisées auprès d’hommes d’affaires, d’analystes de risques et d’universitaires résidant dans ces pays ou à l’étranger. » (Wikipédia fr)

Il donne pourtant une vision biaisée car la corruption dans les pays plus développés se fait à des niveaux très élevés et sa dissimulation est des plus raffinées. C’est ainsi que des pays comme la Suisse et le Luxembourg, véritables instruments de la corruption mondiale, apparaissent au 5e et 9e rang de l’échelle… une auréole sur la tête.




Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Mondialisation.ca]

Une publicité mensongère pour les vaccins anti-COVID-19 vantant leur « efficacité et leur sécurité prouvées par leurs essais » mobilise sans relâche les médias et les représentants du gouvernement, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort [1]».

Cette propagande vaccinale élaborée par le gouvernement prétend en autre que la commercialisation accélérée ne s’est pas faite aux dépens de la sécurité sanitaire. Compte tenu des techniques de fabrication toute nouvelle utilisées (ARNm, virus vecteur) et de l’extrême rapidité de la commercialisation, cela est impossible. 

Le schéma classique des essais de vaccins avant commercialisation

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenant de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours normal.[3]

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. 

Phase d’essais sur l’animal enjambée

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquat [4, 5] , le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

 La presse anglo-saxonne s’en est fait souvent l’écho en titrant que les protocoles de validation essais “sautaient” fréquemment cette phase normalement préalable aux essais cliniques, mais les médias hexagonaux n’en ont pas parlé. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS. 

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline [6, 7] a été abandonné à cause de cette complication   Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.

Les essais cliniques bien faits sont la clef de la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives. 

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance l’innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire) mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration de vaccin le plus efficace.

Cette phase II nécessite un nombre plus élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document, (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. C’est cette phase qui est en cours dans le monde pour les vaccins anticovid actuellement utilisés et non une phase IV comme on le voit trop souvent écrit car les gens ne comprennent pas qu’on puisse à la fois être en phase 3 et commercialisé contre paiement au laboratoire.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence habituellement avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est considérablement insuffisante et les sous déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins Covid

La mise sur le marché en moins d’un an n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais.

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.

Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.

 La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement de fait comme le détaille de l’essai Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23.[8] Néanmoins le profil de l’essai ne devait concerner que des bien portants d’âge inférieur à 85 ans. 

Critères de jugement non pertinents. 

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit de la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [9].

Le « miracle » de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses. 

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles

Les vaccins de Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisant spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les couts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto immunes est fortement suspecté. Mais ils restent des vaccins au sens pasteurien, contrairement aux produits Pfizer et Astra Zeneca qui sont des médicaments nouveaux de type thérapie génique, ne contenant pas d’antigènes mais des produits (Arn messager, virus) destinés à faire fabriquer des anticorps par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique d nous est étranger et est d’origine virale [10].  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de virus autre. . Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dits souvent vaccins géniques ou vaccins OGM, dont la technique n’a jamais été utilisée pour un vaccin auparavant exposent donc à des risques non maitrisés en opposition totale avec le principe de précaution. 

Une absence totale de transparence des contrats d’achat de vaccins

Dans un pays démocratique, les décisions importantes pour les populations doivent être décidées en toute transparences par nos représentants élus. Pour les vaccins anti covid, les contrats ont été passés en catimini entre les dirigeants et les entreprises et comportent des clauses inacceptables comme la clause de confidentialité et d’immunité juridique. 

Le communiqué de presse [12] de la député Michèle Rivasi est explicite :

« La Commission nous a confirmé que nous n’avons toujours pas accès aux contrats en cours de négociation. Nous n’avons pas accès au nom des négociateurs. Nous n’avons pas accès aux données brutes des essais cliniques, la Commission précisant que cette législation n’entrera en vigueur qu’en 2021. »

 « Nous sommes face à une situation très dangereuse, prévient l’Eurodéputée Michele Rivasi. Ne nous laissons pas faire, ni instrumentaliser par la peur ou l’urgence brandies comme alibi pour justifier des décisions contraires à la santé publique et sources de risques inacceptables. » 

« Nous avons besoin d’une transparence absolue. C’est l’unique condition permettant de restaurer la confiance dans les vaccins, et l’unique moyen de s’assurer que les vaccins sont réellement sûrs et efficaces. Cela concerne autant les conditions opaques dans lesquelles les contrats de préachat ont été négociés que les données des essais cliniques. Nous avons besoin de savoir comment les vaccins OGM ont été testés, les effets indésirables qui ont été observés, et les évaluations manquantes ou incomplètes. »

Il n’y a aucun risque pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique

Si vous vendez un produit défectueux qui cause des complications vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits[13, 14, 15]  Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …

Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux.[16]

« Les vaccins commercialisés possèdent moins d’ARN « intègre » (séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike) que ceux utilisés dans les essais : 51% à 59% pour les vaccins commercialisés contre 69% à 82% pour les vaccins utilisés lors des essais cliniques. Ceci pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité : ces ARN tronqués ne peuvent plus être traduits en protéine Spike. »

Des résultats actuels très inquiétants

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.[17] 

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le COVID-19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73. 

Bien entendu, les agences sanitaires qui ont recommandé les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais ce lien de causalité  possible devrait conduire au minimum à un moratoire en l’attente de résultats plus complets. Il serait important que les essais et les résultats des vaccinations soient précis, car si les anglais décident vraiment de multiplier les mélanges de vaccins, nous aurons du mal à analyser les conséquences  positives ou négatives de la vaccination.

Ces campagnes de vaccination expérimentales chez les personnes fragiles sont dangereuses

Le vieillissement s’accompagne d’une baisse d’efficacité du système immunitaire rendant les vaccins moins efficaces. Dans l’essai mené par Pfizer, l’efficacité était comparable chez les plus de 55 ans et chez les moins de 55 ans. Mais au-delà de 75 ans, le nombre de personnes participant à l’essai était trop faible pour juger du niveau d’efficacité.

 La vaccination de ces personnes est donc actuellement purement expérimentale. La Haute autorité de santé (HAS) recommande d’ailleurs que des études complémentaires soient menées dans cette sous-population. Ainsi que le constatait récemment l’éditorial du Lancet [18] :

« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

LAllemagne a suspendu la vaccination des pensionnaires d’Ehpad par le vaccin Astra-Zeneca pour trop faible efficacité.

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad [19, 20]. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves.

 Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ‘Ehpad après vaccination.

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées fragiles, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets.

La mise sur le marché express de vaccins sans respecter le schéma classique des essais risque d’aboutir une catastrophe vaccinale et de nuire à la vaccination. 

Cette hâte incroyable n’était pourtant pas justifiée par la gravité intrinsèque de la maladie qui se comporte au niveau mondial comme une mauvaise grippe seulement aggravée par des mesures autoritaires sans fondements scientifiques autres que des simulations grossièrement fausses.

Dr Gérard Delépine


Notes :

1 Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

2 Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATION CARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande « Vaccination contre la COVID-19 : une adhésion à construire « La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

3 Rappelé dans Ile de France prévention santé https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm 

4 Par exemple la souris adaptée à la recherche contre le Covid-19, est un animal génétiquement modifié, appelé ACE2, s’est trouvée en nombre insuffisant montrant ainsi la dépendance de la recherche envers les producteurs d’animaux de laboratoire.

5 Leila Marchand Coronavirus : les Etats-Unis manquent de singes pour leurs essais de vaccin, les échos 1/9/2020

6  Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

7   Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

8 Interventional (Clinical Trial) Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals

Estimated Enrollment : 43998 participants
Allocation : Randomized
Intervention Model : Parallel Assignment
Masking : Triple (Participant, Care Provider, Investigator)
Primary Purpose : Prevention

Official Title : A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS

Actual Study Start Date : April 29, 2020
Estimated Primary Completion August 3, 2021
Estimated Study Completion Date : January 31, 2023

9 Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

10 https://www.jle.com/en/revues/vir/e-docs/virus_et_genes_viraux_endogenes_evolution_et_impact_307413/article.phtml 

11 Ce fait suggère l’existence d’une activité de rétrotranscription naturelle, au sein des cellules de l’hôte, en l’absence de rétrotranscriptase identifiée et démontre que le risque d’une rétrotranscription de l’ARNm vaccinal, vectorisé, n’est pas impossible

12  Michèle Rivasi Communiqué de presse Bruxelles, 7 septembre 2020

13 Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d 

14 Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN 

15 L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072 

16 Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021  https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html 

17 La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

18 ÉDITORIAL Vaccins COVID-19 : pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21 NOVEMBRE 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)32472-7/fulltext 

19 Norway warns of side effects of Covid-19 vaccine on elderly …www.thelocal.no › Norway-warns-of…

20 Lars Erik Taralds La Norvège s’inquiète des vaccins pour les personnes âgées Bloomberg 16 janvier 2021 La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2021




2020-2021 : Fin du Mouvement des Gilets Jaunes, Transition vers la Résistance

[Source : TML]

Avec l’épidémie de Covid-19 et l’instrumentalisation politique qui en est faite par le pouvoir macronien, le temps des Gilets Jaunes semble déjà bien loin, et leur combat, qu’il avait déjà réussi à étouffer par la violence et la provocation, définitivement devenu une page d’histoire supplantée par la suivante, l’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grands renforts de « Quoi qu’il en coûte » et de « liquidités » abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements « nationaux », dont celui de Macron, en France.

Or non seulement cette « loi du quoi qu’il en coûte » subventionnée par la BCE ne règle en rien le problème sanitaire qui en est le prétexte, non seulement elle ne règle en rien les problèmes sociaux du « monde d’avant », que ce soient les revendications des Gilets Jaunes ou les besoins déjà criants de l’Hôpital Public, mais elle génère, sur le terrain, une nouvelle strate de misère qui vient se rajouter à l’ancienne, sans même ouvrir une simple perspective de répit dans cette descente aux enfers du banco-centralisme.

Pour faire régner, dans le « monde d’après », ce nouvel ordre mondial sur le territoire de la France, le gouvernement Macron ne peut y arriver qu’en foulant aux pieds, et chaque jour un peu plus, les droits et les libertés des citoyens français, tels que ceux-ci les croyaient encore établis par les luttes sociales et politiques des générations passées.

C’est ce déni du droit que Francis Lalanne tente de nous expliquer dans le texte de son Appel, initialement publié sur France Soir, un titre de presse héritier des luttes de la résistance antifasciste sous le régime pétainiste de Vichy.

C’est en ce sens que cet Appel est emblématique de la transition entre deux périodes historiques, celle du « monde d’avant », qui s’achève, en France, avec l’étouffement de la lutte des Gilets Jaunes, et celle du « monde d’après », qui s’ouvre, en France, avec le refus du pouvoir macronien de soigner réellement les malades avec les traitements existants disponibles, allant jusqu’à en entraver lourdement la prescription, et même, directement ou non, la production.

L’Appel de Francis Lalanne, loin d’être un rejet des procédures constitutionnelles et/ou du droit, est, bien au contraire, une sorte de bilan constitutionnel de cette transition lourdement « ratée » par le pouvoir macronien, et même à un degré tel qu’il y a donc lieu, très légitimement, de s’interroger sur les véritables raisons et motivations sous-jacentes, en réalité, d’un « ratage » aussi monumental, et de chercher à comprendre s’il n’est pas, carrément et en définitive, le résultat d’une intention délibérée, et au profit de qui?

Dans la suite et conséquence historique du mouvement des Gilets Jaunes, il y a donc lieu d’exprimer notre soutien, notamment par la voie de ses pétitions nouvelles sur ce thème, à cette action de résistance civique face à l’acharnement du pouvoir macronien à bafouer les droits du peuple.


LE TEXTE DE L’APPEL DE FRANCIS LALANNE

APPEL DU 22 JANVIER : Francis Lalanne, le dernier des Gilets Jaunes, le premier des Résistants??!

https://youtu.be/pm-kBeTPock

Sur le nouveau pouvoir des Banques Centrales :

Paradoxe et suspense économique en 2021 : le Capital atteindra-t-il, ou non, le Nirvana par la Dette Mondiale ?




La Commission européenne confirmerait-elle les dires du Pr Fourtillan ?

[Source : Réseau International]

par Jean Joseph.

Avez-vous vu la dernière intervention du Pr Fourtillan, le 25 janvier ? Si vous ne l’avez pas vue, vous pouvez la trouver là :

ou là :

Le Pr intervient après 45-50 minutes, – je vous fais un résumé (l’entretien est en effet assez touffu et brouillon, et le raisonnement est parfois, me semble-t-il, un peu hâtif) :

1°/ Il affirme à nouveau (il l’avait déjà fait en août dernier) (je passe sur la mise-en-scène clinquante à sensation de F. Chaumont) que le Covid 19 a été fabriqué à l’Institut Pasteur, par P. Charneau et F. Tangy.

Il avait déjà exhibé des brevets de SARS modifiés, trafiqués, pris par Pasteur.

Il a une nouvelle preuve, si j’ai bien compris : un de ses amis a découvert un nouveau brevet, de covid, déposé. Pièce manquante, en effet, à l’éventuelle preuve avérée.

Il le montre à l’écran mais, je dois dire, on ne peut rien lire. Il dit qu’il va le mettre sur le site « Vérité-covid19 ».

Mais pour le moment, sur le site, il n’y est pas — mais il y a bien sûr (à preuve…) les autres brevets découverts auparavant, etc…

Il affirme (lui aussi) que le virus n’est pas le but mais le prétexte. Au demeurant le virus s’est révélé n’être pas très dangereux, pas plus qu’une grippe ordinaire.

Le but est le « vaccin » qui, lui, est très dangereux (immunodéficience en particulier, je ne détaille pas ici). Et donc :

2°/ Il affirme de même que le (LE !) « vaccin » a été étudié, breveté, produit par Pasteur, avec la collaboration de Astra-Zeneca et l’Université d’Oxford (GB) entre autres pour la fourniture du ChAdOx1, virus vecteur du « vaccin » (virus de chimpanzé, à ADN).

Ce « vaccin » dénommé « ChAdOx1 nCoV-19 » a été fabriqué à partir de 2018 ; et bien qu’il soit censé être fabriqué en incorporant du SARS-CoV-2 (breveté par Pasteur), il se nomme nCoV-19, et se dit destiné au Covid-19 (documents à l’appui).

Il affirme que ce dit « vaccin » est LE seul qui ait été étudié et produit, et déjà acheté et stocké dans des endroits secrets, tous les autres sont des leurres.

Et il montre une vidéo de 2 minutes : reportage (très très anodin !) en Inde dans la plus grosse usine du monde (Serum Institute) qui fournit à elle seule les deux-tiers des vaccins du monde.

Je dois dire qu’en regardant cette vidéo (fournie par un internaute, dit-il) on ne voit pas grand chose, cela va très vite, et d’abord, je n’ai pas compris de quoi parlait Fourtillan ; mais en regardant de plus près, à deux moments, en arrêtant l’image, on peut LIRE une affiche sur la porte d’une salle réfrigérée qui s’ouvre, et les étiquettes sur les boîtes chargées par palettes entières. Et là (si l’on en croit ce que l’on voit), on s’aperçoit que l’usine est en train de produire en masse le « ChAdOx1 nCoV-19 ».

Alors que Pasteur vient d’annoncer abandonner la recherche sur l’un de ses vaccins anti-Covid19… (celui basé sur la rougeole, en fait)

Voici (en pièces jointes) deux de mes captures d’écran, où l’on peut même lire la date de fabrication : 2 janvier 2021 (agrandir l’image, au besoin).

Fourtillan précise :

1°/ Que ce « vaccin » contient, entre autres « saletés », des nanoparticules qui, injectées, permettent de détecter si l’on est vacciné ou pas.

2°/ Que ce dit vaccin est plus immédiatement dangereux que prévu (normalement cet effet ne devant se révéler que progressivement…).

Il cite le cas d’un EHPAD de Nice qui chaque année voit une vingtaine de ses pensionnaires mourir et qui, pour le seul mois de janvier de cette année, après « vaccination » (par quel vaccin ?), compte déjà 53 morts… Etc.

(Je note qu’en Australie certaines « vaccinations » à l’essai ont rendu les patients vaccinés positifs au test du SIDA (!) – Voir : http://www.geopolintel.fr/)

3°/ Que l’Institut Pasteur a menacé de porter plainte contre lui pour diffamation, mais ne l’a toujours pas fait, et pour cause.

(Se rappeler que Fourtillan a été arrêté à l’automne, interné en hôpital psychiatrique, puis relâché…)
[Voir : Le Professeur Fourtillan est maintenant libre.]

4°/ Que nos dirigeants sont aux abois, la machination étant dévoilée et avérée, ils ne savent comment arrêter la machine qu’ils ont lancée, – en sauvant leur peau (bien sûr).

(À part ça, Fourtillan dit deux trois choses notables sur le SIDA, les psychotiques, etc.)

Bref.

Je note par ailleurs : Certains biologistes se sont étonnés de la température de conservation du dit supposé (celui-là, ou un autre) vaccin : -80°, – c’est (à ce que j’en sais…) la température usuelle de conservation des virus, bacilles, etc. – mais pour conserver de l’ARNm (celui supposé de certains dits vaccins), une température de -20° suffirait, – et ils ont fait quelques hypothèses, par exemple qu’à l’ARNm serait adjoint CaS-9, et que le dit vaccin ferait en fait de l’édition génique guidée (!)… Mais le « vaccin » de Pasteur-AZ « ChAdOx1 nCoV-19 » utilise un virus comme vecteur… à quelle température se conserve ce « vaccin » ?

Récemment, le 29 janvier, la Commission européenne a publié 2 textes  :

1°/ Le premier « APA-AstraZeneca.pdf », daté du 26 août 2020 à effet au 27 août, sur une décision du 14 août, porte sur l’achat d’un « vaccin » à Astra-Zeneca. Le premier paragraphe précise que le dit vaccin est le « ChAdOx1 nCoV-19 » dont a parlé abondamment le Pr Fourtillan. Pour le reste, le document est copieusement caviardé par la Commission elle-même.

2°/ Le second « Vaccines contract between European Commission and AstraZeneca now published.pdf », en date du 29 janvier 2021, renvoie au premier, et précise l’achat de 300 millions + 100 millions de doses du dit vaccin par l’UE pour être distribuées au prorata des populations (les dites populations européennes comptant en gros 800 millions de sujets)…

(Voir aussi : https://francais.rt.com/international/83298-covid-regulateur

Cela ne confirme-t-il pas certains dires du Pr Fourtillan ?

En tout cas ce vaccin commence à être explicitement répandu ; et je note enfin que la revue Prescrire a publié ce 29 janvier un article très sceptique sur ce « ChAdOx1 nCoV-19 ».

source : https://www.prescrire.org/fr




Le livre du mois : « 10 ans après la crise : Prenons le contrôle de la finance »

[Source : attac.org]

Une décennie après la crise financière de 2008, l’époque est toujours aussi favorable à la finance, aux fonds d’investissement et aux banques. L’actuelle crise du Covid l’a confirmé : même en des temps économiques difficiles, les riches et les multinationales en profitent, pendant que les plus pauvres trinquent. Les timides réformes engagées depuis sont loin d’avoir renversé ce déséquilibre. Sans compter qu’un nouveau cycle de dérégulation financière a démarré ces dernières années en Europe et aux États-Unis.

Mais, aujourd’hui, de plus en plus de gens ne supportent plus de devoir payer pour les dérives du secteur financier. Plus encore, ils ne croient plus que la croissance est sans limites, que la question écologique est secondaire, et qu’une société peut vivre sans désordre avec de fortes inégalités.

Publié en plusieurs langues, ce livre donne des clés de compréhension aux citoyennes et aux citoyens afin qu’ils s’approprient le débat sur la finance. Il présente les réformes nécessaires pour mettre la finance au service de la société. Il est aussi le support d’une vaste campagne, « 10 ans après la crise », organisée par les mouvements sociaux et citoyens européens, dont le point culminant est fixé au 15 septembre 2018, date anniversaire de la chute de la banque Lehman Brothers en 2008, qui a marqué le début de la crise financière internationale. 


Informations complémentaires

Ce livre a été conçu par une équipe internationale composée de membres d’Attac Allemagne, Attac France et SOMO (Pays Bas). Isabelle Bourboulon (Attac France) en est la rédactrice principale et des contributions substantielles lui ont été apportées par Dominique Plihon (Attac France), Myriam Vander Stichele (SOMO, Pays Bas) et Peter Wahl (Attac Allemagne).  ttac France — 2021




LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE

Par Dr Gérard Delépine

Bilan chiffré des confinements en France et à l’international : une catastrophe sanitaire générale

Depuis le début de la crise, le gouvernement impose des mesures contre-productives en santé, aggravant la misère des plus pauvres et ruinant les classes moyennes et les petits commerçants pour faire accepter des médicaments hors de prix et dangereux, des vaccins bâclés et des lois de régression sociale. Il suit en cela fidèlement les prescriptions du conseil sanitaire de l’OMS et de son faux prophète Ferguson[1] qui a d’emblée affirmé qu’il faudrait confiner au moins jusqu’en décembre 2021, ou l’arrivée d’un traitement miracle[2], ou les vaccins sans se préoccuper des conséquences catastrophiques de ses préconisations.

Ceci s’intègre dans le cadre de l’agenda du forum de Davos décidé par l’oligarchie mondialiste dans les mains des milliardaires mondiaux en accord avec les gouvernements liés et actuellement réunis en forum virtuel.

Ce bilan sanitaire est d’autant plus d’actualité que le conseil prétendument scientifique composé de médecins trop proches de l’industrie appellent sur tous les médias à un troisième confinement sans aucune justification médicale, pour raviver le chantage « vous serez astreint à domicile à vie ou vacciné ! »

Dans ce chapitre, nous dresserons le bilan sanitaire des mesures liberticides qui nous ont été imposées. Pour rester le plus factuel possible cette analyse repose principalement sur les données publiées par l’OMS, les agences sanitaires des pays concernés et les organismes internationaux comme l’OCDE, illustrés par des interviews de médecins de terrain.

Effets constatés du confinement sur la propagation de l’épidémie

Une étude de l’OCDE sur les confinements de la première vague précise que sur les 31 pays européens étudiés, la moitié (16) ont demandé à leurs citoyens de rester chez eux durant la première vague. Ces confinements plus ou moins souples et plus ou moins obligatoires ont duré 47,5 jours en moyenne. Cinq grands pays ont basé leur politique sanitaire sur le confinement aveugle (sans isoler les malades des autres) de toute leur population : l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne. Les plus durs ont été la France et l’Italie avec 55 jours, l’Espagne avec 50 jours et le Royaume-Uni avec 46 jours.

A l’opposé les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Biélorussie ont fait confiance à leurs citoyens en leurs prodiguant des conseils et en les laissant libres de circuler.

L’étude des courbes de progression de la maladie dans les différents pays d’Europe par la recherche des inversions de tendance (break point analysis)[3] montre que le confinement aveugle a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie.

En France, le nombre des contaminations n’a diminué qu’en avril, six semaines après le début de l’épidémie, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne, pays qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations.

Cette régression spontanée après 6 semaines d’évolution paraît une caractéristique de cette maladie d’après le professeur Ben Israel[4] 

« C’est comme ça partout dans le monde. Tant dans les pays où ont été prises des mesures de confinement comme l’Italie, que dans les pays qui n’ont pas eu de confinement comme Taiwan ou Singapour. Dans tel ou tel pays, il y a une augmentation jusqu’à la quatrième ou la sixième semaine, et immédiatement après la régression jusqu’à ce qu’elle disparaisse au cours de la huitième semaine.”

Les autorités norvégiennes ont reconnu l’inutilité du confinement

La Norvège est fréquemment citée comme preuve de l’efficacité du confinement par ses partisans français, mais ce n’est pas l’avis de l’autorité sanitaire norvégienne qui a publié un rapport dont la conclusion est sans ambiguïté : le virus était déjà en voie de disparition lorsque le verrouillage a été ordonné. Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique précise ainsi[5]

« le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19 car le taux de reproduction effectif était déjà tombé à environ 1,1 lorsque les mesures les plus restrictives ont été mises en œuvre le 12 mars ».

Impact des confinements à l’international : échec général

De nombreuses autres études[6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] ont évalué l’effet des mesures coercitives sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a montré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie. C’est le cas de l’étude danoise sur le Nord Jutland[13] de l’étude néo- zélandaise[14], de l’analyse indienne[15], de l’étude des pays d’Europe occidentale[16] et de toutes les études internationales basées sur les faits avérés. Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont celles qui n’analysent pas les faits constatés, mais reposent sur des simulations et des scénarios sans rapport avec la réalité.

Pour innocenter les gouvernements qui ont astreint leur population à domicile, on pourrait croire que les pays qui ont confiné policièrement l’ont fait parce que leur situation était plus menaçante au moment où ils en ont pris la décision.

Mais la comparaison des contaminations en Belgique et aux Pays-Bas (pays les plus proches par leurs origines ethniques, leur mode de vie et l’âge moyen de leurs habitants) montre qu’il n’en est rien; avant le confinement belge, le nombre quotidien des contaminations par million d’habitants évoluait de la même manière dans ces deux pays frères; ce n’est que dix jours après le début du confinement belge que le nombre de malades a fortement augmenté en Belgique tandis qu’il progressait sans modification aux Pays-Bas.

Les raisons de l’augmentation des contaminations par le confinement aveugle sont simples ; le traitement traditionnel des épidémies (l’endiguement-quarantaine) repose sur la séparation des malades des sujets sains ; le confinement aveugle prévoit au contraire de renvoyer les malades sans signes de gravité dans leur famille, et les pensionnaires d ’Ehpad dans leur établissement d’origine favorisant ainsi la contamination de leur entourage.

L’étude récente Comcor[17] sur les lieux de contamination rapporte que le tiers d’entre eux est le foyer familial où l’un des parents a contaminé l’autre ou son/ses enfants confirme cette hypothèse.

Le confinement aveugle entraîne une augmentation de la mortalité liée au Covid19.

Les données de l’OMS du 26 janvier 2021[18] prouvent que le confinement aveugle est contre-productif : les pays qui ont confiné policièrement sans isoler réellement les malades sont tous dans le top 5 européen des plus fortes mortalités globales attribuées au Covid19

avec respectivement : Belgique : 1793/Million, Italie : 1245/M, Espagne : 1177/M, Grande-Bretagne : 1443/M, France : 1113/M

contre 790/M pour les Pays-Bas, 117/M en Finlande, 173/M en Biélorussie et 1090/M en Suède. La probabilité qu’une telle distribution des mortalités selon les mesures sanitaires soit due au seul hasard n’est que 0,007[19].

Ferguson et ses élèves se glorifient de leurs erreurs de prédictions.

De nombreux articles d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle prétendent qu’il aurait sauvé des vies ; il ne s’agit que de propagande totalement mensongère qui repose sur la comparaison entre leurs prévisions très exagérées de mortalité et les mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement des morts virtuelles évitées. Dans un article de Nature, ils prétendent ainsi avoir sauvé 3 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement, sans avoir remarqué que les suédois n’avaient jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai prouvait seulement que leur prévision surestimait par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que la technique classique d’endiguement ne pourrait pas ralentir l’épidémie et que si l’Allemagne ne confinait pas elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020. L’Allemagne n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué l’endiguement et ne comptait au 5 mai que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement (qui n’a pas été pratiqué) !

Lancetgate et Naturegate

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour affirmer que la chloroquine était dangereuse. Dans ce qui peut s’appeler le Nature Gate, il n’y a pas eu fabrication de données mais refus de regarder la réalité des mesures réellement utilisées pour se glorifier de ses erreurs ; il est étonnant qu’aucun membre du comité de lecture d’une revue de bonne réputation ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique prétendant[20] que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement. Les erreurs de conception, des hypothèses et des conclusions d’un étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques[21]  [22] [23] mais les médias mainstream en ont très peu parlé[24].

Le confinement a créé des victimes d’autres pathologies (victimes collatérales)

En France, quelques jours avant le premier confinement, les Agences Régionales de Santé ont activé le plan blanc réservant tous les moyens sanitaires publics et privés aux malades du Covid19 et interdisant entre autres aux chirurgiens d’opérer sauf les extrêmes urgences vitales, en négligeant les malades ordinaires. Elles ont ainsi laissé des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radios empêchés de traiter les malades ordinaires.

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires.  La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à minimiser le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.

On peut estimer à 40 000 victimes supplémentaires actuelles et/ou futures par les défauts de soins et regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes.

Malades urgents d’autres pathologies, déjà morts des confinements

En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soinsce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » a avoué l’agence régionale de santé d’Ile-de-France

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées.

« Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Mais comme prétend encore le ministre et comme le répètent toujours en boucle les médias « le confinement permet de sauver des vies » …

Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ».

Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

En Grande-Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux a constaté que durant le confinement le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants n’ont-elles pas prévu ces morts indirectes bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts Covid virtuelles imaginés par des simulations mathématiques fausses ?

Malades chroniques abandonnés à cause du plan blanc

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale.  La télémédecine tant vantée par les énarques désincarnés ne peut remplacer le contact humain direct avec le malade. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les traitements des cancéreux ont été désorganisés par les injonctions des ARS[25]. Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation.  Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Raisonnement médical perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs sous la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Il semble bien que cela a recommencé lors des autres confinements puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc alors que le nombre de morts attribués au Covid est très inférieur à celui de mars.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies : cardiologie, neurologie, endocrinologie, rhumatologie, insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de prévoir précisément leur nombre car évidemment cela va se compter sur des années.

Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

En cardiologie, au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».

Le drame des cancéreux

En cancérologie en France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le premier plan blanc[26] 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard) dans son communiqué du 15 Mai 2020 :

« depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne :

« pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

Les auteurs de l’étude estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.

Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».

Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, « du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre. »

Une autre étude britannique estime à 59 204 – 63 229 ans le nombre d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus au confinement.

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer », explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès. »

Si on fait la somme des morts en excès toutes pathologies or Covid confondues, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 40000 morts à venir. Cette estimation ne constitue qu’un minima

L’hécatombe programmée de nos ainés

Le confinement avait pour premier prétexte de protéger particulièrement nos ainés, mais dix mois de mesure sanitaires inventées de toutes pièces sans fondement scientifiques ont abouti à une hécatombe sans précédent.

Pour les vieillards, pensionnaires des EHPAD, la solitude complète imposée par le confinement les a conduits au « syndrome de glissement » et à la mort, presque aussi sûrement que le virus. Quelle ineptie et quelle honte de leur interdire les visites de leurs proches, alors que leurs soignants sortent chaque jour et prennent des transports publics bondés et reviennent un jour ou l’autre porteurs du virus qu’ils propagent à leur insu car scandaleusement peu protégés. Et que dire de l’interruption des rééducations en particulier pour dysphagie nécessaires à beaucoup des pensionnaires ?

Et que penser de la note du ministère aux directeurs d’EHPAD précisant clairement que les personnes âgées malades ou susceptibles de l’être ne doivent en aucun cas être adressées aux urgences, car elles ne seront ni hospitalisées, ni traitées, ni réanimées. Précisons qu’il s’agit de critères d’âge, sans tenir aucun compte de l’état physique et intellectuel des résidents. Nous connaissons tous de beaux vieillards de plus de 90 ans et des « très vieux » de 70 ans ou moins.  Les médecins ont toujours pesé ces éléments du temps où ils pouvaient exercer leur vocation selon Hippocrate, et non sous l’autorité dictatoriale de bureaucrates interdisant d’hospitaliser les infectés de plus de 70-75 ans « afin qu’ils ne puissent pas occuper inutilement les lits de réanimation ». Les nazis à la descente du train de déportés triaient selon l’âge physiologique. Pas nos bureaucrates. Les plus de 70 ans infectés sont renvoyés dans leurs EHPAD ou faute de possibilité d’isolement réel, de traitement, de personnel et de matériel de protection, ils contaminent leurs compagnons d’infortune sans même pouvoir dire adieu à leurs familles. Et pour tout traitement le ministre propose le Rivotril censé leur adoucir la mort. Nos technocrates auraient-ils imaginé un début de solution au financement des retraites par le génocide des plus vieux retraités, suivant ainsi les conseils de J. Attali, mentor du président ?

Les récits dramatiques se succèdent sur les réseaux sociaux. Couples déchirés dans leurs derniers moments, enfants qui ne reverront jamais leur mère, soignants qui veillent depuis des mois ou années sur des vieillards et les voient brutalement contaminés, refusés d’hôpital, interdits de réanimation, privés de traitement, abandonnés à la mort sans personne pour leur tenir la main puis jetés au tombeau en catimini, sans accompagnement, les familles recevant des contraventions s’ils se retrouvent pour les accompagner au cimetière. Avec l’épidémie de décès dans les EHPADs, les proches risquent même la prison pour récidive d’infraction (présence aux enterrements), en attendant peut-être qu’on les condamne à mort comme l’Antigone de Sophocle, emmurée vivante pour avoir bravé l’interdiction royale d’enterrer son frère. Eternel combat de la morale qui définit notre humanité contre des lois tyranniques injustifiés.

Les victimes de pathologies psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides liés entre autres à la crise économique.

Les complications psychiques des personnes saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace, sont avérées et souvent catastrophiques.

Tous les confinés interrogés décrivent un sentiment d’isolement et le manque de contacts sociaux. L’absence de tout contact physique avec les membres de la famille et amis confinés ailleurs, est particulièrement mal vécu surtout lorsque le confinement aveugle est prolongé.

Certains groupes de personnes sont encore plus à risques. Enfants placés, qui se retrouvent encore plus seuls avec la moitié des encadrants absents. Femmes et/ou enfants victimes de violence familiales confinées avec leurs bourreaux eux-mêmes agacés par l’absence de sortie et paniqués par le Covid19. Prisonniers et malades des hôpitaux psychiatriques privés de visites facilitants le syndrome de glissement.

Mais plus généralement les enfants ainsi que le rappellent[27] des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie qui :

« relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires. »

Les adolescents privés de leurs premières amours sont complètement déprimés, le téléphone et même Skype et/ou face time, Instagram ou WhatsApp ne pouvant en rien remplacer l’intimité qu’ils commençaient à découvrir. Même leur école et leurs professeurs en chair et en os qu’ils critiquaient souvent leur manquent cruellement. Les adolescents sportifs de haut niveau sont particulièrement menacés car ils ont été privés des entraînements et des compétitions nationales permettant de sélectionner nos futurs champions afin de mieux les préparer aux épreuves internationales proches.

Accouchées et nouveaux nés privées de la visite de leurs proches dans une période pourtant anxiogène pour ces jeunes femmes particulièrement en période de psychose publique organisée.

L’aggravation de la famine par les confinements tue les enfants

Le Covid19 ne tue pas les enfants, mais la famine consécutive aux confinements les menace directement[28].

La famine est déjà réapparue en France[29] [30]. Le secours populaire, le secours catholique et les restos du cœur sont débordés, et on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

C’est aussi le cas en Italie[31] où les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées.

Dans les pays pauvres, d’après les responsables de l’ONU[32], de l’Oxcam[33] et du programme alimentaire mondial contre la faim[34], l’aggravation de la famine risque d’entraîner plus d’une centaine de millions de morts.

Les principales fautes de notre politique sanitaire

Le comité prétendument scientifique et notre premier ministre suivent l’exemple de Ferguson et ses élèves et continuent de se glorifier de leur politique sanitaire malgré les résultats catastrophique sur la mortalité attribuée au Covid19. Ce déni permanent de la réalité est très inquiétant pour l’avenir car comme le disait A. Einstein : « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre ». Rappelons la liste de leurs autres principales erreurs :

-Ils ont cru un mathématicien-prophète prônant le confinement aveugle sans évaluer ses conséquences au lieu d’utiliser la technique médicale éprouvée d’endiguement-quarantaine.

-Ils ont créé un comité prétendument scientifique en réunissant les personnes les plus liées aux firmes pharmaceutiques dont peu de cliniciens, et lui ont accordé un pouvoir discrétionnaire sur nos libertés.

-Ils ont interdit aux médecins de ville de traiter les malades comme ils le jugeait utile : interdiction de la chloroquine, puis interdiction de l’azithromycine et même de l’ivermectine récemment.

-Ils ont interdit l’admission des vieillards en réanimation, puis à l’hôpital puis aux urgences pour les renvoyer sans traitement dans leurs Ephads d’origine

-Ils ont conseillé d’euthanasier par Rivotril sans leur consentement les vieux simplement suspects de Covid19 (les tests leur étant refusés)

-Ils ont discrédité les médecins opposés à leurs mesures infondées, rétabli le délit d’opinion pour les médecins par un décret du 22 décembre 2020et font poursuivre par le conseil de l’ordre les donneurs d’alerte.

Pourquoi devrions-nous attendre la fin de l’épidémie pour réagir ?

C’est maintenant que nous devons nous soulever pour stopper cette monstruosité, ce génocide de nos ainés qui se poursuit dans les EHPADs, et de nos jeunes isolés, privés de ce qui fait le sel de la vie, les contacts avec les autres humains.

Que chacun d’entre nous joigne le maximum d’élus, maires, conseillers régionaux et députés, sénateurs pour qu’ils transmettent au gouvernement la réalité des chiffres, montrant que le confinement aveugle général s’accompagne de beaucoup plus de morts que l’isolement ciblé des malades et de leurs contacts.

Les mesures sanitaires ont tué plus de français qu’elles n’auraient pu en sauver et sont responsables de notre rang de 5ème européen des plus fortes mortalités Covid19. Elles vont en tuer davantage dans les mois et années qui viennent.

Et ils veulent nous reconfiner !

Stop à toutes ces mesures sanitaires sans justification scientifiques. Liberté.


Notes

[1] Celui qui avait prédit 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils ne confinaient pas qui, sans confinement, n’en comptent au 5/1/21 respectivement 8727 et 11612

[2] Mais l’opération « tous pour le Remdesevir » soutenue par les médecins liés à Gilead, le conseil prétendument scientifique et le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch a piteusement échouée faisant reporter tous leurs efforts sur la promotion des vaccins

[3] Très utilisée en économie et en cancérologie

[4] Professeur Ben-Israel « Je propose que nous mettions fin aux confinements immédiatement…”

interview à Israel National News 16 avril 2020

[5] Norvège : “le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus” 29 mai 2020 Strategika

[6] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[7] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage de la couronne allemande était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[8] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ?  Pré-impression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[9] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et al. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » par. 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[10] Ben Israel Analyse de la transmission du virus par le professeur. 16 avril 202

[11] Paul Raymond Hunter, Felipe Colon-Gonzalez, Julii Suzanne Brainard, Steve Rushton « Impact des interventions non pharmaceutiques contre le COVID-19 en Europe : une étude quasi expérimentale ». MedRxiv Pre-Print 1er mai 2020

[12] « Lockdown and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » par Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international

[13] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[14] John Gibson Government mandated lockdowns do not reduce Covid-19 deaths : implications for evaluation the stringent New Zealand response 18 Aug 2020, https://doi.org/10.1080/00779954.2020.1844786 « Les verrouillages imposés par le gouvernement ne réduisent pas le nombre de décès liés au Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse rigoureuse de la Nouvelle-Zélande »

[15] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[17] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-comcor-lieux-contamination-au-sars-cov-2-ou-francais-s-infectent-ils

[18] https://covid19.who.int/

[19] Calcul direct des probabilités

[20] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[21] Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint Etude critique d’une modélisation des effets du confinement Journal International de médecine 2 mai 2020

[22] Aurélie Haroche Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie, Journal International de Médecine, 25 avril 2020

[23] Gilles Pech de Laclause 1 Arnaud Delenda Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[24] Roland Salmon : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/08/roland-salmon-les-donnees-pour-soutenir-la-politique-du-confinement-font-defaut_6035949_3232.html

[25] Agences régionales de santé

[26] Interdiction pour les chirurgiens publics ou privés d’opérer les malades non urgents, l’urgence étant décidée par l’ARS et non le chirurgien ou son malade, décret d’Edouard Philippe début mars 2020

[27] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat

[28] France culture La faim plus dangereuse que le coronavirus ? 01/05/2020 https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/la-faim-plus-dangereuse-que-le-coronavirus

[29] D’après le canard enchaîné Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis aurait écrit : « Je redoute des émeutes de la faim. Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants vont avoir du mal à se nourrir ».

[30] « Dans mon frigo, il y a de l’eau, du jus d’orange et deux yaourts », a ainsi témoigné Viviane, habitante de Stains, sur France bleu.

[31] Sara Rosenbaum et AFP Coronavirus en Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire RTL  10/5/2020 https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-italie-700-000-enfants-en-difficulte-alimentaire-7800498903

[32]  » Tiphaine Walton, porte-parole du Programme alimentaire mondial de l’ONU : » Ce qui nous inquiète, c’est la récession économique qui va être engendrée par le coronavirus. On estime qu’il y a plus de personnes qui vont mourir à cause de cette récession qu’à cause du virus en lui-même »

[33] Oxfam, Le nombre de personnes menacées de famine en Afrique de l’Ouest pourrait quasi tripler en trois mois et concerner 50 millions de personnes en août, mardi 21 avril.

[34] Margot van der Velden, directrice du bureau des urgences du PAM :« Lorsque nous déclarons une famine, cela signifie que de nombreuses vies ont déjà été perdues. Si nous attendons d’être sûrs qu’elle soit là, des personnes ont déjà perdu la vie »,




Indice de confiance par profession

[Source : Investig’Action]

[Pour la Belgique, mais probablement pas trop différent pour les autres pays d’Europe et pour l’Amérique du Nord.]




La tricherie criminelle des banques — Politique & Eco n°285 avec Pierre Jovanovic (Revue de presse)

[Source : TVLibertés]

La BCE n’est pas en reste dans la fabrication de fausse monnaie conduisant toujours plus aux taux d’intérêts négatifs, une menace sur les retraites et l’épargne. L’essentiel des flux financiers se dirigent vers Wall Street et la City, tandis qu’en Europe se préparent les taxes covid.

Fusions bancaires en masse et création de bad banks sont le signe d’une grave crise bancaire qui menace. Un signe qui ne trompe pas sur la nature du nouveau pouvoir étatsunien, Biden a nommé à la tête du gendarme de la bourse américains Gary Gensler, ce qui a fait hurler de rire toute la profession. En effet, Gary Gensler est celui qui a permis la manipulation des cours de l’or, de l’argent, et surtout, la prolifération des CDS (Crédit Default Swap, produits dérivés hyper toxiques) pendant une décennie.

Cela n’empêche d’ailleurs pas que le monde commence à se défaire du Dollar, tandis qu’il est de plus en plus question du Revenu de Base Universel, l’aumône du Grand Reset. Et d’autres perspectives, à dire vrai, bien sombres, traitées avec une pointe d’humour pour garder le moral… Pour en parler, Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent le journaliste financier Pierre Jovanovic.




L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

[Source : Sott.net]

Par Pierre Lescaudron

Le présent article fait suite à celui intitulé « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 », publié en juin 2020 [le 1er juillet pour la traduction française – NdT], que nous vous invitons à lire d’abord. La conclusion en était en partie la suivante :

« Il est probable qu’une épidémie de grippe apparaîtra d’ici la fin de l’année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».

Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
[…]
Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N’oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d’exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée. »

© Sott.net
Citation de Denis Rancourt

Nous voici 7 mois plus tard. Comme on pouvait s’y attendre, de nouveaux variants sont apparus, les décès dus au Covid-19 d’origine humaine s’accumulent, le passeport vaccinal a déjà été adopté par plusieurs pays et les vaccinations ont commencé partout dans le monde.

En théorie, les médicaments, vaccins compris, sont approuvés et utilisés parce que leurs bénéfices dépassent de loin leurs risques. En ce sens, le médicament idéal présenterait un risque zéro et une efficacité totale contre une maladie incurable et mortelle. Nous verrons dans le présent article que les « vaccins » Covid-19, en particulier celui de Pfizer, sont quasiment à l’opposé du médicament idéal. Ils sont dangereux, inefficaces et ciblent une maladie bénigne pour laquelle des traitements efficaces et sûrs sont déjà connus.

Où est la pandémie ?

Le taux de létalité

Selon l’OMS, en octobre 2020, environ 750 millions de personnes, soit environ 10 pour cent de la population mondiale, avaient été infectées par le Sras-CoV-2 et un million de personnes étaient mortes du Covid-19. Ces chiffres conduisent à un taux de létalité de 0,13 pour cent, qui correspond au taux typique de la grippe saisonnière. Lorsqu’il est traité correctement, comme à Marseille où le protocole de l’hydroxychloroquine et le diagnostic clinique précoce sont utilisés, le taux de létalité tombe à 0,05 pour cent.

À Singapour, où l’utilisation de l’hydroxichloroquine est très répandue et où aucun confinement national n’a jamais été imposé, le taux de létalité du Covid-19 est le même que celui de Marseille, soit 0,05 pour cent seulement (29 décès sur 59 000 cas).

Quel type de pandémie présente un taux de létalité égal ou inférieur à celui de la grippe saisonnière ?

Les véritables décès du Covid

Les chiffres ci-dessus sont basés sur les données officielles publiées par l’OMS. Ces chiffres, en particulier le nombre total de décès par Covid, sont largement exagérés grâce à diverses supercheries :

1/ Comorbidité

94 pour cent des personnes qui sont mortes du Covid-19 présentaient des facteurs de comorbidité. La majorité d’entre elles présentaient non pas un mais plusieurs facteurs de comorbidité, notamment l’hypertension, l’obésité, les maladies pulmonaires chroniques, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, un patient britannique atteint d’un cancer avancé, d’une insuffisance rénale et d’un diabète, et dont le test s’est révélé positif dans les 60 jours précédant son décès, verra sa mort automatiquement attribuée au Covid-19. Au Royaume-Uni, au moins 30 pour cent des décès attribués au Covid-19 sont en fait dus à une comorbidité.

2/ Faux positifs

De nombreux décès ont été attribués au Covid-19 uniquement sur la base d’un test PCR positif. Selon les mots de son inventeur Kary Mullis, prix Nobel de chimie 1993 :

« [les tests PCR] ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux en circulation […] Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes »

Par conséquent, les questions évidentes sont les suivantes : combien d’autres virus affichent des séquences virales similaires à celles du Sras-CoV-2 et sont ensuite détectés et sont étiquetés à tort comme étant des Sras-CoV-2 ? Combien de séquences virales non pathogènes et non transmissibles du Sras-CoV-2 conduisent à un test PCR « positif » ?

Pour couronner le tout, le nombre de cycles d’amplification de la PCR pose un sérieux problème. Selon le CDC, il est pratiquement impossible de détecter un virus vivant au-delà d’un seuil de 33 cycles. Cependant, de nombreux États effectuent 4045 voire 50 cycles d’amplification. Par exemple, un test positif obtenu à 40 cycles a environ 43 pour cent de chances de ne plus être positif avec un seuil de 35, et 85 pour cent de chances avec un seuil de 30.

Le test antigène est encore pire que le test PCR, puisqu’il entraîne 63 pour cent de faux positifs en plus ! Ces tests sont si peu fiables que même l’OMS en déconseille l’utilisation.

3/ Interdiction des traitements efficaces

À Marseille, en France, où un diagnostic précoce est établi et suivi d’un traitement approprié, notamment l’hydroxychloroquine combinée à l’azythromycine, le taux brut de mortalité est de 0,01 pour cent. À environ 700 kilomètres de là, à Paris, où le diagnostic est tardif et où l’interdiction de ces deux médicaments est appliquée, le taux de mortalité global grimpe à 0,075 pour cent. Cela représente une augmentation d’un facteur de 7,5.

Comme à Marseille, le Belarus et l’Islande ont effectué un diagnostic précoce et/ont administré des soins appropriés et ils figurent parmi les pays où le nombre de décès par Covid-19 est le plus faible, avec respectivement 1 560 (taux de mortalité brut de 0,016 pour cent) et 29 (taux de mortalité brut de 0,008 pour cent) à la mi-janvier 2021. Dans la même veine, le Vietnam qui utilise le diagnostic précocel’hydroxichloroquine et n’a pas mis en place de confinement national, la mortalité brute due au Covid-19 est de 0,000036 pour cent (35 décès pour 96 millions d’habitants)

4/ Transfert du nombre de victimes de la grippe

L’hémisphère sud semble avoir purement et simplement échappé à la grippe saisonnière de l’hiver 2020, où les décès dus à la grippe ont diminué de 90 pour cent par rapport aux années précédentes. Selon les principaux médias, cette baisse des décès dus à la grippe est imputable au confinement. Si c’est le cas, comment expliquer que la France ait enregistré un nombre étonnamment bas de décès dus à la grippe pendant la saison 2019-2020 qui s’est terminée avant l’imposition du confinement le 17 mars ? En effet, seuls 3 680 décès dus à la grippe ont été enregistrés durant l’hiver 2019-2020. Cela représente une baisse de 70 pour cent par rapport à la moyenne des dix dernières années.

Un autre récit classique explique cette baisse brutale et inattendue du nombre de victimes de la grippe par le fait que le coronavirus empêche l’activité d’autres virus. Mais les virus n’ont aucune difficulté à cohabiter. Par exemple, rien qu’en Europe, pendant la saison de la grippe 2019/2020, au moins six souches actives de grippe ont été détectées : type A A(H1N1)pdm09, A(H3N2)) A(Inconnu), B/Victoria, B/Yamagata et B/Unknown, et nous savons que le Sras-CoV-2 était sur le continent depuis au moins le 2 décembre 2019.

Dans l’hémisphère nord, la France n’est pas le seul pays à avoir enregistré la disparition de la grippe saisonnière. Les États-Unis et le Royaume-Uni ont respectivement fait état d’une diminution stupéfiante de 98 pour cent et 90 pour cent des décès qui lui sont attribués.

En se basant sur le nombre hyper exagéré de décès par Covid de l’OMS, qui est de 1,7 million en janvier 2021, on peut déduire les chiffres suivants :

  • Les décès faussement positifs, c’est-à-dire les patients qui n’ont même pas eu le Covid, représentent au moins 33 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid-19. Cela représente 700 000 sur 1,7 million ;
  • Les décès dus à des comorbidités représentent 30 pour cent du nombre total de décès attribués au Covid, soit 500 000 sur 1,7 million ;
  • Environ 90 pour cent du nombre de décès dus généralement à la grippe a été imputé au Covid, soit 300 000 décès sur 1,7 million.

En fonction des chevauchements entre ces trois types de décès non liés au Covid-19, le nombre réel de décès liés au Covid-19 peut être estimé entre 300 000 et 1,1 million.

Cette fourchette ne tient même pas compte de la réduction par 7 de la mortalité liée à un diagnostic précoce approprié et à un traitement adéquat. En tenant compte de ce paramètre, la mortalité totale due au Covid-19 avec un diagnostic précoce et des soins appropriés diminuerait de 40 000 à 140 000 victimes dans le monde. Notez que les estimations ci-dessus sont très prudentes, nous sommes donc amenés à nous demander si le Sras-CoV-2 a véritablement causé de façon directe un nombre important de décès.

Quel type de pandémie provoque bien moins de décès que la grippe saisonnière ?

Excès de mortalité

La surmortalité comprend les décès attribués au Covid-19 ainsi que les nombreux décès dus au confinement. Comme nous le verrons, il est probable que ces derniers ont provoqué beaucoup plus de décès que le Covid-19 lui-même.

1/ Retards dans les traitements et les diagnostics

En Angleterre et au Pays de Galles, seul un tiers de la surmortalité observée dans les maisons de retraite médicalisées et les résidences privées peut s’expliquer par le Covid-19, les deux tiers restants sont dus à des citoyens âgés qui se sont vu refuser les soins primaires et « qui auraient pu vivre plus longtemps s’ils avaient pu se rendre à l’hôpital ». Ce problème est particulièrement vrai pour les patients atteints de cancer. Au Royaume-Uni, le fait d’en avoir empêché le diagnostic et le traitement médical pourrait entraîner la mort de 18 000 patients supplémentaires.

2/ Conditions psychiatriques

Une méta-analyse de la santé mentale de la population générale a été publiée en décembre 2020. Comme prévu, la « pandémie » a considérablement aggravé le problème :

« Des taux relativement élevés de symptômes d’anxiété (6,33 pour cent à 50,9 pour cent), de dépression (14,6 pour cent à 48,3 pour cent), de stress post-traumatique (7 pour cent à 53,8 pour cent), de détresse psychologique (34,43 pour cent à 38 pour cent) et de stress (8,1 pour cent à 81,9 pour cent) ont été signalés pendant la pandémie de Covid-19 au sein des populations en Chine, en Espagne, en Italie, en Iran, aux États-Unis, en Turquie, au Népal et au Danemark […] La pandémie de Covid-19 est associée à des niveaux très élevés de détresse psychologique qui, dans de nombreux cas, atteindraient le seuil de gravité clinique. »

Source

Il convient de noter que l’espérance de vie des personnes souffrant de maladies mentales est inférieure d’environ 8 ans à celle de la population générale.

3/ Suicide

Les chiffres définitifs concernant les décès en 2020 n’ont pas encore été compilés. Cependant, la tendance est déjà claire. Selon certaines études, le suicide a augmenté de 145 pour cent. En toute logique, les tendances suicidaires ont augmenté parallèlement aux suicides avérés, l’Inde, par exemple, enregistrant une hausse de 67,7 pour cent des signalements de comportements suicidaires pendant le confinement. De même, en Chine, l’apparition de très fréquentes pensées suicidaires a été constatée tandis qu’au Canada, on prévoit une augmentation de 500 pour cent des suicides.

4/ Alcoolisme et toxicomanie

L’abus d’alcool a fortement augmenté pendant la « pandémie ». Au Royaume-Uni, le nombre d’appels à la ligne d’assistance du British Liver Trust a augmenté de 500 pour cent depuis le début du confinement en mars. De même, Alcohol Change a pendant le confinement enregistré une augmentation de 242 pour cent des visites sur les pages de conseil et de soutien de son site Web. Les enquêtes sur la consommation d’alcool révèlent une situation similaire, avec 21 pour cent des personnes déclarant qu’elles buvaient plus souvent pendant le confinement. Les gros buveurs sont les plus touchés : 38 pour cent de ceux qui buvaient beaucoup avant le confinement ont déclaré qu’ils buvaient encore plus pendant le confinement. Aux États-Unis, une augmentation de 54 pour cent des ventes nationales d’alcool a été enregistrée pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à l’année précédente.

De même, les surdoses de drogues ont fortement augmenté en 2020. Par exemple, aux États-Unis, les surdoses ont tué le nombre stupéfiant de 81 000 personnes, soit une augmentation de 38 pour cent des surdoses mortelles par rapport à 2019.

5/ Pauvreté

Selon la Banque mondiale, la « pandémie » pourrait plonger environ 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté. La différence d’espérance de vie entre un individu en situation d’extrême pauvreté et un individu riche est d’au moins 20 ans. Il faut toutefois préciser que la plupart des décès provoqués par la montée de l’extrême pauvreté ne se produiront pas immédiatement mais dans les années, voire les décennies, qui suivront cette crise économique mondiale fabriquée de toutes pièces.

En dépit du nombre de décès dus au confinement et à ses conséquences plutôt qu’au Covid-19, de nombreux pays n’ont même pas enregistré d’augmentation de la surmortalité pendant la pandémie. C’est le cas de l’Allemagne où l’hydroxychloroquine a été utilisée et où de nombreux diagnostics précoces ont été effectués. Mieux que cela, l’Islande — qui a mis en œuvre l’une des approches de diagnostic précoce les plus efficaces au monde — affiche un taux de mortalité en 2020 inférieur à sa mortalité annuelle moyenne. Mais la cerise sur le gâteau est la Chine, où environ 55 tonnes d’hydroxychloroquine ont été consommées en 2020 et où aucun confinement national n’a été mis en place : en conséquence, la Chine n’a connu pratiquement aucun décès dû au Covid depuis avril 2020.

© ourworldindata.org
Les décès quotidiens du Covid-19 en Chine

Même la France, qui a interdit l’hydroxychloroquine et l’azythromycine et a mis en place des mesures de confinement et des couvre-feux prolongés, a connu un taux de mortalité au printemps 2020 inférieur à celui de la saison de la grippe de 2017, et depuis le 1er mai 2020, aucune augmentation de la mortalité n’a été constatée.

Quel type de pandémie n’entraîne pas un excès marqué de mortalité ?

Espérance de vie

En France, et avant même d’être testées positives pour le virus, 80 pour cent des victimes présumées du Covid-19 avaient une espérance de vie inférieure à un an en raison de comorbidités et d’un âge avancé. Dans l’ensemble, les victimes du Covid-19 avaient une espérance de vie d’à peine 3 ans et 82 pour cent des victimes avaient plus de 70 ans. L’âge moyen d’un décès Covid-19 est de 82 ans, soit quelques mois de moins que l’espérance de vie globale.

Dans plusieurs pays, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est même supérieur à l’espérance de vie. Par exemple, au Royaume-Uni, l’âge moyen des décès attribués au Covid-19 est de 82,6 ans alors que l’espérance de vie moyenne y est de 81,2 ans. En Suède, l’âge moyen des personnes qui seraient mortes du Covid-19 est de 84 ans, soit deux ans de plus que l’âge moyen des décès qui y est de 82 ans.

En raison de l’âge très avancé des personnes qui seraient mortes du Covid-19, de nombreux pays n’ont pas connu de baisse de l’espérance de vie. C’est le cas de la Chine qui a enregistré 4 600 décès attribués au Covid-19 sur une population de 1,4 milliard d’habitants, ou de l’Islande et de ses 19 victimes du Covid sur 400 000 citoyens islandais.

Même en France, où beaucoup de personnes âgées ont été condamnées à mourir dans des maisons de retraite, où des mesures de confinement draconiennes ont été mises en place, où le diagnostic et les soins ont été retardés pour des affections graves et où des médicaments efficaces contre le Covid-19 ont été interdits et des médicaments toxiques comme le Rivotril ou le Remdesivir ont par contre été administrés, l’espérance de vie n’a diminué que de 5 mois.

Quel type de pandémie ne diminue pas sensiblement l’espérance de vie ?

En résumé, la victime type du Covid-19 est une personne octogénaire qui vit dans une maison de retraite et qui présente plusieurs comorbidités. En général, cette personne est morte à cause du désespoir de l’isolement social et du retard dans le diagnostic et le traitement de ses graves comorbidités. Dans de nombreux cas, le patient n’avait même pas le Covid-19. Toutefois, le Covid-19 l’a bien tué, non pas directement, mais par l’isolement et le refus de soins induits par la pandémie d’hystérie bien orchestrée.

Pour résumer, nous faisons l’expérience d’une « pandémie » assez particulière qui présente un taux de létalité inférieur à celui de la grippe saisonnière, qui tue moins que les maladies infectieuses habituelles, qui n’a pas provoqué de surmortalité marquée et qui n’a pas vraiment réduit l’espérance de vie.

Les traitements disponibles

Non seulement le Covid-19 est une maladie bénigne, mais elle peut être soignée par de nombreux traitements sûrs, efficaces et peu coûteux : l’artémisiala vitamine C à forte dose, la vitamine Dle cuivrele zincla doxycyclinela fluvoxaminela bromhexinela colchicinel’ivermectinel’azythromycine et, bien sûr, l’hydroxychloroquine. En outre, la combinaison de certains de ces médicaments a révélé des synergies bénéfiques, notamment un cocktailhydroxychloroquine + azythromycine + zinc. Notez également que l’efficacité des médicaments susmentionnés a été publiée dans des revues à comité de lecture il y a plusieurs mois.

Un bon exemple est l’hydroxychloroquine dont l’efficacité contre le Covid-19 a été testée dans pas moins de 195 articles publiés. La conclusion de la méta-analyse statistique de ces articles ne pourrait être plus claire :

« L’hydroxychloroquine est un traitement efficace contre le Covid-19. La probabilité qu’un traitement inefficace produise des résultats aussi positifs que les 166 études réalisées à ce jour est estimée à 1 sur 1 quadrillion (p = 0,00000000000000099). »

Source

Une autre façon de déterminer l’efficacité de l’hydroxychloroquine est simplement de vérifier si les articles scientifiques publiés ont reçu un financement de Gilead — la société américano-israélienne, bourrée de conflits d’intérêts — qui produit le désormais tristement célèbre Remdesivir.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead,73 pour centdes articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts,83 pour centdes articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne. C’est aussi simple que cela.

© IHUM
Chloroquine et mortalité du Covid-19

Malgré son efficacité testée à plusieurs reprises, l’hydroxychloroquine a été interdite dans un certain nombre de pays occidentaux. En revanche, il n’a fallu qu’un seul faux article scientifique (démystifié peu après) pour que les États achètent du Remdesivir pour des milliards de dollars avant d’administrer ce produit par ailleurs toxique en plus d’être inefficace.

La raison de la suppression des traitements connus est au moins double :

  • sociale : le refus de soigner pour augmenter délibérément le nombre de décès et donc la peur dans la population, ce qui conduit à l’acceptation peu enthousiaste des vaccins ;
  • juridique : l’approbation accélérée par la FDA d’un nouveau médicament n’est possible que lorsque la maladie ciblée « n’a pas de remède ». La suppression des remèdes connus a permis au « vaccin » Pfizer d’être approuvé après deux mois d’essais limités et un maigre rapport des tests, alors qu’une approbation correcte de la FDA nécessite environ 12 années d’essais approfondis et une demande d’homologation pour un nouveau médicament de plus de 100 000 pages.

Pour résumer, le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe de nombreux traitements sûrs et efficaces. Dans ce contexte, l’approche logique serait d’augmenter le diagnostic clinique précoce et de diffuser et d’améliorer les stratégies thérapeutiques existantes. Ce n’est pas ce que les élites ont décidé, surtout dans le monde occidental. Elles ont plutôt interdit les traitements efficaces et, parmi toutes sortes de vaccins douteux, ont imposé le pire, le « vaccin » à ARN de Pfizer sur lequel nous allons maintenant concentrer notre attention.

« Vaccin » à ARNm ou thérapie génique ?

En dépit de son nom, le « vaccin » de Pfizer s’apparente davantage à la thérapie génique, dont la définition est la suivante : « l’utilisation de l’apport thérapeutique d’acides nucléiques dans les cellules d’un patient ». Le « vaccin » de Pfizer est exactement cela, une séquence d’ARN artificielle délivrée par des nanolipides dans les cellules du patient, pour les pirater et les inciter à produire la protéine Spike que l’on trouve dans le Sras-CoV-2, ou au moins dans l’un de ses anciens variants. De là, l’hôte devrait réagir à cette protéine en produisant des anticorps. Si la quantité d’anticorps est trop importante, il se produit une tempête immunitaire [aussi appelé choc cytokinique ou encore tempête de cytokines – NdT] ; si la quantité d’anticorps est insuffisante, l’immunité induite est inutile.

Remarquez que la thérapie génique n’a jamais été utilisée à grande échelle. Elle n’a été utilisée que dans des protocoles expérimentaux anti-tumoraux de phase 1. Les médicaments étaient tellement toxiques que les essais de phase 2 n’ont jamais été réalisés. Les « vaccins » à ARN contre le Mers et le Sras ont suivi la même trajectoire conduisant à l’échec.

En 1999, le généticien Alain Fischer, a mené le premier essai clinique avec quelques rares résultats positifs dans le monde des thérapies géniques [pour les lecteurs francophones qui aimeraient en savoir plus sur Fischer dans le cadre des thérapies géniques qu’il a menés, lire cette interview menée par La Jaune et la Rouge en janvier 2002 – NdT]. Ce même Alain Fischer a été nommé expert en vaccins par les autorités françaises. Interrogé sur le « vaccin » Pfizer, Fischer a répondu avec prudence, soulignant que les effets de l’infectiosité et la durée de l’immunité étaient inconnus, que les effets secondaires étaient inévitables et que la crainte du vaccin était compréhensible. De toute évidence, l’analyse de Fischer ne correspondait pas au discours pro-vaccin, puisqu’il ne bénéficie plus [aujourd’hui – NdT] d’une exposition médiatique.

Un « vaccin » au mieux inutile, au pire nuisible ?

L’histoire des vaccins est pleine de scandales majeurs. En voici quelques exemples :

  1. Le vaccin de Salk contre la polio qui a provoqué la pire épidémie de polio de l’histoire en infectant 200 000 personnes avec un poliovirus vivant, dont 70 000 sont tombées malades ;
  2. La prévalence actuelle de la poliomyélite causée par les vaccins par rapport à la poliomyélite d’origine naturelle ;
  3. Le vaccin contre la dengue déclenchant la production d’anticorps qui ne sont pas nuisibles mais bénéfiques au virus de la dengue, ce qui entraîne des formes plus graves de la maladie ;
  4. Et n’oublions pas Bergame, en Italie, où la population a connu une forte prévalence de formes graves de Covid-19 parmi les personnes vaccinées. Il n’y a pas de mystère, car depuis des années, on sait que le vaccin anti-grippe favorise et aggrave les infections à coronavirus.

De même, les vaccins contre les proches parents du Sras-CoV-2 comme le Sras ou le Mers, qui comme le « vaccin » Pfizer ciblent la protéine Spike, ont également été testés mais rapidement abandonnés, l’un des principaux effets indésirables étant la création d’anticorps qui ne préviennent pas mais favorisent les infections virales.

Les vaccins contre la dengue, la grippe, le Sras et le Mers partagent le même défaut fondamental, bien connu des scientifiques sous le nom de renforcement dépendant des anticorps[ou facilitation de l’infection par des anticorps – NdT], causé par le vaccin qui, au lieu de fournir une immunité, augmente la vulnérabilité à et la gravité de la maladie qu’il cible. Dans ce contexte, il ne serait pas surprenant que les « vaccins » à ARN déclenchent des formes plus graves de Covid-19.

En outre, comme la plupart des rétrovirus, le Sras-CoV-2 est extrêmement enclin aux mutations. L’analyse de 10 000 de ses génomes a révélé un nombre élevé de modifications génétiques :

« 2 969 mutations faux-sens, 1 965 mutations silencieuses, 484 mutations dans les régions non codantes, 142 suppressions non codantes, 100 suppressions dans le cadre de lecture, 66 insertions non codantes, 36 variants à mutation ponctuelle, 11 suppressions de décalage du cadre de lecture et deux insertions dans le cadre de lecture. »

Source

Ce nombre important de variations génomiques a conduit à l’émergence d’au moins 14 variants distincts, dont le « variant anglais » qui présente 23 mutations détectables, dont 70 pour cent sont situées sur sa protéine Spike, qui est la cible même du « vaccin » Pfizer.

© Nextstrain
Variants Sras-CoV-2

Que ce soit une coïncidence ou pas, le Remdevisir mentionné ci-dessus a été testé sur des patients britanniques dans au moins 15 centres de santé différents et largement administré après sa pseudo-approbation. Il est désormais établi que le Remdevisir déclenche des mutations dans le Sras-CoV-2, en particulier dans sa protéine Spike. Étant donné sa propriété mutagène et son utilisation au Royaume-Uni, la question évidente est la suivante : « Le Remdesivir a-t-il joué un rôle dans l’apparition du variant anglais ? »

Quoi qu’il en soit, dans la seule ville de Marseille, pas moins de 33 patients sont tombés malades à deux reprises, du variant appelé Marseille 1, puis du variant Marseille 4. Pire encore, toujours à Marseille, un patient a été infecté trois fois par des variants du Sras-CoV-2 en seulement neuf mois.

La réinfection par le Sras-CoV-2 est suffisamment répandue pour que les scientifiques ne se demandent plus si elle se produit, mais comment elle se produit :

« la possibilité de réinfection par le Sras-CoV-2 n’est pas bien comprise […] une exposition antérieure au Sras-CoV-2 ne se traduit pas nécessairement par une immunité totale garantie. Les implications des réinfections pourraient être pertinentes pour le développement de vaccins […] L’analyse génomique du Sras-CoV-2 a montré des différences génétiquement significatives entre chaque variant associé à chaque cas d’infection. »

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Ces réinfections suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 pourrait ne durer que quelques mois, l’une des raisons de cette courte immunité étant probablement les nombreuses mutations du Sras-CoV-2. Si l’immunité naturelle n’empêche pas une réinfection rapide, le « vaccin » Pfizer, qui, contrairement à l’immunité naturelle, ne cible qu’une petite partie du virus — à savoir sa protéine Spike, qui a considérablement changé depuis la conception du « vaccin » — devrait donner des résultats encore plus médiocres. En conclusion, il est peu probable que le « vaccin » Pfizer confère une immunité durable, si tant est qu’il en confère une tout court, en particulier contre les variants actuels et futurs.

Ce qui précède n’est pas seulement théorique. En Israël, par exemple, pas moins de 12 400 résidents ont été testés positifs au Sras-CoV-2 après avoir reçu le « vaccin » Pfizer, parmi lesquels 69 personnes qui avaient déjà reçu la deuxième dose.

La méthodologie du « vaccin » Pfizer

1/ Objectifs de procédure inappropriés

L’essai de Pfizer avait pour objectif principal d’évaluer, 28 jours après la première inoculation, la fréquence des formes légères à sévères du Covid-19. Le taux de mortalité, l’infectiosité, la durée de l’immunité (le cas échéant), ou même l’apparition de formes légères à sévères à long terme n’ont pas été étudiés. Mais, attendez une minute, toute la pandémie et l’hystérie vaccinale ont été construites sur ces mêmes craintes de mort et de contamination, nous avons entendu ad nauseam les injonctions des médias : « les gens meurent en masse », « faites-vous vacciner pour éviter d’infecter les autres », « faites-vous vacciner pour être immunisé contre le Covid-19 », « faites-vous vacciner pour éviter de mourir du Covid-19 », etc.

2/ Partialité du groupe testé

La sélection des essais, en particulier l’âge combiné à l’état de santé, constitue un autre préjugé frappant. Nous avons montré ci-dessus que les personnes fragiles et âgées sont de loin les plus susceptibles de souffrir du Covid-19. Mais seulement 2 pour cent de l’essai de Pfizer comprend des patients de plus de 75 ans et souffrant de maladies préexistantes. En outre, les sujets de tout âge présentant des comorbidités sont nettement sous-représentés :

« Au total, seule une personne sur cinq semble souffrir d’une affection sous-jacente, et pour les différentes affections sous-jacentes individuelles, le pourcentage de personnes qui en souffrent est souvent inférieur à 1 pour cent. »

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De plus, la taille limitée du groupe vaccinal (environ 20 000 participants) ne présente pas toutes les combinaisons âge – race – sexe – maladie – traitement – profil génétique rencontrées dans la population générale. Il n’existe aucune donnée de sécurité concernant les enfants, les personnes immunodéprimées ou les femmes enceintes, pour la bonne et simple raison qu’ils ont été exclus de l’essai.

Fondamentalement, Pfizer a sélectionné des sujets jeunes et sains pour tester un « vaccin » qui est maintenant administré en priorité aux personnes âgées et malades. Quel est l’intérêt d’étudier de jeunes individus en bonne santé, qui, vaccinés ou non, sont de toute façon à peine touchés par le Covid-19 ? Ce préjugé minimise-t-il les effets secondaires et maintient-il l’illusion d’un « vaccin » sûr ?

3/ Placebo au lieu de médicaments dont l’efficacité est connue

Un nouveau médicament est testé contre un placebo lorsque la maladie ciblée n’a pas de remède connu. Dans le cas du Covid-19, il existe plusieurs remèdes connus auxquels Pfizer aurait dû comparer son « vaccin ».

C’était le concept de l’essai clinique Discovery qui comparait le Remdesivir, l’hydroxychloroquine et d’autres médicaments. Lorsque les résultats préliminaires ont commencé à montrer que l’hydroxychloroquine était le plus efficace, elle a rapidement été retirée des essais. Pfizer n’a pas fait la même erreur en testant son nouveau médicament contre un médicament efficace. Au lieu de cela, ils ont testé leur « vaccin » contre un placebo.

4/ Conception et traitement unilatéral des données

Aucune partie tierce n’a été impliquée dans la conception de l’essai, son suivi et le traitement des résultats. Toute l’étude a été conçue, menée, analysée, publiée et payée par l’entreprise Pfizer elle-même.

Comme l’a déclaré le neurologue néerlandais Jan B. Hommel :

« Le fait qu’un comité indépendant sur les données et la sécurité ait pu voir les données ne change rien à cela, pour la simple raison qu’il n’était pas inclus ni n’a rien eu à dire dans la conception de la recherche, la sélection des participants, les statistiques utilisées ou la publication. […] Je n’ai pas besoin d’expliquer ici comment une telle façon de faire peut conduire à des résultats biaisés de la recherche scientifique, parce que cette question a fait l’objet de recherches et de publications approfondies au cours des vingt dernières années. »

Bénéfices

Le principal argument marketing du « vaccin » de Pfizer est son efficacité supposée de 95 pour cent. Ce chiffre est la seule affirmation de Pfizer et il doit être pris avec des pincettes en raison de nombreux facteurs :

1/ Les précédents de Pfizer

Nous devons d’abord comprendre le contexte de l’entreprise à laquelle nous avons affaire ici. Pfizer est la plus grande entreprise pharmaceutique au monde et c’est également l’entreprise qui a été condamnée à la deuxième plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis pour avoir menti sur l’un de ses médicaments et avoir soudoyé des médecins. Cette amende record n’est qu’un exemple parmi d’autres. Pfizer a été condamné à de nombreuses reprises pour avoir dissimulé les principaux effets secondaires du Protonix, caché les propriétés cancérigènes du Prempro, menti sur le comportement suicidaire provoqué par le Chantix, fait la promotion de la Depo-Testosterone comme étant efficace et sûre alors qu’elle est inefficace et induiit des effets secondaires importants, et mené des essais cliniques illégaux pour le Trovan au Nigeria, qui a causé la mort de 11 enfants. La liste des crimes commis par Pfizer ne cesse d’augmenter.

N’oublions pas non plus que grâce à la vente mondiale de son « vaccin » à ARN, Pfizer encaissera 14 milliards de dollars par an — soit plus que le PIB du Nicaragua.

2/ Efficacité relative versus efficacité absolue

Au cours de l’essai clinique de Pfizer, 8 cas de Covid-19 ont été trouvés dans le groupe des 20 000 personnes vaccinées et 86 cas dans le groupe placebo de 20 000 personnes. Cela signifie que le taux de contamination au Covid-19 est de 0,0004 dans le groupe du vaccin et de 0,0043 dans le groupe placebo. Par conséquent, la réduction absolue du risque pour un individu n’est que d’environ 0,4 pour cent (0,0043 – 0,0004 x 100).

Le « nombre de personnes qui a besoin d’être vacciné (NNTV) » est égal à 256 (1 / 0,0039), ce qui signifie que pour prévenir un seul cas de Covid-19, 256 personnes doivent recevoir le « vaccin » ; les 255 autres personnes ne retirent aucun bénéfice, mais sont soumises à ses nombreux effets indésirables [le NNTV est une métrique utilisée dans l’évaluation des vaccins et dans la détermination de la politique de vaccination. Il s’agit d’une application spécifique du nombre nécessaire pour traiter la métrique qui intègre les implications de l’immunité collective – NdT].

3/ Exclusion des cas suspects

L’efficacité (relative) revendiquée de 95 pour cent a été obtenue en excluant un total de 3 410 cas Covid-19 suspectés, mais non confirmés (probablement en raison de faux négatifs). Lorsque ces 3 410 cas suspects sont réintégrés, l’efficacité relative tombe à 19 pour cent (ce qui est bien inférieur au seuil d’efficacité de 50 pour cent fixé par les autorités de réglementation) et la réduction absolue du risque tombe à un ridicule 0,08 pour cent.

4/ Résultats non reproduits

La pierre angulaire de tout travail scientifique est sa reproductibilité. Les résultats de l’essai clinique ont été publiés dans une revue à la fin de 2020, mais les essais cliniques n’ont pas été reproduits et il est peu probable qu’ils le soient, car aucune entreprise pharmaceutique ne réalisera d’essais cliniques coûteux pour une molécule brevetée par un concurrent. Nous n’avons donc que la parole de Pfizer, qui est également un criminel récidiviste.

En résumé, selon Pfizer, l’avantage de son « vaccin » repose sur une réduction des symptômes de la grippe chez les jeunes en bonne santé. Ils ne savent pas, ou plutôt, ils ne veulent pas que nous sachions, ce qui importe vraiment : les symptômes chez les personnes fragiles et âgées, la mortalité, l’infectiosité ou la durée de l’immunité. Nous commençons à en avoir une idée.

L’ironie est que le « vaccin » n’a même pas atteint son objectif principal (et non pertinent) qui était la réduction de la forme grave du Covid-19. On peut lire dans l’éditorial du New England Journal of Medicine où ont été publiés les résultats de l’essai clinique de Pfizer :

« Le nombre de cas graves de Covid-19 (un dans le groupe du vaccin et neuf dans le groupe placebo) est trop faible pour que l’on puisse tirer des conclusions quant à savoir si les rares cas qui surviennent chez les personnes vaccinées sont réellement plus graves. »

Les risques du vaccin Pfizer

On sait peu de choses sur les bénéfices du « vaccin » de Pfizer et le peu qui est revendiqué n’est pas pertinent. Mais les informations sur les risques arrivent lentement, et les résultats ne sont pas très reluisants.

1/ Les effets indésirables du « vaccin»

Selon la FDA, le « vaccin » Pfizer peut provoquer de nombreux « effets indésirables » graves, et ce ne sont que les effets indésirables connus induits par les vaccins « traditionnels » et leurs adjuvants habituels :

© FDA
Les effets indésirables du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : La FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport, d’où est tiré l’image ci-dessus :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.

Les effets à long terme des vaccins sont connus pour être parmi les plus dévastateurs. Ainsi, en plus de la liste ci-dessus, il est très probable que de nombreux autres effets indésirables graves induits par les « vaccins » à ARN seront progressivement identifiés, comme la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer, le cancer et la sclérose en plaques, comme le suggère Judy Mikovitz [Voir un extrait de cet échange vidéo traduit en français dans cet article – NdT].

L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai.

Les effets indésirables des vaccins énumérés ci-dessus sont de plus en plus considérés par les autorités comme une conséquence du Covid-19. C’est le cas du syndrome de Guillain-Barré qui, depuis décembre 2020 et peu après le début de la campagne de vaccination, serait causé par le Covid-19. Jusqu’alors, aucune causalité entre les deux n’était revendiquée, si ce n’est une aggravation des symptômes du Covid-19 chez les patients atteints du syndrome de Guillain-Barré. Il en va de même pour le syndrome inflammatoire multi-systèmes chez les enfants, qui est maintenant considéré comme étant causé par le Sras-CoV-2, et pour le syndrome de Kawasaki, une réaction vaccinale avérée qui est maintenant imputée au Covid-19.

Pour minimiser encore les effets potentiellement dévastateurs du « vaccin » Pfizer, un rapport des CDC indique que l’anaphylaxie est à l’origine d’un nombre croissant d’effets indésirables.

Tout serait parfait, sauf que lorsque l’on calcule le pourcentage d’incidence de ces événements, on obtient les chiffres suivants :

  • 14 décembre : 3 / 679 = 0,4 pour cent ;
  • 15 décembre : 50 / 6 090 = 0,8 pour cent ;
  • 16 décembre : 373 / 27 823 = 1,3 pour cent ;
  • 17 décembre : 1 476 / 67 963 = 2,2 pour cent ;
  • 18 décembre : 3 150 / 112 807 = 2,8 pour cent.

Comme vous pouvez le constater, le taux d’incidence de l’« anaphylaxie » ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par sept, passant de 0,4 à 2,8 pour cent en cinq jours seulement, ce qui laisse supposer que le vaccin a des effets indésirables retardés qui peuvent mettre des jours à se manifester. Le problème est que l’anaphylaxie est connue pour se manifester presque immédiatement après l’exposition à l’agent allergène :

« Les symptômes peuvent commencer quelques secondes ou minutes après l’exposition à l’aliment ou à la substance à laquelle vous êtes allergique et, en général, ils progressent rapidement. Dans de rares cas, il peut y avoir un retard de quelques heures dans l’apparition des symptômes. »

Source

Cela signifie que d’autres effets indésirables (retardés) se produiront probablement parallèlement à l’anaphylaxie (immédiate).

2/ Les réactions négatives au « vaccin »

À ces effets négatifs, il faut en outre ajouter les réactions négatives. Le tableau ci-dessous récapitule les réactions au « vaccin Pfizer » (selon Pfizer) lors de la deuxième inoculation :

© Vox
Réactions secondaires signalées du « vaccin » Pfizer

Note du traducteur : Colonne de gauche : Douleurs – Rougeurs – Gonflements – Fatigue – Fièvre – Maux de tête – Frissons – Vomissements – Diarrhées – Douleurs musculaires – Douleurs articulaires
Deuxième colonne : Toute réaction – Troisième colonne : réactions moyennes – Quatrième colonne : Réactions modérées – Cinquième colonne : Réactions graves

Toutefois, une réserve s’impose. Ce tableau se concentre uniquement sur le sous-groupe des 18-55 ans, essentiellement les jeunes et les personnes en bonne santé, qui développent rarement une forme grave de Covid-19 et en meurent encore plus rarement.

La fréquence des réactions secondaires est élevée : 59 pour cent éprouvent de la fatigue, 52 pour cent des maux de tête, 37 pour cent des douleurs musculaires. Presque tous les patients ont ressenti des réactions secondaires. La gravité des symptômes est également assez effrayante. Par exemple, 38 pour cent des sujets jeunes et en bonne santé ont éprouvé une fatigue modérée à forte et 26 pour cent des maux de tête modérés à forts. « modéré » signifie interférer avec l’activité et « grave » signifie empêcher l’activité quotidienne.

En revanche, la population générale a une probabilité de plus de 60 pour cent de ne pas avoir de symptômes après avoir contracté le Sras-CoV-2. La sous-population relativement jeune et saine sélectionnéepar Pfizer a environ 80 pour cent de probabilité d’être asymptomatique. Ainsi, d’un côté, nous avons le « vaccin » Pfizer avec ses réactions secondaires garanties à 100 pour cent, et de l’autre, nous avons le Sras-CoV-2 à 80 pour cent asymptomatique.

Ce « vaccin » cause-t-il plus de symptômes que la maladie qu’il est censé guérir ?

Notez dans le tableau ci-dessus que, tout comme le tableau des effets indésirables des vaccins, seules les réactions négatives peu après l’inoculation sont enregistrées. Les réactions négatives survenues plus de deux mois après la première inoculation n’ont tout simplement pas été évaluées.

Cela signifie que nous n’avons aucune idée des risques à moyen et long terme du « vaccin ».

3/ Les décès dus aux vaccins

La mort figurait sur la liste des effets indésirables de la FDA, et la FDA avait raison. Plusieurs décès sont survenus peu après la vaccination. Au début, les cas semblaient sporadiques. Un décès, puis un second sont survenus en Israël peu après l’inoculation. À peu près au même moment, un décès similaire est survenu en Suisse. Puis un médecin de Floride est mort peu après avoir reçu le « vaccin » Pfizer.

Le cas de la Norvège est plus singulier avec 2 décès dus au vaccin début janvier, suivis de 23 décès dans une maison de retraite. Cela fait un total de 25 décès dus au vaccin alors qu’environ 20 000 doses y ont été administrées dans les semaines précédant les « incidents ». Ainsi, le taux de mortalité lié au « vaccin » est d’environ 0,125 pour cent, ce qui est comparable au taux de létalité du Covid-19 mentionné plus haut. Et ces décès induits par le « vaccin » ne sont que les premiers et ils sont consécutifs à une seule inoculation.

Plus choquant encore est le cas des maisons de retraite de Nice, avec 50 décès en surnombre le 15 janvier, soit seulement 4 jours après le début des vaccinations. Au cours de ces quatre jours, environ 16 000 doses du « vaccin » Pfizer y ont été administrées. Cela donne un taux de mortalité préliminaire par vaccin supérieur à 0,3 pour cent, soit plus du double du taux de létalité du Covid-19 et, là encore, ce nombre de décès est limité à quelques jours après la toute première inoculation.

La Norvège et Nice ne sont pas des cas isolés. Après la première inoculation du « vaccin » Pfizer à 5 847 patients de Gibraltar, 53 d’entre eux sont morts en quelques jours. Cela représente un taux de mortalité lié au vaccin de 0,9 pour cent. Une maison de retraite de New York qui n’avait connu aucun décès dû au Covid-19 avant la vaccination, a signalé 24 décès juste après la vaccination de 193 résidents. Cela représente un taux de mortalité vaccinale de 12 pour cent. La liste des victimes du vaccin se poursuit, et ce juste après la première dose.

Le « médicament » est-il plus mortel que la maladie qu’il est censé guérir ?

Bien entendu, les autorités nient tout lien entre les vaccinations et ces décès. Elles accusent les comorbidités. Quand un individu vacciné avec des comorbidités meurt, c’est à cause des comorbidités. Lorsqu’un individu présumé positif au Sras-CoV-2 et présentant des comorbidités meurt, c’est à cause du Sras-CoV-2. Tout cela a-t-il un sens ?

Conclusion

Le Covid-19 est une maladie bénigne pour laquelle il existe des traitements sûrs et efficaces. Mais ces traitements sont interdits ou supprimés alors qu’un dangereux et inefficace « vaccin » à ARN nous est imposé par chantage : pas de vaccin = pas de liberté. Des dizaines de millions de personnes ont déjà été vaccinées, alors, si vous devez vous faire injecter le « vaccin », voici un article décrivant les approches thérapeutiques et nutritionnelles pour atténuer ses effets secondaires.

Les élites ne veulent pas nous protéger, elles veulent nous contrôler. Ces créateurs de réalité autoproclamés ont fabriqué un vaccin [pour diffuser le virus] de l’« obéissance » qui s’est royalement retourné contre eux et s’est transformé en un [virus] mutant [diffusant la] « désobéissance ». Ils ont donc créé de toutes pièces une fausse pandémie afin d’imposer un vaccin qui, je crois, est conçu pour annuler les effets bénéfiques du mutant « désobéissance ». En outre, ce vaccin est plus mortel et plus nocif que la maladie mineure qu’il est censé guérir.

Mais comme nous le verrons dans le prochain épisode, au lieu de faire semblant de prévenir une fausse pandémie, le « vaccin » à ARN pourrait très bien se recombiner avec des endo-rétrovirus dormants et déclencher une véritable pandémie lors d’une seconde épopée. Si cela devait se produire, cela montrerait une fois de plus que l’histoire a un sens de l’ironie superbe.


Notes : 

Certains des liens de cet article mènent à des vidéos en français de chercheurs du laboratoire de l’IHU comme Didier Raoult, Louis Fouché, Michel Drancourt ou Philippe Parola. En dehors de la Chine, le laboratoire IHU a publié le plus grand nombre d’articles sur le SARS-COV-2 à ce jour. Ces chercheurs ont donc une connaissance unique de la « pandémie », malheureusement [sauf pour les francophones – NdT] leurs présentations vidéo sont pour la plupart en français.

Cet article a initialement été publié en anglais le 27 janvier 2021 : Sott.net

Pierre Lescaudron 

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Après une formation d’Ingénieur et l’obtention d’un MBA, Pierre a occupé des fonctions de direction générale, de consultant et d’enseignant en 3e cycle. Pierre a rejoint Sott.net pour qui il écrit des articles et mène des traductions, satisfaisant ainsi sa soif de découverte en particulier dans les domaines des sciences, des technologies, de la santé et de l’histoire.

Pierre est également instructeur certifié du programme Eiriu Eolas et pendant son temps libre, il aime fabriquer ou construire toute sorte de choses.




Annonces de la coordination Santé Libre : des anomalies méthodologiques dans les études sur les vaccins Covid-19

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Ce dimanche 31 janvier 2021, la coordination Santé Libre a fait une conférence de presse sur le Covid-19. Cette coordination s’est mise en place lors de l’appel du 9 janvier 2021 rassemblant plusieurs collectifs tels Laissons les médecins prescrire, Réinfocovid, Azy-thro-d’hospitalisations, Bon Sens et ChroniLyme.*

Leur Conseil scientifique indépendant a fait, ce dimanche 31 janvier 202, ses premières annonces dont certaines d’entre elles sont alarmantes.

Que disent-ils sur les vaccins Covid-19 ?

Précisons que la coordination Santé Libre n’est pas anti-vaccin. Dr Vincent Reliquet, médecin responsable de la cellule stratégie vaccinale de cette coordination, remet radicalement en cause le développement pharmaceutique des vaccins Covid-19. Il souligne, suivant les vaccins, des anomalies dans les études, tels :

  • des biais de recrutement des sujets,
  • l’absence d’études randomisées,
  • l’absence de double aveugle,
  • la modification du placebo en cours d’étude,
  • des anomalies dans la présentation des effets indésirables,
  • un suivi du sujet réduit par rapport au protocole initial,
  • et des modifications des analyses statistiques par rapport aux hypothèses de départ, etc. Et les vaccins commercialisés présentent des lots de commercialisation différents des lots cliniques des essais, etc.

Dr Vincent Reliquet souligne, aussi, de multiples inquiétudes concernant ces vaccins, notamment pour les femmes enceintes car les industries pharmaceutiques ont exclu cette population de leurs études. Il s’attend à des effets indésirables graves et retardés de ces vaccins. La psychiatre et députée Martine Wonner rappelle qu’en Europe, il n’y a « aucune obligation vaccinale. » Et Dr Violaine Guérin insiste sur la liberté de prescription des vaccins Covid-19 par le médecin et le libre consentement du patient. Elle s’inquiète d’une possible « extorsion » du consentement du patient, notamment avec un possible passeport-vaccinal, des licenciements pour non- vaccination, ou le refus d’accéder au réfectoire pour les personnes âgées en Ehpad.

Ceci amène Dr Vincent Reliquet à s’interroger : « Pourquoi prendre le risque [de se vacciner contre le Covid-19] puisqu’il y aurait des traitements préventifs ? » D’autant plus, ajoute Dr Wonner, que la logistique de la vaccination va prendre beaucoup de temps avant que tous les citoyens puissent y accéder.

Ceci nous amène à la prévention et au traitement.

Que dit la cellule stratégie préventive et thérapeutique ?

Les médecins de cette cellule disent : « La notion de prévention est importante » et « le traitement [précoce] ramène le niveau du Covid-19 a une grippe. »

La coordination Santé Libre partage ses protocoles Covid-19 de prévention, de traitements précoces et ses commentaires sur ces protocoles thérapeutiques avec les tableaux que vous trouverez en pièce-jointes 1, 2 et 3. Ils disent sourcer toutes leurs préconisations avec la bibliographie, en pièce-jointes 4 et 5. Soyez prudent dans la lecture de ces tableaux ; par exemple, attention au surdosage en vitamine D.

La coordination Santé Libre annonce une « action-médicale » collective : du « sport sur ordonnance »

Cette « action-médicale » débutera le 7 février 2021. Elle se déroulera de 11h à 11h45 en musique avec des médecins, des professionnels de la culture, des restaurateurs (pour une collation après l’effort) et les étudiants seront les bienvenus. Ceci pour prendre soin de soi, des autres et remettre du lien humain.

La coordination Santé Libre fourmille d’idées et d’initiatives pour prévenir et soigner les citoyens du Covid-19.

Source principale : visioconférence le 31 janvier 2021

Candice Vacle


Note

*Communiqué de presse portant création de la Coordination Santé Libre (CSL) et des actions à venir.https://platform.twitter.com/embed/index.html?creatorScreenName=avic_sy&dnt=false&embedId=twitter-widget-0&frame=false&hideCard=false&hideThread=false&id=1348942646350401542&lang=fr&origin=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fannonces-de-la-coordination-sante-libre-des-anomalies-methodologiques-dans-les-etudes-sur-les-vaccins-covid-19%2F&siteScreenName=avic_sy&theme=light&widgetsVersion=ed20a2b%3A1601588405575&width=550px


Pièces jointes

Pièce 1 – Prévention Covid-19 – situations pratiques – PCR négatives

Pièce 2 – Traitement ambulatoire précoce Covid-19 – PCR positives

Pièce 3 – Commentaires sur les protocoles thérapeutiques Covid-19

Pièces 4 et 5 – Bibliographie des préconisations de la coordination Santé Libre Terminé le 31 janvier 2021

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« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal n’est pas un homme »*. Mise à jour

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

[*] Proverbe touareg, Mali – Niger (Guide de la sagesse africaine, Liliane Prevost et Barnabé Laye, L’Harmattan, Paris /Toronto, 1999, page 180).


Les documents officiels français : Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

https://www.dila.premier-ministre.gouv.fr/

[Extraits]

Vaccination contre le Covid-19 : quel calendrier ?

Publié le 18 janvier 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

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Crédits : © Rido – stock.adobe.com

Les publics concernés et le calendrier

Dans un premier temps :

Le déploiement de la vaccination se fait progressivement avec une priorité donnée depuis le 27 décembre 2020 et tout au long du mois de janvier 2021 aux publics les plus vulnérables au virus et les plus susceptibles de développer des formes graves de la maladie. Il s’agit :

  • des personnes âgées en établissements : établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), unités de soins de longue durée (USLD), résidences autonomie, résidences services seniors ;
  • des personnels qui travaillent dans ces établissements lorsqu’ils sont à risque de développer une forme grave du Covid-19 ;
  • des professionnels des secteurs de la santé (y compris libéraux) et du médico-social, des pompiers et des aides à domicile âgés de 50 ans et plus et/ou présentant des comorbidités depuis le 4 janvier 2021 ;
  • des personnes handicapées hébergées dans des établissements spécialisés et leurs personnels âgés de 50 ans et plus et/ou présentant des comorbidités ;
  • des personnes âgées de 75 ans et plus vivant à domicile à partir du 18 janvier 2021. La prise de rendez-vous dans des centres de vaccination se fera par téléphone et via internet à partir du 15 janvier 2021 ;
  • des patients vulnérables à très haut risque à partir du 18 janvier 2021 qui devront avoir une prescription médicale de leur médecin traitant pour bénéficier de la vaccination sans critère d’âge.

Textes de référence

Vaccination contre le Covid-19 : comment prendre rendez-vous pour les plus de 75 ans ?

Publié le 15 janvier 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

Illustration 1
Crédits : © M.Dörr & M.Frommherz – stock.adobe.com

Gratuite, la vaccination des personnes âgées de plus de 75 ans vivant à leur domicile débute à partir de lundi 18 janvier 2021 dans des centres de vaccination. Par téléphone ou en ligne, comment prendre rendez-vous ? Service-Public.fr vous explique.

Cette campagne se déroule progressivement dans des centres de vaccination. Sur place, un questionnaire très simple visant à vérifier que la vaccination peut se dérouler normalement et dans de bonnes conditions sera à remplir. Il sera possible de voir un médecin, puisqu’il y aura toujours un médecin présent sur le centre de vaccination. Il s’agit d’une injection intramusculaire, dans l’épaule le plus souvent. À l’issue de l’injection, il faut rester environ quinze minutes sur place par mesure de sécurité avant de pouvoir rentrer à son domicile. Le vaccin vous protégera contre les formes graves du Covid-19 entre trois et six semaines après la première injection.

  À noter : Les personnes isolées sont invitées à se rapprocher de leur mairie pour trouver des solutions adaptées pour les transports.

Sur internet

Les personnes de plus de 75 ans, ou leurs proches, peuvent prendre les deux rendez-vous pour les deux injections sur Santé.fr dans le centre de leur choix.

Par téléphone

Vous pouvez prendre-rendez vous en appelant :

  • le numéro vert 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h qui vous oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi ;
  • le centre de vaccination près de chez vous dont vous aurez trouvé les coordonnées téléphoniques sur le site Santé.fr qui propose une liste complète des centres ouverts dans chaque département.

  À noter : Votre mairie, votre pharmacien, votre médecin ou encore la presse locale peuvent également vous renseigner sur les centres de vaccination ouverts près de chez vous.

  Rappel : Le jour du rendez-vous, il faut se présenter avec sa carte d’identité et sa carte vitale (ou une attestation de droits).

Les modalités

La vaccination est gratuite. Les vaccins sont achetés par l’Agence nationale de santé publique qui assure leur mise à disposition à titre gratuit. En effet, un décret du 31 décembre 2020 prévoit pour tous la prise en charge intégrale des consultations pré-vaccinales et de vaccination, ainsi que des frais d’injection du vaccin. Les non assurés sociaux bénéficient d’une dispense d’avance de frais.

La vaccination n’est pas obligatoire. Elle repose sur une décision partagée entre le patient et son médecin. Ainsi, le consentement du patient doit être recueilli au préalable et tracé dans son dossier médical. Le consentement écrit n’est pas exigé pour se faire vacciner. Ce qui est exigé, c’est que la personne qui se fait vacciner ait reçu une information claire, loyale, appropriée et ne s’oppose pas à être vaccinée.

  À savoir : Vous avez des questions sur la stratégie de vaccination, sur les vaccins, sur leur approvisionnement et leur surveillance ? Rendez-vous sur la Foire aux questions du ministère des Solidarités et de la Santé .

Textes de référence

Et aussi

Pour en savoir plus


Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Comment accélérer la cadence?

Ce cheminement linéaire permet de résoudre les questions scientifiques, une par une, sans prendre de risques financiers inutiles. Car les coûts pour développer un nouveau vaccin sont immenses : une entreprise qui investit 100 millions par année en R et D peut s’attendre à obtenir une approbation tous les 6 à 8 ans.

« Pour la COVID-19, financer le développement n’est pas un problème », note cependant le philanthrope Bill Gates sur son blogue. Pour leur part, les scientifiques comptent sur d’abondantes études sur les deux autres coronavirus émergents du XXIe siècle (voir l’encadré plus bas). Ils peuvent accélérer la recherche préclinique grâce au financement abondant dont ils disposent présentement, explique le virologue Marc-André Langlois, de l’Université d’Ottawa. « On peut payer plus de salaires, acheter davantage d’équipement, automatiser des processus », dit-il.

Une fois en phase clinique, les chercheurs peuvent assez rapidement vérifier qu’un vaccin candidat est sécuritaire. Toutefois, il est plus difficile d’accélérer la phase visant à confirmer son efficacité. « On ne peut pas exposer quelqu’un volontairement à une maladie mortelle, ce n’est pas acceptable au point de vue éthique », explique M. Langlois.

Finalement, les compagnies pharmaceutiques espèrent gagner du temps en bout de parcours sur le plan de l’homologation. « On s’attend à ce que le processus d’accréditation par les agences réglementaires soit grandement accéléré », souligne Alain Lamarre.

Recherche d’un vaccin

En date du 22 mai, l’Organisation mondiale de la santé répertorie 124 vaccins candidats contre la COVID-19.

Phase clinique

Une poignée d’entre eux sont actuellement à l’étape des tests sur des humains. On compte parmi ceux-ci le vaccin à base d’ARN de l’entreprise américaine Moderna, considéré comme particulièrement prometteur, pour lequel des essais cliniques de phase II avec 600 participants doivent commencer sous peu.

Il y a aussi le vaccin de type « vecteur viral non répliquant » de la compagnie chinoise CanSino. Celle-ci est la première dans le monde à avoir commencé des essais cliniques de phase II. Le Conseil national de recherches du Canada a signé une entente afin de pouvoir fabriquer et tester ce vaccin en sol canadien.

Phase préclinique

Cependant, l’immense majorité des équipes en sont encore aux études précliniques. Si elles obtiennent un candidat vaccin prometteur, nombre d’entre elles devront s’associer avec de plus gros joueurs pour passer aux étapes suivantes.

En 2014, cinq compagnies pharmaceutiques (GlaxoSmithKline, Merck, Novartis, Pfizer, Sanofi) contrôlaient près de 90 % du marché des vaccins.

Types

Globalement, les équipes à pied d’œuvre misent sur des types de vaccins variés afin de réussir à élaborer un vaccin efficace. « C’est un peu comme du shotgun : on tire un peu partout, et avec un peu de chance, il devrait y avoir une technologie qui va mieux fonctionner que les autres », illustre le spécialiste en immunologie André Darveau, également vice-recteur de l’Université Laval.

Voyons les sept grandes classes de vaccins parmi lesquels on peut classer les candidats actuels.

Virus inactivé / Même morts, certains virus peuvent entraîner une réponse immunitaire protectrice. Pour produire ces vaccins, on inactive le pathogène avec de la chaleur, de la radiation ou des produits chimiques.

Virus atténué / En introduisant le virus dans un hôte étranger, comme un œuf de poule fécondé, il acquiert certaines mutations qui le rendent inoffensif pour l’humain, mais qui procurent tout de même la réponse immunitaire adéquate.

Particules pseudo-virales / Ces particules sont très semblables au virus ciblé, mais ne possèdent pas la capacité de se reproduire à l’intérieur du corps humain. Elles peuvent être synthétisées ou bien exister naturellement.

Sous-unités du virus / On injecte seulement une partie du virus chez la personne à protéger. Pour cela, il faut en extraire l’antigène, c’est-à-dire la protéine qui déclenche la production d’anticorps par le système immunitaire. C’est souvent la protéine au bout des aiguillons du coronavirus qui remplit ce rôle.

Vecteur viral non répliquant / Il est également possible d’intégrer l’antigène dans un autre agent. Pour cela, on modifie génétiquement un virus inactivé que l’on connaît bien, comme un adénovirus, afin que celui-ci développe l’antigène.

Vaccin à ADN / Plutôt que d’administrer une forme affaiblie du virus lui-même, on injecte chez le patient la séquence d’ADN de l’antigène. Le corps le produit alors lui-même, ce qui stimule ensuite la création d’anticorps protecteurs.

Vaccin à ARN / On injecte cette fois-ci une séquence d’ARN de l’antigène. Ce type de matériel génétique est déjà prêt à être transcrit par la cellule pour en faire une protéine.

Cette dernière technologie n’a jamais été approuvée pour un vaccin pour l’humain, mais elle suscite actuellement beaucoup d’espoir. Du fait de sa simplicité, il serait possible de faire un grand nombre de vaccins à ARN très rapidement.

Au Canada

Quatorze équipes engagées dans la course sont des universités canadiennes ou des entreprises qui ont leur siège social au pays.

On compte notamment parmi elles Medicago, basée à Québec, qui développe un vaccin composé de particules pseudo-virales fabriquées par des plantes. Après des résultats encourageants sur des souris, elle doit débuter des essais cliniques cet été.

Autres pays

Ailleurs dans le monde, d’autres équipes franchissent de nouvelles étapes chaque semaine. Aux États-Unis, Inovio et Pfizer ont récemment commencé à faire des tests chez des cobayes humains. Au Royaume-Uni, des chercheurs de l’Université d’Oxford sont également à l’étape des essais cliniques.Au Canada14 équipesAutres pays110 équipes

Bref, les coureurs sont lancés. S’il est impossible d’affirmer à coup sûr que les efforts pour élaborer un vaccin contre le SRAS-CoV-2 seront couronnés de succès, la plupart des experts se montrent optimistes.

Après l’atteinte du fil d’arrivée, bien du travail restera sur la planche avant que le virus soit entièrement contrôlé partout sur Terre. « On n’aura pas besoin de juste mille doses, ou un million de doses, mais de milliards de doses », rappelle André Darveau.

Pourquoi n’a-t-on pas développé de vaccin contre le SRAS ou le MERS?

Après l’émergence du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), en 2002, des scientifiques se sont attelées à élaborer un vaccin contre ce nouveau coronavirus. La plupart des tentatives visaient à stimuler la réponse immunitaire contre la protéine de surface du SRAS-CoV-1, qu’on retrouve à l’extrémité des aiguillons formant sa couronne microscopique.

Certains projets de vaccins contre le SRAS-CoV-1 se sont révélés assez prometteurs pour atteindre l’étape des essais cliniques de phase I chez l’humain. Toutefois, aucun n’a abouti — et aucun cas de SRAS n’a été rapporté depuis 2004.

Selon André Darveau, c’est surtout parce que l’urgence ne se faisait plus sentir que le développement d’un vaccin contre le SRAS-CoV-1 a échoué. « On regarde ça maintenant, et on se dit que si on avait poursuivi ces efforts-là, ça nous aurait servi à mieux comprendre comment ce type de virus se multiplie », observe-t-il.

Aucun vaccin n’existe non plus contre le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), apparu en 2012. Testés sur des souris et des singes, des vaccins candidats ont déclenché la production d’anticorps spécifiques au virus, mais qui ne prévenaient pas l’infection. Plusieurs foyers d’éclosion se sont déclenchés au fil des années, mais sans que le virus prenne une ampleur inquiétante. Cumulativement, on recense un peu plus de 2500 cas et près de 900 décès.

« En l’absence d’un fardeau plus lourd sur les populations humaines, il semble improbable qu’un vaccin [contre le MERS] pour les humains soit viable économiquement un jour », écrivaient en 2016 deux experts dans l’International Journal of Infectious Diseases. Des efforts étaient toutefois considérés pour développer un vaccin pour les chameaux, qui constituent le réservoir principal du virus dans la péninsule arabique et en Afrique.

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.


Principe de précaution

Définition du principe de précaution

Le principe de précaution repose sur le recours à la gestion publique des situations de risque potentiellement graves et/ou irréversibles pour la santé, notamment lorsqu’il existe des incertitudes importantes concernant l’impact sur la population.


Controverse au sujet des soi-disant « vaccins » contre la covid-19. Ces vaccins sont-ils suffisamment sûrs ?

(Note : au Québec “Covid-19” est féminin, en tant que maladie, alors qu’en France le terme est plutôt utilisé au masculin, ce qui introduit une confusion avec le virus SRAS-CoV-2 qui en serait la cause).

  1. On constate que plusieurs phases n’ont pas été respectées.
  2. Ce ne sont pas des vaccins. (voir Prétendus “vaccins” Covid-19 à ARNm — Dr David Martin : Ne croyez pas ce qu’on vous dit ! et Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain.)
  3. Déjà un nombre de décès important. (Les moteurs de recherche tendent à censurer tout article qui mentionne des décès suite à la technologie à ARNm contre la covid-19).

Enquête: la base de données européenne des rapports d’effets indésirables indique que le vaccin Pfizer pourrait avoir causé 438 décès à ce jour en Europe

La base de données Eudravigilance permet de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les deux vaccins actuellement autorisés en Europe. Celui de Pfizer depuis le 21 décembre 2020 et celui de Moderna depuis le 6 janvier 2021. Nous allons nous intéresser plus particulièrement au vaccin de Pfizer qui a déjà été largement utilisé sur le continent.

 Avec un plus d’un mois de recul, on commence à avoir un aperçu des effets secondaires de ce vaccin. Au 23 janvier, 16 479 personnes ont déclaré des effets secondaires. Première chose, qui frappe lorsque l’on commence les recherches est que cela concerne principalement les 18-64 ans (+ de 80%). 1089 personnes entre 65-85 (6,6%) et 818 chez les plus de 85 ans (5%).  

Cela concerne aussi très majoritairement les femmes (76,1%).

L’Italie rapporte 35% des cas, le Royaume-Uni 17% et l’Espagne 10% (la France, connue pour sa faible remontée des effets indésirables médicamenteux de façon générle ne représente que 3% des cas).


Les effets indésirables les plus souvent rapportés concernent des problèmes généraux (température, douleur, malaise, etc..), le système nerveux, musculo-squelettique et gastro-intestinal.


On trouve de nombreux effets indésirables considérés comme sérieux. Cela représente selon les cas 1/3 (système nerveux), parfois la moitié (maladies cardiaques) et jusqu’au 2/3 des réactions (système immunitaire et infections).


Le système cardiovasculaire semble bien mis à mal avec 911 rapports (concernant une fois encore plutôt les personnes jeunes) et ayant provoqué pas moins de 63 décès dont 22 arrêts cardiaques.

173 décès dus à « troubles généraux » (la liste est longue et inclue la mort subite dans 34 cas)

Le pire c’est que 42 personnes sont mortes des suites de maladies pulmonaires du type dyspnée, insuffisance respiratoire aiguë, œdème ou embolie pulmonaire.


14 Covidés et 7 pneumonie: 34 infections en tout.


Eudravigilance n’a pas rendu les choses simples pour connaitre le bilan des morts suite à la vaccination. J’ai du retranscrire les chiffres sur Excel un par un dans chaque catégorie pour pouvoir avoir un bilan: 438 décès en un mois.
6786 cas sont considérés comme non résolus et 959 comme ayant des séquelles.

Aux Etats-Unis, le situation ne semble guère mieux.

Ce témoignage d’un infirmier américain confirme que ce vaccin tue. 
« James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades du COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.
Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.
Il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il soignait (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.
Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches. »
https://rumble.com/embed/vaoc61/?pub=4
Le système VAERS du CDC qui permet d’accéder librement à la base de données des effets indésirables indique que 181 personnes sont décédées dans les jours qui suivent la vaccination dont 44 le jour même et 40 le jour suivant (29 supplémentaires au bout de 2 jours). Donc 113 personnes sont décédés dans les 48H suivant la vaccination. A noter que les décès ne concernent pas que des personnes âgées. Ce rapport rapporte le cas d’un bébé mort né. Deux jours après la vaccination, le bébé bougeait moins et au troisième jour, il était en arrêt cardiaque.
Contrairement au site européen, il est possible de faire des recherches précises avec des informations sur chaque décès. On constate par exemple que certaines personnes sont mortes moins de 2H après l’injection:

Ou que d’autres développent une détresse respiratoire (entraînant la mort) dans les 24H comme dans la base de données européenne.

Le vaccin n’a pas l’air de réussir aux patients testés positifs au COVID. Cette personne en a fait les frais:

De tels chiffres ne plaident clairement pas en faveur d’une généralisation de la vaccination contre le COVID, en particulier pour les moins de 65 ans qui semblent plus touchés par les effets secondaires.
Une généralisation de la complémentation en vitamine C et vitamine D en prévention et l’utilisation d’ivermectine et d’artemisia (en curatif) seraient des mesures bien plus cohérentes pour faire reculer l’épidémie et surtout celle-ci ne risquent pas de nuire aux personnes en bonne santé contrairement à ce vaccin expérimental.

Publié par Fawkes News


Se pose maintenant la question fondamentale, comment un trisomique peut-il avoir un discernement suffisant pour juger de la pertinence de se faire vacciner ?

La réponse à cette question est évidente, c’est impossible, donc si on vaccine un trisomique, c’est obligatoirement une vaccination forcée. Si le trisomique décède, le premier ministre, les membres du gouvernement, peuvent êtres poursuivis pour acte volontaire.


La vaccination des trisomiques vient de débuter

La vaccination a commencé pour les personnes atteintes de trisomie 21, plus vulnérables face au Covid-19 (francetvinfo.fr)

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-personnes-atteintes-de-trisomie-21-plus-vulnerables-face-au-covid-19-la-vaccination-a-commence-pour-eux-aussi_4268359.html

https://youtu.be/FB3-RmgaBUc
Georgia Pouliquen

Les documents allemands, résumé d’Aktion T4

Programme eugéniste consistant à euthanasier les personnes souffrantes, physiquement handicapées ou mentalement déficientes, l’Aktion T4 a été officiellement lancé par Hitler en 1939, et bien qu’il ait été officiellement abandonné en 1941, l’extermination méthodique des handicapés s’est poursuivie dans le plus grand secret jusqu’à la défaite de l’Allemagne en 1945.

En octobre 1939, Adolf Hitler autorise son médecin personnel ainsi que le chef de la Chancellerie à euthanasier toutes les personnes considérées comme inaptes à vivre. Pour lui donner l’apparence d’une mesure de guerre, il antidate son ordonnance au 1er septembre 1939, jour marquant le début de la Seconde Guerre mondiale.


Remarque générale

Fermé à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertation avec des scientifiques indépendants, l’exécutif s’enferme dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche.
Cela ne vous rappelle rien ?


Conclusion

Mesdames et messieurs les avocats, les procureurs, et les juges, à vos marques. Nous ne laisserons pas souiller la France, le pays des Droits de l’homme, par des actes aussi ignobles.

Nous vous signalons au passage que toutes les mesures prises depuis le début de la crise du coronavirus sont illégales puisque Macron et son gouvernement s’appuient pour prendre les décisions sur un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont touché de l’argent de l’industrie pharmaceutique. Le fisc peut le prouver très facilement.


Annexe : Conflits d’intérêts

Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)

Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)

Article 1

Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 – art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)

Article 2

Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 – art. 6


De plus, en raison de ce qui précède, nous (démocrates, républicains, ou affiliés ou non à des courants politiques divers) attendons que les médias dénoncent ce crime contre les trisomiques qui est un crime contre l’humanité. Tous les médias qui ne le feront pas immédiatement seront considéré comme des complices.

Alain Nicolaï et Joseph Stroberg




Le conseiller C. Drosten de Merkel une nouvelle fois en justice pour fausses allégations

Par Dre Nicole Delépine

Nouvelle attaque de l’avocat Fuellmich contre Drosten et ses conseils dramatiques la gestion du Covid

Le Dr Reiner Fuellmich, avocat, persiste et signe contre C. Drosten, conseiller de la chancelière et responsable de la cascade de décisions délétères à propos du Covid, dont les tragiques confinements.

En complément de la plainte pénale portée par Maître Fuellmich en novembre 2020 au nom de son client lésé par la fermeture autoritaire de son établissement bar avec karaoké, l’avocat fait une procédure judiciaire civile [1] pour obtention de dommages et intérêts, contre le directeur de l’institut Robert Koch et conseiller de Mme Merkel (et par dominos de l’ensemble des dirigeants mondiaux) sur la crise Covid, Mr C. Drosten. Nous rapporterons ici les éléments nouveaux et/ou majeurs sur lesquels insiste l’avocat, les articles précédents détaillant les arguments déjà évoqués.[2]

Cas du plaignant, exploitant d’un bar et représentant de fait de tous les petits entrepreneurs ruinés

Le plaignant est exploitant d’un grand bar à karaoké très populaire à Berlin, qui connaît un grand succès depuis des années. Depuis la mi-mars 2020, le plaignant n’a pu générer aucun revenu de ce bar, car il a été forcé de rester fermé en raison du confinement. Le demandeur n’a reçu aucun paiement en réponse à une demande d’aide d’urgence présentée par le demandeur.

Ce n’est qu’après la publication de la lettre d’avertissement sur laquelle se fonde cette action que le demandeur a soudainement reçu des paiements substantiels s’élevant — à ce jour — à 92 235,64 € ; l’aide de novembre et décembre a été promise. Toutefois, le demandeur n’est toujours pas autorisé à reprendre ses activités commerciales, de sorte que de nouveaux dommages s’accumulent ; cette action vise initialement à obtenir des dommages-intérêts partiels pour le mois de janvier 2021. La demande de jugement déclaratif garantit que les dommages futurs, encore non quantifiables, sont également couverts.

Dans cette procédure, l’avocat rappelle les exigences faites auprès de l’accusé (défendeur) C. Drosten, conseiller scientifique de la chancelière, par lettre extrajudiciaire datée de décembre 2020 : il lui a demandé de s’abstenir de faire un total de cinq fausses allégations factuelles et par ailleurs de rembourser au demandeur les dommages partiels du confinement résultant de ces fausses allégations factuelles et des recommandations du défendeur pour un montant initial de 50 000 euros.

L’avocat réexpose les allégations mensongères de l’accusé qui ont fondé la politique sanitaire du gouvernement allemand et en conséquence de la plupart des pays affiliés à l’OMS qui ont suivi les affirmations et conseils de C. Drosten l’accusé. Ces mensonges sont évidemment particulièrement graves en raison de leur impact mondial, les confinements ayant ruiné une bonne partie de l’humanité.

L’accusé C. Drosten qui joue en Allemagne le même rôle le professeur Delfraissy et coll. auprès du président français, est poursuivi pour cause d’omissions et de dommages et intérêts.

L’avocat demande

  1. de condamner l’accusé, sous peine d’une amende maximale de 250 000 euros ou, à défaut, d’un emprisonnement à durée indéterminée pouvant aller jusqu’à six mois s’il ne s’abstient pas de faire les déclarations suivantes et/ou de diffuser ces déclarations (mensongères) et/ou de les faire diffuser : Le CoV-2 du SRAS est un pathogène entièrement nouveau qui peut même être transmis par des personnes qui ne présentent elles-mêmes aucun symptôme. Par conséquent, la seule solution est de diagnostiquer la maladie COVID-19 (remarquée ou non) au moyen d’un test PCR. Deux affirmations qui sont des mensonges avérés qui ont conduit aux aberrations de confinement généralisé, masques, etc.
  2. L’accusé est condamné à verser au requérant des dommages-intérêts d’un montant de 5 000 euros.
  3. Il est déclaré par la présente que l’accusé est tenu d’indemniser le demandeur pour tous les autres dommages, non encore quantifiables, que le demandeur a subis et subira en raison des mesures de verrouillage fondées sur les allégations visées aux points 1. a et b ci-dessus.
  4. Condamner la partie défenderesse (accusée) aux dépens du litige.

    En outre, l’avocat demande

  5. Si aucune première date n’est fixée pour la procédure orale, au cas où l’accusé ne respecterait pas un délai qui lui a été fixé 3
  6. en vertu de l’article 283 du code de procédure civile, de présenter par écrit, dans un délai fixé par le tribunal, l’exposé des conclusions de l’opposant qui n’ont pas été communiquées en temps utile avant la date de l’audience ;
  7. une copie intégrale de l’arrêt
  8. dans le cas où le jugement est exécutoire à l’encontre du requérant, accorder un titre exécutoire
  9. de certifier la date de signification aux défendeurs.

Les fausses hypothèses fondement de la politique anticovid du gouvernement fédéral allemand basée sur les fausses affirmations de l’accusé

Les mesures prises par le gouvernement fédéral, puis par les gouvernements des États fédérés, pour endiguer la pandémie dite COVID-19 reposent sur les hypothèses suivantes, qui reposent sur les affirmations de l’accusé en tant que principal conseiller du gouvernement fédéral telles qu’elles ont déjà été exposées dans la lettre du 15.12.2020 (annexe K 1)

En bref : cinq affirmations erronées ont été à la source de manipulations majeures et fatales pour une bonne partie du monde :

  • pas d’immunité de base ;
  • deuxième fausse déclaration : infectiosité sans symptômes ;
  • la troisième fausse déclaration : les diagnostics basés sur la PCR ;
  • la quatrième fausse déclaration : surcharge imminente des systèmes de soins de santé ;
  • la cinquième fausse déclaration : les restrictions à la liberté comme remède, l’imbrication des allégations de verrouillage délibérément fausses.

Deux fausses affirmations sont détaillées dans la procédure.

  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle il existe des infections asymptomatiques qui a conduit à l’erreur selon laquelle même les personnes ne présentant aucun symptôme de maladie sont potentiellement des sources très dangereuses d’infection par le virus CoV 2 du SRAS.
  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle le test PCR de Drosten peut être utilisé pour déterminer des infections spécifiques et, plus important encore, l’infectiosité des « positifs » qui a conduit à l’erreur selon laquelle ce test peut être utilisé pour déterminer l’étendue des infections dans la population, sur la base de soi-disant « numéros de cas » spécifiques.

Les tests PCR ne sont pas seulement inadaptés au diagnostic individuel, mais aussi au dépistage. Le seul facteur décisif peut et doit être le nombre de personnes qui tombent malades, le nombre de celles qui doivent être hospitalisées, le nombre de celles qui doivent être traitées en soins intensifs et le nombre de celles qui doivent être ventilées.

L’instrument permettant d’évaluer de manière fiable ces événements existe depuis longtemps à l’Institut Robert Koch, notamment dans le domaine de la surveillance de la grippe : le programme sentinelle. Il est totalement incompréhensible que cela ne soit pas utilisé dans une plus large mesure pour le COVID-19. Le chef du département de santé publique d’Aichach-Friedberg (entre-temps transféré), Friedrich Pürner, avait récemment demandé à juste titre que les instruments sentinelles soient également utilisés pour la surveillance COVID-19.

L’OMS a également reconnu que le défendeur a trompé l’humanité entière dans le monde entier à l’aide de la méthode de test qu’il a mise au point par ses communiquées de décembre 2020 et janvier 2021, mettant en cause les tests PCR détachés de l’examen clinique.

Faits

Les parties affirment que les allégations de l’accusé exposées ci-dessus et ses recommandations de confinement basées sur celles-ci sont de fausses déclarations sur lesquelles les injonctions de confinement mises en œuvre par le gouvernement fédéral obligent le défendeur à payer des dommages et intérêts au plaignant.

Contexte international des positions de Drosten : le Great Reset

Le contexte plus large des déclarations litigieuses n’est qu’indirectement pertinent pour le jugement en l’espèce. Il concerne en particulier le fondateur de Microsoft Bill Gates pendant des années, notamment via le Forum économique mondial, qui a propagé ce que l’on appelle le « Great Reset » [La Grande Réinitialisation], très controversé, qui a pour objet un « redémarrage » sociopolitique mondial dirigé par les entreprises. [4]

Le journaliste Paul Schreyer décrit dans son rapport « Pandemic-Planspiele » l’imbrication des « élites » des entreprises avec les « élites » politiques, qui se rapprochent de plus en plus depuis au moins 20 ans.

Il y décrit également comment ces « élites » ont délibérément et pendant des années tenter non seulement de conserver leur pouvoir — illégitime —, mais de l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et les plus inhumains, avant que les objets (= tous les autres humains devenus parties prenantes donc objets) de ces mécanismes de contrôle ne le remarquent et ne puissent se révolter contre lui. Il faut ici penser aux contrôles des citoyens chinois par leur dictature que nos gouvernements occidentaux adeptes de la grande réinitialisation (lire le livre de Klaus Schwab) souhaitent appliquer aux peuples européens.

Le professeur de psychologie générale Dr Rainer Mausfeld avait expliqué au début de 2019, dans sa conférence « Pourquoi les agneaux sont-ils silencieux » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — met en scène de manière répétée la peur et la panique et l’utilise comme un outil pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement.[5] Et l’ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquière d’affaires Catherine Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown » [6] comment ces « élites » mettent en œuvre ou tentent de mettre en œuvre économiquement la reprise des actifs de la classe moyenne (car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement, certains scientifiques supposent même un pourcentage inférieur).

Cela s’explique notamment par le fait que les premières zones où se trouvent des petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, sont « fermées » par le confinement, de sorte que ces entreprises — comme le plaignant et son bar de karaoké — ne peuvent plus obtenir de revenus, notamment parce que leurs crédits et leurs loyers ne peuvent plus être payés.

L’aide est annoncée — comme dans le cas du plaignant — mais n’est en réalité versée que de manière limitée, voire pas du tout.

Ensuite, des émeutes sont organisées dans ces régions — cela ne s’applique peut-être actuellement qu’aux États-Unis — entraînent la destruction physique supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues. Les « investisseurs » privilégiés sur le plan fiscal, à savoir les sociétés susmentionnées, reprennent alors ces sociétés quasi gratuitement.

La pression des médias appartenant essentiellement aux milliardaires qui tentent de mettre en œuvre le Great Reset

Les mêmes personnes et sociétés qui ont investi dans les industries pharmaceutiques et technologiques dans le cadre de ce soi-disant « Great Reset » ont investi également massivement dans les médias grand public, par lesquels C. Drosten l’accusé a diffusé à plusieurs reprises ses allégations à un large public, y compris dans le cadre de son podcast dit NDR pendant de nombreux mois.

Le professeur Martin Schwab de l’université de Bielefeld a expliqué, dans une vaste expertise intitulée « Liberté d’opinion et discours scientifique dans la crise du Covid19 », comment les paiements massifs versés aux médias principaux, y compris publics, ont eu et continuent d’avoir un effet au détriment des reportages informatifs habituels, dans lequel il traite également de la diffusion des allégations de l’accusé via les Ndr-podcasts. Le professeur Schwab avait préparé cet avis d’expert pour le Dr Wolfgang Wodarg, un expert reconnu violemment diffamé au début de la crise Covid19 en raison de sa position critique.

Contexte de la personnalité et des antécédents du conseiller C. Drosten

En plus des faits rapportés dans la procédure initiale du 23 novembre, l’avocat revient sur le parcours de C Drosten qui conseille la chancelière allemande et de fait l’OMS et le monde entier. L’hebdomadaire Stern titrait, ébloui, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. » [7]

Fuellmich s’étonne des éléments particuliers de son parcours professionnel discordant pour le moins avec l’importance et la gravité de ses fonctions.

Erreurs multiples dans les années précédentes lors des crises sanitaires

L’accusé est le directeur de l’Institut de virologie de la Charité Universitätsmedizin de Berlin. Dans le passé, il a attiré l’attention sur le fait que ses pronostics toujours alarmistes et extrêmement inquiétants sur certaines maladies virales, associés à des recommandations de vaccination, se sont révélés catastrophiquement erronés.

Par exemple, le cirque du SRAS

– lors de l’épidémie de SRAS en 2003, à propos du virus du SRAS (autre coronavirus), il a affirmé que ce virus pouvait être combattu avec un vaccin efficace, mais seulement en un ou deux ans, mais qu’il entraînerait — « si l’épidémie ne pouvait pas être repoussée » — de telles maladies pulmonaires encore et encore, et aurait « de graves effets sur les économies nationales ».

En fait, le SRAS s’est avéré relativement inoffensif. Selon l’OMS, il n’y a eu que 8096 cas de SRAS dans le monde depuis la découverte du virus du SRAS, avec 774 décès. En Allemagne, il y a eu 9 cas et pas un seul décès.

En ce qui concerne la grippe porcine 2009 (virus de la grippe, sous-type A/[H12N1] 2009/2010), qui s’est avérée être une grippe bénigne, il a lancé un appel urgent — sans aucune donnée fiable sur le nombre de cas — pour être vacciné contre la grippe porcine, affirmant que le vaccin n’était pas disponible : « La maladie est une infection virale grave et courante qui a des effets secondaires beaucoup plus graves que ce que l’on peut imaginer du pire vaccin ». L’épidémie qu’il avait prophétisée ne s’est jamais produite.

On remarque, comme le dit également Fuellmich le parallélisme entre les prophéties délirantes de Drosten et celle du mage anglais Ferguson, sur les mêmes sujets avec les mêmes déclarations fausses et délirantes, démontrant si besoin en était, la collusion des gouvernements occidentaux en accord avec le conseil sanitaire de l’OMS.

Les prophètes avaient provoqué la panique dans la politique en faveur des entreprises pharmaceutiques et commandé des vaccins pour des milliards d’euros — en Angleterre et en France seulement plus de 2 milliards d’euros — sur la base de contrats tenus secrets jusqu’à aujourd’hui, que la grande majorité de la population allemande (correctement conseillée par les médecins généralistes, qui à l’époque n’étaient pas encore contournés par les « centres de vaccination ») a cependant refusés. Lorsqu’il s’est avéré que la prétendue épidémie était une saison de grippe légère, les vaccins ont dû être détruits, ce qui a coûté des millions d’euros.

Toutefois, dans certaines régions d’Europe, les vaccins avaient déjà été inoculés et avaient causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même, à savoir des handicaps graves et très sérieux chez environ 1 300 personnes, par exemple sous la forme de narcolepsie.

Le dossier universitaire de l’accusé également devenu très controversé

La recherche de sa thèse fut un long parcours du combattant pas vraiment couronné de succès.

Un rapport de synthèse sur les prédictions dramatiquement erronées, le parcours académique manifestement falsifié, mais aussi sur les liens financiers de l’accusé avec les fabricants de tests PCR et d’autres incohérences le concernant peut être trouvé sur le lien suivant : https://www.kla.tv/17877

La procédure revient sur ce que devrait être un conseiller des politiques à ce niveau de responsabilité

L’avocat évoque une des dernières prises de position de Drosten en décembre lors de la déclaration Léopoldine, l’équivalent de notre conseil scientifique.

« La déclaration dite ad hoc de Léopoldine n’est pas un document scientifique ni un résumé scientifique de l’état de la recherche. Il s’agit d’un assortiment de déclarations inquiétantes sur la situation actuelle, combinées à des propositions drastiques censées tirer leur autorité du fait que les auteurs occupent désormais des postes de haut niveau dans l’entreprise de recherche ».

Dans une lettre adressée à l’Académie des sciences de Mayence, Thomas Aigner a souligné avec insistance que peu après la publication du 7e avis ad hoc, des voix du terrain prédisaient l’échec de la politique de confinement.

« À mon avis, ce document n’est pas digne d’une science honnête, équilibrée, orientée vers le service et le bien-être ».

Cette évaluation est également pertinente sur le plan juridique.

Un chapitre de cette procédure civile est particulièrement pertinent et intéressant pour nous français, posant les qualités que devraient posséder les « experts » qui conseillent les présidents ou ministres, étant donné les enjeux majeurs de leurs préconisations. La procédure engagée ici contre « l’étoile allemande » Drosten, montre que ces messieurs ou dames ne devraient pas dormir tranquilles sur le tas de leurs diplômes universitaires réels ou fantasmés, et redouter que la roue tourne surtout quand tant de personnes vont sombrer dans la misère ou mourir à cause d’eux. Tels les membres de notre conseil scientifique dont les comptes-rendus de réunions ne sont pas accessibles, jamais écrits, semble-t-il.

Qualité des experts selon Maître Reiner Fuellmich exposée dans sa procédure contre Drosten.

Les exigences de base : Expertise, objectivité et neutralité

« Toute personne qui conseille l’État doit remplir trois postulats de base : expertise, objectivité et neutralité. Pour l’expert judiciaire, cela découle des codes de procédure : Il doit, du fait de la nature de l’affaire, représenter en sa personne l’expertise pertinente et, conformément à l’article 406 ZPO, s’expose à un refus pour crainte de partialité s’il n’utilise pas son expertise de manière objective et neutre. Cependant, rien d’autre ne s’applique aux conseils aux autres branches du pouvoir de l’État. [8]

En fournissant un avis expert, objectif et neutre, l’expert doit se montrer à la hauteur du rôle que l’organisme gouvernemental conseillé lui confie.

Le conseiller ne doit pas seulement se porter garant de ces postulats en sa personne, mais le résultat du conseil en tant que tel doit également témoigner de ces vertus.

Comme les conseils donnés aux hommes politiques conduisent délibérément à une action de l’État, ils ne sont pas non plus protégés par l’article 5.3 de la loi constitutionnelle. Le conseil politique participe plutôt à l’engagement des décideurs de l’État en faveur des droits fondamentaux.

Dans ce cas, l’argument bien connu de la Cour constitutionnelle fédérale en matière de confusion s’applique également à eux : quiconque est tenu à la liberté ne peut pas en même temps avoir droit à la liberté. [9]

Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable sur le fait que l’activité de l’accusé telle qu’elle est décrite ci-dessus constitue un conseil politique. C’est ce qui ressort des explications données par l’accusé lui-même au sujet du document de Leopoldina mentionné ci-dessus.

Le 7e avis ad hoc doit être compris comme un “un avertissement clair et définitif de la science” aux politiciens. »

On peut conclure en conséquence que le conseiller Drosten est responsable de ses avis qui ont indéniablement influencé les politiques et les juges et donc en assumer les conséquences civiles et pénales. Cette responsabilité directe devrait s’appliquer aux membres du conseil scientifique français et singulièrement du Pr Delfraissy dont les déclarations télévisées exigeant un confinement dépassent ses missions, mais surtout dépriment les Français qui l’écoutent. Il devrait tenir compte du jugement du tribunal de Berlin déclarant inconstitutionnel le confinement et des nombreuses études internationales qui démontrent que les confinements n’ont pas sauvé de vies, mais ont tué des humains au contraire.[10] à [20]


Notes

[1] Green Mango GmbH, Bülowstrasse 56, 10783 Berlin, représentée par le directeur général, M. Nils Roth
– Demandeur –
représenté par : Dr Fuellmich & Associates, avocats, Sen-derstrasse 37, 37077 Göttingen, Allemagne
Sync and corrected by Dr. Jackson for
Christian Drosten, c/o Charité – Universitätsmedizin Berlin, Institut de virologie, Charitéplatz 1 à 10117 Berlin Tribunal d’arrondissement de Berlin Tegeler Weg 17 – 21
10589 Berlin 21 01 21

[2] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[3] conformément à l’article 276, paragraphe 1, du code de procédure civile, de décider par défaut conformément à l’article 331, paragraphe 3, du code de procédure civile

[4] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5] https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[6] https://www.youtube.com/watch?v=LVuA98P4aA8&feature=youtu.be (version originale anglaise)

[7]  kla.tv/index. PHP a=showlanguage&lang=fr cité par Drosten poursuivi pour crimes contre l’humanité — (ripostelaique.com)

[8] Martin Schwab, Rechtsfragen der Politikberatung im Spannungsfeld zwischen Wissenschaftsfreiheit und Unternehmensschutz, 1999, p. 370 s.) :

[9] (BVerfGE 61, 82 100).

[10] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[11] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage du Covid allemand était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[12] Norvège : « le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus » 29 mai 2020 Strategika

[13] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et coll. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[14] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse nationale mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[15] Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international « Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[17] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ? Préimpression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[18] R Shlomai, Ari Leshno, Ella H Sklan, Moshe Leshno Modélisation de stratégies de distanciation sociale pour empêcher la propagation du SRAS-CoV2 en Israël – Une analyse coût-efficacité » par Ami. Pré-impression MedRxiv. 20

[19] Morris Altman Smart Thinking, Lockdown et COVID-19 : Implications pour les politiques publiques

Journal of Behavioral Economics for Policy, 2020 Publié le : 26 mai 2020

[20] Christian Bjørnskov « Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’un économiste » Document de travail du SSRN, 2 août 2020.




Discours de Vladimir Poutine au forum de Davos 2021 – L’homme ne doit pas être un moyen, mais un but de l’économie

[Source : Donbass Insider]

Le Président russe Vladimir Poutine a participé à distance au Forum annuel de Davos, qui a lieu cette année du 25 au 29 janvier 2021. Cette année, le principal sujet de discussion est la nouvelle situation mondiale suite à la pandémie de coronavirus. Vladimir Poutine a réitéré ses déjà nombreux appels à la coopération internationale pour résoudre les problèmes les plus graves, mais aussi à résoudre le problème du creusement des inégalités sociales dans le monde, afin d’éviter que les tensions que créent ces inégalités ne finissent pas déboucher sur une instabilité et un conflit globaux. Il parle aussi des dangers que peut représenter le passage au tout robotique et informatique ainsi que le poids excessif de certaines sociétés numériques dans la vie politique des États.


Cher M. Schwab, cher Klaus ! Chers collègues !

J’ai assisté à de nombreux événements organisés par M. Schwab dans les années 90. Klaus vient de se rappeler que nous nous sommes rencontrés en 1992. Au cours de mon travail à Saint-Pétersbourg, j’ai assisté à plusieurs reprises à ce forum consultatif. Je tiens à vous remercier pour l’occasion qui m’est donnée aujourd’hui d’apporter mon point de vue à la communauté des experts, qui se réunit sur cette plateforme mondialement reconnue grâce aux efforts de M. Schwab.

Tout d’abord, Mesdames et Messieurs, je tiens à vous souhaiter à tous la bienvenue au Forum économique mondial.

Il est agréable de constater que cette année, malgré la pandémie, malgré toutes les restrictions, le forum poursuit encore ses travaux. Bien qu’il soit en ligne, il fonctionne toujours et donne aux participants l’occasion de partager leurs évaluations et leurs prévisions dans le cadre d’une discussion ouverte et libre, ce qui compense en partie le manque de communication directe entre les dirigeants, les représentants des entreprises mondiales et le public, qui s’est accumulé au cours des derniers mois. Tout cela est important à un moment où nous avons tant de questions difficiles auxquelles il faut répondre.

Le forum de cette année est le premier de la troisième décennie du XXIe siècle, et la plupart de ses thèmes portent, bien sûr, sur les profonds changements qui se produisent sur la planète.

En effet, il est difficile de ne pas remarquer des transformations fondamentales dans l’économie, la politique, la vie sociale et la technologie mondiales. La pandémie de coronavirus que Klaus vient de mentionner, et qui est devenue un sérieux défi pour l’ensemble de l’humanité, n’a fait que stimuler et accélérer les changements structurels, dont les conditions préalables étaient déjà réunies depuis longtemps. La pandémie a exacerbé les problèmes et les déséquilibres accumulés jusqu’alors dans le monde. Il y a tout lieu de croire qu’il existe des risques d’escalade des conflits. Et ces tendances peuvent se manifester pratiquement dans tous les domaines.

Bien sûr, il n’y a pas de parallèles directs dans l’histoire. Mais certains experts – je respecte leur opinion – comparent la situation actuelle avec les années 30 du siècle dernier. Vous pouvez être d’accord ou non avec cette situation. Mais à de nombreux égards, en termes d’ampleur et de nature complexe et systémique des défis et des menaces potentielles, certaines analogies sont néanmoins justifiées.

Nous assistons à une crise des modèles et des outils de développement économique antérieurs. La stratification sociale s’intensifie, tant au niveau mondial que dans les différents pays. Nous en avons déjà parlé. Mais cela entraîne à son tour une forte polarisation de l’opinion publique, provoque la croissance du populisme, du radicalisme de droite et de gauche et d’autres extrêmes, et aggrave et exacerbe les processus politiques internes, y compris dans les pays leaders.

Tout cela affecte inévitablement la nature des relations internationales et n’y apporte ni stabilité ni prévisibilité. Les institutions internationales s’affaiblissent, les conflits régionaux se multiplient et le système de sécurité mondial se dégrade.

Klaus a mentionné ma conversation d’hier avec le président des États-Unis et l’extension du traité sur la limitation des armes stratégiques. C’est certainement un pas dans la bonne direction. Néanmoins, les conflits se multiplient, comme on dit. Comme on le sait, l’incapacité et le manque de volonté de résoudre en substance de tels problèmes au XXe siècle ont conduit à la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale.

Bien sûr, un tel conflit mondial « brûlant » est désormais, je l’espère, impossible, en principe. Je l’espère vraiment. Cela signifierait la fin de la civilisation. Mais, là encore, la situation peut évoluer de manière imprévisible et incontrôlable. Si, bien sûr, rien n’est fait pour l’empêcher. Il est possible que nous devions faire face à un véritable bouleversement du développement mondial, avec une lutte de tous contre tous, avec des tentatives de résoudre les conflits latents par la recherche d’ennemis « internes » et « externes », avec la destruction non seulement des valeurs traditionnelles (que nous chérissons en Russie), telles que la famille, mais aussi des libertés fondamentales, y compris le droit au choix et à la vie privée.

Permettez-moi de noter ici que la crise sociale et de valeurs se transforme déjà en conséquences démographiques négatives, à cause desquelles l’humanité risque de perdre des continents civilisationnels et culturels entiers.

Notre responsabilité commune aujourd’hui est d’éviter une telle perspective, semblable à une sinistre dystopie, pour assurer un développement sur une trajectoire différente, positive, harmonieuse et créative.

À cet égard, je m’attarderai sur les principaux défis auxquels, à mon avis, la communauté mondiale est actuellement confrontée.

Le premier est d’ordre socio-économique.

Oui, à en juger par les statistiques, même en dépit des crises profondes de 2008 et 2020, la période des quarante dernières années peut être qualifiée de succès, voire de super succès pour l’économie mondiale. Le PIB mondial en parité de pouvoir d’achat a doublé en termes réels par habitant depuis 1980. C’est assurément une évolution positive.

La mondialisation et la croissance intérieure ont entraîné une forte reprise dans les pays en développement, permettant à plus d’un milliard de personnes de sortir de la pauvreté. Ainsi, si l’on prend un niveau de revenu de 5,5 dollars par personne et par jour (à parité de pouvoir d’achat), la Banque Mondiale estime qu’en Chine, par exemple, le nombre de personnes à faible revenu est passé de 1,1 milliard en 1990 à moins de 300 millions ces dernières années. C’est assurément un succès pour la Chine. Et en Russie, de 64 millions de personnes en 1999 à environ 5 millions aujourd’hui. Et nous pensons qu’il s’agit également d’un progrès dans notre pays dans la direction principale, soit dit en passant.

Néanmoins, la question principale, dont la réponse permet dans une large mesure de comprendre les problèmes actuels, est de savoir quelle était la nature de cette croissance mondiale, qui en a le plus profité.

Bien sûr, comme je l’ai déjà dit, à bien des égards, les pays en développement ont bénéficié de la demande croissante pour leurs produits traditionnels et même pour de nouveaux produits. Cependant, cette intégration dans l’économie mondiale n’a pas seulement eu pour résultat des emplois et des recettes d’exportation. Mais aussi des coûts sociaux. Y compris un écart important dans les revenus des citoyens.

Qu’en est-il des économies développées, où le niveau moyen de richesse est beaucoup plus élevé ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les problèmes de stratification ici dans le monde développé ont été encore plus profonds. La Banque Mondiale estime que si 3,6 millions de personnes vivaient avec moins de 5,50 dollars par jour aux États-Unis en 2000, elles étaient 5,6 millions en 2016.

Au cours de la même période, la mondialisation a entraîné une augmentation significative des profits des grandes multinationales, principalement des entreprises américaines et européennes.

D’ailleurs, en ce qui concerne les citoyens, la tendance dans les économies développées de l’Europe est la même qu’aux États-Unis.

Mais encore une fois, quand il s’agit des bénéfices des entreprises, qui en profite ? La réponse est connue, elle est évidente – un pour cent de la population.

Et que s’est-il passé dans la vie du reste des gens ? Au cours des 30 dernières années, dans certains pays développés, le revenu de plus de la moitié des citoyens en termes réels a stagné, n’a pas augmenté. Mais le coût de l’éducation et des services de santé a augmenté. Et savez-vous de combien ? Trois fois.

Cela signifie que des millions de personnes, même dans les pays riches, n’ont pas vu la perspective d’une augmentation de leurs revenus. Et ils doivent faire face à plusieurs problèmes, comment se maintenir et maintenir leurs parents en bonne santé, comment offrir aux enfants une éducation de qualité.

Il y a aussi une accumulation de personnes qui, en fait, ne sont pas employées. Par exemple, l’Organisation internationale du travail estime qu’en 2019, 21 % des jeunes du monde, soit 267 millions de personnes, n’ont ni étudié ni travaillé nulle part. Et même parmi les actifs (voici un chiffre intéressant, des chiffres intéressants), même parmi les actifs, 30 % vivent avec des revenus inférieurs à 3,2 dollars par jour à parité de pouvoir d’achat.

Ces distorsions du développement socio-économique mondial sont le résultat direct des politiques menées dans les années 1980, souvent de manière grossière et dogmatique. Ces politiques étaient basées sur le soi-disant « consensus de Washington ». Avec ses règles non écrites, donnant la priorité à une croissance économique basée sur la dette privée avec une déréglementation et des impôts peu élevés sur les riches et les entreprises.

Comme je l’ai dit, la pandémie de coronavirus n’a fait qu’exacerber ces problèmes. L’année dernière, la chute de l’économie mondiale a été la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale. En juillet, les pertes sur le marché du travail équivalaient à près de 500 millions d’emplois. Oui, la moitié d’entre eux avaient été récupérés à la fin de l’année. Mais cela représente tout de même près de 250 millions d’emplois perdus. C’est un chiffre important et très alarmant. Rien qu’au cours des neuf premiers mois de l’année dernière, les pertes de revenus du travail dans le monde se sont élevées à 3,5 trillions de dollars. Et ce chiffre ne cesse de croître. Cela signifie que les tensions sociales sont en hausse.

Dans le même temps, la reprise après la crise n’est pas facile. Si, il y a 20 ou 30 ans, le problème pouvait être résolu en stimulant la politique macroéconomique (et c’est d’ailleurs ce qu’ils font encore), aujourd’hui, de tels mécanismes sont pratiquement épuisés, ils ne fonctionnent pas. Leurs ressources sont pratiquement épuisées. Ce n’est pas une affirmation infondée de ma part.

Ainsi, selon les estimations du FMI, le niveau de la dette agrégée des secteurs public et privé est proche de 200 % du PIB mondial. Et dans certaines économies, il a dépassé 300 % du PIB national. Pendant ce temps, les taux d’intérêt sont proches de zéro dans les économies développées. Et dans les principales économies émergentes, ils sont à des niveaux historiquement bas.

[NdNM : la dette auprès des banques privées était déjà irremboursable depuis au moins quelques décennies. Que se passe-t-il habituellement lorsqu’un prêteur sur gages ne se fait pas rembourser par un joueur malavisé qui a tout perdu au Casino ? Il envoie ses gros bras ! Ces derniers finissent généralement par se faire rembourser d’une manière ou d’une autre, éventuellement en accaparant certains de ses biens matériels, ou bien en tuant l’imprudent. Que risquent de faire les actionnaires des banques centrales à l’occasion de la Grande Réinitialisation ? Il y a de fortes chances qu’ils ordonnent à leurs hommes de paille de saisir une partie importante des possessions nationales des nations endettées : terrains, bâtiments, entreprises… et même le bétail humain qui deviendra leur esclave. L’alternative serait une guerre mondiale permettant la liquidation d’une bonne partie de la population.

Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation,
Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus,
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19,
Du confinement à la Grande réinitialisation,
Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0,
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux,
La mort de la propriété privée,
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme,
Great reset : c’est pour bientôt !,
La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges,
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
• et Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]

Tout cela rend la stimulation de l’économie par les outils traditionnels au détriment de l’augmentation des prêts privés pratiquement impossible. L’assouplissement dit quantitatif, qui ne fait qu’augmenter, gonfle la « bulle » de la valeur des actifs financiers et conduit à une stratification supplémentaire de la société. Et l’écart croissant entre l’économie « réelle » et « virtuelle » (d’ailleurs, j’en entends souvent parler par les représentants de l’économie réelle de nombreux pays, et je pense que les participants à la réunion d’aujourd’hui issus du monde des affaires seront également d’accord avec moi) est une menace réelle, porteuse de chocs graves et imprévisibles.

Certains espoirs de pouvoir « redémarrer » l’ancien modèle de croissance sont liés à la rapidité du développement technologique. En effet, les 20 dernières années ont jeté les bases de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, qui repose sur l’utilisation généralisée de l’intelligence artificielle, des solutions automatisées et de la robotique. La pandémie de coronavirus a considérablement accéléré ces développements et leur mise en œuvre.

Cependant, ce processus génère de nouveaux changements structurels, je pense tout d’abord au marché du travail. Cela signifie que sans une action gouvernementale efficace, de nombreuses personnes courent le risque d’être au chômage. Et c’est souvent ce qu’on appelle la classe moyenne. Or c’est la base de toute société moderne.

Et cela est lié au deuxième défi fondamental de la décennie à venir – le défi sociopolitique. La croissance des problèmes économiques et des inégalités divise la société, génère l’intolérance sociale, raciale et ethnique, et cette tension éclate même dans les pays dont les institutions civiles et démocratiques apparemment bien établies sont conçues pour aplanir et réprimer ces phénomènes et ces excès.

Les problèmes socio-économiques systémiques génèrent un tel mécontentement du public qu’ils nécessitent une attention particulière, qu’ils exigent que ces problèmes soient résolus de manière concrète. La dangereuse illusion qu’ils peuvent être ignorés, négligés, mis sur le côté est lourde de conséquences. Dans ce cas, la société sera toujours divisée, tant politiquement que socialement. Parce que pour les gens, les raisons d’être mécontents ne sont en fait pas des spéculations, mais de véritables problèmes qui concernent tout le monde, quelles que soient les opinions, y compris politiques, auxquelles on n’adhère. Ou auxquelles on pense tenir. Et ce sont les vrais problèmes qui génèrent le mécontentement.

Je voudrais souligner un autre point fondamental. Les géants technologiques modernes et, surtout, numériques ont commencé à jouer un rôle de plus en plus important dans la société. On en parle beaucoup aujourd’hui, notamment en relation avec les événements qui se sont déroulés aux États-Unis pendant la campagne électorale. Et ce ne sont plus des géants économiques quelconques ; dans certains domaines, ils sont en concurrence de facto avec les États. Leur audience se chiffre en milliards d’utilisateurs qui passent une partie importante de leur vie au sein de ces écosystèmes.

Du point de vue des entreprises elles-mêmes, leur position de monopole est optimale pour organiser les processus technologiques et commerciaux. C’est peut-être juste, mais le public se pose une question : dans quelle mesure un tel monopole correspond-il exactement à l’intérêt public ? Où se situe la limite entre le succès des entreprises mondiales, les services et les prestations demandés, la consolidation des données personnelles et les tentatives de gérer grossièrement, à sa guise, la société, de se substituer aux institutions démocratiques légitimes, en fait, d’usurper ou de limiter le droit naturel des gens à décider eux-mêmes comment vivre, quoi choisir, quelle position exprimer librement ? Nous l’avons tous vu récemment aux États-Unis, et tout le monde comprend ce dont je parle maintenant. Je suis sûr que la grande majorité des gens partagent cette position, y compris ceux qui participent à la conférence avec nous aujourd’hui.

Enfin, le troisième défi, ou plus précisément la menace évidente à laquelle nous pourrions être confrontés au cours de la prochaine décennie, est une nouvelle aggravation de l’ensemble des problèmes internationaux. Après tout, les problèmes socio-économiques intérieurs non résolus et croissants peuvent nous inciter à chercher un responsable pour tous les problèmes et à rediriger l’irritation et le mécontentement de nos citoyens. Et nous pouvons déjà le voir, nous pouvons sentir que le niveau de la politique étrangère, de la rhétorique de propagande augmente. Nous pouvons nous attendre à ce que la nature des actions concrètes devienne plus agressive, y compris la pression sur les pays qui ne sont pas d’accord avec le rôle de satellites obéissants et dirigés, l’utilisation de barrières commerciales, les sanctions illégitimes et les restrictions dans les sphères financières, technologiques et de l’information.

Ce jeu sans règles augmente de manière critique les risques d’utilisation unilatérale de la force militaire – c’est-à-dire le danger du recours à la force sous n’importe quel prétexte farfelu. Il multiplie la probabilité de nouveaux « points chauds » sur notre planète. C’est un tout qui ne peut que nous inquiéter.

Dans le même temps, chers participants au Forum, malgré un tel enchevêtrement de contradictions et de défis, nous ne devons certainement pas perdre notre vision positive de l’avenir et devons rester engagés dans un programme constructif. Il serait naïf de suggérer quelques remèdes miracles universels pour les problèmes évoqués. Mais nous devons tous essayer d’élaborer des approches communes, rapprocher nos positions le plus possible et identifier les sources de tensions mondiales.

Je voudrais répéter ma thèse : la cause fondamentale de l’insoutenabilité du développement mondial est, dans une large mesure, l’accumulation des problèmes socio-économiques. Par conséquent, la question clé aujourd’hui est de savoir comment élaborer la logique des actions afin non seulement de restaurer rapidement les économies et les secteurs mondiaux et nationaux touchés par la pandémie, mais aussi de garantir que cette restauration soit durable à long terme et ait une structure qualitative qui aide à surmonter le poids des déséquilibres sociaux. Il est clair que, compte tenu des contraintes de politique macroéconomique déjà mentionnées, la poursuite du développement économique dépendra davantage de la relance budgétaire, les budgets des gouvernements et les banques centrales jouant un rôle clé.

En fait, nous observons déjà de telles tendances dans les pays développés, et dans certains pays en développement également. Le rôle croissant des États dans la sphère socio-économique au niveau national exige évidemment une plus grande responsabilité et une coopération interétatique étroite sur l’agenda mondial également. Dans divers forums internationaux, on peut entendre des appels constants à une croissance inclusive, à la création de conditions permettant d’atteindre un niveau de vie digne pour chaque personne. C’est la bonne chose à faire, et notre travail commun va absolument dans la bonne direction.

Il est absolument clair que le monde ne peut pas s’engager sur la voie de la construction d’une économie qui fonctionne pour un million de personnes ou même un « milliard doré ». C’est tout simplement une position destructrice. Un tel modèle est par définition non viable. Les événements récents, notamment les crises migratoires, l’ont confirmé une fois de plus.

Il importe maintenant de passer d’une déclaration générale à l’action, de diriger les ressources et les efforts réels pour parvenir à la fois à la réduction des inégalités sociales au sein des différents pays et à la convergence progressive du niveau de développement économique des différents pays et régions de la planète. Il n’y aura alors pas de crise migratoire.

Le sens, l’importance d’une telle politique, destinée à assurer un développement durable et harmonieux, est évident. Qu’est-ce que c’est ? C’est la création de nouvelles opportunités pour chacun, des conditions pour le développement et la réalisation du potentiel humain, indépendamment de l’endroit où il est né et vit.

Et je vais ici présenter quatre grandes priorités. Pourquoi je les considère comme des priorités. Peut-être que je ne dirai rien d’original. Néanmoins, puisque Klaus m’a permis d’exprimer la position de la Russie, ma position, je le ferai volontiers.

Premièrement. Une personne doit avoir un environnement de vie confortable. Il s’agit du logement et des infrastructures accessibles : transport, énergie, services publics. Et, bien sûr, le bien-être environnemental, il ne doit jamais être oublié.

Deuxièmement. Une personne doit être sûre qu’elle aura un emploi, qui lui procurera un revenu en constante augmentation et, par conséquent, un niveau de vie décent. Elle devrait avoir accès à des mécanismes efficaces d’apprentissage tout au long de la vie, aujourd’hui c’est absolument nécessaire, lui permettant de développer et de construire sa carrière, et après son achèvement d’obtenir une retraite et un paquet social décents.

Troisièmement. Une personne doit être sûre qu’elle recevra des soins médicaux efficaces et de qualité lorsqu’elle en aura besoin, que le système de soins de santé lui garantit en tout cas l’accès à un niveau moderne de services.

Quatrièmement. Quel que soit le revenu familial, les enfants doivent avoir la possibilité de recevoir une éducation décente et de réaliser leur potentiel. Chaque enfant a ce potentiel.

C’est la seule façon de garantir le développement le plus efficace de l’économie moderne. Une économie où l’homme n’est pas un moyen, mais un but. Et seuls les pays qui pourront progresser dans ces quatre domaines (ils ne sont pas exhaustifs, je n’ai dit que l’essentiel), mais seuls les pays qui pourront progresser au moins dans ces quatre domaines, assureront un développement durable et inclusif.

Ce sont les approches qui sont au cœur de la stratégie que mon pays, la Russie, met également en œuvre. Nos priorités s’articulent autour de l’individu, de sa famille, et visent le développement démographique et la préservation de la nation, l’amélioration du bien-être des personnes et la protection de leur santé. Nous nous efforçons de créer les conditions d’un travail digne et efficace et d’un entrepreneuriat réussi, afin d’assurer la transformation numérique comme base du mode technologique de l’avenir de tout le pays, plutôt que d’un groupe étroit d’entreprises.

Nous voulons concentrer les efforts du gouvernement, des entreprises et de la société civile sur ces tâches et mettre en place une politique budgétaire stimulante dans les années à venir.

Nous sommes ouverts à la coopération internationale la plus large possible pour atteindre nos objectifs nationaux de développement et nous pensons qu’une coopération sur l’agenda socio-économique mondial aurait un impact positif sur l’atmosphère générale des affaires mondiales également, tandis qu’une interdépendance dans le traitement des questions urgentes acttuelles ajouterait à la confiance mutuelle, ce qui est particulièrement important et urgent de nos jours.

De toute évidence, l’ère associée aux tentatives de construction d’un ordre mondial centralisé et unipolaire, cette époque est révolue. En fait, elle n’a même pas encore commencé. Seule une tentative a été faite dans ce sens. Mais cela aussi est passé. Un tel monopole était tout simplement intrinsèquement contraire à la diversité culturelle et historique de notre civilisation.

La réalité est que différents pôles de développement avec leurs propres modèles originaux, systèmes politiques et institutions sociales ont émergé dans le monde et se sont fait connaître. Et aujourd’hui, il est extrêmement important de construire des mécanismes de coordination de leurs intérêts, afin que la diversité et la concurrence naturelle des pôles de développement ne se transforment pas en anarchie et en une série de conflits prolongés.

À cette fin, nous devons notamment travailler au renforcement et au développement des institutions universelles qui ont une responsabilité particulière pour assurer la stabilité et la sécurité dans le monde et pour élaborer les règles de conduite de l’économie mondiale et du commerce.

J’ai déjà déclaré plus d’une fois que beaucoup de ces institutions traversent des moments difficiles. Nous en parlons constamment lors de différents sommets. Bien sûr, ces institutions ont été créées à une autre époque, c’est clair. Il peut être objectivement difficile pour elles de relever les défis d’aujourd’hui. Toutefois, je voudrais souligner que ce n’est pas une raison pour les rejeter, sans rien offrir à la place. D’autant plus que ces structures ont une expérience unique et un grand potentiel, largement inexploité. Il ne fait aucun doute qu’elles doivent être soigneusement adaptées aux réalités actuelles. Mais il est encore trop tôt pour les jeter à la poubelle de l’histoire. Nous devons travailler avec elles et les utiliser.

Parallèlement, il est bien sûr important d’utiliser des formats d’interaction nouveaux et supplémentaires. Je fais ici référence au phénomène du multilatéralisme. Bien sûr, il peut aussi être compris de différentes manières. Il peut s’agir soit de faire valoir ses intérêts, en donnant un semblant de légitimité aux actions unilatérales alors que les autres n’ont qu’à hocher la tête pour approuver. Ou bien il s’agit d’une véritable unification des efforts des États souverains pour résoudre des problèmes spécifiques dans l’intérêt commun. Dans ce cas, nous pouvons parler du règlement des conflits régionaux, de la création d’alliances technologiques et de nombreux autres domaines, y compris la formation de couloirs transfrontaliers de transport et d’énergie, etc.

Chers amis, Mesdames et Messieurs !

Vous comprenez qu’il existe un vaste champ de travail commun. De telles approches multilatérales fonctionnent vraiment. La pratique montre qu’elles fonctionnent. Permettez-moi de vous rappeler que dans le cadre du format Astana, la Russie, l’Iran et la Turquie font beaucoup pour stabiliser la situation en Syrie et aident maintenant à établir un dialogue politique en Syrie. Bien sûr, avec d’autres pays. Nous le faisons ensemble. Et ce n’est généralement pas sans succès, je tiens à le souligner.

Par exemple, la Russie a entrepris des efforts de médiation actifs pour mettre fin au conflit armé dans la région du Haut-Karabakh, dans lequel les peuples et les États proches de nous – l’Azerbaïdjan et l’Arménie – ont été impliqués. Dans le même temps, nous avons cherché à suivre les principaux accords conclus au sein du groupe de Minsk de l’OSCE, en particulier entre ses coprésidents – la Russie, les États-Unis et la France. C’est également un très bon exemple de coopération.

Comme vous le savez, une déclaration trilatérale entre la Russie, l’Azerbaïdjan et l’Arménie a été signée en novembre. Et il est important qu’elle soit, dans l’ensemble, mise en œuvre de manière cohérente. Nous avons réussi à arrêter le bain de sang. C’est la chose la plus importante. Nous avons réussi à arrêter l’effusion de sang, à obtenir un cessez-le-feu complet et à entamer le processus de stabilisation.

La communauté internationale et, sans aucun doute, les pays impliqués dans la résolution de la crise doivent maintenant aider les zones touchées à relever les défis humanitaires que sont le retour des réfugiés, la reconstruction des infrastructures détruites et la protection et la restauration des monuments historiques, religieux et culturels.

Ou un autre exemple. Je voudrais souligner le rôle de la Russie, de l’Arabie saoudite, des États-Unis et d’un certain nombre d’autres pays dans la stabilisation du marché mondial de l’énergie. Ce format est devenu un exemple productif d’interaction entre des pays ayant des points de vue différents, parfois même complètement opposés, sur les processus mondiaux et leurs propres visions du monde.

Dans le même temps, bien sûr, il y a des problèmes qui concernent tous les États sans exception. La coopération dans l’étude et le contrôle de la pandémie de coronavirus en est un exemple. Récemment, plusieurs variantes de ce que l’on sait être une maladie dangereuse ont fait leur apparition. Et la communauté internationale doit créer les conditions permettant aux scientifiques et aux spécialistes de travailler ensemble pour comprendre pourquoi et comment les mutations du coronavirus se produisent et comment les différentes souches diffèrent les unes des autres. Et bien sûr, nous devons coordonner les efforts du monde entier, comme l’a demandé le secrétaire général de l’ONU et comme nous l’avons demandé lors du sommet du G20 il n’y a pas si longtemps, afin d’unir et de coordonner les efforts du monde entier pour lutter contre la propagation de la maladie et accroître la disponibilité des vaccins contre le coronavirus dont nous avons tant besoin. Nous devons aider les nations qui ont besoin de soutien, y compris les nations africaines. Je parle de l’intensification des tests et de la vaccination. Nous constatons que la vaccination de masse est désormais accessible principalement aux citoyens des pays développés. Alors que des centaines de millions de personnes dans le monde n’ont même pas l’espoir de bénéficier d’une telle protection. Dans la pratique, cette disparité peut représenter une menace générale, car, comme on le sait et comme on l’a dit à maintes reprises, l’épidémie continuera à se prolonger et des poches incontrôlables persisteront. Elle n’a pas de frontières.

Il n’y a pas de frontières pour les infections et les pandémies. Nous devons donc tirer les leçons de la situation actuelle et proposer des mesures visant à accroître l’efficacité du système de surveillance de l’apparition de ces maladies dans le monde et de l’évolution de ces situations.

Un autre domaine important dans lequel nous devons coordonner notre travail, voire celui de la communauté internationale dans son ensemble, est la protection du climat et de la nature de notre planète. Je ne vais rien dire de nouveau ici non plus.

Ce n’est qu’ensemble que nous pourrons progresser dans la résolution de problèmes aussi graves que le réchauffement climatique, la déforestation, la perte de biodiversité, l’augmentation des déchets, la pollution des océans par les plastiques, etc, et trouver le meilleur équilibre entre les intérêts du développement économique et la préservation de l’environnement pour les générations actuelles et futures.

Chers participants du forum ! Chers amis !

Nous savons tous que la concurrence, la rivalité entre les pays dans l’histoire du monde n’a pas cessé, ne cesse pas et ne cessera jamais. En fait, les divergences et les conflits d’intérêts sont aussi une chose naturelle pour un organisme aussi complexe que la civilisation humaine. Toutefois, à des moments critiques, cela ne nous a pas empêchés, mais au contraire, nous a encouragés à unir nos efforts dans les directions les plus importantes et les plus décisives. Et il me semble que nous vivons précisément une telle époque.

Il est très important d’évaluer honnêtement la situation, de se concentrer non pas sur des problèmes mondiaux imaginaires mais bien réels, d’éliminer les déséquilibres qui sont d’une importance capitale pour l’ensemble de la communauté internationale. Et alors, j’en suis sûr, nous pourrons réussir, relever les défis de la troisième décennie du XXIe siècle avec dignité.

J’aimerais terminer ici et vous remercier pour votre patience et votre attention.

Merci beaucoup.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux

[Source : breizh-info.com]

[Sur la photo :
Covid–1984 est une histoire de couverture
Le cartel médical vous ment
Le cartel médiatique vous ment
Bill Gates vous ment
Le totalitarisme est le véritable virus
et il tue nos libertés
]

Covid-1984 (Telegram) : « Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux » [Interview]

Sur le canal Telegram, dont nous vous avons expliqué le process récemment, on trouve énormément de chaines qui diffusent du contenu de qualité (voir notre liste mise à jour ici). Parmi elles, Covid-1984 (http://t.me/ReOpenCovid1984) où l’on trouve énormément d’informations — qui ne seront pas communiquées par les médias de grand chemin — au sujet de la crise sanitaire et des politiques mises en place pour asservir les populations au prétexte de les soigner.

Nous avons rencontré l’animateur de la chaîne, qui souhaite rester anonyme et qui a répondu à quelques-unes de nos questions.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené à lancer la chaine telegram covid 1984 ?

Covid-1984 (Telegram) : Dès le 1er février, j’ai posé des questions sur cette « pandémie » de chauve-souris mal cuite à l’un de mes oncles, médecin généraliste à la retraite (40 ans de médecine de ville à Paris, 20 ans externe attaché à l’APHP, notamment en réanimation digestive, et qui a travaillé sur le VIH), pour essayer de comprendre ce qu’il en était vraiment et si, réellement et comme on commençait à nous le faire croire, nous allions tous en mourir.

Ses réponses m’ont fait beaucoup sourire et m’ont amené ensuite à passer des heures et des heures à me renseigner, à croiser des sources, à analyser la situation, à interroger d’autres médecins, des infirmières, et je suis vite arrivé à la conclusion qu’on se foutait totalement de notre tronche.

Du coup, dès le mois de mars, j’ai essayé d’apporter quelques informations alternatives sur Facebook ou sur des groupes de discussion privés, parce que je voyais bien où tout cela allait nous mener. J’ai évidemment pris une volée de bois vert, y compris de la part de camarades pourtant formés politiquement, mais j’ai continué, semaine après semaine, mois après mois.

Le problème de Facebook, c’est la visibilité relative (je ne partageais pas en public) et les commentaires sans fin de ceux qui, n’ayant pas pris la peine de bosser un minimum le sujet, viennent expliquer qu’il faut continuer à faire confiance au gouvernement et que les mesures imposées ne sont pas si graves. Comme le résume très bien Florian Philippot, qui fait un gros boulot sur le sujet, quand on rentre dans l’état d’esprit covidiste, on peut toujours trouver une justification aux privations de liberté.

Cela m’a fatigué et j’ai opté pour une chaîne sur le réseau Telegram, ce qui me permet de relayer les informations et analyses sans gaspiller du temps et de l’énergie à répondre aux commentaires. Cela fonctionne assez bien, je crois que la chaîne compte près de 800 abonnés à ce jour et certaines de mes publications ont été vues plus de 2 500 fois. Ce qui est pas mal, mais évidemment trop peu.

Breizh-info.com : Le maire d’Eindhoven (Pays-Bas) a évoqué la possibilité d’une guerre civile en Europe du fait des restrictions, qualifiant les opposants aux mesures sanitaires de « lie » de la société. Qu’en dites-vous ?

Covid-1984 (Telegram) : La guerre civile qui vient et qui aura 15 minutes en retard, j’en entends parler depuis 30 ans.

Ce qui est vrai, en revanche, c’est que nous allons au-devant de cataclysmes sociaux et économiques majeurs, conséquence directe des confinements et des mesures liberticides, et que la seule réponse des gouvernements sera, comme toujours, d’envoyer la police (puis l’armée ?) sur les manifestants et de mâter tout ça en tirant dans le tas.

On a vu lors de l’épisode Gilets Jaunes. Je crains donc plus un massacre de population qui n’est pas armée (condition sine qua non pour parler de « guerre » civile), mais le nombre et le désespoir peuvent faire la différence.

Et cela pourrait vite très mal tourner.

En tout cas, en France comme ailleurs, nos gouvernants s’y préparent, il n’y a qu’à se pencher sur la mise en place de la troupe d’intervention rapide de « super CRS », créée pour intervenir sur les violences urbaines partout sur le territoire.

Notre cher Président nous avait prévenus : « Nous sommes en guerre ». Alors oui, nous sommes en guerre.

Mais pas contre un virus (qui se combat avec une politique de Santé cohérente, des diagnostics, des traitements et des soins, pas avec des masques en papier crépon et des couvre-feux). C’est une guerre ouverte entre les gouvernements, mandatés par quelques assassins psychopathes, et leurs peuples.

Quant à la posture de cet élu hollandais qui parle de la « lie de la société », quand on veut tuer son chien (ou son peuple), on dit qu’il a la rage, et on sait à quel point les mots aujourd’hui n’ont plus aucune valeur, dans des sociétés où règne l’inversion accusatoire.

Lorsqu’il finira pendu par le cul à un lampadaire, il sera un peu plus déférent.

Breizh-info.com : Il semblerait que nous allions tout droit vers un troisième confinement. Vous faites partie de ceux qui appellent les Français à sortir, dès le 1er février, pour quelles raisons ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, parce que le confinement, contrairement à ce que nous affirmait péremptoirement notre cher Jérôme Salomon, ne sauve pas « une vie toutes les 8 minutes », mais ne sert à rien et pire, il tue.

Par l’absence de soin (les spécialistes ne consultaient pratiquement plus lors du premier confinement de mars 2020), par l’abandon des personnes âgées, par la non-prise en charge des problématiques médicales autres (cancers et pathologies cardiaques en tête).

Les pays qui ont imposé les mesures restrictives les plus strictes sont ceux qui ont connu et connaissent les surmortalités les plus importantes. À l’inverse, les pays qui n’ont presque pris aucune mesure ont des surmortalités très basses.

Ensuite, parce que c’est une privation de liberté absolument intolérable.

Je ne comprends même pas comment autant de mes concitoyens ont pu accepter de rester cloîtrés chez eux, par peur de choper une grippe ou une amende (alors que les attestations dérogatoires permettent d’aller et venir absolument où on veut et quand on veut). Certainement Étienne de La Boetie avait tristement raison quand il évoquait la servitude volontaire il y a près de 500 ans.

Dans l’Histoire du monde, je n’ai pas souvenir que des esclaves aient été libérés plus vite parce qu’ils obéissaient mieux. Alors quand j’entends l’argument du « Reste confiné deux semaines et on pourra revivre normalement », pardon, mais c’est stupide.

Surtout que c’est exactement l’inverse qui se passe depuis bientôt un an. Chaque mesure est une étape supplémentaire vers la soumission totale.

Et la désobéissance civile est une réponse à mon sens mesurée, radicale, non violente et efficace, qui consiste juste à dire : « Nous n’attendons plus votre autorisation pour revivre comme avant, nous vous avons fait confiance une fois, deux fois, maintenant c’est fini ».

Breizh-info.com : La majorité des Français semble toutefois pour les mesures sanitaires strictes. N’est-ce pas finalement aller à l’encontre de la volonté populaire ?

Covid-1984 (Telegram) : Je me méfie des sondages d’opinion. Même s’il est probable qu’une grande partie de la population vive encore dans la peur du virus ou dans la volonté de rester sous la tutelle de Macron et Véran (ou, plus précisément, de Bill Gates et Klaus Schwab), je ne sais pas si c’est réellement la majorité.

Beaucoup de Français commencent quand même à comprendre l’entourloupe.

Mais même si c’est le cas, que cette majorité reste chez elle, vive avec un masque toute la journée, se badigeonne de gel hydroalcoolique, qu’elle aille se faire piquer et qu’elle nous lâche la grappe. Si une majorité de mes concitoyens est hypocondriaque et mue par la trouille, ce n’est pas pour cela qu’elle a raison et que les gens sains d’esprit doivent faire comme elle.

La masse ne comprend pas toujours ce qui se passe.

Et je me réfère toujours à José Antonio Primo de Rivera dans ces cas-là :

« La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. »

Terrible d’actualité, non ?

Breizh-info.com : Comment s’y retrouver dans le flot d’informations, y compris alternatives, concernant la question du Covid-19 ? Comment éviter les pièges sur lesquels les « chasseurs de complotistes » sont prêts à se jeter ?

Covid-1984 (Telegram) : Déjà, il faut arrêter de croire (et c’est un travers du système démocratique) qu’un avis en vaut un autre.

À mon sens, il faut écouter les avis divergents pour se forger le sien, mais il faut être attentif à deux critères :

  • Quel est le CV de la personne qui me parle
  • Quels sont ses intérêts (officiels ou plus masqués)

Je prends un exemple simple.

Le Dr Louis Fouché a fait 11 ans d’études de médecine, 3 ans de DEA d’Éthique de la médecine ; après avoir fait un an de philosophie. Il est médecin réanimateur. Son métier est de soigner et de sauver des gens, toute la journée.

Il est clinicien et a les mains dans le cambouis, si je puis dire.

Le Dr Jérôme Salomon, dont je vous parlais déjà tout à l’heure, a exercé 5 ans seulement comme médecin. Le reste de sa carrière, il l’a passé derrière un bureau à gérer de la paperasse. Il est Directeur général de la Santé, il est donc fonctionnaire de l’État.

Il a été nommé à ce poste par Agnès Buzyn (oui, celle-là même), femme de Yves Lévy, qui accompagnait Bernard Cazeneuve lors de la cérémonie d’inauguration et d’accréditation du laboratoire P4 de Wuhan en Chine (ce même laboratoire dont se serait échappé le fameux virus, décidément le monde est petit).

Alors à votre avis, lequel des deux à un point de vue pertinent, rationnel et objectif ?

Lequel des deux veut réellement le bien des malades, et lequel fait le sale boulot pour le gouvernement ?

On pourrait renouveler cent fois l’expérience, en comparant Raoult, Perronne, Toussaint, Bricaire, Toubiana, avec Laurent Alexandre (chef d’entreprise qui n’a jamais exercé comme médecin), Blachier (il n’a jamais exercé non plus et fait de la projection mathématique), et même Olivier Véran (12 ans de neurologie), qui début mars et dans un éclair de lucidité nous expliquait que c’était le confinement qui permettait la propagation des épidémies grippales.

Sans parler des conflits d’intérêts de certains praticiens avec les laboratoires pharmaceutiques. La plupart des informations sont officielles et trouvables facilement, c’est édifiant.

Pour ce qui est des « chasseurs de complotistes », je crois qu’il ne faut pas s’en soucier. Et le meilleur moyen d’échapper à leurs pièges est de savoir de quoi on parle, d’avoir des sources fiables, de toujours vérifier plusieurs fois les informations.
Et d’arrêter de vouloir toujours se justifier.

De toute façon, à la fin, si vous allez à l’encontre de la doxa officielle, vous serez taxés de complotisme.

Il faut voir ça comme un hommage du vice à la vertu, une médaille plus qu’une insulte. Je rappelle d’ailleurs à ce propos que toutes les « théories du complot » de 2020 se sont finalement avérées exactes.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la faculté d’accepter d’être réduits au silence et à la mort économique d’une large partie des restaurateurs, des gérants de discothèque, de ce pays. La France est tout de même un pays traditionnellement et historiquement contestataire, et même violent non ?

Covid-1984 (Telegram) : Parce que pour le moment, la plupart touchent des aides de l’État qui leur permettent de survivre. Aides financées par nos impôts, ce qui est un poil agaçant, vous en conviendrez.

Les petits meurent et sont isolés (je crois que 300 discothèques ont déjà déposé le bilan, et ça va continuer), les moyens survivent grâce à ces aides (et à des emprunts qu’ils ne pourront jamais rembourser), et les gros ont des trésoreries (et des aides) qui leur permettent de tenir jusqu’au moment où ils pourront racheter les petits (et au pire, ils licencient à tour de bras, comme le font certains grands hôtels parisiens).

En Italie, ou dans d’autres pays, ces aides ne sont jamais venues ou ont mis 6 mois à être versées. Raison pour laquelle le peuple est descendu plus spontanément dans la rue.

Malheureusement, dans de nombreux cas, c’était plus pour quémander des sous au papa État que pour réellement s’en affranchir et renverser la table.

Est-ce que cela va durer ? Le peuple va-t-il se laisser martyriser encore longtemps sans broncher ? J’en doute. En tout cas, il faudra ne pas rater l’occasion que nous avons de changer le cours de l’Histoire.

Breizh-info.com : Le mot de la fin ?

Covid-1984 (Telegram) : Nous vivons notre pire cauchemar.

Je suis militant politique depuis 1993, et tout ce que nous dénonçons depuis des décennies se met en place sous nos yeux. Chacun doit en avoir conscience, et admettre cette terrible réalité : il est possible que les gens qui nous gouvernent ne nous veulent pas du bien.

Quand on a compris et intégré cette donnée, il est plus facile d’opérer une juste sécession mentale et organique, et d’aller de l’avant. Nous sommes tous devons un choix terrible, celui de faire partie du problème, ou de faire partie de la solution.

Ou en d’autres termes, et puisque ce monde ne nous laisse pas le choix, de rester esclaves ou de devenir des hors-la-loi (ou, à minima, des renards furtifs).

Il est l’heure les amis. Réveillons-nous, battons-nous, avec force, courage, humilité et endurance.

Je vous donne rendez-vous à la Victoire !

Propos recueillis par YV

Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Révoltes contre la dictature sanitaire dans plusieurs pays d’Europe

[Source : breizh-info.com]

Dans plusieurs pays d’Europe, des hommes libres se réveillent, et cela inquiète les autorités, qui sortent les matraques et font usage d’une violence inouïe. Aux Pays-Bas ce week end, des violences ont éclaté dans plusieurs villes alors que des manifestants descendaient dans la rue pour protester contre la mise en place , inédite, d’un couvre-feu.

La police a chargé et réprimé sans sourciller les manifestants – ce qui n’a pas provoqué d’indignation médiatique comme on a pu le voir pourtant avec des images similaires en Biélorussie il y a quelques mois – comme en témoignent les images ci-dessous. Des incidents ont été signalés notamment à Amsterdam, Eindhoven, La Haye, Breda, Arnhem, Tilbourg, Enschede, Appeldoorn, Venlo et Ruremond. Une centaine d’arrestations ont été enregistrées.

« Je pense que si on va sur ce chemin, nous nous dirigeons vers une guerre civile », a déclaré dimanche devant les caméras de télévision le maire d’Eindhoven John Jorritsma, qualifiant sans aucune retenue les personnes présentes au rassemblement de ‘lie de la société‘ et suggérant la nécessité d’une intervention de l’armée.

A noter l’incendie d’un centre de dépistage du Covid-19 dans le village d’Urk, dans le nord du pays, samedi soir.

https://youtu.be/KDc9KGpLEjM

Les Pays-Bas ont entamé samedi leur premier couvre-feu depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est interdit de sortir de chez soi entre 21h00 et 04h30, et ce au moins jusqu’au 9 février. Tout contrevenant encourt une amende de 95 euros.

En Espagne, en Suède, mais aussi en France, des manifestations commencent à avoir lieu pour dénoncer les mesures sanitaires folles décidées par des dirigeants qui mènent une expérimentation sociale d’ampleur inédite, expérimentation dont le Covid-19 ne semble qu’un prétexte et dont les principaux acteurs, c’est vous, c’est nous.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Le grand silence de la mort politique française

Par Jean-Michel Grau

Au moment où tous les rouages de la grande prise d’otage de masse du Covid planifiée par le psychopathe mondialiste Klaus Schwab et les oligarques de la finance, des grandes entreprises et des médias du Forum de Davos apparaissent au grand jour, en revanche, les élus politiques censés faire fonctionner les garde-fous des démocraties sont aux abonnés absents.

Ceci est particulièrement vrai en France où plus personne, ni à l’assemblée, ni au Sénat, ni au Conseil d’État, ni même au Conseil Constitutionnel, ne vient s’offusquer de toutes les mesures liberticides enfilées les unes après les autres pour mieux verrouiller et cadenasser la parole publique et avec elle, les français, via toutes les injonctions de l’Union européenne répétées en boucle pour anéantir les peuples : confinements, couvre-feux, ausweis, port obligatoire de muselières, sabordage de l’hôpital, des écoles et des universités, fermeture programmée des restaurants, bars, cafés, discothèques, salles de sport, cinémas, théâtres, musées, salles de concert, petits commerces, PMI-PME ainsi que toutes les activités des indépendants jugées non essentielles, avec au bout :
la mort sociale, avec des millions de chômeurs et de SDF à la clé.
Ainsi, après le premier confinement, 1 million de gens ont basculé dans la pauvreté.

C’est un gigantesque suicide collectif qui se profile à l’horizon.

Un suicide d’autant plus grave qu’il n’a rien de virtuel pour certains, avec tous les suicides de plus en plus nombreux d’étudiants, de commerçants, d’agriculteurs et d’indépendants de toutes professions ne pouvant plus faire face à leurs dettes, que l’on rapporte un peu plus chaque jour.

Dans une démocratie digne de ce nom, n’importe quelle personne censée pourrait à bon droit se dire qu’elle peut se tourner vers les politiques, autrement dit, ses élus, pour lui venir en aide, afin d’enrayer au plus vite les décisions aussi aberrantes que criminelles de cette société devenue complètement folle et prête à ruiner toute l’économie pour éradiquer un virus à la létalité de 0,05 %.

« Le fait de détruire méthodiquement le pays pour une maladie avec un taux de mortalité aussi faible relève du pétage de plombs. Un troisième confinement serait une très mauvaise décision, car le pays est déjà exsangue. Il a reçu des coups extrêmement durs sur le plan économique, social et psychologique, mais aussi sur le plan des libertés publiques » explique le philosophe Jean-Loup Bonnamy. « Je redoute l’apparition d’une génération sacrifiée, avec des conséquences extrêmement lourdes pour les plus jeunes. Un pays ne peut sacrifier sa jeunesse. » conclut-il. (1)

Oui, mais voilà : entend-on les voix des politiques qui devraient être les premiers à s’offusquer de ces mesures de plus en plus délirantes et les dénoncer : tests tous azimuts (alors que même l’OMS reconnaît aujourd’hui que le protocole du Dr Drosten qui les a mis au point est bidon), confinements moyenâgeux, couvre-feux d’états de guerre, établissement de zones de contagion du rouge au rouge foncé dans toute l’Europe pour développer et entretenir la peur, seule garante de maintenir en place cette gigantesque supercherie pour faire advenir le Great Reset [= la Grande Réinitialisation] de la société occidentale ? Tout cela, parce que quelques gourous illuminés, comme Schwab ou Attali l’ont décrété pour refaire le monde à leur image, du fond de leur fauteuil du forum de Davos, tout comme notre Jupiter de salle de bains du fond de sa baignoire ?

« La liberté d’exploiter l’humain pour en tirer des profits gargantuesques incompatibles avec le bien commun et la survie des générations futures n’est pas une liberté. C’est une folie. » conclut Nicolas Teterel dans son livre : « Les esclaves de l’anthropocène » (2) Quels politiques ont-ils aujourd’hui pris la mesure de cette folie en train d’auto-détruire toute la société occidentale ?

Où sont-ils les politiques pour dénoncer ce plan populicide monstrueux ?

Ohé ! Ohé !! Ohé !!! Y’a quelqu’un ?? Y’A QUELQU’UN ???

À l’Assemblée ? Au Sénat ? Au Conseil d’État ? Au Conseil constitutionnel ? Y’A QUELQU’UN ??

  • À l’Assemblée : que dire de tous ces Playmobil en Marche, « pourvus d’un moteur électrique incorporé qui leur permet de battre des mains, de se lever et de tourner la tête en même temps vers l’Élysée, et même de ramper » (3), prêts à voter sans broncher toutes les lois liberticides, mais par contre, à refuser de voter l’allongement de congé de deuil pour un enfant ?
  • Au Sénat, où sont donc passés les brillants orateurs de la Commission d’enquête de l’affaire Benalla ? Disparus dans la nature, tout comme les barbouzes interrogés ?
  • Au Conseil d’État, où l’on valide sans discuter toutes les décisions liberticides du gouvernement ?
  • Au Conseil constitutionnel, où l’on valide sans sourciller, la loi prorogeant jusqu’en juin 2021 l’État d’urgence sanitaire en vigueur depuis déjà 3 mois ? Depuis quand un état d’urgence peut-il se pérenniser ? Ou comment donner les pleins pouvoirs à un chef d’État qui n’attendait que cela…

2020 serait-il donc un remake de 1940 ? Nos députés se sont-ils finalement couchés comme leurs aînés devant la dictature ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même cas de figure que le 10 juillet 40 où l’écrasante majorité de 569 députés sur 649 a voté les pleins pouvoirs au Maréchal ? Sommes-nous autorisés à penser que le slogan de la campagne électorale de Macron « La France en marche » n’était finalement qu’un copié/collé de la France de Pétain ? Tout le laisse à penser.

Quant à l’opposition de 2021, où est-elle ? De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, y a-t-il encore une voix pour protester ? Ont-ils bien tous pris la bonne mesure de la gravité de la situation ?

Si même eux ne protestent pas, que restera-t-il au peuple français pour protester à part la loi de la rue, où le pire est à craindre comme on commence à le voir avec les émeutes des Pays-Bas ?

Car si l’on ne fait rien, et qu’on attend bien sagement qu’on nous soumette tous en esclavage comme prévu dans la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, on ne peut que s’attendre à ce que son scénario s’écrive en lettres de sang et de larmes, comme celui que dénonçait en 1946 le Pasteur allemand Niemöller :

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,

il ne restait plus personne pour protester. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021 au moment où ces lignes sont écrites, on ne compte plus que deux politiques qui font entendre leur voix. Oui, deux ! Florian Philippot (4) et Martine Wonner (5) qui ne ménagent pas leurs forces pour lever les foules. Grâce leur soit rendue pour leur courage !

C’est pourquoi, avant de voir basculer le pays dans un chaos irrémédiable, tous les politiques français feraient bien de méditer cette réflexion de l’ancien président des États-Unis :

« Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. »

John Fitzgerald Kennedy, mars 1962

Nous sommes les 99 %. RÉSISTANCE !

Notes

(1) Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy, Quand la psychose fait dérailler le monde, Gallimard

(2) Nicolas Téterel, Les esclaves de l’anthropocène, éditions Yves Michel

(3) legrandsoir.info/les-playmobil-en-marche.html

(4) https://www.youtube.com/channel/UClaa_CwoQEmSo9Mb_M1f91g/videos

(5) youtube.com/watch?v=0Qlfu9VHKLo