On a enfin des résultats sur les conséquences du Pfizer sur les souris et on comprend mieux pourquoi ils refusent les autopsies post injection pour les humains décédés

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Ne dites plus « on n’a pas le recul », malheureusement les études confirment les pires inquiétudes

La fameuse protéine spike induite par la vaccination ne disparait pas rapidement, mais demeure plusieurs semaines dans l’organisme occasionnant des dégâts qui rappellent celles de sa cousine induite par la contamination.

C’est une catastrophe si par malheur l’injection ne se fait pas dans le muscle, mais dans une veine, une catastrophe également si le vacciné est déjà contaminé ou le devient dans les jours qui suivent.

On comprend mieux l’explosion des décès attribués à la Covid au printemps dernier en pleine phase vaccinale. On comprend mieux les effets secondaires… Il ne faut pas se contenter du résumé de l’étude (les injections intraveineuses sont dangereuses) mais bien lire une fois de plus tout le matériel complémentaire.

Résultats d’autopsies humaines

Toutes les sources ici :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/allemagne-autopsies-5-deces-sur-10-lies-aux-vaccins

Soutenu par les professeurs Sucharit Bhakdi et Stefan Homburg et par le Corona Auschuss de Reiner Fuellmich, un nouvel institut de médecine légale a tenu lundi sa première conférence de presse, pour présenter les éléments de preuve désormais disponibles sur les accidents mortels qu’ont pu entraîner les injections dites anti-covid.

Selon un rapport paru dans le bulletin allemand Corona Transition, les professeurs Arne Burkhardt et Walter Lang, médecins légistes, ont présenté lundi 20 septembre à Reutlingen le résultat de dix autopsies pratiquées sur six Allemands et quatre Autrichiens, tous décédés suite aux injections.

Sur les dix décès, sept sont « probablement » liées aux injections, dont cinq le sont « très probablement ». Pour les trois derniers cas, l’un d’entre eux reste à évaluer, un autre semble être « une coïncidence », et pour le dernier, le lien « est possible, mais pas certain ».

Ils ont résumé les conséquences des injections comme une « crise de folie des lymphocytes » (Lymphozyten-Amok). Les lymphocytes sont un sous-groupe de globules blancs associés aux réactions immunitaires.

Particulièrement étrange et inattendu, Dr Arne Burkhardt a découvert trois maladies auto-immunes extrêmement rares au cours de ces autopsies : le syndrome de Sjögren, la vasculite leucoclasmique de la peau, et la maladie de Hashimoto.

Pour ce qui est de la myocardite lymphocytique, la diagnose la plus répandue, elle est difficile à déceler même sous microscope et souvent interprétée comme simple infarctus.

Au cours des dernières années en Allemagne, la mort de 20 personnes seulement a pu être mise en relation avec des vaccinations. Par contre, entre janvier et juillet 2021, c’est-à-dire depuis le lancement de la campagne d’injections anti-covid, suivies de 1 230 signalements de décès comme accidents vaccinaux. Il s’agit donc au minimum de dix fois le nombre de morts par rapport aux vaccins conventionnels, sans même parler des dizaines de milliers d’accidents vaccinaux n’ayant pas immédiatement entraîné la mort.

La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque et 100 % des souris vaccinées sont victimes de nécrose.

Cette étude a fourni des preuves in vivo que l’injection intraveineuse par inadvertance de vaccins à ARNm COVID-19 peut induire une myopéricardite. Un bref retrait du piston de la seringue pour exclure l’aspiration de sang peut être un moyen possible de réduire ce risque.

EXPERIENCES SUR LES SOURIS

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358/

Les meilleures analyses viennent des vétos

https://twitter.com/TheVeto3/photo



https://t.co/1d5XfUfqBk?amp=1

TheVeto
@TheVeto3 DMV, DEA ScV, PhD, Post-PhD, Assistant Professeur – Maladies infectieuses, Pathologie, Microbiologie, Biologie Moléculaire, Epidémiologie, Vaccinologie

1/13 Attention💣 à RT!
Existe-t-il une étude in vivo qui montre qu’injecter les vaccins ARNm anti-SARS-Cov-2 induit des myo/péricardites? Super! Une équipe a testé l’injection ARNm Pfizer sur des souris! Les effets sur le coeur de ces malheureuses est juste hallucinant! Let’s go!

2/13 Ils ont comparé l’injection intraveineuse (IV) et intramusculaire (IM) contre placebo avec un rappel à 14 jours. On se doute que les effets seront amplifiés par l’injection IV contre IM. A l’autopsie, le coeur change d’aspect. Cela fait vraiment envie! Cfr flèches blanches.

3/13 Résultats dans le tableau. Infiltration immunitaire myo/péricarde et dégénérescence/nécrose des cellules du coeur (cardiomyocytes) chez 100% des souris 2j après leur 2ème dose (IV ou IM) … atteinte hépatique 2j après la première dose du groupe IV (100%) et IM (50%)

4/13 Le muscle cardiaque est littéralement envahit par des cellules immunitaires et s’altère à différents endroits. La spike vaccinale se retrouve partout dans le muscle cardiaque (cardiomyocytes, histiocytes, endothéliocytes)

5/13 Les petites souris ne meurent pas, elles ne se plaignent pas mais leur poids a diminué par rapport aux groupes contrôles. L’histoire ne dira pas si leur espérance de vie a été raccourcie. Mais on nous dit que ce n’est pas grave de faire une myocardite …

6/13 Critique: la dose injectée aux souris est environ 500x celle injectée à l’Homme, en proportion du poids. S’ils avaient du inoculer la même dose qu’à l’Homme (500x moins), ils auraient peut-être dû autopsier des millions de souris pour voir des myocardites … pauvres souris

7/13 « C’est la dose qui fait le poison » disait l’ancêtre Paracelse!
Par dose, Moderna contient 100μg d’ARNm et Pfizer 30μg. On pourrait s’attendre à avoir plus de myocardite avec Moderna.
Regardons les dernières données de l’ANSM au 24/09/2021 sur les myocardites.

8/13 Moderna: 79 myocardites pour 9.567.020 doses
Pfizer: 251 myocardites pour 68.603.875 doses
Bingo! Pour 10 millions de doses injectées il y a 83 myocardites avec Moderna et 37 myocardites avec Pfizer.
Soit 2,25 fois plus de risque de faire une myocardite avec Moderna.

9/13 Question: Pfizer étudie l’élargissement de la vaccination aux enfants de 5-11 ans sur base d’une étude portant sur seulement 2.268 enfants et une dose injectée à 10μg. Pourquoi Pfizer divise par 3 la dose d’ARNm pour les 5-11 ans? Pas trouvé la réponse.

10/13 Si j’étais responsable vaccin chez Pfizer, en voyant ce qui est dit plus haut, j’aurais aussi diminuer la dose par 3 pour diminuer le risque. Vous imaginez, injecter une dose de 30μg alors qu’ils pèsent entre 20 et 40kg? Je voudrais pas avoir la 1/2 de la planète sur le dos

11/13 Diminuer la dose, c’est risqué de diminuer l’efficacité … de toute façon cela ne se verra pas puisqu’ils ne risquent rien! Pourquoi vouloir les vacciner avec un risque d’effets indésirables alors que le contexte épidémique est calme et qu’ils ne risquent rien?💵?

12/13 Conseil: Si vous vous faites injecter l’ARNm, demandez bien à la personne qui vous injecte le vaccin d’effectuer un petite aspiration sur la seringue pour bien vérifier qu’il ne vous fait pas une injection intra-veineuse! Vous verrez qu’à la TV ils ne le font jamais!😱😯

13/13 PS: Merci aux 46 petites souris qui ont donné leur vie pour nous éclairer. RIP.


Pour comprendre ce qu’il se passe dans le corps post-vacc ARNm pourquoi ne pas biopsier la peau de ceux qui font des réactions cutanées post-vacc pour le transposer aux autres effets indésirables? Super une publication est sortie dans Clinics in Dermatology.

Le récepteur ACE-2 est exprimé dans les cellules endothéliales des vaisseaux de nombreux organes ainsi que les plaquettes sanguines. On pourrait donc s’attendre à des effets indésirables post-vacc ARNm très variables … ce que l’on observe!

Des personnes montrant des « rash » cutanés post-vacc ARNm à différents endroits du corps, les biopsies donne des vascularites lymphocytaires avec dermatite et la spike vaccinale s’y retrouve chaque fois dans les vaisseaux sanguins du derme!

D’où l’hypothèse que les spikes vaccinales pourraient passer du muscle deltoïde dans le sang et agir à distance dans le corps comme des « pseudovirions » se liant là où est exprimé le récepteur ACE-2, provoquant localement réaction immune et inflammation.

Myocardite/péricardite, lymphadénopathie, appendicite, glomérulonéphrite, thrombocytopénie, métrorragie, vascularite/thrombose, hépatite, pancréatite, dermatite, neuropathies, …

MULTIPLICATION PAR DIX DES CAS HABITUELS DE MYOCARDIES



L’une des façons d’imputer des pathologies aux vaccins contre le Covid est de comparer leur incidence habituelle et leur incidence durant la période vaccinale. On peut voir dans ce tableau des CDC l’augmentation de pathologies cardiaques chez les jeunes

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8415509/




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”. Mise à jour

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Mise à jour : vidéo complète sous-titrée en français]



EXCLU L’ANTIPRESSE/LE COURRIER DES STRATÈGES

Notre correspondant en Allemagne, François Stecher, nous a signalé cette conférence du journaliste-enquêteur ERNST WOLFF (né en 1950 et spécialisé dans l’analyse des crises financières) donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cet exposé nous a frappé par sa cohérence, sa mesure et sa limpidité. Il propose, loin de tout «complotisme», une «contre-narration» de la crise en cours. Elle corrobore la thèse proposée dès avril-mai 2020 dans L’Antipresse: celle du coup d’État technologique et l’analyse du Great Reset proposée par Eric Verhaeghe dans son ouvrage « Great reset: mythes et réalités » (éditions Culture et racines, 2021) ou celle du « fascisme gris » proposée par Edouard Husson dans ces colonnes. Le schéma proposé par Wolff complète également de manière frappante la stratégie de l’hyper-normalisation exposée dans le documentaire capital d’Adam Curtis produit en 2016 par la BBC. Le nihilisme robotique du projet illustre enfin la thèse du grand sociologue américain Theodore Roszak sur la Secte informatique résumée et commentée dans l’Antipresse durant l’été 2020. Les enquêtes et intuitions de Wolff s’inscrivent ainsi dans un faisceau de tendances et d’indices plus que convaincant, d’autant plus qu’il est assumé et alimenté par les protagonistes eux-mêmes de ce grand renversement, notamment au travers de la mise à jour permanente doctrines resettistes et transhumanistes de Davos. François Stecher a bien voulu traduire la conférence en français et nous la publions en deux parties. Le lecteur pourra se reporter à la vidéo en allemand ainsi qu’à la version sous-titrée en anglais dont nous donnons les liens ci-dessous. À toutes fins utiles, des repères de minutage sont insérés dans le texte. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

L’effondrement a-t-il été planifié?

Le président américain Franklin Delano Roosevelt a dit une fois: «rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive, vous pouvez parier que c’était exactement planifié ainsi». Si l’on regarde tout ce qui s’est passé au cours de l’année et demie qui vient de s’écouler, cette phrase est particulièrement terrifiante. Est-il seulement possible que tout ce que nous avons vécu ait été planifié?

Je voudrais en préambule clarifier un point: je ne peux apporter aucune preuve de l’existence d’un tel plan, par exemple sous la forme de documents authentifiés. Mais après m’être intéressé, depuis dix-huit mois, à ce sujet de manière approfondie, je dois dire qu’il y a un nombre impressionnant de signes et d’indices qui vont dans cette direction. De ceux-ci et de leurs conséquences, je voudrais parler aujourd’hui(1:09). 

D’absurdité en absurdité

La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est unique dans l’histoire de l’humanité. Jamais encore le monde entier n’a été soumis à un régime de contraintes comme celui qui règne aujourd’hui. Et jamais encore n’ont été prises autant de mesures qui paraissent à première vue si incompréhensibles, parfois si absurdes et à de nombreux égards si contradictoires (1:42).

Officiellement, nous avons, de mémoire d’homme, affaire à la plus grave crise sanitaire de l’histoire de l’humanité. Pourtant, les mesures qui ont été prises pour y faire face n’ont pas amélioré la situation, mais l’ont au contraire continûment dégradée (1:58). Tout médecin peut aujourd’hui confirmer que l’état de santé des gens, de la majorité des gens est aujourd’hui moins bon [pire] qu’il n’était avant la crise. Et même du point de vue de ceux qui ont ordonné ces mesures, la situation est catastrophique. La quatrième vague qui prétendument nous menace, comme l’annonce de la nécessité des troisième puis quatrième puis cinquième injections, montrent bien que toutes les décisions prises jusqu’ici ont échoué à atteindre leur but, celui de contenir la maladie (2:35).

[1]

Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Nous avons affaire désormais, dans la foulée des confinements, à une crise économique globale. Dans les moindres coins et recoins du monde, la production est comme suspendue, la logistique est à terre, les chaînes d’approvisionnement sont brisées, nous faisons face à de mauvaises récoltes, des pénuries alimentaires, et de surcroît, à un manque cruel de semi-conducteurs, si essentiels à des pans entiers de l’économie (3:12). Mais dans ce domaine également, ce que nous voyons, c’est que l’on ne s’attaque pas aux problèmes pour les résoudre, mais qu’au contraire, par la prise de nouvelles mesures et la menace permanente de nouvelles restrictions, on les multiplie et les amplifie (3:31).

Dernier exemple en date: en Chine, un terminal du troisième plus grand port de fret du monde a été fermé à cause d’un unique cas positif parmi les employés du port (3:47). Ou bien encore la Nouvelle-Zélande: en Nouvelle-Zélande, la semaine dernière, on a confiné le plus sérieusement du monde 5 millions de gens parce qu’une seule personne de 58 ans a eu un résultat de test positif.

Une autre crise concerne les classes moyennes (Mittelstand), qui sont de loin les premiers employeurs à la surface du globe, et supportent en outre le gros de la pression fiscale (4:17). Par une insécurité sans cesse attisée et de nouvelles réglementations qui surgissent en permanence, les classes moyennes se retrouvent acculées, plus fortement de semaine en semaine, et n’ont encore jamais été confrontées à une telle crise.

Mais même cela, ce n’est pas tout. Nous vivons actuellement une violente hausse de l’inflation pour le monde entier, en particulier pour ce qui concerne les matières premières, les prix à la production et les aliments (4:49). Et là encore, bizarrement, on ne fait rien pour contrecarrer cela, bien au contraire. On maintient la surabondance d’argent, et même on la renforce. Les États et les banques centrales ont injecté 20 billions de dollars dans les circuits financiers mondiaux depuis le début la crise, sans qu’on puisse voir la fin de ces agissements. Et le Fonds monétaire international, la plus puissante organisation financière au monde, libérera lundi prochain, pour 650 milliards, la plus grosse somme jamais sortie de sa propre monnaie, des droits de tirage spéciaux (DTS) (5:32).

Et la situation sociale n’est pas meilleure. Un seul exemple: aux États-Unis, la première puissance économique mondiale, près de 4 millions de personnes sont menacées d’expulsion parce qu’elles sont incapables de payer leurs loyers ou de payer les traites de leurs emprunts. Aux États-Unis encore, plus de dix fois autant de personnes – j’insiste, il s’agit du pays le plus riche du monde – ne sont pas en mesure de se nourrir avec leur seul revenu (6:06). Et ce que la destruction délibérée de l’économie et l’aggravation de l’inflation n’ont pas réussi à provoquer, les politiciens y sont parvenus: quel que soit le pays, une division au sein des populations comme nous n’en avons jamais connue.

Il faut encore y ajouter désormais, dans une certaine mesure comme un couronnement de tout cela, le changement de pouvoir, prémédité, provoqué par les États-Unis en Afghanistan. Là-bas, on a abandonné délibérément, pour 20 milliards de dollars US de matériel militaire, une armée de l’air complète et onze bases aériennes, ce qui va déclencher de manière absolument certaine la prochaine vague géante de réfugiés (7:04).

Pourquoi?, se demande-t-on. Pourquoi, à travers le monde entier de telles mesures sont prises, qui provoquent un désastre après l’autre, et poussent vers l’abîme la majorité des gens, au lieu de les tirer de leur misère? Pour répondre à cette question, il convient d’en poser deux autres: qui a un intérêt à cet agenda global, et qui en tire profit (7:38)?

Le complexe financier-numérique

La réponse à ces deux questions est indiscutable: le plus grand profiteur de la crise actuelle et le plus important des instigateurs dans la coulisse est le «complexe financier numérique», c’est-à-dire une sorte de communauté d’intérêts à la pointe de laquelle on trouve les plus grosses entreprises informatiques et les plus gros gestionnaires de fortune de notre temps. Sont comptées au nombre des plus grosses entreprises du numérique Apple, Alphabet, la société mère de Google, Amazon, Microsoft et Facebook. La valeur boursière de ces seules cinq compagnies représente la somme hallucinante de 9,1 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, le produit intérieur brut de l’Allemagne, de la France et de l’Italie réunies pèse 8,6 milliers de milliards de dollars US (8:39)!

À ces entreprises du numérique, il faut ajouter les grands gestionnaires de fonds: BlackRock, Vanguard, Statestreet et Fidelity. Tous, ils ont des participations massives dans chacune des entreprises du numérique. Mais ce n’est pas tout: à eux seuls, ces quatre-là gèrent actuellement un portefeuille d’un montant de 22,6 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, une fois encore: le produit intérieur brut des 28 pays de l’Union Européenne représentait l’année dernière une valeur de 15,7 milliers de milliards de dollars US.

Mais ce n’est pas seulement la monstrueuse puissance financière de ces entreprises qui rend le complexe financier numérique si puissant (9:29). Commençons d’abord par les entreprises du numérique: elles n’ont pas seulement par elles-mêmes une écrasante force sur le marché, elles contrôlent également des centaines de milliers d’autres entreprises, parce qu’elles organisent leur numérisation et jouissent ainsi d’une surveillance permanente de leurs flux de données. L’industrie du numérique n’est rien d’autre qu’une tumeur qui, au cours des années, a répandu ses métastases dans toutes les branches de l’économie, les a placées dans sa dépendance, et désormais les domine complètement (10:09).

Il n’en va pas différemment des gestionnaires de fonds. Ils ont des participations dans toutes les grandes entreprises du monde, et sont en situation de pouvoir pousser n’importe quel marché de leur choix dans n’importe quelle direction. Le plus grand d’entre eux, BlackRock, dispose avec un système d’analyse de données sur plus de 40 ans, du plus gros fonds d’informations financières que le monde ait jamais vu. Et BlackRock, sur la base de ce fonds, conseille les plus grandes banques centrales du monde, c’est-à-dire la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne (10:48). Compte tenu de l’avantage considérable dont jouit BlackRock avec ses fonds, il devrait être facile de voir qui, ici, dépend de qui.

Nous avons donc affaire à l’association, unique dans l’histoire, d’une puissance financière écrasante et de la jouissance d’une base d’informations géante aux dimensions inimaginables. Depuis le début de la crise, cette combinaison a donné à ces entreprises un essor comme elles n’en avaient jamais connu auparavant. Et ce n’est pas tout: cet essor s’accélère sans cesse (11:29). Pour le seul dernier trimestre, c’est-à-dire aux mois d’avril, de mai et de juin, elles ont enregistré les plus gros gains de leur histoire.

Un immense geste de désespoir

Si l’on considère ces faits, on n’a pas besoin d’une imagination débordante pour arriver à la conclusion que l’on a affaire, avec le complexe financier numérique, au centre global de pouvoir, autour duquel tout gravite (11:57). Le complexe financier numérique se tient largement au-dessus de tous les gouvernements de la planète, il est en situation, à tout instant, de les mettre à genoux et de les soumettre à sa volonté. On s’étonnera d’autant plus des méthodes avec lesquelles le complexe œuvre depuis le début de la crise actuelle: il semblerait presque qu’il sape justement le système dont il profite lui-même (12:28). Quelques exemples de cela: si le complexe financier numérique détruit les classes moyennes, il détruit, de fait, les fondements mêmes de son existence, puisque comme nous l’avons dit, ce sont les classes moyennes qui paient le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois; et s’il attise l’inflation, c’est bien à lui-même qu’il inflige des dommages; et s’il détruit la paix sociale en faisant exploser les déséquilibres sociaux, cela détruit aussi le terrain sur lequel il fait ses affaires (13:02).

Tout cela, ce sont des objections justifiées – mais elles font fi de la réalité. Et voici ce qu’elle est : le complexe financier numérique n’a pas d’autre choix que celui de faire précisément ce qu’il est en train de faire. Ce que nous vivons actuellement, ce n’est pas, par exemple, la mise en œuvre d’un quelconque agenda conçu à une table de travail, par lequel il voudrait s’approprier encore plus d’argent et encore plus de pouvoir, afin de jouir ensuite en paix du fruit de ses efforts (13:42). Ce que nous vivons actuellement, c’est un gigantesque geste de désespoir, sans doute le plus grand qu’il ait jamais été donné de vivre dans l’histoire de l’humanité.

[2]

Cet acte désespéré trouve son origine dans le fait que le système auquel le complexe financier numérique doit son existence ne peut plus être maintenu en vie avec les moyens employés jusqu’ici (14:09). Il a déjà frôlé la fin lors de la crise financière mondiale de 2007–2008. Si les gouvernements, alors, n’avaient pas mobilisé en masse l’argent des impôts, et donné aux banques centrales l’instruction de tirer du néant des quantités faramineuses de monnaie, le système se serait alors déjà effondré. De fait, le sauvetage n’était que provisoire. Au cours de ces plus de douze années, il a fallu continuellement accroître la masse monétaire, tandis que les taux d’intérêt étaient réduits pas à pas – rendant ainsi le système toujours plus instable. Cela ne pouvait pas bien se terminer. L’année dernière, on y était: en mars 2020, un nouvel effondrement menaçait déjà. Et cet effondrement a été repoussé une toute dernière fois, par un dernier tour de force, en amenant les taux à zéro et en injectant de la monnaie par milliers de milliards, non plus par milliards (15:22).

La solution du dernier recours

Cela a fait émerger, qualitativement, une nouvelle situation. Différer l’issue finale nécessiterait désormais de pousser les taux dans le domaine négatif, détruisant ainsi les fondements du système bancaire actuel. Les banques ne peuvent pas durablement vivre avec des taux négatifs. En d’autres termes, il n’y aura pas de nouvelle tentative pour repousser cette issue avec les moyens jusqu’ici utilisés (15:56). On peut tout au plus, dans la situation actuelle, injecter une toute dernière fois des milliers de milliards et des milliers de milliards, avec pour conséquence, cependant, que l’on attisera une inflation déjà galopante et qu’on la fera basculer dans le domaine de l’hyperinflation. La situation dans laquelle se trouve donc le complexe financier numérique est celle d’une alternative entre, d’un côté, l’effondrement numérique du système, et de l’autre l’hyperinflation, c’est-à-dire la dévalorisation totale de la monnaie (16:36). Ainsi, historiquement, nous sommes arrivés à un point où le complexe financier numérique n’a plus que le choix entre deux modes d’effondrement.

Que doit-il donc faire? De toute évidence, dans cette situation, on s’est décidé, pour un nouveau système et en vue de son installation, à mettre en œuvre une double stratégie (17:08). D’un côté, on prépare en arrière-plan, à l’abri des regards du public, un nouveau système. De l’autre côté, on exploite en parallèle la phase terminale de l’ancien système désormais voué à la mort pour le piller, selon les meilleures règles de l’art. C’est exactement ce que nous vivons depuis mars de l’année dernière (17:35) : la destruction délibérée et consciente de l’économie mondiale par le complexe financier numérique dans l’unique but de s’enrichir, avec en parallèle la préparation d’un nouveau système par les banques centrales en coopération avec les groupes informatiques. 

2e partie


[1] NDLR : les données factuelles démontrent assez largement que les prétendues troisièmes et quatrièmes vagues sont essentiellement des vagues de résultats positifs à un test PCR, sauf dans les pays qui ont massivement vacciné leur population et qui voient une nouvelle explosion des malades effectifs. Le test PCR ne devrait nullement servir d’outil de diagnostic et donne un nombre d’autant plus important de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est grand. Il n’y a plus de pandémie (naturelle ou bien produite initialement par un virus fabriqué en laboratoire, selon des deux hypothèses principales) que dans l’imagination de ceux qui subissent encore l’effet de la psychose de masse créée par le biais des médias dominants.

[2] Note de Joseph : un autre point de vue, probablement plus « complotiste » est que cette action n’est nullement un geste de désespoir, mais s’inscrit dans la logique de l’ordo ab chao (l’ordre à partir du chaos ou de la destruction). Pour achever la création du Nouvel Ordre Mondial, cette élite pense nécessaire et indispensable de détruire l’ordre ancien de A à Z, de faire table rase du passé, et même d’effacer ce dernier des livres d’Histoire. Au bout du processus, après le Great Reset (ou Grande Réinitialisation), se trouve un « Meilleur des Mondes » orwellien où les survivants de la purge seront asservis aux machines ou devenus eux-mêmes des cyborgs, mi-hommes mi-machines, et contrôlés par Intelligence Artificielle, entassés dans des villes ou des mégapoles surpeuplées, laissant le reste de la planète aux élites. Voir notamment Le « Great Reset » n’est pas du complotisme. Pour réussir, cependant, la destruction ne doit pas être trop rapide, mais contrôlée, afin qu’il subsiste malgré tout pour cette élite des matériaux intacts pour une reconstruction adéquate.




Des survivants de l’Holocauste se lèvent pour défendre le Pr Sucharit Bhakdi

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir

TRIBUNE – Le professeur Sucharit Bhakdi, proche de l’avocat Reiner Fuellmich, fait actuellement l’objet d’une campagne de diffamation publique le taxant – que c’est original – “d’antisémite” : une accusation montée de toute pièce.

D’origine thaï, il réside en Allemagne depuis 1970 où il est devenu le microbiologiste le plus réputé de son pays d’adoption. Auteur de plus de 300 articles dans le domaine de l’immunologie, parasitologie, bactériologie et virologie, entre 1990 et 2012, il a dirigé le département de microbiologie de l’Université de Mayence ainsi que la revue Medical Microbiology and Immunology.

Ses deux livres sur la pandémie, en tête de gondole des meilleures ventes de non-fiction et publiés en 2020 et 2021, viennent d’être retirés de la vente par Goldegg-Verlag, invoquant « l’antisémitisme” du professeur. Entretemps, les comptes bancaires de l’Association Mediziner und Wissenschaftler für Gesundheit, Freiheit und Demokratie,  sorte d’équivalent de Réinfo-Covid) que dirige Bhakdi aux côtés du professeur de finances publiques Stefan Homburg de Leibniz Universität Hannover, ont été fermés par les autorités. Au côté d’intellectuels dissidents tel le spécialiste financier renommé Ernst Wolff (« The Wolff of Wall Street »), le professeur Bhakdi est désormais candidat pour le nouveau parti DieBasis.

Même sa page Wikipédia le décrit désormais comme “connu depuis sa retraite en tant que conspirationniste et polémiste antisémite” (sic).

Voici les observations de survivants de l’Holocauste, qui se rangent derrière le Professeur Bhakdi :

« Dès que nous avons entendu des accusations d’antisémitisme lancées dans les mass-média financés par l’Etat contre le Prof Sucharit Bhakdi nous avons décidé d’écrire cette lettre. Nous nous rangeons aux côtés du professeur Bhakdi car il dit la vérité. »

« Vous, les média, vous avez menti au peuple pendant des années dans la mesure où vous leur avez prêché les fausses leçons à tirer de l’Holocauste. La leçon à tirer de l’Holocauste n’est pas qu’il ne faille pas tuer ou aller contre les Juifs. Aucun être humain ne doit être tué. »

« La leçon à tirer de l’Holocauste et que l’on ne doit ni rester passif, ni participer à la persécution d’une minorité. Vous avez instrumentalisé l’Holocauste pour tout le contraire : afin de quitter aux peuples la volonté de se lever contre l’injustice. De cette façon impie vous avez préparé un nouvel Holocauste et êtes en train de le mettre en œuvre. »

« Nous vous avertissons formellement qu’un nouvel Holocauste se déroule devant nos yeux, plus sophistiqué peut-être mais à une plus vaste échelle. La brutalité avec laquelle vous combattez verbalement et physiquement l’opposition, avec laquelle vous la diffamez, causez des torts et humiliez, vous sert à cacher la vérité. Existences détruites, perquisitions domiciliaires, interdiction d’exercer, internement forcé en psychiatrie et pire encore – cela pourrait être l’histoire passée de notre vie, mais c’est désormais la réalité que nous observons en Allemagne. »

Personne ne nous fera taire : Yoel Abraham, Freida Weber, Samuel Abraham, N. Rubin, Chana Poper, Yocheved Werzberger, Miriam Weiss, Yoel Gereidi, Z. Fogel, A. E. Friedrich, Y. Friedrich, Hershel Indig, Yisocher Dov Rumpler, Yakov Cohen, Joel Sabel, Chaim Vigder, Shaindy Vigder, M. Wagschal, Eliazer Werzberger, A. Freilich, Yidel Lichter, Hillel Handler,Mascha Orel, Leah Lichter, Solomon Diamand, Chaim A. Weiss, Sarah Weiss, Cheskel Hocheiser, Genendel Kernkarut, Elye Glick, Faiga Glick, Joel Bernbaum, Andrea Drescher…

Si je suis vivant, c’est que ma grand-mère a désobéi à l’ordre d’aller se rassembler avec tous les autres Juifs. De même, les gens sont aujourd’hui poussés vers les vaccinodromes en maniant les pressions et la peur. Je suis vivant car des gens de bien ont désobéi alors qu’il leur était interdit de cacher des Juifs. Ainsi qu’aujourd’hui Sucharit Bhakdi et d’autres gens de bien désobéissent afin de sauver des vies. Les affubler du terme « antisémite » comme sanction, est une monstrueuse hypocrisie.

Mascha Orel

Après avoir eu vent des dires de Wulf Rohwedder (ARD) où il taxait d’anti-sémite le Prof Bhakdi, nous avons écrit à plusieurs chaînes audio-visuelles. Nous avons précisé que l’utilisation abusive et incessante du terme « anti-sémite » ne sert aucunement la sécurité des Juifs. Au contraire. Aucun de ces responsables n’a souhaité nous répondre ; aucune excuse publique n’a été formulée. Désormais ceux qui savent véritablement ce que c’est d’être d’être stigmatisé et persécuté ont décidé de parler.

Ruth Machnes und Arie Suchovolsky, juristes, Tel-Aviv, Israel, +972 03-5663222, as@suchovolsky.co.il.


Sources : 

Mediziner und Wissenschaftler für Gesundheit, Freiheit und Demokratie, e.V. ( (MWGFD) : médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie)
« L’Initiative (MWGFD) est une Association qui rassemble des individus et scientifiques qui travaillent dans le domaine médical, et font de la recherche et de l’enseignement au sujet des thèmes de la santé, la liberté et la démocratie. Nous nous sommes rencontrés pendant la crise Covid alors que nous exprimions tous une critique des restrictions démesurées. » :https://www.mwgfd.de/offener-brief-holocaustueberlebender-und-nachfahren-an-die-medien/

Pour se faire une idée des attaques contre le Professeur Bhakdi, citons :
https://www.tagesspiegel.de/themen/reportage/wie-viel-querdenken-steckt-…
https://www.volksverpetzer.de/bericht/bhakdi-verlag-ende/
Sucharit Bhakdi – Wikipedia
https://www.tagesschau.de/investigativ/bhakdi-antisemitismus-101.html

Voir aussi le site du nouveau parti politique : https://diebasis-partei.de/

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




En Allemagne, enchaînement de perquisitions pour les adversaires des mesures sanitaires

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Parlement allemand
John MACDOUGALL / AFP]

Le 17 juin 2021, le célèbre toxicologue et pharmacologue Stefan Hockertz, connu pour ses publications et entretiens dissidents, a fait l’objet d’une perquisition de la police et de saisie. La nouvelle a été rendue publique par Me Fuellmich lors des auditions Corona. Après des études de biologie à l’Université de Hannovre, le Pr Hockertz a obtenu son doctorat en toxicologie et pharmacologie à l’Université de Hambourg. Il a été professeur d’immunotoxicologie moléculaire à la clinique universitaire de Hamburg Eppendorf. Actuellement, il dirige tpi consult GmbH, l’un des principaux cabinets européens de conseil en toxicologie et pharmacologie. Aux côtés de nombreux scientifiques réputés, il s’est très tôt prononcé défavorable aux mesures prises par le gouvernement allemand en matière de la crise du Covid et a lancé des avertissements contre les injections à ARN messager en raison de l’insuffisance des études.

Voir aussi : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire » Reiner Fuellmich

Ellèn Hölzer, candidate aux législatives pour le Parti dieBasis (fondé en mai 2020 pour la démocratie de base), a déclaré : « Dans son livre Generation Maske, paru il y a trois mois… le Pr Stefan Hockertz analyse les conséquences pour l’état psychique, mental et physique des enfants et des adolescents, qui découlent des mesures anti-Covid. Ses conclusions sont effarantes : tant les mesures du gouvernement que la couverture médiatique ont détruit cette institution d’importance capitale pour les enfants qu’est la famille. D’innombrables enfants se sont réfugiés dans un monde à eux, où ils restent seuls avec leurs angoisses. Il semblerait que ce soit précisément ce livre qui lui ait attiré les foudres des autorités. »

Une autre candidate aux législatives du parti dieBasis, Nathalie Sanchez Friedrich, a ajouté : « Déjà, la perquisition conduite chez un magistrat du tribunal des affaires familiales à Weimar (avril 2021, le juge Christian Dettmar), dont le jugement désavouant le port du masque dans les écoles avait déplu au gouvernement fédéral, représente la violation inouïe d’un tabou. Les mesures prises contre ce scientifique de renom, le Pr Hockertz, démontrent la dangerosité de notre éloignement de la démocratie et de l’État de droit. Cela signale que les avis dissidents ne sont ni souhaités, ni même permis, et qu’ils seront poursuivis avec dureté. Pour notre part, nous ne cesserons pas d’informer le public de tels faits et de combattre pour la liberté d’expression de chaque citoyen. »

Ces propos ont été recueillis puis traduits avec l’aimable autorisation du service de presse du Basisdemokratische Partei Deutschland.
 
Le 29 juin, le procureur de la ville de Erfurt a ordonné des raids de police avec saisies contre huit personnes, pour la plupart témoins-experts aux audiences ayant précédé le jugement prononcé en avril 2021 par le juge Christian Dettmar à Weimar. Pour motif de protection de l’enfance, le juge avait alors cassé des ordonnances imposant le port du masque, les tests et la distanciation sociale dans deux écoles de Weimar et avait exigé des cours en présentiel. Suite à quoi, ses bureaux au tribunal et ses appartements privés ont été perquisitionnés en avril, et maintenant de nouveau le 29 juin. Actuellement, l’objet d’une poursuite pour “perversion du cours de la justice”, le Juge Dettmar est défendu par le grand pénaliste Gerhard Strate qui, pour sa part, estime que “l’État de droit est en grand péril” en Allemagne et que l’on essaie d’intimider la magistrature.

Le même jour, plusieurs perquisitions simultanées ont eu lieu contre deux candidats du nouveau parti politique DieBasis, le Pr Ulrike Kämmer et Ulrich Masuth, contre le juge Matthias Guericke, contre la mère des enfants concernés et leur tuteur ad litem, et contre le Pr Christian Kuhbandner, ainsi que le Pr Ines Kappstein. Les téléphones portables, ordinateurs et de nombreux documents ont été saisis par la police, dont de la correspondance privée et l’original d’un important dossier juridique.

Voir aussi : interview de victimes par le Corona-Ausschuss

Auteur(s): FranceSoir




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer

[Source : courriel]

Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer (17/08/21)

➡️ ⚠️ Recours en annulation pour le « vaccin » Comirnaty (Pfizer/BioNTech).

➡️ Date limite : 15 septembre 2021.

➡️ Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne.

➡️ Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’U.E. du produit expérimental de Pfizer/BioNtech nommé « vaccin » anti-Covid-19 pour les enfants âgés de 12 ans et plus.

➡️ Avocat coordinateur pour la France : maître Virginie De Araujo-Recchia. E-mail pour lui écrire : v.dearaujo-recchia.avocat@protonmail.com

➡️ L’avocat de chaque pays remplira la plupart des documents, les parents doivent surtout dire, «OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité », indique l’avocate représentant l’action.

➡️ La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

➡️ Pour plus d’informations :
[Source : childrenshealthdefense.eu]

Renate Holzeisen: « Les vaccins Covid violent la législation européenne »



Senta Depuydt : [00:00:02] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt de CHD Europe, et aujourd’hui je reçois Renate Holzeisen, que je considère comme l’avocate numéro un pour les litiges concernant les vaccins Covid au niveau des institutions européennes. Renate est avec moi pour deux actions en justice très importantes contre la Commission européenne, et nous demandons à tous les Européens d’y participer. Renate est une avocate en droit économique et fiscal hautement qualifiée. Elle est également spécialisée dans le droit international et européen. Et depuis le début de la pandémie, elle est en première ligne pour défendre nos libertés fondamentales. Elle a ainsi déposé un nombre impressionnant d’affaires liées aux vaccins Covid. Elle est originaire du Tyrol du Sud, la partie germanophone de l’Italie, donc sa langue principale est l’allemand, et elle collabore souvent avec des collègues autrichiens et allemands notamment Reiner Fuellmich. Enfin, Renate est membre du conseil consultatif de CHD Europe. Et nous sommes très, très fiers de la compter parmi nous.

Renate, merci de vous joindre à nous. Je sais que votre temps est très précieux. Avant de nous parler des nouvelles actions, pouvez-vous d’abord nous dire quelques mots sur les différentes actions juridiques que vous avez déjà entreprises au niveau européen ? Merci.

Renate Holzeisen : [00:01:32] Merci. C’est un plaisir d’être avec vous aujourd’hui. Nous avons déjà déposé quatre recours en annulation, conformément à l’article 263 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, contre les délibérations de la Commission européenne concernant l’autorisation conditionnelle des quatre vaccins Covid-19 actuellement autorisés, qui sont en fait des produits expérimentaux de thérapie géniques. Nous avons constaté que les délibérations prises par la Commission européenne sont fondamentalement contraires au droit européen sur l’autorisation conditionnelle des médicaments et des vaccins, si seulement il s’agissait de vaccins, car nous savons qu’ils sont des produits de thérapie génique. Les décisions doivent être prises conformément au règlement européen 507 de 2006. Et l’une des conditions fixées par le législateur européen est que le produit doit garantir un équilibre positif entre les bénéfices et les risques.

Donc, tout d’abord, nous pouvons dire que ces substances n’ont pas été étudiées et autorisées pour la prévention de l’infection par le virus SARS-COV-2. Elles n’ont été étudiées et autorisées que pour la prévention de la maladie Covid-19. Et déjà là, on voit, non seulement beaucoup de malentendus, mais surtout, une véritable propagande et désinformation de la part des institutions et des gouvernements européens. Et ceci est inacceptable. Nous le voyons maintenant avec les législations qui sont annoncées dans les différents pays européens comme la France et l’Italie concernant le soi-disant Pass Vaccinal…

Senta Depuydt : [00:04:48] Oui, je reviens sur ce sujet parce que vous dites tellement de choses importantes. Et je me souviens très clairement – nous avons publié un article là-dessus lorsque l’Agence Européenne du Médicament a publié cette autorisation conditionnelle. Ils ont réalisé une longue interview avec des experts, et je pense que cette vidéo est toujours disponible sur le site, dans laquelle ils déclaraient Oh, nous ne savons pas si le vaccin va prévenir la transmission. En fait, cela n’a pas été étudié… Ce n’est pas prévu dans les données. Nous n’avons aucune idée à ce sujet. Et aujourd’hui hui, au contraire, toutes les preuves montrent que dans les pays où l’on a le plus vacciné, en Israël, au Royaume-Uni, etc. nous voyons qu’il y a de nouveaux variants et que les vaccins n’ont pas fonctionné sur la transmission. Vous soulignez donc l’élément fondamental. Comment l’Union européenne ou les différents pays continuent-ils dans cette direction ? Fournissent-ils de fausses preuves, de fausses données pour être capables de soutenir l’idée que les vaccins bloquent la transmission ?

Renate Holzeisen : [00:06:22] Oui, nous devons être très clairs à ce sujet. Nous avons l’autorisation de la Commission européenne sur le rapport positif de l’AEM et de la documentation officielle de la Commission européenne, tous les documents sont disponibles sur le site web, et en cliquant sur les rapports sur les vaccins Covid-19 tout en haut de la liste, vous trouverez alors toutes les délibérations de la Commission européenne avec les documents joints. A partir de ces documents et des documents de l’AEM, que vous pouvez trouver sur le site de l’AEM, vous verrez que la Commission européenne et l’AEM, déclarent que ces substances sont autorisées pour la prévention de la maladie. Elles n’ont jamais déclaré l’autorisation pour la prévention de l’infection parce que l’AEM elle-même affirme qu’il n’est absolument pas prouvé que ces substances fonctionnent pour la prévention de l’infection. Par conséquent, la Commission européenne n’a pas pu autoriser ces 4 substances qui sont Cominarty (Pfizer/BioNtech), Moderna maintenant appelé Spikevax, AstraZeneca maintenant appelé Vaxzevria et Janssen ou Johnson & Johnson. Ils ne sont pas autorisés pour la prévention de l’infection par le virus, et cela est juridiquement contraignant.

C’est la base légale à partir de laquelle nous devons commencer et, par conséquent, tous ces « Laissez-Passer verts / Pass sanitaire » (Covid pass), qui font référence à une preuve de la vaccination avec l’une de ces quatre substances, sont illégaux. Ils ne sont pas fondés sur des faits. Donc cette législation a déjà échoué avant qu’ils ne soient introduits. Et nous, les avocats, travaillons maintenant sur ce sujet, parce qu’il est clair que nous aurions une discrimination en violation complète des principes constitutionnels entre les personnes non traitées avec ces substances expérimentales par rapport aux personnes vaccinées. Et même les personnes qui ont été traitées avec ces substances, elles n’ont pas été vaccinées afin de prévenir l’infection.

Senta Depuydt : [00:09:54] Oui et pourtant c’est ainsi qu’ils ont justifié toutes ces mesures.

Renate Holzeisen : [00:09:57] Tout à fait. Il est clair que nous avons dès le départ une discrimination complètement illégale. Et je pense que si nous apportons cette preuve avec la documentation légale de la Commission européenne et de l’AEM devant les tribunaux, la loi sur le pass sanitaire (Covid) doit tomber  immédiatement. Et aussi la vaccination obligatoire. Nous avons déjà une vaccination obligatoire en Italie pour les travailleurs de la santé. Et je vais maintenant déposer, à partir de demain, des centaines d’actions en justice afin de demander l’annulation de la suspension déjà décidée par l’Autorité sanitaire du Tyrol du Sud, qui a suspendu sans salaire des centaines de travailleurs de la santé. Ils n’ont plus aucun revenu et c’est évidemment une situation absolument inacceptable.

Senta Depuydt : [00:11:37] Et malheureusement, on voit que ce qu’il se passe en Italie arrive en France. Je suis sûre que vous en avez entendu parler. Et je suis sûre que d’autres pays vont suivre.

Renate Holzeisen : [00:11:49] Oui. Et tout cela est basé sur la manipulation des faits par les gouvernements, même en dehors des documents officiels de la Commission européenne et de l’AEM, parce que c’est la réalité. Nos gouvernements font de fausses déclarations. Ils disent que ces substances sont destinées à prévenir l’infection par le virus, alors que ces substances ne sont pas autorisées pour cela.

Senta Depuydt : [00:12:27] J’ai une question parce que vous et moi réalisons certainement que le rôle de l’Union européenne est vraiment clé dans cette affaire. C’est l’Union qui ont poussé cet Accelerator Act à changer toute la législation et à obtenir une dérogation pour l’utilisation de technologies génétiques. Elle a négocié tous ces terribles contrats pour les vaccins, sans aucune transparence, sans aucune garantie. Elle a approuvé les vaccins sans presque aucunes données. Elle a créé une énorme dette pour les citoyens, etc, et imposé le Pass sanitaire en alternant entre les rôles du sauveur et du dictateur. Et c’est encore l’Union qui, toutes les cinq minutes, tous les jours, établit les codes couleurs de chaque pays avec l’ECDC. « Oh, vous pouvez y aller Wow c’est vert. Fantastique. Arrêtez maintenant, c’est rouge ! »

On joue avec les citoyens européens et les États membres. Alors à part vous Renate, y a-t-il d’autres avocats qui attaquent directement  la Commission européenne ou les institutions européennes comme l’AEM ou le CDC européen ? Pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet? Y a-t-il d’autres actions au niveau européen ? Et pourquoi vous adressez-vous directement au niveau européen ? Beaucoup considèrent que nous devons plutôt plaider au niveau national.

Renate Holzeisen : [00:14:00] Nous devons faire les deux, évidemment. Nous savons qu’en raison de la juridiction de la Cour de justice européenne, et en violation de la charte européenne des droits de l’homme, elle a beaucoup trop réduit à mon avis le droit légitime des citoyens à déposer des recours en annulation devant les tribunaux européens…. (allant) à l’encontre de ce que voulait le législateur européen. Nous avons donc, à mon avis, la nécessité d’un changement dans cette juridiction.

D’ailleurs, je voudrais rappeler des paroles de l’avocat général Jacobs, qui a fait une intervention très, très importante à ce sujet. Il a dit :  « S’ils vont dans cette direction, il n’y aura plus de véritables droits de défense pour les citoyens européens. Et nous sommes arrivés dans cette situation. Donc nos actions en annulation des autorisations de ces substances expérimentales seront cruciales et cela montrera si la Cour européenne base ses décisions sur la loi et sur la Charte des droits fondamentaux, ou si nous, citoyens européens, sommes finalement laissés pour compte. C’est un point crucial. Notre situation actuelle correspond exactement à l’avertissement de l’avocat général Jacobs, il y a quelques années, c’est-à-dire « Attention ! L’évolution que vous prenez en tant que tribunal prive les citoyens d’une réelle défense devant les tribunaux ».

Senta Depuydt : [00:16:54] C’est une…

Renate Holzeisen : [00:16:56] Une situation très intéressante.

Senta Depuydt : [00:16:59] Puis-je revenir sur les actions que vous intentez maintenant ? Si je peux résumer, vous avez déposé des actions en annulation pour les quatre vaccins différents qui ont obtenu une autorisation conditionnelle. Vous avez donc intenté des actions que nous (CHD Europe) avons déjà contribué à promouvoir et pour lesquelles nous avons trouvé des intervenants.

Pouvez-vous expliquer votre prochaine plainte ? Vous devez donc déposer un recours par vaccin. Vous l’avez déjà fait pour Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Et pour ceux-ci, nous n’avons plus la possibilité d’intervenir, les délais sont dépassés. Mais pour le dernier vaccin, celui de Johnson & Johnson, nous pouvons tous participer en tant qu’intervenants d’autres pays.

Renate Holzeisen : [00:17:52] Oui, c’est cela.

Senta Depuydt : [00:17:54] Donnez-nous les détails. Que devons-nous faire pour participer ?

Renate Holzeisen : [00:17:58] Donc, c’est ouvert aux citoyens de toute l’Union européenne et, premier lieu, appartenant aux catégories qui sont maintenant confrontées à une vaccination obligatoire, les travailleurs de la santé, mais aussi d’autres. Je pense aux enseignants, aux pilotes et aux travailleurs des transports publics, ils peuvent intervenir en tant que soutiens aux plaignants italiens. J’ai introduit le recours en annulation contre l’autorisation de Janssen ou Johnson & Johnson pour les travailleurs du secteur de la santé italiens. Donc maintenant, les professionnels de la santé et d’autres professions français, belges, allemands, autrichiens et d’autres citoyens européens peuvent intervenir avec leurs avocats, afin de soutenir l’action des professionnels de la santé italiens. C’est une première chose.

Ensuite, la semaine prochaine, je déposerai également un recours spécifique en annulation concernant la délibération de la Commission européenne pour l’autorisation de Cominarty Pfizer/BioNtech pour les enfants à partir de douze ans. C’est, c’était un acte criminel à nos yeux et nous devons demander aux juges d’annuler cette autorisation. Ce que l’on fait aux enfants dans toute l’Union européenne est incroyable. Nous savons que la balance entre les bénéfices et les risques, surtout pour les enfants, ne pourra jamais être positive. C’est vraiment négatif parce que les enfants n’ont aucun problème avec le virus SARS-COV-2, comme le montrent les faits, mais ils encourent des risques incroyables à cause de cette thérapie génique expérimentale. C’est donc un véritable crime d’inoculer maintenant ces substances aux enfants. Et nous devons l’arrêter.

Senta Depuydt : [00:20:58] Merci, j’ai deux questions. La première est, que nous, en tant que Children’s Health Defense, étant donné que notre organisation principale est aux États-Unis, nous suivons vraiment tout ce qui se passe avec la FDA, le CDC, et c’est vraiment comme si les États-Unis poussaient ces politiques. Dès qu’un produit est approuvé par la FDA, il est approuvé, plus ou moins automatiquement, par l’Agence Européenne du Médicament. Je peux maintenant voir que la tendance évolue très rapidement aux États-Unis. Aux dernières nouvelles, ils veulent vacciner les bébés à partir de six mois et ils parlent même de vacciner les enfants sans consentement parental ou même sans information parentale. Donc vous ne sauriez même pas que votre enfant, si par exemple il revient de l’école et que quelque chose lui arrive, vous ne sauriez même pas qu’il est vacciné. Pensez-vous donc que cette politique est vraiment, disons, poussée par les États-Unis ? Parce que je sais que le CDC européen reprend également une grande partie de leurs informations, de leur science, si l’on peut dire. Est-elle poussée par les États-Unis ? Qu’en pensez-vous ?

Renate Holzeisen : [00:22:30] Oui, je vois que ces agences qui donnent les autorisation AEM et autres…. sont dans les mains du lobby pharmaceutique ou plus précisément  les membres de ces autorités viennent de ces lobbies. Donc nous sommes dans une situation très critique, et c’est à nous les adultes de défendre les enfants. Nous devons les bloquer. Les enfants dépendent entièrement de l’aide que nous devons leur apporter. Sur la base de l’article 24 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, les besoins et les droits des enfants sont au premier plan et passent avant tout le reste. Alors que nous, au sein de l’Union européenne, nous utilisions des enfants comme cobayes, c’est un scandale incroyable. Je demande à chaque parent, chaque grand-mère, chaque grand-père, chaque oncle et tante de réfléchir à ce que nous faisons à nos enfants. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ces substances. Elles n’ont pas été étudiées. Nous connaissons les effets de ces substances à très court terme. Nous avons des milliers de morts, déjà 11000 morts en Europe. Et nous avons des centaines de milliers de réactions graves causées par ces substances. Et nous savons que ce n’est qu’une petite partie de la réalité, parce que nous n’avons pas de pharmacovigilance active. Et c’est l’une des violations de la loi européenne. Il est absolument illégal d’inoculer une substance expérimentale, sans pratiquer une pharmacovigilance active. C’est insensé. Ils le savent parfaitement et ils ne veulent pas de pharmacovigilance supplémentaire, parce que s’il y avait une vraie pharmacovigilance, on aurait des chiffres au moins dix fois supérieur.

Senta Depuydt : [00:25:37] Oui, je suis absolument consciente de cela. Renate, alors comment pouvons-nous adhérer ? Laissez-moi essayer d’expliquer ce que nous pouvons faire avec nos amis de Children’s Health Defense et ensuite vous me corrigerez si je me trompe.  Donc ce que les gens peuvent faire dans chaque pays.

Vous déposez l’action en allemand. Donc tous les participants doivent déposer l’action en allemand aussi quelque soit leur pays. Nous devrons donc traduire l’action et aussi le formulaire pour les personnes qui se joigne à l’action en tant qu’intervenants. Et dans chaque pays, il faut que ce soit relayé par un avocat, ou au moins un avocat par langue pour réunir les documents et les introduire.

Renate Holzeisen : [00:26:32] Oui. Je dirais que c’est le moyen le plus facile. Nous fournissons la traduction des actions qui ont déjà été déposées en anglais, français, italien, allemand et grec et de nombreuses autres langues. Le formulaire pour les intervenants a été préparé dans la langue originale, c’est-à-dire l’allemand, parce qu’il doit être déposé en allemand, la procédure est en langue allemande. Mais nous avons tout traduit. Ainsi l’avocat qui amène les intervenants reçoit tout cela de moi.

Senta Depuydt : [00:27:45] Qui doit signer le formulaire ? Donc l’avocat remplit les détails des personnes qui doivent dire, « OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité ».

Renate Holzeisen : [00:27:58] Chaque avocat a besoin évidemment d’un pouvoir donné par ses clients.

Senta Depuydt : [00:28:09] Et les avocats doivent être enregistrés sur e-Curia (barreau européen en ligne) ce qui est assez simple à faire si ils ne le sont pas déjà. Une question que les gens posent : y a-t-il des frais d’adhésion ou des risques financiers pour les personnes qui veulent joindre cette action ?

Renate Holzeisen : [00:28:28] Tout d’abord, les intervenants ne font que soutenir la position des plaignants et n’apportent pas leurs propres arguments. Donc ils n’amplifient pas les besoins de défense de la contrepartie, qui est la Commission européenne, mais qui pourrait aussi être le producteur pharmaceutique. Les coûts sont donc nuls, puisqu’ils n’amplifient pas les arguments présentés au tribunal. Non, il n’y a pas de risques financiers.

Je voudrais également dire une autre chose très importante pour que les gens puissent comprendre le fondement de ce recours en annulation. Tout d’abord, comme je l’ai dit, nous n’avons pas de balance positive des risques et des bénéfices pour ces substances appelées vaccins. Et un autre argument très important est qu’il n’y a pas de réelle absence de traitement contre la Covid-19.

Et là, nous pouvons constater une fois de plus le très mauvais rôle joué par l’AEM. C’est une des conditions prévues par le législateur européen pour donner l’autorisation à des produits pharmaceutiques non étudiés dans tous leurs aspects. Il faut savoir que pour ces substances expérimentales il n’y a pas eu, même pas d’études pré-cliniques. On n’a pas fait d’études sur les animaux, qui font partie des études fondamentales.

[00:30:56] Une autorisation conditionnelle est seulement possible, selon le règlement de l’Union européenne 507 de 2006, s’il y a une réelle absence de traitement d’une maladie. Nous savons qu’en particulier dans l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, de très bonnes thérapies basées sur des produits comme l’Ivermectine par exemple ont été bloquées. Et nous savons que l’Ivermectine fonctionne très, très bien. Et nous avons vu que l’AEM, il y a deux mois, a de nouveau bloqué l’utilisation de l’Ivermectine dans l’Union européenne. C’est le mauvais jeu qu’ils jouent. Et c’est l’un des arguments fondamentaux que nous apportons avec ce recours en annulation. Nous disons « nous ne voyons pas les avantages de ces substances appelées vaccins. Les risques sont énormes, énormes. Vous ne pouvez même pas évaluer la balance, parce que vous ne connaissez pas tous les risques. Nous savons qu’il y a des risques très élevés à court terme et pour le moyen et long terme, nous ne le savons pas. Nous ne sommes donc même pas en mesure d’établir un bilan. C’est pourquoi, ces autorisations doivent être annulées immédiatement ».

Senta Depuydt : [00:32:58]Je reviens sur ce que vous avez dit, car vous avez mentionné beaucoup de choses très importantes. Nous avons une plainte similaire en Belgique exactement sur cette base,  demandant la suspension de l’autorisation des vaccins expérimentaux, parce justement il y a des traitements disponibles.

Et il y a quelques jours, nous avons également interviewé le Dr Tess Lawrie à l’occasion de la Journée de l’Ivermectine, car de nombreux médecins souhaitent avoir le droit de prescrire. Donc vous touchez vraiment un élément très, très important ici.

A ce sujet, savez-vous qui est réellement responsable de ces recommandations au niveau de l’AEM ? Savons-nous s’ils suivent les conseils des États-Unis, se basent sur des études biaisées, peut-être de l’OMS ? Pouvons-nous identifier des responsabilités individuelles pour finalement pouvoir mettre certaines personnes en cause et dire : « OK, cette personne ici est vraiment responsable de la manipulation des données ou de la dissimulation des données » ?

J’ai entendu sur l’Ivermectine que le premier rapport était très bon et qu’ensuite, à la dernière minute, en France par exemple, certaines personnes clés sont venues ajouter de petites phrases du genre « Finalement, ce n’est toujours pas concluant. Nous ne pouvons pas autoriser ce traitement car il y a un manque de données » etc. Pouvons-nous faire quelque chose de plus à ce sujet. Pouvons-nous poursuivre ces personnes qui, a un moment donné, ont eu un rôle majeur pour bloquer ces traitements?

Renate Holzeisen : [00:34:42] Absolument ! Je pense que nous devons faire la même chose que la Chambre du barreau des avocats en Inde. Après avoir déposé mon cinquième recours en annulation concernant la situation spécifique de nos pauvres enfants, nous devrons également penser à une action spécifique en dommages et intérêts. Nous devons introduire cette action, conformément à l’article 265, devant le tribunal général européen contre la Commission européenne et l’AEM pour avoir bloqué l’utilisation de ces médicaments très efficaces et utiles comme l’Ivermectine. Je pense que nous avons maintenant suffisamment de faits pour porter l’affaire devant les tribunaux européens. Car la censure sur les traitements, c’est la seule façon pour eux de continuer à appliquer ces substances expérimentales à haut risque sur l’ensemble de la population. Et nous en voyons les conséquences. Nous sommes maintenant dans des systèmes qui ne sont plus démocratiques, avec des gouvernements qui introduisent une soi-disant vaccination obligatoire avec ces produits de « thérapie génique expérimentale ». Nous devons donc également poursuivre les organisations ou agences européennes devant les tribunaux pour leur demander des dommages et intérêts. Et les dommages sont énormes, non seulement les dommages directs concernant la vie et la santé des personnes, mais aussi les dommages économiques. Nous devons donc aussi travailler sur ce point.

Senta Depuydt : [00:37:15] Je suis très heureuse que vous disiez cela. Et j’aimerais rappeler à tout le monde – et peut-être que vous voulez commenter – le fait que certaines personnes, par exemple, les Doctors For Covid Ethics ou d’autres médecins ou experts ont envoyé des avis de responsabilité aux personnes de l’AEM, à différentes agences de santé ou aux membres du Parlement européen. Nous savons que cela n’aura peut-être pas d’effet immédiat, mais ils ne pourront pas dire « nous ne savions pas ». Je me souviens très bien qu’en décembre 2019, j’étais au sommet de l’OMS, le Sommet sur la sécurité des vaccins, et nous avons entendu un responsable de la santé des philippines,  le Dr Kenneth Hartigan-Go, qui a raconté ses mésaventures pendant la crise de la dengue. C’est une situation un peu similaire d’une certaine manière. Ils avaient donné une autorisation d’urgence au vaccin Dengvaxia, parce qu’il s’agissait d’une épidémie, puis cela s’est transformé en une obligation vaccinale, mais cela a tourné à la tragédie parce que le vaccin a fait beaucoup de victimes.

[00:38:44] Au début, les médecins se sont tus parce qu’ils avaient peur de parler. Et puis ils ont commencé à voir les cas de décès. Les gens sont descendus dans la rue et ils ont arrêté la campagne. Tout cela s’est terminé par la comparution de trente-deux personnes devant un tribunal pénal, y compris Dr Kenneth Hartigan-Go, des personnes de Sanofi, des personnes des agences qui avaient approuvé le vaccin, comme l’agence des médicaments des Philippines, etc. Et bien sûr, ils disaient « nous ne savions pas quels étaient les risques encourus ».

Alors qu’ici pour le Covid les risques spécifiques liés à l’introduction d’un vaccin au cours d’une pandémie avaient déjà été soulevés avant le lancement des vaccins. Vous vous souvenez qu’il y a un an, tout le monde disait « Oh, un vaccin Covid peut être dangereux, car il peut y avoir une aggravation de la maladie, etc. ». Ces mises en garde ont permis de rapidement signer tous ces contrats exonérant l’industrie pharmaceutique de toute responsabilité, parce que le risque était tellement grand, mais par après, ils ont évidemment oublié cet argument. Donc, l’envoi des notifications légales aux responsables des agences et aux parlementaires est utile dans ce cas car ils ne pourront pas dire « Nous ne savions pas ».

Renate Holzeisen : [00:40:08] Absolument.  J’ai personnellement envoyé un courrier de signification par recommandé, le 20 décembre, au nom d’un groupe de travailleurs de la santé italiens, juste un jour avant que la Commission européenne n’autorise la première de ces quatre substances Cominarty Pfizer/BioNtech. Cet avis a été envoyé à la Commission européenne, au président, au commissaire à la santé et à beaucoup d’autres représentants des nations européennes, mais aussi à l’Organisation mondiale de la santé. Donc, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas ce qu’ils ont fait.

Et surtout, les avis envoyés par le groupe Doctor For Covid Ethic, sont très précis scientifiquement, et ils posent des questions très claires à l’AEM. Et l’AEM n’a donné aucune réponse. Il est donc absolument clair que les personnes responsables de l’AEM engagent leur responsabilité personnelle pour les (dommages futurs) de ces autorisations et de la poursuite de l’autorisation de ces substances. Le principe juridique est très clair.

Senta Depuydt : [00:42:02] Espérons donc que nos actions portent leurs fruits. Et dernière chose, vous avez mentionné l’aspect financier, et surtout que cela fait aussi partie de votre expertise. CHD Europe travaille également avec Mme Catherine Austin-Fitts. Elle vient de publier un rapport intitulé « The Going Direct Reset », dans lequel elle montre comment l’ensemble de la réponse à la pandémie, d’un point de vue financier, était déjà en place pour aller de l’avant avec un programme qui s’apparente à un coup d’état monétaire.

La crise et l’effondrement économiques étaient déjà là avant la pandémie, mais maintenant, nous pouvons tout mettre sur le dos de la pandémie, bien sûr. Je recommande vraiment à tout le monde de lire ce rapport. Elle commence également à identifier quelques-uns des acteurs clés. J’espère vraiment que vous, Catherine Austin-Fitts, Reiner Fuellmich, Bobby Kennedy et tous les autres passeront à l’action, car ces actions sont vraiment internationales. Je sais qu’une action a été déposée au tribunal international de La Haye par des avocats et des organisations françaises pour montrer les responsabilités individuelles, à l’OMS avec Tedros Adhanom par exemple, ou le Président Macron. La France joue également un rôle important dans ce plan. Donc, vous savez, j’ai vraiment hâte de diffuser le message, de participer. Et je tiens à vous remercier car vous êtes vraiment héroïque à mes yeux.

Renate Holzeisen : [00:43:52] Je pense que les vrais héros sont les citoyens qui font face à la situation sur le front, qui s’opposent à ce qui se passe. Pour moi, ce sont eux les vrais héros. Je dis à chaque médecin, à chaque professionnel de santé qui vient me voir, qui me demande de l’aide et qui me remercie, je leur exprime toujours mes profonds remerciements parce que sans eux, nous, les avocats, ne serions pas en mesure de porter ces questions très importantes, et fondamentales pour notre avenir  devant les tribunaux.

Senta Depuydt : [00:44:45] Merci beaucoup, Renate, et à très bientôt. Nous vous souhaitons beaucoup de succès. Merci beaucoup. Au revoir.

https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_videos/renate-holzeisen-les-vaccins-covid-violent-la-legislation-europeenne/?lang=fr




Google censure la vérité plandémique parce qu’il est fortement investi dans les « vaccins » Covid

[Source : NaturalNews.com]

Traduction : MIRASTNEW

Par Ethan Huff

L’une des principales raisons pour lesquelles Google, et par extension YouTube, censure agressivement toute la vérité sur la « pandémie » du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)] est que la société est directement investie dans l’injection de virus chinois d’AstraZeneca et de l’Université d’Oxford.    

En d’autres termes, Google profite directement de la vente de vaccins contre la grippe Fauci, ce qui explique pourquoi l’une des sociétés les plus diaboliques au monde supprime les vidéos YouTube et censure les résultats de recherche qui attirent l’attention sur toute la science démystifiant la plandémie en tant que fraude manufacturée.  

Le Dr Reiner Fuellmich de la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss) s’est récemment entretenu avec la journaliste d’investigation indépendante Whitney Webb au sujet de la collusion entre Google et AstraZeneca, et de la façon dont le monde est trompé par celle-ci.

Malgré les affirmations selon lesquelles son jab est «à but non lucratif», AstraZeneca a développé son injection de virus chinois via Adrian Hill et Sarah Gilbert du Jenner Institute for Vaccine Research. Les brevets et les droits de redevance sont également détenus par une société privée connue sous le nom de Vaccitech, cofondée par Hill et Gilbert.

Parmi les investisseurs les plus importants de Vaccitech figurent Google Ventures, le Wellcome Trust, le gouvernement britannique, une société d’investissement en capital de la Deutsche Bank connue sous le nom de BRAAVOS et diverses sociétés chinoises communistes, dont Fosun Pharma.

« Tous ces investisseurs devraient profiter de ce « vaccin » à un moment donné dans un proche avenir, et Vaccitech a été assez ouvert sur le potentiel de profit futur avec ses actionnaires, notant que le vaccin COVID-19 deviendra très probablement un vaccin annuel qui est mis à jour chaque saison un peu comme le vaccin contre la grippe saisonnière », explique le Dr Joseph Mercola.

« Bien sûr, AstraZeneca a promis qu’il ne tirerait aucun profit de ce vaccin COVID-19, mais il y a une limite de temps pour cet engagement. Le vœu à but non lucratif expire une fois la pandémie terminée, et AstraZeneca elle-même peut décider à quel moment. »

Les mondialistes veulent un contrôle total de votre argent et de votre corps

En censurant toutes les informations et la vérité qui menacent la poussée d’injection du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)], Google protège ses enjeux financiers, ainsi que ceux de ses alliés et partenaires.

Google essaie également de se plonger dans le secteur des soins de santé avec la création de nouveaux programmes de « télémédecine » et d’intelligence artificielle (IA) qui, espère-t-il, seront éventuellement mis en œuvre en remplacement des médecins humains.

« Ils ont commencé à réinventer en quelque sorte les soins de santé comme un moyen de prendre le contrôle de la vie des gens, en leur disant que c’est pour le bien du public, du collectif et aussi de leur santé personnelle, alors que c’est vraiment un moyen de mettre en œuvre ces technologies transhumanistes ou technocratiques sous le couvert d’une entreprise liée à la santé », déclare Webb à propos du programme.

Le but ultime est de supplanter toutes les formes traditionnelles de médecine et de les remplacer par un système centralisé, contrôlé par les mondialistes et géré par les grandes technologies, fondé sur l’asservissement total de l’humanité.

L’armée américaine serait impliquée dans l’opération, s’étant associée à Google pour agir en tant que force pour sa mise en œuvre – ce qui signifie une conversion obligatoire au culte du Covidisme sous la menace d’une arme.

Il semble y avoir un élément transhumaniste dans le complot d’injection de virus chinois, suggérant que quelque chose dans les flacons jette les bases de la «marque de la bête», qui transformera les corps humains créés à l’image de Dieu en corps transhumanistes recréés dans le image de Satan.

« La DARPA est fortement investie dans les technologies transhumanistes à utiliser chez les soldats, y compris les interfaces cerveau-machine et d’autres idées encore plus extrêmes », prévient Webb. « Ils se sont récemment associés au Wellcome Trust pour créer quelque chose appelé » Wellcome Leap « , un mouvement plutôt troublant pour inaugurer le transhumanisme. »

Plus d’informations sur le complot mondialiste visant à conquérir la planète et à injecter à tout le monde des coups mortels contre le virus chinois peuvent être trouvées sur Corruption.news.

Les sources de cet article incluent :

Mercola.com

NaturalNews.com




Sras-CoV-2 — Le racket et la corruption sont à l’origine du déploiement du virus du Covid dont l’origine est humaine

[Source : Sott.net]

[Sur la photo : Bill Gates (à gauche) et Anthony Fauci (à droite)]

Par Neville Hodgkinson

Nous avons hier présenté les preuves présentées par le Dr David Martin, dirigeant d’une société étatsunienne de surveillance des innovations en lien avec des intérêts financiers, preuves fournies le vendredi 9 juillet au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne. Il a déclaré qu’un examen de plus de 4 000 brevets délivrés autour du coronavirus du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) avait conduit à la conclusion dramatique suivante : « Nous avons créé le Sras ». Nous poursuivons aujourd’hui le compte-rendu de son témoignage, dont la vidéo diffusée en direct se trouve ici.

[Note de Joseph : en tentant compte de l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial (qui présente notamment ce qu’est la démarche scientifique et de forts indices que la théorie virale n’a pas suivi cette dernière) et particulièrement de son extrait suivant,

Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède [dans cet article] a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement ou génétiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps darrêter davoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.

Autre extrait de cet article :

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.(…)

]

Les États-Unis ont une loi fédérale connue sous le nom de loi RICO. Elle a l’air sympathique, mais sa cible est très précise : les organisations influencées par le racket et la corruption. Cette loi a été introduite en raison de la complexité de la procédure d’inculpation des structures du crime organisé.

Le Dr David Martin a déclaré au Comité d’enquête international sur le coronavirus qu’en avril 2003,une société pharmaceutique étatsunienne a déposé un brevet sur les agents antiviraux, le traitement et le contrôle des infections par le coronavirus, trois jours seulement après que — dans une demande supposée secrète — les Centres de contrôle des maladies aient cherché à breveter le coronavirus du Sras lui-même. La première épidémie de Sras s’est déclarée en Chine en février de la même année.

Sa description a amené le président de la commission d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich, spécialisé dans la dénonciation des escroqueries d’entreprise, à commenter :

« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »

Le Dr David Martin a répondu :

« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C‘est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »

Il a affirmé que Moderna (à l’origine baptisée ModeRNA) avait reçu par transmission téléphonique — du centre de recherche sur les vaccins de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses — la séquence génétique de la protéine Spike qui constitue la base de son « vaccin » anti-Covid, avant même que la nouvelle sous-classe du virus ne soit définie. Le Dr David Martin s’interroge :

« Comment est-il possible de résoudre un problème avant même qu’il ne se pose ? »

Moderna (dans son nom complet d’origine ModeRNA Therapeutics) est une entreprise du Massachusetts fondée en 2010 par une équipe d’investisseurs pour développer la technologie de l’ARN (acide ribonucléique), considérée comme extrêmement prometteuse pour exploiter la puissance du code de l’ARN afin que de nouveaux médicaments soient conçus par notre organisme lui-même.

Selon le Dr David Martin, une autre date importante est celle du 5 juin 2008. C’est à peu près à ce moment-là que le programme de recherche avancée de la défense des États-Unis (le DARPA) s’est intéressé au coronavirus en tant qu’arme biologique. C’est également à cette date qu’une société pharmaceutique — qui fait aujourd’hui partie du géant Sanofi basé à Paris — a déposé une série de brevets visant des gènes qui, douze ans plus tard, seraient les [soi-disant – NdT] « nouvelles » caractéristiques du Sras-CoV-2 qui en font un risque pour la santé humaine.

À partir de 2008, les dépôts de brevets de nombreuses organisations ont identifié « chaque attribut » du virus, tel qu’il a finalement été décrit par la suite.L’article de référence publié en mars 2020 et couramment utilisé pour l’identifier prétendait démontrer que les nouvelles caractéristiques étaient apparues de manière naturelle et que le virus « provenait de multiples événements recombinants naturels survenant parmi les virus présents chez les chauves-souris et d’autres espèces sauvages. »

Ce à quoi le Dr David Martin répond :

« Malheureusement, quand on considère réellement ce qu’ils déclarent être « nouveau », on constate que 73 brevets, délivrés entre 2008 et 2019, comportent les éléments prétendument nouveaux qui composent le Sras-CoV-2. Donc, il n’y a pas eu d’épidémie de Sras, parce que tous les éléments de ce virus ont été fabriqués par des êtres humains. »

Depuis 2016, il a été affirmé que ce virus supposé nouveau était prêt à émerger dans la population humaine. Mais, et comme le déclare le Dr David Martin :

« il n’était pas seulement prêt à émerger chez les humains, il a été breveté pour une exploitation commerciale — 73 fois. Sur la base des séquences génétiques réelles, qui sont publiées dans le dossier de brevet, toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quelque sorte unique ou nouveau s’écroule. »

Les chercheurs de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill (qui ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan, en Chine, dans le cadre des travaux sur le « gain de fonction » du coronavirus), ainsi que l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et Moderna, ont commencé le séquençage d’un vaccin à base de protéine spike en novembre 2019, soit un mois avant que l’épidémie de Wuhan apparaisse.

Le Dr David Martin a également contesté l’idée selon laquelle injecter la séquence d’ARN de la protéine Spike constitue un véritable « vaccin ». La théorie sous-jacente est qu’en apprenant au système immunitaire à reconnaître la protéine Spike, qui en soi présente des effets toxiques, l’organisme sera mieux équipé pour faire face à la toxine lorsqu’il sera exposé au virus.

« Le fait de débattre pour savoir si nous disposons d’un « vaccin » contre un virus est une illusion dans laquelle nous continuons malheureusement à voir des personnes très bien intentionnées se laisser piéger. Le fait est que nous ne disposons pas d’un tel « vaccin ». Ce qui est injecté, c’est une séquence ARN de la protéine Spike, qui est elle-même une simulation informatique d’une séquence connue et brevetée depuis des années. Elle n’est pas d’origine naturelle.

La nature ridicule de l’histoire selon laquelle « vacciner » pour lutter contre le Covid serait une sorte de prophylaxie ou de prévention va à l’encontre de cent pour cent des preuves, car ces preuves montrent clairement qu’aucun effort pour combattre le virus n’a été fait par aucune des sociétés pharmaceutiques. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike, tout en sachant qu’elle est nocive. »

La raison de cette démarche, toujours selon le Dr David Martin, est de rendre les gens « accros » à un « vaccin » universel contre le coronavirus.

« Les gouvernements du monde entier ont pendant une décennie désespérément, désespérément, désespérément encouragé l’obligation de recourir à un vaccin antigrippal universel. Ils ont échoué. Et ils ont décidé que si la grippe ne remplissait pas la promesse publique d’inciter tout le monde à se faire vacciner, il fallait changer d’agent pathogène.

Il faut créer l’illusion d’une demande, et rien aujourd’hui ne saurait mieux créer l’illusion de cette demande que l’urgence d’un événement qui a été fabriqué.

Voici la triste et sobre ironie : j’ai soulevé ces questions en 2002, après l’alerte à l’anthrax, et ce qui est tragique, c’est que nous vivons désormais dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter une séquence informatique stimulant les agents pathogènes, vendue sous le nom de ce que l’Office des brevets, la profession médicale et la FDA (Food and Drug Administration) ne considéreraient même pas comme un vaccin selon ses propres normes cliniques. Mais en utilisant ce terme, des centaines de millions de personnes sont aujourd’hui soumises à ce que l’on savait déjà en 2005 être une arme biologique. »

La vidéo diffusée en direct par le Dr David Martin qui apporte ces éléments de preuve reçoit déjà des dizaines de milliers de vues. Les données qu’il présente devraient à tout le moins mettre un terme à l’idée que le virus est d’origine naturelle et qu’il a développé par hasard la capacité de passer des animaux aux humains.

Rien que ce qui précède comporte d’énormes implications en soi. D’une part, pourquoi devrions-nous croire les affirmations de la Coalition pour la préparation aux épidémies (CEPI) — lancée en 2017 avec une énorme injection de fonds en provenance de la Fondation Gates — selon lesquelles la quête proposée de 3,5 milliards de dollars pour obtenir un vaccin universel contre le coronavirus dans le but de « contenir le Sras-CoV-2 et ses variants » est un objectif souhaitable ou réalisable ?

Pour soutenir le projet, le cofondateur Bill Gates a déclaré :

« La CEPI a aidé la communauté scientifique mondiale à faire quelque chose d’incroyable : développer des vaccins anti-Covid-19 en moins d’un an. »

Cette affirmation sonne plus que creux à la lumière des brevets déposés depuis vingt ans tels que le Dr David Martin l’a révélé.

De plus, ce dernier a démontré que même les prétendus « variants » du Sras-CoV-2 sont artificiels, puisqu’ils correspondraient à l’identification de différents fragments de gènes plutôt que de véritables variations en tant que telles. Le Dr David Martin poursuit :

« Il s’agit simplement d’ajuster le moment auquel vous démarrez et arrêtez ce que l’on appelle le cadre de lecture. Si ce que nous cherchons est une chose que nous avons décidé digne d’être recherchée, alors nous la trouverons […] à l’endroit précis où sera choisi le démarrage ou l’arrêt, je serai en mesure de dire que je l’ai trouvée. Ou que je ne l’ai pas trouvée ! Je n’ai pas trouvé la correspondance que j’avais projetée sur les données, parce que j’ai choisi de regarder les données d’une manière qui ne me permettait pas de trouver la correspondance. »

Alors que les conseillers du gouvernement semblent sortir des « nouveaux variants » de leurs chapeaux chaque fois qu’ils ont l’impression que l’emprise de la terreur s’atténue, nous touchons là à un autre domaine qui appelle une réévaluation sobre de ce qui se trame réellement.

Note de la rédaction

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À propos de l’auteur

Neville Hodgkinson est un ancien correspondant médical et scientifique du Sunday Times et l’auteur de AIDS : The Failure of Contemporary Science, publié en 1996 aux éditions Fourth Estate.

Note du traducteur : Voici un téléchargement en miroir de la présentation du Dr David Martin au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne [en anglais] :



Cette vidéo vaut la peine d’être visionnée dans son intégralité, mais pour ceux qui n’ont pas le temps, ce blogueur a fourni un résumé point par point de la présentation [en anglais aussi], y compris le profil du Dr David Martin et ses conclusions.

Le Dr David Martin observe depuis plus de vingt ans maintenant la concoction de cette cuisine de sorcières. Voici un PDF téléchargeable de son « Dossier Fauci/Covid-19 ».

Le Sras-CoV-2 est donc bien une création humaine, tout comme l’ensemble de l’infrastructure des « tests de dépistage » et des « vaccins visant à résoudre le problème », concoctée par des prédateurs sans scrupules qui n’ont pas hésité à terroriser le monde entier afin de tirer profit de la crise qu’ils ont créée, et de contrôler la vie des gens jusque dans leurs pensées et leurs comportements quotidiens.

Voir aussi notre article sur l’intervention du Dr David Martin, lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021 : La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! », l’article développant les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2, ainsi que celui traitant de l’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Source de l’article initialement publié en anglais le 14 juillet 2021 : The Conservative Woman
Traduction : Sott.net




STOP TESTS INUTILES ET RUINEUX : COÛT DIRECT ESTIME À 6,4 MILLIARDS D’EUROS (le point au 14 juin 2021)

Par Gérard Delépine

Qui dit mieux ?

En tenant compte des arrêts de travail liés aux quarantaines inutiles de deux millions d’asymptomatiques,(([1] https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409)) de leur indemnisation par la sécurité sociale et de la désorganisation des entreprises liée à ces absences imprévues, le coût réel global des tests inutiles atteint 20 à 30 milliards d’euros.

On aggrave actuellement la gabegie en poursuivant la propagande pour des tests inutiles chez les asymptomatiques, alors que les soignants, et internes en médecine manifestent de plus belle et que le cinéma du manque de lits de réanimation continue à animer les émissions de pseudo-informations pour servir de prétexte aux confinements catastrophiques qu’ils veulent nous imposer à la rentrée.

Jusqu’à quand ? Que le peuple se fâche en plus de bouder les urnes, tellement il lui semble que les décisions sont prises tout à fait indépendamment de la volonté populaire et de ce qui se passe dans le monde réel ?

Dépister les asymptomatiques ne sert à rien

Sinon à entretenir la panique dans la population en confondant cas et malades. Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est/ou sera malade, ni contagieuse.

La littérature internationale l’a démontré largement.(([2] Ou dans la quasi-totalité des états américains, les mesures sanitaires ont été abolies depuis plusieurs mois sans reprise de l’épidémie qui a commencé sa disparition progressive dès janvier 2021 alors que moins de 5 % de la population était vaccinée.))

L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([3] Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de DIV 2020/05 Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) et rappelé récemment.

Aucune étude médicale publiée n’a pu démontrer que le dépistage des asymptomatiques ait pu ralentir l’épidémie.

Isoler les asymptomatiques ne sert à rien

Une personne sans signe clinique dont le test PCR est positif n’est pas infectée et a extrêmement peu de risque d’être contaminante. L’isoler ne permet donc pas de diminuer les transmissions.

La cour d’appel de Lisbonne(([4] Le test PCR va au tribunal au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) l’a affirmé dans un arrêt exposant au grand jour les ratés et l’imposture du test PCR et de son utilisation à grande échelle sans examen clinique et a condamnant le ministère de la santé portugais à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Que valent les tests PCR ?

Depuis l’été 2020, les articles sérieux référencés(([5] A N. Cohen, B Kesse False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2))(([6] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491)) se sont multipliés dans la presse internationale et française, permettant à ceux qui voulaient savoir de s’informer.

Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique également expert en hypnose, dans un article « PCR ou comment enfumer toute l’humanité»(([7] Mondialisation.ca et COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré) — Éloge de la raison dure (aitia.fr)
https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143)) expose l’utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays :

« en se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de transe hypnotique induit par les mesures autoritaires liées à la crise “sanitaire”.(([8] Tests PCR l’arnaque des cas positifs avec le Dr Pascal Sacré (lapressedupeuple. quebec)
Source de la Vidéo Jérémie Mercier :
https://Youtube/i5taO2_QDQc
https://www.jeremie-mercier.com/))

Il faut stopper les tests pour les bien portants abusivement appelés asymptomatiques :

ils ruinent la sécurité sociale et entretiennent la peur, et c’est probablement la raison pour laquelle contre toute évidence médicale ou scientifique, le ministre de la Santé essaie par tous les moyens de pousser la population à accepter les tests et à les multiplier encore et encore : un million de tests prévus à l’école depuis la dernière rentrée scolaire d’avril et rebelote, autotests tous azimuts sur les plages de l’été !

Le coût des dépistages est considérable : financier, mais aussi psychologique, voire psychiatrique trop souvent

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Depuis près de 18 mois, la politique sanitaire repose sur le crédo “dépister par les tests, masquer, distancier (entre autres en fermant les écoles), confiner jusqu’à vacciner”. Cette politique, qui a coûté des dizaines de milliards d’euros, ne repose sur aucune preuve scientifique et n’a jamais été évaluée ni médicalement ni financièrement et a oublié malheureusement le crédo habituel des vrais médecins fidèles à Hippocrate, SOIGNER ! Et ce ne sont pas les médicaments efficaces qui manquaient de l’hydroxychloroquine à l’ivermectine, zinc, vitamines D et C et macrolides entre autres.

Mais leur usage aurait gêné l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins pendant les essais cliniques, qui nécessite l’absence de traitement efficace connu.

La publication de Wuhan sur le dépistage de dix millions de Chinois(([9] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2003717))

La pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection.

Le plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), de Wuhan,(([10] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) )) est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi ensuite des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague conclut : “les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable.”

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête-t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de les traiter précocement, et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport. Mais qui voulait stopper l’épidémie ?

Il fallait attiser la peur et au passage ruiner la sécurité sociale qu’on nous imposera bientôt de privatiser après avoir jeté l’argent par les fenêtres.

Tromperie internationale

Il s’agit d’une erreur et/ou d’une tromperie internationale orchestrée par l’OMS et Drosten. La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le docteur Drosten, conseiller de Mme Merkel.

La démonstration en a été faite par la cour d’appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s’en emparer, et les ARS qui ont imposé encore le 7 décembre des fermetures d’écoles injustifiées et pire encore des isolements des aînés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires et mortifères basées sur l’utilisation inadaptée des tests PCR.

Le PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permet pas de diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.

Sensibilité et spécificité de la technique PCR

Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d’erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaître un sujet malade (faux négatif) ; et l’erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l’est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.

Cette technique consiste à “amplifier (multiplier)” les petits segments d’ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.(([11] Pascal Sacré COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? 30 août 2020))

Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en août 2019) lui-même avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.

Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.

Le diagnostic d’une infection doit donc être posé par un médecin et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

Le diagnostic posé uniquement sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée, car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes. »

Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.

Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.

Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà).

UTILISATION ABUSIVE DES TESTS PCR DANS LE MONDE SOUMIS À L’OMS ET À FAUCI

Le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS — et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID/NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu’une limite maximale du nombre de cycles d’amplification ne soit clairement spécifiée.

La croyance aveugle en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.(([12] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr) )) Son coût direct est considérable.

La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 et devrait croître chaque année de 3,1 % d’ici 2027, si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.

LA GRATUITÉ DES TESTS SANS PRESCRIPTION EN FRANCE A FAVORISÉ LA GABEGIE ET LA PEUR

En France, la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100 % ont coûté plus de 6 milliards d’euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maîtrisable.

Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds

Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l’attente des résultats d’un test qu’on leur a imposé à l’entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient être indiqués médicalement qu’en cas de suspicion clinique de Covid19).

D’autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu’ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d’hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.

RESPONSABILITÉ DES MÉDECINS DE PLATEAU ET GÉNÉRALISTES ET DES POLITIQUES ET DES ADMINISTRATIFS DES ARS

Au lieu d’examiner une personne, ces responsables conseillent de faire un test PCR et malheur à lui s’il est négatif alors qu’il est cliniquement malade et abandonné sous Doliprane sans utilisation précoce d’ivermectine ou de chloroquine ou d’antibiotique.

Il arrivera trop tard à l’hôpital et sera inclus dans un essai thérapeutique le plus souvent sans consentement éclairé. Comment est-ce supportable en juin 2021 alors que l’on connaît les traitements précoces efficaces ?

Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big Pharma ?

Ils feraient bien en tous cas d’être prudents, car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d’alerte comme le Dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le Pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés et entendus.

Les pensionnaires des EHPAD ont été séparés de longs mois sans raison valable, de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l’épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.

Et le coronacircus continue en juin 2021 alors que l’épidémie a disparu et que de nombreux états comme le Texas ou la Floride ont repris une vie normale et oublié le covid.

La maltraitance de nos aînés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n’a pas demandé leurs choix constitue une violation de leurs droits fondamentaux et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les plaintes s’accumulent. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation.

Le panic Paper

Un rapport allemand classé, mais divulgué (volontairement semble-t-il) a mis en exergue l’utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne.

Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l’OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l’OMS elle — même déclare l’existence en modifiant les critères antérieurs).

Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmentent considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d’hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d’antidépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d’aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue a été également une catastrophe non seulement pour l’enseignement — la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique — mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.

La peur choisie comme mode de gouvernance

entraîne la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à Big Pharma via l’OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.

L’exemple de l’interdiction de l’ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski françaises ouvertes sans restaurants ni bars témoigne de l’ampleur de la manipulation. L’interdiction aux Français d’aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières relève aussi de l’absurde, ou d’une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive. La stupidité de ces interdictions françaises a depuis été largement confirmée par l’absence de toute poussée épidémique en Suisse et en Autriche qui ont laissé leurs stations fonctionner normalement.


L’acceptation de la soumission ne fait qu’encourager les bourreaux et ne conduit qu’à une soumission de plus en plus intense.

L’expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire. Une femme qui accepte une gifle en croyant que son conjoint l’aime entre dans le cercle vicieux qui peut l’entraîner vers la mort. Un peuple qui se soumet aussi.

Coûts économiques et sociaux

Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d’éloignement d’un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur.

Il suffisait de se faire tester de manière répétitive jusqu’au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d’attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui a cru initialement en bénéficier, mais sombre peu à peu dans l’isolement, l’illogisme, l’incompréhension.

Manipulation psychologique et corruption

Lors d’une interview récente d’un journaliste anglais par l’avocat Fuellmich(([13] Ont-ils décidé de sacrifier Fauci pour mieux accélérer la vaccination mondiale ? — (ripostelaique.com) ))(([14] Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain — Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) )) Brian Gerrish raconte sa vue des choses à Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, avocats du Comité Corona créé en juillet 2020, et nous exposent la manipulation psychologique organisée par la programmation neuropsychique et son application lors la plandémie du coronacircus.

Brian s’étend en particulier sur la manipulation dont est victime le peuple britannique :

« le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement. L’homme clé concerné par cette question est Dr David Halpern. Une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion, datée du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus ».

Un éditorial du British Medical Journal une des plus prestigieuses revues médicales britanniques précise :

« la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite dans la presse force la transparence

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, mais en réalité la science est supprimée à des fins politiques et financières.(([15] Kamran Abbasi, rédacteur en chef Editorial du BMJ Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science BMJ 13/11/2020 ; 371 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Publié le 13 novembre 2020) BMJ 2020 ;371 :m4425))

Le Covid-19 a déclenché une corruption d’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique.

Les politiques et l’industrie sont responsables de ces malversations opportunistes. Il en va de même pour les scientifiques et les experts de la santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de protéger la science. »

L’avocat Reiner Fuellmich fait le parallèle avec le « Panic Paper » allemand dont nous avons déjà parlé dans les premiers articles sur le Nuremberg 2.

Conclusion : NE VOUS FAITES PAS TESTER !

Osez remettre en question l’intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles alors que l’épidémie est terminée et que même certains médias aux ordres se sentent obligés de l’avouer.

Les Corona terroristes recourent au mythe de la vague suivante continuant à oublier que ces vagues et ces morts n’auraient pas existé sans l’interdiction invraisemblable de soigner les patients sur leurs signes cliniques et précocement.

La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

LA DICTATURE SANITAIRE DE VERAN RENOUVELÉE LE 20 JUIN

La fin de l’épidémie démontrée par les nouveaux cas en nombre minime malgré la folie des tests et le réseau sentinelle qui montre la disparition de pathologies covid doit poser un problème à notre ministre.

Il lui faut tenir le peuple s’il veut imposer le nouveau confinement prévu à la rentrée par Ferguson et le plan Davos. Malgré l’évidence d’un échec de leur plan en particulier devant les échecs et drames accumulés des vaccins, il accélère autant que faire se peut pour tenter de tenir asservi ce peuple qu’il sent de plus en plus rétif et éveillé.

Course de vitesse. Ce sont toujours les peuples qui gagnent, la question est combien de victimes jusqu’à la libération.

« L’objectif gouvernemental ne change pas : il consiste toujours à “tester-alerter-protéger”, mais la méthode, elle, évolue. Cette méthode s’adapte d’abord à quelques bonnes nouvelles. “Avec 2000 à 3000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, mais nous qui le traquons” », assure le ministre de la Santé dans les colonnes du JDD.(([16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-autotests-partout-mediateurs-mesures-coercitives-veran-annonce-son-plan-pour-lete-20-06-2021-5))»Manifestement il se complaît dans le négationniste et refuse encore aux médecins de traiter et aux malades de choisir leur traitement, le b a ba de la médecine depuis ses origines.

Rappelons tout de même que nous sommes plus de 67 millions d’habitants et que les laboratoires ne fournissent toujours pas le nombre de CT utilisé qui permettrait de se faire une idée de la fiabilité de ces données.

Olivier Véran revendique un été « différent du précédent », enrichi de « plus d’outils » susceptibles d’aider à lutter contre le coronavirus.

Des autotests sur les plages et dans les campings

« Parmi ces outils, les autotests devraient figurer en bonne place d’un été serein, certes, mais placé également sous le signe de la prudence. Ces tests à réaliser soi-même devraient “être distribués gratuitement sur les plages, dans les campings, les hôtels ou les salles de sport », détaille Le Journal du dimanche.

Au total, plus de 8 millions d’autotests vont être distribués à compter de ces prochains jours et pour les deux mois à venir. Ces tests n’ont pas vocation à remplacer les tests PCR et antigéniques, mais à ajouter “une maille supplémentaire” au dispositif.

Ces tests particulièrement peu sensibles pour les personnes sans symptôme sont toujours aussi inutiles que les autres tests, mais ont au moins l’avantage d’être nettement moins chers et de ne pas être remboursés (sauf exception professionnelle). Ils alourdiront donc peu la facture pour la sécurité sociale. Mais fuyez-les absolument, ils vous feront entrer dans un cercle vicieux de chasse au contact !

Médiateurs et contact-tracing

Vous pensiez oublier le covid qui a quasiment disparu de France depuis début avril pendant vos vacances ? Le ministre ne veut pas que vous vous croyez à Miami ou au Texas. Il veut raviver la peur qui risquerait de vous quitter avec la suppression du port de la muselière à l’extérieur.

Olivier Véran annonce le déploiement de médiateurs antiCovid, chargés de conseiller les estivants sur le dépistage, l’isolement ou la vaccination. “Ils seront présents absolument partout : sur les lieux de vacances, dans les campings, les colonies”, assure Olivier Véran.

2 000 d’entre eux seront “capables de réaliser des tests, des enquêtes sanitaires ou de fournir une aide à l’isolement à domicile” en renfort des brigades de l’Assurance maladie !

Créer ces emplois inutiles est-il en réalité une mesure pour lutter contre le chômage ?

Liberté chérie où es-tu passée ?

Ça ne suffisait pas dans l’horreur, alors une nouvelle méthode de contact tracing, “à la japonaise”, devrait être expérimentée “à partir de début juillet” : enquête approfondie » visant à déterminer qui a infecté une personne positive et dans quelles circonstances.

Les chiens renifleurs au secours de Veran : rien ne nous sera épargné !

Le dépistage collectif rendu possible via des chiens renifleurs va être expérimenté « dans un port » et « dans un aéroport ».

« On a désormais la preuve que ça marche dans la vraie vie grâce aux résultats très prometteurs obtenus par les équipes de recherche et l’APHP », fait valoir Olivier Véran, qui signale « un déploiement plus large durant l’été » en cas de succès des expérimentations. Vu les succès de l’aphp dans le traitement du covid, la publicité choisie n’est pas forcément la meilleure.

Ces pauvres chiens risquent de s’épuiser à la tâche, car compte tenu de l’incidence actuelle du covid en France (3/100 000 d’après le réseau sentinelle

(([17] Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s23), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0 %, 11 % et 11 %, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [1 ; 4]), ce qui représente 1 758 [959 ; 2 557] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à celui de la semaine dernière (données consolidées pour 2021s22 : 3 [2 ; 4], soit 2 199 [1 445 ; 2 953] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).))) il leur faudra renifler 33333 personnes pour retrouver un malade du covid ! Mais que fait la SPA pour protéger ces pauvres bêtes ?

La dictature sanitaire en marche pour une épidémie disparue…

Depuis avril 2021(bien avant que le vaccin y soit pour quelque chose) l’épidémie a quitté peu à peu le territoire Français. Mais O. Veran ne l’annonce pas et préfère continuer à instiller la peur en agitant la possibilité d’une quatrième vague. Si nous étions en véritable « guerre », un tel défaitisme serait passible de lourdes condamnations.

Le ministre de la Santé annonce un plan « plus coercitif » face à un variant Delta « très, très contagieux ».

« Si une personne contaminée par le variant indien refuse de répondre aux équipes de l’Assurance maladie ou de respecter les consignes de mise à l’abri, une alerte est faite aux préfets, indique-t-il. Ces derniers peuvent prendre des mesures d’isolement. (…) Nous n’hésiterons pas à le faire, car nous ne pouvons pas prendre le risque de départ d’une nouvelle vague épidémique. »

Les Français échaudés se laisseront-ils convaincre que l’épidémie ne continue qu’en France alors que les autres pays sont libérés et que les chiffres de l’OMS de Santé Publique France prouvent le contraire ?

Une première prudence pour vous protéger et pour protéger vos proches est de REFUSER TOUT TEST dont on a vu l’absence de fiabilité et d’utilité en l’absence de signes cliniques. La France est — elle sur une autre planète ?





Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






Pour le Dr Fauci, ce sera la chaise électrique ou la lapidation ?

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Bon. Je vais essayer de rester calme pour aborder ce nouvel épisode de « l’opération Covid« . Mais je vous le dis, je suis au bord de la plus grande explosion de colère de ma vie.

Depuis le début de cette fausse pandémie j’affirme que nous sommes dans le cadre d’une opération criminelle et en aucun cas dans un problème de santé. Et si il y a maintenant de graves conséquences sur la santé, elles ne sont que le résultat de cette opération criminelle que je dénonce depuis le début. Relisez tous les articles publiés sur Médiazone depuis mon arrivée à la direction de la rédaction, et vous verrez que je me suis employé à faire ce qu’un journaliste et un homme intègre doit faire : dire la vérité.

Je ne vais pas faire l’historique ici, il me faudrait des heures pour résumer tout ce que j’ai écrit.

Mais la première chose que je veux dire c’est que le prochain qui me traite de complotiste je le renvoie chez sa mère en petits morceaux, car être stupide au point de ne pas avoir compris que cette « opération Covid » est criminelle, dépasse mon entendement. Il y a tellement d’éléments qui le prouvent, tellement de preuves qui le démontrent qu’il faut vraiment avoir le cerveau d’un mollusque (pardon pour les mollusques) pour ne pas s’en rendre compte. Un enfant de 5 ans l’aurait déjà cernée !

[Ndlr : de nombreux articles publiés sur Nouveau Monde tendent à démontrer ceci comme étant très probable. Voir notamment :
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Preuves que la pandémie a été planifiée ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Le bon virus au bon moment
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
[wpfa5s icon= »viruses » color= »darkred »]COVID-19: les plans secrets du Pentagone et le Canada]

Que mes confrères qui me disaient que je vois le mal partout, que je sombre dans la folie, que je ne suis pas crédible malgré tous les éléments que je leur ai mis sous le nez, disparaissent à jamais de ma vie et de ma liste « d’amis » !

Avoir des « amis » aussi cons me déshonore, m’afflige et me met en colère. J’ai perdu trop de temps à espérer un éclair de lucidité et d’honnêteté de leur part. J’aurais du méditer ce proverbe ; »Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es. » Et j’avoue que j’avais parmi mes « amis » un certain nombre de confrères aveugles, stupides et incompétents.

Ils sont à jamais rayés de mon répertoire car avoir déployé autant d’efforts pour leur faire comprendre que le gouvernement ment, que les experts scientifiques ont trop de conflits d’intérêts avec les labos pour être honnêtes, que l’OMS est une organisation privée soumise à Bill Gates qui en est le plus gros financier, que le Dr Fauci est une ordure de la pire espèce puisqu’il a investi son argent personnel dans « les gains de fonction » destinés à rendre le virus plus dangereux pour la santé humaine, — ce qui nous avait été révélé par notre ami Patrick Jaulent ex responsable de la cyber-sécurité de Wall Street, — que les médias ont pour mission d’alimenter la peur en désinformant et manipulant l’opinion publique avec des chiffres de contaminés truqués et exagérés, que les réseaux sociaux américains comme FacebookYoutubeTwitter sont complices de ce crime, et voir ces journalopes continuer à déshonorer la profession, et répéter tels des perroquets dressés, tous les mensonges de ceux qui sont censés nous protéger, nous informer et nous soigner, me fait penser que ces gens ne sont pas des journalistes mais de simples instruments de désinformation et de manipulation. Qu’ils restent loin de moi, car même les tardives excuses de quelques-uns me laissent de marbre. J’ai honte pour eux !

Ceci étant dit, venons-en à l’essentiel. La divulgation en vertu du Freedom Information Act d’une partie des emails de cet assassin de Fauci, confirme tout ce que nous sommes un certain nombre à affirmer depuis le début de cette fausse pandémie, destinée à nous faire accepter l’inacceptable : une campagne de vaccination mondiale avec un faux vaccin provoquant plus de morts que le virus qu’il est censé combattre. Une folieune hérésieune insulte à notre intelligence.

Nous le constatons, tous les pays fiers d’annoncer que la vaccination était un « succès« , qu’ils étaient parmi ceux qui vaccinaient le plus, sont aujourd’hui ceux qui enregistrent une explosion du Covid et de ses variants, un nombre alarmant de morts et des effets secondaires tragiques puisque certains voient leurs vies détruites à jamais. Bravo.

Aujourd’hui nous découvrons que le Professeur Luc Montagnier traîné dans la boue par ces médias de merde, disait la vérité, que la généticienne Alexandra Henrion-Caude avait raison de confirmer la thèse du Prix Nobel de Médecine au sujet du séquençage et de la modification génétique d’origine humaine, avec des cellules de VIH et de malaria, que le Dr Raoult avait lui aussi raison de préconiser et d’utiliser l’hydroxychloroquine qui réduit à néant la charge virale au bout de 5 jours, que le masque — même selon ce criminel de Dr Fauci — est totalement inutile, que ce sont désormais les personnes vaccinées qui sont les principaux propagateurs du virus, qu’elles vont mourir dans un temps plus ou moins bref, que toutes les mesures qui nous ont été imposées par notre gouvernement ont favorisée la contamination plutôt que la combattre, que si les hôpitaux sont débordés c’est parce que ce gouvernement d’assassins ferme des unités de soins et diminue les lits, que ce virus a bien été utilisé pour supprimer nos libertés, que nous sommes bien dans le cadre d’un crime contre l’humanité qui mobilise plus de 1000 avocats et plus de 10.000 médecins, virologues, microbiologistes pour le démontrer, et qu’il est temps que les responsables de cet immense chaos soient arrêtés, jugés et condamnés comme ils le méritent !

Nos confrères de BuzzFeed publient un dossier complet que je vous suggère fortement de regarder, car vous verrez que la thèse criminelle est désormais une évidence. Nos confrères de Intelligence Artificielle et Transhumanisme publient une version en français et vous n’aurez donc plus aucune excuse si vous préférez rester dans l’ignorance et vous nourrir des mensonges de la télé.

Les e-mails de Fauci font la Une aujourd’hui. BuzzFeed a publié 3 200 pages d’e-mails. Les mails ont été obtenus en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) et démontrent que Anthony Fauci nous ment depuis le début !

Plus de 3 200 pages d’e-mails obtenues dans le cadre d’une action en justice au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) déposée par BuzzFeed News — couvrant la période de janvier à juin 2020 — offrent un rare aperçu de la manière dont Fauci abordait son travail pendant la plus grande crise sanitaire, le montrant en train de traiter directement avec le public, les responsables de santé, les journalistes et même les célébrités. Le Washington Post a également reçu plus de 800 pages d’e-mails et a publié un article.

Ces milliers de pages montrent comment Fauci a tenté de calmer et de manipuler les Américains et de développer une stratégie.

Dans The Guardian, parmi les courriels les plus révélateurs figurent ceux provenant de correspondants fortunés ou influents.

Dans l’un d’eux, daté du 3 avril de l’année dernière, Fauci évoque une conversation avec le fondateur de MicrosoftBill Gates, au sujet d’un effort mondial de vaccination et s’est dit “enthousiaste à l’idée d’aller de l’avant dans une “approche collaborative et, espérons-le, synergique concernant le Covid-19” impliquant les agences de santé fédérales et la Fondation Bill et Melinda Gates, selon les courriels.

Il y a également des échanges de courriels avec le fondateur de FacebookMark Zuckerberg, au sujet de la création d’un centre d’information sur le coronavirus sur les médias sociaux, et un autre avec l’acteur Morgan Freeman qui propose de diffuser le message Covid-19 à ses 100 000 followers sur Twitter.

Les courriels montrent également que Fauci a reçu une rafale de correspondance indiquant que le coronavirus avait fui d’un laboratoire de Wuhan. Les réponses de Fauci sont censurées.

Dans The National Pulse on découvre que le Dr Anthony Fauci — qui a nié à plusieurs reprises avoir participé à des recherches sur les “gains de fonction” (militarisation des virus) — a envoyé des mails de panique aux membres du personnel du National Institutes for Allergies and Infectious Disease (NIAID) au début de la pandémie.

L’article académique joint à l’e-mail s’intitule : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence. Il y est question de la manière dont des chercheurs américains et chinois manipulent les virus pour mieux comprendre comment ils peuvent s’attacher aux humains.

Selon le National Institute for Health , « la recherche sur le gain de fonction (GOF) peut présenter des risques en matière de biosécurité et de biosûreté.« 

Ça confirme l’explication du Pr Montagnier et de Henrion-Caude.

La pandémie a été utilisée comme prétexte pour abolir les libertés selon l’ONU

The Insider Paper sur le FOIA #FauciEmails twitt également :

  • Il a eu des discussions urgentes sur le gain de fonction.
  • A ignoré le scientifique qui lui a dit que la Chine avait menti sur le virus et les données.
  • A été informé d’une possible fuite du laboratoire de Wuhan.
  • On lui a dit par courriel que les masques de détail ne fonctionnaient pas en raison de la taille du virus.

Un autre qui indique que le Dr Fauci a animé un groupe de discussion sur le gain de fonction.

Les premiers #FauciEmails montrent que l’on est conscient du risque d’aggravation de la maladie après la vaccination par le COVID, comme cela a été le cas pour les candidats vaccins contre le SRAS.

Dans un email que le physicien Erik Nielsen a envoyé à Fauci en mars 2020, il a recommandé non pas un, mais deux médicaments qui pourraient aider à combattre le #COVID19. L’un des médicaments était l’Hydroxychloroquine.

Selon Fauci, les masques ne sont pas nécessaires à moins d’être malade et il fait remarquer que le SARS CoV 2 est si petit qu’il passe facilement entre les fibres des masques.

Beaucoup d’américains sont en colères et ne comprennent pas pourquoi certains des #FauciEmails sont dissimulés par la plupart des médias. En effet, nous ne retrouvons aucun des e-mails dignes d’intérêt dans les comptes rendus des médias (sauf National Pulse cité plus haut) et ils n’ont même pas pris la peine de faire une enquête plus poussée.

Le référentiel complet des e-mails peut être trouvé et lu ici.

Et en complément d’infos, les mensonges de Fauci devant le Sénat américain !

Source : BuzzFeed & IATranshumanisme

Robert F. Kennedy explique le crime de Fauci, de Gates et de Buzyn







CoronaCircus – Tests ? Vaccinations ?? Passe sanitaire ??? Ils vont se faire coincer les uns après les autres !

[Source : rumble.com]

Traduction et doublage : Minima
Source : https://rumble.com/vh89df-ils-se-vont-se-faire-coincer-les-uns-aprs-les-autres.html
Source de la vidéo d’origine : https://youtu.be/c65Mg6rlOoo

Transcription :

De quoi s’agit-il, s’il ne s’agit pas de notre santé ? (9 mai 2021)

Comment auriez-vous réagi si on vous avait dit en tout début d’année 2020,
— Qu’à partir de la mi-mars 2020 et jusqu’au jour d’aujourd’hui, non seulement en Allemagne, mais partout dans le monde, les populations, y compris les enfants, seraient forcées de porter des masques,
— Que, au nom de ce qu’on appelle le confinement, toute la classe moyenne allemande ainsi que la classe moyenne de par le monde occidental seraient menacées de faillite,
— Que des millions d’opérations chirurgicales, de mesures de santé comme le dépistage du cancer, de rééducations et autres soins médicaux nécessaires, seraient reportés, avec des conséquences incommensurables pour la santé des personnes concernées,
— Que des milliers de malades en phase terminale, en Allemagne et dans de nombreux autres pays, seraient contraints de mourir seuls et dans l’isolement, sans la présence de leurs proches ?
— Que dans toute l’Allemagne et dans une grande partie du monde, des personnes seraient privées de leur liberté pendant des semaines entières, sans décision de justice, juste sur la base de ce que l’on appelle les « décrets de quarantaine » ?
— Qu’en Allemagne et dans beaucoup de pays, des personnes seraient poursuivies parce qu’elles ont fêté un anniversaire, se sont assises sur un banc public, ont fait un jogging, ou ont osé chanter ?

Les parlements remplis de nos représentants élus sont de facto privés de pouvoir, et les gouvernements, fédéraux et des Länder, ont émis une multitude de règlements arbitraires, dont personne ne comprend ni le contenu, ni les contraintes, et ce sans aucune légitimation par le peuple ?
Tous les droits démocratiques fondamentaux ont été de facto suspendus, y compris notre droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression.

01:41

Auriez-vous pensé que c’est normal et tout naturel, ou auriez-vous, au contraire, eu un sursaut d’incrédulité, et vous seriez demandé : « Mais comment est-ce chose possible dans une démocratie ? »
C’était une question rhétorique de ma part, bien sûr, car bien sûr, vous qui m’écoutez, vous vous seriez posé cette question.

Entre-temps, tout ce que je viens d’énumérer est devenu une réalité, mais il semble que personne parmi nos gouvernants ne se soit posé la question la plus pertinente au monde, à savoir : pour quelle raison est-ce que tout cela a été mis en place? Parce que jusqu’à aujourd’hui, nous n’avons pas obtenu de réponse à cette question, ni de la part du gouvernement fédéral ni des Länder. On a juste eu droit à : « On est en pandémie, donc obéissez. Faites ce qu’on vous dit et faites-le sans poser de questions. “
C’est d’ailleurs exactement ce que le Directeur du Robert-Koch-Institut RKI, un vétérinaire du nom de Wieler, nous a expressément expliqué lorsqu’il a exigé au nom du gouvernement fédéral — parce qu’il faut savoir que le RKI est une autorité supérieure fédérale, qui doit obéir aux instructions des gouvernements, au ministère fédéral de la Santé — lorsqu’il nous a publiquement expliqué qu’il ne fallait pas poser de questions, mais obéir aux injonctions.
Cela aurait dû nous estomaquer, couper le souffle à la démocratie, car une démocratie vit précisément de la compétence morale, et cette compétence morale, elle, requiert deux choses : la faculté de poser des questions au lieu de suivre aveuglément les ordres, et la faculté de discuter des autres opinions au lieu de les diffamer en bloc.
Tant la liberté de poser des questions que la capacité de débattre sont au cœur même de la liberté d’expression, et donc au cœur de la démocratie.
Cet arrêté gouvernemental — rappelons encore une fois que le RKI est une administration tenue de respecter des instructions, — a été le début de l’attaque la plus grave jamais perpétrée contre notre démocratie.

03:41
Les questions sous-jacentes qui en découlent sont donc :
Dans l’intérêt de qui se déroule cette attaque de notre propre gouvernement contre notre démocratie, c’est-à-dire contre le pouvoir du peuple ?
Et plus précisément, qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par ce que nous avons vu au cours de l’année écoulée, un régime totalitaire fasciste.

Commençons par la question de fond :
Sur quelle évidence se fonde cet arrêté qui détruit la démocratie et cause des dommages gigantesques ?
Si l’on avait posé des questions concrètes à ce sujet, et si le gouvernement fédéral avait engagé une discussion publique, voire s’il avait seulement respecté le principe général « audiatur et altera pars », « Que l’autre partie soit également entendue » au lieu de suivre exclusivement les demandes de plus en plus effrontées d’un certain Monsieur Drosten, alors ces trois questions spécifiques auraient dû être posées :

04:43
— Premièrement, quelle est la dangerosité réelle de ce nouveau virus présumé ?
La réponse aurait été de se ranger à l’avis de la certes très controversée OMS et à celui du très respecté professeur Docteur John Ioannidis de l’Université de Stanford, selon lequel, avec un taux de mortalité par infection de 0,14 à 0,26 %, le virus n’est pas plus dangereux que la grippe saisonnière.

— Deuxièmement, quel est l’impact sanitaire et économique des mesures prises dites « Anti-Corona » ?
La réponse très détaillée et précise à cette question est disponible au ministère fédéral de l’Intérieur depuis mai 2020 sous la forme de ce que l’on appelle désormais le « document sur les fausses alertes ». Ce document a été préparé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur hautement qualifié et formé à l’évaluation des risques pour protéger la population, et entre-temps, tout le monde connaît la réponse telle que décrite ci-dessus : les effets des mesures dites Anti-Corona sont dévastateurs.

— Troisièmement, quelle est la fiabilité du test PCR de détection de l’infection que Drosten a mis au point dès janvier 2020 ?

À une époque où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du coronavirus. Et ce test fut dans la foulée recommandé par l’OMS dans le monde entier.
La réponse est la suivante : un test PCR ne peut fournir aucune information sur une infection, il n’est même pas homologué à cette fin. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une « autorisation d’utilisation d’urgence » aux États-Unis, et non d’une véritable autorisation à part entière.
Où ai-je trouvé les réponses à ces trois questions ? Ce sont les résultats du travail du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi-même avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020, et qui a depuis été sans discontinuer conseillé par le pneumologue et ancien chef de service de santé publique de longue date, le Dr Wolfgang Wodarg, la Professeur Dr Ulrike Kämmerer, Professeur de biologie humaine de l’Université de Würzburg, et le professeur de droit Dr Martin Schwab de l’Université de Bielefeld.

Ce comité a depuis consulté une centaine de scientifiques respectés et de renommée mondiale : des médecins, des juristes, des économistes, des psychologues, des psychiatres et bien d’autres.

Il n’est même plus nécessaire d’expliquer à qui que ce soit que les dommages causés par ces mesures sont dévastateurs. Une troisième guerre mondiale n’aurait pas fait pire.
Le fait que le danger réel du virus — quel qu’il soit exactement, et indépendamment du fait qu’il n’a jamais été isolé de manière scientifiquement correcte, — ne dépasse pas celui de la grippe saisonnière, ce fait a même été admis par l’OMS, qui suppose un taux d’infection de 0,14 %, comme je l’ai mentionné tout à l’heure.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent, ont plus de 80 ans, et présentent de multiples pathologies préexistantes graves. C’est ce que prouvent, entre autres, les autopsies réalisées par le professeur Püschel de Hambourg, et, curieusement, réalisées contre la volonté expresse du RKI.
Entre-temps, des dizaines de scientifiques ont confirmé que le test dit « Test PCR de Drosten », devenu tristement célèbre dans le monde entier, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections, contrairement aux affirmations de son inventeur Monsieur Drosten. Même l’OMS et le CDC, l’institut de référence américain homologue du RKI allemand, l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.

Cela est dû au fait que ce test ne permet pas de faire la distinction entre les matériaux vivants et les matériaux morts. Il ne peut donc pas dire si ce qu’il détecte est un fragment mort, vestige de la défense réussie du système immunitaire de l’organisme contre une attaque virale surmontée dans le passé, ou si un virus vivant a effectivement pénétré dans les cellules et s’y multiplie. Or, c’est uniquement cela qui conduirait à une infection. Ce test ne peut pas non plus nous indiquer si les symptômes qui apparaissent chez une personne ne proviennent pas d’un autre agent pathogène, par exemple un virus du rhume ou de la grippe.

D’ailleurs, le CDC indique en deux phrases que « la mise en évidence d’un ARN viral ne suggère pas la présence d’un virus infectieux ou que le Covid 19 est l’agent responsable des symptômes cliniques », et que « ce test ne permet pas d’exclure une maladie causée par d’autres agents bactériens ou viraux ».

Ah oui, et bien évidemment : Ces deux déclarations présupposent que la personne testée présente des symptômes, par exemple des maux de tête ou de gorge, douleurs dans les membres, diarrhée, etc.
Normalement, une personne qui ne présente aucun symptôme, c’est-à-dire aucun trouble, et qui, par conséquent, ne pourrait donner au médecin aucune indication pour un diagnostic médical de quoi que ce soit, eh bien une personne qui n’a rien ne va pas chez le médecin. Que répondre en effet à la question du médecin : « De quoi souffrez-vous ? » si vous ne présentez aucun symptôme ?
Normalement, du moins jusqu’à l’arrivée de Corona, les personnes ne présentant aucun symptôme étaient considérées comme étant en bonne santé — et perçues comme telles.

Notons également que cette affirmation selon laquelle il existerait des infections sans symptômes dites « asymptomatiques » est une thèse que Monsieur Drosten a également soutenue. Or, comme l’a montré récemment une étude menée auprès de 10 millions de participants à Wuhan, en Chine, à la fin de l’année dernière, il n’existe aucune infection asymptomatique.

Donc, résumons : ces deux affirmations fausses — l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques et l’affirmation selon laquelle le test PCR de Drosten peut détecter les infections — proviennent toutes deux de Drosten lui-même.

Il les a publiées au début de l’année 2020 dans deux documents qui ne répondent même pas aux normes scientifiques reconnues. D’ailleurs, au sujet de ces tests PCR, 22 scientifiques de renommée internationale se sont accordés pour le faire savoir dans leur soi-disant rétraction papier « document de rétractation ».
De plus, lorsqu’il a publié ces déclarations, il savait pertinemment qu’elles étaient fausses. Il savait, au moment de la publication, et au sujet de l’infection asymptomatique, que le cas qu’il a cité comme exemple d’une femme chinoise en visite en Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait même traité ses symptômes avec un médicament communément utilisé contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a accordée à la Wirtschaftswoche en 2014, il avait parfaitement conscience qu’un test PCR positif ne veut rien dire en matière d’infection.

Mais Monsieur Drosten, outre de graves conflits d’intérêts financiers, a un tout autre problème de crédibilité. En effet, des doutes planent sur sa thèse de doctorat, et s’il a en fait le droit de porter ce titre de docteur. À ce sujet, une action en justice est en cours.

Au sujet de sa crédibilité également. Pendant l’épidémie de grippe porcine de 2009, et avec l’Anglais Neil Ferguson, aujourd’hui complètement discrédité, il a averti le public des conséquences désastreuses et des millions de morts si une vaccination de masse n’avait pas lieu immédiatement.
Ces prédictions se sont révélées totalement infondées et erronées, et la grippe porcine s’est avérée être une « grippe bénigne ». Cependant, les vaccins avaient déjà été achetés par de nombreux pays de par le monde — à des conditions qui sont restées d’ailleurs secrètes jusqu’à ce jour — et ont ensuite été injectés avant que tous les stocks ne soient détruits à grands frais. En conséquence, environ 1300 enfants, notamment en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie parce qu’ils souffrent de narcolepsie.

La question est de savoir pourquoi le gouvernement fédéral, sans même un soupçon d’empathie ou de compassion, a suivi les conseils de cet homme et ses demandes de confinement massif, pourquoi il a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont ainsi laissé des malades en phase terminale mourir seuls, sans l’accompagnement de leurs proches.

Et pourquoi le gouvernement a-t-il non seulement refusé de prendre connaissance d’autres opinions, mais les a rejetées en bloc en les qualifiant d’extrême droite, d’antisémites et de théories du complot, sans même seulement les examiner, et encore moins en discuter ?

Bref, comment se fait-il que le gouvernement — et, dans la foulée, le gouvernement des Länder — ait sciemment et volontairement ordonné des mesures mortifères et dévastatrices, qu’il ait exigé que personne ne pose de questions et qu’il ait en outre ignoré et délibérément dénigré tous les autres avis scientifiques et médicaux qui affirmaient que le nouveau virus présumé ne représentait pas une plus grande menace que le virus de la grippe, qu’il existait des traitements efficaces qui ne coûtaient pratiquement rien et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages sanitaires et économiques les plus dévastateurs.
Comment le gouvernement fédéral en est-il venu à ignorer même les données corroborantes détaillées dans le volumineux « document sur les fausses alertes » que j’ai déjà mentionné, rédigé par un fonctionnaire hautement qualifié du ministère de l’Intérieur chargé de la défense civile ?
Et surtout, pourquoi le gouvernement fédéral, en désaccord complet avec le code de Nuremberg, autorise-t-il une expérience médicale sur sa propre population, et pour ce faire, lui ment délibérément.
Pourquoi le gouvernement fédéral permet-il que la population, qui est poussée dans cette direction depuis un an, soit traitée avec un produit dénommé vaccin, qui est en fait un traitement génétique dont l’efficacité est très controversée, et dont la dangerosité n’a jamais été testée de manière adéquate dans aucune étude scientifique, et qui l’est en ce moment même, « en direct », pour ainsi dire, sur une population sans méfiance.
Pourquoi, après des effets secondaires massifs, y compris une multitude de décès signalés, pour lesquels toute étude sérieuse serait immédiatement interrompue, pourquoi le gouvernement permet-il à cette expérience de se poursuivre ?

14:50
Pour résumer : quels intérêts le gouvernement allemand représente-t-il lorsqu’il ordonne des mesures aussi destructrices ? Ceux du peuple allemand, ou d’autres, totalement différents ?

Étant donné le fait évident que des représentants du gouvernement intelligents et empathiques n’agiraient jamais de la sorte, contre leur propre peuple, en optant pour des mesures qui porteraient gravement atteinte à leur santé, à leur économie et, surtout, à la démocratie, la question qui se pose et s’impose, c’est : Au nom de qui le gouvernement agit-il de la sorte ? Et pour quelles raisons ?
Lorsque l’on sait que les conseillers principaux du gouvernement fédéral allemand, sont, outre Drosten, le Wellcome Trust et la Fondation Bill & Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins et de l’industrie technologique, qui tous réclament unisono l’introduction d’un passeport numérique de vaccination, on peut soupçonner que ce sont leurs intérêts qui sont représentés ici, et non ceux de la population, et ce, sans aucune empathie.

15:52
Un regroupement de plus en plus important d’avocats internationaux, en particulier de droit anglo-américain, travaille en étroite coopération pour faire la lumière dans l’obscurité et trouver les réponses aux questions suivantes : qui est derrière tout cela, et qui doit être tenu pour responsable. Car comme l’a dit le juriste Louis Brandeis, ancien membre de la Cour suprême aux États-Unis, « Sunlight is said to be the best of disinfectants » — « la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants » –

Et cette lumière du soleil, c’est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons d’ores et déjà tous apercevoir, elle est de plus en plus brillante.



Cette vidéo « ainsi que d’autres » est également disponibles en cliquant sur le lien ci-dessous : https://rumble.com/c/c-791093

🔴 Article détaillé des poursuites judiciaires : https://translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://dailyexpose.co.uk/2021/05/17/lawyers-and-medical-experts-worldwide-say-they-have-all-the-evidence-they-need-to-convict-who-cdc-phe-bill-gates-and-world-leaders-of-crimes-against-humanity/


[Voir aussi :
La Dictature médicale Secrète : Entretien historique entre la rescapée de l’holocauste Vera Sherav et l’avocat Reiner Fuellmich
Reiner Fuellmich : “Je vois une lumière à la fin de ce tunnel !”
État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich]




Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid »)

Par Nicole Delépine

Rappel des conventions signées par la France

Une aberration médicale, morale, éthique, légale

Chacun sent bien la précipitation et l’impatience du pouvoir à faire accepter le vaccin à tous les âges de la vie, même les plus incongrus comme les enfants qui sont à risque zéro du covid et ne transmettent le virus ni aux enfants ni aux adultes,(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) (même l’Institut Pasteur ne le conteste plus) et ne pourraient même pas, si ce but isolément était acceptable, participer à une éventuelle immunité collective.

La « vaccination » forcée par des substances géniques

Les populations du monde entier reconnaissent dans la « vaccination » incitée par tous les moyens même les plus incongrus (de la glace offerte au cobaye à la place gratuite pour visiter un parc de loisirs ou le château de Dracula) comme une entreprise mystérieuse et louche. Si un médicament était efficace et sans danger pourquoi faudrait-il utiliser tous les moyens pour l’imposer : du charme et des petits cadeaux à la coercition ?(([2] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les citoyens du monde découvrent en cette année 2021 que le coronavirus a beaucoup moins tué que l’on a voulu le faire croire et que par ailleurs des traitements précoces anodins et peu chers existent, enfin que ce pseudo vaccin dont on ne voit pas l’utilité est de fait une substance génique capable possiblement de modifier le génome. Et ils se demandent la finalité de cette gigantesque entreprise de manipulation des foules bien décrite par de nombreux auteurs.

Le Faust du XXIe siècle, Bill Gates (aidé d’Attali ou autres Laurent Alexandre), aurait-il réussi à imposer son projet de dépopulation qu’il peaufine depuis plus de 20 ans dans de nombreuses conférences et vidéos, avec l’aide logistique des adeptes du forum de Davos ? Bien sûr, il est difficile pour la plupart des gens – normaux – d’imaginer de tels projets totalitaires tant ils sont incroyables, sans les traiter de complotistes, et pourtant nous n’avons qu’à lire leurs ouvrages et réagir s’il en est encore temps.

La liberté individuelle protégée par les lois et conventions internationales(([3] À l’étranger aussi des protestations s’élèvent contre l’obligation pour une substance en essai thérapeutique
Un tribunal néo-zélandais déclare que le déploiement du vaccin Pfizer est illégal (odysee.com) ))

Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel

Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.

Les élus ou commentateurs qui donnent comme argument l’intérêt pour la collectivité de vacciner les enfants, sans l’ombre d’un bénéfice pour eux feraient bien de relire l’histoire de l’eugénisme(([4] Les idées eugénistes remontent à l’Antiquité, où elles furent parfois appliquées (ainsi en Grèce, et plus spécialement à Sparte, où l’on abandonnait à la mort les nouveau-nés anormaux). Elles ne disparurent jamais complètement, resurgissant à diverses époques sous différentes formes, mais sans avoir d’applications, sinon très marginales.

C’est seulement à la fin du XIXe siècle qu’il y eut une véritable théorisation de l’eugénisme. C’est à cette époque, en 1883, que le mot eugenics fut inventé par Francis Galton, à partir du grec ἔυγενης, qui signifie « bien né ». Étymologiquement, l’eugénisme (ou eugénique) se voulait donc la science des bonnes naissances. EUGÉNISME – Encyclopædia Universalis)) et de ses monstrueuses conséquences.

Nous pouvons nous inquiéter sur les effets pervers sur les cerveaux du tragique scénario covid-19 depuis un an et demi, quand nos « philosophes » de plateau comme Onfray ou Enthoven se rangent du côté de l’obligation vaccinale et qu’une « grande historienne » âgée traite le Pr Raoult de criminel dans une émission à large écoute, sans commentaire des journalistes… Comment sortir de la secte covid19 devrait devenir leurs sujets d’étude et les nôtres.

Rappelons ici la tragique doctrine nazie

bien étudiée par René Capitant, ministre de De Gaulle(([5] René Capitant et sa critique de l’idéologie nazie (1933-1939) ,Olivier Beaud dans Revue Française d’Histoire des Idées Politiques 2001/2 (N° 14), pages 351 à 378)) et historien de la montée du nazisme : « la conférence d’Otto Dietrich, chef du service de presse du NSDAP, citée par Capitant :

« La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »(([6]  Conférence de Cologne du 15 nov. 1934))

« La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance  prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».

Les expériences de Milgram, après-guerre, viendront tristement confirmer que les exécutants nazis étaient tragiquement « comme les autres » et que personne ne peut affirmer échapper à sa part sombre, comme Hannah Arendt le démontre si bien.

Le code de Nuremberg

La prise de conscience des peuples du monde entier, à la suite de la découverte des camps d’extermination nazis et de la « banalité du mal » bien décrite par la philosophe Hannah Arendt, du fait que l’horreur pouvait être le produit de gens « comme tout le monde » a conduit à l’idée d’élaborer des garde-fous juridiques. La naturelle obsession du « plus jamais ça » a conduit à la suite du procès des nazis à l’élaboration de règles intangibles d’abord résumées dans le code de Nuremberg.

Mais 70 ans ont passé et manifestement les enseignements tirés des procès de Nuremberg se sont estompés de la mémoire collective comme en témoigne la banalisation de l’euthanasie compassionnelle facile à des enfants atteints de cancer certes incurable. Cette euthanasie compassionnelle d’être « vivants » imposée à l’hôpital par des médecins ailleurs n’y voyant pas mal, nous a montré depuis les années 90 et 2000 qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que la bête immonde resurgisse. Qui peut décider qu’une vie ne vaut pas la peine d’être vécue ?(([7] NicoleDelepine – Soins palliatifs et oncopédiatrie))

L’avenir de l’Humanité après injection large de substances géniques est inconnu

Le projet de vaccination d’enfants par des substances géniques en essai thérapeutique de plus en plus évoqué sur les médias, comme une préparation à son acceptation inéluctable, pour « retrouver les libertés » (ironie de la présentation) fait craindre une des pires attaques contre l’Humanité, ses libertés, son avenir. Le risque d’atteintes des organes reproducteurs souligné par de nombreux chercheurs et spécialistes de l’ARN messager permet de craindre un retentissement sur la fertilité. Le fait que les essais soient loin d’être terminés rend impossible de rassurer les citoyens comme se permettent de le faire trop de médecins et trop de médias. Le doute fertile était jusqu’à 2020 une caractéristique de toute démarche scientifique.

Les garde-fous installés après les horreurs nazies permettront-ils de garder la raison, en attendant les procès que préparent les avocats du corona comité depuis bientôt un an et qui devraient se tenir d’ici quelques semaines, selon les informations de leur créateur et coordinateur Reiner Fuellmich.

Il est temps de rappeler l’état du Droit qui doit nous permettre rapidement de faire sombrer ce projet catastrophique aux risques majeurs en fonction des données théoriques et malheureusement des essais déjà en cours.(([8] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

La référence des provaccins et de Mr Tout le Monde qui assène : tu as bien reçu le DTpolio sans tant d’histoires nécessite deux remarques majeures :

« les vaccins anticovid ne sont pas des vaccins au sens de la définition du dictionnaire ».(([9] NOM MASCULIN Culture d’un microbe qui, sous forme atténuée, est inoculé à une personne afin de la préserver de la maladie correspondante. « Un vaccin contre la rougeole, la méningite. »))
« ces substances sont expérimentales, car aucun de leur essai phase 3 n’est terminé »

CADRE JURIDIQUE DIFFÉRENT DE CELUI DES VRAIS VACCINS(([10] comme le tétanos, etc. ))

Les mal nommés vaccins contre le Covid ne sont pas des vaccins au sens pastorien du terme : ils ne contiennent pas d’antigènes. Ce sont des produits génétiques ARN messagers (Pfizer Bion Tech et Moderna) et ADN recombiné (Astra Zeneca et Johnson) … Le fait que ces pseudovaccins sont des produits génétiques les change de cadre juridique par rapport à un vaccin classique.

LES SUBSTANCES GÉNIQUES INJECTÉES COMME VACCINS SONT EN ESSAI THÉRAPEUTIQUE

Sous AMM conditionnelle. Elles n’ont qu’une homologation provisoire tant à la FDA qu’à l’EMA sous forme de mise sur le marché conditionnelle valable seulement en cas d’urgence pandémique (actuellement en fin de course).(([11]  https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca

https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use))

D’après les études de plus en plus nombreuses, les produits à base d’ARN messager semblent pouvoir modifier l’ADN du patient et/ ou l’épigénétique.

En conséquence : comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental susceptible de modifier le génome d’un patient violant ainsi les dispositions de la convention d’Oviedo que la France a ratifié ?

CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ ET CONVENTION D’OVIEDO JURIDIQUEMENT OPPOSABLE(([12] suite à la déclaration d’Helsinki et juridiquement opposable))

« Art. L. 1111-4. – Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. »
« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. »

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

EN FRANCE, LA LOI KOUCHNER S’OPPOSE À LA VACCINATION OBLIGATOIRE QUI IMPOSE LIBRE CHOIX ET CONSENTEMENT VÉRITABLEMENT ÉCLAIRÉ

Ainsi comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental en respectant les dispositions de la loi Kouchner, donc en donnant au patient des informations précises sur l’efficacité et l’assurance de l’innocuité alors que les fabricants eux-mêmes ne s’engagent pas sur ces points-là dans les contrats ?

Voici les contrats Pfizer BioNTech et Moderna signés avec la Commission Européenne. Par exemple dans le contrat Pfizer : page 48-4 et 48-5, ainsi que 53-6

« L’État Membre Participant reconnaît que le vaccin et le matériau lié au vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constituants, sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie COVID 19 et continueront d’être étudiés après la fourniture après la fourniture aux états membres participants dans le cadre de l’APA (Advance Purchase Agreements).

L’état membre participant reconnaît en outre, QUE LES EFFETS À LONG TERME, ET L’EFFICACITÉ DU VACCIN NE SONT PAS CONNUS ACTUELLEMENT ET QU’IL PEUT Y AVOIR DES EFFETS INDÉSIRABLES DU VACCIN NON CONNUS À L’HEURE ACTUELLE.

En outre, dans la mesure du possible, l’état membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé. »

PAGE 48-4

« Les états membres participants déclarent et garantissent que toutes les autorisations et approbations nécessaires ont été ou seront obtenues avant l’exécution de toutes les obligations contenues dans le présent document. »

PAGE 48-5

(RESPONSABILITÉ) Les États membres participants qui acquièrent un vaccin sont responsables du déploiement et de l’utilisation des vaccins dans le cadre de leur stratégie nationale de vaccination et assument toute responsabilité associée à cette utilisation et à ce déploiement.
LES TERMES ET CONDITIONS DE L’APA, DÉSENGAGENT LA RESPONSABILITÉ DES FABRICANTS DE VACCINS. »

PAGE 53-6

LE CODE DE LA CONSOMMATION S’OPPOSE À L’OBLIGATION DE LA SUBSTANCE GÉNÉTIQUE EN ESSAI

Les substances en essai thérapeutique ne peuvent pas être rendues obligatoires : violation du code de la consommation. il n’existe aucune garantie sur l’aspect sécuritaire des produits

fondement, en autres : article l121-6 Abrogé par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 – art. 34 (V)Modifié par LOI n°2014-344 du 17 mars 2014 – art. 130

« Les pratiques commerciales trompeuses sont punies d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 €. Le montant de l’amende peut être porté, de manière proportionnée aux avantages tirés du manquement, à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits, ou à 50 % des dépenses engagées pour la réalisation de la publicité ou de la pratique constituant le délit.

Les personnes physiques déclarées coupables encourent également à titre de peines complémentaires l’interdiction, suivant les modalités prévues à l’article 131-27 du Code pénal, soit d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, soit d’exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d’administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour leur propre compte ou pour le compte d’autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d’exercice ne peuvent excéder une durée de cinq ans. Elles peuvent être prononcées cumulativement.

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l’article 121-2 du même code, de l’infraction définie au présent article encourent, outre l’amende suivant les modalités prévues à l’article 131-38 dudit code, les peines prévues aux 2° à 9° de l’article 131-39 du même code. L’interdiction mentionnée au 2° du même article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise. Les peines prévues aux 2° à 7° dudit article ne peuvent être prononcées que pour une durée de cinq ans au plus. »

Le code de Nuremberg de 1947, la déclaration d’Helsinki qui en a découlé et les réunions régulières de l’AMM (Association Médicale Mondiale)(([13] Détaillés dans notre article récent sur nouveau-monde.ca avec le code de Nuremberg in extenso
« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([14] L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS. (infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».))(([15] DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle. En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net) ))(([16] Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.)) s’opposent à l’obligation vaccinale

Si on reprend l’analyse des faits reprochés aux nazis durant NUREMBERG, on est dans les mêmes caractérisations en obligeant les gens à se faire injecter un produit en essai clinique sans consentement éclairé ! Nous avons souligné ailleurs que les principales expériences reprochées aux médecins nazis condamnés à Nuremberg étaient justement des essais de vaccins.(([17] L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1, s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique ou des philosophes comme Onfray peuvent-ils avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort. Mais l’oubli est venu.

Entendra-t-on à nouveau cette sordide chanson macabre contre un virus peu létal utilisé comme leurre pour mettre en soumission à la chinoise les peuples qui l’accepteront ?

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier et ne le sera pas plus demain quand viendra l’heure des procès.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications ?

Vacciner par un vaccin validé par des essais rigoureux les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres, quels qu’ils soient est criminel et inacceptable !

LE SERMENT D’HIPPOCRATE ET LE SERMENT DE GENÈVE(([18] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.[5]

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

  • LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
  • LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
  • LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste. (…)

Est-ce acceptable ? Les politiques de tous bords nous laisseront-ils retomber dans la folie totalitaire quand ils auront en main ces éléments remis en exergue ?

L’idée d’obligation vaccinale revient comme un serpent de mer dans le monde et nous n’avons malheureusement pas échappé aux onze vaccins obligatoires et sans fondement sanitaire imposés par Mme Buzyn, la même qui a interdit l’usage libre de la chloroquine en janvier 2020 et est maintenant protégée des poursuites dans un poste de l’OMS. Pourquoi revenir aujourd’hui pour une maladie à risque zéro pour les enfants :(([19] Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.)) pour Big Pharma doublé d’une mise en soumission de la population ?

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants qui ne risquent rien du Covid nous horrifie.

Rappelons le discours de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsqu’une ministre de la santé puis des membres du Conseil de l’Ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas »(([20] déclaration de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, vendredi 29 mai 2015)) et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, institution fondée sous Vichy pour obliger les médecins à appliquer les directives de nazis français ?

La vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination, comme tout acte médical, relève du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, Américaine, qui en parle le mieux.

Le professeur M Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le discours du Pr M Holland devant l’assemblée générale de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondée sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations. »

En conclusion

RAPPELONS À NOS ÉLUS QUE LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE

pour les états. Sommes-nous prêts à violenter toutes nos lois, notre éthique, mais aussi les traités internationaux ?

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne.(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

Il s’agit, dans le domaine biomédical, du seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme. La Convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration des Droits de l’Homme. Elle établit les principes fondamentaux relatifs à la pratique de la médecine quotidienne, à la recherche biomédicale, à la génétique et à la transplantation d’organes et de tissus, au consentement éclairé, au droit au respect de la vie privée et au droit à l’information.





Me Joseph explique sa plainte contre le président du Conseil de l’Ordre des Médecins

[Source : francesoir.fr]

ENTRETIEN – Avec Me Joseph, Doyen du Barreau de Grenoble, qui s’est dressé contre la « Scientocratie », et a été pressenti par des médecins et des particuliers pour déposer une plainte à l’encontre du Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins pour :

  • Complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineur par personnes ayant autorité.

FranceSoir : Me Joseph, pourquoi parlez-vous de « Scientocratie » ?

JPJ : Depuis le début de l’épidémie de Covid 19, un quarteron de scientifiques, ayant pour la plupart, d’importants liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, semble donner des directives aux politiques, contre l’avis de milliers de médecins de terrain, et de médecins hospitaliers, mais ont seuls, droit à la parole, ce qui fait que l’on voit toujours les mêmes sur les grands médias.

Cette Scientocratie a généré une peur totalement irrationnelle, faisant accepter l’inacceptable à une population totalement chloroformée, qui n’a pas réagi à toutes les contradictions, les incohérences, et l’inefficacité des mesures dites sanitaires, à tel point que si l’on avait dit aux gens que le virus flottait dans l’air à un mètre de hauteur, ils se seraient tous mis à marcher à 4 pattes.

Cette méthode n’est pas nouvelle, puisque, lors du procès de Nüremberg, le Gruppenführer S.S. KALTENBRUNNER a déclaré « …On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur… »

Pourtant, il y a des évidences :

  • On a fermé les bars et restaurants, et cela n’a rien changé.
  • On a instauré des couvre-feux, ce qui a amené des dizaines de milliers de personnes à s’entasser dans les grandes surfaces, juste avant la fermeture, dans la violation la plus totale de la distanciation soi-disant nécessaire, et cela n’a rien changé.
  • Aujourd’hui, une grande partie de la population est vaccinée, et la courbe redescend extrêmement lentement, alors qu’on aurait pu s’attendre à une baisse vertigineuse.
  • Les grands rassemblements de l’été 2020 (Fête de la musique, 14 juillet, etc…) puis plus tard des rave parties, des fêtes clandestines, n’ont pas donné de malades, ni même de « clusters ».
  • Le vocabulaire des médias est scandaleux, puisqu’on parle tous les jours de « nouveaux cas » qui sont en réalité des personnes testées positives et que l’on appelle « malades asymptomatiques », ce qui pour moi signifie des porteurs sains qui ne tomberont pas malades, et ceci d’autant plus que des scientifiques de plusieurs pays, ont démontré que les tests PCR identifiaient jusqu’à 90% de faux positifs.

Ces Scientocrates, ont perdu toute notion d’immunité, et d’humanité, à tel point qu’ils semblent avoir oublié que depuis des siècles un à 40 millions de virus flottent en permanence dans chaque mètre cube d’air que nous respirons. Si nous continuons d’être des moutons sans réagir, demain il nous faudra recevoir chacun des milliers de vaccins, et porter le masque en permanence, comme si l’être humain était tellement mal conçu, qu’il ne pourrait survivre sans une ribambelle de vaccins…

Si cette logique infernale continue, nous n’aurons plus le droit d’avoir une immunité naturelle, et notre intégrité corporelle sera violée en permanence, ce qui fait que, paradoxalement, nous serons tout le temps souffreteux, voire malades, ayant perdu toutes nos défenses naturelles.

D’ailleurs, notre Premier ministre a déclaré récemment qu’il faudrait peut être porter le masque à chaque nouvelle grippe, comme si notre immunité s’était totalement effondrée ! Certes, en ne sortant plus ou presque, en respirant mal derrière nos masques, véritables muselières, en ne pratiquant plus de sports, les gymnases étant fermés, en entendant tous les jours et partout des messages anxiogènes, on recueille tous les ingrédients d’une mauvaise immunité !

Pourtant, nombreux sont les médecins de terrain tout aussi diplômés que le quarteron de Scientocrates précité, et qui tentent en vain, de nous alerter sur l’incohérence des mesures dites sanitaires, et qui ont publié de nombreux articles ou vidéos, dans le silence scandaleux des grands médias. Je peux citer de mémoire: Les Pr Montagnier, Raoult, Perronne, le Dr Fouché, Dr Nicole et Gérard Delépine, Reliquet, de Lorgeril, Maudrux, Tal Schaller, Henrion-Caude, (que certains médias ont tenté en vain, de présenter comme illuminé),…Sans parler des nombreux médecins à l’étranger qui évoquent les mêmes sujets comme le Pr Harvey RischPeter McCulloughPierre Kory aux Etats-Unis, qui ont témoigné devant la commission du Sénat américain.

Les Scientocrates voudraient faire croire qu’ils détiennent l’intégralité du Savoir, car dès qu’il existe une méthode qu’ils ne connaissent pas, non seulement ils la nient, mais en plus ils la poursuivent, comme pour préserver leur savoir limité et dogmatique.

N’oublions pas que le célèbre épistémologue Bachelard, incitait à la critique de la Science. Et pourtant j’ai assisté à des guérisons « scientifiquement impossibles » … Et naturellement, ceux qui n’y croient pas n’auront jamais le temps de venir vérifier les méthodes qu’ils contestent.

FS : Pourquoi parlez-vous de crise « dite » sanitaire ?

JPJ : On a réussi à faire croire à la population que l’épidémie actuelle était plus grave que toutes les épidémies que l’on a connues dans le passé, ce qui a justifié des mesures liberticides que l’on n’avait jamais connues auparavant. Or ce postulat était faux.

L’on sait aujourd’hui que si on « attrape » ce virus, on a plus de 99% de chances de survie. Le risque est donc moins élevé que le cancer, les AVC, le tabagisme ou la malbouffe, ou même prendre la voiture un week-end de Pâques.

Pour moi la crise est politique, sinon l’on n’aurait pas assisté à toutes ces incohérences, et on a l’impression que les mesures liberticides se décident progressivement, comme pour nous habituer progressivement à l’inacceptable : le masque à l’intérieur, puis dans certaines rues, puis dans toute la ville, etc… Le couvre feu à 22h, puis 20h, puis 18h…

Les contradictions et les incohérences déstabilisent les plus fragiles. Sommes nous toujours en démocratie lorsque l’hygiénisme gouverne toute notre politique ? 

En février 2020 le confinement « allait faire flamber l’épidémie« , un mois plus tard, le confinement « allait ralentir l’épidémie ».

Quand les restaurants étaient ouverts, il fallait mettre le masque quand on était debout, et l’enlever une fois assis ; comme si le virus flottait à 1m 50 du sol !

À la Toussaint 2020, les restaurateurs ont espéré rouvrir en janvier, puis en février, puis en mars… On a joué avec les nerfs de tout le monde avec le système de la carotte et de l’âne. Si on leur avait dit dès la Toussaint qu’il y en aurait pour 7 mois, peut-être les rues auraient elles été envahies de manifestants craignant plus pour leur survie professionnelle que le risque de 0,05% « d’attraper » le virus.

Les remontées mécaniques dans les stations de ski, vont rouvrir quand il n’y aura plus de neige, et un député s’est étonné du fait qu’à la mi-mai, les discothèques resteront fermées, alors que les clubs échangistes pourront rouvrir…

Bref, on n’avait pas revu de telles incohérences et contradictions depuis le IIIème Reich.

Le pourquoi de tout cela est un autre débat sur lequel il faudra bien s’exprimer un jour.
 

FS : pouvez-vous nous expliquer la nature des plaintes que l’on vous demande de déposer ?

JPJ : Sur le site de l’Ordre des Médecins, il est indiqué, notamment :

« …Veiller à la qualité des soins… » 
« …Aux côtés des représentants des autres professionnels de santé, l’Ordre veille à la qualité des soins et au respect des droits des patients. Il s’assure de l’indépendance professionnelle de tous ses membres dans leurs relations avec l’industrie pharmaceutique et biomédicale…. »

Les plaintes portent sur deux points principaux

  • La complicité d’assassinat
  • Complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.
     

FS : la complicité d’assassinat est une accusation forte, pouvez-vous expliciter les contours ?

JPJ : Dès le début de la pandémie, l’Ordre national des médecins a été informé en même temps que le ministère de la Santé du fait qu’il existait trois thérapeutiques mondialement utilisées et efficaces, ainsi que d’autres thérapeutiques moins connues, mais utilisées avec succès dans divers coins de France :

  • L’hydroxychloroquine,
  • La Vitamine C à haute dose et en perfusion (voir le protocole du Dr. MARICK aux U.S.A. : 100% de guérisons)
  • L’artemisia annua utilisée notamment à Madagascar (qui, fin mars 2021, indiquait avoir eu 355 décès depuis le début de l’épidémie pour une population d’environ 27 millions d’habitants).

Par la suite, l’on a appris que l’ivermectine, médicament utilisé depuis longtemps, et peu coûteux, donnait d’excellents résultats. En outre, dans de nombreux coins de France, des médecins avaient découvert des thérapeutiques qui fonctionnaient, puisque leurs patients guérissaient et ne n’avaient pas nécessité d’hospitalisation. Malgré de nombreux courriers, et même des recours au Conseil d’Etat, le ministère de la Santé a continué d’occulter toutes les thérapeutiques existantes.

Même si certains objectaient que ces thérapeutiques « n’étaient pas scientifiquement prouvées », pourquoi les interdire dans la mesure où elles n’avaient pas ou peu d’effets indésirables ? En attendant, ceux qui ont guéri, n’ont peut être pas guéri « scientifiquement », mais ils ont guéri…

En outre, M. le président de l’Ordre National des médecins, parallèlement, a interdit à tous les médecins de prescrire ces thérapeutiques, poursuivant même ceux qui contrevenaient à ces directives, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

  • soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane », (et d’attendre en fait que leur état ne s’aggrave)
  • soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

Or, la plupart des personnes décédées à l’hôpital, l’ont été entre le premier et le troisième jour de leur admission, ce qui montre qu’ils n’ont pas été traités, car ils ne pouvaient pas l’être pour les raisons précitées, alors que l’on a su très tôt que ces thérapeutiques devaient être utilisées dès les premiers symptômes.

Dès mars 2020, de nombreuses voix s’élevaient pour dénoncer le fait que la dissimulation et l’interdiction des traitements, masquaient une future « opération vaccinale ». Des milliers de médecins généralistes se plaignaient de ne pouvoir rien prescrire aux patients présentant les symptômes de cette maladie, et étaient contraints de leur dire de rester chez eux en attendant que leur état s’aggrave et qu’ils soient hospitalisés. C’est donc en connaissance de cause, en sachant que les personnes non soignées dès le début, seraient susceptibles d’avoir très vite un pronostic vital engagé, que le président du Conseil national de l’Ordre, a délibérément et volontairement, conduit des milliers de patients à la mort.

Il s’est donc rendu complice d’un assassinat collectif par fournitures d’instructions, de directives et de menaces. (art. 221-3 du Code Pénal). Lorsque l’on regarde quelqu’un se noyer sans rien faire, l’on est coupable d’omission de porter secours. Mais si l’on empêche les secours d’intervenir, l’on devient un meurtrier.

FS : pourquoi complice ?

JPJ : Les personnes qui, en connaissance de cause, ont donné des directives nationales aboutissant à interdire que l’on soigne les gens dès les premiers symptômes, se sont rendues coupables d’assassinat, puisque leur action était de toute évidence, préméditée. En relayant ces directives par des menaces de poursuites disciplinaires à l’encontre des médecins, le Président du Conseil national de l’Ordre, s’est rendu coupable de complicité d’assassinat.

FS : qui seront les plaignants ?

Il y aura trois séries de plaignants :

  • Les personnes dont un proche est décédé du Covid 19,
  • Les personnes qui ont survécu à une hospitalisation, consécutive à une absence de soins avant cette hospitalisation, et qui estiment avoir été victimes d’une tentative d’assassinat,
  • Les médecins dont plusieurs patients sont décédés, car ils n’ont pas eu le droit de les soigner à temps, et qui vont devoir affronter les reproches des familles, outre le fait qu’ils ont perdu des patients.

FS : sur la seconde cause, la complicité de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité, quelles explications et éclairages pouvez-vous amener ?

JPJ : Il est vrai que c’est plus compliqué. Cependant des milliers de médecins et spécialistes dénoncent l’inefficacité du port du masque, tel qu’il est utilisé par la population, et dénoncent les effets psychologiques et physiologiques désastreux chez les enfants qui, de toutes manières, sont très peu, voire par du tout, vecteurs de la contagion, mais que l’on culpabilise, leur laissant déduire que c’est est à eux de protéger les adultes…

De nombreux scientifiques dénoncent également les effets désastreux qu’aura le port du masque à long terme sur le cerveau humain, lui causant des problèmes irréversibles.

Des centaines d’enfants se plaignent de maux de tête, difficultés respiratoires, angoisses, eczéma, crises d’asthme, etc…

De nombreux articles de presse dénoncent la maltraitance que subissent les enfants.

Alors que le Décret du 29 Octobre 2020 instituant l’obligation du port du masque, prévoit une contre-indication médicale si la personne se trouve en situation de handicap, et alors que le fait de respirer incomplètement et continuellement constitue par définition un handicap, M. le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins, menace de poursuites disciplinaires les médecins qui délivreraient des certificats de contre-indication.

Or, les chefs d’établissement scolaires, en imposant le port d’un masque tant inefficace que toxique, se rendent coupables de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité.

En menaçant tout médecin qui délivrerait un certificat de contre-indication, M. le président du Conseil National de l’ordre des médecins, empêche de nombreux enfants de rester en bonne santé, et se fait donc le complice de l’infraction de mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 du Code Pénal)

Les parents seraient donc recevables et bien fondés à déposer plainte pour ces faits. On a vu cette situation jugée en Italie.

FS : Comment voyez-vous l’avenir ?

JPJ : La démocratie est une approche systémique, tenant compte de l’ensemble de la population, et non pas d’une minorité (personnes âgées ayant en plus d’autres pathologies). Or, une grande partie de la population correspond essentiellement à des porteurs sains (appelés curieusement « malades asymptomatiques ») ou des cas bénins.

Nous ne pouvons accepter qu’une minorité de Scientocrates dirigent, par la peur du virus, la majorité de la population, sous couvert d’être les soi-disant sauveurs de l’Humanité, alors qu’ils sont en échec face au cancer, au Sida, au paludisme, au diabète, etc… Tel ce « grand » diabétologue qui ne guérit pas le diabète, mais qui, sur une grande chaine de TV, face aux argument d’une généticienne expliquant pourquoi ces vaccins anti covid, ne sont pas des vaccins mais des injections d’OGM, et induiront des effets indésirables graves et très nombreux, se permet de vanter au contraire les bienfaits du vaccin en disant « Je m’en rapporte au ratio bénéfices/risques« , répétant ainsi une litanie livresque, puisque, par définition, on ne connait pas encore (et lui encore moins) les risques à long terme.

Le caractère dogmatique de ce genre de savants-ignorants expliquent la Thalidomide, le Distilbene, l’amiante, le sang contaminé, le Viox, le mediator, le Levothyrox, la Depakine, les statines, etc…

La science s’est aujourd’hui écartée du bon sens.

L’avenir dépend de nous tous : Si nous restons des moutons acceptant toutes ces incohérences et ces contradictions, nous n’avons pas remarqué que les premiers qui ont vacciné ont été les Anglais. Quelques jours plus tard est apparu le variant anglais…

Si nous restons des moutons dans la peur du virus, l’on peut imaginer le commentaire d’un journaliste de l’an 2035 :

« Nous craignons de plus en plus la 27ème vague… Il n’existe toujours pas de traitement. ..Un 43ème confinement est inévitable. Les Français se sont trop relâchés, nos trois hôpitaux sont à saturation : 2 des 3 lits de réanimation sont occupés. Surtout restez prudents et faites bien votre 56ème rappel de vaccin… » Extrait du livre de Jean-Pierre JOSEPH auteur de « Vaccins, on nous aurait menti ? » (Testez éd.)

FS : Comment font les victimes (médecin ou particulier) pour rejoindre la démarche de votre groupe d’avocats ?

JPJ : les plaintes et démarches ont été mise à disposition sur le site de l’association BonSens.org dont je salue l’approche. Il est important que les victimes puissent se fédérer et surtout parler entres-elles de la situation.

Les victimes peuvent donc retrouver les plaintes à l’adresse suivante : bonsens.info/plaintes-collectives .

Les victimes peuvent choisir la plainte qui leur convient, un petit formulaire à remplir est mis à disposition ainsi que la plainte. La simplicité et la clarté de la communication sont clés afin que le plus grand nombre puisse avoir accès.


[Voir aussi la section Avocats dans le menu du site :




COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




Rendez-nous nos piscines : elles tuent le virus du Covid-19 ! Mise à jour

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)]

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50 m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet. [1]

« Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée. Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule ! (…)

 Il apparut que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades, ne contaminaient ni enfants ni adultes. »

Néanmoins des mesures coercitives furent prises bloquant la vie normale des Français dont bon nombre supportèrent très mal les privations de liberté, les sportifs en particulier. Tout ferma contre toute logique, car sans étude spécifique, il semblait bien que la pratique de la natation dans un milieu très javellisé ne devait pas être un sport à risques. Mais la politique eut le dessus d’une logique quelque peu sanitaire.

La sortie du tunnel ? La lumière à l’horizon comme dit l’avocat Reiner Fuellmich

L’Imperial college nous a fait plonger dans une catastrophe internationale via les prévisions fallacieuses de ses simulateurs et leur chef Neil Ferguson [2]. Vont-ils nous en sortir en nous faisant replonger dans nos piscines avec délectation ?

Nous avions alerté il y a quelques semaines sur le désarroi des nageurs, jeunes et vieux privés de leur milieu devenu naturel et partie intégrante de leur vie et de leur bien-être. [3] Actuellement, à l’occasion de la réouverture des piscines en Grande-Bretagne, une équipe de virologues de Londres de l’Imperial College publie son étude sur la survie du coronavirus SARS-2 dans l’eau de piscine et conclue à la destruction quasi complète du virus en piscine.

L’eau de la piscine inactive le virus du Covid-19 en 30 secondes dans les bonnes conditions, selon une nouvelle étude [4].

Les résultats suggèrent que le risque de transmission de Covid-19 dans l’eau de la piscine est « incroyablement faible » selon l’expression des chercheurs anglais. Les études ont été réalisées en collaboration entre Swim England et l’entreprise de natation pour bébés Water Babies et la Royal Life Saving Society UK (RLSS UK).

L’étude sur l’eau des piscines a été entreprise par le virologue et expert en virus respiratoires de premier plan, le professeur Wendy Barclay, en collaboration avec le Dr Jonathan Brown, associé de recherche, et Maya Moshe, technicienne de recherche à l’Imperial College de Londres, et le projet géré par Alex Blackwell, responsable des piscines et des installations de Water Babies.

Le professeur Barclay a examiné les effets de l’eau de piscine sur le virus responsable du Covid-19, SRAS-CoV-2, pour évaluer la quantité de temps et de contact nécessaires pour inactiver le virus à différents niveaux de chlore et de pH.

« Le virus ne survit pas »

La recherche a établi que 1,5 mg par litre de chlore libre avec un pH entre 7-7,2 réduit l’infectiosité du virus de plus de 1 000 fois en 30 secondes.

Des tests supplémentaires effectués sur différentes gammes de chlore et de pH ont confirmé que le chlore dans l’eau de la piscine était plus efficace avec un pH inférieur – ce qui est conforme aux directives actuelles pour le fonctionnement de la piscine.

Déclarations du virologue en charge de l’expérience

Le professeur Wendy Barclay a déclaré :

« Nous avons effectué ces expériences dans nos laboratoires de confinement élevé à Londres.  « Dans ces conditions de sécurité, nous sommes en mesure de mesurer la capacité du virus à infecter les cellules, ce qui est la première étape de sa transmission.

« En mélangeant le virus avec l’eau de la piscine livrée par l’équipe des Water Babies, nous avons pu montrer que le virus ne survit pas dans l’eau de la piscine : il n’était plus infectieux. « Cela couplé avec l’énorme facteur de dilution du virus qui pourrait trouver son chemin dans une piscine d’une personne infectée suggère la possibilité de contracter Covid-19 de l’eau de la piscine est négligeable ».

Les piscines sont des milieux dénués de danger pour la contamination du virus. Raison de plus pour que le gouvernement autorise la reprise de la natation en milieu ouvert et fermé, sans risque sanitaire. Les sportifs licenciés amoureux de l’eau ont été particulièrement frustrés depuis un an. Il est impératif qu’ils puissent reprendre leur entraînement le plus rapidement possible afin de retrouver leur forme physique mais aussi morale.

Pour tous, la possibilité de reprendre une activité sportive est capitale. Comme d’autres, nous avons insisté sur la terrible détérioration de l’état mental de l’ensemble du peuple, mais singulièrement des jeunes et enfants. Il est capital qu’ils retrouvent des activités sportives leur permettant de plus de reprendre une vie sociale avec des camarades de classe, des coachs.

IRONIE DU SORT ? Sauvés par l’Imperial college ?

Par ironie du sort, l’Imperial college fut un des instruments de la catastrophe covid via les mesures de confinement qu’il conseilla. La sortie de la folie collective de mesures liberticides inappropriées viendra-t-elle de la même Université ?

ROUVRONS LES PISCINES SANS ATTENDRE

AUCUNE RAISON SANITAIRE NE JUSTIFIE UNE SEULE SECONDE LA POURSUITE DE LEUR FERMETURE

Nicole Delépine


[1] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- la en tsunami ! – “La politique est une poubelle qu’il faudrait vider plus souvent”© (observatoiredumensonge.com)

[2] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[3] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- là en tsunami ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] Swimming pool water inactivates Covid-19 virus in 30 seconds


Mise à jour — Complément

  Le risque de noyade chez les enfants est-il à craindre ? (aufeminin.com)   « Covid-19 : avec la fermeture des piscines, un risque d’explosion des noyades chez les enfants est-il à craindre ?

par Suruthi SRIKUMAR créé le 9 mars 2021

« La pandémie de coronavirus a bouleversé les activités scolaires et extra-scolaires des enfants, les empêchant, par exemple, d’apprendre à nager à la piscine. Une conséquence désastreuse pour les professionnels qui craignent une hausse des noyades cet été.


Au total, 800 000 élèves n’ont pas pu suivre leur cycle de natation à cause des piscines fermées ou partiellement fermées. Pourtant pour de nombreux élèves, notamment ceux issus de milieux populaires, l’école était le seul endroit où ils apprenaient à nager. En effet, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur deux n’a pas son attestation scolaire savoir nager (ASSN).

Mais depuis un an, cet apprentissage a été perturbé, voire totalement interrompu à cause du covid-19.
Une fermeture qui n’est pas sans conséquence. “C’est un an de perdu, qu’on pourra difficilement rattraper”, s’inquiètent des professeurs d’EPS au Parisien. (Fermeture des piscines : le virus a-t-il créé une génération de non-nageurs ? – Le Parisien)

En effet, à l’approche des vacances d’été, le fléau estival des noyades inquiète. Chaque année, 1000 personnes se noient, un chiffre qui ne cesse d’augmenter depuis six ans. Axel Lamotte, maître-nageur en Seine-Saint-Denis et secrétaire général adjoint du Syndicat national professionnel des maîtres-nageurs sauveteurs indiquent : “Les enfants n’ayant pas accès de façon normale à l’éveil aquatique et à l’apprentissage de la natation depuis un an, nous sommes inquiets du nombre de noyades qui pourrait grandir en 2021”, explique-t-il au Parisien. “Quand les cohortes d’élèves 2020/2021 vont débarquer sur les plages ou les bases de loisirs, cela va être catastrophique !”, s’alarme-t-il.

Selon une étude de Santé publique France, il existe une hausse de 96 % des décès par noyade chez les enfants de moins de 6 ans, et de 132 % dans les piscines privées familiales. »




L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Barbier révèle enfin le complot Covid !

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre « Les Tyrannies de l’épidémie » (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Dans l’article d’hier intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale« , ma consoeur Brigitte Bouzonnie comparait la situation sociale à une « cocotte minute qui bouillonnne ras la marmite. »

Et au risque de me tromper, je dirais que nous sommes plutôt proches d’une insurrection car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites et violemment réprimées. Depuis 2 ans les défilés chantants n’ont produit que des blessés, des éborgnés, des mutilés. Pour rien !

Ce Pouvoir mafieux a réduit nos libertés au strict minimum, nous a conditionnés et manipulés avec une pandémie qu’il fait durer plutôt que de la traiter, privilégie la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tente de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du Covid comme absurde et infondée, ne tient même pas compte des mises en garde de l’ONU, fait le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme,  continue à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.

Alors on trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de Français serait favorable au confinement, au couvre feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est sans doute le plus impopulaire que nous ayons eu depuis longtemps.

Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un Président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6% des votes exprimés. Les chiffres en disent plus que les mots.

Qui peut croire que Macron dit la vérité ? Qui peut encore avaler la propagande mensongère des médias quand on sait qu’ils appartiennent tous à ceux qui ont financé sa campagne et l’ont mis au pouvoir ?

Des médias jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous sommes gavés de désinformation, gavés de mensonges, gavés de manipulations jusqu’à l’indécence. Et le résultat c’est que l’opinion publique est au bord de l’explosion, ce qui démontre que personne ne croit plus ni à la sincérité des médias et encore moins à l’honnêteté des politiques. Si les Français se plient aux mesures liberticides de ce gouvernement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême que Macron exige.

Quelle est la réalité ? Dans un sondage paru en 2020 depuis disparu des radars de Google, la presse s’était faite écho d’un sondage qui a provoqué une onde de choc à l’Elysée : 91% des Français ne font plus confiance à ce gouvernement ! Macron a résolu le problème en faisant appel à un autre institut de sondage où le fils de son épouse Brigitte Trogneux est aux commandes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… mais les Français ne sont pas dupes… Ce président sait parfaitement que sans la police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…

La vaccination est selon les propres aveux de la chaîne d’infos italienne RAI News, un échec total en France comme en Italie. Les gens ne sont pas stupides, ils s’informent sur les médias indépendants sur Internet et découvrent les conséquences tragiques de cette vaccination chez ceux qui étaient fiers d’être les « champions » : Israël, Royaume Uni, Chili. Le nombre de morts que l’on tente de minimiser et de faire passer en dégâts collatéraux, en pertes et profits, est infiniment supérieur aux morts que l’on attribue au virus lui-même puisque la moyenne est de 13 à 15% de décès et complications graves pour la vaccination contre 0,03% pour le Covid ! Ca fait une sacrée différence !

Et puis chaque jour qui passe apporte son lot de révélations. Bien sûr il y a le Grand Reset mais aussi la corruption habituelle mais révélée des instances européennes, des chantres de la vaccination liés aux labos, les témoignages bidonnés de médecins vendus, les faux chiffres des hospitalisés, les reportages truqués où on utilise des figurants jouant les malades du Covid pour les besoins de la propagande. Avec ce gouvernement, on assiste au pire !

Et même ce pauvre Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre Les Tyrannies de l’épidémie (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Merci de cet aveu qui confirme tout ce que les complotistes s’échinent à dire depuis un an ! Nous méritons respect et reconnaissance.

Cette psychose collective a donc été organisée aussi pour mettre un terme aux Gilets Jaunes et éviter l’explosion sociale. Le Covid a servi d’alibi à ce pouvoir assassin pour mettre en oeuvre les mesures liberticides les plus abjectes qu’un gouvernement pouvait décréter. L’urgence sanitaire a servi d’excuse au pire crime contre l’humanité car nos anciens ont été euthanasiés et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs êtres chers, accusés d’être contaminés et dangereux.

C’est proprement dégueulasse ! Il n’y a pas de mots pour décrire le dégoût qu’inspire ce pouvoir criminel ! Il n’y a pas de mots pour décrire la rage que nous éprouvons tous.

Chaque jour nous apprenons que des plaintes sont déposées par des avocats pour homicide volontaire donc pour crime, pour assassinat ! Le nombre de victimes de cette campagne de vaccination menée à marche forcée est hallucinant et Macron ne pourra pas le dissimuler indéfiniment car il est le principal responsable, le vrai coupable de cette boucherie de masse.

Cela fait un an que je m’évertue à dire et à écrire que le virus est une arme biologique fabriquée en laboratoire et génétiquement modifiée donc l’opération Covid est criminelle, elle masque d’autres objectifs, elle est utilisée pour nous faire peur et nous réduire au silence ! Cela fait un an que je tente à ma modeste échelle d’avertir l’opinion publique, preuves à l’appui, avec tant d’autres journalistes indépendants et lanceurs d’alerte. Cela fait un an que je diffuse les messages d’alerte des esprits éveillés, des scientifiques, des virologues, de grands avocats comme Robert F. KennedyReiner FuellmichCarlo BrusaVirginie de Araujo-Recchia, Rocco Galati, Dominic Desjarlais, Fabrice Di Vizio.

[Ndlr : voir aussi sur Nouveau Monde, le dossier Avocats dans le menu en haut du site.]

Je ne sais plus comment faire pour que tous ensemble nous réagissions enfin et mettions un terme à ce cauchemar.
Je suis à bout de forces, j’ai fait ma part, j’ai pris tous les risques que l’on peut prendre en tant qu’être humain pour tenter d’informer du mieux que j’ai pu mes frères humains. A part des ennuis, je n’ai rien à gagner car personne ne me paye pour écrire ce que je publie. Je le fais car ne pas dire la vérité quand on la connait, serait un acte lâche.

J’ai au fond de moi la conviction que le futur de mes enfants sera atroce si je ne fais rien. C’est surtout pour eux et pour tous les enfants de France que je manifeste ma colère, mes indignations et que je suis prêt à mourir sur les barricades s’il le faut.

Si nous sommes des parents dignes de ce nom, si nous sommes des êtres humains dignes de notre humanité, si nous sommes un peuple attaché à la liberté et à la dignité, nous avons l’impérieux devoir de nous mobiliser, de nous unir et d’agir pour que ce pouvoir criminel soit stoppé et jugé dans un Nuremberg II !

Selon Macron « la vaccination est une priorité nationale »…

Les sondages sont catastrophiques ? Qu’à cela ne tienne, Macron a la solution

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Amazon.fr – Les tyrannies de l’épidémie – Barbier, Christophe – Livres




La bataille judiciaire bat son plein : référé contre les confinements et couvre-feux

Par Nicole Delépine

De multiples plaintes et procédures émanent de différents cabinets d’avocats, contre les masques, les contraventions abusives, les vaccins thérapies géniques, etc..(([1] En vert les quelques commentaires du rapporteur du texte pour les citoyens.))

Nous vous présentons aujourd’hui le très fouillé document de Maître Araujo fourni à la justice. Nous la remercions de ce lourd travail.


ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DEVANT LE PRÉSIDENT DU TRIBUNAL JUDICIAIRE DE PARIS

Le 8 mars 2021 présentée par Maître De Araujo, avocat au barreau de Paris

à la demande de l’association Action 21 France, l’association Wikijustice Julian Assange, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations et 1360 demandeurs personnes physiques – anonymat – assignation à laquelle nous nous sommes joints.(([2] l’association Action 21 France pour objet la défense de la liberté individuelle l’association wikijustice Julian Assange, pour objet la défense des droits de l’homme, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations pour objet le libre choix pour le médecin d’appliquer les méthodes préventives et curatives qu’il entend adopter et, avec l’accord du patient, le droit de les appliquer dans l’exercice de sa profession.))

J’AI, huissier soussigné, DONNÉ ASSIGNATION À : Ministère des Solidarités et de la Santé, représenté par le ministre, le Cabinet du Premier ministre, représenté par le Premier ministre, l’Agent judiciaire de l’État, domicilié au Ministère de l’Économie et des Finances.

À COMPARAÎTRE LE : … Devant le président du tribunal judiciaire de PARIS, tenant l’audience des référés, au palais de justice de PARIS

OBJET DE LA DEMANDE : RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE : quelques extraits libres en tant que plaignante, ci- dessous la totalité de la procédure, références et annexes dans le document intégral :

https://drive.google.com/drive/folders/1Rit6Wh6GYBUHtLPvuGg0F5JSv3bqJwAQ?usp=sharing

extraits libres :

« Malgré toute l’énergie déployée afin de mener à bien leurs projets personnels et professionnels, les demandeurs ont vu leur vie basculer radicalement à la suite des mesures dites de « confinement » et de « couvre-feu », prises au niveau national.

La liberté individuelle de chacun d’eux s’est vue entravée de manière drastique, ce qui a engendré de graves conséquences, tant au niveau de leurs liens sociaux, familiaux et professionnels qu’au niveau de leur santé psychologique et morale. »

Le 16 mars 2020, à la suite d’une coordination européenne le 17 mars 2020, le Premier ministre a présenté au Conseil d’État un projet de loi organique d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19.

 La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence a  été adoptée dans le cadre d’une procédure accélérée.

En l’espace de quatre jours, les citoyens ont vu leurs libertés réduites à néant du fait l’adoption de deux nouveaux articles.

« Ce ne sont certainement pas les conditions dans lesquelles nous légiférons aujourd’hui, sur le fondement d’un texte connu seulement dans la soirée d’hier, qui permettront d’élaborer un dispositif d’exception pérenne et proportionné. » (([3] relève M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales, rapporteur, au Sénat, en séance du 19 mars 2020 ))

Aux termes du nouvel article L. 3131-12 du code de la santé publique (CSP) : « l’état d’urgence sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution et de la Nouvelle-Calédonie en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population« .

Note de ND : ces mesures ont été particulièrement étonnantes sans rapport avec la réalité de l’épidémie, car le nombre de malades de ce début mars n’était guère supérieur aux épidémies de grippe habituelles, saturant l’hôpital public éventuellement comme chaque année depuis dix ans et les fermetures de lits accumulées. Les soignants manifestaient quelques semaines plutôt pour dénoncer leurs difficultés de travail et s’étaient d’ailleurs fait largement tabasser.

« Les mesures prescrites en application du présent article sont strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. ».

On verra dans les semaines et mois suivants la supercherie de ces affirmations.
La répression s’annonce forte (([4] Aux termes de l’article L3136-1 du Code de santé publique (modifié par Décret n°2021-172 du 17 février 2021 – art. 1) )) :

Le fait de ne pas respecter les réquisitions prévues est puni de six mois d’emprisonnement et de 10 000 € d’amende. La violation des autres interdictions ou obligations est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

Si les violations prévues sont verbalisées à plus de trois reprises dans un délai de trente jours, les faits sont punis de six mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende ainsi que de la peine complémentaire de travail d’intérêt général, et de la peine complémentaire de suspension, pour une durée de trois ans au plus, du permis de conduire lorsque l’infraction a été commise à l’aide d’un véhicule. (…).

Par dérogation aux dispositions de l’article L. 3131-13 du CSP, l’état d’urgence sanitaire a donc été déclaré pour une durée de deux mois à compter de l’entrée en vigueur de la loi du 23 mars 2020. À aucun moment les parlementaires n’ont été mis à même d’évaluer l’utilité, la proportionnalité et le caractère approprié des mesures d’interdiction de sortie du domicile.

MESURES D’INTERDICTION DE SORTIE DE DOMICILE DITES DE « CONFINEMENT » ET DE COUVRE-FEU

Le « confinement national » est une mesure d’interdiction de sortie du domicile concernant l’ensemble de la population.

Le Premier ministre le reconnaît devant le Sénat le 19 mars 2020 :

« Ces mesures sont massives, draconiennes ; jamais notre pays n’avait connu des mesures de restriction aussi générales et rigoureusessur l’ensemble de son territoire. » 

Au moment de la mise en place du premier « confinement », la loi ne prévoyait pas la possibilité de mettre en place une telle mesure d’interdiction de sortie des citoyens et cela n’avait d’ailleurs jamais existé de toute notre histoire.

[sauf lors de l’occupation par les nazis].

En effet, l’article L3131-1 du CSP alors en vigueur disposait que :

« En cas de menace sanitaire grave appelant des mesures d’urgence, notamment en cas de menace d’épidémie, le ministre chargé de la santé peut, par arrêté motivé, prescrire dans l’intérêt de la santé publique toute mesure proportionnée aux risques courus et appropriée aux circonstances de temps et de lieu afin de prévenir et de limiter les conséquences des menaces possibles sur la santé de la population. »

Or, par un décret n°2020-260 du 16 mars 2020, le Premier ministre décrète:

« Afin de prévenir la propagation du virus covid-19, est interdit jusqu’au 31 mars 2020 le déplacement de toute personne hors de son domicile à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, dans le respect des mesures générales de prévention de la propagation du virus et en évitant tout regroupement de personnes »

Et vous avez tous connu la suite du second confinement!

Par un décret (([5] n° 2020-1310)) du 29 octobre 2020il a de nouveau été décidé que : (([6] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143)) Tout déplacement de personne hors de son lieu de résidence est interdit à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, en évitant tout regroupement de personnes

La seconde période de confinement a été étendue jusqu’au 14 décembre 2020

Note ND : Et le 17 mars 2021, le gouvernement a à nouveau reconduit des mesures de confinement se rajoutant au couvre-feu imposé depuis décembre 2021 conformément aux injonctions sous forme de prévisions de Ferguson conseiller modalisateur de l’OMS et de la Grande- Bretagne.

Néanmoins ce nouveau confinement est hybride devant la colère des peuples montante partout dans le monde.

Par temps de paix, les demandeurs ont donc subi des mesures de confinement attentatoires à leur liberté individuelle :

du 17 mars 2020 au 11 mai 2020 (soit 1mois et 25jours), et

du 30 octobre 2020 au 14 décembre 2020 (soit 1mois et 17jours).

(note ND et Une troisième fois depuis cette date, couvre-feu puis confinement).

Par temps de paix, des mesures dites de « couvre-feu » ont été mises en place.
Le total cumulé des périodes confinement/couvre-feu correspond : période de plus de six mois étalés depuis le début de la crise.

Tout citoyen contrevenant à l’une des mesures dites « de confinement » ou de « couvre-feu » est passible d’une amende d’un montant de 135 euros en cas d’infraction, d’une amende de 1 500 euros en cas de récidive puis d’une peine d’emprisonnement, cette fois en milieu carcéral.

JUSTIFICATIONS INVOQUÉES À CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Ces décrets seraient justifiés par les résultats des campagnes massives de dépistage du virus grâce à l’utilisation de tests RT-PCR non fiables, pourtant validés par des arrêtés signés par le ministre de la Santé (Annexe 1).

Ces mesures d’une extrême gravité et manifestement illégales, ont porté atteinte, et continuent de porter atteinte à la liberté individuelle des demandeurs, lesquels n’ont pourtant jamais représenté de danger (même sanitaire) pour la sécurité ou l’ordre public, ni menacé de commettre une infraction prévue par le Code pénal.

C’est pourquoi, dans cette situation d’extrême urgence, les demandeurs ont assigné les défendeurs en référé, aux fins de voir cesser la violation de leur liberté individuelle et aux fins de voir réparer leur préjudice moral découlant de cette violation.

EXPOSÉ DES MOYENS EN FAIT ET EN DROIT sur les demandes en référé

Les justifications citées par l’avocate reposent sur

la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen conquise en 1789 :
les actes du pouvoir exécutif ne peuvent être respectés par le peuple que si ces actes respectent eux-mêmes les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme.(([7] « Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »))

Sur l’obligation de sagesse, de justice et de raison des lois :

« Les lois ne sont pas de purs actes de puissance ; ce sont des actes de sagesse, de justice et de raison. Le législateur exerce moins une autorité qu’un sacerdoce.
Il ne doit point perdre de vue que les lois sont faites pour les hommes, et non les hommes pour les lois ».(([8] Extrait du discours préliminaire sur le projet de Code civil de Jean-Etienne-Marie PORTALIS, présenté le 1er pluviôse an IX).))

Sur lobligation dune justice indépendante afin datteindre ou de conserver le statut d’« État de Droit »

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution »
Lorsque les droits de l’Homme sont bafoués, seule une justice indépendante fait alors office de rempart.

Depuis l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2001, de la loi du 30 juin 2000, la justice administrative s’est progressivement arrogé le pouvoir de juger de l’ensemble des atteintes aux droits fondamentaux.

Or, dans le cadre de la crise de Covid-19, constitue -t-elle véritablement une justice indépendante ?

Notre réponse à cette question sera la même que celle formulée par Anselme BATBIE

« Nous ne considérons pas comme une garantie vaine celle qui résulte de l’examen par le Conseil d’État. Mais il est difficile d’admettre que chez nous, après tout ce qui a été dit pour demander que nul ne soit distrait de ses juges naturels, nous en soyons arrivés à placer les droits les plus essentiels sous la protection d’un corps semi-politique et composé de membres révocables, qu’après avoir tant de fois entendu demander que le contentieux administratif fût restreint ou même supprimé, on mette sous la protection de cette justice tant attaquée autrefois les droits essentiels de l’homme vivant en société ».(([9] A. BATBIE, Traité théorique et pratique de droit public et administratif, 2e éd., 1885-1886, t. VII, p. 409 et s., cité par E. DESGRANGES, préc., p. 154, sénateur et auditeur au Conseil d’État en 1847))

Aujourd’hui en France, l’autorité judiciaire indépendante est la seule Gardienne Naturelle de nos Libertés et Droits fondamentaux. 

Les évènements récents exigent plus que jamais l’intervention du Juge Judiciaire indépendant afin que les atteintes aux libertés et le mépris des Droits de l’Homme dont fait preuve le pouvoir exécutif cessent immédiatement et soient sanctionnés.

L’existence d’une voie de fait emporte immédiatement compétence du juge judiciaire.(([10] (T. confl., 30 octobre 1947 : Rec. CE, p.511; JCP G 1947, II, 3966, note Fréjaville ; RD publ. 1948, p.86, note Waline; D. 1947, p.476, note P.L.J.).))

La seule constatation d’une voie de fait ouvre droit à réparation soit contre l’Administration soit contre le bénéficiaire de la voie de fait.

Depuis l’arrêt du Tribunal des conflits en date du 17 juin, il y a voie de fait de la part de l’administration dans la mesure où l’administration :

  • soit a procédé à l’exécution forcée, dans des conditions irrégulières, d’une décision, même régulière, portant atteinte à la liberté individuelle
  • soit a pris une décision qui a les mêmes effets d’atteinte à la liberté individuelle ou d’extinction d’un droit de propriété et qui est manifestement insusceptible d’être rattachée à un pouvoir appartenant à l’autorité administrative.

Le Conseil Constitutionnel a eu maintes fois l’occasion de le rappeler, toute mesure de procédure de nature à porter atteinte à la liberté individuelle doit être placée sous le contrôle de l’autorité judiciaire.

En cas de voie de fait, le juge judiciaire peut non seulement constater l’atteinte à la liberté individuelle commise par l’administration et en réparer les conséquences dommageables, mais aussi la faire cesser.

En l’espèce, le Premier ministre et le ministre de la Santé ont commis plusieurs voies de fait en prenant des actes manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir leur appartenant, portant ainsi atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

Il y a VOIE DE FAIT LORSQUE DES DÉCISIONS SONT MANIFESTEMENT INSUSCEPTIBLES D’ÊTRE RATTACHÉES À UN POUVOIR APPARTENANT À L’AUTORITÉ ADMINISTRATIVE

Par principe seule l’autorité judiciaire peut prendre des mesures limitatives ou privatives de liberté. L’Habeas Corpus à la française figure à l’article 66 de la Constitution du 4 octobre 1958.

L’Habeas corpusénonce la liberté fondamentale, selon laquelle personne ne peut être emprisonné sans jugement, contraire de l’arbitraire qui permet d’arrêter n’importe qui sans raison valable. Ildispose que :

« Nul ne peut être arbitrairement détenu. L’autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi. »

FONDEMENTS JURIDIQUES

L’article 7 contient la formule suivante :

« Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ».

-L’article 9 :

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».  

La Déclaration (([12] du 10 décembre 1948)) pose les principes :

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »

« Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales (cf texte in extenso joint)

Toute personne victime d’une arrestation ou d’une détention dans des conditions contraires aux dispositions de cet article a droit à réparation. »

L’article 9 :

« Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu, ni exilé. »

  • le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (ONU, 16 décembre 1966) dispose :Tout individu victime d’arrestation ou de détention illégale a droit à réparation. »

BLOC CONSTITUTIONNEL NORME SUPRÊME ET HIÉRARCHIE DES NORMES

La hiérarchie des normes applicable en France place le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel au-dessus du bloc législatif et du bloc réglementaire, le bloc constitutionnel étant la norme suprême.

Par conséquent, les normes rappelées ci-dessus sont de valeur supérieure à la loi récente n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence et aux articles L. 3131-12 et L. 3131-15 du CSP issus de cette loi et aux suivantes.

La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 (([13] https://www.senat.fr/seances/s202003/s20200319/s20200319_mono.html#Niv1_SOM6)) prétendait s’inspirer de la loi du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence, elle s’en écarte largement. Ainsi le Parlement se voit empêché d’exercer un quelconque contrôle sur cette action, au mépris de l’article 24 de la Constitution du 4 octobre 1958 et le juge judiciaire est écarté en violation de l’article 66 de la Constitution.

En ce sens, la loi du 3 avril 1955 est beaucoup plus protectrice des droits des personnes.

Ce contrôle n’est pas prévu par la loi d’état d’urgence sanitaire.

Nous affirmons que le traitement des citoyens sous le régime de l’état d’urgence sanitaire est contraire à l’Habeas Corpus et aucun argument ne pourra venir contredire cette vérité.

En conclusion : Jusqu’à présent les régimes dérogatoires, limitatifs ou privatifs de la liberté individuelle, ont toujours prévu l’intervention du juge judiciaire, que ce soit dans le but de lutter contre le terrorisme ou que ce soit dans le domaine de la santé, conformément à notre État de Droit.

Ceci contrairement à l’article L3131-15 du CSP qui permettrait au Premier ministre et au ministre de la Santé d’interdire aux citoyens de sortir de leur domicile (il s’agit bien d’une mesure limitative ou privative de liberté), sans que cet article ne prévoie un contrôle, même a posteriori, de cette mesure par le juge judiciaire.

De même l’article L3136-1 du CSP nouvellement rédigé, prévoie des peines d’amende et d’emprisonnement conséquentes et de fait incontestables devant le juge judiciaire et apporte la précision suivante :

« L’application de sanctions pénales ne fait pas obstacle à l’exécution d’office, par l’autorité administrative, des mesures prescrites en application des articles L. 3131-1 et L. 3131-15 à L. 3131-17 du présent code. »

En effet, en dehors de la procédure d’urgence en référé-liberté et le recours pour excès de pouvoir devant le juge administratif, aucune voie de droit devant le juge judiciaire n’est prévue par ce dispositif aux fins de contestation des mesures d’interdiction de sortie de domicile.

CARACTÈRE INCONSTITUTIONNEL DE CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Le Premier ministre et le ministre de la Santé ne pouvaient disposer d’un tel pouvoir d’interdiction de sortie du domicile à l’encontre des citoyens, sans qu’aucun contrôle du juge judiciaire ne soit prévu par l’article L. 3131-15 du code de la santé publique, lequel revêt de ce seul fait un caractère inconstitutionnel et entre en contradiction avec les conventions signées par la France.

Les décisions de confinement et de couvre-feu sont manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir de l’administration.

« Un tel dispositif devrait être supprimé purement et simplement du code de santé publique, car il entre en contradiction avec toutes les règles et les valeurs les plus fondamentales de notre démocratie. » Ce dispositif est une voie de fait en lui-même, oserais-je, dire un coup d’État à lui seul. 

Heureusement le bloc constitutionnel et les conventions signées par la France sont là pour rappeler qu’un tel dispositif ne saurait exister et perdurer en France, pays des droits de l’homme.

Si par extraordinaire, vous jugiez néanmoins que l’administration avait le pouvoir de prendre de telles décisions, manifestement et gravement attentatoires à la liberté individuelle des citoyens, nous démontrerons par ailleurs que l’administration a procédé à l’exécution forcée de ces décisions dans des conditions irrégulières.

VOIE DE FAIT LORSQUE L’ADMINISTRATION A PROCÉDÉ À L’EXÉCUTION FORCÉE, DANS DES CONDITIONS IRRÉGULIÈRES, D’UNE DÉCISION ADMINISTRATIVE MÊME RÉGULIÈRE

Les événements dans lesquels l’état d’urgence est justifié doivent non seulement être graves, mais aussi imprévisibles et intempestifs.

Or, on ne peut plus considérer aujourd’hui que l’épidémie de Covid-19 est un événement imprévisible et intempestif un an après le début de ladite épidémie. La Cour constitutionnelle de l’Équateur a annulé l’état d’urgence déclaré par le président de ce pays le 10 décembre 2020 en relevant justement que l’épidémie de Covid-19 n’était plus un événement imprévisible et intempestif.(([14] réunie en session plénière, dans une décision n°1217 en date du 27 décembre 2020, ►http://esacc.corteconstitucional.gob.ec/storage/api/v1/10_DWL_FL/e2NhcnBldGE6J3RyYW1pdGUnLCB1dWlkOicyYzM2ZDg1NC1iZDFjLTRkMWQtYjBkZS0xZGJjYWNmYjc3ZTcucGRmJ30=
https://q4kspolmx3an7phvn4omlnkwau–www-elcomercio-com.translate.goog/actualidad/corte-constitucional-decreto-excepcion.html))

La situation « gravissime » utilisée par le pouvoir depuis un an est une mascarade (ND)

En France, les mesures de confinement et de couvre-feu ont été prises afin de juguler le risque sanitaire, dit d’une particulière gravité par le gouvernement engendré par l’épidémie de Covid-19.

Or on évalue le degré de gravité d’une épidémie par le taux de mortalité, en ce qui concerne le Covid-19 très faible: 0,03 à 0,05%.Le taux de létalité est de 0,12 à 0,14% sans soins avec 2,6 comorbidités en moyenne et un âge médian de 83 ans.

« La COVID-19 a un taux de létalité réel similaire à celui de la grippe saisonnière » Pr John Ioannidis, 17 avril 2020).

Il n’y a donc aucune justification concernant ces mesures non seulement disproportionnées, mais aussi non scientifiques.Ces mesures attentatoires à la liberté individuelle ont été exécutées de manière forcée dans des conditions irrégulières.

LA MESURE D’INTERDICTION AUX PERSONNES DE SORTIR DE LEUR DOMICILE AURAIT DÛ ÊTRE JUSTIFIÉE :

Absence de publication du rapport du ministre et prise en compte aveugle des données OMS

Le ministre n’a pas su prendre en compte les observations rendues publiques à la suite de la « pandémie » H1N1 de 2009 ni s’interroger quant à la réalité de l’urgence sanitaire et sur le recul qu’il est nécessaire d’observer face aux recommandations de l’OMS.

Pourtant, des experts indépendants (sans lien d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques) ont contesté à de nombreuses reprises les communications alarmantes de l’OMS. Des protocoles particuliers, dont le plan national de prévention et de lutte contre les pandémies, existent en France depuis 2004.(([15] Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul FLYNN en date du 7 juin 2010))

Il ressort clairement de ce rapport qu’aucun État membre à ce jour ne peut se fonder uniquement sur les recommandations de l’OMS pour déclarer l’État d’urgence sanitaire au niveau national, car la gouvernance de l’OMS ne présente à ce jour aucune assurance quant à ses réels objectifs, organisme majoritairement financé par des fonds privés provenant de sociétés ou fondations détenant des laboratoires pharmaceutiques. Information désormais de notoriété publique.

Le rapport de la Cour des comptes septembre 2010, intitulé « l’utilisation des fonds mobilisés pour la lutte contre la pandémie grippale A(H1N1)(([16] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-270-annexe.pdf)) rappelle :

« Le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie grippale est le document stratégique réunissant sous une forme synthétique le fruit opérationnel des réflexions menées de façon interministérielle depuis 2004 et la première alerte pandémique mondiale. Il a pour vocation dorganiser la réponse des autorités en cas de pandémie grippale.

le plan « pandémie grippale » de l’OMS et le ministère de la Santé disposent par ailleurs de très nombreux conseils, comités et commissions quil peut consulter et saisir dans le cadre de leurs compétences.Or, durant la crise du Covid-19, ces experts et Comités n’ont pas été consultés à titre principal, un nouveau Conseil scientifique a été mis en place et le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie semble avoir été écarté.

Le ministère sait donc pertinemment qu’une immunité croisée peut réduire le taux de létalité d’un virus, que le système hospitalier doit être en capacité d’offrir des soins de qualité, et que les traitements précoces ont un impact décisif.

Dans ce rapport, il n’est absolument pas question de mesure d’interdiction de sortie du domicile. Cette mesure n’est d’ailleurs jamais mentionnée et les plans d’urgence n’ont jamais prévu de telles mesures liberticides aux fins d’enrayer une épidémie.

  • Les citoyens n’ont pas accès à la documentation du Conseil scientifique

Par un avis n°20204259 du 10 décembre 2020, la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) reconnaît qu’il n’existe aucun enregistrement ou compte rendu des séances du Comité scientifique Covid-19 qui propose au gouvernement les mesures liées à la crise sanitaire. De même, aucune liste des experts sollicités n’est accessible, contrairement à ce que prévoient la loi et le règlement.

Les députés ont également demandé ces éléments puisqu’ils n’y ont pas accès en empêchant par là même le contrôle du Gouvernement.(([17] https://www.agnesthill.fr/2021/01/question-ecrite-n-35725-comptes-rendus-du-conseil-scientifique-covid-19/
Ainsi, une question écrite de Madame Agnès THILL, députée de l’Oise a été déposée le 26 janvier 2021 afin de réclamer les documents, qui ont fait l’objet de l’avis précité de la CADA))

Note ND :
TOUT EST OPAQUE ET LE GOUVERNEMENT N’A PAS SUIVI LES RECOMMANDATIONS INTERNATIONALES ET NATIONALES PAR CE QUE SA FEUILLE DE ROUTE EST AILLEURS ET SUIT RIGOUREUSEMENT COMME LA PLUPART DES PAYS OCCIDENTAUX LES DIRECTIVES DE L’OMS ET DU PLAN DAVOS
(([18] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont))

Dans la partie suivante, l’avocate explique que l’ensemble des mesures repose non pas sur une épidémie de malades, mais sur une épidémie de tests. Elle rejoint par-là les procédures internationales en cours, initiées par l’avocat allemand Reiner Fuellmich par un comité international dit corona créée en juillet 2020 à Berlin.

PANDÉMIE DE « TESTS POSITIFS »

D’après les arrêtés de validation pris par le ministre (Annexe 1), le test virologique PCR permettrait de savoir, au moment où on le réalise, si une personne est infectée par le coronavirus. CECI EST UNE SUPERCHERIE INTERNATIONALE.

De ce fait, nous assistons depuis plusieurs mois à des campagnes de dépistage par utilisation de PCR produisant une quantité importante de faux positifs (faux infectés/faux malades), de laquelle découle des mesures liberticides et mortifères, notamment les mesures de confinement et de couvre-feu, port du masque obligatoire, quarantaine, codes couleurs, interdiction de voyager, traçage, distanciation sociale (et maintenant, campagne matraquage pour la vaccination portant le rêve de passeport sanitaire et donc de coercition sans justification du peuple)

(Annexe 1).

« Un test PCR positif ne peut pas vous dire que vous êtes malade, car avec ce test, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui». (([19] Pourtant, l’inventeur du test PCR (créé en 1983), le Docteur Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie en 1993, a déclaré dans une interview))

Le drame est venu de la supercherie organisée par le conseiller de Me Merkel, C. Drosten qui a publié en urgence en janvier 2020 un papier sur le test PCR et en 48 h l’OMS a déclaré ce test valide et imposé dans le monde entier. La tromperie est largement démontrée depuis le printemps 2020, mais le pouvoir de l’OMS et affidés plus celui des médias appartenant aux milliardaires continue à l’imposer sous toutes ses formes jusque maintenant, alimentant la peur et la croyance au virus.

-Pourtant, l’étude scientifique du 27 septembre 2020 de 22 chercheurs démontre que ces travaux présentent dix erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2.(([20] Review Report by an International Consortium of Scientists in Life Sciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020: analyse indépendante « par les pairs » de l’article original de Drosten et Corman ,
https://cormandrostenreview.com/report/))

« L‘utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique, mais a apparemment été délibérément conçue pour créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde). »

Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur !

Les paramètres d’interprétation ont finalement été rappelés par l’OMS le 13 janvier 2021 mis à jour le 20 jan 2021 concernant les tests PCR : l’OMS reconnaît l’existence d’un grand nombre de faux résultats positifs liés notamment au seuil de cycle et par là même la non-fiabilité des tests RT-PCR. Elle reconnaît qu’il s’agit d’une aide au diagnostic, pas d’un diagnostic en tant que tel.

Manifestement, le gouvernement français actuel n’en tient AUCUN COMPTE

En conclusion, concernant l’épidémie de tests : nous réclamons l’arrêt de l’utilisation du nombre de cas « positifs » par tests PCR additionné au nombre de cas « positifs » par test antigénique issus de Contact Covid, afin d’alimenter la peur au sein de la population et tenter de justifier l’ensemble des mesures liberticides et notamment l’interdiction de sortie des citoyens de leur domicile.

Pour mémoire, d’après l’article 432-5 du Code pénal :

Le fait, par une personne visée à l’alinéa précédent ayant eu connaissance, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’une privation de liberté dont l’illégalité est alléguée, de s’abstenir volontairement soit de procéder aux vérifications nécessaires si elle en a le pouvoir, soit, dans le cas contraire, de transmettre la réclamation à une autorité compétente, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende lorsque la privation de liberté, reconnue illégale, s’est poursuivie. »

CHANGEMENT DU TAUX D’INCIDENCE OU DE PRESSION ÉPIDÉMIQUE AFIN DE LÉGITIMER L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE :

le taux d’incidence ou de pression épidémique (nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants, sur une période de sept jours) : le seuil épidémique pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux) depuis 1985 et jusqu’à 2018 (dernière année pour laquelle le réseau Sentinelles a publié un bilan annuel(([21] https://www.sentiweb.fr/document/4633)) a constamment été fixé entre 150 et 200 cas pour 100.000 habitants.

Jamais un seuil épidémique n’a été fixé à 50 cas pour 100 000 habitants, comme c’est le cas depuis mai 2020.Ce changement de seuil permet de manipuler l’opinion publique.

NOMBRE ARTIFICIEL DE DÉCÈS CAUSÉS PAR LE COVID-19 :

De nombreux témoignages (de médecins notamment remettent en cause les formulaires de déclaration de décès) : un grand nombre de personnes décédées d’accident ou d’autres maladies a été porté à tort au nombre des décédés de la maladie Covid-19.

Les tensions hospitalières et traitements sont récurrents depuis des années et ne justifient en rien le coronacircus actuel. Depuis décembre 2020, les « Réas » incluent Réas, Soins Intensifs & Unités de Surveillance Continue((22] https://dashboard.covid19.data.gouv.fr/vue-d-ensemble?location=FRA)) soit une capacité totale de près de 20.000 lits et non de 5.000 lits, comme l’indique le gouvernement relayé par les médias.

Les traitements disponibles et efficaces n’ont pas été conseillés pour soigner la maladie de Covid-19 (voire interdits) alors que bon nombre d’entre eux sont utilisés à travers le monde : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, Artemisia, vitamine D, zinc O2, aspirine… (plus de 300 études et plus de 3500 scientifiques font part de ces traitements et de leurs résultats)(([23] ​HCQ études scientifiques et résultats : https://hcqmeta.co
Ivermectine études scientifiques et résultats : https://c19ivermectin.com/)). Des antibiotiques à spectre large couplés à des corticoïdes sont également utilisés pour soigner, mais rien ne peut être dit publiquement (sous peine de sanctions par l’ordre des médecins).

La mesure d’interdiction aux personnes de sortir de leur domicile doit être proportionnée aux risques sanitaires encourus

MÊME LE CONSEIL SCIENTIFIQUE SE DÉDIT, MAIS NE PEUT PUBLIER QU’À L’ÉTRANGER. CURIEUX ?

Par une lettre publiée par The Lancet le 18 février 2021, certains membres du Conseil scientifique (Annexe 5) proclament : « La lutte contre l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.

Il est donc temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, basées sur un confinement généralisé, en apparence aléatoire, comme principale réponse à la pandémie. (…)

L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire est à venir en ce qui concerne les niveaux de chômage et de dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient peu menacées en termes de morbidité et de mortalité par l’infection par le SRAS-CoV-2. (…)

Bien qu’il soit attrayant pour de nombreux scientifiques et qu’il constitue une mesure par défaut pour les dirigeants politiques qui craignent d’être tenus pour légalement responsables de la lenteur ou de l’indécision des réponses nationales, son utilisation doit être revue, mais seulement en dernier recours. »

Constat accablant, les membres du Conseil scientifique reconnaissent que les mesures d’interdiction de sortie du domicile ne sont pas fondées, ont des conséquences dévastatrices et qu’elles n’ont été prises que pour couvrir les risques de mise en cause de la responsabilité juridique de nos dirigeants.

Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021(([24] Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021, en comparant les courbes épidémiques de huit pays ayant adopté des mesures autoritaires (fermeture d’entreprises, couvre-feu, confinement) avec celles de deux pays s’étant contentés de conseils à la population, il s’avère qu’il n’y a pas de résultats significativement différents dans les deux groupes)) « les décrets de confinement obligatoire à domicile et de fermeture d’entreprise ne semblent pas avoir eu d’avantages substantiels sur la croissance des cas dans les huit pays aux premiers stades de la pandémie. Des réductions similaires de la croissance des cas peuvent être réalisables avec des changements de comportement résultant d’interventions moins restrictives.

Près de 35 000 scientifiques et de praticiens de médecine ou de santé publique ont signé le 4 octobre 2020 la Déclaration de Great Barrington (États-Unis)(([25] https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/ rédigée par trois chercheurs des universités Stanford, Oxford et Harvard)) qui affirme que:

« Les politiques actuelles de confinement et couvre-feu produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme ». Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 

Conserver ces mesures en attendant quun vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 

« Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux dune telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions espérant ainsi réveiller les réflexions dune population tétanisée par la peur créée par une propagande dune intensité jusque-là inégalée en France. En vain.

L’expérience marseillaise de l’an 1720:

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) navait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et quenfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque daccélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720 où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de lOMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes. »

Nous relevons effectivement que le confinement participe à l’augmentation inquiétante des suicides et des maladies mentales. En effet, des médecins psychiatres constatent que les mesures de confinement sont nocives pour la population et que ces mesures privatives de liberté causent de réelles atteintes à la dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chaque citoyen, d’autant plus si les interventions médiatiques des autorités administratives contribuent à engendrer un climat de peur et de terreur.

Des études scientifiques vont également dans le sens d’une corrélation entre les mesures de confinement et l’apparition de maladies mentales, notamment chez les jeunes individus (prévalence de la dépression et de l’anxiété).(([28] Association of Home Quarantine and Mental Health Among Teenagers in Wuhan, China, During the COVID-19 Pandemic
https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2775249?guestAccessKey=04af0d22-d94d-435d-8c8e-afb5ad0de5a7&utm_source=silverchair&utm_medium=email&utm_campaign=article_alert-jamapediatrics&utm_content=olf&utm_term=011921))

« Nos gouvernants et nos parlementaires, du fait de leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres -ici au virus mortel-, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun, car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. (…) Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement na plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées.

Les mesures de distanciation resteront la règle. Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates dapparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert dassurer leur salut. Ce qui fait lhumain, sa capacité à tisser des liens, son besoin dentrer en contact avec lautre est menacé. Le tissu social sest dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. »

Une étude chinoise publiée le 20 novembre 2020, faite à Wuhan sur la base de 10 millions de personnes (représentant 94,1% de la population de Wuhan – méta-analyse), a démontré que les personnes asymptomatiques ne sont pas contaminantes: la pratique généralisée des tests PCR au sein d’une population est donc parfaitement inutile.(([29] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020):
https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Dans la mesure où seuls les malades symptomatiques sont contagieux, comme le prouve cette très large étude portant sur 10 millions de Chinois,il n’existeAUCUNE RAISON de confiner la population saine. Il suffit d’isoler les personnes véritablement malades.

LA JURISPRUDENCE INTERNATIONALE

La Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine (([30] https://reseauinternational.net/cour-constitutionnelle-de-bosnie-herzegovine-la-mesure-de-restriction-de-mouvement-et-de-port-de-masques-est-une-violation-des-droits-humains-fondamentaux-affaire-ap-3683-20/ Par une décision du 22 décembre 2020, la 120e session ordinaire du Grand Conseil (Affaire AP-3683/20)
http://www.ustavnisud.ba/dokumenti/_bs/AP-3683-20-1262390.pdf)) a déclaré que les décisions de la cellule de crise sur l’interdiction de circuler et le port obligatoire de masques de protection sont « une ingérence dans les libertés et droits fondamentaux de l’homme garantis par la Constitution de la Bosnie-Herzégovine et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme».

La Cour de Rome (Italie) (([31] https://cv19.fr/2020/12/26/italie-la-cour-de-rome-declare-que-les-decrets-ministeriels-anti-coronavirus-sont-illegitimes-les-libertes-et-les-droits-constitutionnels-violes/ section civile 6, dans l’ordonnance n. 45986/2020 R.G. du 16 décembre 2020
https://ia801802.us.archive.org/7/items/ordonnance-45986-2020-du-tribunal-de-rome/Ordonnance%2045986-2020%20du%20tribunal%20de%20Rome.pdf)) déclare que les décrets ministériels anti-coronavirus sont illégitimes et les droits constitutionnels violés.

Une décision du Tribunal de Weimar (Allemagne)(([32] https://openjur.de/u/2316798.html en date du 11 janvier 2021, n° 6 OWi – 523 Js 202518/20)),selon laquelle en imposant une mesure de confinement strict, le gouvernement régional a violé la dignité humaine garantie comme étant un droit fondamental inviolable par la loi allemande, que de ce fait cette mesure est inconstitutionnelle.

Ledit Tribunal a observé que le confinement était « une décision politique catastrophique et erronée, avec des conséquences dramatiques dans tous les domaines de la vie des citoyens » les qualifiant par là même d’attaque disproportionnée contre les fondements de la société.

Le Tribunal de Mannheim (Allemagne)(([33] https://www.badische-zeitung.de/suedwest-1/gericht-kippt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg)) a jugé le couvre-feu illégal(([34] https://www.stuttgarter-zeitung.de/inhalt.urteil-zu-corona-massnahme-gericht-hebt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg-auf.c11554f0-3671-43b0-89d9-d4422f5ef84b.html décision sans appel en date du 8 février 2021.)).

La Cour de La Haye (Pays-Bas)(([35] https://uitspraken.rechtspraak.nl/inziendocument?id=ECLI:NL:RBDHA’2021’1100 décision en date du 16 février 2021 (C/09/607056 / KG ZA 21-118).)) a jugé le couvre-feu illégal et observé qu’avant d’introduire une restriction de grande envergure telle qu’un couvre-feu, il doit être clair qu’il n’existe pas d’autres mesures de moindre envergure et que l’introduction du couvre-feu aura effectivement un effet substantiel.

Ces décisions émanant de différents pays d’Europe démontrent que les magistrats en charge de ces affaires font le même constat concernant l’inutilité des mesures de confinement et de couvre-feu et de leur nocivité.

CONCLUSION DE L’ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DU MINISTRE DE LA SANTÉ ET DU PREMIER MINISTRE

Le confinement et le couvre-feu n’entraînent ni réduction des taux de transmission de la maladie Covid-19, ni réduction du nombre des décès.

Seuls les individus présentant les symptômes (donc « malades ») doivent être soignés avec l’un des traitements disponibles et éventuellement isolés à la suite du diagnostic d’un médecin, seule habilité à prendre des décisions d’ordre médical pour chacun des patients visés.

Le confinement et le couvre-feu sont des mesures politiques disproportionnées et dramatiques, qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation empirique préalable de la part du pouvoir exécutif et qui ne sont pas recommandées lorsque d’autres solutions sont disponibles suivant une majorité d’études scientifiques.

En revanche, il est démontré que ces mesures portent une atteinte grave à la liberté individuelle des citoyens, à la dignité humaine et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation.

Des professionnels de santé du collectif international United Health Professionals(([36] Plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, d’anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Océanie ont adressé un courrier le 12 février 2021 au président de la France, au Premier ministre et au ministre de la Santé dont voici un extrait (Annexe 7) et adressé à des chefs d’État des cinq continents.)) ont interpellé les chefs d’État du monde entier.

« Levez toutes les restrictions.Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020). (…) »

Pour l’ensemble des raisons exposées ci-dessus, nous affirmons que le Premier ministre et le ministre chargé de la santé ont donc bel et bien de manière évidente procédé à l’exécution forcée de décisions administratives dans des conditions irrégulières, portant ainsi manifestement atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

En outre, étant donné que la qualification de catastrophe sanitaire n’est absolument pas démontrée ni justifiée par le pouvoir exécutif, le droit commun s’applique.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile sans justification sanitaire sont qualifiables en réalité de mesures d’assignation à résidence, pour reprendre les termes communément applicables en droit pénal, car il ne s’agit pas d’autre chose.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile/d’assignation à résidence ont été prises à l’encontre de l’ensemble de la population, de manière générale, arbitraire et sans discernement, alors que la Constitution et les traités internationaux requièrent la prise en considération des agissements des individus et le recours au juge judiciaire.

En effet, aucune autorité administrative ne peut décider de priver de liberté individuelle l’ensemble de la population sur la seule basede données informatisées, correspondant à un certain nombre de tests RT-PCR positifs non fiables, lesquels ne permettent pas de diagnostiquer une infection ou une maladie, d’un nombre de décès douteux et imprécis, puisqu’il est impossible aujourd’hui de connaître le nombre exact de personnes décédées de la maladie Covid-19 et non pas « avec le Covid-19 »

Le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel n’ont jamais donné un tel pouvoir aux autorités administratives. Ces voies de fait ont manifestement porté atteinte à la liberté individuelle des demandeurs et par là même à leur dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chacun.

Nous demandons donc la cessation immédiate de ces mesures attentatoires à la liberté individuelle et nous demandons réparation(([37] Pour mémoire, d’après l’article 432-4 du Code pénal :
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.
Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende. »)).

Sur les dommages-intérêts provisionnels

Il y a urgence à faire cesser et à réparer le trouble particulièrement grave que génère ces voies de fait, lesquelsont porté atteinte et continueront de porter atteinte àla liberté individuelle des demandeurs.Le principe de ce préjudice étant acquis, chacun des demandeurs est bien fondé à solliciter à ce titre la somme de 25 000 euros à titre de provision sur dommages-intérêts.

Le préjudice lié aux voies de fait sera réparé par la condamnation du ministère de la Santé et de l’État. À titre subsidiaire, et vu l’urgence, s’il était jugé que l’une de ces demandes dépassait les pouvoirs du juge des référés, il sera demandé de faire application de l’article 837 du code de procédure civile et de renvoyer à une audience au fond, à bref délai.

PAR CES MOTIFS (([38] Vu l’article 66 de la Constitution, le Préambule et les articles 3, 5 et 9 de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, l’article 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’O.N.U. du 16 décembre 1966, les articles 834, 835, 836, 837 du Code de procédure civile, les moyens qui précèdent et les pièces versées aux débats.))

Il est demandé à Monsieur le Président du Tribunal judiciaire de PARIS statuant en référé, pour les causes et raisons sus-énoncées, de :

  1. RECEVOIR l’intégralité des moyens et prétentions des demandeurs en constatant l’existence de voies de fait commises par le Premier ministre et le ministre de la Santé.
  2. ORDONNERla cessation de toute mesure d’interdiction de sortie du domicile dites « de confinement » ou de « couvre-feu ».
  3. ORDONNER la cessation de l’utilisation du nombre de cas « positifs » aux tests RT-PCR ou antigéniques à des fins de justification de mesures liberticides.
  4. CONDAMNER le Ministère de la Santé, le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer à chacun des demandeurs la somme de 25 000 euros à titre de dommages-intérêts provisionnels.
  5. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer aux demandeurs la somme de 2 000 euros au titre des frais irrépétibles par application des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile.
  6. SUBSIDIAIREMENT et vu l’urgence, faire application de l’article 837 du code de procédure civile et renvoyer le cas échéant à une audience au fond, à bref délai.
  7. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État aux dépens par application des dispositions de l’article 695 du code de procédure civile.

Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA , Avocat à la Cour





COVID-19 — La Cour pénale internationale de La Haye a accepté la plainte pour violation du code de Nuremberg du gouvernement israélien. MàJ

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Le week-end dernier, une plainte de l’organisation « People of Truth » a été déposée auprès du Tribunal de La Haye par les avocats Ruth Machnes et Aryeh Suchovolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co., concernant des violations du Code de Nuremberg par le gouvernement israélien et d’autres parties. Or, la plainte déposée la semaine dernière devant la Cour pénale internationale a été acceptée. Elle est maintenant en attente d’une décision.

L’avocate Ruth Machnes Suchovolsky a déclaré le 5 mars dernier à Israel News que « dans le même temps, la plainte sera également déposée au tribunal de Nuremberg, avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich. Lundi, la plainte sera déposée à la Haute Cour par Aryeh Suchovolsky en Israël, concernant la violation du Code de Nuremberg. » L’avocate ajouta six jours plus tard : « L’expérience que Pfizer mène dans l’État d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. »

Cour pénale internationale (lettre d'acceptation)
La lettre d’acception de la Cour pénale internationale, signée par Mark Dillon.

La plainte déposée auprès du tribunal se lit comme suit :

Nous nous adressons à vous au nom de l’association «Anshei Emet», une association en cours d’établissement, dont les membres sont des avocats, des médecins, des militants du public et en général, qui ont fait le choix d’exercer leur droit démocratique de ne pas recevoir le traitement médical expérimental (Immunisation Corona), et qui estiment que de grandes pressions, dures et illégales, sont exercées sur eux au nom du gouvernement d’Israël, des membres de la Knesset, des ministres, des hauts représentants élus du public, des chefs de villes et plus encore.

Nous souhaitons commencer par des connaissances de base sur le sujet: Le vaccin Corona est un traitement médical innovant, qui n’a obtenu que récemment l’approbation de la FDA aux États-Unis (dans le cadre d’une procédure d’urgence uniquement), une approbation qui n’est pas définitive et avec des détails sur 22 effets secondaires du vaccin. En outre, il est clair pour tous les facteurs médicaux que le sujet de l’influence à long terme du traitement n’a pas été testé scientifiquement (tests et recherches), et l’effet à long terme et la sécurité du traitement sur ses receveurs sont inconnus. Il est important de préciser que jamais jusqu’à présent n’ont été administrés dans le monde entier des immunisations par cette technologie médicale d’introduction d’un M-ARN synthétique dans le corps, et toutes les immunisations précédentes ont fonctionné d’une manière totalement différente, par l’introduction d’un ou virus affaibli et excitation naturelle du système immunitaire contre lui. Comme détaillé par un virologue senior, les risques anticipés par ce traitement médical innovant sont ci-joints en Annexe 1 à ma lettre.

« Code de Nuremberg » — Un code d’éthique médical publié sur la base des lois en vertu desquelles les criminels nazis ont été jugés pour avoir mené d’horribles expériences médicales pendant la Seconde Guerre mondiale, dans le procès des médecins connu sous le nom de procès de Nuremberg. Le Code de Nuremberg a ensuite constitué la base de la législation de la Déclaration d’Helsinki ainsi que la base de la loi sur les droits des patients en Israël. Nous avons l’intention de vous présenter et de détailler comment, dans l’État d’Israël cette année, le gouvernement d’Israël avec ses ministres et ses membres de la Knesset, les chefs de villes et d’autres hauts responsables, enfreignent le code de Nuremberg de manière illégale, de manière flagrante. et extrême, et à notre regret, non seulement dans un seul aspect mais beaucoup, trop!

a) Consentement éclairé pour participer à une expérience médicale — un premier principe du Code de Nuremberg est la volonté et le consentement éclairé de la personne à recevoir un traitement et à participer à une expérience. La personne est censée activer la liberté de choix sans l’intervention d’un facteur employant la force, la tromperie, la fraude, la menace, la sollicitation ou tout autre type de liaison ou de coercition. Lorsque les chefs du ministère de la Santé ainsi que le Premier ministre ont présenté le vaccin en Israël et ont commencé la vaccination des résidents israéliens, les vaccinés n’ont pas été informés, qu’en pratique, ils participent à une expérience médicale et que leur consentement est requis à cet effet en vertu du Code de Nuremberg, et seulement lorsqu’il est devenu évident que le Premier ministre avait effectivement signé un accord avec la société Pfizer (le fabricant), il a d’abord été publié et également déclaré par le Premier ministre, qu’il s’agissait bien d’une expérience médicale , et que c’était là l’essence de l’accord. Il s’agit en fait d’une expérience médicale génétique sur des êtres humains, réalisée sans consentement éclairé et sous une infraction grave et flagrante du Code de Nuremberg.

b) L’accord Bibi-Pfizer. Après factum, il est devenu clair que le Premier ministre d’Israël a signé un accord avec la Pfizer Company (la société de fabrication), en vertu duquel il recevra une énorme quantité de millions de portions de vaccins, et avec une préférence par rapport aux autres pays, et en contrepartie, les vaccinés (résidents d’Israël) serviront d’«expérimentateurs» pour la société pharmaceutique. Il a été convenu que la société pharmaceutique recevrait d’Israël toutes ses informations médicales et personnelles secrètes à son insu ou sans son consentement préalable. En outre, nous devons déclarer que jusqu’à ce moment, le contenu de l’accord concernant la plupart des résidents de l’État d’Israël, n’a pas été publié, ce qui est la transparence obligatoire en vertu de la loi, et il a été publié avec « black-out » / dissimulation d’un grand nombre d’informations incluses dans cet accord. Il convient de dire et de rappeler que nous ne vivons pas dans un pays de dictature, de sorte qu’à l’évidence, un tel accord doit être soumis à une transparence totale envers le large public.

c) Traitements alternatifs. En ce qui concerne le consentement éclairé pour un traitement médical, et sur la base des principes du Code de Nuremberg, il existe une obligation de détailler et de suggérer à un patient plusieurs alternatives de traitement, en détaillant également le processus médical (et tout ce qui y est inclus). comme les avantages et les inconvénients / bénéfices et risques, existant dans chaque traitement, pour lui permettre de prendre une décision personnelle intelligente concernant le traitement qu’il préfère. Comme indiqué, cela doit être fait sans exercer de pressions et librement, en tant que personne libre. Malgré tout ce qui précède, l’État d’Israël et le ministère de la Santé ne présentent pas aux citoyens israéliens les alternatives actuellement existantes pour traiter la maladie de Corona, qui se sont avérées efficaces et avec peu d’effets secondaires, et non dangereuses. Ils sollicitent les citoyens et leur font pression (tout en violant de manière flagrante le processus de consentement éclairé), dissimulent les informations concernant les vaccinations et créent une atmosphère sévère de peur et de coercition.

d) Un quatrième principe est que l’expérience sera menée pour éviter les souffrances ou les blessures physiques. On sait que le traitement a causé la mort de nombreuses personnes, des blessures et des dommages graves (y compris une incapacité et une paralysie) après l’administration du vaccin. Malgré ce fait, le gouvernement n’a pas ordonné l’ouverture d’une enquête sur la question. Il est intéressant de constater que le ministère de la Santé a ouvertement admis que 41% des policiers, des militaires, du personnel éducatif et médical, qui avaient été vaccinés, souffraient d’effets secondaires graves et mettaient leur vie en danger. Il est également étonnant qu’il n’y ait pas de rapports complets sur le nombre de morts ou de blessés, comme on peut s’y attendre dans un tel processus médical au profit du public participant à l’expérience.

e) Un cinquième principe stipule que l’expérience ne doit pas être menée lorsqu’il y a des raisons de supposer que la mort ou des blessures réelles se produiront. Concernant la violation de ce principe, voir ci-dessus. Comme indiqué, concernant les données sur les cas de décès, nous les citoyens n’entendons que de bouche à oreille sur les réseaux sociaux (par des amis, des voisins ou des proches) et non sur les médias centraux.

f) Un principe supplémentaire est que le facteur responsable de l’expérience sera prêt à l’arrêter à n’importe quel stade s’il existe une raison raisonnable de supposer que cela causera des blessures, une invalidité ou la mort du participant à l’expérience. Il a déjà été prouvé que beaucoup de gens sont morts du traitement, ont été blessés, sont devenus invalides et paralysés; cependant, le gouvernement israélien continue d’imposer cette dangereuse expérience aux citoyens israéliens.

g) Voici des publications récentes, qui démontrent les violations flagrantes et criminelles du Code de Nuremberg au nom du gouvernement, des ministres et des membres de la Knesset, des chefs de villes et des hauts fonctionnaires, ainsi que des employeurs :

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples (parmi tant d’autres) de violations du Code de Nuremberg (qui seront jointes à l’annexe 2 de ma lettre).

Exercez une pression économique :

  1. L’Association des fabricants, appuyée par un avis juridique, menace d’envoyer en congé sans solde tout salarié qui ne sera pas vacciné.
  2. Le ministre de la Santé, Yuli Edelstein, souhaite promulguer une loi qui empêchera l’arrivée des non-vaccinés sur un lieu de travail.
  3. Ne pas refuser les frais de chômage.

L’exercice de la pression sociale :

  1. 1. Une menace pour empêcher l’accès aux divertissements, aux loisirs et à la réception de services de la communauté.
  2. Les artistes, les leaders d’opinion et les représentants du public, qui dans tous les coins choisissent de faire de la propagande, et de manière agressive et insultante, proposent même des punitions et des sanctions. (Membre de la Knesset Ayelet Shaked, membre de la Knesset Smotrich, le ministre de la Santé Edelstein, membre de la Knesset Benet, animateur de l’émission matinale Avri Gilad, le chanteur Yoram Gaon, Judy Nir Moses et autres)
  3. Des véhicules avec des systèmes de sonorisation errant dans les rues exhortant les gens à arriver pour les vaccinations, des conversations et des avis agressifs des compagnies d’assurance maladie, et même en fixant des rendez-vous pour les vaccinations sans le souhait des assureurs, et plus encore.

Incitations interdites pour les vaccinés :

  1. Recevoir une nuit gratuite dans un hôtel, des jours de vacances, etc., offerts par les propriétaires de diverses entreprises à leurs employés.
  2. Réductions dans divers établissements commerciaux, privés et publics, ainsi qu’une carte d’avantages promue par le gouvernement.

Le Premier ministre israélien a déclaré à plusieurs reprises que les citoyens israéliens participent à cette expérience médicale innovante au profit de tous les citoyens du monde, qui, pour une raison quelconque, ne se précipitent pas pour obtenir le traitement médical susmentionné, et ils attendent avec impatience de voir les expérimentateurs israéliens. Il en est de même de l’accord signé par le gouvernement avec la société Pfizer, occulté en de nombreux endroits, soulevant des questions sur les accords conclus par le gouvernement avec la société Pfizer.

Il est souligné par la présente que les moyens actuellement activés contre les citoyens, y compris la proposition de législation contre quiconque n’a pas été vacciné, contredisent non seulement le Code de Nuremberg et l’autonomie de l’individu sur son corps, mais également la législation en vigueur en Israël, y compris la loi fondamentale sur la dignité et la liberté des personnes, la loi sur la liberté d’occupation, la loi sur les droits des patients, la loi sur l’égalité des chances au travail, l’interdiction de la discrimination dans les produits, services et la loi sur l’accès aux divertissements et aux lieux publics, et d’autres lois.

Par conséquent, et compte tenu de ce qui précède, nous adressons à votre honneur deux demandes principales :

  1. Interrompre immédiatement l’expérience médicale et l’administration de vaccins au public des citoyens israéliens.
  2. Donner instruction au Gouvernement d’entamer toutes les procédures législatives qui enfreignent le principe du consentement éclairé d’une personne pour recevoir le traitement médical décrit ci-dessus, et qui nie le statut juridique en Israël et dans la démocratie israélienne, y compris le fait d’éviter de légiférer sur le Passeport vert, remise des noms de ceux qui ne sont pas vaccinés aux autorités locales ou à toute autre législature nuisible.
  3. Agir avec la sévérité la plus requise contre toute entité publique / commerciale / professionnelle, qui viole les lois de l’État sur les sujets de l’emploi ou les autres sujets nécessaires pour empêcher la contrainte, la coercition ou la sollicitation de vacciner, ainsi que l’objet de discrimination, contre ceux qui ont fait le choix de ne pas recevoir le traitement médical innovant susmentionné.
  4. Nous vous demandons de porter à votre attention qu’une copie de ce document sera également transmise aux canaux médiatiques du monde entier car la violation du Code de Nuremberg est pertinente dans tous les pays du monde libre.
  5. Enfin, il est précisé que ce n’est que récemment qu’une décision a été prise au Parlement européen le “27/1/21”, enjoignant toutes les autorités de ne pas exercer de pression ou de sollicitation sur les personnes pour qu’elles prennent le vaccin Corona de quelque manière que ce soit. Par conséquent, tout ce qui est bon pour les États européens avancés l’est certainement aussi pour Israël — et l’équilibre est évident.

Représentation légale et élection de domicile
Les candidats seront représentés aux fins de cette procédure par

Avec respect

Cour pénale internationale (signatures)

Par conséquent, toute correspondance ultérieure ne doit être envoyée qu’aux adresses postales et / ou électroniques indiquées ci-dessus. Toute notification au sens du Statut de la Cour adressée de cette manière sera considérée comme valable.
UNE FOIS DÉPOSÉ ET TRAITÉ



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Pourquoi veulent-ils nous tuer ?

Par Jean-Michel Grau

« Pourquoi veulent-ils nous tuer? »

Tel est le cri du cœur entendu lors du meeting de Florian Philippot le 26 février dernier, pour protester contre le nouveau confinement le week-end à Nice et sur le littoral des Alpes-Maritimes.

Car le confinement tue. Il tue d’abord lentement mais sûrement tous les indépendants qui ne peuvent plus travailler, qu’ils soient restaurateurs, hôteliers, gérants de bar, de café, de discothèque, de cinéma, de théâtre, de salle de spectacles, de salle de sport, qui sont poussés inexorablement vers la faillite et la ruine. Quel est leur avenir ? Le chômage et la grande pauvreté. Car beaucoup ont déjà compris qu’ils ne rouvriront plus jamais.

Le confinement tue aussi les étudiants, claquemurés dans leur chambre, qui ne peuvent même plus suivre leurs cours autrement que devant le petit écran de leur ordinateur sans voir plus personne. Beaucoup abandonnent déjà leurs études ou songent même à se suicider quand ils ne passent pas carrément à l’acte. Combien ont-ils déjà mis fin à leurs jours à l’heure où sont écrites ces lignes ?

« Nous sommes en guerre. »

C’est une mort à petit feu de toute la classe moyenne qui est sournoisement en train de se mettre en place. Un génocide anonyme et aveugle, sous prétexte d’une guerre déclarée par notre chef d’État il y a bientôt un an.

Mais une guerre contre qui ? Contre un virus, comme il l’a affirmé dans son allocution martiale du 16 mars 2020(([1]youtube.com/watch?v=GPhReeA8oKs)),

ou bien alors contre son propre peuple ?

Son peuple qui l’a élu… pour lui faire la guerre ?

Car faire la guerre à un virus n’a aucun sens. Décréter la mobilisation générale contre un être vivant de 0,12 micron apparaît proprement surréaliste.(([2]abcdust.net/quelle-est-la-taille-dun-virion-covid-19-par-rapport-au-mp10-25/?lang=fr)) Doit-on rappeler à ce général de laboratoire autoproclamé qu’il existe sur terre plus d’un million de quadrillions de virus, dont 200 seulement sont capables de provoquer des maladies chez l’homme en s’introduisant dans les cellules humaines ?(([3]nationalgeographic.fr/sciences/2020/04/il-y-plus-de-virus-que-detoiles-et-pourtant-seulement-certains-nous-affectent))

En fait, c’est inutile, car bien évidemment, il sait tout cela.

Il le sait, tout comme son ministre de la santé qui déclarait il y a encore un an, que le port du masque est inutile pour les personnes en bonne santé.(([4]dailymotion.com/video/x7sh6ng)) Le même ministre, toujours en exercice, qui déclarait cinq jours plus tard que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.(([5]dailymotion.com/video/x7slnvs))

Mais alors, qu’est-ce qui a bien pu justifier depuis un an, ce déploiement délirant dans tout le monde occidental au même moment, de tant de mesures liberticides, depuis les confinements à répétition, les couvre-feux, les muselières obligatoires, les gestes barrière, la distanciation sociale, l’arrêt de pans entiers de l’économie ? Tout cet arsenal de guerre pour un simple virus ? Qui peut encore croire cela, aujourd’hui, mis à part les zombies abreuvés de la propagande H24 des médias mainstream qui entretiennent la peur permanente ?

« Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux ! »

Revenons au meeting de Nice de Florian Philippot, le seul qui fait encore entendre sa voix dans le silence assourdissant de toute la classe politique française qui semble s’accommoder fort bien des mesures toutes plus liberticides les unes que les autres de l’État d’urgence sanitaire à perpétuité.

Voici l’essentiel de ce que Florian Philippot déclarait à Nice ce vendredi 26 février : (([6]youtube.com/watch?v=0daTzm2pW5Y))

« On est là pour imposer un esprit de liberté et de résistance face à la folie.

Je tenais à être ici, à l’épicentre de cette dictature sanitaire qui est en réalité UNE DICTATURE POLITIQUE. Car les décisions qui sont prises n’ont plus rien de sanitaire, ce sont des décisions qui sont exclusivement POLITIQUES.

Véran, Macron, Castex ont annoncé qu’ils allaient faire ce qu’ils ont annoncé comme du « cousu main ». Du « cousu main », ça veut dire qu’ils vont à la fin nous reconfiner, mais ils le font département par département, territoire par territoire, et vous, vous êtes les premières victimes de cette dinguerie ! Mais le « cousu main », ce n’est pas que ça ! C’est aussi le pass sanitaire !

Ce pass sanitaire, ça n’est pas un instrument médical, ni même seulement en lien avec le seul Covid19. Le pass sanitaire, comme dit Macron, c’est UNE RUPTURE MAJEURE DE CIVILISATION ! C’est un problème éthique majeur ! C’est nous faire entrer dans une société profondément inhumaine, profondément diabolique, profondément infernale ! Une société de zombies, où vous devrez présenter un document numérique pour aller au restaurant, pour aller au cinéma, pour prendre le train, pour prendre le métro, pour prendre le tram !

C’est la fin du secret médical. Et c’est ensuite mettre le doigt dans un sacré engrenage : car demain, rien n’empêchera d’utiliser ce pass sanitaire pour interdire l’entrée à des lieux publics à des gens, selon telle ou telle maladie, selon telle ou telle pathologie. Et vous voyez bien, dans quelle société de discrimination « légale », dans quelle société profondément INHUMAINE, INÉGALITAIRE, INJUSTE, avec des citoyens de « huitième zone » nous entrons !

Eh bien, si l’essentiel de la classe politique française est, soit complice, soit soumise, soit endormie devant ce totalitarisme rampant, « les Patriotes » seront dans la résistance, avec vous !

Tout ce qu’ils annoncent : les confinements, les couvre-feux, les fermetures, les restrictions en tout genre, cela relève du charlatanisme ! Nous savons maintenant que ces couvre-feux et ces confinements ne servent à rien sinon à tout détruire ! Les confinements détruisent tout, sauf le virus. Et quand nous le disons, nous nous fondons, nous, sur la science ! Nous avons regardé l’étude de Stanford, celle du meilleur épidémiologiste au monde, M. Ioannidis. Nous avons regardé l’étude du CHU de virologie de Toulouse, qui a démontré, chiffres à l’appui, que le couvre-feu à 18 heures AGGRAVAIT l’épidémie !

… Croyez-vous que tous ces barons locaux qui confinent les gens vivent et subissent le confinement ? Bien sûr que non ! Ils ont la dérogation ! Ils ont l’attestation ! Ils ont le précieux sésame qui leur permet, eux, de continuer à vivre normalement ! Et surtout, eux, continuent d’être payés à 100 % ! Alors que ceux qui subissent les fermetures et les restrictions sont mis dans une panade sans nom ! Et ils n’en ont manifestement rien à faire !

… Il y a des traitements, et c’est cela le non-dit. Ce sont de vieilles molécules qui ne rapportent pas un rond aux laboratoires. Les seuls traitements qu’on a autorisés depuis le début, c’était le Remdésivir de Gilead, totalement inutile, voire dangereux, voire qui provoque des variants, comme l’a dit Raoult. Mais c’est vrai que ça coûte 2300 euros la semaine de traitement…

En revanche : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, colchicine : toutes ces vieilles molécules qui ont démontré leur efficacité contre le Coronavirus : systématiquement in-ter-dites ! INTERDICTION AUX MÉDECINS DE PRESCRIRE LIBREMENT, ce qui est une première, honteuse et scandaleuse dans l’histoire de notre pays ! »

C’est à ce moment qu’une voix se fait entendre dans le public, s’exclamant par deux fois :

« Pourquoi veulent-ils nous tuer ? Pourquoi veulent-ils nous tuer ? »

Florian Phillipot reprend:

«… Vous comprenez bien qu’on ne peut pas rester les bras croisés, à plat ventre, à nous taire!

Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux !

Nous ne sommes pas là pour être soumis à une politique qui nous traite moins bien que du bétail. Parce que nous sommes traités moins bien que du bétail ! C’est La Boétie qui disait :

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Cessons d’être à genoux et levons-nous ! Soyons fiers, soyons libres, soyons dignes !

Alors, nous réclamons : la prévention, le traitement, qu’on arrête de fermer des lits et qu’on en rouvre, qu’on forme du personnel et :

NOUS DEMANDONS À CE QUE TOUT SOIT ROUVERT TOUT DE SUITE ! NOUS DEMANDONS ET NOUS EXIGEONS LE RETOUR DE TOUTES NOS LIBERTÉS TOUT DE SUITE ! ET NOUS EXIGEONS LA FIN DU MASQUE OBLIGATOIRE TOUT DE SUITE !

Revenons à l’humanité ! Revenons au bon sens ! Revenons à la raison !

Nous ne voulons pas de cette caste qui nous asservit depuis si longtemps et qui a trouvé dans ce virus le prétexte pour faire de nous des gens dominés, des gens obéissants, des gens soumis, c’est-à-dire l’inverse de ce que nous sommes, et surtout l’inverse de ce que nous voulons transmettre aux générations qui viennent. Nous n’avons pas le droit, au nom de nos ancêtres qui se sont battus pour nos libertés, nous n’avons pas le droit de leur laisser ce monde-là ! »

Et de conclure avec cette citation de Benjamin Franklin :

« Une société prête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Avec la mise en place du pass sanitaire pour créer une société d’alpha plus et de bêta moins, il y a clairement une volonté de tuer la classe moyenne de la part des adeptes de la secte de Davos menés par Klaus Schwab et l’Union européenne. Dans cette société, les seuls gagnants seront ceux qui nous auront imposé cet esclavage forcé, à savoir l’oligarchie financière et son bras armé, l’UE, devenue entretemps, l’Union de l’Enfermement avec les confinements avant de devenir l’Union Eugéniste avec le pass sanitaire.

Car c’est bien d’un programme eugéniste dont il est question avec l’imposition des piqûres géniques, via le pass sanitaire qui n’est qu’une énième supercherie. En effet, qui peut encore croire aujourd’hui que les restaurants auxquels auront le droit d’entrer les seuls « vaccinés » rouvriront un jour ? Même chose pour les musées, les salles de spectacles, les cinémas, les théâtres, les opéras, etc.

Car la fermeture généralisée de tout ce qui faisait le bonheur de vivre encore il y a un an doit se poursuivre pour réaliser le transfert de richesses des classes moyennes à la finance mondialiste afin de se refaire une santé sur notre dos après le krach mondial à venir.

Cette spoliation de tous nos biens avec le soutien des banques centrales ne peut se faire qu’en nous imposant un revenu universel, carotte de notre soumission, une fois que nous serons tous devenus « des gens qui ne sont rien »(([7]youtube.com/watch?v=mlxXW95qeK4)) qu’on pourra éliminer sans état d’âme, puisque telle sera la destinée voulue par le forum de Davos des gens qui ne sont rien.(([8]youtube.com/watch?v=Yx8DXGJi8r4))

NOUS DEVONS RÉAGIR DÈS MAINTENANT POUR GAGNER CETTE GUERRE EN NOUS RÉVOLTANT MASSIVEMENT CONTRE CETTE CASTE MONDIALISTE POUR L’EMPÊCHER PAR TOUS LES MOYENS DE BRISER NOS VIES À TOUT JAMAIS.

« Cette guerre, on va la gagner à la fin. On la gagnera tous ensemble. »

Florian Philippot

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Reiner Fuellmich





Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »

[Source : Business Bourse]

https://twitter.com/Infirmier00/status/1361823319088062468?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1361823319088062468%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2021%2F02%2F18%2Fdr-louis-fouche-la-plupart-des-gens-esperent-quils-reviendront-a-la-vie-normale-mais-non-cette-crise-est-la-pour-que-ca-seffondre%2F


[Note de Joseph : Les vidéos comme celle-ci ou comme Hold-UP, de nombreux articles sur la « plandémie » Covid-19, les démarches juridiques comme celle de l’avocat allemand Reiner Fuellmich… présentent une utilité certaine pour ce qui est d’amener les gens à réaliser qu’une partie des élites mondiales ne cherchent qu’à les asservir davantage, voire à les réduire en nombre et en humanité. Cependant, il y a des chances que cela soit insuffisant pour faire s’effondrer le Nouvel Ordre Mondial. Pour cela, la clef de la libération doit être découverte et utilisée par chacun ou au moins par un nombre suffisant d’êtres humains.]




Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours

Par Jean-Michel Grau

[Les inscriptions sont closes depuis le 22 février.]

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
.


Notes

(1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

(2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

(3) corona-ausschuss.de

(4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

(5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris


Pour vous associer aux recours collectifs français

Vous aviez le choix entre :

Sur le site, voir aussi les articles correspondants :

Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements




MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Source : United-Health-Professionals-France.pdf depuis Le collectif United Health Professionals lance une campagne d’alerte internationale sur l’épidémie de COVID-19 (reseauinternational.net)

Transmis par Nicole Delépine.

Document complet en version PDF :

Document international en anglais, version PDF :


Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale… autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la République, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

Très Urgent :
message d’alerte international sur la COVID-19
12 FÉVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France,
Mr Jean Castex : Premier Ministre
et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1 500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie, et nous avons adressé le 26 août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

Les conclusions majeures sont les suivantes

1– Levez toutes les restrictions :

supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie :

« Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus »

(Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 juin 2020)

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… »

(Pr Didier Raoult, 24 juin 2020)

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.]… Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts… je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre… il n’a pas du tout influencé l’épidémie… Le confinement n’a rien changé… »

(Pr Philippe Parola, 3 décembre 2020)

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous »

(Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 juin 2020)

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… Autodestruction et suicide collectif… »

(Pr Sucharit Bhakdi, mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière allemande Angela Merkel)

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30
et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF
dans ses articles : 28, 29, 32, 37.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme… Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas »

(Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020)

Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente :

« Dictature des masques totalement infondée »

(Pr Christian Perronne, 22 septembre 2020)

« Le couvre-feu… c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venaient à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! »

(Pr Christian Perronne, 15 octobre 2020)

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal »

(Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues… toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! »

(Pr Michaël Peyromaure, 18 janvier 2021)

2– Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers

3– Écartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

4– Exigez une enquête internationale et indépendante

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er octobre 2020, Reiner Fuellmich — un avocat allemand — annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps :

« Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tels que définis dans la section 7 du Code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un

« scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

Les effets du confinement

« ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncé pouvoir être capables de sauver… C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires… sociaux… économiques… qui forment la réelle deuxième vague »

(Pr Jean-François Toussaint, 24 septembre 2020)

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

« Ce pays vit une erreur dramatique… qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! … on est en train de mettre le feu à la planète »

(Pr Didier Raoult, 27 octobre 2020)

« C’est un grand délire, mais qui est instrumentalisé par Big Pharma et aussi les politiciens… C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques »

(Pr Christian Perronne, 31 août 2020)

« Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires »

(Dr Nicole Delépine, 18 décembre 2020)

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie »

(Dr Heiko Schöning, juillet 2020)

5– Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée

6– Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

7– Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

8– Supprimez l’obligation de tests

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9– Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial

« On n’en a aucun besoin [le vaccin]… Tout ça, c’est une histoire purement commerciale »

(Pr Christian Perronne, 16 juin 2020)

Le vaccin COVID est

« tellement, tellement inutile »

(Pr Sucharit Bhakdi, 2 décembre 2020)

« Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter… Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! »

(Pr Christian Perronne, 2 décembre 2020)

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

Le 30 novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

Si les gens acceptent le vaccin, ça sera :

« une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers… On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins »

(Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 décembre 2020)

En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place. »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière.

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et ses annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer

Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur

  • Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.
    Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire.

  • Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie, dont 80% d’enfants, à tel point que le 24 novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses.
Le collectif international : United Health Professionals


VOILÀ QUELQUES PISTES DE RÉFLEXION POUR LE PRÉSIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire…

Diffusons largement.




Bref récapitulatif d’actions en justice contre les mesures Covid-19. MàJ

Par Joseph Stroberg

Allemagne

► • Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?
Drosten, l’homme le plus recherché d’Allemagne… pour crimes contre l’humanité
Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare.
Site Web du Commité Covid : corona-ausschuss.de

France

► • Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour
• ou francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris.
Pour participer à cette action collective, envoyer un email à l’adresse suivante d’ici le 21 février 2021 :
top_mesures_liberticides@protonmail.com.
Le RAPPORT DICTATURE 2020 fait partie de cette démarche.

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements.
Le formulaire est à remplir ici :
https://association-victimes-coronavirus-france.org/participation-plainte-recours-en-indemnisation-pour-les-2-confinements/

https://reaction19.fr/ avec Maître Carlo Brusa. Ce n’est pas tout à fait le même type de démarche vu que cela passe par une adhésion payante (25 euros).

Autres pays

Poursuites judiciaires contre les mesures Covid-19
Les Canadiens poursuivent en justice l’OMS, leur premier ministre Trudeau et leurs procureurs

Les actions dans les autres pays ne semblent pas aussi globales et poussées que celle de Reiner Fuellmich pour l’Allemagne et de Me de Araujo-Recchia pour la France. Plusieurs ont cependant obtenu des effets positifs localisés.




Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

Par Dr Nicole Delépine

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent [1]

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE. Elle a donné un veto absolu. Ce ne serait pas légal !

ATTENTION, le GRAND RESET ARRIVE si nous n’y prenons pas suffisamment garde et nous laissons « enfumer » au sens propre par les variantes de la manipulation des variants Véran et autres docteurs TV trop désireux de garder leur place sur le petit écran en vendant leurs âmes aux diables.[2]

Mais la révolte gronde

Tout ne sera peut-être pas aussi simple que les adeptes de la clique de Davos semblent le penser. On peut être étonné de l’article récent du BMJ[3] jadis obéissant à la secte Covid, qui a laissé passer cet article terrible sur « l’organisation du meurtre social » selon leur expression, via le leurre covid19.

« Le « meurtre social » des populations est plus qu’une relique d’une époque révolue. Il est très réel aujourd’hui, exposé et magnifié par covid-19. Il ne peut pas être ignoré ou laisser filer. Les politiciens doivent rendre des comptes par des moyens légaux et électoraux, en effet par tous les moyens constitutionnels nationaux et internationaux nécessaires. Les échecs de l’État qui nous ont conduits à deux millions de morts sont des « actions » et des « inactions » qui devraient tous nous faire honte. »

LA GESTION INTERNATIONALE DE LA PANDÉMIE OU PSEUDO PANDÉMIE COVID NOUS RAMÈNE A DES TEMPS RÉVOLUS

« À tout le moins, covid-19 pourrait être classé comme « assassinat social », comme l’ont récemment expliqué deux professeurs de criminologie ».

ASSASSINAT CAR PRÉMÉDITÉE COMME LES DOCUMENTS QUI APPARAISSENT VIA LES AVOCATS FUELLMICH ET CIE le montrent : les faux tests PCR n’étaient pas une erreur, mais une technique de manipulation de masse, la diffusion répétée que les bien portants transformés en asymptomatiques pourraient être contagieux est une manipulation réfléchie et organisée par le conseiller Drosten[4] pour le ministère allemand et Mme Merkel et finalement dans le monde entier via l’OMS.

« Le philosophe Friedrich Engels a inventé le concept en décrivant le pouvoir politique et social détenu par l’élite dirigeante sur les classes ouvrières dans l’Angleterre du XIXe siècle. Son argument était que les conditions créées par les classes privilégiées ont inévitablement conduit à la mort prématurée et « contre nature » des humains parmi les classes les plus pauvres.

Dans The Road to Wigan Pier, George Orwell a fait écho à ces thèmes en décrivant la vie et les conditions de vie des gens de la classe ouvrière dans le nord industriel de l’Angleterre. Aujourd’hui, le « meurtre social » peut décrire le manque d’attention politique aux déterminants sociaux et aux inégalités qu’exacerbe la pandémie. »

Combien de décès excessifs faut-il pour qu’un conseiller scientifique ou médical en chef démissionne ? Combien de temps faut-il pour tester et retracer l’échec public avant qu’un ministre de la Santé ou un conseiller en chef ne se démette ? Combien de contrats lucratifs pour des tests diagnostiques non scientifiques attribués à des copains ou des erreurs dans la politique de l’éducation mèneront-ils à un licenciement ministériel ?

Obtenir réparation

Où les citoyens devraient-ils se tourner pour rendre des comptes, s’ils ne le trouvent pas dans leurs dirigeants et se sentent non soutenus par les experts et les médias ? La loi demeure une forme de recours, et en fait certaines voies juridiques, y compris la négligence criminelle et l’inconduite dans une charge publique, sont à l’étude[5] [6], bien que la preuve de telles allégations sera difficile à établir. Mais la notion de meurtre, du moins de « meurtre social », est difficile à ébranler émotionnellement, et se renforce par tous les dénis de responsabilité et chaque refus d’être tenu responsable ou de changer de cap. ».

La manipulation à grande échelle et sans l’ombre d’un scrupule de nature humaine

Des preuves de malveillance arrivent à la surface, complétant les révélations de l’avocat Fuellmich[7] et de tous ceux qui ont déjà publié des plaintes contre les gouvernements allemands, canadiens[8] ou autres. Les procès arrivent et le tribunal de Nuremberg 2 arrivera dans la foulée.

Via Polémia[9] on découvre que Die Welt, grand journal allemand, a publié la preuve[10] « que le ministère allemand de l’Intérieur avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives ». Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population. »

La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande d’après le journal die Welt, et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques.

Cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions.

Et en France ?

A quand une véritable prise de conscience de nos restaurateurs, artisans, etc. et non une complaisante soumission à des mesures aberrantes pour un virus qui n’arrive même pas à tuer plus de O,01 % des Français. Minable ce petit virus, malgré l’aide des gouvernants qui nous interdisent de traiter les malades et aident parfois à la mortalité via le Rivotril et peut-être bien via ces pseudo vaccins géniques dont personne ne connaît encore la toxicité réelle à court et moyen et long terme[11].

Le ministère de l’Intérieur allemand a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Échange de courriels dont dispose Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase de la pandémie. « Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère ».

« Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures anti- Corona ».

Un groupe de juristes a réussi à obtenir une importante correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques auprès du Robert-Koch-Institut par suite d’une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel,

« le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées ».

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient. »

Mais pourquoi ce scénario allemand qui ressemble de près à ce que nous avons vécu en France par le discours formaté identique des pseudo docteurs et scientifiques qui officiellement dicteraient au gouvernement leurs choix, mais en réalité se les feraient dicter?[12] On pourrait rapidement découvrir que les dirigeants français comme les Allemands dictent leur discours à nos docs Gilead bien récompensés par leurs loyaux services (envers le pouvoir et contre le peuple) ? Quel journaliste va -t-il mener l’enquête ?

Reparler du projet du Great Reset et du pourquoi ?

« Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS (sur le virus) a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peu partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Réinitialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique.

Forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée.

De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). »

LA CASTE DE DAVOS VA MOURIR DE SON HUBRIS

Ils ont oublié que le « tout numérique » est de fait inapplicable, car si les hommes pouvaient à la limite obéir, les éléments naturels se moquent bien de Bill Gates, de Merkel et même de Macron, trop sensibles aux variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages (crise, conflit militaire) et destructions des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) nécessaires aux transactions monétaires numériques[13]. Que devient l’argent virtuel, objet obsessionnel de tous leurs rêves en cas de panne ? On revient vite au troc et bientôt on réinvente l’argent papier, d’autant que certains des survivants auront encore quelques souvenirs.

Néanmoins l’hypnose et la sidération réussies par la manipulation convid19 favorisent la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc.

« Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales.

Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. »

[13]

Aux populations mondiales de se reprendre en main : il paraît que 10% d’éveillés résistants suffiraient à déstabiliser le plan Great Reset.

Mais si vous voulez vraiment savoir à quoi il faut vous opposer dans la vraie vie avec ce grand Reset, voilà ce qui se passe actuellement en Oregon ou pourrait s’y passer bientôt.

Le Grand Reset va être testé en Oregon — Le Média en 4-4-2 (lemediaen442.fr)

L’Assemblée législative de l’Oregon examine un projet de loi visant à permettre la saisie, l’utilisation ou la possession de toute propriété privée durant l’état d’urgence. S’il est adopté, Kate Brown, son gouverneur, aura les pleins pouvoirs sur ses administrés.

Ce nouveau projet, qui porte le nom de code HB 2239, a pour but d’étendre « l’autorité du gouverneur en matière d’usage des biens privés durant l’état d’urgence ». Certaines mesures existent déjà, mais a priori elles ne suffisent plus. HB 2239 émet les propositions suivantes :

Chaque fois que le gouverneur déclare l’état d’urgence, il peut édicter, modifier et faire appliquer des règles et des ordonnances afin de :

  • 1) Contrôler, restreindre et réglementer l’utilisation, la vente ou la distribution de denrées alimentaires, de carburant, de vêtements et d’autres produits, de matériaux, de biens et services, par le rationnement, le gel, l’utilisation de quotas, l’interdiction d’expédition, la fixation des prix, l’allocation ou autres moyens ;
  • 2) Prescrire et diriger les activités liées à l’utilisation, la conservation, la récupération et la prévention du gaspillage de matériaux, de services et d’installations, y compris, mais sans s’y limiter, la production, le transport, les installations de production d’énergie et de communication ; la formation et la fourniture de main-d’œuvre, l’utilisation des installations industrielles, les soins de santé et médicaux, la nutrition, le logement, la réhabilitation, l’éducation, le bien-être, les soins aux enfants, les loisirs, la protection des consommateurs et autres besoins civils essentiels ; et
  • 3) Prendre toute autre mesure, y compris par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel… »

En conclusion, HB 2239 donnerait au gouverneur Brown[14] un pouvoir intégral sur ce qui doit et peut être saisi, quand le saisir et comment l’utiliser. Elle aurait utilisé des tactiques d’intimidation contre des entreprises qui ne se conformaient pas à ses ordres. Déclarer l’état d’urgence lui permettra de prendre le contrôle sur toutes les propriétés privées qu’elle souhaite : hôpitaux, logements, entreprises et même les sacro-saintes armes à feu privées.

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. » « Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

Il s’agirait d’un coup d’État mondial, imposant la disparition de la propriété privée. L’État (avec aux commandes les plus grosses fortunes, Blackrock, Bill Gates, Zuckerberg…) serait seul propriétaire.

« Si la projection du forum mondial de Davos se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens de première nécessité à l’État, qui serait le seul propriétaire de tous les biens. L’offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social », a écrit le Dr Antony Mueller, professeur d’économie allemand, pour l’Institut Mises. Crédit social à la chinoise évidemment qui a réussi de main de maître un entrisme aux USA comme en Europe et tente de nous imposer ses méthodes totalitaires de passeport vaccinal, reconnaissance faciale, etc.

« Si la loi proposée par Kate Brown était votée et appliquée, l’avenir déshumanisé de la planète commencerait en Oregon ».

Nous n’en sommes pas encore là, les ressources de l’Homme mis en danger sont fabuleuses, mais il vaut mieux connaître la véritable face de l’ennemi plutôt que son avatar, le petit virus. Nous serons mieux préparés.


Notes

[1] Passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation (francesoir.fr)

[2] Propriétaires et prolétaires, même combat https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant | The BMJ Kamran Abbasi, rédacteur en chef, kabbasi@bmj.com

[4] L’heure des comptes Drosten France soir par N Delépine

[5] BMJ2020 ; 370 :m3424. doi :10.1136/bmj.m3424 pmid :32878884

[6] Boyle D. Ex-procureur Nazir Afzal a demandé à ses avocats de voir s’il y a des preuves pour poursuivre Boris Johnson pour inconduite dans la fonction publique que covid-19 nombre de morts passe 100.000. Daily Mail 2021 26 janvier. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9190235/Ex-CPS-chief-Nazir-Afzal-instructs-lawyers-consider-Boris-Johnson-prosecution.html

[7] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[8] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[9] Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia et Olivier Demeulenaere — Regards sur l’économie | Blog de réinformation sur l’actualité économique et financière (et autre !) (wordpress.com)

[10]  Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

[11] Si problème évitez les urgences qui en sont encore au doliprane en février 2021 et trouvez un médecin engagé dans votre département à partir du site « laissonslesprescrire » et le manifeste des médecins engagés. https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

[12] Ces manipulations maintenant dévoilées en Allemagne rappellent tout à fait le rapport 9 de Ferguson présenté en catimini à Macron puis la pseudo étude des élèves de l’école de l’école de santé publique prétendant contre toute évidence que le confinement aurait sauvé 60000 français

[13] Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] Kate Brown a récemment prolongé l’état d’urgence jusqu’en mars 2021 — les 1882 décès dus au Covid sur une population de 4,26 millions d’habitants lui paraissant le justifier




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Le conseiller C. Drosten de Merkel une nouvelle fois en justice pour fausses allégations

Par Dre Nicole Delépine

Nouvelle attaque de l’avocat Fuellmich contre Drosten et ses conseils dramatiques la gestion du Covid

Le Dr Reiner Fuellmich, avocat, persiste et signe contre C. Drosten, conseiller de la chancelière et responsable de la cascade de décisions délétères à propos du Covid, dont les tragiques confinements.

En complément de la plainte pénale portée par Maître Fuellmich en novembre 2020 au nom de son client lésé par la fermeture autoritaire de son établissement bar avec karaoké, l’avocat fait une procédure judiciaire civile [1] pour obtention de dommages et intérêts, contre le directeur de l’institut Robert Koch et conseiller de Mme Merkel (et par dominos de l’ensemble des dirigeants mondiaux) sur la crise Covid, Mr C. Drosten. Nous rapporterons ici les éléments nouveaux et/ou majeurs sur lesquels insiste l’avocat, les articles précédents détaillant les arguments déjà évoqués.[2]

Cas du plaignant, exploitant d’un bar et représentant de fait de tous les petits entrepreneurs ruinés

Le plaignant est exploitant d’un grand bar à karaoké très populaire à Berlin, qui connaît un grand succès depuis des années. Depuis la mi-mars 2020, le plaignant n’a pu générer aucun revenu de ce bar, car il a été forcé de rester fermé en raison du confinement. Le demandeur n’a reçu aucun paiement en réponse à une demande d’aide d’urgence présentée par le demandeur.

Ce n’est qu’après la publication de la lettre d’avertissement sur laquelle se fonde cette action que le demandeur a soudainement reçu des paiements substantiels s’élevant — à ce jour — à 92 235,64 € ; l’aide de novembre et décembre a été promise. Toutefois, le demandeur n’est toujours pas autorisé à reprendre ses activités commerciales, de sorte que de nouveaux dommages s’accumulent ; cette action vise initialement à obtenir des dommages-intérêts partiels pour le mois de janvier 2021. La demande de jugement déclaratif garantit que les dommages futurs, encore non quantifiables, sont également couverts.

Dans cette procédure, l’avocat rappelle les exigences faites auprès de l’accusé (défendeur) C. Drosten, conseiller scientifique de la chancelière, par lettre extrajudiciaire datée de décembre 2020 : il lui a demandé de s’abstenir de faire un total de cinq fausses allégations factuelles et par ailleurs de rembourser au demandeur les dommages partiels du confinement résultant de ces fausses allégations factuelles et des recommandations du défendeur pour un montant initial de 50 000 euros.

L’avocat réexpose les allégations mensongères de l’accusé qui ont fondé la politique sanitaire du gouvernement allemand et en conséquence de la plupart des pays affiliés à l’OMS qui ont suivi les affirmations et conseils de C. Drosten l’accusé. Ces mensonges sont évidemment particulièrement graves en raison de leur impact mondial, les confinements ayant ruiné une bonne partie de l’humanité.

L’accusé C. Drosten qui joue en Allemagne le même rôle le professeur Delfraissy et coll. auprès du président français, est poursuivi pour cause d’omissions et de dommages et intérêts.

L’avocat demande

  1. de condamner l’accusé, sous peine d’une amende maximale de 250 000 euros ou, à défaut, d’un emprisonnement à durée indéterminée pouvant aller jusqu’à six mois s’il ne s’abstient pas de faire les déclarations suivantes et/ou de diffuser ces déclarations (mensongères) et/ou de les faire diffuser : Le CoV-2 du SRAS est un pathogène entièrement nouveau qui peut même être transmis par des personnes qui ne présentent elles-mêmes aucun symptôme. Par conséquent, la seule solution est de diagnostiquer la maladie COVID-19 (remarquée ou non) au moyen d’un test PCR. Deux affirmations qui sont des mensonges avérés qui ont conduit aux aberrations de confinement généralisé, masques, etc.
  2. L’accusé est condamné à verser au requérant des dommages-intérêts d’un montant de 5 000 euros.
  3. Il est déclaré par la présente que l’accusé est tenu d’indemniser le demandeur pour tous les autres dommages, non encore quantifiables, que le demandeur a subis et subira en raison des mesures de verrouillage fondées sur les allégations visées aux points 1. a et b ci-dessus.
  4. Condamner la partie défenderesse (accusée) aux dépens du litige.

    En outre, l’avocat demande

  5. Si aucune première date n’est fixée pour la procédure orale, au cas où l’accusé ne respecterait pas un délai qui lui a été fixé 3
  6. en vertu de l’article 283 du code de procédure civile, de présenter par écrit, dans un délai fixé par le tribunal, l’exposé des conclusions de l’opposant qui n’ont pas été communiquées en temps utile avant la date de l’audience ;
  7. une copie intégrale de l’arrêt
  8. dans le cas où le jugement est exécutoire à l’encontre du requérant, accorder un titre exécutoire
  9. de certifier la date de signification aux défendeurs.

Les fausses hypothèses fondement de la politique anticovid du gouvernement fédéral allemand basée sur les fausses affirmations de l’accusé

Les mesures prises par le gouvernement fédéral, puis par les gouvernements des États fédérés, pour endiguer la pandémie dite COVID-19 reposent sur les hypothèses suivantes, qui reposent sur les affirmations de l’accusé en tant que principal conseiller du gouvernement fédéral telles qu’elles ont déjà été exposées dans la lettre du 15.12.2020 (annexe K 1)

En bref : cinq affirmations erronées ont été à la source de manipulations majeures et fatales pour une bonne partie du monde :

  • pas d’immunité de base ;
  • deuxième fausse déclaration : infectiosité sans symptômes ;
  • la troisième fausse déclaration : les diagnostics basés sur la PCR ;
  • la quatrième fausse déclaration : surcharge imminente des systèmes de soins de santé ;
  • la cinquième fausse déclaration : les restrictions à la liberté comme remède, l’imbrication des allégations de verrouillage délibérément fausses.

Deux fausses affirmations sont détaillées dans la procédure.

  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle il existe des infections asymptomatiques qui a conduit à l’erreur selon laquelle même les personnes ne présentant aucun symptôme de maladie sont potentiellement des sources très dangereuses d’infection par le virus CoV 2 du SRAS.
  • C’est l’affirmation factuelle erronée selon laquelle le test PCR de Drosten peut être utilisé pour déterminer des infections spécifiques et, plus important encore, l’infectiosité des « positifs » qui a conduit à l’erreur selon laquelle ce test peut être utilisé pour déterminer l’étendue des infections dans la population, sur la base de soi-disant « numéros de cas » spécifiques.

Les tests PCR ne sont pas seulement inadaptés au diagnostic individuel, mais aussi au dépistage. Le seul facteur décisif peut et doit être le nombre de personnes qui tombent malades, le nombre de celles qui doivent être hospitalisées, le nombre de celles qui doivent être traitées en soins intensifs et le nombre de celles qui doivent être ventilées.

L’instrument permettant d’évaluer de manière fiable ces événements existe depuis longtemps à l’Institut Robert Koch, notamment dans le domaine de la surveillance de la grippe : le programme sentinelle. Il est totalement incompréhensible que cela ne soit pas utilisé dans une plus large mesure pour le COVID-19. Le chef du département de santé publique d’Aichach-Friedberg (entre-temps transféré), Friedrich Pürner, avait récemment demandé à juste titre que les instruments sentinelles soient également utilisés pour la surveillance COVID-19.

L’OMS a également reconnu que le défendeur a trompé l’humanité entière dans le monde entier à l’aide de la méthode de test qu’il a mise au point par ses communiquées de décembre 2020 et janvier 2021, mettant en cause les tests PCR détachés de l’examen clinique.

Faits

Les parties affirment que les allégations de l’accusé exposées ci-dessus et ses recommandations de confinement basées sur celles-ci sont de fausses déclarations sur lesquelles les injonctions de confinement mises en œuvre par le gouvernement fédéral obligent le défendeur à payer des dommages et intérêts au plaignant.

Contexte international des positions de Drosten : le Great Reset

Le contexte plus large des déclarations litigieuses n’est qu’indirectement pertinent pour le jugement en l’espèce. Il concerne en particulier le fondateur de Microsoft Bill Gates pendant des années, notamment via le Forum économique mondial, qui a propagé ce que l’on appelle le « Great Reset » [La Grande Réinitialisation], très controversé, qui a pour objet un « redémarrage » sociopolitique mondial dirigé par les entreprises. [4]

Le journaliste Paul Schreyer décrit dans son rapport « Pandemic-Planspiele » l’imbrication des « élites » des entreprises avec les « élites » politiques, qui se rapprochent de plus en plus depuis au moins 20 ans.

Il y décrit également comment ces « élites » ont délibérément et pendant des années tenter non seulement de conserver leur pouvoir — illégitime —, mais de l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et les plus inhumains, avant que les objets (= tous les autres humains devenus parties prenantes donc objets) de ces mécanismes de contrôle ne le remarquent et ne puissent se révolter contre lui. Il faut ici penser aux contrôles des citoyens chinois par leur dictature que nos gouvernements occidentaux adeptes de la grande réinitialisation (lire le livre de Klaus Schwab) souhaitent appliquer aux peuples européens.

Le professeur de psychologie générale Dr Rainer Mausfeld avait expliqué au début de 2019, dans sa conférence « Pourquoi les agneaux sont-ils silencieux » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — met en scène de manière répétée la peur et la panique et l’utilise comme un outil pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement.[5] Et l’ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquière d’affaires Catherine Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown » [6] comment ces « élites » mettent en œuvre ou tentent de mettre en œuvre économiquement la reprise des actifs de la classe moyenne (car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement, certains scientifiques supposent même un pourcentage inférieur).

Cela s’explique notamment par le fait que les premières zones où se trouvent des petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, sont « fermées » par le confinement, de sorte que ces entreprises — comme le plaignant et son bar de karaoké — ne peuvent plus obtenir de revenus, notamment parce que leurs crédits et leurs loyers ne peuvent plus être payés.

L’aide est annoncée — comme dans le cas du plaignant — mais n’est en réalité versée que de manière limitée, voire pas du tout.

Ensuite, des émeutes sont organisées dans ces régions — cela ne s’applique peut-être actuellement qu’aux États-Unis — entraînent la destruction physique supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues. Les « investisseurs » privilégiés sur le plan fiscal, à savoir les sociétés susmentionnées, reprennent alors ces sociétés quasi gratuitement.

La pression des médias appartenant essentiellement aux milliardaires qui tentent de mettre en œuvre le Great Reset

Les mêmes personnes et sociétés qui ont investi dans les industries pharmaceutiques et technologiques dans le cadre de ce soi-disant « Great Reset » ont investi également massivement dans les médias grand public, par lesquels C. Drosten l’accusé a diffusé à plusieurs reprises ses allégations à un large public, y compris dans le cadre de son podcast dit NDR pendant de nombreux mois.

Le professeur Martin Schwab de l’université de Bielefeld a expliqué, dans une vaste expertise intitulée « Liberté d’opinion et discours scientifique dans la crise du Covid19 », comment les paiements massifs versés aux médias principaux, y compris publics, ont eu et continuent d’avoir un effet au détriment des reportages informatifs habituels, dans lequel il traite également de la diffusion des allégations de l’accusé via les Ndr-podcasts. Le professeur Schwab avait préparé cet avis d’expert pour le Dr Wolfgang Wodarg, un expert reconnu violemment diffamé au début de la crise Covid19 en raison de sa position critique.

Contexte de la personnalité et des antécédents du conseiller C. Drosten

En plus des faits rapportés dans la procédure initiale du 23 novembre, l’avocat revient sur le parcours de C Drosten qui conseille la chancelière allemande et de fait l’OMS et le monde entier. L’hebdomadaire Stern titrait, ébloui, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. » [7]

Fuellmich s’étonne des éléments particuliers de son parcours professionnel discordant pour le moins avec l’importance et la gravité de ses fonctions.

Erreurs multiples dans les années précédentes lors des crises sanitaires

L’accusé est le directeur de l’Institut de virologie de la Charité Universitätsmedizin de Berlin. Dans le passé, il a attiré l’attention sur le fait que ses pronostics toujours alarmistes et extrêmement inquiétants sur certaines maladies virales, associés à des recommandations de vaccination, se sont révélés catastrophiquement erronés.

Par exemple, le cirque du SRAS

– lors de l’épidémie de SRAS en 2003, à propos du virus du SRAS (autre coronavirus), il a affirmé que ce virus pouvait être combattu avec un vaccin efficace, mais seulement en un ou deux ans, mais qu’il entraînerait — « si l’épidémie ne pouvait pas être repoussée » — de telles maladies pulmonaires encore et encore, et aurait « de graves effets sur les économies nationales ».

En fait, le SRAS s’est avéré relativement inoffensif. Selon l’OMS, il n’y a eu que 8096 cas de SRAS dans le monde depuis la découverte du virus du SRAS, avec 774 décès. En Allemagne, il y a eu 9 cas et pas un seul décès.

En ce qui concerne la grippe porcine 2009 (virus de la grippe, sous-type A/[H12N1] 2009/2010), qui s’est avérée être une grippe bénigne, il a lancé un appel urgent — sans aucune donnée fiable sur le nombre de cas — pour être vacciné contre la grippe porcine, affirmant que le vaccin n’était pas disponible : « La maladie est une infection virale grave et courante qui a des effets secondaires beaucoup plus graves que ce que l’on peut imaginer du pire vaccin ». L’épidémie qu’il avait prophétisée ne s’est jamais produite.

On remarque, comme le dit également Fuellmich le parallélisme entre les prophéties délirantes de Drosten et celle du mage anglais Ferguson, sur les mêmes sujets avec les mêmes déclarations fausses et délirantes, démontrant si besoin en était, la collusion des gouvernements occidentaux en accord avec le conseil sanitaire de l’OMS.

Les prophètes avaient provoqué la panique dans la politique en faveur des entreprises pharmaceutiques et commandé des vaccins pour des milliards d’euros — en Angleterre et en France seulement plus de 2 milliards d’euros — sur la base de contrats tenus secrets jusqu’à aujourd’hui, que la grande majorité de la population allemande (correctement conseillée par les médecins généralistes, qui à l’époque n’étaient pas encore contournés par les « centres de vaccination ») a cependant refusés. Lorsqu’il s’est avéré que la prétendue épidémie était une saison de grippe légère, les vaccins ont dû être détruits, ce qui a coûté des millions d’euros.

Toutefois, dans certaines régions d’Europe, les vaccins avaient déjà été inoculés et avaient causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même, à savoir des handicaps graves et très sérieux chez environ 1 300 personnes, par exemple sous la forme de narcolepsie.

Le dossier universitaire de l’accusé également devenu très controversé

La recherche de sa thèse fut un long parcours du combattant pas vraiment couronné de succès.

Un rapport de synthèse sur les prédictions dramatiquement erronées, le parcours académique manifestement falsifié, mais aussi sur les liens financiers de l’accusé avec les fabricants de tests PCR et d’autres incohérences le concernant peut être trouvé sur le lien suivant : https://www.kla.tv/17877

La procédure revient sur ce que devrait être un conseiller des politiques à ce niveau de responsabilité

L’avocat évoque une des dernières prises de position de Drosten en décembre lors de la déclaration Léopoldine, l’équivalent de notre conseil scientifique.

« La déclaration dite ad hoc de Léopoldine n’est pas un document scientifique ni un résumé scientifique de l’état de la recherche. Il s’agit d’un assortiment de déclarations inquiétantes sur la situation actuelle, combinées à des propositions drastiques censées tirer leur autorité du fait que les auteurs occupent désormais des postes de haut niveau dans l’entreprise de recherche ».

Dans une lettre adressée à l’Académie des sciences de Mayence, Thomas Aigner a souligné avec insistance que peu après la publication du 7e avis ad hoc, des voix du terrain prédisaient l’échec de la politique de confinement.

« À mon avis, ce document n’est pas digne d’une science honnête, équilibrée, orientée vers le service et le bien-être ».

Cette évaluation est également pertinente sur le plan juridique.

Un chapitre de cette procédure civile est particulièrement pertinent et intéressant pour nous français, posant les qualités que devraient posséder les « experts » qui conseillent les présidents ou ministres, étant donné les enjeux majeurs de leurs préconisations. La procédure engagée ici contre « l’étoile allemande » Drosten, montre que ces messieurs ou dames ne devraient pas dormir tranquilles sur le tas de leurs diplômes universitaires réels ou fantasmés, et redouter que la roue tourne surtout quand tant de personnes vont sombrer dans la misère ou mourir à cause d’eux. Tels les membres de notre conseil scientifique dont les comptes-rendus de réunions ne sont pas accessibles, jamais écrits, semble-t-il.

Qualité des experts selon Maître Reiner Fuellmich exposée dans sa procédure contre Drosten.

Les exigences de base : Expertise, objectivité et neutralité

« Toute personne qui conseille l’État doit remplir trois postulats de base : expertise, objectivité et neutralité. Pour l’expert judiciaire, cela découle des codes de procédure : Il doit, du fait de la nature de l’affaire, représenter en sa personne l’expertise pertinente et, conformément à l’article 406 ZPO, s’expose à un refus pour crainte de partialité s’il n’utilise pas son expertise de manière objective et neutre. Cependant, rien d’autre ne s’applique aux conseils aux autres branches du pouvoir de l’État. [8]

En fournissant un avis expert, objectif et neutre, l’expert doit se montrer à la hauteur du rôle que l’organisme gouvernemental conseillé lui confie.

Le conseiller ne doit pas seulement se porter garant de ces postulats en sa personne, mais le résultat du conseil en tant que tel doit également témoigner de ces vertus.

Comme les conseils donnés aux hommes politiques conduisent délibérément à une action de l’État, ils ne sont pas non plus protégés par l’article 5.3 de la loi constitutionnelle. Le conseil politique participe plutôt à l’engagement des décideurs de l’État en faveur des droits fondamentaux.

Dans ce cas, l’argument bien connu de la Cour constitutionnelle fédérale en matière de confusion s’applique également à eux : quiconque est tenu à la liberté ne peut pas en même temps avoir droit à la liberté. [9]

Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable sur le fait que l’activité de l’accusé telle qu’elle est décrite ci-dessus constitue un conseil politique. C’est ce qui ressort des explications données par l’accusé lui-même au sujet du document de Leopoldina mentionné ci-dessus.

Le 7e avis ad hoc doit être compris comme un “un avertissement clair et définitif de la science” aux politiciens. »

On peut conclure en conséquence que le conseiller Drosten est responsable de ses avis qui ont indéniablement influencé les politiques et les juges et donc en assumer les conséquences civiles et pénales. Cette responsabilité directe devrait s’appliquer aux membres du conseil scientifique français et singulièrement du Pr Delfraissy dont les déclarations télévisées exigeant un confinement dépassent ses missions, mais surtout dépriment les Français qui l’écoutent. Il devrait tenir compte du jugement du tribunal de Berlin déclarant inconstitutionnel le confinement et des nombreuses études internationales qui démontrent que les confinements n’ont pas sauvé de vies, mais ont tué des humains au contraire.[10] à [20]


Notes

[1] Green Mango GmbH, Bülowstrasse 56, 10783 Berlin, représentée par le directeur général, M. Nils Roth
– Demandeur –
représenté par : Dr Fuellmich & Associates, avocats, Sen-derstrasse 37, 37077 Göttingen, Allemagne
Sync and corrected by Dr. Jackson for
Christian Drosten, c/o Charité – Universitätsmedizin Berlin, Institut de virologie, Charitéplatz 1 à 10117 Berlin Tribunal d’arrondissement de Berlin Tegeler Weg 17 – 21
10589 Berlin 21 01 21

[2] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[3] conformément à l’article 276, paragraphe 1, du code de procédure civile, de décider par défaut conformément à l’article 331, paragraphe 3, du code de procédure civile

[4] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[5] https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[6] https://www.youtube.com/watch?v=LVuA98P4aA8&feature=youtu.be (version originale anglaise)

[7]  kla.tv/index. PHP a=showlanguage&lang=fr cité par Drosten poursuivi pour crimes contre l’humanité — (ripostelaique.com)

[8] Martin Schwab, Rechtsfragen der Politikberatung im Spannungsfeld zwischen Wissenschaftsfreiheit und Unternehmensschutz, 1999, p. 370 s.) :

[9] (BVerfGE 61, 82 100).

[10] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemics https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[11] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage du Covid allemand était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[12] Norvège : « le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus » 29 mai 2020 Strategika

[13] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et coll. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[14] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse nationale mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[15] Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international « Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[17] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ? Préimpression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[18] R Shlomai, Ari Leshno, Ella H Sklan, Moshe Leshno Modélisation de stratégies de distanciation sociale pour empêcher la propagation du SRAS-CoV2 en Israël – Une analyse coût-efficacité » par Ami. Pré-impression MedRxiv. 20

[19] Morris Altman Smart Thinking, Lockdown et COVID-19 : Implications pour les politiques publiques

Journal of Behavioral Economics for Policy, 2020 Publié le : 26 mai 2020

[20] Christian Bjørnskov « Le verrouillage a-t-il fonctionné ? Comparaison transnationale d’un économiste » Document de travail du SSRN, 2 août 2020.




Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice

[Source : FranceSoir]

Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL, décision politiquement majeure[1]

Weimar sera-t-elle à nouveau le lieu de révolutions juridiques comme au temps où fut élaborée, après la première guerre mondiale, la constitution mettant fin à l’empire.[2] En tous cas le jugement qui déclare inconstitutionnel le confinement fait grand bruit en Allemagne et donne lieu à plusieurs articles. Espérons qu’il réveillera aussi les consciences françaises, leur donnant le courage d’attaquer en justice ces mesures liberticides et injustifiées inspirées par l’OMS qui guide nos gouvernements[3] et leur promet des aides financières via le FMI comme le président de Biélorussie l’a clairement exposé.[4]

Le jugement de Weimar considéré comme majeur

Les règles de distanciation sociale imposées par le gouvernement de Thuringe sont jugées incompatibles avec la Constitution du pays. Grâce à l’analyse médico-légale des données officielles, le jugement affirme que la situation épidémique utilisée pour justifier la loi n’existe pas. L’avocat Reiner Fuellmich qui a initié les premières plaintes et procédures allemandes et américaines commente ainsi[5] :

« Nous considérons ce jugement comme extraordinaire et d’une importance fondamentale. Il est transférable à toutes les violations des mesures Covid19. Il est également transférable au Confinement actuel renouvelé et à toutes les réglementations liées au coronavirus en vigueur. Parce que les “nombres de cas” diminuent, tout comme les patients des unités de soins intensifs ! Le juge le confirme avec une excellente démonstration. »

Récit

 A l’occasion d’un jugement d’un homme ayant selon l’accusation « violé » (voilà un bien grand mot), le confinement strict imposé par le gouvernement de l’État central de Thuringe au printemps dernier, la légalité des mesures imposées en Allemagne pour juguler une épidémie de gravité discutable revient à la une. Ceci est d’autant plus intéressant que certains pays dont le nôtre parle de reconfinement alors que l’épidémie stagne ou diminue, qu’il existe des traitements précoces efficaces et que l’écrasante majorité des hôpitaux ne sont pas pleins contrairement à ce que nos autorités annoncent ci et là.

Les faits

Ce monsieur avait célébré un anniversaire avec ses sept[6] amis. Le 24.04.2020, l’intéressé se trouvait dans la soirée avec au moins sept autres personnes dans l’arrière-cour de la maison X-Straße 1 à W. pour célébrer l’anniversaire de l’un des participants. Les huit participants au total se répartissaient entre sept ménages différents. Or le séjour dans l’espace public n’est autorisé que seul, dans le cercle des membres de son propre foyer et, en outre, au maximum avec une autre personne non-domestique » selon le règlement local.

 Le juge de Weimar a condamné une restriction limitant les rassemblements privés aux membres d’un même foyer et à une personne extérieure à celui-ci, règlement que n’avait pas respecté l’accusé. Le juge a déclaré que le gouvernement régional lui-même avait violé la « dignité humaine inviolablement garantie » garantie par l’article 1 de la loi fondamentale allemande en imposant de telles restrictions.

L’accusé a été acquitté et dispensé de la nécessité de payer une amende de 200 euros (243 dollars).

Aucune raison suffisante au confinement

 Selon le tribunal, le gouvernement n’avait pas de motifs suffisants pour imposer ces restrictions puisqu’il n’y avait pas de « situation épidémique d’importance nationale » à l’époque et que le système de santé ne risquait pas de s’effondrer, l’Institut Robert Koch ayant signalé que le coefficient de multiplication de Covid-19 était alors tombé en dessous de 1.

À aucun moment, il n’y a danger concret que le service de santé soit submergé par une « vague » de patients atteints de COVID-19. Selon le registre établi le 17 mars 2020, une moyenne d’au moins 40% de lits de soins intensifs en Allemagne étaient disponibles en permanence. En Thuringe, 378 lits ont été enregistrés occupés le 3 avril, dont 36 chez   des patients covid-19. Pendant ce temps, il y avait 417 lits vacants. Le 16 avril, deux jours avant la publication du règlement, 501 lits ont été enregistrés occupés, 56 covid-19, et 528 lits étaient vacants… La Thuringe a enregistré son plus grand nombre de patients covid-19 notifiés au printemps à 63 (le 28 avril). Ainsi, à aucun moment le nombre de patients atteints de COVID-19 n’a atteint un niveau qui aurait pu justifier les craintes d’un débordement du système de santé.

Cette estimation des dangers réels du COVID-19 au printemps 2020 est confirmée par une évaluation des données de 421 cliniques appartenant à l’Initiative Qualitätsmedizin, qui a constaté que le nombre de cas d’infections respiratoires aiguës ( IRA sévère)  hospitalisées en Allemagne au premier semestre 2020 était de 187 174 – inférieur au chiffre du premier semestre 2019 (221 841 cas) , même si ce chiffre incluait les cas d’IRA causés par covid. La même analyse a montré que le nombre de cas en soins intensifs était inférieur au premier semestre 2020 à celui de 2019…

Le juge a également déclaré que le gouvernement régional n’avait pas le droit d’introduire des mesures d’une telle portée puisqu’il appartenait au législateur de le faire (du parlement et non aux juridictions de district).

Le tribunal de Weimar a affirmé que le confinement printanier de la Thuringe était une « décision politique catastrophiquement erronée, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les domaines de la vie des gens ».[7]

Situation sanitaire et confinement : décision disproportionnée

Le confinement imposé en Thuringe représente « les restrictions les plus complètes et les plus profondes des droits fondamentaux dans l’histoire de la République fédérale », a déclaré le tribunal, qualifiant ces mesures d’attaque « disproportionnée » contre les « fondements de notre société  ».

Conséquences d’une ordonnance régionale

La décision n’est pas juridiquement contraignante en dehors de Weimar, bien que chaque tribunal allemand puisse rendre un jugement sur la constitutionnalité des ordonnances émises par toute autorité autre que le Bundestag, parlement fédéral ou un parlement régional.  Sauf loi votée, chaque tribunal peut contredire les règlements s’ils paraissent injustifiés

Retentissement du jugement de Weimar parmi certains fonctionnaires et médias locaux

Comme les autres pays soumis au conseil sanitaire international de l’OMS, les mesures de confinement sont régulièrement re-imposées, et clairement sans aucun lien avec la virulence de l’épidémie variable selon les régions, mais suivant  fidèlement le schéma de Ferguson qui a prévu en mars 2020 (rapport 9) la succession de six confinements, afin de pouvoir passer à la grande réinitialisation prévue par le forum économique et mondial de Davos (lire le précis de Klaus Schwab disponible sur internet du même nom). Cette crise est purement politique avec un prétexte sanitaire.

L’Allemagne applique à nouveau un confinement strict assez similaire à celui qui a été imposé par le gouvernement fédéral en novembre et qui a été étendu et renforcé à plusieurs reprises depuis lors[8]. Le cabinet de la chancelière Angela Merkel a prolongé les restrictions jusqu’à la mi-février.

Appel de la région contre le jugement du tribunal de Weimar

Le ministère public régional de Thuringe a déposé une plainte contre la décision de justice, demandant qu’elle soit réexaminée et éventuellement annulée, l’affaire étant confiée à un autre juge. Le jugement doit être « révisé pour développer la loi et assurer une juridiction unifiée » en ce qui concerne le confinement et sa violation, selon un porte-parole du bureau du procureur, Hannes Gruenseisen, aux médias locaux.

Le confinement passe mal en Allemagne, d’autant que le pays a beaucoup mieux résisté que la France à l’épidémie probablement en raison du traitement précoce et discret des malades par l’hydroxychloroquine, antibiotiques et vitamines etc., dès le début, un isolement des malades, et souffre en conséquence[9] un plus faible taux de mortalité (622/million au 26/1, d’après l’OMS. La France au contraire a interdit les traitements précoces et pratiqué un confinement dit aveugle car mélangeant malades et bien portants conduisant à une explosion de la mortalité directe (1113/M) et indirecte par défaut de soins et autres complications du confinement.

L’Allemagne a connu à plusieurs reprises des manifestations contre cette mesure dans différentes villes au cours de l’automne et de l’hiver 2020. À un moment donné, les manifestants ont même comparé leur lutte à la résistance anti-nazie, ce qui n’a pas plus au ministre allemand des affaires étrangères Heiko Maas.

Justification de l’annulation de l’accusation

L’intéressé a dû être acquitté pour des raisons juridiques parce que les articles lesquels se basaient l’accusation sont inconstitutionnels et donc annulés.[10]

Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale  s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires de district.

« Le jugement est puissant[11] :

Le juge a conclu qu’il n’y avait pas de « lacunes inacceptables en matière de protection » qui auraient pu justifier le recours à des règlements généraux.  Ces mesures « violent la dignité humaine garantie inviolable » à l’article 1, paragraphe 1 de la Constitution fédérale. »

Accusation dévastatrice contre le gouvernement fédéral.

 Il est frappant de constater à quel point le juge Weimar a conclu froidement cette discussion de plusieurs mois :  l’interdiction générale des contacts est une intervention sévère en matière de droits civiques. Il fait partie des libertés fondamentales de l’individu dans une société libre de déterminer par lui-même avec qui (sur présomption de consentement) et dans quelles circonstances il ou elle entrera en contact.

La rencontre libre entre les gens à toutes fins imaginables est aussi une base fondamentale pour la société.

L’obligation de l’État en l’espèce est catégoriquement de s’abstenir de toute intervention qui réglemente et limite délibérément cette mesure. Les questions du nombre de personnes qu’un citoyen peut inviter à son domicile ou du nombre de personnes qu’un citoyen peut rencontrer dans un lieu public pour se promener, faire du sport, faire des courses ou s’asseoir sur un banc de parc n’ont absolument aucun intérêt légitime pour l’État.

En imposant une interdiction générale du contact, l’État – bien qu’avec de bonnes intentions – attaque les fondements de la société en imposant une distance physique entre les citoyens (« distanciation sociale »).

 Personne, même en janvier 2020, n’aurait pu imaginer, en Allemagne, être empêché par l’Etat sous peine d’une amende d’inviter ses parents chez eux sans bannir d’autres membres de leur famille de la maison, le temps qu’ils étaient là. Personne n’aurait pu imaginer qu’il soit interdit de s’asseoir avec trois amis sur un banc de parc. Jamais auparavant, en Allemagne, l’État n’avait eu l’idée d’imposer de telles mesures pour contrer une épidémie.

Même l’analyse des risques en 2013

« Pandémie causée par le virus de type SRAS » (publication du Bundestag 17/12051), qui décrivait un scénario de 7,5 millions de morts en 3 ans, ne considère pas d’interdiction générale des contacts (ou d’interdiction de quitter le domicile ou de suspension générale de la vie publique). Outre la quarantaine et l’isolement des personnes infectées, les seules mesures anti-épidémies dont il parle sont la fermeture d’écoles, l’annulation d’événements de masse et la question des recommandations d’hygiène »

(BT 17/12051, p. 61f).

« Bien qu’il semble qu’un changement de valeurs ait eu lieu au cours des mois de la crise de Covid, avec pour conséquence que beaucoup de gens trouvent des procédures  autrefois considérées comme absolument exceptionnelles plus ou moins « normales » – ce qui, bien sûr, modifie également les perspectives sur la Constitution – il ne fait aucun doute qu’en imposant une interdiction générale des contacts, le parlement  démocratique a brisé ce qui était auparavant considéré comme un tabou évident. »

« Il convient également de noter – comme un aspect digne d’une attention particulière – que l’État, en imposant son interdiction générale des contacts dans le but de se protéger contre l’infection, traite chaque citoyen comme une menace potentielle pour la santé de tiers. Si chaque citoyen est considéré comme une menace dont les autres doivent être protégés, ce citoyen est également privé de la possibilité de décider quels risques prendre – qui est une liberté fondamentale. »

Le choix d’un citoyen de visiter un café ou un bar le soir et de courir le risque d’une infection respiratoire au nom de l’interaction sociale et du plaisir dans la vie, ou de faire preuve de prudence parce qu’il a un système immunitaire affaibli et préfère donc rester à la maison, est supprimé en vertu des dispositions d’une interdiction générale des contacts. »

Le rapport détaille ensuite l’examen par le juge des dommages collatéraux causés par le confinement

  • Les baisses de bénéfices, les pertes subies par les entreprises, les commerçants et les professionnels indépendants comme conséquences directes des restrictions imposées à leurs libertés. Pertes pour les fournisseurs d’entreprises directement touchées ; pertes résultant de la rupture des chaînes d’approvisionnement entraînant des arrêts de production ; pertes résultant de restrictions de voyage.
  • Pertes salariales dues à des heures réduites ou au chômage
  • Faillites et destruction des moyens de subsistance et coûts conséquents des faillites et destruction des moyens de subsistance ».

Pour Berlin, l’administration sénatoriale a rapporté une augmentation de 23 % des mauvais traitements infligés aux enfants pour le premier semestre 2020[12].

 Selon une enquête représentative (Steinert/Ebert), pendant la période de confinement  au printemps, environ 3 pour cent des femmes en Allemagne ont été victimes de violences physiques à domicile, 3,6 pour cent ont été violées par leur partenaire, et dans 6,5 pour cent de tous les foyers les enfants ont été sévèrement punis.

Le nombre de suicides enregistrés statistiquement en Allemagne n’est pas encore disponible pour 2020, mais l’administration sénatoriale de Berlin a fait état d’une augmentation potentiellement significative du nombre de suicides.

Lors du confinement du printemps, plus de 908.000 opérations ont été annulées en Allemagne, non seulement d’opérations dites non urgentes, telles que l’implantation de prothèses de l’articulation du genou et de la hanche, de l’arthroscopie du genou, des chirurgies de la cataracte, etc., mais aussi de 52 000 opérations contre le cancer.[13]

Selon une méta-analyse publiée (British Medical Journal) en novembre[14]  ce retard augmente déjà le risque de décès de 6 à 13 % selon le type de cancer, un report de huit semaines pour le cancer du sein de 13 pour cent, un report de douze semaines de 26 pour cent. Sans pouvoir chiffrer plus en détail, il ne fait aucun doute que l’annulation des opérations a également entraîné des décès en Allemagne.

Une étude menée par la Clinique du Haut-Rhin Waldshut-Tiengen[15] a examiné la surmortalité dans le district de Waldshut (170.000 habitants) en avril 2020. En moyenne, 165 personnes y sont mortes entre 2016 et 2019 en avril, contre 227 en 2020, soit une surmortalité de 37 %. Sur les 62 décès supplémentaires, 34 seulement ont pu être associés au covid19, 28, soit 45% de la surmortalité sont dus à d’autres causes de décès. Les auteurs de l’étude attribuent ces cas à la réduction de l’utilisation des structures médicales d’urgence. Deux fois plus de personnes ont été retrouvées mortes chez elles que la moyenne comparative.  Ces chiffres indiquent que des décès sont dus à une sous-utilisation ou à un retard dans l’utilisation des soins de santé.

Des dommages à court moyen et long terme ont été pointés par le tribunal

  • (1) Perte de scolarité, d’enseignement et atteinte au développement psychosocial des enfants en raison de l’échec ou des restrictions de l’enseignement scolaire ou de la fermeture d’autres établissements d’enseignement
  • (2) Perte de suggestions culturelles ou d’expériences dues à la fermeture de théâtres, de salles de concert ou d’opéra et de nombreuses autres institutions culturelles
  • (3) Perte de possibilités d’épanouissement artistique par des interdictions qui interdisent la musique commune dans les orchestres ou les chœurs.
  • (4) perte d’expériences communautaires/de cohabitation sociale personnelle en interdisant les réunions dans les associations, manifestations, rassemblements, en fermant les bars, etc.
  • (5) Réduction de possibilités de développement social pour les enfants en fermant les écoles maternelles
  • (6) Isolement des enfants dans des logements sans contact avec d’autres enfants en fermant des écoles, des jardins d’enfants et des aires de jeux

Le rapport du jugement souligne que l’école n’est pas seulement un lieu de transmission des connaissances, mais un lieu d’apprentissage social. Les fermetures d’écoles suppriment pratiquement totalement l’apprentissage social et défavorisent l’intégration des enfants et des jeunes.

L’enseignement par les parents est difficile particulièrement dans certains milieux défavorisés. La fracture sociale est donc renforcée. L’apprentissage de l’allemand chez les enfants de familles migrantes est également gravement perturbé. « La connaissance de  l’ allemand ? Catastrophique pour un tiers des élèves[16].

Conséquences économiques du confinement

 Selon le jugement de Weimar, on note

  • (1) Aides apportées par l’État fédéral et les Länder aux agents économiques
  • (2) Pertes fiscales dues à la limitation de l’activité économique due au confinement
  • (3) Allocations de chômage partiel et allocations de chômage qui ont dû être versées à la suite du confinement
  • (4) Aide sociale aux personnes dépendantes de l’aide sociale

Le « bouclier coronavirus », un paquet législatif adopté le 27.03.2020, en Allemagne  représentait à lui seul 1,173 milliards d’euros (353,3 milliards d’euros d’aide, 819,7 milliards d’euros de garanties). Les derniers budgets fédéraux étaient de 356,4 milliards d’euros (2019) et de 346,6 milliards d’euros (2018). Même si les garanties fournies ne sont pas en soi « perdues », les charges globales devraient atteindre le niveau global de plusieurs budgets fédéraux

Dommages sanitaires et économiques dans les pays du Sud secondaires aux confinements des pays riches occidentaux

 Les dommages collatéraux déjà survenus ou à prévoir sont énormes. Les raisons en sont l’interruption des programmes de lutte contre la tuberculose, des programmes de vaccination contre les maladies infantiles, les interruptions de l’approvisionnement alimentaire due à l’effondrement des chaînes d’approvisionnement, etc..

L’ONU prévoit la famine de plus de 10 000 enfants par mois pendant la première année de pandémie (plus de 10 000 enfants meurent de faim chaque mois à cause du covid19[17]

Rien qu’en Afrique, selon le ministre fédéral du Développement, M. Müller, 400.000 victimes supplémentaires sont attendues à cause du paludisme et du VIH et un demi-million de morts de tuberculose à la suite du confinement (plus de victimes par confinement que par le virus : en Afrique, les crises ont été considérablement aggravées. Selon un article de John Ioannidis [18] 1,4 million de décès supplémentaires de la tuberculose devraient même être à craindre au cours des cinq prochaines années.

À long terme, les mesures de surmortalité liées au confinement seront probablement nettement plus importantes que le nombre de morts de la COVID 19.

Étant donné que la politique de confinement en Thuringe fait partie d’une politique générale de la quasi-totalité des pays industrialisés occidentaux, ces dommages sont la conséquence indirecte également imputable au prorata et sont donc en principe liés à l’examen de proportionnalité.

Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels.

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé. La politique de confinement mise en œuvre par le gouvernement du Land au printemps (et aujourd’hui à nouveau), dont l’interdiction générale des contacts était (et reste) essentielle, est une « erreur politique catastrophique, avec des conséquences dramatiques pour presque tous les secteurs de la vie humaine, pour la société, pour l’État et pour les pays du Sud du monde entier ».

Constitutionnalité des normes

Dans le cas d’ordonnances légales qui n’ont pas été adoptées par le Bundestag ou un parlement régional, chaque tribunal est autorisé à décider lui-même de leur constitutionnalité.  Les articles cités[19] par l’accusation ne sont pas constitutionnels, car ils ne reposent pas sur une loi votée au parlement.

Ils sont inconstitutionnels pour des raisons formelles, car les dispositions qui empiètent profondément sur les droits fondamentaux ne sont pas couvertes par la base légale d’habilitation dans la loi sur la protection contre les infections.

Le législateur doit prendre lui-même toutes les décisions essentielles dans des domaines normatifs fondamentaux, en particulier dans le domaine de l’exercice des droits fondamentaux – dans la mesure où cette réglementation étatique est accessible – et ne doit pas les déléguer à l’exécutif régional.

Plus les règlements juridiques essentiels ou les autres actes de l’exécutif interfèrent avec les droits fondamentaux, plus les dispositions de la loi d’exécution doivent être précises.

Atteinte à la dignité humaine 

Ainsi en ce qui concerne l’isolement et interdiction de contact avec les personnes extérieures à la famille, Une interdiction générale de contact pose -au moins – la question de l’atteinte de la garantie de la dignité humaine.

 Ici l’interdiction pose problème car elle constitue une atteinte grave à la liberté d’action générale et aussi à la liberté de réunion, d’association, de religion, de profession et d’art, non seulement parce qu’elle s’adresse à tous les citoyens, indépendamment de la question de savoir s’ils sont ou non des suspects de maladie ou de contamination. 

En interdisant à tous les citoyens de se réunir avec plus d’une personne extérieure au ménage, en l’interdisant non seulement à l’espace public, mais aussi aux libertés dans le noyau familial, l’interdiction générale des contacts entraîne inévitablement d’autres restrictions aux droits fondamentaux.

 La loi fédérale dispose que si des personnes suspectes de maladie, contamination d’une maladie transmissible ont été identifiés, la restriction ne peut être prise que « dans la mesure nécessaire à la prévention de la propagation de la maladie », ce dernier n’étant rien de plus qu’une référence explicite au principe de proportionnalité déjà en vigueur.

Il ne s’agit là que de conditions minimales absolues. La loi ne peut porter que des mesures individuelles, telles que la fermeture de stations balnéaires (individuelles) et non une interdiction générale de contact.

Dans la mesure où une interdiction générale de contact peut être conforme à la Constitution, il faudrait au moins exiger une réglementation précise des conditions d’organisation afin de concrétiser précisément la situation de danger nécessaire, mais des dispositions concrètes seraient également nécessaires du point de vue des conséquences juridiques.

Le principe de l’État de droit est l’impératif de précision dans la législation. Les lois ne peuvent pas simplement imposer des règlements généraux, ce qui donnerait aux autorités la licence d’agir selon des caprices, ce qui équivaudrait à une règle arbitraire.

Selon la Loi fédérale sur la protection contre les infections (API), les « autorités compétentes » doivent imposer « les mesures de sécurité requises ». En temps normal, cela signifie que les épandeurs ou les personnes soupçonnées de propager une infection peuvent être placées des zones isolées ou contaminées fermées.

Plus un acte juridique de l’exécutif intervient dans les droits fondamentaux, plus les règlements de la loi d’habilitation doivent être PRECIS.

Les mesures à forte intensité d’intervention qui, en soi, nécessitent un régime spécifique, ne peuvent être autorisées que dans le cadre de « développements imprévus » en utilisant des clauses générales, cette condition n’est pas remplie en l’état.

Confinement local responsable au prorata des conséquences dans les pays industrialisés,  liés à l’examen de proportionnalité.

« Il ne fait aucun doute que le nombre de décès imputables aux mesures de la politique de confinement dépasse de plusieurs fois le nombre de décès évités par celui-ci. Pour cette seule raison, les normes à évaluer ici ne répondent pas à l’exigence de proportionnalité. À cela s’ajoutent les restrictions directes et indirectes à la liberté, les dommages financiers gigantesques, les dommages immenses pour la santé et les dommages spirituels ».

Le mot « disproportionné » est trop incolore pour indiquer les dimensions de ce qui s’est passé.


[Notes]

[1] Un tribunal allemand déclare le confinement régional INCONSTITUTIONNEL dans une décision «politiquement explosive» (exoportail.com).

[2] Nom donné au régime de l’Allemagne après la Première Guerre mondiale (1919-1933). Née de l’effondrement du régime impérial, la première république allemande, proclamée par le social-démocrate Scheidemann à Berlin, le 9 novembre 1918, ne prend forme qu’après l’écrasement de la révolution spartakiste (novembre 1918-janvier 1919). Elle tire son nom de la ville où se réunit en février 1919 une Assemblée nationale dominée par les sociaux-démocrates et les modérés, dont les travaux aboutissent à la promulgation (août 1919) d’une Constitution qui fait de l’Allemagne un État fédéral, le Reich, composé de 17 États (Länder) autonomes, eux-mêmes représentés au Reichsrat. Encyclopédie Larousse en ligne – République de Weimar.

[3] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr).

[4] 950 Millions d’euros lui furent promis s’il confinait son pays. Il a dit non et raconté que d’autres pays avaient refusé mais soupçonnait que les plus obéissants avaient cédé au mirage de l’argent facile.

[5] Tribunal d’instance Weimar 6 OWi-523 Js 202518/20 : Free Download, Borrow, Streaming : Internet Archive https://archive.org/details/tribunal-dinstance-weimar-6-owi-523-js-202518-20 via @internetarchive.

[6] pas une rave partie à 2000 qui au passage n’a d’ailleurs pas entrainé aucune vague de malades du Covid, ni même de poussée de contaminations, ni le moindre cluster.

[7] Tribunal d’instance Weimar, jugement du 11.01.2021 – 6 OWi-523 Js 202518/20 from Éditions Dédicaces https://www.rt.com/news/513443-german-court-covid-unconstitutional/ et https://openjur.de/u/2316798.html.

[8] Néanmoins toujours moins rigide qu’en France.

[9] Nous n’en avons eu confirmation que très tardivement.

[10] Le tribunal a décidé lui-même de la constitutionnalité des normes, car l’obligation de soumission selon l’article 100 Abs.1 GG selon la jurisprudence constante de la Cour constitutionnelle fédérale (BVerfG, arrêts du 20 mars 1952, 1 BvL 12/51, 1 BvL 15/51, 1 BvL 16/51, 1 BvL 24/51, 1 BvL 28/51) s’applique uniquement aux lois officielles fédérales et des États, mais pas aux ordonnances statutaires.

[11] 2020 news traduction de Northumbrian Nomad.

[12] Le niveau journalier du 02.07.2020, https://www.tagesspiegel.de/berlin/corona-krise-trifft-frauen-und-kinder-besonders-gewalt-eskaliert-in-berlin-immer-haeufiger/25970410.html).

[13] https://www.welt.de/wirtschaft/article208557665/Wegen-Corona-In-Deutschland-wurden-908-000-OPs-aufgeschoben.html).

[14] Hanna, Mortality due to cancer treatment delay: systematic review and meta-analysis, BMJ 2020, 371, https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4087).

[15] (Kortüm, Corona-Independent Excess Mortality Due to Reduced Use of Emergency Medical Care in the Corona Pandemic: A Population-Based Observational Study, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.27.20220558v1)

[16] ». MONDE du 11.01.2021, https://www.welt.de/politik/deutschland/plus224000152/Geschlossene-Schulen-Was-das-fuer-Kinder-in-sozialen-Brennpunkten-bedeutet.html),

[17] https://rp-online.de/panorama/coronavirus/mehr-als-10000-kinder-verhungern-jeden-monat-krise-durch-corona-verschaerft_aid-52446949).

[18] Global perspective of COVID-19 epidemiology for a full-cycle pandemic, https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13423),

[19] III.L’article 2, paragraphe 1, et l’article 3, paragraphe 3, paragraphe 1, 3. ThürSARS-CoV-2-EindmaßnVO

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir




Drosten, l’homme le plus recherché d’Allemagne… pour crimes contre l’humanité

Par Jean-Michel Grau

Dans cette prise d’otages mondiale du Covid 19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’état profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.

Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle :

Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum Économique Mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière, et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.

Klaus Schwab a publié en juillet 2020 un livre : « Covid 19 : la grande réinitialisation » véritable programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler » et que l’UE avec la complicité des grands labos pharmaceutiques se chargent d’appliquer à la lettre avec des vaccins géniques pour réduire en esclavage des pans entiers de populations occidentales confinées et entretenues H24 par la peur permanente d’un virus monté en épingle par des médias à la solde de l’oligarchie financière. Pour en savoir plus, les journalistes dissidents du Guardian ont fourni une description détaillée de ce scénario cauchemardesque dont l’adaptation résumée se trouve ici.(1)

Mais nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’ingénieur en chef de cette machine de guerre qu’on appelle désormais : « La grande pandémie du Covid 19 » : Christian Drosten.

Qui est Christian Drosten ?

Christian Drosten, virologue allemand, est directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Dans son édition du 30 mai 2020, le magazine allemand Der Spiegel titrait qu’il est aujourd’hui l’homme le plus honoré et le plus haï d’Allemagne.

Mais pourquoi donc ?

Les honneurs d’abord : l’hebdomadaire Stern, titrait lui, ébloui deux mois avant, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. »(2)

Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le coronatest PCR, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le coronavirus dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent d’Angela Merkel et a participé comme expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses évaluations, il a également influencé de manière déterminante des décisions politiques de grande envergure, telles que le port du masque obligatoire, la suspension des cours réguliers à l’école ou encore la fermeture de tout le secteur de la restauration.

La haine maintenant : le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.(3)

Aujourd’hui, dans ce désastre sanitaire mondial planifié de toutes pièces, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice.

Selon Reiner Fuellmich, tous les responsables de cette crise du Covid 19 doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Il est indéniable que dans ce crime, Christian Drosten occupe une place de choix.

Ainsi, dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français,(4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie : « il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Mais ce n’est pas tout : dans une vidéo de 16 minutes, la chaîne allemande kla.tv vient de mettre à jour dans une enquête explosive « Le dossier Christian Drosten »(5), en faisant toute la lumière sur les antécédents peu connus, mais très importants du personnage qui mettent pour le moins en doute la crédibilité de « l’homme le plus recherché de la république » selon l’hebdomadaire Stern. Cette enquête soulève également selon les journalistes allemands de la chaîne « de graves questions concernant l’ensemble du scénario Corvid19, qui apparaît clairement comme la plus grande supercherie de l’histoire jamais mise en œuvre. »

« Ainsi, des erreurs de prévision fatales, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un “test PCR Covid” développé à la hâte et présentant des défauts scientifiques fondamentaux, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité ! »

« Si le personnage central de la crise du Covid s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :

  1. Sur la base de ce fondement non scientifique, l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas être enfin investigué pour connaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
  2. Cette crise du Coronavirus ne pourrait-elle donc pas s’apparenter à une prise de pouvoir par étapes et même conduire à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
  3. Pourquoi les grands médias, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne découvrent — ils pas le “dossier Drosten”, mais le gardent même secret ? »

Les journalistes de kla.tv en concluent que ces faits doivent être connus de tous. En effet, dès que les manœuvres criminelles de Drosten auront été démasquées, tout le château de cartes de la supercherie du Covid 19 s’effondrera et tous les peuples confinés pourront enfin reprendre leur liberté. C’est pourquoi, il convient de diffuser massivement cette vidéo, ainsi que l’interview de Reiner Fuellmich pour contribuer à appuyer sa « Class action » avec tous les avocats français prêts à y participer avec des milliers d’autres de par le monde pour mettre en place ce deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare contre Drosten et ses acolytes pour crimes contre l’humanité.


Notes

(1) Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

(2) stern.de/p/plus/gesundheit-wissenschaft/der-aufklaerer-so-wurde-christian-drosten-zum-wichtigsten-mann-deutschlands-9184616.html

(3) Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr


[Voir aussi :




Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL

Par Dr Nicole Delépine

L’UE impose des « tests négatifs » aux frontières alors que le test PCR est condamné en justice comme invalide dans plusieurs pays ! Déconnexion totale des décisions politiques de la réalité sanitaire et juridique. 

Les tests PCR IMPOSÉS AUX VOYAGEURS

À partir de dimanche 24 janvier minuit, un test PCR négatif de moins de 72 heures sera exigé pour l’entrée des Européens sur le territoire français. Décision confirmée à l’issue du Conseil européen tenu jeudi en visioconférence, la France rejoignant ainsi des pays ayant déjà mis en place cette mesure, l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne et l’Italie. Et également annoncée par E Macron.

Cette décision démontre une nouvelle fois le caractère complètement hors sol et purement politique des décisions de l’UE et de la France en particulier dans cette « AFFAIRE COVID ». Car nous sortons bien d’une crise qui se prétend sanitaire depuis un an, date à laquelle la pseudo-épidémie a bousculé nos vies et pour laquelle on refusait tous les contrôles frontaliers. À l’époque, la recette des pays asiatiques (contrôle aux frontières, et l’isolement vrai des malades (avec symptômes cliniques avérés) aurait ralenti la diffusion de l’épidémie surtout si on l’avait complété par le traitement précoce des patients avec des traitements déjà connus depuis les précédentes épidémies de coronavirus de 2003 en particulier.[1]

Le dramatique échec de la politique sanitaire française décidée d’en haut par le conseil prétendument scientifique et de défense où ne siègent pas ou très peu de médecins cliniciens (les vrais docteurs, ceux qui soignent des malades au stade précoce des maladies) justifie d’en changer.

L’ensemble des Français devrait pouvoir reprendre une vie normale, sans restriction sanitaire ou autres. Or la soumission à l’autorité (en l’occurrence à Emmanuel Macron, Angela Merkel et l’OMS, appliquant le programme du forum de Davos)[2] est telle que chacun tente de trouver une demi-solution personnelle comme les restaurateurs et leurs plexiglas, certains médecins et leur conseil de masques partout[3] et pour tous (même à l’extérieur et même chez les enfants) alors que toutes les études scientifiques sérieuses montrent l’inefficacité[4] [5] et même le danger[6] [7] d’une telle mesure.

Et les biologistes au lieu de dire STOP DÉPISTAGE inefficace vont disserter des heures sur un test qui serait peut-être moins mauvais que la PCR. Peut-être pour des raisons financières[8], ils tentent de trouver un test qui cherchera un virus dont on se moque, car ne tue ni enfants, ni adultes et très peu de vieillards s’ils sont soignés précocement par les traitements disponibles.

Non, tant que vous êtes asymptomatique, refusez tous les tests y compris le dernier venu sorti du chapeau en janvier 21, quand le scandale de la PCR éclate pour faire croire au peuple qu’il y a intérêt à se faire tester quel que soit le test proposé. Ne soyez plus soumis. Ne vous laissez pas manipuler par ceux qui tuent progressivement le pays et ses habitants.

Un test PCR positif après plus de 30 cycles d’amplification ne signifie pas qu’une personne sans signe clinique ne soit ni contaminée, ni contagieuse[9] [10] [11] [12] ainsi que l’a affirmé l’OMS dès le 8 juin[13] : « il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie » et récemment confirmé un dépistage massif portant sur 10 millions de Chinois[14].

Et si vous avez des symptômes, voyez un médecin qui pratique encore la médecine, l’examen clinique et le traitement en l’occurrence précoce qui fera disparaître vos signes en moins de 48 h. Il est temps de revenir à une vraie pratique de notre métier qui ne se résume pas à une ordonnance de radio pour une douleur dorsale ni à des tests pour un rhume ou une bronchite. La médecine 2.0 n’est pas de la médecine comme les malades en ont fait l’expérience dramatique toute l’année 2020 avec le pschitt de la télémédecine et la hausse des morts secondaires en l’absence de diagnostic pointu et de traitement adapté pour toutes les autres pathologies hors covid19.

Scandales du dépistage systématique des malades à l’entrée aux urgences, et des visiteurs des anciens en EHPAD

Ce scandale du dépistage s’ajoute à celui que nous dénonçons avec d’autres des mesures dites sanitaires privant de fait les vieillards en EHPAD de visites à travers les tests multiples imposés à répétition aux résidents et aux personnels alors que ces contacts sont nécessaires à leur survie pour éviter le syndrome de glissement et qu’il n’existe aucune démonstration scientifique de leur utilité ni de leur légalité.

Depuis plusieurs mois, des enquêtes suivies de plaintes et de procédures judiciaires ont démontré que ces tests ne sont qu’une supercherie[15]. La peur, outil magique du gouvernement mondial via l’OMS a été entretenue grâce aux médias et les mensonges permanents sur le nombre des malades, puis les cas, puis maintenant les variants de différentes provenances au fur et à mesure que la tricherie se dévoile. Ce test PCR est dénoncé depuis plusieurs mois et C. Drosten qui l’a vanté et mis sur le marché avec la complicité de l’OMS en janvier 2020 est maintenant poursuivi devant le tribunal de Berlin.

Drosten doit rendre des comptes : le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussées de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich. Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ? Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique). »[16]

À propos du test PCR : Maitre Fuellmich reproche à Drosten :

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020 [17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale. Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif. »[17]

Faux et usages de faux

Comment après tant d’articles scientifiques dénonçant l’absence de fiabilité des tests PCR peut — on aujourd’hui un an après le début de la mascarade exiger un faux à l’entrée d’un pays et imposer sept jours de confinement en attente de ce résultat non fiable aux non-résidents européens ? Officiellement pour des raisons sanitaires alors que cette épidémie proche de la grippe n’est pas plus mortelle que les autres et que l’épidémie est terminée, sauf dans les pays qui vaccinent le plus[18]. Le scénario tragique de la mise en condition des peuples dans un but de réorganisation de l’ordre mondial selon les critères de la clique de Davos est de plus en plus évident.

Nous rappellerons ici les principaux écueils du test PCR déjà détaillés ailleurs.[19]

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISES EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [20]

  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • Nombre recommandé de Cycles d’amplification trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. À Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité devient très faible.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit J. Salomon à demander un avis par saisine de la DGS[21].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :
– La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement
– La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques
– Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités
– Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…) »[22]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire à répétition de surcroît les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24 h/24 h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice — WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les solides études précitées, ainsi que les mises en garde de l’inventeur du PCR. : 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier, est évidente et leur responsabilité considérable, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d ’Ehpad alors que l’explosion des contaminations et de la mortalité depuis la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne justifie au contraire de temporiser ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 et rappelée le 13 janvier 2021 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

En conclusion, nous rappellerons que de nombreuses procédures[23] sont par le monde contre l’usage fallacieux du test PCR de Drosten et que chaque personne soumise autoritairement à ce test peut se retourner vers les tribunaux indépendants afin d’obtenir réparation de la part de l’autorité qui lui a imposé le test. Souhaitons que les dirigeants prennent conscience de leur responsabilité. Le statut d’intouchable n’existe pas. Même certains capos nazis ont été condamnés à Nuremberg.

Le procès de Nuremberg du Covid est en gestation. Ils feraient bien d’y réfléchir au lieu de foncer dans le mur. Les gens se réveillent.

Les voyageurs devraient se rebeller contre ces mesures liberticides injustifiées concourant à la mise en scène d’une pseudo-pandémie pour transformer des peuples libres en esclaves du métro-boulot-dodo dépourvus de pensée libre et donc de culture, histoire, etc.


Notes

[1] Étude du Lancet de Fauci disant que l’hydroxychloroquine est efficace

[2] Lire le livre de Klaus Schwab sur covid et grande réinitialisation disponible sur internet

[3] En particulier à l’extérieur alors que la seule étude randomisée sur le sujet (Danmask 19) a démontré que le port du masque à l’extérieur ne diminuait pas le risque de contamination

[4] Nicolas Dugré – Masks for prevention of viral respiratory infections among health care workers and the public PEER umbrella systematic review Vol 66: JULY | JUILLET 2020 Le Médecin de famille canadien https://www.researchgate.net/publication/343047403_Masks_for_prevention_of_viral_respiratory_infections_among_health_care_workers_and_the_public_PEER_umbrella_systematic_review

[5] Dr François Pesty « Bas les masques : une efficacité trop incertaine » France Soir du 21/7/2020

[6] L’élastique des masques chirurgicaux peut-il stimuler la protrusion d’oreille chez les enfants ? Plast Surg esthétique 2020 octobre ; 44 (5) : 1947-1950.doi : 10.1007/s00266-020-01833-9. En ligne du 18 juin 2020.

[7] Dr Nicole Delépine MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : MALTRAITANCE SANS FONDEMENT SCIENTIFIQUE
Économie Matin 14/11/2020 12438 180

[8] Le coût actuel des tests s’élèverait à plus de 3 milliards d’euros après actualisation des données publiées par l’express Le vrai coût des tests Covid : une facture à 2,8 milliards d’euros pour l’assurance maladie 14/1/21

[9] Dr Gérard Delépine Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! France soir https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude

[10] Andrew N. Cohen False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2 May 2020 medRxiv preprint https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v1.full.pdf

[11] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ».

[12] Elena Surkova False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs September 29, 2020
https://doi.org/10.1016/S2213-2600(20)30453-7

[13] Téléconférence du 8 juin de Maria Van Kerkhove

[14] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020) : https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

[15] Acté le 11 octobre par la cour d’appel de Lisbonne (Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés) ordonnant à ce motif la libération de touristes allemands mis en quarantaine sur la foi de tests PCR

[16] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[17] « Vos déclarations de sept 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme “limite magique” ?

[18] Israël et la Grande-Bretagne ou les contaminations ont explosé depuis le début des vaccinations

[19] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[20] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[21] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[22] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[23] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)